LES MATÉRIAUX DU CRIMSON CIRCLE

L'Art du Banc

SHOUD 3 –ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
le 11 décembre 2021
www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

Bienvenue au Shoud de décembre 2021. Bienvenue à chacun d'entre vous qui venez du monde entier, bienvenue en cette période sans précédent, bienvenue à tout ce qui se passe sur la planète en ce moment.

J’ai l’impression que c'était hier que nous nous sommes rencontrés pour la première fois. Après le départ de Tobias, quand je suis arrivé, il me semble que cela ne fait que quelques instants – pour moi en tout cas. Comme le temps a passé. Et quel énorme travail en sommes-nous arrivés à faire, avec ce que nous faisons actuellement ensemble.

Prenons une profonde respiration en cela, alors que nous commençons ce Shoud, et que nous sommes vraiment en train de tourner une autre page ou d'arriver à un nouveau Point de Séparation, avec le travail que nous sommes en train de faire. Prenons une bonne respiration profonde avec ça dans ce beau Shoud.

C’est un très bel arrière-plan que l’équipe a créé, la scène est magnifique avec toutes ces fleurs et ces arbres et cet ours en peluche. Prenons juste une bonne et profonde respiration pour la beauté de notre rassemblement. Hum.

 

Sans précédent

C’est effectivement une époque sans précédent, pour vous, tout d'abord – pour les Shaumbra, pour le Crimson Circle – sans précédent, parce que cela n'a jamais été fait auparavant. Il n’y a jamais eu auparavant sur la planète de groupe d'humains qui ait traversé sa Réalisation et en soit venu à sa maîtrise et tout cela en restant sur la planète.

J'ai raconté l'histoire récemment, dans certains des rassemblements Kasama, d'un incident qui s'est produit au Club des Maîtres Ascensionnés. Je vais vous en donner la version courte là, mais une nuit, alors que j'étais tranquillement au Club des Maîtres Ascensionnés en train de lire un livre, j'ai entendu certains des autres Maîtres Ascensionnés parler, suffisamment fort pour qu'ils soient sûrs que je puisse entendre, suffisamment fort pour m'énerver un peu. Ils discutaient du fait que c’était facile pour vous. L’un d’eux, le Maître Ascensionné Sebastian, se fit immédiatement remarquer en disant: “Eh bien, ils ont la tâche très facile en-bas. Ils ont toute cette technologie, et ils se réunissent en ligne, ce qui fait que toute personne dans le monde entier peut se connecter, et ils ont des ordinateurs, et ils peuvent sauter dans un avion pour se rendre à un atelier à Hawaï. Ils ont toutes ces commodités. Lorsque nous, nous en sommes venus à notre Réalisation, nous n'avions pas toutes ces choses. Nous avons dû lutter seuls. Nous avons dû y arriver par nous-mêmes. Nous ne savions pas qu'il y avait un autre groupe. Nous n'avions pas de Maîtres Ascensionnés qui nous transmettaient des messages canalisés. C’était difficile pour nous”.

Et ils ont continué à parler ainsi. J'ai finalement posé mon livre, je me suis assis et je les ai écoutés pendant un moment, et mon anxiété et mon irritation n’ont fait qu’augmenter à cause de cela. Et un autre Maître Ascensionné a ajouté : “Oui, c’est très facile pour eux, alors que pour nous, c’était dur. C’est très facile pour eux actuellement sur la planète”.

Alors, finalement, j’ai simplement refermé mon livre d’un geste de la main, je me suis levé et je me suis dirigé vers le groupe pour leur dire : « Vous savez, oui, ils bénéficient de certaines commodités du monde moderne. Ils peuvent faire un Shoud avec moi à travers lequel les Shaumbra du monde entier peuvent puiser, et ils peuvent enregistrer ce qu'ils appellent leurs classes Cloud, et ils peuvent facilement imprimer des livres à cette époque. Et, oui, ils bénéficient actuellement de certaines commodités du monde moderne, mais honte à vous tous », leur ai-je dit.

“Vous devriez avoir honte, parce qu’à l’époque où vous étiez sur la planète et où vous avez vécu votre Réalisation, le monde n’était pas aussi fou. La planète n’était pas aussi folle. Les choses évoluaient beaucoup plus lentement. De nos jours, vous avez des milliers et des milliers de brevets qui sont déposés chaque jour rien qu’aux Etats-Unis. Quand vous en êtes venus à votre Réalisation, il y a des centaines d’années, il n’y avait pratiquement rien de nouveau qui se créait. Les choses restaients semblables” Et je leur ai dit: “Cela va sacrément vite actuellement ici-bas, et je ne sais pas si vous pourriez seulement le supporter. Ne serait-ce que la quantité de données, la quantité d’informations et la vitesse à laquelle les choses sont en train de changer, je ne crois pas qu’aucun d’entre vous pourrait vraiment gérer tout cela.”

Bon, comme ils se moquaient encore un peu à ce sujet, je me suis dit en moi-même : « Eh bien, je vais en venir exactement à ce que je veux leur dire. » Et ce que je voulais vraiment leur dire, c’était cela, je leur ai dit : « Vous savez, lorsque vous en êtes venus à votre Réalisation, oui, c'était difficile, tout comme, dans une certaine mesure, cela a été difficile pour moi. Mais il y a une énorme différence entre vous et les Shaumbra, et c'est que vous avez quitté la planète au moment de votre Réalisation. Oh, vous êtes peut-être restés quelques jours, quelques semaines ou comme Kuthumi, quelques années, mais pour le reste, vous avez quitté la planète immédiatement, et ce groupe ne fait pas cela. Ce groupe reste sur la planète.

« Ils n’y sont pas obligés. Ils pourraient simplement accepter et permettre leur Réalisation et partir, mais ils restent, et qui plus est, ils restent dans des corps physiques qui souffrent beaucoup. Ils restent ici pour s’occuper de la conscience de masse, qui évolue à une vitesse sans précédent. Ils restent sur la planète alors que les choses sont vraiment, vraiment folles. Ils ne cherchent pas à se sauver. Ils ne se disent pas : 'Bien, j'ai franchi la ligne d'arrivée. J’en suis arrivé à ma Réalisation et à présent, je me tire d'ici.'  Ils restent, et ils restent pour faire cette chose que nous appelons le Rêve Atlante. Ils restent ici pour faire briller leur lumière sur la planète à une époque où la planète en a absolument besoin, et comme jamais auparavant.

“Ils restent pour faire briller leur lumière, et il y aura des jours difficiles pour eux. Il y aura des jours où ils seront anxieux, pleins d’angoisse. Il y aura des jours où il leur sera difficile de supporter les autres gens et la conscience de masse, mais ils restent. Et pas seulement pour quelques semaines ou quelques jours. Ils resteront des années, voire des décennies, sur la planète, et vous, vous ne l'avez pas fait.”

Je me sentais bien en moi-même. J'avais été très clair ; J'avais été très ferme. Je ne souriais pas du tout, comme je le fais à présent. Je me sentais bien d’avoir rejeté la faute sur eux. La pièce était devenue silencieuse. A ce moment-là, il y avait des milliers de Maîtres Ascensionnés rassemblés tout autour, et chacun d'entre eux était silencieux, ne sachant pas comment le prendre. Et puis du fond de la pièce, tout au fond de la pièce, on a pu entendre un Maître Ascensionné – ( clap ! clap ! clap ! clap ! ) – applaudir. Et très vite, il y en a eu cinq, puis 100 et puis quelques milliers, et bientôt toute la salle du Club des Maîtres Ascensionnés s'est mise à applaudir à tout rompre pour vous, pour le travail que vous faites.

C'était un moment très émouvant, très touchant; Je pense que je ne pourrais jamais l’oublier. Un moment très émouvant quand tout le Club des Maîtres Ascensionnés s’est rendu compte de l'importance de ce que vous êtes en train de faire. Et, bien sûr, vous bénéficiez de commodités modernes, mais ce sont aussi des sources modernes d’emmerdement. Je veux dire, les réseaux sociaux, ils ont leurs bons côtés, ils ont leurs mauvais côtés. La vitesse à laquelle la technologie et la médecine évoluent – tout cela a ses bons côtés, mais cela peut aussi avoir des mauvais côtés. Tout cette question de l'intelligence artificielle, dont je vous parlerai dans ProGnost , elle a de très bons côtés, mais elle a aussi des côtés très, très effrayants.

Oui, en effet, les choses sont plus faciles, d'une certaine manière, mais d'une autre manière, comme chacun d'entre vous le sait, c'est aussi difficile ou plus difficile que jamais. Et je sais pour travailler avec vous, et Kuthumi le sait aussi pour travailler avec vous, que votre engagement, c’est de rester ici. Vous n'y êtes pas obligés et, comme vous le savez, pour ceux d'entre vous qui en sont venus à leur Réalisation, il arrivera un moment dans votre venue à la Réalisation – quand vous aurez réalisé que vous êtes réalisé, que vous n'y penserez plus ou ne lutterez plus contre, ou que vous n’essayerez plus de la faire advenir par vous-même, quand vous réaliserez simplement que vous êtes réalisé – il arrivera un moment où vous saurez aussi que vous n’êtes pas obligé de rester.

Ce sera aussi très tentant de partir. Très tentant, parce que que soudain, si vous partez, vous n'aurez plus à lutter contre ce corps physique. Vous n'aurez plus à faire face à l'agacement et à l’exaspération que peuvent vous causer vos familles ou d'autres personnes. Vous n'aurez plus à composer avec le monde et ses hauts et ses bas et ses revirements et le fait que les gens deviennent fous – je veux dire, concrètement – à cause de la vitesse à laquelle les choses sont en train de changer. Et cela ne va pas nécessairement s'améliorer de sitôt. Je ne suis pas en train de prédire une crise ou des catastrophes, en aucune sorte, mais cela va juste s'accélérer de plus en plus vite, et ce sera de plus en plus difficile à gérer pour les gens. Et cela affectera d'abord leur mental et ensuite leur corps, mais cela affectera leur mental, leur stabilité mentale. Et bien sûr, ce qu'ils font actuellement, c'est simplement de prendre des médicaments qui anesthésient totalement leur mental. Tous les ressentis, toutes les sensations, tout, tous les drames et émotions sont toujours là, mais désormais ils sont masqués, recouverts d’un voile par les médicaments. Et comme la science moderne l'a découvert, vous pouvez être sous antidépresseurs - oh, bonjour, chère Linda.

LINDA : Bonjour.

ADAMUS: Eh bien, vous êtes ravissante aujourd'hui.

LINDA : Eh bien, merci, monsieur.

ADAMUS: Oui, je pouvais vous sentir derrière moi, je pouvais juste ressentir un petit quelque chose, peut-être comme une petite allusion que vous m’auriez glissée, comme quoi je marche sur un terrain glissant, vous demandant si je n’allais pas dépasser les limites. Mais Linda vous dira avant que je ne fasse cela, que tout ce que je suis en train de vous dire, c’est, quoi, seulement pour rire.

LINDA : Tout va bien jusqu'à présent. Vous n'avez pas franchi la ligne.

ADAMUS : Ouais, ouais.

LINDA : Vous êtes tout près (de le faire).

ADAMUS : Ouais.

LINDA : Tout près.

ADAMUS : C’était un avertissement officiel, une clause de non-responsabilité, mais allons au-delà.

LINDA : Non, non, non. Non, tout allait bien jusque-là.

ADAMUS: D'accord, bien.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Bien. Prévenez-moi simplement si …

LINDA : D'accord, merci, monsieur.

ADAMUS : … vous sentez que je franchis la ligne afin que je puisse effectivement la franchir.

LINDA : Oh, d'accord.

ADAMUS: Ouais, bien, bien.

LINDA : Super, Adamus.

ADAMUS : Bien.

LINDA : Super. Super. Bien vu.

ADAMUS : Donc, ce qui se passe, c'est que les gens prennent ces médicaments et il y en aura de plus en plus, et pas seulement des antidépresseurs, mais de plus en plus ils utiliseront ces choses que vous avez actuellement sur la planète – les opioïdes – tout ce qui pourra soulager leur douleur, leur souffrance. Cela deviendra de plus en plus courant partout sur la planète, parce que les choses changent très vite. Vous vivez une époque sans précédent. Il n’y a rien eu de tel auparavant.

Excusez-moi, je dois prendre mon café. J'adore me faire plaisir avec un petit café quand je viens ici sur Terre (il boit une gorgée). Mm. Et je vois qu'on m’a préparé en fait un café crème ici au…

LINDA : Ah…

ADAMUS : Oui.

LINDA : … c’est une douceur pour vous.

ADAMUS : C'est une douceur et cela devrait être une bonne raison pour quiconque de venir ici pour un atelier.

LINDA : Bon sang, oui.

ADAMUS : Ressentez cela un instant, cette époque sans précédent sur la planète, comme jamais auparavant. Rien n’est comparable à cette époque. Vous pouvez remonter à l'Antiquité. Vous pouvez remonter à l’époque des peuples premiers de la planète. Vous pouvez remonter à l’époque de l’Atlantide, de la Lémurie, aussi loin que vous le voulez, et vous ne trouverez rien de comparable à cette époque. Pas même à ce qui pourrait être considéré comme la meilleure des époques au temps de l’Atlantide. Il n'y avait rien de tel, en termes de développement technologique, de vitesse à laquelle les choses vont, avec tous ces changements qui jaillissent, font littéralement irruption sur la planète. Et j'utilise le mot « jaillir » pour signifier qu'il y a énormément de changements dans les systèmes sociaux, dans les systèmes financiers, et avec toutes les inventions qui touchent les systèmes de transformation et de fabrication. Ce sont des irruptions qui se produisent, et ce n'est pas un terme négatif. Cela signifie simplement que cela se produit très vite qu'il est difficile de garder votre équilibre, du moins pour la personne ordinaire.

Et c'est pourquoi, au Club des Maîtres Ascensionnés, quand ils ont commencé à parler des Shaumbra en disant que c'était très facile pour vous et que vous aviez toute cette guidance de la part d'Adamus, c’était comme…, non, non, non. Ce n’est pas facile pour les Shaumbra. Je sais, pour une grande part, ce que vous vivez actuellement sur la planète. Il n'y a aucun autre groupe qui traverse ce que vous êtes en train de traverser pour aller à votre Réalisation.

Et en même temps, maintenant que vous êtes vraiment en train d’apprendre à aller dans votre intuition, votre gnost, plutôt qu’à vous fier aux anciennes fonctions de votre mental, cela peut être effrayant. Il faut avoir une énorme confiance en soi pour faire cela, avec ce mental qui essaye de vous retenir en vous disant: "Non, tu dois être logique."

Et vous avez toute cette problématique du corps de lumière actuellement. Le corps de lumière qui arrive. Vous avez à présent donné la permission à votre corps de lumière de venir à vous, et Kuthumi l'aborde en détail dans son Faire jaillir le Corps de Lumière . Je suis ravi qu'il ait accepté de faire cela. Mais effectivement, il y a énormément de changements dans votre biologie actuellement, à cette époque de naissance de la nouvelle espèce humaine. Et bien que cela puisse sembler merveilleux que votre corps de lumière arrive, cela peut être très difficile. Parce que cela affecte votre corps physique.

Et cela s’ajoute à toute cette problématique du COVID, dont je vais vous parler dans un instant, et ensuite je vous en parlerai beaucoup plus lorsque nous ferons le ProGnost 2022 . Mais quand le corps de lumière arrive, cela peut sembler merveilleux, mais cela a un effet sur votre corps physique et cela amène de l'anxiété, de l’angoisse à votre mental. Il y a beaucoup d'anxiété en ce moment chez les Shaumbra à cause de tous ces changements.

Alors, je remercie chacun d'entre vous. Je vous défendrai au Club des Maîtres Ascensionnés ou en tout autre endroit dans toute la création, je défendrai ce que vous êtes en train de faire et j’aiderai les autres à comprendre ce que vous êtes en train de faire ici sur la planète actuellement. Je vous remercie personnellement de traverser ce que vous traversez, de vous permettre de vous réaliser, de vous permettre d'être un Maître incarné sur la planète.

Je remercie chacun d'entre vous. Ce n'est pas une tâche facile, mais c'est le Rêve Atlante et peut-être l'une des choses les plus – (Adamus soupire) – les plus belles et satisfaisantes que vous puissiez faire.

Alors, prenons une bonne respiration profonde avec ça.

 

Le Coronavirus

Le COVID. Le COVID, hum. Je me suis trompé à ce sujet - heh! – comme l'ont fait tous les autres Maîtres Ascensionnés qui ont donné leur point de vue à ce sujet. Aucun d’entre nous n’a vraiment compris l’étendue du COVID. Il était censé venir vite et brutalement, et partir relativement vite. Le COVID était censé remuer, faire bouger des choses dans votre biologie, afin d’aider les humains à commencer à vraiment aller vers une nouvelle espèce, et il était aussi, dans une très large mesure, destiné à faire bouger les choses dans les systèmes financiers de la planète, l'économie, à obliger énormément de choses à êtres repensées.

Vous êtes en train d’en voir les résultats – que ce soit au niveau des gens qui disent qu'ils ne veulent tout simplement plus travailler, et c'est leur droit ; les gens se disent : “Je ne veux plus être un cadre moyen toute ma vie, avoir deux semaines de vacances par an, puis prendre ma retraite et mourir.” Il y a un changement de conscience complet qui est en train de se produire actuellement en ce qui concerne le travail, les emplois, les carrières, il y a plus de gens que jamais qui se mettent à leur compte. Ce n'est pas qu'ils veulent juste rester à la maison et devenir des clochards paresseux. Ils se disent : “Il y a quelque chose de plus que je veux faire. Je ne sais pas ce que c'est, mais il y a quelque chose de plus que je veux faire sur la planète”.

Le COVID est en train de bouleverser, de remuer les systèmes comme jamais auparavant, et, oui, nous nous sommes trompé, et je serai le premier à reconnaitre que, oui, je pensais qu'il arriverait et repartirait tout aussi rapidement qu’il était entré. Mais quelque chose d’amusant s'est produit en cours de route. Eh bien, pas si amusant que cela, mais quelque chose s'est passé en cours de route. Quand le COVID est arrivé, il y a maintenant deux ans, je crois…

LINDA : Oui.

ADAMUS : … cela fait deux ans que le COVID est apparu pour la première fois, et quand il a commencé à toucher la population, à entrer dans la biologie, les humains ont en quelque sorte pris un drôle de tournant, ils ont eu un drôle de revirement sur la chose. Au lieu de vivre cette magnifique et énorme expérience du COVID, ils se sont dit – l'humanité, la conscience de masse, en général s’est dit – “Faisons un ménage complet. Nous n'allons pas seulement le faire venir pour quelques changements dans la société, quelques changements dans l'économie. Faisons-le venir en totalité.” En d'autres termes, la conscience de masse lui a donné la permission de faire ses variants, et à présent je crois que vous en êtes à ce que vous appelez le variant Delta, et vous en avez un autre après cela.

LINDA : Omicron.

ADAMUS : Lequel ?

LINDA : Omicron.

ADAMUS : Le variant Omicron. Et à présent, il fait tous ces variants et il y aura d'autres variants qui se produiront, parce que le COVID est en train de faire un ménage complet là, avec la permission de l'humanité. Et peut-être – peut-être même que cela se produit aussi parce qu'il y a eu suffisamment d'êtres sur la planète qui ont fait briller leur lumière de sorte que l’humanité s’est dit : « Faisons-le ».

LINDA : Waouh.

ADAMUS: Il y a eu suffisamment d’êtres qui ont traversé l’expérience du dragon dans leur propre vie - et, dans un sens, le Covid a beaucoup à voir, c’est un dragon - mais il y a suffisamment de Shaumbra qui sont passés par l’expérience du dragon pour (que l’humanité) se dise: “Tu ne seras pas un petit dragon. Tu iras jusqu'au bout. Tu ne feras pas un petit ménage pour ensuite revenir dans quelques années et en faire un peu plus. Faisons-le tout de suite.”

Alors peut-être qu'avec cette lumière, cela a aidé à influencer la conscience de masse, afin qu’elle se dise : “Allez. Occupons-nous-en maintenant. Laissons-le venir transformer les systèmes”. Et, oui, le COVID a causé beaucoup de morts, mais, d'une certaine manière, il s’agissait d’êtres qui étaient prêts à partir. Et je n'essaie pas de minimiser la tristesse et la souffrance qui surviennent lorsque quelqu'un meurt à cause de quelque chose comme le COVID, mais en général, c'étaient des gens qui ne seraient pas restés longtemps de toute façon. Ils allaient trouver un moyen ou un autre de partir, et pour beaucoup d'entre eux, il s'agissait simplement d'un redémarrage, d'un reboot, une façon de se dire : « Je me suis vraiment trompé de chemin dans cette vie » ou “Je ne faisais rien dans cette vie. Je vais faire un reboot et revenir.”

Vous verrez très probablement une sorte de mini boom démographique dans environ cinq à sept ans, du fait de ceux qui sont morts à cause du COVID et qui sont en train de se ressourcer un peu actuellement de l'autre côté, et puis qui reviendront. Mais l’important, c’est ce que le COVID a fait, et est en train de faire: un ménage en profondeur dans à peu près tout.

Le COVID s’est littéralement imbriqué, intriqué très en profondeur dans la conscience de masse. Cela aurait pu se faire qu'il soit arrivé, qu'il ait eu un impact et qu'il soit reparti, mais il s'est imbriqué, intriqué comme un cancer. En d'autres termes, il fait maintenant partie du tissu de la vie et, ce faisant, il affecte toute chose. Il affecte l'industrie médicale et, encore une fois, d'un point de vue positif, la recherche, le temps, les efforts et l'argent consacrés à la recherche médicale iront bien, bien au-delà du simple COVID. Cela ira jusqu’à une nouvelle compréhension du génome humain. Une nouvelle compréhension de la façon dont les particules atomiques fonctionnent ensemble. Et surtout, cela aboutira à la compréhension extraordinaire, je pense, qui va émerger au cours des 18 prochains mois, cela aboutira à une réelle compréhension pratique de la façon dont les éléments, ou comment les particules entrent et sortent de la réalité. Ce ne sera pas juste une théorie émanant de quelque physicien, mais désormais, on aura une compréhension plus profonde de cette transformation des particules.

Chaque particule, chaque objet dans ce royaume-ci a son objet ou sa particule réciproque ou parallèle dans un royaume non physique. C'est comme une ombre ou comme un fantôme, et les deux vont et viennent parfois, et parfois la particule dans ce royaume-ci part complètement dans l'autre royaume puis revient, ou ce qui était l’ombre de la particule revient dans la réalité physique.

Le fait est qu'avec cette nouvelle focalisation portée sur la recherche médicale, on va désormais comprendre comment les particules fonctionnent vraiment, comment elles vont et viennent, entrent et sortent de la réalité, et donc, par conséquent, on aura une meilleure compréhension de ce que les gens appellent les autres dimensions, mais qui sont en réalité d'autres royaumes.

Donc, la conséquence du COVID, du coronavirus - je préfère ce terme – c’est qu’il est en train de changer, de transformer la planète actuellement. Il est en train d’accélérer les changements. Il provoque le fait que beaucoup de choses sur la planète sont en train d’être repensées, et il restera là pendant un certain temps, bien que je ne fasse aucune prédiction. Ne me demandez pas combien de temps il restera.

LINDA : D'accord.

ADAMUS: Je ne ferai aucune prédiction là-dessus.

Donc, tout cela est en train de se produire, et vous avez choisi de rester ici. Vous avez choisi d'être des Maîtres incarnés, et ce n'est pas facile. Et, s'il vous plaît, certains d'entre vous se sont peut-être fait un peu trop d’illusion, en pensant qu'en venir à votre maîtrise allait être facile. Ce sera différent, et à bien des égards facile, mais à certains égards, ce sera beaucoup plus difficile.

Pas d'un point de vue personnel, pas du point de vue d’un « Quelle erreur ai-je fait ? », mais ce sera beaucoup plus difficile par rapport au sens où: « Il y aura des jours où je ne voudrais tout simplement pas être là ». Et acceptez cela. N'essayez pas de lutter contre, parce qu’il y aura effectivement des jours où vous aurez l'impression d'être surchargé, submergé, parce que vous ressentirez tout ce qui se produit autour de vous. Vous n'avez même pas besoin de lire un journal ou – est-ce que les gens font encore cela ? Vous n'avez pas besoin de – je reçois cela de Cauldre – oh, de regarder Internet, YouTube et ce genre de choses qui existent de vos jours, pour comprendre que c'est très difficile, et vous le ressentez à un niveau sensoriel. Vous le ressentez tout autour de vous, et vous avez toujours l'habitude de considérer cela comme vous appartenant, qu’il y a quelque chose que vous faites mal. Ce n’est pas le cas. Vous êtes juste (on entend un bruit de claquement) en train de sentir ce qu’il y a tout autour de vous (Adamus rit).

Alors, prenons une bonne respiration profonde avec ça, alors que des choses ici tombent du plafond. Mais, hein, ça devait arriver, c’était inévitable. Des choses se passent tout autour de vous.

 

Une protection naturelle

Ainsi que Cauldre et Linda vous en ont parlé dans leur introduction, des choses arrivent et continueront d’arriver. Tant que vous serez là sur la planète dans la conscience de masse, tant que vous serez dans la nature, tant que vous serez entouré, environné d'autres personnes, des choses arriveront. Leur exemple récemment a été cet arbre qui est tombé sur la maison. Mais il a fait très peu de dégâts. Il n'y a eu aucun dommage personnel. Aucun d'eux n'a été blessé, ni Belle.

L'arbre est tombé parce que c'est la nature. Des arbres tombent, et les arbres n'arrêteront pas de tomber simplement parce que vous êtes un Maître incarné. Quand des choses se produiront cependant, et elles se produiront tout près de vous, il y aura une protection naturelle qui se produira aussi, parce que vous êtes un Maître incarné. Un arbre est tombé, mais au lieu de tomber directement sur la maison et de faire beaucoup de dégâts, il est tombé d'une manière presque précise, je veux dire, d'une manière extraordinaire. Et il est tombé de telle manière que les dégâts ont été minimes. Cela a créé beaucoup d'excitation et de drame, ce que, je crois, Cauldre et Linda ont apprécié dans une certaine mesure.

LINDA : (chuchotant) Quoi ?!

ADAMUS: Cela a certainement attiré leur attention (Linda rit). Linda est assise là en faisant des yeux ronds. Elle est vraiment douée pour ça, pour faire des yeux ronds.

Mais vous avez – avec ce qui se passe autour de vous – vous avez une sorte de protection naturelle. Cela ne veut pas dire que des choses n’arriveront pas. Elles arriveront, mais vous avez en quelque sorte - je veux faire attention à ce que Cauldre dise cela correctement - vous avez une espèce d'anneau de protection autour de vous, mais ne comparez pas cela aux choses que vous faisiez dans le temps en plaçant une lumière blanche tout autour de vous. Ça, c'était un peu comme un mur, une barrière. Désormais, il y aura simplement une espèce de champ d'énergie autour de vous, votre champ d'énergie, et c’est une protection naturelle.

Il pourra se passer quelque chose du genre: vous êtes dans une foule et il y a des gens qui sont porteurs du COVID, et vous avez simplement cette protection naturelle. Quelqu'un d'autre pourra être infecté, mais vous, vous ne serez pas nécessairement infecté. Ou prenons un accident de voiture, quelqu'un qui dérape, fait une embardée sur la route et il y a un carembolage de voitures. Cela se produit juste là devant vous mais étrangement, dans ce qui apparait presque relever du miracle, rien ne vous arrive. Il y a juste une petite bosse sur l'aile de votre voiture. Ou vous pourriez marcher à travers la forêt et qu’une grosse tempête se lève, avec des éclairs et du tonnerre, et tout cela pourrait se produire tout autour de vous, mais votre protection naturelle vous protégera.

Ceci dit, ce n'est pas une protection angélique et nous ne vendons pas ici aujourd’hui de programmes d'assurance pour vous garantir une protection. C'est votre énergie naturelle. C'est un peu comme un champ d'énergie autour de vous qui fait que vous pouvez vous retrouver en plein milieu de toutes sortes de drames, toutes sortes de choses folles actuellement, et vous êtes protégé, et c'est à vous.

J'aimerais que vous ressentiez cela à présent.

C'est là parce que vous vous êtes permis, vous vous permettez d'être là. C'est là parce que vous êtes ici sur la planète et que des choses vont se produire. Tous les jours ne seront pas lumineux et ensoleillés. Et il y aura du chaos et des problèmes et il se produira des choses sans précédent comme des défaillances, des pannes sur Internet et ce genre de choses, et vous pourrez être là, mais d'une manière ou d'une autre, cela ne vous affectera pas. C’est comme s'il pleuvait sur tout le monde et que vous en étiez très conscient – vous pouvez sentir et ressentir la pluie dans l'air, vous pouvez la voir – mais pour une raison quelconque, il ne pleut pas sur vous.

C'est à cela que la vie va ressembler à l'avenir. Ce n'est pas comme si la planète entière allait soudainement se trouver purifiée et que tout le monde se mette à chanter Kumbaya en se serrant dans les bras. Cela pourrait se produire à un moment donné, mais pour le moment, non. Il y a trop de changements qui sont en train de se produire sur la planète, beaucoup trop de changements pour que cela arrive dans les royaumes. S’il devait se produire quelque chose, cela ne ferait que provoquer plus de conflits.

Et surtout, j'aimerais que vous compreniez aussi, en plus de votre protection – c'est une espèce de protection naturelle – vous pourriez vous retrouver au milieu de fous, mais vous, vous n'êtes pas fou. Mais l'une des choses que les Shaumbra continuent de faire, c’est de ressentir de profonds niveaux d'anxiété – d'anxiété – et il s’agit d’une anxiété fantôme. Cauldre a écrit à ce sujet récemment ( ici ), c’est ce qu’il me dit. Il s’agit d’une anxiété ou d’une angoisse fantôme, et ce qu’il se passe, c’est que vous captez, vous récupérez simplement des choses tout autour de vous – émanant des autres personnes, de la planète en général, du futur – et cela ne vous appartient pas, ce n’est pas à vous.

 

Ce n'est pas à vous

Les Shaumbra ont l'habitude de prendre en charge les choses. Vous faites cela depuis de très, très nombreuses vies. Vous avez été des porteurs d'énergie sur la planète. Vous avez été en quelque sorte des sauveurs dans de nombreuses situations durant vos vies antérieures. Et donc, vous vous êtes occupés, vous avez pris en charge beaucoup de choses de la planète, beaucoup de la conscience de masse. Et actuellement, vous avez encore cela en vous à un certain degré, et cela vous provoque de l'anxiété.

Cette anxiété, c’est un peu comme une couverture en crin de cheval, quelque chose que j'utilise de temps en temps. Certains d'entre vous ne sont peut-être pas familiers de cela, mais ces couvertures offrent un certain niveau de confort et de chaleur, mais elles démangent sacrément. Et pour ce qui concerne les Shaumbra, vous aimez toujours ce rôle de baby-sitter planétaire, vous aimez maintenir, porter l'énergie, prendre en charge des choses qui ne vous appartiennent pas pour pouvoir les traiter, pour pouvoir, espérez-vous, aider la conscience de masse. Mais il est temps de laisser tomber tout cela. Il est temps de brûler cette couverture de crin, parce qu’avec le véritable travail que vous êtes en train de faire ici sur la planète – faire briller votre lumière – il n'y a pas de place pour cela. Il n'y en a pas besoin. Et je sais que parfois, c'est confortable et douillet pour vous d’avoir l’impression que vous faites vraiment quelque chose et que vous vous attaquez aux problèmes du monde, mais au fur et à mesure que vous en viendrez à votre corps de lumière, vous constaterez que tout cela ne fonctionne plus très bien.

Vous prenez en charge les problèmes des autres, les énergies des autres, et c'est très, très difficile pour votre corps physique. Vous prenez sur vous une énorme charge supplémentaire qui ne vous appartient pas. Beaucoup d'entre vous qui sont malades, qui n'ont jamais d'énergie, qui ont des maladies, ce ne sont pas les vôtres. Vous avez pris sur vous des problèmes de conscience de masse, en partie parce que vous êtes très sensibles – vous ressentez ces choses et ensuite vous vous dites : « Oh, il doit y avoir quelque chose qui cloche chez moi » – en partie parce que vous faites toujours du travail social. Laissez les autres faire ce travail social. Ils veulent monter en grade. Au fur et à mesure que d'autres personnes développeront plus de conscience, elles voudront faire ce que vous faisiez avant.

Être des porteurs d'énergie, faire du travail social au niveau planétaire, du travail social spirituel, cela ne vous appartient plus. Et ce sera très, très difficile, plus votre corps de lumière arrivera, de vous adapter à cela et de tenir ou porter sur vous ces autres problèmes. En premier lieu, ce ne sont pas les vôtres, ils ne vous appartiennent pas et j'aimerais que vous fassiez vraiment preuve de discernement pour le reconnaître. Ce ne sont pas les vôtres, et vous avez toujours tendance à penser qu'ils le sont, et vous les justifiez comme étant les vôtres, mais ils ne vous appartiennent plus.

Qu’est-ce qui vous appartient? C’est Tobias qui l'a dit le mieux: "Ce que vous choisissez." Si vous ne choisissez pas quelque chose – des pensées indésirables dans votre cerveau, des problèmes physiques – si vous ne choisissez pas cela, alors ce n'est pas à vous. Si vous le choisissez, qu'il en soit ainsi, ce sera à vous. Mais vous avez ce droit, et je vous dirai que vous avez l'obligation – envers moi et envers les Shaumbra et surtout envers vous-même actuellement – de laisser tomber ces choses.

Lors d’une récente réunion à Kona, j’ai pris grand plaisir à interpeller des gens, à les reprendre à propos de leurs problèmes. Ils adorent parler – pas comme ils en avaient l’habitude dans le temps, mais toujours jusqu’à un certain point – ils adorent parler de leurs problèmes de victimes ou de victimisation et de comment ils se trouvent à un endroit dans leur vie où, n’est-ce pas, ils ne peuvent rien faire et rien ne marche pour eux, et eh bien, si cela ne marche pas, c’est parce que vous vous accrochez encore à ces problèmes. Vous les considérez toujours comme étant les vôtres. Si c’est là, c’est parce que vous aimez toujours cela.

Et donc, je vous invite à présent, chacun d'entre vous, à laisser tomber tout cela. Nous avons un autre travail à faire. Nous avons à faire briller la lumière, il s’agit de rayonner la lumière plutôt que d'attirer à vous le nuage noir de tout le monde. Vous n'êtes plus là pour regrouper les nuages noirs, pour voir si vous pouvez les traiter et les nettoyer et tout le reste de ces conneries. Désormais, vous êtes là pour faire briller votre lumière, et il y a une grande différence, et vous savez de quoi je parle. Il y a une grande différence entre le fait de faire simplement rayonner votre lumière versus rassembler des nuages noirs qui ne sont en verité pas les vôtres.

Prenons une bonne et profonde respiration avec ça. Hum !

Bien, continuons. Changeons de sujet. Mais avant de le faire, je tiens à insister, une fois encore, sur cette protection naturelle. C'est quelque chose qui vous revient en tant que Maître incarné, alors que vous restez sur la planète. Cela est dû à la façon dont l'énergie fonctionne. Votre propre énergie ne vous fera jamais de mal à moins que vous aimiez cela, à moins que vous ne vouliez avoir mal. Mais autrement, vous pourriez vous retrouver au milieu de toutes ces autres choses et, tout comme l'arbre qui est tombé sur la Villa Ahmyo, l'arbre est tombé, mais en faisant très, très peu de dégâts. Et ces dégâts ont vraiment constitué un bon point d'illustration et créé un petit drame amusant pendant un jour ou deux. Mais dans un cadre différent avec d'autres personnes, cela aurait probablement détruit environ la moitié ou le tiers de toute la maison.

Alors, prenons une profonde respiration avec ça.

 

L’Amour

Sujet suivant : l'amour. L’amour.

Je ne parle pas beaucoup d'amour, pour de nombreuses bonnes raisons, mais je vais commencer à en parler davantage. Je n'en parle pas, je n'utilise pas ce terme dans mon vocabulaire habituel avec les Shaumbra, nous n'aimons pas beaucoup les Kumbayas, parce que pour moi l'amour ne correspond pas à ce que la plupart des humains définissent comme tel ou même à leur expérience de l’amour. Pour moi, l'amour humain est très surfait.

L'amour a été fortement manipulé, et l'amour est généralement quelque chose que vous devez donner aux autres. Et parfois peut-être le recevoir pour vous-même, mais ce n’est pas quelque chose qui est autant valorisé que le fait de le donner aux autres. Vous n'entendez pas beaucoup parler de recevoir de l'amour. Vous entendez plutôt parler de donner de l'amour.

On a fait un usage excessif, très, très excessif de l'amour, y compris dans la Bible et dans certains des autres livres saints. L'amour a certainement été makyo-isé à mort par le New Age, à partir des années 60, et bien au-delà. Il a été makyo-isé par le New Age - "Nous allons tous nous aimer les uns les autres et nous allons faire l'amour Kumbaya, et nous sommes tous un et nous allons recommencer à nous aimer les uns les autres dans l’unité » – et pour moi, tout cela est une espèce de farce. C'est en quelque sorte une énorme incompréhension de l'énergie et en vérité de ce qu'est vraiment l'amour.

Pour moi, l'amour c’est, eh bien, c’est quelque chose dont on a fait l’expérience pour la première fois ici sur Terre. Et les gens parlent de Dieu qui partage son amour – et là, vous savez que quelque chose ne va pas, parce qu’on identifie Dieu à un « lui » et au fait qu’il partage cet amour en quelque sorte « sur demande » ou après imploration. Dieu distribue un peu d'amour ici et là. Dieu – ou quoi que ce soit – n'a jamais eu aucune idée de ce qu'est l'amour. Votre âme, votre Je Suis n'a jamais eu aucune idée de ce qu'était l'amour avant que les humains n’arrivent sur cette planète.

Personne n'a jamais dit : « Tu vas aller sur la planète pour faire l’expérience de l'amour », parce qu'on n'avait aucune idée de ce qu'était l'amour. Vous êtes venus sur la planète pour comprendre la relation existant entre la conscience et l'énergie au nom de vos familles angéliques, que vous n’aimiez pas parce que l'amour n’existait pas.

Alors maintenant, vous venez sur cette planète, vous vous lancez dans cette incroyable et folle quête pour comprendre l'énergie et la conscience, et que trouvez-vous ? L'amour. L'amour pur. L'amour pour l'autre. Une connexion très claire, un souvenir, une réminiscence – même dans cette réalité – une réminiscence de là d'où vous êtes venus avec l'autre personne, en sachant que vous êtes arrivés tous deux d'un endroit très, très lointain, il y a très longtemps. Et il y avait cette connexion qui a ensuite déclenché cette chose qui n'avait jamais été expérimentée sur la planète - l'amour - et finalement l'amour est devenu l'un des sens angéliques.

Vous avez continué à aimer, mais vous avez ensuite découvert le côté obscur de l'amour : les avocats spécialisés en divorce. Vous avez découvert la brutalité de l'amour. Quand l’un de vos parents vous battait en vous disant : « Je fais ça parce que je t'aime », et quand vous êtes rentré à la maison un après-midi et que vous avez trouvé votre partenaire au lit avec quelqu'un d'autre et qu'il vous a dit : “ Non ! Non, je t'aime vraiment. C'était juste une petite erreur de conduite de ma part.” Et alors l'amour fait mal. L'amour mord.

Et puis il y a les gens – des gens qui ne s’étaient jamais rencontrés avant et qui se disent soudain: « Oh, je t'aime », vous savez, comme si c'était un mot du style « pain » ou « air ». Eh bien, non, je pense que c’est utiliser le terme de façon un peu vague là. Je pense que vous devez connaître quelqu'un pendant plus de 10 minutes avant de pouvoir l'aimer, pour la plupart.

Et donc, l'amour est l'un de ces phénomènes dont les humains ont d'abord fait l’expérience sur Terre, et qui se fraie à présent un chemin à travers toute la création. Il y a des êtres angéliques qui viennent ici juste pour faire l'expérience de l'amour, un peu comme un Cirque de l’Amour, "Nous voulons descendre ici-bas et voir ce que c'est, cette chose qu'on appelle l'amour." Et de quoi parlent vos chansons? D’amour. D’amour. Combien de chansons sont écrites sur le beurre de cacahuètes ? Pas beaucoup. On écrit sur l'amour. Combien de chansons sont écrites sur les découvertes scientifiques ? Environ 10, mais toutes les autres parlent d'amour sur la planète.

Je ne parle pas d'amour, et vous pouvez vous dire que je suis un peu cynique – peut-être ? Je ne sais pas si vous pouvez dire cela, détecter cela dans mon attitude à propos de l'amour – mais c’est seulement parce que l’on a utilisé le terme de façon excessive, qu’on l’a manipulé, commercialisé, mal compris et qu’on lui a fait du mal à bien des égards.

Vous avez vécu de nombreuses expériences avec l'amour, et pour la plupart d'entre vous, la majorité, dans votre dernière vie, beaucoup d'entre vous sont partis seuls en se disant : “Terminé avec l'amour. J'en ai fini avec ça”. Terminé avec les relations et les partenaires. Terminé de tomber profondément amoureux comme ce que vous faisiez auparavant, quand vous perdiez simplement tous vos sens et tout votre Soi, en tombant profondément amoureux d'une autre personne. Cela a servi un propos. Vous avez appris beaucoup et vous avez fait l'expérience de l'amour.

Ensuite, nombre d'entre vous dans votre dernière vie sont partis seuls, solitaires, loin des autres et loin de l'amour. Vous aviez besoin de ce temps seul avec vous-même, sans l'intrusion d'une relation amoureuse. Oui, j'ai dit « intrusion » parce que ça peut l'être. Et puis vous êtes né à cette vie-ci.

Vous êtes nés à cette vie, n’est-ce pas, avec toute la connaissance intérieure au monde de la raison pour laquelle vous étiez là. Avec toute la connaissance intérieure de l’objet de cette vie. Je veux dire, pas dans ses détails, mais en termes de ce pour quoi vous êtes là – pour votre Réalisation et finalement pour rester là en tant que Maîtres incarnés. Et le long de votre chemin, beaucoup d'entre vous ont essayé d’en revenir à vos relations, et cela n’a pas fonctionné. Beaucoup d'entre vous ont essayé, ont travaillé pendant des années ou des décennies sur une relation, sur toute cette chose qu’est l'unité familiale et toute cette chose qu’est l'amour, et cela n'a pas marché. Et beaucoup d'entre vous en êtes encore tristes aujourd'hui – quand nous en discutons tard le soir – et vous me dites : “Mais, Adamus, je voulais juste un partenaire, un amant dans cette vie, et je n'en ai jamais trouvé. C'est vraiment la seule chose dans ma vie qui n'a jamais été satisfaite, ce partenaire, mon âme sœur.” Et alors quand vous me parlez d’"âme sœur", j'ai envie de vomir et de rendre, et vous me dites : “Oh non ! Je suis désolé. Je voulais dire ma flamme jumelle”. Et alors j'ai ce regard sur mon visage. Cela n’existe pas les âmes sœurs ou les flammes jumelles.

Et donc, vous êtes nés à cette vie dans l'espoir d'avoir cet amour, mais vous êtes également nés à cette vie en sachant que vous alliez le repousser, parce que vous ne vouliez pas que quoi que ce soit interfère avec votre Réalisation.

L'amour est une chose magnifique - l'amour dont je parle, pas l'amour humain ordinaire - l'amour est une chose vraiment magnifique quand vous pouvez le partager ouvertement avec une autre personne. Que vous pouvez partager votre corps, partager vos pensées les plus intimes, partager des histoires sur votre voyage, partager des rires, partager le fait d’aller au cinéma ou de faire un long trajet en voiture. Quand il n'y a rien à cacher, quand il n'y a rien que vous ayez à retenir, c'est cela l'amour. Si vous êtes dans une situation où il y a de la retenue, où il y a des choses cachées, où il y a des passages secrets qui mènent à votre psyché et à votre esprit, quand il y a de la jalousie, quand il y a des accusations et tout le reste, cela, ce n'est pas de l'amour. Ce n'est pas cela l'amour. Ça, c'est une relation, mais ce n'est pas l'amour dont je parle.

Et donc, le long du chemin, les humains ont découvert l'amour et ils en ont fait l’expérience profondément et ils ont expérimenté son côté sombre et son côté magnifique, et, non, je ne suis pas du tout contre l'amour. Je suis contre l'utilisation abusive et impropre du terme « amour ». Oh l’amour. Et, bien sûr, le plus grand amour de tous et le plus insaisissable de tous, c’est l’amour de soi.

Il est temps, chers Shaumbra, chers Maîtres, il est temps à présent de vous aimer d'une manière non makyo. Pas de l'ancienne façon du genre « Oh, je m'aime, je m'aime », alors que ce n'est vraiment pas le cas. Mais en vous aimant vraiment.

Je vous en parlerai davantage et parfois je serai très critique à propos de ce que je vais appeler "l'amour à l'ancienne" ou l'amour merdique. Je vous parlerai de l'importance actuellement d'avoir aimé les autres, mais maintenant de ce que c'est que de s'aimer soi-même. Et c'est difficile, parce que d'aussi loin que vous veniez et aussi conscient que vous soyez, il est encore difficile actuellement de vous aimer. Et rappelez-vous ce que je vous ai dit à propos d'avoir un partenaire. Le véritable amour, c'est quand il n'y a pas de retenue. Qu’il n'y a pas de secrets. Qu’il n'y a pas de chambres ou de couloirs cachés. Il n'y a pas de jalousie. Il est ouvert et confiant. C'est cela le véritable amour. Quand vous n'êtes pas liés l'un à l'autre jusqu'à ce que la mort vous sépare. Ce n'est pas cela l'amour. Ça, c'est de la religion.

Le véritable amour ne s'accroche jamais à personne ou à quoi que ce soit. Il n'y a pas besoin de s'accrocher à rien de cela, de s'y aggriper, de les attacher, parce que ce n'est pas cela l'amour. L'amour, c’est cette confiance profonde en vous-même et dans les autres.

Mais à présent, nous allons parler davantage de s'aimer soi-même - de s'aimer soi-même - et c'est vraiment l'une des choses les plus difficiles et les plus éprouvantes de toutes. Il est beaucoup plus facile d'aimer l'autre. C'est beaucoup plus facile de projeter de l'amour, de donner de l'amour que de le recevoir, que ce soit de quelqu'un d'autre, mais surtout de soi. Surtout de vous.

Il est temps à présent de parler d'amour d'une manière que vous n'avez peut-être jamais entendue auparavant. Nous organiserons des rassemblements spéciaux, des rassemblements d'amour, mais je voulais soulever le sujet dès maintenant. C'est le prochain virage que nous allons prendre ou le prochain Point de Séparation, peu importe comment vous souhaitez l'appeler – vous aimer vous-même.

Prenez un instant à présent pour imaginer la possibilité de vous aimer inconditionnellement.

Vous êtes venu ici sur la planète sans rien savoir de l'amour. Puis vous l'avez découvert et vous êtes tombé amoureux. Ensuite, vous avez eu des relations sexuelles, et puis vous avez eu de nombreuses autres relations amoureuses. Et puis l'amour a tourné au vinaigre, tout comme le lait tourne à l’aigre. Mais à travers cela, même à ce moment-là, vous avez appris ce que l'amour n'est pas, afin de pouvoir vous retrouver là fnalement à vous aimer vous-même.

L’espèce d'amour dont nous allons parler n'est pas du tout makyo, et si vous commencez à faire ça, votre dragon viendra vous mordre juste dans votre biscuit d'amour, juste là. Il ne permettra pas cette espèce d'amour barbe à papa, tout sucré, tout mielleux. Je parle de vous aimer vraiment vous. Cela vous parait être une bonne chose, n'est-ce pas ? Mais pourtant, c'est très difficile. C'est tellement difficile.

Prenons une profonde respiration ensemble à présent, alors que nous passons à la prochaine étape avec les Shaumbra. Et je retournerai au Club des Maîtres Ascensionnés pour dire une chose ou deux à ces connards, ceux qui disaient à quel point c'est facile pour vous, et je leur dirai : “Vous savez sur quoi nous travaillons actuellement” - ou, pour le dire mieux – “ce que nous permettons actuellement, c'est le véritable amour de Soi”. Pas cet amour de chochotte, où vous sortez à l’extérieur pour « aimer le monde », et ce même si vous ne l'aimez pas vraiment. L’amour de soi et c’est vraiment l’accomplissement de la raison pour laquelle vous êtes venu sur la planète, parce que pour vraiment comprendre l'énergie et la conscience, comment elles fonctionnent ensemble, il s’agit aussi de comprendre comment s'aimer soi-même.

S'aimer soi-même, c'est s'accepter pleinement, accepter tout de soi. Tout.

Prenons une bonne respiration profonde avec ça. Ah ! C’est un café délicieux.

Bien, point suivant. Point suivant à notre hit parade. Hum.

Eh, je voudrais rester sur ce ressenti d'amour un instant. Faisons juste cela – l'amour de soi – et laissons cela traverser votre conscience à présent. Venir sur cette planète pour en savoir plus sur la conscience et l'énergie, mais qu'est-ce que vous trouvez ? L'amour pour l'autre, et puis vous passez par toutes les expériences autour de cela. Aimer l'autre, le bon et le mauvais, et puis pendant un moment, c'est presque comme s'il n'y avait plus rien, plus d’amour. On dirait que l'amour est sorti de votre vie, et à présent il est temps de vous aimer vous-même.

Il n'y a pas beaucoup d’êtres sur la planète actuellement ou d’êtres qui sont déjà venus ici qui se sont vraiment aimés eux-mêmes. Il n’y en a pas beaucoup. Nous ferons cela – pas ensemble – mais nous ferons cela en quelque sorte simultanément.

 

Une histoire de Maître

Très bien, prenons une bonne respiration profonde, alors que je change de sujet maintenant. Encore une fois, j'aimerais vous raconter une histoire, une histoire de Maître.

Le Maître était assis dans son cottage une fin d'après-midi, à lire un livre près de la cheminée, en savourant un bon verre de vin, à faire ce que fait un véritable Maître, en prenant simplement son temps. Un Maître enseigne beaucoup, il donne beaucoup de cours et ses journées sont assez remplies, mais un Maître sait que de temps en temps, il doit simplement prendre du temps pour lui-même. Mais il était assis en train de lire un livre et soudain, il entendit une de ces cloches – heh ! – une cloche qui sonnait dans sa tête. Il n’entendait pas concrètement une cloche, mais c'était comme une impulsion, un petit coup. C'était sa connaissance intérieure que soudain, il devait poser son livre, mettre son manteau et sortir se promener.

Maintenant, la chose intéressante, c’est que le Maître ne savait pas pourquoi et un Maître ne se pose pas de question, parce qu'une fois que vous vous questionnez, vous commencez à devenir mental. Une fois que vous vous dites : « Maintenant, pourquoi est-ce que je ressens cela ? » et “Est-ce juste moi?” ou “Que dois-je faire ? Qu'est-ce que l'Esprit essaie de me dire ?” Non, non, non, non, non.

Le Maître sentit cette cloche sonner, comme un petit coup, une impulsion, il enfila son manteau et sut qu’il devait simplement aller se promener, ne sachant pas pourquoi, ne sachant pas où cela le mènerait. Et c'est un point très important pour vous tous. Vous ressentirez simplement quelque chose, et ce que vous aviez l'habitude de faire jusqu’à présent, c’était d'y penser et de le décortiquer et de le disséquer et de l'analyser et de devenir stupide à ce sujet. Il est temps à présent d'aller dans votre connaissance intérieure, comme le Maître l'a fait. Il a mis son manteau et est sorti, sans savoir s'il devait tourner à gauche ou à droite ou aller tout droit, sans rien savoir. Mais en sachant et en ayant suffisamment confiance en lui pour savoir que ce serait le bon chemin, le bon endroit.

Il marcha pendant environ sept minutes et finalement il arriva au petit lac du campus entouré de grands et beaux arbres, et là, sur un banc en cette fin d'après-midi au bord du lac, il y avait l’une de ses étudiantes, Christina, qui pleurait, assise sur un banc à sangloter. Le Maître s'arrêta un instant. Il avait senti beaucoup de choses se passer avec Christina ces derniers temps, comme si quelque chose la tourmentait, et donc il n'était pas vraiment surpris de la voir pleurer. C'était une bonne élève. Elle était absolument dévouée, engagée dans sa Réalisation. Elle avait une bonne compréhension de son énergie, mais il y avait quelque chose qui interférait, quelque chose qui la gênait, se mettait en travers de son chemin.

Il resta là pendant un instant, ressentant Christina, se demandant si c'était vraiment bien de l'approcher ou si peut-être il devait simplement s'éloigner. Mais alors qu'il ressentait cela, sans essayer de mettre des mots dans sa tête, sans essayer que le Soi supérieur de Christina lui parle, il ressentait simplement l'énergie, tout comme vous devriez le faire. Ne devenez pas mental avec cela. Ne vous empétrez pas dans votre mental, votre cerveau. N'attendez pas d’entendre une énorme voix. Ressentez simplement l’énergie. C'est cela, votre connaissance intérieure. C'est cela que le Maître faisait. Il ressentait l’énergie, et il lui sembla très approprié d'approcher Christina, presque comme si les énergies l'invitaient à venir.

Alors, il – hum – il s'éclaircit la gorge – hum – plusieurs fois afin de ne pas lui faire peur, alors qu'il s'approchait d'elle assise sur son banc, et qu’elle était là la tête dans les mains en sanglotant, sanglotant. Le Maître s’assit simplement à côté d'elle, sans dire aucun mot, sans lui dire quelque chose de stupide du genre : « Comment vas-tu ? » (Linda rit doucement) Qu’était-elle censée répondre à cela ? N'est-ce pas ce que les humains disent : « Comment allez-vous ? » “Je suis en dépression. Je ne veux plus vivre. Et vous, comment allez-vous ?” Non! (Linda rit) Le Maître était juste assis là – j'amuse volontiers Linda (Adamus rit).

Le Maître était juste assis à côté d'elle – et il en avait l’habitude, d’être juste là. Le Maître permettait simplement à sa lumière de briller. Il n'avait pas à y travailler. Il n'avait pas besoin d’appuyer sur un bouton en disant : « Lumière, allume-toi. » Un vrai Maître fait toujours briller sa lumière. Le Maître s’était juste assis là pendant un instant, et il n'essayait pas de lui envoyer toutes sortes de bonnes vibrations énergétiques, il n'essayait pas de la guérir, il n'essayait pas de dire des chants ou des prières. Il n'avait pas sorti d'encens de sa poche ni ne l'avait allumé pour balayer et purifier l'air. Rien de cela. Il s'était juste assis là. C'était la chose parfaite à faire. C'est ce dont elle avait besoin.

Elle n'avait pas besoin de tout un tas de discours à ce moment-là. Elle n'avait pas besoin d'un tas de conseils de la part d'un vieil homme, et elle n'avait certainement pas besoin de sentir l’encens tout autour d’elle. Parfois, les humains ont cette idée bizarre de vouloir essayer d'aider les autres et c'est une sacrée intrusion à mes yeux. Parfois il suffit juste d’une présence – quand vous ressentez qu'il y a cette invitation, il suffit juste de votre présence – et sans dire beaucoup de mots, voire aucun.

Et donc, le Maitre s’était assis à côté de Christina. Elle savait qu’il était là. Elle pouvait le sentir, le détecter, et il était juste assis. Sans dire un mot, sans essayer de s’imposer auprès de Christina, il était juste assis là. Au bout de cinq minutes, Christina s’arrêta de pleurer, elle reprit sa respiration en quelque sorte, essuya les larmes sur son visage, et le Maitre chercha quelque chose dans sa poche, dans la poche de son manteau, et il en retira une petite fiole de cognac et la tendit à Christina sans un mot. Elle en prit une grosse gorgée et poussa ensuite un profond soupir de soulagement.

Ceci dit, ce n'est pas qu’un Maître doive toujours porter sur lui une fiole de cognac, mais ce n'est pas une mauvaise idée à l'occasion. C'est exactement ce dont Christina avait besoin, juste de quelque chose pour briser toute cette situation émotionnelle cathartique dans laquelle elle se trouvait. Le Maître savait qu'elle devait traverser cela, dans une certaine mesure, mais il s'était également rendu compte qu'elle s’était bloquée là-dedans. Elle tournait en boucle là-dedans à présent.

Le Maître s'était rendu compte qu'il y avait des problèmes dans sa vie, des choses qui n'avaient pas tourné comme elle l'avait souhaité et qui étaient spécifiquement liées à une relation qu'elle avait eue, une relation qui durait depuis environ cinq ans. Elle n'avait pas épousé ce monsieur, mais ils avaient vécu ensemble, et il venait de rencontrer quelqu’un et l’avait quittée sans presque un mot. Juste en lui disant "C'est fini" et elle était dévastée.

Christina finit par dire au Maître: "Ce n'est tout simplement pas mon destin de connaître l'amour."

Le Maître était juste assis là. Il y a des moments où il vaut mieux ne rien dire. Le Maître était juste assis là, et elle lui dit : “Vous savez, Maître, ce n'est pas la première fois. Ma relation d'avant avait duré deux ans et celle d'avant encore avait duré à peine huit mois, et celle encore d'avant avait duré environ cinq ans, six ans.” Et elle lui dit: "Il n'est tout simplement pas prévu, pas écrit que j'aie jamais, jamais une relation dans cette vie."

Le Maître la comprenait vraiment, parce qu’avant de permettre sa Réalisation, il était passé d'une relation à une autre en essayant de trouver des réponses, en essayant de trouver un sens et en essayant de trouver l'amour, et aucune de ses relations n'avait marché. Il savait ce que c'était que d'affronter les ténèbres de l'amour, mais finalement d'émerger avec l'amour de Soi, et alors (de constater que) c'est tout ce dont vous avez besoin. Mais ensuite, quand vous avez l'amour de votre Soi, alors vous pouvez vraiment entamer une relation avec une autre personne dans un véritable amour.

Christina commença à parler. Je crois que la grande gorgée de cognac qu’elle avait prise avait aidé à lui délier un peu la langue, mais elle commença à parler en lui disant : « Maître, je suis allée en consultation psychologique récemment. »

À ce mot même, le Maître fit des yeux ronds, un peu comme ceux de Linda tout à l’heure. « En consultation psychologique, oh, mon dieu. La psychologie / psychothérapie, c’est pour les toxicomanes », se dit le Maître. Il n'osait pas dire ça à Christina, mais la psychothérapie, c’est pour les toxicomanes, l’espèce de psychothérapie que font les humains actuellement. Ils sont accros à leurs problèmes, et la psychothérapie renforce leurs problèmes. La psychothérapie les installe encore plus profondément dans leurs problèmes, plutôt qu’elle ne les résoud. La psychothérapie, souvent, aide en réalité davantage à se créer une conscience de victime et d'agresseur, plutôt qu'autre chose. Et Cauldre est en train de me gronder maintenant, et je ne dis pas cela pour tous les psychologues et psychothérapeutes, mais pour les psychothérapies en général, c’est le cas. Elles n'examinent pas les racines profondes. Elles essaient de mettre du sparadrap et de réparer (les blessures), et quand cela ne fonctionne pas, on passe aux médicaments.

Christina dit: "Maître, je suis allée en consultation psy ces derniers temps pour essayer de trouver des réponses aux raisons pour lesquelles je ne peux tout simplement pas avoir une bonne relation, pourquoi ça commence toujours bien - quand ça commence, je pense vraiment que c'est le meilleur amour que j'aie jamais, jamais trouvé - mais ensuite nous commençons à avoir des désaccords. Ensuite, nous commençons à nous disputer. Ensuite, il y a de la froideur qui s’installe. Et puis, le silence. Et ensuite, il y a les accusations, et cela passe du merveilleux, du bonheur au malheur. Ma psychologue m'a dit que c’est moi qui créais tout ça. Et ma psy m’a dit que la véritable raison de tout cela, ce qui se passe vraiment ici, c'est que j'ai un enfant intérieur blessé, et elle veut que je fasse une retraite centrée sur mon enfant intérieur. Cela me prendra environ un mois et me coûtera environ huit mille dollars, mais j’irai à ces séminaires trois ou quatre fois par semaine et j’en apprendrai plus sur mon enfant intérieur blessé.

Le Maître se disait en lui-même : « Je vais boire toute cette fiole de cognac moi-même si j'en entends plus à ce sujet », parce qu'il s'était rendu compte, il avait réalisé que, non, tout cela, c’était vraiment un tas de conneries psychologiques.

Le Maître écouta Christina parler encore un petit moment. Il savait qu'il était important pour elle de faire sortir tout cela. Il disait à peine un mot. Il hochait la tête de temps en temps, fit souvent les yeux ronds, mais il lui dit à peine un mot.

Finalement, quand elle se fut en quelque sorte épuisée à parler, le Maître lui dit enfin : «Christina, le problème n'a rien à voir avec un enfant intérieur blessé. C'est l'adulte blessé en réalité.

« Je veux que tu fermes les yeux un instant, Christina, et que tu te souviennes de la première fois où tu es venue sur cette planète dans cette vie-ci, quand tu es née dans cette vie. Je veux que tu te souviennes de ce que c'était que d'avoir la pure connaissance intérieure de la raison pour laquelle tu étais là sur la planète, la pure connaissance intérieure de ce que tu voulais faire et où tu voulais aller. Et tout cela est resté en toi.

"Quand tu avais un ou deux ans, tu faisais des choses comme parler aux élémentaux et aux fées et à moi et à d’autres entités, et c'était vraiment magnifique. Quand tu as eu trois ou quatre ans, tu avais toujours ce clair souvenir, mais tu es désormais devenue plus consciente du monde autour de toi et de ses particularités, de ses épreuves et de ses difficultés, mais tu t’en souvenais toujours clairement. Et quand tu as eu cinq ans et peut-être même jusqu'à six ans, tu avais toujours cette conscience claire de la raison pour laquelle tu étais là et de ce que tu allais faire.”

Il lui dit : « Christina, tu n'as pas d'enfant intérieur blessé. Il a toujours su. Il a toujours, toujours su. Tu as un adolescent blessé et un adulte blessé, un adulte très blessé, mais toute cette chose au sujet des enfants intérieurs blessés, non, non. Ce n'est tout simplement pas le cas. C'est une de ces choses New Age qui ont l’air de sonner bien, mais ressens-le par toi-même.”

Il lui dit : “Je veux que tu ressentes cet enfant intérieur, en toi-même. Fais-le venir ici. Tu sais que le temps n’existe pas. Il n'y a ni passé ni futur, alors sois ton enfant intérieur en cet instant. Ressens cela.”

Christina s'assit là pendant un petit moment avec le Maître très silencieuse, et au début, elle se débattait, parce que, vous voyez, tout le conditionnement pour elle, cela avait été que son enfant intérieur était blessé, alors elle s'attendait à avoir un enfant intérieur blessé et elle agissait en conséquence. Mais elle continua à respirer et à ressentir cela et finalement – finalement, elle put se ressentir quand elle était plus jeune, ressentir son enfant intérieur, pour ainsi dire. Et soudain, elle sentit sa clarté, qu'elle savait pourquoi elle était venue ici, et que cette clarté était conservée en elle.

Elle avait été enterrée. Elle avait été – pas perdue – mais elle avait été éclipsée par tant d'autres choses dans sa vie, mais cet enfant intérieur dans sa pureté, dans sa véritable connaissance intérieure était toujours là. Et cela frappa Christina, oh, comme une brique. Cela la frappa et elle sut exactement que ce n'était pas un enfant intérieur blessé. C'était simplement des choses qui s'étaient produites dans sa vie qui l'avaient déviée, sortie de sa trajectoire, qui l'avaient amenée à dévier ou du moins à penser qu'elle avait dévié de sa véritable mission ou massion sur cette planète.

Elle ressentit cela pendant un moment et cette clarté commença à s’écouler à travers elle, la beauté de ce jeune enfant clair comme le cristal qu'elle était et puis toutes les épreuves, tous les nuages et les ombres et les ténèbres de son humanité tourbillonnant en amenant cet enfant intérieur à se cacher, mais il n’était pas blessé. Il était allé se protéger afin qu'il puisse émerger au bon moment avec clarté.

Tout cela s’écoula à travers elle, cette réminiscence de son véritable et pur soi d'enfant, et ensuite toutes les choses qui l'avaient amené à se cacher, toutes les choses jusqu'à son adolescence, que ce soit le sentiment que c’était une fille légère, qu'elle faisait du mal à d'autres personnes ou qu'elle avait consommé de la drogue à un jeune âge ou qu’elle avait eu de mauvais partenaires tout au long de sa route. Et alors elle réalisa que, non, il n'y avait pas d'enfant intérieur blessé, et si elle pouvait revenir à cette connaissance intérieure et à la certitude de ce jeune enfant qu'elle était, cela l'aiderait à comprendre toutes les autres choses qui s’étaient produites.

Le Maître pouvait ressentir qu'elle en était arrivée au point de se reconnecter, et le Maître lui dit : « Maintenant, prends une profonde respiration et laisse cette jeune innocence revenir à nouveau. Tu as été endurcie, rendue insensible par le monde qui t’entoure. Tu es devenue sceptique et cynique. Maintenant, laisse cette innocence revenir.  Il est temps."

Et c’est ce qu’elle fit.

Le Maître savait à présent qu'il était temps pour lui de se lever et de partir. Elle traversait, vivait son truc. Elle traversait, vivait une union ou une réunion avec elle-même. Il se leva tranquillement et juste au moment où il était sur le point de s'éloigner, Christina le regarda avec de beaux yeux, mais toujours pleins de larmes, et elle lui dit : “Maître, voudriez-vous me laisser votre fiole de cognac ?”

Chers Shaumbra, vous n'avez pas d'enfants intérieurs blessés. Vous avez ce soi intérieur, cette jeune, brillante, innocente et pure connaissance intérieure de vous-même qui a été cachée pendant longtemps. Il n'est pas blessé. Il ne l'a jamais été. L'humain, l'adulte, l'adolescent peut-être, et alors (votre enfant) a en quelque sorte été mis à l'écart, à l'abri de la folie de la vie, mais il est temps de le faire revenir.

Mettons de la musique pour un merabh.

 

Merabh de l'enfant Christ intérieur

Il n'y a pas d'enfant intérieur blessé.

(la musique commence)

Il y a des adolescents, des adultes, peu importe, des adultes d'âge moyen, voir plus âgés, qui ont pris sur eux beaucoup trop de choses qui n'étaient pas les leurs. Ils ont pris sur eux beaucoup trop de choses.

Et en plus, pour nombre d'entre vous, vous êtes venus ici sur cette planète et ensuite vous avez dû attendre longtemps avant que le bon moment n’arrrive, le bon moment pour entamer votre véritable massion ici, être des Maîtres incarnés.

Certains d'entre vous ont attendu, quoi, 30, 40, 50 ans, et pendant ce temps, oh, vous avez pu vous ternir. Vous avez pu devenir très négatifs, et surtout, vous avez pris énormément de choses qui ne vous appartenaient pas. Tellement.

Profitons de ce moment dans ce merabh de pureté et d'innocence pour ramener cette part - cette part que vous aviez amenée était restée totalement pure pendant toutes ces années, cette part qui savait pourquoi vous étiez là et cette part qui vous a en fait apporté un message.

Invitons cette part de vous à revenir à présent. Elle n'est pas dans le passé. Elle est là, ici et maintenant. Elle n'est pas ailleurs. Elle est ici.

Elle était simplement cachée en quelque sorte, en guise de protection. Vous n'auriez jamais voulu que quelque chose puisse polluer ou déformer cette belle part de vous-même. L'enfant, l'enfant Christ en fait.

Le Christos ou l’Enfant Cristal qui est arrivé sur Terre avec une telle connaissance intérieure et une telle détermination. Il est ici à présent, ici et maintenant. C'est ok, vous pouvez le faire sortir. Vous avez maintenant une protection naturelle. Il est temps de lui permettre de sortir.

« L’Enfant blessé. » De quoi parlent ces gens ? Il n'y a pas d'enfant blessé. C'est un enfant pur. Un adulte blessé, peut-être. Un enfant blessé, non.

(pause)

Prenez une bonne et profonde respiration et vous pouvez laisser cette pureté et cette innocence revenir. C'est la part en vous qui savait tout à fait pourquoi vous êtes venu ici.

Peut-être que vous avez commencé à questionner des choses à sept, huit, neuf ans. Peut-être avez-vous été pris, piégé dans la conscience de masse ou dans votre propre culpabilité et honte. Cela n'a pas d'importance ; rien de tout cela n'a d'importance. Mais il n’y a pas d'enfant blessé.

Je vous invite à ressentir cela, cette pureté, cette connaissance intérieure. C'est cela le vrai vous.

C'est cela le vrai vous, avant que vous n’ayez commencé à prendre en charge, à prendre sur vous les affaires des autres, avant que vous n’ayez commencé à prendre à votre compte la conscience de masse, que vous n’ayez commencé à faire des listes de tous vos problèmes et de ce qui n'allait pas et de ce qui était blessé et de ce qui ne fonctionnait pas bien et où vous aviez merdé.

Ce pur soi enfant, l'enfant Christ que vous êtes, savait pourquoi vous étiez là.

(pause)

Cet enfant Christ, il savait qu'il y a plus de 2000 ans, vous aviez été là sur cette planète en même temps que Yeshua. Yeshua étant un collectif - pas un être doté d'une âme mais un collectif de vous tous - et vous saviez que lorsque Yeshua arriverait, il serait temps de planter les graines de la divinité, les graines de la conscience sur la planète, et que vous reviendriez finalement pour récolter cela. C'est dans cette vie-ci à présent (que vous récoltez).

En cette période de Noël, il est maintenant temps de laisser sortir cet enfant Christ en vous.

Pas un enfant intérieur blessé. Rien de cela. Quelle farce.

(pause)

Bien, Linda, voudirez-vous bien me donner l'ours en peluche qui est là ? Oui, je veux qu’il vienne ici.

LINDA : Oh, est-ce qu’il va prendre ma place ?

ADAMUS : Oui (ils rient). Teddy fera la respiration à partir de maintenant (Linda fait semblant de pleurer).

Donc, chers Shaumbra, pas d'enfant blessé. Il n’y a aucun enfant intérieur blessé, rien de tout cela.

Il y a cet enfant en vous, l'enfant Christ. Teddy et moi, Linda et Belle, nous vous demandons de prendre une bonne et profonde inspiration en cet instant. Belle est allongée là-bas sur le dos, les pattes en l'air, les pattes allongées. Elle sait de quoi je parle.

Prenons une grande inspiration tous ensemble.

C'est ok maintenant. Vous bénéficiez d'une protection naturelle. Vous pouvez laisser cet enfant Christ sortir, revenir dans votre vie. Il contient toutes les mémoires et toute la connaissance intérieure et toute la pureté et la compréhension de la raison pour laquelle vous êtes vraiment venu ici dans cette vie.

Il n'a jamais disparu. Il était juste caché, protégé.

Il n'a jamais pris sur lui, pris à sa charge les trucs des autres, les trucs de la conscience de masse, comme votre soi plus adulte l'a fait.

Il n'a jamais été blessé et il ne le sera jamais.

Prenez une bonne respiration profonde, en permettant à cet enfant Christ de s’avancer.

Ce qui est amusant à ce sujet, c’est qu’en fait, pourrait-on dire, il arrive en parallèle à l’arrivée de votre corps de lumière.

L'innocence du corps de lumière, la simplicité du corps de lumière. Sans détritus, sans merdes, juste dans la pureté.

Alors, que diriez-vous de laisser venir à la fois l'enfant Christ et le corps de lumière ?

Euh, peut-être, juste peut-être, que les deux sont un peu la même chose.

Respirez profondément à présent, l'enfant Christ.

Sur ce, mes amis, je vous souhaite de très très bonnes vacances. Nous avons beaucoup de choses devant nous pour 2022. Ce sera une année forte, une année très forte.

Prenez le reste de cette année pour faire quelque chose pour vous-même, vous aimer, vous ressourcer, embrasser un ours, vous embrasser.

Nous serons de retour pour le Shoud de janvier. Nous allons redémarrer sur les chapeaux de roue, mais pour le moment pendant le reste de l'année, prenez une profonde respiration et ressentez l'enfant Christ en vous et laissez-le commencer à émerger.

Au nom de tous les Maîtres Ascensionnés et des applaudissements qu'ils vous ont offerts, en vous souhaitant le meilleur et en attendant avec impatience la suite de notre voyage ensemble ici sur la planète.

Sur ce, nous vous souhaitons le meilleur.

Je suis Adamus du domaine souverain. Merci.