LES MATÉRIAUX DU CRIMSON CIRCLE

Série ALT

SHOUD 11 – ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
le 5 août 2023
www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, Adamus de Saint-Germain.

Moi aussi j'ai attendu ce moment toute ma vie (rires, alors qu’il se réfère à cette vidéo ). Oh, vraiment, tout à fait, j’ai attendu bien plus que vous ne le saurez jamais. Et pas seulement, pas seulement –mmm, mmm ! Mon gâteau et mon café. Nous reviendrons à ce moment dans un instant. Mais – ah ! - Merci très chère. Hum ! Hum ! Par ici.

KERRI : Oh, désolée.

ADAMUS : Oui, merci. Oh, un petit café (Kerri lui apporte un plateau avec un petit morceau de gâteau et une bougie dessus).

KERRI : Joyeux anniversaire.

ADAMUS : Merci. Merci merci. Oh.

KERRI ET LE PUBLIC : (chantant) Joyeux anniversaire. Joyeux anniversaire à vous. Joyeux anniversaire, cher Adamus. Joyeux anniversaire (acclamations et applaudissements).

ADAMUS : Merci. Merci merci. Merci.

KERRI : Vous n'êtes pas obligé de le manger. Je vais le reprendre.

ADAMUS : Je suis le meilleur.

KERRI : Vous êtes le meilleur.

ADAMUS : Oui, oui.

KERRI : Le meilleur des meilleurs.

ADAMUS : Oui.

KERRI : Merci beaucoup. Je vous adore.

ADAMUS : Dois-je souffler sur la bougie ?

KERRI : Voulez-vous que je le fasse ?

ADAMUS : Non (rires). Merci (il souffle sur la bougie). Merci (Adamus rit). Ah oui. Quelle magnifique façon de commencer le Shoud.

Oui, c'était mon anniversaire récemment. Nous avons fait une grande fête au Club des Maîtres Ascensionnés. Oh, la salle était pleine de nourriture, de musique, de danse, de blagues et de divertissements. Nous avons passé beaucoup de, eh bien, nous n'avons pas de vidéos comme vous en avez; nous ne faisons qu’imaginer et brusquement, tout le monde peut voir ce que vous êtes en train d’imaginer. On s’est passé (le visionnage) des moments très tendres que j'ai vécus. On s’est passé les magnifiques souvenirs de ma vie passée, et bien sûr, le souvenir le plus super dont nous avons parlé en vérité, c’était celui de la période que j’ai passée dans le cristal (quelques rires). Je ne vous ai probablement pas encore raconté cette histoire (Adamus rit). Non, c'était épique. Être pris au piège, comme vous l'êtes actuellement. C'était épique. Non, tout à fait, vous l'êtes. Non, vous vous dites : "Mais je suis un Maître Ascensionné." Marco, vous êtes un Maître Ascensionné, "Qu'est-ce que vous voulez dire par être piégé?" Vous êtes toujours pris au piège.

MARCO : Euh, merde, non.

ADAMUS : Non, non, vous l'êtes. Oh, oui, oui ! Vous pensez, vous croyez que vous n'êtes pas pris au piège. Vous savez, même un Maître réalisé peut être en prison. Je veux dire, en fait, il y a beaucoup de Maîtres réalisés en prison. Il n'y a qu’une seule façon d’être libre. C’est d’être libre à l’intérieur de vous-même. En réalisant que ce n'est qu'une illusion, tous ces murs de prison. Mais d’un autre côté, vous êtes toujours pris au piège. Vous êtes toujours coincé là.

MARCO : Dans le Mur de feu.

ADAMUS : Le Mur de feu ?

MARCO : Le Mur de feu.

ADAMUS : Êtes-vous dedans ou en êtes-vous sorti ?

MARCO : Ah ! Je suis toujours là-dedans.

ADAMUS : Vous êtes toujours dans le Mur de Feu ?

MARCO : Je sais ! Mais ça me va, c’est ok.

ADAMUS : Eh bien, non. En fait, être dans le Mur de Feu, c'est un grand débat philosophique. Êtes-vous toujours dans le Mur de Feu ? L’avez-vous jamais traversé? Êtes-vous toujours dans le Mur de Feu, à être brisé en milliards et trillions et octillions de morceaux et à être en train de vivre l'expérience en ce moment même d'en avoir marre de votre fragmentation et alors désormais de rassembler votre lumière ? Et est-ce important?

MARCO : Eh bien, quand vous le dites comme ça (ils rient). Eh bien oui, au bout du compte...

ADAMUS : Vous pouvez être un Maître incarné et être toujours coincé dans une prison. Nous allons toutefois percer ou briser cela aujourd'hui, nous en libérer. Je vais immédiatement vous dire comment cela va se terminer. Nous allons commencer à en émerger, à nous en libérer. Quelques-uns d'entre vous y arriveront, et les autres suivront. Ceci, c'est le moment que vous avez attendu toute votre vie. Hum, hum, hum. Oui (quelques applaudissements).

MARCO : Woo hoo !

ADAMUS : Et maintenant, une petite digression. Merci.

MARCO : Oh !

ADAMUS : Oui, vous en avez terminé (quelques rires). Une petite digression. Cauldre est très en colère contre moi quand je parle de choses comme ça. Il me dit du style : « Mais Adamus, tu fais de grandes promesses. Et si ça n'arrive pas ? » Je m'en fiche. Je suis au Club des Maîtres Ascensionnés (plus de rires). Nous observons cela très attentivement et nous ressentons les énergies et le flux, et je sais quand quelque chose est vraiment prêt, et c'est le cas aujourd'hui.

 

Il est temps de se libérer

Ce sera, je vais dire, un moment assez épique, un tournant pour nombre d'entre vous. Il est temps de vous libérer. Et encore une fois, beaucoup d'entre vous sont vraiment des Maîtres incarnés, mais vous êtes toujours enfermés dans cette prison de la conscience de masse, du temps, de l'espace, de la gravité. C'est le ALT que vous attendiez. C'est le ALT, et nous en reparlerons plus en détail, mais le ALT arrive du fait que vous avez dû vous battre pour vous frayer un chemin à travers les choses – que vous avez dû faire des efforts, dû affronter ou lutter contre les forces de cette planète – et le ALT c’est, eh bien, le contraire. C’est le fait de simplement recevoir. C’est cela se libérer. C’est cela se libérer. Nous allons commencer le processus immédiatement.

Vous avez été conduits jusqu’à lui et, oui, vous avez une sagesse incroyable et vous êtes des êtres merveilleux. Mais il y a toujours ce ressenti dans l'air qu'il va se passer quelque chose. L'un d'entre vous a-t-il eu ce ressenti dernièrement ? Quelque chose est sur le point de se produire et vous ne savez pas ce que c'est. Comme le dit la chanson, c'est « dans l'air ce soir » – ou cet après-midi – et c’est le cas.

Oh, je suis tellement excité. C'est vraiment mon moment (mon grand soir), parce que nous travaillons ensemble sur cela depuis très, très longtemps et nous avons fait des progrès incroyables. Vous avez fait des progrès incroyables. Vous vous êtes très, très profondément immergés (dans l’expérience de la planète) et ça fait mal. Cela fait vraiment mal parfois de vous demander qui vous êtes, de vous demander si vous faites ce qu'il faut ; en ayant parfois une seule envie, celle de vous éloigner ou de vous retirer de tout. Pour nombre d'entre vous, vous souhaitez même parfois ne pas exister, parce que vous ne savez pas comment vous y prendre, comment gérer l’existence. Et vous essayez ceci, vous essayez cela. Ces choses fonctionnent dans une certaine mesure, mais pas à la grande ou profonde satisfaction de votre Soi et de votre âme.

Nous sommes parvenus jusqu’ici à présent, quoi, combien de mois à présent depuis la Croix du Ciel ? Et cette lumière, votre conscience rayonne désormais, elle rayonne vraiment en vous, en vous permettant d’en amener encore plus. Et désormais, il est vraiment temps d’aller dans le ALT, et le ALT, c’est le renversement total de la façon dont vous et les autres humains vivez et avez vécu. L’archétype du mode de vie ou le mode de vie archétypal, par le passé, c’était de travailler dur et de mourir durement, et ensuite vous reveniez dans une autre vie pour faire la même chose. Nous allons changer, modifier cela. Nous devons le changer. C’est déjà en phase d’être changé, transformé. À présent, il s'agit juste de reconnaître ce qui est en train de se passer et de recevoir cela, de le permettre.

Prenons une bonne respiration profonde avec ça.

Ce mois dernier a été un petit peu éprouvant pour moi, et je dois même dire, assez difficile. Au cours du mois dernier, j'ai reçu davantage d'appels en rapport avec le service client (rires). Je ne parle pas de celui du Crimson Circle, ils ont leurs propres problèmes. Je parle de moi (de mon service client) au Club des Maîtres Ascensionnés. Vous avez été plus nombreux à m’appeler.

Ceci dit, c'était déjà très difficile il y a de nombreuses années. Je veux dire, je recevais beaucoup d'appels de désespoir. Mais je reçois vraiment de nombreux appels actuellement, et j’ai de nombreux échanges avec vous la nuit. Des échanges démoralisants. Je veux dire, vous êtes démoralisés (quelques rires). Et démoralisants. Vous êtes démoralisés. Vous vous dites : « Quand est-ce que ça va arriver ? Qu'est-ce qui va se passer? Comment surmonter toute cette chose ? Comment surmonter l’épreuve de ce corps ? » Merde, combien d'entre vous ont eu mal récemment ? Avec des douleurs et des maux et tous ces : « Oh ! Adamus, quand vais-je surmonter cette épreuve avec ce corps ? Quand va-t-il se poser ? Tout ce travail que j'ai fait, tous mes efforts et ma lutte et mes coups de poing et la respiration, quand est-ce qu’il va juste se poser ? Quand est-ce qu’il va vraiment fonctionner ? Combien de temps dois-je encore parcourir ce chemin vraiment difficile ? Parce que j'en ai marre et je suis fatigué de cela ».

C'est ça que j'ai entendu le plus ce mois-ci – le mois de mon anniversaire, bien sûr – bien plus qu'à n'importe quel autre moment. Et c'est bien. Non, c'est bien. Je me plains un peu de la façon dont je dois composer avec vous tous, mais c'est bien que vous ayez – il y a une… c'est presqu’une colère. Et ensuite vous vous sentez mal d'être en colère, parce que vous êtes censés être des personnes spirituelles. Connerie! Cette colère bouge quelque chose en vous. C'est très bien d'être en colère, de vous dire : « Quand vais-je le surmonter – je veux dire, vraiment le surmonter, le dépasser ?! » Vous avez eu des avancées progressives, beaucoup de magnifiques, vous savez, des espèces de petites illuminations, mais « Quand vais-je dépasser, émerger de tout ce concept du temps et de l'espace et du corps et du mental ? J'en ai marre et j'en ai assez, et je ne veux plus continuer à suivre de cours et à faire de Shouds. Nous devons y arriver sinon (ça va barder) ».

Et donc, j'ai recueilli votre colère (quelques rires et une femme dit "Oh!"). Oui, oh ! (elle continue en disant "Et que faire avec ça?") Et que faire avec ça? Je vais vous la renvoyer directement aujourd'hui (plus de rires). Que pensez-vous… (Adamus tousse et tapote sa poitrine) Que pensez-vous que je vais faire ? Le pauvre Cauldre est en train de s'étouffer à ce sujet.

J'ai ressenti cette colère, et en quelque sorte, je l’ai rassemblée, réunie, et c’est ok. Pouvez-vous être ok avec le fait que cette colère est ok? Même pour une « personne spirituelle ». Vous savez, en fait vous vous faites plus de mal quand vous essayez de la refouler en vous disant, « Oh, tout va bien se passer. Tout est parfait. » Non! Pas du tout! Non, pas du tout. Vous n’êtes pas venus dans cette vie pour être des bisounours, pour essayer d'être uniquement amour, lumière et joie. Vous êtes venus dans cette vie pour faire des changements importants en vous-mêmes et sur cette planète. La colère a du bon. En fait, j’apprécie vraiment ça (votre colère), parce que pour certains d'entre vous, elle est motivante, stimulante.

C’est ok. Prenez juste une profonde inspiration avec ça ou faites n'importe quoi – tapez du pied, tout ce que vous voulez – c'est ok d'avoir cette colère, cette frustration, cette idée que « Il faut que ça change à présent. Quelque chose doit changer. J'en ai marre et j'en ai assez que ça ne soit pas le cas, que les choses aillent si sacrément lentement ». Et la bonne nouvelle, c'est que ça l'est (c’est le cas, c’est en train de changer). Je veux dire, tout cela est en quelque sorte en train de converger en même temps. Nous avons la Croix du Ciel, votre lumière qui arrive. En fait, je prends du recul et je dois bien en rire parfois – vous, vous ne pensez probablement pas que c'est drôle – mais c'est votre lumière qui vous rend si énervés et en colère et bouleversés et frustrés, à seulement avoir l’impression que quelque chose doit changer.

Ressentez cela un instant. Vous avez ce nouveau niveau de lumière, la Nouvelle Lumière qui arrive, et elle brille sur toutes ces anciennes choses - le sentiment d'être piégé dans cette réalité, le sentiment que vous n'êtes toujours pas... que vous êtes davantage connecté à vous, l'humain, mais que vous n'êtes toujours pas connecté à vous en tant qu'âme - et cette lumière arrive et elle remue certaines de ces choses. Ce n'est pas une jolie lumière scintillante, parce que vous ne le voulez pas ainsi. Vous voulez qu'elle secoue les choses, qu’elle bouge les choses, qu’elle les remue pour franchir ou surmonter toute cette chose à présent.

Et donc cette lumière remue ou secoue les choses, et ça c'est une bonne chose. N'essayez pas de l'éteindre. N'essayez pas de la mettre sur pause. Canalisez ce sentiment de frustration ou de colère ou tout simplement ce sentiment de "Raaaarrh !!" Vous souhaitez simplement hurler, et c'est ok de hurler. Vous voulez faire ça maintenant ? (certains Shaumbra disent "Oui") D'accord. Maintenant, certaines personnes pourraient se sentir offensées en se disant : « Non, nous sommes supposés être silencieux et calmes ». Sûrement pas! Hurlons. Juste aaaaah !!

LE PUBLIC (avec beaucoup d'enthousiasme) : Aaaaaagghh !!

ADAMUS : Waouh ! Il y a beaucoup… (rires) Oui. Très bien, recommencez (plus de rires). Il y a beaucoup de passion là-dedans, beaucoup de désir de vraiment faire bouger les choses à présent, et le timing est parfait. Il est totalement en lien avec la Croix du Ciel, la lumière, le changement, avec ce qui se passe sur cette planète actuellement. Et vous savez que la planète devient folle. Je veux dire, vous le savez. Ok. Quelqu'un veut-il en débattre avec moi? (quelques rires) La planète devient folle. C'est intéressant à observer, vous savez, depuis mon point de vue d’environ cinq millions de kilomètres de distance "Wow!"

Quand vous l’observez, c'est juste wow, et ensuite ça vous énerve. C'est comme si plus rien n'avait de sens. Les gens à l’extérieur. Les gens à l’extérieur. Combien d'entre vous ont eu affaire à de mauvais conducteurs ou à des connards quand vous faites vos courses, sans compter ceux que vous voyez à la télé ? Et c'est juste du style, « Gaaaahhh ! » La planète est en train de devenir folle, purement et simplement, et ça, c'est mon analyse professionnelle (plus de rires). Et c'est probablement une bonne chose aussi. S'ils ne l'étaient pas, si tout le monde était tout simplement satisfait, rien ne changerait. Rien ne serait en train de se passer.

Mais vous ne pouvez pas avoir de satisfaction actuellement. Nous avons plus de conscience sur la planète – vous savez, en ce moment, elle est en train d’augmenter de quelques points de pourcentage – il y a plus de conscience que ce n’était le cas avant le 22 mars. Vous pensez, "Eh bien, ce n'est pas beaucoup." C'est beaucoup. C'est beaucoup. Ne serait-ce que quelques points de pourcentage en plus de lumière créent un immense impact sur toute chose.

En premier lieu, ça pousse Gaia à partir plus tôt qu'elle ne l'aurait jamais pensé ou que nous l’aurions pensé. Son départ est en train d’arriver très vite. La planète, je veux dire, la planète physique sur laquelle vous vivez est en train de subir des transformations massives. Et vous le remarquez probablement, selon l'endroit où vous vivez ou les nouvelles que vous lisez, mais c’est en train de se produire. Et bien sûr, les alarmistes ou ceux qui ne comprennent pas vraiment ce qui se passe, disent que c'est parce que « Vous conduisez une voiture, et c'est là tout le problème » et parce que « Vous ne recyclez pas vos déchets ». Et ce n'est pas ça. Gaia s'en va et elle nous en parlera bientôt. Eh bien, vous parlez d’être énervé (furieux, en colère, en pétard). Si vous pensez que je suis énervé (contrarié, bouleversé), attendez de voir Gaïa nous parler à la conférence de la Lumière de Merlin . Je veux dire, elle est bouleversée pour une bonne raison probablement.

Elle est en train de s’en aller. La lumière est en train de la pousser dehors, quand bien même elle ne voudrait pas s’en aller. Mais la lumière est en train de la mettre dehors, afin que les humains assument la responsabilité de la réalité physique, de la matière. Pas seulement de la planète. C'est bien plus énorme que ça. Vous savez, Gaia, ce n'est même pas son nom. Vous savez, ça c'est un de ces espèces de noms inventés. Vous connaissez son vrai nom ? Adamah. A-d-a-m-a-h, Adamah. C'est le terme hébreu utilisé à l’origine pour ce qu'on appelle aujourd’hui Gaïa. Et je sais que vous pensez : « Adamah, Adamus. Allez! Oui, vous devez plaisanter ! » (rires) Non, je suis sérieux. Ce nom renvoie au modèle archétypal d’origine des humains, de la biologie, au modèle archétypal d'Adam Kadmon. C'est cela le nom d'origine, Adamah. Mais pour le moment, je me réfèrerai à elle en disant Gaïa.

Et donc, Gaia s'en va et la planète est en train de se transformer, et cela pousse les gens à s’éveiller. Oh, c’est en train de se produire. Bon sang, eh bien, les océans sont presque en ébullition. Bon, ils se réchauffent. Du style, au lieu d’utiliser votre bain à remous, allez tout simplement à l'océan et asseyez-vous dedans. Et ce n'est pas parce que les humains – pour la plupart – ce n'est pas parce que les humains ont malmené ou maltraité la planète. Ce n'est pas ça. Vous êtes en train d’apprendre qu'il y a certaines choses, bien sûr, que vous ne devriez pas faire. Vous êtes en train de vous éloigner des combustibles fossiles, mais ce n'est pas nécessairement parce que les combustibles fossiles sont mauvais. C'est parce qu'il est sacrément temps de vous réveiller et d'arrêter d'utiliser ces trucs anciens. Il y a énormément d'énergie rien que dans mon gâteau d'anniversaire pour alimenter tout l'État du Colorado pendant des mois ! Dans ce gâteau d'anniversaire-là. Mais on ne l'exploite pas encore. C'est probablement une bonne chose, parce que si vous n'avez pas la conscience pour utiliser toute l'énergie qui est contenue là, si vous n'avez pas l'équilibre pour cela, ce n'est probablement pas une bonne chose. Cela pourrait blesser quelqu’un très fortement.

Et donc, tout cela est en train de se produire actuellement, et la planète devient folle. Et vous n'en voyez que la pointe de l’iceberg actuellement, mais les gens, ils n’arrivent plus à se connecter – ils ne peuvent plus trouver la connexion à l'ancien endroit auquel ils avaient l’habitude de se connecter ; les choses qui leur donnaient une espèce de point de connexion, d'équilibre, de confort. Ils ne savent pas quoi faire. Ils ne savent plus vers quoi se tourner. Ils vont aux extrêmes. Vous voyez probablement cela. Que se passe-t-il dans une situation comme celle-ci ? Ils deviennent très polarisés, très extrêmes. Ils ne peuvent même plus penser logiquement, rationnellement. Vous savez, ils en arrivent à penser de manière vraiment extrême. Et cela va continuer pendant longtemps jusqu'à ce qu'il y ait des changements fondamentaux opérés dans la psychologie humaine, la conscience humaine de base. Et donc, que le reste de l'humanité le comprenne ou non, ils sont eux aussi à l’aurée d’une énorme transformation. Du point de vue de la conscience, ils ne sont pas là où vous en êtes, mais ils subissent ou sont impactés par certaines choses. Les choses sont en train de se transformer très rapidement actuellement, très rapidement sur la planète et dans tous les domaines.

La lumière qui a commencé à arriver est en train de transformer la physique elle-même. Comme je vous en ai parlé lors de notre dernière réunion, elle est en train de modifier la structure moléculaire. Elle est en train de modifier la façon dont les particules, les différents éléments d'un atome, tournent, et sont en relation et communiquent entre eux. C'est, fondamentalement, cette lumière qui est train de changer, de modifier la façon dont toute chose communique avec toute chose. C'est assez énorme. C'est assez énorme.

Le monde est en train de devenir fou.

 

Un monde fou

Quels sont les exemples que vous avez de ce monde qui devient fou ? Linda, au micro s'il vous plaît, pendant que je prends une bouchée de mon gâteau d'anniversaire. Comment le monde devient-il fou ? Qu'avez-vous remarqué ? Quelqu'un a dit "Donald Trump". (quelques rires)

SCOTT: Eh bien, pour ma part, je suis assez estomaqué rien qu’en faisant défiler mon fil d’actualités, parce que pour moi, ces derniers jours, chaque gros titre est tout simplement complètement fou.

ADAMUS : Oui.

SCOTT: Peu importe lequel, peu importe le site, peu importe, vous savez, quel que soit le bord. C’est vrai pour tous les sites, et c'est juste addictif de regarder ça. Je veux dire, c'est juste littéralement addictif, rien qu’en le faisant défiler.

ADAMUS : Qu’est-ce que vous en pensez quand ça se passe ? Que faites-vous …

SCOTT: Je dois juste me rappeler que Dieu merci, je ne suis plus sur ce bateau fou. C'est définitivement eux maintenant.

ADAMUS : (riant) Exact.

SCOTT: Et j'ai toujours - je pense juste que là où nous en sommes actuellement, cela doit en quelque sorte simplement se produire.

ADAMUS : Quel est le gros titre qui vous a frappé récemment, quelque chose qui vous a vraiment fait rire, qui a attiré votre attention ? (Scott rit)

SCOTT: Oh, je pourrais tout simplement choisir l'un de ces titres de mise en accusation (de Donald Trump), n’importe lequel parmi ceux-là, ce scénario-là.

ADAMUS : Oui. C’est fou.

SCOTT : C’est juste fou.

ADAMUS : Fou. Sans précédent et fou.

SCOTT : Oui.

ADAMUS : Oui. Qu’est-ce qu’il se passe en réalité, quand vous examinez les énergies fondamentales de – il fait référence à la mise en accusation, aux accusations portées contre Donald Trump…

SCOTT : Au cas où vous n'en auriez pas entendu parler (il rit).

ADAMUS : … qui se trouve être – Oui ! Eh bien, il y a beaucoup de gens ici qui viennent d'autres endroits (d’autres pays que les USA), et ils n'aiment pas Donald. Mais qu’est-ce qu’il se passe en réalité là-dedans, avec l'énergie au cœur de tout cela ? Un président américain mis en examen pour toutes ces différentes choses.

SCOTT : Eh bien, il y a…

ADAMUS : Et je dois ajouter qu'il est le favori de l'un des partis politiques ! (rire)

SCOTT : Je sais ! Je sais!

ADAMUS : Non, ce monde n'est pas fou (plus de rires). Allez-y, continuez.

SCOTT: Eh bien, il y a juste beaucoup de dynamique de pouvoir des deux côtés, à cause de lui qui essaie de rester au pouvoir malgré tout ce qui se passe, et puis tous les autres qui le défendent de ce côté, vous savez, ses partisans.

ADAMUS : Oui.

SCOTT: Et donc, c'est juste fascinant pour moi, quand je vois ça, je me dis simplement: «Ok, comme ils sont naïfs et faciles à duper… où est-ce que ça va s'arrêter? Quand arrêterez-vous d'être aussi crédules ? » Juste, n’est-ce pas, à ne croire aucune des, quoi, plus de 70 accusations (portées contre lui) ou quelque chose comme ça.

ADAMUS : Oui.

SCOTT : « Oh, non. Il est toujours mon favori, je suis toujours de son côté. » Vous savez, quelqu'un disait cela. Pas moi. Moi, je ne dis pas ça.

ADAMUS : Oui. (Scott rit). Oui. Et en faisant abstraction de la politique, parce qu'il ne s'agit pas vraiment de politique actuellement. Je veux dire, c'est…

SCOTT: Et puis c'est tellement lié à la religion également et à tout le - c'est encore, n’est-ce pas, le christianisme en quelque sorte, qui se trouve dévoyé là-dedans.

ADAMUS : C’est une question de pouvoir, dans une large mesure. C'est un immense jeu de pouvoir gouvernemental qui est en train de se dérouler. Et donc, ce n'est même pas vraiment une question de politique, mais, n’est-ce pas, ça polarise les gens, et ça met les gens sur les nerfs et ça les met en colère, et ça fait que les autres veulent juste s'enfuir. Et encore une fois, ce n'est qu'un exemple des très nombreuses choses complètement folles qui se passent actuellement. Oui. Bien.

Bien, que voyez-vous d'autre dans le monde qui soit en train de devenir fou ? Que remarquez-vous d'autre ?

Tout le monde sourit toujours quand Linda lui tend le micro (quelques rires). « Merci Linda ! Merci!" Que remarquez-vous chez les gens qui devient fou ?

AGGIE : Je ne peux pas dire grand-chose au sujet des actualités et ce genre de choses. Je ne les suis pas.

ADAMUS : Vous ne les suivez pas, d'accord.

AGGIE : Ce qui m'arrive à moi au quotidien, n’est-ce pas, ce sont des choses très pratiques : je ne vois plus de valeurs (les gens ont perdu leurs valeurs).

ADAMUS : Les valeurs, oui. Est-ce juste parce que vous vieillissez ou… (ils rient)

AGGIE : Je suis simplement différente, pas dans la norme. Je ne sais pas. Je regarde simplement autour de moi et je constate seulement qu’il n’y a plus de valeurs. Les gens s'arnaquent les uns les autres, on ne peut pas compter sur eux, ils ne sont pas fiables. C’est du style – je ne sais pas – comme s'il n'y avait plus d'intégrité chez les gens.

ADAMUS : Oui. Je veux dire, c'est incroyable. Et en fin de compte, cela a beaucoup à voir avec, je crois que vous appelez cela, la vérité. Les gens essaient de trouver une vérité et ils n’en trouvent tout simplement pas. Et cela provoque une espèce de dégradation des valeurs. Ils essaient d'avoir des valeurs, mais ils ne savent plus ce qui est vrai désormais, alors ils finissent par ne plus vraiment en avoir. Oui, c'est extraordinaire d’observer ça.

AGGIE : Oui, et je vois beaucoup de gens, vous savez, qui sont gouvernés par les circonstances (régis par les événements tels qu’ils arrivent).

ADAMUS : Oui.

AGGIE : Et ils n’arrivent tout simplement pas à trouver ce point d'ancrage solide en eux-mêmes.

ADAMUS : Oui.

AGGIE : Et ils ne savent pas en réalité qu'ils ont leur mot à dire là-dedans.

ADAMUS : Oui.

AGGIE : Et ce sont des girouettes, ils ne font qu’aller dans le sens du vent.

ADAMUS : Oui.

AGGIE: C'est un peu difficile pour moi de voir ça.

ADAMUS : Oui. Oui. Vous avez raison. Ils ne sont tout simplement pas ancrés. Mais ils ne le sont pas, parce que tout est en train de changer, de se transformer. Et ce qui leur permettait de s’ancrer n'existe plus désormais. Ça change trop vite. Et alors ils sont perdus. Ils ressemblent à des zombies ambulants, en un sens. Et puis ce qui les attire, ce sont tous ces éléments extrêmes qui sont là – les extrêmes de n'importe quel côté, n’importe quel bord – mais ils vont vers quelque chose d'extrême. Ils ont besoin de drame. Ils ont besoin de se nourrir de cette énergie. Ils ont besoin de se sentir vivants.

AGGIE : Et je vois beaucoup de gens faire des recherches sur Internet. Et donc, c’est comme s’ils cherchaient des réponses sur Internet. Vous savez, Google (elle rit)…

ADAMUS : Oui, oui.

AGGIE : … et tout ça. Et il y a tellement de fausses informations là-dedans. Et donc, ils sont juste submergés, vous savez, bouleversés par tout ce qui vient à eux, et ils regardent le monde extérieur et tout leur semble catastrophique, accablant. Vous savez, quand vous allez dans le monde extérieur, et… à tout le moins, n’est-ce pas, c’est ce qu’en quelque sorte je retire de mon environnement, de la façon dont je vois les gens essayer de composer avec la vie.

ADAMUS : Oui. Il y a presque une tentative désespérée d'essayer de trouver une vérité. Mais où la trouve-t-on ? Pas sur Internet. Pas chez de nombreuses autres personnes. Et alors ça devient vraiment frustrant, énervant.

AGGIE : Oui. Pour moi, il y a eu un énorme tournant quand j'ai réalisé que les autres ne savaient pas, vous savez.

ADAMUS : Oui.

AGGIE: Et j'étais littéralement en train de faire une crise de panique majeure quand j'ai réalisé que c'était moi, la réponse. Vous savez, c'est... (elle rit)

ADAMUS : Oh-oh ! (Adamus rit)

AGGIE : Du style, oh-oh !

ADAMUS : Oh-oh ! Oui!

AGGIE : Il n'y a rien d’autre à quoi s'accrocher, vous savez.

ADAMUS : Pour partie, cette énorme transformation globale, procède du fait que les gens commencent à réaliser que les réponses ne sont pas là, à l’extérieur. Je veux dire, la plupart d'entre vous avez commencé à vous en rendre compte il y a de nombreuses, très nombreuses années. Vous avez réalisé que les réponses sont à l'intérieur, en vous. Et ça, c’est difficile, mais...

AGGIE : Oui. C'était aussi il y a des années pour moi.

ADAMUS : L'humanité commence tout juste à réaliser cela, et c'est effrayant. Vraiment effrayant quand vous aimez à penser qu'il y a certains êtres qui ont vraiment la réponse, des êtres très avancés sur la planète, ou Dieu qui a les réponses, ou Jésus ou qui que ce soit d'autre. Et puis tout commence à s'effondrer, et vous réalisez soudain : « Ils n'ont pas les réponses. Nous sommes complètement dans la merde », n’est-ce pas. Jusqu'à ce que vous réalisiez que les réponses ont toujours été là.

AGGIE : Oui.

ADAMUS : Bien. Quelques-uns de plus. Un monde complètement fou. Que remarquez-vous dans le monde en ce moment, en quoi devient-il fou ?

ALICE : Bonjour.

ADAMUS : Salut. Content de vous voir.

ALICE : Avant de donner ma réponse, je voudrais rebondir sur celle de Scott, le truc politique, parce que vous me connaissez, j’aime la politique.

ADAMUS : Oui.

ALICE : Mais, non, je pense que ce que l'affaire Trump a vraiment fait émerger, c’est la transparence, le fait que nous commençons désormais à voir ce qui a probablement toujours été là. Et donc, je voulais juste ajouter cela. Concernant ma réponse, Julie et moi nous venons de faire un aller-retour en voiture en Californie pour aller voir sa mère, et la vache, en parlant de voitures, oui, faut voir comment les gens conduisent. Bon, nous appelons cela le glumping, (amalgame entre « gloomy » : lugubre, sombre, mauvais et « grumpy » : grincheux, grognon), quand les gens sont mauvais les uns à l’égard des autres, qu’ils se malmènent les uns les autres, et nous, nous essayions de naviguer entre les embûches provoquées par les gens. Et puis, on avait l’impression que les gens passaient devant vous presqu’en volant ! C'est ça que j'ai vu comme folie, oui, sur les routes. Des gens qui conduisent tout simplement comme des fous du volant.

ADAMUS : C’est fou, fou. Oui.

ALICE : Complètement fou.

ADAMUS : Oui. Est-ce que ça se passe aussi ailleurs qu’en Californie ? Y a-t-il aussi des fous du volant ailleurs ? (elle rit)

ALICE : Je vais dire que c'est pire là-bas, mais le Colorado a en réalité probablement été la partie la plus difficile de notre voyage. On a ces espèces de panneaux de signalisation, «Route fermée droit devant. Voie de gauche fermée droit devant. » Et vous y arrivez et vous constatez qu’elle n’était pas fermée (ils rient), mais tout le monde est quand même arrêté. C'est sur la I-70. Quelqu'un y est-il allé dernièrement ? C'est juste n’importe quoi.

ADAMUS : Oui, et c'est un exemple de tout ce qui n'a tout simplement plus aucun sens, les points ne se connectant plus de la même manière (on n’arrive plus à faire le lien, à comprendre les choses).

ALICE : Absolument.

ADAMUS : Parce que tout change très vite. Et alors les gens, de par leur nature humaine, essaient de s'y adapter. Ils essaient de se dire : « Ok, hier c'était vraiment fou. Je devrais pouvoir m'en sortir aujourd'hui », et ils s'adaptent et s'adaptent encore, tout simplement. Mais en fin de compte, beaucoup d'entre eux pètent un câble. Ils ne peuvent tout simplement plus s'adapter.

ALICE : Oui, bien sûr. Nous voyons cela.

ADAMUS : Oui. D'accord.

ALICE : C’est impressionnant.

ADAMUS : Impressionnant. Un petit changement avec la question à présent. Au lieu du monde qui devient fou, c’est vous qui devenez fou. Alors, que remarquez-vous en vous qui devient fou ? Linda ? Oui. Terry ?

KERRI : (criant depuis l'autre pièce) Quoi ?! (rire)

ADAMUS : Terry !

TERRY : C'était Terry, pas Kerri.

ADAMUS : Oui (Adamus rit).

TERRY : Je remarque de la déception dans la façon dont – je ne sais pas trop comment dire cela – mais dans la façon dont mon corps réagit à la lumière et relâche ou libère toutes les merdes, dont je ne savais pas que j’en avais autant. Et alors les difficultés arrivent. Et soit vous paniquez, soit vous recevez.

ADAMUS : Et qu'avez-vous fait ?

TERRY : J’ai reçu.

ADAMUS : Bien. Bien. De quoi s'agit-il concernant votre corps?

TERRY : (pause) Une libération d'anciennes croyances.

ADAMUS : Il y a beaucoup de choses là-dedans. Je veux dire, si ça ne vous dérange pas que je m’engouffre là-dedans.

TERRY : Eh bien, allez-y.

ADAMUS : Il y a beaucoup de choses. Ce corps est un objet ou un corps étranger. Ce n'est pas vous en réalité. Vous savez, c'est juste un tas de biologie qui s'est aggloméré, et il fonctionne assez bien, la plupart du temps, et puis il meurt. Et ce corps n'est pas différent de si vous alliez vous infuser dans un arbre, ou dans la fontaine à eau là-bas ou dans n'importe quoi d'autre. C'est une biologie, ce n'est pas vous en réalité, ce n’est pas réellement vous, mais les humains s’y sont habitués depuis très longtemps. Ils s'identifient à leur corps et à leur biologie. Ce n'est pas vous. Vous pourriez tout aussi bien infuser votre conscience dans un robot. Vraiment. Vous l'avez infusée dans un robot nommé biologie, avec ses atomes et ses molécules et tout le reste qui ont été mixés ensemble, et ensuite vous vous êtes identifiés à lui. Vous pourriez infuser votre conscience dans une voiture et ensuite devenir une voiture vivante.

Et donc, ce qui se passe avec les problèmes en lien avec le corps actuellement, c'est que la lumière est en train de faire pression sur toute cette chose. Ce n'est pas votre corps, Terry. C'est une biologie qui s'est agglutinée, amalgamée, avec des particules qui tournent autour d’un noyau atomique, qui sont maintenues en cohésion d’ensemble grâce à la gravité, des électrons qui tournent, et il y a un grand degré de lumière ou de conscience là-dedans, mais ce n'est pas votre corps. Et vous êtes en train de subir cette pression dans votre corps actuellement, dans votre biologie.

Vous savez, je vous ai récemment parlé en vous disant que ce qui est réellement en train de se passer actuellement, c'est que cette lumière est en train de repousser l’obscurité, de la mettre dehors. D'une certaine manière, votre corps entre dans cette catégorie. Il contient beaucoup d'obscurité. Je veux dire, ce n'est pas vraiment vous. C'est ce fardeau que vous avez transporté de vie en vie en pensant que c'était vous. Ce n'est pas le cas. Et plutôt que de vous infuser dans un robot ou une automobile, vous n'avez aucun besoin d'être infusé. Vous êtes par essence un être de lumière, un corps de lumière. Vous n'avez pas besoin de vous infuser dans quoi que ce soit.

Maintenant, c'est là que ça devient amusant. Vous pouvez en quelque sorte jouer avec cela si vous voulez être un corps, si vous voulez être une voiture ou un robot ou un oiseau ou quoi que ce soit, peu importe. Mais la lumière est en train de faire pression sur toute cette chose. Et nombre d'entre vous ressentez des douleurs et vous vous dites : « J'en ai assez, j’en ai marre de ce corps physique ». Parfait! Il était temps, ce n’est pas trop tôt. Il est grand temps de vous dire : « Ceci n'est pas moi », puis de transcender cette ancienne pensée ou croyance qui vous dit que vous êtes coincé là-dedans et réaliser : « Je peux jouer avec ce corps à présent. Je peux prétendre que je suis biologique », ou robotique ou quoi que ce soit, et vous libérer de la prison de la biologie. Vous me disiez ne pas être en prison. Vous êtes emprisonnés dans votre corps et dans votre environnement, et ce n'est pas grave, c’est très bien ainsi, tant que vous vous en rendez compte et que vous réalisez à présent qu'il est temps d'aller au-delà de cela.

C'est le moment que vous avez attendu toute votre vie, et nous y sommes arrivés. C'est pour cela que je suis si sacrément enthousiaste, parce que nous y sommes arrivés. La plupart d'entre vous êtes en train de me regarder du style, "Qu'est-ce qu'il a aujourd'hui?" C’est mon gâteau d'anniversaire. J’ai mangé trop de gâteau d'anniversaire l'autre soir (Adamus rit). Merci Terry. Quelques-uns, deux autres personnes encore. Deux de plus. Quelle est la folie que vous êtes en train de traverser ?

SHAUMBRA 1 (femme) : J'ai remarqué que je ne suis plus aussi enthousiaste ou intéressée par les choses qui m'intéressaient auparavant. Comme s’il y avait juste une espèce de…

ADAMUS : Qu'est-ce qui vous enthousiasmait avant ?

SHAUMBRA 1 : Oh, j'adorais mon travail.

ADAMUS : Oh.

SHAUMBRA 1 : Et je ne le trouve plus aussi intéressant qu’avant.

ADAMUS : Quel genre de travail faites-vous ?

SHAUMBRA 1 : Je fais du coaching d'entreprises.

ADAMUS : Oh. Bien.

SHAUMBRA 1 : Oui.

ADAMUS : Pourquoi n'est-ce plus aussi intéressant qu’avant?

SHAUMBRA 1 : C'est juste, j’ai l’impression que c'est un peu toujours la même chose.

ADAMUS : Oui.

SHAUMBRA 1 : Oui.

ADAMUS : Et peut-être que c'est, peut-être – comment le dire gentiment ? Je ne vais pas le dire gentiment (quelques rires) – il est peut-être temps que vous vous débarrassiez de ces vieux trucs. Vous avez en quelque sorte appliqué beaucoup de bonne sagesse sur de mauvaises pratiques d’entreprises.

SHAUMBRA 1 : C'est vrai.

ADAMUS : Ou à essayer de vous adapter aux gens avec qui vous travaillez. Et puis vous vous rendez compte que ça ne marche pas vraiment.

SHAUMBRA 1 : Non.

ADAMUS : Vous n’êtes plus compatibles. Il est temps de vous libérer.

SHAUMBRA 1 : Oui.

ADAMUS : Et vous pourriez en vérité développer désormais une entreprise phénoménale d’évaluation énergétique des entreprises. Vous iriez évaluer une entreprise, son énergie – pas en faisant une évaluation de type MBA, mais de type métaphysique – mais on vous chasserait probablement de la ville.

SHAUMBRA 1 : Probablement (elle rit).

ADAMUS : Mais en fait, il y en a qui vous écouteraient à ce stade. Mais ce serait une évaluation énergétique, vous ressentiriez simplement les déséquilibres de l'entreprise et vous l’aideriez à se remettre d’aplomb. Oui.

SHAUMBRA 1 : Ce serait amusant.

ADAMUS : Oui. Pour quelle autre passion ne vous passionnez-vous plus ?

SHAUMBRA 1 : C'est surtout celle-ci. Oui.

ADAMUS : Oui. Quelles autres choses aimez-vous faire dans la vie ?

SHAUMBRA 1 : J'adore mes chiens. J'adore promener mes chiens.

ADAMUS : Oui.

SHAUMBRA 1 : J'habite près d'un magnifique parc. J'adore m'y promener. Oui.

ADAMUS : Comment se passe la relation entre vous et vos chiens ?

SHAUMBRA 1 : Elle est bonne.

ADAMUS : Oui.

SHAUMBRA 1 : Oui.

ADAMUS : Pourquoi ?

SHAUMBRA 1 : Parce que je les apprécie.

ADAMUS : Vos chiens, c’est vous (elle rit). Non, c’est vrai. Ce ne sont pas des êtres extérieurs. Les chiens sont des extensions de votre propre énergie. Ils sont simplement vous. Les chiens sont en fait un reflet étonnant de qui vous êtes. Et si vous êtes plutôt satisfait de vous-même, vous aurez une bonne relation avec votre chien. Et ils sont en permanence une source de dons, en train de donner.

SHAUMBRA 1 : Oui. Oui.

ADAMUS : Et alors vous le recevez, et sans vous sentir mal à ce sujet ou sans vous sentir, « Oh, vous savez, je ne peux pas toujours prendre à mes chiens ». Quoi? C'est juste vous qui vous donnez à vous-même.

SHAUMBRA 1 : Oui.

ADAMUS : Bien. Quel genre de chiens avez-vous ?

SHAUMBRA 1 : L'un est un Shih Tzu, et l'autre était supposée être une Shih Tzu, mais je pense que c'est probablement une Pékinoise. C’est un sauvetage.

ADAMUS : Que voulez-vous dire, en disant qu’elle était supposée être ? Oh, d'accord (elle rit). Elle était supposée l’être. D'accord, merci. Un de plus. Quelque chose de fou dans votre vie. Tout est en train de devenir fou, et c'est une bonne chose.

SHAUMBRA 2 (femme) : Oh, mon Dieu.

ADAMUS : C'est supposé l’être. Si ce n'était pas le cas, cela signifierait que toute cette histoire d’Apocalypse, de Croix du Ciel, aurait été une erreur. Et donc, le fait que le monde devienne fou est une bonne chose.

SHAUMBRA 2 : (riant) Suis-je folle ?

ADAMUS : Oui, eh bien, qu'est-ce qui est fou dans votre vie ? Avez-vous eu envie de hurler dernièrement ?

SHAUMBRA 2 : Je n'en ai pas seulement ressenti l’envie, je l’ai fait (ils rient).

ADAMUS : À propos de quoi ?

SHAUMBRA 2 : Des relations …

ADAMUS : Vous êtes supposée être ce Maître illuminé, hein, qui flotte (dans les airs).

SHAUMBRA 2 : Oui, je suis censée l'être.

ADAMUS : Vous êtes censée l'être (elle rit). Et alors vous vous sentez mal parce que : « Eh bien, je suis censée être illuminée. Je suis censée être réalisée, et pourtant j'ai envie de hurler. »

SHAUMBRA 2 : Exact.

ADAMUS : À propos de quoi ?

SHAUMBRA 2 : Des relations amoureuses.

ADAMUS : Les rela… oh, ça craint. Oui. Bon sang, nous pourrions en parler pendant longtemps. Alors, voulez-vous en partager avec nous les détails intimes et personnels ? (elle rit) Vos relations amoureuses, quoi, n’ont pas été ce que vous pensiez qu’elles seraient ? Et bla, bla, bla.

SHAUMBRA 2 : Eh bien, je crois que je le savais. Oui. Donc, il s’agit de recevoir ce que je sais que je dois faire. Mais il y a assurément un niveau de blessure douloureux et difficile pour moi.

ADAMUS : Tout à fait. Qu’est-ce qui est vraiment difficile là-dedans ?

SHAUMBRA 2 : Je ne sais pas. Juste …

ADAMUS : Aahhh !

SHAUMBRA 2 : Oh, attendez ! D'accord! Attendez! Attendez!

ADAMUS : D'accord. Séance de rattrapage.

SHAUMBRA 2 : Rembobinez !

ADAMUS : Séance de rattrapage.

SHAUMBRA 2 : Rembobinez ! (elle rit)

ADAMUS : Vous avez de la chance d'être près des toilettes (quelques rires). Et au passage, je dois faire une pause pour permettre aux gens…

SHAUMBRA 2 : J'y vais tout de suite ! (elle rit)

ADAMUS : … qui nous regardent en ligne et qui sont nouveaux (de comprendre). Nous n'utilisons pas cette phrase « je ne sais pas », parce qu’alors vous ne savez pas, et alors vous êtes stupide. Vous dites : « Je n'ai pas encore reçu… »

SHAUMBRA 2 : Cela fait partie de la folie ! Cela fait partie de ce qui est fou !

ADAMUS : "Je n'ai pas encore reçu la réponse." Vous ne dites jamais « je ne sais pas », parce qu'alors vous y croyez et ça devient « je ne sais pas ». Vous traversez la vie en étant un « je ne sais pas-eur » – « je ne sais pas » (dit d’un ton morne) – et c'est pathétique. Bon, quoi qu’il en soit, allez-y. Je voulais juste leur faire savoir (ce que cela signifiait). Les gens qui se disent : « Qu'est-ce qu’il y a de mal à dire : ‘Je ne sais pas’ ? Moi, je le dis tout le temps ». Pouah. Poursuivez.

SHAUMBRA 2 : Quelle était la question ? (rire)

ADAMUS : Je ne sais pas ! (Plus de rires) La question portait sur les relations amoureuses. Quel est le véritable problème ici?

SHAUMBRA 2 : Eh bien, c'est la peur de l'inconnu.

ADAMUS : Vous vous êtes beaucoup identifiée par le passé au fait de prendre soin des autres, de les entretenir et de vous donner à eux, et tout cela est en train de changer. Vous ne pouvez plus faire ça désormais. Désolé. Ça, ce n'est pas recevoir. Ça, c'est donner de votre personne en permanence, être un paillasson. Et vous devez apprendre que vous ne pouvez pas vous occuper du reste du monde, encore moins dans une relation amoureuse. Et puis la dynamique que vous aviez mise en place auparavant, c’était : « D'accord, je vais en quelque sorte être la personne qui prend soin de l’autre là. C’est moi qui vais vraiment maintenir le cap et la force vitale de notre relation. » Et brusquement, une part en vous se dit : « Je ne vais plus faire ça désormais », et votre partenaire réagit du style : « Quoiiiiiiii ?!” vous savez, “Qu'est-ce qui ne va pas chez toi? Tu sais, tu es vraiment une garce ces temps-ci. Tu ne t’occupes plus de moi, tu ne fais plus tout pour moi. » (elle rit) Et donc, n’est-ce pas, c'est parce que vous êtes en train de changer, et ça, c'est une bonne chose. Je veux dire, à moins que vous n'aimiez les relations comme ça.

SHAUMBRA 2 : Pas vraiment.

ADAMUS : Non. Non, pas vraiment. Les relations amoureuses sont vraiment très dures, difficiles. Et d'une manière générale, chez les Shaumbra, vous êtes dans la section « se faire maltraiter » de la relation. Vous pensez que vous devez tout faire dans cette relation, et cela doit changer. Ce n’est pas recevoir, ça. Le recevoir, c'est vraiment équilibré.

SHAUMBRA 2 : Oui, c'est comme recevoir de la merde.

ADAMUS : Recevoir de la merde. Exact (ils rient). Et donc, qu'allez vous faire à propos de cela?

SHAUMBRA 2 : La récolter et la faire sortir.

ADAMUS : Oui. Je vais vous donner un autre conseil là dans une minute, sur ce qu'il faut faire à ce sujet.

SHAUMBRA 2 : Merci. Merci.

ADAMUS : Les relations amoureuses doivent être l'un de vos plus gros problèmes, et je vais vous faire une déclaration. Cauldre va se mettre en colère contre moi, Linda et tout le monde, mais les relations amoureuses ne sont tout simplement pas – le type de vos anciennes relations, votre ancienne façon d’avoir des relations amoureuses – elles ne vous vont plus très bien désormais. Tout à fait, elles ne vous vont plus. Vous êtes tellement habitués à être dans cette espèce de relation où il y a un chef et un serviteur – vous -, mais cependant vous en tirez un avantage. Cela ne marchera plus avec la lumière. Pas du tout. Cela vous ferait du mal. Cela créerait beaucoup de folie dans votre propre cerveau. Vous vous demanderiez ce qui ne va pas chez vous et pourquoi les choses font mal et pourquoi vos relations vous font mal. Tout cela est en train d’être bousculé actuellement, parce que ce n'est pas vraiment en harmonie avec vous. Vous ne pouvez tout simplement pas continuer ainsi.

Et oui, c'est vraiment difficile dans une relation de se dire : « C’est fini entre nous ». Et ensuite vous passez par toute la culpabilité et "Qu'est-ce qui va m'arriver" et "Je ne retrouverai jamais personne" et bla bla. Et ensuite, votre partenaire chouine et se plaint à vous et essaie de vous récupérer. Vous savez, ça ne marchera pas entre vous à moins qu'il ou elle soit à un niveau compatible– un niveau compatible au vôtre – et ce n’est pas vous qui le ou la rendrez compatible d’ailleurs. Il ou elle doit être à la hauteur de cette occasion. En attendant, arrêtez de les surprotéger, de les dorloter. Arrêtez vraiment de recevoir leur merde. Vous en avez assez de cela, des vies entières passées à cela. À vous sacrifier dans des relations amoureuses et pour quoi ? Vous ne les aidez vraiment pas, et puis vous vous rendez malheureux.

Bien. C'est amusant, n'est-ce pas ? (rires) J'adore tellement ça. D'accord.

Et donc, c'est fou, fou – merci, nous en avons fini pour le moment (à Linda). C'est un monde fou, fou à l’extérieur, et il ne va pas devenir moins fou. Il va continuer à l’être, et j'aimerais que vous soyez ok avec ça, avec ce qui se passe sur la planète actuellement. Il y a en ce moment plus de changements, de transformations et de tout le reste que jamais auparavant. Les gens ne savent plus où trouver leurs points d'équilibre. Ils comptent sur certaines choses, qu'il s'agisse d'un parent, d'un conjoint, d'un travail, d'une façon de penser, d'un groupe auquel ils appartiennent. Ils y trouvaient leur équilibre dans le temps, mais cela n’est plus le cas désormais, parce que même ces choses-là sont en train de changer, de se transformer.

Et donc, le monde devient fou. Pour une partie d’entre eux, les gens en arrivent alors à prendre ces médicaments pour calmer leurs nerfs, et ça, c’est vraiment aller dans le mauvais sens. Certains d'entre eux vont simplement et en quelque sorte explorer l’obscurité qui réside en eux, ils vont explorer les bas-fonds de leur caverne intérieure. Ils ne peuvent plus y faire face (à ce monde fou), alors ils se retirent et se replient. Ce n'est pas comme ce que vous, vous faites – quand vous, vous allez en vous, c’est pour chercher des réponses – eux, ils cherchent une grotte, une caverne, afin de s’y retirer, de s’y replier. D'autres vont dans les extrêmes. Ils agissent. Ils trouvent des activités extrémistes, et souvent pas seulement en matière de politique ou quoi que ce soit, mais quelque chose de dramatique. Ils optent pour le drame, parce que le drame fait monter le niveau d'énergie et leur fait se rappeler qu'ils sont en vie.

Et donc, vous allez continuer à voir cela tout autour de vous et soyez ok avec ça. Soyez ok avec ça, acceptez-le. Et sachez en permanence que la raison pour laquelle tout cela se produit, la raison pour laquelle le monde devient fou, c'est parce que vous laissez pénétrer votre lumière (Adamus rit). C'est de votre faute (il rit à nouveau).

 

Changement Planétaire & Courage Humain

La planète est en train de traverser une incroyable transformation. Nous en avons parlé. Je n'ai pas besoin d'entrer dans les détails. Mais il s’agit en vérité, actuellement, de la naissance d'une nouvelle espèce humaine. C'est une période extraordinaire sur la planète. Et oui, il y a du chaos. Il y a beaucoup de peur actuellement. Il y a beaucoup de douleur, de souffrance – une douleur émotionnelle, une douleur physique - mais tout cela a à voir avec la lumière qui fait ressortir l’obscurité, les anciennes ténèbres de la planète. Et il était temps. Il était en fait plus que temps que cela se produise.

J'ai été assez clair avec vous tous sur votre rôle actuellement, et c'est d'amener cette lumière et de la laisser briller sur la planète. C’est cela qui fera la plus grande différence, plus que quoi que ce soit d’autre. Et oui, cette lumière même que vous rayonnez est en train de provoquer de nombreuses vagues, de nombreuses ondulations en surface, beaucoup de chaos, beaucoup de confusion. Mais elle permettra in fine un véritable changement pour la planète. Il s'agit en fin de compte pour la planète de devenir une planète de véritable conscience. On attendait cela depuis longtemps. On attendait cela depuis longtemps. Les humains se battent dans leur corps depuis longtemps. Ils se battent les uns contre les autres. Peu de choses ont vraiment changé, pas depuis longtemps, et à présent c'est le cas.

Ce qui résultera de tout ceci, et ce sera probablement le potentiel le plus élevé à présent après un processus de transformation ici-bas sur la planète, c'est que cette planète deviendra une planète de véritable conscience et de véritable amour. Et je sais, j'ai été moqué pour certaines de mes déclarations – pour beaucoup. J'avais fait une déclaration par le passé, et je ne comprends pas pourquoi les gens s’étaient fâchés, j’avais dit : "Cette planète est la planète où l'amour a été expérimenté pour la première fois." Je veux dire, c'était ça. C'est ici que vous êtes venus et que vous êtes tombés amoureux d'une autre personne, pour in fine apprendre à vous aimer vous-mêmes. Et il y a des gens qui en ont été très offensés, "Non, il existe des civilisations avancées qui - vous savez, c'est de là que provient l'amour." Ou cela, "Eh bien, non, Dieu est tout amour." Dieu n'était pas tout amour. Dieu n'était rien. Dieu était la conscience en attente d'expérience. Comment Dieu aurait-il su ce qu'était l'amour, ou même votre Je Suis, à moins que vous n’en fassiez l'expérience ? C'est ce truc ancien qui dit, Dieu n'a jamais vu un coucher de soleil tant que vous n’en avez pas vu un, vous, à travers vos yeux.

Et donc, les gens se sont offusqués quand j'ai dit : « Eh bien, cette planète est la planète de l'amour. C'est là que c'est arrivé pour la première fois. » C'est pour cela que parfois des extraterrestres viennent ici. Ils essaient de trouver où cet amour se situe en vous. Est-il dans vos orteils ? Est-il dans votre oreille ? Est-il dans votre cœur ? Où est l'amour? Et ils viennent ici et vous font des sondages anaux et ne trouvent rien. Et ils rentrent chez eux en se disant : « Oh, ça, c’était mal. Oh ! Mais je n'y ai pas trouvé l'amour, cependant. (Adamus rit) "Je cherchais l'amour aux mauvais endroits." (rires, Linda fait une grimace) Salut, Linda. Elle est là-bas. Ah, Oui, Oui.

C'est la même chose pour la conscience. Cette planète deviendra une planète de véritable conscience, de véritable lumière, qui affectera tout dans les autres royaumes, dans le reste de cet univers. Et c'est un assez grand univers. Mais cet univers est minuscule comparé à toutes les autres dimensions qui ne sont pas physiques. Et ce que vous faites ici en ce moment – je n'essaie pas de vous flatter, je n'essaie pas de vous effrayer non plus – mais ce que vous faites ici actuellement avec la conscience fait toute la différence. C'est le moment de l'émergence d'une nouvelle espèce humaine. Et je ne parle pas seulement en termes de biologie, mais aussi de mental et aussi de conscience.

Il y en a qui sont vraiment bouleversés quand je dis : « Non, les humains sont les plus grands, les plus grandioses de tous les êtres. Dans toutes les créations, les humains sont les plus grands. » Pourquoi sont-ils fâchés contre moi d’avoir dit ça ? Je me demande vraiment. Ils se mettent très en colère contre moi. Je sais pourquoi. Parce qu'ils veulent croire qu'il existe des civilisations avancées ailleurs. C'est leur espoir qu'il existe quelque chose de plus, de mieux que cette planète-ci (quelques rires). Je peux comprendre cela, dans une certaine mesure, mais ce n'est pas le cas !

Ceci dit, les humains font des choses stupides. Les humains font parfois des choses vraiment sombres. Souvent, les humains sont tout simplement perdus. Mais les humains sont toujours les plus grands, les plus grandioses de tous les êtres du fait de ce à quoi vous vous êtes soumis ici-bas. Vous vous êtes placés dans cet – dans ce temps, cet espace, cette gravité, cette densité, en oubliant qui vous êtes. Ils ne font pas ça ailleurs. Il n'y a pas l'extrême de ce que vous avez ici. Et si vous pouvez être ici, que vous pouvez vous infuser dans une réalité physique, dans un corps physique, en oubliant tout à cause de la densité de ce que vous avez autour de vous, vous méritez beaucoup de récompenses, de crédits et de reconnaissance.

Vous savez, les humains font des choses stupides parfois, oui. Mais vu les circonstances ? Sûrement pas. Sûrement pas. Et oui, les humains partent parfois dans de mauvaises directions. Mais si brusquement tous les voiles devaient être levés, toutes les limitations retirées, toutes les choses comme le karma et le péché et tout le reste, toutes ces choses physiques, mentales, psychologiques, si ces voiles leur étaient retirés, les humains ne feraient pas ce qu'ils font. Mais vu les circonstances, vu la pression intense (qui s’exerce sur eux), oui, ils font certaines choses.

Mais je soutiens que les humains sont les plus grands. Vu les circonstances, ils sont héroïques. Et je sais qu'il y a de vrais nazes à l’extérieur, mais dans l'ensemble, les humains sont héroïques. Et je mentionne cela parce que, tout d'abord, cette croyance qu'il doit exister une civilisation avancée ailleurs. Euh-euh. Il n'y en a vraiment pas. Malheureusement, peut-être, mais il n'en existe vraiment pas. Ce ne sont pas les Pléiadiens. Errrhh !(quelques rires) Je ne suis pas du tout fan des Pléiadiens. Je ferai une session un jour sur pourquoi je déteste les Pléiadiens. Oui, oui, oui. Ils ont fait plus pour interférer avec cette planète qu’aucun autre être. Ce sont des menteurs, des trompeurs et tout le reste. Je ne veux pas m'étendre là-dessus aujourd’hui. En fait, si, mais Cauldre ne me laissera pas faire (Adamus rit). Mais je veux que vous y réfléchissiez à présent. L'humanité est juste à ce tournant – nous sommes au tournant, nous n'y arrivons pas, nous y sommes – nous sommes à un tournant pour cette planète, et il a tout à voir avec deux éléments – la conscience et la technologie.

Dans le futur – et ce n'est pas de la science-fiction, c'est absolument en passe de se produire – avec la capacité, grâce à la conscience et à la technologie, avec la capacité de choses comme la nanotechnologie à créer des choses à partir du vide ou de rien ; la capacité avec la technologie de créer la vie sur d'autres planètes ; la capacité de la technologie et de l'IA à créer très rapidement des dispositifs d'assemblage, tout cela permettra vraiment à l'humanité d’explorer désormais très rapidement les royaumes de cet univers. Et quand vous irez là-bas, vous ne trouverez pas beaucoup d'autres formes de vie comme celle-ci, pas beaucoup d'autres intelligences. Et s'il y en avait et si elles étaient plus avancées que l'humanité, elles seraient déjà là depuis le temps.

L'humanité est actuellement sur le point de réaliser des avancées qui vous permettront de ne pas avoir besoin de monter dans une petite fusée et d’y passer une éternité avant de pouvoir vous rendre sur Mars, mais d'avoir d'autres méthodes pour le faire. S'il y avait une civilisation avancée qui soit même, disons, 100 ans plus avancée que la Terre, elle serait déjà là. C'est vous qui êtes en train de faire cela. Ceci dit, je suis sorti de mon sujet là, j’ai bien digressé, mais j'adore faire ça.

 

Recevoir

Actuellement, pour ce que vous êtes en train de faire en ce moment, la chose la plus importante pour vous, pour les Shaumbra, la chose la plus importante, c’est de comprendre comment recevoir. J'en parle depuis quelques mois. Nous en avons parlé en profondeur à Keahak. Et, vous savez, ça a l’air vraiment bien, "Oh, Oui, je vais tout simplement recevoir, et tous ces cadeaux vont s’écouler vers moi." Mais ensuite, vous réalisez la réalité de ce que c’est. C'est difficile, surtout quand on est très ancré dans cette situation de « travailler dur pour tout ». Quand vous devez pousser et faire pression et utiliser toute votre force et votre volonté, et que brusquement vous basculez, vous transformez cela en mode "Je reçois", en mode "Je n'ai plus à travailler pour ça désormais", et c'est vraiment cela que nous sommes en train de faire. C'est la chose la plus importante, et ce n'est rien sur quoi vous deviez travailler (Adamus rit). Vous vous dites : « Je vais travailler à recevoir », et ce faisant, vous ne faites que manquer votre cible.

Ce n'est pas une compétition de lutte, et il ne s'agit pas d'essayer d’être plus malin ou de surpasser quelque chose ou même vous-même. Il s’agit simplement de recevoir. C'est votre énergie là-bas à l’extérieur et tout autour de vous et ici-même. Pouvez-vous la recevoir à présent ? Cela signifie un changement total en tout, dans la façon dont l'humanité fonctionne, dans la conscience de masse, en vous. Vous avez même essayé de travailler à votre propre Réalisation : « Je vais étudier pour cela. Je ferai toutes ces disciplines et pratiques ». Jusqu'où cela vous a-t-il mené ? Pas très loin. Et donc, vous prenez une profonde respiration et réalisez qu'il s'agit de recevoir.

Recevoir quoi ? Tout. Toute chose. Sans plus faire d'effort. Sans plus faire pression, sans vous battre pour cela, mais en recevant totalement. C'est en fait la façon naturelle dont l'énergie circule et bouge, se déplace. Cela vous semblera non-naturel, parce que vous faites et avez toujours fait le contraire. Les gens, les humains font le contraire. Mais c'est ainsi que s’écoule la rivière. Vous recevez.

Vous le permettez dans votre être. Et tout à coup, vous réaliserez : « Je n'ai pas à prendre de décision concernant mon partenaire et quoi faire. Je n'ai pas à me stresser dans mon mental en me disant par exemple: 'Oh, maintenant je dois passer par ce processus de rupture et que devons-nous faire ?' » Vous recevez votre Soi. Vous recevez votre propre énergie, votre propre lumière, et toutes ces choses prendront soin d'elles-mêmes. Et cela semblera contre-intuitif et aller à l'encontre de ce que la plupart d'entre vous ont toujours fait. Il n’est pas nécessaire que vous en reveniez à l'ancienne façon humaine d'essayer de comprendre tout cela. Vous n'avez pas besoin de savoir quel sera votre prochain emploi. Vous n'avez pas besoin de savoir quelle sera votre prochaine relation amoureuse. Vous n'avez besoin de comprendre rien de tout cela. Vous commencez par recevoir et tout sera là.

Ce sera vraiment étrange, parce que vous n'y êtes pas habitués, et vous avez l'habitude de devoir survivre et de travailler dur pour avoir juste assez. C’est cela qui doit changer à présent. Cela doit changer, et j'aimerais utiliser ce Shoud du 5 août de l'année 2023 comme point de basculement pour cela.

Certains d'entre vous commenceront, quelle que soit la façon dont vous vouliez le qualifier, à le traverser, à vous ouvrir pour vraiment recevoir. D'autres parmi vous batailleront encore avec ça et m'appelleront, sur la ligne de mon service client tard dans la nuit, « Ça ne marche pas pour moi. Je travaille à recevoir. J'essaye." Oui, c'est cela le problème. Vous essayez. Vous n’êtes pas simplement en train de recevoir.

Recevoir est un flux naturel, un flux qui s’écoule ou circule de manière naturelle, et il ne s’agit pas de recevoir de la part d'un Dieu inconnu ou de conseils angéliques. Il s’agit de recevoir de Vous, de votre âme, de votre Je Suis. C'est la chose la plus importante que vous puissiez faire actuellement pour vous-même, et in fine pour la planète. Cette planète est encore enracinée, ancrée dans la souffrance, le dur labeur, le fait de devoir faire des efforts et devoir se battre, et cela doit cesser. Je veux dire, ce ne sont pas que des paroles. Tout cela doit cesser, parce qu'il y a trop de lumière désormais. Le 22 mars, vous avez ouvert la porte à la lumière, et elle est entrée. Et désormais, toutes ces autres choses, ces anciennes façons de faire, ne vont plus marcher.

Vous n'êtes pas très doués à recevoir, parce que vous donnez, donnez, donnez, et vous travaillez, travaillez, travaillez depuis longtemps. Et certains d'entre vous, je l’ai vu au cours du mois dernier, reçoivent de manière incrémentielle, un petit peu, mais ensuite vous arrêtez.

Je crois que le mois dernier, j'avais demandé à quelques-uns d'entre vous ici de vraiment se permettre de recevoir durant ce mois, de voir comment ça se passe. Et donc, Vince, je crois que vous étiez l'une de ces personnes, si je me souviens bien. Le micro à Vince, s'il vous plaît. Comment se passe votre recevoir ?

VINCE : C'est très difficile de recevoir quand vous êtes encore… (Linda lui tend le micro) Ok, c'est très difficile de recevoir quand vous tenez cette pagaie à deux mains.

ADAMUS : Oui. Oui tout à fait. Et vous avez une formation technique d'ingénieur?

VINCE : Oui.

ADAMUS : Oui. Vous êtes un gars intelligent?

VINCE : Peut-être.

ADAMUS : Il est très intelligent. Oui. Et donc, recevoir peut être un peu difficile, parce que vous vous mettez à analyser : « Comment est-ce que je reçois ? Quand est-ce que je reçois ? Existe-t-il un moment optimal ? Est-ce que c’est à cinq heures du matin ? »

VINCE : Non, je – si vous voulez bien m’excuser de vous interrompre…

ADAMUS : Bien sûr.

VINCE : … je pense que c'est parce que je suis un maniaque du contrôle.

ADAMUS : Eh bien, ok. J'y venais, mais… (ils rient) J’étais en train de tout mettre en place pour y arriver. Je ne voulais pas vous choquer tout d'un coup. Oui, et dans quelle mesure le contrôle va-t-il de paire avec la réception ?

VINCE : En rien du tout.

ADAMUS : Cela ne va pas de paire. Et à quoi cela ressemble d'abandonner le contrôle?

VINCE: Ehhh, à être perdu.

ADAMUS : Oui. C'est effrayant.

VINCE : Très effrayant.

ADAMUS : Oui. Mais comment ce contrôle fonctionne-t-il en réalité pour vous à long terme ?

VINCE: Eh bien, ça c'est aussi autre chose. Je deviens impatient.

ADAMUS : Exact ! Exact! Cela ajoute à cela.

VINCE : Alors, oui ! Je suis mon pire ennemi.

ADAMUS : Comment l'impatience et le recevoir…

VINCE : Oui.

ADAMUS : Non, en fait, vous pouvez prendre tout cela, vous pouvez prendre le contrôle et l'impatience et la frustration et les jeux intellectuels du mental et utiliser tout cela à présent pour recevoir. Vous pouvez canaliser cela pour recevoir. Oui, parce que vous réalisez que les jeux de contrôle auxquels vous avez joués étaient de petits jeux. Recevoir est un immense jeu de contrôle.

VINCE : Exact. Exact. Nous passons de l'humain au méta.

ADAMUS : C'est exact. C'est exact. Et même des choses comme l'impatience, vous pouvez canaliser cela en recevoir. Vous le pouvez à présent. Sans attendre. Vous ne voulez pas passer encore une autre année, ou deux, ou cinq, ou quoi que ce soit ainsi. C'est en fait maintenant le moment.

VINCE : Je ne veux même pas y passer une semaine de plus.

ADAMUS : Ok, bien. J'apprécie cela! Vous ne voulez pas y passer une semaine de plus, et vous ne devriez pas d’ailleurs. Actuellement, c'est dans l'air. Actuellement, il s'agit de laisser venir ce recevoir, de simplement le laisser venir en grand, un recevoir grand ouvert, un recevoir à fond, sans retenue, sans vous demander si vous le faites de la bonne façon. Vous ne faites que recevoir, putain. C'est tout. Et donc, canalisez tout cela, que ce soit la colère ou la peur ou le contrôle ou quoi que ce soit d’autre ; canalisez cela vers un recevoir complet, total. Bien.

VINCE : Merci.

ADAMUS : Merci. Et je crois qu’il y a aussi Kerri, pendant que vous vous mouchez, oui.

KERRI : Remettez le thème musical, Peter (Adamus rit).

ADAMUS : Comment se passe votre recevoir ?

KERRI : Je l'ai fait jusqu'à aujourd'hui.

ADAMUS : Ça, c'est vraiment tout à votre honneur...

KERRI : Et je vous fais bonne impression !

ADAMUS : … c’est remarquable. Oui. Vous êtes une source d'inspiration. Comment ça va, Kerri ?

KERRI : (elle fait une pause) Super ! (Adamus rit). Fabuleusement bien!

ADAMUS : Oui. Bien, bien. Je suis content que vous soyez…

KERRI : Je veux dire, n'est-ce pas le meilleur cadeau d'anniversaire, que de me voir ?

ADAMUS : Oui. Je suis …

KERRI : Pas vrai ?

ADAMUS : Tout à fait. J'ai juste attendu…

KERRI : C'est votre souhait.

ADAMUS : Arrêtons de dévier du sujet.

KERRI : D'accord. D'accord. Je suis sérieuse.

ADAMUS : Comment se passe votre recevoir ? Quel est le problème? Vous …

KERRI : Quel est mon problème ? !

ADAMUS : Quel est le problème ?

KERRI : Oh. Oh d'accord.

ADAMUS : Ne me demandez pas quel est mon problème. Vous n'aimerez pas la réponse.

KERRI : C'est quoi votre problème ?

ADAMUS : Pourquoi ne l'avez-vous pas fait, Kerri ?

KERRI : Fait quoi ?

ADAMUS : Recevoir.

KERRI : Ce n'était pas moi !

ADAMUS : C'était vous.

KERRI : Je vais vous renvoyer tous vos joyaux en plein visage.

ADAMUS : Donc, vous évitez intentionnellement de répondre à la question. Vous jouez un petit jeu là (elle soupire). Comment se passe votre recevoir ?

KERRI : (pause) Vous savez, je devrais aller aux toilettes maintenant.

ADAMUS : Ce serait bien.

KERRI : D'accord.

ADAMUS : Tirez la chasse d'eau quand vous aurez fini (elle commence à se diriger vers les toilettes).

KERRI : Vous pourrez me poser votre question quand je serai là-dedans. Allez-y (quelques rires). Le micro capte-t-il toujours là-bas ? (plus de rires)

ADAMUS : Voyez-vous comment parfois… (Adamus rit) Non, il y a une porte magique. Il ne capte pas quand vous fermez la porte.

KERRI : (elle ressort) Linda n'aime pas ça. Maintenant, soyons sérieux. D'accord.

ADAMUS : Oui. D'accord.

KERRI : D'accord.

ADAMUS : Recevoir. Comment ça se passe pour vous?

KERRI : Super.

ADAMUS : Qu'avez-vous reçu ?

KERRI : (pause) Des rêves étranges.

ADAMUS : De ?

KERRI : Eh bien, j'ai rêvé de Nazar, et il ressemblait à cette figure de Jésus-Christ, et tout était coloré et tropical. Et il m'a dit, il était comme assis et il avait des fidèles et tout était coloré.

ADAMUS : Est-ce que quelqu'un veut entendre cette histoire ? Ou est-ce que nous … (quelqu'un crie "Oui!")

KERRI : Oui, Oui. Et alors il...

ADAMUS : Non. Non, non (Adamus rit).

KERRI: Il m’a dit: "Tu es vraiment unique." Et j’ai réagi du style, "Euh!"

ADAMUS : D'accord.

KERRI : Non, non. J'étais comme, euh...

ADAMUS : Kerri, soyons (elle soupire) vrai à ce sujet.

KERRI : Je ne veux pas être...

ADAMUS : Bon, laissons de côté toutes les plaisanteries et tout. Vous êtes une combattante. Vous êtes une battante. Je veux dire, et ça vous a fait du bien, ça vous a rendu service la plupart du temps. Il va être vraiment difficile pour vous d’évoluer, de changer de direction en devenant une receveuse. Et vous allez en plaisanter, et vous allez, vous savez, jouer à des jeux à ce sujet. Mais votre Soi est en train de vous demander : « Kerri, n’en as-tu pas marre de ce vieux jeu ? N’en as-tu pas marre d'être une battante? »

KERRI : Oui.

ADAMUS : C’est vrai ?

KERRI : Ne devrions-nous pas regarder dans mon placard voir s'il y a toujours 800 épées dedans ?

ADAMUS : Mnh-mnh.

KERRI : Non.

ADAMUS : Non.

KERRI : Ok, j’en ai marre d'être une battante.

ADAMUS : Qu'est-ce que c'est ? C'est comme si vous étiez allergique au recevoir. Qu’est-ce que cela signifie? Je suis sérieux là.

KERRI : Je dois m'éponger le front. Oh! Eh bien, je veux dire, vous - d'accord. Je ne peux même pas – je ne sais pas ! (le public dit "Ooh!" et quelques rires) JE NE SAIS PAS ! (elle crie)

ADAMUS : Elle a un désir compulsif d'aller aux toilettes (plus de rires).

KERRI : Non, non. Vraiment.

ADAMUS : Kerri, écoutez mes paroles…

KERRI : Je vais vous dire ceci. J'essaye de ne pas me battre. Je veux dire, j'essaye vraiment, vraiment fort, et je me dis : « Va-t'en ! Ne dis rien !" Vous connaissez ces voix, et c'est du style, "D'accord, je peux tout simplement être cette fille hippie à présent, et je serai une new age et je voguerai avec le courant. Personne ne provoquera plus jamais rien en moi. Je ne veux plus me battre ». Personne ne croit cela.

ADAMUS : Non, mais Kerri…

KERRI : D'accord. (elle chuchote) Dieu, suis-je si... Jésus-Christ...

ADAMUS : Vous êtes tellement habituée à obtenir ce dont vous avez besoin et ce que vous voulez dans la vie en vous battant pour cela, et vous êtes une bonne combattante. Je veux dire, si je devais avoir une équipe de combattants, vous en feriez certainement partie. Non, vous êtes vraiment, vraiment douée pour ça, et vous le faites avec un certain style et une certaine classe, et vous êtes une dure à cuire. Mais pour vous et pour les gens comme vous – vous êtes un stéréotype de certains Shaumbra – vous allez passer un moment vraiment difficile avec ça.

KERRI : Je passe déjà un moment difficile avec ça ! (ils rient)

ADAMUS : Je sais. Je sais.

KERRI : Qu'y a-t-il de si drôle ? Ha, ha.

ADAMUS : Il s'agit d'être capable de laisser tomber tout ça.

KERRI : D'accord.

ADAMUS : Et de réaliser que la seule chose à laquelle vous serez confrontée alors, c'est vous-même, votre propre énergie. Quand vous laisserez tomber cette garde, personne n’en profitera pour venir vous prendre des trucs ou vous faire chier. Vous serez confrontée à votre propre énergie et à votre propre soi. Mais ça c'est une bonne chose. Et ensuite, Kerri, au lieu de devoir vous battre pour obtenir certaines choses, au lieu de vous lancer dans ces combats de rue ou de bureau ou quoi que ce soit du genre…

KERRI: Du style, je pourrais participer à des combats de rue. Mais ok.

ADAMUS : Mais c’est ce que vous faites. Tout à fait. Soudain, vous réaliserez : « Oh, mon dieu. C'est si facile. Cela s’écoule tout simplement, et cela a été totalement préconçu, prédéfini pour moi. Je n'ai pas eu besoin de penser à tout ça. Cela a été prédéfini par mon Soi, mon âme, mon Maître humain, et c'est tellement approprié, putain ». Mais vous ne pourrez pas y arriver en vous battant, et…

KERRI : D'accord. Et vous me dites que je jette mon épée dans le feu et que j'en ai 800 dans le placard, et moi je me dis : « Oh ! Je ferais mieux de jeter à nouveau mon épée. Je ne veux plus être une battante. Je ne veux pas me battre. » C'est de la folie. Aucun merabh - et maintenant vous me dites : "Vous allez vous confronter à vous-même." Eh bien, quel super futur, putain. Merci. Je ne sais pas comment changer cela. J'ai fait ça. Je ne veux pas qu'il en soit ainsi. Et surtout, je ne veux pas que vous m’engueuliez ! Je ne veux pas que vous m’engueuliez!

ADAMUS : En fait, si. Mais ça, c'est une autre histoire.

KERRI : Non, pas du tout. J'ai de la sueur qui coule dans mon dos là.

ADAMUS : Je sais.

KERRI : Je dois m'essuyer le front.

ADAMUS : Ok, Kerri, prenez une profonde respiration (elle soupire profondément). C'est vraiment facile. C'est vraiment facile, mais vous allez vous sentir vulnérable, d'accord, à juste recevoir et permettre. Vous avez l'habitude de travailler et de vous battre et de lutter. Vous allez vous sentir vulnérable, mais ensuite vous vous sentirez vraiment bien.

KERRI : Eh bien, merci.

ADAMUS : Et vous allez me dire : « Où… »

KERRI : Vous me dites ce que j'ai entendu toute ma vie !

ADAMUS : "Où étiez-vous durant toute ma vie ?" Exact.

KERRI : Merci.

ADAMUS : D'accord.

KERRI : C'est ce que j'ai toujours entendu avec très peu de solutions. Ok. Pas de problème. J'ai compris!

ADAMUS : Ok.

KERRI : J'ai compris.

ADAMUS : Merci, ma chère. Elle adore ça, et moi. Vous m'aimez, pas vrai ?

KERRI : (de l'autre pièce) Plus maintenant ! (quelques rires)

ADAMUS : Ok (Adamus rit). On dirait une femme avec son mari (le public dit "Ooh!").

Bien, au suivant. Tad. Tad, Tad, Tad. Tad, nous avions parlé le mois dernier de ce que, en quelque sorte - vous et Kerri, vous savez. Oui, montez sur scène. Montez ici. Venez ici (quelques applaudissements et rires, alors que Tad arrive vêtue d'un costume de boxe). Alors, j'ai interpelé… (Linda essaie de lui donner le micro, qu’elle a du mal à tenir avec ses gants de boxe).

TAD : C'est parti.

ADAMUS : Donc, je vous ai interpelée le mois dernier.

TAD : Je ne peux pas boxer et parler avec ça dans…

ADAMUS : Attendez, permettez-moi d'être un gentleman là.

TAD : Merci. Merci.

ADAMUS : Je vous ai interpelée le mois dernier.

TAD : Tout à fait.

ADAMUS : Et je vous ai dit : "Vous savez, vous êtes une battante." (il chuchote) Un peu comme Kerri. Vous êtes une battante, et vous avez l'habitude de faire bouger les choses, de faire qu’elles se produisent dans votre vie en revêtant, en enfilant votre tenue de boxe. Oui. Et n’est-ce pas, cela vous a servi. Chacun d'entre vous qui écoutez ceci a déjà eu ce désir, et chacun d'entre vous l'a aussi, vous allez vous battre pour quelque chose. Et le fait de se battre peut être aussi évident que cela (la boxe). Mais il y a aussi d'autres façons de se battre et de combattre pour obtenir des choses. Ça ne marchera plus désormais. Vraiment plus. Vous avez beaucoup trop de lumière. Même si vous vouliez revenir à cela, vous ne pourriez vraiment pas. Et le cas échéant, vous seriez KO dès le milieu (du round). Alors, il est temps de laisser tomber cela. Et je dois vous demander, êtes-vous prête à arrêter les combats et la lutte ?

TAD : Oui, tout à fait.

ADAMUS : Dites-vous simplement cela pour le public qui regarde ?

TAD : J'ai arrêté. C'est un processus engagé dans mon cœur, dans ma conscience, dans ma conscience. Je ne peux pas conduire avec ça - c'est dur de conduire une voiture avec une merde comme ça dans les mains (Adamus rit). Vous savez, c’est difficile de faire quoi que ce soit avec ça.

ADAMUS : Oui.

TAD : Je ne peux même pas me curer le nez. Je veux dire, n’est-ce pas, c’est du style, non. Oui j'ai arrêté. Tout à fait, et j'ai arrêté et j’arrête.

ADAMUS : Alors, êtes-vous vraiment, véritablement - je veux dire, ici devant tous les Shaumbra et tout le monde, et surtout Gary - où est Gary ? Gary ? Il se cache dans les toilettes (quelques rires). Oui, avec Kerri. Êtes-vous vraiment prête ? Et je suis - nous sommes sur scène et tout - mais je suis vraiment sérieux.

TAD : Je suis vraiment sérieuse moi aussi.

ADAMUS : Mais je vous regarde et je me demande : « Comment va-t-elle faire ça ? Comment va-t-elle passer au mode recevoir alors qu'elle est si habituée au mode combattre ? » Et vous avez cette entreprise commerciale que vous avez, et vous y faites votre chemin à la sueur de votre front pour y arriver. Vous y faites votre chemin avec vos muscles et votre entêtement. Qu'allez-vous faire de tout cela? Vous savez que ces choses ne viennent pas facilement, n’est-ce pas.

TAD : Veut-il connaître la réponse ?

ADAMUS : Ces choses ne viennent pas facilement. Se lancer en affaires et essayer de mettre votre produit en rayon, et vous devez travailler dur pour cela. Vous devez vous battre pour ça, non ?

TAD : Mm hum.

ADAMUS : Alors peut-être que pour tout le reste de votre vie, sauf cela, vous pourrez recevoir. Mais ça, vous devez continuer à y travailler.

TAD : Non.

ADAMUS : Vous y avez beaucoup investi.

TAD : Oui.

ADAMUS : Oui.

TAD : J'ai beaucoup investi là-dedans.

ADAMUS : Alors, vous allez simplement laisser tomber tout cela ?

TAD : D'une certaine manière, oui. Non!

ADAMUS : Oui. Non.

TAD : Oui, je l'ai laissé tomber...

ADAMUS : Voyez-vous ce qui se passe là ? (quelques rires) Je lui ai demandé trois fois. La première fois, ça a été un "Oui". La deuxième fois, un "Euh, je suis pas trop sûre." La troisième fois, un "Oui, non."

TAD : Vous voulez ma réponse ?

ADAMUS : D'accord. Je veux que vous preniez d'abord une profonde respiration (plus de rires). J'adore avoir le micro. D'accord. Êtes-vous prête à ranger vos gants ? À les raccrocher ?

TAD : Oui, je…

ADAMUS : Oh, arrêtez ! Oh super. Oh super. Je pensais que vous alliez trouver une justification à cela.

TAD : Non.

ADAMUS : Essayons à nouveau. Êtes-vous prête à raccrocher les gants, à enlever l'uniforme, à arrêter les combats et à simplement recevoir ?

TAD : Oui.

ADAMUS : Bien. Merci. Gary, voudriez-vous mettre ça ici ? Oui. Il ne va pas vous faire de mal avec ça (Adamus rit alors que Gary apporte un porte-manteau sur scène et tend un petit carton sur lequel est écrit quelque chose à Adamus). C'est le moment de raccrocher symboliquement les gants, d'accord ? Vous devez les enlever vous-même.

TAD : Oh, oui.

ADAMUS : Oui.

TAD : Ah. Bon, ça… d'accord (elle enlève ses gants). D'accord. J’ai enlevé mes gants.

ADAMUS : Bien (acclamations et applaudissements du public). D'accord. Oui, raccrochez-les. Et l’habit (elle enlève son habit et quelqu'un crie "À poil"). Et le short de boxe (rires).

TAD : Le short ?

ADAMUS : (riant) Ok. On m'a demandé de lire ceci. "Mesdames et messieurs, camarade Shaumbra, Tad Tandler, figure emblématique du pouvoir, raccroche ses gants, échange la pensée positive et le pouvoir contre le permettre et le recevoir." (applaudissements du public). Je vais ramener ça au Club des Maîtres Ascensionnés ce soir. D'accord. Merci très chère.

TAD : Merci.

ADAMUS : Merci. Ok. Linda, le micro.

C'était juste une petite façon d'illustrer notre propos. Ceci est le plus grand changement fondamental. C'est le ALT, le ALT primordial : le fait de passer du combat, de devoir boxer, utiliser le pouvoir pour se frayer un chemin à travers les choses, à commencer à tout simplement recevoir. Et vous allez vous sentir vulnérables, et ensuite votre mental va se demander : « Qu'est-ce que je suis en train de faire ? Est-ce que je ne suis pas simplement en train de m’ouvrir totalement, de me rendre totalement accessible et sans aucun système de défense ? » Oui .

Il est temps que, en commençant par les Shaumbra sur cette planète, nous changions de paradigme, et cela suppose aussi de s'éloigner de la souffrance. Quand vous vous battez, vous souffrez aussi, et cela s'applique à toute chose. Pas seulement la façon dont vous vous comportez avec les autres personnes dans votre vie ou la façon dont vous obtenez des choses; mais tout ce truc avec la boxe et le combat, cela concerne aussi votre corps. Cela concerne vos pensées. C'est pour cela que vous faites ça. Vous vous battez avec votre propre mental. Vous vous dites, "Je dois penser positif." Mais ensuite, vous avez des pensées négatives, et tout cela se heurte, entre en confrontation, s’affronte. Raccrochez les gants et laissez tomber. Allons à ce point du véritable recevoir. C'est le chemin naturel.

Prenons une bonne respiration profonde.

 

C'est dans l'air

Je voudrais faire une demande spéciale à l’équipe en background. J'aimerais qu’on rejoue la vidéo musicale que l’on a eue en ouverture. Je sais que Cauldre est en train de se disputer avec moi, « Tu n’es pas autorisé à faire cela », mais – hein ! – vous avez ma bénédiction. Si quelqu'un vous le demande, dites-lui que St. Germain vous a dit que c’était ok, qu’il vous a donné son accord. Prenez juste un instant là, et nous allons commencer.

Je veux que vous ressentiez cela. Il y a quelque chose dans l'air, et c'est absolument vrai. Et il est temps que certains d'entre vous, même un petit pourcentage d'entre vous, vous libériez. Le reste d'entre vous pourra alors le faire aussi. Se libérer de l'ancien paradigme, de l'ancienne façon de devoir faire des efforts pour tout et de devoir comprendre et planifier et travailler dur et souffrir. Il est temps que tout cela s’arrête, se termine.

Ce moment de changement complet, de passage à une véritable conscience, c’est ce que vous avez attendu toute votre vie. Remettons la vidéo et éteignons les lumières.

(le clip vidéo est joué à nouveau, In the Air Tonight de Phil Collins)

Je peux le sentir venir dans l'air ce soir, oh seigneur
Eh bien, j'ai attendu ce moment toute ma vie, oh seigneur
Peux-tu le sentir venir dans l'air ce soir, oh seigneur, oh seigneur

Eh bien, si tu me disais que tu étais en train de te noyer,
je ne te donnerais pas un coup de main
J'ai vu ton visage mon ami
Mais je ne sais pas si toi, tu sais qui je suis

Eh bien, j'étais là et j'ai vu ce que tu as fait
Je l'ai vu de mes propres yeux
Alors tu peux effacer ce sourire, je sais où tu étais
Tout n'était qu'un tas de mensonges

Et je peux le sentir venir dans l'air ce soir, oh seigneur
Eh bien, j'ai attendu ce moment toute ma vie, oh seigneur
je peux le sentir venir dans l'air ce soir, oh seigneur
Eh bien, j'ai attendu ce moment toute ma vie, oh seigneur, oh seigneur

Eh bien, je me souviens
je me souviens ne t'inquiète pas
Comment pourrais-je jamais oublier ?
C'est la première fois et la dernière fois que nous nous rencontrons

Mais je connais la raison pour laquelle tu gardes le silence
Non, tu ne me trompes pas
Parce que la blessure ne se voit pas, mais la douleur grandit toujours
Elle ne t'est pas étrangère, ni à toi ni à moi

Je peux le sentir venir dans l'air ce soir, oh seigneur
j'ai attendu ce moment toute ma vie, oh seigneur
je peux le sentir venir dans l'air ce soir, oh seigneur
j'ai attendu ce moment toute ma vie , oh seigneur, oh seigneur

Je peux le sentir venir dans l'air ce soir, oh seigneur
j'ai attendu ce moment toute ma vie, oh seigneur, oh seigneur

Je peux le sentir venir dans l'air
Je peux le sentir venir dans l'air

J'ai attendu ce moment toute ma vie
J'ai attendu ce moment toute ma vie
Ma vie

Et donc, en effet, vous avez attendu ce moment toute votre vie. Ce moment où nous transcendons l'ancienne manière de faire les choses en souffrant, en luttant. Ce n’est plus plus nécessaire.

Il est temps de recevoir, et il s’agit de recevoir votre Soi. Il s’agit de recevoir le Je Suis, votre propre lumière dans votre propre être. Vous n'avez pas à réfléchir à cela. Vous ne devez pas y penser – je veux dire, vous ne devez pas devenir mental – vous prenez une profonde respiration, et vous réalisez que c'est maintenant ce moment. Il est dans l'air.

Vous l'attendiez, et à présent il est là. Tout ce que vous avez à faire, c’est de le permettre et de le recevoir.

Cela deviendra une tout autre façon de vivre, différente. Cela deviendra un tout autre mode de conscience incarné sur cette planète, différent. C'est cela, sur quoi vous avez travaillé si dur, mais désormais arrêtons le travail et permettons tout simplement.

Sur ce, nous allons mettre de la musique et commencer à recevoir.

Prenons une profonde respiration tous ensemble.

 

Merabh du Recevoir

(la musique commence)

Au passage, dans le clip vidéo, il ne s’agissait pas d’une petite chose douce et tranquille. C'était intense. Il y avait une passion là-dedans. Je vous ai parlé juste avant de prendre cette colère, cette envie d’y arriver à coup de poing, cette envie que cela arrive immédiatement, l'impatience, la frustration. Canalisez tout cela à présent vers le recevoir.

Et c'est en fait une bonne chose que vous en arriviez au point d'en avoir tout simplement marre. De n’avoir plus aucune tolérance, de ne plus pouvoir le supporter, et de juste vous dire "Quelque chose doit changer". Profitons de cette occasion à présent pour que cela change (une sonnerie de téléphone portable retentit).

Et s'il vous plaît, que celui qui possède ce téléphone portable, parte. Qu’il quitte non seulement la pièce, mais le bâtiment. S'il vous plaît. Immédiatement, Bonnie. Bye Bye. Vous ne perturberez pas mon merabh avec vos téléphones portables. Partez.

Ceci est quelque chose de sérieux. C'est ce que vous attendiez. Je ne vais pas le laisser être interrompu par le téléphone portable de quelqu'un. Il y a suffisamment de distractions. Il y a suffisamment de choses qui essaieront de vous éloigner de votre Soi. Ça, je ne le tolérerai pas.

Nous en arrivons à ce point épique. Certains d'entre vous vont - (Adamus soupire) – se libérer, permettre et recevoir.

Certains d'entre vous vont encore lutter avec cela. Mais sachez que cela va arriver. Sachez que nous faisons cela ensemble en tant que collectif d'êtres qui se connaissent depuis très, très longtemps.

Nous allons inverser l’ancien mode d’utilisation de l’énergie et de la lumière sur cette planète, pour aller dans le recevoir.

Vous ne travaillez pas à recevoir. Vous ne l'analysez pas. Vous le permettez simplement.

(pause)

C'est tout. Si vous vous retrouvez à lutter ou à stresser ou si vous vous demandez si cela marche, prenez simplement une profonde respiration et recevez.

Recevoir quoi ? Il s’agit de vous. Il s’agit de votre énergie. Il s’agit de la chose même que vous avez toujours voulue, vous reconnecter à votre âme.

Maintenant, permettez-vous simplement de recevoir.

(pause plus longue)

C’est comme si vous étiez musicien. Vous voulez vraiment créer une super pièce, une super composition. Mais dans l’ancien temps, vous seriez allés chercher des interprètes, des musiciens qui auraient fait les cordes, les cors et les percussions, toutes les différentes personnes nécessaires à un orchestre. Et vous auriez passé beaucoup de temps à essayer de trouver les bonnes personnes, à répéter et à pratiquer, à essayer de trouver une salle où vous auriez pu faire tout cela, à faire face à tous les problèmes avec le violon de quelqu'un qui n’aurait pas fonctionné correctement et quelqu'un qui serait tombé malade et …

Tout ça, c'est l'ancienne façon de faire les choses. Désormais, c’est vous le chef d'orchestre.

Désormais, vous recevez tout simplement l'orchestre.

Cela semble un peu bizarre parce que vous êtes habitués à faire les choses autrement, à travailler dur pour cela.

Désormais, vous recevez tout simplement, et soudain, sans même avoir à planifier ou quoi que ce soit, sans être obligés de faire cela, les musiciens commencent tout simplement à apparaître.

Avec des instruments bien réglés, ils se mettent à apparaître. Ils commencent à se présenter avec leurs tambours, avec leurs claviers, avec leurs cuivres.

Ils commencent tout simplement à se présenter, et cela ne leur demande même aucune pratique, aucun entrainement. Ils trouvent leurs places. Vous vous retrouvez dans le rôle du chef d'orchestre et du créateur.

Et alors la musique commence. Sans effort, magnifiquement.

Vous vous demandez s'il est possible d’éviter tout ce dur labeur, toute cette planification et cette organisation, tout le travail à faire pour tous les petits détails ? Est-ce vraiment possible ? Serez-vous même considéré comme un compositeur et chef d'orchestre digne de ce nom si vous ne passez pas par tout cela ?

Une fois que vous commencez à entendre cette musique jouer, vous réalisez que c'est cela la façon de le faire. Laissez-le venir à vous. Vous n'avez pas à y travailler.

Ce qui se passe en réalité, c'est que vous êtes en harmonie avec votre propre âme. Tout vient simplement à vous. C'est juste là.

Et vous vous rendez compte à quel point l'ancienne méthode était laborieuse. Combien de souffrance, combien de temps et d'efforts étaient nécessaires. Et même alors, ça ne sonnait pas si bien par le passé, en le faisant à l'ancienne. Mais à présent, en recevant, cela vient à vous.

La musique est plus douce que vous n'auriez jamais pu imaginer. Il y a tellement de facilité, d’aisance dans toute cette création.

Pourquoi? Parce que la collaboration se passe entre vous, votre lumière, votre âme.

Chaque joueur, chaque musicien qui est dans l'orchestre, c’est en fait vous. C'est en fait vous. Pas étonnant que ce soit si parfait.

(pause)

Tous en harmonie les uns avec les autres. Tous créent ensemble. C'est cela recevoir. C'est cela être dans le courant, dans le flux, dans la fluidité.

(pause)

Nous sommes en train de faire un grand changement là, mais il a mis du temps à venir. C'est un grand changement, une grande évolution, et aussi merveilleux soit-il, il y aura encore des défis, parce que vous avez l'habitude de le faire à l'ancienne. Vous allez repartir sur ce chemin.

Tad, vous allez revenir en arrière et essayer de reprendre vos gants, et je vais vous arrêter. Kerri, vous allez essayer de danser autour de moi, de tourner autour du pot, sans répondre à la véritable question. Mais je vais vous immobiliser, jusqu'à ce que vous commenciez à recevoir, jusqu'à ce que vous commenciez à vivre ici en tant que Maîtres incarnés, dans la joie et l'aisance.

Cela nécessite effectivement d'abandonner certaines de vos anciennes façons de faire les choses.

Comme je vous l'ai dit, en recevant, vous participez activement à votre propre création. Mais vous n'avez plus besoin de faire toute cette planification, d’utiliser cette pensée positive et d’espérer, puis d'être déçu que cela ne fonctionne pas.

Ce sera juste là pour vous. Et parfois, vous ne l'aurez même pas demandé. Parfois, vous ne saurez même pas ce qu'il y a là, mais vous commencerez à en réaliser la beauté et la perfection.

Vous n'avez pas besoin d'interpeler votre âme et de lui dire ce dont vous avez besoin. Elle le sait déjà mieux que vous. Alors maintenant, c’est en vérité juste le moment de recevoir cela.

Ne dites pas à votre âme quel est votre emploi du temps et tous les petits détails. Le cas échéant, vous seriez de retour dans l'ancienne façon de faire les choses, l'ancienne façon de travailler dur, de faire des efforts, de contrôler. Arrêtez cela et recevez tout simplement.

(pause)

Ce que vous êtes en train de faire ici aura certainement des conséquences sur votre vie, mais vous découvrirez également que cela ira loin et atteindra jusque vos rêves.

Je serai très curieux de voir ce qu’il adviendra de ce travail qu'Olivia fait avec « A Thousand Dreams », comment cela se reflètera dans les rêves. Voyez-vous, une partie de vos rêves - vos rêves, ils travaillent dur. Oh! Ce ne sont que des représentations dans les royaumes non physiques de vous qui travaillez dur, luttez, vous battez, fuyez, poursuivez.

Que se passera-t-il lorsque vous arrêterez tout cela et que vous recevrez tout simplement ?

Que se passera-t-il dans vos rêves ? Que se passera-t-il dans vos vies antérieures ? Et que se passerait-il si elles participaient elles aussi à tout ce processus de recevoir ? Un indice : elles y seront obligées.

Que se passera-t-il quand elles cesseront de se battre et de souffrir ?

Prenez une profonde respiration et s'il vous plaît, recevez votre Soi à présent. C'est si simple.

Cauldre m'a demandé l'autre jour : « Alors, quelle est la différence avec quelqu'un qui est juste assis sur le canapé à jouer à des jeux vidéo toute la journée ? Ne fait-il pas que recevoir ? » Versus vous qui recevez vraiment. Il y a une grande différence.

Cette personne (qui joue à des jeux vidéo devant son écran) n’est pas vraiment dans cette réalité. Elle est dans une forme d'évasion. Elle est dans une forme de perte de temps en réalité, c’est juste ça. Et même dans les jeux vidéo auxquels les gens jouent toute la journée, que font-ils ? Ils se battent, se combattent ou s’éprouvent à l'extrême.

(Recevoir)Cela ne signifie pas que vous restiez assis à jouer à des jeux vidéo toute la journée. Cela signifie que vous participez désormais à ce qui vient à vous.

Quand tous les membres du groupe se présentent, quand tous les membres de l'orchestre se présentent, vous devez faire quelque chose. Vous voulez faire quelque chose avec eux – créer de la musique, danser, quoi que ce soit.

Oui, il s'agit toujours d'être activement impliqué dans votre propre création, mais désormais vous n'avez plus besoin de lutter avec elle ou de faire pression, de vous épuiser. Désormais, vous dansez et vous glissez simplement là-dedans.

C'est cela la différence. Cela ne signifie pas simplement rester assis à être une limace toute la journée. Cela signifie à présent que ce qui vient à vous, vous créez avec. Vous en faites l'expérience et vous vous exprimez avec.

C'est vraiment celui-là le plus immense de tous les changements de conscience.

C'est une chose d'amener cette lumière depuis les autres royaumes, mais à présent de l'utiliser pour cette espèce de changement. C'est le… (Adamus rit) Cauldre me défie toujours quand je fais des déclarations fortes, mais ce n'est pas nécessairement une déclaration forte. C'est la vérité absolue que vous êtes actuellement en train de traverser ce changement, cette évolution extraordinaire, et au bout du compte, cela affectera beaucoup d'autres personnes.

Alors prenez une bonne respiration profonde et recevez votre Soi.

(pause plus longue)

C'est le moment que vous attendiez, en ce moment.

(pause plus longue)

C'est le moment où votre âme même, votre corps de lumière ou votre essence peut désormais venir à vous.

Vous n’avez plus la résistance ou la pensée que vous devez vous battre pour cela ou le gagner. C'est juste là.

(pause)

S’il vous plait, veuillez garder trace de ce moment, de l’époque où vous avez su que vous étiez prêt.

(pause)

Prenons une profonde respiration et recevons simplement la bonté et la grâce de votre Soi.

(pause)

Je pense que vous saviez tous que quelque chose n'allait pas, que quelque chose se préparait, que quelque chose allait arriver. Vous vous demandiez ce que c'était, ce qui allait provoquer ce changement ou cette évolution. C’est de cela qu’il s'agit.

Prenons une profonde respiration tous ensemble. Une bonne respiration profonde.

N'est-ce pas amusant? Vous êtes ici et recevez maintenant, je peux ressentir chez beaucoup d'entre vous que vous voulez en faire quelque chose. Vous voulez le gérer ou lui dire quoi faire. C'est du style - ehhh !

D'accord. Prenons une bonne respiration profonde. Laissez cela tout simplement. Bien.

Et donc, sur ce, merci encore pour les voeux d'anniversaire. Je suis sur le point de remonter au Club des Maîtres Ascensionnés avec ce petit mot de Tad sur le fait de raccrocher ses gants.

Alors, sur ce, rappelez-vous que tout va bien dans toute la création. Merci (applaudissements du public).