LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série e-2012
SHOUD 10 : “La Fin de l'Evolution” – ADAMUS, canalisé par
Geoffrey Hoppe
Présenté au Crimson Circle
Le 2 Juin 2012
www.crimsoncircle.com
Je suis Adamus, du
Royaume Souverain.
Vais-je oser ouvrir
les yeux de Cauldre ? (rires) (Sart dit « Ouais, c'est sans
danger ». C'est en sécurité. C'est sans danger de contempler ces humains
étonnants, ces anges, ces grands êtres qui oublient parfois qui ils sont. Ces
grands êtres qui parfois, prennent l'habitude de la souffrance, du manque, mais
toujours de grands êtres, quoi qu'ils fassent.
Nous avions
l'habitude d'appeler ceci l’École de la Nouvelle Énergie. Changeons cela, en
prenant une profonde respiration. Appelons-la l’École de la Vie de l'Ascension,
chers Shaumbra. C'est ce que nous faisons ici. L’École de la Vie de
l'Ascension. Hm.
Ah oui, s'il vous
plaît, ma tenue pour ceci... quelque chose d'un peu plus... oh, le manteau
d'abord, bien sûr. (quelqu'un a laissé une cape et un chapeau pour Adamus, et
David la pose sur lui ; le public répond « Ah ! ») Je vous
remercie. Elle doit être nouée devant. (rires) C'est très approprié. Un peu
comme une sorte de vampire.
Édith : On revient à
Dracula. (David termine de nouer la cape)
Adamus : Ah, je vous
remercie.
David : Et maintenant,
votre chapeau, monsieur. (en lui offrant le grand chapeau avec une plume)
Adamus : Ah non, votre chapeau.
(rires) Celui-là ! (pointant le béret pourpre de David Ne me donnez pas
celui-là, mais le vôtre. (David s'exécute, le public répond
« Ah ! ») Ah, mon messager a une grosse tête.
David : En effet.
Adamus : Ah oui. Et des photos,
s'il vous plaît. Ah. Avec vous, ma belle, s'il vous plaît.
Linda : Qu'est-ce que je
fais ici ? (quelqu'un lui a donné une perruque violette, de style 17ème)
Adamus : Pour les photos.
(rires et applaudissements alors qu'ils posent ensemble). Je vous remercie.
Bienvenue à l’École
de la Vie de l'Ascension. (riant) Pour ceux qui écoutent pour la première fois,
oui, nous faisons des choses un peu différentes, ici. On rit, on se met sur son
trente-et-un, on chante, on joue la comédie, on est scandaleux, on est
sauvages, on est fous et on revient.
Il a été fait une
petite plaisanterie, le mois dernier.
Linda : Je suis désolée. Ce
n'était pas... ce n'est pas à vous, à proprement parler. Comprenons-nous bien.
Adamus : Je vous remercie.
Linda : Mon dieu. David, David,
David. (Linda ajuste la cape)
Adamus : Hm. Il a dû
renoncer à son chapeau.
Le mois dernier, si
vous vous souvenez, quelqu'un du nom de Sarducius (beaucoup de rires alors
qu'il se réfère à Sart), Sarducius vous a tous hypnotisés, à votre insu. Vous a
fait vous habiller dans des tenues profanes. (rires alors qu'Adamus se réfère à
la plaisanterie faite à Adamus avec les T-shirts, lors du Shoud précédent).
Sart : Ouais !
Adamus : Vous a fait mettre
debout devant la caméra pour que tout le monde voit, et vous a fait dire des
petits mots cochons sur votre poitrine.
(rires)
Aussi, ce mois-ci,
nous voulons lui décerner un certificat spécial, apportant avec lui les
sentiments de l'une de mes patries, la Transylvanie ; apportant avec lui
la reconnaissance de ses belles actions, de son humour. Nous offrons une
récompense très spéciale -si je peux avoir la récompense, s'il vous plaît (à
Linda)- en souvenir. Je vous remercie, et s'il vous plaît, avancez. Il mélange
les métaphores aujourd'hui. Il est un moine et un Viking. Un moine Viking.
(rires alors qu'Adamus se réfère au costume de Sart) C'est quoi, ce
bordel ?! Bien sûr, c'est quoi ça aussi ?! Donc... (rires)
Sart : Je ne suis pas
sûr !
Adamus : Ainsi, ramenant
tous les sentiments de Transylvanie et la reconnaissance de vos belles
actions... (éclats de rire et applaudissements alors qu'Adamus montre le
certificat qui dit « Va te faire voir ») Juste pour vous, Sarducius.
C'est le vôtre.
Sart : Je vous remercie.
(rires)
Adamus : Ainsi, chers
Shaumbra, nous démarrons avec une chanson, un rire et un sourire en entrant
dans ce Shoud.
Les énergies de Mai
Le mois dernier,
j'ai parlé d'énergies très puissantes qui arrivaient entre le 10 et le 15 Mai
environ. Les énergies cosmiques, les énergies de la Terre, les énergies de l'Esprit,
les énergies des Royaumes Près de la Terre, entraient, venant de partout. Je
vais demander à Linda d'apporter le micro au public et vous demander -aux volontaires
que Linda va choisir- vous demander si vous l'avez ressenti, et comment ?
Démarrons avec ça.
Chère Édith, chère
Édith, comment va votre abondance ?
Édith : Elle est
magnifique, cher Adamus.
Adamus : Je vous remercie.
Voulez-vous vivre ?
Édith :
Oui.
Adamus :
Bien.
Édith :
Je suis là, non ?
Adamus :
Alors, vous allez être dans l'abondance. Absolument.
Édith :
J'ai été là. Je vais avoir 74 ans le mois prochain. Donnez-moi une
pause ! Je traîne ! (le public applaudit)
Adamus :
Comment l'avez-vous ressenti, chère Édith ?
Édith :
J'ai eu quelques rêves étranges.
Adamus : C'est
ça ?
Édith :
Exact. Et puis j'ai été dépensière et j’ai acheté votre dernier
livre. (rires)
Adamus :
Ils vous font payer pour
le livre ?
Édith :
Oh, je plaisantais seulement.
Adamus :
Ils vous font payer le livre dans lequel il y a tellement
de votre énergie ? C'est le vôtre. (il lui donne une copie de son nouveau
livre, « Vivez votre Divinité ») Ah, ouais. Je peux
faire ça facilement. (rires)
Édith :
Wow, je vous remercie.
Adamus :
Ah, Merci. Bien. Donc, des rêves bizarres, des cadeaux soudains de
l'abondance, semblant venir de nulle part.
Édith :
C'est ça.
Adamus :
Oui, quoi d'autre ?
Édith :
Mmmmm.
Je ne sais pas, juste...
Adamus : Étais-je dans vos
rêves ?
Édith : … eu un mois
agréable. Oh, j'ai fait un tas de …
Adamus : Étais-je dans vos
rêves ?
Édith : … choses qui ont
rapporté de l'argent. Non. Voyons...
Adamus : Non ?!
Édith : Hm ?
Adamus : Étais-je dans vos
rêves ?
Édith : Oh oui, nous
dansions le tango.
Adamus : Ah bon. Bien.
Et ?
Édith : C'est un mensonge.
(rires)
Adamus : Presque 74 ans et
tellement alerte.
Édith : Oh, vous voulez que
je vous frappe ? N'utilisez pas ce mot « alerte » !
Adamus : Alerte. Pleine
d'entrain ! Animée.
Édith : Merci.
Adamus : Et riche. Bien.
Bien. Donc, les rêves ?
Édith : Oh, ils étaient
bizarres, tout simplement, et je pouvais commencer à me les rappeler, mais je
n'ai jamais été capable de m'en souvenir.
Adamus : Les rêves ne
sont-ils pas tous bizarres ?
Édith : Ouais.
Adamus : Oui. Bien. Je vous
remercie. Merci.
Édith : De rien.
Adamus : Suivant. Les
énergies du mois dernier. Qu'avez-vous ressenti ?
Marie Sue : J'aurais besoin
d'un peu d'aide là-dessus. Je ne suis pas sûre d'avoir ressenti quelque chose
d'inhabituel.
Adamus : Bien. Bien.
D'accord. Continuez.
Paul : Aha. Qu'ai-je
ressenti ? En fait, c'était très intense, et très rapide.
Adamus : Oui.
Paul : Les rêves plus
farfelus que d'habitude. Vous étiez dans tous les farfelus. Oui, ouais. Ouais.
Adamus : Édith était-elle
dans vos rêves ? (rires)
Paul : Vous savez, nous
revivions ce « l'avez-vous plus facile », vous savez, « ou fou »,
du mois dernier.
Adamus : Oui. Bien.
Paul : Ouais. Donc, ce
choix chaque...
Adamus : Vif ?
Intense ?
Paul : Vif, intense.
Cependant, j'étais heureux, en quelque sorte, d'arriver à la fin de la semaine.
Adamus : Bien.
Paul : Ouais.
Adamus : Magnifique.
Paul : Bien que ça
continue, d'une certaine façon.
Adamus : Ah.
Paul : Ouais.
Adamus : Oui.
Paul : Ouais.
Adamus : Bien. Continuez,
Linda. Énergies intenses.
Tiffanie : Je suis tellement
heureuse qu'on soit en Juin.
Adamus : (en riant) Ouais.
Tiffanie : Adamus, je vous
parle souvent lorsque je suis dans la salle de bains, pour une raison que
j'ignore, je ne sais pas. Quand je suis sous la douche, quand je suis, vous
savez, que j'utilise la salle de bains.
Adamus : Je garde les yeux
fermés.
Tiffanie : Vous savez, je ne
sais pas si vous, vous réalisez ça, mais je ris tout le temps. Je suis comme si
« Ouais, je parle à nouveau à Adamus. Je suis là, dans la salle de
bains.. »
Adamus : Maintenant,
pourquoi vais-je parler avec tant d'entre vous, pas seulement dans les
toilettes, mais sous la douche ? (quelqu'un dit « L'eau »)
Tiffanie : Est-ce l'eau ?
Adamus : L'eau. Oui, quoi
d'autre ?
Tiffanie : La nudité ?
(rires)
Adamus : Je porte toujours
ma cape. (rires alors qu'il ramène étroitement la cape autour de lui)
Tiffanie : (en riant) Pas
toujours ! Pas toujours ! (plus de rires)
Adamus : Et ?
Tiffanie : J'ai eu ces rêves
vraiment sympas.
Adamus : Non, revenons à la
salle de bains.
Tiffanie : Ah, revenir à la
salle de bains ? Eh bien, dans...
Adamus : Et Linda peut répondre,
parce qu'elle et Cauldre doivent faire avec ça, tout le temps. Qu'y a-t-il au
sujet de la salle de bains ?
Linda : Qu'en est-il ?
Adamus : C'est
paisible !
Tiffanie : Oh, tranquille.
Adamus : C'est
tranquille ! Combien d'entre vous prennent leur téléphone mobile dans la
salle de bains ? Ne répondez pas, je ne veux pas savoir. (Adamus rit)
Quand vous entrez là, c'est généralement pour une fonction du corps, et c'est
calme.
Linda : Geoff et moi devons
toujours avoir des discussions de salle de bains à propos de ne pas parler dans
la salle de bains.
Adamus : Pas d'affaires dans
la salle de bains, bien sûr. Et, oh, eh bien, les affaires, mais vos propres
affaires personnelles, dans la salle de bains. Ainsi, c'est un moment
tranquille. Il y a certains moments où, les Maîtres Ascensionnés, les êtres
angéliques, nous savons lorsque nous pouvons entrer discrètement pour bavarder
avec vous. En règle générale, lorsque vous êtes au volant d'une voiture, mais
nous n'avons pas trouvé que cela augmente sensiblement le taux d'accidents,
encore moins que l'envoi de texto.
Dans la salle de bains, parce que
vous êtes détendus. Sous la douche, c'est tranquille -vous vous inondez d'eau,
ou quelquefois, lorsque vous vous maquillez ou que vous vous habillez- l'une
des très rares fois. C'est plus difficile de venir vers vous le soir lorsque
vous allez vous coucher. Pourquoi ? Parce que vous êtes inquiets de tout.
C'est alors que vient le bavardage du mental... le bavardage du mental vient
vraiment ensuite. Le bavardage du mental a ce moment réservé avec vous. (Adamus
rit)
Nous vous parlons à l'état de rêve,
bien sûr, mais alors vous ne vous en souvenez pas et c'est tellement frustrant
pour nous. Parfois, lors d'un repas, mais en règle générale, vous faites autre
chose lorsque vous mangez. Avez-vous conscience de cela ? Vous regardez
une émission de télé, surfez sur Internet, faites des mails, vous faites
tellement de choses pendant que vous mangez. Auparavant, nous étions en mesure
de passer lorsque vous étiez à table, mais pas tellement maintenant.
Aussi, le « moment des
toilettes » est-il une expression populaire dans les royaumes angéliques.
« Ooh ! Je vois qu'ils sont sur les toilettes ! Descendons afin
d'avoir une conversation sacrée avec eux. » (rires) Bien. Oui.
Tiffanie : Ouais, je vous
remercie pour ça.
Adamus : Donc, je suis
désolé. Qu'avez-vous ressenti ?
Tiffanie : Mes rêves ont
vraiment été sympas, parce que j'ai compris des choses dans mon sommeil.
Adamus : Oui.
Tiffanie : Et alors, lorsque
je me réveille, je n'ai pas idée de ce que j'ai compris, mais les choses
changent. Alors ouais, ça a vraiment été
super. De temps en temps, j'ai juste besoin de dire, ça suffit ce soir. Mon
corps a besoin de dormir ce soir.
Adamus : Oui.
Tiffanie : Mais je n'ai pas...
en fait, je n'étais pas là le mois dernier, et vous m'avez tous tellement
manqué. Vous m'avez manqué, les gars. Mais je l'ai regardé sur mon ordinateur,
et tout le « Rester, ou partir », c'était vraiment énorme pour moi.
C'était comme si, eh bien, attendez une minute. N'ai-je pas déjà dit que je
vais rester ? Et alors, j'ai réalisé que, pas ces derniers temps.
Adamus : Pas ces derniers
temps.
Tiffanie :
Comme vous devez garder... comme chaque souffle. Je suis
maintenant comme « Oh, je respirais dans... »
Adamus :
Oui.
Tiffanie :
… donc, oui, je reste maintenant. Oh, je respire dedans à nouveau.
D'accord, oui, je reste maintenant. » Donc, à chaque instant, tout
simplement.
Adamus :
C'est si facile à dire, parfois même avec désinvolture, quand la
question est soulevée « Voulez-vous vraiment être ici ? » C'est
tellement facile de dire « Oui, bien sûr » mais sans vraiment y
mettre de la conviction ou de l'engagement. Et alors, ça revient. La question
vous revient à la figure au travers de moi, ou de quelqu'un d'autre, et dit...
Shaumbra
3 : Quand je suis aux toilettes.
Adamus :
Voulez-vous vraiment être -aux toilettes- voulez-vous vraiment
être ici, aux toilettes ? Oui. Bien. Je vous remercie.
Suivant. Les énergies du
mois dernier.
Suzanne :
Eh bien, je dois dire que ce n'était pas aussi intense que je
l'attendais. Une fois qu'on place une attente, je pense que cela a peut-être
changé un peu mon expérience.
Adamus :
Et si je n'avais parlé de rien à ce sujet, si j'avais décidé de le
garder secret, tout simplement ?
Suzanne :
Ouais, je pense qu'on l'aurait ressenti, de toute façon, mais
d'être dans l'attente a fait gérer le passage des énergies... vous savez, on
savait que ça arrivait, donc je pense, il y avait beaucoup de gens à qui j'ai
parlé, qui le savaient, qui l'attendaient, et vous savez, ça a vraiment changé
notre expérience, modifié ça, pour nous. Mais j'ai trouvé que tout le mois
était intense, en fait.
Adamus :
Intense. Oui.
Suzanne :
Et pas seulement ces dix jours, et nettement éprouvé beaucoup
d'extrêmes entre mon divin et mon état humain.
Adamus :
Ah.
Suzanne :
Je vais donc m'exprimer ainsi.
Adamus :
Beaucoup d'extrêmes. Bien, magnifique. Un peu plus.
Julie :
Beaucoup de clarté, et beaucoup de oui.
Adamus :
Oui. Pourriez-vous vous mettre debout ?
Julie :
Oui, bien sûr. Donc, sans aucun doute, beaucoup de clarté. Juste
me souvenir, et juste boum, boum, boum. Juste très vite, vite, vite, vite.
Adamus :
Très rapide.
Julie :
Et ouais, très rapide, et beaucoup plus facile.
Adamus :
Bien. Et à propos de votre corps -votre corps physique ?
Julie :
Oh, des tonnes. Donc, comme, les modifications de l'ADN.
Adamus :
Oui...
Julie :
Se laisser pousser une colonne vertébrale.
Adamus :
Ouaiaiaiais !
Julie :
Ma colonne vertébrale a juste été ouf.
Adamus :
Oui.
Julie :
Les choses que je fais habituellement -le yoga, monter à cheval-
tout était très bancal.
Adamus :
Oui.
Julie :
Donc, tout simplement, pris en charge mon corps. Respirer
beaucoup, boire beaucoup.
Adamus :
Beaucoup de changements.
Julie :
J'ai joué avec, vous savez, tous les outils avec lesquels j'ai
joué dans le passé, pour le plaisir et me souvenir comment respirer, comment
permettre, comment être.
Adamus :
Oui. Bien.
Julie :
Tellement amusant...
Adamus :
Et aussi, juste entre parenthèses, certains d'entre vous avez sans
doute remarqué que les vieux outils ne marchent plus si bien, les choses qui
fonctionnaient vraiment très bien pour vous dans le passé, tout à coup, ne
fonctionnent plus. Et ils ne le feront probablement plus jamais. L'essentiel
sera toujours là. Respirer, respirer et respirer vont être là et fonctionner.
Mais les autres outils que vous aviez, certains étaient très mentaux, certains
plutôt vieux. C'est donc très déconcertant quand les vieux trucs de
remplacement que vous aviez, les médicaments de secours que vous utilisiez
-littéralement, ou de manière figurative- ne fonctionnent plus, tout
simplement. Les médicaments ne semblent pas avoir d'effet comme ils avaient
l'habitude de le faire. Ou les plantes, ou n'importe lequel des autres
suppléments ne semblent pas fonctionner.
Julie :
Et je sens que je peux jouer avec eux, vous savez, consciemment.
Adamus :
Oui.
Julie :
Je peux ainsi utiliser cette mémoire, tout simplement, cette
empreinte...
Adamus :
Absolument.
Julie :
… pour juste respirer ça dedans. C'est donc plutôt un jeu.
Adamus :
Ouais. Bien.
Excellent. Les énergies
du mois dernier.
Scott :
J'avais regardé le Shoud...
Adamus :
Levez-vous ! Levez-vous !
Scott :
… Je pense au cinq (Mai) environ, et alors... donc j'étais plutôt,
j'avais presque une... je m'attendais à des conséquences négatives comme pour
le 10...
Adamus :
Vraiment ?
Scott :
Ouais, comme... c'était exactement le contraire.
Adamus :
Ah ! Ah !
Scott :
Je peux me souvenir que le 10, j'étais dans mon lit et les idées
créatives affluaient comme si elles étaient folles. J'étais comme, oh merci mon
dieu, c'est positif. Donc...
Adamus :
Et comment avez-vous sauvegardé ces idées ? En d'autres
termes, si souvent, une idée créative va affluer, et l'instant d'après, elle a
disparu, même si vous dites que vous allez vous en souvenir. Comment êtes-vous
resté connecté avec elles ?
Scott :
Certaines au moyen d'Evernote (logiciel type
« post-it ») -prenant plus de notes que jamais auparavant- mais
certaines, un grand nombre des idées se développaient à partir du meilleur des
choses, ainsi, ce n'étaient pas comme des choses que je pourrais oublier plus
tard, je pense, parce qu'elles étaient comme, eh bien, je pouvais voir comment
elles pourraient avoir besoin de venir plus tard. Mais je peux faire ça, et je
peux faire ça, et je peux faire ça. Et ainsi, c'était juste... tout ça était
positif pour moi.
Adamus :
Bien.
Scott :
Jusqu'à un point où je pouvais même à peine dormir, tellement
j'étais excité à propos des idées.
Adamus :
Oui, absolument.
Scott :
Et la chose qui a vraiment résonné aussi était le, dont vous aviez
parlé, était le problème... le plus gros changement ce mois-ci, je me souviens,
a été les outils de résolution de problème du créatif-mental, plutôt que d'être
inquiet à ce sujet. A vrai dire, je voudrais juste y aller, et je serais comme
« Oh, c'est une solution ingénieuse pour ça. » Ainsi...
Adamus :
Ouais. Excellent.
Scott :
Ouais.
Adamus :
Excellent. Bien. Chevaucher la vague. Chevaucher la vague.
Linda :
Encore ? (Adamus hoche la tête)
Joshua :
Eh bien, pour moi, le mois passé a été principalement de la
colère, de l'impatience et de la frustration.
Adamus :
Bien. Et c'était comment ? On dirait trois de la même
famille. (rires)
Joshua :
C'était frustrant, mais aussi très bon.
Adamus :
Oui. Est-ce que ça a soulevé et fait bouger des trucs ?
Joshua :
Ouais, les deux.
Adamus :
Bien. Comment les avez-vous gérés ? Quand ils sont venus à la
surface, qu'avez-vous fait ?
Joshua :
J'ai explosé.
Adamus :
Bien ! Bien, bien. Il a explosé. Non, c'est bien. Contre
quelqu'un ?
Joshua :
Oui.
Adamus :
Ah, pas si bien que ça, à moins que les ayez prévenus auparavant,
ou avec beaucoup d'argent après. (quelques rires)
Linda :
Vous êtes un mec assez discret. Ça fait quoi d'exploser ?
Joshua :
C'était un peu pénible.
Adamus :
Ouais. Vocal ?
Joshua :
Vocal aussi.
Adamus :
Bien, bien. Bien. De nombreuses pensées folles durant le
mois ?
Joshua :
Pas tellement.
Adamus :
Ah. Attendez ce mois-ci. (rires) Bien. Très honnête. J'apprécie
ça. J'apprécie ça. Bien.
Suivant. Comment était
le mois ? (elle soupire profondément) Oh, d'accord.
Gabrielle :
Non, la première pensée que j'ai eue lorsque vous avez dit ça
« Oh, voici un implant subtil. »
Adamus :
Mm hmm.
Gabrielle :
Ouais. Et non, ce n'était pas très différent du reste du mois.
Adamus :
Comment était le reste du mois ?
Gabrielle :
Intense !
Adamus :
Ah. (elle rit) Intense de chez intense. Bien. Bien. Comment vous
sentez-vous en ce moment, physiquement ?
Gabrielle :
Bien.
Adamus :
Bien. Mentalement ?
Gabrielle :
Un peu fatiguée.
Adamus :
Fatiguée.
Gabrielle :
Ouais.
Adamus :
Oui. Bien. Et vous devriez l'être.
Gabrielle :
Pourquoi ?
Adamus :
Du fait de l'intensité qui affecte le corps, et sans aucun doute
affecte le mental. Vous êtes ici dans un environnement différent. Vous traversez
beaucoup de ménage et de réorganisation.
Gabrielle :
Ouais, c'est vrai.
Adamus :
Mais ça va vous fatiguer. Parfois, la fatigue est une bonne chose.
Je sais que les humains n'aiment pas être fatigués, mais quelle est
l'évaluation d'être fatigué ? Quelqu'un crie « Vous
dormez ! ») Cela vous fait sortir de votre mental. Quand vous êtes
vraiment fatigués, le mental ne fait pas son suivi classique. En fait, vous
êtes plus dans le ressenti lorsque vous êtes fatigués. Bien. Encore un peu.
Kari :
Eh bien, ce dimanche, ma fille et son amie sont venues et m'ont
aidée à réorganiser mon appartement. J'y avais déjà travaillé pendant un grand
moment. Mon amie Joanie, ici, avait travaillé avec moi, et nous avons continué
de travailler avec cette énergie extraordinaire. Transformé ma chambre. Nous
nous sommes débarrassées du lit. Nous avons installé un beau cache-lit. Nous
avons transformé et fait ce beau bureau à domicile.
Adamus :
Bien.
Kari :
Nous avons travaillé ensemble de manière à, vous savez, à aider
les gens à vivre plus longtemps, être en meilleure santé, à être plus heureux
et plus riches. C'est notre objectif. J'ai l'impression que c'est ma mission
divine.
Adamus :
Bien. Oubliez l'objectif.
Kari :
Si. Ouais.
Adamus :
Les objectifs vampirisent.
Kari :
Ouais, je suis d'accord.
Adamus :
Ils le font vraiment.
Kari :
Mauvais mot. Mauvais mot, je suis d'accord. Je suis d'accord.
Adamus :
Mais faites-le juste avec la passion. Faites avec la passion.
Kari :
Oui.
Adamus :
Oui, absolument. Bien.
Kari :
Génial.
Adamus :
Donc, du ménage, au sens propre, de la réorganisation, ce qui
indique généralement qu'il se passe aussi quelque chose à l'intérieur.
Kari :
Exact.
Adamus :
Comment vous sentez-vous en ce moment ?
Kari :
Oh, je suis excitée. Et j'ai toutes sortes d'énergie...
Adamus :
Physiquement ?
Kari :
Physiquement.
Adamus :
Bien.
Kari :
Ouais. Je ne dors pas beaucoup. Je vais, je vais, je vais.
Adamus :
Ah ! Ah !
Kari :
Alors, j'ai été très fatiguée. Je ne me suis pas réveillée ce
matin et l'ai fait avec peine, ici. Alors, mais, ouais, je viens juste... je me
sens bien. Je me sens bien de partout.
Adamus :
Bien. Bien. Encore deux.
Joyce :
Euh, voyons.
Adamus :
Un peu chaud. (Adamus enlève la cape)
Joyce :
Un peu... oh, que feriez-vous... comment voulez-vous... vibrant.
En en faisant trop, en suivant ma fille partout, et le petit-fils, et je ne
peux pas prendre les rues piétonnes, et tous ces gens et ma fille qui me disent
quoi faire, tout le temps. (elle rit nerveusement) Alors, je suis juste...
Adamus :
Ainsi, c'était comment pour vous ? Intense ?
Frustrant ? Exaspérant ?
Joyce :
Intense, frustrant, mais ensuite, rentrons à la maison et faisons
vite un petit somme.
Adamus :
Oui. Je suis désolé, mais...
Joyce :
Rentrons à la maison et faisons vraiment une petite sieste vite
fait. Je n'en peux plus. (elle rit nerveusement alors qu'Adamus s'approche pour
l'observer de près)
Adamus :
Il y a plus d'esprit dans vos yeux.
Joyce :
Il y en a plus ?
Adamus :
Plus de vie dans vos yeux, absolument.
Joyce :
Oh, je me sens bien, maintenant.
Adamus :
Oui, bien. Bien.
Joyce :
Ouais. Tout va bien.
Adamus :
Excellent. Bien. Encore une.
Doris :
C'est bon d'être ici. Ça a été deux mois intenses. Sachant ce que
je voulais, sachant quelle était ma passion, pas ralenti suffisamment longtemps
pour la fonder, ralenti au cours des deux dernières semaines, l'ai possédée, et
suis arrivée à une clarté comme jamais auparavant.
Adamus :
Excellent.
Doris :
Ouais.
Adamus :
Excellent.
Doris :
C'est une chose géniale. C'était intense, et quand je devenais
trop occupée, je ralentissais tout simplement, respirais et maintenais mon
équilibre.
Adamus :
Bien.
Doris :
Et j'ai une clarté de folie, en ce moment.
Adamus :
Bien, parce que je n'ai rien implanté au sujet des énergies. Elles
sont très réelles. Je voulais donner à chacun une info à leur sujet afin qu'ils
sachent ce qui venait, avant qu'elles n'arrivent. Mais la clarté que j'ai
implantée, oui.
Doris :
Je vous remercie.
Adamus :
Bien. Ouais. Bien. La clarté, quelle chose merveilleuse. Avoir la
clarté, la compréhension. Encore un.
Linda :
Un de plus ?
Adamus :
Un de plus. Marie, comment était le mois ?
Marie :
Il était excellent.
Adamus :
Bien.
Marie :
J'ai passé la semaine sans même savoir si quoi que ce soit était
différent. Mais il semblait, tout de suite après, que l'énergie était plus
intense, et j'ai fait un peu de création par la suite.
Adamus :
Bien.
Marie :
Et j'ai pris conscience que c'était ma passion. Créer, tout
simplement.
Adamus :
Magnifique. Qu'avez-vous créé ?
Marie :
J'ai créé un groupe pour se rencontrer tous ensemble, se
rencontrer en personne.
Adamus :
Oui. Des personnes réelles, ou imaginaires ?
Marie :
Non, des personnes réelles. Des personnes réelles. (quelques
rires)
Adamus :
On ne sait jamais, avec Shaumbra. C'est bien. On peut avoir un
groupe avec des personnes imaginaires, c'est quelquefois plus amusant et ils
partent à l'heure. (rires)
Marie :
Et aussi, j'avance avec mon nouveau site web, et des tas de
choses.
Adamus :
Bien. Bien.
Marie : Ouais.
Adamus :
Excellent.
Marie :
Je vous remercie.
Adamus :
Donc, je vous remercie.
C'était donc beaucoup
d'énergies intenses qui sont venues. J'ai voulu parler d'elles, ainsi vous avez
compris en avance, fait un peu de préparation.
Les
Effets de l'Énergie sur Terre
Ces énergies qui sont
venues sur Terre sont maintenant absorbées dedans, un peu comme une éponge
absorberait l'eau ; absorbées dans la Terre, absorbées dans les gens. La
plupart des gens -la plupart- n'ont pas vraiment remarqué quoi que ce soit
d'énorme, hors de l'ordinaire, pendant cette période. Vous avez probablement
-vous, Shaumbra, partout dans le monde- avez probablement remarqué plus, parce
que vous êtes plus sensibles aux énergies,
maintenant.
Ces énergies sont en
train d'absorber, en ce moment. Juin devrait être un mois intéressant, pas
nécessairement pour vous. Je dirais que Juin sera un mois relativement calme,
ou un mois fluide pour vous. Pas ennuyeux du tout, mais un mois fluide. Le
reste du monde ? Ils vont commencer à ressentir cette intensité. Vous
prenez la combinaison de certains évènements solaires et astrologiques qui ont
lieu, la chaleur de l'été – juste la chaleur ; vous savez, oubliez toutes
ces énergies farfelues, juste le temps plus chaud- et le temps étrange – le
temps étrange, étrange, étrange- ça va affecter les gens. Ça va les frapper
d'abord dans leurs corps, parce que ces énergies qui arrivent servent un but
magnifique.
Tout d'abord, elles
soutiennent, ou facilitent le changement physique dans le modèle de l'homme -le
corps d'Adam Kadmon- changeant littéralement l'ADN, changeant la structure
biologique, séparant littéralement ou désintégrant certaines énergies Atlantes
de conformité qui ont tellement fait partie de votre biologie.
Particulièrement, pour ceux qui sont prêts, et il n'y en a pas beaucoup, en fait
-étrange appareil (regardant un nouveau ventilateur sur l'espace scénique)- il
n'y en a pas beaucoup, mais pour ceux qui sont prêts, cette énergie va
littéralement rentrer dans leur biologie et commencer à les sortir des caractéristiques héréditaires de leurs
familles, les sortant de leur karma ancestral, et ils vont le remarquer d'abord
dans leur corps.
Si souvent, Shaumbra,
vous regardez dans le miroir, vous contemplez votre corps, et c'est vraiment
juste, dans un sens, un sous-produit de vos ancêtres. Pas tant de votre choix,
vraiment, en dehors des accoutrements que vous mettez dessus ou de la manière dont vous vous
habillez. Mais votre corps -votre corps physique- est un simple sous-produit de
vos maudits ancêtres. Ouais. Pour le meilleur, ou pour le pire, vous voyez. Ce
qui se passe maintenant, alors que ces énergies arrivent, pour ceux qui sont
prêts, ça vous démonte, ça vous sort de ça, ça vous sort de tout ce truc
ancestral.
Certains comprennent mal
les mots que je dis. Ils pensent qu'il s'agit d'être anti-famille. Les familles
sont formidables -aussi longtemps que vous ne vous investissez pas dedans
karmiquement. Tant que vous n'avez pas perdu à la loterie et n'avez pas fini
avec certaines caractéristiques. Ce corps... (il fait signe à quelqu'un) Non, ce corps... (il fait signe à Sart, à la
place) Ce corps devrait être et peut être le sous-produit de votre propre
passion, de votre âme, et de votre choix. Que dis-je avec ça ? Je dis
qu'avec ces intenses énergies qui arrivent, vous pouvez littéralement
transformer votre corps, si vous le choisissez ; votre allure. Vous pouvez
commencer à transformer certaines caractéristiques.
Cependant, si vous ne le
choisissez pas, cela ne va probablement pas arriver à un tel degré. Mais si
vous dites « Hé, c'est mon corps ; il n'appartient plus à cette
lignée ancestrale. C'est ma vie ; ce n'est pas seulement un sous-produit
des aspects de ma vie passée. C'est mon mental ; ce n'est pas simplement
un sous-produit de programmation hypnotique. Je Suis ce que Je Suis. »
Alors, vous voyez, vous commencez littéralement à transformer votre corps,
votre mental, votre identité.
Auparavant, nous avons
parlé des noms. Beaucoup d'entre vous -certains d'entre vous- avez changé votre
nom. C'est parfaitement compréhensible, parce que cet autre nom vous avait
généralement été donné par vos parents. Je veux dire, regardez votre nom. Vous
seriez-vous appelé comme ça ? Probablement pas. Non pas que votre nom soit
détestable, mais vous ne vous
seriez probablement pas appelé ainsi.
Ainsi, vous commencez
cette totale transformation. Ces énergies qui sont arrivées le mois dernier
-énormes- sont ce que j'appellerais les énergies de séparation. Les énergies de
séparation.
Les
Énergies de la Séparation
Maintenant, il va
sembler y avoir une contradiction dans ce que je dis aujourd'hui -si vous
restez éveillés durant tout le truc- parce que plus tard, vous allez dire
« Mais vous venez juste de dire qu'il s'agissait de séparation, et
maintenant vous dites qu'il s'agit d'intégration. Lequel est-ce ? »
C'est les deux à la fois. Les deux. Pourquoi ? Fréquemment, lorsque des
énergies adverses, produites par une conscience fracturée -pour la plupart,
pensée de mental fracturé, mais parfois, la conscience- des énergies adverses
sont produites ensemble... il veut s'asseoir (parlant de Cauldre, Adamus
s’assoit un instant) Elles sont produites ensemble, dans le même vaisseau.
(Adamus se relève)
Linda :
Super.
Adamus :
Je me suis assis ! (rires) Elles sont produites ensemble,
dans le même vaisseau, dans votre corps même. Ça peut être des énergies très
adverses, votre mental. Elles sont presque fondues, liées ou fusionnées, même
si elles sont opposées. Les caractéristiques -vos désirs par rapport à ce qui
se manifeste dans votre vie- très opposées ou très différentes.
La chose étonnante est
que les humains ont été capables de faire ça -saisir des concepts et de
l'énergie ici, attraper des théories et des pensées là-bas- totalement ce qui
semblerait, dans sa forme simple, très opposé, mais vous avez été capable de
les introduire, de les rouler toutes ensemble, de les compresser toutes
ensemble et de les fondre toutes ensemble, et elles ne doivent pas
nécessairement rester ensemble, en fin de compte.
Ce que vous êtes en
train de vivre en ce moment est une période de séparation. Séparation d'avec
des choses qui ne vous servent plus vraiment, d'avec des concepts qui venaient
vraiment du passé -plus nécessairement les vôtres- par des manifestations qui
sans aucun doute ne sont vraiment pas les vôtres. Mais, quelques-unes des
manifestations, certaines des choses qui se passent en ce moment dans votre
vie, sont simplement dues à des vieilles routines et des modèles instaurés il y
a longtemps. Ils ont été mis en pilote automatique, et ils continuent. Ils
continuent de jouer. Ils continuent de reproduire les mêmes résultats, même si
votre mental, vos croyances, votre conscience dit « Non, je veux quelque
chose de différent. »
Donc, vous avez fait
rentrer ces extraordinaires énergies massives, et dit, en gros « J'ai
besoin de quelque chose pour démolir tout ce fatras. Pour le démêler. » Et
le fait est que beaucoup d'entre vous l'avez fait avec élégance. Beaucoup
d'entre vous l'avez fait sans courbatures graves, parce que c'est généralement
la première chose qui se passe -de graves courbatures durant cette période-
parce que vous allez ressentir les choses d'abord dans votre corps. Alors que
les vieilles théories sont démêlées, vous allez ressentir des maux et des
douleurs. Votre colonne vertébrale, vos épaules, votre tête -ce genre de
choses.
La bonne nouvelle, c'est
que vous avez été capables de respirer à travers elles. Vous n'êtes pas rentrés
dans le mental à leur sujet. Vous ne vous êtes pas affolés à leur propos. Et
alors même que nous sommes assis ici, en ce moment, il y a une énorme quantité
de transformation continue dans votre corps.
Et j'ai soulevé la
question de votre karma ancestral. C'est l'un des plus grands, l'une des plus
grandes retenues que vous avez à votre corps, une des choses qui vous lie à
lui. Ce n'est pas que vos ancêtres aient eu de mauvais gênes ou des attributs
malades, bien qu'il y ait quelques caractéristiques de la maladie qui se soient
tissées dans tout cela. Ce n'est pas que cela ait été mauvais, c'est juste
que ce ne sont pas les vôtres. Juste que ce ne sont pas les vôtres.
Et la question devient
« Qu'est-ce ? » La question que j'ai ici pour vous est, disons
que le corps peut être transformé. Que choisissez-vous ? Que
voulez-vous ? Eh bien, la première chose devrait être une libération de
certaines de ces maladies ancestrales -maladie de cœur, diabète, cancer. Ainsi,
beaucoup de ces choses circulent littéralement au travers de votre lignée
ancestrale, circulant dans votre corps même. Votre corps est rempli de maladies
potentielles, en ce moment, qui se sont répandues en lui.
Et ce n'est pas juste la
maladie, c'est la racine de la maladie même qui transparaît, aussi bien.
Qu'est-ce qui cause le cancer ? (quelqu'un dit « la haine ») La
haine. Ainsi, la haine démarre le processus et ensuite, cette énergie du cancer
circule partout, elle entre dans le karma ancestral, dans votre sang, dans
votre ADN, et c'est là. Ce n'est pas vraiment le vôtre. Il ne vous appartient
pas. Comme beaucoup d'autres choses.
Donc maintenant, en ce
moment -je veux dire, en ce moment même, ici, en cet instant
merveilleux- est un grand moment pour laisser aller tout ça. Ce ne sont
vraiment pas les vôtres.
Des choses comme le
vieillissement, bien sûr. Tout le monde veut être plus jeune. Mais, même les
attributs de la vieillesse -vous pouvez suivre sur un graphique combien de
temps vos ancêtres ont vécu ou quand ils sont morts- cela ne vous appartient
vraiment pas non plus. (Linda lui tend un verre) Je vous remercie. Cela ne vous
appartient plus non plus, ainsi, vous pouvez laisser aller celui-là. Cela
signifie-t-il que vous allez soudain devenir plus jeune ? Eh, peut-être.
C'est possible. Vous allez commencer à agir de façon un peu plus jeune, parce
que vous n'avez pas cette superposition du tic-tac de l'horloge, de « Ma
mère a seulement vécu jusqu'à 74 ans ; mon père est mort quand il avait 58
ans. » Ainsi, vous ressentez ce tic-tac d'horloge à l'intérieur de vous.
Eh bien, c'est. C'est programmé juste là. Vous laissez ça aller. Ça ne
signifie pas forcément que vous allez devenir plus jeune, mais vous n'allez
plus être sur l'horloge de la mort biologique de
quelqu'un d'autre.
D'autres attributs, vos
attributs physiques. Porter du poids peut beaucoup plus être quelque chose de vos ancêtres.
Ainsi, vous héritez de ça. Vous apportez ça.
Mes chers amis, cette
énergie qui vient juste d'arriver est là pour vous soutenir dans la séparation
aimante d'avec les choses qui ne sont pas les vôtres. Et, devinez quoi ?
Vous ne pouvez pas faire ça depuis votre mental. Vous avez essayé. Ça ne fonctionne
pas. Vous avez essayé de dire « Je vais me forcer à changer de cette
façon. Je vais me forcer à être plus mince, à être plus jeune. » Marche
pas. C'est très mental. Le mental ne peut pas stimuler suffisamment d'énergie
pour y arriver.
L'énergie vient de la
passion et de la clarté. Le mental peut penser tout ce qu'il veut, mais il ne
peut jamais arriver à vous faire perdre 10, 20, 30 livres (4,5 kg, 9 kg, 13
kg). En fait, tout le contraire. Vous vous duperez -votre mental vous dupera-
pendant une courte période, pensant que vous perdez du poids, et vous montez
sur la balance et vous pourriez être... Devinez quoi ? Tout le temps, vous
avez cette autre énergie au travail, intégrée, ce n'est vraiment pas la vôtre,
en fait, elle vous fait déjà reprendre les kilos, et même plus. Même plus.
Remarquez, lorsque vous faites un régime ? Aussitôt que vous arrêtez, vous
prenez encore plus.
Ces énergies qui
viennent d'arriver, si vous les inspirez, si vous avez confiance en vous,
profitez de la vie, cessez de vous inquiéter des choses, en fait, elles
soutiennent la libération de beaucoup, beaucoup, beaucoup de vieux systèmes, de
systèmes minables, de choses qui vraiment n'étaient pas à vous. Dans le mental
-c'est là où ça vient après- dans le mental, et c'est ce que vous allez
remarquer plus, en Juin. Celles-ci s'absorbent.
Ça va commencer par
aller dans les constructions mentales. Pas seulement les systèmes de croyances,
mais littéralement la façon dont le mental fonctionne, traite l'énergie et émet
vos pensées.
Combien de vos pensées
ne sont pas les vôtres ? Devinez. (le public donne des réponses variées)
Quelque part, entre 90 et 95 pour cent ne sont vraiment pas à vous. Ne sont
vraiment pas à vous. Elles viennent des aspects. Elles viennent de la
conscience de masse. Elles viennent de la personne assise à côté de vous. Elles
proviennent d'enregistrements historiques, ou de banques de mémoires du mental.
Et quand je dis les banques de mémoire du mental, ne sont vraiment pas les
vôtres. Vraiment pas les vôtres. C'est une séparation.
Séparation.
Pourquoi ? Parce que ces pensées du mental, qui sont emmagasinées là, en
particulier celles des catégories de systèmes de croyances, de peurs,
d'inquiétudes, ces genres de choses, celles-ci furent développées quand vous
étiez très jeunes, pour la plupart -leur fondement- ou même dans une autre vie.
Elles furent développées dans une vie antérieure, même si c'était dans la même
période biologique que celle où vous êtes maintenant. En d'autres termes, vous
aviez 10, 20 ou 30 ans, ça n'a pas d'importance. C'était une autre vie. C'était
une autre vie. Ça l'était vraiment, et ce n'était pas forcément la vôtre.
Ainsi, ces énergies de
séparation arrivent pour que ce soit plus facile de supprimer ça. Que
pouvez-vous faire ? Eh bien, la meilleure chose à faire est de regarder un
bon film et de rire. La meilleure chose est de ne pas s'en inquiéter, parce que
vous les avez appelées ici. Vous avez demandé ces énergies intenses, et elles
doivent être intenses pour réussir ce genre de choses. Vous avez appelé pour
qu'elles soient là.
Maintenant, vous n'avez
pas besoin de faire quoi que ce soit, vraiment, en dehors de respirer un peu,
vous souvenir un peu de vos choix, revenir un peu sur la raison pour laquelle
vous êtes toujours ici sur cette planète, le cœur même de la question que je
pose -voulez-vous rester, ou voulez-vous partir ? Où est la musique ?
(Adamus glousse, en se référant au résumé vidéo du Shoud précédent)
Donc, ce mois-ci, vous allez
remarquer que c'est plus dans le mental. Mais, comme certains d'entre vous, ça
peut être une balade de joie. Ça ne doit pas être l'ancienne façon de le faire
-en passant par la dépression. Certains le feront. Certains le feront.
Vous savez, c'était, je dirais une
partie de vous, votre essence véritable, a dit en gros « Ça n'a pas
d'importance ! » La plupart d'entre vous a réellement dit ça
« Peu importe ce que ça demande. Je veux juste que ce soit fait. Je me
fiche de ce que ça exige pour sortir de ce schéma, de l'ancien processus humain. »
Et je comprends, oh, je comprends. Ayant été enfermé dans un cristal pendant...
vous ai-je raconté cette histoire ? (quelques rires) Voudriez-vous
l'entendre à nouveau ? Certains... il y en a quelques-uns qui n'ont pas
entendu l'histoire. Vous l'avez entendue deux fois, oui.
Donc, je comprends sincèrement. Et
alors, vous essayez de vous en sortir par tous les moyens. Vous essayez de
croire en votre salut. De
faire des concessions pour votre salut, de vous mentir sur votre salut, quoi
que cela vous demande, jusqu'à ce que finalement,
finalement, vous laissiez aller et disiez « Je m'en fiche. » Alors,
les énergies peuvent venir, et ensuite, elles le font pour vous, vraiment. Vous
pouvez chevaucher cette incroyable vague de la séparation.
Mais pourquoi la séparation ?
N'avez-vous pas suffisamment traversé ça ? Non. Pourquoi la séparation en
ce moment ?
Bien sûr, ça décolle certaines des choses dans lesquelles
vous étiez coincés. Ça décolle les énergies qui ne devraient vraiment plus être
ensemble -dans les systèmes de croyance, dans votre biologie, votre karma
ancestral, vos relations avec vos vies passées et tout le reste de cela- ça le
décolle. Mais qu'est-ce que ça fait réellement ? (quelqu'un dit « ça
nous libère ? ») La liberté. Absolument. Absolument. Ça le libère. Ça
vous libère. Et n'est-ce pas cela
que nous avons vraiment demandé ? (le public acquiesce)
La liberté. La liberté de vivre hors
du passé. La liberté de vivre hors de la conscience de masse. La liberté de
vivre au-delà des vieilles idées. La liberté de se dégager des vieux schémas.
La liberté, c'est vraiment ce que vous avez demandé. La liberté pour vous-même.
Oh, pourquoi tant d'entre vous
veulent chanter, tout simplement, au propre comme au figuré. Combien veulent
monter en flèche, veulent se libérer. Vous pouvez presque le sentir. Vous y
êtes presque. C'est comme « Oh, juste cette dernière poussée, et j'y
serai, » et cette dernière poussée, en fait, c'était ces énergies
entrantes. Et elles vous libèrent. Elles vont mettre certaines personnes
dans la dèche. Certaines personnes qui n'ont pas roulé leur bosse comme vous
l'avez fait. Vraiment. Vraiment. Certaines personnes, en particulier, qui sont
pleines de makyo.
C'est quoi, makyo ? (le public
répond « Des conneries ») Vous voyez, je n'ai plus besoin de le dire.
Makyo, c'est vos distractions spirituelles. Makyo... il arrive lorsque commence
le processus de l'éveil. C'est comme, juste quand vous vous sentez vraiment
bien, vous allez faire ce truc de l'éveil, vous allez être spirituel, c'est
alors que le makyo arrive, vraiment. Je veux dire, à la pelle, dans les
multiplicateurs de makyo. Vous l'avez tous vu. Vous l'avez tous fait. Vous
l'avez tous vécu. Mais ce makyo arrive et ces énergies de séparation vont le
mettre dehors.
Il y a beaucoup de gens qui sont
investis dans leur makyo. Profondément investis dans le makyo. Je veux dire,
littéralement, une entreprise. Makyo d'affaires, makyo d'affaires spirituelles,
makyo de livres spirituels. Ils sont très profondément investis dans leur
makyo, ainsi il leur est très difficile de laisser aller. Je vous remercie
beaucoup, vous tous, pour avoir compris tout d'abord ce qu'était le makyo, et
ensuite, de l'avoir laissé aller. Vous éclatant avec vous-même.
Donc, ces énergies, une chose
extraordinaire. Mais elles concernent la séparation. Pourquoi ? Parce que
la séparation vous donne la liberté. La séparation libère beaucoup d'énergie.
Libère une énorme quantité d'énergie.
Imaginez que vous allez dans un
asile de fous et que vous déverrouillez toutes les portes et laissez tout le
monde sortir. (rires) C'est mieux pour l'asile de fous. Ça ne demande pas tant
d'entretenir l'endroit. Tout le monde est parti. Et les êtres qui étaient là
n'étaient pas à vous, pour commencer. Peut-être que vous pourriez transformer
l'asile d'aliénés en un véritable centre spirituel, maintenant. Cela a été une
maison folle. Elle a enfermé tout le monde. Mais, en réalité, ils vous
avaient enfermés, jusqu'à ce que vous apportiez cette clé maîtresse et disiez
« Je vais les laisser tous sortir. Je ne peux m'en occuper plus longtemps.
Je ne peux les gérer. Ils ne s'améliorent pas. Ils s'aggravent, et par-dessus
tout, je vais être moi-même dans cet endroit. »
Ainsi, vous entrez et tournez la
clé, les laissez tous sortir, libérant une énorme quantité d'énergie. Et une
fois qu'ils sont relâchés, en fait, ils vont mieux. Une fois qu'ils sont
dehors, vous êtes soulagés de beaucoup de responsabilité et de l'obligation
d'essayer de traiter les fous. Et vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas vous
traiter comme ça, vous voyez.
Donc, c'est un temps génial
d'émerveillement, d'émerveillement absolu, qui se passe.
En Juin, vous allez plus le
ressentir en train de refaire la structuration du mental. Ça va entrer, ça va
évacuer des tas de vieilles choses qui ne vous appartiennent vraiment pas. Le
ménage -en passant par la réorganisation, littéralement. Cela va changer aussi
la façon dont les énergies sont absorbées par le mental et utilisées pour le
traitement. Le plus gros facteur est ce dont nous avons parlé les deux derniers
mois : la fusion maintenant, ou le retour à l'harmonie, du mental et du
créatif.
Le mental a été le fou enfermé dans
la poubelle. Vous l'avez relâché, découvert qu'après tout, il n'était pas
vraiment fou. Le truc fou, c'était de le mettre à la poubelle, dans cet asile
de fous. Vous l'avez fait sortir et maintenant, il peut se mêler au créatif
-étonnante créativité- création qui va être profonde, et je vais en parler dans
un instant. Et je vais parler de ce qu'il faut vraiment faire pour l'ancrer.
Nouvelles idées. Des
idées qui viennent de votre cerveau, de vous, tellement grandioses, tellement
dynamiques, vous allez penser qu'elles sont folles. Vous allez vous retenir sur
certaines choses qui commencent à se réaliser. Vous allez dire « Je ne
peux pas parler de ça aux gens. Ils vont penser que je suis cinglé. » Et
quand vous le faites, je vais être là pour dire « Non. Parlez. Dites. Arf ! Sortez ces idées ! Parlez-en !
Faites-les ! Pourquoi ? Eh bien, si vous ne le faites pas, vous allez
vraiment être déçu par vous-même, et vous allez retourner à l'asile de fous. Si
vous ne le faites pas, le monde ne bénéficiera pas de ces idées grandioses.
Donc, ce mois sera un
mois très, très intéressant du point de vue du mental. Le reste du monde va
aller en enfer, mais vous allez surfer sur la vague.
En parlant de cela,
croyez-vous vraiment faire ces choses ?! (en parlant de l'épée Viking de
Sart) Pensez-vous vraiment les porter lors de nos réunions sacrées ?
Sart :
Ouais. (rires)
Adamus :
Ouais ! Et de quoi est-elle le symbole ? (le public
donne diverses réponses) Quel symbole représente-t-elle ? La
séparation ! (Adamus « coupe » quelque chose avec)
Sart :
La séparation !
Adamus :
La séparation. Vous saviez cela. Bien. La séparation. Je vous
remercie. Je vous remercie.
Sart :
De rien.
Adamus :
C'est la clé. C'est ce que vous utilisez pour couper le cadenas
sur l'asile de fous. Suivant.
Sart :
Je suis sorti de mon cristal !
Adamus :
Suivant, chers Shaumbra. Prenons une profonde respiration alors
que je vérifie l'heure. Assurez-vous que nous avons suffisamment de temps pour
toutes ces informations.
Merabh
Suivant. Au cours des
deux derniers mois, et lors de certaines de nos réunions, j'ai parlé d'un
merabh. Linda, pourriez-vous s'il vous plaît, écrire cela sur le tableau. Merabh.
Linda :
Comment l'orthographiez-vous ?
Adamus :
De la même façon que la dernière fois.
Linda :
Je ne sais pas !
Adamus :
(gloussant) M-e-r-a-... oups. M-e-r-a-b-h. Merabh.
Que signifie
Merabh ? En fait, cela signifie littéralement, dans certaines langues
anciennes, cela parle d'achèvement, d'action de rassembler. L'action de réunir.
La complétude. Et c'est pourquoi je dis qu'il y a un peu de contradiction,
parce que je parle de la séparation, et maintenant, je parle de complétude.
Mais pour être complet, vous devez être séparé. (quelques rires) En d'autres
termes, pour trier, passer au crible, délier, défaire. L'anormal rapprochant de
certaines forces.
Ce n'est pas normal que
votre corps soit basé sur quelqu'un d'autre, qui est mort depuis longtemps.
Ce n'est pas normal
d'avoir des pensées qui sont figées, piégées, qui ne sont pas fluides.
Ce n'est pas normal de
ne pas savoir pour qui vous vous prenez, bon sang. C'est très anormal.
Ce n'est pas normal de
ne pas vraiment comprendre comment vous êtes arrivés ici en premier lieu, et
comment vous allez en sortir.
Ces choses sont
anormales. Très étranges et anormales. Je dois souvent me demander pourquoi
vous choisissez des choses tellement anormales, mais je suppose que vous êtes
Shaumbra... et humains.
Un merabh signifie la
complétude.
Une fois que les
énergies, qui ont été liées ensemble, collées et soudées ensemble, sont
déchirées et libérées, alors vous pouvez revenir à la complétude, qui est un
merabh. Ma définition, ou mon expérience, avec un merabh, travaille avec vous
et dit « Si vous le laissez arriver, tout simplement. » Vous prenez
trois minutes. Est-ce trop pour votre illumination ? Si vous prenez juste
trois minutes et que vous faites quelques respirations. Trois minutes à écouter
de la musique agréable.
Ah ! Merci, mon
chéri. (parlant à un enfant qui a apporté une assiette de nourriture à sa mère)
Tu n'en as pas pris une pour l'Oncle Adamus ? (quelques rires) Même nous,
les fantômes, nous avons besoin de manger de temps en temps. (Adamus glousse)
Adorable enfant. (plus de rires)
Le merabh. Trois minutes
pour changer la conscience, pour changer la façon dont vous attirez l'énergie, pour changer quelque
chose dans votre corps, quelque chose dans votre mental, quelque chose dans
votre esprit. Juste trois minutes pour prendre une profonde respiration, sans y
penser. Cesser de lutter contre. Cesser d'utiliser des constructions mentales
pour sortir des constructions mentales. Vous voyez, ça ne fonctionnera jamais.
Ça ne fonctionnera plus jamais, plus du tout.
Donc, trois minutes pour
dire « Je vais faire un merabh et laisser les énergies bouger, et je vais
juste me rasseoir. Je promets -cher Dieu, je promets- je ne vais pas toucher à
quoi que ce soit pendant ces précieuses trois minutes sacrées. Je ne vais pas
chanter. Je ne vais pas allumer d'encens. Je ne vais pas tomber dans la
confusion avec un tas de makyo. Je ne vais rien faire -même pas essayer
d'entrer en moi. Je vais juste respirer et laisser faire. » Ça, c'est un
merabh.
Nous avons joué avec eux
lors de nos cours, ces derniers temps, avec un accompagnement musical. Vous
pouvez le faire sans musique. La musique, c'est plutôt agréable. C'est un peu
distrayant. Il ne s'agit pas de répéter quelque chose, une affirmation. Il ne
s'agit pas d'essayer d'implanter de nouveaux concepts mentaux dans de vieux
concepts mentaux, parce qu'alors, vous allez vous retrouver avec un tas de
conneries. Il s'agit de dire « Je suis un être normal, et je vais
abandonner mes façons de faire anormales, » vous voyez.
Ainsi, faisons un merabh
dès maintenant. A propos de quoi le ferons-nous ? Faisons-le juste pour le
changement. Faisons-le pour utiliser, permettre à ces incroyables, ces
extraordinaires énergies qui viennent d'arriver, qui sont toujours là, de
faciliter le changement, la séparation. Vous voyez, c'est tout. Vous n'y pensez
même pas.
Prenez une profonde
respiration et « Oh ! Elles sont là ! »
Et, cher John,
pourriez-vous jouer un peu de cette musique que vous jouiez pendant la pause,
le truc qu'ils n'ont pas entendu ici, mais qu'ils ont entendu dans le reste du
monde.
Vous prenez une profonde
respiration. Ceci est un merabh. Changement sans effort. Gracieux.
Vous prenez une profonde
respiration et une petite musique de fond, juste pour un pur divertissement et
distraction, et vous dites « Je Suis... » (le public dit « Je
Suis ») Non, j'allais terminer ma phrase. (rires)
[La musique
commence : « Confession » de l'album « Respiration »
par Blue Stone]
Et vous dites « Je
suis dans l'instant. Je suis normal. Je suis naturel. Je suis esprit. Je Suis
ce que Je Suis. Je vais laisser ces énergies me servir maintenant. Je vais les
laisser venir faire ce que j'ai essayé de faire dans mon petit cerveau tout ce
temps. Je vais les laisser le faire, parce qu'elles me servent. »
Vous ne demandez pas.
Vous ne priez pas. Mon dieu, ne croisez pas vos mains comme ça, madame !
Quelqu'un pensera que vous priez ! (Adamus rit) Je sais, mais ils vont
encore penser que vous priez. Vous ne priez pas. Non, vous riez un petit peu.
Prenez une profonde
respiration et ressentez. Oh, ces énergies. Whoo ! Qu'est-ce qu'elles
font. (pause)
C'est un processus naturel, mes
chers amis. Tout naturel. Seul un être humain qui croit en lui-même et en sa
divinité peut vraiment comprendre ce que je dis. C'est un processus naturel.
Ça ne vient pas de Dieu.
Ça ne vient pas d'extra-terrestres.
Ça ne vient pas de Gaïa. Elle s'en
fiche.
C’est le vôtre.
Édith : Mais je suis Dieu.
Pas le vieux Dieu. Merabh, merabh,
merabh. (signe de la main à Édith)
Prenez une profonde respiration.
Vous voyez ? Naturel. Whoo ! (pause)
Oh, cessez de méditer et profitez
juste de la musique. Moquez-vous de moi, si vous voulez. Ha, ha, ha, ha, ha,
ha. (il glousse) Oh, encore mieux, moquez-vous de quelqu'un d'autre. (rires)
Bien. C'était un merabh. Vous voyez
comme c'est simple ? C'est naturel. C'est naturel. La musique disparaît en
fondu, vous prenez une profonde respiration.
Maintenant, votre mental se demande
ce qui vient juste de se passer. « S'est-il passé quelque chose ? Y
a-t-il un signe, un éclair, quelque chose ? » Non ! Non. Juste
un changement. Juste retourner à votre état naturel. Ceci est un merabh.
Mirage
Suivant. Le suivant est quelque
chose de très similaire. C'est un cousin du merabh. J'aime avoir un pupitre, si
cela ne vous dérange pas. (se référant à un pupitre de musique) Cela me donne
l'impression d'être un professeur. Oui. J'aime avoir ça.
Oui, le suivant est un... c'est
un... oh oui, ceci est très bien. Le suivant... (quelques rires) Pas un
prédicateur. Non, un professeur.
Le suivant, est un cousin du merabh
-cousin, parce qu'il est aussi sans effort. Il plane. Il est dans sa forme
naturelle. Mais ici, c'est un peu différent, parce que ceci est réellement une
cérémonie. C'est une reconnaissance et un ancrage de quelque chose que vous
allez expérimenter en Juin -et je viens d'implanter ça dans chacun d'entre
vous. (Adamus fait un signe avec ses doigts, comme pour faire une formule
magique, d'abord au public, ensuite à la caméra) Hm. Même si vous êtes sur
Internet, vous allez en faire l'expérience en Juin.
Certains d'entre vous ont déjà eu
cela récemment et très profond, et vous en aurez beaucoup plus. Et quand vous
le faites, c'est un bon moment pour faire cet exercice que j'appelle -c'est le
cousin d'un merabh- c'est appelé un mirage. Un mirage. Vous êtes familier avec
le mot « mirage ». Un mirage. C'est un mirage.
Qu'est un mirage ? Eh bien,
vous pensez que c'est une illusion. Ah ! Est-ce une illusion, vraiment,
lorsque vous voyez un mirage ?
Ce genre de mirage est... il vient
de la définition d'émerveillé... voudriez-vous écrire cela ? (à Linda)
Oui. Mirage. Écrit comme vous savez. Oui, et si quelqu'un ici, dit que c'est un
casino à Las Vegas, je vais vous demander de sortir prendre l'air.
Un mirage est littéralement défini comme
un... et vous allez rester là-haut pour écrire cette définition.
Linda : On dirait
« mi-rage ». (elle le prononce « ma rage »)
Adamus : (gloussant) Oui, ça
pourrait. Ça pourrait. Ah, très bon. Très bon.
Mirage signifie « se demander à
l'intérieur. » Se demander. Voulez-vous écrire cela ? Pas
errer ; se demander à l'intérieur. Le mirage signifie également le miroir,
ou la réflexion. Un mirage signifie la vision intérieure.
Au fil des ans, il a été
associé avec la personne sans eau, dans le désert, qui commence à halluciner et
voir des trucs. Mais la définition originale de mirage était en fait celle
d'aller à l'intérieur, la vision intérieure. La vision intérieure.
Donc, l'expérience avec
le mirage est merveilleuse. C'est une cérémonie. Nous ne pouvons pas
nécessairement essayer d'en faire l'expérience ici. Cela doit venir dans ce
moment où ce qui était auparavant une idée mentale, ou une pensée, ou une
croyance optimiste, commence soudain à devenir réelle. Laissez-moi expliquer.
Eh bien, Tobias en fait, l'a expliqué il y a de nombreuses années lorsqu'il a
parlé de Ah, « l'instant de Ah. »
*Voir « La
Langue de Ah » et les leçons suivantes de Tobias.
Vous en avez eu
quelques-uns, probablement pas assez. Vous allez en avoir beaucoup plus. Quand
tout à coup, vous m'entendez, par exemple -voici un exemple- je dis les mots
« Je Suis ce que Je Suis », et vous dites les mots « Je Suis ce
que Je Suis », et quelque chose de profond à l'intérieur de vous dit
« Mais, qu'est-ce que ça signifie ? » Alors, vous commencez
votre bavardage typique sur un de vos fils dans votre forum... mental, (Adamus
glousse) comme vous en avez -un forum mental ! - des fils de message, en
parlant de ce que ça signifie, et quelle était la signification biblique de
« Je Suis ce que Je Suis », et doit-il être en fait « Je Suis ce
que Je Suis » ou « Je Suis qui Je Suis ? » Est-ce « Je
Suis ce que Je Suis, si Je Suis qui Je Suis ? » Et vous le
faites ! Pas forcément vous ; vous le faites là-bas. (regardant dans
la caméra)
Vous... oui, j'aimerais l'un d'eux.
(se référant au pupitre) Je voudrais... mais un plus joli. Un qui soit un peu
plus stable, et je l'aimerais, oui, un peu plus solide, un peu plus stable.
Quelque chose où je puisse m'appuyer. Et j'aimerais que le pique soit là, et...
(quelqu'un dit « l'As ») Et le, ouais, l'as et la fleur de lys. S'il
vous plaît.
Linda : De quelle couleur
le voulez-vous ?
Adamus : Eh bien, violet.
(rires) Vous aviez besoin de demander ? Oui, j'en voudrais un joli, et il
faudrait qu'il soit fabriqué sur mesure. Et puis, avec un peu de dorure à la
feuille d'or, ce serait joli. (le public dit « Oooh ! ») Ouais.
Oui, oui. Très joli. Oui. Et j'aimerais un écran de TV en bas, que personne
d'autre ne pourrait voir. Je pourrais me voir. (rires) Oui, bien.
Donc, un mirage est ce moment,
lorsque tout à coup « Je Suis ce que Je Suis » n'est plus seulement
une succession de jolis mots de makyo, mais soudain, vous allez dire « Je
comprends. Je n'y pense plus. C'est là. C'est arrivé. Je ne le dis pas juste pour
impressionner quelqu'un, ou parce qu'Adamus m'a dit de le dire. Je comprends ce
que c'est... Je comprends, je comprends. » Voilà !
Faites un mirage. Oh, c'est un mirage, mais prenez-le au second degré.
C'est là où vous l'ancrez. C'est là où vous sortez les bougies et l'encens,
vraiment, et dites « C'est le moment de faire une cérémonie. » Ni
Tobias ni moi n'avons jamais été fans de cérémonie, car il y a beaucoup de
cérémonies de makyo là-dehors. Beaucoup d'entre elles.
Tout le monde a fait des
cérémonies et ne savaient fichtre rien de la raison pour laquelle ils faisaient
une cérémonie. Et généralement, la cérémonie était pour quelque chose qui leur
était extérieur. C'était quelque chose au sein de tout le monde, et ça n'avait
pas de but. C'était un cercle vicieux.
Au moment où soudain
vous le comprenez, tout à coup vous saisissez « Je sais maintenant pourquoi Adamus a tellement
parlé du karma ancestral. Ce n'est pas parce qu'il n'aime pas la famille ;
il n'aime pas la façon dont l'énergie de la famille est construite, je
comprends. Je suis donc prêt à libérer ma famille, non pas que je ne les aime
pas, mais en fait, parce que je les aime.
Quand vous comprenez
tout à coup, et que ce n'est plus juste une pensée, c'est là (dans le corps).
Vous êtes « Oh ! Ah ! J'ai compris ! » C'est un
ressenti et un sens, maintenant. C'est une nouvelle conscience. C'est lorsque
vous faites un mirage. C'est lorsque vous faites la cérémonie du mirage.
Vous arrêtez. Peu
importe ce que vous faites, sauf peut-être si vous êtes aux toilettes, vous
arrêtez. Vous sortez une bougie. Vous vous mettez à genoux. Vous faites quelque
chose pour reconnaître cet instant. Pourquoi ? Parce que cela l'enracine.
Ça le solidifie. Sinon, il y a une tendance à avoir un moment comme ça, un
moment fugace de brève illumination, parce que l'illumination vient à petites
doses. Ce... pourquoi ? Quelqu'un vient de demander pourquoi cela vient
seulement à petites doses ? Sinon vous explosez. Oui. Boum !
Donc, cela a tendance à
venir à vous, maintenant, à doses satisfaisantes, de belles petites doses, et
alors, une fois que vous êtes habitués à ces petites illuminations, alors elles
commencent à devenir un peu plus grandes, et un peu plus grandes, jusqu'à ce
que vous soyez juste un gros morceau d'illumination en marche. (Sart dit
« Ouaiaiais !) Ouais. C'est ce à quoi ressemble l'illumination,
« Ouaiaiais ! » En fait, c'est plutôt bon. Ouais, j'aime ça.
Donc, vous vous arrêtez
un moment pour l'ancrer, parce que sinon, ce qui va se passer -et vous avez
déjà vécu cette expérience- c'est que tout à coup vous avez eu cette petite
expérience grandiose et puis, bien vite, vous vous demandez, vous doutez, vous
perdez confiance. « Eh bien, c'était quoi tout ça ? Bon, ça s'est
passé, tout simplement, mais maintenant, je dois retourner à mon monde de
merde. » Non ! C'est
lorsque vous arrêtez pendant un moment, et que vous faites quelque chose
-chanter une chanson, allumer une bougie, manger un cookie, quoi que ce soit.
C'est votre cérémonie pour le mirage.
Et le mirage n'est pas
juste une hallucination. Les hallucinations sont réelles, à propos. Le mirage
dit «Je me suis émerveillé intérieurement. J'ai compris ce « aha ».
C'est vivre l'ascension. Je vais vivre ça maintenant. Ça ne va pas remonter
dans un autre plan éthéré. Ça ne va pas faire resurgir d'anciens aspects et
constructions pour qu'ils me tourmentent maintenant, » comme cela vous est
arrivé dans le passé. Vous avez une brève illumination ; très souvent,
alors, ces mauvais aspects ont refait surface, vous ont hantés, et ont dit « Tu
te racontes des histoires », ou « Ce n'est pas vrai », ou
« T'es juste cinglé », ou « Reviens, fais ton travail. Tu as des
choses qui sont importantes. Prends soin des autres. Tu es tellement égoïste
d'avoir ces brèves illuminations pour toi-même », vous voyez.
C'est ce qui est arrivé
très souvent dans le passé avec vos illuminations, avec vos « aha »,
avec le mirage. Vous le remettiez dans le panier de l'illusion, et ils ne
l'étaient pas. Aucun d'eux ne l'a jamais été. Peut-être quelquefois mal compris
par vous au sein de votre réalité, mais ils n'ont jamais été des fantasmes. Ce
n'étaient même pas des illusions. C'étaient de petites avancées spectaculaires.
Donc, lorsque cela se
passe maintenant, et je dis cela parce que vous allez le vivre au cours de ce
prochain mois. Des idées auxquelles vous avez adhéré dans un état mental de
l'être, mais qui n'ont jamais été vraiment ressenties. Des choses que,
dites-vous « Eh bien, ça a l'air pas mal », mais vous ne les avez
jamais vraiment vécues.
Lorsque je dis quelque
chose comme « combinant l'énergie du mental et du créatif », le
mental jette un coup d’œil à ça et dit « Oh, d'accord. Peu importe. Je
vais m'en charger de toute façon, donc, ça n'a pas d'importance. » (Adamus
glousse) Mais lorsque soudain vous le pigez et le ressentez, tel que c'est
vraiment, vous avez ce « Oh mon dieu, Adamus est un prince, un Maître.
(rires) Est un Maître. Si bienveillant. » Mais lorsque vous avez ce moment
et que vous dites « J'ai pigé maintenant, que c'est comme avoir le mental
et le créatif. Ce n'est plus là-haut (tête). C'est ici à l'intérieur
(cœur). » C'est un mirage. Ancrez-le. Équilibrez-le. Faites-lui une
cérémonie.
Pourquoi ? Parce
que, tout d'abord, ça le reconnaît. Reconnaissez-le pour vous. S'il vous plaît,
n'appelez pas vos amis pour leur dire « Faites un saut pour un mirage.
(rires) Nous servons du vin blanc. » Non, non, non. C'est une chose très,
très personnelle. Très personnelle. Avant même de commencer à l'écrire sur
votre journal -pour le peu d'entre vous qui tiennent un journal- faites la
cérémonie, le mirage.
Oh, ensuite, ce qui se
passe, c'est que ça va inviter le prochain mirage, et le mirage suivant, et le
suivant. Ils vont se sentir bienvenus dans cette maison du Je Suis. Ils vont
sentir soudain que c'est approprié et que c'est naturel. Et alors, vous allez
avoir tous ces... vous pourriez commencer à aligner toutes ces pensées et idées
que vous avez eues à propos, oh, de l'illumination. Ha, ha, ha. Elle est bien
bonne.
Vous n'avez pas idée de
ce qu'est l'illumination, et c'est correct. Le mental ne peut pas comprendre
l'illumination. Il essaie. Vous pouvez peut-être le ressentir un peu -ou le mot
ascension, quand nous en parlons- mais fondamentalement, c'est un gros point
d'interrogation. Ça a l'air bien, mais tout à fait honnêtement, lorsque nous
avons été avec Shaumbra, dans le monde entier, ils n'ont pas idée de ce qu'est
l'illumination.
Demandez-leur
« C'est quoi, l'illumination ? » (Adamus prend un air confus)
Euh. C'est quoi l'ascension ? Quand je meurs et que je monte dans un nuage
de fumée ? Que je rencontre Jésus ? » Non. Je parle
d'intégration totale. C'est quoi ça ? « Euh.... sais pas. » Ils
sont honnêtes là-dessus, au moins, mais je leur dis, c'est pour ça que vous êtes
revenus ici -pour l'illumination, l'ascension, peu importe comment vous
l'appelez -le Nirvana sur Terre. C'est le premier facteur de motivation de
toute votre vie. C'est probablement la seule passion que vous ayez gardée.
C'est pour ça que vous vivez, travaillez et respirez. Et vous ne savez pas ce
que c'est ??! (rires)
Édith :
Si, nous savons !
Adamus :
Définissez-le, m'dame.
Édith :
C'est conscience et éveil.
Adamus :
Ça c'est de la merde makyo, si je l'ai jamais entendu !
Édith :
Non, ça ne l'est pas !
Adamus :
Continuez, Édith.
Édith :
(Linda lui tend le microphone) Oh, je n'ai pas besoin de ça, je
vais juste lui crier après. (rires)
Adamus :
Continuez. Jetez-moi de votre mieux.
Édith :
Je l'ai déjà fait. Je vous ai parlé de conscience...
Adamus :
C'était votre mieux ? Ha, ha, ha.
Édith :
… et l'éveil. Vous savez...
Adamus :
C'est quoi, l'éveil ?
Édith :
Et nous pensons que vous êtes un prince charmant, aussi, ne soyez
pas pourri. (Adamus glousse) Mais c'est la conscience et l'éveil.
Adamus : Oui. C'est quoi, la
conscience ?
Édith :
Et la conscience, la compréhension et la connaissance de qui nous
sommes.
Adamus : Ce sont toutes des
constructions mentales. Sinon, vous n'auriez pas dit un mot.
Édith : Oh merde !
(beaucoup de rires)
Adamus : Absolument, et vous
avez tout à fait raison. Vous avez tout à fait raison. Ce sont toutes des
constructions mentales, et je veux qu'elles deviennent comme des compréhensions
profondes et simples. Je veux qu'elles deviennent très réelles, pas un
objectif. Pas quelque chose à quoi vous aspirez, mais je veux qu'elles vivent
l'ascension au sein de votre corps.
Vous y arrivez. Vous y arrivez. Vous avez
eu des illuminations. Le mois prochain, je veux que vous reveniez et disiez
« Adamus, j'ai pigé. J'ai eu ce mirage. J'ai fait ma cérémonie. Vous avez
raison. Ce n'est rien dont vous ayez même parlé. »
Édith : Que diriez-vous si
nous pouvions conclure un accord ?
Adamus : Je ne fais pas
d'accords. Pas de compromis. Pas d'accords.
Édith : Oh si, vous faites
des accords !
Adamus : Je ne fais pas
d'accords.
Édith : Que diriez-vous si
vous nous disiez d'abord...
Adamus : Vous dire ?
Édith : … ce que sont les
choses au lieu d'essayer de nous mettre dans l'embarras.
Adamus : Je vous ai dit
les choses d'abord.
Édith : Toujours nous dire
les choses d'abord.
Adamus : Non, il n'y a pas
de gêne ici. Absolument aucune. Non, et c'est une vraie déclaration.
Édith : Non, pas de gêne,
mais je ne peux penser à un autre mot.
Adamus : C'est une vraie
déclaration, parce que vous dites « C'est quoi l'éveil ? » Vous
pouvez peut-être me débiter quelques mots en retour, mais vous ne l'avez pas
vraiment ressenti. Vous avez un sens pour ça, mais c'est mental.
Qu'est-ce que l'éveil ? « Eh
bien, c'est quand je me réveille et que je me souviens qui je suis. »
Conneries. Foutaises.
Édith : Eh bien, qu'est-ce
que c'est ?
Adamus : Des conneries. Je
viens de vous donner la réponse. (Adamus glousse)
Je ne veux pas vous le dire, Édith, ou à
quelqu'un d'autre. Nous utilisons ce mot, ainsi nous avons une sorte de point
de référence pour la discussion, mais je ne veux pas vous dire. Je ne peux pas
vous dire.
Qu'est-ce que l'illumination ? Eh
bien, c'est un exemple typique -nous allons y venir dans un instant si je me
dépêche- c'est une chose typique « Si je suis illuminé, je suis vraiment
intelligent. Je plane sur l'eau, en quelque sorte. » Vous avez vu, le mois
dernier, comment je marche sur l'eau. Ouais ! Que, hmmmmmm, vous êtes
paisibles ; mmmmmm, vous allez vibrer ; mmmmm vous portez des robes
blanches et vous descendez la rue, et vous êtes un peu éclatants. Ceci est du
makyo. C'est vieux. Il y a eu quelques Maîtres qui l'ont fait, mais regardez ce
qui leur est arrivé. L'un a fini cloué à la croix ; l'autre est devenu
vraiment gros et avait une mauvaise haleine. (rires) C'est juste que... nous
allons le faire de façon un peu différente. Un peu différente.
Donc, c'est pourquoi je dis qu'un mirage
est une des plus belles choses dont vous allez faire l'expérience. C'est ce
« aha. » Tout à coup, sortir de la construction mentale. Rien de mal
à être dans une sorte de cadre de conscience étrange et anormal, de
pensée-mentale, de limitation, de peur, d'espoir et de désir. Rien de mal avec
ça, parce que, au moins, ça fait entrer les énergies qui vont supporter tout
ceci.
Mais finalement, en fin de compte, quand
vous avez ce mirage majeur, vous allez comprendre ce dont je parle. Et je suis
presque inquiet à l'idée de mettre trop de mots dessus, parce que soudain, vous
suivez les mots. Vous discutez de ce que signifie Je Suis ce que Je Suis, et si
vous faites cela, s'il vous plaît, retournez à Spiritualité 101.
(« 101 » signifie classe débutants) Ne venez pas à mon cours -s'il
vous plaît ! (un couple de personnes applaudit) Je vous remercie. Deux
applaudissements. Trois. Bien. Sérieusement, parce que c'est de la masturbation
spirituelle, aussi connue sous le nom de makyo. Makyo, c'est de la masturbation
de merde. C'est mental. Cela va vous coincer. Cela va blesser votre mental,
votre corps, et cela va, en fait, vous conduire à vivre une vie très étrange,
une sorte de vie où vous essayez d'être spirituel, mais vous essayez d'être
matériel. Vous essayez de faire des boulots, mais vous essayez d'être plus
saint-que-moi-tu-meurs, et ça ne va pas fonctionner. Que va-t-il se
passer ? Vous allez exploser. Vous le ferez. Vous exploserez, et vous
exploserez aussi presque tout autour de vous.
Et vous n'en avez pas besoin. Vous n'en
avez pas besoin. C'est mon point de vue. Vous n'en avez pas besoin. Ce n'est
pas normal d'aboutir à l'accomplissement de cette façon. Ce n'est pas une façon
normale de réaliser soudain que vous êtes illuminés.
Souvenez-vous, Tobias, le grand Maître, a
dit il y a longtemps « Vous êtes déjà ascensionnés. Vous faites juste
l'expérience, maintenant, de ce que c'est d'arriver là. » Vous êtes déjà
là. Maintenant, vous remontez le temps, littéralement, à travers l'espace,
grâce à l'expérience. Comment êtes-vous arrivés là ?
Vous entendez ces mots-là et vous dites
« Oh, ça a l'air vraiment cool. Comme quelque chose que Gene Roddenberry
aurait écrit. Oh wow, laisse Star Trek écrire une histoire à ce sujet. »
Mais ce n'est pas dans le cœur. Ce n'est pas encore réalisé à un niveau de
conscience. Mais ça le sera, et c'est en train de l'être, et c'est quand vous
faites le mirage.
Vous sortez un encens. Jetez des pièces
tout autour de vous. Quoi que ce soit qui crée une cérémonie. Faites attention
aux étoiles. Ça n'a pas d'importance. C'est une reconnaissance, et ça dit
« ça y est ». Et vous allez revenir vers moi. Le mois prochain, nous
allons courir dans tous les sens, avec le micro, « Comment était votre
mirage ? » -et n'en inventez pas un- « Comment était votre
mirage ? » Et vous allez « Vous savez, je ne veux pas vous en
parler, parce que c'était le mien. Cela a été une profonde expérience. Je ne
veux pas devenir mental à ce sujet. » Je dirai « Bien. Je vous
remercie Édith. Je vous remercie. » C'est ça, le mirage.
J'aimerais en faire un ici, mais c'est très
personnel. Vous pouvez faire un merabh en groupe. Un mirage est totalement à
vous. Et souvenez-vous, quand vous atteignez cette illumination soudaine, cette
soudaine percée, ça vous fait sortir de la voie anormale, et vous fait entrer
dans votre état naturel d'être.
Prenez une profonde respiration.
Bien. Laissez partir celui-là.
Fin de la ligne
Dans les minutes qui restent, je veux
parler d'un autre concept -un concept intéressant, peut-être un triste concept
-peut-être celui qui mettra en colère certains d'entre vous et qui sera une
contradiction avec ce que j'ai dit plus tôt. Mais, c'est la vie.
Vous êtes arrivés à la fin de la ligne de
quelque chose. Vous êtes arrivés à la fin de la ligne. Je vais dessiner une
ligne afin que vous compreniez. Vous êtes arrivés à la fin de la ligne. (il
dessine une ligne) Bien. Et je dis ça, encore et encore, parce que peut-être
l'un de vous, êtres intelligents, peut aussi choisir une chanson avec ces mots
pour... J'aime ce que vous avez fait auparavant quand vous...
Linda : Johnny Cash.
« Je marche droit. »
Adamus : Non, ça, c'est être
sur la corde raide. C'est, vous savez, c'est une mauvaise chose. Fin de la
ligne. « Voyager... » (quelqu'un dit « de Wilbury »).
Ouais, Cauldre essaie de comprendre... « Voyager... » ce groupe qui
chante.
Ainsi, vous arrivez à la fin de la ligne,
et cette ligne, c'est -et cela va vous paraître un peu étrange, mais respirez
dedans- l'évolution. L'évolution. Vous êtes arrivés à la fin de l'évolution.
(Adamus prend une profonde respiration) Ah ! Quoi, vous avez peur ?
Cela signifie-t-il que vous allez mourir maintenant, ou que vous reculez ?
Non. Pas du tout.
Vous avez été programmés
et vous vous êtes investis dans
l'évolution de, certainement, le mental -apprendre plus, devenir plus sage,
avoir plus de capacités pour résoudre les problèmes -donc, vous avez été conditionnés pour ça, programmés
pour ça. Et c'est pour ça que vous avez vécu, fondamentalement. Et c'est
pourquoi vous avez, vous savez « Je deviens un être évolué. »
A un certain degré, il y a une évolution
qui recouvre la biologie. (quelqu'un éternue bruyamment) Vous allez arracher
Jésus de la croix, si vous continuez comme ça ! (rires)
Donc, vous arrivez à un point où il n'y a
plus d'évolution du corps. Vous pensez que vous faites partie de cette
évolution de la biologie. Vous regardez les photos de Darwin. Vous regardez les
singes d'il y a longtemps et dites « Eh bien, je suis juste un petit
tremplin dans l'évolution de la biologie du corps physique. » Non,
vous êtes à la fin de la ligne de ça aussi. Littéralement, avec ce dont nous
avons parlé auparavant, vous n'avez plus à faire évoluer votre biologie
ancestrale. Vous créez la vôtre propre. Donc, il n'y a plus d'évolution le long
de l'ancienne ligne. L'évolution s'arrête. Lorsque vous arrivez à ce point de
l'éveil, elle s'arrête.
Même les concepts de la spiritualité
cessent d'évoluer. Hm, ouais. Parce que ça indique qu'il y a encore quelque
chose à apprendre. Ça indique qu'il y a presque une croissance requise, qui
vient après. Ça indique que la spirale continue de spiraler. Et ça le fait
depuis longtemps, pendant très, très longtemps, jusqu'à ce qu'elle revienne sur
elle-même. (il dessine une spirale) Nous avons parlé de ça auparavant. Cela
arrête le cycle de l'évolution.
Cela effectue également un changement
spectaculaire dans le concept de vos moyens d'existence, de votre vie. Vous
n'évoluerez plus lorsque vous arrivez à un certain point sur le chemin
spirituel. Peut-être effrayant ? La réaction courante serait « Ça y
est ??! Ça y est ?! Je ne vais pas devenir plus intelligent ? Je
ne vais pas devenir en meilleure santé ? Je ne vais pas devenir plus
sage ? C'est exact, et c'est une bonne chose.
Tout d'abord, cela va vous
libérer d'une énorme, énorme quantité de responsabilité -fardeau, je dirais.
Manque de liberté. Il y avait un programme à l'intérieur de vous, qui disait
« Évolue, évolue, évolue, évolue. Chaque jour, je suis supposé aller
mieux. Chaque jour, je suis supposé devenir plus sage. Évolue-toi
toi-même. » Ça, c'est terminé. Je ne dis pas tous les êtres humains. Je
dis vous. Si vous écoutez, si vous êtes là, c'en est fini de ça. Concept très
étrange, et inconfortable aussi.
L'évolution a tendance à être,
à nouveau, une construction mentale, une idée, littéralement, un implant qui
vous a gardé à faire la toupie sur cette spirale, croissant encore et encore.
Vous pensez même que, bien, non, l'esprit évolue. Le divin évolue. Non, il ne
le fait pas.
Ce qui se passe, c'est que...
laissez-moi me faire comprendre clairement. Lorsque vous cessez d'évoluer, ou
cessez d'essayer d'évoluer, j'affirme que c'est un processus quelque peu artificiel
-quelque peu ; pas totalement, mais quelque peu artificiel- lorsque vous
n'essayez plus de forcer ou pousser l'évolution de vous-même, vous entrez dans
un de ces grands « aha ». Grand « aha ». Et dans ce
« aha », vous réalisez qu'il n'y a plus rien à gagner, il n'y a plus
rien à perdre ; il n'y a plus rien à acquérir ou à quoi aspirer. Dans ce
moment dans lequel vous pouvez soudain atteindre le « aha », à un
certain point, vous réalisez tout à coup que maintenant, sans plus d'évolution,
il s'agit de vivre l'ascension.
Maintenant, toute la sagesse
qui a été dans l'âme, toute la sagesse que vous avez, disons, partagé avec
l'âme -l'âme, la conscience- de toutes les choses que vous avez faites... et, à
propos, ce ne sont pas les détails de ce que vous avez fait ; c'est au
sujet du résultat de ce que vous avez fait. Il n'y a pas de Mémoire Akashique
dans l'âme, et j'ose être en désaccord avec ceux qui disent qu'il y en a une
qui flotte autour là-bas, comme un Borg* très gros, énorme, géant. L’univers ne
donne pas une merde pour les détails. Ils sont mentaux et ils vont être
éliminés. Tous les détails -ce que vous avez fait à un certain moment, à un
certain endroit- ils vont juste être jetés aux chiottes, parce qu'ils n'ont pas
d'importance. Ils n'ont vraiment pas d'importance.
*Les Borgs ou le Collectif Borg
sont, dans l'univers de fiction de Star Trek, une race de créatures cybernétiques - en partie organique, en partie mécanique. Ils sont
connus pour être impitoyables et particulièrement difficiles à éliminer.
Ils sont mentaux ! Ils sont hors de
propos ! C'est ce qui a été ressenti et ce qui a été vécu durant cette
période. C'est ce dont l'âme se souvient et c'est ce dont le cosmos se
souviendra.
Dieu merci -et vous-même- vous n'allez pas
vous souvenir de tous les détails, et ce n'est pas enregistré dans un énorme
disque dur cosmique. Non, cela a été complètement éliminé. Dieu merci, tous les
détails ont été éliminés -ce que vous portiez un certain jour, et ce que vous
avez dit à quelqu'un, et ce que vous avez pensé alors que vous passiez devant
un bar, voulant y aller et prendre un verre. Tout ça, c'est éliminé, et la
seule chose qui reste est l'essence, la sagesse et l'expérience. C'est tout ce
qui reste.
Vivre votre Essence
Maintenant, vous avez cette merveilleuse conscience d'être,
et elle ruisselle -ruisselle (il dessine une goutte)- avec cette sagesse. C'est
comme des abeilles façonnant leur rayon de miel, construisant leur ruche. Elles
ne cessent de mettre ce merveilleux nectar dedans, d'en mettre tellement,
qu'elles ne peuvent même plus le traiter, et qu'il veut juste ruisseler. Mais
vraiment, il veut juste tomber goutte à goutte, directement sur quelque chose
de pertinent -sur un gentil pirate, ou un biscuit, ou dans une tasse de thé-
plutôt que juste s'écraser sur le sol.
C'est la même chose avec vous. Vous avez évolué, encore et encore, et
grandi, encore et encore. Il est temps d'arrêter ça.
Maintenant, c'est le moment de prendre cette -cette essence,
cette sagesse- et de la vivre. Cessez de mettre le miel dans le rayon et
commencez à le manger, mes amis. C'est vraiment ce dont il s'agit dès maintenant. Quand vous cessez
d'évoluer, alors vous commencez à vivre. Lorsque vous cessez de faire vos
tentatives mentales d'évolution, a) vous allez réaliser combien c'était
artificiel ; b) vous allez réaliser combien c'était incomplet ; et c)
vous allez vous rendre compte que la vraie joie -vous et l'Esprit maintenant-
est d'être cette sagesse, de la vivre. De la vivre.
Votre conscience, votre Esprit, veut partager cette sagesse.
Veut... ce n'est pas tout à fait le mot juste. Il veut qu'elle participe à
l'expérience maintenant.
Le nectar, l'essence, a été essentiellement mis là, dans la
ruche, dans le rayon de miel, fondé sur l'apport de l'expérience ;
distillé en sagesse, distillé dans une merveilleuse essence -l'essence de
l'âme- et maintenant, il veut qu'elle revienne dans l'expérience. Une sorte
d'évolution intéressante, une espèce de cycle intéressant, on peut dire. Mais
pour ce faire, cela requière la fin de l'évolution comme vous l'avez connue.
Plus d'évolution mentale.
Cela ne veut pas dire que vous n'allez plus jamais lire un
livre, ou suivre un autre cours, ou faire quelque chose. Pas du tout. Mais cela
signifie qu'il n'y a plus de raison d'essayer de faire évoluer le Soi.
Maintenant, il s'agit de vivre le Soi. Une énorme différence, parce que vous si
vous consacrez toutes vos ressources et votre énergie, et tout le reste, à
l'évolution, il ne reste rien pour vivre. C'est maintenant le moment de tout
remettre ensemble.
Une partie du mental va crier et dire « Eh bien non, je
veux vraiment, vraiment être évolué et vraiment beaucoup de trucs de ce genre,
et je veux y aller. Je veux continuer à évoluer, encore et encore. » Mes
amis, c'est comme un chien qui court après sa queue, à un certain point. Vous
allez arriver nulle part. Que fait un chien s'il attrape sa queue ? En
fait, si un chien attrape sa queue, il détruit les aspirations du chien, les
rêves, les poursuites, les passions et tout le reste.
Le chien va fondamentalement s'écrouler quand il attrapera
sa queue. Ainsi, nous avons ici une situation où il n'y a pas besoin
d'évolution. Maintenant, il est question de vivre.
Maintenant, la question que certains d'entre vous se posent,
c'est comme « Mais n'est-ce pas une question piège qu'Adamus est en train
de nous poser ? N'êtes-vous pas en train de dire qu'en vivant l'essence, qu'en étant
l'essence, en ayant le mirage comme une partie du vécu de l'expérience, cela ne
continue-t-il pas l'évolution ? » Je vous dis, vous êtes des petits
futés philosophes. Cessez de penser de cette manière. Non vraiment. Je veux
dire. Je veux dire. Cessez de penser de cette façon. C'est des conneries de
makyo philosophique, et la seule façon que vous aurez de connaître la réponse à
cette question est de le faire, de le vivre, de l'être. Cessez d'y penser. Cessez
de le construire.
Laissez ces énergies qui arrivent en ce moment vous déchirer
-de façon affectueuse. Oh non, ça peut être amusant. Ça peut être
extraordinaire. Ça peut être joyeux. Ça peut être tellement libérateur, et
elles sont là pour ça. Elles sont là pour le faire. Elles sont là pour vous
séparer, afin que vous puissiez revenir à vous-même, entier et complet, sans
tous ces fragments, sans toutes ces parties et morceaux, mais revenir à votre
état naturel.
Être
Naturel
En ce moment, vous êtes dans un état d'être artificiel
-intéressant, étrange, unique- mais artificiel. Ce n'est pas vous. Vous pensez
que ça l'est. C'est pourquoi je dis « cessez l'évolution, » parce que
tout ce que vous essayez de faire, c'est de faire évoluer le concept humain. Vous
essayez de faire évoluer quelque chose qui
était artificiel au départ, dès le début. Une expérience intéressante. Je ne
dis pas que c'est un mensonge. Il y a beaucoup de mensonges incrustés dedans,
mais en soi, ce n'est pas un mensonge. C'était juste une expérience vraiment
bizarre.
Mais en ce moment, vous revenez à l'état naturel de vous, du
Je Suis, et ce n'est pas celui qui est assis dans le fauteuil. Ce n'est pas
l'identité que vous avez maintenant. Votre état naturel est... une partie de
cette identité est là, dedans, mais il y a tellement plus. Tellement plus.
Imaginez pour un instant, imaginez vivre démêlés. Imaginez
vivre démêlés pendant un instant. Je veux dire, pas ligotés dans toutes ces
choses. (Adamus glousse) Et nous avons un exemple, par ici. Caméra 2, démêlons
avec On (Garrett). Allez-y, On. Est-ce là votre idée d'un Maître
Ascensionné ? Eh bien, c'est bien sûr ! Il peut rire et sourire. Bien
sûr !
Imaginez être démêlés. Imaginez ne pas passer par les jeux
de devinettes pour ce que vous devriez faire ensuite. Imaginez ne pas passez
par cet état d'étranglement lorsque la peur entre en jeu. Bien, lorsque vous
avez une bonne idée, en forme, lorsque vous vous sentez bien, soudain -swissst !- la peur
entre en jeu. Imaginez ne plus avoir à essayer de répondre à la vie.
Vraiment ! Ne pas essayer d'évoluer votre soi, fondé sur des tas de vieux
apports merdiques, de vos enseignants, parents, vos aspects, vies passées et
tout le reste. Essayant de « Eh bien, vous devez évoluer. » Ils le
disaient avec des mots différents. « Tu dois faire la bonne chose. Tu dois
être meilleur. Tu dois réussir. » Tout ça est à propos de l'évolution.
Même vos enseignants spirituels, mes chers amis, même vos
enseignants spirituels vous ont dit que vous deviez être évolués. Oh, c'était
un gros truc -d'aller dans une réunion spirituelle et faire une sorte de
« Je suis plus évolué que toi. » Maintenant, vous pouvez entrer et
dire « Je m'en fous de l'évolution. Je m'en fiche. Allez joyeusement vous
faire voir. (rires) Je suis à la fin de la ligne. Plus d'évolution pour
moi. » Ils vont vous regarder d'une façon plutôt bizarre. Ah oui. Vous
aurez l'opportunité de faire ça, la semaine prochaine. Ils vous regardent d'une
façon plutôt bizarre, comme « Hein, d'où viennent-ils ? »
Cela, c'est lorsque vous dites « Parce que je vis la respiration de
l'essence. Je vis, je n'évolue pas. » Hm, absolument.
Ainsi, imaginez un instant de quel grand soulagement il
s'agit dès lors que vous n'évoluez plus. Ah, il y a toujours une partie de vous
qui dit « Non, mais une petite évolution, de temps à autre ? Je ne
veux pas que ce soit... » Vous allez découvrir que cette évolution servait
un but. Elle vous a fait jouer. Elle vous a fait éprouver. Mais lorsque vous
démarrez ça (pointant le centre de la spirale), lorsque vous revenez en
vous-même... (Linda désigne sa montre) Ah ! Le temps n'est rien. Je suis
ici sur le point de conclure, très théâtral. Elle désigne sa montre comme si
« Adamus, tout le monde est fatigué. » Non, fascinés. Ils sont
absolument fas-... leurs yeux sont clos et ils sont penchés en arrière,
uniquement parce qu'ils sont à fond dedans. (quelques rires)
Fin de la ligne. Revenez en vous-même, où vit la biologie
que vous possédez maintenant, où un mental, qui a été débarrassé de ses bagages
et de ses détails, soudain, rencontre l'essence. Soudain, rencontre cette
sagesse de l'âme. Et maintenant, les deux s'embrassent, ayant pensé pendant des
lustres qu'ils étaient séparés. Après avoir eu l'illusion de la séparation,
réalisent maintenant qu'ils ne l'avaient jamais vraiment été. Ils reviennent
ensemble.
Il faut... non, pas besoin, Cauldre. Ce n'est pas le mot
juste. Il s'agit de confiance. Il s'agit de permettre l'intégration. La
confiance est capable de s'asseoir ici, dans un merabh de trois minutes et
dire, (il prend une profonde respiration) « J'ai déplacé certaines
énergies. J'ai changé de conscience. Ouf ! Je n'ai pas eu besoin d'y
travailler. » C'est la confiance. C'est la confiance. Et elle permet que
cela se passe.
Il s'agit de confiance, et il s'agit, mes chers amis, d'être
naturel. Être naturel. De forcer les choses n'est pas naturel. De penser aux
choses n'est pas naturel. D'essayer de gagner à vie n'est pas naturel. Les
objectifs, ne sont pas naturels. Les études spirituelles ne sont pas
naturelles. Aucune d'entre elles. C'est un état artificiel. Ce n'est pas
naturel d'avoir un mental qui est différent, ou qui opère sur un niveau de
fréquence différent de celui du corps. C'est artificiel. Ce n'est pas naturel
de parler de votre corps et de votre mental comme s'ils étaient des parties et
des morceaux séparés, et de votre esprit. C'est pourquoi je l'appelle le Corps
de Conscience. Il est, chacun d'eux.
Ce n'est pas naturel, toute cette
incarnation et ce cycle de réincarnation. Ce n'est pas naturel. Ce furent des
expériences intéressantes, mais revenez à votre état d'être naturel. Revenez
aux flux naturels de l'énergie. Revenez à vivre sans souffrir, à vivre sans penser
à la façon de vivre, à vivre sans se soucier du moment suivant, à vivre là
où vous respirez absolument dans l'essence de vous-même. Cela a toujours été
là.
Prenons une profonde respiration avec ça,
mes chers amis.
Oui, je suis impatient de retrouver mon
nouveau pupitre de professeur. Oui, le mois prochain, bien sûr.
Aussi, prenons une profonde respiration
alors que nous terminons ce Shoud. Je crois que l'on va jouer une musique.
Alors que je fais ma grande sortie, je veux
vous rappeler, au cours du mois prochain, lorsque vous commencez à ressentir
ces illuminations, sortez de votre mental. Cessez d'y penser. Laissez-les juste
se produire. Faites le mirage, le respect, la cérémonie. Et lorsque vous
commencez à douter de ce qui vient juste de vous arriver, lorsque vous
commencez à douter si vous -vous personnellement- pouvez vraiment vivre au sein
de votre vie, si vous pouvez réellement vous permettre de ressentir, vous
prenez une profonde respiration et vous vous souvenez, peu importe de quelles
nouvelles parlent les reporters, tout va bien dans toute la création.
Avec cela, mes chers amis, jusqu'à ce que
nous nous retrouvions, ça pourrait être cette nuit -ha ha ha ! Je Suis
Adamus, à votre service. Je vous remercie. Je vous remercie.