LES MATÉRIAUX DU CRIMSON CIRCLE

L’art du banc

SHOUD 10 – ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle le 2 juillet 2022
www.crimsoncircle.com

Je Suis la lumière, Adamus du Domaine Souverain.

Ah! Prenons une bonne et profonde respiration avec cela, ce sont de magnifiques énergies pour ouvrir ce Shoud, que ce « Je suis la Lumière » (en référence à la chanson « I Am Light » qui vient d’être jouée). Ah! C’est à cela que tout se résume (Adamus rit).

Avant d’aller plus loin, commençons ce Shoud avec un court Merabh – piste numéro deux, s’il vous plaît, dans la sélection musicale pour merabhs – un court merabh, ce que je n’avais pas prévu de faire, mais faisons-le quand même. L’éclairage, prêt à cet effet. Oh! Oh! Avant ce merabh, nous avons des choses plus importantes à faire. Mon café (rires; Kerri est en train d’attendre de lui apporter son café et sa friandise). Mon café. Vous savez, j’ai fait tout ce chemin – des millions, des milliards de kilomètres avant d’arriver ici – et laissez-moi au moins prendre une tasse de café avant de commencer la journée (quelques rires et quelqu’un dit « aw! » Kerri a une rose entre les dents), et c’est très intéressant. Merci (Adamus rit et le public rit).

KERRI: Voici. Ne prenez pas le plateau.

ADAMUS: Oh, oh! Je ne prends pas le plateau?

KERRI: Et je… – voilà.

ADAMUS : Merci. Merci beaucoup. Ah!

KERRI: Dois-je reprendre votre kombucha? Ou...

ADAMUS: C’est Cauldre qui boit ça.

KERRI: Oh.

ADAMUS: Vous savez, j’ai donné ...

KERRI : J’ai entendu dire que ça aidait à faire caca, donc c’est très bon (rires).

ADAMUS: En voudriez-vous un peu?!

KERRI: J’en ai déjà pris.

ADAMUS: (rires) Oui, oui! Dans ma dernière vie, je suis brièvement sorti avec une sorcière, et elle essayait de me faire boire ce truc de kombucha. J’avais peur de me transformer en champignon ou de tourner au vinaigre, l’un des deux. Pourquoi quelqu’un irait-il boire cela – quand vous avez à disposition du café et du vin parfaitement bons à boire, pourquoi voudrait-on boire du kombucha? (quelques rires) Mais je crois que cela fait partie de l’identité de Cauldre de boire cela. C’est... Eh bien, je ne comprends pas pourquoi, mais c’est le cas.

 

Rappelez-vous l’ampleur – Merabh

Avant d’aller plus loin, commençons par un magnifique merabh. Nous terminerons aussi par un merabh, mais pendant que je rassemblais toutes les énergies en vue de ce Shoud, que je réunissais les énergies des Shaumbra du monde entier dans ce groupe, pendant que vous vous rassembliez tous (durant le temps de la chanson) autour des notes et de l’énergie de la musique, je me suis dit: « Faisons cela d’abord. »

Oh, prenons une bonne et profonde respiration tous ensemble, alors que nous commençons.

(la musique commence)

Réalisez ce pour quoi vous êtes là en vérité, ce que vous êtes vraiment en train de faire. L’ampleur du travail – je ne veux même pas appeler cela un travail, ce n’est peut-être pas le bon terme – l’ampleur de vos efforts ici sur la planète, ce que vous êtes en train de faire.

C’est même parfois difficile à comprendre pour votre mental humain, et en particulier quand vous avez encore le passé, certains fantômes du passé, quand tout cela n’a pas été porté à la sagesse; quand vous êtes encore en train de jouer avec certains vieux problèmes, que vous les triturez, que vous vous y accrochez intentionnellement, malgré vos cris et vos hurlements, il est parfois difficile de réaliser l’ampleur de ce que vous êtes en train de faire.

Il est vraiment très facile de glisser dans la conscience du: « Eh bien, j’essaie juste de me frayer un chemin. Je lutte pour simplement avancer. » Non. Non, non, non. Non. Non, non. Pour ce petit groupe de Shaumbra, ces pirates du monde entier, c’est bien plus que ça. Beaucoup, beaucoup plus.

C’est une expérience intéressante, un jeu même, que de prétendre que vous n’êtes encore qu’un humain qui essaie de se frayer un chemin, de faire son chemin. Ah! J’attends avec impatience le moment où vous réaliserez vraiment l’ampleur (de tout cela).

En vérité, ce pourrait être très effrayant pour vous de réaliser l’ampleur de ce que vous êtes en train de faire. Peut-être que vous en seriez tellement bouleversé que cela vous propulserait juste – ppfff! – dans votre essence de lumière, hors de votre corps physique.

C’est quelque chose que nous préparons depuis très, très longtemps. Ce n’est pas par hasard que vous êtes arrivé au Crimson Circle. Ce n’est pas un hasard si Tobias est arrivé juste au bon moment. Ce n’est pas un hasard si ce groupe s’est aggloméré, coalisé d’une façon que je n’avais jamais vue en réalité, avec aucun autre groupe ésotérique, et notamment du fait qu’il n’y a pas de règles ou de cotisations ou quoi que ce soit de ce genre. Mais ce groupe s’est rassemblé, réuni, les personnes nouant des liens les unes aux autres à de multiples niveaux différents. Pas seulement au niveau du royaume humain, mais nous travaillons aussi ensemble dans les royaumes des rêves.

Je vous demande de ressentir un instant l’ampleur de ce que ce groupe est en train de faire et de ce que vous êtes aussi en train de faire ici.

(pause)

C’est souvent enfoui sous les tracas quotidiens de la vie. C’est enfoui sous des sentiments de culpabilité ou de honte, mais il y a vraiment une raison, un but – j’irais même jusqu’à dire un héroïsme – dans ce que vous êtes en train de faire ici sur la planète.

Pendant des siècles et des siècles, il y a toujours eu des groupes qui se sont isolés dans des grottes ou des îles éloignées, des terres lointaines, loin de l’agitation et du bruit de la conscience de masse, pour faire une unique chose, et c’est celle de maintenir une connexion énergétique entre cette planète et les autres royaumes.

Certains de ces groupes ont spécifiquement travaillé à maintenir un lien, une connexion avec les familles angéliques dont ils étaient issus. Un peu comme pour s’assurer que vous pourriez rentrer à la Maison, la Source, entre deux vies ou à la fin de votre séjour sur cette planète.

Il y a des groupes qui n’ont rien fait d’autre que méditer, prier et chanter, toute leur vie étant consacrée au maintien de cet équilibre énergétique sur la planète.

Ces groupes ont aujourd’hui, pour la plupart, disparu. Il y en a encore quelques-uns sur la planète, peu nombreux, parce qu’il s’agit à présent d’être des Maîtres incarnés, d’être avec les autres, et non plus de s’isoler dans une grotte quelque part, mais d’être là au milieu des autres. Être là pour faire une chose très simple et magnifique – permettre à votre lumière de briller. « Je suis la lumière, et je permets à cette lumière de rayonner, de se diffuser sans objectif. »

Vous êtes ceux qui êtes venus aujourd’hui pour reprendre le flambeau des groupes qui précédemment maintenaient l’énergie, qui maintenaient le lien, la connexion entre ici et les autres royaumes, qui aidaient également Gaïa à maintenir son pouls (ses battements cardiaques), et à maintenir une compatibilité et une résonance avec les humains et les autres formes de vie sur la planète. Leurs boulots ont pour la plupart disparu aujourd’hui, ils sont pour la plupart terminés, et ces groupes ont été remplacés à présent par ceux qui font briller leur lumière. Et c’est vous.

L’ampleur (de ce travail) est vraiment spectaculaire. Je sais qu’il y a des jours, très nombreux, où vous ne vous en rendez tout simplement pas compte, où vous pensez que c’est peut-être trop grandiose. Mais je vous demande à présent de ressentir votre cœur, votre massion, la raison pour laquelle vous êtes là.

C’est cela le point culminant, l’aboutissement (de tout ce que vous avez fait). Ah! Cela a demandé des éons de temps, de rêves des Atlantes, d’espoirs de ceux qui étaient là au moment où Yeshua avait planté la semence du Christ, et à présent tout cela culmine ici même en ce magnifique Temps des Machines. Une époque où la planète semble être vraiment devenue folle, mais elle ne fait que traverser ses changements, son évolution.

Prenez une profonde respiration et ressentez pourquoi vous êtes vraiment là.

(pause)

Il ne s’agit pas de la carrière professionnelle que vous avez choisie; même si tout cela est sympa. Il ne s’agit pas de la famille dans laquelle vous êtes né. La véritable raison, c’est simplement d’amener la conscience à cette planète. Et je vais utiliser un terme aujourd’hui et nous en discuterons. Je vais appeler cela la « Conscience Au-Dessus » – la Conscience Au-Dessus (au niveau supérieur, au niveau plus élevé) – parce qu’elle passe au-dessus de la tête de la plupart des gens (quelques rires du fait d’un jeu de mot en anglais). Elle passe parfois même au-dessus de votre propre tête, mais nous allons en parler aujourd’hui.

Cela signifie une forme plus élevée de conscience, un niveau plus élevé. Avec la vue de 30 000 pieds de hauteur de la conscience (vous verriez que), quand vous faites briller votre lumière, cela n’affecte pas seulement des choses comme l’économie. Je veux dire, cela a un effet, comme vous pouvez le voir – regardez ce que vous êtes en train de créer ici-bas! – ou la politique ou certaines causes. Toutes ces choses sont plutôt banales et assez inefficaces, mais nous parlons ici de Conscience Au-Dessus (de conscience supérieure ou plus élevée).

Encore une fois, nous allons en parler aujourd’hui, mais pour le moment, je vous demande simplement de ressentir l’ampleur (de ce que vous êtes en train de faire).

Demandez à votre âme. Demandez à votre âme. « Chère âme, quelle est l’ampleur de ce que nous sommes en train de faire ici sur la planète en ce moment en tant que Maîtres? Quelle est l’ampleur de ce que nous – toi et moi, mon âme – faisons ici ? » Et écoutez un instant.

(pause)

Au passage, votre âme a un très bon sens de l’humour. Elle a un meilleur sens de l’humour que l’humain, en général. L’humain a souvent un manche à balai dans les fesses (quelques rires). L’âme n’a pas de fesses (Adamus rit) où planter un manche à balai, alors quand vous demandez ... (quelques rires bruyants) Et donc, quand vous demandez à votre âme : « Parle-moi de l’ampleur de ce que je suis en train de faire. Partage cela avec moi », l’âme se tape le front. Du style, « Enfin! Enfin, tu me le demandes. Enfin, tu es en train de comprendre ».

Laissez votre âme partager avec vous un instant quelle est cette véritable ampleur (du travail que vous faites).

(pause)

Vous pourriez vous dire : « Eh bien, c’est une responsabilité incroyable, un énorme fardeau à porter. » Pas vraiment. Pas vraiment. Ce n’est pas vraiment une responsabilité. C’est en fait davantage une véritable passion.

Vous ne portez pas tout le poids du monde sur vos épaules. Bien au contraire. Vous le relâchez.

Alors, prenons une profonde respiration.

(fin de la musique)

C’est donc un nouveau mot que j’aimerais ajouter au lexique des Shaumbra, une phrase, et c’est celle de « Conscience Au Dessus » ou « Conscience plus élevée ».

L’autre, c’est simplement (en se tapant le front avec la paume de la main) « Oh, c’est pour ça que je suis ici! Oh, c’est pour ça que je suis là. » Nous en avons parlé dans certains de nos récents Shouds, quand je vous ai expliqué en gros ce qui était en train de se passer: « Oh, c’est pour ça que je suis là! Je ne suis pas là pour souffrir. Je ne suis pas là pour créer de nouvelles causes (à défendre). Je ne suis pas là juste pour voir, purée, ce qui se passe. C’est pour ça que je suis là. Il y a une raison. »

J’évoque cela durant ce Shoud aujourd’hui parce que là où nous irons après cette série, quand nous aborderons notre nouvelle série, il n’y a pas de place pour le nettoyage émotionnel, les pleuricheries – je suis désolé, certains d’entre vous se demandent: « Oh, non! Qu’est-ce que je vais faire? » (Adamus rit) – les plaintes, les excuses. Il n’y en a vraiment pas, parce que là où nous allons dans cette nouvelle série après celle du Banc, c’est vraiment dans des royaumes plus profonds, et vous ne pouvez pas emmener ces conneries avec vous. Vous ne devez pas. Je veux dire, ce serait épouvantable, cachemardesque si vous le faisiez. C’est un peu comme ce dont nous parlons dans le Seuil. Vous essayez d’emmener vos problèmes dans la Réalisation, et c’est juste épouvantable.

Notre prochaine série s’intitulera « Alt » – A-l-t – Alt, pour réalités alternatives, probabilités et potentiels alternatifs, dimensions alternatives, façons alternatives de faire les choses. Alt. A-l-t c’est aussi le véritable nom originel de l’Atlantide, Alt. Et donc, là où nous irons dans cette prochaine série, il n’y aura vraiment pas de place pour vos poubelles (émotionnelles). Vos poubelles.

Ceci dit, les Shaumbra, pour la plupart, se sont débarrassés d’une grande part de leur makyo, mais il y en a encore. Nous allons nous amuser aujourd’hui, et nous allons créer un document qui définira, en essence, comment nous allons avancer.

Mais d’abord, avant de faire cela, prenons une profonde respiration et pratiquons (il se tape le front de la paume de la main) le : « Oh, c’est pour ça que je suis là! Oh, c’est pour ça que je suis là! » (quelques rires alors que les Shaumbra se frappent le front et répètent cela). Bien. C’est assez facile. Assez facile. « Oh, c’est pour ça que je suis là! » Je dois – certains sont en train de dormir là-bas – ok (en regardant la caméra), « Oh, c’est pour ça que je suis là! » Ce n'est pas très difficile à faire, pas vrai? Ok.

 

La Liberté

Commençons par parler de liberté. La liberté, comme c’est approprié. Linda est habillée pour l’occasion.

LINDA: C’est le week-end de la liberté.

ADAMUS: Le week-end de la liberté.

LINDA: L’indépendance, la souveraineté.

ADAMUS: C’est le Jour de l’Indépendance. Le 4 juillet en Amérique, c’est le Jour de l’Indépendance. Je vous parlerai plus tard de mon implication là-dedans.

LINDA: Bien sûr, vous le ferez! (rires) Bien sûr!

ADAMUS: Mais je veux avant vous parler un petit peu de liberté. Je n’oublierai jamais ce moment – et j’en raconte souvent l’histoire au Club des Maitres Ascensionnés – je n’étais avec les Shaumbra que depuis quelques mois peut-être, quand j’ai demandé au public un jour, durant ma séance de questions: « Les humains veulent-ils vraiment la liberté? »

Et une pause était survenue dans le public, tout comme en ce moment, et je voyais les gens secouer la tête : « Oui. » Et j’avais attendu un peu en prenant une pause théâtrale, j’avais attendu, j’avais attendu, j’avais attendu, j’avais fait une pause pour faire monter la tension à l’époque, et je leur avais finalement dit: « Pas vraiment. »

Et ce regard sur leurs visages, ce changement dans l’énergie qui avait balayé la pièce, tout d’un coup mes chers amis s’étaient transformés en adversaires (certains rires). Je pouvais ressentir l’horreur et le mépris (dans leurs yeux). Je pouvais ressentir l’horreur dans leur regard. « De quoi parlez-vous, Adamus? Oui, les humains veulent la liberté. »

Et je leur avais dit : « Non, en fait, je ne pense pas qu’ils la veuillent. Je pense qu’ils veulent un peu plus de facilité dans leur vie, un peu plus de cirque, un peu plus de bière, un peu plus de football. Ils veulent un peu plus de tout cela, mais la véritable liberté? Non. Très peu de gens pourraient en fait gérer cela. »

Ils ont besoin des rôles qu’ils jouent et qui les définissent. Ils ont besoin du type d’emplois qui les définit. Croyez-le ou non, les gens veulent leurs gouvernements. Je sais qu’ils aiment s’en plaindre, mais ils en ont besoin, parce que ces gouvernements sont en quelque sorte, je crois que vous diriez, un confort et aussi une distraction qui les tient éloignés de la vraie liberté. La véritable liberté est une énorme responsabilité. Vous ne pouvez plus vous plaindre et blâmer les autres, si vous avez une vraie liberté, en faisant porter la responsabilité des choses sur le compte de complots; en blâmant vos familles, vos copains, n’importe quoi d’autre, les croquemitaines, les démons ou quoi que ce soit d’autre. Dans la véritable liberté, la responsabilité est totalement vôtre, et il s’agit aussi d’accepter que l’énergie est à vous.

Alors, une véritable liberté ? Non. Non. Si c’était vraiment le cas, il y aurait beaucoup plus de liberté sur la planète.

Maintenant, cela étant dit, il y a une tendance croissante sur la planète : les gens commencent à poursuivre le chemin de la liberté. Je vous en ai déjà parlé précédemment, en utilisant cet acronyme, STEP (pour Souveraineté, Vérité, Energie, Pouvoir) – La Souveraineté, c’est à dire la liberté. La Souveraineté. Ce sont les principales influences qui sont en cours actuellement sur la planète. Vous pouvez suivre tout ce qui se passe et le rapporter à ces quatre choses simples, et notamment la souveraineté ou la liberté. De plus en plus de gens cherchent actuellement la liberté, mais ils ne savent pas très bien ce qu’est la liberté. Ils passent par de nombreuses étapes. Ils passent par de nombreuses… – ils protestent beaucoup, par exemple, au nom de la liberté, mais ils ne comprennent vraiment pas ce que c’est.

Mais pourtant, cela prend de l’ampleur, cette passion pour la liberté qu’ont les humains, et je peux très clairement affirmer que c’est grâce à vous, grâce aux Shaumbra et à d’autres, qui ont suivi ce chemin en premier. Vous savez ce que c’est quand vous réalisez que vous ne pouvez blâmer personne d’autre. Vous ne pouvez pas pointer du doigt un autre groupe, une autre personne, une autre famille ou quoi que ce soit d’autre. La liberté, c’est accepter votre responsabilité, le fait que c’est vous qui créez cela.

Mais il y a de plus en plus de gens sur la planète actuellement qui commencent à rechercher la liberté ou la souveraineté. C’est un chemin long et difficile. Vous savez, cela semble très glorieux, « La liberté! » mais ensuite, tout d’un coup, « Oof! Cela signifie que je dois assumer toute la responsabilité de toute chose. » Mon manque d’abondance, ma santé, ma mauvaise enfance, quoi que ce soit. La liberté, c’est prendre ses responsabilités. Et après, je dis que la forme de liberté la plus véritable ou la plus authentique, c’est celle où vous êtes capable de rire de tout ce qui s’est passé. C’est être capable d’en rire à la fin.

Et ensuite nous avons – dans STEP – la Souveraineté; la Vérité, les humains sont à la recherche de vérité ; l’Energie et ensuite le Pouvoir. Ce sont là les principales influences qui se produisent sur la planète en ce moment. La plus importante, je dirais, c’est la liberté, la véritable liberté.

Combien de personnes sur la planète, quel pourcentage souhaitent vraiment une véritable liberté, vraiment la véritable liberté? Moins d’un pour cent sur l’ensemble de la planète. Sur presque, quoi, sept milliards de personnes aujourd’hui? Vous continuez à faire des bébés là, mais je n’arrive plus à compter (quelques rires), mais un très, très petit nombre de personnes souhaitent vraiment la liberté. Mais pourtant, il y a des personnes aujourd’hui qui y pensent, qui la ressentent. Il y en a qui traversent cette espèce de conflit interne qui leur fait dire: « Il doit y avoir plus. Il doit y avoir plus que le simple fait d’être un humain sur la planète. Il doit y avoir plus de façons de m’exprimer. » Ces gens-là en sont aux tout premiers stades de la liberté, mais la route est longue.

Vous savez cela. C’est une très longue route. Vous devez en traverser toutes les étapes, toutes les occurrences, vous passez par des moments d’aggravation ou de détérioration de la situation, vous pensez savoir ce qu’est la liberté. Vous savez, c’est un joli mot à la mode, et puis soudain – boum! – tout s’effondre. Et puis vous vous relevez et essayez d’avoir plus de liberté, et c’est presque comme si plus vous essayiez la liberté, plus la prison, le zoo, vous enfermaient. Plus vous désirez sortir du zoo, plus il essaie de vous retenir en son sein. Ou pour le dire mieux encore, plus vous essayez de vous éloigner de votre famille, plus ils vous retiennent et vous ramènent à eux (certains rires). Mais la liberté est une tendance dominante sur la planète en ce moment. Je voulais pointer cette question parce que c’est bientôt le 4 juillet ici en Amérique.

 

La raison d’être de l’Amérique

Parlons de l’Amérique. Linda s’est déguisée pour l’occasion. Je me souviens quand elle s’était déguisée en Statue de la Liberté. C’est la façon dont elle est vêtue aujourd’hui qui m’y a fait penser (plus de rires). Je veux dire, en tant que Maître Ascensionné, vous savez, je veux dire, n’est-ce pas, les choses ne me chauffent pas vraiment souvent, elles ne me redonnent pas souvent de l’ardeur. Mais ce truc de la Statue de la Liberté, ce vêtement vert qui recouvrait votre corps, whoo! Cauldre avait dû m’éloigner un instant, me pousser sur le côté (Adamus rit).

Mais parlons un instant de l’Amérique. Je me suis profondément impliqué là-dedans. Dans ma dernière vie ... soudain, tout le monde dans la salle bâille (rires) quand je raconte mon histoire ! Et tout le monde en ligne baille également aussi (il bâille), « Oh, le revoilà avec son histoire. » Lors de ma dernière vie en tant que St. Germain, j’ai beaucoup voyagé. Et je vous ai dit que je n’avais jamais travaillé, que je n’avais jamais exercé de boulot. Et, oui, je dis ça pour tous ceux qui ont noté cela – je viens juste de faire un nouvel « Adamus au sujet de » sur « La grande démission » – vous vous dites: « Comment pourriez-vous ne serait-ce que parler d’emplois et de travail étant donné que vous n’avez jamais travaillé ? » (Linda rit doucement) C’est justement pour cela que je peux en parler (quelques rires), parce que je n’ai jamais eu besoin de travailler. C’est cela mon point, ce que j’essaie de vous démontrer, n’est-ce pas. Oh!

Et donc, l’Amérique. J’ai voyagé à travers l’Europe, certaines parties de l’Afrique, l’Asie, j’ai passé beaucoup de temps au Moyen-Orient. Oui, et en vérité, je me suis assis dans la Chambre du Roi...

LINDA: Oh, bien sûr.

ADAMUS: ... de la Grand Pyr- ...

LINDA: Bien sûr, bien sûr (plus de rires).

ADAMUS: Eh bien, vous aussi, mais je l’ai fait en premier (Linda rit). Et Yeshua aussi. Aviez-vous réalisé cela, lorsque vous et Cauldre vous êtes assis là, que Yeshua avait posé son cul dans cette même pièce ?

LINDA: Non, mais c’est cool.

ADAMUS : C’est très cool. Oui. Oui. C’était inconfortable. Il n’y était pas resté longtemps, mais il n’y avait pas à l’époque de beaux sièges et bancs.

LINDA: Il n’y en a toujours pas.

ADAMUS: Juste les… – il n’y en a toujours pas.

LINDA: Non.

ADAMUS: Oh. Y a-t-il encore cette… (il renifle! ) espèce d’odeur d’urine qui refoule là-bas? (quelqu’un dit « Oui ») Oui. Ok, d’accord. Eh bien (quelques rires), oui. Cela étant dit, vous savez, les...

LINDA: Ce n’est pas le souvenir que j’en ai gardé.

ADAMUS : les lieux saints, vous savez (rires). Moi c’est de cela dont je me souviens. Quoi qu’il en soit, revenons à l’Amérique.

J’ai donc voyagé à travers l’Europe. L’Europe était en transition à l’époque. C’était dans les années 1700. La vieille énergie royale était encore très présente. Il y avait beaucoup de royaumes. Il y avait des rois, des reines et tous les membres des familles royales, et cela a duré un certain temps. Mais ce qui m’avait vraiment marqué, c’était le ressenti de ce changement en train d’advenir en Europe – il fallait en quelque sorte que cela change, tout comme il y a un changement en cours sur la planète en ce moment. Vous savez, ce n’est pas un petit changement. Il a 100 fois l’ampleur de ce qui se passait en Europe à l’époque. Il y a des signaux faibles, des courants émergeants. Il y a des aggravations ou une intensification de la situation. Il y a le désir de quelque chose de différent. Et, n’est-ce pas, quand les humains ont le désir de quelque chose de différent, mais que cependant ils ne savent pas ce qu’ils veulent, c’est un peu dangereux, hein, comme nous l’avons découvert avec la Révolution Française (quelques rires). Il est préférable de savoir que vous voulez du changement et d’avoir au moins une idée de ce que vous voulez, plutôt que de simplement jeter tous les fainéants dehors – ou de les exécuter, de leur couper la tête – puis de se dire: « Oh, et maintenant on fait quoi? Maintenant, que faisons-nous? » Et aujourd’hui, nous avons la même chose, presque la même distribution de personnages qui reviennent et reprennent à nouveau le pouvoir. Rien n’a vraiment changé, sauf leurs noms et leurs visages.

Mais il y avait toute cette intensification des problèmes et cette détérioration de la situation qui se passait en Europe, et j’ai voyagé. J’ai passé beaucoup de temps à en parler aux membres des familles royales, aux rois et aux reines, ainsi qu’aux politiciens, aux philosophes et aux dirigeants de l’époque, aux scientifiques, en leur disant: « Il y a un changement en cours. Et fondamentalement, ce que ce changement va amener, c’est plus de liberté, plus d’équité. C’est obligé. C’est obligé que la planète prenne un chemin plus démocratique, que la société et la culture évoluent. Les gens doivent pouvoir voter. Même s’ils votent mal, cela n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est le fait qu’ils puissent voter. Et ensuite, ils pourront voir les conséquences de leurs actions. Les gens aujourd’hui exigent de posséder leur propre terre. Ils ne veulent plus continuer à travailler pour un seigneur et à peine s’en sortir. Ils veulent posséder leur propre terre. Ils veulent posséder une maison. Ils veulent être fiers de ce qu’ils font. »

Comment pouvez-vous être fier si vous travaillez pour quelqu’un qui ne vous reconnaît pas comme son égal, dans un rapport d’âme à âme, de Dieu à Dieu ? Comment peut-il y avoir de la fierté là-dedans? Pour que les choses évoluent, en particulier parce que nous venions de sortir de la Renaissance quelques centaines d’années plus tôt, et qu’il y avait eu de grands changements de conscience qui se reflétaient dans les arts, qui se reflétaient dans l’invention de la machine à vapeur et de la machine à coudre et ce genre de choses à présent qui sont des reflets ou des manifestations de la conscience. La conscience a radicalement changé, elle s’est radicalement transformée à la Renaissance, mais ne vous fiez pas seulement aux peintures qui ont été faites à l’époque ou aux inventions. Regardez ce que j’appelle cette Conscience Au-Dessus, cette conscience plus élevée, la vision globale ou la vue d’ensemble des choses.

Les membres des familles royales savaient en quelque sorte que quelque chose allait arriver. Bien sûr, ils n’allaient pas simplement laisser les choses se faire facilement. Il devait y avoir une espèce de plan de transition à long terme. Mais ma plus grande irritation a été avec les paysans, ceux que je pensais défendre, pour lesquels je travaillais, qui ont failli me faire couper la tête à plusieurs reprises dans certains tribunaux d’Europe du fait des choses folles que je disais; et je m’étais présenté au Vatican sans vêtements, toutes ces choses que je pensais faire pour les paysans. Mais à ma grande surprise, les paysans ne voulaient pas vraiment du changement. Ils y pensaient. Ils savaient qu’ils voulaient quelque chose de différent, mais ils étaient en fait assez confortables avec le fait qu’on leur dise quoi faire – comment gérer leur vie, ce qu’ils devaient faire chaque jour de leur vie, combien d’enfants ils pouvaient avoir, quelle église ils devaient fréquenter, quel genre de travail ils auraient – et c’était terriblement troublant. Terriblement, parce que je savais qu’en fin de compte, dans toute cette transition qui était en train de se produire – il fallait qu’elle se produise, cette transition – ce serait eux qui en seraient les perdants, alors qu’ils auraient dû en être les gagnants. Et donc, quand je vous dis : « Voulez-vous vraiment la liberté ? Les humains veulent-ils la liberté ? » parfois ils veulent juste un peu plus de cirque et de pain (panem et circenses).

Nous avons la même chose qui est en train de se passer en ce moment sur la planète en 100 fois, peut-être 1 000 fois plus fort, l’idée que les changements sont dans l’air. Les changements sont le résultat de la conscience, résultat induit via un petit pourcentage seulement d’humains sur la planète, tout comme à l’époque de la Renaissance. Des changements sont en train de se produire en ce moment même, et ces changements pourraient être très positifs. Mais pourtant, comme vous l’avez découvert, comme vous l’avez vu juste en faisant du banc, en faisant briller votre lumière, cela secoue les choses. Faire briller votre lumière ne signifie pas que « la-di-da, tout va être génial. » Cela signifie que nous sommes à présent en train d’ouvrir de nouveaux horizons, de nouvelles perspectives aux choses, et parfois cela crée d’énormes perturbations sur la planète. Ce n’est pas de votre faute. Je n’essaie pas de dire cela. C’est simplement le résultat d’un changement de conscience qui transforme les choses.

À l’époque de la post-Renaissance, encore une fois, il y a eu une magnifique nouvelle compréhension des choses, un grand mouvement vers la science et l’invention de nouvelles choses, et pour une part, la Conscience Au-Dessus concernant l’invention des machines – comme la machine à vapeur, la machine à coudre et, en fin de compte, toutes les choses qui ont suivi – c’était de libérer les humains de leurs tâches et de leur labeur. De les libérer de leur condition faisant d’eux des ânes et des chevaux, à effectuer ces tâches et ce labeur. Et c’était intéressant, parce que ces machines, les machines à vapeur, aujourd’hui les moteurs qui automatisent des choses pour les humains – le métier à tisser, le métier à tisser automatique – tout cela ce sont des choses qui ont évité aux humains de nombreuses tâches de travaux fastidieux, mais qu’ont fait les humains à l’époque où ces machines ont commencé à devenir prédominantes dans les usines? Ils sont allés incendier les usines, détruire les machines. Et vous pourriez dire que c’était parce qu’ils ne voulaient pas perdre leur emploi.

Ils n’auraient pas perdu leur emploi. Ils auraient peut-être accepté un nouvel emploi, mais les machines ne prennent pas d’emplois. Que ce soit les machines d’il y a des centaines d’années, que ce soit les ordinateurs d’aujourd’hui, toutes ces machines ne vous prennent pas vos emplois. Mais pourtant, nous avons ici des humains qui brûlent des bâtiments et détruisent les machines de peur de perdre leur emploi. Il ne s’agissait pas de cela. La Conscience Au-Dessus avait en réalité à voir avec leur peur de la liberté. Ils préféraient travailler à ces emplois fastidieux en étant payés un salaire très bas plutôt que d’accepter la responsabilité de leur propre liberté.

En surface, cela ressemblait à cela : « Oh, regardez ces pauvres gens. » Regardez comment les Luddites se sont rassemblés et organisés pour détruire les machines sous prétexte de « Eh bien, nous allons perdre notre emploi ». Non, pas du tout. Ils avaient peur de perdre leur prison. Ils avaient peur de leur propre liberté. Beaucoup de cela est en train de se produire à nouveau actuellement en 100 fois plus fort, mais revenons à l’histoire de l’Amérique et à la raison pour laquelle je veux en parler aujourd’hui.

Je m’étais rendu compte que l’Europe n’allait probablement pas changer, ou que si c’était le cas, cela prendrait des centaines d’années et je n’avais pas la patience pour cela. Alors, en travaillant avec d’autres personnes, je me suis dit : « Mettons alors en place un Nouveau Monde, un lieu d’expérimentation de la liberté, un endroit où les gens du monde entier, quelle que soit leur culture, leur race ou leur religion, pourraient venir. Nous allons tous les mettre dans le même bain et voir ce qui se passera » (rires). Ce que j’avais dit était un peu plus éloquent que cela, mais j’ai fait de nombreux voyages en Amérique.

Ceci dit, je veux être très clair avec vous tous et en particulier ceux d’entre vous qui nous regardez en ligne. Nous ne sommes pas en train de faire la promotion de l’Amérique, et ce n’est pas une question de patriotisme. Je ne suis assurément pas un fan de nationalisme, sauf dans le sport, parce que le nationalisme peut en fin de compte être très destructeur. Et l’Amérique est l’un de ces endroits que vous aimez et que vous détestez en même temps. Vous savez, elle est aimée dans le monde entier pour énormément de choses et on lui en veut, il y a beaucoup de ressentiment à son égard dans le monde entier. Mais il y a quelque chose à propos de l’Amérique que j’ai aidé à mettre en place, c’est que vous pouvez venir ici, pour la plupart, de n’importe où dans le monde. Il n’y avait que les Premières Nations ici au début. Les gens sont venus de toute l’Europe et finalement d’Asie, d’Afrique, du monde entier, pour être présents ici dans le cadre de cette expérience de liberté.

Et l’expérience de la liberté a fait beaucoup de bien dans le monde, mais elle a encore un long chemin à parcourir. Vous pouvez venir ici depuis n’importe où et cela n’a pas vraiment d’importance. Oui, il y a beaucoup de troubles actuellement dans ce pays, mais nous allons parler dans une minute de la vision issue de la Conscience Au-Dessus, la vision issue d’une conscience plus élevée, la situation dans son ensemble.

Quand je travaillais avec les Pères fondateurs pour aider à élaborer la Constitution – et c’est un fait. Je n’ai pas construit tout le Capitole moi-même (quelques rires), j’ai eu de l’aide. Mais j’ai aidé à élaborer la Constitution dans les coulisses, je ne voulais pas me faire remarquer, être en pleine lumière, et je ne voulais pas non plus devenir citoyen de ce pays. Je savais que j’avais encore quelques petites années à vivre sur la planète et je voulais retourner en Europe.

L’Amérique a été conçue comme un endroit où les gens peuvent venir pour leur liberté, et à ce jour, vous le voyez toujours. Il y a probablement là plus de liberté, sans doute, pour certains d’entre vous, plus de liberté que n’importe où. Vous avez la liberté ici de faire à peu près tout ce que vous voulez. Et ce que vous voyez actuellement dans ce pays, en particulier avec la récente décision sur l’avortement, cela n’a rien à voir avec « L’avortement est-il bon ou mauvais ». Cela a à voir avec le fait de prendre sa liberté. Maintenant, cela va se retourner contre vous. Le pendule va basculer dans l’autre sens. Il y a des gens qui veulent une espèce de liberté limitée. Pour moi, c’est un oxymore. Ils veulent un petit peu de liberté, mais pas la liberté dans sa totalité.

Quand vous vivez dans un pays comme celui-ci ou dans n’importe quel pays qui a le même type de dynamique énergétique, la liberté c’est la liberté. La liberté de porter une arme à feu. Nous ne portons pas de jugement sur les armes à feu et peu importe ce que vous en pensez, mais un pays peut-il être suffisamment libre que vous puissiez détenir une arme à feu? Ou être suffisamment libre pour vous permettre d’avorter ? Etre suffisamment libre qu’il permette vraiment la liberté de toutes, absolument toutes les manières possibles? Et c’est cela qui est en train de se passer dans ce pays actuellement.

Il est d’ailleurs intéressant de noter que l’Amérique n’a pas été créée autour de principes chrétiens, mais plutôt autour de principes maçonniques. Au cœur de ce pays, et ils sont gravés dans de très nombreux monuments à Washington, D.C. et dans d’autres endroits du pays, se trouvent des principes maçonniques. Cela ne signifie pas qu’ils s’opposent aux principes chrétiens, mais beaucoup pensent que c’est un pays chrétien. Mais si vous allez dans la Conscience Au-Dessus, la vue d’ensemble, il s’agit de principes maçonniques, et ces principes sont basés sur les énergies sacrées et la liberté. En fin de compte, la liberté.

Maintenant, cela étant dit, les francs-maçons d’aujourd’hui ne ressemblent pas à ceux de l’époque et, oui, j’en faisais partie. Il y a des groupes qui restent très silencieux, très, très silencieux, et qui perpétuent encore les pures valeurs maçonniques et ce qui était à l’origine les pures valeurs chrétiennes. Et pour moi, c’était probablement cela les meilleurs principes – les principes gnostiques et maçonniques. Les principes de l’Église chrétienne d’avant 350 après J.-C. environ; qui, combinés aux principes maçonniques et aux compréhensions maçonniques de l’astrologie et de la géométrie et aux authentiques sciences de l’énergie, sont exceptionnels, et ils sont toujours là au cœur de ce pays. Mais en fin de compte, il s’agit de liberté.

Je vous parle de liberté aujourd’hui parce que c’est quelque chose qui concerne chacun d’entre vous et que chacun de vous a rencontré, votre propre liberté – être libre de vous-même, de la conscience de masse, de vos familles, des anciennes façons de penser, des vieux systèmes de croyances, c’est cela la vraie liberté – et c’est une pute (certains rires). C’est une pute. Vous voulez vous accrocher à certaines de ces choses. Vous voulez vous dire : « Eh bien, je vais m’accrocher à certaines choses, et je serai libre au-delà, mais je vais continuer à m’y accrocher. » Le dragon de la liberté vous montrera que vous ne devez pas vous accrocher à quoi que ce soit. Parce qu’à la fin, tout vous reviendra en pleine figure.

Soit dit en passant, soit dit en passant, si cela n’avait pas fonctionné ici aux États-Unis, aux États-Unis d’Amérique, l’expérience de la liberté, quel aurait été le pays suivant qu’on aurait configuré à l’accueillir? (un homme dit « le Canada » et une femme dit « l’Australie ») Ah-Ta-Rah. Ah-Ta-Rah, l’Australie. Oui. Et pour moi, cela a toujours été une grosse blague, parce que c’était une espèce de grande colonie pénitentiaire, mais quel meilleur endroit? À tous les Australiens, vous comprenez ce que je dis. Quel meilleur endroit pour faire l’expérience de la liberté.

Maintenant, cet endroit n’était pas exclusif. Cela ne voulait pas dire que si cela ne fonctionnait pas ici, alors cela marcherait là-bas, ou que si cela fonctionnait ici, Ah-Ta-Rah serait hors course, parce qu’Ah-Ta-Rah est en train de traverser ses propres expériences en matière de liberté, comme beaucoup d’autres endroits dans le monde. Mais revenons à notre sujet.

Les humains veulent-ils vraiment la liberté ? Je pense qu’ils sont dans une grande confusion à ce sujet. Je pense, oui, qu’il y a des personnes qui comprennent assurément ce que cela veut dire, et pratiquement, vous ne pouvez plus revenir en arrière à présent. Une fois que vous commencez à prendre le véritable chemin de la liberté, vous ne pouvez pratiquement plus revenir en arrière, parce que vous réalisez au fond de vous, dans votre cœur, que vous êtes une véritable âme souveraine et un être souverain.

Prenons une bonne et profonde respiration là-dessus.

La liberté. C’est l’une de ces choses de Conscience Au-Dessus qui sont en train de se mettre en place actuellement sur la planète. Vous ne lisez rien à ce sujet dans vos nouvelles. Vous ne lisez rien même à ce sujet dans les revues ésotériques, mais c’est l’un des principaux facteurs, des facteurs les plus importants qui sont en train de façonner et de transformer, faire évoluer la planète actuellement. Quand vous faites briller votre lumière, c’est un peu la chose du tableau d’ensemble sur laquelle elle se diffuse – la liberté. La liberté.

Au passage, j’ajouterais juste quelques éléments encore plus intéressants au sujet de l’Amérique et, encore une fois, vous pouvez l’aimer ou la détester, cela n’a pas d’importance, mais c’est une expérience formidable qui s’y déroule. Les gens sont venus ici de partout dans le monde en quête de liberté. Maintenant, à l’origine, on disait qu’il s’agissait d’une quête de liberté religieuse, d’être libre de croire en ce que vous voulez, mais c’était vraiment plus que cela. Il s’agissait d’être libre par rapport au système royal, aux rois et aux reines. Il s’agissait d’être libre de créer ses propres lois en harmonie avec l’homme et la nature. C’était cela, la véritable force motrice de ceux qui sont venus ici pour la première fois. Et puis la religion, bien sûr.

Les gens sont venus ici de toute l’Europe et d’Afrique. Maintenant, c’est intéressant parce qu’il y a énormément de troubles aux États-Unis en ce moment sur la question raciale avec les Noirs, les Noirs et les Blancs et toutes les autres races. Mais il est intéressant de noter que les Africains qui sont venus ici, y sont venus en endossant le rôle d’esclaves, mais en vérité, ils sont venus ici afin de comprendre la liberté. C’est cela la Conscience Au-Dessus associée à cela. C’est cela, la vue d’ensemble, la vision globale.

Aucune de ces choses ne s’est vraiment produite par erreur. Vous pouvez blâmer les Hollandais ou les Anglais ou qui que ce soit pour l’esclavage. Mais les Africains qui sont venus ici au début étaient vraiment en quête de leur propre liberté, même si c’était sous le couvert de l’esclavage. Quelle meilleure façon de vous aider à comprendre la liberté de votre âme que d’être asservi par un autre ? Quelle meilleure façon de vraiment comprendre la liberté absolue ? Et c’est ce qu’ils ont fait. Vous pourriez dire : « Eh bien, non. Ils ont été maltraités. Ils ont été emmenés ici. » Ils ont été vendus par d’autres tribus mais, en vérité, c’était avec l’accord de leur âme qu’ils sont venus ici en Amérique, ce lieu de liberté, avec pour objectif d’être finalement libérés de l’esclavage.

Mais, vous savez, il est aussi intéressant d’observer la dynamique qui est en train de se dérouler actuellement sur la scène de la vie. J’ai fait une étude récemment et j’ai constaté qu’environ 53 % de tous les – comment les appelle-t-on déjà ? – Black Lives Matter, les anti-racialistes, les activistes Noirs; Je suis allé faire quelques recherches dans la magnifique et grande bibliothèque que nous avons dans le ciel et j’ai constaté que 53% d’entre eux avaient été propriétaires d’esclaves dans leur dernière vie (quelques « Hm » et des rires). C’est cela la Conscience Au-Dessus. C’est cela, la situation vue dans son ensemble. Et donc, ils viennent ici avec leur culpabilité d’avoir été propriétaires d’esclaves, et que font-ils? Ils deviennent activistes, ce qui est bien. C’est bien pour eux. Cela permet de faire bouger les choses ici pour, au bout du compte, accéder à une véritable liberté pour tout le monde.

Vous pouvez vraiment faire des recherches sur tous les mouvements de races et de cultures qui sont venus ici, et les religions aussi, et réaliser qu’ils sont en vérité venus ici pour commencer ce chemin vers leur liberté. Les Asiatiques qui sont venus lors de la construction des chemins de fer en Amérique dans les années 1800, ce n’était pas seulement pour construire des chemins de fer. C’était pour quitter ces dynasties dont ils faisaient partie, ces pays qui étaient si étroitement tenus par les dirigeants ou les membres des familles royales. Ils sont venus ici pour la liberté.

Très souvent dans les nouvelles ou dans les débats qui opposent les humains, les discours se concentrent sur le petit humain – pas petit – ils se concentrent sur certains des problèmes humains les plus limités sans regarder la Conscience Au-Dessus de ce qui se passe sur la planète, pourquoi il s’y produit certaines choses. Ensuite, ils pointent du doigt et ils blâment et ils prennent fait et cause. Le travail que vous faites ici, ce travail du « C’est pour ça que je suis là », a rapport à cette Conscience Au-Dessus, la compréhension qu’il y a une vue d’ensemble, une image plus grande à tout ce qui se passe. Et en fin de compte, vous réalisez qu’il n’y a pas vraiment d’abus. Il n’y a pas vraiment d’abus qui aient lieu. Et les gens vont débattre avec moi à ce sujet, mais il n’y en a pas. Je soutiens qu’il y a simplement une meilleure façon de faire les choses, que les gens auraient pu faire les choses d’une autre façon, bien meilleure. Avez-vous vraiment besoin d’aller en Amérique en tant qu’esclaves pour découvrir la liberté ? C’est beaucoup de souffrance – la souffrance de vos ancêtres qui sont venus ici, qui ont travaillé dans les champs de coton, qui ont été soumis à la cruauté – mais peut-être y avait-il une meilleure façon de découvrir la liberté.

 

La Vue d’ensemble

Parlons un peu de la Conscience Au-Dessus, c’est-à-dire de la vision globale, de la situation dans son ensemble. Qu’est-il vraiment en train de se passer sur la planète, quels en sont les grands mouvements ? Il y a celui-ci – et c’est pour cela que vous êtes là. C’est ce sur quoi vous faites briller votre lumière. Vous ne la faites pas briller sur la politique et pas vraiment sur l’économie.

Oh, l’économie. L’économie est, encore une fois, l’un des reflets de ce qui est en train de se passer sur la planète. Et il y a une chose que je vous dirai, à chacun d’entre vous : ne vous inquiétez pas si l’économie s’effondre. C’est possible; ou peut-être pas (rires). Ne vous inquiétez pas à ce sujet, parce que cela ne devrait pas vous affecter. Non, ça ne devrait pas. Cela ne devrait pas vous affecter. Vous devriez être dans une conscience plus élevée. Vous ne devriez pas vous retrouver dans le caniveau ou dans le ruisseau avec les autres humains qui s’inquiètent chaque jour de savoir si l’économie va s’effondrer. Eh, elle s’est déjà effondrée, elle s’effondrera à nouveau, et puis à chaque fois, elle évolue. Elle évolue à un tout autre niveau. Elle est en train de se transformer, certes, et il le fallait. La dynamique de toutes ces choses qui sont en train de se produire sur la planète – l’économie, qui, en grande partie, est en trainde se transformer à cause de quoi? Du COVID. Il a provoqué une énorme transformation de l’économie.

Toutes ces choses sont à l’oeuvre, et si vous regardez la Conscience Au-Dessus, le tableau d’ensemble, vous réalisez : « Ahh ! Il fallait qu’il en soit ainsi. Il fallait que ce soit le cas. » Cela devait se produire, avec tous ces mouvements. Et je sais qu’il y en a qui, oh, ils ont peur des changements ou de ce qui pourrait arriver ou de ceci ou de cela, mais élevez-vous au-dessus, prenez de la hauteur et rendez-vous compte que ces mouvements – tout comme la Renaissance a fait bouger des choses qui se sont produites 100, 200 ans plus tard – le mouvement actuellement qui est en train de se mettre en place sur la planète est dû à la conscience qui est en train de le faire bouger, et cela va affecter la technologie, l’économie, les soins de santé, à peu près toute chose dans votre vie.

Parlons un peu de l’autre grande image, de la Conscience Au-Dessus, la conscience plus élevée. Une chose dont je vous ai déjà parlé, c’est cette ancienne conscience de la souffrance. J’en ai vraiment marre, plus que marre de cette souffrance sur la planète, mais pourtant les humains l’acceptent tout simplement. C’est leur façon d’être. « Eh bien, tu dois souffrir. Tu es humain, donc tu souffres. » Combien parmi vous ont des parents qui leur ont dit : « Eh bien, c’est comme ça, c’est ainsi que sont les choses. Tu dois souffrir, jusqu’à ce que tu ailles au paradis », si vous avez de la chance. Et alors, tout sera glorieux. Et vous réagissez du style, « Pourquoi attendre, maman?! » (Adamus rit) « Je ne veux pas attendre d’aller au paradis. Je le veux tout de suite! » Mais les humains ont été engrammés dans ce genre de conscience de fosse septique qui leur dit qu’ils doivent souffrir, et ce n’est pas vrai.

Le travail même que nous sommes en train de faire avec la lumière est en train de transformer la souffrance en joie, mais il y a beaucoup de gens qui s’y accrochent encore. Ils y pensent, ils y croient, et ils continuent d’agir en se disant : « Nous devons souffrir pour nous élever. Nous devons souffrir tout au long de notre vie », et ce n’est pas vrai. Changeons cela. Je veux dire, dans la Conscience Au-Dessus, en sachant quelle est la grande histoire, faisons briller notre lumière partout, mais n’essayons pas de faire changer les gens, disons-leur simplement: « Vous n’avez plus à souffrir! Pas du tout. Vous n’avez pas à souffrir, en particulier du fait des religions. Vous n’avez pas à souffrir. Dieu ne veut pas que vous souffriez. » Mais c’est l’une de ces grosses choses au-dessus de vous.

L’économie en est une autre, et je ne veux pas parler de l’économie, mais du mouvement des énergies financières. Et les gens sont tellement sûrs que certains ont tout, d’autres non; qu’ils n’auront jamais assez; qu’il y a un complot; que  cela vient des banques ou de la Réserve fédérale. Ta gueule! (quelques rires) C’est juste le mouvement de l’énergie. C’est tout ce que c’est, et chacun est susceptible et a le droit d’avoir tout ce qu’il veut. C’est cela, la Conscience Au-Dessus. Chacun peut avoir ce qu’il veut, mais ne peut pas blâmer les autres ou en faire le reproche aux autres quand ce n’est pas le cas. Vous ne pouvez vous en faire le reproche qu’à vous-même. Vous pouvez seulement vous dire : « Je ne suis pas en train de permettre l’abondance dans ma vie. »

Donc, ne nous impliquons pas dans ce que les banques font ou ne font pas et le taux de la Réserve fédérale ou toute autre chose. La Conscience Au-Dessus a rapport au « Changeons l’ancienne conscience du manque et de la limitation et du fait que seul un petit groupe a tout et arrêtons d’attaquer ceux qui ont de l’argent. » Ils ont été assez intelligents pour en avoir (plus de rires). Vous savez, je veux dire, cela ne fait que perpétuer toute cette idée que : « Oh, c’est vraiment mal d’avoir de l’argent. » Non, pas du tout. C’est juste de l’énergie. C’est cela la Conscience Au-Dessus des choses que nous sommes en train de transformer, de faire évoluer.

L’autre chose, c’est la biologie, le corps humain. Les gens acceptent simplement le fait que : « Eh bien, vous savez, je suis un humain. C’est ce que je suis ». Ils s’identifient à leur corps. Ils s’identifient à une réalité basée sur le carbone. C’est une connerie totale! Je veux dire, dans la Conscience Au-Dessus, ce n’est pas le cas. Le corps est juste l’endroit où les êtres angéliques ont atterri ou dans lequel ils ont intégré, incorporé leur conscience, et maintenant les gens ont un corps physique et ils pensent que leur corps physique, c’est eux. Ce n’est pas le cas.

Comme je le dis dans notre mise à jour de ProGnost, qui sortira bientôt – à votre disposition chez vous le 14 juillet (Adamus rit) – la Conscience Au-Dessus, c’est que cela n’a aucune importance que vous ayez un corps. Vous pouvez incorporer votre conscience, votre être, dans toute chose et n’importe quoi. En fin de compte, votre être est fait de lumière. Il n’est pas fait d’une biologie. Il n’est pas fait de carbone. Vous ne disparaissez pas quand vous mourez. Mourir est parfois un tel putain de soulagement (Adamus rit), mais les gens ont peur de la mort. Et donc, ils s’empiffrent encore plus dans leur corps et leur corps leur fait mal, et…, non, la Conscience Au-Dessus, c’est que vous pouvez vous incorporer dans tout ce que vous voulez, que ce soit un corps de carbone, votre biologie; que ce soit dans une technologie, ce dont je parle dans la prochaine mise à jour de ProGnost qui sortira le 14 juillet. Cela n’a aucune importance.

Vous pouvez vous incarner, vous incorporer dans un autre être, par exemple un oiseau, si vous le souhaitez. Vous pouvez vous incarner dans une autre réalité, ce qui n’est même pas explicable en termes humains. Mais les humains sont tellement focalisés sur leur corps, « Ça, c’est moi. » Du style : « Dieu m’a donné ce corps. Dieu m’a fourré là-dedans. » Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non. Oui, vous l’avez pris à votre compte, vous l’avez endossé, mais vous pouvez aussi en sortir quand vous le souhaitez ou avoir une Conscience Au-Dessus quant à votre compatibilité avec ce système de corps carboné qui est le vôtre. Ce n’est pas vraiment le vôtre de toute façon, mais vous l’habitez, et donc vous pouvez y amener un peu d’harmonie avec votre corps de lumière.

Tout cela, ce sont les choses qui ont trait à la vue d’ensemble, la vue du dessus. Nous ne sommes pas là pour nous concentrer sur des choses spécifiques comme le nettoyage des océans. C’est génial, et au bout du compte, la conscience que vous rayonnez finira par inspirer d’autres personnes à le faire. Et c’est nécessaire, d’avoir cette responsabilité pour l’environnement, mais nous ne sommes pas là pour essayer de porter le fer contre ceux qui polluent. D’autres joueront ce rôle. Vous n’avez pas besoin de le faire. Vous êtes là pour la Conscience Au-Dessus, avoir la vue d’ensemble des choses qui sont en train de se passer sur la planète. Je vous le rappelerai de temps en temps, parce qu’il est très facile de se laisser prendre par les petites choses. Il est facile de se laisser prendre au jeu de la politique sur la planète, de l’économie ou des emplois ou quoi que ce soit du genre. Ce n’est pas notre boulot. Nous sommes là pour la Conscience Au-Dessus, au-dessus de la tête de la plupart des gens.

Prenons une bonne et profonde respiration là-dessus et ressentons cela un instant. Le véritable tableau d’ensemble, la vision globale. Il n’y a pas de causes à défendre là-dedans. Il n’y a pas de batailles là-dedans. Il s’agit simplement de comprendre la dynamique de ce qui est en train de se passer, les tendances énergétiques sur la planète, et puis de laisser la lumière briller sur tout cela.

Là où nous allons dans notre prochaine série, dans Alt, il y a de nombreuses réalités de potentiels alternatifs qui peuvent prendre place simultanément ici sur cette planète ou dans d’autres endroits. Et c’est pourquoi je vous dis qu’il n’y a pas de place actuellement pour votre manque de liberté. Il n’y a pas de place pour traîner de vieux problèmes, blâmer les autres. Il n’y a pas de place pour les « pauvre de moi ». Il n’y a pas de place pour les victimes ou les agresseurs là-dedans. Nous sommes là pour faire un travail de conscience propre, pur et sacré tout en restant ici dans le corps physique.

Alors prenons une bonne respiration profonde.

 

Vos droits

Maintenant, en parlant de liberté et d’indépendance, vous allez rester ici sur la planète, je suppose, en tant que Maîtres incarnés. Parfois, je me demande, vous savez…, ce serait beaucoup plus facile de venir de l’autre côté. Ce serait vraiment le cas. Je veux dire, vous n’avez pas à traîner votre corps avec vous. Nous n’avons pas d’argent là-bas. Nous n’avons pas d’avocats. Il n’y a pas d’ex-épouses. Eh bien, oui, il y en a, mais ... (rires) J’ai quelques ex-copines qui me tournent autour (plus de rires), mais parfois je me demande. Du style, doux jésus, vous les gars, soit vous êtes vraiment têtus, soit vous êtes vraiment incroyablement sacrés. Je ne sais pas lequel des deux. Mais, « Non, nous allons rester sur cette planète. Nous allons faire en sorte que cela fonctionne. » Et c’est du style : « Vous pouvez laisser tomber n’importe quand. Allez venez. Nous organisons une fête ce soir. Oui. FM chantera ce soir, entre autres » (le public dit « oh ! « ) Oui. Ouais, eh bien, je ne serai peut-être pas là pour voir ça (Adamus rit).

Quoi qu’il en soit, plus nous avançons, plus il est impératif d’avoir certains droits dans votre vie, et je veux les écrire au tableau aujourd’hui, avec l’aide de l’équipe dans le fond, et avec Linda au micro. Et nous allons élaborer cela, l’affiner pour en faire un véritable document bien concret, comme la Déclaration des Droits ou la Déclaration d’Indépendance, et cela servira de guide aux Maîtres, aux Maîtres incarnés sur la planète. Il s’agit de vos droits. Les choses auxquelles vous avez droit. Des choses que vous acceptez comme vraies, comme votre droit à rester ici. Encore une fois, nous en ferons un beau document. Je le signerai et l’enverrai à qui veut.

Et donc, nous appellerons cela la « Reconnaissance des Droits du Maître Incarné » ou juste « les Droits du Maître Incarné ». Et je vais lancer le premier item là, et après je veux avoir vos inputs. Nous mettrons cela par écrit. Nous le mettrons en page et affinerons tout cela, et ensuite nous le transformerons en un magnifique document.

Vous avez donc le droit, en tant que Maîtres, à l’abondance. Point. Il n’y a pas de ‘si’, ‘et’ ou ‘mais’. Il n’y a pas de : « Eh bien, je ne sais pas comment gagner de l’argent. » Ferme ta putain de gueule! (Linda suffoque et quelques rires) Je veux ça aussi dans le document, au passage (Adamus rit). Je suis désolé, mais les jurons ne me dérangent pas. Ils embêtent juste ...

LINDA: Pourriez-vous en parler à Geoff?

ADAMUS: Cela ne le dérange pas. Il est hors circuit. Il est ailleurs (rires). Mais parfois, je me dois d’utiliser des mots comme celui-là pour vous dire « Dépassez cela ! » Vous avez droit à l’abondance. Point. Il n’y a pas d’alternative à ce sujet. Et alors le mental humain se jette là-dessus: « Eh bien, je ne sais pas comment faire, et je n’ai jamais eu d’argent. Et c’est le gouvernement qui en a, et c’est la conspiration qui en a, et la Réserve fédérale et les extraterrestres… » (plus de rires)

Non! Je veux que vous reconnaissiez dès à présent que vous y avez droit. Et dès l’instant où vous reconnaissez cela, que vous l’acceptez comme vrai – sans mettre de si, et ou mais – dès l’instant où vous reconnaissez « C’est mon droit d’être abondant sur la planète en tant que Maître incarné », alors toutes les énergies se transforment. Mais si vous y mettez beaucoup de « mais », et que vous vous dites : « Mais je ne sais pas quoi faire. Peut-être que le Crimson Circle me donnera de l’argent », et là c’est comme si vous mettiez des « mais » et alors les énergies resteront toujours folles, farfelues.

LINDA: Voulez-vous dire « mais » écrit en anglais b-u-t ou b-u-t-t? (signifiant cul)

ADAMUS: Et, les deux. Oui (Linda rit). Eh bien, non, les humains mettent des « mais » partout et tout le temps, et, vous savez, vous partez bien, vous commencez bien en vous disant: « J’ai le droit à l’abondance. » Point. « Maissssss ... » et alors, toute l’énergie est à nouveau faussée. Par conséquent, « J’ai le droit à l’abondance », point final, et ce sera le cas. C’est vrai pour chacun d’entre vous. Alors mettons cela comme l’un de vos droits, le droit à l’abondance. Bien.

LINDA: D’accord.

ADAMUS: D’accord. Maintenant, Linda va prendre le micro et vous demander ce qu’il y aurait d’autre sur la liste là. Votre droit en tant que Maître incarné sur la planète.

NEH (une femme): Ça n’a pas marché. Je vous ai fait un clin d’œil en pensant : « Eh bien, si vous comprenez l’allusion, vous m’éviterez. » Mais ça n’a pas marché.

ADAMUS: Qu’y a-t-il d’autre à mettre sur la liste au tableau là?

NGOC : La possibilité d’aller où je veux en un clin d’oeil.

ADAMUS: Répétez cela encore une fois?

NGOC : Non. En un clin d’oeil.

ADAMUS: Et pourrions-nous avoir le micro? Merci.

NGOC : (parlant plus près du micro) Bonjour.

ADAMUS : Bonjour.

NGOC : Bonjour. Eh bien, j’aimerais avoir la liberté de me téléporter où je veux.

ADAMUS: Est-ce important?

NGOC : Oui.

ADAMUS: Je peux vous montrer comment le faire, mais vous n’emmènerez pas votre corps physique avec vous.

NGOC : Ce n’est pas grave.

ADAMUS: Vous vous identifiez à votre corps et ne le faites pas. C’est un manque de liberté. Ne le faites pas. Réalisez que c’est le vôtre et qu’il est là temporairement, mais si vous pensez que vous devez emmener votre corps pour aller dans une autre réalité, vous vous identifiez trop à quelque chose qui n’est pas vraiment vous. Donc, je ne vais pas mettre cela au tableau. Je ne vais pas le reconnaître, l’accepter comme vrai, parce que c’est une connerie totale (Linda suffoque doucement).

Vous voulez aller n’importe où, vous pouvez le faire à tout moment. Vous pouvez traverser les réalités à tout moment, mais n’espérez pas emmener votre biologie avec vous. Et si c’est le cas, vous devez revenir à Adamus 101 (Adamus pour les Nuls) et comprendre que vous n’êtes pas votre corps. Vous êtes une âme. Vous mettez temporairement votre conscience dans une structure atomique carbonée, mais vous n’allez pas la transporter partout dans ce putain d’univers avec toutes ses douleurs et son potentiel de cancer et son vieillissement et le fait de faire pipi dans votre pantalon et tout le reste (quelques rires). Pourquoi voulez-vous emporter cela avec vous?! Et je vous fais passer un sale quart d’heure là, mais je veux que ce soit très clair. Vous pouvez vous transporter où vous voulez. Vous pouvez aller dans les autres royaumes. C’est ce que fait un Merlin. Un Merlin peut aller dans les royaumes, mais vous n’êtes pas un être physique au fond de vous, dans votre nature même.

Maintenant, vous voulez voyager? (elle lui envoie un baiser) Merci. Vous voulez voyager? Nous pouvons le faire. C’est très facile. Nous en parlons dans la prochaine mise à jour de ProGnost 2022 qui sortira le 14 juillet (quelques rires), mais nous le faisons sans avoir à emmener cette chose physique. D’accord? C’est très facile à faire. Nous le ferons, à Keahak, en particulier. Vous pouvez aller dans les autres royaumes.

L’autre chose intéressante, c’est que vous n’emmènerez pas non plus votre cerveau avec vous, Dieu merci (quelqu’un dit « oh! »). Oh! Mais, mais – il y a ce « mais » – vous allez vouloir le faire. « Non, je dois prendre mon cerveau et mon corps avec moi. » Non. Ce sont tous deux d’affreux demi-frères. Vous savez, vous ne devez pas les emmener avec vous à une fête (quelques rires), ils gâcheraient tout. Mais oui, nous ferons ça (voyager dans les autres royaumes). C’est seulement une question de conscience et d’amener notre conscience là où vous voulez. C’est cela la vraie liberté. Bien. Merci. Nous n’allons pas mettre cela au tableau. Nous ferons semblant que cela ne s’est jamais produit.

D’accord. Et quel est le suivant ? Dans votre Déclaration des Droits en tant que Maître incarné.

JIM: Pourquoi être un humain si vous – pour être un humain, vous devez interagir avec d’autres humains. J’ai donc le droit de passer du temps avec des humains qui peuvent me rencontrer là où je suis.

ADAMUS : Cela n’arrivera pas (rires). Celui-ci sera plus difficile que je l’aurais pensé! (plus de rires) Je pensais que nous n’aurions pas de mal avec celui-ci. Ce que je ressens dans l’énergie, c’est que vous voulez que tout le monde soit comme vous, et cela n’arrivera pas.

JIM : Non, non, non, non. Non.

ADAMUS: Oui, oui.

JIM : Non, mais j’en veux quelques-uns.

ADAMUS: Quelques-uns.

JIM : Quelques-uns, vous savez.

ADAMUS: Cela n’arrivera pas, pour la plupart. Pourquoi cela ne s’est-il pas produit jusqu’à présent?

JIM : Oh, je ne le demandais pas.

ADAMUS: Vous ne le demandiez pas, mais vous le demandez à présent.

JIM : Oui.

ADAMUS: D’accord. Alors, à quoi cela ressemble-t-il? Vous voulez épouser quelqu’un?

JIM : Non, non, non.

ADAMUS: Non.

JIM : Non. Non (Adamus rit). Je veux une harmonie énergétique, une co-résonance, euh...

ADAMUS: Des amis?

JIM : Pas nécessairement.

ADAMUS: Non.

JIM: Mais je veux rencontrer d’autres personnes et avoir le sentiment que nous nous comprenons. Que nous nous voyons dans notre totalité...

ADAMUS : Bien sûr. Bonne chance là-dessus (Adamus rit).

JIM:... et en appréciation les uns des autres.

ADAMUS: Cauldre m’accuse d’être particulièrement brutal aujourd’hui. Duh!  (Adamus continue de rire) Oui.

JIM : Je ne pense vraiment pas que ce soit impossible. Je pense que...

ADAMUS: Pourquoi le voulez-vous d’abord?

JIM : Hm. Parce que c’est amusant. Ce n’est pas à cause de la solitude.

ADAMUS: Eh bien, peut-être pas parce que vous vous sentez seul. D’accord. Oui. Venez ici de temps en temps. Venez aux Shouds et puis repartez. Je veux dire, retournez ... (ils rient)

JIM : Me voici ! (il rit)

ADAMUS: Je comprends ce que vous dites, mais je veux quelques éclaircissements. Est-ce vraiment important? Venez vous promener dans les autres royaumes.

JIM : Non, non, non. Pourquoi s’engager dans l’expérience humaine (si ce n’est pas pour rencontrer d’autres humains) ?

ADAMUS: Un génie vous permet de réaliser trois souhaits – vous savez, vous frottez la lanterne, le génie vous offre la possibilité de réaliser trois souhaits – et le premier, ce serait pour vous : « Je veux être entouré d’autres humains »?

JIM : Non, non, non. Non!

ADAMUS: J’exagère là ...

JIM : Non !

ADAMUS: ... mais c’est du style, doux jésus! J’aurais choisi autre chose à écrire au tableau. Je veux dire, je ne veux pas vous donner toutes les idées là, mais ... D’accord, continuons aveç ça. Donc, vous voulez être entouré de gens ayant des affinités avec vous.

JIM : Quelque chose comme ça, oui.

ADAMUS: D’accord.

JIM: Ou je veux pouvoir puiser dans cette expérience de temps en temps.

ADAMUS: D’accord. Vous pouvez venir ici à tout moment. Vous pouvez venir à certaines réunions, aux ateliers.

JIM : Oui.

ADAMUS: Oui, et donc vous avez déjà cela, en quelque sorte.

JIM : Oui.

ADAMUS: Mais est-ce que cela en vaut la peine de l’écrire sur notre liste au tableau? Nous allons l’y mettre, parce que je vous honore et vous respecte. Nous allons le mettre là, mais je me demande juste...

JIM : Je pense qu’il y a un aspect leadership là-dedans. Vous savez, le fait de faire cette expérience ici.

ADAMUS : Oui.

JIM: Et de pouvoir se promener dans le monde et partager l’essence de tout cela avec d’autres personnes. Je pense qu’il y a un as- ...

ADAMUS: Comment le formuleriez-vous pour l’écrire au tableau? « J’ai le droit d’être entouré d’autres personnes? » (Jim soupire) Je lui donne du fil à retordre. Oui. « J’ai le droit de » quoi ?

JIM : C’est quelque chose comme « être rencontré... » (un homme dit « Le droit à avoir de bonnes relations ») Non, non. C’est plus que cela. C’est plus que cela.

ADAMUS: Quelque chose comme pouvoir passer des moments de qualité avec des pairs?

JIM : Oui, mais plus que cela encore.

ADAMUS: Plus que cela.

JIM : Oui, plus que cela. Oui. Oui, parce que c’est une co-création. C’est voir d’autres Maîtres.

ADAMUS: D’accord. Donnez-moi, par exemple, huit mots ou moins à mettre au tableau là.

JIM: Oof! Aidez-moi (il rit).

ADAMUS: Le droit à...? (quelqu’un dit « Péter » et beaucoup de rires et quelques applaudissements)

JIM : Non, non. Non, c’est plus que cela. C’est plus.

ADAMUS: Celui-ci, je le mettrais sur le tableau! (plus de rires)

SHAUMBRA 1 (homme) : Une co-création avec d’autres Maîtres. Quel est le point de leadership là-dedans pour vous?

JIM: Mon expérience, c’est que quand je regarde une autre personne et que je la regarde au-delà de l’humain qu’elle est et que je vois le potentiel de sa beauté, de sa maîtrise, cela lui saute aux yeux. Alors elle se reconnait. Alors elle se reconnait.

SHAUMBRA 1: Cool. Le droit d’être honoré, reconnu pour qui je suis par les autres ?

JIM : Très bien, oui. Oui. Et il y a une co-résonance à faire cela ensemble.

ADAMUS: Oui.

JIM : Oui.

ADAMUS: Ça c’était une bonne façon de le dire.

JIM : Pouvez-vous répéter cela, s’il vous plaît ? (quelques rires)

SHAUMBRA 1: Le droit d’être honoré, reconnu pour qui je suis par les autres.

JIM : Alors...

ADAMUS: Que diriez-vous du droit de me laisser briller ma lumière ou de me laisser voir par ceux qui sont prêts à me voir (quelqu’un dit « Ooh! « ). Oui.

JIM : Oui.

SHAUMBRA 1 : C’est cela qui fait partie du leadership.

ADAMUS: Oui. Oui. En d’autres termes, c’est parfaitement sûr d’être qui vous êtes, et c’est vraiment cela que cela traduit. Bien. C’est parfaitement sûr d’être qui vous êtes. Il y en aura qui vous reconnaîtront, Jim, et d’autres qui ne vous reconnaîtront pas. Et ceux qui ne le feront pas, pas grave. Mais ceux qui le feront, vous aurez cette résonance dont vous parliez.

LINDA: Donc, « sûr d’être qui vous êtes », c’est cela qu’on écrit au tableau?

ADAMUS: Oui. J’aime ça.

LINDA: D’accord.

ADAMUS: Et nous ferons quelques aménagements supplémentaires, mais cela a été une bonne discussion. On est allé dans la véritable Conscience Au-Dessus de la chose, la vue d’ensemble. Absolument, le droit de sortir enfin de sa cachette et d’être vous et de laisser cette lumière briller sans avoir à être protégé. Il y aura des gens qui vous reconnaîtront pour ce que vous êtes et beaucoup qui ne le feront pas. Et pour ceux qui ne le feront pas, ce sera très bien. Mais pour en revenir au point de Jim, ceux qui le feront vous reconnaîtront vraiment, et ce sera une connexion d’âme à âme. Bien.

LINDA: D’accord. Un autre?

ADAMUS: Oui.

YULIA : Avoir un corps physique en bonne santé.

ADAMUS: Avoir un corps physique en bonne santé.

YULIA : Sans souffrance.

ADAMUS: Oui. Est-ce que cela a vraiment sa place au tableau?

YULIA : Oui.

ADAMUS: Absolument, tout à fait. Cela aurait probablement dû être le numéro deux sur notre liste, mais absolument. C’est un énorme problème. Le droit à une biologie équilibrée.

YULIA : Oui.

ADAMUS: Un corps équilibré avec votre âme, équilibré avec votre conscience, et qui s’équilibre de lui-même tout le temps, en d’autres termes, constamment; un corps carboné qui a toutes les capacités de se rééquilibrer constamment, de se régénérer. Mais il y a beaucoup de facteurs qui empêchent cela de se produire actuellement. L’un est cette croyance de conscience limitée que les gens ont…, qu’ils n’ont aucun contrôle sur leur corps. Ça, c’est une conscience très limitée. Nous allons aller au-delà, dans la conscience au-dessus, en nous disant: « Non. Le corps va… – j’ai le droit à un corps qui réponde à ma conscience. Pas à mes pensées, pas à mes petites affirmations, mais : 'Hé, corps. Je suis la lumière’. » Dites-vous juste cela à vous-même. Je veux dire, vous n’avez pas besoin de vous le dire à haute voix: « Je suis un corps de lumière. Je suis lumière. » Et votre corps brusquement réagira ainsi : « Woo! Oh!  J’aurais aimé entendre cela de ta part il y a 50 ans, nous aurions fait les choses différemment. Mais, non, tu étais tellement occupé à prendre tous tes trucs bizarres, et tu étais tellement occupé à me haïr et tu es tellement occupé à forniquer et à te sentir coupable. Qu’est-ce que j’étais censé faire? J’allais tomber en panne, tu sais. » Vous avez donc droit à une biologie équilibrée.

YULIA : Je me souviens...

ADAMUS: Micro, s’il vous plaît. Parlez bien dedans.

YULIA: Je me souviens qu’il y a quelques années, vous aviez dit que le temple de la régénération était prêt pour nous.

ADAMUS : Absolument.

YULIA : Donc, nous attendons tous. Il est où?

ADAMUS: Où est-il?! (rires)

YULIA: Où est-il?!

ADAMUS: Où est-il?!

YULIA: Adamus.

ADAMUS: Qui l’a dit le premier? (plus de rires) Il est putain ...

YULIA : Où est-il ?

ADAMUS: Il est là !! Il est là. Où est-il? Vous êtes assise dessus (rires alors qu’elle regarde sa chaise). Il est là ! Vous devez l’utiliser putain! Pourquoi est-ce si difficile à comprendre?! Tout ce dont vous avez besoin est là – votre abondance, votre santé – « Je ne la vois pas. Où est-elle? Qui l’a? Quelqu’un. Combien dois-je payer pour l’avoir? » Elle est juste là! « Je suis lumière. Corps, régénère-toi. » Prenez-en un peu le contrôle! Faites quelque chose. Permettez que cela se produise. Et je ne suis pas...

LINDA: Avez-vous besoin d’un verre de vin? (quelques rires)

ADAMUS: J’ai besoin d’un verre de whisky! J’ai besoin d’une bouteille de Jack Daniels! (plus de rires) C’est ça ma relation de compatibilité. Jack Daniels, c’est mon pair!

YULIA : Vous pouvez faire plus (elle rit).

ADAMUS: Elle (votre abondance, votre santé) est totalement là. Qu’est-ce que vous attendez ? Et si vous ne l’utilisez pas, et si vous vous dites: « Rien ne s’est passé », fermez votre putain de gueule et faites en sorte que cela se produise! Non, je suis sérieux. Je ... oh! Je retourne parfois au Club des Maitres Ascensionnés et j’essaie d’avoir le visage souriant, « Oh, tout est merveilleux avec les Shaumbra. Tout se passe très bien ». (quelques rires). Mais je me dis en moi-même : « Oh, mon dieu ! Ils ont tous les outils du monde et ils se demandent 'Où est-ce?! Qui l’a?!' » C’est pareil que d’utiliser le temple de régénération. Appelez cela comme vous voulez.

LINDA: Ne lui jetez pas le micro à la figure. Ne le faites pas (plus de rires).

ADAMUS: Appelez cela comme vous voulez. Vous devez l’utiliser. Et si votre corps ne répond pas, allez dans la Conscience Au-Dessus, « Hé, je suis la lumière. Je suis un Maître. J’ai besoin de ce corps tant que je reste ici sur la planète. Je me fiche de ce que dit la science, et je me fiche que les gens disent que les miracles ne sont pas possibles. Corps, ressaisis-toi putain (dit de manière vulgaire). » J’utilise des mots durs. Désolé, qui que ce soit que j’aie offensé.

YULIA : J’ai dit cela à mon corps il y a quelques jours, un matin...

ADAMUS: Vous savez, mais, n’est-ce pas, oui, vous le faites et, oui, vous ne le faites pas (quelqu’un crie « Oh, oui! ») Ahh! Voilà, enfin ! (Kerri apporte une bouteille d’alcool sous les acclamations et les applaudissements). Oh! Non, passez-leur d’abord (plus de rires). Donnez-moi un verre. Donnez-moi un verre, puis faites circuler la bouteille.

KERRI: D’accord, c’est – qu’est-ce que vous vouliez, du whisky ou quelque chose comme ça?

ADAMUS: Qu’est-ce que c’est?

KERRI: Je ne sais même pas.

ADAMUS: Oh, elle ne sait pas ce que c’est! « Ça pourrait être du poison, Saint-Germain, mais à part ça ... »

TAD: (en regardant la bouteille) C’est de la tequila! (plus de rires)

ADAMUS: D’accord. Nous allons avoir besoin de verres en plastique (Kerri lui en verse un verre) – c’est assez bien pour moi – des verres en plastique ou quelque chose comme ça.

KERRI: Je reviendrai.

ADAMUS: Nous allons porter un toast à la fin de ceci, quand nous en aurons fini avec notre charte des droits de l’homme.

Maintenant, vous savez, nous tournons en rond et tout se résume à ceci: tout ce dont vous avez besoin est là. Peu m’importe si vous l’appelez Temple de Régénération, peu importe comment vous l’appelez, vos grottes de guérison, peu importe. Tout ça, ce sont des distractions. Vous avez tout en vous pour que votre corps se régénère, pour que vous ayez l’abondance sans y travailler, sans avoir à souffrir pour cela. Toutes ces choses sont là. Vous devez simplement le permettre. Le laisser advenir. Et vous dites : « Mais c’est ce que je fais. » Non, vous ne le faites pas. Vous ne le permettez toujours pas. Vous trouvez toujours des excuses, vous le remettez à plus tard et vous attendez une intervention de moi, de quelqu’un, de quelque chose d’autre. Peu importe.

YULIA: Est-ce très difficile de se régénérer?

ADAMUS: Non. Non, pas du tout. C’est un permettre quantique, je crois, il vous suffit de dire: « D’accord. Je suis la lumière, et je reste ici sur la planète. J’ai beaucoup de travail à faire et, corps, équilibre-toi. »

Maintenant, vous pourriez tomber vraiment malade pendant une semaine ou deux. Vous pourriez être cloué au lit. Vous pourriez devenir un peu dérangé du ciboulot. Cela fait partie du système de nettoyage. Cela fait partie du nettoyage émotionnel et physique, et permettez cela. Vous faites simplement un permettre quantique en vous disant : « Je vais laisser mon corps se rééquilibrer. »

Maintenant, ne faites pas cette chose en disant: « Je veux avoir l’air 50 ans plus jeune, et je veux avoir des membres plus grands ou plus petits. » (rires) Quels que soient ces membres. Certains plus grands, d’autres plus petits. Ne faites pas ça. C’est votre corps. C’est votre divinité incarnée dans la biologie, et laissez-le faire son travail. Il sait comment s’équilibrer. Il est là pour vous servir. Ne commencez pas à lui dire qu’il doit avoir l’air plus jeune ou que vous voulez plus d’énergie. La ferme! Permettez seulement à l’équilibre biologique de se mettre en place.

YULIA : Oui.

ADAMUS: Oui, monsieur. Prenez le micro de Linda ou de Yulia.

GARY: Les médecins sont-ils une distraction alors?

ADAMUS: Il pose une question, les médecins sont-ils une distraction? Et – (Adamus soupire) – cela dépend. Cela dépend de la façon dont vous les utilisez. Si vous allez chez le médecin pour qu’il vous guérisse, c’est une distraction. Si vous allez chez le médecin pour qu’il vous donne une petite réassurance peut-être ou qu’il vous donne un petit coup de pouce côté médical – parce que la technologie est merveilleuse, elle peut faire de grandes choses – mais cela dépend de la façon dont vous l’utilisez. Si vous êtes esclave de votre médecin, en d’autres termes, que vous vous dites: « Il est le seul qui puisse me guérir », c’est une distraction.

GARY: Mm hmm.

ADAMUS: Si vous dites: « Oui, j’ai besoin d’un petit coup de pouce. Je veux dire, doux jésus, je me suis coupé le bras. Ça ne me ferait pas de mal d’avoir des points de suture », par exemple, « Parce que tout ce que j’ai à la maison, c’est une grande aiguille et un fil et ce genre de choses. J’irai chez le médecin », cela fait partie du processus de guérison. Mais quand vous commencez à trop compter sur les médecins ou d’autres thérapies ou sur d’autres personnes ou quoi que ce soit dans le genre, c’est là que vous avez des ennuis.

Alors, où en étions-nous? A notre Déclaration des Droits, à une biologie physique équilibrée, et cela signifie que vous avez droit à cela. Je veux dire, c’est votre droit. Et ce que nous allons faire, c’est réunir tout ceci. Nous n’aurons probablement pas tout fini aujourd’hui, une fois que nous aurons commencé à boire (quelques rires). Est-ce que tout le monde a eu son ... oh, c’est en train de circuler (Kerri est en train de faire circuler des verres de tequila).

Mais ce sont là vos droits, et pour avancer, aller plus loin dans le travail – dans le plaisir – que nous faisons, pour avancer, vous devez les reconnaître, les accepter comme vrais. « J’ai droit à l’abondance. J’ai droit à une biologie équilibrée. » Et quoi d’autre? Linda, faites le tour de la pièce s’il vous plaît.

LINDA: Oh. Je dois répondre à un pot-de-vin là.

ADAMUS: D’accord. Combien vous a-t-il donné?

JIN (homme): Vingt dollars, mais elle ne les a pas pris.

ADAMUS: Elle se vend pour 20 dollars?!

JIN : Non, pour me donner le micro.

ADAMUS: Non, vous lui avez donné 20dollars.

JIN : Je lui en ai donné 20, mais elle ne les a pas pris.

ADAMUS : Oui, c’est vrai. Mais elle aurait dû dire : « Désolée, c’est 40. »

JIN : (en riant) Je les lui aurais donnés !

ADAMUS: Je sais! Ok. Vous avez le micro.

JIN : Bonjour, Adamus.

ADAMUS : Bonjour.

JIN: Nous distillons vraiment les choses afin d’apprécier la liberté, mais juste pour être plus précis : pouvoir choisir quelle expérience nous voulons et choisir de sortir d’une certaine expérience.

ADAMUS: D’accord. Alors, comment mettriez-vous cela pour nos Droits de Maîtres incarnés? Comment diriez-vous cela?

JIN : La liberté de ne pas être bloqué ?

ADAMUS: Eh bien, mais il y a déjà « être bloqué » dans notre liste. Juste... (une femme dit « Le droit de choisir »)

JIN : Le droit de choisir son expérience.

ADAMUS: Qu’en est-il du droit à l’expression créative. Le droit à une expression créative.

JIN : Le droit à une expression créative.

ADAMUS: Et cela signifie que vous pouvez vous lancer dans n’importe quelle expérience que vous voulez et en sortir.

JIN : Oui.

ADAMUS: Peut-être que le libellé doit également stipuler le droit d’être dans une expression créative ou d’infuser une expression créative et le droit d’en sortir.

JIN : D’en sortir dès qu’elle ne vous sert plus.

ADAMUS: J’aime ça. Oui. Ou vous pouvez également utiliser le mot « vie » - « Le droit d’être dans l’expérience de la vie et d’en sortir quand je le choisis ».

JIN : Oui.

ADAMUS: Quelque chose comme ça. Nous affinerons les mots, mais c’est une bonne idée. Vous avez le droit d’aller dans n’importe quelle expérience que vous voulez et le droit d’en sortir. Le problème ici sur la planète, c’est que vous êtes arrivé là et que les gens ne croient pas qu’ils ont le droit d’en sortir, sauf par la mort. Ils n’ont pas le droit de sortir du karma ancestral ou de nombreuses autres choses, ou de leur propre passé.

Encore une fois, c’est l’une de ces choses de Conscience Au-Dessus. La croyance sur la planète, c’est que : « Vous avez fait quelque chose. C’est votre histoire, et maintenant vous êtes bloqué avec ça. » Ce n’est pas vrai du tout ! Vous pouvez en sortir quand vous le voulez. Et alors que faites-vous?

JIN : Tout d’abord, vous prenez une profonde respiration.

ADAMUS: Oui.

JIN : Et ...

ADAMUS: Ensuite, vous le confiez à la sagesse.

JIN: Vous le confiez à la sagesse et, espérons-le, vous ne revenez pas vers votre humain à ce sujet.

ADAMUS : Exact.

JIN : Oui. Fondamentalement, oui.

ADAMUS: D’accord. Bien. Donc, « Aller dans ou sortir de l’expérience de la vie. » Bien dit. Bien.

JIN: Sans essayer de trop y penser, mais en abandonnant cela à la sagesse.

ADAMUS : Exact. Absolument.

JIN : Oui.

ADAMUS : Bien. Merci.

JIN : C’était un plaisir.

ADAMUS : Bien. Comment cela se passe-t-il avec les verres?

KERRI: (cris de l’autre pièce) J’arrive! (Adamus rit et quelques rires)

ADAMUS: Il y a toujours cette voix fantôme en arrière-plan, vous savez.

KERRI: (crie encore) Me voici!

LUCRECIA: (lève son verre pour porter un toast) Eh bien, santé!

ADAMUS: Pas encore! Non, non. Non. Non, nous allons ...

LUCRECIA: Pas encore? Pas encore?

ADAMUS: Nous allons le faire tous ensemble. Et ceux d’entre vous qui nous regardez en ligne actuellement, allez prendre un verre, même si vous ne buvez pas. Et même si vous aviez tendance à trop boire et que vous aviez arrêté de boire, vous aurez peut-être envie de boire (quelques rires). C’est la liberté d’être alcoolique. Je veux dire, on ne va pas mettre cela au tableau. On devrait peut-être, en fait, avec ce groupe (Adamus rit). Vous n’êtes plus des alcooliques. D’accord. Linda, au micro. Oh oui.

LUCRECIA: La liberté de vivre dans la grâce.

ADAMUS: La liberté de vivre dans la grâce. Mais définissons cela, parce que sinon c’est un peu flou. Qu’est-ce que cela signifie pour vous?

LUCRECIA: Laissez-le venir à vous. Sans vous inquiéter.

ADAMUS: Non, soyons précis dans un sens « vie réelle ». Je suis tout à fait d’accord avec ce que vous avez dit, mais formulons cela de sorte que ceux qui viendront après vous puissent aussi le voir en se disant: « Ah, d’accord. Cela fait sens ». La liberté de vivre dans la grâce, mais qu’est-ce que cela signifie ? (une femme dit « la facilité »)

LUCRECIA: Etre dans la facilité.

ADAMUS: La grâce et la facilité.

LUCRECIA: La facilité. Juste être.

ADAMUS: Mais essayons d’être plus précis. La liberté de quoi ?

LUCRECIA : De créer et permettre.

ADAMUS: Nous avons cela ici. La liberté de...?

LUCRECIA: Eh bien, la grâce, c’est quand vous permettez l’abondance, vous permettez toutes ces formes d’expérience, sans y travailler, sans souffrir.

ADAMUS : Exact. Sans souffrir. Alors,...

LUCRECIA: Sans souffrir.

ADAMUS: Abordons-le sous l’angle de la souffrance. L’humanité croit en la souffrance. Point. Les gens veulent y croire. Ils aiment leur souffrance, sinon elle ne serait pas là. Ils ont insufflé l’idée de souffrance aux églises, et alors les églises ont renvoyé cela à tout le monde : « Vous devez souffrir. Dieu veut que vous souffriez. » Du moins certaines religions. Vous savez, la religion juive a tout à voir avec l’idée de souffrance. La religion catholique, oh ! Les catholiques (rires). Ce sont de grands souffrants. Je veux dire, dans certaines autres religions, il n’y a pas trop de souffrance, mais quand même un peu. Et la société, vous savez, vous dit : « Vous devez souffrir. Vous devez travailler dur ». D’où cela vient-il? Vous n’avez pas à travailler dur. Mais les gens y croient. Et donc, nous allons entrer dans la Conscience Au-Dessus, « Oh, non, vous n’avez pas à travailler dur. » Vous pouvez faire les choses que vous aimez faire. Vous pouvez exprimer votre créativité. Mais travailler dur? Non, non, non.

Nous parlons donc de souffrance. Comment pouvez-vous formuler ici au tableau que vous avez le droit de ne pas souffrir, mais sans utiliser le mot « souffrir »?

LUCRECIA: La joie.

ADAMUS: Votre droit à...?

LUCRECIA: Joyeusement. Vivre joyeusement.

ADAMUS: Une vie joyeuse, peut-être.

LUCRECIA: Mm hmm. Une vie joyeuse.

ADAMUS: J’aimerais un peu plus de clarté à ce sujet. Je veux... (un homme dit « Le droit de choisir la joie » et Adamus soupire) Oui, choisir la joie, mais vivre dans la joie. Mais comment pouvons-nous dire, sans prononcer le mot « souffrance », comment pouvons-nous dire : « Plus de souffrance ? » Ou peut-être que nous le disons tout simplement. Peut-être... (plusieurs personnes commentent) Le droit de ne plus souffrir, je suppose.

LUCRECIA: L’amour ... (quelqu’un dit « indolore »)

ADAMUS: Indolore? (une femme fait un commentaire) Oui, oui (quelques autres commentaires). Quelqu’un a quelque chose à ajouter à ce sujet?

LUCRECIA: J’ai pensé au mot « grâce » (un homme dit « Attraction; l’attraction de l’esprit » et Adamus soupire; quelqu’un d’autre fait un commentaire.) Ehhh, oui. Je veux dire, nous sommes tout près, mais il y a ...

LINDA: Qui est en train de parler? Nous avons besoin que vous le fassiez au micro. Qui veut parler?

ADAMUS: Nous voulions définir cela. Comment cela se passe avec les boissons?

KERRI : Nous sommes prêts ! (un homme crie « C’est prêt ! »)

ADAMUS: Tout le monde? (une femme dit : « Attendez tant que nous pouvons ») D’accord. Nous allons attendre qu’il soit quatre heures (quelques rires).

LINDA: C’est déjà le cas!

ADAMUS: Non, ce n’est pas le cas. Quelle heure est-il?

LINDA: Cette horloge retarde.

JIN : Il est quatre heures

JEAN : Il est 3h59.

ADAMUS: 3:59. D’accord. Pourriez-vous démarrer un compte à rebours de dix secondes sur un ordinateur?

JEAN : Il est déjà quatre heures.

ADAMUS: Il est déjà quatre heures? D’accord.

LINDA: C’est ce que je pensais.

ADAMUS: Mieux vaut boire maintenant. À la liberté (le public crie « À la liberté ! » Et « Yay! »). À la liberté (le public crie « Wooo ! ») À la liberté ! Waouh ! Waouh! À votre santé! C’est parti (tout le monde prend son verre) Ahhh ! Vous en voulez encore? (Adamus rit) D’accord. Ahh! Waouh!

Ok. Continuons. Cela va devenir vraiment intéressant. Au tableau (les gens font encore divers commentaires), nous allons affiner les mots, mais nous devons trouver un moyen de dire « Plus de souffrance ». Vous avez le droit de ne pas souffrir (un homme dit « La joie perpétuelle »). Oui, mais je ...

LINDA: La facilité et la grâce!

ADAMUS: Mais cela ne dit pas assez clairement que nous devons aller au-delà de la souffrance. Les humains sont ... (Adamus rit) Cauldre me rappelle quelque chose. Nous avions fait un atelier en France il y a quelques années et tout le monde avait apporté une bouteille de vin, et nous avions commencé à boire du vin, tout le monde, y compris Cauldre, et soudain il s’est rendu compte que je n’étais plus là depuis environ 20 minutes (quelques rires), et il continuait de babiller. Il s’inquiète donc que cela se reproduise à présent. Peut-être (plus de rires).

Le droit à l’humour. Le droit à l’humour dans n’importe quelle situation, et vous pouvez écrire cela au tableau. Le droit de remettre les choses à la sagesse à tout moment. Vous en avez marre de laisser ces choses dominer votre vie, toutes les vieilles expériences, tous les mauvais souvenirs, toute la culpabilité et la honte, vous avez le droit à tout moment de les remettre à la sagesse. C’est un droit.

Qu’avons-nous d’autre? Quelques autres avant d’amener cela à un merabh.

SHAUMBRA 2 (homme): Je dirais l’alignement.

ADAMUS: Oui, l’alignement avec quoi? Les autres gens?

SHAUMBRA 2 : Avec ma source intérieure. Avec, par exemple, l’alignement à travers les émotions.

ADAMUS: Un droit à la connexion, une connexion consciente à votre âme.

SHAUMBRA 2 : Oui. Oui.

ADAMUS : Absolument ! Et sans juste s’interroger à ce sujet, sans seulement penser: « Est-ce que je suis connecté ? Où est ... » Ça c’est une très bonne idée, le droit à une connexion consciente à votre âme chaque jour, à chaque instant. Bien. Maintenant, nous y arrivons. Quoi d’autre?

SUE : J’avais : « le droit à un amour de soi inconditionnel ».

ADAMUS : Absolument.

SUE : De sorte que nous ne nous disions pas : « Eh bien, ça c’était stupide », vous savez.

ADAMUS: Oui.

SUE : Ou quelque chose comme ça.

ADAMUS: Oui. Et, vous savez, la plupart des gens ne… – au fond d’eux – ils ne ressentent pas qu’ils ont le droit de s’aimer eux-mêmes. Ils ne le ressentent vraiment pas. Et nous avec ce genre de Conscience Au-Dessus, nous disons : « Oui, nous avons le droit de nous aimer  », et il n’y a rien de honteux là-dedans. Et vous savez, si le mental saute là-dedans en vous disant: « Eh bien, tu ne peux pas t’aimer parce que tu as fait toutes ces mauvaises choses », dites-lui: « Ferme ta putain de gueule ».

SUE : Oui.

ADAMUS: Et vous avez le droit de ressentir et de connaître l’amour de soi.

SUE : Oui, et de le rendre inconditionnel.

ADAMUS: Et inconditionnel.

SUE : Oui.

ADAMUS: D’accord, bien. Vous avez mis ça sur le tableau?

LINDA: Mm hmm.

ADAMUS : Bien. C’en était un bon là. Ok. Quelques autres encore. Nous allons certainement continuer à affiner cette liste, et nous allons aussi demander à tous ceux d’entre vous qui nous regardez en ligne de nous soumettre leurs idées, afin que vous ayez l’impression d’être partie prenante à cela. Ce sera un mois chargé pour l’équipe. Oui Monsieur.

VINCE: Je suis encore en train d’essayer de bien le formuler moi-même, mais « la liberté de ne pas être abusé, maltraité ».

ADAMUS: Oui. Oui. Comment diriez-vous cela? Je comprends exactement de quoi vous parlez. La liberté de ne pas être abusé, maltraité. Comment pouvons-nous formuler cela pour en faire un de vos droits? (quelqu’un dit « Le droit de ne plus se prendre de merdes » et Adamus rit). Oui. Oui (une femme dit « Le droit d’être souverain »). Oui, le droit d’être souverain, mais comment pouvons-nous formuler cela dans un… – nous allons le laisser en l’état pour l’instant et nous trouverons probablement d’autres mots pour dire cela, mais « abus, maltraitance ». Vous savez, les humains acceptent le fait d’être maltraités dans leur vie.

VINCE: Mon idée, ce que je veux dire, c’est : être libre et débarrassé des réponses (un homme dit « des conneries ») des autres pour soi-même.

ADAMUS : Exact. Oui. Ouais, alors... (une femme dit « Revenir à la dignité ? ») Oui. C’est le droit à la dignité. Encore une fois, nous affinerons toutes ces propositions, mais je comprends exactement ce que vous êtes en train de dire. Vous n’avez pas à accepter les abus ou maltraitances de la part des autres. Pourquoi les gens le font-ils? Pourquoi se retrouvent-ils dans cette situation? C’est une croyance de conscience de masse, et c’est juste la croyance, avec la souffrance, que c’est inhérent à la vie. Non, ce n’est pas le cas. Si vous restez sur la planète, vous avez le droit de ...

PEARL: Relâcher.

ADAMUS: Pardon?

PEARL: Relâcher.

ADAMUS: Vous avez le droit de?

PEARL: Relâcher.

ADAMUS: Relâcher quoi? (un homme dit « Le soulagement ») Le soulagement?

SHAUMBRA 4 (femme): Ce qu’il a dit. La croyance en l’abus, la maltraitance.

ADAMUS : Oui. Vous avez le droit de vivre sans être entravé par les conneries des autres (rires). Quelque chose comme ça. David?

DAVID: Que diriez-vous si l’on disait simplement « une expérience joyeuse de la vie »?

ADAMUS: Oui, en fin de compte, mais je veux que les termes soient très clairs. Vous savez, si la Constitution des États-Unis ou la Déclaration des Droits avait simplement dit: « Vous avez le droit à la liberté » et c’est tout, vous savez…, il a fallu le définir un peu plus. Mettons sur papier quelque chose de tangible auquel nous pouvons nous référer.

SHAUMBRA 5 (femme): Que pensez-vous d’une « dignité souveraine »?

ADAMUS: C’est nébuleux, vous savez.

LINDA: Nous avons le micro ici.

ADAMUS: Vous avez raison, mais définissons-le. Quels sont les dix droits dont vous bénéficiez en tant que Maître incarné ? Certainement, l’abondance. Certainement, la biologie. Certainement, pouvoir entrer et sortir d’une expérience. Quoi d’autre?

TARYN : Vous avez le droit de choisir ce que vous voulez, ce que vous pouvez avoir. Vous avez le droit de choisir votre propre réalité de la manière que vous voulez.

ADAMUS: Oui.

TARYN : C’est le droit de choisir.

ADAMUS: Par opposition à... ?

TARYN: Eh bien, vous pouvez avoir ce que vous voulez. Ou si vous ne voulez pas – eh, voyons. Vous pouvez choisir, par exemple, d’être illuminé ou vous pouvez choisir de croire que vous n’avez pas le choix, je crois.

ADAMUS : Oui.

TARYN: Et vous pouvez choisir de croire que vous avez vraiment le choix.

ADAMUS: Mais par opposition à quoi? Quelle serait l’antithèse? Quel serait l’autre aspect de la situation? Comment la plupart des gens vivent-ils?

TARYN: La plupart des gens ne réalisent pas qu’ils n’ont pas le droit de choisir pour eux-mêmes ni le droit de créer leur propre réalité comme ils le souhaitent.

ADAMUS: Eh bien, ils l’ont.

TARYN : Oui.

ADAMUS: Ils croient qu’ils ont le droit de choisir des crêpes ou du bacon pour le petit-déjeuner (quelques rires).

TARYN : C’est exact. Oui.

ADAMUS: Et ils croient qu’ils ont le droit de choisir de mettre des chaussettes noires ou des chaussettes bleues, le droit d’acheter une Tesla ou une Chevrolet. Il n’y a pas de décision là-dedans (rires). Et donc, ils pensent qu’ils ont le droit de choisir, alors qu’en fait pas du tout. Ils ne comprennent pas ce que signifie vraiment choisir.

TARYN : Oui.

ADAMUS: Ils se mentent à eux-mêmes ou ils croient aux mensonges des autres. Mais le droit de choisir, définissons cela un peu plus. Le droit de choisir...?

TARYN : C’est le droit... (elle soupire) Vous créez votre propre réalité.

ADAMUS: Oui.

TARYN: Et donc, une fois que vous réalisez que vous pouvez faire cela, vous réalisez que vous avez le droit de choisir quoi ...

ADAMUS: Vous avez le droit de choisir à quoi vous voulez vous identifier et, comme nous l’avons déjà dit, le droit purée d’en sortir aussi.

TARYN : Oui.

ADAMUS: Oui. Le droit de – nous allons laisser cela en l’état pour l’instant, mais le droit de choisir.

TARYN : D’accord. Oui.

ADAMUS: Oui. Bien. Très bien. Nous en prendrons deux autres, puis nous devrons faire un petit merabh et prendre un autre verre.

LINDA: D’accord. Il y a des mains en l’air, et donc je suis prête.

SOHAR (homme): Donc, le droit à – et c’est lié à celui que nous avons du mal à verbaliser – mais le droit à des relations mutuellement enrichissantes.

ADAMUS: D’accord. En quoi est-ce important? Si nous devions garder seulement dix choses au tableau, est-ce que celui-là mériterait d’être en haut de cette liste?

SOHAR : (pauses) Je pense que oui. J’ai l’impression que c’est le cas.

ADAMUS: Entretenez-vous une bonne relation (amoureuse)?

SOHAR: J’ai l’impression que oui, aujourd’hui – ce n’était pas le cas dans le passé, mais aujourd’hui j’en fais de plus en plus l’expérience et, oh, mon dieu, c’est très important.

ADAMUS: Mm. Pourquoi est-ce important?

SOHAR: Juste pour que nous n’alimentions pas cette dynamique de vampirisme énergétique.

ADAMUS: Non. Pourquoi une relation amoureuse est-elle importante?

(pause)

N’y a-t-il pas la croyance sur la planète que vous devez être dans une relation amoureuse, et que vous devez être généralement avec une seule personne? Est-ce que cela n’est pas une conscience limitée ? Je crois que je réponds à ma question là (Adamus rit). Et il y a la croyance sur la planète que ce doit être une relation avec un partenaire de sexe opposé, en général. Il y a la croyance que la relation ne doit s’entretenir qu’avec une seule autre personne. Il y a la croyance qu’elle doit durer jusqu’à la fin des temps. C’est cela la conscience de la planète, et c’est la chose même que votre lumière est en train de secouer, de bouleverser actuellement. Peut-être que la réalité devrait être comme ça, mais pas ma réalité (Adamus rit).

Tout d’abord, vous n’avez pas besoin d’une relation amoureuse, et du coup, vous êtes libre d’avoir des relations, une fois que vous réalisez cela. Et les relations peuvent être diverses, malgré ce qu’en dit la loi, ou en dépit des normes sociales. Les relations amoureuses peuvent être tout ce que vous voulez.

Et donc, il y a des mots vrais ici, une formulation poétique sur le droit à avoir la ou les relations amoureuses les plus sacrées qui soient, à commencer par la relation à vous-même. C’est la relation la plus importante. Le droit à une relation saine avec vous-même, et de manière implicite, le droit à des relations amoureuses avec les autres, tant qu’elles sont compatibles.

SOHAR: Donc, une relation saine avec soi-même afin que l’on puisse avoir une relation saine avec les autres?

ADAMUS: Oui. Mais si vous avez une relation saine avec vous-même, pensez-vous que vous voudrez une relation saine avec d’autres personnes? Ce qui est bien, c’est que cela n’a plus d’importance à ce moment-là. Ensuite, vous êtes libre d’avoir cette relation.

Oui. Prenez le micro s’il vous plaît.

LINDA: D’accord.

PEARL : Merci. Je pense que quand vous avez une relation saine avec vous-même, c’est amusant de partager cette joie.

ADAMUS: Oui! Avec d’autres.

PEARL : Avec d’autres.

ADAMUS: Vous entrez, vous sortez.

PEARL : Oui (rires). Je veux dire... Je veux dire...

ADAMUS: Eh bien, non. Cette chose à propos d’une relation éternelle ... Je veux dire, il y a des religions qui pratiquent cela, des gens. Ils le pratiquent. Ce sont de grandes religions à travers lesquelles vous êtes liés pour l’éternité. C’est un putain de serment que vous prêtez là. Savez-vous ce qu’il vous faudra pour annuler cela? Savez-vous combien d’anges nous devons engager pour venir défaire ces serments d’éternité ? Oh, c’est tellement fastidieux.

PEARL: Il ne s’agit pas de cela, mais de partager la joie, cela la multiplie.

ADAMUS: Oui.

PEARL : Et ça aide.

ADAMUS: D’accord, je veux aller là ce propos dans une super Conscience Au-Dessus en redéfinissant totalement ce qu’est une relation amoureuse.

PERLE: Mm hmm.

ADAMUS: Vous savez, au lieu de simplement regarder cela en termes de relation interhumaine, d’humain à humain, il y a une définition beaucoup plus grande – qu’encore une fois nous allons faire émaner de la formulation – de ce qu’est une relation amoureuse. Enormément de gens mettent un autre type de relation en premier et tout le reste vient après. Le type de relation n’est pas le plus important, mais les relations amoureuses sont magnifiques une fois que vous êtes libéré du virus de la relation. Oui. Elles sont magnifiques. Mais si vous êtes dans cette ancienne énergie, cette énergie horrible et infecte de la relation amoureuse, elles seront merdiques. Et elles vous mèneront d’une vie à l’autre à accumuler une dette karmique, et elles seront horribles. Je veux dire, et – pfft!  – qui suis-je ? Je veux dire, vous savez à quoi cela ressemble. Mais après, si vous êtes brusquement libéré des relations amoureuses, soudain le terme de « relations » sort de votre vocabulaire. Il n’y a plus rien qui ressemble à une relation amoureuse. Soudain, vous êtes libre de profiter de votre liberté au milieu des autres.

PEARL: Et parfois, le fait de créer avec quelqu’un rend cette création plus grande ou, je ne sais pas, meilleure.

ADAMUS : C’est avec moi-même que je m’amuse le plus, je suis désolé de le dire (rires).

PEARL: Je sais que cela semble (inaudible), parfois.

ADAMUS: Parfois, oui, et j’adore musarder avec mes pairs du Club des Maîtres Ascensionnés et vous les gars, mais la conscience limitée des relations amoureuses est un énorme problème karmique et maintient vraiment cette planète en l’état. Et c’est en train de changer actuellement. C’est en train de changer radicalement. Mais je pense simplement mettre une note ici, commençons en quelque sorte à redéfinir les relations amoureuses dans notre Déclaration des Droits. Vous avez le droit de ne pas subir de relations « ancienne énergie ». Vous avez le droit de n’avoir aucune relation amoureuse, ce qui finira par vous apporter des relations. Quelque chose comme ça.

D’accord, un de plus et puis nous ...

VANESSA : Je sais que dans ma vie, je me suis toujours demandé comment j’allais mourir, et je sens que c’est un droit de pouvoir choisir comment je vais faire ça.

ADAMUS : Merci ! Merci, merci. C’est tellement important. Le droit de mourir comme vous le souhaitez ou le droit à mourir dans la dignité – le droit à une mort consciente et digne. Absolument. La façon dont les humains meurent actuellement est mortelle (Adamus rit; rires). Elle est méprisable. Elle est affreuse. Je veux dire, c’est juste horrible, et il y a tellement de peur là-dedans. Et la mort, vous vous en rendrez compte, est une transition facile. Vous réaliserez que ce n’est pas effrayant, surtout si vous ne croyez pas au paradis et à l’enfer. C’est juste la continuation de ce que vous étiez en train de faire. Et la capacité d’avoir le choix de sa mort et une mort digne est très important. Cet item mérite assurément l’une des dix premières places dans notre liste. Oui. C’est tellement important, et vous ne mourez jamais vraiment de toute façon. Vous laissez derrière vous cette chose (le corps), les atomes en fait de ce corps, mais vous pouvez en emporter l’essence.

Donc, sur ce, nous allons amener cela à un merabh. Oof!

LINDA: Vraiment?

ADAMUS: Oui. Nous allons continuer à développer cette liste, et nous indiquerons aux Shaumbra comment vous, vous tous en ligne, pourrez participer. Et cela prendra plus d’un mois à se faire. Je pense que c’est un projet qui nous mènera jusqu’à la fin d’année. Nous allons continuer à affiner cela.

Mais pour le moment, amenons cela aujourd’hui à un magnifique merabh.

 

Merabh de la Conscience Au-Dessus

(la musique commence)

C’est vraiment le merabh de la Conscience Au-Dessus, l’image d’ensemble, la vue d’ensemble. C’est en vérité, en fin de compte, tout simplement un autre nom pour la sagesse.

Les gens ont tendance à se focaliser sur les petites choses. Ils ne comprennent pas en réalité les flux d’énergies, ce qui se passe vraiment dans leur propre vie, et encore moins sur la planète.

Il est assez facile, en fait, de s’élever au-dessus de cela et d’aller au-delà même de ce que le mental pense pour aller dans la Conscience Au-Dessus, la vue d’ensemble, ce qui est réellement en train de se passer sur la planète.

Il est facile de se dire en ce moment : « Oh ! Regardez ce que les humains ont fait à la planète. Le niveau des océans monte. Les calottes polaires sont en train de fondre. Les abeilles sont en train de mourir. Regardez, honteux humains, ce que vous avez fait. »

Ehhh, vous savez, ça c’est être un peu myope. La grande image, la vue d’ensemble, c’est que Gaia est en train de s’en aller, elle est en train de partir parce qu’il est temps que les humains prennent soin de la planète.

Ce n’est pas une mauvaise chose. Et vous savez, comme Gaia s’en va, les choses sont en train de changer. Peut-être que les abeilles, vous savez, seront remplacées par autre chose. Peut-être qu’on n’a plus besoin d’abeilles.

Et peut-être que le réchauffement climatique sur la planète fait partie d’un nettoyage et d’une transformation qui est en train de se mettre en place, et peut-être que tout cela attire plus de conscience sur le fait que les humains vivent sur cette planète et qu’ils doivent en prendre soin.

Peut-être que la Conscience Au-Dessus, c’est finalement que les humains vont commencer à réaliser qu’il y a plus à la vie et à l’existence que le corps physique et la réalité 3D, les forêts, les arbres et les oiseaux, et peut-être qu’il y a une raison pour laquelle nous sommes là. Et peut-être que cela les aidera finalement à comprendre qu’en fin de compte, tout est une question de conscience et d’énergie.

Nous sommes un peu loin de cela actuellement, loin d’avoir cette compréhension, mais vous pouvez presque voir, avec notre Conscience Au-Dessus, où vont les choses.

Oh, il ne s’agit pas de savoir qui a pollué quoi. Il s’agit de reconnaître que nous avons infusé notre conscience à cette planète. Nous sommes dans notre propre énergie vitale, une énergie vivante, magnifique, la magnifique réalité des énergies de la vie. Comme dans un terrarium, avec tout ce qui pousse autour de nous, et nous nous sommes infusés là, nous nous sommes incarnés dans cela, et c’est ce qui est vraiment en train de se passer.

Ne nous inquiétons pas, oh, si deux pouces des calottes polaires ont fondu. Il s’agit plutôt de comprendre notre responsabilité envers la planète.

La Conscience Au-Dessus consiste à vraiment réaliser ce qui est en train de se passer avec l’humanité actuellement, sans se laisser prendre au piège. Je vois tant d’entre vous se laisser prendre par les petites choses en se disant: « Oh, c’est tellement fou là-bas. » Bien sûr, c’est le cas. Il y a de nombreux changements qui sont en train de se mettre en place. Bien sûr, c’est le cas.

Mais vous savez, ces changements ont été précipités en amenant plus de conscience à la planète, plus de lumière, et désormais les choses changent, des choses qui étaient déséquilibrées. Qu’il s’agisse du système financier, de la santé, des soins de santé, tout cela est en train de changer, de se transformer.

Que ce soit la dynamique du travail. Regardez le changement qui s’est opéré en juste, quoi, deux ans et demi, dans la dynamique du travail.

On dit que, quoi, 25 pour cent de la main-d’œuvre dans les pays développés a simplement abondonné son poste en se disant: « Ça suffit ». Et je me lève et applaudis. Ça suffit de ce travail dégradant. Ça suffit les abus de la part des patrons et des propriétaires. Ça suffit. Ils ont simplement quitté leur poste.

Tous ces changements sont en train de prendre place. Et soit dit en passant, dans la Conscience Au-Dessus, regardez ce qui se passe. Les travailleurs s’en vont. Les gens qui possèdent des restaurants, des petites entreprises, des usines de fabrication lèvent les bras au ciel. Ils ne peuvent plus trouver de travailleurs. Qui va assurer le travail?

Ce qui se passe, c’est que tout cela entraine la robotique, l’intelligence artificielle. C’est cela qui fera le travail, et il s’agit de temps. Pourquoi les humains devraient-ils transpirer dans des emplois subalternes, dégradants, de basse conscience et mal payés? Les robots arrivent. L’intelligence artificielle arrive.

Cela fait partie du développement de la conscience sur la planète. Pourquoi un humain devrait-il faire un travail dégradant? C’est cela qui est en train de se passer ici. C’est cela la situation dans son ensemble, la vue d’ensemble.

Ne vous laissez pas prendre par les petites choses. Ne vous laissez pas prendre par la politique et les petits détails. Regardez la situation dans son ensemble, où la planète est en train d’aller.

Oui, il y a aussi des guerres sur la planète actuellement, mais il y a une image plus large, une vue d’ensemble à avoir. Tout d’abord, en numéro un : peut-être que cela montre aux humains que toute cette histoire de guerres et de souffrance, ah, c’est vieux et qu’il est temps que cela disparaisse.

Et puis il y a aussi des énergies anciennes, anciennes, très anciennes dans le sol lui-même, dans la terre, qui remontent à présent pour être libérées. Et parfois, cela fait émerger de très anciens problèmes, que ce soit l’Ukraine et la Russie, qu’il s’agisse d’Israël et de la Palestine. Peu importe ce que c’est, ce sont de vieux problèmes.

Mais la Conscience Au-Dessus amène cela chez tout le monde en cette période de communications très rapides et l’humanité se dit: « Nous en avons marre de cela. Nous ne tolérerons plus ces guerres, ces abus. »

Prenons une profonde respiration dans la raison même pour laquelle vous êtes ici sur la planète, pour apporter cette lumière. Cette lumière qui affectera le changement, et ensuite ce sera aux humains de décider comment ils veulent l’utiliser.

Mais au moins, vous aurez fait ce que vous êtes venus faire ici, faire briller cette lumière. C’est pourquoi vous êtes là.

Et en restant là et nous en avançant avec notre prochaine série, il y a certains droits que vous avez en tant que Maîtres, certains droits que j’aimerais que vous reconnaissiez.

Le droit à l’abondance.

Le droit à la joie.

Le droit à la santé.

Le droit de pouvoir créer puis de décréer.

Le droit de se connaître soi-même et de connaître son âme.

Le droit de rire.

Le droit de tout porter à la sagesse quand vous le souhaitez.

Le droit de vous souvenir de qui vous êtes.

Le droit de quitter la planète quand vous le souhaitez, de la façon dont vous choisissez de mourir.

Le droit à la clarté. Vous avez le droit à la clarté, à comprendre et à assimiler facilement n’importe quoi, n’importe quelle situation énergétique dans votre vie. Le droit à la clarté. Vous avez ce droit.

Vous avez droit à votre propre énergie. C’est la vôtre. Vous y avez droit, là où personne d’autre ne peut intervenir. Mais pourtant, vous êtes timide à ce sujet, « Est-ce vraiment mon énergie? Qu’est-ce que je dois faire? »

Vous avez le droit d’avoir une énergie qui vous serve comme vous le souhaitez.

Tout cela, ce sont quelques-uns des droits fondamentaux que vous avez en tant que Maître, en tant que Maître incarné, afin de rester sur la planète.

Prenons une profonde respiration avec ça.

Vous avez droit à votre créativité, à votre Entelligence, à votre esprit et à votre âme. Pas pour les avoir loin de vous dans les autres royaumes, mais juste là.

Vous avez le droit d’entrer et de sortir des réalités chaque fois que vous le souhaitez.

Vous avez droit à ce que vous pourrier appeler votre propre jardin secret, votre propre endroit où vous pouvez aller chaque fois que vous avez juste besoin de vous isoler. Vous avez le droit d’y aller et d’y rester aussi longtemps que vous le souhaitez sans que personne ne vous dise : « Hé ! Reviens. Tu dois prendre soin du monde. » Non. Vous avez droit à ce calme en vous-même.

Prenons une bonne et profonde respiration.

Nous continuerons d’affiner les droits des Maîtres.

Nous voulons qu’ils soient succincts pour que nous puissions avancer ensemble, afin que vous puissiez savoir exactement, exactement ce à quoi vous avez droit, que ce soit un rappel constant.

Et vous avez le droit de la liberté, si vous le souhaitez.

Prenons une bonne et profonde respiration pour tout ce que nous avons fait aujourd’hui, pour le rire, l’humour, la conversation, la camaraderie et le souvenir.

Prenons une bonne et profonde respiration en sachant que tout va bien dans toute la création.

Sur ce, je suis Adamus du Domaine Souverain. Merci (applaudissements du public).