LES MATÉRIAUX DU CRIMSON CIRCLE

L'Art du Banc

SHOUD 1 –ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
le 2 octobre 2021
www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

« Oh, merde ! Oh, merde ! » C'est exactement ce que Sart a dit, au moment où nous avons commencé, avec la musique, à ressentir les énergies de cette nouvelle série, la série L’Art du Banc . « Oh, merde ! »

J'ai Sart ici. J'ai FM ici. J'ai tellement de Shaumbra qui sont partis, qui nous ont quittés avant que nous n'arrivions à cette étape du banc. Au fait, chère Linda d'Eesa, vous êtes tout simplement ravissante sur ce banc. Tout simplement charmante.

LINDA : Merci.

ADAMUS : Oh, nous avons aussi Timothy et DocCE et Edith et de nombreux autres Shaumbra qui ont quitté la Terre. Ils sont passés de l'autre côté. Certains sont devenus de vrais Maîtres Ascensionnés. Certains ont simplement choisi de revenir dans une autre vie pour continuer le travail que vous, les Shaumbra, êtes en train de faire à présent dans cette vie. Ils n'étaient pas tout à fait prêts pour leur pleine Réalisation. Ils ont choisi de ne pas le faire, en fait. Ils ont choisi de revenir, mais je les ai ici aujourd'hui pour l'ouverture de notre nouvelle série, L’Art du Banc.

Ils sont tout excités à ce sujet. Je suis excité à ce sujet moi aussi, parce que c'est exactement là où nous sommes censés être, avec exactement les bonnes personnes, exactement au bon moment sur la planète. Nous sommes là. Nous avons réussi. Nous y sommes arrivés. Le train est arrivé en gare juste au bon moment – ni trop tôt ni trop tard – avec les bons passagers, vous.

Nous avons passé de très nombreuses années à discuter, à parler de vos difficultés, de vos vies antérieures, de vos problèmes, à parler du monde, à parler de physique, d'énergie et de conscience et à faire beaucoup de libération et beaucoup de permettre. Ça, ça a été difficile. Vous savez, parfois, vous relâchez quelque chose et cela vous revient immédiatement. Mais en vous permettant continuellement de la relâcher, très vite cette chose s'en va tout simplement. D’anciennes difficultés et d’anciens problèmes, des énergies bloquées, tout cela s'en va et retourne à son état naturel d'énergie. Sans plus être bloqué dans son ancienne forme, sous forme de difficultés et d’épreuves. Ce n'est plus difficile, bloqué, mais désormais, l'énergie est prête à vous servir.

Aujourd’hui, nous y sommes arrivés, à cette époque très importante sur la planète, à cette époque magnifique pour les Shaumbra, l'époque de L’Art du Banc. Il nous a fallu du temps pour en arriver là, mais nous y sommes, et désormais le vrai, eh bien, je ne veux pas appeler ça un travail, mais la vraie massion commence, L’Art du Banc. Et, en effet, l’équipe m'a trouvé un magnifique banc et une belle hôtesse pour m'accompagner.

LINDA : C’est gentil.

ADAMUS : Tout est là. Ce banc. Nous sommes ici à la Villa Ahmyo dans ce magnifique endroit de Kona. J'ai tout sauf mon café.

LINDA : Oh !

ADAMUS: Maintenant, vous pouvez peut-être apercevoir cette tasse de café hawaïenne posée là sur scène avec moi, mais c'est une étrange concoction que Cauldre boit. C'est un champignon (kombucha ?) ou quelque chose du genre. Alors, chère Kerri…

LINDA : Elle est déjà partie.

ADAMUS : Chère Kerri…

KERRI : Oui, mon amour, je vais t'apporter ton café (Adamus rit).

ADAMUS: Cette chère Kerri est déjà partie me chercher un café. J'apprécie une bonne tasse de café. Nous avons du café au Club des Maîtres Ascensionnés bien sûr, mais rien de tel que le café humain avec son intensité et parfois même son amertume et son petit coup de fouet et son plein de caféine. Alors cette chère Kerri s’est précipitée pour m’apporter un café.

LINDA : Oui, tout à fait.

ADAMUS : Merci.

LINDA : Et elle est partie en trombe.

ADAMUS: Elle est partie en trombe. La cuisine, ce n'est pas juste la porte d’à côté, mais c'est important pour moi d'avoir un café.

LINDA : Bien sûr.

ADAMUS: Et donc je vous disais que vous, que nous sommes arrivés à cet endroit très spécial, à cette époque très spéciale. Il s’est passé tant de choses avant que nous en arrivions là. Des vies à travailler sur des choses, et je peux vous dire qu’à présent, plus aucun travail n’est nécessaire. Avez-vous d’ailleurs jamais remarqué combien, quand vous travailliez sur les choses, elles semblaient en retour se battre contre vous ? Le fait d’y travailler ne vous a jamais vraiment rien apporté de bon. Travailler sur les choses, se battre contre elles, souffrir à travers elles, rien de cela ne fonctionne vraiment. Il s’agit finalement simplement de permettre. Juste de permettre.

Il y a probablement encore des résidus et certains d'entre vous sont peut-être encore presque accros au fait de travailler sur vos problèmes, mais je vous encourage, avec ma manière si douce et charmante, à ne plus le faire. S'il y a des problèmes dans votre vie – je me fiche de savoir de quel genre de problèmes il s’agit, une relation, un problème santé d'abondance ou quoi que ce soit d’autre, d'estime de soi – si vous avez un problème, allez simplement au-delà. Ne vous focalisez pas dessus. Ne le combattez pas. Il est actuellement en passe de s’en aller. C'est seulement quand vous lui accordez de l’attention, quand vous vous battez contre lui, qu'il persiste, parce que comme je vous l'ai déjà dit, plutôt poliment, s'il est toujours là, c’est qu’il doit y avoir quelque chose que vous aimez en lui. Il est temps à présent de simplement le lâcher, de lâcher prise. Vous constaterez que même les maladies, oui, quelque chose que vous pensez être totalement ancré dans votre corps, une maladie ou un problème de santé, ne vous battez pas contre cela. N'essayez pas de le dorloter. N'y prêtez pas attention. Réalisez simplement que c'est un vestige du passé. Il est en train de s’en aller. Ne vous inquiétez pas de comment il est en train de partir, de comment il est en train de s’en aller.

Il est sur le point de disparaître, de s’en aller, parce qu’à présent vous êtes là, eh bien, pour votre massion, la raison même pour laquelle vous êtes venu sur cette planète dans cette vie. Et ce n'était pas seulement une question d'illumination. Je veux dire, c'est une sorte de, vous pourriez dire une sorte d'avantage ou de bénéfice secondaire. Il s'agissait pour vous d'être là pour faire ce que nous allons faire à présent dans cette série de l’Art du Banc. Nous allons faire du banc, faire rayonner notre lumière.

En réalité, cela n'a pas commencé ici. Nous le faisons depuis un certain temps de manière subtile. Nous le faisons depuis un certain temps, comme vous l'avez vu avec le Voyage sur le Bateau Interstellaire de Metatron dont l’équipe a parlé précédemment. Nous l'avons fait à l'époque avec Metatron, en allant dans les autres royaumes, les royaumes des êtres désincarnés qui errent dans les autres royaumes perdus, coincés dans leurs propres ténèbres. Mais je dirais qu’ils aiment cela. Et je continuerai à le dire - et je sais que certains d'entre vous ouvrent de grands yeux et croient être cinglés - mais sachez que même si vous êtes une entité désincarnée, que vous êtes parti dans les autres royaumes, que vous êtes un fantôme ou un esprit à errer sans but dans les autres royaumes, il y a quelque chose que vous aimez toujours à le faire, sinon vous ne le feriez pas. C'est un point très important à présent et il est valable pour chacun d'entre vous et il concerne n'importe quel problème dans votre vie, quel que soit le problème. (Si un problème existe dans votre vie, c’est que) Il y a toujours là-dedans quelque chose qui vous donne du plaisir. Etrangement – même la souffrance peut être une forme de plaisir – cela vous apporte toujours quelque chose. Allons au-delà de tout cela désormais. C'est là que nous voulons être, sur un banc dans un parc, sur un banc, c’est la raison précise pour laquelle vous êtes venu ici.

Prenons une bonne et profonde respiration là-dessus, alors que nous lançons notre nouvelle série, L’Art du Banc.

Et avant que nous y plongions plus profondément - nous ferons dans chaque Shoud des expériences de banc. Et ce n'est pas que nous ayons besoin de beaucoup en parler ou de vous en apprendre beaucoup à ce sujet, mais je veux réunir les Shaumbra une fois par mois – vous ferez du banc par vous-même, bien sûr, mais je veux réunir les Shaumbra une fois par mois – pour faire ce qui constitue la chose la plus compatissante que vous puissiez faire pour vous et pour la planète. Nous aurons des entretiens et des discussions à ce sujet bien sûr, mais dans chacun de nos Shouds, nous ferons du banc. Nous laisserons irradier notre lumière, comme dans le Voyage sur le bateau interstellaire de Metatron. Sans aller dans les autres royaumes pour essayer de sauver ou de secourir ces êtres perdus, mais simplement en étant là en tant que lumière. Et en vérité, il y en aura toujours assez parmi eux, même si c’est un petit nombre, ou un plus grand nombre, mais il y aura toujours suffisamment d'entités et suffisamment d'humains qui seront ouverts à cette lumière.

Ils ne sauront pas d'où elle provient, et cela ne se fera pas en ayant un programme, un objectif. Cela ne se fera pas en donnant des instructions, ou cela ne se fera pas en attendant de leur part une sorte de retour, en aucune manière, mais ils remarqueront quelque chose. Et nous observerons, durant cette année pendant laquelle nous ferons du banc, nous observerons les changements qui surviendront sur la planète. Parfois, ce ne sera pas des changements toujours faciles, parfois ils seront très difficiles, mais nous observerons ces changements comme une conséquence directe de notre pratique du banc et du fait que vous faites rayonner votre lumière.

Ah ! Merci, chère Kerri. Mon café est enfin là.

KERRI : Merci, mon chéri.

ADAMUS : N'est-il pas extraordinaire que vous soyez venue ici sur l'île juste pour aider avec le café ?

KERRI : Certainement !

ADAMUS: Oh, pourriez-vous – oh, et il y a des chocolats pour aller avec. Cauldre voudrait un peu de crème dedans.

KERRI : Je serais heureuse d’en ajouter.

ADAMUS : Merci. Merci. Merci. J'ai mes chocolats, mais revenons à notre sujet, L'art du banc. S'il vous plaît, chère Linda, prenez un – ne prenez pas de siège, parce que je vais vous demander d'écrire au tableau. Non, soyez prête à écrire au tableau. Je suis prêt.

LINDA : D'accord.

 

La nature du zéro

ADAMUS: Bien, avant que nous commencions effectivement à faire du banc, je voudrais parler d'Adamamatique, et si vous vouliez bien écrire cela au tableau, Linda. Vous pouvez l’écrire en assez grand. Nous n'écrirons pas trop d'autres choses sur la page. Adamamatique. Et qu'est-ce que l'Adamamatique ? Eh bien, c'est un peu à l’image de l’Adamanomie. Ça c'était mon point de vue sur l'économie (dans ProGnost ). Ici, ce sont les mathématiques selon Adamus, et si vous vouliez écrire cela en dessous – les mathématiques d’Adamus.

Vous savez, j'ai ma propre vision des choses, vous l'avez probablement constaté, et là je voudrais parler un peu de mathématiques. Pas en termes très complexes, en fait en termes assez simples, mais – merci, il s’agit d’Adamamatiques. Adamamatiques, les Mathématiques d’Adamus. Et sur la page suivante, Linda, s'il vous plaît. Vous serez présente au tableau pendant un petit moment, alors restez là. Mais sur la page suivante, nous allons parler aujourd'hui de la nature du zéro.

LINDA : La nature du héros ?

ADAMUS : La nature du zéro.

LINDA : La nature du zéro.

ADAMUS : Pas du « héros », mais du « zéro ». La nature du zéro – et c'est parti, mon café, j’ai la crème de Cauldre dans mon café alors on y va. Merci, chère Kerri. Merci.

LINDA : La nature du zéro.

ADAMUS : La nature du zéro.

La plupart d'entre vous savez ce qu’est le zéro. Vous savez, le zéro ne fait pas partie des mathématiques depuis si longtemps que cela. Je dirais qu’il en fait partie depuis à peine plus de 500 ans. Et donc, l'humanité a passé tout ce temps sans le zéro, et finalement quelqu'un a découvert le zéro. N'est-ce pas intéressant que tout cela ait à voir avec la conscience ? Les choses ne sont découvertes que lorsque la conscience est prête, quand bien même elles sont présentes juste devant vous. C'est la même chose avec les Atlantes, ils ne voyaient pas vraiment les étoiles, ils percevaient à peine le soleil et la lune. Ils savaient que c'était là, mais les étoiles n'étaient pas dans leur conscience.

Idem avec le zéro. Idem avec le zéro. Ce n'était tout simplement pas dans la conscience jusqu'à, je dirais, il y a environ 800 ans. Et même à ce moment-là, ce n'était qu'une grande théorie et elle a fait l'objet de nombreux débats. Il y avait beaucoup de gens qui disaient : « Le zéro n’existe pas. On doit commencer quelque part ». D'autres disaient : « Zéro, ce n'est vraiment pas un nombre », ce qui est vraiment le cas. Ce n'est pas vraiment un nombre, mais c'est le point zéro. C'est le point de départ.

Ressentez ce zéro un instant, et Linda voudriez-vous bien simplement dessiner un gros zéro juste sous le mot "zéro". Ressentez ce zéro un instant. C'est un non-nombre fascinant, mais il est associé aux mathématiques. Le zéro. Et c'est là que nous allons avec cet Art du Banc – au zéro, nous revenons à zéro.

Laissez-moi vous expliquer cela un peu plus. Linda, au tableau, s'il vous plaît.

LINDA : D'accord.

ADAMUS: Juste au moment où elle pensait pouvoir se reposer. Voudriez-vous bien dessiner un cercle au milieu de la page, d’environ 15 centimètres, un zéro. Un beau zéro tout rond. Voilà. Bien. Et maintenant s’il vous plait, à droite inscrivez “+1, +2, +3,” en allant de la gauche vers la droite, direction est à partir du zéro – “+1, +2, +3, +4” – etc. etc. De l’autre côté, à la gauche du zéro, du côté ouest, “-1, -2, -3, -4,” etc. etc. Et ensuite, au nord ou au-dessus du zéro, en mettant un petit signe, un curseur ou un caret, pour indiquer que l’on va croissant, “^1, ^2, ^3, ^4, ^5, ^6”.

LINDA: Ok.

ADAMUS: Oui, comme ça. Bien. Bien. Et maintenant en-dessous, mettez un curseur dans l’autre sens pour dire que l’on va dans le sens décroissant, “v1, v2, v3, v4, v5, v6.” C’est cela les mathématiques d’Adamus, c’est très simple – les Adamamatamat … (Adamus rit). Je n’arrive même pas à le dire.

Bien, et maintenant, Linda, pour couronner le tout, voulez-vous mettre s’il vous plait un point au milieu de ce zéro. Un point. C'est cela le point zéro. C'est vous essentiellement, et chaque numéro sur ce tableau que Linda a dessiné, chaque numéro représente une expérience ou un aspect ou une réalité.

Maintenant, le fait est que la plupart des humains ont une base de réalité très linéraire, qui va de la gauche à la droite. Les mathématiques sont généralement basées sur cela ici (en pointant sur les chiffres qui sont à la droite du zéro). Et vous pouvez combiner ces chiffres – les additionner, les soustraire, les diviser, tout ce que vous voulez, les multiplier – vous pouvez les combiner pour créer une expérience. Vous pouvez prendre un “1” et un “3” et les mettre ensemble et vous avez un “4.” Et vous pourriez mettre un “4” et un “10” ensemble et avoir un “14” diviser cela par “7,” tout ce que vous voulez. Mais tout cela est symbolique de la nature de la réalité.

Cela pourrait aussi être vos vies antérieures. Peut-être que vous placeriez cela sur le côté gauche du zéro. Vos vies passées sont toutes alignées. Des expériences passées, ce sont vraiment ce qu'elles sont. Et puis j'ai demandé à Linda de dessiner des nombres en haut et en bas qui vont dans le sens croissant ou décroissant, parce que la réalité et même les mathématiques ne suivent pas simplement un format linéaire, que ce soit de gauche à droite ou de droite à gauche. La réalité est également partout, et si vous vouliez vraiment être précis dans cet exemple, il y aurait des nombres placés partout sur le tableau. Alors, Linda, mettez des nombres au hasard où vous voulez, n'importe où sur le tableau…

LINDA : Et dans n’importe quel ordre ?

ADAMUS : … sauf dans le zéro. N'importe quel chiffre, là où vous voulez. Il n’est pas nécessaire qu’il y ait quelque chose devant, mais la seule chose, ne les mettez pas à l'intérieur du zéro.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Sinon, mettez-les où vous voulez.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Et donc, en gros, cela dit que chaque nombre ou combinaison de nombres est une expérience ou une réalité. Vous pouvez avoir des expériences indépendantes du fait d'être enfermé dans cette forme de réalité. Vous pouvez partir (quitter ce plan) et vivre une expérience, ce que vous faites d’ailleurs souvent la nuit dans vos rêves ; vous pouvez partir et vivre une expérience qui ne soit pas enfermée dans une réalité, comme cette réalité humaine très linéaire dans laquelle nous sommes actuellement.

En fin de compte, tout revient à zéro, au centre, qui, curieusement, ressemble maintenant à un circumpunct ou au symbole de la conscience. Vous pouvez sortir et vivre toutes ces expériences, ces combinaisons de chiffres. La plupart du temps, comme je vous l'ai dit, les humains restent dans ce royaume (de gauche à droite). Si vous vouliez souligner cela, Linda, et mettre une flèche juste à l'extrémité droite de votre trait. La plupart des humains voient la vie de manière très linéaire, et ils s'incarnent le long de cette même ligne linéaire. Ils combinent les chiffres et les nombres de multiples et différentes manières et, encore une fois, les chiffres représentent simplement une expérience, ou cela peut être un aspect ou une incarnation, mais les humains commencent à combiner ces chiffres et ces chiffres peuvent atteindre des milliards et des trillions et ainsi de suite. Les nombres peuvent devenir très, très complexes, et ensuite vous avez toutes ces manières différentes de diviser ou de calculer avec les nombres. C'est comme si vous disiez que dans votre vie vous choisissez de l'énergie – dans ce cas au tableau, ce sont des nombres – vous choisissez des énergies, vous les combinez, les fusionnez pour créer vos expériences. Mais à la base de tout cela, il y a le zéro, qui n'est en réalité pas un nombre. C'est simplement un point de départ.

Ce que les humains ne font généralement pas, et excusez-moi, je dois contourner Belle là parce qu'elle est très, très à son aise et se sent très en sécurité chez nous (Linda rit). Mais ce que les humains ne font pas, c'est de faire l’expérience de ces autres réalités. Ils restent à ce niveau. C'est confortable. C'est sûr. Ils sont habitués à la réalité physique. Mais vous pourriez monter et descendre. Vous pourriez être – eh bien, cela pourrait être vos vies passées que vous pourriez vivre en ce moment même, si vous le choisissiez, mais généralement ce n’est pas le cas. Vous êtes concentré là-dessus. Vous pourriez être là, éparpillé partout tout autour à vivre une expérience indépendante d'une réalité spécifique. Et ce que je veux dire à travers tout cela, c'est que finalement vous revenez toujours au zéro.

Le zéro n'est pas vraiment un zéro. Ce n'est qu'un point de départ. Le zéro n'est pas un chiffre que vous combinez à d'autres chiffres ou nombres. Le zéro n'est pas un chiffre que vous utilisez pour diviser d'autres nombres. C'est un espace réservé, en quelque sorte. C'est le point de départ de l'expérience.

Et la raison pour laquelle j'évoque cela dans ce Shoud aujourd'hui, et son importance, c'est que c'est ce que nous faisons. Nous revenons à zéro. Cela ne veut pas dire que nous recommençons tout à zéro, parce que vous avez eu toutes ces autres expériences qui sont en quelque sorte indiquées au tableau. Vous avez eu toutes ces autres expériences, mais maintenant nous revenons à zéro.

Le zéro n'est rempli d'aucun nombre ou chiffre en soi, mais le zéro a désormais une énorme quantité de sagesse. Et le zéro, en revenant désormais à cela en tant que point de départ, vous réalisez à présent que vous n'avez plus besoin d'avoir de nouvelle expérience. Vous n'avez plus à revenir à l'humain linéaire, le « +1, +2, +3, +4 ». Vous pouvez choisir ce que vous voulez et vous pouvez le vivre, en faire l’expérience comme vous le souhaitez. Vous pouvez le faire dans une variété de royaumes différents, si vous le souhaitez.

Retour au point zéro

Prenez un moment pour ressentir à nouveau ce zéro. Ce n’est pas un numéro, un chiffre. Vous ne le combinez pas avec d’autres, mais c'est toujours ce point de départ, ce que les humains appellent souvent le point zéro. C'est là que nous en sommes.

Vous avez eu toutes ces expériences dans cette vie-ci. Vous avez parcouru toute la gamme de cette expérience linéaire pendant de très nombreuses vies, et maintenant nous sommes de retour au point zéro. Qu'est-ce que ça veut dire?

Cela signifie que vous êtes allé très profondément en vous-même. Vous avez exploré le cœur de qui vous êtes vraiment. Vous avez fait une plongée très, très profonde dans cette vie, en plus d'avoir eu beaucoup d'expériences, mais vous êtes allé très profondément en vous, et vous êtes revenu à ce point, le point zéro.

Vous portez toujours en vous quelques vestiges de vos anciennes blessures et d’anciens problèmes, alors que nous revenons à ce point. Ceux-ci disparaitront. Et s'il vous plaît, comme je vous l'ai dit plus tôt, ne travaillez pas sur eux. Ne les forcez pas. N'utilisez pas de techniques. N'essayez pas de les faire disparaitre de votre vie grâce à des mantras. N'essayez pas d'utiliser des guérisseurs. Ils disparaitront simplement, même les problèmes les plus bloqués.

Certains Shaumbra ont encore des problèmes d'abondance. Ceux-ci vont simplement disparaitre. Dès que vous commencez à essayer de comprendre pourquoi, que vous luttez contre eux ou que vous les combattez, cela les fait simplement persister. Ils restent en place. Mais si vous prenez juste une profonde inspiration et que vous réalisez que toutes ces choses vont désormais disparaître, c’est ce qu’elles font. Vous revenez au point zéro. Vous revenez à votre propre conscience. Après avoir cheminé dans cet univers, dans ce cosmos de chiffres et de nombres, qui ne sont en réalité que des expériences, vous revenez au point zéro. C'est cela le banc. C'est ce qu’est le banc. C'est le point zéro auquel nous revenons.

Désormais, vous êtes là pour faire la véritable chose que vous êtes venu faire. L'important, encore une fois, c’est de ne pas vous engager, vous impliquer dans vos problèmes. Et je sais que certains d'entre vous pourront prendre la mouche, parce que, je ne sais pas, peut-être que vous voulez vraiment vous engager là-dedans. Vous voulez souffrir. Vous ne pouvez pas croire que ce soit si facile. Ça l’est. Dès l’instant où vous vous intéressez à un problème physique, en d'autres termes, que vous essayez de le comprendre ou que vous devenez obsédé par cela, ou que vous essayez de trouver un nouveau remède alternatif ou autre chose, alors vous êtes de retour dedans et il ne va pas disparaitre, parce que ce problème – pensez-y simplement comme l'un de ces chiffres – vous dit : « Oh, tu veux toujours que je sois là, parce que tu t’intéresses toujours à moi. Alors, je vais rester. » Si vous réalisez que vous revenez au point zéro – c’est-à-dire à vous, à la conscience, la conscience qui finalement commande l'énergie ; si vous réalisez que vous avez eu un nombre énorme d'expériences, mais que désormais vous êtes de retour à la maison, qu’il s'agit à présent simplement d'être sur ce banc et de faire briller votre lumière. D’être de retour au point zéro. (alors tout ira bien)

Le long du chemin, certains Shaumbra ont abandonné. Un bon nombre de Shaumbra ont abandonné, pour diverses raisons. Peut-être que je les ai offensés. Je ne peux pas imaginer cela, mais peut-être que je l'ai fait. J'ai peut-être même essayé de m'en débarrasser, parce qu’ils étaient trop ancrés dans leurs problèmes. Ils tenaient tellement à s'accrocher à eux et à blâmer quelqu'un d'autre. Ils se battaient contre des moulins à vent. Ils combattaient des fantômes qui n'étaient pas là. Ils étaient obsédés par leurs propres problèmes. Ils s’accrochaient à eux, qu'il s'agisse d'une situation familiale, d'une relation ou de leur estime de soi, quoi que ce soit. Ils n'étaient vraiment pas prêts à être là. Et il valait mieux pour eux qu'ils ne le soient pas, parce que cela aurait eu un effet sur tout le monde.

Beaucoup d'entre vous ont persisté. Vous êtes arrivés jusqu'ici. Désormais, nous sommes de retour au point zéro.

Prenez une profonde respiration et si vous avez le moindre problème qui demeure – des problèmes d'estime de soi ou des doutes résiduels – respirez profondément et ne vous y impliquez pas. Laissez-les s’en aller. Ils sont prêts à partir, vraiment. Ils sont prêts à partir. Ne vous y intéressez pas. Et Cauldre est en train de me demander : « D'accord, est-ce que c'est faire face aux grandes batailles en toute innocence ou avec beaucoup de candeur ?" "Est-ce que c'est être stupide ?", je crois que c'est ce qu'il demande. Est-ce être naïf d'ignorer en gros ses problèmes ? Pas du tout. La dynamique de l’énergie est très simple. Si vous vous impliquez dans un problème – et que vous savez à quoi cela ressemble ; disons, qu’il s’agit d’une chose en lien avec l'abondance et vous vous y êtes impliqué pendant, quoi, des vies, peut-être des décennies – tant que vous vous y impliquerez, cette chose continuera d'être là. Si vous réalisez que vous êtes de retour au point zéro, que vous êtes de retour dans votre propre conscience, dans votre propre maison, dans votre propre énergie, ces choses disparaitront simplement, sans que vous ayez à vous concentrer sur elles, sans que vous ayez à agiter de baguette magique, sans avoir besoin d’avoir recours à aucune sorte de guérison par les cristaux ou de thérapie, rien de tout cela. Et alors vous vous demanderez pourquoi vous n’avez pas fait cela plus tôt, pourquoi je ne vous en avais pas parlé plus tôt, mais on reparlera de tout cela plus tard.

Mais pour le moment, respirez profondément et permettez-vous de revenir au point zéro. Oui, vous avez tous ces chiffres représentant toutes vos expériences et toutes les choses que vous avez faites, mais vous revenez au point zéro. Ce n'est pas un nombre. En d'autres termes, ce n'est pas une expérience. C'est qui vous êtes.

Ressentez cela un instant.

Il vous a fallu du temps pour revenir là. Vous avez dû traverser cette myriade de tous ces chiffres, toutes les expériences et toutes les choses que vous avez traversées. Chaque numéro peut être une identité que vous aviez dans le passé, une vie antérieure ou diverses identités dans cette vie-ci. Vous avez été tous ces personnages, tous ces aspects là-bas, mais d'une manière ou d'une autre, vous en êtes revenu au point zéro. Ce n'est pas une nouvelle expérience. Ce n'est pas un autre personnage ou un autre aspect. C'est qui vous êtes. Vous avez plongé en vous suffisamment profondément, vous avez trouvé votre chemin jusqu’ici malgré les nombreuses distractions, et à présent vous êtes là.

Comme je vous l'ai mentionné, certains Shaumbra ont abandonné en cours de route. Ils étaient trop intéressés par les causes et les batailles, et vous l'avez tous vu, en particulier durant la période du coronavirus. C'est une période propice aux batailles, aux controverses, aux conspirations, aux batailles pour la justice et tout le reste. Rien de tout cela n'a vraiment d'importance. Rien de tout cela n'a d'importance pour vous, de toute façon. Ce n'est plus votre combat.

Tant de gens insistent sur ces combats et ils n'ont tout simplement pas leur place là où nous allons à présent. Ils pourront changer d'avis dans le futur, mais pour le moment, il s’agit de ce groupe, vous, ce groupe vraiment très dévoué de Shaumbra à travers le monde. Alors à présent, prenez une profonde respiration et installez-vous confortablement sur votre propre banc, que vous soyez assis dessus ou non, que vous en ayez un ou non, parce que c'est une métaphore. C'est une métaphore du point zéro, du retour à soi. Sûrement, vous en avez assez, vous êtes fatigué de toutes ces luttes et peut-être de nombre de ces histoires, de ces chiffres qui volent autour de vous, et désormais il est temps de revenir, de revenir à vous-même, et à la véritable raison pour laquelle nous sommes ici.

Vous êtes un zéro. Hum. Vous êtes un zéro, et c'est une bonne chose. En tout cas, votre noyau, votre point central, est un zéro. C'est une bonne chose, parce qu’à présent il n'a plus toutes les superpositions du passé et les anciens souvenirs et les anciens fantômes et tout le reste. Vous êtes de retour chez vous. C'est le « je suis, j'existe », et désormais c'est votre banc.

Avez-vous besoin d'un banc au sens propre? Non, mais ce n'est pas une mauvaise idée d'en avoir un, juste comme un rappel, comme un endroit où vous asseoir et un endroit pour faire ce que nous allons faire. C'est un bon symbole. Mais non, vous n'êtes pas obligé en réalité d'en avoir un. Vous pouvez prendre une chaise en guise de banc ou vous pouvez utiliser vos toilettes comme banc si cela vous chante (je m’en fiche, cela m’est égal). Cela n'a pas vraiment d'importance, mais rappelez-vous simplement que vous êtes un zéro désormais.

Zéro n'est pas juste un autre nombre. Zéro c'est vous. C'est la conscience.

(pause)

Dans cette série, nous allons faire du banc de manière active. J’entrerai plus dans le détail de tout cela et, encore une fois, ce n'est pas que cela demande beaucoup d'enseignement ou d'explications ; nous allons juste le faire. Mais aujourd'hui, je voulais commencer, eh bien, avec les bases des bases. Aujourd'hui, je voulais commencer avec le Banc pour les Nuls. Alors, mettons de la musique et commençons à faire du banc maintenant.

L'art du banc

Maintenant, imaginez un instant une maison. Vous avez une grande maison avec beaucoup, beaucoup de pièces.

(la musique commence)

Vous avez exploré ces pièces, les avez remodelées et modifiées au fil des ans, en particulier depuis que vous avez commencé ce voyage. Et je vais faire une petite digression un instant.

Tout cela, ce que vous faites, ce n'est pas un voyage, un cheminement spirituel. Parfois, cela peut être une très grande distraction, parce que, eh bien, les gens pensent qu'ils sont sur un chemin spirituel et alors ils pensent qu'ils doivent agir de manière spirituelle. Ils pensent qu'ils doivent ou ne peuvent pas manger certaines choses. Ils doivent agir d'une certaine manière. Ils doivent faire du « ohm » et du « ahm » tout le temps, et ils doivent être gentils avec tout le monde et ils ne peuvent ni fumer ni boire ou quoi que ce soit. Ce n'est pas cela la spiritualité. Ça, c'est un jeu. C'est un autre numéro sur le tableau. C'est tout ce que c’est. C'est un autre nombre ou une combinaison de nombres. Et la chose intéressante, c’est que très souvent, pas toujours, mais très souvent quand les gens « sont spirituels », ils luttent contre certaines choses en eux-mêmes. Je veux dire, des choses aussi simples que de se dire, eh bien, votre culte spirituel ne vous permet pas de manger du sucre et alors ils se battent contre le fait que le sucre est en quelque sorte mauvais. Je ne sais pas pourquoi, mais le sucre est mauvais et donc à présent ils se battent contre cela. Donc, ce n'est vraiment pas spirituel.

Et ce que nous faisons n'est pas spirituel. Ce que nous faisons concerne simplement la conscience. Peu importe ce que vous mangez ou buvez ou à quel point votre langage peut être profane ou quoi que ce soit. Il ne s’agit pas de ça. Il ne s'agit pas d'essayer de vous réparer ou de corriger vos aspérités. Vous tous, par nature, vous êtes des pirates. Heh! Donc, non, tout ceci n'est pas une expérience spirituelle. Métaphysique peut-être, mais c'est vraiment plutôt une question de conscience. Et donc, alors que vous revenez au point zéro, ne vous préoccupez pas d'être spirituel (ou pas). Nous ne le sommes pas. Pas du tout.

Vous avez donc cette grande maison et vous y avez cheminé, vous avez vécu des expériences dedans. C'est une sorte de symbole de votre corps. C'est un symbole de votre mental. Je crois que vous pourriez dire que le sous-sol et le grenier sont des symboles de votre subconscient et supraconscient, mais cela a été votre endroit, et vous avez passé un long moment à essayer de le comprendre. Comment le réparez-vous ? Comment le faire fonctionner pour vous ? Souvent, vous n'aviez pas l'impression qu'il vous appartenait, mais qu'il appartenait à quelqu'un d'autre.

Mais, particulièrement depuis ces 20 dernières années, ou quel que soit le nombre d’années depuis lequel vous êtes là, avec le Crimson Circle, il y a une autre pièce qui s’est mise en place. Et ce n'est pas une pièce que l'humain avait prévue et qu’il a conçue, ou qu’il devait venir construire. Ce n'est pas une pièce pour laquelle l'humain doit aller chercher du bois et des matériaux et trouver un marteau et des clous ou se mettre à genoux pour poser des carreaux. Ce n'est pas comme ça.

Ceci est une pièce différente dans votre maison. Je vais simplement l'appeler la pièce zéro. Elle se construit toute seule. Et tout le travail que vous faites, tout le dévouement, toute l’implication que vous avez, ça la fait simplement se construire toute seule, et elle devient une extension permanente à votre maison, à vous, à votre corps, à votre mental, à votre vie.

Et cette pièce est différente des autres. Elle n'a pas de murs solides. Elle n'a pas de fenêtres, car elle n'en a pas besoin. En fait, elle ne ressemble vraiment à aucune autre pièce de votre maison.

C’est juste la lumière. C’est juste la conscience. Et pendant longtemps, cette pièce a été une sorte de construction métaphysique.

Parfois vous en êtes conscient, parfois non. Parfois, vous vous êtes demandé ce que vous deviez faire pour construire cette pièce. Mais en grande partie, il s’agissait pour vous de « garder simplement vos mains loin de ça. Laissez-la se construire elle-même. » C'est la pièce de votre divinité.

Vous avez permis qu'elle se construise. Qui la construit ? Eh bien, vous pourriez dire que c’est le Maître, le Je Suis, cela n'a pas vraiment d'importance, mais c'est la vôtre, elle vous appartient.

La pièce de la lumière, la pièce de votre divinité, et c'est cette chose qui brille.

C'est cette chose qui rayonne, et dans cette pièce de votre divinité, il n'y a pas d'agenda. Elle ne vous dira jamais quoi faire. Elle brillera simplement une lumière. Elle ne vous donnera jamais de méthode pour devenir riche rapidement, elle ne tentera jamais de guérir votre corps.

Cette pièce n'a aucun ordre du jour, aucun but. C'est juste de la lumière. Mais en cela, il y a tout. C'est là que se trouvent tous les potentiels.

Et à présent, alors que nous commençons cette série, j'aimerais que vous alliez trouver la porte de cette pièce. Elle est là. Elle est dans votre maison. Votre maison, encore une fois, c’est une métaphore, un symbole de votre corps et de votre mental et, eh bien, c’est vous dans cette vie.

J'aimerais que vous la trouviez. Faites un peu le tour de la maison.

Il y a une porte.

Derrière cette porte, il y a votre lumière.

(pause)

Bien sûr, tout cela n'est qu'une métaphore de quelque chose de très, très réel, mais beaucoup d'entre vous le découvriront, réaliseront que cette porte a toujours été là. Vous ne vous êtes jamais vraiment demandé à quoi elle servait. Parfois, vous l'avez simplement oubliée.

Vous réalisez qu'elle a toujours été là, mais vous l’avez en quelque sorte ignorée. Elle était un peu hors de votre conscience. Mais à présent, chers amis, il est temps d'ouvrir cette porte.

Mettez votre main sur la poignée de cette porte ou sur cette clanche, quelle que soit la façon dont cette porte est conçue pour y accéder, et puis respirez profondément et ouvrez cette porte.

Et laissez cette lumière qui est dans cette pièce, laissez-la inonder le reste de la maison à présent.

Vous n'avez même pas besoin d'entrer dans cette pièce. Vous y êtes le bienvenu si vous le souhaitez, mais ce qui se passe à présent, c'est que vous ouvrez cette porte et laissez entrer cette lumière. C'est un rayonnement. C'est votre divinité.

Elle ne va pas entrer pour essayer de tout changer dans la maison, mais elle brillera sa lumière, de sorte que vous puissiez voir des choses. Vous serez conscient de choses comme jamais auparavant. Vous réaliserez à quel point votre propre maison est magique, à quel point vous l'aviez oubliée depuis longtemps.

Laissez cette lumière, laissez-la briller dans votre propre maison.

C'est la première étape de l'Art du Banc.

Il ne s'agit pas de le faire pour le reste du monde ou pour d'autres personnes pour le moment. Nous y viendrons, mais dans cette session, il s'agit de faire du banc pour vous-même, de revenir à votre point zéro, de revenir à vous, à votre cœur, votre conscience, et de laisser briller cette lumière.

Vous le faites d'abord pour vous-même. Vous le faites d'abord pour vous.

C'est un rayonnement qui se diffuse tout simplement. Il se diffuse dans votre corps, dans vos pensées, dans votre mental. Et, encore une fois, il n'essaye pas de changer quoi que ce soit, il n'essaye pas de vous rendre différent, mais il fait briller une lumière qui vous permet de voir qui vous êtes vraiment et de quoi vous êtes vraiment fait. Vous n'êtes pas fait de tous ces chiffres dont nous avons parlé. Vous êtes fait de conscience et de vous.

Laissez à présent cette lumière sortir de cette pièce de votre divinité.

C'est cela qui dissoudra et fera disparaitre les derniers vestiges des problèmes auxquels vous vous accrochiez, contre lesquels vous vous battiez et que vous combattiez et sur lesquels vous insistiez.

C'est ce qui afflue dans toute cette chose, si vous aviez des problèmes d'abondance, cela afflue vers ces problèmes et cela vous montre qu'il n'y a vraiment rien qui vous retienne loin de l'abondance.

Cela ne fera pas le travail à votre place, mais cela vous montrera que cela n'a jamais vraiment été un véritable problème. C'est juste quelque chose avec lequel vous avez joué. C'était un autre numéro sur le tableau, et à présent vous n'en avez plus besoin.

Désormais, vous n'en avez plus besoin.

Laissez cette lumière briller dans chaque part de vous à présent.

Laissez-la briller dans votre corps. Elle n’essaiera pas de transformer votre biologie, mais elle vous montrera très clairement que, tout d'abord, cet ancien corps que vous trimballez n'était vraiment pas le vôtre. Cela allumera une lumière qui vous montrera ce qu'est votre véritable, ce qu'est votre véritable… ce que j'appelle le corps d'énergie libre. Laissez-la briller dans chaque part de votre biologie.

Certains d'entre vous peuvent avoir une maladie ou des maladies et des douleurs. Laissez-la simplement briller dessus.

Laissez-la briller dessus, parce que très bientôt, Kuthumi travaillera avec vous sur votre véritable corps de lumière. Laissez la lumière briller à présent afin que, lorsqu'il commencera à travailler avec vous, vous puissiez facilement et gracieusement faire venir ce corps de lumière au complet.

Je sais que certains d'entre vous ont ces, oh, certains de ces démons dans leur mental. Il y a des démons dans votre mental. Ce sont des choses difficiles. Les démons aiment se cacher dans l'obscurité, ce qui signifie qu'ils sont là parce qu'il n'y a pas beaucoup de conscience. Ils sont dans le noir. Ils sont en quelque sorte inconscients, très limités. Mais quand vous ouvrez à présent la porte de cette pièce de votre divinité, cette lumière brille à l'intérieur, et les démons s'en vont. Ils ne supportent pas la lumière. Ils doivent oeuvrer dans le noir. Ils ont besoin d’oeuvrer dans l'inconscience.

Ainsi, vous découvrirez que ces démons que vous avez endurés – appelez-les des aspects, ces anciennes voix qui continuent d'essayer de vous maltraiter – ils ne peuvent pas supporter la lumière. Et c'est vous qui permettez à la lumière d’entrer. Vos démons pourraient vous hurler de fermer cette porte ou vous dire que vous faites une bêtise en laissant entrer la lumière, mais ils devront s'en aller. Ils ne peuvent exister que dans l'obscurité, dans le manque de conscience.

Nous commençons à faire du banc avec vous.

Une chose amusante se produit, vous savez, alors que vous laissez entrer cette lumière, eh bien, c’est que si vous vous teniez à l'extérieur de votre maison, ce que vous verriez soudain, c'est cette illumination à travers toutes les fenêtres de la maison.

Vous savez quand vous regardez une maison en début de soirée, quand le soleil s'est couché, mais que le ciel a encore un peu de lumière, et que tout à coup les lumières des maisons commencent à s'allumer. C'est une vue magnifique, et cette lueur dorée se diffuse par les fenêtres de la maison. Ah, ça a l'air si invitant, si chaleureux et sûr là-dedans.

C'est cela qui se passe à présent. Si vous vous teniez à l'extérieur de votre maison et que vous regardiez, quand vous avez ouvert cette porte de votre divinité, et que la lumière est entrée en inondant la maison, en illuminant chaque partie de votre maison, et en brillant jusque dans la cour.

C'est vraiment aussi simple que cela. Vous pouvez le rendre plus complexe si vous le souhaitez, mais c'est aussi simple que de se dire qu'il est maintenant temps de laisser cette lumière, cette conscience entrer dans chaque part de vous.

Et ensuite, vous tenant debout à l'extérieur de la maison, vous regardez dans le voisinage les autres maisons, et tout à coup vous voyez leurs lumières s'allumer, une par une, maison après maison, et cela commence à éclairer tout le quartier.

Quelle vue magnifique. Tout est calme, paisible, mais toutes les lumières commencent à s'allumer.

Vous penserez au début que : « Oh, ce sont les voisins. Ce sont d'autres personnes, et il commence à faire noir, alors ils allument leurs lumières. » Mais regardez encore.

Ce ne sont pas d'autres personnes, ce sont d'autres « vous ». Ce sont vos vies antérieures, parce que lorsque vous ouvrez cette porte dans votre maison, cela ouvre également une porte dans la leur.

Ce sont vos vies passées, et ce que vous pourriez appeler vos vies futures, même si vous commencez à réaliser qu'il n'y a pas de passé ou de futur. Ce ne sont que des expériences. Ce sont toutes des chiffres au tableau. Et vous êtes le zéro.

Vous êtes le point zéro. Vous êtes le noyau, le centre, et maintenant ces lumières commencent à s'allumer tout autour dans le voisinage, ainsi que les lumières des vérandas, les lumières à l’intérieur des maisons ainsi que les lampadaires dans la rue.

Ce quartier est tout vous. C'est toute votre énergie. Ce sont vos vies passées, parce que désormais, alors que vous permettez votre Réalisation et que vous ouvrez la porte à votre divinité dans cette réalité, elle illumine toutes les autres réalités. Elle illumine toutes vos autres vies. Ces dernières se transforment en conséquence. Vous changez littéralement votre passé, simplement en ouvrant la porte à votre divinité à présent.

Les lampadaires de la rue s'allument et vous pouvez presque sentir la magie dans l'air.

Ce qui se passe à présent, pendant que vous faites cela, c'est que chacune de vos autres expériences - des aspects, des vies, des réalités alternatives même dont vous n'aviez vraiment aucune idée dans votre mental humain, mais tous les autres chiffres du tableau, les chiffres qui allaient vers le haut et vers le bas et latéralement et aléatoirement et qui se trouvaient juste là – chacun de ces chiffres est désormais soumis à votre lumière.

Il ne s’agit pas seulement de cet être dans ce corps et de ce mental dans cette vie-ci. Il s’agit de tout ce que vous êtes.

Ressentez-le un instant. Le simple acte, le simple art du banc commence avec vous, il commence dès maintenant et il affecte tout ce que vous êtes.

Cette lumière se déverse dans votre énergie. Cette lumière se déverse dans chaque expérience que vous avez vécue et même dans les expériences que vous n'avez pas vécues. Ça change tout.

C'est pourquoi je vous dis depuis si longtemps que vous faites beaucoup plus que vous ne le pensiez. Vous pensiez que vous essayiez juste de réparer cet humain dans cette vie-ci. Pas du tout.

La lumière se déverse sur chaque part de vous.

Prenez une profonde respiration et permettez-lui de s’écouler à présent. Permettez-la simplement.

Vous n'avez pas à travailler à cela. Vous n'avez rien à forcer. Permettez simplement à cette lumière de s'allumer, dans cette maison de vous-même dans cette vie-ci, mais à présent elle s'étend dans tout le voisinage, en bas du pâté de maisons.

Des lumières s’allument partout. Chaque maison représentant une vie ou une expérience ou une part de vous, que ce soit dans ce royaume ou dans un autre, et bientôt toutes les maisons sont éclairées.

Tout a commencé ici…

… à ce point zéro où vous vous trouvez. Alors que vous revenez à zéro, que vous revenez à vous.

Tout commence lorsque vous faites du banc pour vous.

Je sais que c'est merveilleux de penser que nous allons faire cela pour éclairer le reste du monde, mais il est plus important de le faire ici d'abord pour vous-même.

Ah ! Laissez cette lumière briller en vous et à travers vous. Faites du banc pour vous pour le moment. Sans aucun objectif. Ne vous dites pas : « Voici ce dont j'ai besoin. Voici ce que je n'ai pas. Voici ce qui m'inquiète. » Rien de cela.

Laissez juste la lumière, la conscience et la compassion couler à travers chaque part de vous, toucher chaque part de votre corps.

(pause)

Entrer dans chaque part de vos souvenirs.

(pause)

Chaque personnage, chaque personnalité, chaque figure que vous avez incarnée, que ce soit une vie ou un aspect ou simplement quelque chose que vous avez fait pendant une journée. Mais cette lumière à présent, depuis votre banc, depuis votre point zéro, elle s'étend vers chaque part de vous. Sans essayer de changer quoi que ce soit, mais simplement en disant : « Je Suis ce que Je Suis. J'existe."

C'est cela l'art du banc.

(pause)

Et c'est pourquoi vous avez choisi de rester sur la planète, pour finalement faire briller cette lumière de votre propre maison, de votre propre être vers les autres qui pourront ou non la percevoir. Cela n'a pas d'importance, mais cela commence ici avec vous.

La plupart des gens pensent –la plupart des gens qui croient en une vie passée – la plupart des gens pensent que la vie passée est gravée dans le marbre, écrite dans la pierre, qu'elle est ce qu'elle est. Pas du tout.

Ce qu’il se passe à présent, dans cette expérience de banc très simple, c’est que cette lumière se diffuse sur chacune d'entre elles, et ces vies se transforment. Leur expérience. Leurs nombres ne sont plus sur ce chemin linéaire qui va de gauche à droite, à utiliser un nombre très limité de nombres pour créer de l'expérience. Soudain, tout change pour elles.

Soudain, au lieu d'être bloquées sur un certain chemin, elles sont libres. Cela vous libère également.

Vous êtes arrivé jusqu'ici, et je vous demande, je vous supplie presque, s'il vous plaît, ne travaillez pas à vos problèmes. Vous n'en avez vraiment pas. Ne vous engagez pas dans des batailles de dualité.

Oh, le reste du monde, ils sont vraiment bons dans ce domaine actuellement et il se passe beaucoup de choses, mais vous n'avez pas besoin de faire ça. Il n'y a aucune bataille qui vaille. Il n'y a aucune cause. Vous êtes simplement, simplement la conscience et la lumière sur la planète.

Ne vous laissez pas prendre dans ses drames. Ne vous laissez pas entraîner dans vos vieux problèmes. Ne vous laissez pas entraîner dans cette dualité.

Revenez à ce banc, votre banc. Revenez au point zéro.

Je sais que parfois c'est presque séduisant pour vous de revenir à ces anciens combats et ces vieilles batailles, mais ne le faites pas. Revenez au point zéro, ici même, à votre banc.

Prenez une profonde respiration et au lieu de lutter contre vos problèmes, d'en être obsédé, de vous en inquiéter ou quoi que ce soit d'autre, prenez une profonde respiration et soyez dans cette lumière. C'est tout.

Tout ce que vous avez considéré comme un problème ou une épreuve, c’est en train de disparaitre.

Il n'y a plus de combat. Il n'y a plus de souffrance.

Prenons une profonde respiration ici dans notre première expérience de banc en groupe. Celle-ci est pour vous.

Vous ouvrez cette porte de votre lumière, de votre divinité, de votre conscience et vous la laissez ensuite pénétrer dans toute votre maison, puis dans votre voisinage, puis dans chaque part de vous. C'est cela le point zéro.

C'est à cela que sert le banc.

(pause)

Oui, c'est assez simple, mais il faut traverser beaucoup de choses pour en arriver là. C’est assez simple, en effet.

C'est donc pour cela que nous sommes ici. Pas pour résoudre des problèmes et pas pour être obsédé par des questions et pas pour se soucier de politique, pas pour lutter contre des problèmes de santé ou d'argent. Ceux-là sont partis à présent. Ceux-là sont derrière vous.

Nous sommes là pour l'art du banc.

Sur ce, chers Shaumbra, prenez une très bonne respiration profonde. Prenez une très bonne et profonde respiration.

Nous reviendrons dans un mois et nous continuerons à faire du banc, à parler et à nous divertir, mais ce banc d'aujourd'hui était très spécial. Il s’agissait seulement de vous.

Sur ce, je suis Adamus du domaine souverain, sur mon banc.