LES MATÉRIAUX DU CRIMSON CIRCLE

Série Merlin Je Suis

SHOUD 9 –ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle

le 5 juin 2021

www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

Bienvenue à ce Shoud. Bienvenue au Shoud 9 de Merlin Je Suis, en direct ici depuis le Centre de Connexion du Crimson Circle dans le Colorado. Prenons une profonde respiration ensemble alors que nous commençons notre session d’aujourd'hui.

Nous avons beaucoup de choses à couvrir, beaucoup à faire au cours de cette session, alors prenons une bonne respiration profonde, une bonne respiration profonde, pour commencer cette réunion.

Ah ! Ça fait du bien d'être de retour sur Terre, de retour dans les royaumes physiques avec chacun d'entre vous, de retour dans le corps de Cauldre. Oui. Mais avant d'aller plus loin, j’ai d'abord de premières choses à voir. En tant que Grand Maître Ascensionné en visite, où est mon café? Hum ? J'aimerais avoir une tasse de café. Ah ! Et il arrive à point nommé. Merci, chère Kerri.

KERRI : Aimeriez-vous quelques petites friandises ?

ADAMUS : Je vais en rester au café pour l’instant.

KERRI : D'accord.

ADAMUS: Mais laissez-les ici. Cauldre ou Linda pourraient vouloir en prendre. Merci.

KERRI : C'est pour vous.

ADAMUS : Ah ! Et voudriez-vous bien dire bonjour à tout le monde là-bas au pays des Shaumbra ?

KERRI : Bonjour, les Shaumbra ! Vous m’avez manqué. Et quand vous viendrez nous rendre visite, je vous ferai un bisou sur la joue.

ADAMUS : Et pas à moi ?

KERRI : Oh, attendez, attendez !

ADAMUS : Oui.

KERRI : Vous pouvez m'embrasser.

ADAMUS : Mmmwah ! Ah !

KERRI : Merci.

LINDA : Nous apprécions beaucoup Kerri Gallant et l'excellent service qu'elle rend aux autres. Vraiment, c’est un énorme travail qu'elle fait.

KERRI : Je vous aime, Linda ! (Adamus rit) Et Adamus.

ADAMUS : Et un gros bisou pour la chère Linda.

LINDA : Oh !

ADAMUS : Mwahh !

LINDA : J'ai de la chance !

ADAMUS : Je crois comprendre que certaines des mesures de distanciation sociale que vous avez dû supporter durant la dernière année et demie commencent à prendre fin. Alors c’est vraiment très agréable de pouvoir se faire des câlins et des baisers et, pour certains d'entre vous, d’autres choses que vous pouvez faire maintenant.

Nous avons beaucoup de choses à voir aujourd'hui. Le point important, c'est que cela se produira à de nombreux niveaux différents. Vous en avez l’habitude. C’est la vie qui se déroule à différents niveaux.

Parfois, je sais que c'est déconcertant. Parfois, je sais que vous voudriez juste être dans ce petit niveau de confort dans lequel vous aimez rester, mais ce n'est pas là que nous allons avec les Shaumbra, avec vous. Nous allons opérer à de nombreux niveaux différents.

Aujourd'hui, il y aura les mots que je vous dirai, bien sûr. Nous devons en quelque sorte en passer par là, du moins pour le moment, mais plus que jamais, il y aura dans ce que nous ferons aujourd'hui, des communications à des niveaux plus énergétiques.

Vous entendrez mes paroles, mais j'ai vraiment syntonisé Cauldre pour faire passer davantage de communications énergétiques. C'est là que nous nous dirigeons. C’est là que nous allons nous diriger à Keahak. Nous en reparlerons dans nos réunions en direct, dans nos classes Cloud et tout le reste. Habituez-vous aux communications à de multiples niveaux. A pouvoir communiquer, rayonner à plusieurs niveaux. Pas juste comme ça, à un seul niveau, mais à plusieurs niveaux. Et (habituez-vous aussi) ensuite à recevoir à plusieurs niveaux et à comprendre, à avoir cette compréhension innée grâce à laquelle vous n'avez plus à utiliser de mots ou de langage, vous n'avez plus besoin d'entendre quelqu'un qui vous parle à travers vos oreilles ou de le lire ; vous le captez tout simplement.

Donc, durant cette journée, prenez une profonde respiration et passez à présent à un niveau multiple, au multidimensionnel, aux multi-communications.

Si vous retournez dans les Shouds, dans les choses que nous avons faites par le passé, vous verrez qu’il y a bien sûr des mots. Mais quand vous y retournerez, vous verrez qu’il y a aussi des énergies intégrées. Elles sont vivantes. Ce ne sont pas simplement d’anciennes énergies mortes qui traînent de manière résiduelle. Il y a des énergies vivantes dans n’importe quel Shoud que nous ayons jamais fait, dans tout ce que vous appelez mes produits – je n'aime pas tellement le mot « produit » – dans chacune des choses que j'ai faites avec vous. Ces énergies vivent et elles grandissent, se développent. Elles ne sont pas statiques. Ce n'est pas comme si nous infusions 52 degrés d'énergie dans quelque chose. Non. Les énergies continuent de croître, de grandir et c'est ce qui fait leur beauté, et cela fait partie de tout le package de la communication dont nous parlons.

Alors, prenez une profonde respiration et ressentez tous ces différents niveaux et faites-vous confiance. C'est très important. Faites-vous confiance.

Il y aura sept chapitres dans la discussion d'aujourd'hui, sept niveaux différents. Oui.

LINDA : Waouh.

ADAMUS : Eh bien, pourquoi ? En vouliez-vous plus?

LINDA : Ouais (elle rit).

ADAMUS : Ou moins (Adamus rit).

LINDA : Non, c'est beaucoup. Ça me semble beaucoup.

ADAMUS : Non, c'est en fait très simple. Vous pouvez opérer – vous rêvez à au moins une douzaine de niveaux différents en ce moment précis, même si vous pensez être éveillé, mais vous rêvez en réalité à tous ces niveaux. Vous n'en êtes tout simplement pas conscient pour l’instant. Non, sept ce n'est rien. Je pensais que je devais simplifier. J'ai commencé, au moment où je prenais quelques notes au Club des Maîtres Ascensionnés alors que je me préparais à venir aujourd'hui, j'avais environ 42 niveaux différents, et puis j'ai pensé que je ferais mieux de les distiller par souci de simplicité. Ça vous dérange si je mange un morceau là pendant que nous sommes… (il prend un cookie) en voulez-vous un peu d'abord ?

LINDA : Non, merci.

ADAMUS : Mm. La nourriture humaine. C’est intéressant, mais bien réel, comparé à ce que l'on nous sert au Club des Maîtres Ascensionnés. C'est très bon, mais…

LINDA : Qu'en est-il de tout ce truc de « gruau d’avoine avec du miel » ? C'était censé être le summum de votre contentement.

ADAMUS: J’ai découvert que j’aimais ça dans ma dernière vie. J’avais trouvé cela très satisfaisant pour mon…

LINDA : Et vous ne pensez pas que ceci soit meilleur ?

ADAMUS : Cela contient des saveurs intéressantes, mais rien comparé à mon gruau d'avoine, mon miel et mes noix. C’était des flocons d'avoine, en fait. Pas juste du gruau d’avoine , mais des flocons d'avoine. Au Club des Maîtres Ascensionnés, c'est probablement l'élément le plus populaire sur le menu.

LINDA : (à voix basse) Bien sûr.

ADAMUS : (rires) Ce qu'Adamus mange, tout le monde veut le manger aussi.

LINDA : Apparemment, vous êtes le seul à pouvoir orienter ce qui sera au menu.

ADAMUS: Eh bien, je possède la cuisine, et donc c'est ce que nous mangeons. Il y aura sept niveaux différents aujourd'hui.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Commençons par notre premier niveau.

LINDA : Hum.

 

1 – Le doute

ADAMUS : Lors de notre réunion du mois dernier, nous avons parlé du doute. Le doute. C'est quelque chose qui est en quelque sorte enraciné, engrammé dans la nature humaine, le doute. Le doute vient du mental. C’est la chose que vous utilisez pour vous réguler, vous contrôler et vous gérer vous-même. C'est une façon assez étrange de le faire, mais douter de vous-même, c'est votre mental qui envoie ces signaux comme quoi vous pourriez faire une erreur, c’est votre mental qui envoie un signal : « Ne fais pas la même chose que ce que tu as déjà fait avant parce que les résultats en étaient très mauvais. » Comme vous savez, le mental est très linéaire et il traite beaucoup de données, et donc il envoie ces signaux. Cela provient de la part « survie », de l'aspect « survie » du cerveau – le fait de douter de vous-même – et ensuite c'est renforcé par les autres personnes, qui sont en réalité vous-même, mais en tout cas c'est renforcé. Et vous avez toutes ces voix du doute dans votre mental, que ce soit celles d’un parent, que ce soit la vôtre, ou celle d’un aspect de vous issu du passé qui aurait vécu quelque chose de difficile. Certains d'entre vous ont ces voix de psychiatre ou de psychologue dans la tête, même si vous n'avez jamais été en voir un auparavant. Mais vous jouez au psychologue dans votre cerveau, vous êtes votre propre psychologue personnel, à toujours douter, à toujours vous demander : « Est-ce vraiment ce que tu veux faire ? Est-ce vraiment ce que tu ressens ? » Vous ne faites que vous auto-évaluer, vous sonder, vous piquer, être l’aiguillon qui vous amène à douter de vous-même.

Le doute. Vous n'avez plus le luxe de douter. Voudriez-vous écrire cela, Linda, sur votre tablette d'écriture magique qui est vraiment extraordinaire.

LINDA : D'accord, monsieur.

ADAMUS : Vous n'avez plus le luxe de douter.

LINDA : Alors, le doute c’est le numéro un ou j’écris juste le doute ?

ADAMUS : Vous n'avez plus le luxe de douter.

LINDA : Ah !

ADAMUS : Oui. Et ne le faites pas. C'est un jeu. Prenons-le pour ce qu'il est. C'est un jeu qui se joue à l’intérieur du mental et qui se manifeste, se concrétise dans votre vie quotidienne. Vous n'avez plus le luxe de douter. Ne le faites pas. C'est un jeu qui ne vous mène absolument nulle part. Vous êtes nombreux à être familiers des jeux de société. Souvent, vous lancez les dés et vous vous déplacez sur un plateau en essayant d'être meilleur, de battre les autres. Si le doute était un jeu de société, vous n'iriez jamais nulle part. Vous ne feriez que tourner en rond. Vous n'avanceriez jamais. Vous ne feriez jamais de progrès. En réalité, vous faites même probablement marche arrière dans la vie, en jouant le jeu du doute. Comme si chaque lancer de dés était un mauvais lancer. Chaque – oh, c'est magnifique, Linda. Wow (parlant de son écriture qui apparait à l’écran).

LINDA : Je ne l'ai pas fait depuis longtemps. Je manque un peu d'entraînement.

ADAMUS : Avec quoi ?

LINDA : L'écriture.

ADAMUS: Oh, l’écriture. L'écriture, ok. Je voulais juste m'assurer que nous parlions de la même chose.

Donc, si le doute était un jeu de société et que vous lanciez les dés, chaque lancer serait mauvais. Chaque carte que vous choisiriez dans la pile, au moment de choisir une carte, serait une mauvaise carte. Le doute ne vous mènera nulle part. Quel est le bénéfice, l’intérêt du doute ? Pourquoi même douter ? Eh bien, comme je vous l'ai dit, cela vous oblige à vous réguler, vous contrôler. Quand vous doutez de vous-même, vous vous créez des limites en quelque sorte. Vous définissez des murs. Vous fabriquez votre propre boîte.

Vous n'avez plus ce luxe désormais. Vous ne l’avez plus.

Vous n'avez plus le luxe, là où nous allons et concernant ce que vous faites ici sur la planète, de douter de vous-même. D'un côté, cela peut sembler exaltant, d'un autre côté, c’est assez effrayant. Imaginez un instant, si vous le voulez bien, votre vie sans aucun doute. Écrivez cela au tableau, si vous le voulez bien, « Votre vie sans aucun doute ».

Ressentez-le un instant.

(pause)

Soudain, vous prenez conscience de la fréquence à laquelle vous doutez de vous tout au long de la journée. C’est une série permanente, continuelle, de communications pleines de doute qui émerge constamment, et cela vous retient, vous tire en arrière. Cela vous maintient petit. Cela vous maintient très plat, linéaire et local. Vous n'avez plus le luxe de douter dans votre vie. C'est un mauvais jeu. C'est tout.

Personne ne vous l'impose. Il n'y a pas d’espèce de Système de Commandement Central de l'humanité qui vous oblige à douter de vous-même. Vous avez joué à ce jeu, et maintenant il est temps d’en sortir.

Le doute. J'aimerais que vous écriviez aussi, en mettant juste les mots individuellement ou en les mettant dans une phrase :  le doute est un violeur (Linda suffoque). Quoi? Je ne doute pas de moi. Je sais quels mots j'emploie. Le doute est un voleur.

LINDA : Sur la même page ?

ADAMUS: Comme vous voulez, ma chère. C'est votre appareil. Le doute est un voleur (il marmonne un peu, prend une autre bouchée).

LINDA : Un voleur ?

ADAMUS : Je dois manger là. Ça a été un long voyage. Mm. De venir depuis le Club des Maîtres Ascensionnés, c'est loin. J'ai un peu faim.

Le doute est un voleur, et le doute est un meurtrier…

LINDA : (suffoque) Waouh !

ADAMUS : … d'énergie, de votre énergie. Le doute est un violeur ! C'est un voleur. C'est un meurtrier de votre énergie. C'est exactement ce qu'il fait. Et je suis heureux d'utiliser des mots très audacieux comme ceux-là parce que c'est exactement ce qu’il fait. Arrêtons de tourner autour du pot. C'est un violeur. Il viole votre énergie. Il vous la retire ; vous fait douter de vous-même. C'est un voleur. Il vous vole. Il vole non seulement la force vitale de votre corps et de votre mental, mais il vole aussi votre véritable identité. C'est un meurtrier. Il tue le véritable Je Suis que vous êtes. Il assassine le Merlin, le magicien que vous êtes, et vous n'avez plus le luxe désormais de jouer à ce jeu. C'est terminé.

Chaque fois que vous ressentirez du doute, allez au-delà. Chaque fois que vous sentirez ce doute monter, émerger, allez au-delà. Nous aurons un mot ici pour qualifier cela dans un instant. Quel est le contraire du doute ? Nous y viendrons dans un instant, vous amènerez ce mot et irez au-delà.

Là où nous allons, il n'y a absolument aucune place pour le doute, et si vous vous accrochez à lui (ne serait-ce qu’en partie) – d'ailleurs, avant que je ne développe, le dragon est là pour vous aider à trouver ce doute. C'est pourquoi vous avez traversé certaines choses ces derniers temps.  Comme si le doute avait été extirpé d’un cloaque obscur en vous, et c'est exactement ce qui se passe. Le dragon le trouve, parce que là où nous allons, il n'y a pas de place pour le doute.

Nous allons au-delà, pourriez-vous dire. Nous allons dans les autres royaumes. Nous entrons dans la vraie vie en tant que Maîtres sur cette planète. Vous ne pouvez pas la vivre avec du doute. Alors le dragon est en train de le débusquer et de le faire émerger.

Là où nous allons, il n'y a pas de place pour le doute. Il vous mettrait en pièces. Il vous réduirait en bouillie. Imaginez un astronaute lancé dans l'espace et transportant trop de poids dans sa capsule spatiale. Il l'aurait en quelque sorte surchargée. L'astronaute, à la dernière minute et alors que personne ne regardait, aurait mis tout un tas de fournitures supplémentaires et de couvertures, de nourriture, d'outils et de kits de survie et tout le reste dans sa capsule spatiale, parce qu'il avait peur. Il pensait qu'il pourrait en avoir besoin. Mais maintenant, il est dans l'espace et sa capsule n’a été conçue que pour un certain poids, mais elle transporte tout ce bagage supplémentaire. Qu'est-ce qui va se passer? Ça va déchiqueter la capsule. Soit elle n'arrivera pas à destination, soit elle sera hors de sa trajectoire ou alors elle va simplement être démolie, réduite en miettes.

C'est à ça que ressemble le doute. C'est un bagage supplémentaire, et pour quelle raison même l'emporteriez-vous à bord, je ne sais pas trop, à part que vous vous êtes habitué à douter. C'est comme un vieil et mauvais ami qui est toujours là, mais vous comptez sur lui. Quand vous êtes dans une situation où vous devez prendre une décision, vous devez décider de choisir l'une parmi trois ou quatre options, vous amenez le doute en vous pour vous aider dans cette prise de décision. Pouvez-vous imaginer quelle décision merdique vous allez prendre sur la base du doute?

Disons que vous avez l’opportunité de faire quelque chose de nouveau, d'excitant, de différent, d'aventureux, et à présent il est temps pour vous de prendre cette décision, mais le doute survient en vous disant : « Eh bien, je ne sais pas si je peux vraiment faire ça » ou « Peut-être que J'invente juste tout ça. »  Oh! Vous savez, il y a certaines choses que je n'aime pas avec les Shaumbra. A part ces choses, vous pouvez faire tout ce que vous voulez. Mais je n'aime pas quand vous dites la phrase "Je ne sais pas" (Linda suffoque). Je ne suis pas en train de dire que je ne sais pas. Je suis en train de dire que c’est vous qui dites "Je ne sais pas".

LINDA : D'accord. D'accord.

ADAMUS : Et aussi, ce que je n’aime pas, c’est quand vous doutez, quand vous doutez de vous-même. Il n'y a plus de place pour ça là où nous allons. Ça vous mettrait en pièces. Nous allons ailleurs. Nous allons au-delà. Nous entrons dans un tout nouveau niveau de conscience et de communication, et si le doute reste votre compagnon, vous ne décollerez jamais. Et même si vous parvenez à décoller, ce ne sera pas agréable.

Alors, prenons un instant là avec les Shaumbra du monde entier. Prenez une profonde respiration et allons au-delà du doute. De quoi doutez-vous de toute façon ? La seule chose à propos de laquelle vous pourriez douter, c’est de votre humanité. La seule chose qui pourrait vous faire douter, c'est ce doute que vous avez en votre humanité qui vous dit de ne pas vous envoler, et qui vous a retenu ici.

Maintenant, nous pourrions avoir une longue, longue, très longue discussion sur le doute, mais en gros l’idée, c’est que vous ne voulez pas avoir l'air différent. Vous ne voulez pas avoir l'air de faire des erreurs ou d’échouer aux yeux des autres. Vous savez, ce n'est en fait pas si grave à vos propres yeux, dans votre propre perception de vous-même, de faire une erreur. Vous pouvez vous en remettre. Vous pouvez vous dire : « Eh bien, c'était une erreur et les choses n'ont pas fonctionné comme je le pensais. Mais ce n'était en vérité pas une erreur, parce que je veux suivre le courant, être fluide » et regardez comme l'énergie continue de faire des cercles, de revenir en arrière, et ce n'était vraiment pas une erreur. C'était juste une part de tout ce processus lié à faire l'expérience de la vie. Ce n’était pas une erreur du tout. Si vous permettez aux énergies de tourbillonner et de continuer à s’ouvrir et à s’ouvrir, vous réaliserez que votre erreur n'était pas du tout une erreur.

Donc, ce dont vous vous inquiétez en réalité, ce à quoi vous pensez en vérité, ce sont les autres. Était-ce une erreur ? Vont-ils vous regarder en se disant : « Boudiou, ça c'était stupide ? C'était vraiment stupide. » (Linda fait semblant de pleurer) "Pourquoi as-tu fait une telle erreur?" Et même s'ils ne vous le disent pas en face, ce qu'ils ne font généralement pas, mais ils y pensent (Linda continue de faire semblant de pleurer), ils en parleront avec d'autres personnes, « Vous avez vu ce que Linda… » Je suis désolé, vous devez représenter l'ensemble du public aujourd'hui.

LINDA : Oh, merci.

ADAMUS : « Vous avez vu ce que Linda a fait ? Vous avez vu cette erreur stupide qu'elle a faite? » (elle continue de faire semblant de pleurer) C'est cela qui… (Adamus rit) C'est cela qui vous touche, vous affecte vraiment. Je veux dire, par rapport à vous-même, vous pouvez en quelque sorte faire face à vos erreurs, avoir fait des choses stupides, parce que vous réaliserez, au fur et à mesure que nous entrerons dans la nature du Temps, vous réaliserez que ce n'était en fait pas une erreur. C'était un tremplin, un marche-pied. Au moment où vous avez mis le pied sur cette marche, peut-être que ça n’avait pas l’air bien, mais d'un autre côté, c'était une part importante de tout le tourbillon d'énergies qui est finalement en train de vous servir.

Mais ensuite l'humain pense, "Ouais, mais qu'est-ce que tout le monde va penser?" C'est ça le plus dur. C'est ça le plus dur. Encore une fois, nous y viendrons dans quelques minutes, que faire lorsque vous êtes dans cette situation de doute. Mais imaginez une vie sans doute. Vous savez, nous avons déjà parlé de la vie sans pouvoir. Imaginez à présent une vie sans doute.

Prenons une bonne respiration profonde avec ça.

(pause)

 

2 – Le Temps

Point numéro deux. Le Temps. Le Temps est un sujet fascinant. Le Temps est quelque chose au sujet duquel les physiciens même ne sont pas d'accord. Le Temps n'est pas une constante. Je veux dire, il l’est quand il est à votre poignet (sur votre montre), pensez-vous. Mais d'un point de vue scientifique ou physique, il n'est pas défini. Il n'est pas réel en fait. C'est fondamentalement un dispositif créé par l'homme. C'est un dispositif merveilleux. C'est un dispositif amusant, jusqu'à ce que vous y soyez bloqué. Alors, ça devient une nuisance. Il devient ennuyeux. Il devient la mort elle-même – la mort elle-même – parce que la plupart des humains sont sur un temps linéaire qui les mène du traumatisme de la naissance à l'angoisse de la mort. C'est tout ce qu'ils font, c’est-à-dire rester sur une ligne de temps en attendant la mort. C'est triste. C'est très, très triste, vous ne trouvez pas?

LINDA : Oui.

ADAMUS : Et c’est tellement triste que cela a affecté la conscience sur la planète. Eh bien, c'est la chose numéro un que nous allons dépasser, en allant au-delà. Nous allons en fait en arriver à une compréhension du temps qui vous permettra vraiment d'être dans le temps et hors du temps en même temps. Le temps deviendra un jouet au lieu d'être un fardeau, une charge. Ce sera un outil. Ce sera quelque chose avec lequel vous pourrez jouer.

Maintenant, beaucoup d'entre vous récemment –je veux dire, récemment – Cauldre me demande toujours : « Qu'est-ce que ça veut dire récent ? » Pour moi, c'est un peu différent. Les cent dernières années, pour moi c'est récent. Mais je veux dire par là votre époque humaine récente, au cours des derniers mois et particulièrement au cours des deux dernières semaines, vous avez ressenti une distorsion du temps. C'est déroutant. C'est un peu amusant, d'une certaine manière, mais c'est déroutant et frustrant si vous essayez, tout au long de votre journée, de conserver vos routines.

Vous avez ressenti une distorsion du temps, et c'est une bonne chose, parce que voici ce qui se passe. Nous en avons parlé un peu le mois dernier, mais il n'y a pas que vous dans ce voyage actuellement. Je veux dire, il n’y a pas que le « vous » que vous voyez dans le miroir tous les jours. Vous avez beaucoup de compagnie actuellement. Vous avez beaucoup d'associés, de collègues qui font partie de ce voyage actuellement. Ce sont votre passé et votre futur. Vous portez, pourrait-on dire, leur poids, et aussi leur joie. Vous en portez avec vous la responsabilité, des deux, actuellement.

Voici un peu ce qui se passe. Linda, je vais vous demander de dessiner un graphique, utilisez une feuille entière de votre tableau là.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Et dessinez une espèce d'entonnoir.

LINDA : D'accord.

ADAMUS: Un entonnoir dirigé vers le bas, et dessinez-le plutôt bien, artistiquement.

LINDA : Eh bien, je ne suis pas très douée avec l'iPad.

ADAMUS : Et en bas de l'entonnoir…

LINDA : Oui.

ADAMUS : En fait, indiquez dans cet entonnoir « Le moment présent ».

LINDA : D'accord.

ADAMUS: Ou juste "Présent", ce sera bon. En bas de l'entonnoir, dessinez un humain.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Vous pouvez dessiner un petit bonhomme allumette (schématique).

LINDA : C'est ce que vous aurez.

ADAMUS: Ou un doughboy (en référence à la mascotte Pillsbury Doughboy) ou tout ce que vous voulez, mais là c’est l'humain dans le présent. Et maintenant, dessinez une flèche, une descendant à dix heures, et une autre à deux heures descendant jusque dans l'entonnoir.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Bien. Et puis, sur la flèche de gauche, inscrivez le mot « passé » et sur celle de droite, le mot « futur ». C'est exactement ce qui se passe en ce moment dans votre expansion temporelle.

Ce qui se passe – pas pour la planète, cela ne vaut que pour les Shaumbra – ce qui se passe actuellement, c'est que le passé, votre passé, vos vies antérieures, et même cette vie-ci, votre passé est en train de s'ouvrir. Il n'est plus sur une ligne droite linéaire, mais il est en train de s'ouvrir et il descend dans votre Présent. Vos potentiels futurs – c’est un peu difficile à faire, vous savez (rires, alors qu'il essaie de pointer le bon côté de l'image).

LINDA : Ouais !

ADAMUS : Vos potentiels futurs ne sont plus loin dans le futur. Vos potentiels futurs sont en train de s'ouvrir à mesure que nous devenons des êtres conscients intemporels. Le futur est en train de s'ouvrir et il descend aussi dans l'entonnoir. C'est la raison pour laquelle vous avez ressenti une distorsion du temps récemment. Parfois, c'est une distorsion dans votre ancrage, votre mise à la terre – vous êtes habitué à être ancré d'une certaine manière – et à présent vous ressentez cette espèce de distorsion étrange de tout cela, parce que vous vous ouvrez. Vous êtes en train de vous ouvrir au passé, au futur. Ils entrent dans votre Présent. Et pas seulement cela, mais si nous revenons à votre graphique, au sommet, juste ici, vous inscrivez "âme".

LINDA : Ah.

ADAMUS : Avec une flèche descendant directement dans le Présent. Et donc, l'âme, et tout cela va dans l’entonnoir, s'écoule à l’intérieur, à mesure que vous permettez. C'est cela la physique du permettre. C'est ça qui vous arrive.

Votre passé se libère de son verrou temporel. Le futur, qui est l'ensemble de vos potentiels, il se libère de son verrou temporel. Et alors l'âme, le Maître, tous vos potentiels, toute votre énergie, tout cela est également en mesure de s'écouler, quand vous permettez. C'est une sorte de diagramme du Permettre pour les nuls ou les débutants. C'est ça qui se passe, et tout cela atterrit vers vous, l'humain au fond de l'entonnoir. Tout cela atterrit sur vous. Pourquoi? Parce que vous l'avez demandé, parce que vous le voulez, parce que vous avez dit : « C'est la vie pour le faire. Nous allons boucler tout cela. Nous allons rester ici en tant que Maître incarné. Nous serons conscient de notre âme. » Et ce faisant, cela ouvre aussi, déverrouille, débloque en quelque sorte ce que vous appelez l'histoire du passé, dont je vous parlerai dans un instant. Mais cela débloque l'histoire elle-même.

Rien de ce qui s'est passé n'est gravé, verrouillé dans la pierre ou le béton. Pour la plupart des gens, c'est le cas. Leur perception c’est que c'est le cas et ils agissent en conséquence. C'est comme ce truc avec le roi Arthur qui a retiré l'épée de la pierre. Beaucoup avaient essayé de le faire avant le roi Arthur, mais ils avaient échoué, et lui il est arrivé et a simplement retiré cette épée de la pierre, ce qui signifie qu'il a débloqué, déverrouillé le temps pour lui-même. De sorte que votre passé – avec toutes les choses que vous pensiez avoir ratées, toutes les erreurs que vous pensiez avoir commises, tous les doutes que vous avez eus – soudain, vous les débloquez du temps lui-même. C'est énorme. Je veux dire, c'est über énorme, ultra-énorme, un énorme quantique. Et en même temps, simultanément, vous débloquez votre futur, auquel vous vous êtes toujours accroché, dans votre représentation du futur, comme étant quelque part ailleurs, quelque chose d'autre, et à présent vous le rendez disponible.

Au passage, tout cela est en train de se passer, pourrait-on dire, naturellement. Vous n'avez pas à l'étudier. Maintenant, je vous le dis après coup ou peut-être pendant que c’est en train de vous arriver. Ce n'est pas quelque chose que nous devons essayer d'aspirer à faire. Ce n'est pas comme si je vous expliquais, je vous révélais la prochaine étape. C'est là où vous en êtes actuellement. C'est ce qui se passe dans votre vie. J'essaie juste à présent de le définir pour vous à travers mes mots, mais plus important encore à travers une communication d'énergies vers vous.

Et donc, le fait est que le temps est en train de changer son mode de circulation, sa façon de s’écouler, et il n’est plus uniquement linéaire. Il sera toujours linéaire si et quand vous le choisirez, mais désormais, il se débloque du passé et du futur. Et puis, en même temps, avec la conscience de votre âme tout entière, il afflue en vous, le récepteur, au fond de cet entonnoir dans le moment Présent. C'est assez énorme. C'est énorme. Prenez un instant et permettez-le et ressentez-le.

(pause)

Prenez un instant et ressentez comment tout cela circule et se dirige vers vous actuellement. Votre passé débloqué et votre futur débloqué et votre âme.

En parlant d'âme. Je définis l'âme dans  La Vie de Maitre n°14 , désormais disponible dans votre boutique du Crimson Circle préférée. Je fais un peu de promotion là, en passant, chère Linda.

LINDA : Eh, c'est une très bonne information.

ADAMUS : Oui, une très bonne information – c'est même une information géniale – et vous savez pourquoi ? Parce que ce sont vos informations. Bien sûr, c’est moi qui vous la communique, je l'ai verbalisée, mais c'est votre information. C'est ce que vous êtes en train de traverser, de vivre. Nous ne ferions rien de tout cela si vous n’étiez pas en train de le vivre. Et puis, en travaillant ensemble dans ce que nous appelons un Shoud, qui est en quelque sorte la voix du groupe, la communication du groupe à l’intention de tous, c’est transformé en des choses comme la Vie de Maître. Mais c'est grâce au niveau où vous en êtes.

 

3 – L'histoire est dans votre cœur

Chapitre suivant, le numéro trois. La véritable histoire, votre véritable histoire, se trouve dans votre cœur. Elle n'est pas dans votre mental. Ce ne sont pas des données. La véritable histoire n’a rien à voir avec les données, les faits.

Maintenant, vous regardez l'histoire, disons vos livres d'histoire, l'histoire de la planète, l'histoire de votre pays.

LINDA : Le chapitre numéro trois, c’est : « l'histoire » ?

ADAMUS : Ouais. Au lieu de l'appeler seulement « Histoire », inscrivez « L'histoire est dans le cœur ». Oui, l'histoire est dans le cœur.

Vous regardez un livre d'histoire et il contient beaucoup de faits et de données. Il y a des noms et des dates. Il contient beaucoup de faits et de chiffres. Et c'est ce que les gens croient qu’est l'histoire. Dans une certaine mesure, oui, mais ce n'en est qu'un aspect, une strate parmi des dizaines, des centaines, peut-être des milliers de couches ou de strates de ce qu'est la véritable histoire globale.

C'est une idée difficile à saisir au début, et c'est là que je vous demande de simplement la ressentir. Certains d'entre vous commencent vraiment à le comprendre. Le passé n'est pas ce que vous pensiez et doutiez qu'il était, et quand je dis doutiez, je fais référence à vos doutes du passé. Ce n'est pas ça du tout.

Ce que vous avez généralement, c’est une série de points de données que vous pensez être ce qui constitue réellement le passé, et vous pensez peu ou prou que tout cela est stocké dans votre mental. Vous avez toute cette histoire. Vous avez des petits films, vous avez des images, vous avez des souvenirs, vous avez des émotions. Rien de tout cela n’est stocké ici dans votre mental. Il n'y a rien de tel là-dedans. Où seraient-ils ? Dans certains des fluides de votre mental, dans certains de ses acides aminés, dans certaines des autres choses qui sont dans votre cerveau ? Non, pas du tout. Rien n'est stocké là.

Tous les souvenirs sont en quelque sorte dans un cloud et, oui, il existe une analogie très claire avec les systèmes informatiques qui traitent vos données et la façon dont vous les mettez désormais dans un Cloud. Vous le savez, vos données ne résident généralement pas, elles ne sont pas directement stockées sur votre ordinateur, parce que tout cela est une émulation, c'est une sorte de copie de l'ensemble du processus humain.

Donc, vous avez tous ces points de données et ces mémoires. Ils sont stockés, ils sont contenus, comme dans un Cloud, mais le cloud n'est nulle part. Je veux dire, vous ne pourriez pas sortir pour essayer de le trouver dans les cieux, tout comme il n’existe pas d’Annales Akashiques de la planète ou de l'univers. C'est, simplement. C'est là.

Maintenant, cela étant dit, disons que toute votre histoire, tout ce que vous avez fait et vécu, tout ce que vous savez, chaque pensée que vous avez jamais eue n'est pas stockée dans un endroit, mais qu’elle est là. Où est-ce? C'est juste là. Je veux dire, c'est comme si c’était dans l'air, et que c’est nulle part où l’on puisse le trouver. C'est assez étrange. Cependant, il y a dans tout cela des qualités électromagnétiques qui peuvent être détectées, et quand elles sont détectées, c'est – il y a des chercheurs qui font un peu de recherche actuellement à ce sujet, mais pas beaucoup - mais vous verrez dans environ trois ou quatre ans, on sera capable de commencer à détecter ce que j'appellerais une sorte de, oh, des baies de pensées ou des baies de mémoires près ou autour d'une personne. Maintenant, ces pensées ou mémoires ne sont pas réellement là, et il s’agit surtout de s’intéresser à où et comment vous les y mettez. C'est un peu comme une partie de cet entonnoir qui entre, et ces pensées, ces mémoires ont des qualités électromagnétiques. Et donc, les chercheurs vont en arriver à la conclusion que vous avez ce genre de champ d'aura autour de vous, faute de meilleurs mots, et c'est là que toutes vos pensées et vos souvenirs sont enregistrés. Ce n'est pas vrai en réalité, mais c'est là qu'ils deviennent détectables. Mais revenons-en à notre sujet.

La véritable histoire de qui vous êtes est dans votre cœur, et je ne parle pas de ce cœur-là (physique) ici. Vous savez ce que j’entends par cœur. C'est dans vos ressentis. C'est dans votre connaissance intérieure. C'est dans votre gnost. Et où se situe tout cela? Eh bien, pas dans votre tête et pas dans votre cœur physique. C'est juste là. Cela fait partie de tout ce que vous êtes, et cela n'a pas besoin d'exister dans un lieu ni à une époque, ni dans la matière, pas du tout. Ce n'est pas nécessaire.

Le mental humain aime penser que cela existe quelque part, qu’il doit bien y avoir un espace défini et un temps défini à cela, mais ce n'est pas le cas. Ce n’est pas nécessaire et c’est ce qui est magnifique. C'est ça, la liberté. Cela n'a pas besoin d'avoir cette définition.

Votre véritable histoire est dans votre cœur. Et, encore une fois, j’utilise le mot « cœur » pour signifier votre connaissance intérieure, votre passion, votre véritable Soi, peu importe comment vous voulez l'appeler, votre âme. C'est là que c'est. Ce n'est pas dans le souvenir des choses qui se sont passées. Tout cela est tellement déformé, et j'ai hâte d’en voir de plus en plus la découverte chez les Shaumbra, chez vous, quand vous réaliserez que tout cela n’est qu’une de ces choses – comment dites-vous déjà ? – ces instants OMG (OhMyGod !, Oh mon dieu !), de révélation, quand vous réaliserez que « Je voyais seulement une version déformée de mon passé. Par conséquent, c’est moi qui ai créé les doutes qui ont limité encore plus ma vie, qui m'ont mis davantage dans cet état d'emprisonnement physique et maintenant je sors de ce carcan, je m’évade de cette prison. Maintenant, je me libère. »

Votre véritable histoire est dans votre cœur. Elle est dans votre connaissance intérieure.

Quand vous dépassez le doute, que vous allez au-delà en vous disant « Je Sais que Je Sais », quand vous arrêtez de douter de ce que vous obtenez, vous arrêtez de douter de ce qui arrive, quand vous commencez à faire confiance aux communications en vous, à ce qui vous est communiqué depuis votre passé et votre futur – vous voyez, vous n’avez toujours pas cette confiance dans vos communications. Vous attendez toujours des mots, et même quand des mots vous viennent, vous en doutez. Et donc, ce qui se passe finalement, c'est que vous cheminez simplement dans l'ignorance que tout cela est en train de se produire, que toutes les communications sont déjà là.

Vous avez déjà fait une percée, eu une ouverture par rapport au temps. Vous avez déjà fait une percée, eu une ouverture par rapport à l’idée de votre histoire basée sur les données. Mais le doute vous empêche de pouvoir le percevoir. Le doute vous fait prétendre que ce n'est pas là, que c'est juste – vous n'en entendez même pas le bruit. De temps en temps – ouais, de temps en temps quand vous êtes vraiment désespéré, en particulier – vous pouvez le sentir et le ressentir. Mais ensuite, quand vous revenez à votre routine, à votre vie humaine quotidienne, vous l'ignorez. Tout est là.

Votre histoire, la véritable histoire de qui vous êtes, de l'être extraordinaire que vous êtes, sans que ce monstre, cet assassin de doute ne jette son ombre sur vous, votre véritable histoire est dans votre cœur, pas dans les données, les faits. On pourrait dire cela pour vous individuellement, mais aussi pour l'humanité. On peut le dire aussi pour votre pays, quel qu'il soit, quelle que soit l'histoire dans laquelle il est impliqué. Son histoire n'est vraiment pas dans les données. Pour vous, individuellement, elle est dans votre cœur, et vous le savez déjà. Mais vous en doutez tellement. Vous avez fermé la porte et nous allons ouvrir ces portes. Nous allons ouvrir ces portes, aller au-delà du temps lui-même. Ce sera très important – c’est important actuellement - dans ce que nous faisons et ce sera important pour la suite.

Mais ce qu'il va vous falloir là, c'est un véritable niveau de confiance en vous-même. Il ne s’agira pas seulement de dire les mots, mais d’avoir ce vrai niveau de confiance en vous. Revenons un instant en arrière cependant.

 

4 – Sortir, s’évader

Chapitre suivant. Sortir, s’évader.

LINDA : Numéro quatre, s’évader ?

ADAMUS: Oui, c’est le numéro quatre, sortir, s’évader.

Qu'est-ce que je veux dire par sortir, s’évader ? Eh bien, les gens vivent dans des boîtes. Concrètement, ils vivent dans des boîtes, mais même au sens figuré, ils vivent dans des boîtes. Les boîtes présentent un certain confort. Les murs sont définis. Le plafond, sa hauteur est définie. Tous les paramètres, les caractéristiques de la boîte sont définis et cela crée un énorme niveau de confort, même si les gens s'en plaignent à longueur de journée. Ils se plaignent de leur vie. Mais je vous pose la question : si vous ne l'aimez pas, pourquoi ne la changez-vous pas ? Si vous n'aimez pas ça, pourquoi ne faites-vous pas quelque chose de différent ? Je le dis aussi aux Shaumbra – et j'ai été critiqué pour cela, mais également aimé pour cela – s'il y a quelque chose dans votre vie que vous n'aimez pas, c'est parce que vous en retirez toujours quelque chose. Vous en retirez toujours un plaisir, une expérience, une nouvelle compréhension, vous en tirez quelque chose, ne serait-ce que la souffrance que vous pensez mériter.

Donc les gens vivent dans des boites, des cases. Ils vivent dans leur perception limitée de leur histoire et de celle de la planète. Ils se plaignent des murs. Ils se plaignent de leur vie, mais pourtant ils continuent à faire la même chose tous les jours. Cela n'a aucun sens, parce qu’ils en font le reproche, ils en mettent la faute sur tout le reste. Ils blâment leurs parents, leur culture ou la société. Ils leur reprochent de ne pas les comprendre. Ils mettent ça sur le compte d'être une minorité. Ils mettent ça sur le compte de faire partie de la majorité. Ils mettent ça sur le compte d'être un homme. Ils mettent ça sur le compte d'être une femme, quoi que ce puisse être – il y a toujours un reproche ou un fautif du jour - et c’est cela qui les maintient dans la boîte.

Combien s'arrêtent vraiment un instant en se disant : « Comment puis-je aller au-delà des limitations dont j’ai tellement marre ? Comment puis-je m'aventurer au-delà ? » Et donc ils ne font qu’y penser.

Ils en rêvent peut-être, et puis, quand ils sortent de leur rêverie, alors ils continuent à blâmer quelqu'un ou quelque chose d'autre. Ou s’ils ne le blâment pas, ils s’en servent au moins comme d’une sorte d'excuse : « Je ne peux pas faire ça tant que mes enfants n'ont pas obtenu leur diplôme universitaire. Je ne peux pas aller au-delà, ils ont besoin de moi. Je ne peux pas aller au-delà avant d’avoir obtenu le divorce, parce que mon conjoint ne comprendrait pas. Mon conjoint parlerait aux avocats et aux tribunaux de mon comportement étrange. » Vous avez toutes ces excuses. « Je ne peux pas le faire maintenant, parce qu’actuellement je cherche un emploi. » Je veux dire, j’ai tout entendu. Je pourrais écrire "Le livre des excuses - Un milliard d'excuses humaines pour ne pas être qui vous êtes vraiment". Je les ai toutes entendues, toutes ces excuses, et aucune d'entre elles n'est réellement valable, aucune, à part "J'ai choisi de venir ici dans cette vie-ci." C'est la seule excuse. « J'ai été assez stupide pour venir ici » ou assez sage, selon la façon dont vous regardez ça. Mais à part ça, les gens vivent dans des cases, des boites, et maintenant venons-en aux Shaumbra.

Les Shaumbra ont toujours leur boîte. Ils ont un peu fait évoluer leur boîte. Ils l'ont un peu agrandie, ils ont mis un peu plus de conscience dans leur boîte un peu plus grande. Mais c'est toujours une boîte. Je ne parle pas de vous tous, mais d'une grande partie parmi vous.

Vous parlez d’en sortir. Vous parlez de vous évader. Vous pensez que vous êtes un rebelle, alors qu'en fait, vous ne l’êtes pas vraiment. Vous ne l'êtes pas vraiment. Vous vous habillez en quelque sorte comme un rebelle, vous parlez comme un rebelle, mais être un rebelle dans une boîte, c’est toujours être dans une boîte. Oui. Alors ne vous vantez pas trop de toutes vos activités de rebelles, à moins de sortir de votre boîte. Après, nous pourrons en parler. Après, vous pourrez non seulement vous habiller comme un rebelle, mais je vous donnerai un badge, un badge de pirate, dès que vous serez sorti de votre boîte.

Je ne veux pas du tout être condescendant ou méprisant en parlant ainsi, mais je veux vous botter le cul (Linda suffoque). Ce n’est pas une mauvaise chose. Non non. C'est pourquoi, en fait, si je vous mettais des coups de pied dans le cul…

LINDA : Vous voulez dire un coup de pied au cul physiquement parlant ?

ADAMUS : Ouais, ouais. Si nous faisons une journée spéciale ici au Centre de Connexion du Crimson pour que je vous mette un coup de pied au cul et ce, pour cent dollars, oui, vous vous feriez botter le cul par moi, et pour 150, ce serait un coup de pied un peu plus dur, et pour 250 dollars ce serait un coup de pied au cul et une gifle au visage, aussi étrange que cela puisse paraître, il y aurait la queue à notre porte, jusque dans la rue, jusqu’autour du pâté de maisons, peut-être même jusqu'à l'autoroute. Mais c'est pour cela que nous sommes là, pour vous botter le cul. Je veux dire, c'est en quelque sorte le cœur, la raison d’être du Crimson Circle, de vous mettre un coup de pied au cul, n'est-ce pas ? Eh bien, vous ne voulez pas qu'on vous botte le cul de temps en temps ?

LINDA : Non.

ADAMUS : Vous ne voulez pas, maintenant, devant tout le monde ?

LINDA : Non.

ADAMUS : Vous représentez le public.

LINDA : Pas aujourd'hui.

ADAMUS : Pas aujourd'hui. Vous voyez, ok (Adamus rit). Non, je pense, en fait, que c'est une excellente idée. Peut-être que cet été, nous ferons une journée de coups de pied au cul, quand plus de gens auront le droit de venir.

LINDA: Y aura-t-il une sorte de clause sur les blessures, que les gens devront signer pour dire que …

ADAMUS : Voilà, regardez où vous allez immédiatement. Vous mettez la faute sur quelqu'un d'autre et nous devons avoir des clauses et des avocats et tout le reste et…

LINDA : Ouais, et une clause de non-responsabilité.

ADAMUS : Si vous voulez.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Mais en fait, tout ce qu'ils auront à signer, c'est un accord, « Je veux un coup de pied au cul d'Adamus et je suis prêt à payer pour cela », puis signer de leur nom. Ce sera la seule et unique clause et un accord tacite. C'est un contrat de bon droit.

LINDA : Intéressant.

ADAMUS : Ouais. "Je choisis de me faire botter le cul par Adamus." Et après, vous aurez un petit badge, je veux dire, une espèce de badge de reconnaissance, de fierté. "Je me suis fait botter le cul par Adamus." Pour cent dollars de plus, vous vous ferez prendre en photo pendant le coup de pied au cul. Je pense que c'est une excellente idée.

LINDA : Qu'est-ce que vous avez bu ?

ADAMUS: Je n’ai rien bu - c’est Kerri qui l'a fait. Ça a un goût très inhabituel, un peu terreux, avec une espèce d'odeur piquante. Je ne sais pas ce que c'est.

LINDA : C’est de la Marie-Jeanne ou quoi ? (Adamus rit ; 'Marie Jeanne' est un euphémisme pour la marijuana)

ADAMUS : Quoi qu'il en soit, revenons à notre sujet. Sortir de la boîte.

Là où nous allons, nous devons en sortir. Nous ne pouvons pas simplement penser à sortir ou à rendre la boîte un peu plus grande. La difficulté dans le fait de sortir, c’est que le doute va vous arrêter. Il vous dira : « Tu vas devenir cinglé ». Il vous dira : « Qu'est-ce que les autres vont dire ? »  Il vous dira : « Tu vas te perdre dans une espèce d'enfer métaphysique. » Toutes ces pensées vont surgir. « Et qu’est-ce qu’il se passera si tu t’évades et que tu ne peux plus jamais revenir ? Et si tu t’évades et qu'il n'y a rien ? Et si tu t’évades et que tu deviens encore plus moins que rien dans la vie que jamais ? » Et donc, toute cette myriade de doutes à propos de votre sortie émerge en vous.

Mais, mes chers amis, je dois vous dire, avec un certain degré d'impatience, que nous devons nous évader à présent. Nous devons nous évader. Cela signifie avoir une confiance absolue en vous-même. Pas en moi. Pas en quelqu'un d'autre, mais une confiance absolue en vous-même. Et vous vous dirigiez vers ce moment depuis longtemps, et vous évitiez ce moment depuis longtemps.

Oh, et vous vous demandez : « De quoi allons-nous sortir, nous évader ? » Eh bien, du temps. Cela semble plutôt bien, mais quand vous êtes sur le point de franchir le seuil du temps, que vous êtes en train de franchir la falaise du temps, alors c'est un peu effrayant. C'est comme si vous alliez faire un saut en parachute. Vous montez dans l'avion, vous mettez le parachute, et tout ça avait l’air d’une très bonne idée quand vous en parliez en buvant avec vos potes l’autre soir dans un bar, et soudain vous êtes dans l'avion et il décolle et vous vous retrouvez dans l'un de ces moments merdiques – ces moments où vous vous dites "Oh, merde". Et à présent vous êtes en altitude, il est temps de sauter et vous regardez autour de vous et tout le monde vous regarde du genre, "Hé, t’es une poule mouillée ou quoi?" Et cette peur vous submerge, mais vous savez que vous devez le faire. Je veux dire, vous n’y êtes pas obligé mais vous savez que vous feriez mieux de le faire. Et c'est ça, franchir la ligne. C’est un peu la même chose avec le fait de sortir du temps.

S'évader, c'est aussi sortir, s’évader de la boîte de votre mental. Maintenant, à vrai dire, le mental s’en fiche que ce soit l’un ou l’autre, d'une certaine façon. Il vous maintiendra dans la boîte aussi longtemps que vous le souhaiterez, et il jouera le jeu avec vous. Il jouera le jeu du doute. Il jouera le jeu de la limitation. C'est une machine qui vous sert. Quand il comprendra que vous êtes authentique, vrai – et que vous n’êtes pas seulement là à pleurnicher et à vous plaindre et pas seulement là à imaginer et à rêver, mais que vous êtes vraiment prêt à sortir de la boite – alors, il coopérera avec vous.

C'est un outil qui vous a gardé dans la boîte parce que vous vouliez rester dedans. Il a été un outil pour ça. C'est presque devenu un ennemi juré, d'une certaine manière, parce qu'il vous y retient, il vous y maintient. Il a une force gravitationnelle et il utilise des éléments comme le doute et la peur et la survie et tout le reste. Mais quand le mental comprendra que vous êtes vraiment, vraiment prêt à en sortir, à pénétrer dans la connaissance intérieure, à pénétrer dans les autres royaumes, à aller au-delà, quoi que ce soit la façon dont vous voulez l'appeler, à devenir multidimensionnel, à aller vers votre véritable et vrai Soi, alors votre mental coopérera. Mais pas avant. Ne vous attendez pas à ce qu'il commence à prendre les choses en main. Il le fera uniquement quand vous en serez à ce moment critique de sauter de l'avion, c’est alors qu'il fera sa transformation et vous permettra de partir. Avant cela, jusqu'au moment précis où vous franchirez cette dernière étape, où vous ferez ce dernier pas, votre mental essaiera de vous protéger et de vous garder à l'intérieur.

En sortant, en allant au-delà de la boîte, la partie probablement la plus effrayante de ce processus, c’est allez-vous devenir fou ? Il convient de définir ce qu’est la folie. Pour moi, la folie c'est de rester dans la boîte, de savoir que vous êtes dans une boîte, de savoir que vous pouvez en sortir à tout moment, mais c’est aussi de savoir que vous êtes tellement à l'aise, tellement confortable avec ça, à être dans ce super et énorme jeu, y compris le jeu du doute, que vous y restez.

Et donc, ce que je dis, c'est qu'il est temps d'aller au-delà et de le faire vraiment. Aller au-delà du temps, au-delà des limitations du mental, au-delà des limitations de la réalité physique, parce qu'elles n’en sont vraiment pas en réalité, ce n'est pas vrai. Cela fait partie du jeu.

Il est temps de sortir, de s’en évader et de ne pas attendre que quelqu'un d'autre le fasse en premier. C'est une autre grande excuse que beaucoup d'entre vous utilisent : « Eh bien, j'attendrai qu'un autre Shaumbra le fasse et je verrai s'il existe encore après ». C'est maintenant, les Shaumbra. C’est maintenant. Vous n'avez pas à faire d’effort pour cela. Vous le permettez simplement. Vous n'avez pas besoin de faire d'exercices spécifiques ou de chanter ou quoi que ce soit du genre. Vous le permettez simplement, et cela vous semblera étrange. Cela vous semblera très, très étrange au début. Mais après avoir traversé cette sensation initiale d'étrangeté, après vous serez submergé, submergé par le fait de ressentir combien c’est naturel.

Vous traverserez en quelque sorte ce couloir initial où tout est simplement étrange, perturbé, déformé, chaotique. Ce sera comme de marcher dans une sorte de chaos interdimensionnel. Et que ferez-vous durant ce chaos ? Vous respirerez profondément. Vous ne le combattrez pas. Vous le permettrez. Et après ce couloir de chaos, soudain, vous aurez le ressenti irrésistible, submergeant de quelque chose de naturel.

Quelques-uns d'entre vous se demandent à présent : « Est-ce similaire au processus de la mort ? » Le processus de la mort est assez similaire à celui-ci, mais dans celui-ci, vous ne mourez pas. Dans le processus de la mort, vous le faites. Le processus de la mort suit le même schéma : en abandonnant, en relâchant la réalité physique et en revenant à votre état naturel, il y a une sorte de couloir de confusion, et ensuite, cet état est mélangé à ce que nous appelons les royaumes proches de la Terre. Ensuite, quand vous allez au-delà de cela, dans le processus de la mort, vous commencez en quelque sorte à vous souvenir de votre état naturel.

A mesure que nous passerons en mode sortie, évasion, à mesure que nous nous évaderons de la réalité mentale linéaire et locale, vous aurez un ressenti étrange, et puis soudain le ressenti irrésistible et submergeant du naturel, du fait que vous revenez à votre état naturel. Alors, vous regarderez en arrière d'où vous venez et vous vous direz : « C'était bizarre. C'était vraiment, vraiment bizarre. »  Vous serez en mesure de revenir à cet état étrange à tout moment, dès que vous le souhaiterez, et c'est comme cela que j'aimerais le qualifier désormais, l’état étrange où vous êtes humain, mental et linéaire. Vous pourrez retourner à cette étrangeté à tout moment, chaque fois que vous le désirerez, ou vous pourrez demeurer dans votre état naturel, ou être dans les deux à la fois.

C'est incroyablement exraordinaire ce qu’il se passe actuellement. Je ne sais pas si c'est cela être perdu, pour certains d'entre vous, mais c'est extraordinaire ce qui se passe en ce moment sur la planète. Je ne veux pas en dire trop ici, parce que j’en reparlerai bientôt dans notre prochaine mise à jour de ProGnost. Nous parlerons de la capacité à vivre dans l'étrangeté, dans cette condition humaine, et de la capacité à revenir à votre état naturel, à qui vous êtes vraiment, et de pouvoir y être simultanément, être dans les deux en même temps. Ce n'est pas l'un ou l'autre. Vous pouvez faire les deux à la fois ou soit l’un soit l’autre.

Maintenant, que se passe-t-il en termes de physique sur la planète et en particulier en termes d’informatique quantique ? En raison de ce que vous faites actuellement, ce que vous faites concrètement – et je ne généralise pas ici ; Je veux dire, concrètement grâce à ce que vous faites, ce que nous faisons ici dans le Et – désormais, en physique, la physique devient le Et . Les chercheurs découvrent avec l’informatique quantique que vous pouvez – je ne suis pas très familier avec l'informatique, je regarde l'énergie et j'essaie de communiquer en mots – mais les chercheurs sont en train de découvrir qu’il ne s’agit plus seulement de zéro et de un désormais. En informatique quantique, vous pouvez avoir les deux. Vous pouvez être dans le Et. C'est actuellement dans ce qu’on appelle un état très fragile (les acquis ne sont pas solides), mais les chercheurs apprennent à travailler avec cela, le zéro/un/et – en même temps. Vous pouvez être zéro, un ou être Et . Tout cela en suivant la conscience, et cela développe en vérité une toute nouvelle chose appelée l'informatique quantique, qui sera des centaines, voire des milliers, peut-être même des dizaines de milliers ou des millions de fois plus efficace que l'informatique actuelle et beaucoup plus sûre. Il ne vous reste plus qu'à trouver différentes manières de gérer la transmission de la communication.

Mes chers amis, regardez un instant, faites le parallèle entre ce que nous faisons et puis ce qui est en train d’émerger. Auparavant, les choses apparaissaient 10, 20, 30 ans plus tard. Maintenant, ce que nous faisons apparaît, se manifeste un an plus tard, peut-être deux ans plus tard, mais la fenêtre de temps est très condensée actuellement. Vous allez dans le Et . Nous sortons, nous nous évadons mais nous pouvons toujours être dans l'état étrange de la condition humaine.

Prenons une profonde respiration en cela.

Ce n'est pas quelque chose que nous aspirons de faire en nous disant : « Nous serons là dans un an. » Vous êtes en train de le traverser, de le vivre en ce moment même. Je vous rapporte juste ce que vous vivez.

 

5 – Le contraire du doute

Point suivant sur notre liste. Je crois que cela nous porte à cinq.

LINDA : Oui, monsieur.

ADAMUS : En fin de compte, quel est le contraire du doute ? Vous connaissez bien le doute. C'est un ami proche. C'est un ami qui n'arrête pas de venir vous emprunter de l'argent, du temps et de l'énergie et tout le reste et qui ne le rembourse jamais. Le contraire de cela. C'est un mot – je vais vous l'épeler, Linda.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : C'est t-r-é-s-o-r-t, trésort. Et il y a un petit accent sur le "e". Trésort.

Nous avons parlé d'un terme similaire dans Keahak, trésor, sans le « t ». Trésor, c’est le mot français pour trésor, et trésort est une variante de trésor, mais trésort avec un « t » signifie simplement « sans aucun doute ». Sans aucun doute. Cela signifie trouver le véritable trésor de se faire confiance une fois pour toutes, inconditionnellement. Dans la confiance inconditionnelle que vous avez en vous-même et dans le retour à votre état naturel, il existe des trésors au-delà même de ce que le mental humain pourrait imaginer actuellement. Et quand je dis trésors, je ne parle pas d'or et d'argent et de rubis et de diamants, même si tous ceux-là sont super. Je parle des trésors de votre Soi, du fait de revenir à votre état naturel d'être, tout en étant toujours dans un corps au niveau physique. C’est cela le Trésort.

Quand vous rencontrerez le doute lorsque vous irez au-delà de la boîte – et, encore une fois, nous ne construisons pas de plus grandes boîtes, nous en avons fini avec cela ; nous faisons tout exploser, nous sortons de la boîte - et quand vous approcherez ce point critique à l’image du moment où vous sautez de l'avion, ce point critique où vous arrivez au bord de la falaise, ce point critique où vous ressentez de l'anxiété en vous et que vous devez respirez profondément et que vous ressentez le doute qui essaie de vous tirer en arrière, de vous retenir en essayant de vous dire : « Ne le fais pas. Ne sors pas de ta boîte. Ta boite est plutôt sympa. Peut-être que nous allons la nettoyer un peu. Peut-être qu'on achètera d'autres choses pour embellir ta boîte, la rendre un peu plus jolie. Peut-être peindre la boîte, mais n'y va pas. N'y va pas parce qu’il y a toutes ces choses terribles qui pourraient t’arriver. »  C'est à ce moment que vous prendrez une profonde respiration et que vous ressentirez la communication, l'énergie de ce qui est déjà en vous – le trésort. C'est le trésor de vous faire confiance. Sans jouer aux jeux du mental qui va vous faire imaginer : « Qu'est-ce que les autres vont dire ? » Sans vous demander si vous quitterez l’existence ou quoi que ce soit de cela.

Le Trésort est votre sceptre. Le Trésort est le trésor qui est en vous, et il passe par la confiance.

Vous rencontrerez ces doutes sur ce qui va se passer ensuite dans ce voyage - au-delà du temps, au-delà des données mentales linéaires, au-delà de la façon dont votre histoire est actuellement définie – mais quand vous allez au-delà, vers votre état naturel, c'est cela le trésort. Ressentez cela une minute.

Trésor est le mot français pour trésor. Trésort, c’est le trésor de la confiance en soi.

Vous allez en avoir besoin. Vous allez le vouloir. Vous allez en arriver à ces moments dans votre vie où vous savez que c'est un moment déterminant. Vous savez que vous en arrivez à un point, celui d'aller au-delà de la boîte. La boîte sera toujours là si vous choisissez d'y jouer, mais il s'agit maintenant d'aller au-delà de cette boîte. Et vous ferez ces rencontres. Vous aurez ces expériences dans votre vie, que ce soit celle d’être consumé, que ce soit celle d’être assassiné et violé par le doute lui-même ou simplement celle de vous faire confiance, de laisser place au trésort, pour en venir au trésor de vous-même en ayant confiance en vous. Et puis si vous vouliez bien juste ressentir cela un instant, le trésort, toute la confiance que vous avez en vous. Ce n'est même pas une chose mentale à ce stade. Il n'est situé nulle part. C'est une chose qui vous est inhérente, c'est une confiance innée. C'est – je vais le dire ainsi – une justesse en vous-même, parce que vous savez que c'est juste. Vous en arrivez à ce point du Trésort où tous les trésors sont là, et cela fait exploser la boite, cela l’ouvre en grand et vous vous retrouvez dehors, à l’extérieur.

Cela vous semblera un peu étrange au début, mais vous serez enfin sorti, dehors. Vous ne serez plus défini par le temps, ni par votre histoire, ni par votre corps physique. Et c'est aussi à ce moment-là que nous pourrons vraiment commencer à travailler avec le Corps d'Énergie Libre. Vous savez, les Shaumbra n'arrêtent pas de se demander : « Quand allons-nous faire (naitre) le Corps d'Énergie Libre ? » Quand vous sortirez de la boîte, parce que sinon vous ne ferez que jouer un jeu avec vous-même. Vous ferez semblant, vous nierez votre corps physique. Vous jouerez un jeu depuis l'intérieur de votre boîte et finalement tout s'effondrera. Mais au fur et à mesure que nous irons au-delà avec trésort, avec la confiance absolue en vous-même – sans que ce soit personne d'autre qui ait confiance en vous, même pas moi, mais que vous aurez une confiance absolue en vous-même – alors vous contemplerez tous les trésors.

Prenons une bonne et profonde respiration avec ça, avec le trésort.

C'est la confiance en vous-même. Elle ne doit pas venir du mental. Vous ne devez pas créer ces petits jeux : « Je me fais confiance. J'ai confiance en moi." Elle est, tout simplement. Vous avez juste confiance en vous.

Vous n'avez pas besoin de tout ce bavardage. Vous n'avez pas besoin de tous ces petits clichés. Vous ne faites aucune déclaration comme quoi vous vous sentez bien. Vous n'avez besoin d'aucun de ces posters que certains d'entre vous ont encore sur vos murs, des affiches avec des messages optimistes. Détruisez-les.

Le Trésort. Il est en vous. Il n'est pas sur un poster affiché sur un mur ou sur un autocollant.

Vous faire confiance. Oh, vous savez ce que c'est. Vous avez cette espèce d’inspiration, la connaissance intérieure que vous devez faire quelque chose, aller quelque part, quoi que ce soit. Alors ce doute, ce meurtrier arrive, ce voleur entre en vous et vous la vole. C'est à ce moment-là que vous vous accrochez à ce sceptre et que vous ressentez le trésort. Pas seulement le mot, mais c'est une communication énergétique qui est rayonnée en permanence, qui émane de votre âme. Le Trésort.

Et maintenant, vous avez votre passé qui arrive, votre futur qui arrive, votre âme qui arrive dans votre présent et qui soutiennent tout ce qui se passe. Il y a juste un petit bug dans la boîte, et c'est le doute. Mais vous êtes tellement submergé par ce bug, ce tout petit bug. C'est alors que vous vous accrochez à ce sceptre – au trésort.

Ressentez-le un instant là. Ressentez-le.

(pause)

 

6 – La solitude

Et notre prochain élément sur la liste, notre prochain chapitre, c’est quelque chose que nous devons aborder.

Donc, vous traversez toutes ces choses, et je sais que c’est exaltant et difficile en même temps, mais il y a une chose encore qui se passe actuellement, et certains d'entre vous en ont vraiment fait l’expérience ces derniers temps. C'est quelque chose de difficile. Il s’agit de la solitude. La solitude. Elle fait partie du processus de sortie. Elle fait partie du fait d’aller au-delà. Vous pensez avoir connu la solitude dans le passé, et soudain vous ressentez la solitude d'une toute nouvelle manière. C'est un signe. C'est presque une force gravitationnelle qui vous tire de la conscience de masse, qui vous retire de certains de vos aspects du passé.

Vous ressentez une solitude quand vous relâchez votre famille, vos ancêtres. Et il y a une solitude quand vous relâchez la conscience de masse, et certains d'entre vous en ont parlé – et je peux certainement être d'accord avec vous à bien des égards – en se disant : « Je veux juste être seul. »  Mais il y a une différence entre le fait d’être seul et de ressentir une immense solitude.

Au cœur de ce qui est en train de se passer se trouve ce Soi humain auquel vous vous êtes identifié, le Soi humain qui était la seule chose que vous saviez vraiment sur vous-même, et même cela est en train de se transformer, semble s'en aller et disparaitre - ce n'est pas le cas en fait, il est simplement en train d’évoluer – et soudain vous ressentez une telle solitude. Vous n’avez plus de famille et d'amis, vous ne vous sentez plus appartenir à la conscience de masse et tout à coup, même votre propre Soi humain semble disparaître, c’est une sensation de solitude qui vous submerge.

Cela fait simplement partie de l'ensemble du processus en cours. Ne soyez pas trop contrarié à ce sujet. Ça passera. C'est une transition depuis l'endroit où vous étiez, qui vous étiez, vers ce que vous devenez à présent. Cette sensation que vous êtes totalement seul.

Et puis avec, il y a une nostalgie. Une nostalgie. Peut-être devriez-vous essayer de retourner auprès de votre famille et de vos amis, auprès d'un ex. Oh, vous secouez la tête en signe de « non » à cela. Vous devriez peut-être retourner à quoi que ce soit de ce qui était, le confort de vos groupes sociaux, de vos groupes familiaux.

Vous savez, ce n'est pas comme si vous les aviez quittés – pour la plupart d'entre vous – par dépit ou par colère. Vous saviez juste qu'il était temps de partir. Vous saviez que vous deviez briser de nombreux anciens schémas et de nombreuses chaînes. Pas seulement pour vous, mais pour eux. Ce n'est pas comme si vous les aviez quittés parce que vous les détestiez. Vous saviez que vous deviez partir, pour faire quelque chose en propre. Vous deviez vous éloigner du reste du troupeau pour trouver ce que vous essayiez vraiment de trouver.

Vous deviez vous éloigner de tous les autres, parce qu'il y avait trop de bruit, de confusion et de jugement et trop de boîte. Et vous l'avez fait, mais vous ne le saviez pas à l'époque, mais ce qui est beau dans ce que vous faisiez et ce que vous faites en ce moment, c’est que vous vous libérez, mais finalement, vous les libérez aussi. Ils ne le comprennent pas vraiment ou ne le savent pas pour le moment, mais en fin de compte, vous êtes en train de briser des chaînes, quelques maillons par-ci et quelques maillons par-là, mais très vite, il y aura un effet domino. Tous les maillons de la chaîne commenceront à se rompre, d'abord dans votre ascendance, ensuite dans votre propre lignée, vos propres vies antérieures, et puis cela ira dans la conscience de masse. Et ceux qui sont prêts à être libres, vraiment libres, sortiront simplement du carcan.

Mais revenons à notre sujet, la solitude. Oui, il y a des jours où l'on peut se sentir très, très seul, et quand vous allez au-delà de la boite, vous pensez que vous êtes le seul à en être sorti, le seul dehors. Vous découvrirez que ce n'est pas vrai, mais au départ, vous penserez que vous êtes le seul à en être sorti, et vous penserez que vous êtes peut-être perdu dans une réalité solitaire où il n'y a que vous. Mais même le « vous » que vous connaissiez, le vous humain, ne sera plus là. Et alors qu'à un moment donné, vous auriez pu penser que cela vous apporterait un réel sentiment de plaisir et de satisfaction, vous serez dans votre propre espace. Vous serez dans votre propre souveraineté. Vous auriez pu penser que ce serait une raison de vous réjouir – mais soudain, la profonde solitude. Ça aussi devrait passer. C'est juste une partie de tout le processus pour aller vraiment dans votre souveraineté.

Alors, vous réaliserez que vous n'êtes jamais, jamais seul. Vous réaliserez la beauté de tous vos aspects qui sont désormais des facettes, de toutes vos vies passées et de tous vos potentiels futurs et de tous les autres êtres dotés d'une âme, mais à un tout autre niveau.

Prenons une profonde respiration avec tout cela.

Quand cette solitude viendra, je vous demande de la ressentir, d’aller en elle. Pour en faire l'expérience, pas pour la combattre. Pas pour essayer de trouver un moyen d’en sortir, mais pour vous immerger dans cette solitude, parce qu’il y a des trésors en elle.

Prenons une bonne respiration profonde et amenons tout cela à un merabh.

LINDA : (chuchote) C’est le numéro sept ?

ADAMUS : C’est un merabh.

LINDA : Oh !

ADAMUS : En sept, le merabh.

LINDA : Oui !

ADAMUS : Quoi, ce n'est pas un chapitre peut-être ?

 

7 –Merabh d’une réunion en rêve

Mettons de la musique et prenons une bonne et profonde respiration.

Nous avons traversé pas mal de choses aujourd'hui.

(la musique commence)

Mais cela ne vous a pas vraiment semblé si long que ça, n'est-ce pas ? Nous avons traversé beaucoup de choses au cours de nos discussions, mais cela n’a semblé durer que quelques minutes peut-être. Oh, certains d'entre vous disent que cela leur a paru durer des jours.

Il se passe tellement de choses en ce moment. Le rythme en est très, très rapide. Incroyablement rapide. Fou parfois.

Nous avons plus de discussions, de réunions que jamais auparavant, durant ce que vous appelez votre état de rêve.

Parfois, il s'écoulait des mois avant que vous n'apparaissiez à l'une de ces réunions durant vos rêves. Une réunion qui se tient simplement à un niveau différent, dans une dimension différente, un paysage de réalité différent. Vous passiez parfois des mois sans passer nous rendre visite, mais nous avons été très occupés ces derniers temps.

Ça va si vite.

Nous avons fait une grande réunion l'autre soir. Il y avait concrètement environ 8 000 Shaumbra à cette réunion. Maintenant, cela ne demande aucune place, aucun espace, vous n'avez donc pas à vous inquiéter (du nombre). Et nous étions dans une dimension sans COVID, donc aucun masque facial n'était requis.

Nous nous sommes tous réunis juste pour être ensemble. Il n'y avait pas de longue liste d'orateurs ou de conférenciers. C'était juste un temps pour être ensemble, réaliser que vous n'êtes pas seuls dans tout ceci, un temps de fraternité, juste pour réaliser ou vous souvenir pourquoi vous êtes là.

Oh, dans ces réunions, nous ne faisons pas de longues conférences. Je parle de temps en temps. Kuthumi était là. Il a raconté quelques blagues. C'est un peu mon chauffeur de salle. Il n'aime pas que je dise ça.

Nous avons parlé des choses mêmes dont nous avons parlé aujourd'hui, parce que c'est là que nous nous sommes dit : « Voici de quoi nous devons parler. Voici les sept chapitres, les sept points que l'humain a besoin d'entendre. Voici les choses qui doivent passer par les énergies. »

Alors vous avez distillé tout cela. Je l'ai distillé encore plus, je l'ai ramené d'une cinquantaine de points environ à sept. Mais quand vous ressentez ce qui est vraiment communiqué, il y a des milliers et des milliers de niveaux. Sept points dont je vous ai parlé, mais qui comportent des milliers de niveaux d'énergie.

Le point culminant de cette réunion, avec tant de Shaumbra présents, le point culminant cela a été que tout cela, c'est Le Chemin. Beaucoup ont abandonné en cours de route. Le consensus du groupe a été de dire que cela a été et c’est un voyage difficile à bien des égards, mais c'est exactement ce pour quoi que nous sommes venus ici.

Cette réunion a été en quelque sorte un Point de Séparation, pour passer à la phase suivante de ce que nous faisons ou simplement pour en quelque sorte mettre le pied sur la pédale de frein, ralentir un peu, ou pour simplement rattraper son retard, absorber les choses. Les Shouds seront peut-être juste une sorte de réitération, de répétition de ce qui a déjà été dit. Rien de vraiment nouveau. Juste une espèce d'occasion supplémentaire de laisser tout cela s'imprégner en vous ou d'y aller, de le faire.

Sur plus de 8 000 Shaumbra présents dans cette réunion durant votre état de rêve, il n'y en a eu en fait que six qui ne voulaient pas avancer plus vite, et ce n'était probablement aucun d'entre vous qui regardez cela en ce moment même. Tous les autres ont dit : « Oui, c'est cela Le Chemin. C'est pour cela que nous sommes venus ici. »  Et même s'il est parfois très difficile de porter tout cela en vous, de traverser tous ces changements si rapidement, c'est aussi votre passion.

Alors vous avez dit : « Adamus, parle-nous de ce dont nous avons parlé ici aujourd'hui dans cette réunion en rêve. Résume-le.  Et pendant que tu le résumeras, pendant que Cauldre te canalisera, nous ferons circuler nos énergies, en les faisant repartir et circuler de ce rêve à ce jour d’aujourd’hui ici en juin, en ce Shoud de juin 2021. Nous ferons circuler nos énergies à nouveau. Tu nous diras les mots que tu as prononcés, Adamus. Nous serons forts de 8.000 à en faire circuler l’énergie. C’est cela Le Chemin. C'est pourquoi nous sommes venus ici. Nous n'allons pas nous retenir à présent. Nous n'allons pas ralentir. »

C'est ce que nous avons fait ici aujourd'hui.

Les énergies de ce Shoud continueront à vivre pendant très, très longtemps encore. Elles ne s'arrêteront pas là. Les énergies continueront de croître, de s'ouvrir, comme c’est le cas pour tous les autres Shoud, et toutes les autres choses que nous faisons ensemble.

Vous pouvez presque le ressentir dans toute cette bibliothèque de ce que nous avons fait ensemble au fil des ans et même du temps où vous étiez avec Tobias, tout ce contenu, et ces matériaux sont tous, en ce moment même, vivants, dynamiques et en pleine croissance. Ils sont dans cette bibliothèque. C'est un peu comme un incubateur, et ils ne cessent de grandir et de grandir.

Alors, vous avez dit, lors de notre réunion en rêve, forte de 8 000 personnes : « Non, nous n'allons pas nous retenir. C’est cela Le Chemin. »  Et je pouvais ressentir un certain niveau d'anxiété, d'appréhension, de doute. Je pouvais le sentir, et je sais que vous l'avez ressenti ici ces derniers jours.

C'est alors que je vous ai dit : « Vous savez, peu importe ce qu’il arrivera, je sais qu’il en sortira quelque chose de mieux que ce que vous auriez pu imaginer. Quoi que nous rencontrions, quoi que ce soit dont nous fassions l’expérience, rappelez-vous juste que tout va bien dans toute votre création. »

Sur ce, je suis Adamus, en provenance de notre réunion en rêve, il y a quelques nuits à peine.

Merci.