LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE

Série du Kharisme

 

SHOUD 7: "Kharisme 7" - ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle

7 mars 2015

www.crimsoncircle.com

 

ADAMUS: Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine souverain.

Bienvenue, chers amis. Bienvenue, bienvenue. Merci pour cette belle musique (jouée par Gerhard & Einat). Ah! Prenons une grande respiration pour commencer.

Quel sacré groupe nous avons ici et quel sacré groupe nous avons là (en ligne). Ah! Réunissons-nous tous ensemble, vous tous là-bas avec tous ceux qui sont ici, et j’aimerais commencer avec une énigme Shaumbra. Hm. Oui, celle-ci est facile. Une énigme Shaumbra.

Mais avant de vous proposer cette énigme Shaumbra, je dois poser une question probablement plus pertinente. Sandra, où est mon café? (Rires) Ahhh! (Elle le lui tend) Et presqu’en même temps, voilà qu’on me sert une divine tasse de café. Plus de ces gobelets en plastique. Plus de gobelets en carton mais une authentique élégance pour un authentique Maitre.

LINDA: Ainsi soit-il. (Le public est d'accord)

ADAMUS: Oui. Oui. Et comme je l'ai entendu dire aujourd'hui, ce n’est pas Louisville (Colorado). (Adamus se moque de la prononciation de Geoff) Mais Louie-ville. (Prononciation française) Lou-ville. Lou-ville. « Lou » comme les rois, ahh, et « ville » comme les maisons. Oui, oui. Ça tombe bien que nous soyons à Louie-ville. Oui. Pas Louisville. (Rires)

Alors portons un toast à chacun d'entre vous (levant sa tasse de café), ah oui, à vous qui regardez, ou à vous qui êtes assis ici en personne.

Et qu'avons-nous ici? (Regardant Linda qui est habillée comme un Vulcain en l'honneur du récent décès de Leonard Nimoy)

LINDA: Rien de spécial.

ADAMUS: Spock. Spock. Ah. Spock. Oui. (Frottant ses épaules) Ah! Je dois prendre un moment là, Spock. Détendez-vous Spock. Oui.

LINDA: Ce n’est pas logique. (Rires)

ADAMUS: Détendez-vous. Donc, j’ai entendu dire que celui qui a joué, celui qui a joué le rôle de Spock est récemment décédé. Et que pensez-vous que l'essence de Spock a éprouvé lors de ce passage ? Cet être qui avait joué le rôle d’un être si coincé dans son mental? Que pensez-vous que Spock a soudainement réalisé ?

LINDA: Qu’il était Dieu aussi.

ADAMUS: À peine. (Rires) À peine, à peine, à peine.

Alors, quand Spock, qui fait maintenant partie de la conscience ... oh, il y a un être appelé Spock dans les autres dimensions. Pas seulement celui qui a joué Spock, ce cher Leonard, mais il y a un Spock dans les autres dimensions à présent.

Et quand Spock est décédé, cela n’avait pas de sens. Ce n’était pas logique - toute cette expérience du décès, toute cette expérience de la mort. Non, cela n’avait aucun sens du tout, et ça a créé un certain bouleversement pour la conscience du cher Spock. Il a comme qui dirait été mis sens dessus dessous. Ça n'avait pas de sens. Et bien que Spock ait essayé de trouver une logique à ce décès, ça n’avait tout simplement pas de sens.

Et bien que Spock ait essayé de résister et ait essayé de donner un sens et une logique à tout cela, et ait tenté de rejeter cela comme étant simplement une expérience humaine de mort inutile, quelque chose s’est vraiment passé chez Spock, interprété, bien sûr, par l'acteur. Mais quelque chose s’est vraiment passé. Spock a réalisé qu'il y a plus que la logique; qu’il y a beaucoup, beaucoup plus de choses que celles qui ont du sens.

Et Spock s’est notamment rendu compte que la Terre est de loin la plus grandiose de toutes les planètes. (Quelques rires)

LINDA: Bien sûr.

ADAMUS: Et concernant tout le mépris qu’il avait eu à l’égard de la Terre et du cheminement ou des choses humaines, qu’il n'avait jamais vraiment comprises, et concernant toute sa condescendance à l’égard des humains, il réalisa soudain que cela n’aurait jamais de sens.

LINDA: Il n'avait pas été condescendant, il n’avait tout simplement pas compris !!

ADAMUS: Aucune différence. (Adamus glousse) Il réalisa soudain que finalement, il n'y a pas de véritable logique dans l'univers. Il n’y a pas non plus de vérité dans l'univers. Il réalisa soudain qu'il y avait quelque chose de bien, bien plus grandiose, et c’est l'expérience sensuelle de la vie.

LINDA: Mmm.

ADAMUS: Quelque chose qui ne peut être éprouvé à son maximum que sur Terre.

Et donc, qu’est-ce que Spock, la conscience, est en train de faire en ce moment même?

LINDA: Il fait la fête.

ADAMUS: (rit) Il est en train de planifier son incarnation, oui, la conscience de Spock - pas l'acteur, mais la conscience de Spock – planifie de prendre une forme physique, de faire l’expérience du mental. Mais plus que tout, d’avoir le cœur et la passion que l’on ne peut trouver sur aucune autre planète, même sur la plus intelligente des planètes, parce que finalement l'intelligence ne signifie rien sans le coeur.

Alors Spock, nous vous accueillons dans notre rassemblement, et peut-être qu’aujourd'hui, vous apprendrez quelque chose sur les épreuves et les tribulations humaines, sur les tragédies et les comédies humaines. Peut-être apprendrez-vous quelque chose sur l'expérience humaine globale qui finira, mon cher et logique Spock, par vous mener à la véritable illumination… (Adamus boit une gorgée de son café) Ahh!

LINDA: Je retiens mon souffle.

ADAMUS: …et au café. Et au café. Oui.

 

Une énigme

Donc Shaumbra, l'énigme est la suivante : Qu'est-ce qu’il y a ici et qu’est-ce qui manque?

LINDA: Mmmm.

ADAMUS: Qu’est-ce qu’il y a ici, mais qui en même temps est absent / manquant ? Vous ne devriez pas mettre longtemps pour le découvrir. Cher Spock, Linda, qui que vous soyez, le micro s’il vous plait. Nous avons plusieurs questions à poser. Qu’est-ce qu’il y a ici et qu’est-ce qui manque? C’est très simple.

SHAUMBRA 1 (femme): La réalisation.

ADAMUS: La réalisation. Bien sûr. Bien. Qu’est-ce qu’il y a ici et qu’est-ce qui manque? (la femme donne le micro à une personne qui n’en voulait pas) Ne le lui donnez pas. Elle ne le veut pas. (Adamus glousse) Qu'est-ce qui est présent ici et  qui manque en même temps?

SHAUMBRA 2 (homme): La conscience.

ADAMUS: La conscience. Ouais. C’est assez évident. À ce stade-là, nous n’avons pas besoin de nous éterniser sur cette question...

LINDA: Ah d’accord.

ADAMUS: ... mais c’est une grande énigme Shaumbra. Il s’agit de ce qui est ici et  qui manque en même temps - le ressenti, la passion, la conscience, le Je Suis, le J’Existe. C’est ici, mais c’est aussi absent. Nous allons entrer dans le vif de cela aujourd'hui et cela vous aidera à mieux comprendre comment quelque chose peut à la fois être ici et manquant.

 

Une question

Prenons donc une bonne respiration, alors que nous entamons cette journée et notre question du jour.

Nous voici alors qu’un peu plus de deux mois se sont écoulés depuis la nouvelle année. Ce sera une année intéressante; une année riche en événements différents - oui, vous n’avez pas besoin d’être un maître pour savoir ça - mais il y aura beaucoup de chaos, beaucoup d'agitation. Ça va être fatigant pour la plupart des humains, très, très fatigant, avec tant de choses qui changent sur cette planète. Et juste au moment où vous penserez, "Comment les choses pourraient changer encore davantage ?" Ça va changer encore plus. Absolument.

Alors la question est ...

SART: Tous à bord!

ADAMUS: Oui. C’est le moment de s’exciter.

Alors ma question est : durant ces deux derniers mois plus une semaine, quelles ont été vos expériences intérieures? Je veux que vous en soyez conscients. Je veux que vous preniez un moment - vos expériences intérieures.

Maintenant, je ne veux pas entendre le récit de vos histoires. Je ne veux pas de "je ne sais pas." (Adamus chuchote) Rien de tout cela. Dix mots ou moins. Et si vous dites: «Eh bien, voyons, mes expériences intérieures ont été…" vous aurez utilisé la majeure partie de vos mots. (Quelques rires) Alors, comme on dit, allez droit au but.

Et la raison pour laquelle je vous demande cela, c’est parce que je veux que tout le monde ici, que vous soyez assis ici, à Louisville, ou que vous nous regardiez en ligne, je veux que vous réalisiez les similitudes de vos expériences, parce que vous avez tendance à vous sentir seuls, une tendance à croire que vous êtes les seuls à vivre ces choses.

Vous traversez vos propres expériences personnelles, des expériences profondes, mais il y a aussi des âmes de votre même famille qui traversent cela avec vous.

Alors Linda, si vous voulez bien passer le micro s’il vous plaît, en particulier aux nouveaux. Ouais, offrez-leur un petit rodage.

LINDA: Oh, aux nouveaux?

ADAMUS: Offrez-leur un petit rodage.

LINDA: Euh-oh. (Quelques rires)

ADAMUS: Résumez vos expériences intérieures depuis le premier de l'an.

SHAUMBRA 3 (homme): Quelque chose de vraiment personnel et que je sais déjà.

ADAMUS: Eh bien, les expériences personnelles sont habituellement personnelles.

SHAUMBRA 3: Mais que je sais déjà.

ADAMUS: Bien.

SHAUMBRA 3: Mais que je sais déjà. J’ai l’impression que ce que je veux savoir, est vraiment fugace. Ça vient et puis je veux que ce soit autre chose, mais à la fin de la journée, je le savais. Comme si je le savais déjà. Alors ...

ADAMUS: Bien, bien.

SHAUMBRA 3: Je ne sais pas pourquoi je veux que ce soit une réponse différente, mais ...

ADAMUS: Bien sûr. Et la raison en est en partie parce que vous, et les autres, commencez à devenir intemporels. Et comme vous devenez intemporels, il y a un étrange mélange qui se produit entre le passé et le présent, c’est en quelque sorte le passé et le futur qui passent l’un dans l’autre, et qui parfois s’arrêtent brièvement et qui, un bref instant, font sens ou du moins donnent le sentiment d’être stables. Mais ce ressenti de savoir/ne pas savoir va continuer. Etes-vous à l'aise avec ça?

SHAUMBRA 3: Oui, ça va.

ADAMUS: Bien, bien. De toute façon, vous n’avez pas vraiment le choix. (Rires)

LINDA: Bonne réponse.

ADAMUS: C’est ainsi. Oui. Bien. Merci. Merci.

LINDA: Et vous n’êtes pas nouveau, mais vous l’êtes quand même. (la prochaine Shaumbra soupire)

ADAMUS: Oui.

LINDA: Vous avez dû le voir venir.

ADAMUS: Que ça allait être votre tour ...

TERESA: Mince!

ADAMUS: ... d’une manière ou d’une autre.

TERESA: Mince!

ADAMUS: J’ai essayé de vous protéger.

TERESA: Je sais. Merci.

ADAMUS: Oui. Depuis le début de l’année, vos expériences intérieures.

TERESA: Folles, un émotionnel chaotique, éprouvantes et belles, c’est fou les cadeaux qu’elles m’ont offerts.

ADAMUS: Très bien. Voulez-vous bien vous faire une promesse, pour moi?

TERESA: Oui!

ADAMUS: Plus de leçons. Vous n’avez pas besoin de toute cette folie.

TERESA: Je sais! N’est-ce pas?

ADAMUS: Oui, bien sûr!

TERESA: J’ai dit, je ... oui! Oui! Je le ferai. Je le ferai. (Adamus glousse) Oui.

ADAMUS: Vous n’avez pas besoin de cette folie, et puis surtout n’essayez pas de donner un sens à cette folie. Spock faisait cela. Mais n’essayez pas, vous, de lui donner un sens. C’est dépassé. C’est une sorte d’ «éveil», même de «pré-éveil » C’est en quelque sorte frôler le makyo. Vous essayez de dire: «Eh bien, voici ce que j’étais censé apprendre de cela." (il crache!) Voilà ce que ça vaut. (Rires) Non, non, non, non, non, non, non, non. Parce que sinon, vous allez vous faire entrer dans un schéma de toujours plus "Eh bien, j’ai besoin de plus de leçons," et ce n’est pas vrai.

Voici ce qui se passe ...

TERESA: D'accord.

ADAMUS: ... tout comme avec le monsieur avant vous. Le passé et l'avenir avancent côte à côte maintenant, et ils se rencontrent. Ils dansent ensemble, ils se crachent l’un sur l’autre, ils se jouent l’un de l’autre, et ça n’aura plus de sens, Spock. Ça n’aura plus de sens.

LINDA: C’était au milieu des années 60! (Adamus glousse)

ADAMUS: Je n’ai pas l’impression que vous soyez habillée comme en 2015 à l’instant.

LINDA: Ce n’est pas le style de 2015 ?!

ADAMUS: Vous venez de dire que c’était celui  des années 60.

LINDA: Lorsque Spock vivait cela.

ADAMUS: Mais n’y a-t-il pas – c’est un bon point, je suis content que vous l’ayez abordé- n’y a-t-il pas encore beaucoup d'attachement à l’ancien ? Je m’en fiche de savoir si c’est avec Jésus ou Bouddha ou Spock. Bien qu'ils ne soient pas spécialement dans la même catégorie. (Rires)

LINDA: Quand même un peu!

ADAMUS: Un peu. Pour elle, oui.

LINDA: Un marcheur est un marcheur.

ADAMUS: Jésus ne s’est pas classé aussi bien, Spock est monté plus haut là.

Et voilà une autre chose intéressante. C’est le temps de ... vous savez, vous avez des croyances sacro-saintes (que vous affectionnez particulièrement). Vous avez vos statues posées sur votre autel chez vous ou sur votre autel intérieur, et vous avez presque peur de les lâcher. Et oui, honorer, honorer, c’est tellement bien. Mais vous allez voir que ces attachements vont changer, et attendez-vous à cela. Acceptez-le. Permettez-le. Votre intérêt et votre attachement aux choses auxquelles vous êtes accroché vont changer. Ils ne vont pas s’en aller, mais si vous aviez un lien fort avec, eh bien, par exemple moi (Adamus glousse), même cela, ça va changer. Cela va changer.

Ok, continuons. Les expériences, les expériences intérieures depuis le premier de l’an.

EMMA: Immenses, intenses, multidimensionnelles et merveilleuses.

ADAMUS: Oui. Bien. Qu’en est-il du physique ?

EMMA: Oh mon Dieu! (Elle rit) Mon corps devient fou.

ADAMUS: Ouais!

EMMA: Mais bon, pas fou comme ...

ADAMUS: Pourquoi?

EMMA: D'accord. Euh ...

ADAMUS: Non, il va devenir comme fou. C’est la même différence. Le corps et le mental – c’est essentiellement la même chose.

EMMA: Oui. Ok, c’est comme. C’est trans- ...

ADAMUS: Cela vous parait-il étrange d’être à l’image et que tous vos amis vous regardent ?

EMMA: Salut!

ADAMUS: Et votre image est diffusée de manière universelle et multidimensionnelle. Est-ce que ça vous fait bizarre?

EMMA: Un peu.

ADAMUS: Un peu.

EMMA: Ouais.

ADAMUS: D'accord. Vous voyez ce que je viens de faire?

EMMA: Me distraire!

ADAMUS: La distraction! Oui, pourquoi? Vous alliez être trop mentale avec moi, et je ne le voulais pas. Je veux que vous partagiez. Votre corps. Qu'est-ce qu’il se passe avec votre corps?

EMMA: Il est comme en train de se transformer.

ADAMUS: Ouais, ouais.

EMMA: Ouais.

ADAMUS: Est-ce douloureux?

EMMA: Parfois oui.

ADAMUS: Oui. Et essayez-vous de contrôler cela avec vos, vos trucs mentaux?

EMMA: Oui, assez souvent!

ADAMUS: Assez souvent. Ouais. (Elle rit) Oui, un peu, oui. Et cela ne fonctionne pas. N’est-ce pas?

EMMA: Non, pas du tout.

ADAMUS: Ahh! Vous voyez?

EMMA: Mm hmm.

ADAMUS: Vous n'êtes pas la seule ...

EMMA: Non, vous n'êtes pas les seuls.

ADAMUS: ... qui traverse cela.

EMMA: Croyez-moi.

ADAMUS: Oui.

EMMA: D'accord, oui.

ADAMUS: Bien. Alors, le reste de votre expérience, de votre expérience intérieure. Avez-vous eu des, comme je les appelle, des moments où les rideaux se sont ouverts? En d'autres termes, ahh! Tout d'un coup ...

EMMA: Absolument.

ADAMUS: Bien.

EMMA: Oui.

ADAMUS: Oui. Des moments comme révélant quelque chose de très profond à l’intérieur de vous-même.

EMMA: Mm hmm.

ADAMUS: Et ensuite, vous avez eu du mal à expliquer cela à d'autres personnes.

EMMA: j’ai arrêté cela.

ADAMUS: D'accord.

EMMA: Ouais.

ADAMUS: Alors vous n’avez pas passé de période désagréable. Vous avez simplement arrêté. (Elle rit) Bien, cela a du sens.

EMMA: j’ai arrêté d'essayer d'expliquer.

ADAMUS: Oui, parce que cela ne marche pas. N’est-ce pas?

EMMA:Non, ça ne marche pas.

ADAMUS: C’est en fait ... merci. Merci.

EMMA: Oh. (Elle lui souffle un baiser)

ADAMUS: C’est en fait ... (Adamus lui renvoie le baiser) C’est en fait ...

EMMA: Vous êtes magnifique. (À Linda; les gens rien et se retournent pour regarder)

ADAMUS: Ok, portez votre attention ici. (Plus de rires) Vous avez essayé d'expliquer cela à vos amis, à votre famille, même à d'autres gens qui sont un peu Shaumbra. Ça ne marche pas vraiment, et d’un côté c’est bien, parce que pour le moment - pour le moment - je préfèrerais que vous ayez ce rayonnement intérieur. Gardez-le en quelque sorte pour vous-même. Ressentez-le pour vous-même. A la minute où vous le laissez s’échapper à l’extérieur - makyo; et alors ça ne fonctionne plus si bien et vous vous empêtrez dans les mots, et alors vous devenez frustré. Et alors, vous avez l’impression d’être fou, et alors tout le monde vous regarde, genre, "Hm, d'accord." Et vous vous dites, "Ah, pourquoi est-ce que je fais cela? Je garde ma bouche ... "Ouais. Simplement whheewww! (il aspire)

Nous allons à un endroit où c’est le vrai kharisme qui rayonnera de vous, qui émanera de vous, plutôt qu’un "ouin, ouin, ouin, ouin." Comme ça. Ouais. Voilà comment vous allez vous entendre à l'avenir. Vous allez regarder qui vous étiez avant et dire, "Je faisais simplement 'wrahh, wrahh, wrahh, wrahh" Comme ça. "Qu’est-ce que... il n'y avait rien qui sortait!" Et vous resterez juste planté là comme le Maître que vous êtes - hmmmm - ou pas. (Quelques rires) Même comme…, ouais, mais simplement dans votre kharisme. Wooo! Ahhh! Bien. C’est là que nous allons. Merci.

Encore quelques-uns. Votre expérience intérieure.

SHAUMBRA 4 (homme): C’est difficile à expliquer. Ça a déjà été dit.

ADAMUS: (rires) Bien.

(Légère pause)

Haut? Bas? Sombre? Lumineux?

SHAUMBRA 4: Mm. Probablement un peu des deux.

ADAMUS: Ouais, ouais.

SHAUMBRA 4: Une sorte de mélange.

ADAMUS: Oui.

SHAUMBRA 4: Ce n’est jamais vraiment la même chose.

ADAMUS: Puis-je vous poser une question?

SHAUMBRA 4: Mm. (elle hoche la tête)

ADAMUS: Vous devriez toujours dire non. (Rires)

SHAUMBRA 4: Eh bien, je ne peux pas vraiment dire non. Vous allez quand même me poser la question de toute façon. N’est-ce pas?

ADAMUS: Alors, avez-vous personnellement ressenti une sorte d’engourdissement, d’état de torpeur?

SHAUMBRA 4: Ouais, de temps en temps.

ADAMUS: Oui. Et vous vous demandez pourquoi ...

SHAUMBRA 4: Qu’est-ce que c’est ?

ADAMUS: Qu’est-ce que c’est ? Un cerveau engourdi, un corps engourdi et une sensibilité comme engourdie. Ouais. Et à d'autres moments, vous vous sentez tellement ouverte que vous souhaiteriez être engourdie.

SHAUMBRA 4: Cela aussi.

ADAMUS: Cela aussi. Donc, on en arrive à ce que je veux vraiment vous dire. Vous avez tous ces symptômes qui se passent et il y a un moment où arrive le desséchement (le sentiment d’être anesthésié, insensible) . Comme certains jours où vous en arrivez à vous dire, «Où est le tout? J’ai l’impression d’être une simple pierre. Et c’est simplement ... ehh, rien ne m’enthousiasme plus. Je ne peux même plus penser au sexe ou à la nourriture ou à quoi que ce soit d’autre. Ehh, nan. Juste ... » Au fait, c’était drôle. (quelques gloussements) Oh, pas avec ce groupe. Bien. Non. Certains d'entre vous qui regardent en ligne rient. A ce groupe, quand vous lui racontez une blague sur le sexe : "Hein? Hein? (Rires) " Oh oui, je me souviens. C’était dans les années 60 avec Spock. (Plus de rires) C’était du sexe logique »(Adamus glousse) Spock, faisant l’amour... (Adamus se tient debout, un regard vide sur son visage, puis un sourire bref mais vide, beaucoup de rires)

LINDA: Vraiment ?! Vraiment ?!

ADAMUS: Refaisons cela encore une fois.

SHAUMBRA 4: Au fait, merci de partager cela avec nous.

ADAMUS: Spock, faisant l’amour. (Adamus reprend la posture d’avant)

LINDA: Avec qui ?! Comment savez-vous ça? (Plus de rires, Adamus rit)

ADAMUS: Ma chère. Vous êtes celle qui s’est déguisée. Vous êtes celle qui joue le rôle. Vous êtes la seule ...

LINDA: Je suis désolée. J’arrive tellement à m’identifier à un Vulcain.

ADAMUS: ... à pouvoir être le faire valoir de ma maîtrise.

LINDA: Désolée, désolée.

ADAMUS: Donc, parfois vous vous sentez tellement apathique, que vous ne pourriez même pas rire d'une bonne blague sur le sexe, encore moins d’une blague sur Spock; d'autres fois, vous vous sentez tellement à vif, tellement à vif, je veux dire, que tout, le simple bruit d'une abeille à proximité, vous dérange, même un papillon tout près de vous. C’est simplement trop intense, les couleurs sont intenses et tout le reste.

Que se passe-t-il? Apathique un jour, hypersensible le jour d’après. Que se passe-t-il?

SHAUMBRA 4: La nouvelle énergie?

ADAMUS: Oui,  bien. (Rires) Oui et non. Tout est Nouvelle Énergie. Oui. Mais je vais vous expliquer dans un instant ce qui se passe. Je me prépare pour de parfaites explications. C’est toujours ce que je fais.

SHAUMBRA 4: Désolé de venir mettre la pagaille.

ADAMUS: Mon avenir arrive dans le présent. Ouais, c’est une intégration parfaite. Mais ces choses sont en train de se produire. Ouais. C’est bien. Et soyez à l'aise avec cela. N’essayez pas de donner un sens ou de trouver une logique à tout cela. N’essayez pas de le contrôler. Hein? Il y a beaucoup de personnes douées pour le contrôle ici, mais n’essayez pas de le contrôler. Bien. Merci.

Jusqu’à présent, appréciez-vous cette réunion?

SHAUMBRA 4: C’est mieux que de regarder en ligne.

ADAMUS: Ouais!

LINDA: Merci d'être là.

ADAMUS: Aimiez-vous ça de regarder en ligne ?

SHAUMBRA 4: ça allait.

ADAMUS: Ehh, c’était bien.

SHAUMBRA 4: Mais c’est mieux d’être ici. Mais bon, ça allait.

ADAMUS: Ehh, hein, c’était bien

LINDA: Merci d'être là.

ADAMUS: D'accord. Bien.

LINDA: Et merci de coopérer avec Adamus.

SHAUMBRA 4: Oui.

ADAMUS: Oui. Suivant. Ouais.

SAM: Alors, je ressens un ...

ADAMUS: (l'imitant et en comptant les mots) Alors, je ressens ...

SAM: Oh, d'accord. Combien de mots déjà ?

ADAMUS: Vous avez le compte. Merci.

SAM: J’ai fini? Ouaiiis! Très bien! (quelques rires) Je me libère de la conscience de masse et de sa perception de la vie.

ADAMUS: Oui.

SAM: Et de mes propres pièges internes et de l’identité liés à tout ça. Et je me permets d’être frustrée par rapport à ça et ça me va. 

ADAMUS: D’accord.

Qu'est-ce que vous avez dit? (Adamus glousse)

SAM: J’ai marmonné autant que ça? Je suis désolée.

ADAMUS: J’ai entendu wrah, wrah, et ce genre de ... je veux que vous alliez directement ici (au coeur). Allez à la maison, si vous voyez ce que je veux dire.

SAM: Vous le savez. Moi aussi. (Fais une légère pause) Lâcher prise sur les ...

ADAMUS: Oui, non.

SAM: ... idées préconçues quant à  la façon dont la vie est censée être vécue et simplement la vivre.

ADAMUS: Oui, elle semble un peu endormie.

SAM: J’étais endormie! J’étais très endormie.

ADAMUS: A présent, nous allons quelque part! (quelques rires)

SAM: Ouais, j’ai énormément dormi.

ADAMUS: Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? A présent, nous allons quelque part.

SAM: Ouais.

ADAMUS: Vous voyez, après que nous ayons traversé toutes ces choses en surface. Pourquoi étiez-vous endormie ? Que s’est-il passé ?

SAM: Eh bien, j’ai été inspirée et je suis entrée en contact avec des personnes qui me semblent engagées ou au moins intéressées par ce que j’ai à dire.

ADAMUS: Intéressées par votre sommeil?

SAM: Non, non, par ma vie éveillée.

ADAMUS: Ok.

SAM: D’accord.

ADAMUS: Parlons de votre sommeil.

SAM: Ok. Qu’est-ce que je fais pendant mon sommeil ?

ADAMUS: Ouais, ouais.

SAM: C’est …

LINDA: Pas vos affaires. (rire)

SAM: Mon sommeil est actif mais il n’a rien de spécial. C’est un peu un truc de Nouvelle Dimension.

ADAMUS: Ouais, Ouais. Mais que se passe-t-il ? Pourquoi dormez-vous autant ? Que se passe-t-il vraiment ?

SAM: Je me sens limitée. Pas stimulée.

ADAMUS: Puis-je vous donner mon point de vue ?

SAM: Eh bien allez-y – J’aimerais que vous le fassiez. (rire)

ADAMUS: Où allez-vous ?! (Adamus glousse)

Le sommeil. Il n’a pas vraiment d’importance à présent. Même les rêves vont être différents et parfois tout simplement ennuyeux. Souvent maintenant de vieux trucs surviennent dans vos rêves et souvent c’est simplement comme ... vous faites ces rêves encore et encore et encore et ils n’ont pas vraiment de sens. Et vous aimeriez bien faire un bon rêve érotique une fois de temps en temps, mais ce n’est tout simplement pas le cas. Le sommeil est si important pour vous tous en ce moment, quand il vous appelle, et vos rythmes de sommeil changent. Mais vous passez à travers des changements intenses. C’est une période qui demande à votre corps et à votre mental d’être calmes. C’est un peu une période de rénovation.

SAM: Ouais.

ADAMUS: Il s’agit de rénover la maison, comme on dit.

SAM: Oui.

ADAMUS: Oui, oui. Bien. Bien. Merci.

SAM: Mm hmm.

ADAMUS: Ok, encore un. Que s’est-il passé depuis le début de cette année?

LINDA: Oh mon dieu, elle a levé la main.

ADAMUS: Les ressentis et perspectives intérieurs. Oui.

Ladonna: Eh bien, j’ai des interrogations. Alors, je suis sur un chemin spirituel. Je le sais. Je ne vais même pas - nous n’allons pas énumérer les choses, alors ...

ADAMUS: D'accord.

Ladonna: D'accord, Je vais le faire…

ADAMUS: Je  vais les énumérer.

Ladonna: Pendant environ quatre ans, j’ai modifié ma vie. J’ai arrêté d'être chrétienne, la meilleure chose qui me soit jamais arrivée.

ADAMUS: Oh non! (Ils ricanent)

Ladonna: N’en parlez pas à mes parents!

ADAMUS: Puis-je vous poser une question? Comment peut-on cesser d'être chrétien?

Ladonna: Vous …

ADAMUS: Est-ce que vous signez simplement un papier - «Je ne suis plus chrétienne."

Ladonna: Eh bien, C’est compliqué.

ADAMUS: D’accord.

Ladonna: Je me suis encore accrochée à ça pendant 10 ou 15 ans après ... C’est un énorme challenge.

ADAMUS: Pourquoi?

Ladonna: Parce que c’est la façon dont nous avons grandi.

ADAMUS: Oui. Mais pour être chrétienne au départ, qu'est-ce que vous deviez faire, pour répondre aux critères ?

Ladonna: Croire au Christ et faire toutes les choses appropriées.

ADAMUS: Qu’est-ce que ça veut dire croire au Christ? Je veux dire, à quoi ... ça ressemble ?  qu’est-ce qu’il y a là-dedans en quoi on pourrait ne pas croire ?

Ladonna: Eh bien, je ne sais pas.

ADAMUS: Je veux dire, ok.

Ladonna: J’ai grandi comme ça et nous avons été profondément conditionnés. C’était difficile de tout abandonner. Donc, j’ai trouvé ce ...

ADAMUS: Oui, ça l’est, d’ailleurs.

Ladonna: Je suis sur ce chemin depuis quatre ans.

ADAMUS: Oui.

Ladonna: Et ...

ADAMUS: Est-ce un autre chemin chrétien ?

Ladonna: Non, je ne le pense pas. Mais je me sens comme ... (Adamus glousse) Bon, alors c’est ma question.

ADAMUS: Arrêtons-nous un peu ici !

Ladonna: C’est ma question.

ADAMUS: Nous allons y venir.

Ladonna: J’essaie si fort de trouver le divin en moi.

ADAMUS: Oui.

Ladonna: Et je suis dans une douleur chronique. (elle est au bord des larmes)

ADAMUS: Evidemment.

Ladonna: Et, je ne sais pas si… c’est comme… pourquoi est-ce que ça sort physiquement de cette façon? J’essaie tellement d'être ...

ADAMUS: Vous l'avez dit! Juste avant, vous avez dit que vous étiez dans une douleur chronique. «J’essaie si fort."

Ladonna: Pas d’être dans une douleur chronique. Mais j’essaie si fort de trouver le divin en moi.

ADAMUS: Mais vous essayez si fort de trouver votre divinité. Il ne s’agit pas d'essayer fort, très chère.

Ladonna: (maintenant en train de pleurer) Eh bien, pourquoi cela fait-il si mal ?

ADAMUS: Parce que vous essayez si fort, parce que vous transportez encore avec vous ce vieux Christ. Retirez le Christ et Jésus de leur croix.

Ladonna: Oui.

ADAMUS: Oui. Et vous-même. Ça fait mal d'être là-haut. Vraiment. J’ai essayé une fois.

Ladonna: Mais je ne comprends pas pourquoi cette douleur. J’essaie…, Vous auriez pu penser, il y a des années, quand je vivais dans cet esclavage de croyances ...

ADAMUS: Oui.

Ladonna: ... et ...

ADAMUS: Arrêtez-vous là.

Ladonna: D'accord.

ADAMUS: Parce que vous pensez que vous n’y vivez plus maintenant?

Ladonna: Je pensais que je n’étais plus ...

ADAMUS: Eh bien ...

Ladonna: Je n’ai tout simplement pas besoin de cette douleur.

ADAMUS: Certaines de ces choses ont des racines tellement profondes. Vous l'avez dit, et c’est ce que j’aime en vous, en vous tous. Vous le dites, mais vous ne le réalisez pas. C’est là, mais c’est absent. Jésus! (Rires)

Ladonna: Non, pas Jésus! (dit en riant et en essuyant ses larmes)

ADAMUS: Vous l'avez dit! C’est là, mais vous ne le voyez pas – « Je travaille si dur à trouver ma divinité » Pourquoi ?? On n’est pas dans une église chrétienne ici. (Elle rit) Ce n’est pas une synagogue. Ce n’est pas une mosquée. Nous n’essayons pas de suivre la voie difficile.

Ladonna: D'accord. Mais maintenant que je sais ce que je veux ...

ADAMUS: Vous n’avez pas entendu ce que j’ai dit. Et c’est si signifiant de ... oh! (Elle rit) Nous ... ohhhh! (Rires) Nous n’y travaillons pas. Nous ne travaillons pas à trouver notre divinité, notre illumination, notre réalisation, parce que tout cela, c’est naturel. C’est seulement quand on le considère anti-naturel qu’on y travaille. Quand on ne s’en considère pas digne, on y travaille. Lorsque vous ... (il maintient ses mains sur la tête de quelqu'un; LaDonna rit; Adamus embrasse la tête de la personne) Lorsque vous arrêtez de travailler sur toutes ces choses, y compris à lutter contre vos propres croyances ...

Ladonna: D'accord.

ADAMUS: ... y compris à lutter contre vous-même et la chrétienté et tout le reste; lorsque vous permettez tout simplement, très chère, quand vous permettez juste, ça génère comme une tempête, une tempête d’ouragan torrentielle vous tombe dessus au début, mais c’est pour vous nettoyer. C'est tout. Et vous ne travaillez pas contre la tempête et vous n’essayez pas de comprendre la tempête - "Pourquoi Jésus m’a-t-il envoyé cette tempête?" - Et tout le reste. Vous permettez juste, parce que cette chose de la réalisation est tout à fait naturelle. Votre corps - votre corps veut y accéder, mais dans un sens, il y a encore une résistance à cause des vieux implants qui disent: «Non, le corps, ce n’est pas ... ooh, hou, le corps fait de mauvaises choses." Je veux dire, il fornique et il fait ça aussi, oui. Ouais. Il fait toutes ces choses.

Donc, vous avez toutes ces choses et vous essayez de les comprendre. Vous essayez de créer une logique entre elles. Mais vous n’en avez pas besoin.

Donc, si vous le choisissez, à ce moment même, vous pouvez mettre un terme à toutes les tentatives, tous les efforts, tous les "Qu’est-ce que je fais mal?" Rien du tout.

Qu’est-ce qui est là et qui est absent en même temps? Ce qui est là, c’est l'état naturel de la réalisation, de l’humain divin. Ce qui manque, c’est que vous le permettiez.

Ladonna: D'accord.

ADAMUS: Arrêtez d’y penser. (Elle rit) Non, je suis sérieux.

Ladonna: D'accord.

ADAMUS: Ce n’est plus un chemin à parcourir. Vous avez cheminé jusqu'à un certain point. Il n’y a plus de chemin.

Ladonna: D'accord.

ADAMUS: Plus aucun chemin. C’est juste vous qui recevez ...

Ladonna: Je fais le J’Existe chaque matin.

ADAMUS: Ouais, hein. Maintenant, je vais vous embêter / vous défier avec ça.

Ladonna: Vous nous avez dit de le faire!

ADAMUS: Poursuivez et restez debout. Mais je vous entends faire le J’Existe, et puis vous ajoutez des choses à cela, très chère. (Elle suffoque) Je vous entends.

Ladonna: Oh mon dieu!

ADAMUS: Oh mon dieu, Jésus! (quelques rires) Il s’agit de ... le J’Existe, c’est juste ça. J’existe. La ferme ! Pas plus - "Yahng, yahng, yahng! J’existe pour être abondante. J’existe parce que ... " C’est tout. (Elle suffoque encore). J’Existe.

Ladonna: Oh wow!

ADAMUS: C’est tout. J’Existe. Et jusqu’à tant que vous ressentiez cela et que vous ayez un orgasme absolu, à la fois physique, mental et spirituel, vous n’avez pas encore compris. Vous anonnez "J’Existe, parce qu’aujourd'hui il fait soleil. J’Existe, parce que ... " La ferme! (Elle rit) Vous savez exactement ce que je veux dire.

Ladonna: Ouais. Ouais. Je le fais chaque jour.

ADAMUS: Absolument, et la liste est longue! «J’Existe, parce que j’étais chrétienne dans le temps, et je le suis toujours." Quoi ?! «J’Existe..." Agh! Je vous écoute parfois. Et je hurle. (Elle rit) Pas comme ça! J’Existe. Ok?

Ladonna: D'accord.

ADAMUS: D'accord.

Ladonna: Wow.

ADAMUS: J’Existe. Et à moins que vous soyez absolument – que vous ressentiez que ça secoue dans tout votre corps et que ça fait trembler votre mental et que vous ressentiez comme un orgasme sensuel absolu, arrêtez toutes les autres conneries. C’est :"J’Existe. J’Existe." C’est trop simple pour vous peut-être. Qu’est-ce qui est là et qu’est-ce qui manque? J’Existe. C’est là, mais ça vous manque parce que vous devez y rajouter toutes ces autres choses.

J’Existe. Et alors, ça devient un ressenti.

Ce n’est pas logique. Cela semble ne pas faire sens dans ce monde de folie. Mais une fois que vous y êtes, une fois que vous le ressentez, c’est tout. Vous êtes à la maison.

Un de plus.

Je vous regarde, au passage. Je ne - je ne viole pas votre intimité, je ne vous regarde pas pendant vos moments privés... non, mais, vous savez, juste ... et bien, si, quelques-uns quand même. (Rires) Je n’ai aucun moyen de les enregistrer, mais j’y travaille. (Plus de rires)

SART: Seulement d’un œil!

ADAMUS: Orgasme à la Spock. (Adamus reprend la pose, avec un regard stupide sur le visage; rires) Bon. Oui.

CRISTIAN: J’ai passé deux mois difficiles.

ADAMUS: Deux mois difficiles.

CRISTIAN: Oui.

ADAMUS: Pourquoi?

CRISTIAN: Avec mon corps, la toux.

ADAMUS: Oui.

CRISTIAN: Le nez. Même les oreilles, les yeux.

ADAMUS: Oui.

CRISTIAN: L'estomac.

ADAMUS: Arrêtons-nous là. (Rires)

CRISTIAN: Quelque chose de différent.

ADAMUS: Oui.

CRISTIAN: Comme si je ne pouvais pas reconnaître les réactions de mon corps comme avant.

ADAMUS: Oui. Je veux savoir ce qu’il se passe.

CRISTIAN: Et aussi ...

ADAMUS: Poursuivez. Ne me laissez pas vous interrompre.

CRISTIAN: Et aussi ...

ADAMUS: Mais je veux savoir ce qui... (rires) Oui.

CRISTIAN: Dans mon mental aussi, il y avait une très grande tension, et aussi j’avais tendance dans mes relations avec les autres à les rejeter, pour ... (il soupire)

ADAMUS: M’autorisez-vous à aller droit au but SVP ?

CRISTIAN: Oui.

ADAMUS: Oui, merci. Vous auriez pu dire non, mais ... (Adamus glousse) Avez-vous eu des peurs qui vous ont submergées, en particulier ces quelques derniers mois, de profondes, très profondes peurs, inexplicables ? Ohh, pas comme la peur de l'obscurité, le fait d’être effrayé dans le noir et ce genre de choses, mais des peurs que vous n’aviez jamais ressenties aussi intenses avant.

CRISTIAN: Oui. C'est vrai.

ADAMUS: Quelqu'un d'autre? (Certains membres de l’assistance confirment) D’où cela provient-il?

Je veux dire, il y a des peurs quotidiennes. Il y a cette chose, vous savez, vous vous inquiétez à propos de l'argent. Vous vous inquiétez pour votre santé. Vous vous inquiétez pour votre ex-femme et ex-mari, ces types de choses, ou de ce que vous allez faire à votre ex-femme et ex-mari. (Quelques rires) Mais je vous parle d'une peur qui est très différente, si personnelle et si submergeante, et vous vous demandez d’où cela provient-il? Et vous avez alors presque tendance à vous fermer totalement, parce que vous pouviez gérer l’ancien, les peurs quotidiennes de merde. Vous savez, tous les trucs qui remontent régulièrement et même vos phobies - Je ne regarde personne en particulier - mais même vos phobies et vos peurs. Vous savez, vous vous rendez compte que c’était en quelque sorte gérable. Mais là, il y a une peur qui arrive et qui est si singulière que vous ne savez même pas comment la prendre. Je faisais juste une supposition.

CRISTIAN: C’était comme si toutes les phobies et toutes les peurs s’étaient réunies et que le mental essayait de comprendre à quoi c’était dû, mais pas moyen.

ADAMUS: Oui. Bien. Puis-je vous prendre dans les bras ?

CRISTIAN: Oui.

ADAMUS: Oh. (Ils s’enlacent tendrement) Ma vieille terre me manque. Mm. (Christian vient de Roumanie)

CRISTIAN: Merci.

ADAMUS: La Transylvanie.

CRISTIAN: Merci.

ADAMUS: Mmm. Ohhh. (quelques rires) C’est un endroit extraordinaire. Et une expérience incroyable. Que de traverser nombre de ses propres transformations. Merci d'être là. Merci. Vous allez rapporter de cela quelque chose de très, très spécial.

Alors, mes amis, pourquoi est-ce que je pose ces questions, au grand dam de certains? (Adamus glousse) Parce que je veux que vous ressentiez, je veux que vous entendiez que ce que vous pensiez qui était seulement vôtre, d'autres le traversent aussi. Cela devrait vous dire quelque chose; que nous allions à travers ce processus de changement, de métamorphose. Nous allons vers quelque chose, mais qui va vraiment vous éprouver. Ça n'a pas de sens. Ce n’est pas logique. Vous voudrez le combattre et le contrôler. Vous voudrez y travailler, mais vous ne pouvez pas. Vous ne devriez pas avoir à y travailler.

Tout d'abord, vous, l'humain, ne devriez pas prendre la responsabilité de tout cela. C’est un peu comme ... Vous ne l’avez pas créé! Non, vraiment pas, et d'une manière très intéressante, vous n’avez pas besoin d’y travailler. C’est si naturel. C’est juste là. Et je vous vois, vous tous, y travailler de loin. Il suffit de prendre une profonde respiration. Nous allons avoir une belle séance de merabh sans travail dans un moment, mais il suffit de prendre une profonde respiration.

 

La Réalisation

Vous savez, l'illumination - Je préfère désormais le mot «réalisation» - c’est un puzzle à une seule pièce. C’est un puzzle à une seule pièce, mais pourtant l'adepte qui travaille sur son cheminement a l’impresssion que c’est un labyrinthe très éprouvant.

Un peu comme un labyrinthe qu'on devrait traverser et comme si on était testé par le Grand Esprit et soumis à toutes les rigueurs pour voir si l’on vaut quelque chose. Et pendant tout ce temps, vous vous demandez en vous-même – c'est-à-dire à cet esprit que vous avez mis là - et vous vous dites, "Suis-je digne ? » et « Quel test dois-je passer?" C’est juste vous (qui pensez tout cela, qui pensez qu’il y a un test à passer).

Nous pouvons couper à travers tout cela à présent. A travers beaucoup de tout cela, le test de soi-même et ce «Suis-je assez digne?» Et ce «Suis-je assez fort?» Et ce «Suis-je assez lumineux?" Nous pouvons simplement couper à travers beaucoup de cela, tout simplement en disant : coupons à travers tout ceci. (quelques rires). En plaçant simplement notre conscience au-delà de cela, au-delà du vieux Jésus chrétien ou quoi que ce soit d’autre qu’il vous soit arrivé d'avoir sur votre chemin. Au-delà d'avoir à vous prouver quelque chose à vous-même. Terminons-en avec cela.

Vous n'y arriverez jamais. Vous n’y arriverez absolument jamais [avec la voie que vous suiviez précédemment]. Et j’en connais beaucoup, voire tous parmi les Maîtres Ascensionnés qui, comme moi, ont essayé. Ils ont essayé de donner un sens à cela. Ils ont essayé de le découvrir. Ils ont essayé de se tester encore et encore et encore jusqu'à ce qu'ils s’effondrent d'épuisement ou de mort ou des deux et qu’ils réalisent "Tout ce que j’avais à faire, c’était de mettre ma conscience sur la réalisation, et alors elle était là." Alors elle était là, et ils sortaient de ce cheminement, et ils lui permettaient d’arriver. Oui, des choses vont changer dans votre vie. Votre corps va vous faire mal.

J’irais même jusqu'à dire que la période pendant laquelle le corps va faire le plus mal c’est à peu près maintenant. Nous entrons juste dans le cycle astrologique du "votre corps va vous faire endurer l'enfer", et cela va durer probablement jusqu'à la mi voire la fin de l'été. Ce n’est pas si dur.

SART: Ouais! (Adamus glousse)

ADAMUS: Oh, c’est du gâteau.

Et c’est approprié que votre corps vous fasse mal, parce qu’il est en train de changer. Certains d'entre vous ont été très, très malades parce que votre corps est en train de changer. Il ne vous trahit pas. Il n’essaie pas de vous dire quoi que ce soit.

Il vous fait plus souffrir quand vous commencez à vous inquiéter : "Qu’est-ce que je fais mal? Quelle leçon y a-t-il à tirer là ? " Et vous commencez à ramener à la surface beaucoup de vieilles croyances et de vieilles merdes. Votre corps va encore passer par la même transformation de base, il y a juste plus de résistance en elle, et c’est ce que vous ressentez. Pourquoi toute cette douleur? A cause de toutes les résistances. C’est assez facile (de le comprendre).

Alors, vous prenez une profonde respiration et vous réalisez juste, ah, ce corps physique, il est en quelque sorte la source de nombreux mauvais sentiments, de mauvaises pensées – vous le considérez même comme une sorte de mauvais aspect et vous avez en fait une relation étrange avec lui - oui, bien sûr, ça va apporter une certaine douleur d’aller vers l'intégration, parce que le corps essaiera de faire tomber (se débarrasser de) tous les trucs qui avaient été posés sur lui.

Alors votre corps va se retrouver dans la douleur. Votre mental sera en plein chaos. Toutes ces choses vont arriver, et c’est bien. C’est en fait plutôt cool. Je vais vous le démontrer dans une minute.

Mais cette chose à propos de l'illumination, c’est vraiment juste un puzzle à une pièce. Ce n’est pas difficile à comprendre, à moins que vous ne commenciez à essayer de le comprendre, de rendre cela logique, de lui donner un sens, de comprendre ce qu’est le chemin et d’y mettre tous ces autres trucs mentaux. Et je vous vois tous le faire presque tous les jours. C’est alors que vous prenez une profonde respiration, "Whoa." C’est un phénomène naturel, la réalisation. Il va se produire. Mais plus vous résisterez, plus vous essaierez de le comprendre et de faire toutes sortes de cérémonies étranges et d'autres choses à son propos, plus ça fera mal.

Là où allons-nous, Shaumbra, ce que nous allons faire au cours, disons, du reste de mon temps avec vous ... et arrêtez de prédire quand je vais partir. (Adamus glousse) C’est un grand drame Shaumbra - "Combien de temps Adamus va-t-il rester ici?" Eh bien, jusqu'à ce que nous en ayons environ cinq qui aient vraiment atteint la réalisation.

Alors, là où nous allons, ce que nous allons faire, c’est comme d'entrer dans notre prochaine phase, pourriez-vous dire. Trois choses. Et Spock ... pouvez-vous écrire, Spock? Ou vous suffit-il de penser pour que ça apparaisse à l'écran? Pouvez-vous ...

LINDA: C’est à vous de voir. (Adamus glousse)

ADAMUS: D'accord. Juste ...

LINDA: Cher Adamus, vous êtes celui qui nous dit de nous déguiser, de jouer des rôles, et ensuite vous jouez avec moi comme ça ?!

ADAMUS: Oui! Jouer la comédie. N'êtes-vous pas heureuse de toute cette attention (sur vous)? Tout ce jeu ...

LINDA: Voyons voir. Une mauvaise attention, c’est mieux que rien.

ADAMUS: Le jeu. L'aspect ludique. Et vous vous rendrez compte que le mois prochain, la moitié des gens ici viendront habillés sous les traits de quelqu’un. Non, ils vous admirent. "Ohhh, mon dieu ! Linda s’est déguisée sous les traits d’une personne décédée. Oh! N’est-ce pas génial! "

LINDA: Vous nous avez dit de nous déguiser !!

ADAMUS: Et nous aimons cela. Nous aimons cela, n’est-ce pas? (Applaudissements) Oui. Bien.

Le partenaire de Spock pendant ses relations sexuelles. (Adamus se tient complètement immobile et figé, sans expression)

LINDA: Quoi !! (Rires et grognements de l'auditoire; Adamus rit) Pas de repos pour les méchants.

ADAMUS: Bon. J’épate (j’amuse) même Cauldre aujourd'hui. Normalement, il est pris de panique.

Là où nous allons - Trois choses

Alors, là où nous allons, trois choses. Vous pouvez écrire cela ou vous pouvez le penser. Mettons-le sur le tableau ici, de sorte que ceux qui n’entendent pas mes mots puissent au moins voir les images. (Adamus glousse)

 

~ La Conscience

Alors, premièrement, la conscience. Ahh, vous allez vous rendre malades du mot conscience. Cauldre a même écrit un article sur la conscience. C’est un mot difficile, et, oui, il y a de meilleurs mots pour ça.

LINDA: Vous souhaitez que j’écrive cela sur le tableau ?

ADAMUS: Conscience. Pouvez-vous l’écrire correctement ?

LINDA: Oui, et vous?

ADAMUS: C’est un mot difficile à écrire, en particulier ...

LINDA: Non, pas du tout!

ADAMUS: ... quand quelqu'un parle et que vous essayez d'écrire et que vous essayez d’être logique et que je vous exaspère, et alors vous l’orthographiez mal. Vous oubliez l'autre "s."

LINDA: Je ne l’ai pas oublié. J’essayais de faire de la place pour cela. (Elle écrit "Conscienss") Ce n’est pas ça ! (Beaucoup de rires) Vous êtes si méchant. Méchant méchant méchant méchant méchant!

ADAMUS: Zzzzzzz! Aucune logique. Elle ne sait même pas écrire. Zzzz! (Plus de rires)

Alors, la conscience. Vous pouvez aller à la page suivante ou l’effacer ou faire ce que vous voulez.

La conscience va être quelque chose de très important. La conscience, c’est tout simplement la prise de conscience, la réalisation, mais à un niveau que vous n’auriez pas pu imaginer avant dans votre mental logique.

La conscience - la prise de conscience qui va dans tous les niveaux, toutes les dimensions. Pas seulement la prise de conscience des faits et des chiffres. C’est assez insignifiant. Pas seulement la prise de conscience qu'il y a une personne assise à côté de vous. C’est évident. Mais la conscience, la prise de conscience, dans laquelle nous irons dans quelques instants, de choses tellement plus riches et plus satisfaisantes.

Donc, la conscience, la prise de conscience. C’est le J’Existe. Et je sais que certains d'entre vous disent, "Oh oui, je comprends. J’Existe." Non, vous ne comprenez pas, sinon vous ne seriez pas en train de le redire. Vous seriez simplement radieux / rayonnant, charismatique.

LINDA: Logique.

ADAMUS: Oui. J’Existe, ce n’est pas un mantra à dire et redire et redire encore pour vous ennuyer. Vous vous ennuyez d'autres façons. Vous n’avez pas besoin de trouver une autre façon de vous ennuyer. (Adamus glousse) Il y a le sexe. (Adamus se met en position)

SART: Wow! (Quelques rires)

ADAMUS: Le sexe chez les Shaumbra. (Il reste là avec les yeux regardant en avant et en arrière comme s’il se demandait ce qui se passe; plus de rires)

LINDA: Ce n’est pas drôle! Ce n’est pas drôle! Vous êtes méchant! (Adamus rit)

ADAMUS: Vous devez vraiment rire de temps en temps. La chose la plus grandiose, vraiment la plus grandiose  à propos des humains sur cette planète, c’est leur capacité de rire, d'avoir de l'humour. Il y a un tel conflit, mais quelque part au fil du temps, les hommes ont transformé cela en humour, en rire ou en soap opera. C’est l'un des deux. Mais ce conflit, ce défi, il peut effectivement être assez amusant parfois. Lorsque vous pouvez rire de vous-même - ah! - Alors là c’est la maîtrise.

La conscience. La prise de conscience, mais sans penser à la prise de conscience. La prise de conscience, là où en réalité il n'y a presque pas de pensée active. La prise de conscience, qui fait qu'il n'y a plus de mots. Plus besoin de mots. Pas besoin de définition, de quoi que ce soit. C’est la conscience. Et alors le Maître apprend après cet état de réelle prise de conscience, alors il apprend comment le communiquer. Et nous allons y aller, de plus en plus, dans cette communication.

Maintenant, la communication est une chose intéressante, parce qu’alors que je parle ici et communique avec vous, vous entendez les mots, surtout si vous parlez anglais. Si vous ne le parlez pas, ce sera comme "ynah, ynah, ynah!" Mais la vraie communication qui passe ici, ah, la communication réelle est dans les yeux, oui, elle est dans les gestes. En réalité, la vraie communication provient d'une connexion très profonde. Tout le reste est une sorte de distraction. Vous pensez que vous entendez des mots ou que vous voyez quelque chose ou que vous ressentez le toucher ou quelque chose. C’est seulement une partie. La vraie communication se déroule à un niveau différent.

Et alors que je suis ici avec vous à faire ce travail si élégant de vous distraire, et ... au passage, il fait un peu froid ici. On gèle. (Le public est d'accord) On gèle. Vous voyez cette autre distraction? En réalité je m’en fiche, parce que je n’ai pas de corps, mais c’est une petite distraction. Oh! C’est si bon.

Alors, où en étais-je? (Quelqu'un dit «Communication») Ouais, communiquer. Vous ne vous souvenez pas, pas vrai ? Communiquer.

Je suis là à vous distraire et à vous distraire doublement. Je peux aller à environ cinq ou six couches de profondeur de distraction avec les humains avant qu'ils ne perdent conscience. (quelques rires) Ce qu’il se passe réellement en ce moment, c’est que vous communiquez avec vous.

Qu’est-ce qui est ici et qu’est-ce qu’il manque? C’est l'énigme Shaumbra. Oui. Ah, des tee-shirts, je peux les voir. Ainsi que certains d'entre vous le peuvent aussi. C’est vous en train de communiquer avec vous.

Je veux que vous soyez conscients. Je veux que vous preniez conscience de ... Je veux juste m’asseoir ici et ... (il s’assied sur la chaise d’Einat et fait semblant de jouer avec ses instruments de musique)

LINDA: Ohh!

ADAMUS: Je veux que vous soyez conscients de la façon dont vous communiquez avec vous pendant que je vous distrais. C’est le reel intérêt de nos reunions, quand nous nous rassemblons comme cela. Vous analysez ce que je dis ou vous pensez à ce que je dis, mais vous êtes vraiment assoupis. Savez-vous que peut-être six pour cent seulement de votre capacité d'attention est ici et le reste est dans une sorte de chaos ? Et je dis une sorte de chaos, parce que ... non, je ne veux pas dire cela dans un sens négatif, mais c’est assez drôle.

C’est une sorte de egh, egh, une sorte de chose bleghh, et vous essayez de comprendre tous ces trucs. Et oh, et alors vous avez des flashbacks de quelque chose et vous pensez à ce que vous n’avez pas fait et à ce que vous allez faire. L'ensemble de ce mécanisme, ce genre d'engin étrange à la Rube Goldberg [Une machine de Rube Goldberg est une machine qui réalise une tâche simple d’une manière délibérément complexe, le plus souvent à l’aide d’une réaction en chaine. Elle tire son nom du dessinateur américain Rube Goldberg (1883-1970)] qui se passe à l'intérieur avec ... et donc environ 94 pour cent du temps où nous avons été ensemble ici aujourd'hui, vous avez eu tous ces trucs qui se sont produits ici. Chacun une fois de temps en temps, "Oh ouais, Adamus parle. Oh! Il va refaire son truc de sexe. Très bien. Bon. "(Adamus glousse)

LINDA: Vraiment ?!

ADAMUS: Je ne le referai plus. (Adamus glousse) ... Que… Pourriez-vous me dire, comment un - Comment appelez-vous ces êtres originaires de votre planète?

LINDA: Des Vulcains.

ADAMUS: Des Vulcains. Venez ici. (Quelqu'un dit "Oh non") Oh yeah. (Quelqu'un dit «Tous les sept ans») Tous les sept ans, qu’ils en aient besoin ou ... ouais. Alors, comment un Vulcan fait-il quand il a des relations sexuelles? (Il s’assoit sur sa chaise d'audience)

LINDA: Je ne sais plus. Je suis tellement évoluée. Vous, vous faites encore l’amour comme un singe. (rires)

ADAMUS: En tant qu'humaine ou en tant que Vulcaine ?

LINDA: Je suis moitié Vulcaine, moitié humaine.

ADAMUS: Ok, montrez-nous alors comment un Vulcain et un humain ont des rapports sexuels.

LINDA: Geoff ne pourrait pas supporter cela. (Rires et quelques applaudissements)

ADAMUS: C’est drôle. Drôle. Geoff n’est pas ici en ce moment. (Rires)

LINDA: Oh, mais il pourrait en entendre parler.

ADAMUS: Je pourrais lui faire oublier ... (plus de rires)

LINDA: Vous ne pouvez pas gérer cela en plus.

ADAMUS: ... pendant des centaines d'années. Ouais.

LINDA: Vous ne pouvez pas gérer cela en plus.

ADAMUS: Oui. (Plus de rires) Que diriez-vous de ceci. (Adamus met ses mains sur ses épaules; elle résiste) Non, non, non. Venez ici. (Rires) Nous aurons un coup de côté. Ouais. C’est la façon dont ils ont des rapports sexuels. (Rires alors qu’il joue la comédie) Que diriez-vous simplement de nnnnnhhh! (se tenant debout très près, face à elle) Ahh! Ahh!

LINDA: Oh, c’est une bonne raison d'être, ouais.

ADAMUS: Elle ne sourit même pas après celui-là. (Plus de rires) Pas même un "Ahhhh!" C’était comme si elle avait juste dit : "Cela n'avait aucun sens." (dit tel un robot, avec plus de rires) Nous essaierons à nouveau plus tard.

Bien. La conscience. Oui. Où est ce mot sur le tableau? Je veux qu’on le distingue.

LINDA: Oh, oh. Attendez, attendez.

ADAMUS: La conscience. C’est là où nous allons. La conscience. La prise de conscience. J’Existe. Ce n’est pas juste une autre discipline. Ce n’est pas une autre pratique. C’est tout.

La conscience est tout. Je l’ai dit à des groupes récemment, ce n’est pas l'univers là-bas avec un petit point de ... ce n’est pas comme ... (rires, alors que Linda a du mal à écrire le mot correctement) Je ne veux pas attirer l'attention sur son écriture, mais je vais faire comme si cet écran était l'univers. Faire comme si cet écran était l'univers, l'univers physique. Pas comme s’il y avait un petit point de conscience là-dedans. (Linda écrit enfin «Conscience»; l’assistance dit "Yay!" et applaudit) Ce n’est pas comme s’il y avait un petit point de conscience à l'intérieur - faites un petit point minuscule là, juste un petit, oui – à l’intérieur d’un grand univers. Mais c’est la façon dont les gens, vous, la plupart des autres, plus tellement vous en fait, mais c’est la façon dont les gens vivent.

Ils pourraient dire quelque chose comme «Me voici dans ce grand univers», et ils ne l’appellent même pas conscience, mais «Me voici. Dans ce grand univers. Je suis juste un petit point " Vous rendez-vous compte que c’est la base de la croyance – c’est une croyance plus grande que celle de Jésus – celle de dire "Eh bien, je suis juste cette petite chose qui se passe à l’intérieur d’une très grande chose, et je ne sais pas où je vais avec cela, mais nous verrons bien où la chose veut m’emmener." C’est un peu la conscience des gens.

Avez-vous plus chaud maintenant? (l’assistance dit «Oui») Avez-vous trop chaud? (l’assistance dit «Non»)

LINDA: Pas encore.

ADAMUS: Oui. Bon.

Laissons cela de côté. La conscience est tout et dans ce tout de la conscience, il y a un petit, minuscule, minuscule, minuscule endroit appelé l'univers. Ouais. Et cette grande conscience - je ne parle pas de vous et des milliards d'autres personnes et des milliards d'extra-terrestres et des quelques Vulcains et de tout le reste. Je parle de vous. Vous êtes tout l'écran et à l'intérieur de cet écran, il y a un petit peu de l'univers, mais beaucoup d'autres choses.

Ce qui est ici et ce qui manque aussi – c’est la conscience. La conscience. Et malheureusement, ou peut-être heureusement, mais malheureusement vous ne pouvez pas penser votre chemin vers la conscience. Savez-vous cela? Eh bien, non, vous ne le savez pas, parce que vous essayez de le faire. Vous ne pouvez pas penser votre chemin vers la conscience. Cela ne peut qu’être vécu.

Alors, nous allons nous diriger vers cela, et nous allons être, comme Cauldre est arrivé avec un de ses trucs marketing, ça va s’appeler la Conscience Appliquée. Nous n’allons pas trop parler de conscience, parce que sinon ça va devenir mental. Nous appliquerons la conscience. (Quelqu'un dit «Merci») Ouais, je vous remercie.

 

Mais en faisant cela, vous allez passer par de nombreux défis. Vous allez essayer de penser comment passer à travers. Vous allez essayer de rendre ça logique. J’essaierai de lutter contre vous, en vous mettant au sol, et j’essaierai de vous sortir de votre mental et de vous faire aller en vous-même. En vous-même.

Conscience appliquée, parce que là où la conscience est appliquée, là vient la vie.

Maintenant, je veux que vous ressentiez - vous allez penser un petit peu, mais je veux que vous ressentiez - où est votre conscience? La conscience appliquée, qui crée la réalité. Où est-elle? Pas dans vos pensées. Il y a une énorme différence entre les pensées et la conscience. C’est pourquoi j’ai commencé en vous demandant aujourd'hui quel ont été votre ressenti ou votre cheminement intérieurs de ces deux derniers mois? Et beaucoup d'entre vous ont commencé avec vos pensées. Qu'avez-vous ressenti? Avez-vous ressenti l'emprise d’une peur profonde? J'espère bien. Non, je l'espère vraiment, car une fois que vous commencez à permettre cela, cela signifie que vous êtes en train de vous ouvrir. Ouais. C’est effrayant. Mais ensuite c’est extraordinaire, parce que, oh, cette peur, cette obscurité submergeante, on ressent ça comme un gros aimant, un aimant d’obscurité qui vous attire à lui.

Tout d'abord, vous réalisez "je suis vivant!" parce que vous ressentez cela si intensément. Et ensuite, quelque chose d'incroyable se produit quand vous arrivez à ce point. «Je vais juste le permettre, parce que tout cela est à moi. Tout est à moi. "En d'autres termes, il n'y a pas de croquemitaine, de démons, de diables, de Satan ou toute autre chose.

Pouvez-vous vous permettre vous-même ? Pouvez-vous être dans un tel état de grâce que vous pouvez dire, «Je m’en fiche. Cet aimant de peur peut bien me tirer à lui, parce que tout provient de moi. "Ca fait tout simplement partie du jeu, ça fait  partie de l'expérience.

Nous allons entrer dans la conscience d’une façon très appliquée,  mais très non-mentale. Là où vous placez votre conscience, là est votre réalité. Et je ne parle pas de choses triviales comme de vous rajeunir de cinq ans ou de perdre 5 kilos ou ce genre de choses. C’est un jeu puéril. C’est en partie de la distraction délibérée. En partie de la distraction non-intentionnelle. C’est un jeu puéril, comme l'alchimie, l'ancienne  conception de l'alchimie où «je vais transformer la pierre en or." Je suis si heureux que nous ayons appris ce truc il y a longtemps, c’est une façon de se débarrasser de ceux qui ne s’intéressent pas vraiment à la réalisation. Ce qui les intéresse, c’est  simplement de jouer le jeu humain et c’est tout, d’une façon plutôt tortueuse. Donc, nous nous débarrassons d'eux avec ces distractions.

Nous allons vers la Conscience Appliquée, vers des mondes entièrement nouveaux.

Deuxièmement, et c’est très important, et peut-être aurez-vous besoin d’un peu d'aide pour écrire cela. (Linda se moque) Peut-être sur une nouvelle page.

LINDA: J’y travaille. J’y travaille.

ADAMUS: N’y travaillez pas. Juste whooosh!

LINDA: Ca continue à faire cette chose bizarre.

ADAMUS: Whoooosh!

LINDA: (chuchotant) Je viens. Je viens (elle va à toute vitesse vers John Kuderka pour avoir de l'aide technique.)

ADAMUS: Lui aussi. Si logique. Un Vulcain va aider l'autre Vulcain. (Rires et l’assistance dit «Ohhh!»)

Très bien, je vais vous révéler quelque chose. Je vais vous révéler quelque chose qui n’a jamais été dit et qui est très profondément confidentiel. Ils se sont connus l’un et l’autre sur ce que vous appelez une autre planète, un autre endroit, un endroit extraterrestre; ils étaient bons copains, bons amis. Ils sont tous deux relativement nouveaux ici sur cette planète et encore en train d’essayer de la comprendre en quelque sorte. Donc, il y a un lien entre les deux, une sorte de lien à la Spock ou de lien qui fout la frousse (jeu de mot entre Spock et spook). (Adamus rit) Ai-je raison ou pas? (Quelqu'un répond) «Merci», dit sa femme. (En référence à la femme de John; rires) Oui! (Adamus rit) Et nous allons baisser un peu la température. Bien. Nous allons jouer avec la température aujourd'hui.

 

~ Et

Ok, avez-vous dû lui demander comment écrire le mot suivant? (Quelqu'un dit «Nous ne le connaissons même pas") Oh, nous ne connaissons pas le mot suivant. Le mot suivant est très important. Nous en avons parlé dans Keahak, et il va même devenir une partie de plus en plus importante de votre vocabulaire et il vous permettra d'avoir la richesse et la joie dans la vie. "Et." E-T.

LINDA: Pff!

ADAMUS: Et. (Adamus rit) Cela s’écrit ave un E et un T. (Linda l’écrit sur le tableau) "Et" va être très important dans ce que nous faisons, parce que vous allez réaliser que votre corps peut être dans la douleur et ne pas l’être. Vous pouvez avoir d'autres expériences extraordinaires. Vous n'êtes plus singuliers (d’une seule pièce). Vous pouvez être logique et absolument sensuel. Vous pouvez être en proie à cette peur magnétique et assis à côté d'un lac en train de regarder les papillons, de chanter des chansons et d’apprécier une bouteille de vin.

A présent, les humains sont ... est-ce que vous vous ennuyez?

LINDA: A peine.

ADAMUS: Bon, bon. (Adamus rit)               Les humains ...

LINDA: Peut-être agacée?

ADAMUS: Oui. Les humains, et vous savez ceci à propos des humains. Les humains sont singuliers. Etes-vous agacée et quoi d'autre? Charmée. Je le vois. Je le vois tout à fait. Oui. Agacée et  tellement amoureuse de Spock. (Adamus rit) "Et." Oh! C’est tellement simple. Mais si vous sortiez et essayiez  de l'expliquer aux gens, ils se contenteraient de vous regarder. Mais vous allez vivre le "et" de la vie, ce qui signifie que vous pourrez passer une mauvaise journée et en même temps une bonne journée.

A présent, ça n’a plus de sens. Ça n’est plus logique.

LINDA: En fait, ça l’est.

ADAMUS: Ça l’est! (Adamus rit) Ce n’est pas logique, mais c’est tout à fait naturel. Est-ce que ça n’est pas drôle?

Vous savez, les humains entrent dans cette chose très singulière, et ils se retrouvent de plus en plus coincés et de plus en plus coincés. En fait, ils oeuvrent à être plus configurés. Les humains font en sorte d’être plus configurés dans leur mental et dans leur corps, dans leurs actions et leurs pensées. Ohhh! C’est épuisant, parce que vous essayez de contrôler vos pensées, votre corps, et tout ce qui concerne votre vie. Vous savez exactement de quoi je veux parler. Vous essayez de tout contrôler. Vous devenez configurés. C’est un joli mot pour dire hypnotisés, contrôlés. Vous vous contrôlez vous-mêmes. Peu à peu, vous calculez tellement tout, que vous extrayez la vie de la vie elle-même.

Pire que cela, vous sortez la conscience de la conscience. Qu’est-ce qui est là et qu’est-ce qui manque en même temps? La conscience. La vie elle-même. C’est ici. Tout est là. Nous n’allons nulle part. Nulle part. Nous sommes en train de réaliser que c’est ici et que ce n’est pas ici, et c’est ce que le Maître sait. Ah ha, ha!

Le Maître n'a pas tout d’un coup une réalisation qui met un terme à sa propre stupidité, à son innocence, à sa vulnérabilité. Il n’a pas soudain cette réalisation qui lui donne toute l'intelligence du  monde. Non. Non. Il devient «et». L'intelligence et la stupidité. Il est vulnérable et il est si ouvert. "Et".

Maintenant, généralement un humain pense de façon très, très linéaire. Il met  un peu de sel et de poivre, un peu de dualité dans sa linéarité, dans sa concentration, juste assez pour l'empêcher d'être si mortellement ennuyeuse. Donc, il y met un peu de dualité - un peu de lumière, un peu d’obscurité, un peu de plaisir, un peu de douleur, un peu de bien, un peu de mal.

Alors, le niveau de conscience suivant après celui de la singularité, c’est simplement un peu de cette dualité. L’humain ne va pas au-delà. Il n'y a rien au-delà de la dualité. La plupart des gens n’imaginent rien au-delà du noir et du blanc, du haut et du bas. C'est ainsi.

Vous rendez-vous compte que ce sont probablement les limites externes de la conscience?

LINDA: Ohhh!

ADAMUS: Les limites externes! Oh non! (Rires)

LINDA: Ohh! wow!

ADAMUS: Ce sont en quelque sorte les limites externes de la conscience, mais nous allons dans la Zone Crépusculaire (Twilight Zone).

LINDA: Ohhh!

ADAMUS: j’ai fait ça (cette allusion filmique) pour elle.

LINDA: Oh, vous chantez ma chanson. Vous voulez faire l’amour avec moi? (beaucoup de rires)

ADAMUS: Maintenant, la plupart des humains ... ouais. (il fait à nouveau une démonstration des relations sexuelles chez les Vulcains, mais avec seulement un demi-sourire crispé; plus de rires) Oh! (Adamus rit) Alors ...

LINDA: Aucune pudeur.

ADAMUS: Pouvez-vous imaginer ou ressentir pendant un instant pas uniquement la singularité et pas uniquement la dualité, mais en fait, et, et, et, et.

«Qu’est-ce qu’il y a au-delà de la dualité?" «Qu’est-ce qu’il y a au-delà de l’obscurité et de la lumière?"

Mes chers amis, il y a des mondes. Il y a des mondes au-delà. La dualité est simplement un peu comme le code de programmation de base de cette réalité. Mais il y a d'autres réalités qui n’ont pas besoin de code, qui n’ont pas besoin de programmation.

Ce qui est beau, c’est que ça peut être vécu ici et que vous pouvez être singulier en même temps.

Imaginez un instant tous ces attributs. "Et" - l'extraordinaire capacité à être innocent, naïf, quasiment stupide et à tout savoir. C’est extraordinaire. Extraordinaire. C’est là que nous allons - «et».

Donc, nous n’allons pas vraiment vers l'illumination. Ce serait très singulier. Non, il s’agit de «et». Et. Vous pouvez être cet humain et un Maître absolu.

C’est beau parce que vous réalisez soudain que votre conception de vous-même (le rôle que vous jouez) n’est plus limitée à, eh bien, votre conception de vous-même (le rôle que vous jouez). C’est le «et».

Maintenant, ça va être inconfortable au début. Et certains d'entre vous dans le Keahak en ont eu un aperçu. Ça va être un peu inconfortable au début, parce que le mental n’y est pas habitué. Le mental dit, "Suis ce chemin. Fais cette chose »ou« Va dormir "Mais il n’est  pas habitué au « multi ». Il n’a pas l’habitude du «et».

Alors, que faites-vous quand vous êtes mal à l'aise? "Oh oui, et je suis mal à l'aise et je me réalise. Et bon sang, c’est vraiment dur pour mon corps et ça ne l’est pas vraiment. Heh. Et je n’ai pas de corps et j’ai un corps de lumière ".

Maintenant, on pourrait dire que c’est en quelque sorte schizophrénique. (Rires) En passant, ne dites rien à votre thérapeute à ce sujet. (Plus de rires) Pas un mot. C’est juste entre nous.

Ça semble un peu fragmenté, mais ça ne l’est pas. Ça ne l’est pas du tout. Soudain, vous réalisez qu’il y avait une bonne raison, au départ, d’être en mesure de créer des aspects - pas de les chasser au loin, mais de les créer - et vous pouvez commencer à vivre dans cette belle combinaison, dans la multidimensionnalité, avec les aspects, et la façon logique d'être. Vous n’êtes plus limités à uniquement cela. Je veux dire, ce n’est pas que ce soit mal, vous savez, et j’aime bien votre chemise, et c’est un multi-vous. Un multi-vous.

Maintenant, cela soulève une question très intéressante. Vous allez dire: «Eh bien, où est la vérité? Où est la réalité? "Et il n'y a pas de vérité. Il n'y en a pas. Arrêtez de rechercher la vérité. Ça ne marche pas. Il n'y a pas de sens à la vie. Désolé. Il n'y a pas de vérité, parce que tout devient la vérité.

Il n'y a pas une vérité unique au cœur de l'univers, cachée quelque part. Il n’y en a pas. La vérité est que tout est vérité.

Maintenant, si vous voulez vraiment dire, "Mais où puis-je trouver ma base, mon équilibre? C’est tellement chaotique, je dois trouver cet endroit confortable de temps à autre. « J’Existe ». C'est tout. C'est tout. Et le reste est "et".

Nous allons faire l’expérience de "et". Vous allez être tout à fait mal à l’aise, et vous serez probablement un peu en colère contre moi, comme cela arrive de temps en temps, parce que vous allez dire, "je ne savais pas que ça allait être aussi dingue. "Je vais vous dire tout de suite. Ça va être un peu dingue et amusant et si différent de bien des façons. Et vous pourrez continuer à avoir l’air d’être une personne ordinaire au supermarché et personne ne vous embêtera. On ne vous verra probablement même pas.

Vous réaliserez que vous pouvez simplement être un humain, vous pouvez juste continuer à avoir du plaisir à jouer le rôle d’un humain et en même temps vous vous promènerez dans le rayon épicerie et les fruits et légumes vous parleront. Oh, c’est déjà le cas. C’est un problème différent. (Quelques rires) Et vous marcherez dans l'épicerie et il se peut que vous ayez faim. Vous serez ... J’ai vu quelques-uns d'entre vous manger au rayon épicerie, et je ne parle pas de vos échantillons, je parle de ceux qui prennent de la nourriture et la mangent. Mais vous pourrez vous promener au rayon épicerie – je l’ai vu - et vous pourrez simplement manger énergétiquement et avoir faim en même temps.

Maintenant, vous allez dire: «Non, si j’ai faim, je dois l’assouvir, je dois manger." Non, non. Vous pouvez faire les deux. Vous savez, manger et avoir faim, c’est une sorte de cocktail intéressant, parce que manger et avoir encore faim vous permet d’avoir encore cette sensation sensuelle. Ok, je suis en train de m’égarer. "Et".

 

~ Synchrone

Et troisième point, très important ici, dans notre travail, - non, notre joie - que nous allons pratiquer ensemble. Nous avons la conscience, nous avons "et" et puis enfin, un élément très important, c’est la synchronisation ou le fait de tout mettre ensemble. Tout mettre ensemble.

Maintenant, une bonne analogie, une bonne métaphore : c’est que la plupart d'entre vous avez maintenant un ordinateur portable, et un ordinateur de bureau, et un téléphone portable, et une tablette, et tous ces différents - et autres appareils – les GPS et vos montres, et les nouvelles montres. Vous avez tous ces appareils. Le problème là-dedans, c’est qu'ils ne sont pas vraiment en phase. Ils ne sont pas synchronisés. Est-ce que cela ne crée pas de grandes frustrations de les synchroniser... (il s’arrête et fait une drôle de tête en voyant ce que Linda a écrit)

LINDA: Vous avez dit synchrone. (Elle l’a orthographié "Synchronis») Ce n’est même pas un mot du vocabulaire. Peut-être que si. N-o-u-s? très bien, peu importe.

ADAMUS: Oui. Donc, Spock n’est pas toujours aussi logique que  ça. (Adamus rit)

Donc, mes chers amis, synchrone.

Maintenant, en utilisant l'analogie de tous vos appareils, ils se désynchronisent. Alors vous vous mettez en colère contre eux, et vous vous mettez en colère contre ceux qui les ont fabriqués et qui ont fait le logiciel. Du genre, "Jésus, est-ce que personne ne peut ..." Nous y voilà de nouveau avec Jésus. "Est-ce que personne ne peut ...« Pourquoi utilise-t-on  Jésus comme ça? (Rires) Jésus! C’est presque un gros mot aujourd'hui. Jeez- ... et puis on se déguise et on vient aux Shouds  en Jésus et Marie-Madeleine. Jeez.

LINDA: Un Maître chaque mois.

ADAMUS: Etre synchrone, mettre tout ensemble. Un autre mot pour cela serait intégration. Intégration, mais j’aime synchrone.

Donc nous avons cette situation avec vos appareils mobiles. Ils sont tous désynchronisés. Les calendriers ne fonctionnent pas ensemble ni vos contacts, ni vos bases de données, ni tout le reste. Est-ce que ce n’est pas vraiment significatif des humains? En fait, c’est vraiment la chose à régler la plus simple au monde. Je suis surpris qu’ils en fassent une telle affaire, qu'ils ne puissent simplement pas - snap! - comprendre comme ça. Mais, oh, ils ont tout ce logiciel et vous devez l’acheter ...

Ensuite, vous devez acheter un appareil de synchronisation pour synchroniser votre autre appareil et cet appareil ne se synchronise pas très bien avec les autres, puis vous appelez le service client et ils vous disent: «Eh bien, oui, vous avez acheté notre appareil de synchronisation, mais vous devez vous débarrasser de tous vos autres appareils. "alors vous dites quelque chose du genre," Mais je n’ai pas d’appareils! », et alors ils disent:« Alors, vous êtes synchrones. "(rires) Wow.

"Ouais, mais je n’ai pas mes autres appareils." "Eh bien, qu’est–ce qui est le plus important, toute la merde que vous transbahutez  ou bien d'être synchronisés?"

"Synchronisés avec rien», me direz-vous. "Je n’ai pas ... qu’est-ce qui reste à synchroniser?" "Ah, nous avons résolu votre problème." Oui. Ouais. (Quelques rires)

Et vous pouvez avoir vos appareils. Vous pouvez avoir votre merde, effectivement, dans la réalisation, dans l'illumination. Vous pouvez avoir votre merde et ça peut être en synchronisation ou hors synchronisation. Ce n'est pas important. Ce qui est important, c’est là où vous allez mettre votre conscience.

Rien de tout cela n’est ce que vous appelez éternel ou fixe, peu importe que vous soyez désynchronisé pendant une journée. Vous savez, imaginez que si vous êtes tel un Maître, vous ne vous souciez pas d’être désynchronisé. Vous vous fichez d’avoir tous ces fragments et ces aspects, et le Soi non réalisé, et tout cela. "Wow. C’est une sorte de plaisir aujourd'hui, de jouer la désynchronisation", parce que vous savez qu’au moment où vous appliquez votre conscience – la Conscience Appliquée - vous dites juste," Ah oui, maintenant je vais revenir dans - hou, ahh - l'intégration. «Être en synchronisation. C’est ce qui est drôle là-dedans.

En réalité, ce n’est pas vraiment très amusant si vous êtes toujours synchrones. Non. C’est un peu ennuyeux. Dieu, tout fonctionne bien. (Quelques rires) Tout est juste comme ça, vous savez, "je me réveille le matin et je suis en bonne santé, puis l'argent arrive et tout le monde m’aime, il n'y a pas de trafic et wow, j’ai le poids parfait et je n’ai pas vieilli depuis des années. Je suis si fatigué de cette vie sur cette planète. "(L’assistance rit)

LINDA: C’est du genre Vulcain.

ADAMUS: «J’aimerais être heurté par une voiture, mais je suis si parfait que ça ne va pas se produire. (Rires) Je serai là encore dans 500 ans. Je dois me réunir avec les autres vampires, vous savez. »(Adamus rit) Donc c’est un peu ennuyeux.

Alors, imaginez dans ce "et" de la maîtrise qu’un jour vous pourrez simplement être désynchronisé. "Oh merde! C’est amusant. Ma maison vient de brûler. Pourtant je m’en fiche, parce qu'il y en a une autre plus grande en cours de construction. Et je ne me soucie pas de ça non plus." C’est ça, la maîtrise incarnée. Les gens ont des émotions. Je l’ai déjà dit à des groupes, les Maîtres sont- ce sont des fils de putes. Ils sont intolérants. Ils ne tolèrent aucune merde. Puis la minute suivante, ensuite ils la tolèrent. Et.

Pouvez-vous vraiment vous imaginer vous en prendre à quelqu'un? (en exprimant beaucoup de colère contre eux) Vous ne pouvez pas, parce que vous vous limitez. "Je ne peux pas faire cela. C’est mal." Eh, en fait c’est une sorte de plaisir de temps en temps. "Oooohhhh!", Vous pensez, "Mais jusqu’à quel point? Est-ce que je pourrais les tuer? "(Rires) Ne le faites pas sans leur demander d'abord. (plus de rires).

La capacité d'être « et », d’être toutes ces choses, partout où vous voulez appliquer votre conscience, et sans qu’elle ne soit jamais coincée. Pas même dans la perfection. Croyez-moi, c’est tellement ennuyeux. Amusez-vous avec ça.

Et ensuite vous commencez à aller et venir dans le temps. Vous commencez à traverser les dimensions. Vous commencez à vivre le « et », la Conscience Appliquée. Et puis après cela, vous commencez à apprendre – mais ce n’est pas le bon mot, j’en trouverai un autre  - mais vous commencez à être capable de diviser la conscience. Voyez, à présent vous pensez simplement : "Ok, je vais mettre ma conscience ici dans un état synchronisé et puis ici." Et soudain, vous êtes les deux en même temps. Et ensuite vous allez au-delà de la synchronicité, et ça ne cesse de continuer ainsi et ainsi, et ainsi, dans cette  capacité que vous avez d'être la multi-conscience, d’être multi-conscients. C’est extraordinaire. Vraiment extraordinaire.

Ah! Prenons une profonde respiration.

Et vous en arrivez là naturellement. Il n’est pas question de travail. Il n'y a aucun travail, sauf si vous voulez parler de «permettre». C’est le seul travail que vous ayez à faire. Permettre n’est pas vraiment travailler, mais pour la plupart des gens, ça ressemble à du travail, parce que, vous savez, ils ne veulent même pas permettre. Ils veulent juste continuer sur le mode : "Oh, je vais juste voir ce qui se passe aujourd'hui."  C’est pareil, eh bien, que le fait de pouvoir prendre un moment quand vous vous réveillez le matin - "J’Existe?" Et puis plus tard avec une phrase différente, "je permets?" Ils ne veulent pas faire cela. (Quelqu'un lève la main)

Une question. Elle va courir donner le micro. Et voulez-vous prendre ceci (l’arme de Spock) au cas où vous en auriez besoin. (Quelques rires)

LINDA: D'accord

ADAMUS: Juste au cas où.

SHAUMBRA 5 (homme): Peut-on en arriver à un point de synchronisation et ensuite à un point où vous voulez seulement vous désynchroniser parce que c’est trop ennuyeux?

ADAMUS: Ou faire les deux à la fois. Pouvez-vous imaginer les deux à la fois? Comment pouvez-vous être synchronisés et non synchronisés en même temps? Pourquoi pas?

SHAUMBRA 5: Ouais, pourquoi pas?

ADAMUS: Pourquoi pas ? C’est la question. Il n'y a aucune loi en physique qui empêche cela de se produire. Aucune. Il n'y a aucune loi de l'émotion ou du mental qui empêche cela d’avoir lieu. Personne n'y a jamais pensé avant.

SHAUMBRA 5: Ouais, ça devient absolument ennuyeux et puis vous réalisez combien vous aimez ça. Vous devenez du style, "Oh mon dieu. J’aime, j’aime vraiment ça ".

ADAMUS: Oh oui. C'est un point de vue.

SHAUMBRA 5: Ouais, c'est sûr ... c'est plutôt cool.

ADAMUS: Oui. Les humains ne vont jamais tellement bien sans drame. Cela devient ennuyeux.

SHAUMBRA 5: Ouais.

ADAMUS: Alors ils sabotent intentionnellement les choses afin de pouvoir les reconstruire.

LINDA: Quoi ?!

ADAMUS: Oui, ils le font, tout le temps. Il n'y a rien de mal à cela jusqu'à ce que vous soyez fatigués de cette singularité – le drame, le drame, le drame, le drame. Mais dans la maîtrise, c'est comme de dire : " Je vais m’offrir une certaine dose de drame -et- je ne vais pas être dans le drame. Je vais juste » ... C'est le « et ».

Lorsque vous êtes si libre que vous pouvez choisir où vous souhaitez placer votre conscience, et en plusieurs endroits en même temps, ah! Mes amis, c'est ça la maîtrise. La Maîtrise incarnée.

Donc, ce sont, pourriez-vous dire, les grandes catégories que nous allons mettre en pratique et expérimenter et  ressentir. Si vous voulez répondre à la question « Devrais-je rester avec le Cercle Cramoisi ?" Je viens de vous donner les grandes lignes, et si cela n'est pas pour vous, c'est très bien. C'est très, très bien.

 

Keahak

Je vais divulguer une note sur Keahak. Cauldre et Linda vous l'ont communiquée plus tôt.

Keahak est, ainsi qu’il est dénommé maintenant, la Conscience Appliquée. Ce que j'ai demandé à l’équipe du Keahak de faire, c'est de garder le Keahak en tant que notre « Esprit en mouvement », mais nous allons nous réunir deux fois par mois pour des expériences, des discussions – en fait, pas des discussions, c’est moi qui parlerai - des expériences et des approfondissement nous permettant de creuser encore plus  chacune des choses dont je viens de parler.

Keahak vous donne l’opportunité de prendre un engagement afin que nous travaillions ensemble, vous et moi, à titre personnel pendant un an. Oui, nous faisons nos réunions de groupe, mais c'est juste la pointe de l'iceberg. Quand vous devenez membre de Keahak, vous affirmez vraiment que vous êtes prêt à m'avoir à vos côtés tous les jours. Cela parait bien jusqu'au deuxième jour (rires), parce que je  provoque vraiment quelques personnes.

LINDA: Vraiment ?

ADAMUS: J’en agace quelques autres.

LINDA: Wow.

ADAMUS: Mais c'est un discours constant, " Lâchez prise. Cessez de travailler. Arrêtez les efforts. Arrêtez ... " Si vous êtes en souffrance, c'est parce qu'il y a une résistance. Il y a une raison. Vous résistez à quelque chose. Donc fermez-la et prenez une profonde respiration et permettez. C'est aussi simple que cela.

Et mon travail c’est - je suis le Simplificateur. Je suis le chef Simplificateur qui travaille avec vous, parce que vous allez devenir distrait. Vous allez rendre ceci très difficile. Vous allez amener beaucoup de chaos. Vous allez vous submerger vous-même, et je vais venir avec mon bâton de Simplificateur – qui ressemble un peu à ceci (le maillet d'Einat pour les bols chantants), mais en plus long - et je vais vous aider à simplifier. Je vais vous dire: « Ou vous simplifiez, ou nous aurons besoin de cela." Mm. Alors ...

LINDA: Intéressant.

ADAMUS: Intéressant. Oui. C'est mon Simplificateur. Puis-je le garder pour toujours ? (À Einat) Merci.

Donc, mes chers amis, c'est là où nous allons avec Keahak. Mon opinion est que vous n'avez pas besoin de rejoindre Keahak  pour être un bon Shaumbra. Pas du tout. En fait, je veux vraiment que vous vous demandiez si vous voulez en faire partie juste parce que nous en parlons ici. Cela doit être bien pour vous. Je veux que vous le ressentiez vraiment.

Je voudrais en fait ... Puis-je vous troubler pendant une minute ? (Linda soupire fortement et se dirige vers l'arrière de la salle) Je voudrais vraiment vous décourager de rejoindre ce groupe Keahak sur un coup de tête, car  c’est très, très intense et ça coûte beaucoup d'argent, et c'est un grand engagement. Donc, ne sautez pas dedans à pieds joints. Et la raison pour laquelle je voudrais vous en décourager en premier lieu, avant de vous y inviter, c'est parce que si vous voulez sauter dedans, du genre -  « Ohhh! Je vais dépenser là tout cet argent et je vais améliorer ma vie » - non, non, non, non, non. Vous ne l’améliorerez pas. Si vous le faites pour ces raisons, cela va vous faire mal. Ce sera difficile. Ce sera une année difficile pour vous.

Si vous le faites parce que vous sentez vraiment que vous êtes prêt à passer par une rénovation majeure, un changement qui sera parfois très éprouvant, et donc je viendrai et essayerai de le simplifier (faciliter) pour vous, alors effectivement envisagez- le. Mais ressentez-le. Ressentez cela très profondément.

C'est un beau voyage d’un an avec de nombreuses autres personnes du monde entier, mais parfois - pas pendant nos séances, mais à d'autres moments, ça peut être très - comment diriez-vous, chère Linda? - Un peu éprouvant. Ouais. C’est une bonne façon de le dire. Merci.

Ok, point suivant. Nous allons faire un merabh tôt ou tard. (Linda montre quelque chose qu'elle a amené pour Adamus) Elle essaie de me corrompre avec des biscuits.

Maintenant, je me rends compte que nous commençons à manquer de temps et en même temps, pas vraiment. Oui, nous allons  terminer ce shoud.  Que ce soit dans 10 minutes, 20 minutes, 30 minutes, cela n'a pas d'importance.

 

Des Mondes Autour de Vous

Point suivant. Il y a des mondes autour de vous en ce moment.

Il y a des mondes autour de vous. C'est pourquoi je vous demande “ qu’est-ce qui est ici et qu’est-ce qui manque” ? Il y a des mondes autour de vous, de magnifiques mondes - et pas seulement des papillons et des fées et des choses comme ça - mais des mondes d’expériences créatives et sensuelles, et ils sont tout autour de vous. Ils ne sont pas là. Et ils sont là. Il y a vos propres mondes multiples (mondes intérieurs), mais il y en a d'autres aussi, indescriptibles avec des mots humains ou pour le mental humain.

Mais pourtant, vous ne les voyez pas. Vous dites: « Mais où sont-ils ? Je ne vois rien. Je ne ressens rien ”. Comprendre qu’il y a des mondes  autour de vous est finalement une  question de permettre, et en cela, en même temps que vous allez aller  vers ces prises de conscience, vous allez avoir l’impression parfois que vous devenez fou. Et ceci est en fait probablement un bon signe, parce que cela fait s’effondrer beaucoup d'anciennes limitations et de confinements. Il y a tant de mondes et vous avez un tel désir à leur sujet. Je le sais vraiment. Vous avez un tel désir de ...

Permettez-moi de le dire de cette façon. Ce serait comme de vivre dans une grotte et de s'attendre à voir le lever du soleil, et vous n’y arriverez  pas. Vous pouvez penser au lever et au coucher du soleil. Vous pouvez penser aux nuages et à l'orage. Vous pouvez penser au vent. Mais si vous vivez dans une grotte, c'est juste une pensée.

Il y a une connaissance intérieure sous-jacente que quelque chose se passe à l'extérieur de cette grotte, un ressenti, un désir profond. Mais à moins que vous ne sortiez de la grotte, vous ne ferez pas l'expérience du lever du soleil. C'est assez évident. Assez simple.

Et on pourrait dire, " Bon, eh bien, faisons simplement un pas hors de la grotte ”. Mais je veux que vous considériez ce qu'il y a derrière cette porte de la grotte. Jésus, d'abord, et il est très contrarié. (Rires) Mais pas ce Jésus, votre Jésus et le Jésus de l'ancienne conscience de masse. Et il y a des tigres et des dinosaures et les gens qui vous ont fait du mal avant et il y a des pièges et il y a de l'inattendu, des serpents et des insectes. Et tous vos mauvais rêves et toutes vos mauvaises expériences sont juste là derrière cette porte.

Alors, quand on dit: « Eh bien, fichtre, faisons simplement un pas hors de cette grotte pour voir le lever du soleil", en fait, vous êtes dans cette grotte pour une raison. Il n'y a aucune porte à cette grotte. Vous le savez. Mais cependant il y a de nombreux obstacles. Alors, vous restez dans cette grotte et vous parlez du lever du soleil et vous essayez de le ressentir, mais après un certain temps, ces ressentis mêmes disparaissent. Il y a un engourdissement (une insensibilité qui apparait).

Alors vous essayez d'améliorer la grotte. Vous mettez un peu de peinture sur les murs. Vous la balayez un peu. Vous essayez de creuser un peu plus profondément et de rendre cette grotte un peu plus spacieuse. Ensuite, vous vous demandez tout le temps pourquoi vous perdez simplement cette passion de la vie. Ensuite, vous dites: « Eh bien, je ne comprendrai jamais ». Alors, vous recommencez à creuser et à nettoyer et embellir la grotte un peu plus, au point que vous oubliez presque le lever du soleil.

Le lever du soleil est là. Nous allons sortir nous promener hors de cette grotte. Nous allons marcher vers Jésus et vos démons et vos mauvais rêves et toutes les personnes qui vous ont fait du mal, et vous allez  ressentir tout cela. Vous allez ressentir toute la peur et toute la terreur, tout.

Cela fera tout remonter, et nous passerons au travers, parce que ce sera « et ». Et. « Et je verrai le lever du soleil. Je vous vois tous, qui êtes dans la grotte. Hey, il n'y a pas de porte, au passage. Il n'y a pas de porte ». Whewww! Et tous ceux qui là-dedans disent de vous : « Non, il est fou. Elle est folle ». Non, quelle idée d’aller voir le lever du soleil.

Il y a des mondes autour de vous en ce moment, mais quand vous vivez dans cette grotte et quand vous avez peur de sortir de celle-ci, peur de devenir fou, peur de vos phobies, peur de vos dépendances, peur de vous-même, vous pouvez rester planté devant cette porte, l'entrée de cette grotte ; vous pouvez vous tenir là et ne pas sortir.

Je vais vous provoquer et vous agacer et faire tout ce que je peux faire, vous divertir, tout ce qu'il faudra pour que vous puissiez dire : « Cela n'a plus d'importance. Je m’en fiche si je deviens fou. Je m’en fiche si mon corps tombe en loques. Je m’en fiche si je sombre. Je m’en fiche, parce que c'est tout simplement un grandiose « et ». C'est tout. Un énorme « et ». Ce sont les peurs, les phobies, les joies, la sensualité ET c'est aussi l'illumination et la stupidité. C'est « et ». C'est tout ce qui précède - vivre dans une grotte et vivre  à l'extérieur de celle-ci. Voilà, mes amis, ce qu'est la réalisation.

Prenons une énorme et profonde inspiration. Ohh! Mmm, mm, mm. Je peux sentir que cela va quelque part. Hm. Bien.

Et maintenant, avec l'accompagnement de cette belle musique, eh bien, c'est en fait principalement de la musique et un peu de paroles. Dans cette harmonie, faisons un merabh quelque soit le nom qu'on lui donne. Faisons un merabh.

Maintenant, prenons une profonde respiration et préparez-vous. Tamisez les lumières, et vous tous qui regardez en ligne, s'il vous plaît, venez vous joindre à nous pour ce merabh. Vous êtes ici, aussi. Vous êtes ici avec nous à Louisville, Colorado.

EDITH: Puis-je poser une petite question?

ADAMUS: Vous voulez interrompre ce beau moment par une question dont vous connaissez déjà la réponse?

EDITH: Oui.

ADAMUS: Allez-y. Le micro.

EDITH: Eh bien, je me demandais ...

ADAMUS: Micro. Nous devons avoir le micro. Oui. Et nous devons rallumer les lumières. Nous allons tout changer ici. Oui.

EDITH: Quelle est la différence entr- ...

ADAMUS: Est-ce que cela vous embête de vous lever?

EDITH: Pas du tout.

ADAMUS: Bien.

EDITH: Quelle est la différence entre « et » et une illusion?

ADAMUS: Ahh! C'est une bonne question. « Et » et une illusion; quelle est la différence? Je vous le demande.

EDITH: Je vous l’ai demandé en premier. (Rires)

ADAMUS: Je vous l’ai demandé en deuxième, troisième, quatrième, cinquième, sixième septième, huitième, neuvième, dixième, et jusqu’au bout. J'ai pris tous les autres numéros. Alors ...

EDITH: pas du tout

ADAMUS: Pas du tout. Pas du tout. Il n'y a pas de vérité, mes amis, pas telle que vous auriez aimé penser qu’il y a. Il n'y a pas de vérité singulière (une seule vérité), S'il y avait une vérité, ce serait « et ». C'est tout à fait vrai. Il n'y a aucune différence entre l'illusion et la réalité. Cela dépend seulement de combien ça vous heurte quand vous le percutez.

LINDA: Ow.

ADAMUS: Eh bien, c'est très littéral, parce que c'est une illusion. C'est une illusion absolue, ce mur. Mais si vous le heurtez - dans cette dimension, si vous le heurtez – ça peut faire mal. Mais alors vous allez guérir ou autre. Mais d’autres illusions ne sont pas aussi physiques, mais n'en sont pas moins ou pas plus une illusion. Il y a la singularité qui dit: « Si c'est  solide, c'est réel. Si ça ne l'est pas, cela n'existe pas ». Mais, bien sûr, ma réponse à cela, surtout lorsque j’écris, c’est : qu'en est-il de l'amour ? Il n'a pas de masse. Vous ne pouvez pas le verser dans un verre, mais pourtant, il peut faire plus mal que le fait de courir tête baissée dans un mur. Ah, oui. C'est une belle pensée, n'est ce pas ? (Quelques rires)

Mais qu'est-ce qui est réel ? Qu'est-ce qu'une illusion ? « Et » . Tout est réel et tout est illusion. Rien n'est réel mais rien n'est faux. C'est à nouveau la proposition « et ». Vous vous rendrez compte que ce rôle d'Edith est une illusion. C'est un rôle intéressant et en même temps, il y a beaucoup plus. Ce n'est pas qu’Edith devienne plus (ou mieux) ; c'est Edith et vos autres mondes. Ouais. Aimeriez-vous y aller?

EDITH: Je ne peux le dire.

ADAMUS: Vous ne pouvez pas le dire. C'est mieux que de dire, je ne sais pas. (Adamus rit)

EDITH: Alors je ne suis pas obligée  d'aller aux toilettes ?

ADAMUS: Je ne peux pas ... Allez aux toilettes. Je vous emmène aux toilettes.

EDITH: Non

ADAMUS: S'il vous plaît.

EDITH: Non

ADAMUS: Ça fait longtemps que je n'ai pas accompagné une dame aux toilettes. (Adamus rit) J'irai si vous y allez.

EDITH: Non

ADAMUS: J'irai si vous y allez. Vous y allez d'abord. J'irai après.

EDITH: Pourquoi?

ADAMUS: Parce que vous devez y aller. Je ne veux pas vous embarrasser devant tout le monde.

EDITH: Je n'ai pas à aller aux toilettes. Non, je ne veux pas y aller.

ADAMUS: Oh, elle ne veut pas y aller – à présent, elle n'a pas à s'y rendre. « Et ». C'est comme si vous y alliez, vous n'y alliez pas - et - tout cela en même temps. Bien.

Maintenant, ... Edith ? Ok, tamisons les lumières de la salle. (Adamus rit)

 

Merabh sensuel

Ok, respiration profonde. Profonde respiration.

Et avant que la musique ne commence, je veux vous poser une question, et j’ai fait baisser les lumières pour que vous ne soyez pas gêné et que vous ne me gêniez pas. Quand est-ce que remonte la dernière fois où vous avez vécu une expérience vraiment sensuelle? Quand? (Quelqu'un dit "Il y a un moment déjà"; Adamus glousse) La personne sans pantalon à l'arrière de la salle dit (rires) "Il y a un moment déjà."

SART: Ça peut être dans cette vie?

ADAMUS: Oui, dans cette vie. Permettez-moi de revenir en arrière et d’être à nouveau pathétique là. Bien. Est-ce que quelqu’un dans le public a une autre remarque à faire? Est-ce que quelqu’un a besoin d’aller aux toilettes ou de faire, vous savez quoi ... ok.

Prenons une grande respiration et entrons  dans l’instant présent.

C’est une expérience sensuelle. Oh. Vous savez, un peu comme une énorme vague, grande, écrasante, une sorte de grande brise d'expérience sensuelle dans votre vie. Ce genre d'expérience sensuelle que vous pouvez ressentir à travers votre corps tout entier. Elle apaise le mental et le mental se sent comme en harmonie. Ce vrai remous d’expérience sensuelle. Je me risquerais à dire que soit ça vous est arrivé il y a un bon moment déjà ou que ça ne vous arrive pas assez souvent.

(La musique commence)

Il y a parfois même un sentiment de culpabilité à vivre cela, parce que, eh bien, vous devez être configurés. J’aime ce mot. Vous devez être configurés. Mais il y a une expérience sensuelle énorme qui vous arrive, et qui pourrait être sexuelle, oui. Je suppose que l'on pourrait se demander, je pourrais vous demander, quand était la dernière fois que l'un de vous a eu un vraiment bon orgasme?

GERHARD: La nuit dernière. (Adamus rit, quelques rires dans le public)

ADAMUS: Ok, arrêtez la musique, rallumez les lumières et abordons ce sujet. (Rires) Je déconne. D'accord, et avant cela, mon ami?

GERHARD: La nuit d’avant. (Plus de rires)

ADAMUS: Et avant cela?

GERHARD: Je ne me souviens pas.

AADMAUS: Elle sourit. Elle sourit. Bien. C’est bien pour vous.

EINAT: C’est bizarre. (Adamus glousse)

ADAMUS: C’est bien pour vous.

Pas assez souvent, je dirais, que ce soit la nuit dernière ou n’importe quand, ce n’est pas assez souvent.

Et pour  continuer dans ce genre de questions, quand était la dernière fois que vous avez eu un bon orgasme mental? Quoi, vous venez juste de découvrir qu’on peut avoir un orgasme mental? Comment ça se fait que personne ne vous ait rien dit à ce sujet? Quoi? Ouais, l'orgasme mental. Ce n’est pas quand vous remettez tout ensemble et que vous trouvez du sens à toute chose. C’est quand ça n’a pas d'importance. Ça, c’est un bon orgasme sensuel et mental. Vous vous sentez si à l’aise que vous pourriez dire: «ça n’a pas d’importance. Je n’ai pas besoin de continuer à me configurer. Je peux lâcher prise. "

Vous rendez-vous compte à quel point c’est un soulagement pour votre mental - votre pauvre mental - quand vous dites, "Je n’ai pas à comprendre tout cela. Je ne le ferai plus jamais. Ce n’est pas écrit dans le contrat. Ça ne fait pas partie du contrat. Je n’ai pas à comprendre. "Et ça ne sera jamais logique. Ça n’aura jamais de sens, jamais, jamais.

Les Maîtres ont tous découvert cela. Oh, ils ont travaillé dur – les philosophes - à essayer de donner un sens aux choses, alors que ça n’en a pas. Et quand vous pouvez mettre "et" – ce “et” devenant un verbe ici - quand vous pouvez "et" cela, ça n'a pas besoin d’avoir du sens. Ça n'a même pas d'importance.

Ensuite, vous commencez à avoir des orgasmes du mental. L'orgasme est une libération, une libération de la configuration, une libération des normes. Parfois, c’est si puissant, parce que les choses ont été refoulées à l'intérieur. La libération est immense; énorme, pour parler comme Linda.

Quand est-ce la dernière fois que vous avez eu un orgasme de l'esprit? J’aime regarder votre mental lorsque vous jouez avec lui - "Comment l’esprit a-t-il un orgasme?" C’est un peu comme Spock. (Adamus glousse) C’est tellement interne que vous pouvez à peine en parler, mais quelque chose de grand se passe à l'intérieur.

L’orgasme de l'esprit, la libération, la déconfiguration de l'esprit, libérant toutes ces croyances religieuses et même les croyances spirituelles, parce qu’elles sont vraiment une constipation de l'esprit – les religions et les philosophies, les croyances.

Quand était-ce la dernière fois que vous avez eu un orgasme spirituel? Peut-être que vous avez eu quelques expériences en cours de route avec quelques réalisations, des idées, certains de ces moments "ahh", vous savez, mais pas assez souvent.

Ça devrait être tout le temps; l'orgasme physique, mental, spirituel du corps de conscience, ce qui signifie la libération et l’ouverture complètes, déversant la joie.

Quand est-ce la dernière fois que vous avez eu une de ces grosses vagues sensuelles de simple connaissance intérieure? Sans mental, sans chercher à comprendre, mais juste à permettre la connaissance intérieure, au point où ça vous a presque fait craquer? Pas assez souvent.

Vous le méritez.

À quand remonte la dernière fois où vous avez eu cette énorme vague, cette belle vague de sagesse - la sagesse sensuelle – qui est un ressenti et rien d’autre. Sans mots à mettre dessus. Pas de "Qu’est-ce que je suis intelligent», mais une vague de sagesse. Le ressenti sensuel «Je Sais que Je Sais. Je ne sais foutrement pas comment je le sais. Ça n'a pas vraiment d'importance. Je n’ai même pas besoin d’essayer de savoir ".

Mais, vous savez, ces choses, mes chers amis, ces choses devraient être monnaie courante, devraient arriver tout le temps. Pas une fois de temps en temps, pas un orgasme physique une fois tous les trois ans, pas de “qu’est-ce que l’orgasme mental ou l'orgasme spiritual?”; ceux-ci devraient arriver tout le temps.

Je sais que vous pouvez le ressentir. Je sais que vous le désirez. Pouvez-vous le permettre?

Cela n'a rien à voir avec «Eh bien, je suis trop occupé» ou «Je m’occupe des autres." Non. Ce sont des excuses. C’est du makyo. Toutes ces excuses pour ne pas vous offrir quelque chose que, selon moi, vous méritez.

C’est la sagesse; Il ne s’agit pas de penser.

Il s’agit de permettre le sensuel dans votre corps, ne pas le confiner ou le limiter.

C’est une vague sensuelle de permettre, plutôt que de restreindre et de juger.

Une vague sensuelle de vous. Sensuelle et essentielle.

Quand était-ce la dernière fois que vous avez eu une de ces vagues submergeantes dans votre corps, dans vos pensées, dans vos rêves, dans votre cœur?

C’est ce qui devrait être naturel. Ça devrait couler, déborder. Et ceci vous pouvez le permettre.

La sensualité signifie la conscience à tous les niveaux. Je parle de conscience. La conscience c’est une prise de conscience, mais la sensualité, c’est quand, vous pourriez dire, la prise de conscience  est appliquée et expérimentée.

La sensualité ... c’est quand la conscience est vraiment expérimentée.

Vous ne pouvez pas créer cet orgasme sensuel. Vous ne pouvez pas l’exiger, le faire venir ici. Vous pouvez le permettre. Vous ne pouvez pas vous forcer par la pensée à le faire venir. Mais vous pouvez vous ouvrir et le permettre, le recevoir.

Donc, faisons cela  maintenant.

Nous n’essayons pas de configurer la sensualité là. Nous la permettons juste.

Prenez une bonne respiration.

Et alors que la musique joue, libérez-vous.

Libérez-vous.

(Longue pause)

Pouvez-vous vous entendre communiquer avec vous, sans mots? Simplement avec cette sensualité.

Je vous ai dit auparavant que la conscience, là où nous allons, est aussi une question de communication. Je vous ai dit que nous communiquions - je parle de vous, chère Linda d'Issa – qui parlez, et de Gerhard, Einat qui communiquent à travers la belle résonance de la musique - mais pouvez-vous entendre la véritable communication? Je ne parle pas de vos pensées venant de votre tête, mais de la communication venant de Vous vers vous? Ah, c’est sensuel. C’est très sensuel.

Écoutez. Écoutez cette expression sensuelle qui prend place en vous à tous les niveaux, dans le «et».

(Longue pause)

Prenez une bonne respiration.

Depuis combien de temps n’avez-vous pas ressenti cette vague profondément, profondément personnelle de l'expérience intérieure et sensuelle dans votre corps, dans votre mental, dans votre esprit, dans votre Je Suis? Probablement depuis trop longtemps.

Quand je vous ai demandé un peu plus tôt à quoi ressemblaient ces deux derniers mois de cette année, je me suis risqué à dire que c’était probablement, dans un sens, un peu comme l'année dernière ou il y a cinq ans. Pas assez de cette vraie sensualité, de ce ressenti, cette conscience à des niveaux intimes, la créativité, la sagesse, le Je Suis.

Prenons une bonne respiration.

Quelle journée ça a été ! Quelle journée! Un merci très spécial à Maître G et à Einat.

Alors,  la question que vous vous posez probablement à l’issue de cette journée,  je vais y répondre; vous vous demandez probablement "A quoi ressemble Adamus lorsqu’il fait l'amour?" (Adamus se retourne et s’étreint; rires)

Avec cela, mes chers amis, n’oubliez pas que tout va bien dans toute la création.

Merci. Bénédictions à vous tous. (Applaudissements)