Je suis ce que je suis, Adamus du Domaine Souverain, Souverain.
Bienvenue
dans cet espace sacré, dans cet endroit de rires et de joie.
Pour ceux qui sont nouveaux, peut être pensez-vous que c’est un peu
étrange pour vous, d’être ici. (rire) « Qu’est-ce que c’est que ce
groupe ? Quelles sont les singeries qui se passent ici ? Quel est cet
être avec les yeux fermés qui soudain se lève et marche autour de la
pièce ? » Mais je veux que vous regardiez à partir de mon point de vue
pendant une minute.
Pour moi c’est vraiment étrange. (rires) pour moi c’est bizarre, d’être
ici devant un groupe de soi-disant humains, qui je sais sont des
magiciens absolus, qui prétendent qu’ils sont endormis. Imaginez ce que
ça serait d’être sur ma chaise un instant et d’avoir soudain à entrer
dans ce corps humain qui transmet mes messages, un être qui aussi, comme
vous, prétend être endormi, et je dois parler à travers ça ? (rires)
C’est bizarre. C’est étrange.
Prétendre être endormis
Imaginez vous un instant être à ma
place, imaginez comme c’est étrange de vous parler, vous que j’ai connus
avant, avec qui j’ai travaillés, que je sais être des Maîtres -
beaucoup, beaucoup de maîtres - mais vous prétendez que vous ne l’êtes
pas. Alors je me suis dit avant que nous commencions ces réunions,
« qu’est ce que je vais leur dire aujourd’hui ? Comment vais-je passer
au-delà du fait que vous prétendez être endormis ? » Vous prétendez être
moins que ce que vous êtes vraiment. Pourquoi ? Pourquoi ? C’est la
grande question du jour. Pourquoi ? Vous dites (je vous entends, je vous
entends) vous dites, « mais Adamus, je ne sais pas comment me
réveiller. » (rires pendant qu’Adamus fait semblant de se frapper le
tête sur la chaise). Non, vous ne voulez pas vous réveiller.
Vous dites, « Adamus, j’ai tout étudié.
J’ai pris des cours. » Oh, je sais. « Adamus, je suis allé chez tous les
guérisseurs que je pouvais. Adamus, j’ai eu une enfance vraiment
dure. » Et ? Je vous prendrai un jour dans mon cristal, je fermerai la
porte à clef et puis vous verrez comment vous aimerez cela !
J’ai eu une très belle, une très belle,
une simple, je pense que vous l’appelleriez poésie (ou poème), qui m’a
été envoyée récemment, et elle est si parlante pour vous tous, je
dirais. Moteurs électriques. (il arrête un ventilateur). Alors je
voudrais vous le partager maintenant. C’est simple et beau.
Prenons ensemble une profonde respiration.
(pause)
Ceci vient d’un ange humain anonyme.
« J’ai rêvé que je dormais… »
Ah oui ! Prenez une respiration profonde avec cela.
« J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient
J’ai rêvé que je dormais avec des rires et des larmes
J’ai rêvé que je dormais de tout ce que je pourrais être
J’ai rêvé que je dormais au travers de la grande vision.
Réveille-toi, réveille-toi ! ai-je entendu de l’intérieur
Réveille-toi, réveille-toi ! que la vie puisse commencer
Réveille-toi, réveille-toi ! dormir est un mensonge
Réveille-toi, réveille-toi ! parce que Dieu, c’est Moi. »
Hannibal, pouvez-vous la chanter ? Sans répétition, pouvez-vous la chanter ? Linda vous l’écrira.
LINDA : Bien sûr.
HANNIBAL : Oui, bien sûr je peux le faire.
ADAMUS : Absolument.
HANNIBAL : Je peux le faire !
ADAMUS :
Car nous nous préparons à ça… J’ai pensé que c’était si beau parce que,
chers Shaumbra, vous rêvez que vous êtes endormis. Vous rêvez pendant
que vous êtes endormis. Vous rêvez de ce qui peut être. Vous rêvez de ce
qui va être. Vous êtes dans cet état altéré. Ce n’est pas réel. Vous
rêvez. Vous êtes endormis.
J’ai rêvé que je dormais. (Linda écrit). J’ai rêvé que je dormais…
LINDA : J’écris vite, parce que vous n’êtes pas patient.
ADAMUS : … de temps comme ils étaient. J’ai rêvé que je dormais avec des rires et des larmes.
LINDA : Encore, dois-je tout écrire ?
ADAMUS : Vous pouvez mettre des guillemets pour encore. (elle écrit). Ça va être une longue réunion aujourd’hui. (rires)
LINDA : Oh, d’accord.
ADAMUS : J’ai rêvé que je dormais avec des rires et des larmes.
LINDA : Avec des rires et des larmes ?
ADAMUS : Avec des rires et des larmes.
LINDA : Avec ?
ADAMUS : Avec.
LINDA : Avec ! C’est ce que j’ai dit.
ADAMUS : Ce n’est pas la peine que ce soit beau.
LINDA : Ok.
ADAMUS : J’ai rêvé que je dormais… encore… de tout ce que je pourrais être.
LINDA : Vous le faites. (rires car Adamus écrit lui même)
ADAMUS :
Etre… hmm hmm.… j’ai rêvé que je dormais ………. Et see est ortographié
s-e-e dans ce cas-ci. (« see » en anglais pour vision ou voir, homonyme
de « sea », la mer).
LINDA : Au travers…
ADAMUS : Au travers de la grande vision. Essayons cette première partie d’abord. Hannibal ?
HANNIBAL : Oui.
ADAMUS : Avez-vous un air en tête ?
HANNIBAL :
Pourriez-vous le mettre ici que je puisse le voir ? (ils arrachent la
page avec quelques maladresses et rires et la tiennent pour qu’Hannibal
puisse la voir)
HANNIBAL : Voilà.
ADAMUS : Réveillez vous.
HANNIBAL : Ok.
ADAMUS :
Réveillez vous, réveillez vous. Hm, non, non, non (rires) Réveillez vous
pendant qu’il y travaille. (Hannibal joue l’air pendant qu’Adamus
commence à dicter le prochain vers à Linda)… ai-je entendu à
l’intérieur.
HANNIBAL : (chante) j’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient
J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient
J’ai rêvé que je dormais avec des rires et des larmes
ADAMUS : Attendez, si je peux vous interrompre un moment. Ça semble plutôt morne.
HANNIBAL : ça semble plutôt morne ?
ADAMUS : ça semble plutôt morne. Prenons ça. (Adamus commence à chanter comme Hannibal) J’ai rêvé que je dormais !
HANNIBAL : Devrions nous aller dans la tonalité des majeurs ?
ADAMUS : Oui.
HANNIBAL : Dans le ton de bleu.
ADAMUS : C’est un si beau poème, je veux qu’il soit dit avec expression.
HANNIBAL : Les mots ne sont pas vraiment clairs ici pour moi.
ADAMUS : Oui.
HANNIBAL : Voyons… est ce correct ? J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient. Et alors…
ADAMUS :
J’ai rêvé que je dormais avec des rires et des larmes. J’ai rêvé que je
dormais de tout ce que je pourrais être. J’ai rêvé que je dormais …
LINDA : Désolée. Hannibal désolée.
ADAMUS : Nous lui donnerons un autre essai.
HANNIBAL : Linda, pouvez-vous venir ici s’il vous plait ?
LINDA : Oui monsieur.
HANNIBAL : Ok.
LINDA : Je suis au service de chaque demande. (beaucoup de rires)
ADAMUS : C’est une dure journée pour Linda aujourd’hui.
HANNIBAL : Pourriez-vous m’aider avec le texte.
J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient…… et alors devons nous le répéter encore ?
LINDA : Encore.
HANNIBAL : Des temps comme ils étaient.
J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient
J’ai rêvé que je dormais avec des rires et des larmes
J’ai rêvé que je dormais de tout ce que je pourrais être
J’ai rêvé que je dormais au travers de la grande vision.
Pouvez-vous le déchirer ? (ils lui
apportent la page suivante). Vous savez, c’est comme si j’avais senti
que je savais déjà ceci quand vous avez commencé à parler. Oh oui. (il
commence à jouer) oh !
J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient…
J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient
Réveille-toi, réveille-toi, ai-je entendu de l’intérieur
J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient, alors la vie pourra commencer
J’ai rêvé que je dormais de temps comme ils étaient
Dormir est un mensonge, Dieu …
C’est quoi ça ?
LINDA : C’est moi ?
HANNIBAL : C’est moi ! (applaudissements de l’assistance)
ADAMUS : Ainsi, chers Shaumbra, quel est le point ? Quel est le point ? Merci, ma chère.
LINDA : Je vous en prie, monsieur.
ADAMUS :
Merci. Quel est le point ? Deux ou trois choses. Tout d’abord, c’est une
poésie très simple, une poésie simple que j’aime, parce qu’elle porte
l’énergie par laquelle bon nombre d’entre vous passent. Vous rêvez en
fait que vous êtes endormis, et vous rêvez pendant que vous êtes
endormis. Et ce n’est pas réel, et ceci n’a pas d’importance, et vous
êtes dans une sorte d’état altéré vous demandant comment sortir de là.
Nous irons voir cela dans un moment.
Deuxièmement, désormais, être toujours prêt pour l’inattendu. Toujours.
Linda ne savait pas que nous l’inviterions pour ses compétences en
écriture. Hannibal ne savait pas qu’il serait invité à venir ici et
improviser une chanson. Et c’est une très bonne leçon pour chacun parce
que c’est comme ça que ce sera maintenant, dans le moment. Etre dans le
moment.
Toute la planification, tout le travail
avancé que vous faites normalement va commencer à sortir. Cela va se
produire dans le moment, et il prendra certains par surprise. Il y a des
moments où vous pouvez être agités. Il y a des moments où vous allez
être un peu en colère et vous voudrez savoir pourquoi vous n’avez pas eu
plus de temps pour prévoir ceci. Cela aura lieu dans le moment.
Vous pouvez être invités à vous tenir devant un groupe de 500 personnes
dans le moment, et vous allez sentir votre petit coeur se mettre à
battre. Soudain, il peut y avoir une caméra de télévision sur votre
visage pour que tout le monde puisse vous voir et dise : « comment vous
sentez-vous ? »
Cela sera dans le moment. Et avec notre
petit exercice ici, nous avons démontré que c’est gênant et maladroit
dans le moment, et ça devient très mental dans le moment. Vous essayez
de vite retourner vers ce que vous connaissez ou que vous avez
expérimenté. Cela ne fonctionne pas, et alors vous vous rendez. Alors
vous vous rendez et vous le laissez sortir. Et ça vous est égal si vous
mélangez un peu les mots, parce que vous trouverez peut-être de
meilleurs mots.
J’ai rêvé que je dormais ! Oui. Laissez-moi vous entendre faire cela.
HANNIBAL : J’ai rêvé que je dormais.
ADAMUS :
Oui, oui. Et alors ça coule de là. Alors ça vient. C’est ce qui est…
bien, en fait, c’est ce qui est ici. (rires). Devinez quoi, c’est déjà
ici.
Donc, Shaumbra, c’est ici ! J’en ai
parlé il y a quelques semaines dans les champs de maïs, en Iowa.
(rires). En fait, j’ai vraiment pris plaisir à ce voyage.
Les énergies entrantes
C’est ici. J’ai dit au groupe qui s’est
réuni là qu’il y a beaucoup d’énergies qui arrivent en ce moment. Vous
l’avez peut être remarqué ces dernières semaines. Certains l’ont géré
étonnement bien. Certains ont simplement pris une respiration profonde
et vous l’avez laissé entrer. Certains sont devenus très, très agités.
Vous êtes entrés dans cette situation et vous avez dit : « C’est encore
là. Pourquoi c’est toujours moi ? Pourquoi est ce que je continue à
passer par ces cycles de rupture, de folie et de malaise ? »
Ces
dernières semaines ont été très folles. Elles l’ont vraiment été, pas
nécessairement pour vous. Regardez le monde ces dernières semaines.
Fou ! Maintenant, il passe par des choses qu’il fait généralement, mais
vraiment ça s’intensifie en ce moment. La terre change, les situations
politiques vont se troubler, des choses n’ont pas encore été dites aux
informations sur ce qui s’est passé ces dernières semaines.
Il y avait une infusion énorme d’énergie, différente des autres énergies
qui arrivent normalement ici, que ce soit de l’énergie physique,
peut-être à partir des autres royaumes de l’espace, ou que ce soit de
l’énergie non physique, des énergies sans relation avec la terre – des
tas - et c’était le chaos. C’était toute l’énergie du chaos.
Le chaos n’a pas les attributs typiques
de ce dont normalement vous êtes habitués quand de grands volumes
d’énergies entrent. Parfois vous trouvez que les grands volumes sont
merveilleux, bénéfiques, et vous redynamisent. Parfois cela peut vous
submerger, car à chaque fois que cette infusion rentre, cela peut
perturber les délicats équilibres. Et, vous êtes tous équilibrés
délicatement. Quoi qu’il en soit, vous êtes tous à peine accrochés à une
très fine corde (rire). Et c’est la bonne nouvelle. C’est vrai ! C’est
très vrai. Vous êtes accrochés … nous autres dans les autres royaumes
sommes parfois stupéfaits de la façon dont vous pouvez continuer à vous
accrocher !
Vous savez quel est le secret ? Laissez
aller. Laissez aller. Laissez aller.
Mais retournons au chaos. Il y a eu une infusion énorme d’énergie qui a
commencé à entrer il y a deux semaines. Ça fait toujours son chemin ici
depuis là-bas, depuis là-bas qui est ici ? Pourquoi ? Parce que les
étoiles sont alignées ? Non. Parce que le soleil a de grandes éruptions
flamboyantes en ce moment ? Peut-être. (Adamus rigole). Parce que les
extraterrestres sont prêts à attaquer ? Oui. (beaucoup de rires)
LINDA : Cela ne se traduira pas bien.
ADAMUS :
C’est ça, c’est ça. Oh, ils (y) sont, mais je parlerai de cela dans une
autre discussion. Nous allons parler des « anges et des
extraterrestres. » Mais oui, ils (y) sont. Ils ne vont pas aller bien
loin… je ne pense pas. Mais je peux me tromper. (rires parce qu’Adamus
taquine l’assistance). Je joue avec ces énergies.
Donc, il y a une quantité incroyable de
ce que nous appellerions l’énergie du chaos. Cela n’a pas de sens. Elle
ne suit pas les vieux schémas. Elle entre à cause…
KATHLEEN : De nous.
ADAMUS : Merci
KATHLEEN : A cause de nous !
ADAMUS :
Attendez, restez là. (Adamus marche vers le fond de la salle). A cause
de vous, parce que vous avez l’avez appelée, parce qu’il y a longtemps
vous avez lancé un appel. Pourrais-je avoir mon spécial… (il demande à
un membre du personnel quelque chose) Merci. Merci. (l’audience dit
« oh ! » car il apporte un paquet, et un genou à terre le donne à
Kathleen) pour vous ma chère. (applaudissements de l’assistance) Venez
ici. Oui, « il » veut que vous montiez ici.
KATHLEEN : Il !
ADAMUS : Il.
KATHLEEN : Bonjour sur Internet ! (elle souffle un baiser à la caméra, puis ouvre le paquet)
ADAMUS : Un cadeau spécial de nous tous pour vous.
KATHLEEN : Merci.
ADAMUS : Ne polluez pas. (il ramasse un morceau de papier d’emballage tombé)
KATHLEEN : (elle sort un signe en métal et le lit) Mlle Stupéfiante !
ADAMUS :
Mlle Stupéfiante. (applaudissements de l’assistance) merci.
Oui. C’est à cause de vous. Vous – vous tous - l’avez appelée.
L’humanité l’a appelée. Vous pourriez dire que les familles angéliques
l’ont appelée. Les royaumes proches de la terre, qui sont vraiment dans
un monde de blessure en ce moment, l’ont appelée. Pour vous. (rire car
il offre à Linda le papier d’emballage doré, mais elle ne le prend pas)
KATHLEEN : Je le prendrai. Je le prendrai.
ADAMUS : Il a de la valeur. C’est une feuille d’or !
LINDA : Je connais mes affaires. (rires)
ADAMUS :
Donc cette infusion énorme d’énergie est très chaotique. Elle va entrer
comme le fait le chaos. Elle va entrer inopinément, de manière
imprévisible. Vous êtes habitués à avoir les énergies qui passent par ce
que vous appelleriez des grilles ou des méridiens ou des schémas
d’énergie corporelles, mais elles ne viendront plus de cette manière. Ça
vient différemment.
Elle peut vraiment, vraiment vous
rejeter. Elle peut vraiment se glisser en vous… Combien ont eu des
drames ces dernières semaines ? Je fermerai les yeux. (rire, un bon
nombre de mains se sont levées) ouais. Et c’est juste du drame avec les
autres - d’autres personnes en dehors de vous. Combien ont eu du drame
avec eux-mêmes ? (quelques mains se lèvent) ou un traumatisme avec
vous-même ? Oui, oui.
KERRI : Que diriez-vous des nuits sans sommeil ?
ADAMUS : Nuits sans sommeil. Oui. Vous êtes trop allée faire la fête récemment dans les autres royaumes. Ouais, ouais.
Mais cette énergie entre. C’est très
chaotique, mais comme nous l’avons déjà dit, le chaos n’est pas vraiment
chaotique. Il est juste différent - ce ne sont pas les mêmes schémas -
différentes mesures, différentes façons d’entrer. Il entre pour être là
pour vous.
Une partie de cette énergie du chaos est
ce que vous appelleriez de la vieille énergie vibratoire. Cette partie
que vous avez utilisée, mais de toute manière il entre, ce n’est pas
vous. Une partie d’elle est de la nouvelle énergie.
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec
la nouvelle énergie, pour ceux qui sont toujours dans la dualité et qui
veulent vraiment s’accrocher à elle, la nouvelle énergie les dépassera.
Elle ne va pas se gaspiller ; elle sera un peu comme un cycle, elle
reviendra et se posera plus tard.
Pour vous qui êtes conscients d’elle, vous pouvez la manier, vous pouvez
respirer en elle - et respirer en elle dans un état d’acceptation
totale de vous-même et de tout autour de vous, même cette personne qui
est à côté de vous en ce moment et qui veut vous pousser, acceptation
totale, ouais – elle est à votre disposition.
Quel est le cœur du problème ?
Maintenant, une chose intéressante que
j’ai notée ces dernières semaines est que cela heurte certains
profondément, comme il se doit. On peut se sentir minable, mais cela
vous frappe au plus profond. Donc la question que j’ai pour vous
maintenant est : quel est le cœur du problème ? Quel est ce problème
majeur qui fait mal ? Je vais demander à la belle, la charmante Linda
d’aller dans l’assistance avec le micro.
EDITH : Oh, j’ai pensé que vous alliez lui poser la question.
ADAMUS : Je vais lui demander aussi, mais quand elle sera d’abord dans l’assistance.
Donc, Linda, choisissez le volontaire
que vous voulez, il y a en fait deux questions que cela amène en ce
moment. Qu’est-ce que c’est ? Oui. Merci de ne pas lever la main mais de
prendre le micro.
JANV. : Je ne suis pas vraiment sûre.
ADAMUS : Ressentez. A côté de votre souffle. Ou (riant) fermez les yeux et prenez une respiration ! (rires)
LINDA : Mauvaise idée !
JANV. : Je
pense à quelque chose, vous savez, un traumatisme qui m’est arrivé dans
ma vie cette semaine. J’ai perdu un animal familier, et j’ai senti
comme si mon coeur était brisé, et remettre les morceaux ensemble
maintenant a été une très intéressante, um… tout à l’air un peu
différent. Je ne sais pas comment je vais avoir l’air différent après
avoir remis les morceaux ensemble.
ADAMUS :
Donc, quel est le cœur du problème ? Quel est le cœur du problème ?
Cette énergie a frappé quelque chose. Qu’est-ce que c’est ? Et vous
m’avez presque donné la réponse. Vous dansez autour. Problème principal.
D’ailleurs, beaucoup d’animaux familiers
vont partir. S’il vous plait, ne soyez pas consternés quand ils le
feront. Ils partent pour une raison : (a) l’énergie est très intense,
ils veulent partir ; (b) ils vont revenir. Ils vont revenir comme, vous
diriez, pour être avec vous des animaux familiers encore plus intimes.
Donc, le problème majeur.
JANV. : Umm… (longue pause) je ne suis pas sûre. Juste… m’accepter ?
ADAMUS : Eh, vous ne croyez pas vraiment à la réponse, mais je l’écrirai quand même
JANV. : Merci.
ADAMUS :
Vous vous dites : « c’était vraiment le genre de réponse médiocre. »
Mais je l’écrirai, parce que vous savez et je sais que ce n’était pas
exact. (rires) mais nous l’écrirons.
Ok, suivant. Quels sont les difficultés majeures ? Il y a deux
difficultés majeures qui viennent maintenant pour vous - pour Shaumbra.
Pas pour tout le monde dans le monde, mais pour vous.
CAROLYN : J’ai pris conscience que mon coeur est…
ADAMUS : (Il l’arrête) je voudrais juste me tenir plus près de vous.
CAROLYN : D’accord, moi aussi. (ils s’étreignent). J’ai pris conscience que mon coeur est gigantesque.
ADAMUS : Oui.
CAROLYN : Et que ma capacité de me saboter est également grande.
ADAMUS :
Ah ! Bien, bien. C’est… ne me donnez pas le micro. Ils m’en ont déjà
donné un. Alors sabotage. (il l’écrit) oui, bien. Suivant ? Le cœur du
problème. Ne demandez pas à Aandrah. Elle sait déjà.
VINCE : Je pense pour moi que le problème essentiel est la perte, la réalisation de la perte.
ADAMUS : Perte. Perte de ?
VINCE : Tout ! Tout !
ADAMUS : C’en est un bon. Bien. Oui. Comment vous sentez-vous ? … ils disent de prendre un micro.
VINCE : Vide.
ADAMUS :
Ouais. Ouais. Ce n’est en fait pas une mauvaise chose. C’est une chose
difficile, mais ce n’est pas une mauvaise chose. De (ce que
j’appellerais) une perspective endormie, c’est difficile. D’une
perspective éveillée, c’est tout à fait beau. Alors, nous nous
réveillerons dans pas longtemps. Donc perte.
D’autres ? Les difficultés majeures. Deux d’entre elles. Je sauterai en
l’air quand vous les aurez.
CATHY : Je
dirais la vieille énergie contre la nouvelle énergie. La vieille
énergie étant confrontée et libérée de sorte que vous puissiez faire de
la place pour que la nouvelle énergie remplisse le vide.
ADAMUS : L’ancien contre le nouveau. Appelons-le dualité ?
CATHY : Oui.
ADAMUS :
Ok, dualité. Et d’ailleurs, ces choses sont toutes affectées par cette
énergie du chaos qui entre - des vagues et des vagues de cette énergie.
Si vous pouviez la voir ou la comprendre, vous deviendriez submergés et,
bien, c’est une autre histoire. Le cœur du problème.
PAUL : Mon mental est flippé. (quelques rires)
ADAMUS : Bien ! Bien. Je vais d’abord vous donner une étreinte.
PAUL : Super. Merci. Merci.
ADAMUS :
Et te donner une récompense d’Adamus, parce que vous et moi avons
travaillé à ça pendant longtemps. Vous avez été dur. Vous m’avez testé
de toutes les manières. Quand nous parlons de sortir du mental… comment
voulez-vous l’appeler ? Laisser aller le mental ? Aller…
PAUL : Je sais, c’est une chose difficile.
ADAMUS : Au delà du mental.
PAUL : Oui, au delà du mental.
ADAMUS :
Ok. Vous avez été… (il écrit) au delà du mental. Ce serait bien pour
vous que vous enseigniez, pour former les autres, parce que vous avez
été vraiment têtu, vous vous êtes réellement agrippé à ça. Et est-ce que
cela vous dérangerait de partager avec les autres ce qui se produit
quand vous laissez vraiment aller ?
PAUL : La paix.
ADAMUS : Bien.
PAUL : L’équilibre.
ADAMUS : Ouais.
PAUL : Le bonheur.
ADAMUS : Bien. Excellent. Ce n’est pas aussi mauvais que ça semble l’être.
PAUL : Non, mais ça peut être effrayant.
ADAMUS :
Très effrayant. Très effrayant si vous perdez votre mental, si vous
allez au delà du mental quand vous êtes endormis. C’est une chose très
difficile. Et vous devez (vous tous) accepter que vous êtes toujours
endormis. Vous êtes. Votre mental essaye de se réveiller et il ne peut
pas, parce que c’est votre mental qui vous endort en premier lieu. Cela
devient une tâche impossible.
Laisser aller c’est (comme la poésie l’a
dit) – la compréhension que vous rêvez dans votre sommeil. Vous rêvez -
c’est comme un film de science-fiction ! - vous rêvez de ce qui
pourrait être. Vous rêvez des temps qui étaient, ou des temps qui sont.
Ce n’est pas réel. Ça semble seulement réel. Nous irons voir ça dans un
moment.
Quelqu’un d’autre. Le cœur du problème. Qu’abordons-nous vraiment maintenant ?
ALAYA : Pour moi avoir été dans des rapports de contrôle pendant 16 ans …
ADAMUS : Oui.
ALAYA : Il y a deux semaines…
ADAMUS : Et pourquoi contrôliez-vous ?
ALAYA : Je l’ai permis.
ADAMUS : Ouais. Non, pourquoi contrôliez-vous ?
ALAYA : Non, j’étais contrôlée.
ADAMUS : Vraiment.
ALAYA : Ouais. Bien, j’ai…
ADAMUS : Ok.
ALAYA : Ok. Je l’ai permis. Je le permets. J’ai dit oui.
ADAMUS : Oui.
ALAYA : Et
j’ai réalisé que je ne voulais plus vivre cette relation, il y a deux
semaines, le 20 du mois, j’ai pris ma fille, je suis sortie de cette
relation et je suis allée dans un refuge sûr pour femmes.
ADAMUS : Oui, bien.
ALAYA : Pour moi le cœur du problème c’est recevoir des autres et être souveraine.
ADAMUS : Exactement. Comment puis-je me définir ?
ALAYA : Absolument.
ADAMUS :
Bien. Maintenant, vous avez toujours de l’énergie résiduelle qui va
continuer à jouer avec ces jeux. Et je ne plaisantais pas quand j’ai
dit : « qui contrôle ? » Vous aimez penser que vous étiez contrôlée, et
chaque preuve que vous avez avec votre… chaque sens vous disait que vous
étiez contrôlée, et vous allez vous battre avec moi tout la journée.
Quand vous réaliserez que vous
contrôliez - et ce n’est pas un jugement, c’est une observation – vous
n’aurez pas à rester dans un quelconque refuge sûr autre que le votre.
Le jeu est encore joué en ce moment. Le drame est toujours là. Une
partie de vous en fait le crée, le contrôle, le manipule.
Au moment où vous pouvez vraiment
laissez aller ça et le moment où vous comprenez que vous ne pouvez pas
blâmer les autres du contrôle dans votre vie, seulement regarder à
l’intérieur, vous n’aurez plus besoin d’être dans un refuge sûr, quelque
part à l’extérieur. Vous allez entrer dans votre vie. Il n’y aura
aucune peur pour vous, pour votre enfant, pour personne d’autre. Et ce
que vous sentez être une situation dangereuse va s’évaporer.
ALAYA : Je crois cela.
ADAMUS :
Cela va s’évaporer. Vous n’aurez plus à courir. Vous n’aurez pas à vous
cacher, parce que le contrôle, la course et la dissimulation vous
concernent – cela vient de vous. C’est tout ce que c’est.
Alors nous pouvons prendre une respiration profonde ici maintenant.
ALAYA : Ouais.
ADAMUS : Nous pouvons le laisser partir.
ALAYA : Je veux me connaître.
ADAMUS :
Ouais. Et pendant que nous passons du temps ensemble aujourd’hui, vous
vous permettez soudain de commencer à vous réveiller hors du rêve, vous
arrêtez la poursuite, vous arrêtez le contrôle qui a vraiment lieu, vous
allez avoir tellement de liberté que vous n’allez pas savoir quoi en
faire. Et vous allez venir me donner une grande étreinte.
ALAYA : J’ai eu des aperçus.
ADAMUS : Ouais.
ALAYA : Ouais.
ADAMUS : Ouais. Et savez-vous ce que vous avez à faire maintenant ?
ALAYA : Ah, respirer.
ADAMUS : Respirer.
ALAYA : Respirer. Ouais.
ADAMUS :
Et faire vraiment un choix. Avez-vous vraiment encore besoin de
contrôler les choses ? Avez-vous besoin encore de les contrôler ?
ALAYA : Non.
ADAMUS : Mais avant que vous disiez non, contemplez un instant ce qu’il se produit quand vous laissez aller tout ce contrôle.
ALAYA : Contempler…
ADAMUS : Ressentez. Que se passe t-il quand vous arrêtez le contrôle ?
ALAYA : Ce sera nouveau pour moi.
ADAMUS : Ce serait nouveau.
ALAYA : ça sera nouveau.
ADAMUS :
Et j’ai entendu le mot chaos. Oui, ça va vraiment être chaotique, et ça
va être inconfortable. Laissez-moi vous demander ici. Qu’est ce qui a
provoqué ce besoin de contrôler et donc d’attirer le fait de contrôler
les individus dans votre vie ? Ressentez juste ça maintenant.
ALAYA : Je ressens que j’ai eu de bonnes réponses ou j’ai eu une meilleure vision.
ADAMUS :
Bien. Deux récompenses. Absolument. Absolument, une sorte de ressenti de
justesse, comme je l’appellerais. Ça n’a pas d’importance de quand et
d’où c’est venu, mais c’était une sorte intéressante de justesse où vous
avez su ce qui était le meilleur pour vous. Et malgré ce que d’autres
essayaient de vous dire ou de vous forcer à faire, vous avez su ce qui
était le meilleur pour vous. Alors vous avez commencé à tout contrôler
autour de vous et ce contrôle apporte l’autre contrôle venant de
l’extérieur. Alors soudain vous devenez la victime de votre propre
contrôle, et cela vous force vraiment, dans un moment comme celui ci,
d’arrêter et de dire : « bien, ai-je besoin d’être aussi droite avec moi
ou avec les autres ? » Peut-être dans ce moment nous pouvons laisser
aller et juste accepter. Accepter. Belle, pure, simple acceptation.
C’est tout. Aucun contrôle. Aucune droiture. Aucune peur. Juste
l’acceptation.
Prenons chacun ensemble une respiration profonde. Ohhhh oui. Et ceci
demande un moment Hannibal. Regardez, nous avons libéré, nous avons pris
une respiration, et nous avons fait… (quelqu’un dit « alléluia ! "). Je
vais faire mieux que ça. Je voudrais… maintenant, je voudrais faire du
chaos. Chaos. Discordant. Sans modèle. Aucune chanson. Le Désordre
absolu. Pouvez-vous mener le chaos ?
HANNIBAL : Je peux mener le chaos !
ADAMUS : Oh ouais - vous co-o-o-nai-i-i-ssez le chaos !
HANNIBAL : Je sais comment mener le chaos !
ADAMUS :
Donc nous n’allons pas essayer de faire quelque chose de joli. Nous
allons essayer de faire quelque chose de laid. Nous allons faire du
bruit à partir d’ici et le laisser sortir. Je vais vous demander de vous
lever, et à Hannibal ? C’est le temps du chaos ! Chaos.
(Hannibal mène l’assistance pour faire beaucoup de bruits chaotiques)
ADAMUS : Chaos ! Chaos !
(Les bruits chaotiques continuent)
ADAMUS : Ok, bien.
HANNIBAL : Whoa !
ADAMUS : Whoa ! Merci. Bon chaos.
LINDA : Whoo ! Merci monsieur.
ADAMUS :
Laissez juste cette énergie s’en aller. Regardez, parce que si nous
avions essayé de la contrôler là, elle aurait un peu dévié le but. Il
est juste question de laisser aller. Ce n’est que de l’énergie. Elle est
simplement sans schéma, indisciplinée, c’est accepter totalement
l’énergie. Et cela fait des miracles – un peu de respiration, un peu de
chaos dans la voix.
Alors, ce n’était que de l’énergie.
C’était peut-être désagréable pour les oreilles ou même pour le corps
physique, mais certainement pas pour le mental, et j’ai vu certains de
vous essayer d’éviter le chaos en vous fermant. Mais, chers amis, en ce
moment, le temps est que nous sommes dedans, il y a beaucoup de cette
énergie qui rentre et c’est le chaos. Et elle ne vient pas de votre
passé. Ce ne sont pas les fantômes de votre passé ou de quelque chose de
ce genre. C’est frais. C’est nouveau. Ça s’est amélioré et ça vient de
là. (rire). Et c’est vraiment chaotique.
Donc quand vous êtes entourés de chaos
comme cela, ne le fuyez pas. Vous pouvez le respirer. Vous pouvez
l’accepter. Et il va aller directement servir vos choix.
Maintenant, prenons ce tourbillon d’énergie qui vient d’entrer, et
Hannibal êtes vous…
HANNIBAL : Je suis ici !
ADAMUS :
Une dernière fois. JE VOUS ORDONNE DE ME SERVIR ! (l’assistance hue et
pousse des acclamations). Il adore ça ! (rire) et il sait exactement
d’où ça vient.
HANNIBAL : Qu’allons-nous faire maintenant ?
ADAMUS : Maintenant nous allons prendre ceux qui étaient avec vous hier…
HANNIBAL : Oh oui !
ADAMUS : … et leur demander de se lever.
HANNIBAL : Oui !
ADAMUS :
Et nous allons faire… à partir du chaos une belle création. Vous la
menez. Vous la menez. Le groupe qui était ici pour l’atelier, s’il vous
plait, levez-vous
HANNIBAL : Peuvent-ils monter ici ?
ADAMUS : Absolument. Ce serait mieux.
HANNIBAL :
Venez ici, vite. Il y a assez d’espace. Faisons un rond. (environ 30
personnes viennent sur le devant de la salle) oh, ça va être bien !
Allez, bougez. Bougez les enfants, bougez ! (rire). Ne sont ils pas
beaux, ne sont ils pas beaux, ne sont ils pas beaux ? !
(applaudissements de l’assistance). Faisons le chaos.
(Hannibal les mène en faisant des bruits chaotiques)
Faisons le loup. (Ils font des sortes des bruits de loup)
Faisons les chattons. (Ils font des bruits de chat sauvages)
Faisons les chiots. (Ils font des bruits de chien)
Laissez sortir eeeeeeeeeeee… (ils chantent « eeeeeeee ")
Faisons ah. Ahhhhhhhhhhhhhhhhh… (ils
chantent l’ahhhh et l’ohhhhh et l’oooooo et l’eeeeeeee avec Hannibal qui
mène avec plusieurs variations)
Merci. Merci à tous. Merci.
(applaudissements de l’assistance)
ADAMUS : Alors, le cœur du problème. Ayons quelques commentaires,
quelques données. Le coeur du problème. Une grande boule de chaos entre,
elle dévaste certains, elle vous sort de l’équilibre, vous rend
soucieux et vous vous demandez ce qui ne va pas chez vous. Vous devenez
très mental. Elle est entrée dans votre cerveau. Mais quelles sont les
difficultés majeures - deux d’entre elles – qui vous affectent en ce
moment ? David ?
DAVID : Le jugement.
ADAMUS : Le jugement.
DAVID : Et pour moi on dirait qu’elle juge les autres, mais en fait c’est moi qui me juge.
ADAMUS : Bien. Comment vous êtes-vous jugé ?
DAVID : Durement.
ADAMUS : Durement. Quel était la pire façon de vous juger ?
DAVID : Très durement. (rire)
ADAMUS :
Quel était la pire façon de vous juger ? Je vous montrerai la mienne si
vous me montrez la vôtre ! (rire) svp. Je vous ai dit : `attendez
l’inattendu.’ Vous l’avez.
DAVID : Peut-être que je vais m’assoir. (rire)
ADAMUS : Peut-être que je m’assiérai avec vous alors. (rire) Etre mauvais comment ? (pause). Aussi mauvais.
DAVID : Aussi mauvais, ouais.
ADAMUS : Mauvais comme ça. Savez-vous combien de personnes vous allez aider en ce moment ?
DAVID : Bien, moi-même.
ADAMUS : Vrai. Le reste des autres n’a pas d’importance, n’est ce pas ?
Mais ne serait ce pas gentil si vous les aidiez aussi ?
DAVID : Oui. Oui.
ADAMUS : Vous saviez que nous allions faire ceci.
DAVID : J’ai oublié. (rire)
ADAMUS : Je n’ai pas oublié.
DAVID : Et l’acceptation de soi même est…
ADAMUS : Ouais. Nous dansons maintenant.
DAVID : Ok.
EDITH : Nous vous aimons David. Juste pour le dire.
DAVID : Umm… (pause) bien, en fait, je ne suis pas même sûr de votre question.
LINDA : David, vous avez levé la main.
DAVID : Je sais que je l’ai fait.
ADAMUS :
Quel problème cela vous a-t-il amené ? Vous avez dit le jugement ; quel
était ce jugement ? Qu’avez-vous entendu - ce n’est vraiment pas à vous,
mais vous l’avez entendu et vous l’avez senti, vous avez senti que le
poignard venait droit vers vous – qu’est ce que c’était ? C’est plutôt à
vous de le dire qu’à moi.
DAVID : C’est plutôt à vous de le dire qu’à moi. (rire)
ADAMUS : Non (beaucoup de rire) Je sais.
DAVID :
Et, bien sûr, le jugement de soi même, vous savez, qui jouait à
l’extérieur de moi. Je jugeais tout et tout le monde autour de moi. Mais
je savais que je me jugeais et que je ne m’acceptais pas moi même. Et
vraiment je n’acceptais pas mon mental ni mon cerveau. Je me battais
contre moi même d’être stupide.
Plus ?
ADAMUS : Allons à l’essentiel.
DAVID : Ok.
ADAMUS : Allons à l’essentiel.
DAVID : Je ne m’aimais pas.
ADAMUS : Ouais. C’est une façon gentille de le dire.
DAVID : Je doutais de moi.
ADAMUS : C’est une façon fantaisiste de le dire.
DAVID : Je ne m’acceptais pas.
ADAMUS : C’est une façon dégonflée de le dire. (rire)
DAVID : Je ne me suis pas aimé.
ADAMUS : On y arrive.
DAVID : Je me suis détesté.
ADAMUS : Hein, c’est probablement ça, mais pourquoi ? Pourquoi ?
DAVID : (longue pause) je ne suis pas sûr.
ADAMUS :
Ouais, um, un mensonge. Un mensonge. Ressentez que vous êtes un menteur.
Vous êtes un hypocrite. Vous êtes peut-être un manipulateur, et tout
est faux. C’était ce que j’ai perçu quand vous êtes arrivé au coeur.
C’est résistant. C’est coriace, et ça mène à la haine de soi. Ça vous
mène au manque d’amour, évidemment.
Quand vous sentez que tout est mensonge,
tout est plaisanterie, tout est jeu. Et alors vous entrez dans toutes
les histoires latérales - « J’aurais pu faire mieux. J’aurais dû faire
comme ceci. J’aurais préféré faire comme ça » mais quand vous arrivez à
ce point, c’est un gros mensonge. Alors n’est ce pas vrai ? Merci.
DAVID : Merci.
ADAMUS : Vraiment, merci.
DAVID : Merci.
ADAMUS : C’était pour tout le monde. (applaudissements de l’assistance)
LINDA : Purée, c’était un travail monstrueusement difficile. Je vais lui donner une partie de l’argent de Geoff !
ADAMUS :
Oh ouais, absolument. Et, vous savez, nous nous approchons, David. Vous
nous avez aidés à nous approcher de ce qu’est le cœur du problème. Je
vais prendre quelqu’un d’autre, et puis nous irons dans ma réponse, dans
ce que j’expérimente - et David observera comment cela circule dans ce
que nous venons de dire.
EDITH : C’est l’acceptation totale de toutes nos expériences, parce que nous sommes Dieu également et que je suis ce que je suis.
ADAMUS :
En quelque sorte. En quelque sorte, ouais, mais c’est, encore, une belle
manière de le dire. L’acceptation totale, la compréhension du Je Suis
ce que Je Suis, mais qu’a vraiment fait cette énergie quand elle est
rentrée ? Qu’est ce qu’elle vous a fait arrêter et vous a obligé à
considérer ? Et je vais le demander à Aandrah.
EDITH : Accepter juste toutes les expériences.
ADAMUS : Qu’avez-vous vu, Aandrah, ces dernières semaines, (fichtre !) qui a été à ce niveau. Quel était le problème ?
AANDRAH :
Quand nous croyons au mensonge, nous l’acceptons ici (tête), et il se
repose ici. Mais si je suis prête à le respirer à l’intérieur et à le
posséder… c’est très différent. Êtes-vous prêts à le manger, à le
recevoir, à le posséder et à le sentir dans chacune de vos fibres ? Vous
tombez amoureux. Vous tombez amoureux.
L’acceptation est toujours rejetée,
parce qu’elle est toujours ici (tête). Il n’est pas question
d’’acceptation, pour moi. Il est question de : quand vous la possédez,
quand vous la recevez, quand vous l’Êtes ? Quand vous l’Êtes … (Edith
commente) Okay. Pour moi l’acceptation reste ici (la tête) et elle
repose ici, mais c’est pourquoi je ne fais qu’inviter. Avec mon travail,
est ce que vous l’invitez à la maison et la possédez ?
Le véritable cœur du problème
ADAMUS :
Merci. Et, si je pouvais vraiment focaliser là-dessus, pas tout le monde
l’a expérimenté, mais beaucoup l’ont fait, ça va directement au centre
(au coeur). En particulier, comme je l’ai exprimé à David, quand vous
êtes en partie au coeur vous ressentez que vous avez vécu un mensonge,
que vous avez en quelque sorte été … en quelque sorte. Ce n’est pas un
mensonge délibéré. Vous ne cherchez jamais à faire ça, mais si vous êtes
toujours endormis, alors vous vivez un mensonge. C’est tout ce que
c’est
Et alors que s’est il passé ces dernières semaines, à cause des intenses
énergies du chaos qui entraient, - elles n’ont aucun équilibre et vous
ont vraiment rejetés – vous vous êtes demandés si vous vouliez être ici.
Avez-vous voulu être ici ?
C’est ce qui est venu ces dernières
semaines - voulez-vous vraiment être ici ? - ça pousse les boutons. Ça
pousse tout. « Est ce que je veux être ici ? » Et certains ont même peur
d’en parler. Vous avez même peur de vous l’admettre. Certains
repoussent cette pensée quand elle arrive. Quand ça vient, ça dit :
« pourquoi devrais-je même me réveiller demain ? ». Vous éloignez ces
pensées. Vous pensez que vous n’êtes pas censés avoir ces pensées.
Absolument vous pouvez avoir ces pensées.
Une partie de vous ressent que vous avez vécu un mensonge, parce que
vous n’êtes pas qui vous êtes vraiment. Alors vous dites : « pourquoi
devrais-je être ici ? » Et alors vous faites ces choses (j’espère que
vous vous rappelez certaines de nos conversations que nous avons eues
dans les autres royaumes, mais vous ne vous en souvenez probablement
pas) vous commencez à faire une liste de toutes les raisons pour
lesquelles vous devriez rester ici. Brûlez-la !
Pour vos enfants ? Allez. Parce que les
autres ont besoin de vous, parce que vous avez quelques affaires non
finies, parce que vous avez simplement peur de passer de l’autre côté,
parce que… chers amis, et si c’était le mensonge auquel vous pensez qui
était et que vous passiez de l’autre côté, ce serait vraiment un gros
mensonge ? (rires). Alors quoi ? Alors quoi ? Bigre, avez-vous raté
quelque chose ? ça arrive tout le temps. Pas nécessairement à vous, mais
ça arrive tout le temps. Alors quoi ? Whoosh ! Vous revenez directement
pour le faire encore une fois.
Donc cette énergie a eu cette énorme poussée. Elle va vers votre
problème et ne fait pas le travail, mais ce qu’elle fait est d’aller
dans la plus sensible, la plus fragile, vers cette corde fine à laquelle
vous vous accrochez et vous dit : « vous voulez être ici ? » et c’est
une bénédiction. C’est une étonnante bénédiction. Je sais que ce n’est
pas agréable, mais c’est une étonnante bénédiction. Cela fait partie de
la déstructuration, et c’est une partie qui vraiment vous encourage à
aller profondément à l’intérieur pour vous questionner : « pourquoi
voulez-vous être ici ? Pourquoi ? Pourquoi ? »
Vous sortir de l’hypnose est ce qu’elle
fait parce que vous (les humains en général) vous jouez la comédie jours
après jours, vous jouez la même chose, vous faites les mêmes choses
encore et encore, et quand vous arrivez à cette situation écrasante qui
dit : « pourquoi voulez-vous être ici ? » il est temps d’être très très
authentiques. Dans cette situation, comme David et d’autres pourraient
vous le dire, vous ne pouvez pas vous mentir. Vous ne pouvez pas.
Vous êtes cloués au sol. C’est vous et
vous et seulement vous. Je ne suis pas là. Les autres ne sont pas là.
Nous ne pouvons pas y être, et d’une certaine manière vous ne nous
laissez pas y être. Mais vous êtes cloués au sol et vous dites :
« pourquoi est ce que je veux être ici en ce moment ? »
Vous n’avez pas à montrer vos mains,
mais combien ont ressenti ça ? Souvent dans cette vie, j’en suis sûr,
mais maintenant c’est quelque chose de différent. Cela vous sort de
l’illusion. Ça vous l’extrait et vous ne pouvez plus vous raconter
d’histoires, ni aux autres. Ça l’extirpe hors de vous pour que vous
soyez vrais, et c’est ce qu’il se produit - et, d’ailleurs, cela
continuera à se produire pendant un bon moment. Vous pourriez tout aussi
bien l’affronter maintenant La plupart d’entre vous sont au milieu de
ça.
La prochaine question
Cette énergie qui entre, ce chaos, pose
également une grande question qui est la résultante de : « voulez- vous
rester ici ou pas ? » Elle dit : « qu’allez vous faire ? » Grande
question. Et c’est une question difficile, parce que vous dites, « bien,
je ne suis pas sûr de vouloir rester, et mince, je ne sais pas même ce
que je veux faire si je reste. »
Et le problème ici est que quand d’abord vous … vous avez ce chaos
massif qui entre. Vous avez La Grande Question - « vous voulez
rester ? » - et maintenant « qu’est ce que je vais faire si je reste ? »
et alors vous revenez ici (tête). Vous êtes de nouveau ici et vous
commencez à dire, « bien, peut-être que je veux faire… » Vous devenez
mental. Vous devenez mental à ce sujet, et vous commencez une sorte de
planification et, « bien, vous savez, je veux gagner beaucoup d’argent
et je veux être plus jeune et tout… » Tout ceci n’a pas d’importance.
Rien de tout cela n’a d’importance.
Votre véritable essence ne se préoccupe
pas de l’argent. Elle ne s’en préoccupe pas et ne devrait pas. Votre -
nous pouvons l’appeler votre âme, votre divin, votre vérité - elle
n’attache pas d’importance à l’argent ou à la santé ou spécialement aux
rapports avec les autres. Elle ne s’intéresse pas à votre look ou à
votre QI et ne devrait vraiment pas, n’est ce pas ?
Et si votre âme était prise dans un
problème d’abondance ? Ce serait vraiment mauvais ! C’est suffisamment
mauvais que l’humain soit pris dedans, mais que votre âme soit prise
dedans ? Et votre esprit ? Votre esprit ne s’inquiète pas de toutes ces
choses. L’esprit s’intéresse à l’amour du Soi. Se rappeler du Soi.
L’esprit (votre âme comme vous l’appelez) veut simplement que vous vous
réveilliez.
Il y a cet étrange rapport entre l’âme et l’humain. Si l’humain insiste
pour être endormi, l’âme jouera également comme si elle était endormie.
Si l’humain insiste en prétendant que c’est perdu, l’âme, dans sa divine
compassion, fera comme si c’était perdu. Voyez-vous comment cela
fonctionne ? C’est une sorte de réflexion.
Alors vous avez cette énorme quantité d’énergie qui vient vous demander
si vous voulez être ici et vous dit : « que voulez-vous faire ? » Et
elle ne parle pas des choses pratiques. Non « vous voulez devenir un
docteur, vous voulez être un guérisseur ? » Ce ne sont pas ces
questions.
Les questions sont : « comment vous
voulez expérimenter votre vie ? » Et, d’ailleurs, vous ne vivez pas en
ce moment, vraiment. Pas de la manière dont nous définissons les choses.
Vous rêvez dans votre sommeil. Vous rêvez dans votre sommeil. Vous ne
vivez pas encore. Vous allez bientôt le faire, mais pas encore.
Contre ces forces, certains essaient de résister, certains sont en
colère contre elles, d’autres essaient le « manteau gelé » avec beaucoup
de makyo (illusion) – et ça ne marche pas, parce que cette énergie que
vous avez appelée à un certain niveau est si forte qu’elle va
directement au cœur du problème. Que voulez-vous ? Que voulez-vous ?
EDITH : Pourquoi sommes-nous endormis ?
ADAMUS :
Pourquoi êtes-vous endormis ? Edith pose une excellente question.
Pourquoi dormez-vous ? Quelqu’un ? (Il y a quelques réponses que l’on
n’entend pas)
SHAUMBRA : Ce sont les règles avec lesquelles nous sommes venus.
ADAMUS : Disons les règles avec lesquelles vous êtes venus. Qui a créé les règles ?
SHAUMBRA : Nous l’avons fait
ADAMUS : Qui peut les annuler ?
SHAUMBRA : Nous pouvons
ADAMUS :
Non, seulement moi. (rire). Je voulais savoir si vous étiez réveillés.
Vous avez raison. Vous pouvez les défaire. Mais pourquoi aurait-ce été
une « règle » ? Pourquoi auriez-vous choisi cela ? (réponse inaudible).
Pardon ? SERVEZ-VOUS DE LA GROSSE VOIX AUJOURD’HUI pour que tout le
monde entende. Merci Hannibal !
EDITH : (en criant) ainsi nous pouvons rester sur terre !
ADAMUS : Ainsi vous pouvez rester sur terre. Bien, la terre est…
LINDA : Voilà. (elle apporte le micro). Il vous a fait le dire à haute voix. Redites le Edith.
ADAMUS : Allez-y.
EDITH : Je faisais juste la grosse maligne.
ADAMUS : Donc pourquoi êtes-vous endormie ? Pourquoi avez-vous choisi d’être endormie ?
EDITH : Je ne sais pas (quelqu’un dit « nous avons pensé que ce serait un jeu amusant.")
ADAMUS :
Un jeu amusant ? J’aime ça ! Oui. C’est en fait très vrai. C’est une
sorte d’amusement - jusqu’à un point. Jusqu’à un point, et alors ça… le
diriez-vous vraiment fort ?
KAY : Alors ça te vampirise (rires)
ADAMUS : Non, comme vous l’entendez. Comme se lever. Vous avez suivi le cours d’Hannibal hier.
KAY : ALORS CA TE VAMPIRISE
LINDA : Elle a suivi les cours d’Hannibal.
ADAMUS : Ce n’était pas très bien. Quelqu’un d’autre ?
LINDA : Attendez, je veux savoir ce que dit son jeune de 16 ans.
ADAMUS : Hannibal, pourriez-vous faire une démonstration sur la façon de le dire ? Allez-y.
HANNIBAL : Dire quoi ?
ADAMUS : ALORS CA TE VAMPIRISE
HANNIBAL : ALORS CA TE VAMPIRISE
ADAMUS : Nous y voilà ! Exactement. Oui.
MACKENZIE : C’est la façon facile. Il est plus facile de rester endormis que de se réveiller.
ADAMUS : Oui, mais pourquoi vous êtes allés dormir au début.
MACKENZIE :
Bien, c’est quelque chose de différent, alors on veut voir à quoi ça
ressemble. Et alors on veut se réveiller, mais c’est trop dur ainsi et
on décide de rester endormis.
ADAMUS : Très bien. C’est une récompense d’Adamus. Merci. Merci.
Oui, c’est trop dur et il y a trop de forces irrésistibles qui essayent
de vous maintenir endormis ; tout d’abord, vous-même et puis tout ce
qu’il y a autour de vous - la conscience de masse, vos enfants, votre
travail, votre peur - tout vous montre du doigt. Cela vous séduit pour
rester endormis, mais finalement, vous ne pouvez pas. C’est le point
positif. Finalement, vous ne pouvez pas.
Quoique cela prenne
Oh, vous pouvez prétendre pendant cent
mille ans être endormis dans un cristal, mais finalement, quelque chose
entre et dans ce cas là, c’est le chaos. Dans ce cas là, l’énergie
qu’une partie de vous a appelé a dit, « entre totalement, secoue moi
entièrement. Agite-moi. Ça m’est égal, parce que je ne vais plus rester
endormi. Ça m’est égal » Vous rappelez-vous avoir dit ça ?
Vous rappelez vous avoir dit : « ça
m’est égal ce que cela fera, je peux le gérer » (rires) ouais. « ça
m’est égal ce que cela fera » Je pense que nous devrions faire ça, et
vous Hannibal devez partir dans un moment. Je pense que nous devrions
faire cela ensemble, la chanson « ça m’est égal ». « ça m’est égal ce
que cela fera »
HANNIBAL : ça m’est égal ce que cela fera.
ADAMUS :
Et nous allons le faire dans le moment, vous voyez. « ça m’est égal ce
que cela fera ! » Chacun de vous a dit ça : « ça m’est égal ce que cela
fera. » Mais quand ça se passe ? Bien, nous y voilà, « Ohhhh. Pourquoi,
moi ? qu’est-ce que j’ai fait de travers ? » Ce que vous avez fait de
travers a été de dire : « ça m’est égal ce que cela fera ». Donc ….
HANNIBAL : C’est une chanson. « ça m’est égal ce que cela fera ».
ADAMUS : « ça m’est égal ce que cela fera ».
HANNIBAL : (joue du piano et commence à chanter) ça m’est égal
ADAMUS : ça m’est égal
HANNIBAL : ce que cela fera.
ADAMUS : Ce que cela fera.
HANNIBAL : « ça m’est égal ce que cela fera ». (Adamus chante avec lui)
Ça m’est égal.
ADAMUS : ça m’est égal
HANNIBAL : ce que cela fera (l’assistance se joint à lui)
ADAMUS : donnez-moi quelque chose !
HANNIBAL : ça m’est égal
ADAMUS : ça m’est égal
HANNIBAL : ce que cela fera
ADAMUS : Je prendrai n’importe quoi.
HANNIBAL : ça m’est égal (Adamus chante avec lui)
Ce que cela fera
ça m’est égal
ADAMUS : Je suis grand et fort !
HANNIBAL : Ce que cela fera
ADAMUS : Je suis meilleur qu’eux.
HANNIBAL : ça m’est égal
ADAMUS : Je peux le gérer.
HANNIBAL : Ce que cela fera
ADAMUS : Amenez-le.
HANNIBAL : ça m’est égal
ADAMUS : Je suis résistant.
HANNIBAL : ce que cela fera
ADAMUS : Cela vient à moi maintenant !
HANNIBAL : ça m’est égal
ADAMUS : ça m’est égal
HANNIBAL : Ce que cela fera
ADAMUS : Je suis le meilleur !
HANNIBAL : ça m’est égal ce que cela feraaaaaaaaaaaa !
ADAMUS :
ça m’est égal ! (rires et applaudissements de l’assistance) oh, je pense
que Cauldre vient de s’évanouir. (rire)
Vous vous rappelez avoir dit ça ? (l’assistance répond, « Yes."). Oui.
Pas d’une manière aussi jolie que dans la chanson, mais ça ressemble.
EDITH : cela fait 11 ans que nous avons dit ça.
ADAMUS :
ça fait 11 ans, puis ça vient et’ohhhhhhhh ! (avec un air de
pleurnicherie)
Donc cela va au coeur, et ce n’est pas une leçon. Maintenant, ce n’est
pas une leçon. Ce n’est pas parce que vous êtes une victime, ce n’est
pas parce que vous avez fait quelque chose de mal, ce n’est pas parce
que vous avez fait de mauvais choix, c’est parce que vous l’avez
demandé, et c’est ici. Avec des piques - ha ! (rires)
Bien, maintenant, passons à travers ça.
Donc cette énergie dit : « voulez vous
être ici ? » Vous et seulement vous pouvez répondre à ça, et ça ne peut
pas être un mensonge, parce que si vous essayez de mentir, elle va aller
directement au cœur de façon plus profonde. Vous pourriez dire que
votre esprit et vous êtes derrière ceci - derrière ce mouvement qui a
lieu - parce qu’il est temps de bouger. Il est temps de se réveiller.
Et vous pourriez dire que cela va rester
jusqu’à ce que vous répondiez. Vous ne pouvez plus avoir un pied dedans
et un pied dehors. Vous êtes ici ou vous êtes partis. Partir n’est pas
si mauvais. Nous vous promettons une belle chambre, (rire) trois repas
par jour et des domestiques.
Je plaisante ! (rires)
En fait, il y a quelques Shaumbra qui
ont traversé et qui s’amusent bien parce que c’est très éthéré là haut.
(l’assistance réagit à sa mauvaise blague). Ils ont passé un temps
merveilleux à travailler avec vous, et parfois ils veulent juste vous
secouer (il secoue quelqu’un) mais je ne les laisserai pas faire. Je
suis le seul qui peut vous secouer ici !
Donc ce n’est pas si mauvais. Ce n’est pas si mauvais. Mais vous êtes
résistants, vous êtes déterminés et vous allez rester. Vrai, Mlle
Stupéfiante ?
KATHLEEN : Absolument.
ADAMUS :
Absolument. Même lorsque vous êtes quelque peu déprimés et que tout à
l’extérieur semble être complètement fou, vous vous demandez - vous vous
demandez – ce que vous êtes censés faire ici ?
KATHLEEN : Oui.
ADAMUS :
Oui. Tout ce que vous voulez. Tout ce que vous voulez Tout ce que vous
voulez
Donc elle vous demande : « voulez-vous rester ? » Et elle va continuer à
vous le demander. Vous ne pouvez pas l’éviter. Vous ne pouvez pas le
remettre au lendemain. Elle va continuer à vous demander « voulez-vous
être ici ? » et vous devez être authentiques.
Et puis que faites-vous. Que
faites-vous ? Bien, c’est en partie ce dont je voudrais discuter un peu
plus aujourd’hui. Que faites-vous ? Tout d’abord, pour commencer, vous
n’êtes pas capables d’imaginer dans la conscience où vous êtes
maintenant, et avec le mental, vous ne pouvez pas savoir ce que vous
allez faire. Vous ne pouvez pas l’imaginer. Hannibal, avez-vous imaginé
il y a un an que vous seriez ici ?
HANNIBAL : Non, je ne pouvais pas, pas du tout.
ADAMUS : Vous ne pouviez pas………non
HANNIBAL : Non.
ADAMUS :
Non, parce que votre conscience et votre mental qui travaillent ensemble
ne pouvaient vraiment pas l’avoir imaginé. C’était un potentiel qui
n’était même pas visible.
HANNIBAL : Vrai.
ADAMUS :
Mais vous avez pris d’autres décisions qui ont créées ces autres choses.
Pourriez-vous dire qu’elle était la plus grande des décisions
individuelles que vous avez prises.
HANNIBAL : Prendre une respiration !
ADAMUS : Merci. Et dire…
HANNIBAL : Et dire OUI ! ! !
ADAMUS :
Oui ! Vous voyez combien c’est simple ? Il n’a pas eu à dire : « je
veux ceci, je veux cela. » Il n’a pas dû faire sa liste de courses en
disant, « je dois aller à ‘L’Amérique a du talent’ » ou « je dois
chanter devant un groupe de 80.000 personnes demain, » ce que vous
ferez.
HANNIBAL : Vrai.
ADAMUS : Il n’est pas allé ce niveau. Il a dit : « OUI ! »
HANNIBAL : Oui !
ADAMUS :
Oui ! C’est tout ce qu’il a dit. Je sens une chanson venir. (rire) oh !
Mais le temps passe vite, nous ferons la chanson du oui bientôt.
Il a dit oui, et quand il a dit oui tout a commencé à bouger. Et puis,
c’est exactement ce dont je parlais plus tôt, l’expérience dans le
moment. Ça arrive juste dans le moment. Soudain, on vous appelle, de
nulle part, « Apparaîtriez-vous dans le Show de ce soir ? »
« Apparaîtriez-vous devant un groupe de 80.000 personnes ? » Vous ne
l’avez pas prévu.
HANNIBAL : Non.
ADAMUS : Vous l’avez accepté. Oh ! Retour vers l’acceptation.
HANNIBAL : Quand j’ai dit oui, j’ai senti comme si j’étais l’univers entier.
ADAMUS :
Exactement. Exactement, et dans l’univers entier vous pouvez dire oui à
ce que vous voulez et laissez les autres s’en aller. Vous n’avez en fait
plus jamais à dire non. Simplement laisser les autres s’en aller.
Nouveaux potentiels dans le moment
Parlons une minute environ – en
reprenant ce dont nous avons parlé le mois dernier – au sujet des
potentiels. Nous avons parlé du fait que l’énergie circulait comme ceci,
plutôt que de façon horizontale. (il dessine des ondes horizontales)
soudain, elle change et fait comme ceci. (il dessine des ondes
verticales). Elle circule de façon linéaire. C’est ici que sont les
potentiels maintenant, ici dedans, dans cet espace. (à l’intérieur des
boucles de l’onde).
Les potentiels venaient d’ici (à
l’extérieur de l’onde) et étaient attirés par la dynamique de l’onde.
L’onde a attiré l’énergie qui a amené les potentiels que vous avez
contemplés dans le passé quand vous êtes passés par le mur du feu.
Est-ce que ça a du sens ? En d’autres termes, dans l’ancienne énergie,
l’ancienne onde allait comme ceci (horizontale), et selon l’équilibre de
l’onde, elle attirait des énergies de l’extérieur qui manifestaient
alors les potentiels que vous avez contemplés quand vous êtes partis de
la Maison. Alors vous avez amené dans votre vie la situation appropriée.
C’est un peu différent maintenant. C’est très différent maintenant.
Vous changez totalement la manière de le gérer, de traiter avec
l’énergie, la conscience et la manifestation.
La manifestation ne vient pas comme résultat de vos pensées. Non. Pas du
tout. Vous avez essayé de trouver votre chemin au milieu de tout ce
fatras. Vous essayez toujours de faire cela. Vous essayez de penser ou
de visualiser - faites moi confiance, ça ne marchera pas pour vous
maintenant. Ça a un certain succès pour quelques autres personnes, mais
ça ne marchera pas.
Ce qui se passe maintenant c’est que les
potentiels ne viennent plus de l’extérieur, et que l’énergie ne vient
plus de l’extérieur. Vous n’avez pas besoin d’appeler ou de faire entrer
quoi que ce soit. Tout est dans le moment. Tout est dans le moment.
L’énergie est dans le moment. L’énergie est déjà ici maintenant, en
d’autres termes. Vous n’avez plus à attendre que la vieille situation de
‘cause à effet’ de `’ ait lieu, et cela va être l’une des choses
comportant le plus de défi avec laquelle vous allez avoir à travailler,
parce que vous étiez habitués à la cause à effet - quelque chose se
produit, quelque chose vient comme résultat à cela. Ça ne fonctionnera
plus de cette façon. Il y aura une période de transition, naturellement.
Les potentiels ne vont pas venir de ce
que vous avez expérimenté dans le mur du feu - passant par cette zone,
venant dans cette réalité, et l’énergie ne va pas venir de l’extérieur.
Cela se produit absolument dans le moment. Nous avons fait la chanson
dans le moment, Linda a écrit dans le moment, Hannibal a chanté dans le
moment - vous allez expérimenter cela dans vos vies. Pas nécessairement
en écrivant et en chantant, mais expérimenter d’être dans le moment. Il
va y avoir une tendance à vite vouloir sortir de là quelque part
ailleurs pour avoir la réponse ou retourner, de nouveau dans les
souvenirs, dans les expériences précédentes pour avoir la réponse. Cela
va vous stopper net.
Vous allez devoir vous arrêter un
instant, prendre une respiration profonde et réaliser que l’énergie et
le potentiel sont déjà là. Le potentiel……..c’est intéressant parce que
le potentiel est dans le moment. Ça ne s’est pas passé « il y a
longtemps » pour que vous le rattrapiez maintenant. Le potentiel serait
probablement difficile à… Hannibal nous vous verrons à Oakland !
(Hannibal part prendre un avion, l’assistance lui dit au revoir).
LINDA : Au revoir Hannibal ! Au revoir Hannibal !
ADAMUS :
Faisons-le ensemble. Au revoir Hannibal ! J’aurai mes vêtements de
fierté demain ! (jeu de mot avec Pride (fierté) et Gay pride) (il se
référant au défilé de Gay Pride où il est allé chanter)
HANNIBAL : Oui ! (rire)
ADAMUS :
Je serai avec lui au stade demain !
Donc les potentiels sont ici maintenant, mais si vous essayez d’y aller
mentalement et d’essayer de vous les représenter à l’avance, vous ne
serez pas en mesure de le faire. Ça aura l’air très confus mais ça ne
l’est vraiment pas. C’est terriblement simple, merveilleusement simple -
merveilleusement simple.
Les
potentiels ne viennent plus de l’endroit d’où ils venaient avant ; ils
viennent d’un nouvel endroit. Pour vous personnellement dans vos vies,
l’énergie ne viendra plus de là où elle venait avant ; elle va venir du
moment. Tout se passe dans le moment, et devinez qui n’aime pas ça ?
(quelqu’un dit « le mental "). Le mental et ? Vos aspects. Ils n’aiment
pas ça du tout. C’est inconfortable pour eux, ils ne sont pas habitués à
ça, ils sentent définitivement qu’ils perdent leur contrôle, parce que
c’est là où ils travaillaient. Ils ont travaillé à partir du passé, et
ont fait beaucoup de promesses pour le futur. Mais les aspects -
dysfonctionnels ou les aspects déconnectés - n’aiment pas du tout le
moment présent. Non, non, non. Ils traînent dans le passé, et ils jouent
avec le futur.
Donc ils ne l’aiment pas du tout. Donc
que va-t-il se passer ? ça prend l’aspect d’une émeute (rires). L’aspect
d’une émeute. Ouais ! Absolument ! Ils ne l’aiment pas du tout et ils
vont vous dire quel drôle d’humain (quelqu’un dit « merde ") qui a dit
le gros mot ? Nous ne jurons pas ici. (rire)… que vous êtes un drôle
d’énergumène.
Alors ils vont s’organiser. Ils vont s’organiser les uns avec les
autres. Ils vont même aller jusqu’à accepter de travailler les uns avec
les autres, ce que normalement ils ne font pas. De quoi vous
inquiétez-vous ? Vous avez intégré tous vos aspects ! (rire) Norma,
Aandrah, je pense que votre téléphone va être occupé. Mais de toute
façon, non, ils ne vont pas aimer, parce que c’est sans précédent pour
eux. Ils vont être en colère contre vous, John, parce que vous changez.
Ils vont dire que vous avez tort. Ils vont le dire à chacun de vous,
mais je choisi Frère John. Ils vont dire que vous avez complètement
perdu les pédales Combien de programmes avez-vous eus, John ? Dites-le
au hasard.
JOHN : Beaucoup.
ADAMUS : Beaucoup. Et beaucoup serait combien ? Quatre ?
JOHN : Je ne sais pas.
ADAMUS : Quatre millions probablement.
JOHN : Probablement.
ADAMUS :
Et pour tout le monde. Ils vont dire : « est ce que c’est un autre
programme ? Êtes-vous un drogué de toutes ces méthodes, de tous ces
programmes, de toutes ces nouvelles choses ? » Ah, ils vont entrer. Et
ceci étant dit, c’est le moment parfait pour les inviter à la maison.
Vraiment. Vraiment. Ce n’est pas un moment pour argumenter avec eux. Ce
n’est pas un moment pour jouer avec eux. Ce n’est pas un moment pour les
laisser se déchainer. Dites « je vous invite à revenir, parce que nous
permutons. Nous changeons. Nous devenons sans polarité. Nous prenons un
tout nouveau chemin. Il est temps de monter dans le train divin ou nous
allons vous laisser derrière. Il est temps. Nous avançons. Nous
avançons »
JOHN : Alléluia.
ADAMUS :
Qu’est ce que je dis ici… qu’est ce que je dis ici ? (rire) je dis que
c’est une vraie pagaille. Et je dis que le chaos est correct. Je dis que
la façon dont les choses ont été faites avant ne sera plus la façon
dont les choses seront faites.
En fait vous n’avez pas beaucoup à
faire. Vous n’avez pas à aller jusqu’à vous battre, s’il vous plait.
Vous n’avez pas à boire 45 litres d’eau par jour ; 12 ou 13 suffiront.
Il n’y a pas beaucoup d’autre (mot-clé depuis notre dernière rencontre,
svp, j’espère que vous l’avez compris dès la première fois) mot clé
depuis notre dernière rencontre qui consistait en une chose que je vous
avais demandé de faire, une seule chose. (l’assistance dit,
« Accepter.").
Accepter. Je vous aime tous. Accepter.
C’est ça. C’est ça. C’est ça. Tout le reste est Makyo. Ouais. Qu’est ce
le makyo ? (l’assistance, « connerie."). Vous n’êtes pas censés jurer
dans cette pièce. (rires). Mieux vaut vous que moi.
C’est ça. Accepter. Comment pouvez-vous vraiment accepter ? Vous prenez
une respiration profonde. Wouah ! Et peut-être vous chantez un peu,
parce que le chant l’exprime de lui-même. C’est ça. C’est ça. C’est ça.
Rêves de magiciens
Je me tiens ici aujourd’hui (j’arpente
comme le dit Cauldre) aujourd’hui. Il souhaiterait que je m’asseye,
alors je m’assoie ici aujourd’hui (rires parce qu’il touche à peine la
chaise et puis se lève encore), et je parle dans cet environnement peu
commun. Je parle à un groupe de magiciens qui se sont mis eux-mêmes en
sommeil, faisant semblant d’être endormis, voulant se réveiller, mais
feignant de ne pas savoir comment se réveiller. Dormir. Dormir. Rêver
dans votre sommeil. Rêver de qui vous pourriez être. Rêver. Rêver de
tout ce que vous pourriez être. Et vous commencez à le devenir dès le
moment où vous acceptez que vous pouvez vous réveiller. Cela se fait
quand vous vous réveillez - au moment où vous acceptez que vous pouvez
vous réveiller. Et vous pouvez. Arrêter de penser à ça ; acceptez-le.
Une
énorme quantité de chaos entre, et pour vous, ça n’a pas à être le
chaos. Le monde entre dans un chaos schizophrène en ce moment. Whoo - si
vous pouviez seulement voir ce que nous voyons, si vous pouviez voir
les mesures que nous prenons, le monde est en train de devenir fou et va
l’être encore plus et ce n’est pas pour vous. Ce n’est pas pour vous.
Quand vous lisez les gros titres, certains sont terriblement anxieux -
« le monde tombe en morceaux » - bien, ouais ! (rires) vraiment ? Que
dit Cauldre - « le maître de l’évidence » - ok, maintenant, allons à la
prochaine étape. Oui, le monde s’effiloche.
Et vous savez quoi ? Si vous observez ses schémas, vous allez vous voir -
vous il y a 20 ans, vous il y a dix ans. Vous savez, vous pouvez tous
être des prophètes instantanés dans votre propre temps. Vous savez
comment ? En jetant un coup d’oeil au monde et en le comparant à ce que
vous étiez il y a dix ans, cinq ans, trois ans. C’est la direction qu’il
va prendre. Il va vaciller. Il va tomber en morceaux. Il va se
combattre lui-même. Il va avoir quelques jours glorieux. Il va se
mentir. Il va se détester et vouloir se cacher de lui-même.
Vous pouvez prédire les finances. Vous
pouvez prédire la politique. Vous pouvez prédire tout ça, parce que
c’est par là que vous êtes passés. C’est ce qu’il se passe dans le
monde.
Il passe par son propre chaos, et il passe par son propre éveil, juste
comme vous quand vous êtes passés par votre propre éveil. Mais je dois
dire - quelle est votre expression ? Le spectacle est prêt maintenant.
Soit vous vous réveillez ou, bien… je ne l’ai pas dit, mais soit vous
vous réveillez soit vous commencez à exister dans un autre royaume. Ou
vous vous réveillez ou votre corps physique et votre mental ne voudront
pas vouloir rester. Rester pour quoi ? Plus de misère ? Plus de
déception ? Plus de jeux ? Ou vous vous réveillez ou vous passez à autre
chose.
Alors avec ça, chers Shaumbra, respirons
ce chaos. Il est ici, parce que vous l’avez appelé, Kay. Il est ici
parce qu’il vous sert comme toutes les énergies vous servent.
Cela a été un délice d’être ici
aujourd’hui. C’était bizarre d’être devant tant de magiciens qui font
semblant d’être endormis.
Avec ceci rappelez vous comme toujours, que tout est bien dans toute la
création. Chantons ensemble cela. (l’assistance se joint à Adamus). Tout
est bien dans toute la création ! !
Par conséquent, je suis Adamus du domaine souverain. Adieu
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Les matériaux du Cercle Cramoisi avec
Tobias, Adamus Saint-Germain et Kuthumi Singh lal sont offerts
gratuitement depuis août 1999.
Le cercle cramoisi est un réseau global d’anges humains, appelés
Shaumbra, qui sont parmi les premiers pour la transition dans la
nouvelle énergie. Tandis qu’ils expérimentent les joies et les défis de
l’ascension, ils deviennent les standards pour les autres humains dans
leur voyage de découverte du Dieu intérieur.
Le cercle cramoisi se réunit
mensuellement à Denver, dans le Colorado où Adamus présente la dernière
information à travers Geoffrey Hoppe. Ces réunions du Cercle Cramoisi
sont ouvertes au public et tous sont les bienvenus.
Si vous lisez ceci et ressentez un sens
de la vérité et une connexion, vous êtes en effet Shaumbra. Vous êtes un
professeur et un guide pour les humains et les anges. Permettez à la
graine de la divinité de fleurir en vous maintenant et durant les temps
qui viennent. Vous n’êtes jamais seuls, parce qu’il y la famille autour
du monde et les anges dans les royaumes autour de vous.
Vous pouvez distribuer librement ce
texte sur une base non-commerciale et gratuite. Veuillez inclure les
informations en leur totalité, y compris ces notes. Toutes autres
utilisations doivent être approuvées par écrit par Geoffrey Hoppe,
Golden, Colorado. Voir la page de contacts sur le site Web :
www.crimsoncircle.com
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