LES MATÉRIAUX DU CRIMSON CIRCLE

Série Merlin Je Suis

SHOUD 5 - ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle,

le 6 février 2021
www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, le magique et musical Adamus Saint-Germain.

Ah ! C'était là une musique revigorante, alors que nous entrons dans cette session. Je parle bien sûr de la musique entendue durant la pause, ma musique, celle que nous avons écoutée avant de commencer (en référence à cette musique). J'ai adoré composer. J'adorais jouer des instruments. J'adorais chanter. J'adorais les femmes. J'aimais beaucoup de choses. J'aime, j'aime, j'aime - je crois que c'est le bon mois pour exprimer cela - mais j'adore composer et jouer de la musique. Vous le saviez probablement, n'est-ce pas, Linda ?

LINDA : Oh, bien sûr !

ADAMUS : Oui.

LINDA : Oui, qu'est-ce que vous n’aimez pas faire ?

ADAMUS : Et avez-vous apprécié cette musique pendant la pause ?

LINDA : En vérité, oui.

ADAMUS : Oui. Cauldre n’a pas aimé. Je suis certain qu'il apprendra un jour. Son sens de la musique, ses goûts vont mûrir à un moment donné.

Mais, non, j'adore composer, et j'ai composé, je dirais, 83 symphonies différentes à mon époque, dont certaines existent encore aujourd'hui, bien sûr. J'adorais aussi peindre. J'ai aimé tant de choses de la vie humaine, une fois que j'ai pris une bonne et profonde inspiration et que j’ai dégagé de mon propre chemin. Oui. C'est ce que je vous encourage tous à faire. Dégagez simplement de votre chemin. Laissez-vous la voie libre.

 

Votre sceptre

Mais avant d'aller plus loin - nous avons beaucoup de choses à discuter aujourd'hui, mais avant d'aller plus loin, je veux faire quelque chose avec chacun d'entre vous. Nous l'avons fait dans une petite mesure à Keahak. Nous le ferons plus en détail à Keahak dans le futur, mais avant d'aller plus loin, je veux que vous imaginiez un sceptre. Savez-vous ce qu'est un sceptre ? C'est comme une canne, mais on ne l’utilise pas obligatoirement comme une canne. Merlin tient un sceptre dans sa main. Il a généralement une boule, une sorte de globe à son sommet – une boule en verre, en cristal, ou en or, c'est encore mieux. Vous savez, j'adore l'or. Oui, l'or a des propriétés tellement incroyables. Il recèle un côté apaisant. Au niveau énergétique, l’or émet une magnifique énergie de paix.

Alors, imaginez votre sceptre, peut-être avec un cristal à son sommet et ce circumpunct gravé dans le cristal, vous savez, ce cercle avec un point au milieu, et quatre rayons qui en sortent et qui représentent l'énergie. Ce serait un magnifique sceptre. Et puis le manche pourrait être en or. Ou en bois. J'adorerais avoir un beau sceptre en bois. Le bois est tellement emblématique de la planète Terre. C’est un matériau très beau. Il est renouvelable. Vous pouvez l'utiliser pour vous réchauffer au coin du feu. Vous pouvez l'utiliser pour faire des meubles, et il se régénère encore et encore.

Alors, imaginez un sceptre, quelle que soit l’apparence que vous souhaitiez qu'il prenne et, oui, vous pourrez la modifier. Vous pourrez en changer à tout moment, chaque jour, si vous le souhaitez. Il n'est pas nécessaire qu'il demeure identique, mais imaginez un sceptre. Et comme nous l’avons déjà évoqué à Keahak, et nous y reviendrons de manière plus approfondie, quand vous traverserez des moments de confusion, d'incertitude ou de doutes, alors que vous entrez à présent dans l’ère du Ænd, qui vous fait aller au-delà, dépasser la dualité en tant que base ou fondement de votre réalité, et donc quand vous en arriverez à ces moments d’incertitude où vous ressentirez de l'inquiétude et même peut-être de l'angoisse et de la peur, vous prendrez une profonde respiration et vous tiendrez simplement ce sceptre.

Ce sceptre est symbolique du fait d’aller dans tout ce que vous savez, et même de ce que vous ne savez pas. Ce sceptre vous emmènera au-delà de vos anciens schémas de pensée, de logique et d'émotions, et il vous transportera au plus profond de vos propres énergies où vous pourrez contempler tous les potentiels et toutes les réponses disponibles pour vous-même. Pas pour les autres. Et si d’autres personnes viennent vous voir en vous disant : "Hé, Bill, voudrais-tu bien utiliser ce sceptre pour me faire accéder à mon énergie ?", la réponse sera catégoriquement non. C'est pour vous. Ce sont les vôtres. Ce sont vos réponses qui sont là, celles qui s’adressent à vous, qui vous sont destinées. Ce ne sont pas les réponses à l’adresse ou à l’intention du monde. Pas les réponses de Bill. Ni de personne d'autre.

Dans vos moments d'incertitude, dans vos moments de, eh bien, quand vous ressentirez simplement que les choses vous dépassent, imaginez votre sceptre. Ce n'est pas une baguette magique. Vous ne l'agiterez pas sur des grenouilles pour les transformer en princes, ou en princesses. C'est un sceptre et c’est un rappel de tout ce que vous êtes, et il vous transportera au plus profond de votre énergie où vous pourrez contempler toutes les réponses.

 

Adamus Saint-Germain

Nous commencerons par cela, et nous terminerons par cela aujourd'hui, mais avant d'aller plus loin, je dois aborder un sujet d'une grande importance : Moi (Linda rit).

C'était si drôle que ça, chère Linda ?

LINDA : Oh, oui !

ADAMUS : Oh, oui. Ok.

LINDA : Mm hmm !

ADAMUS : Quelque chose de très important, moi.

Maintenant, j'ai remarqué que vous aviez enfin joué ma musique. Depuis combien d'années mettez-vous de la musique lors des pauses ou en interlude entre deux sessions, avant d’avoir enfin pensé à choisir de mettre ma magnifique musique ?

LINDA : C'était très beau.

ADAMUS : J'aimerais qu’on fasse un vote sur vos médias sociaux, chère Linda, entre tous ceux d’entre vous, tous ceux qui ont aimé ma musique et qui aimeraient en entendre plus, tout le temps, et ceux qui préféreraient s'en passer, comme Cauldre. Oui. Qu'avez-vous pensé de cette magnifique musique ? N'a-t-elle pas touché votre cœur ?

LINDA : C'était magnifique, de la musique classique.

ADAMUS : En ce mois de la Saint-Valentin.

LINDA : Étonnant. Je l'adore.

ADAMUS : Je vous remercie. Je vous remercie. Et je ne l’ai pas...

LINDA : Je suis vraiment ...

ADAMUS : ... payée pour dire cela.

LINDA : Vous savez que je suis sincère.

ADAMUS : Merci. Oui, nous sommes là pour célébrer la Saint-Valentin, et quel moment parfait pour jouer ma musique.

Maintenant, j'ai noté quelques erreurs et je n'ai pas voulu en parler avant d'être devant le public - heh ! - pour bien le mettre en évidence, mais il s’agit des dates de ma naissance et de ma mort. Pourriez-vous remettre cela en place, l’équipe de production ? Quand vous avez affiché ce visuel à l’écran, il y avait quelque chose qui n’allait pas du tout. Ils sont en train de rechercher le visuel, mais juste pour vous dire que les dates sont fausses. Oui.

LINDA : Je m’étais posé des questions à ce sujet.

ADAMUS : Oui, moi aussi quand je l'ai vu et, bien sûr, je ne suis pas du genre à corriger qui que ce soit, sauf quand j’ai tout un public devant moi. Je ne suis pas mort en 1784. Beaucoup l’auraient souhaité certes.

LINDA : Oof !

ADAMUS : Oh, si c'est vrai. Et j'ai en quelque sorte disparu aux environs de cette époque, autour de cette date, mais je ne suis pas mort avant au moins une décennie supplémentaire ou plus.

LINDA : Oh.

ADAMUS : Donc, oui, et je suis né un peu plus tard que ce qui est indiqué à l'écran là. Mais, vous savez, le fait est que l'histoire est très inexacte, elle est très, très inexacte. L'histoire est fausse, et pour une raison. L'histoire, c’est l'opinion d'une personne, d'un écrivain, d'un chercheur sur ce qui s'est passé et souvent les dates de l'histoire sont terriblement fausses. Ne vous laissez pas abuser, induire en erreur par les données historiques, parce qu'il y a tellement plus que cela.

Deuxièmement, je m'insurge – je suis très indigné, je m’inscris en faux - contre l'image, le visuel que vous allez voir apparaître à l'écran et qui représente soit-disant la personne que j’étais, moi, mais la chose que vous avez utilisée durant les pauses, eh bien, celle-ci est ok.

LINDA : Vous êtes un peu plus viril que ça, non ?

ADAMUS : Merci, chère Linda d'Eesa, adorable créature. Oui, pourriez-vous afficher ce graphique à l’écran, s'il vous plaît, encore une fois. Vraiment ? Je veux dire, vous croyez vraiment que je ressemblais à cela ? ! St Germain, l'illustre, le mystérieux, le charmant, le sensuel St Germain ressemblait à ça ? Je ne crois pas.

Le fait est que, comme vous le voyez, l'histoire fait des erreurs.

LINDA : Oh.

ADAMUS : Le fait est que c'était un bon ami à moi et que, pour une raison ou une autre, il a été pris par erreur pour moi à un moment donné, et ce sont des historiens de bas étage qui ont mis mon nom là-dessus. Revenons à la photo, s'il vous plaît (la photo est remise à l’écran). Vraiment ?! Vraiment, vous pensez que c’est moi ?! (Linda rit) Je veux dire, ce monsieur, un ami à moi, n'était pas très beau et il était un peu plus corpulent que ce qui est montré sur la photo, et il avait certainement payé le peintre pour être représenté un peu plus beau qu'il ne l'était en réalité. Il avait des grains de beauté partout sur le visage et n'était pas très séduisant, mais pas moi. Pas moi. Non, pas du tout.

Alors, le fait est qu’il n’y a pas portraits de moi réalisés de mon vivant, pour diverses raisons (Adamus soupire). J'étais un bien meilleur peintre que tous ceux qui auraient été chargés de me peindre. Non, sérieusement. J'ai peint un certain nombre d'autoportraits, sept ou huit autoportraits. Je ne sais pas ce qu'ils sont devenus. J'imagine qu'il y en a peut-être encore un ou deux qui traînent dans le grenier de quelqu'un, dans un grenier moisi, poussiéreux et infesté d'insectes, et j'espère qu'un jour on les trouvera et personne ne saura qui est ce séduisant monsieur représenté sur le tableau.

LINDA : C'était de la peinture ?

ADAMUS : Je me suis peint moi-même.

LINDA : Oh.

ADAMUS : J’ai fait mon autoportrait. Oui.

LINDA : C’était de la peinture à l’eau ou à l'huile ?

ADAMUS : C'était l’ancêtre du selfie, Linda.

LINDA : Ohh !

ADAMUS : C'était l’ancêtre du selfie, oui, avant que vous n'ayez votre ...

LINDA : A la peinture à l'huile ?

ADAMUS : Eh bien, en effet. Ouais.

LINDA : Ohh.

ADAMUS : A l’huile, oui.

LINDA : Impressionnant.

ADAMUS : Oh, et j'étais un sacré peintre. Je composais en fait toute une symphonie d'une main et de l'autre, je peignais. C'était très facile à faire. J'étais un maître de la peinture en ...

LINDA : Un maître quoi ? (elle rit, Adamus s'arrête)

ADAMUS : J'espère que la caméra a bien cadré son visage (Adamus rit). J'ai dit que j'étais un maître peintre et compositeur (Linda continue de rire). Où va cette émission ? Nous avons à peine commencé.

Quoi qu'il en soit, la question était donc de savoir à quoi ressemblait Saint-Germain ? Revenons à cette première image.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : C'était juste un ami à moi. Ce n'était pas moi. Je pouvais m'habiller comme ça, du genre...

LINDA : Mm hmm.

ADAMUS : ... de temps en temps, mais ce n’était pas moi. Cet homme sur le portrait ressemble en fait à quelqu'un que je connaissais assez bien - George Washington. Vous voyez la ressemblance ? Pouvez-vous faire des allers et retours (à l'équipe), vous voyez ? Eh, George Washington.

Maintenant, je connaissais George Washington, que j'ai rencontré à plusieurs reprises. C'était un homme brillant, et j'avais un faible pour sa femme, Martha, mais je ne suis pas passé à l’acte. Elle avait aussi un faible pour moi, mais nous avons dû garder nos distances sociales, si vous voyez ce que je veux dire, juste pour... (Linda soupire profondément) Quoi, chère Linda ? (Adamus rit) J'essaie d'être marrant aujourd'hui.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Je dois avouer que je prends quelques leçons avec Kuthumi ces derniers temps. Je sais que mon attitude est parfois assez subtile et qu'on pourrait parfois me considérer comme ennuyeux, rasoir et avec assez peu d’humour. Je prends donc des leçons avec Kuthumi et il m'a dit qu'il faudrait un certain temps avant que nous en ayons fini. Mais il m’a dit qu'il pourrait aussi apprendre à certains d'entre vous à sortir ce bâton de leur…, euh, de leur poche arrière, pour ainsi dire, parce que certains d'entre vous sont beaucoup trop sérieux. Vous devez apprendre à rire. Je suis moi-même en train d’apprendre à rire et j'apprends aussi à ce que l’on rie de moi.

LINDA : Oh.

ADAMUS : Et donc, la question se pose (Adamus rit), la question se pose, à quoi est-ce que je ressemblais ? À quoi est-ce que je ressemblais ? Bon, il y a certaines représentations New Age de moi, et pouvons-nous les montrer à l'écran ? Ce à quoi l'artiste New Age typique pense que St Germain ressemblait. Ce n’est pas trop mal. Je ressemble un peu à Jésus là.

LINDA : Un peu.

ADAMUS : Oui. J’ai un joli visage rectangulaire, de beaux cheveux, et je tiens ce calice magique ou quoi que ce soit d’autre que cela représente, et il y a cette aura qui me caractérise. Je veux dire, cette aura. Vous voyez les similitudes (entre moi et Jésus) ? Revenons à cette photo New Age (l'image apparaît à nouveau). Voyez. Maintenant, revenez ici. Vous voyez ?

LINDA : Ohh ! (alors que l'image s'efface pour revenir à Adamus)

ADAMUS : Ah. C’est très sembla- ... bon, d'accord, ça y ressemble juste un peu. Non, cette photo New Age (soupirs), ce n’est pas tellement moi non plus. C'est l'idée que quelqu'un se fait de ce à quoi je ressemblais peut-être, vous savez, en étant un grand Maître Ascensionné, séduisant et tout ça. Et ce n'est pas tout à fait ce à quoi je ressemblais, mais nous nous en rapprochons de plus en plus, bien plus qu’avec le look de George Washington, que je déteste vraiment.

Alors, je vous demanderai de faire preuve d'imagination pendant un instant. Utilisez votre imagination. Allez au-delà des données factuelles, des points de données. Dépassez ce que vous pensez être les faits et allez au-delà de l'histoire.

A quoi ressemblerait St Germain s'il était, eh bien, s'il était avec nous actuellement ? À quoi ressemblerait ce Saint-Germain s'il était ici maintenant, en étant peut-être un peu plus jeune ? Imaginons cela et mettons-le à l'écran.

Cela ressemblerait davantage à cela. Il a de jolis vêtements. Je dois l'admettre. Ses cheveux sont un peu plus longs que les miens ordinairement. Sa chemise est un peu trop déboutonnée, débraillée, mais on s’en rapproche beaucoup.

LINDA : Hmm.

ADAMUS : Vous ne croyez pas, Linda ?

LINDA : Mmm.

ADAMUS : Vous n'aimez pas ce look ?

LINDA : Si, il est bien.

ADAMUS : En fait, ce sont les Shaumbra qui l’imaginent tel quel en ce moment même. C'est une construction collective, une représentation commune aux Shaumbra, et tout praticulièrement à de nombreuses femmes en cet instant même - heh ! - qui ressentent cela sincèrement, dans leur coeur, "A quoi ressemblait-il ?" Oui, c'est ça. Oui, c'est ça. C'est ça.

Et puis la question se pose, ok, maintenant : quand je ne suis plus ici avec les Shaumbra, dans ce groupe ici au Centre de Connexion sur la planète Terre, à quoi est-ce que je ressemble quand je suis au Club des Maîtres Ascensionnés ? Un jour ordinaire, à traîner avec mes potes, mes potes ascensionnés. À quoi est-ce que je ressemble ?

Ressentons cela un instant. Ressentez cela. Permettez à votre imagination de s'exprimer. Laissez tomber toutes les données factuelles, les points de données de ce à quoi vous pensez qu'un Maître Ascensionné ressemble.

LINDA : Ohhh !

ADAMUS : C'est ainsi, c’est comme cela que nous nous présentons. Oui.

LINDA : Wow !

ADAMUS : C’en est très proche. Ça, c’est très proche de ce que je suis. En fait, c’en est si proche que nous pourrions avoir quelques problèmes de droits d'auteur ici.

LINDA : Wow !

ADAMUS : Parce que c'est - ouais, c'est ...

LINDA : Et les plumes de paon, c’est tout à fait ça !

ADAMUS : Oh, absolument.

LINDA : Oh !

ADAMUS : Absolument. Ouais, ouais. Et, au passage - si on peut revenir à l’image - je ne porte pas de plumes de paon tout le temps.

LINDA : Oh, non.

ADAMUS : Non, en fait, je le fais rarement, parce que, vous savez… pauvres paons. Ça fait vraiment mal quand on leur arrache les plumes. Mais c'est là l’œuvre de votre imagination. C'est une sorte d’oeuvre collective, et pour une raison que j’ignore, beaucoup d'entre vous imaginent que j’ai des plumes de paon sur moi. Je ne sais pas pourquoi. Je ne sais pas ce que cela a à voir avec quoi que ce soit.

Alors, prenons une profonde respiration, et c’est à ça que je ressemble, c’est tel que je suis actuellement alors que Cauldre est en train de me canaliser. Je dois dire que j’ai un plus beau look que celui que j’avais avec Guy Ballard quand il canalisait St Germain (Linda rit). C'était un homme bien, mais il était ingénieur et, vous savez, il ne savait sacrément pas s'habiller. Cauldre non plus (Adamus rit), mais de temps en temps, j'insiste pour avoir une belle tenue, un beau costume. Alors ... (Linda fait la grimace) Oh, ne vous inquiétez pas pour lui. Il va pleurer, mais il s’en sortira.

Voilà donc à quoi je ressemble à travers Cauldre, et si vous voulez vraiment m'imaginer tel que je suis quand je traîne au Club des Maîtres Ascensionnés, ça ressemble à ça. Ah, oui.

LINDA : Oof !

ADAMUS : Ah, oui. Je ne porte pas toujours le chapeau, mais c’est ça. Bon, ça suffit avec cette distraction, cette distraction intentionnelle...

LINDA : Vous faites très prétentieux sur l’image.

ADAMUS : Ouais, eh bien, non, prétentieux, non. Je ne dirais pas...

LINDA : Un paon prétentieux !

ADAMUS : Revenons à cette image. Ce n'est pas l’image d’un homme prétentieux. C'est l’image d’un homme audacieux et viril.

LINDA : Mmm.

ADAMUS : Qui est sûr de lui... oui, sûr de lui.

Maintenant, je sais que certains d'entre vous rient et secouent la tête en se demandant à quoi tout cela rime à part – s’acheter une vie. Ayez un peu d'humour, s'il vous plaît. J'apprends moi-même à avoir de l'humour ! Kuthumi et moi, on s'amuse tellement à faire de l'humour en ce moment. J'apprends à me détendre et à me laisser aller un peu. Mais certains d'entre vous sont là à papoter et à se dire : "Et bien, pourquoi… - ce sont tous des hommes." Eh bien, c'est parce que je suis canalisé par un homme aujourd'hui. Et maintenant vous vous dites : "Et toutes vos vies où vous étiez une femme ?" Pas vrai ?

LINDA : C'est écrit partout sur Facebook.

ADAMUS : Je sais. Je le lis. Je le vois (Linda rit). Alors le mois prochain, nous ferons la vie de St Germain quand il était une femme.

LINDA : J'en doute.

ADAMUS : Si vous voyez ce que je veux dire. Non, c'est vrai, nous allons le faire.

LINDA : Vraiment ?!

ADAMUS : Eh bien, absolument. Nous devons le faire. Nous sommes dans une nouvelle société plus équitable. Ce serait une erreur que de ne montrer que des hommes.

LINDA : Vous parlez du Shoud d’avril, n'est-ce pas ? Du Shoud du poisson d'avril ?

ADAMUS : Oh, ce ne sera pas le prochain Shoud. On pourrait attendre jusqu'en avril, mais c'est vraiment, vous savez, qui fait le plus de blagues ici ? Alors le mois prochain, nous montrerons quelques photos de moi...

LINDA : Ohh !

ADAMUS : ... tel que j’étais dans mes vies antérieures en tant que femme.

LINDA : Intéressant.

ADAMUS : Et tel que je suis de temps en temps, quand je vais au Club des Maitres Ascensionné version "unisexe", en quelque sorte en étant asexué ou alors tout sexe, totalement sexe, nous vous montrerons quelques photos de moi de ce à quoi je ressemblais ...

LINDA : Intéressant.

ADAMUS : ... en tant que femme. Cauldre veut s'enfuir tout de suite, mais je n’ai pas de problème avec ça, vous savez.

Ok, prenons une profonde respiration (Linda expire de manière audible) pour évacuer toutes ces bêtises, alors que nous allons commencer le Shoud d’aujourd'hui.

LINDA : Bien. Bien.

ADAMUS : N'était-ce pas amusant ?

LINDA : Un peu.

ADAMUS : Oui, un peu...

LINDA : Oui, oui.

ADAMUS : Un peu, d'accord.

LINDA : Oui, un peu.

ADAMUS : Vous savez, je vais vous rappeler quelque chose. Dans vingt ans, dans trente ans, les gens retourneront dans les Shouds comme jamais ils ne l’auront fait auparavant, et qu’est-ce qu’il se passerait si tout cela était barbant, ennuyeux et fastidieux ? Vous savez qui est ennuyeux ? Metatron (Linda rit). Il est vraiment ennuyeux. Il n’aucun sens de la personnalité humaine, parce qu'il n'a jamais été dans un corps.

LINDA : Mmm.

ADAMUS : Vous savez, vous et moi, nous sommes des dieux dans un corps, et dans quelque temps, nous regarderons comment ce matériel a évolué au fil des ans et les choses qui se démarqueront vraiment, ce seront nos moments de plaisir, les moments que nous aurons passés avec le public, et ces moments reviendront bientôt. Ce sera les meilleurs moments de tous - nos bouffonneries, notre amusement et la façon dont nous célébrions la vie. Vous ne vous souviendrez plus des choses ennuyeuses, dont nous parlerons dans un instant quand nous en aurons fini avec ces choses amusantes. Vous vous souviendrez uniquement des choses amusantes. Comment vous vous déguisiez, comme moi aujourd'hui.

LINDA : Moi aussi !

ADAMUS : Vous êtes magnifique, comme toujours.

LINDA : Merci. Merci.

ADAMUS : Oui, comme toujours.

LINDA : Quand j'ai réalisé que Cauldre se faisait très chic pour vous, je me suis dit : "Eh bien, il faut que je me fasse chic moi aussi !"

ADAMUS : Absolument. Et vous vous souviendrez de vos fêtes. Vous vous souviendrez des rires et parfois des larmes. Vous ne vous souviendrez pas des choses ennuyeuses. Vous savez, il y a une certaine part de Shaumbra qui voudraient que tout cela soit ennuyeux et direct, sans humour et sans musique et, vous savez, je vais vous expliquer dans un instant pourquoi cela ne fonctionne plus. Ça ne marche tout simplement pas.

 

ProGnost 2021

Mais avant d'aller plus loin, parlons un instant de ProGnost. Comme Cauldre et Linda vous l'ont mentionné, il y a seulement trois semaines que nous avons fait ProGnost. Il y a une chose que je veux vous dire à propos de ProGnost, mais cela s'applique aussi à tous les Shouds et à tout ce que nous faisons, tout cela cela vient de nous tous. C'est nous tous.

C’est Tobias qui a introduit le mot "Shoud", c’est un mot ancien, qui signifie "communauté" en fait, et il vous a dit : "Appelons cela des Shouds, parce que cela émane de nous tous". La grande différence entre ce que nous faisons et ce que font la plupart des autres groupes, c'est que généralement, il y a quelqu'un qui fait une conférence, ou qui est canalisé par un conférencier. L'information provient de ces personnes. Mais nous, ce n'est pas ce que nous faisons ici. Nous faisons un Shoud tous ensemble. Cela signifie que nous unissons notre communauté (nous communions au sens propre), nous mettons tout cela en commun, à travers toutes nos voix, toute notre énergie, et nous en retirons l’une des choses les plus magnifiques et les plus profondes qui soient. C'est drôle parfois, très touchant parfois, sacrément ennuyeux à d'autres moments (ils rient), mais c'est nous.

Tout ce que vous entendez à travers Tobias, Kuthumi, ou moi, c'est vous, c'est vous. Lorsque le temps viendra où je quitterai la scène des Shaumbra, quand je tirerai ma révérence, quand je partirai, lorsque je vous dirai mon dernier "Je Suis ce que Je Suis" ... (en parlant de façon très grave ; Linda se prend la tête dans les mains), êtes-vous en train de prier, de pleurer ou de rire?

LINDA : Tout en même temps (Adamus rit). Tout ça en même temps. Je ne veux pas y penser. N’en parlez pas.

ADAMUS : Vous savez, pendant que Kuthumi m'apprend l'humour, moi je lui apprends à être théâtral. Théâtral ! Il était un peu opposé à la théâtralité à un moment donné, parce qu'il avait l’impression que ce n'était pas authentique. Il pensait qu’il devait toujours être lui tel qu’il était dans son véritable état dépressif.

J'ai donc dû lui enseigner à être un peu théâtral, à jouer d'expression dans la vie (dit avec passion et à nouveau de façon théâtrale). Ce n'est pas en faire trop que d'ouvrir son cœur et de partager à tous les niveaux. Certains d'entre vous sont tellement ennuyeux parfois, et je vous demande de renaître de vos cendres tel un phénix, de vous lever depuis l'intérieur de vous-même, de faire sortir de vous la passion, de faire sortir votre enthousiasme, votre théâtralité.

Cela fera à votre âme tout le bien du monde que de pouvoir chanter son chant à pleins poumons et dans toute sa largeur, plutôt que de garder sa voix dans la poussière (en chuchotant maintenant), dans le silence et dans l'obscurité.

Alors, détendez-vous un peu. Vous allez en avoir besoin. Vous en aurez besoin si vous comptez rester sur cette planète, cet endroit totalement dingue qu'elle est.

Où en étais-je, chère Linda ? J'oublie si vite. Je me distrais moi-même. En fait, je la teste juste pour voir si elle se souvient.

LINDA : Eh bien, vous disiez que nous devons avoir de l'humour et, n’est-ce pas, que vous allez partir et ...

ADAMUS : Oh, oui, oui, oui, oui !

LINDA : ... phew !

ADAMUS : Mon départ, oui. Alors, quand viendra le jour où je quitterai la scène des Shaumbra, et (dit très passionnément) où je vous dirai mon dernier "Je Suis ce que J’Etais" (ils rient). Je m'amuse (Adamus continue de rire). Kuthumi s'amuse beaucoup aussi. Il y a des gens ici aujourd'hui que je vais peut-être vous présenter un peu plus tard… ou pas.

LINDA : Oups.

ADAMUS : Ils sont un peu effrayés par ce qui se passe ici. Je les ai invités exprès, parce que parfois ils sont un peu trop sérieux. Mais quand je partirai, quand je partirai, je vous délivrerai, je vous remettrai à tous Adamus. Chacun d'entre vous sera un Adamus. Adamus, "un sacré nous", nous tous (Adamus rit – jeu de mot intraduisible en français).

Alors, prenons une bonne et profonde respiration dans la joie, la beauté et le plaisir de la vie. Et je dois te dire, Kuthumi, que ces cours que tu me donnes me font beaucoup de bien. Je m'amuse aujourd'hui.

ProGnost, c'est nous tous. Les informations qui en émanent ne proviennent pas seulement de ce que j'ai réfléchi et écrit pour faire une conférence. Ce que je fais, c'est que je puise ou me connecte à chacun d'entre vous, et ensuite je puise ou me connecte à la planète et je ressens ce qui se passe, et ensuite je génère le message. Mais il provient de chacun d'entre nous. Il est fait sur mesure pour vous, parce que c'est vous. C'est vous. C'est nous tous. Ce n'est pas seulement ce dont j'ai envie de vous parler. Si j'avais le choix dans ProGnost, je vous parlerais probablement de musique et d'art - hm, oui - mais c'est vous. C'est votre voix. Donc, c'est ce qui est important (pour vous de savoir).

Et quand nous sommes allés dans la tristesse de l'humanité, c'était difficile. C'était dur pour moi. C'était vraiment dur pour Cauldre. C'était dur pour notre chère Linda. C'était dur pour vous tous, parce qu'il y a effectivement une tristesse. Et parce que vous, en tant que Shaumbra, vous en êtes conscients, vous vouliez en entendre parler. Vous vouliez comprendre quelque chose que vous pensez ne pas savoir, mais qu’en fait vous savez. Vous vouliez comprendre le pourquoi de cette tristesse. Vous vous demandez depuis un certain temps "Qu'est-ce que c'est ?" et bien sûr vous faites ce truc de Shaumbra. Vous le retournez contre vous. Vous vous blâmez. Vous pensez que vous ne faites pas du bon boulot en en venant à votre Réalisation ou en étant un Maître réalisé, parce que vous ressentez cette énorme sensation de tristesse et vous pensez qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Non ! Vous ressentez la tristesse très réelle de l'humanité.

Maintenant, l'humanité a déjà traversé des moments de tristesse auparavant, mais elle n'était pas nécessairement consciente de sa tristesse. Pas nécessairement consciente du pourquoi de sa tristesse, et maintenant cela devient récurrent. Vous savez chez qui elle est le plus fortement ressenti actuellement, cette tristesse ? Chez ceux que nous appelons les nouveaux arrivants. Les nouveaux arrivants, ceux qui arrivent au Crimson Circle, dont beaucoup commencent juste à s’éveiller, et ils se heurtent à ce grand mur de tristesse - de larmes, de tristesse - et ils n’arrivent pas à définir ce que c’est. Et que se disent-ils ? Ils se disent : "Je ne sais pas ce que c'est. Pourquoi est-ce que je me sens si triste ? Il doit y avoir quelque chose qui ne va pas". Ou bien ils rejettent la faute sur leurs guides spirituels ou qui sait quoi encore.

Non, c'est un nuage qui entoure, encercle l'humanité actuellement. Il a été amené par le dragon qui est arrivé sur la planète. Et c'est un temps idéal pour réfléchir, un temps où l’on peut observer en se disant : "Qu'avons-nous fait ?" Pas en le jugeant, pas en en faisant une histoire de blâme ou de reproche, mais "Qu'avons-nous fait ?"

C'est une question tellement appropriée à se poser actuellement. Oui, il y a de la tristesse là-dedans, mais la nature même de cette question, "Qu'avons-nous fait ?", nous amène à examiner pourquoi nous sommes venus ici en premier lieu, où nous allons et à examiner la souffrance. Je mets tout cela dans une grande boîte, une catégorie nommée "souffrance".

La planète souffre effectivement. Les humains souffrent énormément, de leur propre chef et de celui des autres. Ce qui se passe actuellement, alors que de plus en plus d'humains deviennent conscients et qu'il y a de plus en plus de Maîtres réalisés qui font leur activité de "banc dans un parc" sur la planète, c'est que nous jetons un œil à cela en nous disant : "La souffrance. Est-ce cela que nous allons l’emmener avec nous dans le futur? La souffrance. Est-ce que c'est quelque chose qui nous a servi ? C'est notre énergie. Est-ce qu’elle nous a servi ? Doit-elle nous servir en tant que souffrance à l'avenir ?"

Vous pouvez tous remonter dans votre passé, dans vos vies passées et vous y trouverez plus qu'une abondance de souffrances. Vous pouvez regarder cette vie-ci. Vous pouvez regarder, eh bien, juste la semaine dernière, et vous y trouverez plus qu'assez de souffrance. Il est temps à présent de transformer tout ce concept de souffrance sur la planète. La planète a assez souffert. Vous avez assez souffert. Il y a eu assez de tristesse. C'est pourquoi nous avons, ensemble, abordé ce sujet des Larmes de l'Humanité dans ProGnost. C'était parfait.

C’était parfait pour que les nouveaux se disent : "Examinons la souffrance. N’y a-t-il pas une meilleure façon de faire ? Y a-t-il autre chose ?" Et la réponse est oui, et si vous ne savez pas ce que c'est, chers Shaumbra, prenez ce sceptre immédiatement. Si vous ne savez pas ce que c'est, arrêtez de penser un instant, attrapez votre sceptre, parce qu’il vous mènera toujours à votre énergie et à vos solutions. Oui, il y a une autre façon de faire, une façon différente de celle de souffrir.

Mais il y a des personnes sur la planète qui sont investis dans la souffrance, qui ont l’impression que la souffrance est la volonté de Dieu et la voie de Dieu. Ils ont le sentiment que, sans souffrance, l'humain se corromprait de multiples façons. Ils n'ont aucune confiance ou foi dans la nature humaine elle-même, alors ils disent : "L'humain doit souffrir jusqu'à ce que l'humain apprenne. L'homme doit ramper à quatre pattes et implorer le pardon" d'un Dieu qu'ils ne connaissent même pas.

Mais il est temps à présent que la souffrance et que la tristesse qui lui est inhérente commencent à prendre fin sur cette planète. Oh, mais avant de voir un grand changement, vous verrez encore plus de souffrances et plus d'appels à la souffrance, mais tout cela est en train de changer. Et j'aimerais que vous réalisiez une chose dès maintenant, ce que nous avons fait à ProGnost, ce que vous avez fait à ProGnost a mis une lumière là-dessus qui dit : "Oui, cela aussi doit disparaître". Il n'y a pas de place sur la planète pour la souffrance. Il y a beaucoup de place pour les blagues et l'humour. Il y a beaucoup de place pour l'amour. Beaucoup de place pour que votre lumière brille ouvertement et librement, mais la souffrance ? Son temps est compté. C'est pourquoi nous en avons parlé et c'est l'une des grandes choses que nous allons faire en tant que Maîtres réalisés sur la planète, en faisant briller notre lumière au cœur de ce qui était souffrance, afin qu'elle puisse aller vers la sagesse.

Prenons une bonne et profonde respiration là-dessus. Assez de cette souffrance et de cette tristesse sur la planète. Assez.

Comment le faire ? Ce n'est pas vraiment important, mais il est temps que cela change. Ce sera peut-être la plus grande - je ne veux pas appeler cela une tâche - mais le plus grand acte de conscience pour ceux d'entre vous qui resteront sur la planète en tant que Maîtres réalisés. Nous n'allons pas combattre la souffrance. Nous allons simplement l'illuminer d'une grande lumière. Et quand nous y mettrons, nous rayonnerons cette lumière, elle sera exposée, révélée. Et quand elle sera exposée, cela provoquera un certain trouble - beaucoup de troubles et de chaos - mais cela finira par aboutir à la sagesse.

Prenons une bonne et profonde respiration avec cela.

(pause)

Mm. Alors, chère Linda, savez-vous ce qui m'agace vraiment, quelque chose que les Shaumbra disent tout le temps et qui m'agace vraiment ? Savez-vous ce que c'est ?

LINDA : Quoi ?

ADAMUS : "Je ne sais pas."

LINDA : Que voulez-vous dire ? Que voulez-vous dire par "je ne sais pas" ?

ADAMUS : "Je ne sais pas." Je vous ai posé la question, qu'est-ce qui m'agace vraiment - une des choses que les Shaumbra, de nombreux Shaumbra disent tout le temps - et qu'est-ce que c'est ?

LINDA : Que voulez-vous dire ? Pourquoi m’avez-vous demandé cela ? Si vous ne savez pas, pourquoi l’avez-vous demandé ?

ADAMUS : Je ne sais pas. Je ne sais pas (des sonneries et des sirènes retentissent et Adamus rit).

LINDA : Pourquoi ?

ADAMUS : "Je ne sais pas !"

LINDA : Oh !

ADAMUS : Non, "je ne sais pas", c’est ça la chose qui m'agace que les Shaumbra disent tout le temps.

LINDA : Ahh !

ADAMUS : Parce que vous savez pertinemment et c'est le sujet de tout ce Shoud (Adamus rit). Peut-on réentendre cette sonnerie, ce buzzer ? Elle retentit au moment où vous dites "je ne sais pas" (on entend un son de klaxon de voiture). Oui, ça c'est la version indienne (maintenant on entend des buzzers et des sirènes). Oui, c'est ça, vous avez compris. Bien. Bien (Adamus rit). Bien. C'est assez. C'est assez. Coupons ça.

"Je ne sais pas." C'est peut-être l'une des choses les plus toxiques que vous puissiez vous dire à vous-même ou sur vous-même : "Je ne sais pas". Soudain, quand vous dites "je ne sais pas", cela crée un nuage, un voile tout autour de vous, et cela bloque les réponses, les potentiels, la solution. Cela bloque tout. "Je ne sais pas", c’est une affirmation, une déclaration, et certains d'entre vous le disent tellement bien, "Je ne sais pas. Je ne sais pas, je ne sais pas. Je ne sais pas !" Vous le dites si bien. C'est la seule fois où vous vous montrez un peu théâtral, "Je ne sais pas ! "et ça me rend fou. Quand j'entends cela, ça me fait l’effet, vous savez, comme quand vous faites crisser des ongles, de longs ongles pointus sur un tableau noir - errrrr ! - sur le tableau, parce que le fait est que vous savez pertinemment. Vous jouez juste à un jeu qui s'appelle "Je ne sais pas". Ouais.

Avant, nous avions un public, maintenant nous avons Linda qui fait le public. C’est notre seule spectatrice.

LINDA : Oh, quelle pression. Ugh !

ADAMUS : Nous avions l'habitude d'avoir du public ici et c'était tellement amusant quand quelqu'un disait "je ne sais pas", parce que j'adorais l'envoyer aux toilettes, dix minutes aux toilettes tout seul. Certaines personnes aimaient vraiment ça. Mais le fait est que certains pensaient que c'était grossier et vindicatif de ma part. Pas du tout. J'essayais de vous faire comprendre que ce "je ne sais pas" est très, très toxique, parce que vous savez pertinemment, et c'est un jeu auquel vous jouez avec vous-même tous les jours.

Il y a différentes façons de dire "Je ne sais pas". Par exemple, "je ne suis pas sûr" ou "je ne veux pas vraiment prendre de décision" ou "ce n'est pas dans mes cordes", toutes ces différentes façons de dire la même chose, "je ne sais pas". Mais le fait est que vous savez pertinemment, et il est temps de dépasser les "je ne sais pas". Quand nous aurons à nouveau du public ici - ooh ! ooh ! ooh ! ooh ! - j'attends avec impatience que cela se reproduise, parce que ce que nous ferons, c'est que nous mettrons ici une chaise spéciale "Je ne sais pas" pour ceux qui le diront.

LINDA : Ooh !

ADAMUS : On pourrait les mettre au coin. Mais il n'y a pas vraiment de coin ici, alors nous trouverons une "chaise je ne sais pas" un peu comme, vous savez, un peu comme - comment appelez-vous cela ? – quand on envoie un petit enfant au coin, pour qu’il se tienne tranquille ou autre. Nous aurons une "chaise je ne sais pas" et tous ceux qui diront cela devront porter un chapeau.

LINDA : Oh.

ADAMUS : Un chapeau. J’aimerais vous donner un exemple, parce que ce ne sera pas seulement pour ces Shouds en direct, en public. Ce sera à chaque fois que je verrai l'un d'entre vous dire "Je ne sais pas" ou quelle que soit la façon de formuler un "Je ne sais pas". C'est ce qui se passera. Je vais demander à un volontaire de venir sur scène pour nous montrer cela. Alors, Gaelon, voudriez-vous bien venir ici, s'il vous plaît ?

LINDA : Oh, c'est lui votre volontaire ?

ADAMUS : Eh bien, c'est le remplaçant, la doublure de Cauldre.

LINDA : Oh.

ADAMUS : Cauldre est tellement occupé qu'il ne peut pas venir se mettre sur la chaise ici, avant les Shouds, pour faire les tests de lumière et de son, alors Gaelon a l'habitude de s'asseoir sur la grande chaise ici. Gaelon Tinder, sa mère, c’est Jean Tinder, bien sûr. Je vous en prie. Non, montez ici et prenez la grande chaise. Oui, s'il vous plaît. Enlevez votre masque. Je ne peux pas vous transmettre le COVID, je suis un esprit (Adamus rit). Bien. Bien.

Alors, asseyez-vous, s'il vous plaît. Vous êtes un peu nerveux ?

GAELON : Oui.

ADAMUS : Saviez-vous que vous alliez monter sur scène ?

GAELON : Non ! (il rit)

ADAMUS : Non. Quelle surprise, n'est-ce pas ?

Alors, disons que vous et moi avons une conversation à un Shoud, ce que nous ferons un jour, et je vous dis quelque chose comme : "Alors, quelle est la prochaine grande chose qui va se passer dans votre vie, Gaelon ?" et vous me dites ...

GAELON : Je ne sais pas (Linda suffoque).

ADAMUS : Et moi je vous réponds : "Quoi ? !?!" Et la cloche sonne... (pause) la cloche sonne. On doit leur donner plus de café là-bas. En parlant de café, Kerri !

KERRI : Oh !

ADAMUS : Je n'ai pas pris mon café. J'ai passé 45 longues minutes ici à jacasser. Et pas de café. Tu parles d'une souffrance ! Je souffre parce qu'on a oublié des choses aussi simples que de m’offrir une simple tasse de café. Vous auriez pu penser qu'elle s'en serait rendu compte tout de suite, mais elle est assise à l'autre table, "Je ne sais pas. Je ne sais pas, je ne sais pas. Je ne pensais pas que vous en vouliez une, Adamus. Vous devez demandez..."

Non. C’est à vous de le sentir. Vous allez au-delà de votre mental et des éléments factuels, des points de données et vous réalisez : "Oh, Adamus adorerait avoir une tasse de café maintenant." Où en étions-nous ?

GAELON : Je ne sais pas.

ADAMUS : Bien (ils rient). Et quand vous dites ça et que la cloche sonne ... (on entend une musique très calme pendant un instant) Mais qu'est-ce que c'était que cette cloche ?! Et la cloche ... (on entend un klaxon de voiture) ... la ... oui, d'accord (on entend une sonnerie de réveil). C'est un ... bon. Et la cloche sonne et puis Linda et moi regardons ... (une variété de différents buzzers et sons continuent) Qui est ... qu'est-ce qui se passe ici ?

LINDA : Vous devriez prendre votre sceptre là, je crois.

ADAMUS : Mon quoi ?

LINDA : Sceptre.

ADAMUS : C'est mon sceptre. Non. Ça fait juste partie de la pièce de théâtre (il chuchote).

LINDA : (elle chuchote) D'accord.

ADAMUS : D'accord, bien que Gaelon n’était pas au courant de tout cela. Et puis soudain, je suis en état de choc parce que quelqu'un me dit : "Je ne sais pas." Quand quelqu'un dit "je ne sais pas", je peux soudain voir un voile qui s'élève autour de lui et qui l'empêche de voir tous ses potentiels, et alors vous vous retrouvez perdu dans le pays du "je ne sais pas". Vous êtes dans une sorte de petite bulle. Vous ne pouvez plus voir ce qui est vraiment autour de vous. "Eh bien, je ne sais pas", et soudain, vous ne savez plus. Vous passez d'un être intuitif extraordinaire à un être "je ne sais pas". Et alors, à ce moment-là Linda fera quelque chose. Allez-y, Linda.

LINDA : Oh ! Oh ! C'est le moment ...

ADAMUS : Linda, savez-vous ce que vous êtes censée faire là ?

LINDA : Mon dieu, non ! (elle rit)

ADAMUS : Non, "je ne sais pas". (ils rient) Linda sortira soudain cette belle création, conçue par Cauldre, exécutée et cousue par Jean Tinder, votre mère, et vous porterez ce chapeau "Je Sais Bien". Prenons une photo de ça, le chapeau "Je Sais Bien" (Linda applaudit). En un joli gros plan. Bien. Et tournez juste un peu la tête pour que la caméra puisse voir, ou mieux encore, déplacez la caméra. Ok, "Je Sais Bien".

LINDA : Voilà.

ADAMUS : Merci, merci, merci. "Je Sais Bien" a de multiples significations. Tout d'abord, "Je sais bien. Je sais beaucoup de choses et je les sais tout à fait bien, plutôt que de dire "je ne sais pas"". Il se peut que nous devions faire beaucoup de ces chapeaux, et en fait, nous devrions en faire fabriquer certains. Si vous mettez - quelqu'un mettra cela sur sa liste. Qui est responsable de cela ? "Je ne sais pas" (dit d'une voix moqueuse). Quelqu'un mettra ça sur sa liste. Nous ferons faire tout un tas de chapeaux, cousus, brodés et nous les distribuerons. Mais je pense que ce serait mieux ...

LINDA : Adamus, qui voudrait un de ces trucs ?!

ADAMUS : Je ne sais pas.

LINDA : C'est une punition - oh !! (Linda rit).

ADAMUS : Je l'ai fait intentionnellement (les cloches et les buzzers sonnent et Adamus rit).

LINDA : (continue de rire) Voilà ! (elle met le chapeau sur la tête d’Adamus et continue de rire pendant que les cloches et les buzzers continuent)

ADAMUS : Je l'ai fait intentionnellement, Linda. Vous le savez ! Merci, Gaelon, d'avoir posé pour le nouveau chapeau "je ne sais pas".

GAELON: Tout le plaisir est pour moi.

ADAMUS : Vous savez, ça ressemble un peu à un chapeau d'âne. Je me demande s'il ne devrait pas plutôt ressembler à un chapeau de sorcier avec un bord. Je pense que Jean l'avait suggéré au début. Merci pour le café, Kerri. Merci.

KERRI : Bien sûr.

ADAMUS : (il prend une gorgée d'autre chose pendant que Linda lui apporte le café). Ahh ! Ooh !

LINDA : Voilà.

ADAMUS : Ça là, ce n'est pas du café. C'est...

KERRI: Ce n’est pas moi qui l’avais fait !

LINDA : Ça c'est du kombucha.

ADAMUS : Je pense que c'est ... du kombucha (Adamus rit). Je croyais que c'était de l'urine de raisin.

Bon, en tout cas, chers Shaumbra, "Je ne sais pas. Je ne sais pas." Je ne veux plus entendre ça, parce que vous savez. Le fait est que vous savez tout. Vous ne savez pas que vous le savez, c'est tout.

 

L’Amour

A présent, commençons à rassembler tout cela. C'est notre Shoud de la Saint-Valentin. Vous voyez tous ces coeurs ? Si vous vous demandiez: "Pourquoi y a-t-il tous ces cœurs et toutes ces roses aujourd'hui ? Je ne sais pas." C'est parce que nous sommes à la St Valentin dans, quoi, huit jours. C'est pour ça.

Maintenant, la Saint Valentin, c’est la fête de l'amour, même si Saint Valentin était un martyr. Vous pigez ? Il a souffert et d'une façon étrange, cela s'est transformé en fête de l'amour. C'est vraiment bizarre. Je me demande pourquoi on a fait ça ?

Vous êtes supposée dire, Linda, "Je ne sais pas". Revenez ici. Je ne vais pas vous mordre.

LINDA : C'est contre ma religion. Je ne peux pas dire cela.

ADAMUS : D'accord. Donc, elle ne le dira plus. C'est une bonne chose. Elle est en train d’apprendre.

Saint Valentin a été un martyr à l’époque, quoi, aux environs de l'an 269 après J.-C., mais pourtant cela s'est transformé en une fête de l'amour. Je ne sais pas comment c'est arrivé. Donc, notre Jour de la Saint Valentin est à présent une fête de l'amour et c'est une époque où, oh, les jeunes amoureux et les gens font des actes d'amour, comme d’offrir des fleurs. Je vous offre celles-ci, Linda, parce que je vous aime. Elles seront à vous après le ...

LINDA : Oh, merci.

ADAMUS : ... après le Shoud.

LINDA : Vous êtes si prévenant.

ADAMUS : L'amour. Qu'est-ce que l'amour. Qu'est-ce que l'amour ? "Je ne sais pas." (dit d’un ton moqueur ; ils rient) Vous ne savez pas combien de fois j'ai entendu ça. Si vous voyez que j'ai un petit problème là, si vous voyez que j’ai une sorte de petite réaction à cela, c’est parce que je l'ai entendu dire tant de fois par vous tous.

Vous savez, quand vous m'appelez la nuit et que je descends vous voir, que nous bavardons et que vous me posez toutes ces questions, vous savez que la réponse typique que je vous fais, c’est : "Quelle est la réponse ? Qu'est-ce que vous en pensez ?"

"Je ne sais pas. C'est pour ça que je vous ai appelé."

Mais je ne vous donne pas la réponse. Je vous rappelle que vous avez les réponses, mais dès que vous dites "Je ne sais pas ! Je ne sais pas, je ne sais pas", je dois faire marche arrière. Je dois vous laisser patauger dans cette sorte de bain de septicisme dans lequel vous êtes avec vos "je ne sais pas". Il n’y a rien d’autre que je puisse faire. Je ne peux pas vous donner la réponse et vous insistez avec vos "je ne sais pas", alors nous restons assis là, et nous parlons de choses stupides pendant un moment, parce que nous n'arrivons pas vraiment à entrer dans le vif du sujet. Les "je ne sais pas" sont toxiques à ce stade de votre développement, de votre maîtrise. Ils sont toxiques.

Alors, revenons au sujet de l'amour. Qu'est-ce que l'amour ?

Qu'est-ce que l'amour ? C'est un sentiment. C'est un ressenti, et l'amour est un sens. Littéralement, c'est un sens. C'est à présent un sens angélique. Ce n'était pas le cas avant. Il n'y avait pas d'amour avant, nulle part, en aucun endroit, jusqu'à ce que les humains le créent. C’est alors qu’il est devenu ce nouveau sens dont tous les anges devront finalement faire l’expérience. Mais qu'est-ce que l'amour ?

Quand nous avons fait de l'amour là-haut (dans les royaumes célestes) un sens officiel, avec les 200 000 voire plus autres sens, nous avons fait de l'amour un sens officiel ; nous avons fait ce genre de réunion, de rassemblement et quelqu'un a dit : "Je propose que l'amour devienne un sens angélique".

Il y a eu beaucoup de murmures et de discussions et finalement quelqu'un à l'autre bout de la salle a dit : "Eh bien, qu'est-ce que l'amour ? Qu'est-ce que l'amour ?" et la salle est devenue silencieuse. Tout le monde ressentait, parce que, voyez-vous, la plupart des êtres angéliques n'avaient jamais eu la sensation de l'amour, ne savaient rien de l'amour.

Alors, ils ont dit : "Appelons un humain. Faisons venir un humain à notre réunion, un humain qui a fait l'expérience de l'amour, et faisons-lui nous décrire l'amour afin que nous puissions voter pour savoir si cela deviendra un nouveau sens officiel, un sens angélique". Et donc, ils sont allés chercher un humain. Ils l'ont tué, je veux dire, pour l'amener jusqu'ici, mais finalement, ça n’avait aucune importance. Mais ils ont amené un humain dans la pièce et lui ont dit : "Hé, Casanova, c'est quoi l'amour ?"

Et Casanova a réfléchi un moment, il était lui aussi assez théâtral, et il a dit : "L'amour. Je ne pourrai pas vous parler de l'amour tant que vous ne l'aurez pas vécu, que vous n’en aurez pas fait l’expérience. Et je l'ai pour ma part expérimenté plus de 5 000 fois, mais je ne pourrai pas vous parler de l'amour. Ce ne sont pas les émotions érotiques et les ressentis sensoriels du corps. Ce n'est pas ça l'amour. Ça c'est une réaction sous l’effet de l'amour. Mais qu'est-ce que l'amour ? Qu'est-ce que l'amour ? C'est si difficile à expliquer quand on n'en a jamais fait l'expérience, mais je peux vous dire que l'amour est de loin le plus grand de tous les sens que vous aurez jamais. Mais vous devrez passer par la Terre pour faire l'expérience de l'amour, et une fois que vous l'aurez fait et que votre cœur se sera ouvert à l'amour et même une fois que votre cœur aura été défait par l'amour, alors nous pourrons parler de ce plus grand de tous les sens".

Dans toute la salle, les visages angéliques se sont mis à exprimer l’idée : "Mais qu'est-ce que put... est-ce qu'il a dit cela ? Quoi ? !" Mais le vote a quand même eu lieu et, bien sûr, moi, je les ai tous encouragés à voter oui. Je leur ai dit : "Faites-moi vraiment confiance. Un jour, vous descendrez sur Terre vous aussi, vous prendrez forme humaine et vous ferez l'expérience de cette chose qu'on appelle l'amour. Mais, comme Casanova, je ne peux pas vous en parler. Je ne peux pas le décrire. Je ne peux pas le définir, mais il est plus réel que les rocs de la Terre, que les eaux de la Terre. Il est plus réel que les oiseaux qui volent dans le ciel. Il est plus réel que les feux qui balaient le..." Je m'emporte ici, mais j'aime bien être un peu théâtral.

L'amour est très, très réel. Lorsqu'on les interroge sur l'amour, la plupart du temps, les humains ne font que réfléchir. "L'amour, hm." Il y a ceux que vous avez aimés. Le sentiment d'être aimé, que ce soit par votre mère, ou par votre petite amie, peu importe. Il s’agit de ce sentiment... (Adamus rit) Je jurerais que Kerri a mis quelque chose dans mon café, parce que je n'étais pas comme ça avant de commencer à boire du café.

KERRI : Tout à fait.

LINDA : Continuez. C'est intéressant.

ADAMUS : Alors, l'amour. Revenons au sujet. L'amour. Oui, qu'est-ce que l'amour ? Vous commencez généralement à ressentir à nouveau ce que vous ressentiez à l’époque où vous étiez amoureux. Ah, la grandeur de l'amour, ou les amours que vous avez actuellement. Mais essayez de le décrire, c'est comme si vous lui rendiez presque un mauvais service. Essayer de le définir, c'est comme d’essayer de le mettre en bouteille et de l'emprisonner. L'amour vient du cœur.

Alors, à votre avis, Linda, pourquoi pensez-vous que l'amour est associé au cœur ?

LINDA : Parce que ce n'est pas une chose mentale, qui vient du cerveau.

ADAMUS : C'est une bonne réponse. Je pensais qu'elle allait dire : "Je ne sais pas." Elle apprend bien.

Il ne vient pas du cerveau. C'est en fait une réponse très sage. Donc, il ne vient pas de votre tête, de votre mental. Il vient du cœur et le cœur est le véhicule qui, eh bien, quand vous êtes amoureux, vous le ressentez, n'est-ce pas, dans votre cœur. Certains le ressentent dans leurs tripes, mais on ne ressent pas vraiment l'amour dans le cerveau, pas vrai ? Il est dans le cœur. Il est à l'endroit où bat le rythme de la vie, et dans aucun autre endroit de votre être. Cette pulsation du cœur, ce désir de vivre et d'expérimenter. Le cœur ne crée pas ce désir, mais le coeur réagit à ce désir de vivre le rythme de la vie. C'est pourquoi l’amour est associé au cœur.

Revenons au point de départ. L'amour est un ressenti sensoriel, et les êtres angéliques ont effectivement voté en se disant : "D'accord, nous allons accepter l'amour comme l'un des nouveaux sens. Nous ne savons pas vraiment pourquoi, mais les humains semblent tous être passionnés à ce sujet. Alors, oui, faisons-le".

L'amour est un sens, et un sens n’est pas une donnée. Ce n’est pas donnée. C'est pourquoi quand vous pensez à l'amour, c'est un sentiment qui vous submerge. Il ne s’agit pas des points de données du petit ami que vous avez eu il y a 28 ans, ni du nombre de fois où vous vous êtes embrassés, ni du nombre de hamburgers que vous avez mangés ensemble. Il ne s’agit pas de données, pas vrai ? Et l'amour serait défait s’il ne s’agissait que d’une série de données. L'amour est un sentiment, un ressenti.

C'est un sens. Il va bien, bien au-delà de ce que le mental pourrait faire pour le définir. Et c'est à l’image de ce que toute votre vie devrait être.

 

Le processus de prise de décision humain

L'histoire est une série de points de données qui ne sont généralement pas exacts. Ma photo, par exemple, c’était celle d'un de mes amis. L'histoire est une série de nombreux points de données qui ne sont pas exacts, mais pourtant le monde semble de nos jours s'accrocher aux points de données. Eh bien, c'est parce que c'est la façon dont le mental pense. Vous avez votre petit appareil d’écriture, Linda ?

LINDA : Bien sûr.

ADAMUS : Oh, bien. Je vais lui demander d’écrire quelques mots sur le ...

LINDA : Oh, mon Dieu.

ADAMUS : (riant- du fait d’un jeu de mot intraduisible en français) ... sur le tableau. Je vais lui demander d'écrire - c'est Kuthumi qui interfère. Je vais lui demander d'écrire quelques points sur le tableau là. Alors, voici comment le mental humain pense. Par données, données, données ... une émotion ...

LINDA : Whoa, whoa, whoa.

ADAMUS : ... une décision

LINDA : Je les ai écrits en sens inverse (Adamus rit).

ADAMUS : Données, données, données, émotion, décision. Ça c’est un schéma, un modèle normatif - non pas que vous n'ayez que trois points de données - mais cela signifie une série de points de données qui mènent ensuite à une émotion. Et toutes les décisions humaines sont prises sur la base d’une émotion. L'émotion est le point crucial déterminant une décision et ensuite vous prenez finalement une décision en vous disant qu’elle a vraiment été prise sur une base intellectuelle ou que vous avez vraiment traité beaucoup de choses pour arriver à votre décision, mais tout est basé sur l'émotion. Et certains ont essayé de me défier, de me challenger à ce sujet dans le passé et ils ont perdu leur défi, parce que toute décision humaine est basée, en fin de compte, sur une émotion.

Oui, vous collectez des données, beaucoup de données, et c'est votre mental qui travaille. Et il n'y a rien de mal à ce que votre mental travaille ainsi, mais c'est la façon dont votre mental fonctionne, il collecte des données. Et ensuite ces données sont évaluées par votre mental, qui ne comprend pas vraiment ce que sont les véritables sens ou la sensualité ou les ressentis sensoriels, et le mental les évalue sur la base d'une émotion et ensuite il prend une décision. Et la décision est prise, je dirais, dans le noir ou au moins dans la grisaille, sans bénéficier du plein potentiel des véritables sens, des véritables sens.

Nous en avons déjà parlé auparavant, oui, mais à présent il est temps de le faire. Nous en avons déjà parlé dans le passé comme une sorte de préambule à ce que nous allons faire à présent, mais désormais nous entrons dans une vie super sensorielle.

Revenons un instant en arrière. Des données, des données, une émotion, une décision.

Ressentez cela un instant. Prenez une bonne et profonde respiration et imaginez, si vous le voulez bien, avec moi. Imaginez que vous entrez dans une pièce où il fait totalement noir. Totalement noir. Vous ne connaissez rien de cette pièce avant d'ouvrir la porte, vous y entrez et vous refermez la porte derrière vous. Il fait totalement noir. Il n'y a rien là. Instantanément, votre mental, à travers ses sens physiques limités, se met à chercher des données. "Le sol est-il froid ? Est-il fait de pierre ou de moquette ?" Des données, des données, des données.

Et ensuite vous criez dans cette totale obscurité. Vous ne voyez rien du tout. Vous appelez dans cette totale obscurité pour voir s’il y aurait un écho qui vous aiderait à déterminer la taille de la pièce, parce que vous ne savez rien de cette pièce, rien sur sa taille, sa hauteur, son ameublement, quoi que ce soit. Vous pourriez marcher encore deux mètres et tomber dans une fosse profonde remplie d'alligators pour ce que vous en savez. Vous commencez à recueillir des données. Vous sifflez un peu, et vous essayez d'adapter vos yeux en espérant qu'un petit rayon de lumière puisse filtrer à travers l'obscurité pour vous aider à déterminer où vous êtes.

Des données, des données, des données, des données, voilà ce que vous êtes en train d’essayer de réunir ici en ce moment. Et maintenant, vous en arrivez au point où vous n’avez presque plus de données à recueillir. Tout ce que vous savez, c'est que vous marchez sur un sol et que quelque chose absorbe le son de sorte qu'il n'y a pas d'écho, mais cela ne vous aide toujours pas à déterminer la taille ou la nature de la pièce. Vous n'avez pas encore trébuché sur quelque chose, et donc vous ne savez même pas s'il y a des meubles, des murs ou autre chose. Des données, des données, des données, des données.

Et maintenant vous prenez une décision émotionnelle, "Je suis en danger". Heh ! C'est comme ça que votre mental fonctionne, "Je suis en danger". Ça c'est une réaction émotionnelle - "Je suis en danger" - et peut-être que vous l'êtes, peut-être que vous ne l'êtes pas, mais c'est ce que les points de données aident les émotions à déterminer.

Et maintenant, il est temps de prendre une décision, parce que vos émotions vous disent : "Danger, il y a un grand danger potentiel ici. Tu ne devrais pas te trouver dans cet endroit", et votre décision c’est "Fuir comme un dératé". Vous essayez de trouver la porte par laquelle vous êtes entré. Espérons que vous ne vous êtes pas trop éloigné de la porte et, en réalité, vous ne vous êtes pratiquement pas éloigné de cette porte, parce que dans votre collecte de données, dans votre décision émotionnelle, vous aviez peur d'aller plus loin.

Mais, et si cette pièce contenait votre divinité ? Et si c’était simplement que votre mental ne puisse pas comprendre votre divinité, parce qu'il n'en a jamais fait l'expérience auparavant. Il ne sait pas quoi chercher. Il ne sait pas comment utiliser ses points de données pour détecter une quelconque divinité. Et si cette pièce était emplie de votre divinité, mais qu’à présent vous aviez décidé de vous enfuir, espérant trouver la porte, parce que vous avez peur de ce qui pourrait arriver ?

Ça c'est la façon typique dont l’humain pense. Je l'ai simplifiée et réduite, bien sûr, et certains objecteront que j'ai rendu cela beaucoup trop simple, mais, non, c'est en fait comme ça qu’un humain fonctionne. C'est ce que vous avez à l'écran. Des données, des données, des données, une émotion, une décision, et vous traversez la vie comme ça, chaque jour comme ça. Et quand vous rencontrez des pièces sombres – c’est une métaphore pour signifier quelque chose de nouveau dans votre vie – vous prenez généralement la décision de fuir ou au moins de vous retenir, ou l'autre décision que vous prenez souvent, c’est "Allons chercher plus de données. Restons là un moment et voyons si quelque chose se passe", mais en gardant une main sur la porte pour pouvoir sortir le plus vite possible. Il est temps d'aller plus loin que cela.

Dans cette pièce à présent, cette pièce représentant tant de nouvelles opportunités, cette pièce représentant votre divinité, cette pièce représentant votre énergie et tous vos potentiels ; dans cette pièce à présent, vous vous arrêtez. Vous arrêtez votre collecte obsessionnelle de données, vous vous accrochez à votre sceptre, non pas comme à une arme, non pas comme à une réponse, mais comme à un rappel que vous savez. Vous savez pertinemment.

Si nous devions faire une pause là, vous vous tenez dans une salle obscure après avoir recueilli à présent peut-être des centaines de points de données et votre réaction émotionnelle est une réaction de peur, peut-être n'avez-vous pas encore pris de décision et je m'approche de vous et je vous dis : "Alors, qu'allez-vous faire ?" Et alors vous me dites "Je ne sais pas" et je vous gifle très, très fort. Je vous fais tomber le cul sur sol, et vous réalisez que le sol est assez dur. C'est un autre point de donnée, "Ne tombez pas trop souvent par terre". Ensuite, je vous jette contre le mur et vous réalisez que le mur est lui aussi très dur. Et ... eh, je plaisante ! Mmm, peut-être pas tant que ça.

À ce stade, vous ne dites pas "je ne sais pas". Lorsque je m'approche et que je vous dis : "Qu'allez-vous faire maintenant ? Vous êtes dans cette pièce sombre. Vous n'avez aucune idée de ce que c'est. Vous avez peur. Vous vous êtes pissé dessus, tellement vous aviez peur. Qu'est-ce que vous allez faire ?" Vous me dites : "Je vais immédiatement attraper ce sceptre avant de faire quoi que ce soit de mal (Adamus rit). Je vais attraper ce sceptre et ce sceptre va me montrer le chemin." Et vous sortez de votre mental. Vous arrêtez de penser, et vous êtes conscient de vos émotions, mais elles ne vous submergent plus. Et vous vous abstenez de prendre une décision humaine basée sur des données, des données, des données.

Vous tenez ce sceptre et vous le laissez vous transporter à présent dans vos potentiels, dans votre énergie. Et quand vous entrez dans vos potentiels, ce n'est pas que la réponse soit là. Pas en tout cas "La Réponse", vous savez ; mais toutes les réponses, tous les potentiels, et vous serez instantanément attiré par le potentiel qui contiendra ce que vous pourriez qualifier de plus grand niveau de satisfaction, de sensualité, ou de moindre niveau de souffrance, de moindre résistance.

Vous y serez automatiquement guidé. Ne remettez jamais cela en question. Jamais, jamais, jamais ! Ne remettez pas en question le fait que vous serez automatiquement guidé vers le plus haut potentiel pour vous. Pas pour la planète, ni pour personne d'autre, ni pour votre mère, ni pour votre chien, mais pour vous. Ne remettez pas cela en question, n’en doutez pas, parce que ça, c'est le fonctionnement du mental. Ça, c'est le travail de sape du mental. Ce n’est pas le moment, ce n’est pas l’endroit pour ce questionnement. Cela demande une énorme confiance - pas vraiment. Heh ! Non, pas vraiment. Ça, c’est une idée fausse, "Oh, cela demande une confiance énorme". Non, ce n'est pas le cas. Tout cela est à vous. C'est totalement votre énergie. Ce sont tous vos potentiels, toutes vos réponses. Ce ne sont pas ceux de guides spirituels. Oh, oh, oh ! Ce n'est rien de tout ça. C'est vous qui vous laissez transporter ou amener dans tous vos potentiels - votre conscience.

Et quand vous vous accrocherez au sceptre, qui n'est qu'un rappel ; quand vous vous accrocherez à ce sceptre, il vous emmènera à travers ces couches et ces couches de "je ne sais pas" toxiques que vous avez mis là dans le passé. Il tranchera à travers ce voile et vous apportera la réponse. Et ensuite, vous vous tairez. La ferme. Je vous dis cela parce que le mental humain a une grosse tendance à commencer à mouliner, à devenir obsessionnel, et à poser des questions, à s'inquiéter, à avoir peur et à se dire : "Eh bien, nous ferions mieux de collecter plus de données et faire plus de recherches pour essayer de comprendre, et ensuite nous allons nous asseoir et équilibrer les chances et voir ce qui est bon et mauvais. Ensuite, nous allons évaluer..." Taisez-vous ! Vous êtes dans votre propre énergie, et cette énergie ne travaillera jamais, jamais contre vous. Elle ne travaillera jamais contre vous.

Et donc vous serez là, dans cette obscurité, dans ce néant, et pendant un instant, oui, votre mental va se précipiter pour vous dire : "Qu'est-ce que c'est que çaaaaaa? C’est juste un super grand abîme sombre et je vais être dévoré par le monstre de cet abîme." Et juste au moment où vous aurez transcendé "les données, les données, les données, les émotions", soudain, il y aura seulement toute votre connaissance intérieure, et vous vous direz "Dang ! Je le savais ! Zut ! J'ai toujours su cela ! Pourquoi est-ce que j'ai fait tout ce truc de "données, données, données, émotions, tout ce truc du mental "?

Et au moment où vous penserez cela, au moment où vous vous poserez cette question, eh bien, alors c’est que vous serez dans votre énergie. La réponse vous viendra : "Parce que vous le vouliez, parce que vous pensiez que c'était la voie à suivre", et puis vous vous direz : "Je me demande si je pourrai un jour aller au-delà de ça", et la réponse sera là, cette connaissance : "Eh bien, absolument, idiot". Je veux dire, c'est votre énergie qui vous parle. Elle vous parle comme ça parfois. Elle vous dit : "Oui, nous devons revenir à ça." Arrêtez d'y penser. Arrêtez de vous en faire, de vous inquiéter par rapport à ça. Vous êtes là. Tenez ce sceptre. Il vous transportera directement au beau milieu de votre énergie, ce qui signifie tous vos potentiels, et le potentiel qui voudra le plus vous servir, dans la plus grande joie, sera celui dont vous prendrez conscience immédiatement. En fin de compte, vous serez conscient de tous les autres potentiels, mais vous vous direz : "Ehh, je ne suis pas trop intéressé, parce que ceux-là souffrent. Ceux-là prennent trop de temps. Ceux-là - je ne sais pas ce que c'est putain. Mais, non, je veux celui-ci, un potentiel de joie et d'aisance et non plus de souffrance." Plus de souffrance.

Prenons une profonde respiration, chers Shaumbra. Oui, je m'amuse aujourd'hui.

Cela fait si longtemps à présent que vous fonctionnez selon cet ancien modèle, un modèle très linéaire de "données, données, données, émotions", et de temps en temps une décision, mais souvent un "je ne sais pas". Vous savez, vous vous posez ces questions parfois: "Que dois-je faire ? Où devrais-je déménager ? Vais-je trouver un amoureux ? Qui suis-je ? Combien de temps vais-je vivre ? Que dois-je faire pour prendre soin de ma santé ? " Ensuite, vous essayez de collecter des données. Vous allez sur Internet. Vous regardez. Vous faites des recherches. Arrêtez ça ! Je ne vous dis pas que la recherche est mauvaise, mais pour les grandes questions de votre vie, où vous irez ensuite, quoi faire, comment surmonter un problème physique, comment permettre la richesse dans votre vie, toutes ces choses, arrêtez le "données, données, données, émotion", parce que, vous voyez, pour la plus grande part, vos décisions sont basées sur une émotion et cette émotion est généralement la peur ou le manque ou la souffrance.

Pas étonnant que vous répétiez sans cesse la même chose avec la même souffrance, avec le même résultat, tout le temps. Allons au-delà de cela. Tenez ce sceptre et laissez-le vous transporter dans votre propre énergie où toutes les réponses se trouvent, et où la réponse qui comportera la plus grande joie et la plus grande grâce pour vous sera celle qui vous apparaitra la plus évidente, la plus claire. Elle ne vous dira pas : "Eh bien, je suis sûr que tu dois choisir ceci ou cela." Elle sera si claire qu’elle vous frappera telle une énorme connaissance intérieure.

Prenons une bonne respiration.

Il est temps que nous changions de méthode, il est temps que vous changiez la façon dont vous obtenez des réponses aux choses, que vous preniez de vraies décisions dans votre vie. Il est temps de nous ouvrir à tous les potentiels et ils sont là, et c'est aussi simple que de tenir ce sceptre et de faire taire ou arrêter les obsessions de votre mental. Ce sceptre vous transportera droit vers votre énergie, et plus vous serez calme, pendant quelques instants, quelques précieux instants, plus il vous montrera que dans cette grande et énorme chambre noire dans laquelle vous venez d'entrer, qui est le symbole d'une question qui se pose peut-être dans votre vie, si vous restez calme et tranquille un instant, si vous arrêtez d'essayer de collecter des données et si vous ne vous lancez pas dans des décisions émotionnelles, la réponse sera juste là.

 

Vous le savez déjà - Merabh

Prenons une bonne et profonde respiration, mettons de la musique et faisons cela avec un merabh.

(la musique commence)

Vous savez déjà. Vous savez déjà. C'est pourquoi c’est si offensant de vous entendre dire des choses comme "je ne sais pas", parce qu’alors c'est ce que devient votre réalité.

Dès que vous dites "je ne sais pas" - (smack ! ) - l'énergie vous donne cela. Vous mettez en vérité un voile autour de vous et alors vous ne savez pas, et vous ne saurez pas, et vous ne pouvez pas savoir.

Au lieu de ce "je ne sais pas" – voudriez-vous bien me donner ce chapeau, Linda ? (le chapeau "Je sais bien")

LINDA : Bien sûr.

ADAMUS : Au lieu de ce "je ne sais pas", vous savez pertinemment (elle lui tend le chapeau), et vous savez bien mieux que quiconque.

Vous remarquez que je ne le porte pas (Adamus rit). Je ne veux pas abîmer les cheveux clairsemés de Cauldre (Adamus rit). Pfft !

LINDA : Oof !

ADAMUS : Pfft ! Kuthumi m'apprend l'humour.

LINDA : Oof !

ADAMUS : Je ne suis pas encore parfait ! Si, je le suis.

Je sais bien. Je sais bien, plutôt que de se dire "je ne sais pas".

"Je ne sais pas" est toxique.

Je sais bien mieux que quiconque ce qui est bon pour moi.

Je sais bien, plutôt que de collecter des points de données et d'essayer de prendre une décision sur cette base. Les données sont intéressantes et elles sont justes dans certains cas, mais pas là où se dirige votre vie. Les points de données sont utiles pour comprendre comment mettre en marche votre lave-vaisselle. C'est à cela que servent les points de données, à mettre en marche votre lave-vaisselle. Certains d'entre vous n'ont pas encore compris cela. Ce n'est pas grave. Vous y arriverez.

Les points de données ne sont pas destinés à diriger votre vie et, voyez-vous, votre vie suit cette voie actuellement. De plus en plus de points de données.

Les ordinateurs. Ils utilisent de nombreux points de données, des trillions de points de données par nanoseconde. Ce n'est pas ce qui fait la vie. Ce n'est pas ce qui ouvre le cœur et apporte l'amour et l'épanouissement.

Les points de données - une série de points de données - ne vous permettent pas de prendre des décisions saines, parce que si vous utilisez une série de points de données pour essayer de prendre des décisions concernant votre vie, votre bonheur et votre souveraineté, les points de données vous demanderont simplement toujours plus de points de données, et ensuite ces points de données demanderont encore plus de points de données, et vous n'irez jamais dans votre propre énergie.

Prenez une bonne et profonde respiration.

C’est aussi simple que de tenir ce sceptre - c'est le vôtre, c'est votre rappel - et de le laisser illuminer cette pièce sombre.

Vous pourriez passer toute une vie à chercher dans le noir dans cette pièce, en essayant de collecter suffisamment de points de données pour déterminer à quoi elle ressemble et de quoi elle est composée, et même alors, ce ne serait pas exact, tout comme l'histoire n'est pas vraiment exacte. Il s'agit d'une série de points de données. Il y a une part de vérité, oui, mais ce n'est pas vraiment exact.

La perception que vous avez de vous-même est basée sur de nombreux points de données. Vous l'appelez votre passé, et ce n'est pas réellement qui vous êtes. Votre perception de vous-même est également basée sur de nombreuses décisions émotionnelles qui sont bien en deçà de votre véritable potentiel.

Vous le savez bien. Toutes les réponses sont là.

Faisons cela. Contournons la manière traditionnelle de faire des choix et de prendre des décisions, la manière traditionnelle de comprendre la réalité.

Accrochez-vous à ce sceptre et laissez-le vous emmener dans le champ de vos potentiels. Ce champ, il est infini. C’est un magnifique, magnifique champ de potentiels, un peu comme un champ de fraises.

Et la baie, le fruit qui fera vraiment vibrer la passion de votre cœur, sera celui qui se distinguera, et ce sera très évident, il ressortira en apparaissant au-dessus et au-delà de tous les autres. Arrêtez de penser autant. Arrêtez de vous dire "je ne sais pas".

Cessez d'essayer d'utiliser les points de données pour sortir de la dualité. Cela ne fonctionnera pas.

"Des données, données, données, une émotion, une décision", ça ne fonctionne pas.

Il y a une réalité incroyable à l’extérieur dans laquelle nous allons pénétrer, dans laquelle vous allez pénétrer, et cela pourra vous sembler un peu effrayant au début, parce que vous êtes tellement habitué à être axé sur les points de données, à faire des recherches sur les choses.

Nous allons aller au-delà de cela pour devenir des êtres véritablement super sensoriels ou, comme j'aime à le dire, super sensuels. Il n'y a pas de points de données là-dedans. C'est un peu comme l'amour, vous savez. Essayez de le décrire, c'est difficile. C'est la même chose avec là où nous allons, ce n'est pas logique et c'est une bonne chose. Ce n'est pas limité.

Alors, chers Shaumbra, profitons de cette occasion pour célébrer le jour de l'amour qui arrive bientôt, le 14 février ; profitons de cette occasion à présent pour aller vraiment au-delà de l'ancienne façon de prendre des décisions, de vous percevoir vous-même et de percevoir le monde.

Allons dans le super sensoriel, et je ne vais même pas vous expliquer ce que c'est. Prenez juste votre sceptre. Il vous y mènera. Je le sais. Je vous garantis qu'il le fera.

Saisissez ce sceptre et, qu'il s'agisse d'une décision dans votre vie, qu'il s'agisse simplement de changer votre perception de vous-même ou d'en avoir une perception plus large, qu'il s'agisse de réellement comprendre votre histoire et votre passé, quoi que ce soit et peu importe quoi, n’utilisez les points de données que pour des choses comme la façon de mettre en marche votre brosse à dents électrique (rires). Certains d'entre vous bataillent encore avec cela. Utilisez les points de données pour savoir comment faire fonctionner votre ordinateur.

Mais pour vous, pour votre cœur, pour votre bien-être alors que vous resterez ici sur cette planète, il y a une toute nouvelle façon de percevoir la réalité, d'aller dans vos potentiels, de trouver de vraies réponses - des réponses qui ne viennent pas de Dieu.

Vous savez, Dieu n'est qu'un tas de fichues données. Non, vraiment. Je veux dire, la Bible, qu'est-ce que c'est ? Des données. On ne fait pas l'expérience de Dieu à partir de tous ces points de données, et c'est ce que font les érudits. Ils se croient très intelligents, mais ça doit venir du coeur, du ressenti, du super sensoriel.

C'est là que nous allons. Ce n'est pas effrayant.

Ressentez cette grande salle obscure à présent. Ressentez-la.

Au lieu d'utiliser l'ancienne méthode des points de données, et ensuite des émotions et des décisions, tenez-vous simplement là à présent avec votre sceptre à la main.

Pendant un moment, oui, pour l'humain, cela pourrait être un peu effrayant de se dire : "Ce n'est rien d'autre qu'une grande et super chambre noire. Je n'ai aucune idée de ce qu'il y a là-dedans. Ce n’est peut-être pas très fiable." Et puis cela s'estompera, disparaitra.

A mesure que vous serez vrai envers vous-même et que vous le resterez, cela disparaitra et soudain - ressentez dès maintenant ce qui se passera.

Soudain, en vous permettant vous-même, votre véritable conscience, ressentez ce qui se passera dans cette pièce à présent.

(pause)

Vous voyez, il y a ce moment de silence, un moment d’interrogation et même une tentative pour combler le silence. Et en prenant quelques respirations profondes, vous vous souviendrez : "Je sais bien".

Vous prendrez quelques respirations profondes dans votre vraie nature sensorielle, et vous réaliserez que tout est là.

Tout ce que vous voulez savoir sur votre vie, vos prochains mouvements, vos potentiels, vos opportunités, tout sera juste là.

Votre Réalisation a toujours été là, mais quand vous vous êtes dit : "Je ne sais pas comment y arriver, je ne sais pas quand elle arrivera", vous êtes resté dans l'ignorance, dans le noir. Vous avez éteint la lumière.

C'est fini.

Saisissez ce sceptre et réalisez "Je sais bien".

Prenons ensemble une profonde respiration, chers Shaumbra.

Et merci de m'avoir permis de tester mon nouvel humour. Je pense que je m’en suis bien tiré (Linda applaudit). Je vous remercie. Il y a un petit applaudissement ici. Merci. Je crois que j'ai bien réussi. Je vais devoir retourner faire mon rapport à Kuthumi. Je suppose qu'il va m'envoyer une facture maintenant pour les cours (Linda rit). Il y avait une garantie de remboursement, mais ça ne me dérange pas de le payer parce que, vous savez, quel beau cadeau. Et je n'ai pas à m'inquiéter de savoir d’où l'argent va venir pour payer Kuthumi. Je n'ai pas à me dire : "Je ne sais pas d'où il va venir". Je le sais bien. Il est déjà là (il met le chapeau "Je sais bien" sur sa tête).

Alors, chers Shaumbra, prenons une profonde respiration. Nous reviendrons le mois prochain pour découvrir les images graphiques et vivantes de la femme que j'étais dans mes vies antérieures.

Sur ce, rappelez-vous que, malgré la tristesse et la folie qui règnent sur la planète, finalement tout va bien dans toute la création.

Merci, chers Shaumbra. Joyeuse Saint-Valentin. Ouvrez votre cœur.