Je suis ce que je
suis, Adamus à votre très grand service. Bienvenue, Shaumbra, en cette
magnifique journée, pour ce rassemblement des énergies venant du monde
entier et d’autour toute la planète.
C’est bon d’être ici avec vous, j’espère
que vous ressentez la même chose à mon sujet ! (rire) j’espère que vous
ressentirez la même chose à mon sujet quand l’horloge sonnera cinq
heures et que mon temps sera fini, je retournerai dans une citrouille et
je quitterai cet endroit.
Ainsi Shaumbra, nous avons beaucoup à
dire aujourd’hui. Quelle est cette chanson si dépressive qui a été
choisie pour l’ouverture ! (Iris par les Goo Goo Dolls) cela ressemble à
quelqu’un qui passe par l’éveil, (rire) la partie de l’éveil la plus
mauvaise, la plus sombre, et la plus remplie de larmes.
Qui a choisi cette chanson, Cauldre ?
J’aimerais vraiment avoir de la bonne musique classique ou au moins de
la musique heureuse.
KATHLEEN : Les Beatles !
ADAMUS :
Les Beatles, n’importe quoi mais pas ça ! (rire). Mon dieu, si quelqu’un
qui passe par le réveil écoute ça, il voudra sauter par le balcon.
(plus de rires) Et c’est comme cela que vous vous représentez ?
Bien… Shaumbra, nous avons beaucoup à
dire aujourd’hui, nous commencerons par une question - pas votre
question, la mienne. Si vous avez remarqué, je n’aime pas vraiment
prendre de questions pendant ces rassemblements, pendant ces
rassemblements du ‘cercle intime’.
Cauldre m’a demandé de prendre de temps
en temps des questions pendant les autres événements, certains de ces
événements sur Internet.
* Je suis d’accord avec
lui s’il est d’accord pour que je dise ce que je veux. Et je comprends
vraiment la frustration de certains, mais je dois également préciser que
bien plus de la moitié de ces très chers n’ont absolument aucun désir
de se réveiller.
Ils aiment jouer le jeu.
Ils aiment – alors que je l’ai dit si
éloquemment l’autre nuit à une personne - ils aiment courir après leur
queue. Mais ils n’ont absolument aucun désir de l’attraper, et ils
veulent que le jeu continue.
[* des enregistrements
de ces entrevues peuvent être trouvés au CrimsonCircle.com > à la
Communauté > nos vidéos et d’autres canalisations]
Certaines des questions qui sont posées
sont celles que vous avez posées et que vous avez traversées il y a
longtemps. Il y en avait une bonne l’autre nuit, une parmi beaucoup,
mais chers Shaumbra, nous sommes beaucoup trop loin pour rentrer dans le
processus des questions ineptes…
Cauldre n’a pas fait… (rire)… des questions dont vous connaissez déjà les réponses. Donc…
(Adamus prend le collier que Sart porte
et se le passe autour du cou). Vous saviez que j’allais avoir à faire
ça. (rire). Vous le saviez absolument.
LINDA : Ne lui enlevez pas son oreille !
ADAMUS :
Si j’avais la bague, vous ne l’auriez pas récupérée. Hmm, ce n’est pas
encore complet. Je veux…….
je veux le chapeau ! (plus de rire et d’applaudissements car Adamus
prend un chapeau de cowboy rose avec de la peluche d’une femme dans
l’assistance, le met sur sa tête et pose). Oui, je suis ce que je suis !
Je ne m’inquiète pas de ce qu’ils disent à mon sujet. (rire)
LINDA : Et Cauldre est certainement horrifié. Attendez qu’il voit les images.
ADAMUS : Non, il n’est pas tout à fait ici en ce moment. (rire) donc…
LINDA : Il verra les images.
ADAMUS :
Il verra les images plus tard et il sera horrifié. Mais… mon, quelle
belle écharpe vous avez (il la prend). Mais je suis moi, je ne suis pas
Colleen, (Adamus enlève de l’écharpe l’étiquette avec le nom de la
personne) et je garderai ceci.
Donc chers Shaumbra … oui ? (rire et
applaudissements car Adamus pose) c’est notre rassemblement spirituel de
conscience élevée, et oui, je voudrais être votre professeur. (plus de
rire)
Ainsi, chers Shaumbra, je suis heureux
que vous puissiez toujours rire. Vous pouvez reprendre ceci - beau
chapeau, merveilleux chapeau. Il fait trop chaud pour l’écharpe, mais
vous pouvez l’avoir, ma chère. (rire car il donne l’écharpe à quelqu’un
d’autre) ça je le garde. (il garde le collier)
Alors, Shaumbra, première question
aujourd’hui - je ne suis pas seul. Je ne suis pas simplement Adamus
aujourd’hui. Il y a un co-conspirateur avec moi. Qui ça peut être ? Vous
devriez avoir le micro prêt, ma chère.
LINDA : Est-ce que c’est un jeu de devinettes ?
ADAMUS : Un jeu de devinettes ? J’en doute. Qui est avec moi ? Prenez un moment, fermez les yeux, si vous voulez.
LINDA : Qui est avec vous ?
ADAMUS :
Prenez une profonde respiration. Qui est avec moi ? (quelqu’un dit
Kuthumi) Kuthumi ! (applaudissements) Kuthumi. Il est prêt à venir à
notre rassemblement dans quelques semaines en Allemagne. Alors il est
venu plus près, vous aurez donc un peu de tous les deux aujourd’hui.
LINDA : Hmmm, wow.
ADAMUS : Oui, un peu de curry avec un peu de poivre, comme ils disent. (rire)
Alors, chers Shaumbra, nous avons deux
éléments principaux à couvrir aujourd’hui – la suite de la discussion au
sujet de l’éveil.
L’éveil
Je vais simplifier cette chose entière
qu’est l’éveil. Nous allons la dire avec des mots simples, faciles à
comprendre pour ceux qui viennent après vous. Ils le veulent de cette
façon.
Ils veulent la version non
intellectuelle et simple de ce qu’est l’éveil, de ce que vous traversez
sur le chemin et comment cela se passe ?
Nous écrivons un livre ensemble. Chacun
de vous a eu des expériences très profondes et personnelles (des
expériences très belles, traumatisantes, qui changent la vie, qui font
trembler la terre, révoltantes et incroyables).
Quand nous nous réunissons comme ceci -
Kuthumi, moi-même et vous tous – lorsque nous nous réunissons ensemble,
nous amenons cette sagesse, et nous ne le faisons pas de façon
ennuyeuse. Non. Les photos de ce moment avec le chapeau, l’écharpe, et
tout, devraient être sur la première page : « Vous vous éveillez - ou
devenez-vous fous ? » (rire)
Mais vraiment, Shaumbra, vraiment, les
autres humains ont besoin de l’entendre de cette façon, ou veulent ils
passer par des années et des années d’études, de méthodes et d’ennui ?
Peut-être un petit rire ; peut-être,
juste peut-être, ce que vous avez appris, ce qui vous avez expérimenté
tout au long du chemin pourrait être une immense aide pour les autres.
Est-ce que cela rendrait tout ce que
vous avez traversé presque utile ? Plus proche ? Un tout petit peu ?
Oui. La réponse est oui. C’est pourquoi vous êtes ici.
Kuthumi me rejoint aujourd’hui. Nous
allons parler de deux choses : la suite de notre discussion sur l’éveil,
et ensuite nous irons dans quelques potentiels - et je suis excité au
sujet de cette partie.
C’est très réel et vous pourrez en voir
les effets autour de vous dans le monde au cours des prochaines
semaines, des prochains mois.
Mais pour commencer, je vous demanderais
de vous retourner s’il vous plait un instant. (Adamus se tient
maintenant au fond de la salle). Merci. Merci.
Maintenant, la raison pour laquelle je
vous ai demandé de faire ceci est très simple. Vous êtes déjà éveillés,
ou ascensionnés, qu’importe la façon dont vous voulez l’appeler. Vous
êtes déjà illuminés. Vous êtes déjà de l’autre côté du point « X ». Vous
l’avez fait. Vous l’avez accompli. Et maintenant vous regardez en
arrière pour voir de quelle façon vous l’avez expérimenté.
Regardez, quand je suis ici, vous
regardez devant. C’est comme si, « Il y a quelque chose là-bas. Il y a
quelque chose que nous devons encore faire. Nous avons des objectifs.
Nous devons apprendre quelque chose. Nous devons cesser de nous
battre. »
En fait, en réalité, vous regardez
derrière vous. Comment l’avez-vous expérimenté ? Comment voulez-vous
l’expérimenter ? Je pense que c’est une si belle chose, et Kuthumi en a
parlé il y a plusieurs années ici même. C’est déjà fait. C’est naturel…
(Adamus marche de nouveau vers l’avant) je vous demanderais de continuer
à regarder en arrière. Je marche dans cette direction. C’est une
blague. (rire)
C’est un processus naturel qui se
déroule malgré vous. Parfois il se déroule même avec vous. Le doute, la
résistance, toutes les étranges méthodes et thérapies et tout le reste,
et plus que toute autre chose, chers Shaumbra, nous reviendrons sur cela
plus tard, mais malgré toutes vos consultations et vos traitements,
vous vous êtes éveillés. Vous êtes déjà là. Vous êtes déjà là.
Prenez une profonde respiration. Il n’y a
pas à s’inquiéter sauf faire un choix, aller dans les potentiels de
comment vous êtes arrivés là. Et vous savez que c’est vraiment tout à
fait simple.
Vous pouvez l’avoir. Vous pouvez
attraper comment vous y êtes arrivés. Vous pouvez ne pas le sentir de
cette manière en ce moment. Vous pouvez sentir que cette conscience de
masse, les forces obscures, le monde en général conspire contre vous.
Mais non, non, non, non, non, non. Vous
conspirez contre vous-même. C’est tout, et c’est correct. C’est en fait
beaucoup d’amusement. J’ai conspiré contre moi pendant cent mille ans.
Aimeriez-vous entendre l’histoire ? (rire) Personne ? (Parole de Linda
« non ") Une fois ? Deux fois ? Ok.
Donc vous conspirez contre vous-même
vraiment. Alors je veux que vous vous détendiez. Nous sommes en train
d’écrire, de créer un document vivant, un document dynamique, rempli de
potentiels, rempli d’énergie au sujet de l’éveil.
Donc la première question est, et chère Linda soyez rapide dans le dessin ici ? Nous avons un temps limité, vous savez.
LINDA : Oh oui.
Qu’est ce que l’éveil ?
ADAMUS : Qu’est ce que l’éveil ? Qu’est ce que l’éveil ? Personne - Linda vous désignera.
JOSHUA : C’est…
ADAMUS :
(interruption) Je suis désolé, Joshua. s’il vous plait, et avant que
vous commenciez, baissez un peu le micro. Non, vers le bas. Mike,
arrêtez son micro. Faisons-le ensemble. Je suis ce que je suis. Nous
l’avons fait avant. Je suis ce que… (l’assistance s’associe mais Adamus
la stoppe et roule ses yeux ; rires)
ADAMUS : Joshua et moi, je compte jusqu’à deux. Un, deux…
JOSHUA ET ADAMUS : Je suis ce que je suis.
ADAMUS : Ok. Tout seul par vous-même maintenant.
JOSHUA : Je suis que je suis.
ADAMUS :
Hmmm. Hmmm. Public ? (public non satisfait non plus) Essayons-le encore.
Prenez une profonde respiration - je sais que vous avez envie de
m’étrangler en ce moment - prenez une profonde respiration et laissez le
sortir comme vous voulez le dire.
JOSHUA : Je suis ce que je suis.
ADAMUS :
C’est un peu mieux. C’est un peu mieux. Désolé que ça tombe sur vous
ici, mais ceci est valable pour chacun de vous. Chacun de vous… cette
voix, cette… je l’expliquerai plus tard. Vous comprendrez et alors vous
le ferez, « oh ! je voulais le crier. » Alors allez y et criez le.
JOSHUA : (beaucoup plus fort) Je suis ce que je suis !
ADAMUS :
Vous y êtes ! (encouragements et applaudissements de l’assistance)
Merci. Cela peut être fait. Ça peut l’être. Alors, oui, qu’est ce que
l’éveil ?
JOSHUA : L’éveil c’est…
LINDA : Avec le micro, s’il vous plait.
JOSHUA :
L’éveil c’est être à cet endroit que vous avez mentionné, être conscient
que vous regardez en arrière et que vous avez cette perspective.
ADAMUS :
Bien. « Regarder en arrière, » excellent. (Adamus l’écrit) « sur soi
même, » excellent. Cela mérite une récompense, en fait. Et deux, une
pour…
LINDA : Deux ? !
ADAMUS : Une pour le toning ou le Je Suis, et une pour…
LINDA : Un moment. Pouvez-vous vider vos poches en premier ? (rire). Merci. L’autre.
ADAMUS : Rien là dedans. Bien, excellent. Cela en mérite deux.
LINDA : Il a eu ses deux récompenses. Merci.
ADAMUS : Suivant, qu’est ce que l’éveil ? Nous parlons de cette chose, mais qu’est-ce que c’est ? Un prix de loterie ?
PATTI : L’éveil…
ADAMUS : Vous devez vous lever et…
LINDA : Parlez directement dans le micro, s’il vous plait.
ADAMUS : Oui.
PATTI : Ce sont tous mes aspects, toute ma divinité qui reviennent à la maison et puis qui sortent en même temps.
ADAMUS : Ils sortent ?
PATTI : Ils s’expansent.
ADAMUS : Ah, bien, bien. Je pensais qu’ils étaient venus à la maison et qu’ils ont dit, « ça c’est l’enfer ! » (rires)
PATTI : Non, non, désolée. Ils s’expansent.
ADAMUS : « Nous partons ! Nettoyez la maison ! Nous reviendrons plus tard. » Excellent. Ainsi c’est l’intégration.
PATTI : Oui.
ADAMUS : Oui, une récompense s’il vous plait. J’espère que vous avez apporté des centaines, des milliers de récompenses aujourd’hui.
LINDA : Ouais, vrai.
ADAMUS :
Bien. Encore quelques uns. Qu’est ce l’éveil ? L’éveil c’est quand vous
êtes à moitié endormi et que quelqu’un vous met un micro devant la
figure ! (rire) oh !
LINDA : Personne ne dort aujourd’hui.
JEFF : Conscience.
ADAMUS : Conscience. Ok. Oui, mais…
JEFF : Devenir conscient.
ADAMUS : … donnez-moi un mot qui va avec la conscience. Conscience « de hmm de Hmm ». Conscience de « Hmm ».
JEFF : Ouverture de conscience.
ADAMUS : Ouverture de conscience.
JEFF : Un commencement.
ADAMUS : Expansé…
JEFF : Expansé, oui.
ADAMUS : Expansé, et pourrais-je vous tirer les vers du nez ?
JEFF : Oui.
ADAMUS : Sagesse.
JEFF : Sagesse.
ADAMUS :
Sagesse. Excellent. Sagesse. Maintenant, vous allez regarder vos chemins
et un des plus grands défis, un des plus grands problèmes est la
sagesse/conscience limitée.
La conscience est seulement dans ce qui a
lieu en ce jour ou pendant cette semaine ou dans votre vie immédiate,
mais il n’y a presque aucune conscience de ce que vous appelleriez le
soi supérieur, l’esprit ; aucune conscience de toutes les entités qui
flottent autour en ce moment ; et vraiment aucune conscience de votre
divin - quelques mauvais concepts intellectuels qui vous ont vraiment
perturbé au sujet de ce qu’est le divin, mais vraiment aucune
conscience.
Je pense que c’était Tobias qui a dit que le divin est votre simplicité. Mais les humains en font leur complexité.
Le divin est si simple si beau et si
pur, mais il y a eu cet effort, peut-être même un effort commercial ou
un effort religieux, de rendre le divin très complexe, vraiment loin
d’ici et quelque chose dont vous avez besoin est un intermédiaire ou des
praticiens ou des facilitateurs pour le retrouver. Alors, oui, l’éveil -
et une fois encore qu’est ce que l’éveil ? Que se passe t-il quand vous
vous éveillez ?
DEB : Vous ressentez.
ADAMUS :
Ressenti. Le ressenti c’est bien. Encore que j’appellerais ça
conscience, parce que plus vous vous éveillez, plus vous avez la
sensibilité, les ressentis, la conscience sensorielle de tout, de tout.
Ça c’est une bonne réponse. Et si nous
ne donnons pas de récompense à tout le monde aujourd’hui, il n’y a pas
de mauvaises réponses. Peut-être un peu.
LINDA : Ce n’est pas ce que vous me dites.
ADAMUS : Peut-être un peu. Encore une vraiment bonne. Qu’est ce que l’éveil ?
UNE FEMME : Avoir confiance que tout est parfait.
ADAMUS : `C’est correct. Super. Parfait.’ Absolument. Comment pourrions-nous écrire cela pour notre livre, pour nos lecteurs ?
LINDA : Confiance en soi même.
ADAMUS :
Confiance… Je vais l’appeler juste `ordre parfait.’ Tout est dans la
perfection. C’est comme ça que j’aime clore nos réunions avec, « tout
est bien dans toute la création, y compris vous. »
Le concept entier que les choses sont
vraiment … fermées (rire) est un tel mensonge. Un tel mensonge, et tout
le monde y croit. Alors si je peux, je vais l’appeler c’est parfait.
C’est parfait. C’est parfait même si vous ne choisissez pas que ça
l’est, vous voyez. Merci. Donc perfection. (Adamus écrit). Perfection.
C’est un groupe vif.
Maintenant, il y a beaucoup de gens des
plus inexpérimentés dans l’éveil - les gens qui viennent juste d’y
rentrer - qui croient que l’éveil soudainement vous fait devenir un
surhomme et que tous vos problèmes s’en vont, que vous devenez
psychique, que vous pouvez lire l’avenir des gens et des choses de ce
style. Mais comme vous le savez, cela ne fonctionne pas de cette façon
et vraiment ne fonctionne pas très bien.
Alors, oui, l’éveil. Prochaine question. (à Linda). Ça pourrait être aussi bien de rester dans l’assistance.
LINDA : Je ne vais pas ailleurs.
Qu’est ce qui a provoqué votre éveil ?
ADAMUS :
Question suivante. (Adamus dessine). Nous avons parlé de cette zone
« X » lors de nos dernières discussions. Maintenant, je fais un zoom sur
ce magnifique
Pourriez-vous déplacer ce haut-parleur ? Il cause un peu de perturbation. Cela en prendra deux ou trois.
Vous aviez cette danse des ondes - le
divin et l’humain. À un certain point elles viennent ensemble, c’est ce
qui se produit en ce moment. Nous zoomons sur le processus.
Vous voyez dans le passé il y a toujours
eu le flux et le reflux comme ceci, mais jamais ensemble. Maintenant
elles viennent ensemble et vous êtes à cet endroit bien ici (le « X » où
se croisent les ondes).
Je vais simplifier ceci, et peut-être
cela est défendable pour certains, discutable pour d’autres, mais je
vais simplifier le processus. La première étape est ce que j’appelle le
Fruit de la Rose. Étape une, Fruit de la Rose. Appelons la également le
point de départ. Le point de départ.
De votre propre expérience, qu’est ce qui a initié votre processus ? Qu’est ce qui a provoqué votre éveil ? (Toussotement)
LINDA : Oh prêt, prêt, prêt.
ADAMUS : S’il vous plait !
LINDA : J’étais tellement prise dedans. Ok. Qu’est ce qui a provoqué…
ADAMUS : Qu’est ce qui a provoqué votre éveil ?
KATHLEEN : La curiosité.
ADAMUS : La curiosité.
LINDA : Vous devriez mettre le micro en marche.
ADAMUS : Curiosité. Quelle curiosité ?
KATHLEEN : La mienne.
ADAMUS : Quand cela s’est il passé ?
KATHLEEN : Quand j’étais au Fruit de la Rose.
ADAMUS :
Vous vous êtes réveillée un matin et vous avez dit tout à coup, « Hmmm,
je suis vraiment curieuse à ce sujet. En fait, ce n’est pas drôle ; cela
se produit. Quand cette curiosité vous a-t-elle soudainement frappée ?
KATHLEEN : Quand j’avais les genoux aussi hauts qu’une sauterelle.
ADAMUS : Les genoux aussi hauts qu’une sauterelle.’ C’est un étrange terme humain, en effet.
KATHLEEN : Je suis rentrée à l’intérieur.
ADAMUS :
Donc, curiosité. C’est bien. (il écrit). Curiosité. Et comment va votre
curiosité maintenant ? A-t-elle été satisfaite ou s’est-elle
développée ?
KATHLEEN : Elle s’est probablement développée.
ADAMUS : Vrai. Donc votre curiosité n’a pas été satisfaite.
KATHLEEN : Probablement une partie d’elle.
ADAMUS :
Partie d’elle. Est-ce que votre curiosité est plus grande qu’avant ?
Plus petite qu’avant ? Vous êtes vous réveillée un jour et dit, « je
n’ai désormais aucune curiosité. Je suis absolument éveillée. »
KATHLEEN : Non.
ADAMUS :
Non, bien. Donc - et encore une fois, ce n’est pas pour désigner
quiconque, mais vous êtes ici, alors pourquoi pas - ainsi c’est toujours
le chien qui court après sa queue à un certain degré.
KATHLEEN : Vrai.
ADAMUS :
La curiosité est une chose très curieuse. Elle vous garde dans le
mouvement. Elle vous maintient dans le jeu. Elle vous maintient dans le
jeu, l’amusement et toujours dans l’étonnement. Mais oui, curiosité.
Votre éveil. Merci. Oui.
KATHLEEN : Je vous en prie.
ADAMUS : S’il vous plait. Vous pouvez lui donner une partie de l’argent de Cauldre aussi. (rire)
LINDA : Non ! Vous êtes bienvenu.
ADAMUS :
Qu’est ce qu’il s’est passé qui a déclenché votre éveil ? Il y a des
milliards d’êtres qui vont lire ceci. Alors, oui, c’est important.
JOYCE : Oh. Je suppose que c’ est…
ADAMUS :
D’ailleurs, si je pouvais m’interrompre une minute, ce que j’ai fait.
Réalisez-vous vraiment ce que nous sommes en train de faire ici ? Si
vous êtes conscients, vous le réaliserez.
SHAUMBRA : Nous écrivons un livre.
ADAMUS : Nous écrivons un livre, mais que faisons-nous en ce moment, simultanément ?
SHAUMBRA : Nous transformons de l’énergie.
ADAMUS :
Bien, nous transformons l’énergie, oui. Nous faisons la classe dans la
nouvelle terre ! Et il y a toutes sortes d’êtres qui sont assis ici et
qui sont stupéfiés de tout ce processus. Alors vous devez le garder
simple. Ils ne sont pas très sophistiqués quand ils viennent vivre sur
terre. Ils ne l’ont jamais fait.
C’est de la théorie. C’est de la
pratique, mais ils écoutent dans cette salle de classe étonnante. Et ils
se demandent, tout d’abord, s’ils doivent passer par l’éveil – ce
qu’ils feront. Ils se demandent comment d’autres l’ont fait. Ils se
demandent ce qu’il s’est produit. Est-ce que quelqu’un est venu vous
voir un jour et a dit, « Aimeriez-vous acheter un peu de conscience ? »
Ou marchiez-vous dans la rue un jour quand un piano vous est tombé sur
la tête du haut d’un immeuble, et avez-vous dit, « oh ! Je pense qu’il
est temps de s’éveiller. » Que s’est il passé ? Suivant. Oui.
JOYCE : J’ai supposé que…
ADAMUS :
Pourriez-vous vous lever ? Tous ces jeunes, les anges qui ne sont jamais
venus sur terre veulent vraiment vous voir. Ils vous regardent comme
des vedettes. « À quoi ressemblent les humains ? Hmm, oh, hmmm, oh. »
Ok, oui. Donc…
JOYCE : Je suppose que c’étaient tous les drames et traumatismes dans la vie qui m’ont rendue si…
ADAMUS : Drames et traumatismes.
JOYCE : … confuse et me donnant envie de mettre de l’ordre.
ADAMUS :
Le drame. Et au fond vous devenez fatigués de tout ce drame (rire)…
c’était Kuthumi. J’écrirai les mots de Kuthumi. Vous êtes fatigués de
tous ces drames et
ESTELLA : Apprendre… uhmm non, ce n’est pas ce que je veux dire.
ADAMUS : Profonde respiration. C’est facile.
ESTELLA : Je voulais me trouver.
ADAMUS :
Vous vouliez vous trouver. C’est bien. C’est bien. Oui. Parfois le mot
est un peu sur-utilisé, mais tant de vos vies se sont senties perdues -
perdues sur une île par vous-même, « où est le reste de moi ? » Oui,
absolument. Bien. Un peu plus. Qu’est ce qui a provoqué votre éveil ?
CAROLINE : Je n’ai pas su que j’étais en train de m’éveiller.
ADAMUS : Oui.
CAROLINE : Je n’ai même pas su que j’avais besoin d’être éveillée.
ADAMUS : Vrai.
CAROLINE : Et Vince m’a donné un livre à lire.
ADAMUS : Ah !
CAROLINE : Et c’était le livre de Shirley MacLaine « Le voyage intérieur »
ADAMUS : Oui.
CAROLINE : Et mon entière croyance la plus profonde a changé, et j’ai réalisé que j’étais libre…
ADAMUS : Oui.
CAROLINE :
… de croire à tout ce que je voulais croire et j’ai réalisé que tout ce
que j’avais cru dans le passé pouvait ne pas être ainsi.
ADAMUS : Alors maintenant vous êtes redevable à Vince. (rires). Oui.
CAROLINE : Et cela a été la chose la plus libératrice que j’ai jamais eue dans ma vie.
ADAMUS : Excellent.
CAROLINE : Cela fait presque 30 ans et la vie a été super.
ADAMUS :
Bien. Bien. Et je vais écrire « livre » ici, parce que tandis que nous
avons quelques beaux concepts ici… oui, vous pouvez revenir pour une
récompense.
LINDA : Vince a-t-il une récompense aussi ? (Adamus secoue la tête « non »"). Oh, désolé. Désolé.
CAROLINE : Je partagerai avec lui.
ADAMUS : Non. Ouais, vous devez partager la broche. Oui. Et vous pouvez probablement en acheter à Linda pour quelques dollars, mais…
LINDA : N’y pensez même pas.
ADAMUS : Oui.
CAROL : Quand j’avais 12 ans, j’étais à l’église, je méditais et je parlais dans des langues inconnues.
ADAMUS : Vous parliez dans des langues inconnues.
CAROL : Langues inconnues.
ADAMUS :
Et qu’avez-vous dit ? (elle hausse les épaules « je ne sais pas ").
Exactement. L’ancien « je ne sais pas ce que diable j’ai dit. »
CAROL : Je sais que j’ai dit Bouddha et Jésus et Mahomet…
ADAMUS : Oui.
CAROL : … mais je ne sais pas ce qu’était toute l’affaire.
ADAMUS : Et avez-vous parlé dans des langues inconnues depuis ?
CAROL : Non.
ADAMUS : Le voudriez-vous maintenant ?
CAROL : Ouais.
ADAMUS : Ok. Dites, « je suis ce que je suis » avec votre langue dehors. (beaucoup de rires)
LINDA : Je pense qu’il est sérieux. Je pense qu’il était sérieux !
CAROL : (avec sa langue dehors). Je suis ce que je suis. (plus de rires)
ADAMUS :
Kuthumi pousse mes limites. Faisons le tous ensemble. Sortez votre
langue et dites « je suis ce que je suis. » (Adamus et l’assistance le
font). Bizarre, mais vrai.
LINDA : Vous les mecs feriez n’importe quoi !
ADAMUS : Appelons ceci une expérience de transe ? Ok. Bien. Linda, ça suffit pour le moment
LINDA : Oh, vous avez fini ? Ok.
ADAMUS :
Qu’est-ce qui provoque l’éveil ? Ceux qui vont lire notre travail
ensemble, vont vraiment rechercher les choses comme le livre qui tombe
de l’étagère. Maintenant, il y avait plein d’autres choses qui ont fait
que Vince vous a donné le livre.
Vous étiez prête pour cela, mais ils
vont se rapporter au livre qui tombe de l’étagère, le film qui les
incite soudainement à considérer la vie d’une manière totalement
différente ; un rêve vraiment mauvais, un rêve terrifiant accablant qui
les amène à un niveau où ils n’ont jamais été avant ; un conjoint, un
être aimé en train de mourir ; la première fois qu’ils ont vraiment
contemplé la mort.
Ils savaient que la mort existait, mais
ils ne l’avaient jamais vraiment contemplée. Cela va être quelque chose
comme un accident de voiture. Un accident de voiture qui les met dans
une sorte de traumatisme ou même d’un coma, mais les secoue hors de leur
zone de confort.
Cela pourrait simplement vous réveiller
un jour et réaliser que vous êtes seul. Ou pourrait être une conscience
soudaine de votre curiosité irrépressible. Ces choses ont été brassées
pendant des vies – des vies - et vous vous êtes finalement connectés à
elles.
Ce qui a changé le modèle - vous étiez
comme ceci (les ondes) depuis le commencement - ce qui a causé le
changement maintenant, pour la convergence de toutes les ondes, du divin
et de l’humain et de tout le reste, est dû à beaucoup de choses.
C’est, par exemple, en prenant vos
exemples : avoir été là, avoir fait ça. De combien de vies avez-vous
besoin ? La plupart d’entre vous ont eu approximativement 1 400 vies. Un
couple ici en a eu plus de 2 000. De combien de vies avez-vous besoin ?
Ce n’est pas une condamnation du tout, il est parfois simplement
intéressant d’essayer différents aspects, de prendre différentes
identités, de jouer sur terre.
Une des choses commune avec ce que vous
appelez les maîtres ascensionnés, ceux qui viennent vraiment de leur
propre chef, est qu’il arrive un moment dans leur processus où ils
savent qu’ils l’ont fait. Plus de terre, plus de vies, plus de
connexions avec les humains comme ils l’ont connu. Plus de repas autour
de la table. Plus de promenades dans les bois. Plus de hmm de hmm de hmm
de `,’ vous savez, avec une autre personne. (rires à cause de la façon
dont Adamus fait allusion au sexe)
LINDA : Pardon ?
ADAMUS :
Uh, c’était Kuthumi ! (plus de rires). Plus de réunions comme ça. Arrive
un moment que chaque maître ascensionné traverse, le moment où il y a
un vrai désir de revenir, pour rester quelques vies de plus. L’avez-vous
ressenti quand vous avez contemplé l’ascension ?
Oui, ça a l’air si bon de partir de ce
vaisseau spatial la terre, mais quand la réalité frappe – c’est pour
certains votre dernière vie – il y a quelque chose au sujet de la terre
de tellement beau, quelque chose au sujet de la vie.
Pouvez-vous imaginer vivre sachant que
tout va se terminer - que tout s’est révélé ? Sachant que vous pouvez
vraiment créer tout ce que vous voulez pour vous-même. Pouvez-vous vous
imaginer ne pas vous inquiéter pour votre santé ? Ne pas vous inquiéter
au sujet de la mort, rien de tout cela ? Cette planète est stupéfiante.
Il y a beaucoup d’autres formes de vie hors d’ici, beaucoup d’autres,
mais aucune comme la forme de vie humaine. Aucune qui ne permette le
passage vers l’ascension.
Aucune. Aucune autre forme de vie qui
soit plus intelligente ou, devrais-je dire sage. Oh, il y a quelques
formes de vie intelligentes en dehors, mais pas très sage. Elles ont
encore à apprendre cela.
Kuthumi me parlait avant notre
rassemblement. Il disait, « Ne serait-il pas étonnant de faire un film
au sujet d’une société très avancée intellectuellement mais qui n’a
vraiment aucune sagesse, qui a jamais vraiment appris au sujet de l’âme.
Cela ne serait-il pas étonnant ? »
Donc, chers Shaumbra, où étions nous ?
Dans cet éveil, il y a beaucoup de choses qui se produisent avant ce
point - que j’ai écrit sur le tableau – le Fruit de la Rose. D’ailleurs,
le fruit de Rose est un terme.
Tobias l’a inventé, et c’était le rappel
dans votre réalité, un rappel quelque part dans votre conscience que
vous pouviez rentrer à la maison quand vous le vouliez. Vous prétendez
qu’il n’est pas là, vous batifolez vie après vie, l’ignorant même quand
vous trébuchez dessus. Puis un jour vous réalisez que la clef pour
revenir à la maison a toujours été là. Elle a toujours été là. C’est là
où les gens commencent.
Maintenant, rappelez vous le moment où
vous avez touché ce point - vous avez eu le livre, vous vous êtes
éveillés avec la curiosité, quelqu’un vous avait amené à un cours qui
vous a ouvert ; avant cela il y avait des choses comme peut-être la
frustration dans la vie humaine, peut-être le désir profond d’être de
retour avec vous-même, avec chaque partie de vous-même.
Ce désir ardent profond comme – souvent
incompris - ce terme « l’amour perdu » ou « compagnon d’âme, » comme cet
autre être là bas dans les autres royaumes vous attendant, la plus
grande histoire d’amour jamais racontée. C’est en fait très vrai, mais
ce n’est pas un autre être. C’est juste vous-même. C’est juste vous.
Tôt ou tard… je fais attention à mon
temps ici. Tôt ou tard tout le monde va passer par là. Ça pourrait être
beaucoup plus tard pour certains. Il vous est juste arrivé d’être les
premiers.
Oui, il y a quelques maîtres
ascensionnés qui sont venus avant vous, mais pas beaucoup. Vous êtes en
fait, ce que je considérerais, vraiment, le premier groupe à passer par
ceci. Il y a beaucoup d’individus à présent, mais vous êtes le premier
groupe.
Alors, si vous vous rappelez vos
expériences à ce point, pour la plupart d’entre vous, stimulant ;
réjouissant ; qui vous faisiez tout reconsidérer ; vous rendez avec
anticipation remplis de joie. Vous vous sentiez - pour bon nombre
d’entre vous – comme si vous dansiez dans la rue. Vous vous sentiez
comme si vous étiez à vélo et que vous rouliez dans la rue pour frapper à
toutes les portes. C’était drôle.
LINDA : Ha, ha, ha, ha.
ADAMUS :
Les convertissant. C’est comme si vous parliez à tout le monde au sujet
de cette nouvelle sagesse incroyable, cette joie que vous aviez trouvée.
« Je rentre à la maison ! » Vous vous souvenez ?
Ainsi c’est le point d’éveil. Il est
brillant, absolument brillant. Il mène à une énorme quantité d’études
tout de suite - tout ce que vous pouvez avoir entre les mains, tout ce
qui est spirituel - et vous lisez de la philosophie, vous lisez ce qui
se rapporte aux religions, vous lisez chaque livre new age, chaque
entité canalisée.
Il y a des gens sur le Web en ce moment
qui sont dans cette démarche - ils sont sur Internet - et ils lisent
tout. Ils sont obsédés. Ils n’en ont pas assez. Ils n’en ont pas assez.
Je suis sûr que certains d’entre vous sont passés par là.
Et puis vous devenez spirituel. Vous
mettez votre insigne spirituel. Vous dites maintenant que vous êtes un
être spirituel, sans vraiment savoir ce que l’enfer signifie, mais c’est
sûr ça a l’air d’être bien. Cela vous donne une sorte de médaille
d’honneur, et vous donne quelque chose à rapporter et cela vous
rappelle, oui, que vous êtes en chemin. Cette phase dure quelques mois
peut-être, quelques années probablement.
L’éveil, phase II
Et puis une chose vraiment intéressante
se produit. Vous entrez dans la phase 2. (Adamus écrit) « aïe. » C’est
comme ça que je vais lui appeler, « aïe. » Aïe ! « Ce qui… » (Adamus
écrit « WTF ") l’autre, « WTF = C’est pour quoi faire ? » (rire) ou,
comme j’aime l’appeler,… (Adamus écrit) Cauldre ne peut pas l’épeler
aujourd’hui. « Destructuration. » Destructuration. Aïe, aïe, aïe.
Vous avez tous été là, vous avez tous
fait cela, et vous sentez encore les effets secondaires de ça. Vous êtes
prêts à rentrer à la maison, qu’importe ce que cela veut dire. Vous
devenez maintenant une personne spirituelle sage. Vous commencez même à
parler différemment aux autres personnes avec une sorte d’arrogance,
désagréable, avec un son du type OM, et quelque chose se produit. Votre
vie tombe en pièces. Vous vous déstructurez.
Je ne veux pas dire que c’est dommage,
peut-être que c’est un peu nécessaire, mais ça ne doit pas être si
douloureux. Ça ne doit pas être si épuisant. Ça ne doit pas ressembler à
la mort.
Cela se produit, parce que c’est la zone
« aïe », tout que vous avez pensé que vous étiez, toutes les croyances
que vous avez jamais eues commencent à tomber en pièces. Cela se
transmute vraiment ; et tout à l’air de tomber en ruine. Ça s’écroule
comme un vieil immeuble lors d’un tremblement de terre. Et l’aspect
humain vient en criant, « qu’est ce qu’il se passe avec mon éveil ! ? »
Maintenant, vous avez une contradiction
énorme. Vous êtes une personne spirituelle dont la vie est en train de
décliner. Vous avez dit aux autres personnes combien vous alliez devenir
super, et maintenant vous ne devenez rien. (rire). Ils rient, « ha, ha,
ha, » dans votre dos, de temps à autre devant vous. Vous perdez votre
travail, vos conjoints, votre santé, votre mental ; tout tombe en
pièces. Vous vous déstructurez.
Célébrez ! (quelqu’un dans l’assistance
dit, « Youpi ! ") (Adamus rit) Il se produit une variété de choses. Vous
êtes maintenant dans la partie expérimentale de l’éveil. Toutes les
vieilles valeurs religieuses commencent à se modifier et à changer ainsi
que tous les systèmes de croyance.
Tant d’entre vous ont un aspect qui est
né et qui a grandi - cet aspect qui allait réussir dans cette vie, qui
allait avoir un bon travail, une bonne famille, il y aurait des
personnes fières de vous et des enfants dont vous seriez fiers - et il
n’est pas nécessaire que cela se produise de cette façon. Cet aspect,
d’ailleurs, persiste toujours.
Il est toujours là, disant « Hmm,
n’aurais tu pas dû avoir fait ces autres choses, tu es parti sur ce
chemin spirituel fou et regarde maintenant ma vie. » Regardez, cet
aspect ne s’inquiète pas de votre vie ; cet aspect veut sa réalisation.
Il veut le – qu’importe comment vous l’appelez - « Laissez cela aux
Beaver, » (feuilleton télévisé des années 50 au sujet d’une famille
idéale).Une sorte de vie façon livre de contes. La vie imaginaire. Et
certains l’ont réellement, mais c’est juste un aspect qui joue.
Donc soudain tout tombe en pièces et
vous commencez en fait à devenir fous. Vous devenez mentalement,
physiquement, financièrement et surtout spirituellement déséquilibrés.
Plus rien ne fait sens.
Les aspects - ooh, c’est la fête pour
les aspects. (rires). Ils vont revenir. Certains d’entre eux ont été
hors de votre portée depuis longtemps, des vies et des vies. Ils n’ont
pas reçus de mails. Ils ne sont pas venus pour le dîner.
Ils étaient loin, parce qu’ils étaient
malades et fatigués de vous. Alors ils sont allés quelque part ailleurs,
et soudain ils ont cette envie de venir à la maison. Ils entendent le
même appel que vous avez entendu. Ils sentent que quelque chose remue,
alors ils reviennent à la maison. Ils n’y sont pas nécessairement de
façon permanente, ils reviennent pour voir si c’est l’heure de vraiment
prendre la relève, ils viennent voir le show, il y en a qui sont
curieux. « Peut-être que nous allons vraiment rentrer à la maison. »
Puis ils rient, « Sans façon. Sans façon. »
Mais les aspects reviennent. Ils
reviennent, comme Aandrah et On vous le diraient, vague après vague
après vague. Maintenant je sais qu’il y a peut-être une compréhension
glorifiée des aspects qui reviennent, que vous n’avez qu’à prendre une
profonde respiration et ils reviennent tous à la maison. Certains
d’entre eux le font.
Certains d’entre eux le font. Ils sont
heureux d’être de retour. Mais vous en contrariez d’autres. Certains ont
tellement d’irrespect pour vous. Certains pensent que vous êtes fou. Et
certains - ce sont des aspects - veulent le pouvoir et le contrôle. Ils
ne savent pas pourquoi, mais ils veulent le pouvoir et le contrôle.
C’est donc un temps vraiment difficile.
Je suis surpris que vous l’ayez fait. Oh ouais, vous aussi ! (rire). Je
suis très surpris que vous l’ayez fait. C’est un temps fragile, mais
extrêmement important à traverser.
La zone« Aïe »
Pourriez-vous imaginer un instant, vous
regardez maintenant derrière vous à partir de cette perspective, vous
regardez en arrière et vous dites, « vous savez, ce n’était que la
destructuration. C’est la transmutation. C’était la libération des
vieilles énergies bloquées pour nous permettre d’évoluer, de tous
ascensionner ou s’éveiller, quelque soit la façon dont vous voulez
l’appeler.
Que feriez-vous de différent ? En
sachant que tout est déjà terminé ? micro dans l’assistance. Que
feriez-vous de différent ? Quel conseil donneriez-vous à ceux qui vont
aller dans la prochaine vague après vous ? D’ailleurs ils attendent.
Gail ?
GAIL : Je ne ferais pas de chose différente.
ADAMUS : Vous ne feriez rien de différent.
GAIL : Non. Je suis heureuse j’ai expérimenté toutes les choses simples, de l’agonie à l’extase.
ADAMUS : Qui a dessiné sur mon tableau ? ! (rires parce qu’Adamus découvre quelques pages utilisées de son bloc-notes)
GAIL : Mon aspect. L’artiste !
ADAMUS : Alors vous ne feriez rien de différent ?
GAIL : Non. Vous voulez que je sois honnête avec vous ?
ADAMUS : Auriez vous… n’avez-vous pas été honnête avec moi ?
GAIL : Deux ou trois fois.
ADAMUS : Oh !
GAIL : De temps à autre.
ADAMUS : Je sais ça. Oui. Alors vous…
GAIL : J’ai toujours voulu une étreinte.
ADAMUS : (Adamus a un petit rire et lui donne une étreinte ; l’assistance dit, « Aww ")
GAIL : Merci.
ADAMUS : Merci.
GAIL : Je vous en prie.
ADAMUS : J’aime le tatouage.
GAIL : Merci ! (elle montre le tatouage sur son bras)
ADAMUS : Pour la caméra. (elle se tourne vers la caméra). Oui.
Alors que leur diriez-vous ? Rien ?
« C’est une sauterelle secrète. Vous devez le découvrir par vous-même. »
(rire Adamus le dit avec un accent idiot). C’est ce que je leur dirais.
GAIL : Vous devez suivre votre coeur.
ADAMUS : Connerie.
GAIL : Non, vous devez suivre…
ADAMUS : Connerie absolue.
GAIL : Non, ça n’a aucune importance de combien c’est déguelasse, à un moment donné…
ADAMUS : Vous allez leur dire de suivre leur coeur ! Ils n’ont aucune idée qu’ils ont un coeur.
GAIL : … vous devez suivre votre coeur.
ADAMUS : Ils ne savent pas ce qu’est le coeur. Leur coeur est si fermé… Kuthumi rit. Je suis désolé, mais… oui…
GAIL : Oh, c’est correct.
ADAMUS : Nous nous étreignons, nous nous disputons. Ok.
GAIL : Vous devez vous faire confiance. Vous devez suivre votre coeur, qu’importe ce qu’il y a devant vous en ce moment.
ADAMUS :
Et le lendemain matin ils se tirent une balle, parce qu’ils n’ont aucun
concept de ce que vous leur parlez. C’est… j’ai un petit mot pour ça.
Oh, je l’appelle makyo. Regardez le sur Internet. Makyo. (Adamus écrit).
Ok, après. Makyo. Ok, je ne l’expliquerai pas maintenant. Gardez votre
curiosité. Vous aimez la curiosité.
Donc, s’il vous plait, vous êtes
maintenant assis avec quelqu’un qui est dans cette zone de crise - leur
vie tombe en pièces, ils sont suicidaires, ils sont en colère, ils sont
dans la confusion, comme moi (Adamus tourne les pages, recherchant la
bonne). Ils n’ont aucune idée de ce qu’il se passe, ils vous regardent
et voient quelqu’un – ils ne comprennent pas - mais ils sentent quelque
chose en vous. Ils sentent une sagesse. Ils sentent un équilibre.
Ils se sentent comme s’ils voulaient
aspirer votre énergie et prendre ce que vous avez, mais vous ne les
laissez pas faire. Je sais je parle trop vite, mais oui. Alors que leur
diriez-vous ? Ils ont perdu leur travail, leur épouse s’éloigne d’eux,
ils n’ont pas d’argent à la banque et le docteur vient de leur dire
qu’ils sont diabétiques. Vous allez leur dire de suivre leur coeur ?
(Adamus baille)
GAIL : Non, je leur dirai de prendre une profonde respiration. Pour respirer.
ADAMUS : D’accord, et ils prennent une respiration profonde et puis [il baille]. (rire)
GAIL : Ouais, ils vont sauter d’en haut d’une falaise. Marcher devant un train. Ils vont pour ça.
ADAMUS : (il fredonne) Hmm, hmm, hmm, hmm. Qu’allez-vous leur dire ?
GAIL : Que ça va aller.
ADAMUS : Ah, merci. C’était ma réponse.
GAIL : ça va aller. Ouais.
ADAMUS : ça va aller. Maintenant, en fait, cela ressemble à une connerie, mais réalisez-vous…
GAIL : Je me dis cette connerie tous les jours.
ADAMUS :
Exactement ! Et c’est une réponse honnête, parce que vous savez que ça
va aller. Oh, ils pourraient avoir à revenir dix vies de plus…
GAIL : Pas tout le temps.
ADAMUS :
Non. C’est… vous êtes déjà là. Vous l’avez déjà fait. Vous êtes déjà là.
Peu importe les jeux que vous voulez faire pendant que vous y allez,
peu importe les expériences que vous voulez avoir, mais comment savez
vous que vous et moi ne sommes pas assis dans notre troisième cercle
respectif regardant par la fenêtre de notre troisième cercle et disant :
« Hey Gail, comment allez vous aujourd’hui, vous l’être ascensionné que
vous êtes ? »
GAIL :
Bien, mon Je suis ce que je suis sait que je suis là. La partie de moi
ici maintenant sait ce que je suis ici. Mais je reviens à ma propre
place et je retourne dans le monde pour le dire ainsi, et tout le reste
subit une sorte de dissolution.
ADAMUS : Oui.
GAIL : La réalité se pose.
ADAMUS : Mais j’aime ce simple « ça va aller. » Demander à Linda. Micro pour Linda.
LINDA : Ouais, ça va aller. Ça va aller.
ADAMUS :
ça va aller, et c’est une vraie réponse honnête. Ça va aller.
Maintenant, vous ne voulez pas nécessairement lire les textes de ce qui
va se produire. (rires). Cela viendra plus tard. Mais, ouais, ça va
aller. Et ils vous regarderont – ils veulent vraiment vous croire,
d’ailleurs - ils vous regarderont, « vraiment ? » Et vous direz,
« vraiment. Prenez maintenant une respiration profonde. » Ahh. Ahhhhh.
Vous savez, Shaumbra, ça va aller ! Le
seul regret je pense que vous allez tous avoir est que vous ne vous êtes
pas rendu compte que ça allait aller, que vous vous êtes battus, que ça
allait aller ; que vous ne l’avez même pas cru, alors que vous pouviez
faire ce choix de croire que tout est okay.
Le seul regret dans tout ce processus
étonnant est que vous allez dire, « zut, j’aurais souhaité l’apprécier
davantage. » (l’assistance dit, « ouais ") ouais ! ça va aller.
(applaudissements de l’assistance)
Vous savez quoi ? Juste… (Linda lui
remet une récompense et Adamus rit, l’assistance aussi) seulement si
vous me l’accrochez. (elle l’accroche sur sa chemise)
Maintenant, juste là, l’énergie a
absolument changé dans la pièce et en ligne. Imaginez ce que cela ferait
pour d’autres. L’énergie change. Oh ! toute cette tension, toute cette
inquiétude. Toute cette inquiétude pour absolument rien d’autre que
d’avoir un peu d’anxiété et de souci, mais je pense que vous êtes
fatigués de ça. (Adamus marche au fond de la salle).
Toute cette marche vers l’avant et cette
peur de l’inconnu alors que vous pourriez juste lui tourner le dos…
(Adamus toussote, et l’assistance se tourne pour lui faire face), vous
vous retournez et vous regardez votre expérience à partir de là où vous
êtes pour choisir le potentiel sur la façon dont vous y êtes arrivés.
Maintenant, ne pensez pas à ça ;
ressentez le, parce que la pensée vous fera dire, « ouais, mais bon, la
réalité de la vie, Adamus, vous savez, vous devez faire ceci et cela. Et
je ne peux pas faire ça à cause de mes enfants et de mon travail » et
bla bla bla. Maintenant vous êtes de nouveau dans l’ancien jeu.
Vraiment, je veux dire que vous pouvez
regarder en arrière à partir de votre troisième cercle et dire, « qu’est
ce que je veux expérimenter pour y arriver ? » C’est plus réel que
d’aller de l’avant de façon linéaire. Et s’il y a quelque chose que moi
et Kuthumi pourrions vraiment vous faire comprendre aujourd’hui c’est
que vous regardez derrière vous si vous le choisissez. Si vous ne le
choisissez pas, cela va toujours de l’avant dans l’inconnu profond et
toutes les autres choses et vous voulez transformer votre chemin vers
l’ascension… c’était drôle. (rires).
Vous voulez transformer votre chemin
vers l’ascension, vous pouvez. Mais si vous voulez regarder en arrière
et dire, « voici comment je choisis de le faire, » vous pouvez. Cela
demande un peu de pratique, parce que vous avez passé des éons et des
éons à le faire de l’autre façon, mais pas tant de pratique que ça.
Donc que diriez-vous d’autre à quelqu’un dans cette zone ?
LINDA : Ah, j’en ai un. Ici. (la personne n’est pas très disposée) non ? !
MAURY : Qu’est-ce que je peux dire ?
LINDA : Non ? !
ADAMUS : Que diriez-vous ?
MAURY : Ben…
ADAMUS : Je vais être Maury.
MAURY : Oh
ADAMUS :
Je passe à travers les tragédies de l’éveil. Je suis dans la zone
« aïe », et je suis Maury qui parle à Maury hautement conscient et
éveillé. More He (jeu de mot avec son prénom et more he qui veut dire :
plus de lui) ! (Adamus rit tout bas et tourne les yeux) Ohhh, Kuthumi.
C’était Kuthumi. Ce n’était pas moi.
LINDA : Mignon.
ADAMUS : C’était mignon, oui. Un peu. Il était à trois sur une échelle de dix.
Alors, vous êtes la conscience la plus élevée de Maury qui parle à Maury l’humain. Que diriez-vous, Maury ?
MAURY :
Bien, vous savez que ce que je suis guidé à faire est juste être avec
cette connexion qui continue dans le moment. Je le ressens, vous savez,
C’est ce sentiment de… (il s’arrête parce qu’Adamus secoue sa tête, puis
roule ses yeux, puis il se « tire une balle » dans la tête, puis il
« s’effondre » contre la chaise et cherche Norma ; beaucoup de rires)
ADAMUS : Norma ! Aidez-moi à respirer ! Aidez-moi à respirer, Norma !
MAURY : Ouais, respirer. Prenez une profonde respiration.
ADAMUS : Prenez une profonde respiration, ouais.
MAURY : C’est vrai. C’est ce que je dis habituellement en premier.
ADAMUS : Maintenant, je m’amuse avec vous tous, mais… (Adamus crache)
LINDA : Ooh ! Ow ! oh !
ADAMUS : Je crache sur des processus. Je crache dessus… c’était Kuthumi, désolé.
LINDA : C’était ma chaussure. Oh !
ADAMUS :
Je crache sur les processus, les structures et toute cette pensée. C’est
là où vous avez trébuché Voulez-vous faire trébucher quelqu’un
d’autre ?
MAURY : Non. Simplement respirer.
ADAMUS : Respirer. Ok. C’est un bon… prenez une profonde respiration, et alors que leur diriez-vous ?
MAURY : Restez avec ces ressentis.
ADAMUS : Probablement. Ils pourraient détester être avec ces ressentis, mais oui. Vous savez ce que je ferais ?
MAURY : Quoi ? Que feriez-vous ?
ADAMUS : Je vous demande si vous savez ce que je ferais.
MAURY : Oh. Bien, c’est pourquoi je le demande.
ADAMUS :
Vous savez ce que je ferais, une des choses que je ferais c’est juste de
leur demander de prendre une profonde respiration avec moi. Je ne vais
pas forcément dire quelque chose à ce moment ; Je vais les laisser
ressentir ma présence. C’est plus puissant que n’importe quel mot, plus
efficace que n’importe quelle thérapie, et beaucoup moins cher que les
drogues. Alors je vais juste les laisser ressentir ma présence, Maury à
Maury. (Adamus met son bras autour de Maury) Cela n’est il pas bon ?
MAURY : Bien, la compassion de la connexion est la clé de la guérison. Oui, c’est merveilleux.
ADAMUS :
Ouais, trop de mots. Respirez profondément. De Maury à Maury. (tous les
deux respirent profondément) oh ! c’est beaucoup mieux. Merci. Merci.
(quelques applaudissements)
MAURY : Merci.
ADAMUS : Un autre, rapidement.
LINDA : A-t-il gagné une récompense ? Récompense ?
ADAMUS : Oh oui, absolument.
LINDA : Ok, voilà. Vous l’avez mérité. Vous l’avez vraiment mérité.
ADAMUS : Alors quoi d’autre ? Que leur diriez-vous dans la zone « aïe », dans cette période traumatique ?
FEMME SHAUMBRA : Allez-y et sautez.
ADAMUS : Allez-y et sautez !
FEMME SHAUMBRA : Allez-y et sautez.
ADAMUS :
Pas mauvais. Allez-y et sautez. J’ai entendu Aandrah le dire à des gens
d’une manière très affectueuse et compatissante. J’aime ça !
LINDA : J’ai un démenti pour cela. Ce n’est pas un conseil médical.
ADAMUS : Non, nous parlons de sauter pour passer d’un être humain à un être éveillé.
LINDA : Attention où vous allez.
ADAMUS :
Maintenant, allons plus profondément dans l’honnêteté. Combien parmi
vous avez utilisé la victimisation de l’éveil pour avoir un peu
d’énergie ou un peu d’attention. (les mains se lèvent dans
l’assistance). Merci. Merci. Linda ?
LINDA : J’ai eu… ma main était levée ! (rire de l’assistance et d’Adamus)
ADAMUS :
« Ma vie tombe en ruine. Je ne sais pas quoi faire. » Maintenant, c’est
une vraie déclaration, mais parfois il y a une sorte de « nourrir les
affamés » je l’appelle. C’était Kuthumi – nourrir les affamés. Ouais,
vous aimez ça. Ayons des chemises. Parfois il y a ces « pauvre de moi ».
« pauvre de moi, je passe par l’éveil. »
LINDA : Je
suis désolée. Qui porterait une chemise qui dit, « nourrir les
affamés » ? (beaucoup de rires, quelques personnes lèvent leurs mains)
ADAMUS : J’ai 18 commandes ici en ligne. Qui en ligne porterait… (en regardant la caméra)
LINDA : Nourrir les affamés ?
ADAMUS :
Nourrir les affamés ? Qui le porterait… ? Voyons voir ? Douze milliards
de personnes ont répondu. (beaucoup de rires). Je ne sais pas si je vais
encore inviter Kuthumi. Le partage est difficile, et… un corps, deux
êtres ascensionnés. C’est difficile.
Alors, chers Shaumbra, tout commence à
tomber en morceaux ici (la zone « aïe »). Ça a l’air lugubre. C’est
sombre. Vous êtes à la fin. C’est vraiment le plus grand processus de
mort auquel vous faites face, y compris la mort physique.
La mort physique est une promenade dans
un parc un jour ensoleillé comparé à ceci, vraiment, parce que vous
partez juste. En général, vous y allez des jours avant que votre corps
le fasse. Vous perdez la connexion et la conscience, vous vous évaporez
de l’autre côté, votre corps meurt et tout le monde pleure - la plupart
des gens. Mais c’est plus dur.
C’est la mort du moi, le moi qui a été
construit soigneusement, impeccablement conçu, et contrôlé par un pro
pendant des vies et des vies. Il a été conçu par des parties de vous
pour être éternel, et il découvre soudain qu’il ne l’est pas.
Je ne parle pas du corps physique ; Je
parle de l’identité humaine fabriquée. Cet aspect robotique qui a été
programmé pour la perfection humaine – corps magnifique, visage
superbe ; sens impeccable de l’habillement, bien sûr, de la mode, de
l’abondance de richesse ; intelligence supérieure aux autres ; capacité
de faire des miracles simplement en bougeant les mains - et, bien sûr,
l’odeur des cookies au chocolat tout le temps.
Ce robot - c’est vraiment un groupe
d’aspects - a été soigneusement conçu comme les robots et exposé là. Et
soudain, vous, les robots et tous les aspects, découvrez que c’était une
super grande illusion. Vous n’atteindrez jamais cet état de perfection
humaine. Inaccessible. Inaccessible. Vous n’allez jamais ascensionner
avec ce statut ; cela se produit différemment. L’éveil est différent.
Cette période, cette période « aïe » de
déstructuration peut durer approximativement de 10, 15 ans pour ceux qui
sont rapides, à 3, 4, 5 vies ou plus. Pour ceux qui apprennent
lentement peut-être 20 à 30 vies. Vraiment.
Pensez à vos ordures accumulées, toutes
les croyances, désillusions, illusions, colères, blessures accumulées et
tout le reste. Pensez au temps que ça a pris pour accumuler cela. Et
pensez au temps que ça pourrait prendre pour le nettoyer.
Nous avons eu un pari de l’autre côté –
j’ai perdu - et le pari était, avec les êtres angéliques… que nous avons
quelque chose, oh, une sorte de, nous l’appelons TV humaine. C’était la
première série de télé réalité et c’était nous qui vous regardions !
(rires) « Whoa ! Stupéfiant ! Étrange, mais stupéfiant ! » C’est le
programme : « Etrange mais vrai : Pensées et actions humaines. »
Donc nous avons eu un pari à propos de
l’éveil : combien de temps cela prendrait-il (pour ce que nous
appellerions, je n’aime pas ce mot) à un humain le plus avancé –
(appelons-le, le plus désespéré) (rires) pour qu’il s’éveille ? Le
consensus général était 3, 4 peut-être 5 vies. Mes chers amis, vous
m’avez coûté beaucoup d’argent spirituel ! (beaucoup de rires et
d’applaudissements)
Vous savez qui a gagné ce pari ? Tobias.
LINDA : Nous l’avons fait.
ADAMUS : Tobias.
LINDA : Nous l’avons fait !
ADAMUS :
Et vous l’avez fait. Évidemment, vous l’avez fait. Mais c’est Tobias qui
a dit, « non » il a dit, « j’ai travaillé avec eux avant. » Tobias qui a
dit, « je les ai connus dans les temples de Tien. Je les ai aimés. J’ai
marché dans leurs chaussures malodorantes. » Et Tobias a dit, « non,
ils vont le faire dans cette vie ci, et cela ne prendra pas 90 ans. Ça
va prendre 12, 15, 20 ans. » La plupart d’entre vous a été sur cette
voie pendant plusieurs années.
Ceux qui viennent après vous, si elles
n’ont pas… oh mes chers, nous manquons de temps. Ceux qui viennent après
vous s’ils ont assez de passion pour cela, ils pourraient le faire en 5
ou 6 ans probablement. Et les années n’ont pas d’importance - autre
qu’à vous. Si c’est déjà fait, ça n’a pas d’importance. Mais oui, il y a
une partie de vous qui dit, « cela va durer encore combien de temps ? »
Dans notre livre, nous allons en parler
davantage. Nous fournirons des détails sur cette étincelle qui cause
l’éveil, et alors les gens découvriront que ce n’est pas nécessairement
une étincelle. C’est une pression qui s’est accumulée pendant longtemps.
Parfois il y en a tellement que je
l’appellerais énergie psychique comme conséquence des schémas
ondulatoires, il y a tellement d’énergie psychique accumulée que cela
force à se produire. Et un jour l’éveil… l’éveil peut être défini. Il
n’a pas vraiment pris naissance à ce moment là, mais il peut être défini
à ce point d’un livre, d’un film, d’une tragédie, cela ne peut pas
naître réellement là.
Cette zone (« aïe ") est là où nous
voudrions nous concentrer. Pour aider les personnes à comprendre par où
elles vont passer est relativement commun, et cela va être okay, si
elles peuvent aller à travers ça.
Dans cette zone de déstructuration il y a
également le ressenti de la perte de leurs esprits guides, là où elles
se sentent si seules, où rien n’a de sens désormais. Nous parlerons
davantage à ce sujet.
La zone « de mélange »
Maintenant, vous arrivez à la prochaine
étape, ce que je vais appeler le mélange « le mélange. » D’ailleurs, il
n’y a pas de barrières définies. Vous ne sautez pas d’une à l’autre,
elles coulent entre elles. Je simplifie au maximum.
Vous venez au « mélange » dans ce
processus. Maintenant les ondes viennent inévitablement ensemble.
Soudain, vous réalisez, « Mince, il n’y a aucun retour. Cela arrive. »
Vous essayez de revenir en arrière, mais vous ne pouvez pas. Vous
essayez d’oublier, mais vous ne pouvez pas oublier ce que vous savez.
Vous le testez même. Vous dites, « est que je peux vider tout ça ? »
Mais vous ne pouvez pas.
Le prochain est le mélange où, à un
niveau très profond, vous commencez réellement à ressentir, ressentir
votre divin. Vous vous sentez toujours très humain, mais soudain vous
avez des éclairs de clarté. La part probablement la plus significative
est que vous avez soudain une explosion créatrice.
Vous n’en aviez pas eu depuis un temps
infini Soudain, vous êtes attirés par des choses créatives par nature -
musique, travail d’art. Vous n’aviez jamais donné une ouverture à cela
avant. Soudain, vous voyez de la beauté dans les choses qui ont toujours
été là, mais que vous n’aviez pas remarquées.
Maintenant, vous continuez à passer par
beaucoup de chaos et de traumatismes dans la zone « aïe », la
déstructuration, mais maintenant vous avez un certain espoir. Vous voyez
l’évidence que ceci se produit vraiment. Vous commencez réellement à
vous connecter et à communiquer avec les entités non physiques. Vous
n’allez pas vous transformez en channelers, merci mon dieu, mais soudain
vous vous trouvez à parler à d’autres êtres. Et ils répondent, et alors
vous doutez de ça naturellement. Mais vous le faites encore, et il y a
un peu plus de clarté la fois suivante.
Soudain, le brouillard semble se lever,
mais le jour suivant il devient peut-être lourd. Puis soudainement vous
sentez une certaine passion profonde nouvelle, mais le jour suivant elle
semble s’être un peu fanée encore. Vous êtes dans cette drôle de zone
intermédiaire, et c’est, chers Shaumbra, là où vous êtes en ce moment.
Vous êtes toujours inquiets. Vous avez
toujours peur des détonations, comme ils disent, un peu choqués,
submergés et intimidés par ce processus que vous avez traversé. Et vous
ne saviez pas que vous l’aviez traversé. Il y a toujours l’anxiété que
vous allez revenir ou devoir revenir en arrière, ou rester là, ou que
vous avez tout inventé.
Mais, très chers, dans ce mélange, vous
commencez à ressentir votre soi, cet amour perdu. Cela devient en fait
plus intense, avec plus de désir, et la chose marrante de cette phase
ici, est que non seulement votre coeur a mal pour votre amour perdu,
mais vous pouvez ressentir qu’il a mal pour vous aussi.
C’est un ressenti au delà des mots,
indescriptible, pour savoir que vous manquez à chacune part de vous
même, qu’elles se font du souci à votre sujet, qu’elles se sentent
séparées de vous et qu’elles voudraient revenir vers vous plus encore
que vous ne le voulez vous-même. C’est une expérience étonnante et
merveilleuse. Ça peut durer un centième de seconde, mais ça n’a pas
d’importance. Ça n’a pas d’importance.
Seigneur - seigneur intérieur - je manque de temps.
Il y a ici quelque chose qui se produit.
C’est le mélange. C’est la connaissance que c’est vrai. C’est la
découverte soudaine que ce que vous avez recherché est là. Vous
ressentez que vous êtes sur le point de traverser. Vous ressentez que
vous pouvez presque y goûter, presque le respirer, quoi que ce soit.
Quelque soit la façon dont vous
l’appeler - illumination, conscience, ascension – c’est si proche, vous
savez que c’est là. Ce n’est plus un rêve lointain ; c’est là, mais ça
vous évite toujours. Mais en fait non. Ça se ressent juste comme ça.
Quelque chose se passe ici que je veux aborder, ce sera un peu long, mais je veux l’aborder. C’est très important.
Ici - c’est pour vous quand vous
enseignerez ou partagerez avec d’autres - c’est le point de l’extrême
distraction. Juste ici. Pas ici (« aïe "), mais ici (« mélange "). Vous
commencez à le goûter – et soudain, la distraction.
Quelles sont les distractions ? Et vous
devriez pouvoir répondre à ceci, parce que vous l’expérimentez. Quelles
sont les distractions ? S’il vous plait. Linda va vous désigner.
PATRICIA : Moi ?
ADAMUS : Oui. Excellent. Excellent choix.
PATRICIA : Quelles sont les distractions ? Uh…
ADAMUS :
Respirez profondément, descendez ici. Qu’est ce qui vous distrait ? Vous
commencez à ressentir le retour vers le soi ; quest ce qui vous en
écarte ?
PATRICIA : Les soucis routiniers.
ADAMUS : Merci. Oui. Soucis routiniers. Listez en quelques uns que vous avez personnellement eus.
PATRICIA : Soucis professionnels et financiers.
ADAMUS : Soyez spécifique.
PATRICIA : Que je sois spécifique. Débouchés créatifs…
ADAMUS : Pour avoir un projet fini.
PATRICIA : Pour avoir un projet fini.
ADAMUS :
Merci. Oui, merci. Pour avoir un projet fini, quelqu’il soit, parce
qu’il a des implications sur votre avenir professionnel et financier.
PATRICIA : Oui.
ADAMUS :
Donc, merveilleuse distraction. Merveilleuse Distraction. Elle vous
donne une excuse - une excuse plutôt bon marché d’ailleurs - pour ne pas
faire ce qui est vraiment dans votre coeur et ce qui est vraiment là.
Et pouvez vous imaginer vous retourner et regarder, pouvez vous imaginer
dire, « vous savez, j’ai été tellement distraite et ce n’était pas
vraiment il ce que j’ai voulu écrire. Ce n’était pas……J’ai été
contrainte et »
PATRICIA : Par qui ? par moi-même.
ADAMUS : …
méthodique. Absolument. Et, « je me suis forcée à l’écrire et ce n’est
pas ce que je voulais écrire. » Peut-être. Donc c’est une distraction.
Pourriez vous imaginer soudain la conscience du Je Suis, quelque soit la
signification, mais la conscience. C’est comme allumer les lumières.
Vous l’avez eu. Vous êtes là. Whew ! ça n’a pas d’importance. Les
projets et tout le reste étaient juste une distraction. Ainsi, merci.
PATRICIA : Merci. Vous rappelez-vous mon nom ?
ADAMUS : Laissez-moi le dire d’une autre manière.
PATRICIA : Mon surnom avec lequel vous alliez m’appeler.
ADAMUS : Je m’en souviens, mais concentrons nous sur ceci. Laissez-moi le dire une autre manière. (rire)
LINDA : Distraction.
ADAMUS :
Cela distrait. Maintenant vous avez distrait le pauvre Cauldre.
Laissez-moi le dire d’une autre manière au lieu de lutter pour ce
projet, il pourrait en fait se manifester très, très facilement si vous
aviez regardé en arrière et vu que vous l’aviez déjà fait.
PATRICIA : Oui.
ADAMUS : Bien. Merci.
PATRICIA : Merci.
LINDA : Quel était le surnom ?
ADAMUS : Allez plus loin.
LINDA : Très bien !
FEMME SHAUMBRA : Mes distractions sont mes peurs.
ADAMUS :
Les peurs. Bonne distraction. Les peurs. Je vais les écrire… (Adamus
écrit) certaines, comme vous avez dit, sont banales. Certaines sont très
émotionnelles. Les peurs. Et quelle est la peur ?
FEMME SHAUMBRA : Bien, c’est au sujet de la vie quotidienne.
ADAMUS : Ok. Est-ce la peut d’arriver à l’éveil total,n’ayant plus rien à faire avec la vie sur la planète terre.
FEMME SHAUMBRA : Oui, mais je ne suis pas consciente de ça.
ADAMUS : Ouais. Mais oui, la peur est bonne. Et la peur de la vie quotidienne banale, qu’elle est cette peur ?
FEMME SHAUMBRA : La peur du changement.
ADAMUS : La peur du changement. Excellent. Bien. Groupe sage ici. Merci. D’autres. Il y en a une très importante ici.
FEMME SHAUMBRA : J’allais dire la peur de…
ADAMUS : Pourriez-vous vous lever ?
FEMME SHAUMBRA : Bien sûr.
ADAMUS : Merci.
FEMME SHAUMBRA : D’autres peurs que j’ai, dont l’une d’elles est que mon corps ne va pas continuer à marcher.
ADAMUS : Celle là est une bonne.
FEMME SHAUMBRA : Je ne vais pas avoir assez d’argent.
ADAMUS : Est-ce que cela a de l’importance ?
FEMME SHAUMBRA : ça a l’air d’en avoir quand je suis dedans.
ADAMUS : Vous avez votre choix ici.
FEMME SHAUMBRA : Vrai. Je sais.
ADAMUS : Corps qui fonctionne bien ou illumination absolue. Lequel ?
FEMME SHAUMBRA : Illumination absolue. Aucune question.
ADAMUS : Ok.
FEMME SHAUMBRA : Aucune question.
ADAMUS : Alors ne vous inquiétez pas au sujet de votre corps.
FEMME SHAUMBRA : D’accord.
ADAMUS :
Le corps peut prendre soin de lui-même. Plus vous discutez avec lui,
plus vous vous inquiétez à son sujet, plus il vous répond
automatiquement. Dites lui, « cher corps, je passe par une ouverture, un
épanouissement, une illumination importants. Pourrais-tu s’il te plait
prendre soin de toi-même ? »
FEMME SHAUMBRA : D’accord. C’est bien. C’est super.
ADAMUS :
C’est tout à fait simple. Ouais. Bon. Les problèmes du corps. C’est une
bonne question. Votre corps pourra-t-il résister aux énergies intenses
et accablantes qui entrent ? Je pense que ours qui rit l’a mentionné le
mois dernier.
L’intensité était grande - il n’a pas
mentionné le corps - mais l’intensité est si grande, pouvez-vous le
gérer ? Votre mental peut-il la gérer sans faire sauter ses circuits ?
Il y a la peur. Votre corps peut-il gérer la transformation de l’ADN en
amenant les organes, le sang, les cellules et tout le reste dans un
processus de changement ?
Cela vous incombe. Cela dépend
absolument de vous. Vous pouvez le déterminer. Vous pouvez dire, « Cher
corps, cher mental, vous savez comment vous équilibrer. Je vous l’ai
inculqué. Vous savez vous réparer. Alors maintenant, faites le. » Soyez
clairs. Ne dites pas, « oh corps… » (en pleurnichant) et ne dites pas…
je n’entrerai pas même là dedans. Le temps est limité. Alors, oui.
Qu’est-ce qu’une distraction ?
RICKI : La famille et les relations humaines.
ADAMUS :
Absolument. C’est ce que j’attendais. Appelons-les ceux que l’on aime (
ou que l’on aime partiellement, ceux que l’on aime à l’occasion). C’est
une grande distraction.
Maintenant, vous avez des enfants, vous
avez des conjoints, vous avez des personnes avec qui vous avez été
pendant longtemps – et si cela voulait dire que vous n’êtes plus là pour
elles ou elles pour vous ? C’est une énorme distraction, peut-être la
distraction numéro un à ce point. Énorme.
Et c’est honorable, mais c’est comme ne
pas vous honorer vous mêmes. Regardez, c’est peut-être honorable pour
eux, mais pas pour vous.
Ils ne sont pas en fait ceux qui créent
le scénario ; vous vouliez dire, « oui, mais si j’ascensionne, vont-ils
ascensionner ? Est-ce qu’il leur faudra 1.000 vies ? Qui va être là pour
eux ? Faisons cela ensemble ou nous ne le ferons pas du tout. »
C’est votre choix. C’est absolument
votre choix, mais je veux que vous vous arrêtiez un instant et regardiez
autre chose que juste ce potentiel. Et si vous deveniez entièrement
éveillés ? Quelle implication cela aurait-il vraiment sur eux ? Quels
sont certains des autres potentiels - que votre lumière puisse briller
sur eux ?
Que vous pourriez être en service pour
les aider à voir qui ils sont vraiment ? Peut être vous ne seriez pas…
désolé, pas de double négatif. Vous serez le standard pour eux. Vous
serez l’exemple. Et peut-être - contemplez ceci un instant - peut-être
avez-vous un vieil accord où vous irez en premier et eux seront là pour
vous soutenir. Vous passerez en premier pour être un standard pour eux.
Vous passerez en premier et ils pourraient prendre soin de certaines
choses routinières ici. Peut-être, juste peut-être.
Il y a beaucoup d’autres distractions
qui se produisent, et malheureusement, trop pour en parler en si peu de
temps. Je voudrais pointer ceci du doigt pour notre prochain
rassemblement. Une des plus grandes distractions dans cette zone est une
espèce de drôle d’arrogance spirituelle, et je peux parler en
connaissance de cause. (quelques rires). C’est votre propre
spiritualité. Vous devenez si captivés avec vous-mêmes, parce qu’en fait
cela semble bon et vous avez beaucoup appris.
Mais en fait vous faites gonfler vos
vieilles valeurs spirituelles plutôt que les déstructurer. Vous avez
pris en fait une sorte de détour et vous êtes soudain devenu le gourou,
le sage. Et vous savez, c’est chouette d’être dans cette position. Une
espèce d’élévation qui vous donne plutôt une supériorité sur les autres.
Et vous avez une réelle expérience, mais il y a la tendance à rester
dans cette zone, parce que vous aimez plutôt jouer ce rôle pour les
autres. Et vous aimez plutôt votre spiritualité récemment découverte.
Pourquoi aller plus loin quand vous pouvez avoir votre gâteau et le
bénir aussi ?
Ainsi… c’est dur d’avoir un rire,
Kuthumi. C’est là que la plupart d’entre vous êtes en ce moment. Vous
êtes dans ce mélange. Vous l’expérimentez. Vous le ressentez. C’est là -
vous ressentez le contact, le chuchotement de vous-même comme vous ne
l’avez jamais ressenti avant. J’entrerai plus dans les distractions le
mois prochain, mais je veux aller au point d’où j’essaye vraiment
d’aller ici.
La zone suivante
Cette zone, aussi, vous y êtes ou vous y
arrivez juste. (se rapportant à la zone après « le mélange » et avant
« X "). Je ne sais pas comment l’appeler. Peut-être m’aideriez vous à
trouver un nom, mais dans cette zone, - vraiment, c’est la phase finale
qui arrive - la philosophie ne signifie plus rien. C’est de la
spiritualité de merde. - vous réalisez soudain combien ça sonnait faux.
C’était comme du papier tue-mouche, cela vous collait. C’était étonnant
dans un sens, mais c’est vraiment de la saloperie. C’en est vraiment.
Vous ne vous asseyez pas en parlant à
une personne à propos de la compassion et du chemin sur lequel ils sont
quand ils sont à genoux. Vous leur dites que ça va aller. Tout le reste
c’est vraiment une espèce de saloperie. Plus tard, vous y revenez et
vous pouvez l’expliquer en termes non intellectuels.
Quoi qu’il en soit, dans cette zone,
certains d’entre vous sont entrés dedans. D’autres vont y entrer ce mois
ci. C’est beau. Cela fait de toute cette déstructuration une chose du
passé. Ce qui se passe ici, pour employer les mots immortels de Tobias,
ça n’a pas d’importance. Un truc arrive dans votre vie.
Ces aspects reviennent pour vous donner
l’enfer, et vous prenez juste une respiration profonde et ça n’a pas
d’importance. Vous n’avez pas à vous donner des phrases cliché
spirituelles et fantaisistes. Vous ne devez pas faire votre citation du
jour, vos messages à la guimauve, vos céréales duveteuses et soufflées,
ou autre chose comme ça. Ça a l’air maintenant si ridicule, si combiné ;
peut-être utile à un certain point, mais maintenant si enfantin.
Vous entrez… dans cette zone, par
exemple, quelques uns l’ont expérimentée récemment. Un aspect - un
aspect non intégré - et il en reste dehors, les mauvais et les grands -
mais vous réalisez qu’ils ne sont pas aussi grands et aussi mauvais -
mais ils entrent pour vous donner une ration d’enfer intellectuel. Vous
savez à quoi ça ressemble. Tout ce truc soudain qui passe à travers
votre mental. D’où ça venait ? « j’étais dans un bon jour, et tout à
coup je me maltraite. »
Le doute. S’il vous plait, le doute est
seulement le votre si vous l’acceptez. Dans cette zone, les aspects
reviennent et ils essayent vraiment de vous terroriser.
Ils vous testent vraiment. Ils voient si
vous êtes allés jusqu’à l’éveil. Mais ils reviennent et soudain cela ne
fait pas de différence. Soudain vous n’êtes pas impliqués dans ce
dialogue intellectuel/émotif avec vous-même. Soudain, vous ne vous
doutez pas de vous et vous ne vous nommez pas de ces vieux mots
dénigrants, ces vieux…
Vous savez comment cela se produit. Vous
ne vous sentez pas bien à votre sujet pour quelque raison, je ne m’en
soucie pas - vous vieillissez, vous êtes fatigués, vous avez fait
quelque chose de mal, vous sentez que vous n’êtes pas aussi bien que les
autres - et soudain vous êtes dans cette vieille chose qui doute.
Que faites-vous ? Vous jetez un peu de
sucre et de sirop là-dessus, et vous dites même des choses comme, « je
suis ce que je suis » sans y croire. Ou peut-être vous courez et lisez
quelque citation spirituelle. Cela ne fonctionne plus dans cette zone.
Cela ne fonctionne pas et c’est une belle chose.
Soudain, vous lisez des textes religieux
et spirituels - comme Kuthumi dirait - et vous ne pouvez même plus le
faire. C’est tellement hier. Tout à coup, tout ce dialogue intellectuel
pour la spiritualité est si fatiguant et si vieux. Soudain, vous riez -
littéralement, vous éclatez de rire - et vous dites, « ça n’a pas
d’importance. Ça n’a vraiment pas d’importance. »
C’est un bel endroit pour y être. Vous
savez, c’est une sorte de tranquillité. C’est une sorte de tranquillité
que vous n’avez pas éprouvée depuis des centaines de vies. Vous pourriez
dire que c’est la conscience d’un nouvel équilibre. Ce n’est pas à
propos de la méditation. Ce n’est pas à propos de la prière. Ce n’est
pas à propos d’aucune technique. Cette zone est peut-être « sans. »
C’est rien. C’est rien et c’est tout. Sans. Rien.
Vous n’avez besoin de rien ici. C’est le
vrai commencement de la réalisation du Je Suis, pas simplement en le
disant. Pratique, dans cette zone vous venez à un point où vous ne
voulez même plus le dire. C’est. C’est. Ceci, mes chers amis, est
vraiment là où vous êtes.
Je veux vous donner cette vue d’ensemble
comme ça vous comprendrez ce qu’il se passe. Je veux vous montrer le
processus par lequel on passe car lorsque vous travaillerez avec
d’autres, dans vos propres mots, avec vos propres manières, vous pourrez
expliquer le processus.
Ce qui se produit ici tend à aller dans
une beauté tranquille. Une beauté tranquille…. Vous n’avez pas à faire
d’efforts. D’une certaine façon, vous ne vous souciez de rien, parce que
les soins deviennent vieux. Ouais, il reste la pression humaine pour
gagner de l’argent, pour payer vos factures. Mais d’une certaine façon
vous ne vous en souciez plus. « Alors quoi. Ils peuvent avoir ma
maison ; Je m’ai moi. Il n’y a rien de mieux que ça. »
Maintenant, la chose marrante est que ça
ne se passe pas de cette façon, pour la plupart. Vous ne perdez pas la
maison. Vous ne perdez pas votre santé. Vous ne perdez pas toutes ces
choses. Vous gagnez. Vous gagnez. Mais nous allons revenir aux
distractions le mois prochain, ainsi je vous avertirai en ce moment. Il y
a quelques distractions là dedans aussi.
Comprenez s’il vous plait que vous venez
à cette zone « sans », cette zone tranquille. C’est le calme après la
tempête. C’est après la tempête, après cette bataille implacable et
épuisante qui a eu lieu ici dans cette zone de déstructuration, et il y a
encore des restes ici dans ce mélange. La zone tranquille.
Je vous l’amène de sorte que vous
puissiez vous donner la permission de l’expérimenter le mois prochain.
Donnez vous cette expérience de dire, « vous savez, ça n’a pas
d’importance. » Ce n’est pas de l’indifférence, et ça ne veut pas dire
que vous ne vous en souciez pas. Ça n’a pas d’importance parce que vous
savez que tout marche. Vous connaissez la fin de l’histoire avant que
les autres chapitres soient écrits. C’est si simple, et quiconque la
rend complexe devrait être… quelque chose. (rires)
Les potentiels énergétiques
Donc, Shaumbra, faisons quelque chose maintenant. Changeons de vitesse. Prenez une profonde respiration.
(pause)
Il y a une crise énergétique qui arrive,
de toute façon définissable, une crise énergétique sur terre. ça
commence par l’énergie qui est employée par la conscience, l’énergie qui
est appelée à partir du grand réservoir de toute l’énergie. Elle est
appelée par la conscience, par vous, par d’autres.
L’ancienne manière d’appeler l’énergie
psychique, énergie non physique, change. C’est pourquoi le monde change.
Vous pouvez le voir dans les symboles ou les applications pratiques
actuelles. Le monde n’a pratiquement plus de vieilles sources de
pétrole. Et ils jouent avec le solaire et le vent, s’il vous plait, non.
Ce sont des bandages sur une blessure béante. Ce n’est pas la réponse
pour l’humanité. Ce sont des jouets. Ce sont des plaisanteries. Ce sont
des distractions. Je suis désolé, mais c’est ce qu’elles sont.
Le monde fait face à une crise
énergétique énorme de toutes les manières possibles. Tout est comme une
sorte de stimulation pour aller au prochain niveau.
Comme je l’ai dit le mois dernier,
l’huile qui s’étend de cette installation dans le Golfe pose des
problèmes écologiques à court terme, mais ce qui est vraiment en cause
est la conscience. La conscience - un grand mot. Cela amène la
conscience de la nécessité de cesser de forer dans le sol, parce que ce
n’est pas la réponse pour l’avenir.
Il y a de l’énergie tout autour de nous
en ce moment dans un état neutre, il y a assez d’énergie contenue dans
cette pièce pour faire marcher les plus grandes villes au monde – il y a
de l’énergie dans le ciel, dans l’eau, dans vos corps - mais elle n’est
pas utilisée. On pense qu’elle n’existe pas, mais elle existe. Bien
sur, à un moment on a pensé que le monde était plat - et peut-être qu’il
l’est ! (rire)
Alors, chers Shaumbra, faisons quelque chose. Amusons nous. Allons ressentir les potentiels énergétiques dans le monde.
Mais, avant de le faire, je veux
préciser les écritures en petits caractères. Dites une nouvelle source
d’énergie va être découverte l’année prochaine, ou l’année d’après peu
importe. Elle a un effet dramatique sur l’infrastructure - nous
reviendrons sur la structure - la structure de la vie quotidienne
humaine. Les automobiles, les gens qui s’occupent des hauts fourneaux,
ceux qui fournissent l’énergie, les personnes qui cherchent le charbon
ou pompent le pétrole - ils vont perdre leur travail. C’est fait.
C’est fini. Et avec cette nouvelle
énergie il n’est pas nécessaire que beaucoup de personnes y travaillent,
elle tend à travailler d’elle même. Et c’est très efficace, extrêmement
efficace. Qu’est ce qui se passerait si ça allait dans de mauvaises
mains ?
Donc toutes ces choses arrivent. Oui, le
concept de la nouvelle énergie semble incroyable. Nous apporterons la
nouvelle énergie à la terre, mais comprenez ce que vous faites.
Comprenez les implications – et vous le comprenez, parce que vous êtes
passés par là - les implications de votre propre nouvelle énergie,
détruisant le processus de changement.
Est-ce que ça en valait la peine, en regardant en arrière ? Vous répondez comme vous le voulez.
Partons dans les potentiels, et
explorons juste des potentiels. La chose intéressante au sujet des
potentiels, ils sont un peu comme des ballons (d’une partie du segment
d’introduction). Ils ont été là tout le temps ; les gens ne les ont
simplement pas vus.
Ils n’ont pas été cachés, ils ont
simplement été invisibles, parce qu’avec une conscience limitée, vous
n’allez pas voir les vrais potentiels. Mais ce groupe a une magnifique
conscience, et vous avez appris à ressentir, et vous avez appris à aller
au delà de la pensée mentale. La pensée mentale est encore importante,
mais vous a appris qu’il y a autre chose.
Ainsi voyageons, un voyage ici. Tous les potentiels nous entourent en ce moment.
Maintenant, potentialiser - j’ai composé
ce mot - potentialiser est un art. (Linda écrit) ce n’est pas une
science. C’est quelque chose qui demande de la pratique, de la finesse,
de la confiance et de la compassion, parce que la vraie façon de
potentialiser va au delà du mental. Vous ne pensez pas à la nouvelle
énergie. Vous n’essayez pas de voir la nouvelle énergie ; vous la
ressentez. Vous la ressentez. Vous la laissez bourdonner dans votre
coeur.
Vous la sentez vibrer ou s’expanser dans
votre corps. Vous ressentez parfois une émotion avec elle, mais ce
n’est pas une pensée. Nous n’essayons pas d’analyser. Nous n’essayons
pas d’analyser. Comment se ressent la nouvelle énergie ?
Vous pouvez fermer les yeux - ou pas. Je
trouve toujours que ça aide de faire un peu de hum quand je
potentialise. Poten… qu’est ce… ! (rire à l’épellation de Linda). Je
pensais que j’étais mauvais pour créer des mots ! J’aime faire humm
quand je potentialise. (l’assistance commence à faire des humm) ça
m’aide à ressentir et à ne pas penser.
Comment se ressent la nouvelle énergie ?
(pause)
Quelle est la chanson de la nouvelle énergie pour la terre ?
(pause)
Comment se ressent-elle ?
(pause)
Dansez un peu avec elle.
(pause)
Respirez avec elle.
(pause)
Nouvelle énergie…
(pause)
Regardez, si vous pensez, vous ne
potentialisez pas. Si vous ressentez, vous attirez. Vous appelez ce
potentiel. Vous l’amenez hors de l’état de veille. Vous l’amenez hors du
repos, hors du sommeil dans lesquels il était.
(pause)
Cette planète est prête pour elle
maintenant, pour la nouvelle énergie. Elle n’était pas prête pour elle
il y a 20 ans, il y a 50 ans. Ainsi vous avez une belle combinaison
entre le désir et le besoin, et vous avez un beau potentialisateur -
vous-même - celui qui peut ressentir les potentiels. Et quand vous le
faites, d’ailleurs - oh, vous pouvez prendre une profonde respiration,
détendez vous un moment – c’est à mon avis, la réelle signification de
la loi de l’attraction.
Il n’y a pas à penser à propos de
quelque chose qui la force, intellectuellement, mentalement à venir.
C’est la ressentir. C’est la laissez sortir de sa longue hibernation, ou
du moins hors de l’état neutre, et maintenant elle est attirée vers
vous et vers votre vie personnelle. Elle est maintenant attirée, venant
plus près de la terre, plus proche pour devenir une réalité choisie.
Elle vient plus près pour être avec vous.
C’est un peu comme, vous savez, une
graine. Une graine - vous allez cultiver des fleurs ou quelques légumes -
une petite graine dans un paquet, cette graine attend et attend. Elle
est dans le neutre, elle attend simplement. C’est comme cela que sont
les potentiels. Ce sont des graines - des graines invisibles - qui
attendent juste d’être plantées. Ils sont plantés avec la conscience et
le choix, et ils attendent de venir dans cette réalité pour fleurir, et
c’est ce que vous avez fait.
Si vous y pensez, en le construisant
dans votre mental, vous ne potentialisez pas. Vous pensez, ça a un
certain degré de réussite, mais pas beaucoup. Si vous ressentez, alors
vous attirez absolument ces potentiels dans votre vie.
Alors, chers Shaumbra, cela fonctionne
sur une échelle globale. Vous ne l’imposez pas sur n’importe quoi, mais
qui sait - un scientifique pourrait se réveiller au milieu de la nuit et
dire, « d’où m’est venue cette idée ? » et courir au laboratoire
travailler des jours et des jours pour bricoler. D’où cela est-il venu ?
Et alors il se dit, « je suis vraiment intelligent. » D’où cela est-il
venu ? Peut-être bien d’ici.
Juste pour vous dire où nous allons,
nous allons faire plus de ce genre de chose lors de chaque réunion, de
chaque rassemblement, et en attendant, vous pouvez le faire pour
vous-même. Vous regardez en arrière – vous allez le faire juste dans un
moment, regardez en arrière - de votre point d’accomplissement,
d’ascension, de réalisation, d’illumination, quelque soit la façon dont
vous l’appelez.
Vous regardez en arrière et vous dites,
« quels sont les potentiels que je veux apporter dans ma vie ? Qu’est ce
que je veux dans ma vie ? » Vous n’êtes plus à la merci de la
conscience de masse. Vous êtes votre propre soi.
Chers amis, comme j’aime le dire,
absolument, sans aucun si, et ou mais, tout est bien dans toute la
création, et vous êtes celui qui choisit votre création.
Avec ceci, je suis ce que je suis,
Adamus en service pour vous. Jusqu’à la fois prochaine, au revoir (en
français dans la vidéo).