Je Suis ce que Je Suis, Adamus du domaine souverain.
Bienvenue, chers amis. La vie est belle. La vie est belle. Ah, prenons une bonne respiration.
La vie est belle et simple. Vraiment.
Elle l’est. Aujourd’hui, nous allons en parler, pourquoi parfois cela
semble difficile, pourquoi parfois vous rendez cela difficile alors que
c’est en réalité très simple.
Je vais vous demander de ressentir cela un instant, si vous le voulez bien. La vie est simple.

Oh, vous pouvez me donner mille raisons
pour lesquelles elle n’est pas simple. Vous pouvez me parler de votre
passé. Vous pouvez me faire part de vos inquiétudes quant à votre
avenir, mais c’est simple. Ça l’est vraiment.
La question que je vous pose est :
pouvez-vous gérer ça ? Eh, avant de répondre, je veux que vous
ressentiez vraiment cela. Pouvez-vous supporter que la vie soit facile
et abondante et libre et différente. Pouvez-vous le gérer ? (Quelqu’un
chuchote « oui »)
Vous dites oui, mais de toute évidence
ce n’est pas le cas. (Rires) Je dis ça, je ne dis rien. (Adamus glousse)
Avons-nous loupé la rangée de devant ? (il y a quelques chaises de
libre). Leur a-t-on dit… Linda, les avez-vous effrayés ? Personne
devant…(Quelqu’un vient s’asseoir à la rangée de devant) Merci. Je ne
mords pas. Je crache. (Rire) Je crache du feu mais je ne mords pas.
Quelqu’un d’autre ? Première rangée. Première rangée. Merci. Oui. Eh,
Pas ici avec vos oreilles. (Quelqu’un porte des cornes de rennes qui
peut cacher la vue à la caméra)
LINDA : Encore une chaise.
ADAMUS : Encore une ? (Adamus glousse)
LINDA : Merci. Merci.
ADAMUS : Oui. Nous nous préoccupons des
problèmes techniques. (Rires) La vie est simple, mais vous devez être
conscient. Oui. (Il s’assoit sur l’une des chaises) C’est pour moi. Oui.
(Quelques rires) Oh !
LINDA : Non, non. (Quelqu’un d’autre est venu s’asseoir devant)
ADAMUS : Vraiment désolé. Je crois que
c’est la vôtre. Merci. Bien, avec votre chapeau à cornes, vous ne pouvez
pas vous placer là.
La vie est simple et elle est belle, et c’est là où nous allons. C’est là où nous allons.
Et ça a l’air beau. Vous dites, « oh
ouais ! C’est ce que je veux. » Mais, afin d’y arriver, nous devons
lâcher prise sur certaines choses. Nous devons avoir une vision –une
vision !- de la vie, une vie facile, ce qu’elle est.
Nous ne devons pas tomber dans la
gravité très dense de la conscience de masse. C’est simple en réalité,
mais au début c’est inconfortable.

Bienvenue à tous ceux qui écoutent en
ligne. N’aimez-vous pas les vacances ? N’aimez-vous pas la beauté des
vacances ? Pouvez-vous faire une vue panoramique de la scène (Aux
cameramen). Oh Linda, vous pouvez rester assise là-bas. Vous faites
partie de la beauté naturelle. Oui.
LINDA : oh, vous avez conquis mon cœur aujourd’hui. Ohhhh. (Quelques applaudissements)
ADAMUS : Oh, j’aime les vacances. J’ai
toujours aimé ça. J’ai tendance à revenir plus souvent, pas seulement
pour les Shouds, mais pour vous. J’ai tendance à revenir plus souvent
pendant les vacances parce que vous êtes, ah, un peu plus lumineux, un
peu plus simples. Les vacances, le moment –à peu près le seul moment
qu’il reste maintenant- où les humains croient en la magie. Ils croient
que quelque chose de spécial se passe. Ils regardent des films de
vacances – certains disent qu’ils sont kitsch – un peu tristes,
larmoyants. Mais j’aime m’asseoir avec vous lorsque vous regardez « La
vie est belle ». Ouais. Ouais. Vous, moi, du popcorn, vos kleenex, mon
écharpe et beaucoup de larmes. (Quelques gloussements)
J’aime les vacances parce que ça vous
rappelle si souvent le passé lorsque les choses étaient vraiment plus
magiques sur terre. Mais beaucoup de cette magie s’est envolée. C’est
l’ère du mental.
Vous pouvez…s’il vous plait, mettez-vous
à l’aise (Il invite Linda à se rasseoir sur sa chaise). Et … Sandra,
dois-je vous le rappeler à chaque fois ? (Adamus glousse) Un café à la
crème, s’il vous plait, pas de lait de chèvre. (Quelques gloussements)
Donc la fin de cette année est magique.
C’est peut-être parce que vous avez travaillé si dur pendant l’année,
vous étiez stressés, incertains et vous avez passé des heures
éreintantes au travail que vous n’aimez peut-être même pas, à vous
occuper de vos parents –bon, vous devez aussi faire ça pendant les
vacances – mais c’est un moment de l’année si magique durant lequel vous
baissez un peu la garde. Les petits enfants et même quelques adultes
croient au Père Noël. Vous croyez aux choses magiques qui peuvent
survenir dans votre vie. Vous croyez aux miracles. Miracles.
Ah, plus tôt aujourd’hui, j’ai croisé
une, comment l’appelez-vous, une sans-abri se tenant au coin de la rue
avec sa petite pancarte en carton, ouais, sur laquelle était écrit
« j’ai seulement besoin d’un miracle. » Il n’était pas écrit « j’ai
seulement besoin d’argent ». C’est une première. Il était écrit « j’ai
besoin d’un miracle ». Et vous savez quoi ? Mes miracles se produisent.
Les miracles ne viennent pas d’une source angélique et d’un esprit et
quelque chose comme ça. Les miracles sont simplement les choses que vous
ne comprenez pas autrement. Vous ne comprenez pas comment c’est arrivé,
et cela n’a pas d’importance. Cela n’a pas d’importance de savoir en
détail comment telle ou telle chose est arrivée ou comment telle ou
telle personne est entrée dans votre vie.
Un miracle se produit lorsque vous êtes
prêts à sortir de vos anciennes limites, lorsque vous êtes prêts à
sortir de votre mental, lorsque vous êtes prêts à sortir de votre
personnage, personnage auquel vous vous identifiez tellement. Soudain,
les miracles se produisent parce que vous êtes plus disponibles pour les
énergies qui vous attendaient. Qui vous attendaient. Tout est là.
C’est pourquoi je dis que c’est facile.
J’utilise ce terme « Kasama », que certains traduiraient par le terme
« Kismet » qui signifie destin, mais pas le destin régulier et linéaire.
Kasama est le destin de l’âme.
Nous avons parlé de ça récemment à
Keahak. Le destin de… (Sandra lui apporte son café) Vraiment ? Une tasse
en carton pour votre commandant ?! Une tasse en carton – plastic. S’il
vous plait ! S’il vous plait.
EDITH : oh mon frère ! C’est pas la fin du monde ! (Rire)

ADAMUS : Non. Je vais vous raconter une
histoire, Édith. Je vais vous raconter une histoire. S’il vous plait (à
Sandra), en céramique au moins. En cristal, encore mieux. Ouais. (Adamus
glousse). Je vais vous raconter une histoire, chère Édith. Vous l’avez
partiellement entendue de Cauldre (pendant l’introduction), mais elle
est très vraie.
Le bateau sur le Nil à quai ne convenait
pas à ma résonance. Donc, Nous aurions pu tous les 70 nous asseoir dans
le bateau et subir le bruit et l’inconfort, mais pourquoi ? Pourquoi ?
C’était aussi simple que de dire « déplacez le bateau. » C’est aussi
simple que ça – « déplacez le bateau ».
« Du café dans une tasse en céramique. » « Je Suis ce que Je Suis. » « Une vie abondante. » Pourquoi pas ?
Pourquoi, Édith, qui a parlé franchement
et qui ressens à présent le poids de mes énergies. Pourquoi, Édith,
vous êtes-vous accrochée à moins que le meilleur pour Édith ? Pourquoi ?
Nous aurons besoin du microphone. Ne tergiversons pas. J’ai besoin de
mon café, microphone. Préparez le tableau. Un microphone. Oui. S’il vous
plait, s’il vous plait, ne vous précipitez pas tous pour venir m’aider.
LINDA : Dieu nous en préserve !
ADAMUS : Donc Édith, pourquoi vous êtes-vous accrochée à tout…levez-vous Édith, si vous le voulez bien. Prenez la chaise.
LINDA : ohhh, ohhh !
ADAMUS : Ohhhhh !
LINDA : Ohhhh !
EDITH : Édith, la rock star dans le monde entier. Il y a maintenant le « Facteur Édith » parmi les Shaumbra ! (Rire)
LINDA : Ohhhh !
ADAMUS : Veuillez vous asseoir. Vous n’avez pas besoin de rester debout. Asseyez-vous.
EDITH : Vraiment ?
ADAMUS : Vous voyez ?! Mon point de vue.
EDITH : D’accord ! D’accord ! D’accord ! (Elle s’assoit sur la chaise d’Adamus)
ADAMUS : Offert…
EDITH : Je ne sais pas si je peux me lever là.
ADAMUS : le siège d’un roi, et elle dit « Vraiment ? »
Donc, Édith…
LINDA : Geoff, c’est une torture !
ADAMUS : Édith, pourquoi vous
contenteriez-vous de moins que le meilleur dans votre vie ? Pourquoi
vous êtes-vous contentée de moins que le meilleur ?
EDITH : C’est une très bonne question.
ADAMUS : Je sais. Je l’ai posée.
EDITH : Si seulement je connaissais la réponse.
ADAMUS : Ohh. Oww !
LINDA : Ohhhhh ! (Des plaintes et commentaire du public)
ADAMUS : Ohhhh ! Je sais, mais c’était trop près.
LINDA : Édith !
ADAMUS : ça frise…

Édith, vous la connaissez, et c’est ça
le problème. Vous la connaissez mais vous refusez de la voir. Vous
n’avez pas de vision. Bon, si vous avez des visions, ce sont celles
d’Édith.
LINDA : Ohhhh !
ADAMUS : Déplacez le bateau. (Adamus
glousse) Je m’en fiche. Je m’en fiche et vous devriez en faire de même.
Pourquoi participez-vous aux shouds ici chaque mois ?
EDITH : Parce que je les aime. Je les apprécie et je crois en eux.
ADAMUS : Oui.
EDITH : je crois en l’illumination, en la conscience.
ADAMUS : Bien.
EDITH : Pleine conscience du corps.
ADAMUS : Ouais, tout le reste.
EDITH : Oui.
ADAMUS : Mais tout est là. Je le veux en
Édith la prochaine fois que nous parlons comme ça. Je veux que ce soit
intégré en Édith.
EDITH : Je pensais que ça l’était.
LINDA : Ohh !
ADAMUS : Pas la Édith à qui j’ai parlé
avant ! Pas la Édith qui accepte moins que le meilleur pour elle-même et
sa vie. Et vous avez tous une petite Édith en vous. (Adamus glousse)
Vous avez tous ce « permettre moins que le meilleur ». Pourquoi ?
Pourquoi ? Eh bien, nous allons en parler aujourd’hui. C’est une
parfaite organisation.
Permettre moins que le meilleur –
argent, santé, relations, enfants – devons-nous continuer ou vous voyez
ce que je veux dire ? Moins que le meilleur.
EDITH : Je vois ce que vous voulez dire, mais j’aimerais avoir la solution.
LINDA : Mmmmm.
EDITH : Bon, vous ne voulez pas que je mente, ou bien ?
ADAMUS : Eh bien…
LINDA : Je le veux !
ADAMUS : … dans un sens... (Beaucoup de rires)
EDITH : Vous avez raison, Linda.
ADAMUS : Donc, ceci amène à se poser la
question… ça joue en ma faveur. Cela amène à se demander qu’est-ce que
le mensonge ? Qu’est-ce que le mensonge, Édith ? Vous dites ne pas
vouloir me mentir. Je pense que vous me mentez et pire encore, vous vous
mentez à vous-même.
Lorsque vous dites ne pas savoir…
désolé. Crash. Lorsque vous dites ne pas savoir, vous mentez. Vous
mentez lorsque vous dites que vous ne voulez pas me mentir, car vous
êtes en train de mentir. Vous mentez en ne vous permettant pas d’être
qui vous êtes. Et c’est si facile. C’est si facile, mais quelque chose
vous en empêche. Et vous m’avez donné la permission d’être brutal avec
vous, si nécessaire, et aimant, si nécessaire. Vous m’avez donné la
permission de vous indiquer là où vous vous êtes aveuglée et fermée.
Lorsque vous dites à vous-même et au public du monde entier – si vous
regardez bien cette petite lumière rouge sur la caméra, le monde est en
train de regarder – vous vous êtes donné la permission pour que j’expose
votre mensonge et le mensonge est « je ne sais pas ». Vous savez. Et
cela va être la chose la plus difficile à surmonter et la plus belle
aussi, c’est très facile.
Donc s’il vous plait, ma chère, s’il
vous plait. Ça se résume à, vous pouvez dire, une question de valeur
mais c’est vraiment une question de vision, vision pour Édith. Et la
vision boit un café dans une tasse en porcelaine. C’est une petite
chose, Édith, mais qui en vaut la peine. (Adamus sirote son café) Ahhh !
(Quelques gloussements) Ceci est un café sensuel qui ne peut tout
simplement pas être expérimenté avec une tasse en carton mais seulement
en porcelaine.
C’est le « déplacez le bateau » et ne
pas s’en préoccuper. Le diriger et ne pas s’inquiéter. Cauldre, Linda,
les autres, Lucia, ils s’inquiètent lorsque je dis « déplacez le
bateau ». Je me fiche des détails. Ils ne m’affectent pas. Et je ne vais
pas me lancer dans des mauvais et longs questionnements concernant la
pauvre équipe et le navire qui doit effectuer ce travail et que va dire
le capitaine et respecte-t-on les règles. Je m’en fiche et vous devriez
en faire de même.
Cette année – l’année à venir, Édith –
est une période de réalisation. C’est un moment de rassemblement. Et la
question que je me pose, que Metatron a posé il y a très longtemps,
est : êtes-vous prêts ?
EDITH : Je suis prête…
ADAMUS : Restons-en là. Ahh, ce « mais » allait se montrer. Le « mais »…
LINDA : Quoi ?!
ADAMUS : Dans vos mots. Dans vos mots, le « mais ».
Trois vœux
Édith, question. Le Père Noël est réel,
vous le savez. Non, le Père Noël est réel. À chaque fois qu’il y a une
croyance de conscience de masse en quelque chose – le diable. Le diable
est très réel parce qu’assez de gens croient en lui. Ils le créent.
C’est en quelque sorte causé par la conscience de masse. C’est comme les
Maitres Ascensionnés qui peuvent créer une âme collective, c’est très
facile. Donc, si assez de gens croient au Père Noël, le Père Noël est
réel.
EDITH : D’accord.
ADAMUS : Et il peut se manifester. Je ne
parle pas d’être réel comme, vous savez, beaucoup de gens y croient
mais je parle du Père Noël qui se manifeste vraiment. Et les miracles et
la magie du Père Noël et des elfes se produisent. Ils se produisent
vraiment.
Donc, Édith, en sachant cela, vous avez trois vœux pour le Père Noël. Qu’allez-vous demander ? Trois vœux.
EDITH : Une vie ahmyo.
ADAMUS : Une vie ahmyo. Ok.

EDITH : Une grande et magnifique abondance et richesse.
ADAMUS : Bien.
EDITH : Une grande et magnifique santé.
ADAMUS : Ok.
EDITH : Et une grande…
ADAMUS : Eh, trois. Trois. (Adamus glousse)
EDITH : Oh.
ADAMUS : N’abusez pas de votre chance avec le Père Noël !
EDITH : Oh, la sagesse. J’aimerais plus de sagesse.
ADAMUS : Le père Noël n’est pas idiot ! Il sait compter jusqu’à trois. (Rire)
Ok, une vie ahmyo. Il ne peut pas vous
offrir ça. Vous devez vous l’offrir à vous-même. C’est en réalité plus
simple que ce se soit vous qui vous l’offriez plutôt que le Père Noël.
Abondance sauvage – le Père Noël peut en
fait vous aider là-dessus, parce qu’une fois que vous l’avez permis,
cela vient à vous. Cela n’a pas d’importance que ça vienne de Jésus, du
Père Noël ou de moi ou de qui que ce soit d’autre, nous continuerons
d’apporter ces cadeaux. Nous continuerons d’apporter l’énergie. Nous
aiderons à amener l’énergie pour de l’abondance sauvage. Oui.
Et la santé. Santé. Ahh, oui. Ça dépend
principalement de vous. Le Père Noël n’a pas une totale influence
là-dessus. Mais ça dépend principalement de vous.
EDITH : Je pensais que tout dépendait de nous, que nous étions les maitres créateurs.
ADAMUS : Vous l’êtes. Vous l’êtes. Mais
souvent ce sont les autres qui amènent les énergies. Votre corps est en
quelque sorte le vôtre. Vous apportez ces énergies. Beaucoup d’autres
choses viennent de l’extérieur. Le corps est quelque chose de très
personnel. Et je vais vous donner un indice : ne travaillez pas sur la
guérison de votre corps. Vraiment.
EDITH : Je ne le fais pas.
ADAMUS : Je sais.
EDITH : Il est guéri.
ADAMUS : C’est guéri. Bon, il est en
fait… nous allons aller au-delà du corps physique que vous connaissez
maintenant. Nous allons aller dans le corps de lumière. Alors nous
allons en quelque sorte aller au-delà de ce corps. Avec le corps de
lumière, il ne prête pas attention au vieux corps physique. Nous
n’allons pas soigner le vieux – pas « vieux corps » comme dans « vous » -
mais le corps auquel vous vous êtes habituée. Bon. Merci. Et merci de
me tolérer.
EDITH : Je vous aime et vous tolère.
ADAMUS : Merci. Merci. (Quelques gloussements)
Donc, chère Linda…(le public applaudit) Merci.
Continuons là-dessus, si vous le voulez
bien, au public s’il vous plait. Le Père Noël. Vous avez trois vœux.
Qu’allez-vous demander. Trois vœux. Levez-vous, si vous le voulez bien.
Oui.
RICKI : Mes trois vœux que… j’essaie de ne pas répéter ce qu’a dit Édith.
ADAMUS : Oui. N’est-ce pas difficile ? Tout le monde veut simplement répéter ce que dit Édith. (Adamus glousse)
RICKI : Bien sûr.

ADAMUS : Citer Édith. Oui.
RICKI : Bon…
ADAMUS : Trois vœux.
RICKI : Je veux que l’année prochaine soit une année magique.
ADAMUS : Ok.
RICKI : Durant laquelle de fantastiques et magnifiques choses se passeront.
ADAMUS : Comme quoi ?
RICKI : Que je sache au fond de moi que
je suis un Maitre Ascensionné et que je suis exactement où j’ai besoin
d’être et que je fais ce que j’ai envie de faire.
ADAMUS : Bien.
RICKI : Je veux résoudre mes problèmes
de famille. J’aime ma famille et pourtant j’ai l’impression d’être soit
trop dépendant d’eux ou qu’eux dépendent de moi et j’ai besoin d’être
davantage mon propre Moi. Et je veux être – simplement une sorte
d’humain personnel – qui vit dans un endroit parfait pour moi.
ADAMUS : Qu’est-ce que cela signifie ?

RICKI : Cela signifie que nous essayons
de savoir si nous allons rester là où nous vivons en ce moment ou vivre
autre part ou qu’est-ce que nous allons faire.
ADAMUS : Bien. Ok. Le père Noël peut un
peu aider pour plusieurs de ces choses. Plus particulièrement le
déménagement et sa partie physique car, comme vous le savez, déménager –
une fois que vous vous êtes décidé ou que ça arrive dans votre vie,
c’est la partie facile – mais la partie physique peut être difficile et
le Père Noël a beaucoup d’assistants qui peuvent aider.
RICKI : Ce serait bien.
ADAMUS : Ouais, ouais. Illumination,
maitrise – tout dépend de vous. Le Père Noël ne peut pas vous aider pour
ça. En fait, je déteste annoncer la nouvelle, le Père Noël est vraiment
magique mais il n’est pas un Maitre Ascensionné. (Quelques
gloussements, quelqu’un dit « Aww ») Il s’en fiche.
RICKI : Cela a du sens comme nous l’avons créé.
ADAMUS : Ouais, ouais. Ouais. Et pas
seulement « nous » mais la conscience de masse, les humains et tout le
reste. Ils ne croient pas aux Maitres Ascensionnés. Eh bien ! Nous
allons les choquer l’année prochaine. (Adamus est le seul à glousser)
C’était drôle.
RICKI : Ouais.
LINDA : Ah, ah, ah, ah !
ADAMUS : Ils n’y croient pas, mais ça ne va pas tarder à arriver. Bien. Merci beaucoup.
LINDA : D’autres ?
ADAMUS : Oh oui. C’est mon introduction. Trois vœux pour le Père Noël.
STEPHAN : Bon, je pourrais faire trois vœux. Donc un vœu serait d’avoir trois autres vœux lorsque je le veux. (Rire)
ADAMUS : En fait, le Père Noël a une
petite clause. Il a une clause. Ouais, c’est pour ça qu’on l’appelle
Claus. Non, vous n’en avez que trois. Le premier vœu vaudrait pour vingt
autres ?. Il n’est pas stupide. Vous imaginez comme il serait occupé.
Non, vous n’en avez que trois. Comptez-les.
STEPHAN : Ok, l’opportunité de ma vie. Ok.
ADAMUS : Ouais. Vous voyez, parce que la
raison est très simple. Vous demanderiez un nombre illimité d’autres
vœux et vous n’agiriez jamais. Vous vous diriez « J’ai tout plein de
vœux et je n’ai plus rien à faire. » Maintenant vous êtes dans
l’embarras. Vous avez droit à trois vœux et vous avez environ 42
secondes restantes pour répondre à la question ou vous perdez vos vœux.
C’est aussi simple que ça !

STEPHAN : Un vœu : j’attends une
décision concernant ma carte de séjour. Je veux savoir si c’est… ça peut
arriver n’importe quand, donc ce serait un peu…
ADAMUS : Oh, c’est arrivé. Ok.
STEPHAN : Ok. Bien.
ADAMUS : On en a fini avec ça.
STEPHAN : Cool !
ADAMUS : C’est terminé. N’est-ce pas génial ?
STEPHAN : J’adore !
ADAMUS : Juste comme ça. Je ne l’ai pas fait.
STEPHAN : Ouais, avant de venir ici.
ADAMUS : Je l’ai influencé ou amené dans votre vision. Donc, bien.
STEPHAN : Un autre serait d’ordre pratique comme vendre une de mes sociétés…
ADAMUS : Bien. Bien.
STEPHAN : … qui m’apporteraient beaucoup d’argent.
ADAMUS : Bien. Je suis content que vous ayez qualifié cela. Bien. Donc gagner de l’argent.
STEPHAN : Ouais.
ADAMUS : Bien. Ok, fini, fini.
STEPHAN : Parfait.
ADAMUS : Ouais.
STEPHAN : quoi d’autre ?
ADAMUS : Le temps presse.
STEPHAN : Le temps presse.
ADAMUS : N’importe quoi. Inventez simplement quelque chose. Très vite !

STEPHAN : Humm…
ADAMUS : Ehrrrr ! (Ca sonne comme une minuterie)
STEPHAN : Une grande maison l’année prochaine. Une grande maison.
ADAMUS : Ok. Une grande maison. Une grande maison.
STEPHAN : Cinq chambres.
ADAMUS : Cinq chambres. En êtes-vous le propriétaire ?
STEPHAN : Ouais, pourquoi pas ?
ADAMUS : Y a-t-il quelqu’un avec vous dans la maison ?
STEPHAN : Ouais !
ADAMUS : Quelqu’un d’autre y vit ?
STEPHAN : Oui.
ADAMUS : Un tas de gens. Vous vivez dans une communauté.
STEPHAN : Un tas de gens. Une communauté.
ADAMUS : Ouais, ouais ! Et vous restez là à trainer en chantant Kumbaya ! Ehh… (quelques gloussements) Mais c’est votre maison.
STEPHAN : Oui.
ADAMUS : Oui. Bien. Donc vous pourriez les mettre dehors n’importe quand.
STEPHAN : Ouais. Je contrôle…
ADAMUS : Commençons comme ça. Commençons par dire que c’est votre maison. Mettez immédiatement tout le monde dehors.
STEPHAN : Ok, c’est ma maison et je peux donc inviter des gens et…
ADAMUS : Pas pour la plupart. (Adamus glousse)
STEPHAN : Peut-être pas.
ADAMUS : J’essaie simplement de vous aider là.
STEPHAN : Ok.
ADAMUS : Eh, ouais, parce qu’il y a une tendance à…vous avez besoin de votre propre espace.
STEPHAN : C’est vrai.
ADAMUS : Ouais, ouais. Je sais que c’est vrai. Je ne mentirais pas. Mais bon…
STEPHAN : Ce qui est bien c’est que comme c’est ma maison, je peux faire ce que je veux. Donc, je peux…
ADAMUS : Oui, vous pouvez, avec vous-même.
STEPHAN : Exactement.
ADAMUS : Ok. Vous pouvez organiser des diners de temps en temps mais aucun de ces déménagements…
STEPHAN : Vous êtes invité.
ADAMUS : Ouais, merci. Bien. Qu’y a-t-il pour le diner ? Que servez-vous ?
STEPHAN : Ce que je sers ? Hum, du filet mignon, du vin rouge.
ADAMUS : Ouais.
STEPHAN : Et… ouais, et puis…
ADAMUS : Pour l’instant, ça a l’air d’être un diner ennuyeux. (Adamus glousse)
STEPHAN : On vous donnera les détails plus tard.
ADAMUS : Ok, super. Bon vœux. Ils sont là. Ils se sont donc exaucés.
Maintenant, je vais vous demander ce qui
suit. Prenez une profonde respiration et incarnez-les vraiment. C’est
fait, simplement comme ça. Il a fallu beaucoup d’encouragement de ma
part pour faire ressortir cela, pour vous le faire verbaliser et vous
faire vous demander si vous pouvez vraiment demander ces choses.
Absolument. Vous pouvez demander pour toutes les choses que vous avez
choisies.
EDITH : Pas d’assiettes en carton.
ADAMUS : Pas d’assiettes en carton ? (Rire)
STEPHAN : Ok !
ADAMUS : Je quitterai la soirée si le diner est servi sur des assiettes en carton.
Donc, c’est déjà fait, parce que vous
l’avez visualisé. Il a fallu quelques encouragements mais c’est déjà
fait. Et c’est si simple. Ces choses physiques – une maison, le travail,
la carte de séjour – si simple. Ce sont vraiment des vœux pour le Père
Noël. Je veux dire, il est bon, vous êtes bon à ça et je suis bon à
faire ressortir tout cela, mais cela arrive tout simplement.
Donc à partir de maintenant, vous ne
vous inquiétez pas des détails. Vous ne vous demandez pas comment cela
va arriver. Vous ne stressez pas. Vous ne planifiez rien. Mais vous êtes
dans l’instant présent.
Lorsque le processus démarre, lorsque les choses commencent à se passer,
vous êtes là comme un Maitre gracieux qui maintient simplement ces
énergies en mouvement. Il ne les bloque pas. Ne se demande comment cela
est arrivé. Ne se pose aucune question, même s’il y a quelques
contretemps en cours de chemin.
STEPHAN : Exactement.
ADAMUS : Ah ! Si d’un coup votre avocat
vous appelle et dit « Nous avons un problème ». Vous prenez donc une
bonne respiration et vous pensez ou même dites : « Non, vous avez un
problème. Moi pas. C’est déjà fait, maintenant faites en sorte que ça
arrive ».
STEPHAN : Toute l’année c’était comme
ça. C’était intéressant. Vous vous dites « Wow ! Quelle année de
merde ! » mais ensuite vous changez, vous vous dites « Wow ! C’est
magique comme tout s’arrange à la perfection. »
ADAMUS : Qu’en est-il du « et ! » C’est le « et ».
STEPHAN : Ouais !
ADAMUS : C’était une année « perturbante » - Je ne suis plus autorisé à jurer en ligne (Adamus glousse)
STEPHAN : Le Père Noël exauce ses vœux. Vous le pouvez !
ADAMUS : Mais c’était une année éprouvante et oh, quelle fantastique année.
STEPHAN : Ouais.
ADAMUS : Oui. Oui. Et l’avocat appelle
et dit « Nous avons un petit problème concernant la carte de séjour » et
vous prenez une profonde respiration et vous répondez « Et ? »
STEPHAN : Résolu !
ADAMUS : « Pas mon problème ! » ouais. Ouais, c’est beau. Bien ? Merci.
STEPHAN : Merci.
ADAMUS : Bien. Encore deux, ma chère Linda.
LINDA : deux de plus ?
ADAMUS : Je marque un point, là.
LINDA : Ok. Je sens…
ADAMUS : Ouais, trois vœux pour le Père Noël, qui est très réel. Très réel. Trois vœux.
LINDA : (court vers quelqu’un) On m’appelle. On m’appelle.
ADAMUS : Oui, oui. Trois vœux.
LARRY : Plus d’argent ! Plus d’argent ! Plus d’argent ! (Rire)
ADAMUS : Bien, bien. Bien. Ok.
LARRY : C’est tout.
ADAMUS : Et, mon cher ami, cela va arriver. Maintenant…
LARRY : Bien.
ADAMUS : Donc, et qu’allez-vous faire de cet argent ?
LARRY : Acheter plein de conneries. (Rire)
ADAMUS : Avant de répondre à cette
question, vous vous souvenez de l’histoire que j’ai racontée – elle
allait être dans mon livre à succès « Mémoires d’un Maitre » - de
l’étudiant à qui le Maitre a octroyé un prêt et qui est revenu un an
plus tard deux fois plus ruiné. Allez-vous être comme ça ou allez-vous
faire quelque chose de différent pour… (Un téléphone sonne, Adamus fait
une pause et fronce des sourcils)
LARRY : Peu importe !
ADAMUS : … pour stimuler… (Ca sonne à nouveau) Je le prends. Je le prends. (Adamus glousse)
LARRY : Quelqu’un a laissé son téléphone allumé.
LINDA : Ne le lui donnez pas ! Êtes-vous devenu fou ?! (Rire) Ne le lui donnez pas !
ADAMUS : Je dois appeler le Père Noël.
LINDA : (rire) Éteignez-le et asseyez-vous dessus !
ADAMUS : Père Noël, Sheema a été
mauvaise. Elle a laissé son portable sonner au milieu de ma
présentation. Donc, Père Noël, ôtez-la de la liste.
Donc, beaucoup d’argent, beaucoup d’argent, beaucoup d’argent. Et qu’allez-vous en faire ?

LARRY : Le dépenser.
ADAMUS : Et ?
LARRY : Le dépenser !
ADAMUS : Et ?
LARRY : Dépenser encore plus !
ADAMUS : Ok, jusqu’à quand ? Jusqu’à que vous soyez complètement fauché ?
LARRY : Je vais en avoir plus.
ADAMUS : Bien. Merci.
LARRY : De rien.
ADAMUS : Merci. Oui. Oui, de vous à moi. ( ?) Eh, bon, pas vraiment dans ce sens, mais… (Rire)
LINDA : Ohh !Ohh !Oww !
ADAMUS : Bien. Bien. Et j’espère que
dans le temps je vous ai assez énervé et fâché pour que vous rentriez
chez vous en disant « Oh ! Cet Adamus ! Arghhh ! », assez pour refaire
circuler les énergies.
Encore un, s’il vous plait.
LINDA : Ok.
ADAMUS : Le Père Noël, trois vœux. Qu’allez-vous demander ? Qu’allez-vous demander ?
LINDA : Oh, attendez, attendez ! Nous devons varier un peu. Masculin, féminin ; masculin, féminin. (Elle glousse)
SHEEMA : Oh !
ADAMUS : Pourquoi ? Est-ce encore important ?
LINDA : Non. C’est juste un jeu.
ADAMUS : Ok.
SHEEMA : Je suis la mauvaise fille.
ADAMUS : Qu’en est-il d’illuminée, non illuminée ? Illuminée, non…
LINDA : Ohhhh !
ADAMUS : Ohhh ! (le public crie également « ohhhh »)
Allez, s’il vous plait. Trois.
SHEEMA : Bon, le premier vœu serait d’être illuminée.
ADAMUS : Ouais.
SHEEMA : Mais je ne pense pas que le Père Noël puisse m’aider pour ce vœu.
ADAMUS : Non, non, non.
SHEEMA : Je veux une maison.
ADAMUS : Vous voulez une maison ?
SHEEMA : Ouais.
ADAMUS : Bien.
SHEEMA : Je veux une vraie et belle maison.
ADAMUS : Ouais, ouais.
SHEEMA : Avec trois, quatre chambres.
ADAMUS : Ok. Ouais. Peut-être que vous pourriez emménager avec Stephan.
SHEEMA : Nooon ! (Ils gloussent) Je veux ma propre maison.
ADAMUS : Merci. Oh ! oui. Et quoi d’autre ?
SHEEMA : Hummm…

ADAMUS : En voilà un de fait. Ok. Quoi d’autre ?
SHEEMA : Bon, celui-ci est aussi très personnel. Je veux que mon côté créatif explose et ressorte.
ADAMUS : Pourquoi ce n’est pas le cas ?
SHEEMA : Pourquoi ce n’est pas le cas ?
ADAMUS : Ouais – bon, hell ? (Adamus glousse) Écho, écho, écho. (Quelques rires) Pourquoi ce n’est pas le cas ?
SHEEMA : Parce que…
ADAMUS : Ce regard de merlan frit.
SHEEMA : … j’ai été assez occupée à réfléchir à mon illumination.
ADAMUS : Ne sont-ils pas pareils ? (Elle
glousse) Ne sont-ils pas pareils ? Je veux dire, vous réfléchissez aux
deux choses, voilà ce que je veux dire. (Elle glousse de nouveau) Ne
réalisant aucun des deux. Mais ne sont-ils pas pareils ? L’explosion de
votre créativité, aussi bien que…
SHEEMA : Ça commence à ressortir.
ADAMUS : Commence.
SHEEMA : Oui.
ADAMUS : Doucement mais sûrement ?
SHEEMA : Ça me faisait peur.
ADAMUS : Pourquoi ? Vous devriez avoir peur de ne pas l’avoir.
SHEEMA : Ben, vous savez, comme lorsque
j’ai entendu ma voix pour la première fois, il y a environ sept ans,
c’était tellement incroyable que ça en était effrayant.
ADAMUS : Ouaip.
SHEEMA : Et j’ai arrêté de chanter pendant sept ans.
ADAMUS : Oh. Vous savez ce qui va se passer maintenant, n’est-ce pas ?
SHEEMA : Eh bien, je recommence à chanter.
ADAMUS : Ouais, maintenant.
SHEEMA : Oh non !!! (rire) Nooon !! (Quelques applaudissements) Eh bien, je suis seulement…

ADAMUS : Noël Blanc, une de mes préférées.
SHEEMA : Non, non, non, non.
ADAMUS : (chantant) Je rêve …
SHEEMA : J’apprends ma …
ADAMUS : (continuant à chanter) … d’un
Noël blanc. (le public chante avec lui) Comme ceux d’autrefois. Allez-y.
Nous avons tous chanté, à vous maintenant.
SHEEMA : Je déteste cette chanson. (Rires)
LINDA : Feliz Navidad !
ADAMUS : Jingle Bells. Peu importe.
SHEEMA : Bon, voilà ce qui se passe. Toute ma vie j’ai fait du chant diphonique…
ADAMUS : Distraction !
SHEEMA : Non, c’est la vérité !
ADAMUS : Distraction. Je ne vais pas être si facile à … s’il vous plait.
SHEEMA : Non !
ADAMUS : Vous avez 30 secondes.
SHEEMA : Je parviens à peine à vocaliser ma véritable voix.
ADAMUS : Oui.
SHEEMA : Mais je vous le promets, bientôt je viendrai interpréter une chanson.
ADAMUS : Ca ne prend pas. Bientôt c’est maintenant. Oui. Vous voulez l’illumination ?
(elle marque un temps d’arrêt, tandis que le public lui dit également “vas-y !”)
Allez-y ! (Adamus glousse) En avant. C’est un public cruel. “Vas-y ! Vas-y ! Vas-y ! Vas-y ! Vas-y ! Vas-y !”
SHEEMA : Non !
ADAMUS : Je viens de chanter. Pas bien, mais j’ai chanté. (Elle glousse)
EDITH : Elle est illuminée et très créative. (Quelques rires)
LINDA : Tu pourrais bien être la prochaine, Édith. (Plus de rires)
ADAMUS : Vous voyez Édith – Édith, là
vous venez à la rescousse.
Vous avez cette merveilleuse opportunité en cet instant Père Nöel, là où
d’autres manifestent – snap (il claque des doigts) – des maisons, de
l’argent, des entreprises vendues avec de grands bénéfices – snap ! –
simplement en un claquement de doigts. c’est aussi simple que ça !
Alors, Pourquoi hésiter ? Vous disiez à
l’instant que vous commencez à réaliser votre voix. Je dis libérez-la.
Vous disiez vouloir une explosion de créativité. Je ne pense pas. Je
pense que vous voulez y réfléchir. Je pense que vous voulez jouer avec.
Je ne crois pas que vous la vouliez vraiment. Je reprends le micro.
C’est chanter ou rien. (Le public répète “Chante !”)
SHEEMA : Feliz Navidad ? (le public crie “oui !”) D’accord. Je vais essayer …
ADAMUS : Et puis nous nous joindrons à vous à un moment.
SHEEMA : Okay. Mais...vous allez entendre ma gorge. Okay ? Donc allons-y …
ADAMUS : Shh ! Shh ! Shh ! Shh ! Shh !
Shh ! Shh ! Shh ! Shh ! Voilà, vous voyez ?! Vous voyez de quoi je
parle ?! Oh ‼ J’ai dit que ça allait être si simple et j’ai dit que la
vie est belle et …
(elle coupe Adamus en entonnant une chanson en espagnol (“besa me
mucho”) ; Adamus l’écoute en souriant)

Ahhhh ! (le public applaudit et quelqu’un crie “Bravo” ; Adamus et Sheema s’étreignent) Merci. Ah !
J’aime vraiment la manière dont nous
jouons. Nous sommes vraiment démonstratifs, au lieu de simplement en
parler, et je réalise que parfois je dois pousser Linda hors de ses
zones de confort, vos zones de confort, mais c’était aussi simple que
ça. Vous veniez de déclarer que l’un de vos vœux était cette expression
créative, cette explosion et votre illumination. Mais voilà que lorsque
l’opportunité vous est donnée, “Eh bien, réfléchissons. Pensons-y.
Parlons-en. ”
C’est aussi simple que ça
Mes chers amis, pour en venir à mon
propos : l’Engagement. Chacun d’entre vous a pris l’engagement dans
cette existence que c’est terminé, aussi simple que ça. Rien d’autre.
Rien d’autre. Vous avez pris un engagement avant cette incarnation. Vous
avez pris un engagement dans la vie précédente, entre vos vies. Quand
vous étiez bébé, vous aviez cet engagement. – “C’est terminé, ce sera
tout ou rien.” Ce feu qui gronde dans votre cœur et tout votre être est
ce qui vous a amené ici, cet engagement que c’est dans cette vie –
cette existence ; l’engagement que vous n’allez pas louper ça ; vous
n’allez pas vous laisser distraire ; l’engagement que c’est maintenant –
tout ou rien – si profond dans vos veines. Une grande partie de tout
ce que vous avez fait dans cette vie. C’est la seule chose qui compte.
Et, mes chers amis, Père Noël ou pas,
Adamus ou pas, c’est ici. C’est fait. Il n’y a rien que vous ayez à
travailler. Rien que vous ayez à étudier. C’est le temps de la
réalisation, de ce qui est déjà.
J’ai utilisé ce terme “Kasama” avec
Keahak récemment. Nous allons en faire l’expérience, nous tous, dans de
nombreuses manières différentes. C’est ce qui a déjà été fait, ce qui
est déjà là. Que ce soit l’illumination, ou quelques dollars de bonus
dans votre poche, que ce soit votre santé ou votre corps de lumière ou
quoi que ce soit, c’est fait. C’est venu à travers une vision, à
travers un désir. C’est là. Pas là au-dehors. Cette chanson n’avait pas
besoin de rester là-bas quelque part, dans le futur. Cette expression
sauvage de créativité ou cette abondance ou cette connaissance ou cette
simplicité n’a pas besoin d’être quelque part au-dehors, à bonne
distance. Rien que vous deviez vous efforcer d’atteindre. C’est là.
Kasama est la destinée de l’âme.
Maintenant, j’ai dit maintes fois qu’il
n’y a pas de destinée (fatalité ?). Il n’y a pas de destin. Pas en
termes linéaires. Il n’y a rien là au dehors. Il n’y a pas de main
suprême guidant votre vie et faisant se produire les choses. Il n’y a
pas de conseil angélique ou d’aliens (extra-terrestres ?) ou d’êtres
sous la terre ou même d’êtres du gouvernement manipulant votre vie. Il
n’y a pas de destinée extérieure, mais il y a la destinée de l’âme. Il y
a ce qui est déjà en vous, Édith. Déjà fait.
L’argent – et l’argent n’est que la pointe (partie émergée) de l’iceberg – mais la réalisation. La réalisation.

Nous avons fait...J’ai fait – eh, nous
avons tous fait – un travail effectif durant ces cinq années écoulées à
désherber, à lâcher prise, à s’éloigner de ceux qui n’étaient pas
pleinement engagés. IL n’y a pas de place au Cercle Cramoisi pour ceux
qui ne sont pas absolument engagés dans leur illumination. Ce n’est pas
une attraction. Ce n’est pas un spectacle. En fait, c’est un peu du
spectacle, mais...(Quelques gloussements) C’est plus que du spectacle.
Ce n’est pas simplement une distraction de plus. C’est ça. C’est ça.
Comme je l’ai dit à Cauldre et à
d’autres shaumbras, c’est l’année, c’est le moment, c’est le maintenant
quand le pop corn commence à exploser. Il a été chauffé à bloc. Vous
savez, quand vous mettez les grains dans la casserole et elle commence à
chauffer et vous vous demandez dans combien de temps ces grains vont
enfin commencer à éclater. Particulièrement si vous avez vraiment faim
et qu’il est tard le soir et vous avez ce film en cours et vous voulez
simplement que ces graines se mettent à exploser dans cet orgasme
créatif. Et...
SART : Ouais ! (Il rit et d’autres avec lui crient “ ouais”)
ADAMUS : Mais je dis ça et je commence
notre session du jour en disant que c’est véritablement assez simple. Et
vous voilà tous « Ouais, ouais. Oh, c’est facile. » Mais ensuite quand
ça vient à vous, quand c’est juste là, prêt à être réalisé, voilà que
vous commencez à servir des excuses et des « mais » et des « attendons »
ou « je ne sais pas » ou quoi que ce soit.
Mes chers amis, le Père Noël est réel,
très réel. Vous pourriez dire qu’il est en vous. Vous avez contribué à
le créer grâce à vos merveilleuses croyances enfantines en lui.
C’est juste là, et nous allons à sa
réalisation. Je ne veux plus entendre la moindre excuse, le moindre
"mais". Tous les outils sont là, il ne s’agit maintenant que de vous
laisser exploser et être qui vous êtes. Ouais. Une magnifique explosion
en Soi.
Nous y reviendrons dans un moment pour
en discuter un peu plus en détails. Mais tout d’abord je veux vous
raconter la dernière de mes histoires pour le Livre Premier des Mémoires
du Maître.
LINDA : Ahh. Le livre premier.
ADAMUS : Le premier. Oui, oui.
LINDA : Ohhhh.
ADAMUS : Mémoires du Maître. Et je vous
prie de réaliser que ce que j’appelle mon livre, est notre livre. Ce
sont de courtes histoires pour illustrer, démontrer des propos très
simples.
Les gens le comprendront-ils ?
Quelques-uns. Peut-être même plus que quelques-uns. Est-ce que cela
changera le monde ? Je m’en moque. Ça n’a pas d’importance. C’est
amusant d’écrire ces histoires. C’est vraiment amusant de les
récapituler. Tandis que je raconte l’histoire, si souvent vous vous
demandez si cette histoire est vraiment la vôtre. Eh ! Ouais. Parfois
c’est votre nom, parfois vous vous demandez si j’ai simplement changé le
nom. Ce sont nos histoires.
Donc avant que nous allions plus loin, j’aimerais vous raconter l’histoire qui conclut le Livre Premier des Mémoires du Maître.
Et puisque nous y sommes, Cauldre
s’inquiète parfois, et Linda peut-être souvent, disant “Adamus, voilà
une grande déclaration disant que ce sera un succès parmi les
best-sellers ». Non, parce que je ne le souhaite pas. Je n’essaie pas de
projeter des pensées positives – il crache – dessus, parce que ça ne
fonctionne pas. Nous réalisons cela. Désolé. Cela ne fonctionne pas si
bien. (Quelques gloussements) Je n’essaie pas de saupoudrer cela de
poussière magique. Il est très simple pour moi de dire cela, parce que
je le vois. Je le sais. C’est déjà là. Déjà publié. Il s’est déjà
répandu à travers le monde comme une traînée de poudre. Il est déjà
traduit dans de multiples langues, les éditeurs font déjà la queue en
suppliant Linda de leur accorder un contrat, et elle tiendra bon face à
eux jusqu’à avoir obtenu exactement ce qu’elle veut.
Ce n’est pas un vœu pieux, et c’est là
toute la différence. C’est la différence avec ce que beaucoup d’entre
vous ont fait dans leur vie – « J’espère simplement que c’est là. Je
souhaiterai de manière positive ou j’aurai des pensées positives » et
cela ne fonctionne pas. Ca n’est pas très efficace. Vous savez
simplement que c’est là. Je le vois, et alors il en est ainsi.
C’est une manière magnifique de façonner
votre réalité. Je le vois déjà ; donc, c’est là. Ainsi, quelle que soit
la direction prise par les événements, ça n’a pas d’importance.
Peut-être que le déroulement de votre vie ne prenait pas si bonne
tournure. Ça n’a pas d’importance. Vous avez simplement cette vision, et
puis tout change.
C’est, en un sens, jouer avec le temps
et sans le temps. Oh, nous avons eu de si belles discussions au sujet du
temps en Égypte. De si belles expériences avec l’état d’intemporalité
en sortant d’une conscience des restrictions de temps et en réalisant
que c’est déjà fait. Pas dans le futur. Pas d’ici 20 ans, dans
l’instant, et cela change tout. Cela change le passé. Tout. Tout.
Oh, mon plus grand moment sera quand
certains d’entre vous, grains de maïs, certains qui se sont vraiment
ouverts...et j’utilise l’analogie avec le popcorn parce que beaucoup
d’entre vous la jouez à la méthode lente du rôti . Vous l’enfournez et
vous le laissez cuire pendant près de six heures jusqu’à ce qu’il ait
lentement rôti.
Le popcorn, on le réchauffe pour de bon
et boum ! Il éclate. Mais il éclate en cette incroyable, savoureuse et
croustillante chose, ce que vous êtes. (Quelqu’un dit “Oooh”)
Et, oui, oooh. (Adamus rit) Donc, mes
chers amis, en Égypte, oh, nous avons eu de merveilleuses expériences
au-delà du temps. Et mon plus grand moment est quand l’un d’entre vous
est venu à moi et pas avec des mots makyo, mais une véritable
connaissance et m’a dit “je comprends enfin où tu voulais en venir par
le passé. Enfin je le comprends non plus intellectuellement, mais je
saisis quand tu dis que le passé n’est pas du tout ce que je croyais
qu’il était, ou le souvenir que j’en avais. Quand l’un de vous me dit
“tu sais, je pensais que mon enfance était vraiment malheureuse et mes
parents méchants, et que je faisais de mauvaises choses et de mauvais
choix et j’ai parfois mal tourné dans ma vie.” Et puis soudain vous
réalisez que ce n’était pas du tout ce que vous croyiez. Vous réalisez
soudain qu’elle se déroule encore, que ça n’a rien de mauvais et qu’en
fait on pourrait dire que, d’une façon merveilleuse, ça n’a jamais
réellement existé.
Quand l’un de vous vient à moi en me
disant “Je viens de réaliser ce que tu voulais dire à propos du passé.
Je comprends enfin.” Oh ! Un de mes moments déterminants. Mais en
attendant, allons à notre histoire.
Une Histoire
Prenons une bonne respiration profonde,
alors que nous passons à la dernière histoire racontée dans les Mémoires
d’un Maître.
Harold aimait les vacances d’hiver. Il les aimait tant qu’il décida
d’apporter la touche finale à la décoration de l’immense sapin de Noël
dans le grand hall de l’école spirituelle. Il y entra avant qu’aucun des
autres ne soit même réveillé pour finaliser les décorations d’un arbre
de près de sept mètres de haut. Il était immense.

Il attrapa la grande échelle. Il prit
toutes les décorations et les ornements, les rassembla autour de lui
pour y accéder facilement, et commença à grimper l’échelle, tenant,
bien sûr, l’ornement à poser au sommet du sapin, un ange magnifique en
cristal qui serait posé tout en haut de l’arbre. Et tandis qu’il
apportait ces touches finales, il entendit la porte s’ouvrir sur le
grand hall, et il se tourna pour voir et vit que c’était le Maître. Le
Maître.
Et dans ce moment de finitions, dans ce
moment très matinal, alors qu’il se retourna pour voir le Maître, bien
sûr, vous pouvez imaginer ce qui arriva au pauvre Harold. Il perdit
l’équilibre. Il trébucha du haut de l’échelle, atterrit sur les caisses
de décorations posées sur le sol, et ce faisant, se cassa le bras, deux
côtes, fut coupé au visage sur l’un des ornements en verre par terre, et
s’évanouit.
LINDA : Awww.
ADAMUS : Le Maître se tenait au fond de
la pièce, ne se sentant pas un instant mal concernant ce qui venait
d’arriver à Harold, mais comprenant que c’était parfait pour Harold.
Le Maître avança jusqu’à l’endroit où
gisait Harold, tenant toujours à la main l’ange de cristal qui était
l’ornement du sommet du sapin, mais il était en partie cassé, et des
morceaux se trouvaient sur son visage, le contempla, voyant le sang
s’écouler sur son visage, prit une profonde respiration, saisit son
Apple iPhone 6 – nous intégrons des produits dans nos histoires,
maintenant (Rires)– il saisit son Apple iPhone 6 and appela le 911.
(L’équivalent américain des Urgences françaises) Délicieuse histoire
jusqu’ici. (Adamus glousse)
La suite de l’histoire trouve le Maître à
l’hôpital, au chevet du pauvre Harold dont le bras était maintenant
plâtré, qui souffrait beaucoup de ses côtes cassées et qui avait un
large bandage couvrant les nombreuses égratignures qu’il s’était faites
sur la tête. Et soudain, l’étudiant, Harold, commença juste à s’éveiller
alors que le Maître entrait dans sa chambre, il commença à se réveiller
et le Maître lui dit “alors cher Harold, à quoi pensiez-vous donc ?
Qu’est-ce qui vous est passé par la tête au moment où vous êtes tombé de
l’échelle ? Qu’est-ce que vous aviez en tête ? A quoi pensiez- vous ?”
Harold réfléchit un moment, repensa à
l’incident et dit “et bien Maître, il y a eu deux choses principalement.
La première était, vais-je survivre ? Ça a été une longue chute du haut
de cette échelle. Il y avait tant de boîtes au sol. Allais-je
survivre ? Je ne suis plus un jeunot. C’est une grave chute. Est-ce que
je vais survivre ?” Et le Maître dit, “Oui. Quoi d’autre ?” Harold dit,
“Vous savez, j’étais seul dans cette salle à finir de préparer le sapin.
Ce à quoi je pensais, c’était que j’ai une vie agréable. J’ai deux
merveilleux enfants. J’ai une épouse charmante ; nous sommes mariés
depuis longtemps, nous avons une jolie maison. Mais je me demandais
qu’ai-je fait vraiment ? Je me suis engagé dans votre communauté
spirituelle, Maître, durant les cinq années passées. Mais qu’ai-je
vraiment fait ? Est-ce que je me distrais ? Ai-je vraiment appris quoi
que ce soit ? Est-ce que je ne fais que tourner mes roues ? Est-ce juste
une distraction dans une vie qui sans cela, pourrait être ennuyeuse ?
Voilà ce à quoi je pensais.”
Le Maître répondit, “C’est parfait.
Absolument parfait.” Et il dit à Harold, “Vous savez, quand une chose se
produit, quand vous faites une chute, quand vous avez un accident,
quand n’importe laquelle de ces choses se produit, revenez toujours à ce
que vous aviez en tête au moment crucial, parce que c’est ce qui
détermine la situation.
“Vous étiez là, à décorer le sapin pour
les Fêtes, pensant à vos progrès, à savoir si vous aviez fait un bon
travail dans votre propre quête spirituelle. Harold, vous pensiez à
votre engagement, vous vous demandiez si vous étiez sincère avec
vous-même, si vous étiez honnête. Et soudain tout l’équilibre s’est
rompu. Ce n’est pas parce que je suis entré que vous êtes tombé en
perdant l’équilibre. Je suis entré parce que vous étiez en déséquilibre.
J’étais la distraction parfaite, la raison parfaite pour que vous vous
retourniez sur l’échelle, perdiez l’équilibre et tombiez. Et ce faisant,
cela a produit un certain nombre de choses. Cela vous a amené à vous
demander si vous étiez vraiment vivant. Si vous étiez vraiment vivant.
Vous voici maintenant dans un lit d’hôpital, probablement reconnaissant
que cela n’ait pas été plus grave. Ce n’est pas invalidant. Vous
guérirez très vite. Mais vous deviez considérer votre vie.
“Les humains sont intéressants, d’une
certaine manière. Très intéressants, parce qu’ils veulent plus que
tout se sentir vivants, mais ne savent pas toujours comment. Les humains
font de drôles de choses pour se sentir vivants, Harold, comme tomber
d’une échelle. Tu pourrais penser que c’est un signe d’en haut, mais ce
n’était pas le cas. C’était une façon pour toi de te sentir vivant.
Certainement, confronter la mort t’a fait te sentir vivant. En étant
dans les souffrances, comme c’est le cas en ce moment, cela vous
rappelle qu’en fait vous êtes vivant. La douleur est aussi drôle que ça.
Alors qu’il est très difficile d’endurer la douleur, elle vous rappelle
que vous êtes vivant, d’une étrange manière.
“Pourquoi est-ce que les humains font
des choses, parfois insidieuses et douloureuses, simplement pour se
sentir vivants ? Pourquoi est-ce qu’ils roulent à tombeau ouvert sur
l’autoroute, simplement pour l’excitation de se sentir vivants ?
Pourquoi est-ce que les humains mettent la musique tellement fort,
au-delà de ce que leurs oreilles peuvent même tolérer. Pourquoi cela ?
Parce que ça les fait se sentir vivants. Ce bruit, cette vibration, ce
pouvoir externe et cette énergie venant à travers leurs oreilles et
distordant leur cerveau – cela les fait se sentir vivants.
“Pourquoi est-ce que les humains se
disputent avec d’autres, qu’ils disent aimer ? Parce que cela les fait
se sentir vivants. Et ouais Harold, même une dispute vous fait vous
sentir vivant. Cela met de l’action dans ce qui pourrait autrement être
une vie ennuyeuse, une vie où l’on se demande si l’on est vraiment
vivant, vraiment utiles, si ce que nous faisons a vraiment de la valeur.
“Pourquoi est-ce que les humains jouent à
des jeux extrêmes ? Pourquoi est-ce que les humains se coupent
eux-mêmes intentionnellement ? Pourquoi les humains prennent-ils de la
drogue ou boivent-ils à l’excès, Harold ? Parce que cela les fait se
sentir vivants.”
“Il y a en effet de meilleures manières
de se sentir vivant, mais très rares sont les humains qui le réalisent.
Alors ils ont recours à ces challenges extérieurs à eux-mêmes. Ils font
d’étranges choses extrêmes simplement pour se sentir vivants, parce
qu’il n’y a rien de pire, rien de pire que de se sentir mort, engourdi,
bon à rien, même en ayant toujours un corps physique.”
“Alors ils font des choses très
étranges. Votre chute de l’échelle, Harold, était d’une certaine manière
la réponse à votre question à vous-même, que vous vous posiez là-haut :
faisiez-vous quelque chose de significatif dans votre vie ? Étiez-vous
vraiment vivant ?”
“Et la vraie question, Harold, c’est :
est-ce que vous vous en laissez la liberté ? Est-ce que vous vous
permettez de sentir la vie ? Ou vous fermez-vous à elle ? Faites-vous
des compromis ? Avez-vous toujours à satisfaire les autres ? A donner
d’abord aux autres ?

Vous ne pouvez pas vous sentir vivant de
cette façon. Non. Pour tout vous dire, quand vous faites ça, quand il
s’agit toujours de faire passer les autres en premier, chaque jour vous
vous sentirez un peu plus mort, parce qu’ils prennent votre énergie et
vous le leur permettez.”
“Quand vous êtes tombé de cette échelle
et que vous êtes passé par cette douleur insoutenable et puis
l’évanouissement à cause de la douleur, vous vous êtes senti tellement
vivant de ressentir cette douleur. N’est-ce pas étrange ?”
“Harold, cela fait cinq ans que je vous
connais. Vous avez été un bon étudiant. Mais, Harold, vous doutez. Vous
doutez de vous-même. Vous vous retenez. Vous ressentez toujours comme
tellement important de faire tout, pour tout le monde, que tout le monde
doit être heureux. Vous vous limitez toujours. Vous avez toujours honte
d’avoir plus dans votre vie.
“Donc Harold, d’une certaine manière,
vous vous tuez à petit feu, jour après jour. Et vous vous dites, bien,
vous êtes un bon père. Vous avez un bon métier. Vous n’avez pas de
factures en retard, mais vous savez aussi bien que moi, que vous ne vous
sentez pas véritablement vivant.”
À ce moment, Harold s’effondra en pleurant parce qu’il savait exactement
de quoi parlait le Maître, et pleurer faisait tant de bien. Et le
Maître n’essaya pas de conseiller Harold, ne lui donna pas de tape sur
l’épaule ou la tête en disant que tout ira bien, parce qu’il savait que
ce moment de larmes était se sentir vivant à nouveau. Il savait que ces
larmes, ces émotions et ce relâchement arrivaient à point, que cela
l’ouvrait à son âme.
À cet instant, la porte s’ouvrit sur un
groupe de soignants bénévoles pour la période des Fêtes qui entonnèrent
un magnifique chant de Noël, et le Maître dit “Oh Harold, écoutez
chanter les anges.” (Grognements et rires à la blague d’Adamus) Et
Harold grommela et grogna, pas de la douleur de ses blessures mais des
blessures infligées par le cruel sens de l’humour du Maître.
Ainsi s’achèvent les Mémoires d’un Maître. (Adamus glousse et le public
l’applaudit)
Pour en venir, Shaumbra, au fait d’être vivant. Vivant.
Survivre ou être vivant
Nous avons fait un long chemin ensemble,
et l’on pourrait dire que ça deviendra plus intense encore, et c’est
bien parce que vous allez vous sentir vivants. Nous avons parcouru
ensemble un long chemin et il n’y a plus désormais de place dans votre
vie pour la simple survie, de juste vous en sortir. Pas de place.
C’est véritablement une question de
survie ou d’être vivant. C’est la question – survivre ou être vivant ?
Il n’y a plus de terrain d’entente ici. Il n’y a plus de retenue ici. Je
vais être franc et massif avec ça cette année à venir. Cela n’a rien à
voir avec l’année, mais c’est le bon moment. J’aime la période des Fêtes
de fin d’année. On célèbre, on décompresse un peu et on se prépare pour
le round suivant. Mais le prochain round n’aura rien à voir avec la
survie.
La survie n’est pas très amusante
n’est-ce que pas ? Non. Non. Vous n’êtes pas venu ici pour survivre, et
c’est en partie là qu’est le conflit. C’est ce qui vous rend différent
des autres humains. C’est ce qui fait que parfois vous pensez que vous
êtes très étrange et différent et tout le reste. Et c’est un fait, parce
que vous ne tolérerez pas la survie. Vous tomberez métaphoriquement
d’une très grande échelle si vous ne faites que survivre après tout ça.
Vous ne le permettrez pas. Harold est
tombé de l’échelle. Le Maître ne l’a pas poussé. Le Maître se trouvait
simplement en train d’entrer dans la pièce au moment parfait, comme
cela se produit dans une parfaite synchronicité ?. Mais ce n’est pas le
Maître qui l’a fait tomber. C’était simplement Harold, sentant sa
connaissance insister sur le fait qu’il y avait plus, mais sentant aussi
qu’il le refoulait. Il voulait être un bon père, un bon époux, un bon
étudiant, et cela ne fonctionnait plus. Il ne faisait que survivre. Il
n’était pas véritablement vivant.
Vous dites que vous voulez une
explosion, une explosion de votre créativité. Vous voulez
l’illumination, qui n’est rien d’autre que la réalisation. Vous voulez
que ça se produise, et j’ai démarré plus tôt cet entretien en disant que
c’est simple, vraiment facile, si vous ne vous mettez pas vous-même en
travers et si vous ne vous trouvez pas d’excuses. Et si le micro vient à
vous, vous chantez depuis votre cœur, et je dis cela en métaphore. Si
la vie vient à vous, vous l’étreignez. Vous la commandez. Vous dansez
avec elle. Vous vous sentez vivant en cela.
La chose la plus formidable pour un être
incarné est de connaître le Je Suis, et c’est aussi de se sentir
vivant. Et puis, vous venez sur cette planète pour vous incarner
biologiquement. C’est en quelque sorte étranger, mais maintenant vous y
êtes accoutumés. Vous venez ici pour vous sentir vivants. Il n’est pas
de meilleure manière de se sentir vivant qu’en ayant cinq sens humains,
et un corps qui peut faire l’expérience de la douleur. Se trouver dans
une réalité linéaire avec toute son étroitesse, en fait, d’une certaine
façon aide à vous sentir vivant. Mais à un certain point vous vous
retrouvez enlisés dans les routines, dans la conscience de masse, dans
votre propre dogme, votre propre crasse – une crasse énergétique – et
vous vous arrêtez. Vous faites des compromis. Vous vous retenez. Vous me
dites que vous allez chanter un jour dans le futur. Vous me dites que
vous êtes vraiment prêts, quoi que “ce” soit, mais vous attendez
simplement. Après quoi ? Vous attendez.
Et dans le même temps...je ne m’en
soucie pas vraiment parce que ça s’est déjà produit de toute façon. Je
peux le voir quand je vous regarde, Pete, ou n’importe lequel d’entre
vous. C’est fait. La réalisation, la Maîtrise, l’illumination, quoi que
ce soit – c’est fait. Donc je ne m’en inquiète pas. La seule chose que
je trouve douloureuse, c’est quand vous surviviez tout juste, quand vous
n’êtes pas véritablement vivant. La seule chose que je trouve difficile
c’est de vous regarder, sachant que c’est déjà là, sachant que vous
avez peur de le réaliser, peut-être. Vous mettez ça de côté. Vous
l’éteignez. Vous attendez que le grain de pop corn le plus proche
explose d’abord pour vous assurer qu’il ne disparaît pas en éclatant
(Adamus sourit)
Mes amis, nous ne pouvons plus attendre.
Nous ne pouvons pas. Je ne pense pas que vous vouliez cela, mais ça
arrive quand même. Et il y a encore cette hésitation. Nous ne pouvons
plus attendre.
J’ai déjà dit auparavant que la
réalisation de l’illumination est le genre de chose que l’on veut plus
que la vie elle-même. Si je vous tenais la tête sous l’eau, comme je
maintiens un couvercle sur cette casserole de popcorn, si vous le voulez
plus que la vie elle-même, il y a toujours cette hésitation, cette
retenue.
Et cela en vient au point où vous ne
faites que survivre. Il y a une part de vous qui le sait, et qui va vous
pousser de l’échelle. Pas moi. Pas une conspiration, mais vous même
vous poussant de l’échelle pour pouvoir vous sentir vivant. C’est une
des choses merveilleuses avec les expériences de mort imminente. Oh !
Elles sont incroyables. Effrayantes. Et elles ne sont pas toujours de
mort imminente. Parfois elles sont des expériences de mort. (Adamus
glousse) C’est ça le plus incroyable, parce que cela pourrait prendre
une autre direction. Mais soudain, cela vous fait sentir vivant.
Nous n’avons pas à nous engager sur
cette route. En fait je ne le recommande pas, quoi qu’il arrive. Nous
n’avons nul besoin d’en passer par un accident de voiture, ce qui figure
dans l’énergie de certains d’entre vous ou par cette autre route avec
la peur du cancer .Celle-ci est effrayante. Ouais. Nous ne devrions
même pas en parler, n’est-ce pas ? Non, parlons-en, parce que cela vous
effraie à mort, et c’est légitime.
Le Docteur vous annonce la nouvelle :
“Vous avez le cancer.” Mmmh. Houla. Soudain, vous commencez à apprécier
la vie, hein ? Soudain, ce n’est plus simplement de la survie. C’est
dire en quelque sorte “Il faut que je vive ! Il faut que je fasse tout
ce que j’avais envie de faire.”

Et vous venez à moi. C’est la partie
amusante. Vous venez à moi et vous me dites “Hey, Adamus, tu sais, je
viens d’avoir la nouvelle. Pas si bonne. Peux-tu faire quoi que ce
soit ?” Et moi, “Non. Vois avec le Père Noël Il pourra peut-être
t’aider.” (Il glousse) Pas très bonne nouvelle. Pas très bonne.
Mais c’est formidable. Et le … (il regarde Linda)
LINDA : J’écoute.
ADAMUS : Le bon côté c’est que, quand
vous apprenez la nouvelle, vous paniquez et vous vous demandez s’il
existe un remède miracle quelque part. Naaan. Mais vous commencez à
contempler la vie. Et alors vous venez à moi et nous avons de grandes
discussions – et vous savez qui vous êtes – et d’abord vous commencez
par vouloir négocier. Ca ne fonctionne pas. Mais ensuite vous dites, “tu
sais, j’aimerais juste avoir...” et remplissez les blancs. “J’aimerais
juste avoir permis. J’aimerais juste n’avoir pas procrastiné ma propre
illumination, ma propre réalisation. J’aurais aimé être plus audacieux.
J’aurais aimé ne pas tant faire de compromis. J’aurais aimé avoir alors
la vision claire que j’ai à présent. Oh, j’en ai la vision. Avec la
perspective de la mort et toute la douleur et tout le reste qu’il va y
avoir dans ce grand supplice, oh, comme j’ai des regrets.”
Mes chers amis, captons cette vision
maintenant. Bien plus facilement.
J’ai dit au départ que c’est en fait vraiment facile, à moins que vous
ne vous mettiez en travers de votre propre chemin. Ayons cette vision à
présent.
Et la vision – je ne parle pas d’une
vision avec vos yeux. Visionnez la conscience. C’est ce que vision
signifie. C’est une conscience.
Cauldre me permettra de raconter une
histoire intéressante. Il a eu une expérience l’autre soir, tandis qu’il
était assis devant la télévision à regarder un show télé débile et
relaxant, dit-il. Il se relaxait. Et soudain, il put voir d’une manière
qu’il n’avait jamais connue avant. Pas simplement avec ses yeux. Il
voyait à 360 degrés. Même les yeux fermés, il voyait tout, le manteau de
la cheminée, le bois des meubles,. Il pouvait voir et sentir à travers
les choses. Il pouvait tout sentir sans effort. Sans aucun effort, même
sans essayer. Soudain la conscience était là. C’est comme ça. Soudain,
simplement toute la conscience.
Et la conscience n’est pas du tout une
chose mentale. C’est juste là. Vous n’avez pas à y travailler. Soudain,
vous réalisez la mise en route. Vous réalisez comment les énergies
fonctionnent, comment elles viennent vous servir. Vous réalisez que vous
êtes votre meilleur ami, et votre pire ennemi. Vous réalisez combien
vous vous mettez en travers de votre propre chemin. Vous réalisez
combien vous avez cédé au compromis. J’allais dire ‘vous vous
dégonflez,’ mais vous cédez tellement au compromis.
Se souvenir de la vision
Vous savez pourquoi vous êtes là dans
cette vie. Vous connaissez cet engagement, cet engagement brûlant
profondément, mais ensuite vous vous laissez aller au compromis.
Dépassons cela. Ayons de la vision.
Je vais donc demander de baisser légèrement la lumière avec une musique
merabh agréable de saison. Ah, oui.
Une vision, ah, ça ne vient pas des yeux. C’est la connaissance de ce
dont nous avons parlé.
(une douce musique de Noël démarre)
Cela n’implique pas que vous deviez connaître ? tous les détails de ce
qui va arriver. C’est la vision, une vision de votre illumination dans
cette vie. C’est juste là.
(pause)
Ce n’est pas une vision mentale, ce
n’est pas une vision qui demande que vous conjuriez votre esprit. C’est
une vision, une connaissance, que vous êtes venu dans cette vie en
disant que c’est la dernière. Vous êtes venu dans cette vie si
profondément engagé que rien ne se mettrait en travers de votre route.
Pas même vous.
J’ai toujours aimé ce moment, où vous dites, “personne ne se mettra en travers de mon chemin, même pas moi.”
Même si cela impliquait de tomber d’une
échelle, d’avoir un accident de voiture, ou quoi que ce soit, vous ne
laisseriez rien se mettre en travers. Vous avez une telle vision, une
telle vision de la raison de votre présence ici.
Elle est toujours là.
La beauté en cela c’est que vous n’avez
rien à faire. Vous n’avez pas à provoquer la vision. Vous n’avez pas à
comprendre comment le faire. C’est déjà fait.
Vous avez simplement besoin de revenir à cette vision. Le Maître incarné illuminé. Pas dans dix ans, pas plus tard.
Maintenant.

Cette vision seule, cette re-connection
se suffit à elle-même. Elle soulèvera des montagnes et des bateaux.
Cette vision, cette connaissance, sans aucun doute, cette vision
audacieuse est tout ce qu’il faut. Tout le reste commence simplement à
se mettre en place.
C’est le moment où vous, le Maître,
pouvez arborer ce grand sourire. C’est le moment où vous pouvez
permettre aux énergies de vous servir. C’est le moment où vous ne vous
moquez pas ou ne vous raccrochez pas à la richesse et aux riches, à la
santé. Vous ne posez pas le pied sur le frein.
Cette vision...c’est ce que vous avez
amené dans cette vie.
Vous savez, cette vision, c’est l’une des deux choses que vous déteniez,
que vous considériez comme tellement précieuse, tellement précieuse que
vous l’avez cachée. Vous ne vouliez pas que quoi que ce soit ne
perturbe, ne pollue, ou ne corrompe cette vision. Alors vous l’avez
cachée de telle manière qu’elle ne serait pas exposée aux aléas de ce
monde. Vous l’avez cachée parce que vous saviez que vous seriez très
vulnérables aux ténèbres dans cette vie, beaucoup plus que dans d’autres
existences.
Je répèterai cela. Vous saviez que vous
alliez être vulnérables aux ténèbres dans cette vie plus que dans
n’importe quelle autre. Ainsi vous avez caché cette vision pour qu’elle
ne soit pas corrompue.
Vous alliez être beaucoup plus vulnérable du côté sombre, parce que vous
alliez être plus sensible, vous alliez être plus que des explorateurs,
et vous saviez qu’un moment viendrait où vous ne pourriez plus fuir le
côté sombre plus longtemps – le vôtre et celui des autres. Vous ne
pourriez plus fuir plus longtemps. Vous ne pourriez pas cacher la
lumière plus longtemps.
La véritable intégration c’est
d’intégrer le tout – ombre et lumière , haut et bas, bon et mauvais,
masculin, féminin – ainsi vous avez caché cette vision de votre
illumination, si bien que vous pourriez presque dire que vous avez
oublié où vous l’avez caché.
(pause)
Mais vous savez, pas moi. J’ai vu quand
vous l’avez caché. Je savais que nous serions assis ici ensemble juste
avant les vacances de Noël, juste après avoir traversé le marqueur
historique qu’est 2012. Je savais qu’il viendrait un point où vous ne
pourriez plus vous borner à simplement survivre. Vous n’alliez plus vous
en tenir aux simples discussions mensuelles sur combien l’illumination
pourrait être merveilleuse. Je savais qu’il viendrait un point où, si on
ne dépassait pas cela, nous aurions une mutinerie ici au Cercle
Cramoisi.

Alors j’ai eu la vision, vous avez eu la
vision d’être assis ici, tranquillement, une musique de saison en fond
sonore, un bel arbre d’Hannukah sur scène, et je savais que nous
parlerions de vision une fois encore. La vision que vous aviez, la
vision, la connaissance que l’illumination était déjà là. Pas quelque
part au-dehors, mais juste là.
La vision, la conscience ; et puis, dans
cette forme de Kasama, ce qui veut dire que c’est déjà arrivé, puis
j’ai dit, “Vous savez, il faut être un être courageux et audacieux pour
avoir une vision et la permettre.” Très audacieux, courageux.
C’est une chose d’avoir la vision, la
connaissance de l’illumination et de la tenir à distance, autant qu’on
pourrait tenir une carotte devant un cheval. C’est autre chose, une
toute autre chose de le permettre.
D’une certaine manière, on pourrait dire
que c’est presque amusant, à un moment donné, d’avoir la vision et de
continuer à travailler dans son intention, la maintenant irréalisée.
Assez drôle, jusqu’à un moment donné. Mais ensuite, et bien, la vie
commence à s’écouler hors de vous. Vous ne vous sentez pas si vivant.
Vous sentez que vous ne faites que survivre. En fait, cela arrive à
énormément de ceux qui poursuivent le chemin spirituel.
Je dirais que toute personne qui
s’implique dans la spiritualité et, jusqu’à un certain degré, la
religion, toute personne a un profond et sincère désir de connaître
quelque chose de plus grand. Mais ensuite, si souvent, le travail
spirituel, les groupes, les livres, les produits sont simplement un
moyen de survie. Ils ne sont qu’une distraction. C’est une autre
déclaration au Soi, que le Soi n’est pas prêt.
Tôt ou tard...tôt ou tard vous êtes
lassé de tout ça et nous arrivons à un moment de vérité. C’est déjà
arrivé et c’est en train d’arriver.

Le truc drôle est que ce moment de
vérité présente ne se déroule pas qu’ici. Cela se déroule également dans
tout ce qui concerne votre passé. Ce que vous ressentez maintenant est
ressenti par vous, un jeune enfant au moment de Noël, un jeune adulte
d’un Noël d’il y a vingt, vingt-cinq ans. C’est ressenti partout.
C’est se souvenir de cette vision, cette vision magnifique, cet engagement, “Illuminé, un point c’est tout.”
Maintenant que nous sommes dans le
ressenti de cette vision et de l’engagement à l’illumination dans cette
vie, la prochaine étape est de faire preuve de courage, d’être
extravagant, intrépide, et laisser venir à vous. Plus d’attente ou de
retenue. Plus d’arrangement pour quoi que ce soit d’autre que la
réalisation complète. Plus de gamberge. Plus de doute. Plus de jeu.
C’est fini.
C’est fini.
C’est fait ou meurs. Donc faisons-le.
(pause)
Je comprends pourquoi vous avez caché la
vision, pourquoi vous avez prétendu qu’elle n’était pas là. Je peux
comprendre pourquoi vous ne vouliez pas la voir corrompue. Vous auriez
préféré ne pas la réaliser, ne pas vraiment la détenir, plutôt que de la
voir déformée par vous ou par d’autres.
Mais exposons-la de nouveau. Sortons-la
de là où elle était cachée, ouvrez-la, simplement, comme vous ouvririez
un cadeau de Noël. Ouais, maintenant. N’attendez pas l’an prochain.
Ouvrez-le comme s’il n’attendait que vous au pied de cet arbre.
Je vous en prie, s’il vous plait ouvrez-le. C’est votre illumination. C’est votre connaissance. C’est votre accomplissement.
Ressentez-le.
(Pause)
Vous voyez, c’était vraiment simple. Ce n’était pas si dur.
A présent, amenez-ça simplement en vous. Amenez-le en dedans.
(Pause)
Votre corps, amenez-le dans votre corps et votre esprit. C’est vivant. Vous voyez, c’est vivant.
Ce n’était pas un livre des secrets. Ce
n’était pas une baguette magique. C’était vous. Votre vision, elle est
bien vivante.
Vous n’avez pas à faire des trucs du genre tomber d’une échelle ou
avoir un accident de voiture ou apprendre une mauvaise nouvelle chez le
docteur. Ce sont des manières fausses de se sentir vivant.
La vision est vivante, amenez-la en vous, dans votre corps, dans vos
yeux, votre nez, votre bouche. Laissez-la affluer dans vos oreilles,
votre nombril, vos pieds, vos jours et vos nuits.
Elle est vivante.
(Adamus marque une longue pause)
Prenez une profonde respiration. Prenez une bonne respiration bien profonde, mes chers amis.
J’adore cette période de l’année. C’est
tellement, tellement magique. La magie est très réelle. La magie est
très réelle si vous le lui permettez.
Donc, comme je l’ai dit en préambule,
c’est simple. C’est drôlement simple. Parfois, vous vous mettez
vous-même en travers de votre chemin. Ouais. Vous vous mettez en travers
de votre chemin avec les doutes et la retenue. Mais là où nous allons
maintenant, là où les Shaumbras qui restent, là où nous allons
maintenant c’est la réalisation, l’expérience, le fait de le vivre. Ne
pas juste survivre à la vie et en parler, mais la vivre. C’est là que
nous allons.

En fait cela va devenir beaucoup plus
facile, beaucoup plus facile à de nombreux égards. Mais ça va requérir
de vous que vous soyez extravagant, audacieux – et bien, vraiment
audacieux – en étant vous.
Ainsi, mes chers Shaumbras, un tel
plaisir d’être ici avec vous. Maintenant je dois m’en aller, me préparer
pour votre soirée. Oui, je serai dans les parages. Et, s’il vous plait,
quoi qu’il en soit, ne me servez pas ou à vous-même autre chose que le
meilleur. Pas seulement à la soirée de ce soir, mais dans votre vie en
général.
Prenons donc une profonde respiration et rappelons-nous que...
LE PUBLIC ET ADAMUS : Tout est bien dans toute la création.
ADAMUS : Et avec ceci, bonnes vacances chers Shaumbras. Merci. Merci. (Applaudissements du public)