LES MATÉRIAUX DU CRIMSON CIRCLE

L’Art du Banc

SHOUD 9 – ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle

le 4 juin 2022

www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

Ah! Le public en direct (rires). Ahh! J’attendais cela (acclamations et applaudissements du public), j’attendais de retrouver mes chers Shaumbra. Ah!

Ceci dit, bien sûr, nous étions tous ensemble énergétiquement parlant, mais il n’y a rien de tel que de ressentir la chair (il prend la main de quelqu’un), de regarder dans les yeux d’une personne, il n’y a rien de tel que l’énergie que nous échangeons directement lorsque nous nous rassemblons comme ceci. Les deux dernières années ont été intéressantes. Hm. J’ai dû apprendre plein de nouvelles façons de faire les choses. J’ai dû apprendre à aller au-delà, de tant de façons différentes.

Nous en parlerons dans un instant, mais pour le moment, avant d’aller plus loin, j’aimerais rendre hommage et remercier notre chère Linda d’Eesa pour le merveilleux travail qu’elle a accompli en représentant le public durant ces deux dernières années (plus d’acclamations et d’applaudissements). Le public. Alors, Linda, qu’est-ce que cela vous a fait de prendre à votre compte, d’endosser toutes les caractéristiques des Shaumbra (Linda soupire) et de représenter à vous seule le public?

LINDA: Cela a été un honneur et un défi.

ADAMUS: Nous avons un petit cadeau pour vous ...

LINDA: Oh! Nom d’une pipe!

ADAMUS: ... pour vous remercier pour le travail que vous avez fait (Kerri apporte un grand vase avec des fleurs).

LINDA: Whoaaa!

ADAMUS: Douze magnifiques roses rouges (plus d’applaudissements) ...

LINDA: Oh, wow!

ADAMUS: ... pour notre chère Linda. Oui.

LINDA: De magnifiques roses pourpres!

ADAMUS: Oui, vous pouvez me remercier, pas Cauldre.

LINDA: Oh!

ADAMUS: C’était mon idée.

LINDA: Merci beaucoup!

ADAMUS: Oui.

LINDA: Puis-je les laisser là?

ADAMUS: S’il vous plaît, juste là.

LINDA: Oh! C’est magnifique!

ADAMUS: Nous voulions officiellement vous rendre hommage d’avoir posé les questions; d’avoir été celle qui encaissait mes punchs, d’avoir été celle qui subissait – non pas mes maltraitances, mais – oui, d’accord, mes maltraitances (quelques rires) durant tout ce temps, et d’avoir fait un excellent travail. A présent, nous aimerions que vous continuiez à faire cela en participation avec les Shaumbra.

LINDA: Oh!

ADAMUS: Mais à présent...

LINDA: Oh, d’accord.

ADAMUS: ... vous pouvez prendre une profonde respiration, chère Linda, et prendre un peu de distance.

LINDA: D’accord!

ADAMUS: Vous n’avez plus à assumer cette énorme responsabilité (elle expire de manière audible). Oui, merci beaucoup.

LINDA: Encore une fois, c’était un honneur.

ADAMUS: (il s’éclaircit la voix) Excusez-moi (il s’éclaircit la voix à nouveau). Eum-eh!  La voix de Cauldre est un peu enrouée, maintenant qu’il revenu ici au Colorado (il parle comme si sa voix était tendue), après des mois sous des tropiques chauds et humides. Hein!  Oui! (Kerri lui apporte son café). Ce n’est pas que j’en ai besoin, mais Cauldre l’adorait. Merci.

KERRI: Aimeriez-vous cette friandise que je vous ai apportée? (lui offrant une friandise avec le café)

ADAMUS: Oui, volontiers. Merci (quelques rires). Comment le savait-elle? Elle doit être médium, oui. Merci beaucoup, Kerri. Merci. Ah, oui. Laissez-moi – ehh-ahem!  – laissez-moi m’assurer que ma voix ou celle de Cauldre va mieux (il prend une gorgée de café).  Ahhh!  Le café humain.  Ah!  Le café est l’une des merveilleuses choses qui existent dans le fait d’être humain, cela et quelques autres choses. Mais le café, c’est tellement bon.

Et donc, cela a été deux années intéressantes, et je dois dire que ce n’est pas encore vraiment fini.

LINDA: euh!

ADAMUS: Non, non. Ce n’est pas fini. Vous venez seulement d’apprendre à y faire face (Adamus rit). Vous avez appris à le gérer, pour la plupart. Mais il y a plus encore à venir, et cela n’a pas d’importance. Peu importe. Vous allez voir des choses de plus en plus folles dans le monde, mais cela n’a pas d’importance.

 

L’Évaluation des Shaumbra

Prenons un peu de recul pour le moment et faisons une petite évaluation de nos années ensemble en tant que Shaumbra. Eh bien, tout d’abord, il y a eu ce rassemblement avec Tobias quand il est arrivé en 1999, en août 1999. Ce sera bientôt notre date anniversaire. Il avait envoyé cet appel aux Shaumbra. Il avait travaillé avec l’archange Gabriel qui avait soufflé dans la corne, mais, bien sûr, les Shaumbra avaient-ils entendu? Non. Non (rires). Non (Adamus rit). Et Gabriel avait soufflé et soufflé et soufflé et soufflé jusqu’à ce qu’il n’ait plus de souffle, et les Shaumbra, « Euh? Quoi? Quoi? »

Mais ensuite quelque chose s’était produit. Une sorte de petite étincelle s’était allumée tout seule. Des roses – vous savez, cette espèce d’odeur de roses, ce « réveillez-vous et sentez les roses, Shaumbra », ce « Revenez à la maison », et ce fut cela et Internet qui firent se réunir, se rassembler les Shaumbra en 1999, 2000, et les rassemblements ont continué. L’énergie que vous avez déployée, il y a tant d’années, elle à continué à se maintenir exactement à la bonne résonance et à la bonne fréquence pour attirer les bonnes personnes. Les bonnes personnes, cela n’a pas de rapport avec la taille d’un groupe ou de quoi que ce soit dans le genre. Il s’agit de ceux qui sont vraiment prêts à traverser leur éveil, et pas seulement l’éveil, mais les étapes suivantes, la libération, le lâcher prise.

Et donc, après que l’appel au rassemblement ait été diffusé – et il continue de l’être, c’est presque comme une balise et c’est quelque chose sur quoi FM travaille dans tout son travail. Il s’est diffusé et disait: « Si vous êtes prêt, si vous êtes vraiment prêt et que vous n’êtes pas dans le makyo, si vous êtes vraiment prêt à traverser des trucs intérieurs difficiles, alors ici c’est l’endroit pour vous. » C’est une zone sans makyo. Si vous arrivez ici, vous les nouveaux, avec du makyo, vous apprendrez très vite qu’ici, ce n’est pas une zone makyo. J’avais l’habitude de vous reprendre à ce sujet dans le temps, mais maintenant ce seront d’autres Shaumbra qui vous reprendront à ce sujet.

Donc, après que l’appel au rassemblement ait été diffusé, il y a eu ensuite ce long, long chemin de libération, de lâcher prise. Vous vous en souvenez ? Oh, vous êtes toujours dedans (Adamus rit). La libération, le relâchement. Oh, et Tobias vous en avait parlé – lâchez prise et permettez – et puis il avait travaillé avec vous, vous faisant savoir que vous n’étiez vraiment pas fous, pas du tout. Pas du tout. C’était juste ce que vous traversiez. Ce qui est vraiment fou, c’est de simplement accepter la vie dans la réalité 3D, sans aller au-delà. Vous n’étiez pas fous du tout. Vous avez été des pionniers, bien sûr, mais vous n’étiez pas fous.

Il a fallu un certain temps, beaucoup de temps, pour travailler à ce relâchement, et certains d’entre vous en sont toujours là. À ceux-là, je dis : « Dépassez cela, purée » (Linda rit) Non, c’est aussi simple que cela. Parfois, vous vous installez là-dedans, et dans cette agonie et cette souffrance et : « J’ai tous ces problèmes, et j’ai eu de mauvais parents. J’ai eu une mauvaise incarnation ». Passez outre, tout simplement. Nous avons beaucoup… – non, c’est aussi simple que cela. J’ai fait une déclaration – et je ne suis pas devenu très populaire après vous avoir dit cela – mais si vous avez encore des problèmes dans votre vie, que ce soit des problèmes d’abondance ou même de santé ou quoi que ce soit d’autre, c’est qu’il y a quelque chose que vous en retirez toujours. Vous en retirez toujours quelque chose. Très bien, continuez là-dedans. Mais quand vous serez prêt, passez simplement à autre chose, dépassez-le. C’est aussi simple que cela. Vous rendez les choses plus difficiles et vous jouez à un jeu avec vous-même. Dépassez-le simplement. Il n’y a aucune conspiration. Personne ne se ligue contre vous. Vous n’avez pas de charge écrasante sur les épaules. Vous n’avez pas besoin d’avoir de karma, si vous ne le voulez pas. Donc, purée, vous devez juste passer à autre chose, afin que nous puissions continuer. Et je sais que je semble indifférent ou peu soucieux de votre sort en disant cela, ou bien est-ce simplement que je le pense vraiment?

LINDA: Euh, il y a quelques personnes ...

ADAMUS: Parlez un instant comme ça je pourrai manger.

LINDA:... des gens qui s’interrogent.

ADAMUS: Ce sont ... Woops!  (certaines des friandises tombent sur le sol)

LINDA: Oh, bravo.

ADAMUS: Oui. Eh bien, j’ai besoin de manger là, pendant que nous parlons. Mais est-ce que ce que je vous ai dit vous semble être de l’indifférence ?

LINDA: Seulement si quelqu’un ne vous connaît pas.

ADAMUS: Si quelqu’un ne me connaît pas. Ne me connait pas ou ne me connait pas moi personnellement ?

LINDA: Ne vous connait pas!

ADAMUS: Ne me connait pas. Ok (il ramasse quelque chose sur le sol). Voulez-vous de cela?

LINDA: Non, merci!

ADAMUS: Je vais le mettre juste là-dedans (quelques rires alors qu’il le jette dans les fleurs et ramasse autre chose). Et voudriez-vous de cela?

LINDA: Non merci!! (plus de rires)

ADAMUS : (rires) Je vais mettre ça juste là-dedans (rires). Maintenant, il y a un moment – je suis sérieux là – il arrive un moment où vous devez vous dire: « J’en ai marre. J’en ai marre de ces conneries ... »

LINDA: Non, vous avez raison.

ADAMUS: « ... et d’être une victime. J’en ai juste assez ».

LINDA: Vous avez raison.

ADAMUS: « Et maintenant? »

ADAMUS: Donc, nous venons de passer cette période de libération, de relâchement et de nettoyage de tous ces trucs. Vous n’en avez plus besoin. Cela ne vous appartient pas. Je sais que je vous ai dit cela énormément de fois, mais il suffit de le dépasser, et un jour vous réalisez : « Oh, je vais simplement le dépasser, passer outre. » Je ne vous dis pas que les choses dans la vie ne font pas mal parfois, mais les humains ont tendance à continuer à les transporter avec eux. Vous traversez une douleur, un chagrin, une souffrance, peu importe ce que c’est, vous passez à travers ce processus extraordinaire, et puis vous le libérez, le relâchez, et vous lui permettez d’aller à la sagesse. C’est cela l’étape suivante. Vous lui permettez d’aller à la sagesse. Vous arrêtez de vous attarder dessus. Vous arrêtez d’être une victime et vous vous dites: « Amenons cela à la sagesse », et votre âme le fera. Ce n’est pas vous qui le faites. C’est votre âme qui porte tout à la sagesse. L’âme attend juste que vous disiez: « Ok, je suis prêt à lâcher prise et à amener cela à la sagesse », et alors elle le fera. Elle vous le prendra. Et puis, bien sûr, vous essaierez de vous y accrocher, de lui donner du sens et de le justifier, mais ne le faites pas. Vous lâchez simplement prise et laissez cela s’en aller à la sagesse.

Encore une fois, cela peut vous sembler un peu insensible, comme de dire, « Oh, vous ne savez tout simplement pas ce que j’ai vécu, par quoi je suis passé. » Et j’ai entendu quelqu’un me dire cela récemment, comme quoi je ne suis pas venu sur la planète depuis un petit moment, je ne comprends pas certaines des choses que vous traversez. Je n’en ai pas besoin. Non, je n’en ai vraiment pas besoin. Il ne s’agit pas d’essayer de tout comprendre. Il s’agit de : quand serez-vous prêt à abandonner le fait d’être une victime, de ne pas avoir d’abondance? Oh! Avec les Shaumbra, ça cela a été l’un de vos grands défis, et vous l’avez simplement relâché. Vous dites – vous vous faites cette déclaration à vous-même – « Je suis prêt à lâcher prise sur cela. Point. Pas de si, et ou mais. Pas de ‘peut-être’ ou ‘en quelque sorte’ ou ‘que va-t-il se passer ensuite ?’ Je suis prêt à lâcher prise sur cela. » Et alors vous le faites. Pouf!  C’est porté à la sagesse.  Oh!  C’est cela la véritable bénédiction là-dedans. Ce n’est pas vous qui portez quelque chose à la sagesse. C’est votre âme qui le fait. Votre âme le distille. Elle en retire toutes les conneries. Elle prend toutes les petites caractéristiques, les détails, même les émotions humaines bloquées derrière cela, et elle l’amène à la sagesse. Et ensuite, pourriez-vous dire, en quelque sorte, elle l’offre au Je Suis comme un cadeau de la vie.

Et donc... oui?

LINDA: J’ai une question que le public est en train de me hurler. J’entends cela et je le ressens et je le sais, mais il est très difficile d’imaginer comment quelqu’un qui est en phase terminale d’une maladie qui est incurable, et qui est dans une situation au-delà des mots, comment fait-il cela dans ce cas?

ADAMUS: Tout d’abord, nous vous avons offert ces roses, alors arrêtez de représenter le public.

LINDA: Hehh!!

ADAMUS: Oui.

LINDA: Hehh!  (quelques rires) Eh bien, je m’y suis habituée.

ADAMUS: Dans ce cas, pourrions-nous reprendre ces roses, s’il vous plaît? (rires) Reprenez-les. Ramenez-les chez le fleuriste.

Deuxièmement, c’est une bonne question. Je ne veux pas trop vous distraire là, mais c’est une bonne question. Et je vais vous donner une réponse que certains ne comprendront peut-être pas tout à fait, mais acceptez la mort. Acceptez la mort. C’est aussi simple que cela. Elle va arriver. Nous en parlerons davantage dans cette session, mais arrêtez de lutter contre ces choses. Et la mort est un processus magnifique. Nous l’avons fait – je crois que Jean a choisi le produit (à mettre en vedette) de ce mois-ci, comment s’appelle-t-il?

JEAN : Le Maître simple.

ADAMUS: Le Maître simple, et cela parle de… – nous y faisons une expérience de mort. Nous mourons avant, n’est-ce pas, avant que vous ne le fassiez physiquement. Donc, si vous êtes intéressé par l’expérience de mourir, écoutez le Maître Simple. Vous allez mourir, parce que ce n’est pas tant une chose physique qu’une transformation de la conscience. Donc, vous pouvez mourir pour – je ne sais pas – combien le vendez-vous?

JEAN : 250 $ jusqu’en juin.

ADAMUS: 250 $ jusqu’en juin, et vous allez mourir. Quelle bonne affaire! (quelques rires et Linda soupire). Non, aller aux pompes funèbres, c’est beaucoup plus cher. Combien coûte une crémation ordinaire de nos jours? (Linda soupire à nouveau) Je ne sais pas, du genre deux mille dollars ou quoi? N’est-ce pas. Donc, 250 $, c’est un dixième du prix.

Donc, non, c’est une question difficile. Arrêtez de vous battre contre la maladie. Nous y reviendrons plus tard, et je sais que nous avons un webcast des Anges (pour les Anges du CC) à venir très rapidement. Ce sera l’une des grandes questions dont il faudra parler. Mais avançons.

Ensuite, vous passez par la sagesse et la sagesse vous dit: « Hé, je vais mourir. Ce corps, doux jésus, sera soit intégré, soit je vais simplement le laisser derrière moi. Peu importe, mais je vais mourir. » C’est un soulagement. Pourriez-vous imaginer si quelqu’un vous disait: « Vous n’allez pas mourir – hein! – jamais »? Aimeriez-vous ça, Andy?

ANDY: Non.

ADAMUS: Non. Pourquoi?

ANDY: Eh bien, même si vivre est très amusant ...

ADAMUS: Pourrions-nous avoir le micro?

LINDA: Bien sûr. Oh, c’est la première fois depuis des mois et des mois...

ADAMUS: Oui, purée ...

LINDA:... et des mois et des mois et des mois et des mois et des mois et des mois.

ADAMUS: Merci d’avoir été le premier à briser la glace (applaudissements du public).

ANDY: La vie est vraiment très amusante. Mais, vous savez, comme vous l’avez dit, la mort, vous allez mourir. C’est comme de naître de nouveau. Vous ferez probablement ça aussi.

ADAMUS: Oui. C’est une libération, un relâchement.

ANDY: Oui!

ADAMUS: C’est une véritable et merveilleuse libération, un lâcher prise. Oui. Bien. Merci. Merci.

Donc, vous amenez cela à la sagesse, puis quelque chose commence à se produire et vous commencez à réaliser tout le tas de choses que vous aviez transportées pendant très longtemps, et vous réalisez que vous vous étiez vraiment accroché à ces ordures. Et d’une certaine manière, c’était plutôt amusant de traverser ce processus cathartique et tout ce nettoyage et tout le reste. Mais ensuite, vous vous élevez au-dessus de tout cela et vous dites: « Doux Jésus, c’était vraiment laborieux. Ça ressemblait à... » Cela vous empêchait de vraiment vivre.

Ensuite, après le processus de portage à la sagesse que les Shaumbra sont en train de traverser, il est maintenant temps de comprendre la physique, c’est ce dont nous parlons, la métaphysique de la réalité et les illusions de la réalité. Nous parlons du temps et de l’espace. Nous parlons d’aller au-delà. Nous parlons de plusieurs réalités en même temps. Nous parlons de ce que c’est vraiment que de choisir votre destinée, plutôt que de simplement la laisser se produire.

Donc, nous entrons maintenant dans toute cette partie de la véritable compréhension de la physique, et elle est brillante. Elle est assez simple. Vous n’avez pas besoin d’être physicien. En fait, la physique, la métaphysique dont nous parlons sont plus poétiques que scientifiques. La science, c’est super, j’adore la science, mais la science se regarde le trou du nombril. Elle observe ce qu’elle pense qu’elle est en train d’observer. Nous entrons dans la poésie avec notre métaphysique, en parlant de ce qu’est la lumière, de ce qu’est l’énergie, de la façon dont les choses fusionnent dans la matière, pour créer la matière, et puis finalement pour aboutir à l’idée que ce n’est pas votre mental et même pas tant vos croyances que votre conscience qui créera pour vous votre réalité. C’est ce que nous faisons à présent. Beaucoup de physique et de métaphysique de la vie elle-même.

Et puis finalement, et c’est assez lié à tout cela, nous en arrivons à présent au point du pourquoi vous êtes vraiment ici. Il ne s’agissait pas seulement de relâcher des trucs. Nous devions le faire, mais la raison pour laquelle vous êtes vraiment là, c’est pour faire briller votre lumière, pour faire du banc, pour être cette présence sur la planète actuellement. Vous saviez que la planète allait en avoir besoin. Vous saviez que c’était une époque très importante.

 

Les Effets de votre Lumière

Ceci dit, la planète ne va pas devenir un endroit pire que jamais auparavant. Pas du tout. En fait, statistiquement, la vie d’un humain ordinaire est bien meilleure qu’avant, et ce je dirais depuis la fin de l’Atlantide jusqu’à aujourd’hui. Je sais que beaucoup de gens sont en train de hurler en se disant : « Oh ! La planète, c’est de plus en plus l’enfer. » Non, la planète, cela a été l’enfer et la planète est en quelque sorte en train d’émerger de tout cela, mais elle comporte toujours beaucoup de traces d’enfer (quelques rires).

Il y a plus de conscience, de lumière sur la planète actuellement qu’il n’y en a jamais eue. Les choses ne sont pas en train de s’effondrer. Mais il y a une chose à garder en tête, c’est que le rythme est plus rapide que jamais. Ce n’est pas que sur la planète, cela devienne l’enfer. En fait, la vie est dans l’ensemble bien meilleure. Non pas que c’était horrible avant, mais c’est mieux. Il y a moins de guerres. Il y a moins d’humains affamés. Il y a moins de maladies que jamais sur la planète. Mais les choses vont plus vite. Gardez cela en tête, vous savez, quand vous avez ces jours où vous sentez la conscience de masse ou si vous écoutez les nouvelles, « Oh! Tout est en train de s’effondrer à présent. » Non, en fait, ce n’est pas le cas. Ça va juste plus vite. C’est cela qui vous donne l’impression que vous perdez le contrôle. Cela vous donne ce sentiment que vous ne pouvez tout simplement pas suivre, que tout va exploser.

Mais tout cela se passe pour une raison, et en fait, si vous le ressentez vraiment un instant, c’est votre lumière qui est en vérité en train d’exacerber certains des problèmes sur la planète. Votre lumière est la cause de cette augmentation des perturbations. C’est votre lumière qui crée en réalité le sentiment que cela va plus vite, et que cela provoque plus de changements. Lorsque votre lumière se diffuse, ce n’est pas comme de mettre, par exemple, une magnifique eau ou une magnifique huile scintillante à la surface de toute chose afin de les rendre belles. Vous êtes en train de remuer, de bouleverser les choses actuellement. Pas intentionnellement, bien sûr, mais la lumière, la conscience se diffuse et touche des endroits qui n’ont pas tellement de lumière, je ne vais pas appeler cela des endroits sombres; des endroits qui pourraient même être mauvais. Votre lumière y pénètre et elle remue les choses. Et puis, selon une métaphysique en quelque sorte en correspondance, toute chose continue d’aller encore plus vite. Votre lumière fait que les événements se produisent plus rapidement.

Le temps ne change pas nécessairement, mais il le fera. Ce n’est pas le temps qui va plus vite. C’est la séquence des événements qui est plus rapide. C’est votre lumière qui est à l’origine de cela, qui cause cela. Donc, encore une fois, vous lisez les nouvelles, « Oh, mon Dieu! Que se passe-t-il en Ukraine ? Que se passe-t-il avec l’énergie ? Que se passe-t-il avec l’économie? » Eh, regardez dans le miroir. C’est vous qui êtes en train de causer tout cela, mais seulement du point de vue de la lumière. Vous ne le faites pas pour essayer de causer un préjudice d’aucune sorte. Vous le faites, en faisant briller votre lumière, parce qu’il y avait énormément de choses sur la Terre qui étaient prêtes à changer. Elles étaient prêtes. Elles avaient juste besoin de quelque chose qui les fassent démarrer, qui les propulsent.

L’espèce humaine attend depuis longtemps un remake, une rénovation. C’est phénoménal. Cette ancienne biologie dans laquelle vous êtes depuis toujours n’a que trop duré. Dans quel sens va-t-elle se transformer? Est-ce qu’elle va juste devenir une super biologie? Peut-être. Peut-être pas. Peut-être une biologie numérique. Peut-être une biologie totalement augmentée. Mais est-ce important? Est-ce important? Vous savez, vous avez cette relation assez intéressante d’amour/haine avec le corps. Et si je vous disais : « Eh bien, voyons, dans 30 ans, le corps humain sera simplement une forme numérique. » Vous vous diriez: « Oh, mon Dieu! C’est terrible. Cela ressemble à un mauvais présage. » Eh bien, je pense que la biologie, c’était encore pire (Adamus rit), qui a pu se présenter avec celle-là (quelques rires). Ce qui compte, c’est ce dans quoi vous vous intégrez, ce dans quoi vous vous incorporez. Les humains pourraient devenir numériques. Ils pourraient être totalement augmentés. Le corps humain pourrait devenir une variation biologique créée en éprouvette de la biologie que vous avez en ce moment. Il pourrait s’agir d’un corps totalement robotique. Cela n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est ce dans quoi vous intégrez votre conscience. Donc, peu importe si c’est dans cette biologie-ci ou non.

Le point important à retenir, c’est que ça va plus vite. Ce n’est pas que la situation s’aggrave. Alors, s’il vous plaît, pourriez-vous relâcher cela? La situation ne s’aggrave pas. Je vais trouver quelques statistiques dont je parlerai peut-être à ProGnost, peut-être dans un Shoud, mais, non, en vérité, il y a plus de lumière et de conscience sur la planète que jamais. Mais, vous savez, c’est cela qui est vraiment pénible pour certains humains. Non, ils ne veulent vraiment pas ça. Pour certaines organisations, sans parler des églises (certains rient), mais il y en a certaines, elles ne veulent pas lâcher prise, et elles doivent le faire.

Toute chose évolue. Toute chose a sa mort, qui n’est rien de plus qu’une transformation d’un état à un autre. La biologie n’a que trop duré. C’est l’une des raisons de certaines des maladies qui se produisent actuellement. Cela oblige la science à chercher de nouvelles solutions. Pas seulement une vaccination, pas seulement un médicament, mais une nouvelle solution au corps. Je trouve ça extraordinaire, ce qui est en train d’être fait, pensé dans les laboratoires en ce moment, en termes de corps physique. Le processus de cette pensée qui va au-delà de choses comme l’ADN et les atomes et des choses comme ça, pour rénover totalement le corps physique. C’est fascinant.

Portons un toast à… – la planète n’est pas en train de devenir pire qu’avant, tout va juste plus vite. Et comment gérez-vous cela? Vous permettez (quelqu’un dit « Vous buvez »). Vous permettez. Vous buvez! Vous buvez! (quelques rires) Vous buvez du café, mangez du chocolat, un peu de vin, beaucoup de vin. Ça va juste plus vite. Et quand vous êtes dépassé (par les événements), ce dont je sais que cela a été le cas pour nombre d’entre vous, qui ont été vraiment stressés ces derniers temps. Vous savez, j’aimerais faire ça aussi, avoir un graphique qui vous montre le niveau d’anxiété des Shaumbra au quotidien (quelques rires et quelqu’un dit « Oh! »). Ouais, oh! Nous n’aurions pas assez de papier (plus de rires).

Vous savez, parfois il y a eu des périodes où les énergies des Shaumbra étaient assez détendues et beaucoup plus ouvertes, puis il y a eu un pic récemment –ces deux dernières années, en particulier – dans le niveau d’anxiété. Qui ici a expérimenté de l’anxiété au cours du dernier mois? Au cours du dernier mois (beaucoup de gens lèvent la main). Oui. Ok. C’est naturel, au passage. Je veux dire, c’est bien. Ne luttez pas contre votre anxiété, pas du tout. Prenez du recul et dites-vous: « Qu’est-ce qui me cause cette anxiété? » En d’autres termes, est-ce la vôtre? Probablement pas. Vous la ressentez juste en provenance de partout sur la planète, alors que tous ces changements sont en train de se produire, dont bon nombre d’entre eux basés sur votre lumière, votre pratique du banc, cela provoque beaucoup de tout cela.

Je m’amuse parfois des Shaumbra parce qu’il y en a encore qui pensent: « Oh, nous allons faire du banc, et nous allons envoyer notre lumière d’amour au monde. Cela, et nous allons remplacer la livraison FedEx par la livraison Unicorn, et ce sera magnifique ... » Oh, non. Si vous pouviez prendre du recul et regarder ce qui est vraiment en train de se produire, votre lumière se diffuse et expulse toute la merde présente dans certains vieux systèmes sur la planète. Mais c’est ce que vous vouliez. Vous ne vouliez pas simplement rendre les choses jolies et gentilles et saupoudrer de la poudre de perlimpinpin dessus, parce que vous saviez que cela ne fonctionnerait pas à long terme. Donc, la lumière est en train de se diffuser et elle perturbe les systèmes. Pas intentionnellement. Pas parce que vous voulez juste faire sauter des bâtiments ou mettre la pagaille dans certaines choses. Mais c’est le résultat de la lumière qui se diffuse à l’extérieur.

Prenons une profonde respiration avec ça.

Non, la situation de la planète n’est pas pire. Ça va juste plus vite. Et encore une fois, en vous souvenant de ce qu’est la vue d’ensemble, vous êtes venu là. Vous avez répondu à cet appel. Vous êtes passé par beaucoup de libération, de relâchement, et puis vous en êtes arrivé au point d’amener tout cela à la sagesse ou de l’offrir à la sagesse. Et maintenant, nous passons par la physique de la réalité, la métaphysique – c’est ce que j’attendais depuis longtemps – et maintenant nous faisons briller notre lumière sur la planète. Elle en a besoin. Elle a besoin de la conscience. Non pas qu’elle ait besoin d’être sauvée; elle en a juste besoin et veut juste de la conscience.

Encore une fois, si nous pouvions peut-être créer une animation vidéo à ce sujet. Donc, vous êtes assis là un jour à faire du banc, vous êtes assis dans un parc près d’un lac ou quoi que ce soit d’autre, à faire du banc – et sans objectif, juste en laissant votre lumière rayonner – et puis dans cette animation vidéo, nous suivons votre lumière alors qu’elle se diffuse, qu’elle se diffuse sur le monde, et elle touche quelqu’un, un physicien qui travaille dans un laboratoire. Elle touche un fonctionnaire du gouvernement qui travaille à la résolution de certain problèmes internationaux. Elle touche un banquier qui est en train de chercher un nouveau système qui soit vraiment plus équitable. Elle touche le système éducatif de votre ville ou de votre pays. Nous suivons cette lumière au fur et à mesure qu’elle se diffuse. Et il ne s’agit pas que vous essayiez, vous, de changer les choses, qui que ce soit que votre lumière touche. Il ne s’agit pas d’essayer de forcer le changement. Mais cette lumière en quelque sorte les enveloppe simplement dans la lumière, et dans cette lumière, ils voient soudainement un potentiel qu’ils n’ont peut-être jamais vu auparavant. Le médecin qui travaille sur des solutions au cancer. Le cancer du corps est simplement une mauvaise communication du réseau de communication du corps, souvent causée par des choses comme la haine et la colère. C’est tout ce que c’est.

Donc, cette lumière se diffuse et nous la suivons, et alors elle atteint un groupe de physiciens vraiment fous et bizarres, excentriques. Un scientifique, du genre d’Albert Einstein. Il était considéré comme un savant vraiment fou. Et la lumière atteint ce groupe qui est assis là, et soudain la lumière brille parmi tout ce groupe et l’un d’eux leur dit: « Je ne sais pas d’où je tire cela, mais il m’est apparu – après toutes ces recherches, tout ce travail – que l’énergie n’est qu’un chant. C’est tout ce qu’elle est. Un chant, une communication. » Et les autres le regardent comme s’il était fou, comme s’il était cinglé. Mais ensuite, il fait quelque chose auquel lui-même ne se serait pas attendu. Il commence à chanter : « L’énergie est juste une communication. »  Nous allons travailler sur cette compétence du chant (rires). « L’énergie ... » Eh bien, nous allons travailler dessus (encore quelques rires).

Et soudain, ils sont totalement déconcertés. Ils n’avaient jamais vu le Dr Lipschitz chanter avant au milieu d’une réunion (rires). Ils sont déconcertés et ils l’écoutent chanter que l’énergie et les communications sont un chant. Et comme tout cela n’est pas rationnel, ils sont un peu consternés par ce chant, et tout à coup ils commencent à comprendre. Et la pièce se remplit de lumière, votre lumière, et ils se disent: « C’est là depuis le début. Nous étions tellement pris dans les mathématiques, dans la science, la justesse et les conventions de la science que nous ne l’avions jamais vu, cela, que l’énergie n’est que communication. »  Boom!

Ensuite, nous suivons, la vidéo suit cette lumière qui revient vers vous assis sur votre banc avec un grand sourire sur le visage en disant: « Je ne sais pas vraiment ce que fait exactement cette lumière, mais je peux sentir qu’elle fait quelque chose. » Et puis six mois plus tard, vous lisez le journal – eh bien, d’accord, vous êtes sur votre téléphone intelligent, en train de vérifier les nouvelles, et non pas vos sites conspirationnistes, mais de vraies nouvelles – et soudain vous voyez cette chose, « Un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr Albert Lipschitz, conclut que l’énergie est une communication. » Le monde change, tout comme le monde a changé quand Einstein a sorti sa théorie sur la relativité.

Soit dit en passant, ce n’était pas une théorie de l’absolu. Ce n’était pas une théorie de l’absolu. Einstein a simplement dit que c’était relatif. Tout est relatif par rapport à quoi? La théorie de la relativité, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi on l’appelait ainsi ? Vous pensiez qu’il s’agissait de vos proches (‘relatives’ en anglais signifie à la fois relatif et proches)? (Adamus rit) Non, non, non, non. La théorie de la relativité, pourquoi l’a-t-on appelée ainsi ? Parce qu’elle était relative. Einstein a dit, et cela n’a pas vraiment été publié ou on ne s’est pas beaucoup attardé dessus, Einstein a dit que tout dépend de l’observateur. C’est pourquoi c’est relatif, et cela peut changer. Et cela peut changer. Ça et une bonne lumière, et cela changera. Oh! Eh bien, je digresse un peu là.

Prenons une profonde respiration. Je dois faire ce que je suis venu faire ici, c’est-à-dire vous poser des questions (le public dit: « Oh! « ).

 

Le Jeu Télévisé d’Adamus

Ceci dit, lors d’un de nos récents rassemblements au pavillon Shaumbra à Kona, j’avais dit au public que j’avais un désir secret, une passion secrète. Si je devais revenir pour une nouvelle vie, ce qui n’arrivera jamais, je le ferais… – vous allez réaliser cela un jour. Du genre, « Euh-euh. Non, non. » Vous pourrez revenir de temps en temps, soit à travers un canal peut-être, soit juste pendant quelques jours comme une sorte de mirage. Mais revenir comme on revenait avant (via la réincarnation)? Pas question, à moins que vous ne m’offriez un très bon travail en tant qu’animateur de jeux télévisés (quelques rires). C’est ce que je serais si je devais revenir. Un gourou? Non! Non, non, non. Un Maître Ascensionné réincarné ? Eh, non, Tobias l’a fait ça. Je veux être animateur de jeux télévisés. Je veux dire, quel super boulot. Tout ce que vous avez à faire, c’est de vous asseoir à l’avant avec vos fiches et de poser des questions et de faire que tout le monde paraisse stupide (quelques rires). C’est donc ce que nous allons faire maintenant (plus de rires).

Maintenant, il est temps pour « Qui est un Maître? » (pastiche de l’émission « question pour un champion ») Ok, j’ai une liste de questions soigneusement préparées. J’ai consulté Kuthumi, Tobias et quelques autres Maîtres Ascensionnés pour venir avec ces questions. Le sujet général d’aujourd’hui c’est « Le changement mondial ».

LINDA: La merde mondiale? (confusion en anglais entre ‘shift’ – changement et ‘shit’ – merde)

ADAMUS: Le changement mondial. Vous avez très bien entendu. Vous vouliez juste dire « merde ». Allez-y. Allez-y. Dites-le à haute voix (quelques rires). Vous saviez ce que j’essayais de dire. Vous vouliez juste dire « merde », n’est-ce pas?

LINDA: N’est-ce pas la même chose?

ADAMUS: En général, oui (Linda rit). Ok.

Première question, et, Linda, préparez-vous avec le micro. Première question, le coronavirus – de 2020 à aujourd’hui – a-t-il causé le changement, ou est-ce le changement qui a causé le coronavirus? Tic-tac. Tic-tac. Linda vous tend le micro.

JARED : Bonjour.

ADAMUS : Bonjour. Qu’est-ce qui est venu en premier, la poule ou l’œuf?

JARED: Ooh! Je dirais les deux.

ADAMUS : Les deux.

JARED : En même temps.

ADAMUS : Absolument. C’est le Et.

JARED: Ta da!

ADAMUS: Pourquoi les gens ne s’en rendent-ils pas compte? Ils se disent : « Oh, je dois décider ceci ou cela. Je ne sais pas quoi faire! » C’est un Et. Ils sont venus en même temps. Pourquoi la poule a-t-elle traversé la route?

JARED: Parce qu’elle a choisi de le faire.

ADAMUS: Pour aller de l’autre côté.

JARED : Oh.

ADAMUS: Zhoom!  Un camion passe. Elle est allée de l’autre côté (il pointe vers le haut du ciel). Elle a traversé...  badump!  Ah, ok. C’est difficile d’être animateur de jeux télévisés. Ok! (quelques rires). Alors, le coronavirus a-t-il causé le changement, ou est-ce le changement qui a causé le coronavirus?

JARED: J’aurais dit que c’était le changement, et puis il s’est en quelque sorte manifesté, quel que soit le moyen qu’il a choisi, en l’occurrence ici le coronavirus.

ADAMUS: Oui, bien.

JARED : Oui.

ADAMUS : Bonne réponse. D’accord. Nous allons essayer d’avoir d’autres réponses à la même question. Bonne réponse.

LINDA: D’accord. Merci.

ADAMUS: Il nous a dit que c’était la conscience, le changement, et qu’ensuite le coronavirus est apparu, pas vrai? Bien. Personne suivante.

PAUL: Ce pourrait être dans les deux sens.

ADAMUS: Ce pourrait être dans les deux sens.

PAUL: Oui.

ADAMUS: Quel sens allez-vous choisir?

PAUL: Celui que je ressens sur le moment.

ADAMUS: Celui que vous ressentez, d’accord! Que ressentez-vous en ce moment ?

PAUL: En ce moment? (légère pause) Il ne ...

ADAMUS: Le changement a-t-il causé le coronavirus ou le coronavirus a-t-il causé le changement?

PAUL: Eh bien, cela n’a pas d’importance.

ADAMUS: Peu importe.

PAUL: Oui.

ADAMUS: Ok.

PAUL: Oui.

ADAMUS : D’accord. Bien.

PAUL: Oui.

ADAMUS : Très bien. Quelques autres réponses encore, pour la même question.

LINDA: Ok.

ADAMUS: Qu’est-ce qui est venu en premier? Qu’est-ce qui a causé quoi? Le changement ou le coronavirus ?

LINDA: Voici un trublion.

ADAMUS: Le coronavirus est-il soudainement descendu sur Terre et a-t-il ensuite provoqué ce grand changement?

ALICE: Pour moi, je le ressens comme… – est-ce que ce micro est allumé?

ADAMUS: Pourrions-nous lui donner un peu plus de volume au micro?

ALICE: Allô?!

ADAMUS: Voilà.

ALICE: Voilà (elle rit). Pour moi, c’est un peu comme un cercle en fait. Par exemple, nous faisons un peu de changement et ensuite nous l’appelons quelque chose.

ADAMUS: Oui.

ALICE: Et ce quelque chose provoque un peu plus de changement. Donc, en fait, j’aime « les deux ». Mais dans ce cas, si vous me faites m’engager plus précisément dans ma réponse, je dirais que c’est le changement qui a causé le coronavirus.

ADAMUS: C’est la merde qui a causé – euh, le changement qui a causé le coronavirus. Bien. Une personne de plus sur la même question (quelques rires).

LINDA: Une autre?

ADAMUS: Oui.

LINDA: Voyons. Alexandra.

ALEXANDRA : Oui, je serais d’accord pour dire que notre ...

ADAMUS: Pouvons-nous avoir un peu plus de volume au micro s’il vous plaît?

ALEXANDRA : Je sais, et peut-être que je n’approche pas assez ma bouche ? Je pense que si nous n’avions pas été prêts pour cela ou si nous n’avions pas demandé – pas seulement nous, mais tout le monde – alors cela ne serait pas arrivé, n’est-ce pas ? C’est tout l’intérêt des Points de Séparation, c’est à dire que les gens qui n’ont pas vécu cela sont allés ailleurs parce qu’ils ne le demandaient pas.

ADAMUS : Absolument.

ALEXANDRA : Oui.

ADAMUS: Et la bonne réponse c’est en fait les deux, mais en penchant plus vers le côté du changement qui a causé le coronavirus. Plus de conscience sur la planète a causé quelque chose. Vous n’aviez pas besoin de savoir ce que ça allait être. Peu importe. Cela aurait pu être beaucoup de choses. Mais ce qui s’est passé, c’est que ce virus est arrivé, est venu sur la planète et a provoqué d’énormes changements. Donc, vraiment, le changement a en quelque sorte créé le coronavirus, et ensuite le coronavirus a ajouté au changement. Donc, tous ceux qui ont dit que c’était vraiment un peu les deux (ont vu juste), mais c’est vraiment le changement qui a initié la chose. Encore une fois, il n’était pas nécessaire que ce soit le coronavirus. Cela aurait pu être énormément de choses différentes. Cela aurait pu être d’énormes tremblements de terre, des volcans ou quelque chose comme ça. Non pas que je le prédise pour un avenir proche, mais cela pourrait se produire.

Donc, toute personne qui a répondu à cette question correctement ou même partiellement correctement, s’il vous plaît allez voir Bonnie pour qu’elle vous offre un coupon-cadeau de 25 $ à dépenser à la boutique du Crimson Circle (Adamus siffle). Oui (le public dit « Whoaa! » et « oui ! » et quelques applaudissements) Et Bonnie se dit : « Qui, moi ? » Oui, vous êtes la seule Bonnie assise au fond de la pièce qui peut de toute évidence faire cela.

Ok, prochaine question. Ouf !  Nous allons monter en puissance, maintenant. Question suivante. Comment le monde a-t-il changé au cours des deux dernières années?

LINDA: Oof.

ADAMUS: Tic-tac. Tic-tac. Linda? Comment le monde a-t-il changé ? Ce n’est pas seulement un simple « oui » ou « non ». Cette question-ci demande un peu de réflexion, alors que Scott est prêt à répondre.

SCOTT : Oui. Je ne sais pas si le micro est toujours allumé. Ehhh, comment cela a-t-il changé? (il soupire) En un peu plus fou. Un peu plus fou mais plus en introspection.

ADAMUS: Euh hein. Euh hein.

SCOTT : Un peu plus de gens se demandent « Qu’est-ce qui se passe purée à l’extérieur ? Que se passe-t-il purée à l’intérieur? Dans ma propre vie? »

ADAMUS : C’est exact. Oui.

SCOTT : « Quand tout cela finira-t-il ? » (il rit)

ADAMUS : Exact. Exact. Ils veulent tous savoir quand cela va-t-il se terminer?

SCOTT : Quand cela va-t-il se terminer ? Oui!

ADAMUS: Oui. Et, vous savez, comme je vous l’ai déjà dit, cela va durer encore et encore et encore pendant très, très longtemps.

(légère pause)

Je n’avais pas dit ça. J’avais d’abord dit que ça allait être très rapide et que ça allait se terminer rapidement, et cela n’a pas été le cas. Et je n’ai pas eu tort non plus. C’est juste que les humains ont décidé de lâcher prise encore plus profondément et de faire durer cela, parce qu’ils sont en quelque sorte dans le changement. Non, ils aiment les choses qui sont en train de se produire.

SCOTT : Oui.

LINDA: Ils sont dans le quoi?

ADAMUS: Vous avez entendu.

SCOTT : (rires) Oh, mon dieu.

ADAMUS: Vous avez entendu (quelques rires). Bon, quelques façons spécifiques. Donnez-moi une ou deux façons spécifiques. De comment le monde a-t-il changé ?

SCOTT : Oh.

ADAMUS: C’était sur l’une des diapositives d’aujourd’hui.

SCOTT : Oui, eh bien, la grande Démission.

ADAMUS: Oui, oui.

SCOTT : La grande démission dans le travail. Les gens se disent vraiment : « Qu’est-ce que je veux faire de ma vie ? » Vous savez, « Et si je ne gagne pas d’argent - ou combien d’argent dois-je gagner pour vraiment profiter de la vie par rapport à vouloir être esclave pendant plus de 60 heures par semaine? »

ADAMUS: Oui. Oui. Comment va votre vie professionnelle?

SCOTT : (rires) Je n’aurais jamais pensé que je serais, par exemple, aidant, ce que je suis comme jamais je ne l’ai été. Je n’aurais jamais pensé que ma source de revenu serait principalement l’indemnité d’invalidité de mon partenaire.

ADAMUS : Exact.

SCOTT : Donc, je veux dire, je n’aurais jamais imaginé cela. Je veux dire, cela fait maintenant six ans et demi que vous en avez parlé.

ADAMUS : Exact.

SCOTT : Donc, ce genre de façons. Mais c’est juste, ça vient quand j’en ai besoin.

ADAMUS: C’est comme ça que ça devrait être.

SCOTT : Cela a été plus fluide que d’essayer de gagner de l’argent.

ADAMUS: Oui. Oui. Avez-vous déjà eu du plaisir à gagner de l’argent?

SCOTT : Pas vraiment. Non.

ADAMUS: Oui. Pendant une courte période, mais je veux dire...

SCOTT : (en riant doucement) C’est comme si plus je travaillais, moins je gagnais, en quelque sorte.

ADAMUS : Exactement ! Je veux que vous répétiez cela pour le monde entier.

SCOTT : Plus je travaillais pour gagner de l’argent, moins j’en gagnais.

ADAMUS: D’accord, et tout le monde (quelques applaudissements), tous les Shaumbra dans le monde qui pensent encore que vous devez travailler dur pour gagner plus, les Shaumbra qui en ce moment sont financièrement pour la plupart indépendants mais sans souffrir financièrement, ils ont exactement les mêmes mots. Ils disent : « Plus je travaillais, moins je gagnais. » Maintenant, cela défie la logique, mais c’est en fait de la métaphysique, parce que vous permettez que cela vienne à vous, plutôt que de travailler pour cela. Travailler est un concept de souffrance. Point. Alors maintenant, vous pouvez profiter de la vie.

SCOTT : Cool. Pour ainsi dire, en quelque sorte.

ADAMUS : D’accord. Pour ainsi dire, oui (ils rient). D’accord. Quelques-uns de plus. Oui.

LINDA: D’accord.

ADAMUS: Oui. Oui. D’accord. Alors, comment le monde a-t-il changé au cours des deux dernières années? Oui Monsieur.

PATRICK: Je pense que cela dépend un peu.

ADAMUS : C’est exact. C’est une réponse typique de Shaumbra (ils rient), vous savez, comme ... (le microphone a du feedback)

PATRICK: Désolé pour cela.

ADAMUS: Ok.

PATRICK: Je pense que ceux qui étaient plus tournés vers l’extérieur, ont été en quelque sorte forcés de rester à l’intérieur.

ADAMUS : C’est exact.

PATRICK: Ils avaient moins, par exemple, de facteurs externes qui intervenaient.

ADAMUS: Alors, y a-t-il moins de personnes du type A dans le monde en ce moment à cause du virus?

PATRICK : Oui (il rit). Je suppose que oui. Ils se sont en quelque sorte plus concentrés sur l’intérieur de leur maison, ce qui comptait pour eux, non?

ADAMUS : Exact.

PATRICK: Je pense que ceux qui étaient déjà à la maison, qui étaient plus casaniers, ils ont en quelque sorte regardé le monde extérieur.

ADAMUS : Exact.

PATRICK : Oui. Du style, n’est-ce pas, avec l’Ukraine et tout ce qu’il se passe ou ils passaient plus de temps à regarder les nouvelles peut-être, ils voulaient regarder ce qui comptait pour eux aussi.

ADAMUS : C’est exact. Donc, les gens sont allés plus à l’intérieur.

PATRICK : Oui.

ADAMUS: Oui. Bien. Que se passe-t-il lorsque les gens vont à l’intérieur, en eux? Je veux dire, pas seulement littéralement, mais au sens figuré.

PATRICK: Oui, ils doivent en quelque sorte, par exemple, réaliser, vous savez, ce qui est important pour eux.

ADAMUS: La consommation de drogue augmente.

PATRICK : Oui.

ADAMUS: Oui, oui.

PATRICK: Comme...

ADAMUS: Non, c’est le cas. La consommation de drogue augmente, parce que les gens n’aiment pas vraiment aller à l’intérieur. C’est tellement plus facile d’être à l’extérieur tout le temps, de blâmer quelqu’un d’autre, plutôt que de jeter un regard sur soi-même. Bon je ferai tous ces schémas et diagrammes pour notre prochaine réunion, pour vous montrer statistiquement le saut qu’il y a eu dans l’utilisation de ces médicaments.

PATRICK : Oui, pour échapper à la réalité.

ADAMUS: L’anxiété, la douleur et tout le reste, tout cela a dépassé les plafonds, c’est monté en flèche, parce que les gens ont dû s’arrêter une minute et se regarder eux-mêmes, et ils n’aiment pas faire ça. Ils préfèrent aller dehors.

PATRICK : Cela les distrait.

ADAMUS: C’est distrayant. Mais la beauté du coronavirus, c’est que cela vous a obligé à poser vos fesses et ressentir en vous-même, et beaucoup de gens n’ont pas aimé ça. Mais beaucoup de gens ont aimé. Cela a été bien pour beaucoup. Merci.

PATRICK : Merci.

ADAMUS: Une réponse de plus à cette question et nous avancerons.

LINDA: (murmure) D’accord.

ADAMUS: Alors, comment le monde a-t-il changé au cours des deux dernières années?

OLIVIA : Bonjour. Est-ce que cela fonctionne? (se référant au micro, qui avait des difficultés techniques)

ADAMUS : Nous ne savons pas (rires). Nous n’en avons aucune idée. Et, vous savez, la réponse Shaumbra à cela c’est: « Est-ce important? »

OLIVIA : Est-ce important ? Non, ce n’est pas le cas.

ADAMUS: Est-ce important? Oui. Oui, allez-y et faites semblant que vous parlez dans le micro.

OLIVIA : Bien sûr. Bonjour.

ADAMUS : Bonjour.

OLIVIA : Ce n’était pas satisfaisant, la réalité. Personne n’était satisfait de sa vie, et tout le monde a dû s’arrêter et regarder sa vie.

ADAMUS: Mm hmm. Personne ne l’était.

OLIVIA : Eh bien, je pense...

ADAMUS: Étiez-vous satisfaite vous?

OLIVIA : Non.

ADAMUS: Non.

OLIVIA : Non. Cela m’a forcé à arrêter.

ADAMUS: Qu’est-ce que vous avez arrêté?

OLIVIA : Eh bien, je faisais du conseil sur des projets et puis ça s’est arrêté juste avant le début de – eh bien, au début de la pandémie, et j’ai eu beaucoup de temps libre.

ADAMUS: Qu’avez-vous fait, vous êtes restée assise à la maison à m’écouter?

OLIVIA : Eh bien, en fait, oui (rires).

ADAMUS: Oui, oui (Adamus rit).

OLIVIA : C’est vrai.

ADAMUS: Je le savais. Oui. Vous m’avez écouté et nous avons bavardé et moi j’ai amené ma lumière dans votre vie. Que s’est-il passé à la suite de cela? Qu’est-ce qui a changé dans votre vie ?

OLIVIA : Eh bien, j’ai eu assez de temps pour me pencher sur des choses que j’avais oubliées.

ADAMUS: Comme?

OLIVIA : Mes rêves.

ADAMUS: Vos rêves. Vous avez donc passé les deux années à rêver.

OLIVIA : J’avais noté mes rêves durant presque 20 ans, et puis je me suis souvenue que j’avais tout ce matériel, alors ...

ADAMUS: Rêvez-vous de moi?

OLIVIA : (elle pense) Quelques......

ADAMUS: (chuchote) Oui! Oui! Oui!

OLIVIA : Je suppose.

ADAMUS: Oui, je suppose. D’accord.

OLIVIA : Je suppose.

ADAMUS: Avez-vous rêvé de Kuthumi?

OLIVIA : Non.

ADAMUS: Non. D’accord. Ha, ha, ha, ha, ha, ha! (rires)

OLIVIA : Pas vraiment (Adamus continue de rire).

ADAMUS: Oui, bien. Donc, les rêves. Qu’avez-vous fait de toutes ces notes sur vos rêves? Je veux dire, c’est juste rêver. Qu’allez-vous en faire ?

OLIVIA : Je peux écrire. J’ai commencé à écrire en octobre 2020, et c’était intéressant. Cela me plait beaucoup.

ADAMUS: Vous écrivez donc un livre sur vos rêves.

OLIVIA : Non, j’ai un blog sur Medium. Medium, c’est comme une plate-forme de médias sociaux pour les écrivains.

ADAMUS: Exact, exact.

OLIVIA: Et j’ai essayé d’en faire quelque chose, mais récemment, j’ai eu cette idée de construire une plate-forme, une plate-forme en ligne pour les rêves.

ADAMUS: Vraiment? L’auriez-vous fait si vous n’aviez pas été forcée de rester à la maison pendant deux ans?

OLIVIA : Non.

ADAMUS: Non.

OLIVIA : J’en suis absolument sûre.

ADAMUS: Alors diriez-vous que c’est peut-être une passion, une énorme passion dans votre vie de faire cela?

OLIVIA : Absolument.

ADAMUS: Oui, et pour communiquer avec d’autres sur vos rêves. Que sont les rêves, après tout?

OLIVIA : Des dimensions.

ADAMUS: Des dimensions. Mais est-ce que ce ne sont que des rêves ? Est-ce que ce ne sont que des histoires du mental? Est-ce ...

OLIVIA : Non. Non.

ADAMUS: ... juste un bavardage de votre cerveau?

OLIVIA : Ce sont des rencontres réelles. La plupart d’entre eux sont en fait des choses réelles qui se produisent, comme si c’était une autre dimension. Ce n’est pas la 3D, mais c’est autre chose.

ADAMUS: Combien ici ont fait des rêves étranges ces derniers temps? Je veux dire, vraiment bizarres. Du genre extrêmement bizarres. Oui. Oui, parce que quelque chose se produit dans les rêves. Beaucoup de libération a lieu dans les rêves. Beaucoup de pièces de théâtre ont lieu. Ce n’est pas seulement ici sur cette planète que les choses se passent.

OLIVIA : Non.

ADAMUS: Cela se passe dans tous les royaumes autour de vous. Et l’une des choses que nous faisons en ce moment en tant que Shaumbra, et que nous ferons en particulier dans le prochain Keahak, c’est d’aller au-delà. C’est génial, et c’est très viscéral, très réel, mais il se passe énormément d’autres choses. Et si vous pouvez rassembler tout cela avec sagesse et comprendre qu’il y a énormément de choses dans les autres royaumes aussi, la vie devient beaucoup plus amusante. Moins ennuyeuse, moins fastidieuse. A présent, vous êtes très multidimensionnel.

OLIVIA : C’est très, très intéressant, parce que je sais beaucoup de choses qui se passent dans mes rêves.

ADAMUS : Exact.

OLIVIA : Je veux dire, beaucoup de choses peuvent arriver dans les rêves. Vous pouvez aller visiter différents mondes, par exemple.

ADAMUS: Oui.

OLIVIA: Mais que se passerait-il si vous aviez une plate-forme en ligne mondiale afin que tout le monde dans le monde puisse simplement y mettre ses rêves et que nous commencions à créer, par exemple, une conscience, comme une conscience globale, connectée. Que pourrait-il se passer?

ADAMUS: Et donc, pensez-vous faire cela? Ou êtes-vous en train de le faire?

OLIVIA : Je lève des capitaux actuellement.

ADAMUS: Oh, d’accord.

OLIVIA : En ce moment.

ADAMUS : Bien. Bien. Combien?

OLIVIA : Un million de dollars.

ADAMUS: Un million, bien. Le nombre exact que j’avais (en tête). C’est ce dont vous allez avoir besoin.

OLIVIA : Plus ou moins, oui.

ADAMUS: Oui, oui. Non, non. Ni plus ni moins. Je veux dire, c’est le chiffre, un million de dollars.

OLIVIA : C’est le chiffre, oui.

ADAMUS: Oui, oui. Oui.

OLIVIA : Oui.

ADAMUS : Bien. Alors, pourquoi est-ce important? Je veux dire, c’est juste des trucs de rêves et les gens ont mieux à faire que de se préoccuper de leurs rêves. La plupart des gens ne se souviennent pas de leurs rêves. Pourquoi est-ce important?

OLIVIA : C’est comme une façon d’expliquer comment fonctionne la réalité. Si vous comprenez comment fonctionnent les dimensions et qu’ensuite vous allez là-bas et y faites des choses, puis vous revenez ici et ouvrez une brèche dans les dimensions, puis vous apportez des choses de là-bas quand vous en avez besoin. C’est juste faire l’expérience des dimensions.

ADAMUS: Alors, allez-vous m’interviewer pour cette plate-forme, avoir mon point de vue sur les rêves?

OLIVIA : Je vous interviewe, bien sûr.

ADAMUS: Oui. Voulez-vous m’interviewer? Est-ce dans votre intention de vous asseoir et de faire une interview avec Oncle Adamus sur les rêves? (quelques rires)

OLIVIA : Oui, absolument.

ADAMUS: Bien, bien.

OLIVIA : Absolument.

ADAMUS: Oui. Oui.

OLIVIA : Oui, oui. Absolument.

ADAMUS: Oui. Elle n’y avait pas encore pensé, mais j’ai planté l’idée (rires). Non, j’adorerais parler des rêves, parce qu’ils ne sont pas ce que les gens pensent qu’ils sont. Il se passe tellement de choses dans les rêves. Premièrement, les rêves sont une grande scène. Vous allez jouer différentes choses. Vous les testez avant de les amener ici. Souvent, vous les amenez ici et puis cela s’écarte de ce que vous aviez répété là-bas, mais vous essayez différents scénarios. Vous mettez différentes tenues d’acteurs, différents vêtements, différentes attitudes et testez différents résultats, puis vous voyez si vous pouvez l’amener ici. Maintenant, le piège et c’est là que la plupart des gens sont bloqués, c’est de le ramener ici alors que vous êtes confronté à cette réalité, à la conscience de masse, et de ne pas vous souvenir de votre satané rêve pour commencer. Alors ça tombe à plat. Ça ne marche pas. Mais il y a un moyen de relier tous les points ensemble et de les amener ici. C’est ce dont nous parlerons dans notre interview.

OLIVIA : Très bien. Merci.

ADAMUS : Bien. Bien.

OLIVIA : Merci.

ADAMUS: J’adore les rêves. J’adore les rêves. Quels rêves peuvent advenir ? (citation de Shakespeare) Oui.

OLIVIA : Quels rêves peuvent advenir ?

ADAMUS: Oui. Ok.

Bien, nous devons avancer là. La question suivante c’est ... ok. Ah, oh! Ça c’est une bonne question. C’est moi qui l’ai écrite (quelques rires). Qu’est-ce qui a causé le conflit mondial actuel qui est centré en ce moment sur la Russie et l’Ukraine ? Qu’est-ce qui a causé ce conflit ?

Oh, au fait, voyez Bonnie pour votre coupon de 50 $ à la boutique (le public dit « Oooh! « ) oui.

OLIVIA : Merci.

ADAMUS: D’accord. C’est une question à 100 $ là.

EMMA : Oh, mon Dieu.

ADAMUS: Alors, voyons. Qu’est-ce qui a causé le conflit actuel?

EMMA : Je peux avoir juste quoi que je dise ? (elle rit doucement)

ADAMUS: Allez-y et levez-vous, si cela ne vous dérange pas.

EMMA : D’accord. Donc, à mon avis, c’était ...

ADAMUS: Vous allez devoir parler très fort. Nous avons des problèmes techniques (certains feedback micro).

EMMA : C’est bruyant. Pour moi, cela a été causé par la lutte pour le pouvoir.

ADAMUS : La lutte pour le pouvoir, oui.

EMMA : Et les gens qui en ont marre de tout ça.

ADAMUS: Oui.

EMMA : Le super pouvoir versus le petit gars, et le monde qui se réunit pour décider qu’il ne fera pas une guerre plus grande.

ADAMUS : Exact.

EMMA : Cela va tout simplement tomber à l’eau.

ADAMUS: Dans quelle mesure ce conflit, si vous regardez les énergies, vous savez, les énergies sous-jacentes, dans quelle mesure est-il basé sur – vous avez parlé de pouvoir – mais sur le pouvoir masculin? A quel pourcentage ?

EMMA : Oh, oui.

ADAMUS: Le pouvoir de l’homme, le pouvoir masculin.

EMMA : Cent pour cent...

ADAMUS: Cent pour cent.

EMMA:... Je dirais.

ADAMUS: Je dirais environ 90%, mais, vous savez…

EMMA : Oui, 99%.

ADAMUS: Je veux dire, nous ne voulons pas mettre tout sur le dos des hommes.

EMMA : Oui. Environ 99%.

ADAMUS: Alors, que se passe-t-il vraiment avec cette crise qui est en cours? Vous avez fait allusion et touché certains points, comme le pouvoir.

EMMA : Je pense que l’attention du monde est concentrée sur « Plus d’intimidation ».

ADAMUS : Exact. Plus d’intimidation. Oui.

EMMA : Et le monde entier est en train de se rassembler là-dessus.

ADAMUS: Tout à fait.

EMMA : « Nous en avons assez. »

ADAMUS: Je veux dire, n’est-ce pas merveilleux, en un sens? Maintenant, ce conflit allait se produire de toute façon. Donc, je ne dis pas que c’est juste arrivé, mais que cela allait arriver, parce qu’il y a beaucoup de vieilles énergies dans le sol, de vieilles énergies historiques. Vous savez, le karma et le fait de porter une dette karmique ne vaut pas seulement pour l’individu. Cela peut arriver dans les pays, et celui-ci (de karma) est vieux, très vieux. Plus quelques influences religieuses, plus la lutte de pouvoir, plus la question masculine, la question de l’homme (quelques rires). Tout cela – cela ne pouvait qu’arriver.

Maintenant, la question c’est, au fur et à mesure que votre lumière se diffuse – et encore une fois, nous sommes en train de faire cette animation vidéo phénoménale de votre lumière qui se diffuse – ce problème allait se poser, il allait arriver. Il le fallait. Cela avait été refoulé depuis longtemps, et pas seulement entre l’Ukraine et la Russie, mais partout dans le monde. La Guerre Civile est toujours en cours, Mesdames et Messieurs, ici même en Amérique (le public est d’accord). Et c’est le cas. Sortez sur certains des anciens champs de bataille. Les énergies ont pu être assez plates là-bas, par exemple il y a 10 ans, il y a 20 ans. Mais actuellement, ces énergies sont en train de se battre, parce que votre lumière s’est diffusée et votre lumière est en train de dire: « Nous devons libérer, relâcher tous ces vieux problèmes. Ce sont des énergies bloquées, et ces énergies causent beaucoup de souffrance sur la planète, et il est temps de les libérer. » C’est ce qui se passe quand votre lumière se diffuse là-bas.

Et le problème qui se passe ici avec l’Ukraine et la Russie – le vieux karma, les hommes, l’ancien pouvoir – est en train de susciter une attention mondiale. Maintenant, qu’est-ce que les gens vont en faire? On pourrait espérer, du point de vue humain, qu’ils disent : « Ça suffit. Ça suffit ces batailles. Ça suffit tout cela ... » Vous ne pouvez pas envahir l’énergie d’un autre, même si vous pensez que vous le pouvez. Vous ne pouvez plus essayer de voler qui que ce soit. Vous ne pouvez pas revendiquer le territoire de quelqu’un d’autre comme étant le vôtre, parce que c’est symbolique et analogue à ce qui se passe pour vous. C’est votre énergie divine et souveraine. Ne vous lancez pas dans ce jeu de laisser quelqu’un d’autre prendre votre territoire, en croyant qu’il le peut, en croyant qu’il peut vous voler. Et maintenant, cela se manifeste sur la scène mondiale. C’est vraiment extraordinaire.

Donc, pour ceux d’entre vous ... Merci. Vous obtenez – qu’est-ce que je vous ai promis?

EMMA : Était-ce 200 $?

ADAMUS : Vous gagnez 200 $ (rires). Voyez Bonnie (quelques applaudissements), ou vous pouvez avoir le choix entre cela ou la nouvelle crypto-monnaie, le Bitcoin du Crimson Circle. Oui.

LINDA: Non!

ADAMUS: Prenez le coupon-crédit de la boutique (plus de rires). Ok, dernière question ici sur la liste. Ok. Oooh!  Celle-ci est une question à 250 $.

LINDA: Ooh!  Cirez-moi les pompes! (Linda et Adamus rient).

ADAMUS: Ok. Alors, qu’avez-vous appris sur vous-mêmes au cours des deux dernières années? Qu’avez-vous appris sur vous-mêmes au cours des deux dernières années? Linda, allez-y (elle donne le micro à quelqu’un qui ne veut pas le prendre; quelques rires). Et si cela ne vous dérange pas de vous lever et de laisser tout le monde entendre ce que vous avez à dire. Qu’avez-vous appris sur vous-même? Distillé en cinq minutes ou moins. Je pouvais voir que celle-ci allait être longue.

MARY: Il s’est passé beaucoup de choses au cours des deux dernières années. Particulièrement...

ADAMUS: N’aurait-ce pas été triste si cela n’avait pas été le cas?

MARY: Oui. Eh bien, cela a été particulièrement le cas durant les six derniers mois.

ADAMUS: Oui. Oui.

MARY: Oui.

ADAMUS: Des trucs difficiles?

MARY: Oui. J’ai eu un accident assez méchant cet hiver, et beaucoup – vous savez, il n’y a pas de leçons – c’était beaucoup d’expérience.

ADAMUS : Exact.

MARY: Finalement, mon numéro est arrivé et j’ai eu un gros accident de vélo comme je n’avais jamais eu.

ADAMUS : Exact.

MARY: Et donc maintenant je suis une vraie cycliste parce que j’ai des cicatrices.

ADAMUS : Exact. Que s’est-il vraiment passé avec cela?

MARY: Cela a été concrètement, je pense, une grosse expérience. Beaucoup de choses que je n’avais jamais faites auparavant, toutes ces choses médicales comme les ambulances et la chirurgie.

ADAMUS : Exact. Exact. Mais que s’est-il vraiment passé énergétiquement ?

MARY: Oh! J’ai expulsé une énorme quantité d’énergie ...

ADAMUS: Duh!  Oui!

MARIE:... pour toujours.

ADAMUS: Pourquoi avez-vous choisi un accident de vélo, plutôt que de simplement le faire en faisant du om?

MARY: C’était plus puissant pour moi.

ADAMUS: Plus puissant. Ou vous avez tendance à trop penser aux choses.

MARY: Moi?! Trop penser aux choses?!

ADAMUS: Mnhh! C’est ce que je crois (ils rient). Vous l’avez fait petit bout par petit bout. Vous y avez réfléchi, ensuite vous avez débattu de cela, puis vous avez décidé de ne pas le faire. Vous étiez en quelque sorte prête pour ce changement massif et – pour en revenir à cette chose des rêves – vous allez dans les autres royaumes et vous vous dites: « Diantre, manifestons des choses différentes. Ok, je vais d’abord essayer de le faire en pensant simplement que je vais tout libérer. »  Euh!  Cela n’a pas fonctionné. Ensuite, vous essayez de le faire en vous disant: « Peut-être que je le ferai via une cérémonie et un rituel. » Ehhh! Vous avez essayé ça et c’est vraiment ennuyeux.

MARY: J’ai en quelque sorte abandonné cela il y a longtemps.

ADAMUS: Oui. Et ensuite, c’est du style, « Ooh!  Attendez une seconde. Je m’identifie à un cycliste, et je n’ai pas encore eu mon accident. Whoaaa!  Quelle belle occasion de faire une mégachiée de relâchement et d’amener une mégachiée de mon énergie divine en même temps, et puis j’aurai des cicatrices pour le prouver et je pourrai raconter des histoires comme jamais auparavant. » (elle rit) Vous savez, je suis un peu théâtral, mais c’est exactement ce qui s’est passé.

MARY: Quelque chose comme ça, oui.

ADAMUS: Oui. Et l’humain se souviendra : « Oh ! J’ai dû aller chez le médecin et la douleur, je ne pouvais pas dormir la nuit, et bla, bla, bla. » Ce n’est pas vraiment ce qui est important là-dedans. L’important, c’est que vous avez utilisé une voie dramatique, colorée, en quelque sorte assez poétique pour lâcher prise d’un gros tas de merdes, et vous avez amené un gros tas (d’énergie divine). C’était un échange d’énergie parfait.

MARY: Et la bonne période pour le faire.

ADAMUS: Bien sûr! Le moment idéal.

MARY: J’ai eu mon accident au solstice d’hiver et je suis remontée sur mon vélo à l’équinoxe vernal.

ADAMUS : Bien sûr ! Tout le monde ne ferait-il pas ça?! (rires)

MARY: J’ai eu besoin d’amis pour m’aider à monter et descendre de vélo.

ADAMUS : Bien sûr.

MARY: Mais je l’ai fait.

ADAMUS: Mais il y a tellement de sagesse qui est ressortie de tout cela et, bien sûr, l’humain se souvient de la douleur, des trucs ennuyeux ou fastidieux.

MARY: Eh bien, la rééducation m’a provoqué une espèce de douleur dans les fesses.

ADAMUS: La rééducation. Mais vous avez appris pendant la rééducation.

MARY: Quoi?

ADAMUS: Vous avez appris pendant la rééducation.

MARY: Oh, absolument!

ADAMUS: Vous avez été en contact avec votre corps comme jamais auparavant.

MARY: Oh, c’est fou. C’est comme si chaque jour je pouvais faire quelque chose que je ne pouvais pas faire la veille. Et observer le processus de guérison ...

ADAMUS : Oui !

MARIE:... a simplement été pour moi miraculeux. Il y a eu des miracles.

ADAMUS: Vous voyez?!  Quelle beauté, la chose que vous avez mise en place. Alors, que diriez-vous aux autres au sujet du processus de guérison?

MARY: Il suffit de l’observer! Observez-le tout simplement.

ADAMUS: Ne le contrôlez pas.

MARY: Et permettez-lui de se produire.

ADAMUS: N’interférez pas. Ne...

MARY: Eh bien, non. Suivez votre…, vous savez, suivez votre traitement thérapeutique et faites ce que votre médecin vous dit de faire, si vous ressentez que ce que vous dit votre médecin est important, n’est-ce pas. Mais simplement ...

ADAMUS: (murmure) Permettez.

MARY: Je me le suis dit !

ADAMUS: Je sais que vous vous l’êtes dit. Oui, oui. Mais vous vous en êtes éloignée.

MARY: Je me le suis dit et j’ai simplement permis ...

ADAMUS: Parce que vous y pensiez et ensuite vous n’y reveniez jamais (au permettre).

MARIE:... que cela se produise parce que c’est vraiment miraculeux.

ADAMUS: Tout à fait! Le corps physique se guérit de lui-même. C’est vraiment le cas. C’est programmé ainsi depuis l’origine des êtres angéliques...

MARY: C’est fou.

ADAMUS: ... que le corps puisse se guérir de lui-même.

MARY: C’est fou.

ADAMUS: Le corps peut aussi se transformer et passer par tout ce changement menant au corps de lumière, à la nouvelle espèce humaine. Mais purée, dégagez de votre chemin. Et, oui, il y aura...

MARY: Bel enchainement. J’apprécie cela.

ADAMUS: Cauldre me donne du fil à retordre.

MARY: C’est un excellent enchainement.

ADAMUS: Bien sûr, vous ressentirez un peu de douleur, mais c’est ce sur quoi l’humain se concentre, « Oh! Cela a été très douloureux. » Eh bien, vous venez juste d’accéder à votre tout nouveau corps de lumière! Vous êtes en train de vous promener sur la planète en tant que Maître Ascensionné avec un corps de lumière. « Je sais, mais j’ai eu des maux de tête pendant trois jours. » D’accord (rires).

MARY: Trois jours.

ADAMUS: Ok, prenons une bonne respiration profonde. Merci, et c’est 250 $, plus 100 $ de bonus pour m’avoir laissé vous donner du fil à retordre (le public dit « Wooo! « ). Trois cent cinquante dollars. Voyez Bonnie pour cela (applaudissements du public). Ok.

Passons à autre chose. Nous pouvons baisser les lumières et faire quelque chose pour améliorer le son. D’accord. Prenez... non, s’il vous plaît, s’il vous plaît. Asseyez-vous à côté de moi (à Linda). Alors, point suivant. Oh, ok.

Prenons une bonne respiration profonde.

 

La lumière, l’obscurité et le mal

Nous avons parlé de lumière. Lors de notre dernier rassemblement, le mois dernier, nous avons fait un DreamWalk de la lumière et, encore une fois, vraiment, j’adorerais voir ce film d’animation, alors je le dis pour que tout Shaumbra ici ou ailleurs qui veuille bien le faire, le fasse. Vous suivez cette lumière qui se diffuse quand les Shaumbra font du banc, et qu’ils le font sans objectif, et vous la suivez alors qu’elle fait le tour du monde et rayonne jusqu’aux petits enfants qui se sentent perdus et sans espoir, des enfants âgés de cinq ans, qui pensent: « Pourquoi suis-je revenu pour une nouvelle vie? » Et soudain – whooosh!  – la lumière arrive sur eux, et soudain ils se disent : « Oh, maintenant je me souviens. Merde! Je suis revenu ici pour lâcher prise et relâcher tous mes trucs, intégrer toutes mes vies passées et être un Maître comme ces autres personnes, ces Shaumbra. » Super vidéo (Adamus rit).

Donc, nous avons beaucoup parlé de la lumière et de son rayonnement, et je ne saurais trop insister sur le fait que la lumière n’a pas d’objectif. Maintenant, je sais que l’humain se dit : « Oui, mais nous voulons la mettre ici-bas pour faire de ce monde un endroit meilleur. » À quoi cet endroit ressemble-t-il? Est-ce l’endroit que vous imaginez dans votre mental? C’est cela? Un endroit rempli de licornes? Rempli de personnes qui se promènent heureuses en s’offrant des chocolats? Je ne pense pas que beaucoup de gens le veuillent. Donc, en d’autres termes, votre lumière rayonne sans objectif.

Laissez le monde, laissez les potentiels de chaque individu décider du comment il veut le faire. Une chute à vélo, peut-être. C’est à eux de décider. Mais le fait est que la lumière est en train de se diffuser. Et donc, nous avons fait ce magnifique, magnifique DreamWalk.

Ceci dit, aujourd’hui, je veux parler de l’obscurité. L’obscurité. Heh!  Pourquoi pas? Nous avons parlé de la lumière. Vous pouvez parler de l’obscurité.

Tout d’abord, d’abord et avant tout, l’obscurité n’est pas une force d’opposition, une force ennemie. L’obscurité n’est pas une force d’opposition. Vous ne combattez pas les ténèbres en vous. L’obscurité existe simplement là où la lumière n’a pas encore été, et il faut bien des ténèbres, de l’obscurité pour que la lumière soit la lumière.

Il y a cette idée répandue sur la planète actuellement, c’est l’ancien concept de la dualité, qui dit que vous avez d’un côté la lumière et qu’elle est entièrement bonne, et que vous avez de l’autre l’obscurité, et qu’elle est totalement mauvaise. Et que la lumière et l’obscurité se combattent, et parfois c’est l’obscurité qui prend l’avantage, et d’autres fois c’est la lumière qui le fait. Mais que si nous nous asseyons tous, que nous nous tenons la main et chantons kumbaya, la lumière vaincra une fois pour toutes l’obscurité. Ce qui se passerait avec ce scénario, c’est que fondamentalement tout disparaîtrait de l’existence (Adamus rit). Vous avez besoin de l’obscurité, c’est ce que je vous dis, parce que l’obscurité, c’est là où la lumière n’a pas encore été. Elle ne s’oppose pas à la lumière.

Même en vous, l’obscurité ne s’oppose pas à la lumière. Elle est simplement là où aucune conscience n’a jamais été. Ce n’est pas un endroit. Elle n’a ni taille ni volume. C’est simplement là où vous n’êtes pas encore allé. Certains d’entre vous s’aventurent dans l’obscurité dans leurs rêves la nuit, « A quoi cela ressemblerait si j’allais amener ma lumière, ma conscience à un endroit où elle n’a jamais été mise auparavant? » Quelle expérience.

Mais malheureusement, sur cette planète basée sur la dualité, la polarité, les batailles, on en est arrivé au fait qu’il s’agit d’anéantir l’obscurité. Ressentez cela un instant. C’est totalement faux! C’est totalement et fondamentalement faux, putain ! (Linda suffoque). Désolé (rires). C’est la première fois que j’utilise ce mot aujourd’hui, parce que je suis très catégorique à ce sujet. C’est totalement faux. Même la Nouvelle Pensée, le Nouvel Âge, certains spiritualistes ont cette manie de dire : « Nous allons aller combattre les ténèbres. » Vous ne faites que vous battre contre vous-même. Vous ne faites que vous combattre vous-même, et vous ne vous battez même pas vraiment contre l’obscurité. Vous ne faites que combattre votre propre lumière. Vous déformez votre lumière lorsque vous combattez l’obscurité.

Maintenant, c’est tellement essentiel à ce que nous faisons en ce moment. Nous n’essayons pas de surmonter les ténèbres. Vous avez besoin des ténèbres ou de l’obscurité. Il faut qu’elle soit là.

Ceci dit, l’obscurité n’est pas une force d’opposition, une force ennemie alors s’il vous plaît, arrêtez de croire cela. S’il vous plaît, arrêtez de parler de votre propre obscurité. Vous savez, il y a des années et des années et des années, Tobias en parlait, et Cauldre avait presque dû cesser sa carrière de canal à ce moment-là quand Tobias avait dit (ici): « Vos ténèbres sont votre divinité », ce qui signifie que c’est vraiment un endroit qui contient toutes les merdes que vous n’aimez pas en vous. C’est un endroit où vous ne souhaitez pas aller.

Et donc, dans notre travail de métaphysiciens, à nous qui rayonnons notre lumière, il ne s’agira pas de s’opposer à l’obscurité. Et cela relève d’une physique simple, mais c’est aussi très bon émotionnellement parlant. Nous allons y revenir dans un instant. C’est vraiment très bon émotionnellement de comprendre qu’il n’y a absolument aucun mal dans vos ténèbres. Pas du tout. En d’autres termes, n’ayez pas peur d’aller là où votre lumière n’est pas encore allée. Il n’y a pas de loup-garou. Il n’y a pas de monstres. Satan n’est pas là. Vos ténèbres, c’est simplement là où votre lumière n’a pas encore brillé.

Et donc, cela fait émerger la question : « Mais, Adamus, n’y a-t-il pas de mal sur la planète ? L’obscurité n’est-elle pas le mal? » Qu’est-ce que le mal ? Qu’est-ce que le mal ? Certes, vous pourriez tous désigner le mal. Beaucoup d’entre vous ont été soumis au mal dans leur vie. Vous lisez des choses sur le mal dans vos nouvelles, mais qu’est-ce que le mal ?

Le mal est un mot intéressant – e-v-i-l (en anglais) – c’est l’antithèse, le contraire de vivre – l-i-v-e. Je me demande si c’est un hasard ? Non. Le mal contient aussi (en anglais) le mot « mensonge » (« lie »). Mensonge. Et quoi d’autre encore? Le mot voile (« veil »). Voile. Donc, le mal n’est en fin de compte qu’un gros mensonge. Pas un mensonge perpétré par une conspiration. Il ne s’agit pas de cela. C’est un mensonge à soi-même, et peut-être qu’il résulte du voile, lui-même résultant de la densité de cette dimension 3D dans laquelle vous vous trouvez ici. Mais le mal n’est finalement qu’une distorsion, une déformation de la lumière. Une distorsion de la lumière. Ce n’est pas de l’obscurité. C’est simplement la déformation qui se produit quand un individu est voilé à lui-même, quand quelqu’un se ment à lui-même sur ce qu’il est en réalité. Il se ment à lui-même en se disant : « Je ne suis qu’un humain sur la planète. Je suis soumis aux gouvernements, je suis soumis aux dieux, et donc je suis seulement un humain sur la planète. » C’est cela le gros mensonge. Quand l’humain se dit: « Je ne sais pas », ça c’est un gros mensonge, et c’est fondamentalement cela l’origine du mal, lequel peut devenir encore plus distordu et de plus en plus méchant au fur et à mesure (que vous continuez ce gros mensonge).

Mais le mal, ce n’est pas l’obscurité. Le mal c’est juste une distorsion, une déformation, et la plus grande distorsion de toutes, dans tout cela, la plus grande distorsion – nous pourrions en parler sans fin, nous pourrions en débattre – mais tout se résume à ceci: la véritable cause du mal, c’est quand quelqu’un croit et vit en passant son temps à penser que l’énergie est à l’extérieur de lui. C’est cela le mal. C’est cela qui fait ressortir le mal.

C’est aussi simple que cela. Pourquoi des gens envahissent-ils d’autres pays? Parce qu’ils ne réalisent pas que l’énergie est déjà en eux-mêmes. Ils croient au pouvoir. Ils croient qu’il faut s’emparer d’autres terres et d’autres personnes et, oui, c’est mal. Mais c’est à cause de cette distorsion qui vous dit que, « Je dois obtenir quelque chose depuis l’extérieur. Je dois le voler à quelqu’un. Je dois tuer quelqu’un pour l’obtenir. Je dois jouer à des jeux psychiques avec les gens. Je dois jouer à des jeux mentaux avec eux. Je dois distordre leur vie afin de leur prendre quelque chose. » C’est cela le mal, ou les origines du mal, c’est que quelque chose est à l’extérieur de vous.

Si les gens comprenaient vraiment que tout est votre énergie, que tout est ici-même et que tout est là prêt à vous servir, comment pourriez-vous être abusé en pensant que vous devez voler une autre personne, que vous devez nuire à un autre, que vous devez peut-être surprotéger quelqu’un, que vous devez cirer les pompes de quelqu’un? Donc, en vérité, les origines du mal sont un manque de compréhension que tout est à vous et que tout est là. Il n’y a rien dont vous ayez besoin qui se trouve dans un endroit ailleurs. Et, vous savez, les Shaumbra en sont encore au stade théorique avec cela. Ils entendent mes mots, mais ils entrent dans des débats mentaux à ce sujet, « Eh bien, oui, si tout est à moi, comment se fait-il que ma vie ne soit pas parfaite? » Eh bien, je vous renvoie la même question. Pourquoi? Comment se fait-il que vous traîniez encore des choses avec vous? Comment se fait-il que vous pleuriez et pleurnichiez à cause de ce que quelqu’un vous a fait ?

Comment se fait-il que certains d’entre vous les Shaumbra, comment se fait-il que vous visitiez tous ces sites conspirationnistes tous les jours? Vous savez, je veux dire, les sites conspirationnistes, regardez-les. Allez-y et regardez-les. Je vous encourage tous à le faire. Quel est le plus grand facteur commun à chacun d’eux? « Quelqu’un d’autre vous entube » (certains rient). Je vous l’ai répété (plus de rires). J’ai besoin d’un chocolat là.

LINDA: Tout à fait. Tout à fait.

ADAMUS: Je parle tellement (Adamus rit). Quelqu’un d’autre contrôle...

LINDA: Y a-t-il quelque chose d’autre que je puisse faire pour vous aider? Y a-t-il autre chose?

ADAMUS: Ça va. « Quelqu’un d’autre vous contrôle. Quelqu’un d’autre vous domine. Quelqu’un d’autre fait des choses en secret sur vous. Quelqu’un d’autre est – est en train de mettre des petits robots dans votre corps à travers votre bras lorsque vous vous faites vacciner. » Mais c’est un peu ça le M.O. – modus operandi – de toute conspiration. Cela a toujours été le cas. Si vous regardez en arrière, l’histoire des conspirations, c’est toujours : quelqu’un vous prend quelque chose et, « Nous ne vous dirons pas qui c’est ou ce que c’est. C’est un grand secret, à moins que vous ne rejoigniez notre cause conspirationniste, ce qui vous coûtera 500 $ pour être initié. »

C’est un vampirisme énergétique, et j’aime parler de cela, parce que pour moi, c’est une espèce d’exemple brillant de cette croyance que c’est à l’extérieur, quelque part ailleurs – les réponses, l’abondance, l’énergie et tout le reste. C’est cela l’origine du mal.

LINDA: Pourquoi y a-t-il tant de toutes ces choses conspirationnistes? On dirait que c’est devenu complètement fou.

ADAMUS: Les gens sont en train de devenir très polarisés. Et il y a beaucoup de facteurs là-dedans – c’est une bonne question, mais il y a beaucoup de facteurs – parce que ce sont aussi des gens qui aiment le drame. Vous enlevez leurs trucs de conspiration aux amateurs de conspirations, aux fanatiques, et, oh, ils n’ont plus rien à faire. Ils ne sont plus spéciaux, parce que, vous savez, quand ils sont dans leurs conspirations, ils sont très spéciaux parce que, « Je sais quelque chose que vous ne savez pas. » Vous savez, « Je suis spécial parce que j’ai cette information secrète que vous n’avez pas, parce que vous, vous lisez seulement les nouvelles grand public. Alors que moi, je lis des trucs authentiques. » (quelques rires) Ok.

Mais ils adorent le drame. Ça fait une bonne histoire. Cela perpétue tout ce truc comme quoi l’énergie est à l’extérieur de vous et que quelqu’un essaie de vous la prendre, que ce soit des extraterrestres, que ce soit – oh!  – des gens qui vivent sous Terre. Je ne leur ai pas encore dit. Ils vont sortir la semaine prochaine de leurs souterrains et ils vont venir voler des petits bébés et des moutons en même temps (plus de rires) et ils vont les ramener sous terre à – Dieu sait ce qu’ils vont en faire.

Et vous savez, ces gens le croient. Ils adorent cela, parce qu’ils insistent sur le fait que l’énergie est en dehors d’eux. C’est cela le mal. Les ténèbres ne le sont pas. Les ténèbres ne le sont pas. Les ténèbres sont simplement là où vous n’êtes pas encore allé. Le mal, c’est la distorsion de la lumière et n’importe qui peut relâcher cela à tout moment. Il peut se dire : « Oh, ok. Personne n’est en train d’essayer de profiter de moi. Il n’y a pas de gouvernements secrets qui essaient de nous tuer tous en faisant des épandages aériens qui diffusent ces trucs sur nous ou quoi que ce soit du genre. » Vous savez, ça fait de bonnes histoires et les Shaumbra... les Shaumbra. Vous êtes là (il regarde une autre caméra). Ah! Vous essayez de me fuir, pas vrai? Les Shaumbra (Adamus rit), n’est-ce pas, ça fait de bonnes histoires et ça vous distrait un peu de ce que nous sommes vraiment venus faire ici en ce moment. Je vous ai expliqué déjà pourquoi nous sommes là.

Nous sommes passés par l’appel à l’éveil, et nous en sommes arrivés à la libération / au relâchement, à la sagesse, à la physique et au fait de faire briller sa lumière. C’est assez simple. Mais vous êtes distraits par ce genre de choses. Et pourquoi ? Eh bien, parce que c’est alléchant, c’est séduisant. Cela vous rend spécial. Il y a beaucoup de drame là-dedans. Et bon sang, (en faisant cela), vous êtes encore en train de fuir le fait que c’est votre énergie. Pourquoi ne regardez-vous pas cela? Pourquoi ne l’affrontez-vous pas? C’est votre énergie. Mais vous ne voulez pas, parce que « C’est un gouvernement secret, et en plus, quiconque a été vacciné est désormais un zombie ambulant » (Adamus imite la marche d’un zombie). Au moins, ils sont vivants, n’est-ce pas. C’est tout ce que je peux dire (quelques rires). Certains d’entre vous deviennent fanatiques à ce sujet. Ouh!  Vous êtes en train de bouillir, de fulminer, je peux sentir que certains sont en train de bouillir en ce moment. Quelqu’un ici est en train de bouillir? Non, non. De bouillir.

LINDA: Pas à voix haute!

ADAMUS: Oui (ils rient). Et vous?

LINDA: Non.

ADAMUS: D’accord.

Donc, en ce moment, il y a deux choses. S’il vous plaît, comprenez que l’obscurité se trouve seulement là où votre lumière n’est pas encore allée. Et comprenez aussi que la lumière peut être déformée par le mal. La définition du mal c’est de croire que l’énergie est à l’extérieur de vous et que vous devez l’obtenir d’une manière ou d’une autre, comme s’il y avait ce magnifique, grand jeu auquel nous devions jouer. « Ok, vous n’avez aucune énergie en vous. Elle est totalement à l’extérieur ou chez quelqu’un d’autre mais vous, vous êtes très spécial. Et maintenant, voici le jeu: Sortez pour l’obtenir. Sortez pour récupérer votre énergie. Et alors vous ferez ça vies après vies. »

 

DreamWalk dans votre obscurité

Maintenant, pour faire suite à ce que nous avons fait le mois dernier, j’aimerais faire un DreamWalk pour aller dans votre obscurité.

LINDA: Ooh!

ADAMUS: Oui. Ça a l’air excitant, hein?

LINDA: Mmm!

ADAMUS: Qui allons-nous rencontrer là-bas? Ok, mettons de la musique et respirons profondément.

(la musique commence)

Les gens se demandent souvent : « Quelle est la genèse du mal ? Où cela a-t-il commencé? Pourquoi Dieu permet-il le mal ? À quel point le mal est-il mauvais ? Pouvez-vous être un petit peu mauvais ou juste très mauvais, ou le mal est-il simplement mauvais? »

Le mal est un mensonge, et le mensonge c’est que l’énergie est en dehors de vous, que les réponses sont en dehors de vous, que même votre propre esprit et votre propre âme sont en dehors de vous. C’est cela le mal.

Cela conduit souvent à des actes odieux, en effet. Mais en général, le mal c’est juste en quelque sorte, eh bien, c’est drôle à dire, c’est une espèce de chose intérieure. C’est juste quelque chose que les gens – c’est une chose intérieure purulente. De temps en temps, oui, elle se manifeste sur une scène très dramatique, mais la plupart des gens entretiennent le mal intérieurement, silencieusement.

« Qu’est-ce qui ne va pas chez moi? Comment se fait-il que je n’ai pas davantage? Comment se fait-il que les autres aient ce que je n’ai pas ? Comment puis-je en avoir plus? Peut-être que je n’en suis pas digne? » C’est cela le mal.

Le mal réside souvent et on le reconnait comme étant intérieur, ce qui est très intéressant, parce que c’est la distorsion même du soi, la croyance que les choses sont à l’extérieur, mais pourtant, elles permettent au mal d’être à l’intérieur, de proliférer, de grandir, de s’accumuler à l’intérieur.

Pourquoi les gens s’identifient-ils au mal, mais pas à leur propre énergie, pas à leur propre lumière ?

Ce DreamWalk va à présent vous permettre d’aller dans vos propres ténèbres, et s’il vous plaît ne confondez pas le mal et les ténèbres, l’obscurité. Je ne veux plus que vous ayez peur de vos propres ténèbres, et je veux que vous soyez conscients de ce que le mal, de ce que la croyance dans le mensonge – le mensonge étant que vous n’avez pas ceci – de ce que cela peut faire.

Mais à présent, prenez une bonne et profonde respiration.

Vous avez eu quelques années pour aller à l’intérieur. Vous y avez fait des plongées profondes. Des rêves profonds.

Il est temps maintenant de faire face à vos propres ténèbres et de ne plus jamais les craindre. Ne craignez plus jamais ce que vous ne connaissez pas encore, ce que vous n’avez pas encore expérimenté.

Prenez une bonne respiration profonde et ressentez à présent comme votre lumière, étant un Maître à présent, comme elle entre en contact avec vos ténèbres.

(pause)

La pensée ordinaire veut que votre lumière essaie de surmonter les ténèbres, l’obscurité, qu’elle essaye de la faire exploser. Mais ici, nous n’allons pas essayer de faire cela.

La lumière est une lumière de grâce. Elle n’essaie pas de pénétrer de force dans les ténèbres, de les fracturer. Elle les ressent simplement.

La lumière n’essaie pas de submerger les ténèbres. Elle fusionne plutôt avec elles, s’intègre à elles.

La lumière est une conscience, la conscience. En fin de compte, c’est votre énergie, et les ténèbres sont simplement là où vous n’êtes pas encore allé.

Les Shaumbra me demandent très souvent : « Comment puis-je en sortir ? Comment puis-je m’en extirper? Comment puis-je aller au-delà du mental? Je sais qu’il y a plus là-bas, mais je ne sais pas comment y arriver. Comment puis-je me transcender pour aller vers ces autres dimensions dont toi, Adamus, tu nous parles ? Comment puis-je aller dans ces endroits qui sont au-delà du mental? »

Entrez simplement dans vos propres ténèbres. C’est là où la lumière n’est pas encore allée.

Laissez votre lumière, votre conscience ressentir à présent votre obscurité, sans crainte. Pourquoi auriez-vous peur de là où vous n’êtes pas encore allé quand vous ne savez pas encore où cela se trouve? Pourquoi y aurait-il de la peur ? C’est simplement là où vous n’êtes pas encore allé.

Les ténèbres ne sont pas remplies de mal. Le mal est en fait simplement une distorsion de la lumière. Ce n’est pas l’obscurité.

Laissez les ténèbres venir à vous à présent, vos ténèbres intérieures. Laissez-les venir à vous.

(pause)

On a enseigné aux humains que dans les ténèbres se trouvent des démons, alors « Fuyez-les ». On leur enseigne que les ténèbres c’est Satan : « N’y allez pas. Restez loin de cela. C’est l’antre de Satan. »

Les ténèbres ont une très mauvaise réputation. C’est simplement là où vous n’êtes pas encore allé. Et depuis des éons de temps dans l’histoire de l’humanité, il y a des gens qui veulent rester à l’intérieur d’eux-mêmes. En d’autres termes, où ils en sont actuellement, et puis ils veulent que tout le monde fasse de même, « N’allez pas vers quelque chose de nouveau, quoi que ce soit au-delà. Restez là où nous en sommes. »

Un véritable métaphysicien se rend compte qu’il n’y a aucun mal dans ses ténèbres. Il y a simplement des choses encore à expérimenter.

Laissez-vous ressentir et danser avec votre propre obscurité.

Les ténèbres n’ont aucun objectif, d’aucune sorte. Elles n’essaieront pas de vous faire plonger dans leurs expériences encore en devenir. Elles n’essaieront pas d’éteindre votre lumière. Ce n’est pas possible.

L’obscurité n’est pas un mauvais endroit. C’est simplement là où vous n’êtes pas encore allé.

J’irais jusqu’à dire que c’est là où vous êtes déjà allé dans votre lumière, dans votre expérience; où vous avez retenu de nombreux démons, de nombreux mauvais souvenirs. Mais les ténèbres, non. Elles n’ont pas d’objectif.

La peur des ténèbres est l’une des principales raisons pour lesquelles les humains se retiennent. « Restez dans ce que vous connaissez déjà. Restez dans la conscience de l’expérience actuelle. N’y allez pas. N’ouvrez pas cette porte », se disent-ils. Mais il est temps, les Shaumbra, pour chacun d’entre vous de porter votre lumière à l’obscurité et l’obscurité à la lumière.

Il n’y a rien à craindre dans vos propres ténèbres, absolument rien. Assez logiquement d’ailleurs, parce que rien ne s’y est encore produit. Rien n’a été expérimenté s’il est encore dans l’obscurité.

Ne plus avoir peur de son obscurité permet à l’individu la liberté et la libération. Cela lui permet de ne plus craindre qu’il y ait des démons là-dedans, des fantômes de son passé, des choses qui l’égareront; qu’aller dans ses ténèbres le conduise à être toxicomane, ou un idiot ou souffrir en enfer. Non.

Laissez-vous ressentir vos propres ténèbres.

(pause)

Cela provoque en vous un peu d’anxiété, un peu d’hésitation. « Oof!  Est-ce que c’est ok? Que va-t-il se passer? » Laissez-vous y entrer pleinement.

Le mal auquel vous pensez, le mal que vous assimilez souvent aux ténèbres, sont deux choses très différentes. Le mal, c’est une distorsion, un mensonge sur l’idée qu’il y a quelque chose à l’extérieur de vous. Mais ça, ce n’est pas l’obscurité. Pourtant, dans la conscience des humains, on a associé les deux, considérant que c’est la même chose. Ce n’est pas le cas.

Laissez-vous plonger profondément dans les ténèbres. Laissez les ténèbres ressentir votre lumière.

Il n’y a rien à craindre, surtout quand vous réalisez que tout vient de votre énergie, de votre âme, de votre Je Suis. Tout est là. Il n’y a aucune séparation d’aucune sorte.

Il n’y a pas de séparation en vérité entre la lumière et l’obscurité. C’est vraiment, vraiment une idée humaine. Elles ne sont pas différentes l’une de l’autre.

Les ténèbres ne sont pas quelque chose qui est une force d’opposition, une force ennemie. Laissez-vous les ressentir telle une énergie de soutien.

(pause)

On dit que les gens ont peur de leur propre ombre, de leurs propres ténèbres. Ce dont ils ont vraiment peur, c’est de leur propre passé.

(pause)

Il y a un tel système de croyance sur l’obscurité, une croyance qu’il existe des forces opposées. Il n’y en a pas. Elles travaillent ensemble.

S’il n’y avait pas d’obscurité, la lumière n’aurait nulle part où aller. S’il n’y avait pas de lumière, l’obscurité n’existerait pas. Il n’y aurait rien qui pourrait exister. Les deux travaillent ensemble – votre lumière et votre obscurité.

Ressentez-la. Touchez-la. Ressentez votre obscurité.

Ressentez-la avec vos mains, avec votre peau. Ressentez-la dans les circuits de votre mental. Ressentez-la dans votre respiration. Ce n’est pas une force opposée, et il n’y a rien à craindre du tout.

Combien de fois vous êtes-vous retenu, combien de fois vous êtes-vous reculé parce que c’est l’inconnu ? Vous avez peur de ce qui pourrait arriver. Vous avez peur en fin de compte de ce qu’on appelle l’obscurité, de ce qui vous a été transmis de génération en génération par la philosophie, par la religion, par les nouvelles, de ce que l’on appelle l’obscurité, les ténèbres. Cela a conduit énormément d’humains à avoir peur d’eux-mêmes.

Il est temps, en tant que métaphysiciens, d’aller au-delà de cette barrière et de permettre à la lumière et à l’obscurité de se réunir – de travailler ensemble – et non que la lumière s’oppose à l’obscurité.

Il y a des gens par ailleurs intelligents sur la planète qui insistent encore sur le fait que nous allons sortir combattre l’obscurité, la surmonter. Ils ne comprennent tout simplement pas. Ils perpétuent une très ancienne bataille.

Ah, les statues de l’Archange Mikaël tenant son épée, comme si nous allions tous aller combattre l’obscurité. Cette épée est simplement la souffrance du Soi, simplement la peur des ténèbres.

Prenons une bonne respiration profonde.

Je vous demande d’embrasser votre obscurité, parce que c’est vous. Elle est là. C’est votre âme. C’est votre énergie. Et il n’y a rien à craindre.

On lui a fait une très mauvaise réputation, et ce n’est pas le cas. C’est juste ce qui est encore à expérimenter. C’est là où aucune lumière n’est encore allée, que ce soit par peur ou simplement parce que l’on n’était pas prêt. Et quand quelqu’un est prêt, il pénètre dans cette obscurité. Et s’il comprend vraiment que c’est entièrement son énergie, alors ce qui se déroule lorsque la lumière entre dans l’obscurité, ce sont des choses miraculeusement belles sans l’élément de souffrance, sans la peur, sans la paranoïa.

Le mal – qui n’est pas l’obscurité – le mal c’est tout simplement de ne pas vivre ; de ne pas vivre parce qu’on ne comprend pas que c’est son énergie de toute façon.

Prenons une bonne respiration profonde avec ça, chers Shaumbra.

Ressentez cela – votre obscurité, votre lumière qui se réunissent, qui ne se combattent plus.

Votre lumière se diffuse lorsque vous faites du banc, sans essayer de surmonter l’obscurité du monde.

Non, les ténèbres du monde sont nécessaires. Le mal? C’est une autre histoire, mais peut-être que votre lumière brillera et aidera les gens à comprendre que c’est totalement leur énergie. Il n’est pas nécessaire de l’obtenir, de la rechercher, de la convoiter auprès de quelqu’un d’autre, de quiconque, de quoi que ce soit d’autre. Elle ne se trouve pas dans quelque champ unifié dans les galaxies. Il n’y a aucune raison de s’emparer du territoire d’un autre. Il n’y a aucune excuse pour le pouvoir sur cette planète. C’est cela le mal, mais pas vos ténèbres, pas votre obscurité.

En tant que métaphysiciens, transcendons l’ancien concept d’obscurité et apprenons à danser avec. C’est simplement là où vous n’êtes pas encore allé.

Et pas besoin de craindre ce qui arrivera quand vous y irez, même si vous n’avez aucune idée de ce qui se passera, parce que vous avez une confiance innée en vous-même, en votre âme que lorsque vous entrerez dans les ténèbres, les expériences qui viendront à vous seront parfaites parce qu’elles seront les vôtres. Elles seront votre énergie. Elles seront votre grâce.

Prenons une bonne respiration profonde dans notre DreamWalk, votre DreamWalk vers votre obscurité. Il n’y a rien à craindre.

(fin de la musique)

Prenons une bonne respiration profonde avec ça.

Et donc, pendant que vous ferez du banc, que vous partagerez votre lumière, qu’elle brillera sur vous-même, il ne s’agira pas de combattre les ténèbres. C’est terriblement naïf, pour ceux qui y croient encore. C’est tellement hier, en termes de vraie métaphysique.

Soyez avec vos ténèbres. Soyez avec votre lumière. Et comprenez ce qu’est vraiment le véritable mal. C’est le mensonge quant au fait qu’il y a quelque chose en dehors ou à l’extérieur de vous-même.

Prenons une bonne respiration profonde sur la beauté de cette journée, le retour de notre public de Shaumbra en direct. S’il vous plaît, ceux qui ont été récompensés, s’il vous plaît allez voir Bonnie au fond de la pièce pour recevoir votre argent.

Sur ce, chers amis, prenons une bonne respiration profonde en nous souvenant de quoi?

ADAMUS ET LE PUBLIC: Que tout va bien dans toute la création.

ADAMUS: Merci, Shaumbra (applaudissements du public).