LES MATÉRIAUX DU CRIMSON CIRCLE

L’Art du Banc

SHOUD 11 – ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle, le 6 août 2022
www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

Je dois admettre que je m’habitue de plus en plus à votre musique sur Terre. Hm (quelques rires). Je commence à – peut-être que je deviens sénile du fait de mon âge, mon très vieil âge – mais je commence en fait à aimer certaines choses que vous faites ici, et ce n’est même pas de la musique classique (en référence à la vidéo qui vient d’être jouée).

LINDA: Hé! Hé!

ADAMUS: Oui, chère Linda.

LINDA: Hé! Nous avons votre café et d’autres choses.

KERRI: (arrivant avec un gâteau, en chantant « Joyeux anniversaire ») Joyeux anniversaire ...

ADAMUS: Oh! Boudiou!

KERRI: (le public la rejoint). Joyeux anniversaire. Joyeux anni- ... (Adamus tend la main pour prendre du gâteau) Je vais le tenir. Je viens de ...

ADAMUS: Oh (le public continue « ... Joyeux anniversaire à Adamus » et elle lui tend son café).

KERRI ET LE PUBLIC: Joyeux anniversaire ! (acclamations et applaudissements du public)

ADAMUS : Merci.

LINDA: Allez-y!

ADAMUS : Merci.

LINDA: Soufflez! (Adamus souffle sur la bougie et le public applaudit)

ADAMUS: Comme je le disais à l’instant, je commence à vraiment apprécier votre musique sur Terre, mais ensuite vous vous êtes mis à chanter (rires). Je devrais peut-être revoir ce que j’ai dit. C’était un peu disharmonieux. Un peu disharmonieux. Je veux dire, que diriez-vous de vous entrainer un peu à l’avance, de faire une petite répétition, pour harmoniser le tout? Non, c’est l’intention qui compte. J’apprécie vraiment cela, le fait que vous m’ayez chanté joyeux anniversaire. Vous avez des cadeaux pour moi? (plus de rires)

KERRI: Attendez, en voici un (elle lui tend un morceau de gâteau et une rose rouge).

ADAMUS: Eh bien, ça c’est à manger, évidemment. Mais et les cadeaux – les cadeaux en pagaille pour...

KERRI: C’est une simple ...

ADAMUS: Ahh!

KERRI: C’est le Fruit de la Rose.

ADAMUS : Merci.

KERRI: Et c’est seulement pour vous. Oh! (il l’embrasse sur la joue) Vous êtes tellement chouette.

ADAMUS : Merci. Merci.

KERRI: Je ne me laverai plus jamais le visage! (rires)

ADAMUS : Merci. Et pour vous, chère Linda (il lui tend la rose et le public dit « oh »).

ADAMUS: Oh, oui. C’est juste pour vous.

LINDA: Plus tard.

ADAMUS: Oui (plus de rires), le Fruit de la Rose.

Je commence à aimer cela. Vous choisissez désormais des chansons qui sont un peu plus profondes, et je peux ressentir que vous commencez à vraiment y arriver, à capter ce genre de choses. Et du coup, je suis en train de réévaluer mon rapport à la musique classique. J’adore toujours ça. J’étais et je suis toujours un compositeur accompli, mais je commence à être plus à l’écoute et à m’ouvrir à d’autres choses. Peut-être que je deviens un peu plus « branché » à présent (quelques rires), ou que vous choisissez une meilleure musique.

Merci d’être là, à tous, merci. Nous nous réunissons une fois de plus, avec un public en provenance de partout dans le monde. Nous faisons cela depuis 23 merveilleuses années. Cela semble faire longtemps, n’est-ce pas? Vingt-trois ans.

LINDA: Cela fait effectivement longtemps (elle rit).

ADAMUS: En vérité, ce n’est pas un si long temps que cela. Peut-être qu’en termes d’années terrestres, vous avez l’impression que cela fait longtemps, et je sais que vous regardez des photos de vous-mêmes de temps en temps, prises à cette époque d’il y a 23 ans et vous vous dites: « Quel enfant j’étais alors. » Et vous vous regardez aujourd’hui et vous ne voulez pas vous regarder (Adamus rit). Mais 23 ans, c’est un temps très court vu de l’autre côté, l’espace d’un éclair. Et oui, Cauldre, il existe vraiment un Club des Maîtres Ascensionnés. Tout à fait. Ce n’est rien, 23 ans.

Maintenant, je sais que vous êtes sur ce chemin depuis longtemps, mais Tobias vous avait réunis le 21 août 1999, dans ce tipi aujourd’hui méconnu de tous. Cela ne fait pas si longtemps que cela. Et regardez tout ce que vous avez traversé.

Ressentez cela un instant, ce que vous avez traversé. Cela a été très difficile, sans aucun doute, et nous ferons un vote ici dans l’un de nos prochains Shouds. Cela a été dur pour vous, avec beaucoup de souffrances, mais nous en arrivons au bout. Vous étiez vraiment bloqués dans le ciment de la conscience de masse, de vos familles et de tout le reste. Mais c’est aussi vous qui aviez dit : « Faisons-le rapidement. » Pas en trois ou cinq vies, comme Tobias l’avait prédit, mais en 23 ans. Ce n’est rien. Nous ferons un vote donc, concernant ceux qui viendront après vous, ce prochain groupe qui est déjà en train d’arriver. Devrions-nous leur permettre de le faire plus facilement ou non? (rires, et certains Shaumbra disent « Non ! ») Vous êtes des gens cruels (Adamus rit). J’ai entendu parler de l’éveil brutal; mais là c’est un éveil cruel. Cruel! (plus de rires)

Il y a une chose que vous avez eue et qu’ils n’auront jamais, espérons-le, c’est la difficulté et la profondeur. Vous savez, c’est quelque chose qui aujourd’hui… vous êtes en train de sécher vos larmes et votre âme est en train de guérir de tout cela, cette profondeur de ce que vous avez traversé, la profondeur de l’obscurité et de votre désespoir. Et vous savez, ça fait une très bonne histoire une fois que vous en êtes sorti (Linda renifle). Une fois que vous en êtes sorti. Non, c’est le cas. Vous avez de supers histoires qui vraiment… – je peux l’affirmer très clairement – ceux qui viendront après vous n’en auront pas de tout à fait comparables à la vôtre.

LINDA: Oh, wow.

ADAMUS: Avec ses difficultés et ses épreuves, et ils vous rendront hommage et vous respecteront pour cela. Ils pourront bien rire un peu sous cape en se disant: « Eh bien, pourquoi se sont-ils rendu les choses si difficiles? » Mais c’est parce que personne d’autre n’avait encore ouvert cette voie. Personne d’autre n’était allé dans ces autres réalités. Personne d’autre ne s’était déconnecté du karma, des familles ancestrales, et vous l’avez fait. Donc, ils pourront bien ricaner de temps en temps en se disant: « Eh bien, nous sommes plus intelligents. Nous le ferons avec plus de facilité », mais vous pourrez ricaner en retour, d’un double ricanement en leur disant : « C’est parce que nous avons ouvert cette voie pour vous. » C’est ce que j’affirme de manière véritable et très sincère.

Vingt-trois ans et je suis assis là avec vous, assez fier en fait. Assez fier. Parfois, je peux être un peu dur ou un peu sévère avec vous, mais dans l’ensemble, quand je retourne au Club des Maîtres Ascensionnés – et nous parlons vraiment; je veux dire, il y a d’autres Maîtres Ascensionnés qui travaillent avec d’autres groupes – je me sens fier comme un pape. Je veux dire, je suis vraiment fier à faire le paon là-haut, parce que ce que vous avez fait est monumental, inouï. Et la plupart d’entre vous – pas tous – mais pour la plupart, vous êtes toujours dans votre corps physique, toujours là. Je remarque que vous êtes assis sur la chaise d’Edith (dit à un membre du public) et elle va vous en toucher un mot dans un instant, j’en suis sûr (quelques rires), mais pour la plupart, vous êtes toujours là.

Bien, avant d’aller plus loin, je veux inviter deux invités aujourd’hui. Normalement, je n’ai pas d’invités. Je vous veux pour moi tout seul. Mais nous avons deux invités spéciaux. Le premier, bien sûr, c’est quelqu’un qui sera présent à notre prochain événement Merlin, et c’est Nikola Tesla.

LINDA: Oh!

ADAMUS: Nikola est là aujourd’hui en train de planer autour de nous, il ne s’est pas réincarné, pas du tout. Il nourrit une certaine frustration, qu’il exprimera lors de l’événement du Rêve du Merlin. Mais il voulait venir ici parce que d’habitude, il ne traîne pas vraiment avec vous comme je le fais moi. Il connait le Crimson Circle, les Shaumbra, mais il n’est pas vraiment conscient de vos énergies. Alors je lui ai dit : « Tu sais, avant de venir parler au groupe, ce serait bien que tu t’y habitues, parce que c’est un groupe différent. Si tu arrives à froid pour l’événement Merlin, tu pourrais être mangé tout cru par ces gens! » (Adamus rit) « C’est un groupe difficile. Oui, ils jurent, ils disent des gros mots, ils boivent, ils fument et ce sont des humains merveilleux. Mais ils sont difficiles. Ils ne prennent tout simplement rien pour argent comptant. Ils te donneront du fil à retordre, sauf si tu comprends vraiment leurs énergies. » Et donc il est venu traîner ici aujourd’hui, il est probablement dans la cuisine en ce moment, pour se familiariser à vous et à vos énergies.

L’autre invité – oh, au passage, d’après Cauldre, vous avez tous besoin de boire un coup à présent. Oui (quelques rires, alors qu’il prend une tasse de café). L’autre invité, j’attendrai pour vous le présenter un peu plus tard. Mais permettez-moi de commencer en vous disant qu’aujourd’hui, c’est le dernier Shoud de la série du Banc.

LINDA: Mm hmm.

ADAMUS: Le dernier, le numéro 11. L’année est passée particulièrement vite.

LINDA: Mm hmm!

ADAMUS: Et quelle année cela a été. Nous allons passer à autre chose, poursuivre le chemin de très, très nombreuses façons différentes, en passant à la nouvelle série, la série Alt. Je vous l’expliquerai dans un instant, mais avant d’aller plus loin, faisons une espèce d’échauffement là. Et je vais poser une question au public à présent. Il est temps de prendre le micro.

 

Les Récentes Energies

Alors, juste en quelques mots, exprimez, décrivez à quoi ont ressemblé les énergies ces derniers temps ? Que ce soit au niveau mondial ou juste – pas seulement les vôtres, mais les énergies de l’humanité et de la conscience de masse. En quelques mots, comment cela s’est-il passé ces derniers temps?

LINDA: D’accord. Voyons, un volontaire. D’accord. Il y en a un.

STEPHAN: Vous m’avez eu.

ADAMUS: Salutations, Maître.

STEPHAN : Salutations. Je suis ravi d’être là. Les énergies, je les ai vraiment trouvées – comment étaient-elles ? – Personnellement, j’ai ressenti qu’elles n’étaient pas pacifiques, elles ont été très rudes, d’une certaine manière. Je les ai senties rudes.

ADAMUS: Oui.

STEPHAN: Bien que personnellement ce n’était pas le cas, mais par moment je me disais: « Geez, que se passe-t-il? »

ADAMUS: De quelle période êtes-vous en train de parler. D’hier ou du mois dernier ?

STEPHAN : De ces dernières semaines.

ADAMUS: Ces dernières semaines. Bien. Bien. Et c’était rude de quelle manière ?

STEPHAN: Eh bien, nous parlons, n’est-ce pas, des gens qui sont vraiment, dans différents domaines, en train de passer dans des extrêmes. Il y a beaucoup de divisions.

ADAMUS: Oui.

STEPHAN: Et donc, les énergies sont vraiment un peu éprouvantes.

ADAMUS: Oui. Très éprouvantes en ce moment.

STEPHAN: Eprouvantes, oui.

ADAMUS: C’est le bon terme. Et qu’en est-il de vos rêves?

STEPHAN : Ils ont été intéressants, oui. Parfois, je fais ce genre de rêves, et c’est comme si j’étais…, je fais un rêve et c’est comme si j’étais – c’est un peu comme si je regardais depuis l’extérieur dans mon rêve – et je me dis « Alors maintenant je veux aller faire ça », mais ensuite, dans mon rêve, je fais autre chose. Je me dis : « Qu’est-ce qu’il se passe, putain ?! » vous savez, « C’est mon rêve, quoi ! » (rires)

ADAMUS: Ou est-ce que c’est vraiment le cas?

STEPHAN: Est-ce que c’est le cas? Exact.

ADAMUS: (riant) Oui.

STEPHAN: Mais alors, c’est aussi à ce moment-là que j’ai récemment réalisé, attends, c’est comme si, n’est-ce pas, je voulais contrôler mon rêve à présent. Donc, c’est comme si...

ADAMUS: Oui, très souvent dans vos rêves actuellement, vous avez raison, vous pensez que vous voulez faire un beau rêve paisible. Et ce n’est pas ce que vous faites la nuit, parce que tout se manifeste et se déroule à de très, très nombreux niveaux, y compris vos rêves. Et s’il y a encore des aspects récalcitrants là-dedans, ils se manifesteront. Et dès l’instant où vous penserez, dans un rêve, vouloir aller dans cette direction-là, vous irez dans cette direction-ci, et dès l’instant où vous penserez que vous avez tout nettoyé... Mais vous ressentez beaucoup la conscience de masse mondiale actuellement.

STEPHAN : Oui.

ADAMUS: Et l’une des choses un peu fâcheuses dans les rêves, c’est que le mental ne comprend tout simplement pas comment interpréter les véritables énergies qui vont littéralement au-delà du mental. Et donc, il vous en propose ces imitations de pacotille, et c’est cela que vous pensez être votre rêve. Mais il y a tellement plus de choses qui se passent dans vos rêves, et c’est ce que nous allons explorer dans notre prochaine série, dans Alt.

STEPHAN: Oh, bien.

ADAMUS: Oui, et cela vous en donnera une meilleure compréhension. Et plus précisément, dans les prochaines sessions de Keahak, nous parlerons du fait que désormais … – à Keahak – vous allez au-delà de la fermeture ou de la résistance du mental, et nous ferons certaines choses dans notre prochaine session.

STEPHAN : D’accord.

ADAMUS: A présent, vous pouvez vraiment aller au-delà du mental. Nous allons avoir une petite conversation avec le mental.

STEPHAN: Oh, oui.

ADAMUS: Mais ce sera incroyable, et il est un peu nerveux - ... eh bien, c’est effrayant en vérité quand vous commencez à aller au-delà du mental. Bien. Merci pour votre réponse.

STEPHAN : Oui. Merci.

ADAMUS: Au suivant. Les énergies, à quoi ont-elles ressemblé ces derniers temps ? Que ressentez-vous ? Pas nécessairement vous personnellement, mais que se passe-t-il tout autour de vous?

JAN: Pour moi, il semble qu’à chaque fois que vous vous dites: « Quoi d’autre pourrait-il se passer encore? », eh bien, ce « quoi d’autre » se produit.

ADAMUS: Oui, il se produit. Oui.

JAN: Et il semble ne pas y avoir de solution, semble-t-il, que je puisse voir se profiler à l’horizon, et cela semble devenir de plus en plus intense tout le temps. Et donc, je ne vois aucune sorte de, vous savez, d’apaisement de toute ces choses qui se passent actuellement. Il semble qu’il y ait encore plus de choses qui se passent.

ADAMUS: Merde!

JAN: Vous savez, comme... (elle rit) la dernière petite chose...

ADAMUS: Eh bien, vous n’êtes pas gaie! Passons le micro à quelqu’un d’autre!

JAN: Je sais! (rires)

ADAMUS: Non, non! Je plaisante! Je plaisante! (Adamus rit)

JAN: Vous m’avez demandé ce que je ressentais, à quoi cela ressemblait. C’est cela que je ressens.

ADAMUS: Non, et c’est à cela que servent ces sessions.

JAN : Oui.

ADAMUS: Oui. Passez le micro à la personne juste à côté de vous. Oui.

LINDA: Non. Ce n’est pas juste.

ADAMUS: Si, ça l’est.

LINDA: D’accord, ici. C’est à vous.

JAN: C’est à toi, mon pote.

EDWARD: Ce n’est pas juste (plus de rires).

ADAMUS: Oui, non, si c’est juste! Oui, oui! (Adamus rit)

SHAUMBRA 2 : La vie n’est pas juste.

LINDA: C’est ce que je disais!

ADAMUS: Hé, vous avez acheté un billet pour ce spectacle. Maintenant, vous devez danser.

EDWARD: C’est moi qui dois faire le show?

ADAMUS: Oui, oui. Alors, à quoi ressemblent les énergies, comment les ressentez-vous?

EDWARD: Eh bien, il semble y avoir beaucoup de chaos. Vous avez mentionné ou Geoffrey a mentionné le mot « liberté » tout à l’heure.

ADAMUS : Exact.

EDWARD: Et je pense qu’assurément, nous sommes en train de devenir plus libres. Il y a plus de liberté, mais cela signifie moins de structure. Cela signifie plus de chaos, plus de confusion, plus de changement. Et c’est ce dont je fais l’expérience autour de moi. À l’intérieur de moi, je vis les choses presque à l’opposé. Vous savez, je me trouve beaucoup plus paisible.

ADAMUS: Et arrivez-vous à distinguer les deux, ce qu’il y a à l’extérieur, et ce qu’il y a à l’intérieur, en vous?

EDWARD: Eh bien, je pense que oui. La plupart du temps. J’ai manifesté l’intention très claire que, n’est-ce pas, je veux être en paix, peu importe ce qui se passe autour de moi.

ADAMUS: Et donc, je dois juste vous demander, parce que je sais que d’autres personnes ressentent la même chose. Elles en arrivent à une espèce de calme nouveau en elles, et les batailles sont terminées, dépassées et elles commencent vraiment à pouvoir profiter de la vie. Mais ensuite, il y a tout ce cirque, tout ce conflit qui semble se dérouler. Pourquoi rester ici alors qu’il y a tout cela ?

EDWARD: C’est une bonne question.

ADAMUS: Oui (ils rient). Je pense qu’elle vient à l’esprit de beaucoup de gens.

EDWARD: Je veux dire, c’est facile d’être en paix quand vous êtes assis au bord d’un lac et que l’eau coule et que le vent souffle tel, n’est-ce pas, une petite brise dans les arbres. Là, c’est facile.

ADAMUS : Exact.

EDWARD: Mais pouvez-vous vous sentir en paix au milieu d’une tempête?

ADAMUS : Exactement. Exactement. Et, n’est-ce pas, la réponse normale à cette question devrait être: « Eh bien, je peux être en paix avec moi-même et ne pas prêter beaucoup d’attention à ce qui se passe à l’extérieur. Je ressens les autres énergies autour de moi, mais je ne suis pas obligé d’être pris dedans. » C’est cela qui serait la chose normale à faire, mais les Shaumbra, eux, disent : « Non, je veux y retourner. Je veux retourner dans la tempête de lion qui est en train de se dérouler », ce qui est ok, mais, vous savez, cela devient un peu fatigant au bout d’un certain temps. Bien. Merci. Merci pour votre réponse. Quelques autres encore. À quoi ressemblent les énergies ces derniers temps ?

LINDA: Y a-t-il quelqu’un d’autre en particulier que vous aimeriez que je choisisse comme volontaire?

ADAMUS: Non, non. C’est très bien. Prenez votre temps. Je vais manger un peu. Ouh. Mm!

SHAUMBRA 1 (femme): Bonjour.

ADAMUS: À quoi ressemblent les énergies ces derniers temps?

SHAUMBRA 1: Elles sont très remuantes (chaotiques, difficiles, instables).

ADAMUS: Très remuantes. Pourquoi?

SHAUMBRA 1: Elles sont chaotiques à l’extérieur, et ce sont un peu des énergies de lutte, de bataille, et elles sont séparées de l’intérieur.

ADAMUS: Oui. Qu’est-il en train de se passer actuellement?

SHAUMBRA 1: Il y a beaucoup d’incertitude et je ressens beaucoup d’énergies à l’extérieur de moi. Et alors cela amène beaucoup de questions, « Est-ce moi? Est-ce à moi? Ou est-ce que je suis un récepteur actuellement ? » (elle rit).

ADAMUS: Oui.

SHAUMBRA 1 : Voilà.

ADAMUS: Comment différenciez-vous ce qui est à vous et ce qui ne l’est pas?

SHAUMBRA 1 : Je ne suis pas toujours très douée pour cela (elle rit).

ADAMUS: Oui. Mais vous pourriez.

SHAUMBRA 1: Oui, je ...

ADAMUS: Tobias vous l’a dit très simplement, il y a des années: « Ce qui est à vous, c’est ce que vous choisissez. Tout le reste, vous le lâchez ».

SHAUMBRA 1 : C’est ça que j’allais faire. Quand je me tourne...

ADAMUS: Mais ensuite, vous sautez là-dessus en disant: « Oui, mais j’ai vraiment causé cela, et je mérite vraiment cela, et c’est vraiment à moi. » Non, pas du tout. C’est aussi simple que cela. C’est aussi simple que cela. Ce n’est plus vous ou à vous dès que vous dites : « Ce n’est pas ce que je veux. » Ce peut être ce que veulent d’autres personnes, mais ce n’est plus ce que vous vous voulez.

SHAUMBRA 1 : Oui.

ADAMUS: Comment se passe la vie? Comment se passe votre vie actuellement?

SHAUMBRA 1: Je fouille beaucoup du côté de mon droit à choisir.

ADAMUS: Oui, bien, bien.

SHAUMBRA 1 : Ce qui va donc de pair avec ce que vous venez de me dire.

ADAMUS: Oui. Et j’espère que vous savez que vous et moi passons beaucoup de temps ensemble.

LINDA: Ahh.

ADAMUS: En fait, je vais vous envoyer une facture pour cela (rires). Non, nous avons de bonnes discussions. Nous avons de bonnes discussions, et comme d’autres Shaumbra, votre cœur est très grand et votre engagement très fort. Mais vous allez vous coucher certains soirs et vous mettez une couverture de doute sur vous-même, et je vous gronde pour cela.

SHAUMBRA 1: Je vous ai entendu (elle rit).

ADAMUS: Vous n’avez pas besoin de couverture. Oui, vous n’avez pas besoin de couverture, et le doute ne… – il ne vous mène vraiment nulle part. Il ne vous fait même pas de bien. Alors, juste un jour, dites-vous: « Va te faire foutre le doute », vous savez. C’est une autre idée de t-shirt (Adamus rit).

SHAUMBRA 1 : J’aime ça (elle rit).

ADAMUS: Oui, parce que vous n’arriverez jamais à surmonter le doute. Vous ne vaincrez jamais le doute, et vous n’aurez jamais de grande et soudaine illumination à travers laquelle vos doutes s’évanouiraient simplement. Dites-vous finalement : « J’en ai marre de douter. J’en ai marre de ce jeu », et voilà.

SHAUMBRA 1 : Oui.

ADAMUS: Oui. Vous avez de nombreux talents, mais ce doute recouvre tout. Oui. Ok, merci.

SHAUMBRA 1: Je dois enlever cette couverture.

ADAMUS : Merci.

SHAUMBRA 1 : Merci.

ADAMUS: Un de plus. Comment va le monde? Qu’est-il en train de s’y passer ? Quelques mots pour qualifier ce qui se passe dans le monde.

LINDA: Vous pouvez utiliser deux mots. Je vous mets au défi (quelques rires).

LUC: Il y a beaucoup d’anxiété à l’extérieur, et je vois où j’en suis quand je… – l’anxiété est comme un miroir pour moi et je vois où j’en suis, et je n’ai pas cette anxiété, ou très peu. Beaucoup moins.

ADAMUS : Exact.

LUC : Mais je suis très sensible à ces énergies. J’ai donc tendance à passer beaucoup de temps seul.

ADAMUS : Bien. Je veux dire, vous pensez bien, parce que vous êtes sensible.

LUC : Et ce n’est pas que je n’aime pas les gens. C’est juste que je me sens mieux quand ils ne sont pas là (beaucoup de rires et d’applaudissements). Et c’est...

ADAMUS : C’est assez classique. Oui. Oui (Adamus rit).

LUC: Je ne voulais pas parler des Shaumbra, au passage (plus de rires).

ADAMUS: (riant) Exact, exact! Pouf! Ils disparaissent. Merci. C’était une excellente déclaration. Nous devrons mettre cela sur le mur au Club des Maitres Ascensionnés.

Y a-t-il quelqu’un qui ne serait pas d’accord avec la direction dans laquelle vous voyez que tout cela va? Quelqu’un qui dirait: « Mon Dieu, le monde est un magnifique endroit » et « Kumbaya, kumbaya »? Ok.

C’est un endroit très difficile actuellement, pour plusieurs raisons dont nous avons parlé. Ça va très, très vite, plus vite que jamais. Attachez vos ceintures de sécurité, parce que ça va à toute vitesse actuellement, les changements, l’ampleur de ce qui est en train de se produire psychiquement, vous savez, énergétiquement, et tout ce qui est aussi en train de se produire en termes de recherche et développement et de nouvelles choses à venir. Et nombre de gens se pourlèchent les babines, se délectent en se disant: « Ooh, bien! Une nouvelle technologie qui arrive, un nouveau type de voiture, un nouveau traitement pour soigner le corps, un nouveau type de ceci ou cela », et tout cela est en train d’arriver. C’est en train de surgir sur votre chemin. La plus grande partie (de ces nouveautés ou inventions) n’en est pas encore arrivée au stade de la distribution de masse, mais cela se fera. Et vous vous dites : « C’est super. Regardez toutes ces nouvelles choses en train d’arriver. »

C’est en fait énorme et submergeant parce que c’est en train d’arriver très vite. Le temps qu’il faut pour s’adapter et s’ajuster à cette espèce de tout nouveau changement de paradigme technologique est en train de provoquer l’effondrement de l’équilibre mental humain et les gens sont en train de devenir fous. Ceux qui n’étaient pas fous commencent à se sentir très déséquilibrés.

Et en fin de compte, je crois que si vous distillez vraiment tout cela – regardez le monde actuellement, ressentez cela – l’humanité se sent plus en danger ou en insécurité que jamais. Ce qui est drôle, c’est que statistiquement, vous pourriez contester cela. Vous pourriez dire : « Il y a moins de guerres. Il y a moins de faim dans le monde. Il y a moins de ceci et de cela. Il y a de meilleurs soins médicaux, une meilleure éducation. » Peu importe, parce que si les gens ne se sentent pas en sécurité actuellement, c’est cela que vous ressentirez. Et cela fera émerger des choses comme de l’anxiété, de la peur, du désespoir, les gens qui font des choses folles, insensées. Ils ne savent pas pourquoi ils le font et personne d’autre ne sait pourquoi ils le font. C’est une réaction instinctive au fait de se sentir pathétiquement en danger ou en insécurité sur la planète actuellement.

Ressentez-le dans votre propre vie. Vous êtes passés par là. Vous en avez fait l’expérience, mais si vous retirez la sécurité… – la sécurité est souvent contenue, dans les royaumes humains, dans la cellule familiale; et c’est cela (cette cellule familiale) qui est en train de s’effondrer actuellement. Vous vous sentez en sécurité quand vous avez un bon système de gouvernement, fiable, sur lequel vous pouvez compter. Un système gouvernemental ne sera jamais bien parce que c’est un gouvernement, mais parfois, le simple fait d’en avoir un qui soit stable, c’est bien. Où en est-on avec cela actuellement? (Quelques rires) Je veux dire, ce n’est pas le cas ici aux États-Unis. Ce n’est pas le cas en Europe, dans la plupart des pays. Ce n’est pas le cas dans d’autres parties du monde. La sécurité se trouve souvent dans la consolation apportée par les églises et les religions. Vous allez à l’église, vous avez eu une semaine difficile; vous vous asseyez là et entendez parler de la façon dont Dieu vous aime, mais c’est un pervers qui se tient debout là-haut sur le podium et c’est ... (rires) Est-ce que j’ai dit cela? Oh, c’était Tesla! Oui (plus de rires). Je veux dire, où est passée la confiance que les gens avaient autrefois dans les religions? Elle est en train de s’effondrer. Et donc, les filets de sécurité fondamentaux ou de base ne sont tout simplement plus là.

Et alors qu’est-ce que les gens commencent à faire? Ils se disent: « Eh bien, je dois devenir plus autonome, compter uniquement sur moi-même, peut-être cultiver mes propres légumes, peut-être posséder plus d’armes à feu, peut-être barricader mon jardin pour que personne ne puisse entrer », et très vite vous avez une prolifération de caméras de sécurité et d’armes et de gens qui font des stocks. Cela ajoute à cet élément d’anxiété qui existe à l’extérieur, et il est énorme. Et ce n’est pas le vôtre. Je ne saurais trop insister là-dessus. Eh bien, je le ferai plus tard, alors je continuerai à insister là-dessus. Ce n’est pas le vôtre. Vous le ressentez sur la planète. Vous avez choisi de rester ici, et cela, c’est ce qui est en train de se passer. C’est partout. Des gens qui n’avaient jamais ressenti d’anxiété auparavant, qui n’avaient jamais eu de problèmes de sommeil, qui n’avaient jamais bu ou pris de médicaments pour calmer la douleur ont maintenant recours à des choses comme ça. Ils ne savent pas vers qui se tourner.

Si vous étiez un Moldu, ce que vous étiez dans le temps, vers quoi vous tourneriez-vous actuellement ? La famille? Certains oui, mais pas beaucoup. Votre travail ?  Pffff!  Dans le temps, vous pouviez commencer à travailler, démarrer une carrière, et vous restiez là-dedans toute votre vie. Vous restiez dans la même entreprise la majeure partie de votre vie, ce que je ne vous recommande pas, mais c’était quelque chose de très stable dans le temps, et votre entreprise prenait soin de vous, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Vers où les gens se tournent-ils désormais?

Eh bien, ils se tournent vers des choses comme les jeux vidéo, parce que vous pouvez vous y perdre. Vous pouvez aller dans ce monde où vous allez pour faire exploser d’autres mondes. Je ne comprends pas tout cela, mais vous pouvez aller dans ce monde numérique, et les gens vont vers cela. Ils vont aussi vers l’alcool et la drogue, bien sûr. Ensuite, ils entrent en dépression. C’est presque comme s’ils s’invitaient à faire une dépression, parce que dans la dépression, vous n’avez pas vraiment à faire face aux véritables énergies. Vous êtes en dépression. Vous pouvez gémir et geindre du fait d’être déprimé, mais vous n’avez pas vraiment à faire face à ce qui est à l’extérieur ou à ce qu’il y a à l’intérieur, en vous.

Je vous dis tout cela et ce n’est certainement pas un discours d’encouragement – hein! – mais c’est une réalité sur la planète actuellement, et vous devez comprendre que ce n’est pas la vôtre, à moins que vous ne vouliez que ce soit le cas. Si vous le voulez, je n’essayerai pas de vous le retirer, mais c’est ce que la planète est en train de traverser. Et assez curieusement, tout cela est très approprié en cette période incroyable de changement. Vous le verrez dans la technologie. Vous le verrez en physique. Vous le verrez dans tous les aspects de la vie, tout est en train de se transformer très rapidement. La façon dont les enfants naissent sur cette planète, le processus d’accouchement lui-même, vous verrez que tout cela, tout change. Quels étaient vos anciens piliers de vie, les piliers stables sur lesquels vous pouviez toujours compter – même si tout le reste changeait, vous aviez ces piliers de vie dont vous saviez qu’ils seraient là – ils sont en train de disparaitre et les gens sont désespérés. Les gens sont désespérés.

 

Rester en équilibre

Maintenant – et c’est la partie encourageante de mon discours – c’est là que vous entrez en jeu. C’est la raison pour laquelle vous êtes là. Vous savez cela. Nous en avons parlé. Il n’y a rien de mystérieux là-dedans, et tout ce que vous avez à faire, c’est de faire briller votre lumière. C’est quelque chose d’assez simple.

Il est très, très important actuellement de comprendre la différence entre ce qui est à vous et ce qui ne l’est pas. C’est très important. Et tout est sens dessus dessous dans votre cerveau, et comme je vous l’ai dit à Keahak – nous allons commencer à le faire, et nous l’amènerons dans les Shouds – nous allons aller au-delà du cerveau et de son analyse permanente des choses. Nous allons juste sortir et le faire. Mais vous devez être assez équilibrés en vous-mêmes pour le faire. Vous devez être assez clairs en vous-mêmes quant à ce qui est à vous et ce qui ne l’est pas. Et c’est aussi simple que… – vous êtes un Maître – si vous n’aimez pas quelque chose, que vous ne le voulez pas, cela ne vous appartient pas, dites-lui au revoir. Si vous voulez jouer avec, c’est très bien, mais je finirai probablement par vous rappeler à l’ordre quant au jeu auquel vous jouez, en vous disant: « C’est un énorme jeu. Lâchez-le ». Et certains d’entre vous le feront, d’autres non.

Mais cela ne va pas s’améliorer de sitôt. Vous ne verrez pas brusquement tout le monde se rassembler pour fumer le calumet de la paix, ni les problèmes du monde se résoudre d’eux-mêmes et que soudain, il n’y ait plus de gens mourant de faim. Vous verrez un plus grand gouffre entre ceux qui ont tout et ceux qui n’ont rien, et il ne s’agit pas non plus de porter un jugement.

En fait, de par mon parcours et mes ressentis sur les choses, ceux qui n’ont rien, honte à eux. Honte à eux de n’avoir rien. Ils utilisent cela comme excuse : « Pauvre de moi. Je n’ai rien. Ce sont eux qui ont tout. Ils me prennent mon argent. » Non, pas du tout. Vous n’êtes pas assez intelligent pour en avoir par vous-même. Alors, je serai dur avec les « je n’ai pas ceci, je n’ai pas cela ». Je n’éprouve pas de sympathie pour les gens qui disent cela. Ce que vous voulez, vous l’avez. Et après, ces gens me disent : « Mais je ne sais pas comment faire. » Et je leur réponds, « Venez. Je vais vous montrer un groupe de personnes à travers le monde qu’on appelle les Shaumbra. Je vais vous montrer comment ils ont changé leur vie. Ils vous ont tracé la voie. Ils vous montrent l’exemple. Ce sont des Modèles, et vous pouvez changer tout ce que vous voulez. Tout ce que vous voulez ». Et ce que j’aime, c’est que vous êtes en train de découvrir cela. Vous êtes en train de découvrir cela.

Vous découvrez aussi quelque chose à un niveau de platitude plus élevé, d’altitude plus élevée plutôt, c’est que ce que vous pensiez vouloir avant, ce besoin humain n’est plus vraiment si important que cela. Nous en parlerons dans un instant, mais vous avez changé, et vous allez le voir ici dans un instant. Vous avez incroyablement changé dans ce qui est important pour vous dans votre vie. Et vous savez, peut-être qu’avant, c’était l’argent et vos relations amoureuses, quoi que ce soit. Vous réalisez que ce n’est vraiment plus si important que cela désormais. Vous êtes en train de commencer à réaliser que ces choses sont juste là. Vous n’avez pas à faire d’efforts pour les obtenir. En fait, ce ne sont plus vraiment des besoins pour vous. Vous savez, l’argent. Non! Mettez votre ressenti dans quelque chose de beaucoup plus grand, ce qui est vraiment important pour vous. L’argent, ce n’est vraiment rien; c’est juste votre énergie, et avoir plus d’argent pour la plupart des gens sur la planète, c’est autodestructeur. C’est vraiment le cas, et – je fais de merveilleuses déclarations aujourd’hui (Adamus rit).

Mais quelqu’un qui est dans la plainte et, n’est-ce pas, qui est dans cette espèce d’impasse à s’apitoyer sur son sort; vous lui donnez plus d’argent, et qu’est-ce qu’il va en faire? Cela va juste lui procurer plus de chagrin. C’est presque une formule physique. Vous donnez à quelqu’un qui est dans une basse conscience, qui manque d’estime de soi, vous lui donnez maintenant un peu plus d’énergie, est-ce qu’il va soudainement transformer cela en: « Oh, maintenant je suis digne! Maintenant, je lâche tous mes problèmes. » Non! Il utilisera cette énergie, cet argent, pour aggraver ses problèmes. C’est aussi simple que cela. Et je vous dis cela parce que vous l’avez appris. Vous l’avez vécu, traversé à la dure. Vous avez traversé l’enfer, et maintenant vous réalisez que ce n’est pas vraiment nécessaire.

 

Faire du banc

Faire du banc. Nous étions dans la série de l’Art du Banc. Nous allons passer à Alt. Cela a été une bonne transition dans ces derniers Shouds, pour passer de l’une à l’autre. Le fait est que vous n’avez pas besoin de faire du banc, et vous l’avez découvert. Je veux dire, vous n’avez pas vraiment besoin de définir un horaire et d’aller trouver un banc quelque part ou une chaise ou quoi que ce soit, et ensuite de faire briller votre lumière. Je dirais qu’environ 81% des Shaumbra l’ont compris: « Hé, Adamus, c’est une arnaque le banc. Je fais constamment briller ma lumière » (quelques rires). Et moi je réponds : « Vraiment ?! Je ne le savais pas. Euh! »

Oui, en effet, vous êtes en permanence en train de faire briller votre lumière. Faire du banc, ce n’était pas tant pour la planète que pour vous, parce que quand vous étiez assis là – que vous vous arrêtiez juste un instant, vous vous preniez un bon café ou quoi que ce soit d’autre – vous preniez du temps pour vous-mêmes. Au début, vous pensiez : « Je fais ça pour la planète. » Ha ha ha! Vous le faisiez pour vous-mêmes. Vous faites constamment briller votre lumière. Elle rayonne en permanence, et vous n’avez même pas besoin d’y penser. Vous n’avez pas besoin de faire du banc. Vous pourriez être au milieu d’un bon dîner. Vous pourriez être au milieu d’une partie de jambes en l’air, quoi que ce soit du genre, et vous feriez toujours briller votre lumière (Adamus rit), surtout avec un bon dîner. Et donc, toute cette série du Banc consistait à vous faire vous arrêter un instant pour vraiment laisser cette lumière briller sur vous-mêmes. Elle a toujours brillé sur la planète.

Certains m’ont mis au défi – en fait beaucoup m’ont mis au défi (Adamus rit) – certains Shaumbra m’ont mis au défi en me disant: « D’accord, nous avons commencé cette série du banc, à faire briller notre lumière sur le monde il y a un an. Beaucoup de bien en a été retiré, n’est-ce pas? » (Adamus rit) « Regardez où nous en sommes à présent. Peut-être devrions-nous diminuer cette lumière? Peut-être devrions-nous éteindre complètement cette lumière? » Mais en réalité, c’est cela la véritable preuve. Vous faites briller votre lumière et cela fait avancer les choses. Cela fait sortir les gens de leur paresse, de leurs limitations, parce que quand soudain la lumière brille… – quelqu’un était intentionnellement dans l’obscurité de sa vie et la lumière se met à briller, et elle lui montre tous les autres potentiels – les gens ne veulent pas nécessairement le voir. Elle les rappelle à l’ordre quant à leur jeu. Elle leur dit : « Vous pourriez choisir ceci. Vous pourriez choisir cela. Vous pourriez faire toutes ces autres choses. » Ils n’aiment pas ça, alors ils essaient d’atténuer la lumière ou de prétendre qu’elle n’est pas là. Mais la lumière secoue en fait beaucoup de choses sur cette planète qui avaient besoin d’être secouées.

Vous vous dites : « Eh bien, oui, mais nous avons une guerre en cours. » N’est-ce pas intéressant, également, si vous regardez le… – Cauldre est en train de m’arrêter pour me dire: « Oh, les Shaumbra russes vont être fâchés contre toi »; Je m’en fiche (Adamus rit) – les dates que Poutine utilise pour son occupation amicale d’autres nations sont très statistiquement alignées sur la numérologie. Il n’y a pas du tout d’erreur là-dedans. Désolé si je vous ai offensé, mais si c’est le cas, partez. Allez voir ailleurs alors.

Eh, nous n’allons pas aborder ce sujet aujourd’hui. Plus tard. J’aurai une conversation avec vous à ce sujet. D’accord. Je vais conclure un accord avec vous. Je ferai une session spéciale pour les Shaumbra russophones, que vous soyez de Russie ou d’ailleurs. Vous me poserez vos questions les plus difficiles. Quoi que vous vouliez demander, nous aurons notre session juste pour les Russes. Linda, prenez note de cela, bien sûr (Adamus rit).

LINDA: Oui.

ADAMUS: Non, Linda est en train de s’enfuir dans l’autre pièce à présent (quelques rires). Non, je veux en parler, parce que vous n’êtes pas libres. Non pas que les autres le soient, mais vous n’êtes pas libres. Vous êtes là pour une raison et certains d’entre vous n’ont tout simplement pas compris cette raison, pourquoi vous êtes en Russie, pourquoi vous vous êtes réincarnés en Russie. Beaucoup d’entre vous y sont allés et revenus à maintes et maintes reprises. Je suis un peu dérangé par certains d’entre vous, parce que vous avez oublié pourquoi vous êtes vraiment là. Vous êtes très sur la défensive.

Vous n’êtes pas russes, et vous n’êtes pas américains, et vous n’êtes pas brésiliens, et vous n’êtes pas mexicains. Vous êtes au-delà de tout cela. Et si vous continuez à jouer ce jeu de la nationalité ou même de votre genre sexuel, si vous jouez toujours à ce jeu même de l’âge que vous avez, c’est que vous n’avez pas encore appris. Vous n’avez pas compris. Vous n’êtes pas tout cela. Vous vivez peut-être en Russie, vous êtes peut-être une femme, vous avez peut-être 52 ans, mais ce n’est pas le cas. Ce n’est pas le cas. Nous aurons donc une petite discussion en tête-à-tête. Oui. Vous n’avez rien d’autre à faire, hein? Vous pensiez que le week-end prochain, ce serait Kasama ? Pas du tout (quelques rires). Nous avons là une ouverture parfaite. Pour juste glisser une petite canalisation. Ok, marché conclu. Merci. Merci. Ok. Tout le monde s’est calmé à présent? Ok. Oh, whoa-whoa!  Ouf!  Ok. C’est drôle, vous leur offrez une canalisation, ils se calment tous. Ils sont en train d’écrire leurs questions à présent. Oui (quelques rires).

Bon, continuons. Où en étions-nous ? Oh, le banc, l’Art du Banc. Donc, c’était vraiment pour vous. Votre lumière brille en permanence sur cette planète. Dès l’instant où vous avez pris la décision de revenir ici dans cette incarnation et de faire ce que vous êtes en train de faire, que vous soyez dans vos jours les plus sombres ou non, vous êtes constamment en train de faire briller une lumière, et nous allons continuer avec cela.

 

Alt

Nous allons démarrer la série Alt, et « Alt » signifie plusieurs choses différentes. Ce sont d’abord les multiples réalités, des réalités variées. Nous ne serons plus uniquement coincés dans celle-ci. A travers Keahak, nous allons faire exploser le mental, aller au-delà du mental, et ensuite, nous aiderons à apporter toutes ces énergies aux Shaumbra. Mais vous allez apprendre ce que c’est que d’être vraiment Alt. Et c’est un peu, vous savez, ça a l’air amusant, mais en fait c’est assez perturbant. Cela bouscule les anciens systèmes, mais vous serez en sécurité. Vous y serez en sécurité. Nous allons découvrir dans Alt qu’il y a énormément de réalités et énormément de façons différentes de jouer dans la réalité. Mais la grande question, c’est de savoir comment voulez-vous jouer? Dans la joie ou la souffrance ? Vous voulez aller très loin là-bas, ou vous voulez en quelque sorte rester petit? Et rester petit – je veux dire rester dans une réalité confortable et limitée – c’est bien. Mais nous allons aller là-bas. Et il n’y a pas de place dans ce que nous allons faire si vous portez de vieux problèmes. Il n’y en a pas. Nous devons donc les laisser partir, et ce n’est pas aussi difficile que cela. Ce n’est vraiment pas difficile.

Alt, c’est aussi le nom originel de l’Atlantide. Alt. Donc, nous allons vraiment… – nous ne retournerons pas en Atlantide, mais tout ce rêve atlante et toute cette camaraderie, cette amitié que nous avions vont vraiment se réunir dans cette prochaine série. Mais, encore une fois, pas de place pour les problèmes. Pas de place pour les pleurnicheries.

Maintenant, il y aura – et nous aurons beaucoup de discussions à ce sujet – il y a des incertitudes. Il y a des choses que peut-être vous ne comprenez pas. Nous les amènerons à la discussion – non pas pour en faire un nettoyage émotionnel, mais pour les discuter – afin que nous puissions les laisser partir, les relâcher. Je crois que ce que je suis en train de vous dire, c’est qu’il est temps de mettre le pantalon ou la chemise ou le soutien-gorge ou quoi que ce soit d’autre de votre Maître, parce que nous allons y aller à présent. Nous sommes en train de le faire sur la planète. Quand vous faites briller votre lumière, cela secoue les choses, et pour moi, c’est un merveilleux témoignage de ce que vous êtes en train de faire. Les choses sur la planète sont en train d’être secouées.

Maintenant, nous ne voulons pas aller jusqu’au point de les faire exploser. Il y a une grande différence entre secouer et faire exploser. Mais nous voulons secouer un peu les choses. Sinon, les choses continueront comme avant, avec les mêmes vieux problèmes. Rien n’évoluera et ne changera jamais. Nous allons donc continuer à faire briller la lumière dans les réalités Alt, de différentes manières et continuer à secouer la planète. Mais pour l’instant, si vous avez des problèmes et des problématiques, s’il y a des choses qui pèsent lourd sur vous, dépassez-les putain. Là où nous allons, il n’y a pas de place pour cela. Et ces problèmes ne sont pas nécessaires. Ils ne sont vraiment pas nécessaires. Ils ne le sont vraiment pas. Alors, passons simplement à ce vers quoi nous allons, à l’étape suivante.

Ok, prenons une bonne respiration profonde avec ça.

Linda, êtes-vous prête? Je suis désolé. Suis-je un peu trop virulent aujourd’hui?

LINDA: Pas plus que d’habitude.

ADAMUS: Ok, bien. Et je tiens à vous dire très clairement que cette prochaine étape sera importante et que vous ne pouvez tout simplement pas vous accrocher à vos problèmes. Cela vous fera beaucoup plus mal si vous le faites. Cela vous fera beaucoup plus mal et, dans une certaine mesure, cela tirera même le groupe en arrière. Alors dépassons-les tout simplement.

 

Les Droits du Maitre

Dans le dernier Shoud, nous avons parlé des droits du Maître. Je vous ai parlé des droits du Maître, et nombre d’entre vous nous ont écrit, vous nous avez donné vos suggestions et vos idées. Pour la plupart, c’était vraiment de très bonnes idées, vraiment. Et encore une fois, au Club des Maîtres Ascensionnés, j’étais comme un fier papa qui tenait cette liste pour qu’ils la voient. Il y en avait qui étaient un peu hors sujet – hein! – un peu différentes, mais pour la plupart, c’était de bonnes idées.

Maintenant, ce que j’ai fait, c’est que j’ai ressenti chacune d’elles. Pas seulement celles qui nous ont été soumises par écrit, mais celles auxquelles vous avez pensé ou que vous avez peut-être postées en ligne mais que vous n’avez pas envoyées. J’ai donc fait une évaluation globale de ces droits du Maître – et ce n’est pas un document final, c’est un travail en cours – mais j’ai vraiment extrait les meilleurs en les reformulant, parce que pour une grande part, la manière dont ils étaient formulés émanait en quelque sorte d’un négatif et j’ai voulu les énoncer de manière affirmative. Des choses comme : « J’ai le droit de ne plus avoir peur. » C’est, ok, c’est bien, mais c’est toujours l’idée d’avoir peur, alors comment pouvons-nous rendre cela positif? Et donc, j’ai fait un gros travail de polissage et de distillation là-dessus et j’en suis arrivé ...

LINDA: De polissage de quoi?

ADAMUS: De polissage des mots. Des mots. Et donc, j’ai fait un gros travail de remaniement, de reformulation de ces mots et j’en suis arrivé à ceci, aux principaux items émergeant à ce sujet, classés à peu près par ordre d’importance pour les Shaumbra. Bon, nous allons les passer en revue à présent et les discuter, ces droits du Maître, ou peu importe comment vous voulez les appeler.

C’était en fait une étude intéressante, que de regarder tout cela et de ressentir les énergies et ce qui est vraiment en train de se passer avec les Shaumbra. Et j’ai été quelque peu surpris par ce qui est advenu être le droit le plus important pour les Shaumbra, et c’est ... (il fait une pause, en attendant que la diapositive apparaisse). C’est – voilà le clap de départ (quelques rires).

LINDA: « Je suis en sécurité en permanence, grâce à ma protection naturelle. »

ADAMUS : Bien. Oui, Cauldre est en train de me dire qu’il va les faire passer lui-même (les diapositives).

« Je suis en sécurité. » Ça c’était omniprésent dans toutes vos réponses – les centaines, les centaines, les centaines et les centaines de réponses que vous nous avez envoyées, et sans même compter les autres. Mais les Shaumbra se rendent compte qu’ils ont le droit de se sentir en sécurité. Ils ont le droit de se sentir en sécurité grâce à leur propre protection naturelle.

Maintenant, quand nous avons commencé ce Shoud, je vous ai dit : « Qu’est-il en train de se passer dans le monde ? » Le monde ne se sent pas en sécurité actuellement. Si vous distillez vraiment le tout, les gens ne se sentent tout simplement pas en sécurité. Là, vous dites que vous avez le droit de vous sentir en sécurité, et c’est très vrai. Vous avez une protection naturelle. Peu importe ce qui se passe dans le monde actuellement. Peu importe qu’il y ait une énorme récession ou une dépression. Vous êtes en sécurité. Pouvez-vous ressentir cela, s’il vous plaît? Et comprenez que s’il y avait une guerre, vous seriez en sécurité. S’il y avait une catastrophe naturelle, de grands déséquilibres environnementaux – ce qui est le cas en ce moment – vous seriez en sécurité. Pouvez-vous ressentir cela et accepter ce droit? Je veux dire, c’est votre droit. Et ne me dites pas : « Eh bien, comment ? » Acceptez simplement que c’est votre droit d’être en sécurité.

Pouvez-vous ressentir cela et permettre cela? C’est cela le point numéro un pour les Shaumbra.

Il y a des années, c’était l’argent. Les Shaumbra auraient dit « Le droit à l’abondance, le droit d’être riche » et tout le reste. Comme les choses ont changé à présent. « J’ai le droit d’être en sécurité dans un monde dangereux. » Et sans ressentir le besoin de sauver tous les autres qui ne sont pas en sécurité ou qui pourraient ne pas l’être. Vous ne pouvez pas faire ça. Vous devez rester dans votre propre sécurité. Ils comptent là-dessus. C’est comme le syndrome de la personne qui se noie. Une personne qui se noie ne va pas aider une autre personne qui se noie. Restez au-dessus de l’eau. Restez en sécurité. Alors, pouvez-vous ressentir cela et vraiment incarner cela? « J’ai le droit d’être en sécurité. » C’est cela qui sera crucial pour avancer.

Ok. Point suivant sur la liste.

LINDA: « Je suis une expression ouverte, sans avoir besoin de l’expliquer ou de le limiter. »

ADAMUS: Cet item-là est venu de gens qui disaient: « J’en ai marre que les gens ne me comprennent pas. J’en ai marre de ne pas pouvoir être qui je suis. J’en ai marre de ne pas pouvoir dire ma vérité. J’en ai marre d’être analysé, critiqué, ostracisé et tout le reste », et j’ai distillé cela en le simplifiant un peu, en le réduisant à dix mots ou moins (quelques rires). « Je suis une expression ouverte. Je suis une expression ouverte. J’ai ce droit », sans avoir besoin de l’expliquer ou de le limiter.

Cette idée a fait surface pour la première fois lors d’un de nos rassemblements à Kona un peu plus tôt cette année, je crois que c’était à ce moment-là, et à ma grande surprise aussi. Le plus gros problème avec ce groupe, la chose la plus importante qui les frustrait, c’est qu’ils n’étaient pas vus. On ne les voyait pas. Ils avaient l’impression de devoir rester petits et sans expression (sans pouvoir s’exprimer) ou à essayer constamment de s’expliquer. Ce temps-là est terminé à présent. Ce temps-là est révolu depuis longtemps. Vous avez droit à votre pleine expression.

Maintenant, d’aucuns pourraient en débattre en disant: « Eh bien, cela signifie-t-il que l’on puisse crier ‘au feu !’ dans une salle de cinéma? » S’il vous plaît! Nous sommes au-delà de cela. N’entrons pas dans ce genre de débats philosophiques. Vous ne ferez pas ça.

Vous avez le droit d’être qui vous êtes, et c’est cela, être une lumière qui brille. C’est être capable à présent de... Oui, nombre d’entre vous ont du mal à s’exprimer, à formuler les choses, à parler. Et vous pouvez ressentir quelque chose en vous et commencer à essayer de l’exprimer en mots, mais alors vous trébuchez et tâtonnez, parce que vous avez refoulé cela pendant très longtemps. Vous avez le droit et la capacité de parler et que les mots sortent de votre bouche aisément. Ce sera le cas, quand vous arrêterez de vous exprimer seulement depuis votre cerveau et que vous apprendrez à laisser l’énergie parler pour elle-même.

L’énergie parle pour elle-même. Vous n’avez pas à y réfléchir. Les mots s’écoulent simplement et vous êtes fluide, et vous n’avez rien à expliquer à qui que ce soit. Vous savez pourquoi? Eh bien, parce que, tout d’abord, vous n’êtes pas obligé de le faire. Vous ne le leur devez pas. Et deuxièmement, les gens le comprendront tout simplement, ils le capteront. Quand vous êtes dans votre véritable expression, ils le comprennent, ils le captent, peu importe les mots que vous dites. Cela se produit à différents niveaux. Donc, c’est votre droit actuellement, de vous exprimer ouvertement, que ce soit verbalement, énergétiquement, artistiquement, comme vous le souhaitez. Et je ne suis pas… – je reçois ces mises au défi de la part de certains d’entre vous : « Est-ce que cela signifie que vous allez sortir et commencer à parler de politique et ... » Non, il ne s’agit pas de cela. Vous êtes au-delà de cela à présent, j’espère. Et les quelques-uns d’entre vous qui sont encore coincés là-dedans, dans les conspirations et la politique, s’il vous plaît partez. Je veux dire, nous avons de meilleures choses à faire ici.

Vous n’avez plus besoin de vous tenir debout sur une caisse à savon et à parler pour dire quel parti politique a raison ou tort ou quelque chose comme ça. Les causes ne vous appartiennent plus désormais. Il y a quelque chose de beaucoup plus conscient à faire sur la planète.

Donc, « Je Suis » – ressentez cela un instant – « Je Suis une Expression Ouverte, sans avoir à le justifier. »

Point suivant sur la liste.

LINDA: « Je suis libre, sans karma, sans culpabilité ni honte. »

ADAMUS: Bien, celui-ci a été remonté de nombreuses fois, et formulé de différentes manières, mais les Shaumbra disaient: « J’en ai marre d’avoir du karma. J’en ai marre d’avoir de la culpabilité et de la honte. » Beaucoup de ceux qui sont passés par Threshold, en particulier, ont dit: « Je comprends enfin que j’ai pu avoir autant de culpabilité et de honte. Maintenant, j’en ai marre, terminé de tout cela ». Et donc, j’ai en quelque sorte distillé tout cela dans ce simple : « Vous avez le droit d’être libres », et cela inclut le karma. Vous n’avez pas de karma, sauf si vous voulez avoir du karma. Le karma n’existe pas. Je veux dire, c’est une illusion à moins que vous ne décidiez de l’amener dans votre vie.

La culpabilité et la honte, en revanche, sont assez réelles parce que vous les générez. Vous avez une petite machine à l’intérieur de vous qui vous fabrique de la culpabilité et de la honte tous les jours et elle en produit à tour de bras (quelques rires). Mais tôt ou tard, vous vous direz : « Je vais débrancher cette machine, parce que j’en ai vraiment marre. » Vous avez le droit d’être libres.

Il y a quelque chose qui est en quelque sorte bloqué dans la psychologie humaine : « Je dois me sentir coupable de quelque chose, sinon je ferai de mauvaises choses. » Non. Non. Ça, c’était hier. C’est tellement ancien. Vous n’avez pas besoin que la culpabilité ou la honte soient comme des poteaux indicateurs ou des couloirs pour vous guider ou vous orienter dans la vie. La culpabilité et la honte ne sont qu’une mauvaise voie à sens unique. Vous n’avez pas besoin de culpabilité et de honte pour vous maintenir en place. Quelque part le long de votre route, vous avez eu cette idée que, « J’étais une mauvaise personne. » L’une des choses que je trouve honteuse dans le New Age, les gars, c’est que ses partisans adorent cette culpabilité. « Dans des vies passées, vous avez assassiné tous ces gens. » Oh! Ce n’était pas vous ! C’était votre putain de vie passée, et c’est elle qui a à faire avec cela, qui doit y faire face, et elle s’en occupe actuellement à plusieurs niveaux. Cela ne vous appartient pas, et vous n’avez plus besoin de le porter désormais. Et vous pouvez lâcher cela en un instant. Mais ensuite, la culpabilité et la honte reviennent vers vous: « Eh bien, je dois en porter un petit peu. Ne suis-je pas en partie responsable de cela ? » Non. C’est la fin du karma. C’est la fin de la culpabilité et de la honte.

Imaginez juste cela un instant, en utilisant vraiment votre imagination. A quoi ressemblerait une de vos journées ordinaires si vous n’aviez ni culpabilité, ni honte, ni karma ? Wow!  C’est cela la liberté. Et donc, ça c’était un point important. Et vous y avez droit. Vous n’êtes pas obligés de faire des efforts pour l’atteindre. Vous n’avez pas à payer pour l’obtenir. Vous n’avez pas à travailler dur pour cela et vous n’avez pas à souffrir pour cela. Instantanément, en cet instant même, c’est votre droit, « Je suis libre de toute culpabilité, honte et karma. » Ok.

LINDA: « Je suis la beauté et la sensualité. »

ADAMUS: Oui, tout à fait (quelques rires).

Celui-ci a constitué une espèce de thème récurrent dans toutes les propositions, toutes les contributions qui sont arrivées. Les Shaumbra disaient : « Je veux enfin avoir de la beauté dans ma vie. Je veux voir la beauté. Je veux être sensuel. J’en ai marre de regarder un arbre en pensant que c’est simplement un arbre. Je veux voir la beauté inhérente à toute chose. » Et c’est votre droit. Le mental est programmé pour voir les choses d’une manière très linéaire et très littérale. Et souvent, la beauté de la vie, sa sensualité vous est retirée par de très, très nombreuses choses.

Mais je dirais que c’est l’un de vos plus beaux sens, le sens de la Beauté. C’est un sens. Et la sensualité, vivre une vie sensuelle, une vie délicieuse où tout ce que vous mangez est sensuel, tout ce dont vous régalez vos yeux est sensuel, tout – la musique – et tout le reste. Et si quelque chose n’est pas sensuel, si ce n’est pas intrinsèquement sensuel et que vous ne pouvez pas vous connecter à des énergies sensuelles, jetez cette chose hors de votre vie, parce qu’il y a des choses dont l’énergie et la façon dont cette énergie y est intégrée manque de sensualité, alors jetez cela hors de votre vie. Il est temps d’être la beauté qui existe en vous et qu’elle soit présente dans tout ce qui vous entoure.

Imaginez à présent, à mesure que nous avançons, que vous voyez la beauté en toutes choses, et pas seulement comme un petit cliché, mais je veux dire que vous ressentez vraiment la beauté dans les choses. C’est comme cela que la vie devrait être. Sans cela, il n’y aurait pas de joie possible. Ce serait la dépression. Il y aurait de l’anxiété. Une fois que vous commencez à permettre à la beauté naturelle de toute chose de s’exprimer et que vous vous permettez de la percevoir, vous ne pouvez plus être déprimé et vous ne pouvez plus vous ennuyer. Vous pourriez rester assis sur un banc huit heures par jour et ne rien faire d’autre que de ressentir, de sentir et de faire l’expérience de cette beauté, et d’aucuns diraient: « Eh bien, n’est-ce pas ennuyeux de rester assis là toute la journée? » Non. Ce qui est ennuyeux, c’est ce que vous faites, de ne pas mener une vie sensuelle. Ça, c’est ennuyeux.

D’accord, avançons.

LINDA: D’accord.

ADAMUS: « Je ... » oh. C’est vous qui alliez dire celui-ci.

LINDA: Vous vouliez le dire vous-même?

ADAMUS: Non, dites-le vous.

LINDA: C’est quelque chose que vous dites tout le temps.

ADAMUS: Je sais, mais alors vous devriez le dire.

LINDA: D’accord. D’accord.

ADAMUS: Pratiquez, n’est-ce pas.

LINDA: D’accord. « Je Suis ce que Je Suis, et pas la conscience de masse, ni mes ancêtres, ni mes vies passées, ni les familles angéliques, ni les projections des autres. »

ADAMUS: Vous n’êtes rien de tout cela. Et, encore une fois, il est communément admis que, eh bien, vous êtes en partie votre famille et vos familles angéliques. Nous nous sommes débarrassés des familles angéliques, quoi, il y a deux ans de cela. C’était une bonne chose. Vous n’êtes rien de tout cela.

Maintenant, cela vous laissera un sentiment de vide peut-être pendant une courte période, parce que vous vous êtes identifiés à ces choses. Elles faisaient partie de vous, et d’une certaine manière, elles font toujours partie de votre histoire, mais vous ne leur êtes plus redevables. Plus du tout. Vous êtes un être libre. « Je Suis ce que Je Suis. Pas ce qu’est ma famille. Pas ce qu’étaient mes vies passées ». Vous n’êtes pas vos vies passées, pas du tout. Comme je vous l’ai déjà dit, ce sont comme vos cousines d’âme ou quelque chose comme ça, mais ce n’est pas vous. Et plus important encore, elles sont en train de se tourner vers vous pour sortir de tout cela, y compris de votre ancienne lignée familiale d’âme. Elles attendent de vous que vous vous éleviez au-dessus de cela, en disant: « Je ne suis pas seulement une autre vie dans la série de vies de mon âme. » Vous êtes l’ascendant désigné. Vous êtes celui qui se libère y compris des schémas de vies passées de l’âme. C’est énorme. C’est énorme.

« Je Suis ce que Je Suis, pas ce qu’elles sont, pas ce qu’est ma famille biologique, pas cette conscience de masse, pas les projections que les autres mettent sur moi. Je Suis ce que Je Suis. C’est moi qui déciderai qui je suis. »

Passer en revue vos propositions à ce propos, à propos de ce que nous appelons la Déclaration des Droits ou les Droits du Maître, a été phénoménal, le fait de ressentir profondément toutes ces réponses. Cela a été une sacrée expérience que j’ai eue. Item suivant.

LINDA: « Je suis conscient de mes sens d’âme, ainsi que de mes sens humains. »

ADAMUS : Bien. Vous ne connaissez probablement que trop bien vos sens humains. J’utilise le mot « sens d’âme » à présent, plutôt que « sens angéliques ». Nous sommes en quelque sorte en train de nous éloigner de ces trucs de familles angéliques. Ce sont vos sens d’âme et il y en a plus de 200 000. Vous n’en aurez pas besoin de beaucoup, mais il est temps à présent; vous avez droit à ces sens. Nous avons parlé d’un certain nombre d’entre eux – la Beauté en est un, la capacité de Focalisation en est un – il y en a de nombreux. Nous en étalerons (glisserons) d’autres ici ou là (Linda rit – jeu de mot difficilement traduisible en français). Non, nous les étalerons (glisserons), comme quand on étale l’air de rien le nom de ses relations dans une conversation.

LINDA: Oh. Oh.

ADAMUS: Oui. J’essaie d’être branché là et d’utiliser une espèce de terminologie branchée (quelques rires). Kuthumi m’a charrié ces derniers temps, en me disant que j’étais un peu en retard sur mon temps et que j’avais besoin de parler et de m’habiller de façon plus actuelle, et que j’avais besoin d’écouter de la musique autre que classique. Alors j’essaie. Alors, s’il vous plaît, soyez indulgents avec moi. Oui.

Qu’est-ce qu’il y a, ma vieille ? (rires)

LINDA: Oh, là vous êtes sur la bonne voie (plus de rires).

ADAMUS: J’aurais peut-être besoin d’un peu plus de coaching sur le sujet. Mais, bien sûr, c’est lui (Kuthumi) qui a aidé à trouver mon nom, Adamus.

LINDA: Eh bien, bien sûr. Nous savons ce qu’il signifie. (en se référant à la canalisation de Kuthumi effectué lors des 10 ans avec Adamus.)

ADAMUS: Oui, bien sûr (Adamus rit). Et bon, il est en train de s’échauffer pour l’événement Le Rêve du Merlin.

LINDA: Bien sûr.

ADAMUS: Et donc, vous avez ces magnifiques sens. Faisons-les venir à nous. Et comment faites-vous cela? Vous le permettez tout simplement. Nous allons en parler, je vous donnerai quelques explications de ce que sont ces autres sens, mais nous allons commencer à les réintroduire, et cela rendra votre vie tellement plus gratifiante et épanouissante et amusante et excitante et magique. Vous avez vos sens humains, c’est super, mais intégrons certains de ces autres sens pour rendre votre expérience de vie, durant le temps qu’il vous reste à vivre ici sur la planète, beaucoup plus spéciale. Vous avez donc droit à vos sens d’âme. Et je me fiche de ce que votre mental vous dit: « Eh bien, où sont-ils? Et comment vais-je les utiliser? » Ta gueule! Nous allons simplement les faire venir. Nous ferons aussi beaucoup de « ta gueule ! » et de « va te faire foutre » (rires), juste pour en définir les paramètres. Ok. Ou de « ferme ta putain de gueule ! » (plus de rires). Oui. Vous savez, si je dis simplement « ta gueule ! », c’est un peu comme, ok, c’est une chose. Mais si je dis « ferme ta putain de gueule ! », c’est que c’est vraiment important. Ok, prenez note de cela. C’est que c’est vraiment important.

Ok, quel est le suivant?

LINDA: C’est comme ça que je sais que c’est Geoff qui est en train de canaliser.

ADAMUS: Item suivant sur la liste.

LINDA: « Je suis la joie, dans chaque cellule de mon corps et chaque pensée dans mon mental. »

ADAMUS: Oui. Il y a eu beaucoup de contributions autour du corps de lumière, par exemple. Il y a eu beaucoup de « Je veux mon corps de lumière à présent » et « Je veux de la joie », et les deux semblaient presque mêlés. Le corps est quelque chose d’éprouvant pour vous. Vous n’avez pas besoin que je vous le dise. Le corps a mal et souffre. Vous êtes en train de traverser cette transformation. Il est temps cependant de se dire : « Soyons dans la joie avec chaque atome, chaque cellule du corps. Soyons dans la joie dans les pensées du mental. » Maintenant, je ne parle pas d’un optimisme artificiel. Je parle de véritable joie – combinée à certaines des autres choses que nous avons évoquées ici – la capacité à simplement vous laisser aller à la joie, vous permettre la joie. La joie, le bonheur, la sensualité, le flux. Je crois que c’est peut-être même un meilleur mot que « joie ». « Je suis mon flux – mon flux d’énergie, mon flux de facilité et de grâce – sans toute cette résistance et cette friction le long du chemin. » C’est votre droit. Ayez cela dans votre corps et votre mental et dans tout ce que vous faites. Ok.

LINDA: « Je suis enfin détendu. »

ADAMUS: Bon, celui-là était intéressant aussi. Il y a eu beaucoup de mentions de celui-là : « Je suis enfin détendu ». Au sens où c’est quelque chose d’inattendu, mais cela n’a pas été dit de cette manière. L’idée, c’était : « J’ai besoin de me détendre enfin » (Linda rit) et « J’en ai tellement marre d’être stressé. L’anxiété me submerge, elle est énorme ». Vous avez le droit d’être enfin détendus. Pourquoi? Revenons au premier item. Parce que vous êtes en sécurité. Quand vous êtes en sécurité, vous pouvez vous détendre. Le reste du monde n’est pas en sécurité. Les gens ne sont pas détendus. Ils sont anxieux, dans l’anxiété. Les tensions montent, s’accumulent. Qui sait où les choses vont aller? Eh bien, moi je le sais, mais ...

« Je suis détendu. » Ressentez simplement cela un instant. « Je suis enfin détendu » (Adamus prend une profonde inspiration). Il y a beaucoup de tension dans votre relaxation (Adamus rit). Je veux dire, ressentez vraiment cela. C’est votre droit. C’est votre droit d’être détendus, d’être à l’aise. Maintenant, acceptez ce droit. « Je suis détendu. » Ahh! (courte pause) Vous n’êtes pas très détendus (Adamus rit). Il y a encore beaucoup de tension. D’accord.

Bon, durant votre temps libre, revenez au « Je suis en sécurité ». Ce n’est pas une construction mentale. Ce n’est rien que vous ayez à schématiser, à vous représenter. C’est un droit. Vous n’avez pas à y réfléchir. C’est un droit : « Je suis en sécurité. » Ensuite, après avoir vraiment ressenti cela, maintenant allez dans le « Je suis détendu. » Ahh! Vous pouvez vous détendre parce que vous êtes en sécurité. C’est aussi simple que cela. C’est un droit. Vous n’avez pas à payer pour cela. Vous n’avez pas à travailler dur pour cela. C’est votre droit.

Ok, qu’avons-nous d’autre sur la liste?

LINDA: « Je suis dans l’harmonie physique, avec mon corps physique et mon corps de lumière. »

ADAMUS: Encore une fois, il y a beaucoup de mention du physique qui sont arrivées. Je le comprends tout à fait. Le physique est peut-être l’une des choses les plus difficiles à traverser actuellement, et je dois vous dire qu’il y aura de l’inconfort à traverser toute cette transition vers le corps de lumière. Mais je vais vous dire tout de suite que la façon la plus facile de le faire, si vous voulez que ce soit facile - vous voulez que ce soit facile? (quelques Shaumbra disent « Oui ») Mourez (rires). Oui, et puis revenez. Revenez à travers un petit bébé tout frais, et vous constaterez: « Oh! Doux Jésus, en renaissant, j’ai amené directement mon corps de lumière avec moi, dans le canal de naissance ». Si vous comptez rester ici comme ça, ce sera dur pour votre corps. Alors, vous ferez beaucoup de respiration, et vous vous souviendrez que vous avez droit à la sécurité. Et par conséquent, vous avez droit à une harmonie physique avec votre biologie.

Votre biologie est hyperactive actuellement dans ses communications. Vous avez l’anayatron, qui est en train de commencer à disparaître, mais qui est en réalité en train de stimuler les communications entre toutes les particules et les cellules et les parties non physiques de votre corps physique. Il est en hyper-communication, ce qui est l’une des raisons pour lesquelles vous avez du mal à dormir la nuit. Et alors vous vous dites : « Je ne peux pas dormir parce que mon corps souffre et j’ai beaucoup de douleur. » C’est parce que votre corps est en train de parler, de communiquer beaucoup. Il est maintenant temps pour vous de réaliser que vous avez droit à l’harmonie physique. « Va te faire foutre, corps. Je veux l’harmonie physique. Je me fiche de ce que tu dis, j’en ai marre de cette douleur. J’en ai marre de jouer à ce jeu qui n’en finit pas. Le temps du corps de lumière est venu. Et c’est maintenant. » L’harmonie physique. Acceptez ce droit.

C’est phénoménal – je ne sais pas s’il y a des machines qui pourraient effectivement le tester actuellement – mais une fois que vous acceptez ce droit, les choses commencent vraiment à changer. Toutes les communications en quelque sorte…, c’est un peu comme si certaines parties de votre corps se demandaient: « Qu’est-ce qu’il se passe? Qu’est-ce qui est en train de m’arriver? Ce corps de lumière est en train de me pénétrer et que suis-je censé faire ? Est-ce que je vieillis et est-ce que je vais attraper le COVID? Est-ce que je vais attraper la variole du singe? » ou quoi que ce soit d’autre. Ferme ta putain de gueule! (quelques rires) « J’ai droit à l’harmonie physique. Ta gueule! Fais cette transition. Corps de lumière, arrête de rester à l’écart. Mets un coup de pied au cul de mon corps physique, mais pas trop fort. Intégrons-nous à présent ». Vous avez ce droit.

LUC : Immédiatement !

ADAMUS : Merci. Oui, oui, oui (quelques applaudissements). Wow! Wow! oui. La biologie, c’est vraiment une chose difficile, et à peine vous pensez être en train de passer une bonne journée que brusquement vous êtes malade ou que vous avez mal quelque part ou quoi que ce soit d’autre, et cela fait disparaitre tout cela.

Alors, je vais vous demander d’être forts et audacieux et de devenir les leaders, les guides de votre propre physique (ceux qui lui donnent la direction à suivre). C’est votre corps – ce n’est plus celui de vos ancêtres, c’est le vôtre – endossez ce rôle de leader et acceptez ce droit. Ne vous contentez pas de l’observer. Ne vous contentez pas de l’accepter seulement un petit peu. Prenez ce droit et amenez-le en vous. Il est à vous.

D’accord, item suivant.

LINDA: Est-ce que le mot Fuck (utilisé par Adamus et signifiant va te faire foutre ou putain,  etc. selon le contexte) a une traduction dans les 30 langues environ dans lesquelles ce Shoud sera traduit?

ADAMUS: Oh, bien sûr. Tout le monde connait ce terme « putain ».

LINDA: Tout le monde?

ADAMUS: Oui, oui (quelques rires). Il y a quelques mots qui sont communs à toutes les langues, j’ai découvert ça, dans le monde entier. « Ok. » Tout le monde utilise le terme « ok ». Vous savez, dans la plupart des cultures : « Ok. Vous êtes ok avec ça? » Oui. Et puis « merde » en est un autre (quelques rires). Je veux dire, il n’y a rien de mal à dire cela. C’est juste cinq lettres assemblées – « merde » – n’est-ce pas, mais les gens comprennent ça, et puis, il y a le « putain ». « Putain », c’est probablement… – certains d’entre vous grincent des dents. Bon, et alors ?! Un Maître – vous savez, vous avez le droit de dire « putain ». Ce droit devrait être placé tout en haut sur ces diapositives (rires et applaudissements). Oui! (Adamus rit) Les autres personnes pourront grincer des dents. Et alors vous leur direz, « Eh bien, va te faire foutre », n’est-ce pas (plus de rires). Du style « Fous-moi la paix putain! Je suis un Maître, et je n’ai pas à être gêné. Je n’ai pas à me retenir parce que tes petites oreilles humaines n’aiment pas le mot ‘putain’. Va te faire foutre! » n’est-ce pas (rires). « Boudiou, quel bordel! » (plus de rires)

Et donc, nous devrions intégrer celui-la dans la liste, ne pensez-vous pas? Peut-être pourrions-nous faire un putain de vote (plus de rires). Devons-nous l’inscrire ou pas dans la déclaration des droits? (le public crie « oui !! » et rit) On le garde dans la liste? Putain, oui! (Adamus rit) D’accord!

Le prochain, c’est vraiment un droit important, super important.

LINDA: « Je suis au-delà de la mort, comme la condition humaine le connaissait autrefois. »

ADAMUS: Vous êtes au-delà de la mort. J’irais même jusqu’à dire que vous êtes déjà morts. Au véritable sens énergétique de la condition physique humaine, vous êtes déjà morts. Vous avez déjà traversé cela. La mort définit ou impacte une énorme part de votre vie humaine. Vous avancez lentement vers la mort, et elle vous fait peur. Elle suscite en vous de l’incertitude et du doute. Et les gens ne comprennent pas la mort et ils évoquent ces choses étranges au sujet de ce qui se passera avec la mort, ou du fait que rien ne se passera. Vous êtes au-delà de la mort, et c’est très important à comprendre, en particulier pour vous tous qui nous avez écrit en disant: « Je ne veux pas mourir d’une manière indigne. » Amen. Vous avez raison. Vous n’êtes pas obligés de le faire. Vous avez le droit de partir quand vous voulez, et vous avez vraiment le droit de partir comme vous voulez. Tout à fait, si vous acceptez ce droit. Si vous le regardez simplement affiché sur le mur en vous disant: « Eh bien, ça semble bien. » Je parle d’accepter cela. Vous avez le droit de mourir (comme vous le voulez).

La mort est quelque chose de très, très facile (à vivre, à expérimenter). La mort est un énorme… – la mort est en fait quelque chose de tellement marrant que vous voudrez revenir (vous réincarner) pour le refaire, en revivre l’expérience (certains rires). C’est comme les montagnes russes, « ohhhh! putaiiiin! » (rires) Et puis quand vous en descendez, vous vous dites : « Oh, c’était cool. Je vais refaire ça encore une fois ». La mort, c’est un peu pareil. Du style, « ohhhh! La Faucheuse! ohhhhh! » Et alors vous la traversez et tout à coup vous êtes de l’autre côté et vous vous dites, « wowwww! » (quelques rires) « Regardez-moi maintenant. Adamus, tu es là pour m’accueillir ! Certains de mes amis Shaumbra sont la. Wowwww! Ça c’était amusant ». Et après, vous devez vous moquer de vous, parce que vous réalisez que toute cette inquiétude pendant, quoi, 80-90 ans de votre vie était totalement infondée. C’était vraiment facile.

Et donc, l’un de vos droits, c’est celui de mourir comme vous le voulez. Dignement, si vous voulez. Vous pouvez le faire de façon très lente, si vous voulez. Ou vous pouvez simplement quitter votre corps. J’en parlerai dans un instant. Et donc, vous êtes au-delà de la mort. Pouvez-vous accepter ce droit? (certains Shaumbra disent « Oui ! ») Ok. Mourir dans la dignité. Mourir avec humour. Mourir de manière flamboyante. Mourir en racontant des blagues ou en mangeant un bon repas.

Ok. Ooh, ce regard (de Linda). Ohh!  (rires) Oh, doux jésus ! Ok. Et le dernier.

LINDA: « Je possède mon propre jardin secret, dans le sanctuaire profond de mon âme. »

ADAMUS: Personne ne l’a dit comme ça, mais les Shaumbra ont dit: « J’ai droit à mon propre espace où personne ne puisse venir interférer. J’ai droit à mon âme, à ma souveraineté, à un endroit où les énergies de la conscience de masse ne puissent pas entrer. J’ai droit à cet espace privé où je puisse aller me ressourcer quand je veux. » C’est votre droit, et tout le monde a ce droit.

Nous en parlons avec des termes différents à Keahak. En particulier, nous avons parlé du Dvir, c’est l’état pur de l’énergie, mais cela va même au-delà de cela. Ce n’est pas une cachette, un endroit où l’on se cache, et certains d’entre vous ont fait cette erreur dans le passé. Ce n’est pas une cachette. Ce n’est pas une grotte secrète, une grotte souterraine. C’est votre jardin secret. C’est un espace où vous pouvez aller quand vous le voulez. Personne d’autre ne peut intervenir ou interférer. Personne d’autre ne peut y entrer. Même si vous y invitiez des gens, ils ne pourraient pas y entrer. C’est votre endroit. C’est votre refuge avec votre âme. Et concernant ce jardin secret, il peut s’agir d’un jardin ou d’une forêt. Ce peut être une rivière. Ce peut être le ciel. Ce peut être rien du tout. Mais c’est votre endroit, un endroit rien que pour vous. Vous pouvez y rester aussi longtemps que vous le souhaitez, pour vous y ressourcer, pour vous y rééquilibrer, pour vraiment vous connecter à votre âme. Personne ne pourra jamais vous l’enlever, et vous vous rendrez compte qu’il a toujours été là. Vous en aviez seulement perdu le chemin d’accès, vous aviez oublié qu’il était là et vous pensiez que c’était un grand jardin commun que nous partagions avec tout le monde. Pas du tout. C’est votre jardin.

Prenons une profonde respiration avec ça. C’est votre droit.

Je crois que c’est à peu près tout ce que nous avions. Oh, un encore. Oh, parfait.

LINDA: « Je suis un Maître, et c’est moi qui définis cette réalité. »

ADAMUS: Oui, bien sûr! Celui-là, c’est une bonne synthèse. « Je suis un Maître. » Vous n’essayez plus d’atteindre la maîtrise ou d’accéder au statut de Maitre. Nous sommes au-delà de cela. Soit vous êtes un Maître, soit vous ne l’êtes pas. Et si ce n’est pas le cas, il est temps pour vous de partir. Si vous l’êtes, continuons à avancer avec la raison même, la massion que vous avez d’être ici sur la planète.

Certains d’entre vous pensez que vous devez en permanence essayer de gagner ce statut de Maitre ou vous observez la réalité autour de vous en vous disant: « Mais j’ai besoin de la validation du fait que je suis bien un Maître. J’ai besoin que d’autres personnes fassent des 'ooh' et des 'ahh'. J’ai besoin de voir que je peux effectuer des tours de magie. » Vous n’obtiendrez jamais cela, jamais, jusqu’à ce que ce soit vous qui décidiez que vous êtes un Maître. Vous n’obtiendrez pas de validation extérieure tant qu’à l’intérieur, vous n’aurez pas accepté votre droit à être un Maître. C’est tout. C’est aussi simple que cela. Et alors vous vous rendrez compte qu’en tant que Maître, c’est vous qui définissez votre réalité. Et personne d’autre. Vous serez conscients des autres réalités autour de vous, mais vous direz: « Je suis un Maître. C’est moi qui définis la réalité ». Pas la conscience de masse, pas vos anciennes familles ou quoi que ce soit du genre, mais « c’est moi, je définis ma réalité ».

À ce moment-là, vous vous rendrez compte de ce qui est important, et ce n’est pas l’argent et ce ne sont pas les relations amoureuses. Ce n’est pas d’être sexy, ou ce n’est pas d’avoir tous ces titres accolés à votre nom, vos diplômes. Vous réaliserez que tout cela a été une expérience intéressante, mais vous commencerez à réaliser ce qui est important. Et il n’y a pas beaucoup de choses qui le sont en vérité. Ce qui est drôle, c’est que quand vous réalisez cela et que vous acceptez « Je suis un Maître », tout le reste se résoud ou trouve une solution tout simplement. Vous n’avez même pas besoin de penser à l’abondance, à la santé, à vos relations amoureuses ou quoi que ce soit. C’est juste là. Quand vous êtes dans la maîtrise, tout cela est juste là. Pourquoi? Parce que votre énergie le sait déjà. Il s’agit seulement que vous vous en rendiez compte à présent. Votre énergie sait déjà comment faire naître l’abondance et la sagesse et la paix et la joie et une biologie équilibrée. Elle le sait déjà, et elle est juste là à attendre de vous servir.

Ressentez votre droit, « Je suis un Maître. » Ne continuez pas à interroger l’extérieur en vous disant: « Mais j’ai besoin de voir quelque chose à l’extérieur. J’ai besoin que les gens soient super impressionnés par moi » ou « J’ai besoin d’être soudain capable de marcher sur l’eau ». Cela n’arrivera jamais, parce que tout ce que cela signifie, c’est que vous n’y croyez pas. Vous cherchez une validation à l’extérieur de vous-mêmes, et elle ne se produira jamais. Vous commenceriez une longue, longue, longue, très longue quête. Dès l’instant où vous acceptez votre droit à être un Maître, votre énergie, votre réalité (changent), et par conséquent la magie se produit, mais alors cette magie n’est plus ce qui est important. Tout est juste là.

Et donc, nous avons eu beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de réponses merveilleuses. J’ai été très impressionné par ce que nous avons reçu. Il n’en aurait pas été de même il y a trois ou quatre ans.

Alors, Linda, j’ai demandé à Cauldre d’en rassembler quelques autres juste pour que vous puissiez les entendre. On ne les a pas inclus dans notre petite liste, mais ils méritent quand même d’être mentionnés.

LINDA: Ok. Vous voulez que je les lise tous?

ADAMUS: Le premier d’abord.

LINDA: Le premier?

ADAMUS: Cela ne vous dérange pas si je mange pendant que vous lisez, n’est-ce pas? Ce gâteau est très bon.

LINDA: J’en suis putain de super contente pour vous ! (rires et quelques acclamations et applaudissements du public).

ADAMUS: Ok. Qu’avons-nous là? Certains autres droits que nous n’avons pas mis dans la liste. J’adore ce premier.

LINDA: « J’ai le droit d’être l’auteur de ma vie. »

ADAMUS: J’adore la façon poétique qui a été utilisée pour le dire. « Je suis l’auteur de ma vie. Personne d’autre ne va en écrire le scénario. C’est moi qui en suis l’auteur. »

LINDA: C’est vous qui avez écrit cela?

ADAMUS: Non, pas du tout.

LINDA: « J’ai le droit de ne pas me sentir responsable des expériences des autres. »

ADAMUS: Oui. Maintenant, celui-ci est très important. Vous n’êtes pas responsable des autres. Et s’ils ont une vie misérable, qu’il en soit ainsi. Pouvez-vous être suffisamment Maître pour accepter cela, le fait que c’est eux qui le choisissent ? Maintenant, s’ils viennent à vous et qu’ils vous demandent des conseils, votre lumière ou quoi que ce soit d’autre, alors c’est le moment d’agir. Mais, voyez-vous, s’agissant simplement de la vie misérable d’une personne lambda, des membres de votre famille, de vos amis, ayez uniquement de la compassion. Ce sont eux qui le choisissent. Il est très important de ne pas prendre sur vous les problèmes du monde.

LINDA: « Le droit d’être un pirate. »

ADAMUS: Je me devais d’inclure celui-là, n’est-ce pas (quelques rires). Bien. Je pense que nous l’avons prouvé aujourd’hui avec certaines des autres diapositives. Au suivant.

LINDA: « Le droit de communiquer et de dialoguer avec les animaux et les plantes comme quand je parle à une personne. »

ADAMUS: Bon, le droit de dialoguer avec les animaux et les plantes. J’aurais aimé qu’il y ait un point là, mais la personne a continué en disant – c’était quoi la suite?

LINDA: (riant doucement) « Comme quand je parle à une personne. »

ADAMUS: « Comme quand je parle à une personne. » Non. Non. Quand vous communiquez avec des plantes et des animaux, vous n’utilisez pas l’anglais, l’allemand, le russe ou n’importe quelle autre langue. Vous n’utilisez pas ces langues. Vous le faites énergétiquement. Vous avez un sens naturel de la communication. Peut-être, en développant un peu la liste, qu’on pourrait dire : « Vous avez le droit de communiquer de manière non verbale et de le comprendre. » Vous ne parlez pas à votre chien avec des mots. Votre chien dirait: « Putain de quoi il me parle? » (quelques rires) Vous lui parlez énergétiquement.

Maintenant, vous entendrez votre mental y mettre des mots, ce qui est ok. Mais vous ne le mettrez pas d’emblée en mots. Et donc, supposons que vous vous connectez à votre chien, que vous vous connectez à Belle, vous ressentirez ceci – et c’est un peu difficile de ne pas y mettre de mots – mais c’est juste ce sentiment d’amour et quoi d’autre?

LINDA: C’est une énergie. On ressent une énergie.

ADAMUS: Vous n’avez pas besoin de la mettre en mots. Maintenant, vous pourrez entendre votre mental vous dire: « Ok, nous devons traduire cela en ‘amour’ et ‘acceptation’ et ‘tu me manques’ », mais ce n’est pas ce que vous transmettez. Vous ne parlez pas à d’autres choses non humaines en termes humains. Vous les ressentez psychiquement, et c’est ok – votre mental y attachera un mot, c’est ok – mais le premier commandement, c’est de le faire énergétiquement. Et donc, quand nous communiquons comme ceci, comme je le fais à l’instant avec Joanne, je n’ai pas besoin d’utiliser de mots. Les mots sont une distraction là, mais je suis en train de vous communiquer quelque chose de très beau. Et cela ne nécessite pas de mots, et vous n’avez pas besoin de mots pour le comprendre. C’est là.

Ok, alors je voulais celui-là juste pour m’assurer que vous compreniez. Arrêtez d’utiliser le langage. Il existe un type de communication plus élevé. Bien.

LINDA: « Le droit de ne plus jamais se réincarner nulle part » (certains rient).

ADAMUS : Oui ! (Adamus rit) Lisez-le avec… – lisez-le avec l’intonation avec laquelle cela avait été écrit la première fois.

LINDA: « Le droit de ne plus jamais se réincarner nulle part!!! »

ADAMUS: Oui. Bien, d’accord. Je pense que cela parle de lui-même. Et vous n’êtes pas obligés de le faire, soit dit en passant. Vous n’êtes pas obligés de le faire.

LINDA: Il y a beaucoup de points d’exclamation à la fin de cette phrase.

ADAMUS: Tout à fait, oui! J’ai pensé que c’était très adapté aux Shaumbra, « Je ne vais plus jamais m’incarner. » Il existe cependant une alternative. Nous en parlerons dans Alt. Ok. Le suivant.

LINDA: « Le droit d’ignorer tout conseil donné par n’importe quel Grand Maître Ascensionné et de choisir ma propre expérience à la place » (Adamus fait un doigt d’honneur, le public crie « Whoa!! » et rires). Oh, nous revenons encore à cela.

ADAMUS: Non, non! Ça (ce doigt d’honneur), c’est à moi qu’il était adressé (Adamus rit). C’est ce que je ressens au-delà des mots. Qu’est-ce que cette personne a vraiment essayé de me transmettre? Mmm (Adamus montre à nouveau son majeur en faisant un doigt d’honneur et plus de rires). Bien. Et le dernier.

LINDA: Il est parfaitement adapté à ce dont nous parlons aujourd’hui – je le lis exactement comme il a été posté – « Le droit d’être arrogant et un fils de pute » (quelques rires).

ADAMUS: Je ne pense pas que vous ayez bien lu.

LINDA: « Le droit d’être arrogant et un fils de pute. »

ADAMUS: Oui. Le droit d’être arrogant et d’être un fils de pute. Ok. Très bien.

LINDA: Relisons-le pour nous assurer que nous avons bien compris (rires).

ADAMUS: Vous voulez juste répéter ce mot, n’est-ce pas? (plus de rires). D’accord. Très bien.

Prenons un instant pour vraiment ressentir les véritables Droits du Maître. Chacun d’eux est votre droit, et il y en a beaucoup plus. Nous pourrions en faire une très longue liste. Je voulais en quelque sorte distiller cela. Ce sont vos droits. Vous n’avez pas à les gagner. Ils ne sont pas hors de portée. Ils ne sont pas quelque part ailleurs. Chacun d’eux est juste là, et commençons tout de suite avec la « Sécurité ».

Vous avez le droit d’être en sécurité. Vous comprenez cela? Je veux dire, physiquement en sécurité, émotionnellement en sécurité, financièrement en sécurité. Vous avez le droit d’être en sécurité même dans un monde plein de crimes et d’obscurité.

Vous pouvez choisir ce droit ou vous pouvez discuter ce droit ou vous pouvez dire: « Eh bien, je vais juste en prendre un petit peu. » Mais vous avez le droit d’être totalement en sécurité. Et ce n’est pas qu’un groupe d’anges sera en train de planer tout autour de vous pour vous protéger. C’est votre propre âme, votre propre énergie qui le fera.

Vous pouvez être au beau milieu d’une tempête, au milieu du chaos, ce que la planète est d’ailleurs en train de traverser actuellement; vous avez le droit d’être en sécurité. Accepterez-vous ce droit? Ok.

Prenons une bonne respiration profonde.

 

Un Maître Shaumbra

Nous allons changer de sujet. Nous allons changer radicalement d’énergie pour aller dans notre Merabh à présent, avec les lumières atténuées et un peu de musique.

Prenons quelques bonnes respirations profondes cependant, alors que nous entrons dans ce Merabh, et je vais le commencer comme si je vous racontais une histoire. Et faites-moi savoir quand vous serez prêts là-bas.

(la musique commence)

Prenez une bonne respiration profonde.

Ce qui est intéressant, c’est que nous avons traversé beaucoup de choses aujourd’hui, nous avons utilisé beaucoup de mots, des gros mots aussi. Mais ressentez, un instant, les énergies. Vous avez le droit de ressentir les choses, les communications à différents niveaux.

Cette histoire est une histoire totalement véridique. Il s’agit d’une Shaumbra, d’un véritable Maître. Un véritable Maître.

Elle était comme beaucoup d’entre vous qui êtes nés sur cette planète il y a quelques temps déjà, et très tôt dans sa vie, elle s’était demandé pourquoi elle était venue dans la famille biologique où elle était née. Cela ne lui avait jamais semblé tout à fait juste. Elle n’avait jamais eu l’impression d’être vraiment un membre de sa famille. Ce n’était pas une mauvaise famille. Il y avait eu certains abus ou maltraitances, mais rien d’extraordinaire. Mais elle n’avait jamais eu l’impression d’être des leurs.

Alors qu’elle était très jeune, d’un très, très jeune âge, je me souviens l’avoir vue assise sur l’herbe devant la maison en train de rêvasser en se disant : « Un jour, je m’échapperai de cet endroit. » Cela ne signifiait pas seulement sa famille et la maison, mais « cet endroit » renvoyait un peu à une énergie, une réalité. « Un jour, je m’échapperai de cet endroit. Un jour, j’irai voir le monde. Un jour, je pourrai suivre mon cœur. »

Je me souviens l’avoir observée ce jour-là très déterminée, très belle.

Elle n’était pas une super bonne élève. Elle ne s’intéressait pas tellement à l’école. Et c’était intéressant parce que même si elle était très bonne avec les gens, elle n’avait pas beaucoup d’amis, elle ne voulait pas avoir beaucoup d’amis; elle trouvait qu’il était important de prendre beaucoup de temps pour elle-même.

Elle était séduisante et les garçons lui couraient derrière en quelque sorte. Mais, voyez-vous, il y avait quelque chose d’intégré en elle, ce genre de, eh bien, je crois que vous appelleriez cela un filet de sécurité, l’idée de ne pas trop s’investir dans les relations amoureuses, parce qu’elle savait finalement que là où elle allait, il n’y avait pas de place pour cela. Malheureusement, je crois, mais il n’y avait tout simplement pas de place pour cela.

Elle a quitté la maison à un âge relativement précoce, peu de temps après le lycée et elle était allée à l’université, avait étudié la psychologie, les soins de santé. Elle ne s’était jamais vraiment investie dans les études, elle voulait juste les terminer et aller travailler, mettre la main à la pâte. Faire le job, pas seulement l’étudier.

Et au bout du compte, elle avait effectué toute sa scolarité, était allée dans le monde du travail et avait été très déçue – très déçue – que ses rêves et ses objectifs, ses aspirations à aider les autres soient écrasés par le système, par la bureaucratie, par l’ego des gens et toutes les choses qui se passent une fois que vous entrez dans le monde réel, comme on l’appelle, et qui n’est vraiment pas le monde réel.

Elle s’était mariée en cours de route et cette relation amoureuse avait été correcte, mais seulement correcte. Elle ne s’y était jamais vraiment investie totalement. Elle se sentait un peu triste de cela, mais elle n’avait pas pu s’en empêcher. Elle ne pouvait tout simplement pas s’y investir totalement. Elle ne pouvait pas laisser sa propre âme aller aussi profondément dans une autre personne.

Elle adorait voyager. Oh, elle ne pouvait pas rester longtemps au même endroit, pour rien au monde. Elle partait sur les routes. Sa voiture a probablement été pour elle la chose la plus importante de toutes – quelle que soit la voiture, sa voiture – parce que c’était pour elle la liberté. Elle sautait dans cette voiture et prenait la route, rencontrait des gens sur son chemin. Elle a pris des emplois pendant un certain temps, jamais très longtemps. Elle a eu des boulots en tant qu’aide-soignante. Elle a aussi été une excellente enseignante. Mais elle ne pouvait jamais s’y tenir très longtemps.

Elle avait découvert le Crimson Circle, oh, il y a plus de 15 ans. Hm (il sanglote). Je ne suis pas ému, c’est elle. Elle avait découvert le Crimson Circle et avait su qu’elle était arrivée à la maison. Heh!  Ces gens-là étaient ses amis, ceux qui comptaient le plus pour elle dans la vie, plus que n’importe qui d’autre, tous les autres qu’elle avait jamais rencontrés. Elle était à la maison.

Elle s’était retrouvée à voyager pour aller aux différentes réunions et ateliers. Elle était devenue enseignante du Crimson Circle, puis enseignante mentor. Cela avait été difficile pour elle, surtout quand le COVID avait frappé et qu’elle avait dû réduire ses déplacements et réduire le fait d’être ici avec les Shaumbra.

Et puis l’année dernière à peu près – eh bien, permettez-moi de revenir un peu plus en arrière, en 2020. Elle s’était réalisée. Elle s’était rendu compte qu’elle était réalisée. Elle avait lâché toute résistance. Elle avait arrêté de s’en occuper théoriquement. Elle s’était dit un jour, dans sa voiture bien sûr, « Je suis réalisée », et alors c’est ce qu’il était advenu.

Et c’est comme si elle avait relâché énormément de choses à ce moment-là. Enormément d’inquiétudes, de doutes, d’insécurité et de « qu’est-ce qu’il va se passer si » et soudain, cela avait été: « Je suis réalisée ». Et aucun gros éclair n’était descendu du ciel et les anges ne s’étaient pas mis à danser autour de sa voiture. Elle avait en fait passé cette nuit-là sur un terrain de camping à faire un feu de camp, sans personne d’autre alentour. Juste à admirer le feu et à réaliser ce que cela signifie vraiment d’être réalisé. C’est si subtil et si magnifique.

Et puis, il y a environ un an, elle s’était dit : « Eh bien, je m’en vais. Je m’en vais, mais je vais le faire à ma façon. »

Et cela avait été difficile parce qu’elle avait lutté. Elle s’était dit : « Eh bien, peut-être que je devrais rester sur la planète. Peut-être qu’Adamus veut que je reste là pour faire briller ma lumière et tout le reste. » Mais à la fin, elle s’était dit: « Non, je choisis ce que je veux. Je choisis même comment je meurs. » Elle avait passé la majeure partie de l’année dernière à conduire pour rendre visite à des amis, visiter des endroits qu’elle aimait beaucoup, clôturer des choses, boucler des choses. Sans drame. Aucun. Sans colère. Non, elle avait depuis longtemps, longtemps, très longtemps lâché tout ça. Sans tristesse.

Et puis un jour, elle est partie camper seule – un jour récemment, elle était allée camper seule – elle s’était assise et avait juste regardé l’eau, avait caressé sa voiture, hm, parlé à sa voiture, elle avait repensé à sa vie et à sa Réalisation, et puis s’était simplement mise à marcher pour aller dans l’eau, dans le lac ou l’océan plutôt. Elle s’était mise à avancer jusqu’à lui.

Au début, elle avait pu ressentir le froid de l’eau sur ses pieds, cette stimulation que vous ressentez quand l’eau saisit vos pieds pour la première fois. Une prise de conscience, « Ooh, c’est de l’eau et elle est froide. »

Elle s’était avancée, l’eau lui arrivant à peu près aux genoux et elle avait réalisé : « Eh, il fait vraiment assez froid. Heh, peut-être que j’aurais dû choisir une meilleure façon de procéder. Mais non, non. C’est comme ça que je l’ai planifié ». Et avant même que l’eau ne lui arrive à la taille, elle était déjà partie.

Elle avait fait sa transition. Son corps physique, je crois, a continué à avancer dans l’eau. Elle n’avait pas vraiment réfléchi à emmener son corps avec elle d’une manière ou d’une autre, et il avait continué d’avancer dans l’eau. Mais elle, elle était partie.

Elle a passé quelques semaines à traîner autour de la planète, sous une forme non physique, bien sûr, à rendre visite à certains d’entre vous et à ressentir depuis l’autre côté ce qu’il se passe ici. Sans remords, bien sûr. Sans remords. Et puis il n’y a pas si longtemps, je crois qu’il y a environ une semaine du calendrier terrestre, elle s’est dit: « Ok, il est temps que je poursuive mon chemin. » Et ce faisant, elle s’est immédiatement retrouvée au Club des Maîtres Ascensionnés.

Nous sommes en train de parler de celle que beaucoup d’entre vous connaissent, Patti Severance. Patti Severance.

Patti est avec nous aujourd’hui. Elle est en train de pleurer. Elle est en larmes – des larmes d’amour et de joie pour vous, pour sa famille, pour ceux qu’elle connaissait personnellement et même pour ceux qu’elle ne connaissait pas, qu’elle n’avait jamais rencontrés, mais qui sont simplement l’énergie de sa famille. Elle est un Maître Ascensionné.

Bien sûr, tout de suite, il y a eu toute une fête avec Sart et Kuderka et certains des autres qui ont fait leur transition, et cela a été une joie pour elle de les voir.

Maintenant, cela soulève une grosse question, une question importante.

Elle s’en est allée. Cela n’a pas été douloureux. Cela n’a pas été difficile. Elle s’en est allée et elle sera d’accord avec moi pour dire que c’est la chose la plus facile que vous ayez jamais faite. Et je dis que c’est un véritable Maître, parce qu’elle savait que c’en était terminé pour elle. Et, encore une fois, elle n’a pas utilisé de médicament pour cela. Elle a juste quitté son corps. Et pas à cause d’un problème médical ou de quoi que ce soit. C’était juste qu’il était temps, et cela soulève une chose très importante.

C’est un véritable Maître parce qu’elle a suivi son cœur dans ce qu’elle voulait faire. Mais vous voilà vous, qui êtes toujours sur la planète. Cela soulève une grande question. Pourquoi? Vous n’êtes pas obligés d’être là.

Soit dit en passant, je veux être très, très clair. Ce n’était pas un suicide. Le suicide, c’est quand quelqu’un prend son corps physique, qu’il retire la vie de son corps physique et, par conséquent, de son cerveau.

Quand vous quittez votre corps, ce n’est pas un suicide. Vous ne détruisez pas votre corps ou votre cerveau. Vous choisissez consciemment de partir, de le quitter. Et donc, cela soulève une énorme question quant au fait de rester, d’aller de l’avant.

Maintenant, elle n’en avait tout simplement plus l’énergie. Elle s’était dit: « Je suis ici sur la planète depuis plus de 70 ans. Je suis fatiguée, j’en ai marre et je suis heureuse. Et c’est très bien si vous autres vous restez, mais à présent le moment est venu pour moi de partir. »

Et donc, elle est ici aujourd’hui avec nous, tout d’abord pour vous envoyer son amour et ses salutations, mais aussi pour vous poser une question très pointue: « En sondant votre cœur, voulez-vous rester? »

Elle, elle ne l’a pas voulu. Sondez votre cœur, et elle est en train de vous dire: « Il n’y a pas de tergiversations possibles à ce sujet, pas d’indécision possible ». Il n’y a pas de « Eh bien, peut-être; peut-être pas ». Voulez-vous rester?

Et si vous le faites, il est temps de revendiquer vos droits en tant que Maître. Vous ne pourrez pas le faire sans cela. Cela vous fera trop mal. Vous ne pourrez pas rester ou avancer en cela avec des « peut-être ».

Si vous voulez rester, revendiquez vos droits. Si vous ne voulez pas rester, vous pouvez quitter votre corps.

Votre esprit quitte en réalité votre corps physique avant qu’il ne soit physiquement mort. Vous êtes parti. Mais votre corps fonctionne en quelque sorte en mode robot à ce moment-là. Cela peut durer des jours, mais il est mort. Et elle vous pose cette question très profonde aujourd’hui : « Qu’aimeriez-vous faire ? »

(pause)

Elle n’a aucun remords ou culpabilité ou quoi que ce soit – vous ne pouvez pas quand vous êtes un Maître Ascensionné – quant au fait de ne pas être restée sur la planète. Rien de tout cela. Mais elle veut que ce soit très, très clair, elle veut que vous fassiez la clarté en vous: choisissez-vous de rester, et par conséquent, choisissez-vous d’avoir votre énergie à votre service? Ou voulez-vous partir? Il n’y a pas d’entre-deux. Ce sont ses mots, pas les miens.

Prenons une bonne respiration profonde.

Chère Patti, chère Patti. Oh, beaucoup d’entre vous la connaissaient personnellement. Elle est venue ici plusieurs fois, elle est venue aux réunions plusieurs fois. C’est maintenant un Maître Ascensionné. Qu’en dites-vous ? Qu’en dites-vous ? (Applaudissements du public) Oui, elle mérite des applaudissements.

Et elle est en train de dire en ce moment, pour répondre à la question de Cauldre, « Oui, il y a vraiment un Club des Maîtres Ascensionnés. » (quelques rires) « Il existe vraiment, et il est fascinant, fabuleux. »

Prenons une bonne respiration profonde à présent, respirons toute cette question, cette problématique. Rester ou ne pas rester. Nous en avons déjà parlé, mais si vous choisissez de rester, il est temps de revendiquer vos droits. Vous allez en avoir besoin, et, diable, ce sont vos droits de toute façon. Alors, acceptez-les.

Si vous choisissez de partir, ne faites pas… – ce sont ses mots qui arrivent maintenant – si vous choisissez de partir, ne faites pas de « p’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non ». Ne jouez pas à ce jeu pendant cinq ans, « Est-ce que je vais partir ou ne pas partir? » parce que vous vous investiriez dans votre propre drame. Ce que vous devez faire, c’est simplement prendre une décision et ensuite vous y tenir. Ce sont ses mots.

Prenons une bonne respiration profonde là.

Maintenant, elle veut savoir si nous allons la faire venir pour une canalisation à un moment donné, peut-être lors du prochain événement Merlin ou celui d’après. Vous avez juste besoin d’être un Maître Ascensionné. Détendez-vous un peu (quelques rires doux).

Et donc, c’est un moment tellement merveilleux, une époque si changeante que nous vivons en ce moment. Si vous voulez rester, revendiquez vos droits.

Prenons une bonne respiration profonde avec cela, alors que nous mettons fin à la série L’Art du Banc, et que nous nous préparons pour Alt.

Prenez une bonne respiration profonde, et rappelez-vous en permanence que tout va bien dans toute la création.

Sur ce, merci.

Je suis Adamus du Domaine Souverain. Merci (applaudissements du public).