Je Suis Ce Que Je Suis, Adamus du Domaine de la Souveraineté. Bienvenu dans notre monde.
Oh oui, Shaumbra, vous entrez dans un
nouveau monde, dans une nouvelle conscience. Oui, vous êtes encore
parfois dans votre corps physique usé, vous définitivement encore ici
dans votre mental – mais nous allons changer cela – mais vous êtes ici
dans une toute nouvelle conscience. Nous sommes au tout début de ce
voyage incroyable dans la nouvelle conscience, dans la Nouvelle Energie,
peu importe le nom que vous voulez lui donner.
Et avant que nous commencions notre
discussion d’aujourd’hui, je voudrais saluer et remercier toutes les
personnes qui sont restées, qui ont donné leur vie, leur amour et leur
cœur, qui ont aussi répondu à l’appel de leur âme pour être ici.
Nous explorerons de toutes nouvelles
frontières, et ce ne sera pas facile. Le mot facile est en fait une
illusion, un peu comme le dit le film « Leap ! » : tout est une
illusion. Nous explorerons une partie de ces illusions aujourd’hui. Il
vous poussera au-delà de votre confort car votre confort n’est rien que
des habitudes. Les habitudes sont confortables, même si vous les
détestez, même si vous ne les aimez pas. Ce sont des jeux qu’une partie
de vous aime jouer, car vous savez que vous ne serez blessé qu’à un
certain point ; mais d’un autre côté vous n’aurez qu’un certain degré
d’accomplissement, de satisfaction et d’expansion de votre propre
énergie.
Il est si facile de se faire prendre
dans ces ornières, dans ces pièges. Quelque chose en vous dit : « cela
suffit. C’est assez. Je vais me joindre à ce groupe d’être humains. Je
m’en fous s’il ne sont que dix ou dix millions, mais je serai là à cette
époque de la Nouvelle Energie.”
Oui, en effet, les autres pourraient
rire de vous. Ils pourraient vous mépriser. Ils pourraient vous envoyer
des lettres ou des emails haineux. Ils pourraient dire que vous êtes le
diable incarné, comme certains d’entre vous l’ont entendu. Mais vous
répondez à un appel profond qui comprend ce qui se passe. Je vous passe
cela. Vous jouez un jeu – vous ce jouez avec moi si souvent – que vous
ne savez pas ce qui se passe. Vous pensez que vous ne savez pas ce qui
se passe. Mais profondément en vous, vous savez ce qui se passe. Vous
savez ce qui se passe.
Quelque chose en vous est effrayée.
Certains parmi vous ont exprimé une peur de moi. Oh, je ne vous ferai
rien. Je pourrais vous laisser vous le faire à vous (Rires) mais je ne
vous FERAI rien.
Mais vous sentez cela – cette peur – car
nous nous aventurons dans de nouvelles choses. Quelles sont les choses
que vous devriez abandonner ? Y aura-t-il de la douleur ? Serez-vous
seul ? Votre vie changera t’elle tellement que vous ne saurez pas
comment faire ? Allez-vous devenir fou ? Qui sait ? Qui sait ? Mais
quelque chose en vous sait que cela n’a aucune importance.
Savez-vous que vous ne vivez pas, dans
le vrai sens du mot – vous existez mais vous ne vivez pas – et vous le
saviez car quand vous regardiez les couleurs vous saviez qu’il avait
quelque chose de plus que cette couleur que vous voyiez.
Maintenant, je dois... (Une sonnerie se
déclenche) ah, ah nous devons nous arrêter ici. Tous ces téléphones
portables - je n’ai aucune tolérance pour les téléphones portables, vos
interphones, vos vibromasseurs, toutes ces autres choses que vous avez
amené ici avec vous. (Rires) Je vais vous donner un frisson. Vous n’avez
pas besoin de tous ces appareils ! (Plus de rires)
Je vais ...nous sommes à un petit point
de séparation. Ainsi aujourd’hui, est-ce que Cauldre canalisera les yeux
ouverts ou les yeux fermés ? Ouvert ou fermé ? (Certains dans
l’audience disent « Ouvert ») Oh, je pose la question à Cauldre pas à
vous. (Rires) Ainsi...Nous l’avons déjà fait auparavant, ce n’est pas un
si grand problème. Donc…
LINDA : Pouvons-nous voir la bataille ? Vous retournerez vous ?
ADAMUS :...Prenons
une profonde respiration avec Cauldre...et laissons ces... (Les yeux de
Cauldre s’ouvrent) oh… (Et se referment de nouveau)…laissons ces yeux
ouverts. Nous resterons dans votre corps. (Applaudissements alors que
Cauldre ouvre ses yeux)
Ah, je dois dire que ce bâtiment et vous
tous avez meilleure allure avec mes yeux fermés, ainsi. (Plus de rires
alors que Cauldre ferme les yeux pour un instant) Et je pense ça
sérieusement ! Rires) Je pense ça sérieusement, car…Oh, Cauldre
égaye-toi un peu !
Maintenant voyez-vous, je regarde
maintenant à travers les yeux de Cauldre et en fait quand je vous
regarde je vois une réalité tellement rude. Je regarde ce lieu de
réunion – ce n’est vraiment pas ce à quoi j’étais habitué, c’est la
première fois que je suis ici les yeux ouverts – j’avais déjà vu ce lieu
énergétiquement, mais je ne l’avais jamais vu à travers des yeux
humains. Il possède une plus belle énergie que son apparence physique.
Oh il y a énormément d’énergie dans chaque partie de cet immeuble. Quand
j’ouvre mes yeux, cela semble disparaître. (Rires) Ainsi je les
fermerai seulement pour un instant, mais…
J’ai vu certains parmi vous avec les
yeux ouverts, mais pas tant que ça. Je vous ai tous vu énergiquement,
mais je dois dire, vos corps sont intéressants et le look que vous avez
choisi aussi. Ce n’est pas bien ou mal, c’est simplement. Mais…ainsi
nous allons faire cela…Bonjour ! (Rires)...Nous allons rester les yeux
ouverts aujourd’hui.
Les Maitres
Ainsi vous avez choisi d’être ici. Vous
avez choisi…d’écouter. Quand vous avez commencé à voir des couleurs ces
quelque dernières années, quelque chose à l’intérieur de vous s’est
déclanché et a dit : « Je sais qu’il y a quelque chose de plus aux
couleurs que ce que je vois. Je sais qu’il y a plus à la vie que ce que
je sens dans mon corps. Et je sais qu’il y a quelque chose de plus que
ce que mon mental comprend. Qu’est ce que c’est ? Où est-ce que
c’est ? » Quelque chose à l’intérieur de vous dit que vous devriez
expérimenter cela. C’est la raison de votre présence ici.
Certains sont partis récemment. Certains
ont pensé que le départ de Tobias était la fin d’une époque et en effet
ça l’était. Mais ils savaient que cela serait – comment le dire – assez
plein de défis d’aller de l’avant. Comme si cela ne l’avait pas été
jusqu’à présent, mais ils étaient à l’aise pour jouer les anciens jeux
et ils étaient très à l’aise à y revenir. Je les honore et je vous
demande de les honorer aussi. Vous êtes, vous ici présents, une espèce
particulière. C’est vraiment un groupe de maîtres.
En fait, vous ne vous en rendez pas
compte de la même manière dont je m’en rends compte. Et vous en êtes
encore à être pris à jouer les anciens jeux, à vous auto limiter, mais
nous allons aller au-delà de ça. Vous en viendrez à comprendre, quand je
vous appelle un maître, ce que cela veut dire, et ce n’est pas
seulement un mot. Ce n’est pas seulement parce que vous avez étudié
depuis longtemps. En effet, vous êtes autant un maître que je le suis,
que l’est Kuthumi ou Sam – cher Sam. Vous allez vous rendre compte qu’il
y a des couleurs au delà des couleurs et des sons au-delà des sons.
Vous allez vous rendre compte quel jeux c’était de jouer avec le destin
plutôt qu’avec la création.
Ainsi si cela ne fait rien, faites moi
plaisir, je vais prendre un petit bain de foule. (Cauldre se lève) et je
dois dire que… (Linda bouge pour l’aider) Non, tout va bien aller.
LINDA : Faites seulement attention aux petits ventilateurs.
ADAMUS :
En effet. J’aimerais faire ces bains de foule pendant les nombreux
rassemblements que nous aurons. Je ferai appel à vous de temps en temps
pour le micro, mais…
LINDA : Bien, je suis prête.
ADAMUS :
Alors, si vous prenez une profonde respiration, et que vous me
permettez, d’entrer pas seulement dans le corps, le mental et l’esprit
de Cauldre, mais dans le vôtre – sans que vous ne ressentiez de la
résistance, sans être inquiet qu’une autre entité puisse se joindre à
vous, sans vous retenir concernant quelque chose que je ne saurais pas
déjà, quelque chose dont vous avez peur.
Pendant ce bain de foule j’aimerais
m’adresser à certains d’entre vous. J’aimerais sentir votre énergie.
J’aimerais créer une conscience très, très dynamique ici dans cette
pièce.
Les devoirs
Bien, lors de notre dernière rencontre
ici, je vous ai donné des devoirs et je suis sûr que vous les avez tous
fait –non. Je sais qu’une des questions que j’avais posées lors de notre
dernière réunion concernait Linda d’Issa, Linda qui n’a pas eu de
nombreuses vies ici sur Terre. Linda sais-tu ce que veut dire Issa ?
LINDA : non.
ADAMUS :
Vous devriez le découvrir et nous le dire la prochaine fois. (Rires)
Bien, vous avez un ordinateur, il y à Google et vous y êtes plutôt
bonne, ainsi…Je vous avais posé une question la dernière fois. Je vous
avais demandé ce qui vous avait amené ici sur Terre ? Pourquoi avez-vous
choisi de venir en ce lieu ?
LINDA : Voulez-vous la réponse ?
ADAMUS :
Je crois, c’est la raison pour laquelle la question a été posée,
n’est-ce pas ? En fait, je vous l’ai demandé, non pas pour vous
embarrasser, mais parce que vos aperçus ont de la valeur.
(Pause)
LINDA :
pour faire partie de cela, pour faire partie de cette découverte. Pour
faire partie de tout ce que cela est, pas seulement cette pièce, mais
tout ce que cela est, d’être ici. Et… (Pause) avoir assez confiance en
moi-même pour vraiment expérimenter cette aventure, cette extraordinaire
expérience qu’est la Terre. De trouver une résolution et une complétude
à certaines des choses qui ont étés laissées là dehors.
ADAMUS :
En effet, merci. Merci. Vous dites que la Terre est une expérimentation,
ce qu’elle n’est pas. C’est une expérience. Vous dites que vous êtes
venue ici pour apprendre à vous faire confiance. Vous avez été
ouvertement honnête, car quand vous venez sur Terre, votre niveau de
confiance vous est enlevé. Comme vous le savez, vous venez sous cette
chose appelée le voile et vous perdez la confiance en vous.
Particulièrement pour vous tous, vous venez ici avec le désir
d’apprendre, avec le désir de faire bouger l’énergie, vous venez ici car
quelque chose est arrivé pendant le chemin. Votre propre énergie a été
retenue. Alors, dire que vous êtes venue ici pour vous faire confiance
est une merveilleuse intuition. Très honnête, merci. Merci.
(Cauldre commence à marcher dans le public)
Ainsi, Nausheen, avez-vous fait vos devoirs ?
NAUSHEEN : d’une certaine manière oui.
ADAMUS : d’une certaine manière. Soit vous les avez fait, soit vous ne les avez pas fait.
NAUSHEEN : Je les ai fait.
ADAMUS : Vous avez fait lequel ?
NAUSHEEN : J’ai trouvé mon totem.
ADAMUS : Et quel est votre totem ?
NAUSHEEN : L’éléphant.
ADAMUS : L’éléphant ! C’est un excellent totem, très sacré.
NAUSHEEN : oui.
ADAMUS : très sacré.
NAUSHEEN : oui.
ADAMUS : est-ce que votre éléphant est avec vous en ce moment ?
NAUSHEEN : oui.
ADAMUS : l’avez-vous laissé dehors ?
NAUSHEEN : non.
ADAMUS : Non ?
NAUSHEEN : il est ici dedans.
ADAMUS : ici dedans, je pensais avoir senti quelque chose. (Rire) Excellent. C’est bien. Merci.
NAUSHEEN : Merci.
ADAMUS :
Je suis content de vous revoir et j’aimerais dire, si je peux me
permettre de vous faire un commentaire, vous devriez arrêter de
chercher.
NAUSHEEN : oui, merci.
ADAMUS : Des vies à chercher.
Il est très intéressant de voir qui se
sont assis sur les ailes, qui en fait se cachent, qui gardent leurs
énergies si basses...oh, Kathleen, Kathleen. Comment allez-vous ?
KATHLEEN : je vais bien. Je vais bien.
ADAMUS :
Excellent. Vous mentez. Vous mentez. (Rires) Kathleen, je vais vous
mettre en avant. Bon, vous rappelez vous quoi que ce soit de nos
conversations que nous avons eu ces quelques mois passés ? Vous rappelez
vous que nous avons eu des conversations ? Non.
KATHLEEN : Non.
ADAMUS :
Ainsi je vais attendre jusqu’à ce que vous sentiez que...nous avons
beaucoup parlé. Nous avons beaucoup parlé. Et dans nos conversations, je
vous appelle « My fair Lady » (NdT : en référence au film du même nom)
pour une raison. Dans nos conversations…J’attendrai que vous vous
rappeliez. Nous reviendrons le mois prochain. Mais, très chère, nous
allons avec votre permission, vous utiliser comme un exemple de
quelqu’un qui se retrouve-t-elle même. Vous avez tant à offrir, et vous
vivez petit et vous le savez. Nous en avons parlé et maintenant vous
prétendez que nous n’en avons pas parlé. C’est OK. (Rires)
(Cauldre se déplace vers une autre femme dans l’audience)
Oh, ma chère avez-vous fait vos devoirs ?
SHAUMBRA : C’est en fait la première fois que je viens.
ADAMUS : Je sais. (Rires)
SHAUMBRA : Ainsi, je ne sais pas ce que sont les devoirs ? Mais je suis probablement en train de les faire.
ADAMUS : le Pakauwah …
SHAUMBRA : La Pakau…
ADAMUS : L’animal totem. Que choisiriez-vous comme totem ?
SHAUMBRA : J’ai dit à quelqu’un plus tôt que ce serait quelque chose avec des ailes.
ADAMUS : quelque chose avec des ailes. C’est intéressant. J’étais plus tôt…
SHAUMBRA : Je ne sais pas…
ADAMUS :
…aujourd’hui à Paris – je ne veux pas interrompre votre histoire, mais
la mienne est brillante. (Rires) J’étais aujourd’hui à Paris, c’était
beau. 17 degrés Celsius, partiellement nuageux, partiellement ensoleillé
et j’étais un oiseau. J’ai volé sur tout Paris en un jour d’automne
tellement beau. Ainsi, oui, revenons à vous.
SHAUMBRA :
oui, je n’ai pas pu…je veux dire quand j’ai entendu le mot totem, j’ai
juste pensé à des ailes, mais je ne sais pas quel animal. Le reste n’est
pas venu…
ADAMUS : Inspirez-le en vous. Il viendra à vous.
SHAUMBRA : oui.
ADAMUS : Je reviendrai vers vous.
SHAUMBRA : Merci.
ADAMUS : Excellent. Excellent.
Oh, Dave...Dave. Comment est le monde avec vous ?
DAVE : très bien.
ADAMUS : Bien. Dave, avez-vous fait vos devoirs avec les totems ?
DAVE : Oui.
ADAMUS : Et qu’avez-vous expérimenté ?
DAVE : un vol.
ADAMUS : Oui.
DAVE : Un aigle.
ADAMUS : Comment le totem vous sert-il actuellement ? Que vous permet-il de faire ?
DAVE : La vision étendue.
ADAMUS : C’est excellent. Ressentez vous le totem, votre Pakauwah, autour de vous tout le temps ? Parfois ?
DAVE : Parfois.
ADAMUS : Parfois. Sentez vous qu’il travaille pour vous tout le temps ?
DAVE : Non.
ADAMUS :
Ok. Continuez à respirer et à travailler avec lui, car, Shaumbra, ces
Pakauwahs sont vous. Ils sont une partie de vous. Ce n’est pas quelque
chose d’autre ; c’est absolument vous.
C’est une extension de vous et j’ai
précisément choisi cela comme un animal totem. Vous êtes habitués à vos
aspects, vous savez ce que sont vos aspects, mais ils sont tellement
humains. Puis vous êtes pris dans tous ces problèmes humains. Si je vous
avais demandé de créer un aspect humain, un Pakauwah humain, il aurait
pris tant de caractéristiques humaines. Ainsi avec cet animal que vous
avez créé, nous l’utiliserons encore et encore. Mais il est brillant car
il va dehors et fait tellement de choses pour vous. Nous travaillerons
avec lui aujourd’hui, ainsi tout le monde, si vous n’avez pas ressenti
votre propre totem, votre propre Pakauwah, c’est maintenant le moment de
le faire. Maintenant est le moment de l’amener à l’intérieur.
Larry, avez vous fait vos devoirs ?
LARRY : Oui.
ADAMUS : qu’avez-vous fait ?
LARRY : J’ai un peu créé.
ADAMUS : Qu’avez-vous créé ?
LARRY : J’ai connecté mon compresseur à ma maison.
ADAMUS : Merveilleux.
LARRY : Je me suis bougé les fesses et je l’ai fait.
ADAMUS : Merveilleux. Vous bouger les fesses, c’était un tel problème avec vous, et…vos vacances sont maintenant finies.
LARRY : Oui. Deux années.
ADAMUS :
Vous savez cela. Il y avait une raison à cela, mais vous ne pouvez plus
vous cacher. Vous ne pouvez plus vous détendre. Vous le savez, je le
sais, il est temps d’avancer. Vous avez découvert avec votre petit
projet que cela vous a amené un merveilleux soulagement.
LARRY : Oui.
ADAMUS :
Vous vous êtes débarrassé de la culpabilité, vous vous êtes débarrassé
du fait d’être dominé, et cela vous a permis de sentir un petit peu ce
que c’est que de créer. Bon, nous irons vers de plus grandes créations,
nous ne câblerons pas seulement des compresseurs. C’est très
rudimentaire.
LARRY : Allez envoyez la sauce.
ADAMUS : Oui, c’est…C’est vous qui allez le faire.
LARRY : D’accord, c’est moi qui vais envoyer la sauce.
ADAMUS : C’est vous qui allez le faire, en effet. Je suis avec vous à chaque pas que vous faits.
LARRY : Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à me rappeler de cela ?
ADAMUS :
Je suis ici maintenant. Je suis avec vous à chaque pas que vous faites,
Larry. C’était moi qui vous tourmentais ; vous pensiez que je parlais de
votre femme. (Nombreux rires) Alors, honte à vous pour cela.
LARRY : Vous m’avez pris.
ADAMUS : Votre énergie contenait tellement de culpabilité (Rires) quand vous faisiez cela. Tant de culpabilité.
Alors...Vince, comment allez vous ?
VINCE : je me sens mieux que jamais.
ADAMUS : Mieux que jamais. Vous mentez. Ainsi, cher Shaumbra, je vous poserai la question trois fois. Vince comment allez vous ?
VINCE : Je vais plutôt bien !
ADAMUS : Plutôt bien. C’est allé de « mieux que jamais » à « plutôt bien ». Vince, comment allez vous vraiment ?
VINCE : Je vais mieux que plutôt bien.
ADAMUS :
(Gloussant) Bien. Je ne veux pas vous mettre en avant, mais vous avez
appris...vous êtes en train d’apprendre que la force ne vient pas du
mental, que la force n’est pas dans le muscle. Vous avez été confronté à
cela pour comprendre que la force est et a toujours été dans l’âme.
Vous avez eu de petits accidents en
chemin. Ce n’était pas un accident, ce n’était pas du tout un accident.
Il se trouve seulement que j’ai eu une petite discussion avec Vince
récemment, et que peu de temps après notre discussion, sa voiture a été
démolie. Sa voiture a été démolie. Maintenant qu’est ce que cela veut
dire ? Qu’il a fait quelque chose de mauvais ? De la mauvaise énergie ?
Non ! Cela veut dire qu’un des problèmes que nous avons abordé devait
changer, devait bouger, car il était bloqué. Vince, où était-il bloqué ?
VINCE : Il était bloqué dans mes yeux.
ADAMUS : Il était bloqué dans votre tête et il sortait par vos yeux.
VINCE : Ah !
ADAMUS :
Ah. Des problèmes bloqués dans votre tête. Ainsi vous aviez besoin d‘une
petite secousse – que je n’ai pas donnée, vous l’avez fait pour
vous-même. Cette secousse, j’en suis désolé à démoli votre voiture, mais
cela a fait bouger de l’énergie. Maintenant, nous revenons à : vous
pouvez le faire de la manière facile ou vous pouvez le faire de la
manière dure. Vous pouvez le faire avec la respiration ou en faisant du
stock car. (Rires) c’est à vous de choisir. C’est vous qui choisissez,
une manière ou l’autre. Ainsi…Ainsi merci. Merci.
VINCE : Merci.
ADAMUS :
Je vous recommande vraiment de faire de très profondes respirations.
Travaillez avec Andrah (Dr. Norma Delaney), travaillez avec vous-même,
mais faites des respirations profondes. Ces problèmes que vous avez,
commencent à passer à travers votre corps. Cela n’a pas besoin de se
passer de cette manière. Vous n’avez pas besoin d’accidents de voiture.
Vous n’avez pas besoin de tout ça.
Ce pourrait être aussi simple que de
faire un choix. Et c’est là où nous irons. C’est là où nous irons. Plus
de ces affections physiques exténuantes. Les affections physiques
veulent seulement dire que vous avez de l’énergie bloquée quelque part.
Quelque part, de quelque chose. Peut être c’est parce que vous êtes
bloqué dans le cerveau. Peut être c’est parce que vous étiez assis sur
votre cul quelques années en ne faisant rien. C’est seulement, désolé
Larry, c’est seulement de l’énergie bloquée ! L’énergie sortira d’une
manière ou d’une autre, quelque part. Elle bougera d’une manière ou
d’une autre. Vous n’avez pas besoin d’avoir un accident de voiture.
Faisons-le seulement à travers une respiration maintenant.
Prenez une profonde respiration et faisons bouger cette énergie…faisons bouger cette énergie…
(pause)
Ainsi, Ralph. Comment allez-vous Ralph ?
RALPH : Géant.
ADAMUS : Oh Ralph (rires) Ralph, Je ne dis pas que vous mentez. Je dis que vous êtes follement...
RALPH : Délirant.
ADAMUS :
…trompeur. Trompeur. Car nous avons eu de nombreuses longues
conversations. Oh, cher Shaumbra, c’est un nouveau jeu que nous jouons.
Un jeu merveilleux, néanmoins un nouveau jeu où, si vous êtes assis ici,
cela veut dire que vous vous exposez. (Rires)
Ainsi, Ralph... Ralph. Bon, nous avons
eu de nombreuses longues conversations et vous êtes étonnant, en fait.
D’un coté vous m’enseignez. Vous m’enseignez tant ce que c’est d’être en
fait dans une forme humaine et ce que c’est de traverser les choses.
D’un autre coté vous prétendez que vous ne savez pas ce que vous
m’enseignez. Ainsi vous êtes pris dans ce merveilleux conflit – en fait,
c’est un conflit brillant – où vous jouez à prétendre ne pas savoir. Et
vous jouez au Ralph perdu. Vous jouez, en fait au pauvre Ralph. Et vous
jouez au Ralph qui n’a pas eu les bonnes occasions et qui ne les a pas
encore. Alors vous vous cachez.
Vous possédez cette brillante partie en
vous, que ce soit votre musique, que ce soit vos écrits, que ce soit
votre expression orale, que ce soit votre travail vocal, que ce soit
votre philosophie – probablement votre plus grand atout – mais vous
jouez ce jeu. Alors quand allez-vous exprimer tout cela ?
Qu’attendez-vous ?
(Pause alors que Ralph cherche ses mots)
Ouis, moi aussi (Ralph et Adamus rient)
RALPH : Je
ne sais pas. Je dirais que le moment est maintenant. Je suis prêt à y
aller et j’aimerais avoir un petit, vous savez, seulement…peut être que
je ne connais pas la chanson, peut être pourriez vous me chanter
quelques mesures ? (Rires d’Adamus et de l’audience) Donnez moi un peu
d’air s’il vous plait ! (Plus de rires)
ADAMUS :
Ainsi je pense que vous venez d’écrire le premier verset ! (Plus de
rires) mais quand il s’agit de cela – merci, merci d’être indulgents
avec lui. Au fait, vous deux, Ralph et Gabriella, vous avez une telle
composition d’énergie l’un avec l’autre, mais vous n’y jouez pas de la
bonne manière, en fait. Vous n’y jouez pas de la bonne manière, car
chacun d’entre vous entre dans le drame de l’autre, dans l’état de
victime et dans le pourquoi ça ne peut pas être fait. Je suis désolé
d’être si direct avec vous, mais vous êtes assis au premier rang.
RALPH : C’est la raison pour laquelle nous sommes ici.
ADAMUS : le premier rang et les ailes, Shaumbra. Le premier rang et les ailes.
Ainsi vous avez cette brillante
composition entre vous, mais vous n’y jouez pas car vous êtes
immobiles ; vous attendez quelque chose. Vous reportez les choses à plus
tard. Par exemple vous dites : « Nous ne pouvons pas faire ceci jusqu’à
ce que cela sera accompli. » C’est un jeu en lui-même que vous jouez
tous. « Nous ne pouvons pas faire ceci jusqu’à que nous trouvions un
emploi ici dans ce pays. » Bien, cela n’est pas vrai du tout. Il y a des
nombreuses choses que vous pourriez faire.
Cette distance que vous maintenez entre
vous-même est symbolique du fait d’être effrayés de mettre vraiment
cette composition commune entre vous deux. Vous savez que c’est là, mais
vous avez peur que cela arrive. Ainsi vous mettez ces barrières. Vous
créez ce problème de travail.
Vous créez ces obstacles, que ce soit,
pour certains des problèmes avec l’immigration, pour d’autres des
problèmes d’emploi, peu importe quoi. Vous créez toutes ces barrières
car vous arrivez à un point où il est préférable que les rêves restent
des rêves dans votre pensée ancienne énergie. Il est préférable que les
rêves restent des rêves. Parfois, ce n’est pas très beau quand vous
ouvrez vos yeux. C’est parfois difficile d’être dans ce corps physique.
C’est difficile de dire que si vous vous engagez dans un nouveau défi,
dans un nouveau projet, peut être que vous allez échouer. Ainsi il est
préférable de rêver ce qui pourrait être plutôt que, en fait, de le
faire, de le concrétiser, de l’embrasser (Adamus parle avec grande
passion) et de le vivre ! De l’être ! De l’exprimer ! Et de le
partager ! Ainsi...
Ainsi cher Shaumbra, Ralph et Gabriella,
parfois c’est beaucoup plus facile de le garder à distance, mais il
deviendra mûr, puis il sentira comme du poisson pourri un jour chaud.
Puis votre énergie deviendra toute bouchonnée, et vous rendrez
responsables de vos problèmes, d’abord moi, en deuxième l’un l’autre,
troisièmement la vie, quatrièmement vos parents et ainsi de suite.
Puis votre énergie, à ce point, sera
vraiment nouée. Et que se passera-t-il après cela ? Nous le savons tous -
vous ne voulez pas le dire, j’en parlerai – vous serez malade. Un
déséquilibre physique. Cette énergie doit sortir quelque part. Elle s’en
fiche. L’énergie s’en fiche. Elle a besoin de sortir. Elle a besoin de
jouer. Vous ne pouvez pas la garder confinée à jamais. Même si vous
mettez de l’eau dans une jarre de métal, tôt ou tard elle sortira. Cela
pourrait prendre des milliers et des milliers d’années avant qu’elle ne
rouille et ne corrode la jarre, mais cette énergie bougera.
Vous êtes des pionniers de l’énergie.
Vous êtes des utilisateurs de l’énergie. Vous êtes les créateurs de la
Nouvelle Energie. Comment la Nouvelle Energie jouera dans votre vie ?
Beau costume, Sart. (Rires) Est-ce votre symbole de la culpabilité ? (Plus de rires)
SART : Non, j’essaie d’avoir des points
ADAMUS :
J’ai entendu dire par un des autres Shaumbra, qui – ils parlent vous
savez, ils vous dénoncent – que vous n’avez pas fait vos devoirs.
SART : Euh, non, je ne les ai pas fait.
ADAMUS : Ouis. Vous croyez que le costume va compenser cela ?
SART : Je l’espérais.
ADAMUS :
Cela compense ! Cela compense en fait. (De nombreux rires et quelques
applaudissements) Dans le monde d’Adamus, cela fait tout. Car, je dois
dire – nous plaisantons, mais c’est tellement vrai – regardez le respect
que vous avez pour vous-même !
SART : Oh oui. C’est une sensation merveilleuse. C’est merveilleux.
ADAMUS : et vous avez l’air merveilleux.
SART : Merci.
ADAMUS : Oui.
SART :Je me sens bien. Merci, Shaumbra. (Applaudissements)
ADAMUS :
Bon, ce n’est pas pour impressionner quelqu’un d’autre, car Dieu sait
que Sart n’en a pas besoin. C’est vous respecter et vous honorer. Et
cela ne veut pas dire de mettre des costumes italiens tous les jours –
Cauldre une fois de temps en temps ce serait bien ! (Rires) Cela veut
dire que vous vous honorez et que vous vous respectez. Vous vous faites
ce cadeau. Vous dites : « je le vaux. » Cela ne concerne pas l’argent.
L’argent est totalement insignifiant. C’est exprimer le Moi et le Moi à
l’air magnifique aujourd’hui.
SART : Merci. Je me sens merveilleusement bien. C’est une grande journée pour moi.
ADAMUS : En effet et vous êtes un exemple pour Shaumbra.
SART : Merci.
ADAMUS : Merci.
SART : Merci. (L’audience applaudit)
ADAMUS :
Ainsi, mon défi pour vous, Ralph et Gabriella, quand est-ce que vous
allez vous débarrasser de ces barrières illusoires, des barrières dans
vos vies individuelles ? Quand je vois un tel talent brute qui n’est pas
utilisé de la manière dont il pourrait l’être, dont je sais qu’il
pourrait l’être, nous en parlons tout le temps ; quand je vois : « Bien,
j’attends seulement quelque chose. J’attends seulement. J’attends… »
Quoi, un accident de voiture ?
RALPH : J’ai eu un accident de moto...
ADAMUS : Il a eu un accident de moto.
RALPH : …c’était assez proche.
ADAMUS :
« …j’attends que quelque chose me bouge. » cela se fera un jour ou
l’autre, mais vous n’avez pas besoin de traverser cela dans la Nouvelle
Energie. Vous n’avez pas besoin de cette secousse ou de cette blessure,
vous n’avez pas besoin d’avoir ces discussions amères entre vous. Vous
n’avez pas besoin de mettre de la distance entre vous – une distance
physique dans votre vie. Vous pouvez le faire maintenant. De la manière
facile ou de la manière difficile, cela n’a pas d’importance. Cela
arrivera de toute façon.
Quand nous combinons notre conscience
dans un groupe comme celui-ci, nous pouvons faire bouger d’énormes
masses d’énergie. En ce moment, si vous êtes conscient – ressentez
seulement là (il pointe le plexus solaire) – cette pièce est vivante.
Internet est vivant d’énergie. Cela bouge. Vous savez quand parfois vous
êtes seul avec vous-même et vous sentez que tout est plat et sans vie ?
Vous pouvez prendre ce que nous faisons ici maintenant, dans cette
pièce, et vous pouvez l’amener dans votre vie – des choses étonnantes
dans votre vie.
La manière dont les choses se présentent
est difficile, n’est-ce pas ? Perdre votre emploi ? La situation est
insoutenable car vous dites : « quoi d’autre ? Qu’est qui viendra et le
remplacera ? » Dans cette Nouvelle Energie vous ne le savez pas
habituellement. Cela arrive plus tard. Mais vous avez tant de potentiels
dans votre vie, Jane, qui n’attendent que vous ; qui attentent que vous
arrêtiez de jouer. Que vous arrêtiez d’avoir des excuses. Que vous
arrêtiez les « que se passerait t’il si ». Que vous arrêtiez toutes les
excuses et permettiez que cela arrive. C’est la chose intéressante à
propos de ce que nous ferons ensemble, où nous allons aller ensemble.
Des choses étonnantes, sans limites ;
des choses étranges arriveront. (Adamus glousse et l’audience rie) Des
choses étranges, inattendues, c’est la beauté de cette Nouvelle Energie,
des choses totalement inattendues.
Vous savez l’ancienne énergie fonctionne
en schémas très prévisibles. C’est la raison pour laquelle cela peut
être mis en équations mathématiques, scientifiques et physiques. Elle
est très, très prévisible. Elle a très peu de nouvelles courbes en elle,
et les courbes qui viennent sont très lentes. Cela prend des milliers
et des milliers d’années pour que les vrais changements de conscience
aient lieu.
La combinaison de la Nouvelle Energie
avec l’Ancienne Energie, comme vous l’appelleriez, est phénoménale.
Inattendue – c’est un de mes messages aujourd’hui qui sera sur les
transparents que vous ferez le mois prochain (NdT : chaque mois avant le
shoud, des transparents projetés par Cauldre, reprennent les points
importants du shoud du mois passé) – des changements inattendus. Et la
question que j’ai aujourd’hui pour vous est : êtes vous prêt pour le
vraiment inattendu ? Croyez-vous en vous et que vous allez créer la
chose la plus belle ?
Avant que vous ne répondiez “oui” – car
je sais que votre réponse ne vaut rien. (Rires) Vous ne vous faites pas
confiance, vous avez peur des changements, vous vous demandez quelle est
la prochaine chose qui arrivera. Allez-vous crever de faim ? Allez-vous
vous retrouver dans la rue ? Cela n’a pas d’importance. Cela n’a aucune
importance. Vous ne mourrez jamais. Vous quittez votre corps physique,
mais vous ne mourrez pas vraiment, n’est ce pas Richard ?
RICHARD : Non.
ADAMUS : Et la vie devient meilleure, n’est ce pas Richard ?
RICHARD : Oui, en effet.
ADAMUS : Et les changements sont très inattendus.
RICHARD : très.
ADAMUS :
Et ce que vous aviez pensé, il y a cinq ans, il y a sept ans, ce que
vous auriez pu imaginer ou désiré dans votre vie, peut être bien plus
grand.
RICHARD : Cela peut l’être, oui.
ADAMUS : Et comment l’avez vous fait Richard ?
RICHARD : Je l’ai permis.
ADAMUS :
Ah ! Ah ! Excellent. Bon, tout le monde dans cette pièce est en train de
dire : « Mais je l’ai aussi permis. » (Cela a été dit d’une voix
geignarde) Quand vous dites « permettre » Richard que voulez-vous
vraiment dire ? Expliquez votre manière de permettre.
RICHARD : Ah…C’est de ressentir dans mon cœur que c’est à moi. Que c’est déjà fait.
ADAMUS :
C’et une réponse tellement édulcorée. Edulcorée. (Rires) Richard, cela
ne les aide pas ici, car je sais. Et de nouveau, vous ne me parlez pas
tant que ça. Vous parliez à Tobias. C’était plus facile. Mais quand vous
dites que vous aviez permis, vous en étiez arrivé à un point dans votre
vie où il ne restait rien.
RICHARD : Oui, en effet…
ADAMUS :
C’est une étrange forme de permission, n’est ce pas ? Vous n’aviez plus
de raison de vivre. Quand vous n’avez plus de raison de vivre, vous
n’avez plus peur de grand-chose d’autre que de savoir si vous allez au
paradis ou en enfer. D’autre chose que ça, vous avez peu de raison
d’avoir peur. Votre permission a été une permission totale. Vous avez
touché le fond, pourriez vous dire. Vous vous êtes vidé, vous avez
lutté, agonisé et prié – pas moi, mais Tobias – demandé, plaidé,
souffert et finalement vous avez laissé aller, totalement.
Et quand vous avez laissé aller, vous
avez aussi relâché ces barrières qui étaient entre vous et qui vous êtes
vraiment ; entre tous les potentiels qui étaient prêts à venir dans
votre vie. Ainsi quand vous en êtes arrivé à ce point, cela pouvait
venir. Et c’est venu. Et au fait il y a plus à venir. Ce n’était pas
tout, c’était seulement un tour parmi de très nombreux autres.
Shaumbra, ce ne sont pas du tout des
paroles d’encouragement. Je n’essaie pas de peindre pour vous une grande
et glorieuse image qui fera que vous serez un peu plus en meilleure
santé ou un humain plus heureux. Nous irons au-delà de l’état d’humain.
L’état d’humain est une illusion – une merveilleuse illusion, une
illusion qui a de la valeur, car vous avez vraiment appris des choses au
niveau de l’âme que vous n’auriez pu apprendre nulle part ailleurs – et
c’est pourquoi Linda d’Issa…Issa au fait, signifie dans vos termes :
Yeshua, Jésus. D’une façon plus symbolique cela signifie la Maison de
Sananda. La Maison de Sananda qui est un ordre angélique qui travaille
avec la lumière.
Linda tu es venue ici pour apprendre ce
qu’est la lumière, mais pour apprendre ce qu’est la lumière tu dois
aussi apprendre ce que sont les ténèbres. Humm. Alors que tu intègres
tout cela, ce que tu as appris sur cette merveilleuse planète et en
d’autres lieux…bien, je ne vais pas entrer dans les détails ici, mais je
vais faire une petite prophétie ou une promesse, comme il se doit.
Quand nous serons en France – ah, je serais bientôt de retour – quand
nous y serons, nous apprendrons ce que sont vraiment la lumière et les
ténèbres. Ce qu’ils sont vraiment.
Oh, vous êtes plusieurs à penser que
nous allons pleurer les Cathares. Je ne le pense pas. Il y a assez de
gens qui y sont déjà allés pour les pleurer. Nous allons là bas pour
apprendre ce que sont vraiment la lumière et les ténèbres. Nous
apprendrons comment comprendre cela au niveau le plus intime. Il y a…Oh,
je réserve cette discussion pour notre voyage.
Ainsi, Sananda s’occupe de lumière et le
monde à besoin de lumière. C’est la raison pour laquelle vous êtes tous
là. La conscience des anges avait besoin de comprendre la lumière dans
la densité, dans cette réalité, donc vous êtes venus ici. Sananda amène
la lumière, ainsi vous êtes venus de cela. Vous êtes nombreux à être
venus d’autres familles spirituelles – cela n’a plus aucune importance
car elles vous ont renvoyés. (Rires) Elles l’ont fait. Elles l’ont fait,
car savez vous pourquoi Pete ? Vous le leur avez demandé, Pete. Il y a
longtemps quand vous avez quitté l’Ordre de Michael (Saint Michel) vous
avez dit : « Quand j’en serai à un certain point, que je vous renverrai
un signal, virez-moi. Libérez-moi de ma famille spirituelle. »
C’est une des connections les plus
anciennes et un des karmas les plus anciens que vous n’aurez jamais,
ainsi ils vous ont virés et cela fait mal. Quand vous ressentez la
déconnection énergétique avec votre famille spirituelle, votre famille
angélique remonte presque au commencement, c’est un sentiment d’abandon.
Vous le ressentez à un certain niveau et puis vous dites : « Pourquoi
devrais-je encore vivre. Je n’ai plus rien. J’ai ma famille
biologique… » En effet, nous ne parlons pas de cela. Vous êtes certains à
les avoir choisis si rapidement, sans trop réfléchir. Vous êtes venus,
prêts à prendre n’importe quoi. Qu’en est-il de votre famille
spirituelle ? Vous en avez été viré. Cela fait mal.
Mais, vous savez, c’est un pas vers la
souveraineté. Quand votre famille spirituelle vous libère, cela fait
vraiment mal. Vous en rendez responsable votre famille biologique. Vous
pensez que cela vient de votre famille biologique. « Pourquoi me
traitez-vous comme ça ? Pourquoi m’avez-vous quitté ou pourquoi
m’avez-vous abandonné ? Pourquoi se moquent-ils de moi de la manière
dont ils le font ? » C’est en fait une répercussion de votre propre
famille spirituelle.
Ainsi, Shaumbra, je fais une digression, mais je m’amuse.
De retour aux devoirs
Ainsi, les devoirs dont nous avons parlé
lors de notre dernier rassemblement sont si importants. Honorer.
Combien d’opportunités avez-vous eu ce mois passé d’honorer les autres ?
Vous aviez le choix d’honorer ou de juger ; d’honorer ou de critiquer ;
d’honorer ou de vous demander ce qui ne va pas avec eux. Honorer les
autres…Vous allez vous honorer, mais vous aurez aussi besoin d’honorer,
car quand la Nouvelle Energie fera vraiment partie de votre vie, elle
fonctionne très, très, très vite, très rapidement. Le fait d’honorer les
autres et vous-même équivaudra à l’aisance…à l’aisance avec laquelle
vous travaillerez avec la Nouvelle Energie dans vos manifestations, dans
votre vie. Honorer est très, très important.
Nous avons parlé de créer quelque chose.
J’ai souligné cela lors de notre rencontre récente au Wisconsin. Créez
n’importe quoi, quelque chose. Shaumbra vous êtes nombreux à aimer ces
très longues discussions. Vous aimez parler à partir de là (il pointe la
tête) et c’est exactement ce qui se passe. Vous commencez à devenir un
peu fou. Vous aimez discuter des raisons pour lesquelles les choses ne
fonctionnent pas bien dans votre vie. Et quand je vous donne une réponse
– nous parlons ici dans les rêves, n’est ce pas – et que je dis :
« Faites seulement quelque chose. Permettez. » Comme l’a fait Richard,
mais n’allez pas dans les profondeurs comme Richard l’a fait.
« Permettre. » Puis vous revenez une semaine plus tard et vous voulez
avoir une autre discussion et avoir une réponse différente. Vous êtes
presque en état de dépendance de ces longues discussions, pour quelques
raisons. Je pense que cela satisfait une partie de vous. En effet, ce
sont des histoires. Ce sont de longues histoires qui vous donnent un
sursis temporaire. Cela vous donne – vous pensez – un peu le droit de ne
rien faire et de ne pas pratiquer sur cette Terre ce que vous avez
appris.
Puis il y a le travail avec votre
Pakauwah, votre animal totem. Bon, certains parmi vous ont dit : « J’ai
déjà fait ça auparavant. » Pas comme cela. Certains disent : « Bien, on
dirait qu’on retourne en arrière. » d’une certaine façon, oui, car cela
vous est familier. Mais, nous allons l’utiliser car ce Pakauwah, Robert,
va aller dehors et travailler pour vous. Quand vous êtes assis ici, il
peut être là dehors à faire du travail pour vous. Il peut aider à
énergétiser des potentiels qui vous attendent. Il peut également être en
surveillance. Il peut observer les autres énergies dans cette pièce
actuellement.
Vous avez probablement remarqué
aujourd’hui que c’est plutôt clair ici. A l’occasion, nous avons
beaucoup d’énergies sombres et des entités qui essaient de perturber.
Aujourd’hui, il n’y a presque pas de perturbations. Oh, ils rôdent
autour. Même ces rideaux sombres n’arrivent pas à les garder dehors,
mais ils restent à distance car il y a ces éléphants, ces panthères, ces
faucons, ces tigres, quelques serpents, une tortue (Rires) et tous ces
autres Pakauwahs.
Vos Pakauwahs, particulièrement vous qui
avez des panthères, ils ne sont pas fait pour attaquer. Vous ne les
avez pas programmés pour faire du mal à quelqu’un. Mais vous savez quand
une de ces entités sombres qui sont là dehors, qui traînent ici de
temps en temps, quand ils sentent votre Pakauwah, ils émettent un
message clair : « ne faites pas le malin avec cette personne. » Ils
font…c’est similaire à vos systèmes d’alarme dans votre maison. Le
voleur ira plutôt visiter la maison de votre voisin. C’est plus facile.
C’est rapide.
Quand votre Pakauwah est là, comme les
vôtres qui sont nombreux à être ici actuellement, cela crée un
beau...une sorte de belle énergie. Ce n’est pas une barrière ou un mur.
Vous n’avez pas créé un mur. Mais c’est seulement cette partie de vous
qui dit : « C’est un être souverain, allez quelque part ailleurs. Faites
le malin avec quelqu’un d’autre. Un être souverain. »
Ces entités, ces sombres entités, elles
ne sont pas si intelligentes, au fait. Vous leur donnez, beaucoup,
beaucoup trop de votre énergie, de vous-même, simplement parce qu’elles
vous font peur ou vous influencent ou vous font vomir ou quelque chose
d’approchant. Elles ne sont vraiment pas si intelligentes. Quand elles
voient votre totem, alors elles savent qu’elles ont affaire à un humain
conscient.
Travaillez avec vos totems. Dormez avec
eux. Faites une promenade avec eux. Nous allons les emmener en promenade
ici dans seulement un instant. Emmenez les faire un tour dans votre
voiture, et vous vous rendrez compte qu’ils se transforment. Ils peuvent
changer de forme, au fait, et ils le font. Vous êtes plusieurs à être
perturbés par le fait que vous choisissez un faucon et puis la minute
suivante il se transforme en dauphin. Que se passe-t-il ? C’est
seulement de l’énergie – de l’énergie libre de ses mouvements et de ses
formes. Une minute vous utilisez les énergies du faucon et la beauté du
faucon et le moment suivant vous utilisez votre affinité naturelle et
votre connexion avec un dauphin.
Les Pakauwahs ont tendance à revenir à
leur forme. Si c’est un faucon qui s’est transformé en dauphin, il aura
tendance à revenir à la forme du faucon. Mais il peut être n’importe
quoi. Il peut travailler pour vous de toutes les manières que vous
choisirez. Il est là pour aller dans les autres royaumes. C’est cet
aspect de vous qui ira pour vous dans les autres royaumes. Pendant que
vous faites vos autres travaux ici dans cette réalité, l’autre partie de
vous travaille. Alors que vous vous y connectez, alors que…Au fait,
elle est créative. Elle est très, très créative. Cette expression de
vous que vous envoyez dehors, n’est pas plus grande que vous ou plus
intelligente que vous. Elle ne vous dit pas quoi faire. Elle est là pour
vous servir. Travaillez avec elle. Vous n’êtes pas singulier. Vous
n’êtes pas singulier. Andrah sait cela mieux que toute autre personne.
Mais elle sait aussi que les humains ont cette étrange habitude de
vouloir être…vous voulez vous sur-définir.
Bon, l’autre coté de cela dont Andrah
pourrait vous parler, ce sont ceux qui se sont trop brisés – les
personnalités multiples. Vous avez peur de vous briser en morceaux. Et
si je vous disais que vous vous êtes déjà brisés en morceaux et que vous
avez appris à vous ré-assembler de nouveau ? Vous savez comment vous
ré-assembler de nouveau, car chacun d’entre vous ici, comme Andrah le
sait, s’est brisé en morceaux à un moment ou à un autre, dans cette vie
ou dans une autre, ainsi vous savez comment vous ré-assembler de nouveau
Maintenant que vous avez la connaissance
ou la sagesse en vous, permettez-vous de vous ouvrir, de vous étendre –
le Pakauwah, le jeu de rôle dont nous avions parlé. Vous avez tendance à
vouloir vous définir – David, et en définissant David vous devenez trop
mental, mais vous représentez tout le monde – vous voulez définir David
et en voulant définir David vous devenez très mental, vous devenez très
structuré, vous devenez très bloqué. La Nouvelle Energie, notre travail
ensemble concerne la nouvelle définition, qui n’est pas seulement un
corps, une personnalité mentale. Savez-vous que vous n’êtes pas du tout
votre histoire. Vous n’êtes pas, aucun d’entre vous, votre histoire,
Kathleen Barry. Vous ne vous souvenez pas de nos discussions. Je pensais
que je comptais pour vous plus que ça. (Plus de rires)
Vous pensez que vous êtes votre histoire
et vous ne l’êtes pas du tout. C’est une illusion. Vous n’êtes pas d’où
vous venez, Larry. Oh, une partie de vous, oui ; mais seulement une
très, très petite partie.
La redéfinition du Moi
Ainsi ce sera une redéfinition, plutôt
que d’essayer de vous définir comme David ou peu importe le nom.
Connaissez-vous la quantité d’énergie qui sert à vous définir ? Presque
toute votre énergie. Vous essayez de vous trouver alors que vous devriez
vraiment essayer de perdre ce moi. Vous passez tant de temps à dire :
« Qui suis-je ? » au lieu de dire : « Je suis ce que Je suis. » Je suis
ce que Je suis. Cela n’a pas d’importance. Cela n’a pas d’importance si
vous êtes David, Donald ou Marie.
Nous irons au delà de cette définition
humaine. Etes-vous d’accord ? (L’audience répond « oui ») Oh, vous dites
ça maintenant. (Rires) cela sera parfois inconfortable. Et il y aura
d’autres personnes qui diront : “ Qu’est ce qui ne va pas avec toi ? Je
connais ce groupe...je connais ce groupe avec lequel tu es. » Car, savez
vous, quand vous revenez d’un rassemblement comme celui là ou d’un de
nos ateliers, vous revenez avec un éclat. Vous revenez un peu plus léger
dans vos pas. Vous revenez en étant un peu plus intuitif, un peu plus
libre. Ils n’aiment pas nécessairement cela : « Qu’est ce que ce groupe
te fait ? » Hummm. En effet.
Ainsi il y aura ceux qui critiqueront et
qui ne comprendront pas. Cela n’a pas d’importance. Cela n’a pas
d’importance. La seule chose qui a de l’importance est la relation entre
votre âme et vous, la relation avec vous même. C’est tout. Rien d’autre
n’a de l’importance.
Ne soyez pas pris dans ce que les autres
pensent, car – vous avez déjà entendu cela de Tobias – En fait, ils
veulent désespérément que vous soyez différent. Et je dis cela de
manière positive mais ils veulent savoir que quelqu’un est le pionnier.
Quelqu’un doit aller au-delà.
Vous savez, dans le travail que nous
ferons ensemble, nous allons comprendre ce qu’est vraiment la maladie
mentale, et comment ces pauvres êtres chers qui sont dans les hôpitaux.
Bon, je ne suis pas désolé pour eux à cause de leur état mental, ils
sont mentalement malades ou fous. Cela est bien. C’est merveilleux,
c’est une merveilleuse expérience. Vous l’avez tous fait, n’est-ce pas ?
C’est merveilleux. Mais les enfermer et
leur donner des médicaments, c’est un péché. C’est méprisable. Car vous
prenez un être qui traverse une expérience intéressante de dépression
mentale, de maladie mentale, peu importe ce que c’est et vous dites :
“Il ne cadre pas avec notre mignonne petite définition de l’être
humain. » C’est une sorte d’énergie atlantéenne, vous savez. « Alors que
faisons nous ? Nous leur donnons des médicaments pour les rendre comme
nous tous. » Pas vous Edith. Pas vous. Vous n’avez pas besoin de
médicaments. (Rires) Vous les rendez calme, vous les maintenez calme et
vous les enfermez dans une petite chambre.
Très chers, c’est de là que viennent
beaucoup d’énergie sombre sur Terre actuellement, car les gens sont des
êtres étonnants. Oh, vous dites qu’ils sont fous. Non, ils traversent
seulement une expérience. Ils ont d’énormes quantités d’énergie. Ils
n’ont pas la sorte de limitation et d’inhibition que certains d’entre
vous ont. Ainsi ils laissent leur énergie devenir sauvage.
Elle est là dehors comme de l’énergie
psychique qui vous hante la nuit. Elle vous hante car, eh bien, ils
sentent une attraction pour vous. Ils sentent une connexion avec vous,
car ils peuvent sentir quelque chose dans votre énergie qui dit que vous
avez eu une dépression à un moment. Et que vous en êtes sorti. Je ne
parle pas de cette vie, mais à un certain moment. Vous avez eu leur
réponse et c’est la raison pour laquelle leur énergie psychique vient si
proche de vous si souvent.
Je prends vraiment trop de temps, mais
nous ferons simplement moins de questions et réponses. Allons à ce dont
je voulais réellement discuter aujourd’hui.
LINDA : Vous avez déjà fait une sorte de questions et réponses ici.
ADAMUS : en effet. Alors de quoi allons-nous parler aujourd’hui ? Nous allons...Prenez une respiration profonde.
LINDA : Nous allons juste commencer ?
ADAMUS :
Oui, c’était mon introduction. (Rires) C’était le monologue. (Plus de
rires) Pour les questions et réponses, je peux probablement y répondre
sans savoir ce qu’elles sont : La vie craint, surmontez cela. (Plus de
rires) je vais répondre à de nombreuses questions maintenant pour ceux
qui feront la queue ici.
Vous dites...Je vous donnerai la réponse
puis la question. La réponse est que vous jouez un jeu – trouvez ce que
vous aimez tellement dans votre jeu.
La question est : “Adamus, pourquoi les
choses sont si difficiles ? Pourquoi cela ne fonctionne pas ? Pourquoi
ai-je une vie nulle ? Pourquoi ne puis-je pas - humm, hummm – remplissez
les blancs. Ceci est la question. Elle se répète encore et encore et
encore.
La réponse est que vous choisissez un
jeu. Personne ne l’a choisi pour vous. Il y a quelque chose que vous
devez aimer à propos de votre jeu. Quand vous découvrirez ce que vous
aimez…le fait de dire que c’est une relation nulle, vous pouvez en
rendre responsable quelqu’un d’autre. Vous n’avez pas besoin d’en
prendre la responsabilité. Ceci est la réponse. C’est ce qui se passe.
Vous restez dans la relation pas parce que vous n’avez pas d’argent ;
vous restez dans cette relation nulle car vous êtes une victime, et vous
aimez ça. J’ai aussi aimé ça à un moment donné. Peut être vous en
fatiguerez vous à un certain point.
Vous jouez un jeu avec l’énergie
n’est-ce pas Andrah ? Vous jouez un jeu avec cette énergie et vous
pouvez arrêter à n’importe quel moment.
Vous dites : “Mais, Adamus, je n’ai pas d’argent. Que ferai-je ? »
Je ne sais pas ! Cela n’aucune
importance. Peut être que vous prendrez de nouveau plaisir à la vie.
Peut être que cette maladie que vous avez commencera à disparaître. Peut
être que vous verrez les couleurs de la vie, ou comme l’a dit Tobias,
la vie en haute définition. Peut être que vous devrez vous faire face.
Peut être. C’est la chose la plus dure à faire, mais aussi la plus
belle, c’est la chose la plus belle que de vous faire face.
Oh, votre moi est plein de ce que vous
appelleriez des déchets et ce que nous avons appelé plus tôt les démons,
les dragons et toutes ces choses. Mais ils ne sont pas ça réellement.
Ils ne sont pas ça réellement. C’est seulement de l’énergie bloquée qui
veut désespérément se débloquer.
Ainsi, parlons du sujet du jour. (Rires)
Maintenant que nous avons fait notre session des questions et réponses,
(Rires) y en a-t-il d’autres…Et au fait, votre grand-mère ? Je ne sais
où elle est de l’autre côté. Je suis occupé à être un oiseau à Paris ou à
travailler avec vous. Je ne sais pas. Appelez-la vous-même. Utilisez
vos propres capacités psychiques. Votre grand-mère est
probablement...elle va bien. Elle va bien.
Quelles autres questions avez-vous ?
LINDA : (qui répond rapidement) Aucune ! (Plus de rires)
ADAMUS : Oui, vous en avez quelques unes. Débarrassons-nous en afin que nous puissions faire le vrai travail.
LINDA : Vous avez réellement répondu à la plupart d’entre elles. Il y avait une question…
ADAMUS : Savez-vous combien de fois nous avons donné cette réponse et…
LINDA : Je sais. Je sais. Mais seulement pour confirmation, il y avait...
ADAMUS : Y a-t-il des questions Nouvelle Energie aujourd’hui ?
LINDA : Non.
ADAMUS : Oh, d’accord. Question courageuse, audacieuse. Attendez le micro. Linda d’Issa va vous l’apporter.
QUESTION DE SHAUMBRA 1 (une femme au micro) : Que sont ces picotements, les énergies nouvelles que je sens dans mon corps ? Des …
ADAMUS :
Oui, c’est appelé...bien, c’est...c’est comme un – Cauldre ne veut pas
que je le dise, mais je vais fermer ses yeux et le dire – c’est comme un
orgasme spirituel qui a lieu. C’en est vraiment un.
SHAUMBRA 1 : Oh, c’est bien !
ADAMUS :
Vous amenez en vous les énergies de votre propre divinité qui ont étés
séparées depuis très longtemps, et ces dernières se rapprochent et vous
avez cette sorte de connexion nouvelle et belle avec elles. Cela crée –
comment les avez-vous appelées ?
SHAUMBRA 1 : Oh, des cornes ?
ADAMUS :
l’énergie nettoie votre corps. Elles sont particulièrement profondes au
sommet de votre tête, vous autres qui les ressentez ou qui allez les
ressentir, parfois là (il montre la zone du troisième œil) Parfois elles
peuvent se manifester dans cette zone (Il montre la zone du plexus
solaire) mais vous ne les ressentirez pas toujours comme des
picotements ; vous pourriez les ressentir comme des papillons. C’est
votre connexion avec votre Soi, votre divinité. Inspirez-la à
l’intérieur. Et ne dites pas que c’est un ange ou que c’est...N’en
attribuez pas les mérites à quelqu’un d’autre que vous-même. C’est ce
que c’est. C’est aussi un peu de Nouvelle Energie qui arrive, dont nous
parlerons dans un instant.
SHAUMBRA 1 : Merci. Désolé de vous avoir interrompu.
ADAMUS :
Pas de problème. Ces picotements comme vous les appelez – nous utilisons
un autre nom mais picotements est un bon nom – ont un énorme effet
alchimique sur votre corps et sur votre mental – si vous ne les
repoussez pas, si vous les inspirez à l’intérieur. Ils ont l’énorme
capacité de rééquilibrer les choses dans votre corps. Quand cela vous
arrive, c’est le moment de prendre seulement quelques instants, peu
importe ce que vous faites, pour simplement les laisser s’absorber. Le
Divin vient à l’intérieur. Il n’arrive pas en un claquement ; il arrive
petit à petit. Il est absorbé au rythme le plus approprié. Merci.
QUESTION DE SHAUMBRA 2 (une femme au micro) Nous avons parlé la semaine passée de commander l’énergie.
ADAMUS : Oui.
SHAUMBRA 2 :
Quand je pense à faire un choix conscient, je sens que quand je fais
un choix conscient, c’est d’une manière commander l’énergie. Et je me
demandais si…Je voudrais avoir votre perspective sur cette question.
ADAMUS :
En effet. Vous parlez de la discussion à l’école des mystères et c’est
un peu hors contexte ici à moins que vous ayez fait cette école. Mais
j’y répondrai du mieux que je le peux. C’est une chose de faire un choix
conscient, et la plupart d’entre vous ont travaillé avec cela et malgré
cela vous ne vous sentez pas particulièrement à l’ais avec ça. Mais au
moins vous êtes au point où vous pouvez faire certains choix plutôt que
d’attendre que les ailes de la destinée vous emportent. Mais vous n’êtes
pas sûre si vos choix, si vous les formulez correctement, si vous
manifestez correctement. Ainsi vous…il y a encore beaucoup de …um…
(Pause puis de nombreux rires alors
qu’Adamus est distrait par la nourriture au fond de la salle et prend un
brownie) Il y a encore beaucoup de discussion à propos (beaucoup de
rires alors qu’il parle la bouche pleine) de savoir si vous le faites
correctement. Hummm, ça a du gout.
Commander les énergies est quelque chose
avec laquelle nous travaillons dans les écoles des mystères. C’est la
prochaine évolution du choix conscient. Mais vous devez être à l’aise
avec le fait que le choix conscient fait réellement une différence avant
de commander aux énergies. Comme vous le savez il y a eu des moments
étranges pendant le séminaire – des moments très inconfortables – t pour
certains qui commencent seulement à travailler avec cela…
(Plus de rires alors qu’Adamus continue de manger)...d’être humain…d’être humain…
LINDA : ne nous laissez pas vous arrêtez.
ADAMUS :
Pour quelqu’un qui débute à ce niveau sans avoir pratiqué le choix
conscient et la préparation que nous avons fait dans l’école des
mystères, ça peut en fait avoir l’effet inverse que prévu d’une manière
intéressante. Alors…
SHAUMBRA 2 : Le choix conscient est réellement le premier…
ADAMUS : Le choix conscient est l’étape de base, absolument. Absolument.
Ainsi entrons dans notre…
LINDA : vous commencez seulement maintenant ?
ADAMUS : Hummm. Pas besoin de questions et réponses aujourd’hui.
LINDA : D’accord.
ADAMUS : D’accord, alors maintenant.
L’illusion de l’histoire
Nous venons juste de parler de
l’histoire. L’histoire est une illusion absolue, une illusion absolue.
L’histoire est ce qui a été écrit. C’est une perspective. Ce n’est pas
ce qui s’est vraiment passé. Vous pensez qu’il y a eu cette
progression : la Lémurie, l’Atlantide, la première guerre mondiale suivi
par la seconde guerre mondiale – pas du tout. Ce n’est pas du tout
vrai.
Comme ceux qui ont fait le beau film (en
référence au film the Leap ! Présenté plus tôt) l’ont compris – et ils
ont essayé de montrer dans leur film, qui ouvre les consciences – que
tout est une illusion. L’histoire en elle-même est une grande illusion
que les gens croient parce que c’est écrit. Ecrit sur une feuille de
papier : « C’est la manière dont ça s’est passé. »
Une des plus grandes illusions de tous
les temps, à cause de quelques feuillets dans un livre, est la Bible et
l’histoire de Jeshua. C’est une grande illusion et les gens y croient :
« Bien, c’est l’histoire. C’est écrit dans le livre et Dieu dit que vous
ne pouvez pas la changer. » Combien de fois a-t-elle été changée ?
Quelle illusion. Les histoires sur Jeshua sont suffisantes pour que
Jeshua revienne ici et botte quelques fesses, car ce n’est pas vrai. Ce
n’est pas vrai.
Une partie est arrivée. Une partie. La
plus grande partie a été altérée. (Il regarde Linda) Ne vous en faites
pas, ils n’écoutent pas maintenant. (Plus de rires) Ils écouteront plus
tard, mais vous ne serez plus là, alors… (Plus de rires)
Votre propre histoire…Je ne suis pas un
fan des vies passées car –vous souvenez vous du temps où vous étiez pris
dans vos vies passées, dans ce que vous étiez et toutes ces choses –
c’est fascinant et intéressant, mais ce n’est qu’une partie de vous.
L’histoire est une grande illusion, et
aujourd’hui nous irons dans le passé et nous ouvrirons certaines portes.
Et avant que nous le fassions, je veux être très clair maintenant – si
vous n’êtes pas à l’aise avec cet exercice, ne le faites pas. Vous
pouvez l’écouter plus tard. Vous pouvez le lire plus tard ou le faire
plus tard. Si vous sentez que ce n’est pas juste pour vous, c’est bien.
Et il n’y a aucun jugement, car ce que nous ferons est dangereux. Est-ce
que ça vous va si c’est dangereux ?
(L’audience répond oui) Vous mentez (Rires) Etes vous défavorable au risque maintenant ?
(L’audience répond non) Sur cela vous dites la vérité. Non, en fait ce n’est pas vrai.
Ainsi, nous irons dans le passé, et le
but d’aller dans le passé, comme nous en avons parlé dans notre dernière
réunion, était de comprendre que ce qui vous était arrivé dans le
passé, n’est pas toute l’histoire. C’est une partie de l’histoire.
La famille que vous avez dans cette vie
est une illusion. Une illusion veut dire que c’est une réalité parmi de
nombreuses. Une illusion ne veut pas dire que ce n’est pas réel ; cela
veut simplement dire que c’est un parmi de nombreux autres. Un parmi de
nombreux autres.
Ainsi la famille que vous avez dans
cette vie, vous dites : “ bien c’était ma famille. J’ai un bout de
papier qui dit que je suis né. Peut être que ce n’est pas vrai. Peut
être que ce n’est pas vrai. Peut être que vous n’avez pas eu la famille
que vous pensiez.
C’est une illusion merveilleuse, très
séduisante, très réelle, mais peut être que ce n’est pas la seule
famille que vous ayez eue. Peut être avez-vous choisi une bonne famille à
la place. Peut être avez-vous choisi une famille qui vous a aimé et qui
vous a encouragé, et une famille riche qui vous a acheté de belles
choses, qui vous a dit de belles choses. Peut être.
Peut être avez vous une famille qui
était dans une culture totalement différente. N’avez-vous jamais eu le
sentiment que vous existez vraiment dans une culture différente ? Des
fois où vous vous dites : « Que fais-je ici dans cette culture ? » peut
être auriez vous du être dans une autre, car l’histoire est une
merveilleuse illusion.
Nous irons dans le passé aujourd’hui et en utilisant le choix conscient clair nous allons ouvrir des portes.
Revisiter le passé
Maintenant, nous allons faire une
répétition générale de cela, et vous le saurez si vous vous souvenez,
chaque fois que durant l’année passé ou presque, vous avez eu des rêves à
propos de long corridors, de très long couloirs avec de nombreuses
portes ; où vous vous êtes perdu dans des immeubles ou des maisons avec
tellement de portes que vous ne pouviez pas trouver la sortie, des rêves
où vous avez eu le choix entre de nombreuses portes et que vous ne
saviez pas laquelle prendre. Des rêves comme ceux là sont une indication
que vous avez d’une certaine manière participé à cette répétition
générale.
Il existe une école de pensée qui dit –
c’est pour les humains communs et vous êtes définitivement peu communs –
une école de pensée qui dit : « Ne revenez jamais au passé. Ne revenez
jamais au passé pour déterrer des choses. » Bien, nous ne revenons pas
au passé pour déterrer des choses. Nous ne revenons pas au passé pour
traiter des choses, nous revenons au passé pour ouvrir des portes car,
que ce soit dans cette vie-ci ou dans n’importe laquelle que vous ayez
eue, il existe des potentiels qui sont aussi réels que ceux que vous
avez réalisé – réalisé – en étant qu’humain. Ils existent. Ils sont
réels. Ils ne sont pas moins que ce que vous aviez choisi d’expérimenter
physiquement.
Ces énergies vous sont maintenant
disponibles. Ces énergies désirent vous rencontrer dans ce Présent
Moment. Il y aura une variété d’énergies qui viendront – des ressentis
et des réactions – alors que nous ouvrirons certaines de ces portes, et
ce n’est pas à vous d’essayer de les juger ou de les combattre. C’est la
raison pour laquelle je vous ai demandé lors de notre dernière réunion
de tout honorer, en incluant d’honorer ces énergies venant des portes
que nous ouvrirons.
Si vous avez eu des rêves où vous étiez
poursuivi récemment, c’est probablement parce que dans notre répétition
générale vous avez ouvert quelques portes et des énergies plutôt en
colère en sont sorties car elles ont étés longtemps refoulées à leur
manière. D’autres énergies sortiront si aimantes et si gentilles et
elles circuleront dans votre vie. Et si vous n’en êtes pas conscient,
elles vous donneront un coup de pied dans la jambe pour avoir votre
attention. C’est de l’énergie qui revient vers vous.
Alors que nous ouvrirons certaines de
ces portes…et je ne parle pas seulement des souvenirs réprimés ; je
parle des potentiels des choses qui n’ont jamais étés manifestées – une
vie, par exemple, où vous auriez pu être une sorte de grand guérisseur
et à la place vous avez choisi une vie d’imbécile. Mais ce potentiel du
grand guérisseur est toujours là. Il est encore actif. Il circule
encore. Il n’est pas perdu. Il n’est pas sorti de l’existence.
Vous auriez pu avoir une vie où vous
auriez été un dirigeant de très nombreuses personnes, responsables pour
elles, mais vous n’avez pas choisi cela. Vous avez choisi une vie de
femme au foyer ou d’être l’assistant de quelqu’un d’autre. Vous n’avez
pas permis cette expression. Vous n’avez pas choisi cette expression,
mais elle est toujours là.
Dans chacun de ces potentiels…et au
fait, vous pourriez vous rendre fou, si vous pensez à ces potentiels,
car vous dites : “Bien, je choisi une chose comme réalité, combien y
a-t-il de potentiels ? » Presque un nombre infini. Presque un nombre
infini. Si j’avais un tableau sur lequel écrire, j’y dessinerais un
grand cercle. Mais je n’en ai pas besoin car vous pouvez voir.
Il y a un cercle de potentiels probables
les plus hauts – les potentiels probables les plus hauts sont ceux qui
sont le plus complémentaires à votre voyage, ceux qui permettraient la
plus grande évolution de votre âme et ceux vers lesquels vous êtes
attirés. Ainsi ce sont ceux qui sont dans le grand cercle. (Adamus
dessine dans l’air) et la réalité que vous avez choisie est un point en
plaine milieu du cercle.
Juste derrière cela il y a un cercle un
peu plus petit – ce sont les potentiels de remplacement de second
niveau, ils n’ont pas la quantité d’énergie ou le dynamisme de certains
de ces potentiels du premier niveau, mais ils sont quand même là. Vous
pouvez allez comme ça presque à l’infini…vous avez le potentiel de
mourir quand vous étiez un enfant, mais vous ne l’avez pas fait. Vous
aviez le potentiel d’être schizophrène dans cette vie. Vos avez des
potentiels et des potentiels, ainsi c’est une série de cercles avec
différents niveaux de radiance, dans cette vie et cela peut apparaitre
aller à l’infini.
Et vous dites : “Bien, où est-ce que
cela fini ? Combien de potentiels y a- t’il pour cette vie ? Des
milliards ? » D’une certaine manière cela n’a pas d’importance, car les
potentiels ne vont pas jusqu’à l’infini. Ce qui arrive est que vous en
arrivez à un certain point et, d’une certaine manière, vous fermez le
cercle. Cela ne va pas jusqu’à l’infini. En fait, rien ne le fait. Même
pas votre univers physique, ni le temps, ni l’espace. Ils ne vont pas à
l’infini, ils finissent en fait une grande boucle et reviennent.
Il est important de se souvenir de ça
plus tard quand nous parlerons de la physique de la Nouvelle Energie,
mais je me rends compte qu’il se fait tard et j’ai un rendez vous plus
tard. Ainsi arrivons-nous vers notre exercice.
Nous reviendrons au passé, et si vous
avez des soucis avec cela, vous n’avez pas besoin de le faire
maintenant. Une chose simple à se souvenir dans cette Nouvelle Energie
est que les choses sont faites par choix. Bon, j’aurais pu amener du
soufre, de l’encens, des bijoux, un attirail, un groupe de musique de
danse et des danseurs pour créer une sorte de cérémonie autour de cela.
Mais nous n’en avons pas besoin. C’est un choix. C’est un choix.
Ainsi vous êtes invité à garder vos yeux
ouverts ou fermés. Peu importe ce que vous choisissez. Nous rendrons
cela aussi simple que possible.
Nous retournons au passé maintenant avec
toutes les énergies qui ont été préparées pour nous tous – pour tous
ceux qui écoutent, qui lirons cela plus tard, pour ceux qui sont assis
ici maintenant. Nous avons préparé une énergie qui nous permettra
d’aller dans le passé, et le passé lui-même est seulement une illusion
et seulement un potentiel. Et si vous voulez, seulement pour un moment,
faire le choix conscient de savoir si vous allez aller dans votre passé,
dans vos potentiels passés. C’est un oui ou un non. Vous n’avez pas
besoin de le formuler d’une certaine manière.
(Pause)
Et maintenant imaginez vous simplement avec votre Pakauwah à vos coté, à vos coté, peu importe si il vole, marche, nage ou vole.
(Pause)
Marchons vers le passé. Comment
faisons-nous cela ? Imaginons un long couloir, un beau couloir, un
couloir très large, très bien entretenu. Et cela est le couloir, le
chemin, vers votre passé.
Alors que nous marcherons dans ce très
long couloir – qui a l’air de ne jamais finir, car en vérité il revient
sur lui-même pour former un cercle – mais alors que nous marchons dans
ce couloir maintenant, ressentez tout d’abord VOTRE énergie. Ressentez
vous vous-même.
C’est de l’imagination, mais l’imagination est aussi réelle qu’être assis ici maintenant.
Marchez lentement. Nous ne sommes pas pressés.
C’est un beau couloir. Vous avez déjà
marché dans de beau couloir auparavant, pensez à cela. Cela n’a pas
d’importance s’il y a un tapis ou du beau carrelage italien.
(Pause)
Le long de ce couloir il y des portes.
Des portes et il y a peut être des illustrations, mais ne nous
concentrons pas sur cela. Il y a des portes et il apparait que toutes
ces portes sont fermées, car chaque porte représente un potentiel de
votre passé.
(Pause)
Peu importe de quelle vie, ce potentiel vient. Derrière chaque porte il y a des potentiels non exprimés…
(Pause)
Des décisions qui n’ont jamais étés prises…
(Pause)
Des rôles qui n’ont jamais étés joués…
Des directions qui n’ont jamais étés prises.
C’est tout vous. C’est tout vous. C’est à
vous, car au niveau de votre âme divine vous vous êtes donné le
potentiel, le cadeau de très nombreux potentiels.
Il n’y a jamais eu de destinée. Vous
vous êtes donné des choix et des options. Et bien que vous en ayez
exprimé un, les autres sont encore là. Leurs énergies sont encore là
pour vous.
Dans le Nouvelle Energie, nous amenons de nouveau tout ensemble.
(Pause)
Ce ne sont pas des aspects dans le sens
traditionnel du terme. Ce sont des potentiels. Et alors que nous
marchons le long de ce couloir, en reconnaissant toutes les énergies,
tous les potentiels du passé, s’il y a eu une vie où vous avez été tué,
littéralement, avant votre heure – que ce soit dans une guerre, que ce
soit par maladie, que ce soit par les mains d’un autre être humain –
cela a créé un traumatisme que vous avez amené avec vous, vous l’avez
trainé avec vous dans cette vie, à travers l’espace et le temps. Vous
rendez vous compte qu’il y a des potentiels derrière ces portes où vous
n’avez jamais été tué ?
Des potentiels où vous êtes en paix avec vous-même et le monde ?
Des potentiels où vous amenez l’amour et la joie dans votre propre vie et dans le monde ?
Derrière ces portes, votre passé, il y a
des énergies qui n’ont jamais étés exprimées, des énergies qui n’ont
jamais étés choisies, des énergies qui n’ont jamais étés amenées dans la
réalité physique. Mais elles sont encore là.
Alors que nous marchons le long de ce
couloir, avec votre Pakauwah à vos cotés, vous pouvez permettre aux
portes de commencer à s’ouvrir. Vous n’avez pas besoin de les ouvrir
vous-même ; elles semblent presque s’ouvrir alors que vous passez devant
elles. Pourquoi ? Car vous choisissez maintenant de libérer cette
énergie. Vous choisissez maintenant de l’amener dans l’Instant Présent,
dans cette réalité. Vous choisissez de vous rendre compte, que par
dessus tout, que votre histoire en elle-même est une illusion. Votre
histoire elle-même n’est rien de plus que des potentiels.
Vous n’êtes pas…vous n’êtes pas votre histoire. Vous n’êtes pas le passé que vous pensez être. Cela est le principe « Je Suis ».
Alors que vous avancez dans le couloir
et que les portes s’ouvrent, des potentiels sont libérés. Peut être pas
maintenant, peut être plus tard vous rendrez vous compte combien de
potentiels vous avez créé. Vous vous rendrez compte que certaines des
choses qui vous sont arrivées dans le passé, ce que vous pensiez être
réel, était juste une expression de la réalité. Vous allez vous rendre
compte que ce moment que vous vivez maintenant est remplis de très
nombreux potentiels.
Continuez à marcher le long du couloir,
lentement, amoureusement, en laissant ces portes s’ouvrir. Cette énergie
ne vous trahira d’aucune façon. Même le potentiel où – comme vous le
diriez – vous auriez choisi le coté sombre, qui aurait pu être, très,
très réel dans chaque vie, même si vous ne l’avez pas choisi. Quand se
potentiel est libéré, il n’est plus caché dans une énergie sombre. Il
n’est plus dans cette illusion. Ainsi vous n’avez pas besoin de vous
soucier – comme vous diriez – que cette énergie sombre vienne et
infiltre votre vie maintenant. C’est seulement de l’énergie. C’était
seulement un potentiel.
Vous libérez tant de vous-même en
comprenant que vous êtes beaucoup plus que ce que vous pensez être. Vous
êtes chaque potentiel. Vous êtes chaque expression, qu’il ait été
exprimé dans cette réalité ou pas.
Cher Shaumbra, cela est libérateur. C’est libérateur.
Ramener les potentiels
Prenez une profonde respiration…et
permettez vous de revenir du couloir vers ce point de présence du
Maintenant dans lequel nous sommes. Vous pouvez retourner au couloir et
répéter ce que nous venons de faire quand vous le voulez. Quand vous
commencez à vous sentir coincé dans cette vie, en répétant ce que nous
venons de faire de temps en temps, vous vous rappellerez que vous êtes
tellement entier. Vous êtes tellement multiple. Vous n’êtes pas du tout
singulier. Je ris quand j’entends ces supposés maîtres spirituels qui
parlent de la linéarité des vies passés. Cela ne l’a jamais été.
Ainsi revenez. Revenez dans ce Point de
Présence, et ne faites rien avec ces énergies. Ne les manipulez pas et
ne les forcez pas. Elles viendront à vous. Elles se joindront à vous.
Elles se joindront à vous et elles n’auront pas d’intentions cachées,
elles ne seront pas manipulatrices. C’est maintenant de l’énergie libre.
Elle reviendra à vous.
Quand vous faites cela, quand vous
ouvrez les portes de votre passé, ah, vous aurez des ondes de choc
venant de cela. Vous aurez quelques énergies qui arriveront et vous
fracasseront un petit peu. Qu’allez-vous faire alors ? Rien. Rien. Rien.
Vous ne les affrontez pas, vous ne vous en sauvez pas, vous les
respirez à l’intérieur. C’est seulement de l’énergie.
Vous aurez quelques cauchemars. Je suis
désolé de le dire. J’aurais du vous le dire avant. (Rires) Vous aurez
quelques déséquilibres dans votre vie et des choses changeront avec les
personnes autour de vous. Vous traverserez quelques périodes
émotionnellement difficiles.
Que faites vous avec cela ? Rien. Rien.
Oh, en fait, vous le respirez à l’intérieur. Cela n’est pas là pour vous
blesser. Oh, certaines de ces énergies ont leur propre coloration, leur
dynamique propre. Mais en fait, elles reviennent seulement vers vous.
C’est tout ce qu’elles font. Ne vous souciez pas de quels sont les
démons que vous avez déchainé. Nous n’aurions pas fait cela, si nous ne
pouvions pas le gérer.
Ne faites pas cela avec quelqu’un
d’autre qui n’est pas aligné. Ne courez pas à votre église de quartier
pour essayer de faire cela. (Rires) C’est en fait dangereux, c’est
définitivement psychologiquement dangereux et spirituellement dangereux,
de faire quelque chose comme cela si la personne n’est pas prête, si
elle ne sait pas ce qu’est un aspect et qu’elle ne comprenne pas comment
l’énergie fonctionne. Si elle ne comprend pas l’énergie, si vous lui
parlez d’énergie et qu’elle pense que vous parlez des lumières et de la
chaleur dans sa maison, ne faites pas cela pour elle.
Vous êtes prêt. Vous êtes prêt. Dix
années de préparations avec Tobias et des vies de préparation par
vous-même. Vous allez vous rendre compte qu’il y a…qu’il y a des vagues
d’énergie qui arrivent, et vous le saurez à travers vos rêves, à travers
des changements d’énergies dans le corps, et c’est tout bon. Tout cela
est bon. Absolument. C’est vous. C’est vous. Ce sont vos potentiels.
C’est ce que vous avez planté dans votre jardin, qui est maintenant prêt
pour la récolte.
Parfois cela se présentera à vous avec
une façade qui voudra jouer des jeux avec vous. N’y accordez aucune
attention. Respirez cela à l’intérieur. Honorez. Honorez. Honorez.
Alors que nous ouvrons les portes des
potentiels du passé, vous comprendrez que votre histoire n’est pas du
tout ce que vous pensez qu’elle était, vous n’êtes pas qui vous pensez
être, et vous serez un peu déséquilibré, car vous êtes habitué à vous
définir comme vous-même. Vous avez passé votre vie à essayez de vous
définir absolument, à définir absolument cette illusion, ce potentiel.
Ainsi cela vous déséquilibrera pour un certain temps.
C’est là où ce groupe appelé Shaumbra
sert, vous aidant les uns les autres, en partageant, en disant : « oui,
j’ai traversé une de ces sortes de jours où ‘que diable se passe-t-il ?
‘. » les autres Shaumbra pourront s’y reconnaitre et dire : « J’ai déjà
eu un de ces jours, mais vous savez quoi, le jour suivant a été
étonnant. Le jour suivant a été comme un énorme saut de la conscience. »
Cette énergie est en train d’affluer maintenant.
Je vous l’ai dit lors de notre dernière
réunion, je suis avec vous à chaque pas que vous faites et c’est vrai.
C‘est vrai que je suis avec vous à chaque pas que vous faites et il y
aura des moments un peu rudes et des moments qui seront magnifiques, où
vous regarderez en arrière et direz : « Quelle vie sans couleur. Quelle
vie ennuyeuse. »
Alors que Cauldre pense actuellement en
lui-même, il est si étonné de la manière dont je travaille avec son
corps, son mental et son esprit, et avec les vôtres aussi, combien en
fait il est à l’aise. Ce qui m’effraie en fait, est comment quelqu’un
peut passer dix années assis dans une chaise les yeux fermés et ne pas
bouger ? C’est tellement terne ! (Rires) Tellement terne.
N’est ce pas qu’être humain est une
bénédiction ? C’est une expérience. Ce n’est pas un test et ce n’est pas
une épreuve. C’est une expérience et c’est la découverte de votre
nature souveraine.
Je parlerai de la lumière et des
ténèbres lors de notre prochaine discussion. Nous aurons quelques
expériences en France avec la lumière et les ténèbres. Mais
maintenant…vous ne vous souvenez toujours pas Kathleen ? (Kathleen dit
non avec sa tête) Puis je revenir le mois prochain et vous le demander
de nouveau ?
KATHLEEN : oui.
ADAMUS : bien, nous parlerons. Nous parlerons. Vous…
KATHLEEN : vous me parlez dans mes rêves, mais je n’ai même pas de rêves. Je n’ai pas eu de rêves depuis des années.
ADAMUS :
Ah ! Ah ! Demain vous allez me maudire. Si ce n’est pas demain, ce sera
le jour suivant. Elle dit qu’elle n’a pas eu de rêves depuis des années.
Bien, en effet, nous savons tous qu’elle a des rêves. Si vous n’aviez
pas de rêves, vous n’existeriez pas. Vous n’existeriez pas.
KATHLEEN :
Mais je ne m’en rappelle pas, nous en avons parlé et vous aviez dit que
je faisais ce que je devais faire, que j’allais si loin là dehors que
je ne m’en rappelais pas quand je revenais.
ADAMUS : c’est vrai et maintenant il est temps de vous en souvenir.
KATHLEEN : D’accord.
ADAMUS : Il est temps de vous en rappeler.
KATHLEEN : d’accord.
ADAMUS :
Il n’y a pas de raison…oui, vous êtes nombreux à aller si loin dehors
que vous ne vous souvenez pas de vos rêves. Vous les avez et maintenant
vous allez commencer à vous les rappeler.
Au fait, les rêves dans le Nouvelle
Energie sont différents ; l’interprétation des rêves est différente de
celle de l’ancienne énergie. Dans l’Ancienne Energie les rêves étaient
une série de symboles, souvent très, très durs à comprendre, cela
semblait parfois fou. Alors que faisiez-vous ? Vous les écartiez.
Les rêves dans la conscience actuelle
sont en fait beaucoup plus littéraux. Parfois ils seront un peu confus,
mais ils seront plus littéraux. Si vous avez un rêve que la nuit vous
êtes dans un voyage lointain et projetez de travailler avec d’autres
personnes, c’est probablement en train de se passer. Vous êtes en train
d’ouvrir les portes, mais vous aurez de nouveaux des rêves.
KATHLEEN : Ok.
ADAMUS : est-ce que cela vous convient ?
KATHLEEN : Oui.
ADAMUS : vous souvenir des rêves.
KATHLEEN : m’en souvenir.
ADAMUS :
Ok. Vous ne serez pas en colère quand vous serez si perturbée par un
rêve que vous aurez, peut être cette nuit, peut être demain, et que vous
vous demanderez pourquoi vous n’arrivez plus à dormir ?
KATHLEEN : Oh, je sais que je n’arrive plus à dormir. Je suis réveillé toute la nuit.
ADAMUS : les rêves peuvent être parfois obsédants.
KATHLEEN : d’accord.
ADAMUS : alors, c’est facile.
Ainsi, Shaumbra, nous avons beaucoup
parlé et un peu expérimenté aujourd’hui en ouvrant les potentiels de
votre passé. C’est aussi réel que toutes les autres choses. Comprenant
que votre histoire que vous connaissez maintenant n’est qu’une tranche
de ce qui pourrait être. Quand vous faites cela, et que vous ramenez
tout cela dans l’Instant Présent, ici, cela changera absolument ce que
vous pensez que sera votre chemin dans le futur. Et c’est la raison pour
laquelle je dis « Attendez vous à l’inattendu. »
Si vous êtes lié à toutes les choses qui
ont eues lieu par le passé, une version de cela vous arrivera dans le
futur, peut être une version plus facile ou où vous êtes plus riche.
Maintenant vous n’êtes plus sur ce chemin. Cela change alors des choses
inattendues arrivent. Ne laissez pas cela vous déséquilibrer.
Ecoutez mes mots : Ne laissez pas cela
vous déséquilibrer. Ne laissez pas cela faire que vous ayez envie de
vous sauver et de vous cacher. C’est la dernière chose que chacun
d’entre vous avez besoin maintenant, de retourner vous cacher. Amenez
cela à l’intérieur de vous comme énergie. Amenez cela à l’intérieur de
vous comme quelque chose que vous avez absolument créé et manifesté.
Répétez cet exercice par vous-même ou
avec un petit groupe de Shaumbra. Quand vous faites cela, cela invite
aussi cette chose appelée la Nouvelle Energie dans votre vie. Je ne veux
pas définir la Nouvelle Energie, nous n’entrerons pas dans cette
discussion aujourd’hui. Nous le ferons plus tard. Mais maintenant, avec
les potentiels du passé qui se sont ouvert et qui ont étés amenés ici,
maintenant la Nouvelle Energie est libre ou est invitée à entrer.
Avec la Nouvelle Energie…Je vais devoir
écrire un livre à ce propos. Dans la Nouvelle Energie, il n’y a pas de
potentiels. La Nouvelle Energie ne contient pas de potentiels, et je
sais que c’est contraire à ce dont nous avons discuté, mais il n’y a
plus de potentiels en elle, et nous parlerons de cela lors de notre
prochaine discussion. Qu’y a-t-il dans la Nouvelle Energie ? S’il n’y a
pas des potentiels, qu’y a-t-il ?
Ainsi, je vous laisse dans un suspense
dramatique (Rires) jusqu’à notre prochaine réunion, et jusqu’à ce que je
vois certains d’entre vous en France.
Et avec cela, cher Shaumbra, je vais
demander à Andrah de passer – même si votre biologie vous appelle ; nous
avons fini nos questions et réponses, nous en avons fini pour
aujourd’hui – Andrah vous fera respirer pendant cinq minutes. Respirez
dans cette énergie des potentiels.
Je vais m’excuser et avant que je ne le
fasse, je veux vous rappeler que tout – tout dans la création – va bien.
Tout va bien dans toute la création. Rappelez-vous cela. Il n’y a pas
de parties brisées dans la création, il n’y a pas de parties
incomplètes, de parties non réalisées ou ce que vous appelleriez des
parties sombres.
Tout va bien dans toute la création et donc, Je Suis Adamus.
Et c’était ainsi.