LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
SĂ©rie des Maitres

SHOUD 9 : “La Zone d'Eveil - Partie 1” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 1er Mai 2010
www.crimsoncircle.com


Je suis ce que je suis, Adamus l’incomparable, l’incorrigible et souvent cité incorrectement Saint-Germain (prononciation française). Je ne suis pas Mère Saint-Germain (rires), et ce n’est pas l’ancien new age, comme vous l’avez probablement remarqué.

Chers Shaumbra, nous nous rĂ©unissons de nouveau pour… ooh ! … (rires. Linda l’aide avec le micro)

LINDA : Mauvais fonctionnement

ADAMUS : Ooh ! Nous nous rĂ©unissons de nouveau pour la rĂ©union mensuelle avec le cercle cramoisi - les anges humains ici sur terre, avec le Conseil cramoisi - tous les ĂŞtres angĂ©liques qui travaillent avec vous, avec qui vous travaillez de façon rĂ©gulière. Nous rassemblons nos Ă©nergies ainsi que celles de Shaumbra tout autour du monde.

(pause, rires car Linda essaye d’accrocher le micro sur l’arrière de la ceinture) je pense qu’elle le fait exprès. Ça marche ?

LINDA : Ouais babe… Oui monsieur.

ADAMUS : Merci. (Adamus met la batterie du micro dans sa poche)

LINDA : Merci.

ADAMUS : Nous rassemblons nos Ă©nergies, ce que nous faisons si souvent dans les autres royaumes pendant votre Ă©tat de rĂŞve, et maintenant beaucoup d’entre vous commencez Ă  vous aventurer dans les autres royaumes mĂŞme lorsque vous ĂŞtes rĂ©veillĂ©s. Mais c’est toujours une occasion spĂ©ciale chaque mois lorsque nous nous rĂ©unissons ici avec chacun de vous autour du monde comprenant aussi ceux qui regardent Internet. Nous vous invitons ici… nous vous invitons… nous vous attirons dans notre espace ici. (regardant la camĂ©ra). Vous ne faites pas que regarder, vous… allez, vous tous. Venez ici. Si je dois vous avoir un par un, je le ferai, mais nous vous aurons.

Vous voyez, certains aiment passer par cette expérience et ce processus à distance. Ils aiment regarder et observer. Ils aiment feindre qu’ils ne font vraiment pas partie de cette chose appelée Shaumbra ou ils se tiennent juste sur la touche. Mais oh non, oh non. Si vous regardez maintenant, vous êtes dedans.

Chers Shaumbra, nous avons beaucoup à dire aujourd’hui. Et comme toujours, si peu de temps et tellement à dire.

Les défis de l’éveil

Rentrons dans le vif du sujet. Je vais demander Ă  Linda d’Eesa de prendre le micro et de venir dans l’assistance. Vous aurez probablement besoin de quelques rĂ©compenses d’Adamus dans votre poche arrière. Nous ne savons pas encore. Mais, chers Shaumbra, je suis en train d’écrire un autre livre. Nous sommes en train d’écrire un livre. J’en aurai le crĂ©dit, mais vous aussi. Nous Ă©crivons un livre… puis-je faire cela pour vous ? (offrant « d’aider Â» Linda avec le micro)

LINDA : S’il vous plait. (rire)

ADAMUS : Nous Ă©crivons un livre concernant l’intĂ©gration dans le corps de la conscience. Ce n’est pas un très bon titre, alors nous allons l’appeler quelque chose comme « L’éveil – croyez le ou pas Â» ou un autre parmi d’autres titres, dans lequel je n’entrerai pas maintenant.

Mais chacun de vous a Ă©tĂ© de ce voyage, chacun de vous est passĂ© par cette expĂ©rience depuis des vies. Vous y ĂŞtes passĂ©s intensĂ©ment. Il y a quelque chose de commun avec vous tous parce que vous avez dit, « je suis fatiguĂ© de continuer une vie après l’autre. Aussi intense et difficile que cela soit avec ses dĂ©fis, cela va se produire dans cette vie. Â» Les Ă©nergies et la conscience sur terre sont ici pour ça. Il Ă©tait difficile de passer Ă  travers le processus de l’éveil dans les autres vies. Vous ĂŞtes passĂ©s par de nombreux processus mentaux et de douleurs, mais les temps sont lĂ  maintenant.

Certains de vous deviennent frustrĂ©s, et vous vous dĂ©foulez sur le pauvre Cauldre et sur Linda, parfois sur moi. Mais vous devenez frustrĂ©s et vous dites, « pourquoi ça n’arrive pas plus vite ? Pourquoi cela ne se produit pas juste comme ça (claquement de doigt) ? Â» Deux raisons - par votre choix. Un, cela probablement vous brĂ»lerait, vous ferez exploser, vous enverrait de nouveau directement Ă  vos amis du Conseil Cramoisi. Ce n’est pas si mauvais, mais vous avez pris un engagement. Vous allez le faire dans cette vie, avec des difficultĂ©s. Ça Ă©tĂ© beaucoup l’enfer, avec quelques grosses vagues, mais je suis rĂ©ellement enchantĂ© de voir que vous trouvez de plus en plus de joie avec ça. Vous pouvez rire Ă  son sujet. Vous pouvez maintenant partager vos histoires de façon plus claire.

Avez-vous remarquĂ© qu’il y a un ou deux ans quand vous essayiez d’expliquer Ă  d’autres le processus par lequel vous ĂŞtes passĂ©s, c’était très… Entrez, entrez (Ă  quelqu’un qui entre dans la salle). Il y a des sièges ici. S’il vous plait, j’aimerais que vous vous asseyiez ici aujourd’hui. (rires) oh, comme j’aimerais. Oui, nous vous avons rĂ©servĂ© ce siège !

Donc vous avez pris cet engagement très profond - vous allez le faire durant cette vie - et les énergies sont maintenant ici pour le soutenir, là où elles n’étaient pas avant. Maintenant, parfois vous devenez frustrés. Vous voulez que ça aille plus vite, mais vous avez également pris un engagement pendant lequel vous allez le faire d’une manière qui est compatible et sympathique – éveil sympathique - avec la conscience sur terre. Comme je l’ai dit plus tôt, il y a environ un an vous avez probablement trouvé difficile de décrire clairement le processus par lequel vous passiez quand vous parliez aux autres. C’était confus, déformé. Vous n’étiez même pas sûrs de ce que vous disiez. Mais j’ai remarqué maintenant que vous pouvez l’articuler. Vous pouvez le récapituler. Vous pouvez prendre des points plutôt que d’aller dans une vieille et longue histoire qui ennuyait à mourir certains de vos étudiants. Je ne m’adresse pas à vous, naturellement (à un membre de l’assistance). J’aime juste m’appuyer de temps à autre.

Donc vous essayez de rendre ce processus compatible ou sympathique avec l’évolution de la conscience sur terre. Que pensez-vous que c’est, Kathleen ?

KATHLEEN : Je n’ai pas entendu la question. (rire)

ADAMUS : Vous Ă©tiez en train de me prendre pour la vedette, n’est ce pas ? !

KATHLEEN : J’étais juste… (riant)

ADAMUS : EnvoĂ»tĂ©e ! SubmergĂ©e, vous regardiez Ă  travers Cauldre, naturellement, dans mes Ă©nergies, que j’ai apportĂ©es aujourd’hui plus que la normale.

LINDA : Continuez, levez vous.

ADAMUS : Oui. Ainsi vous avez… quelle Ă©tait ma question ?

KATHLEEN : Je ne sais pas ! Je ne sais pas ! (rire)

ADAMUS : Je suis aussi confus que vous maintenant. (rire) oh bien, merci de la rĂ©ponse. C’était bien. Ainsi, chers Shaumbra…

KATHLEEN : Est-ce que j’ai un prix ?

ADAMUS : Non. Non, pas encore. Nous reviendrons vers vous plus tard.

Ainsi vous avez rendu vos Ă©nergies compatibles avec celles sur terre. Au lieu des longues histoires que vous avez racontĂ©es aux autres, maintenant vous pouvez les clarifier. Je pense que nous les clarifions, n’est ce pas ? Nous clarifions.

Alors je veux Ă©crire un livre avec vous, avec vous tous. Nous avons commencĂ© ce processus il y a une semaine Ă  Kelowna, demandant aux Shaumbra lĂ  bas quelles sont les choses qui leur sont arrivĂ©es lors du processus de l’éveil ? De votre expĂ©rience personnelle, de votre perspective personnelle, quels ont Ă©tĂ© les dĂ©fis de l’éveil ?

Maintenant, vous pouvez probablement faire une longue liste, mais pendant que Linda circule avec le micro, moi je vais vous demandez de rester clairs et concentrés - et juste une chose, s’il vous plait. Nous circulerons, j’écrirai sur le tableau, et ensemble nous écrirons un livre. Nous écrirons un livre.

Alors ce livre - « le manuel de l’éveil Â» - sera d’une grande valeur pour ceux qui viendront après, ceux qui en ce moment s’engagent dans l’éveil. Et cela facilitera vraiment leurs expĂ©riences, leur voyage sera plus facile en sachant par quoi vous ĂŞtes passĂ©s. Cela n’enlèvera pas leurs expĂ©riences, mais cela changera la nature de l’expĂ©rience.

Donc, avec ceci, continuons avec cette chère Rita.

LINDA : Je savais cela !

RITA : Quelle Ă©tait la question ?

ADAMUS : Oui, quelle… (des rires d’Adamus) c’était…

LINDA : Le dĂ©fi de l’éveil.

ADAMUS : J’ai oubliĂ©. Qu’est-ce que j’ai demandĂ© ?

LINDA : Les dĂ©fis.

ADAMUS : Quels Ă©taient les dĂ©fis ?

RITA : Un dĂ©fi, comme…

ADAMUS : Un dĂ©fi. Un dĂ©fi vu avec votre perspective personnelle.

RITA : Aller dans l’inconnu.

ADAMUS : Aller dans l’inconnu. C’est bien et cela mĂ©rite une rĂ©compense d’Adamus.

RITA : D’accord !

ADAMUS : D’ailleurs, la personne qui donnera la meilleure rĂ©ponse aujourd’hui aura quelque chose de craquant, d’un peu usĂ©, un billet de cinq cents. Alors travaillons… (de nombreux rires car Linda fait une grimace). Ce n’est pas mon argent !

LINDA : Ok !

ADAMUS : Donc, (il Ă©crit) « l’inconnu. Â» Maintenant, je vais vous demander, chère Rita, n’avez-vous jamais trouvĂ© stimulant de vouloir entrer dans l’inconnu ?

RITA : Oui, parfois.

ADAMUS : Parfois. Et angoissant d’une part…

RITA : Oh oui.

ADAMUS : … mais stimulant de l’autre.

RITA : Oh oui.

ADAMUS : Vous ĂŞtes vous permise de mettre un pied dans l’inconnu, ou avez-vous senti une grande poussĂ©e venir derrière vous ?

RITA : (rire) Bien, c’était comme une sorte de grande poussĂ©e.

ADAMUS : Grande poussĂ©e. Je vais mettre un astĂ©risque ici, « une grande poussĂ©e, Â» parce que - « poussĂ©e par derrière Â» (Adamus Ă©crit) - parce que vous tous pouvez probablement sentir ceci, quand vous essayez de juste mettre un orteil dans l’inconnu, ça ne marche pas. Vous ne pouvez pas mettre juste un orteil dedans, parce qu’alors ce n’est pas vraiment l’inconnu. C’est juste un petit hors-d’oeuvre de ce qui est. Alors vous finissez par avoir une grande poussĂ©e. D’oĂą est-ce que cette grande poussĂ©e viendrait ?

RITA : Elle est venue de l’intĂ©rieur ?

ADAMUS : Oui. Bien. Excellent. Vous ĂŞtes en compĂ©tition pour avoir le billet cinq cents.

RITA : Une autre rĂ©compense pour moi ? (rire)

ADAMUS : Je donnerais la rĂ©compense, mais Linda tente de gĂ©rer le stock, alors. Oui, une rĂ©compense. Et aujourd’hui vous avez un cadeau spĂ©cial sur la rĂ©compense.

LINDA : Je veux mentionner qu’Amy Van Johnson a dit, « je voudrais contribuer aux cadeaux d’Adamus. Â» Alors en fait… il y a un as Ă  l’intĂ©rieur, elle a fabriquĂ© les pochettes et il y a quelque chose d’unique ou de spĂ©cial dans chacune d’elle.

ADAMUS : Oui.

LINDA : Merci Amy.

ADAMUS : Levez le haut pour que tout le monde puisse voir.

LINDA : Oui. Non, non elle doit choisir. Debout. Debout Rita. Maintenant choisissez au hasard. (Rita en choisit un) oh !

ADAMUS : Oh !

LINDA : Et tout est fait main par elle.

ADAMUS : Oui. Et la rĂ©compense est Ă  l’intĂ©rieur.

LINDA : Et Ă  l’intĂ©rieur il devrait y avoir l’as d’Adamus et autre chose, une autre surprise. Ah, c’est l’as d’Adamus. Et y a-t-il un autre prix Ă  l’intĂ©rieur ? Parfois il y a plus qu’un seul prix.

RITA : Juste un.

LINDA : Juste un, okay. Bien, cela fait deux parce que vous avez eu aussi la petite pochette. Merci. Suivant ?

ADAMUS : Une question supplĂ©mentaire Rita. Maintenant que vous avez expĂ©rimentĂ© une partie de l’inconnu, qu’avez-vous appris de l’inconnu ?

RITA : J’ai appris que c’était une grande intelligence. Il y a beaucoup de sagesse dans l’inconnu.

ADAMUS : Beaucoup de sagesse - et si je peux ajouter un mot - l’inconnu n’est pas vraiment inconnu. Il n’est pas expĂ©rimentĂ©, et cela fait une diffĂ©rence. Quelque chose qui n’a pas Ă©tĂ© encore expĂ©rimentĂ©, mais qui n’est pas rĂ©ellement inconnu. Et dans une certaine mesure il n’y a aucune raison de le craindre. C’est juste quelque chose que vous n’avez pas expĂ©rimentĂ©. Mais une fois que vous plongez dans l’inconnu, comme beaucoup l’ont fait, après que vous vous soyez un peu installĂ©s, vous commencez Ă  rĂ©aliser que ce n’est pas vraiment l’inconnu. En partie parce que - je vais conclure notre discussion aujourd’hui avec ce point - mais en partie parce que c’est un potentiel qui a presque toujours Ă©tĂ© lĂ . Pas tous les potentiels, mais c’est un potentiel qui a Ă©tĂ© lĂ .

Souvent dans l’état de rêve, vous entrez dans des potentiels pour les ressentir, parce que, tout à fait franchement, vous n’avez pas été très bons pour les sentir dans votre état d’éveil, parce que le mental tend à le bloquer. Ainsi vous - vous tous chaque nuit - vous entrez dans différents potentiels. Nous irons là dedans un peu plus tard aujourd’hui, mais bonne réponse. Merci. Oui. Et vous connaissant comme je vous connais, je sais qu’il y a une certaine passion à entrer dans l’inconnu. Vous vous ennuieriez totalement si vous ne le faisiez pas. Vous ne feriez pas un bon ouvrier.

Ok, suivant. Allons vers Ours qui rit.

LINDA : Oh bien sur.

ADAMUS : J’ai changĂ© votre nom pour vous (« avant c’était Ours debout "). J’espère que cela ne vous dĂ©range pas. Souriez, partenaire.

Alors, Ours qui rit, quel est votre dĂ©fi de l’éveil, basĂ© sur votre expĂ©rience personnelle ?

OURS QUI RIT : La manipulation de l’énergie de la Kundalini.

ADAMUS : Vraiment.

OURS QUI RIT : Intense, vous savez, toute la colonne vertĂ©brale.

ADAMUS : C’est quoi la Kundalini ?

OURS QUI RIT : Bien, c’est toute cette poussĂ©e d’énergie de tous mes chakras de la terre vers le haut.

ADAMUS : C’est quoi un chakra ?

OURS QUI RIT : Tous mes centres dans mon… la vibration que j’ai quand j’ai ces grands moments « Ah-ha Â» et qui manipule cette Ă©nergie.

ADAMUS : Qu’est ce qu’il s’est passé… et je joue un peu avec vous ici, mais l’énergie est Ă©nergie. La conscience est conscience. Ne commençons pas Ă  la dissĂ©quer en Kundalini et serpents se tortillant – c’est un peu Ă©rotique - et chakras. Vous segmentez votre corps dans diffĂ©rents chakras. Vous n’avez qu’un chakra. Vous ĂŞtes un corps de conscience.

Alors maintenant vous avez un dĂ©fi pour gĂ©rer cette Ă©norme quantitĂ© d’énergie. Comment traitez-vous ça ?

OURS QUI RIT : Une partie d’elle est plaisante et une partie d’elle est dĂ©sagrĂ©able.

ADAMUS : Comment vous occupez-vous de ça… qu’est ce que vous faites ? Est-ce que vous vous asseyez et laissez cela ĂŞtre balayĂ© comme une marĂ©e ?

OURS QUI RIT : Bien, parfois oui. D’autres fois c’est intense. C’est très intense.

ADAMUS : Très intense. Et mettez-vous votre pied sur le frein pour essayer de le ralentir ?

OURS QUI RIT : Non, je le laisse passer Ă  travers moi.

ADAMUS : Avez-vous votre pied sur l’accĂ©lĂ©rateur ?

OURS QUI RIT : Heureusement que non.

ADAMUS : Heureusement que non. (rires) Donc vous n’avez pas d’accĂ©lĂ©rateur, pas de frein.

OURS QUI RIT : Non…

ADAMUS : Vous ne faites qu’y aller…

OURS QUI RIT : Je suis le courant.

ADAMUS : Vous suivez le courant. Et, bien, cela amène une question. A qui est ce flux ?

OURS QUI RIT : Mon flux.

ADAMUS : Oui, ça a l’air d’être une bonne rĂ©ponse mais ce n’est pas une rĂ©ponse vraie, parce qu’en fait… vous suivez le flux des personnes autour de vous. Vous suivez le flux de la conscience de masse. Vous suivez le flux des aspects qui deviennent comme fous et font la fĂŞte tout autour de vous pendant que vous suivez juste le flux. Qui est le patron ?

OURS QUI RIT : Moi.

ADAMUS : Soyez dans un service souverain.

OURS QUI RIT : Oui.

ADAMUS : Oui. Vous ĂŞtes le patron.

OURS QUI RIT : Je suis le patron.

ADAMUS : C’est toute la manière de le dire… et merci. Merci. Tout est dans la manière oĂą vous dites oui, il y a une quantitĂ© Ă©norme d’énergie qui arrive très vite, la conscience qui s’expanse très rapidement, et plus vous mettez en expansion votre conscience, plus cela appelle d’énergie pour la soutenir. Donc il y a des pĂ©riodes oĂą cela vous submerge, mais vous pouvez arrĂŞter, prendre une respiration profonde et dire, « Whoa ! Je sais que je crĂ©e ceci Ă  tous les niveaux, et je sais que je me prĂ©cipite pour le traverser dans cette vie. Mais vous savez, de temps Ă  autre cet humain Ours qui rit, a juste besoin de s’arrĂŞter et de rire. Je n’ai pas besoin de passer par l’intensitĂ©. Â»

Si souvent c’est comme sauter dans une voiture de sport, et rouler sur une autoroute de LA (Los Angeles), pas de mains sur le volant, pas de pieds sur le frein ou l’accĂ©lĂ©rateur, et vous suivez le courant. Qu’est ce qu’il se passe ? Oui, vous pouvez seulement imaginer. Vous pouvez seulement imaginer.

C’est un point très positif pour ceux qui arrivent dans le processus de l’éveil. Vous ne voulez pas contrôler à partir de votre aspect/partie humaine. Vous ne voulez pas contrôler l’éveil, mais vous pouvez faire des pauses toutes les fois que vous en sentez le besoin. Vous pouvez également demander que ça aille plus vite, et c’est une co-gestion entre chaque partie de vous-même - l’esprit, l’humain, et le corps. Le corps - parfois cet éveil provoque des ravages sur le corps. En partie parce qu’au niveau de l’ADN et du niveau avant l’ADN, il y a une pléthore de purification qui se met en place, les énergies entrent, tout se combine pour permettre à la nouvelle énergie d’entrer. Vous êtes en train de vous transformer. Vous vous permettez de vous transformer et d’être retravaillés Cela est un grand défi pour le corps physique

Oui, gérer l’énergie et la conscience. Il n’y a aucune course. Il n’y a aucune course en cela. En fait, il est intéressant de noter que chacun de vous est absolument souverain et individuel, mais pourtant il y a une connexion commune avec les autres Shaumbra autour du monde. La connexion commune (Adamus regarde dans la caméra), - je veux qu’ils se sentent les bienvenus - et il y a… ce n’est pas comme un moment de rassemblement en masse, mais vous passez à travers ça en quelque sorte ensemble - indépendants, mais en quelque sorte ensemble. Il n’y a aucun accord formel, et oui, vous pouvez partir du paquet quand vous voulez. Mais il y a un certain confort, parce que vous avez étudié ensemble, vous êtes allés dans les écoles de mystère dans le passé ensemble, vous vous êtes de nouveau réunis ensemble dans cette vie. Alors vous bougez ensemble. Vous partagez, comme nous faisons maintenant, sagesse et perspicacités.

Allons voir Lisa dans le fond. Ah, elle était si… elle le savait.

LISA : La question ?

ADAMUS : La question est, de votre expĂ©rience personnelle quel est le dĂ©fi de passer par le processus de l’éveil ?

LISA : Que vous ne pouvez pas revenir en arrière.

ADAMUS : Que vous ne pouvez pas revenir en arrière. Pourquoi pas ?

LISA : Une fois que vous avez fait un pas dans l’expĂ©rience de vous permettre, de permettre Ă  votre âme d’avancer, et que vous voulez revenir en arrière et ĂŞtre avec les autres personnes, faire des choses mondaines comme prendre des dĂ©cisions d’affaires, ça ne marche plus.

ADAMUS : Absolument. Point positif. Dans la thĂ©orie, vous le pourriez probablement. Vous pourriez crĂ©er l’illusion que vous revenez en arrière, mais alors vous devriez vraiment prendre des mĂ©dicaments. (rires). Vraiment - lĂ©gaux, illĂ©gaux, mis en bouteille, Ă  fumer - mais vous auriez beaucoup Ă  faire pour descendre. Cela ne veut pas dire que tomber ne peut pas arriver, mais c’est difficile. Une fois que le processus commence, il est très difficile de revenir en arrière. Et il y a des parties de vous qui absolument - veulent absolument revenir en arrière. Pourquoi est ce que j’ai fait ça ? A quoi je pensais ? Â» Mais en fait, c’est une belle chose qui se produit.

Vous commencez à ressentir des choses que vous n’avez pas aimées ou que vous avez rejetées avant - vos familles, votre travail, la nature mondaine de l’existence humaine, douleur et souffrance, programmes de télé stupides - il y avait un certain confort en eux, et une partie de vous veut retourner à cela. Mais ça devrait aussi être confortable de savoir qu’il y a ce groupe incroyable - Shaumbra – avec qui vous pouvez partager vos larmes et vos rires quand vous le voulez, et qu’il vous donne également l’espace et l’intimité quand vous le voulez également.

Excellent, et ça appelle une récompense. Merci.

LINDA : Okay… choisissez. VoilĂ .

ADAMUS : Donc la question encore – comme ça vous n’aurez pas besoin de me la redemander - la question est, basĂ© sur votre expĂ©rience personnelle, quel est le dĂ©fi de l’éveil, John Kuderka ?

LINDA : Oh mon dieu ! John sur la camĂ©ra ! Wow ! Est-ce que c’est cool ? !

ADAMUS : Est-ce que c’est cool !

JOHN : Pas vraiment. (rires et quelques applaudissements)

ADAMUS : Cher John, ça a l’air d’être un dĂ©fi.

JOHN : Bien, est ce que c’est supposĂ© ĂŞtre un dĂ©fi ?

ADAMUS : Absolument !

JOHN : Bien, alors c’en est un. Ah, quelle Ă©tait la question ? (rire)

ADAMUS : Peut-ĂŞtre dois-je le peindre sur le mur. De votre expĂ©rience personnelle, s’il vous plait partagez avec nous un dĂ©fi de l’éveil, en assumant que maintenant des milliards, ou peut-ĂŞtre deux ou trois cent personnes liront ceci Ă  un certain moment.

(pause)

LINDA : (en murmurant) Vous pouvez le faire.

JOHN : Bien, c’est une bonne question. Peut-ĂŞtre juste ĂŞtre conscient du processus.

ADAMUS : Conscient du processus. Vous voulez dire que le dĂ©fi est de ne pas ĂŞtre conscient ? Ou que le dĂ©fi c’est connaĂ®tre le processus ?

JOHN : Oui ! (rire)

ADAMUS : Tous les deux ! ok (de rire), vous avez peut-ĂŞtre deux rĂ©compenses d’Adamus, mais je vais mettre « le processus Â» (en l’écrivant) et c’est le dĂ©fi de ne pas vraiment comprendre - si je peux mettre des mots dans votre bouche - ne pas comprendre ce qui se trouve sur la route devant vous.

JOHN : ça a l’air d’être ça.

ADAMUS : La route et ne pas savoir. Et alors nous dirons Ă©galement intuitivement, car vous serez probablement d’accord, intuitivement vous savez un peu ce qu’il y a sur cette route devant vous et ça peut ĂŞtre effrayant. Et ainsi… bien. Vous avez une rĂ©compense. (il Ă©crit) `la route savoir intuitif’….Excellent.

LINDA : Ah, n’êtes pas vous spĂ©cial.

ADAMUS : Okay, et nous allons devant, vers Gail, pour vous garder en mouvement. Alors Gail, basĂ© sur la question, que je prĂ©sume maintenant gravĂ©e et inscrite en vous… oui. Elle disparaĂ®tra une fois que vous en parlerez. Elle ne parle pas par elle-mĂŞme.

GAIL : Salutations.

ADAMUS : C’est bon de vous voir.

GAIL : C’est bon de vous voir, très cher. Rester prĂ©sent dans le maintenant.

ADAMUS : Rester prĂ©sent.

GAIL : Avec tout ce qui arrive, apprendre comment utiliser ce que nous choisissons d’utiliser…

ADAMUS : Oui.

GAIL : … et nous ne savons pas comment cela fonctionne, tout en restant dans le maintenant. Ne pas regretter le passĂ©, ne pas anticiper sur le futur, ce qui cause la peur – qui peut causer la peur.

ADAMUS : Excellent. Excellent, parce que c’est un dĂ©fi. Il y a une tendance, quand vous commencez Ă  entrer dans ce processus, vous – vous tous – vous vous dĂ©tachez du passĂ©. Vous commencez Ă  libĂ©rer, comme Tobias vous en a parlĂ© maintes et maintes fois. Vous commencez Ă  laisser aller. Vous ĂŞtes maintenant comme un ballon Ă  air chaud, libre d’explorer, de voyager, de s’expanser. Mais de cette manière, il est très facile de quitter le moment prĂ©sent, en particulier quand vous rĂ©alisez, tout d’abord, que probablement vous n’y avez pas Ă©tĂ© souvent. Vous n’êtes pas très familiers du moment prĂ©sent. Deuxièmement, le moment prĂ©sent exige un grand degrĂ© de conscience. Vous devenez automatiquement conscient quand vous ĂŞtes dans le moment prĂ©sent, et parfois - le plus souvent - les humains ne veulent pas vraiment ĂŞtre conscients. Ils veulent beaucoup d’autres choses, mais la conscience submerge parfois, c’est un peu difficile Ă  gĂ©rer. Ainsi, oui, c’est bien.

GAIL : Mon sentiment a Ă©tĂ© depuis, que la plupart d’entre nous, probablement nous tous dans cette pièce, avons choisi de naĂ®tre dans ces temps de la vieille Ă©nergie.

ADAMUS : Oui.

GAIL : … intĂ©grant, sortant de cette grille, pendant que nous sommes transformĂ©s

ADAMUS : Oui.

GAIL : … naturellement en mĂŞme temps…

ADAMUS : Oui.

GAIL : cela comporte plus de dĂ©fis.

ADAMUS : Ah, beaucoup plus de dĂ©fis. Beaucoup plus de dĂ©fis, en particulier si vous regardez l’étroitesse de la tranche d’âge dont vous venez tous. Que ce soit de 20 Ă  80 ans, c’est une tranche d’âge bien rĂ©duite et vous ĂŞtes nĂ©s dans une conscience de très vieille Ă©nergie. La conscience qui s’est beaucoup questionnĂ©e pour savoir si la terre continuerait ? Est-ce que les humains se dĂ©truiraient-ils avec les armes nuclĂ©aires ? Presque, vous avez Ă©tĂ© très proches d’un incident. Ou est ce quelque chose comme le truc du dĂ©clencheur du millĂ©naire ? Il y a eu beaucoup de questions pour arriver Ă  ce moment lĂ , ici pour commencer Ă  poser les bases de la nouvelle conscience, vĂ©ritablement la nouvelle conscience. Puis passer par elle Ă  un niveau très personnel est un plus grand dĂ©fi qui peut vous tirer hors du maintenant.

Alors je vous demande, de votre perspective, est ce que la plupart des personnes - pas les Shaumbra, la plupart des personnes - vivent dans le passĂ© ou dans l’avenir ?

GAIL : Les deux, et c’est mon dĂ©fi principal…

ADAMUS : Donnez moi un pourcentage.

GAIL : … mais vous l’a dĂ©jĂ  couvert dans la gestion de l’énergie. Dans un pourcentage - au moins 95 %.

ADAMUS : Dans l’avenir.

GAIL : Dans les deux.

ADAMUS : Dans les deux, oui, mais quel pourcentage dans le passĂ© ? Quel pourcentage dans l’avenir ? Et peut-ĂŞtre combien dans le maintenant ?

GAIL : Ok, je dirais 45% dans le passĂ©, 45% dans l’avenir et environ 0,005% dans le moment prĂ©sent

ADAMUS : (rire) oui, indĂ©cise !

GAIL : Est-ce que je parle votre langue ! ?

ADAMUS : Nous devenons proches.

GAIL : Ok.

ADAMUS : Je dirais personnellement que 70% du temps sont passĂ©s dans le passĂ©. Au sujet des autres, oh, tout au plus, 5% sont passĂ©s dans le moment prĂ©sent. Le reste, se rĂ©flĂ©chissant dans le futur. Et le futur est très diffĂ©rent du passĂ©. J’y viendrais plus tard. Mais, bien, merci.

GAIL : Je vous en prie. Merci.

ADAMUS : Oui.

LINDA : Gagnante du prix ?

ADAMUS : Oui, oh, absolument. Absolument.

LINDA : Vous n’avez pas le droit de regarder ! C’est juste une chose Ă  prendre au hasard. Merci. VoilĂ .

ADAMUS : Merci. C’est un peu comme jouer aux osselets ici.

LINDA : C’est amusement.

ADAMUS : Allons vers Joe Engel.

LINDA : Ok, avec plaisir. OĂą est Joe Engel ?

ADAMUS : Oui… camĂ©ra… ici.

LINDA : Ah, nous y voilĂ . Non, il n’est pas sur la camĂ©ra. Ça y est, vous y ĂŞtes, monsieur.

JOE : Je dirai faire des choix, pour moi personnellement, ou accepter, peut-ĂŞtre, les consĂ©quences des choses que j’ai pu sentir qui me ralentissaient dans le passĂ©.

ADAMUS : Ainsi vous dites que faire des choix serait un dĂ©fi ?

JOE : Oui, probablement pour moi.

ADAMUS : Oui, bien, c’est bien. Si vous ne faites pas des choix, que faites-vous ?

JOE : Je deviens fou.

ADAMUS : Vous devenez fou, ouais. Laissez-moi vous demander, pourquoi ne voudriez-vous pas faire de choix ?

JOE : Par peur de l’échec ou peur d’aller au delĂ .

ADAMUS : Peur de faire un mauvais choix, peut-ĂŞtre ?

JOE : Ouais.

ADAMUS : Le mauvais choix ? Beaucoup de vieille conscience est associĂ©e au bon et au mauvais, au vrai et au faux, comment le monde voit vos choix. Vous avez la critique, comme tout le monde a, pour leurs choix par les parents par les professeurs et les autres. Ainsi, oui, c’est bien. Alors faites-vous des choix maintenant ?

JOE : Je fais un peu de travail d’art de temps en temps.

ADAMUS : Oui, mais faites-vous des choix ? Le travail d’art est merveilleux, mais que dites vous au sujet d’un choix ? Je sens que ma question est Ă©ludĂ©e.

JOE : Dans les grandes lignes - je ne fais pas probablement de choix en terme de…

ADAMUS : Merci de votre honnĂŞtetĂ©. Vous avez une rĂ©compense juste pour cela. Pas pour la rĂ©ponse, juste pour l’honnĂŞtetĂ©.

Vous avez raison. Il y a toujours une hésitation pour faire des choix et il y a encore la tendance de laisser les choses se faire. Suivre le courant. Voir ce qui se passera demain. Bien, je peux vous dire. La conscience est d’une certaine manière comme le temps. Elle est très prévisible pour la plupart des personnes, parce que vous pouvez presque prévoir que le temps demain sera le même qu’aujourd’hui. Ainsi ce qui se produit dans votre vie demain sera probablement comme ça l’est aujourd’hui. Jusqu’à ce qu’une tempête monte, qui se produit approximativement tous les 3 ou 4 jours - si vous prenez une moyenne. Alors soudainement, une tempête arrive et alors tout le monde se défoule au sujet du temps - un peu comme la conscience.

Sans faire de choix, vous ne faites qu’aller d’un jour Ă  un autre. Un jour comme les autres jours, jusqu’à ce qu’un orage frappe. Et alors vous devenez fou. « Pourquoi toutes ces mauvais trucs arrivent dans ma vie ? (rire d’une personne) ouais, vous et moi rions. Quel est le problème avec eux aujourd’hui ?

Alors une tempĂŞte arrive. Il y a beaucoup de drame. Bien, en partie l’orage vient parce que vous vous ennuyez terriblement avec votre train train quotidien. Ă€ un certain niveau Ă  l’intĂ©rieur de vous, vous savez que vous avez pris un engagement pour ĂŞtre ici pour une raison, pour faire quelque chose, ainsi c’est cette poussĂ©e qui vous avez – qui vous pousse dans le dos - qui dit, « fait quelque chose. Â» Vous pouvez mĂŞme dire que c’est la volontĂ© divine qui vous libère de votre ânerie humaine. Ouais, ainsi… Je pensais que c’était drĂ´le. (quelques rires)

Ainsi, oui, merci. Merci.

JOE : Merci.

ADAMUS : Mais question. Allez-vous commencer Ă  choisir ?

JOE : Oui, je choisis la volontĂ© divine.

ADAMUS : Oui, mais je veux dire choisir. Ouais, vous ĂŞtes la volontĂ© divine qui vous choisit, d’ailleurs. Vous ne la choisissez pas. Ne vous moquez pas de vous ici. (Rires d’Adamus)

JOE : Oui, oui.

ADAMUS : Je parle des choses dans votre vie. Je parle… est ce que je peux partager un peu de ce que nous parlons ?

JOE : Oui, absolument.

ADAMUS : Vraiment ?

JOE : Oui.

ADAMUS : Avec tout le monde ?

JOE : Allez-y. Je suis ici.

ADAMUS : Avec le monde ?

JOE : Pourquoi pas !

ADAMUS : Une des choses dont nous parlons, de notre propre manière intĂ©ressante, sont les frustrations que vous avez Ă  ne rien faire, vous n’accomplissez rien. Profonde respiration. Vous avez des aspirations extrĂŞmement Ă©levĂ©es. C’est pourquoi vous ĂŞtes venu si grand. Grandes aspirations. Des objectifs phĂ©nomĂ©naux. Peut-ĂŞtre un peu trop Ă©levĂ©s qui vous font pensez que vous ne pouvez pas sauter cet obstacle, vous ne pensez pas que vous pouvez l’accomplir.

Dans une certaine mesure - et je parle Ă  vous tous - dans une certaine mesure vous mettez cette barre si haut que parfois vous ne pouvez mĂŞme pas la voir. Parfois il n’y a aucune possibilitĂ© pour que votre mental humain puisse comprendre comment vous allez l’atteindre, ainsi vous approuvez, vous abandonnez dans l’échec. « Je ne peux pas le faire. Â» Il est presque plus facile de dire, « vous savez, je suis juste… j’ai des idĂ©es merveilleuses, mais c’est la sociĂ©tĂ© ou c’est mon karma ou quoi que ce soit d’autre qui me tire vers le bas et me rĂ©prime, Â» et alors vous ne faites rien, vous ne faites pas de choix.

Si vous deviez commencer à faire des choix, alors cela vous rendrait ouvert à ce que vous êtes vraiment venu faire ici. Et je ne parle pas de faire quelque chose ’comme un travail de cadre supérieur ou d’être un grand chanteur, mais vous auriez une chance dans quelques temps pour ça, ou écrire le roman de tous les romans. Vous savez, il y a beaucoup d’auteurs shaumbra merveilleux, mais ils recherchent les grands poissons. Ils recherchent la baleine. Ils écriront un livre seulement s’ils sentent que cela fera trembler les gens dans leurs chaussures, qu’ils tombent à genoux devant l’émerveillement des mots qui ont été écrits. Et s’ils ne peuvent pas faire cela, ils n’écriront pas de livre - ou quoi que ça puisse être.

Vous avez de brillantes perspicacitĂ©s dans le fonctionnement de l’énergie. Vous comprenez les cycles et les flux d’énergie, parce que vous l’avez Ă©tudiĂ©e, vous avez une passion pour elle et vous avez pour elle, oh, ce que vous appelleriez une conscience du troisième oeil. Vous comprenez comment elle se dĂ©place et coule, mais vous ne faites rien avec elle exceptĂ© d’être un grincheux parfois. Vous avez dit je pourrais… je suis dĂ©solĂ© que Kerri, est ce que j’ai dit ça ?

KERRI : Je ne l’ai pas dit !

ADAMUS : Mais je lui ai demandĂ© la permission d’être ouvert. Ainsi vous devenez grincheux. Pourquoi, grincheux ?

JOE : Parce qu’elle est l’intermĂ©diaire. Le saut Ă  partir du chaud, ĂŞtre dans…

ADAMUS : Non. Votre Ă©nergie est constipĂ©e (rires), et cela donnerait Ă  n’importe qui une mauvaise journĂ©e.

JOE : Absolument.

ADAMUS : C’est ça.

JOE : C’est vrai.

ADAMUS : Vous avez une merveilleuse Ă©nergie. Une merveilleuse Ă©nergie, mais elle est nouĂ©e en haut et elle est devenue très mentale. Vous savez ce que vous essayez de faire ? Vous ĂŞtes comme moi, oui, parce que vous essayez de sortir mentalement de votre prison. Vous essayez de mentaliser votre sortie. Cela ne fonctionnera pas et je vous dis que, et je vous dis encore et maintenant c’est sur la vidĂ©o et il y a peut-ĂŞtre cent mille personnes qui regardent en ce moment. Probablement pas, mais peut ĂŞtre.

Alors l’énergie refoule et voilà où vous êtes Monsieur….Non. Maître…, le Type de l’Energie qui Coule et qui comprend comment tout cela fonctionne – pas au niveau des maths ou même de la géométrie sacrée, bien que ce soit intéressant - mais de la nature intuitive du flux d’énergie. C’est comme si vous compreniez le flux énergétique comme un ingénieur en fluides comprend le mouvement de l’eau, des fleuves et des autres fluides. Oui. Mais tout est refoulé.

Alors que faites-vous ? Vous passez vos jours Ă  attendre que le jour suivant soit diffĂ©rent. Et il ne l’est pas. C’est comme le temps. Ce sera la mĂŞme chose demain. Jusqu’à ce que la tempĂŞte arrive et puis, en fait ce sera probablement l’une des choses qui vous fournira le plus d’excitation dans votre vie - les tempĂŞtes. Ainsi vous les crĂ©ez inconsciemment pour vous sortir de votre m… hors de votre zone de confort. (rires). Merci de me laisser parler si ouvertement Ă  ce sujet.

JOE : Merci pour ces Ă©claircissements.

ADAMUS : Je vous l’ai dĂ©jĂ  dit. C’est finalement… les autres l’entendent.

JOE : J’ai toujours senti que j’étais très fâchĂ© contre…

ADAMUS : Vous l’êtes.

JOE : … contre vous et…

ADAMUS : Vous l’êtes.

JOE : … ou que je n’écoute pas.

ADAMUS : Les deux ! Vous n’écoutez pas et alors vous devenez fâchĂ©. Si vous Ă©coutiez, vous ne seriez pas en colère. Vous avez une Ă©norme perspicacitĂ©, mais vous ne faites pas de choix – de votre propre aveu - et alors cela refoule et c’est comme si vous vouliez crier. Il y a des jours oĂą vous ne savez pas mĂŞme si vous voulez ĂŞtre ici, si vous le voulez ou pas. Vous… ohhh… vous n’acceptez pas l’amour des personnes qui essaient de vous en donner, y compris le petit, y compris l’être aimĂ©, y compris chacun ici. Vous avez cette barrière et vous ne l’acceptez pas, parce que, bien, dites-moi. Pourquoi ? Il y a des gens dehors lĂ  qui veulent dĂ©sespĂ©rĂ©ment vous aimer. Pourquoi ne les laissez-vous pas vous aimer ?

JOE : Je pense que peut-ĂŞtre j’ai peur de la façon… si je les laisse approcher trop près, j’aurais peur de la façon dont ils me voient ou la façon dont est ma vie.

ADAMUS : Aha. Aha. En fait, si je pouvais modifier un peu cela, vous avez peur qu’ils vous voient de la mĂŞme manière que vous vous voyez. Mais ils ne vous voient pas de cette façon. Ils n’essayent pas de voir les dĂ©fauts, les bosses, les meurtrissures et les mauvaises choses. Ce n’est pas leur intention. C’est peut ĂŞtre la votre – une auto-Ă©valuation excessivement critique. Ils essayent juste de vous aimer. Alors peut-ĂŞtre, juste peut-ĂŞtre, vous pourriez apprendre une leçon de ceux qui veulent vous aimer et regarder la compassion qu’ils ont et voir si vous pouvez faire cela pour vous-mĂŞme. Et alors nous ne vous appellerons pas Monsieur. Grincheux, nous vous appellerons Monsieur StupĂ©fiant. Merci. (applaudissements de l’assistance)

JOE : Merci.

LINDA : Qui est la prochaine victime ?

ADAMUS : Il n’y a aucune victime. Ah, oh, ha ha ha. Si vous pensez c’est un acte alĂ©atoire qui gĂŞne, ce n’est pas ça. Non, non, non, non. Il y a des choix ici. Maintenant, qui fait un choix ? Qui fait un choix ? Sart.

Sart, vous avez une sagesse incroyable Ă  partager avec le groupe. Alors basĂ©s sur votre expĂ©rience personnelle, quels sont les dĂ©fis de l’éveil ?

SART : Rester avec.

ADAMUS : Rester avec. Aidez-moi Ă  comprendre ce que voulez dire par ça.

SART : Rester avec au lieu de laisser un travail ou une activitĂ© l’affecter ou quelqu’un d’autre dans ma vie.

ADAMUS : Pourquoi ne voudriez-vous pas rester avec ?

SART : Parce que l’autre partie est confortable.

ADAMUS : IntĂ©ressant. Bon, excellent. Excellent. Maintenant que se passerait-il si vous ne restiez pas avec ?

SART : Alors je deviendrais grincheux. (beaucoup de rires et d’applaudissements d’Adamus et de l’assistance)

ADAMUS : Bien, la misère aime la compagnie, n’est ce pas !

SART : Oui.

ADAMUS : Oui, rester avec lui. Pourriez vous imaginer avec moi un instant, oh, vous tous si vous voulez. Ainsi vous dites, « rester avec lui, Â» j’écris « le courage. Â» Imaginez juste un instant, vous le laissez aller. Vous n’essayez pas de rester avec. Que se produirait-il ?

SART : J’apprĂ©cierais la vie davantage.

ADAMUS : (rire) Cela ressemble Ă  une assez bonne recommandation alors.

SART : Oui ça l’est.

ADAMUS : Oui.

SART : Et j’espère y arriver bientĂ´t.

ADAMUS : Oui. Alors - aidez-moi Ă  comprendre, parce que nous Ă©crivons un livre ici et nous essayons d’être clairs avec tous nos lecteurs - alors Ă  quoi ressemble rester avec ? Que feriez-vous pour rester avec ?

SART : Savoir que vous ĂŞtes Dieu et que vous crĂ©ez tout.

ADAMUS : Ok, dans les actions dans votre vie.

SART : Oui. Dans les actions journalières, chaque…

ADAMUS : Mais que feriez-vous pendant un jour ou une semaine ou un mois pour rester avec ? Vous forcez Ă  aller Ă  ces rĂ©unions ?

SART : Non, je pense que j’irais Ă  plus de confĂ©rences. Je…

ADAMUS : Lire des livres ? Étudier les Ă©critures saintes ?

SART : Ouais, j’ai arrĂŞtĂ© de lire en fait après un moment de…

ADAMUS : Ainsi, vous ne restez pas avec.

SART : Oui, je ne reste pas avec. J’ai laissĂ© les choses affecter ma vie. Quand j’ai un travail, je vais Ă  ce travail très chaud et lourd.

ADAMUS : Vrai.

SART : Parce qu’à certains moments je peux travailler Ă  mon travail et moi le laisser affecter mon non ĂŞtre, ou quelque soit la façon dont vous voulez l’appeler, avec moi mĂŞme.

ADAMUS : Votre vie spirituelle.

SART : Oui, avec ma vie spirituelle.

ADAMUS : Oui. C’est terrible comme les choses arrivent de cette manière.

SART : Oui.

ADAMUS : Fichtre ! S’il n’y avait pas toutes ces activitĂ©s humaines, vous seriez probablement vraiment spirituel. (rire)

SART : Oui. Si j’arrĂŞtais d’acheter des voitures.

ADAMUS : Oui, encore, imaginez avec moi un moment, si vous ne vous Ă©tiez pas souciĂ© de rester avec, si…

SART : ça n’avait pas d’importance.

ADAMUS : Si cela n’avait pas d’importance ou que peut-ĂŞtre vous ayez une profonde confiance en vous-mĂŞme dans le processus plutĂ´t qu’une dĂ©termination humaine ou parfois une obstination de devoir faire certaines choses, peut-ĂŞtre laisser aller et comprendre que rien ne peut se mettre sur le chemin. Rien. C’est naturel. C’est un processus naturel lors de l’éveil, et finalement chacun passe par lui. Chaque ĂŞtre le traversera. Vous ĂŞtes juste peu un fou pour l’avoir traversĂ© en premier, ou plus tĂ´t que les autres.

Mais il y a un phĂ©nomène intĂ©ressant et certains pensent que c’est une discipline, une Ă©tude, un rituel ou une pratique. La plupart d’entre vous ĂŞtes arrivĂ©s ici de cette manière - cherchant ou dĂ©sirant encore une autre structure. A un certain niveau, la structure vous dĂ©plaisait, mais Ă  un autre niveau vous sentiez qu’il Ă©tait important d’avoir une certaine structure parce que vous n’aviez pas Ă  vous faire confiance, il y avait une structure. Mais que se passe t’il quand vous laissez aller, quand vous arrĂŞtez de travailler avec elle, lĂ  oĂą votre travail est spirituel, lĂ  oĂą mĂŞme les distractions sont spirituelles, en fait vous convertissez cette l’énergie ou cette conscience dans « tout est spirituel Â»â€™ et finalement, il n’y a rien de spirituel. La spiritualitĂ© est un mot lĂ©gèrement corrompu, Ă  mon humble avis.

SART : Je savais ça.

ADAMUS : Cela est. Cela est. DĂ©solĂ© d’avoir pris sur votre temps de parole.

SART : Non, c’est très bien. Je suis prĂŞt pour le grand changement, je pense, pour laisser aller cela. Laisser aller cela.

ADAMUS : Uh-oh ! Uh-oh ! (Rires d’Adamus)

SART : Oui.

ADAMUS : Ces fameux presque derniers mots.

SART : Presque derniers mots.

ADAMUS : Oui. Bien, bien. Et quel genre de changements ?

SART : Oh je pense comme vous le dites, pour faire…

ADAMUS : Grand comment ?

SART : … oĂą ça n’a pas d’importance.

ADAMUS : Grand comment ?

SART : Je ne sais pas. Il y a longtemps que je n’ai pas fait de grande chose ici.

ADAMUS : Bien, nous travaillerons lĂ  dessus plus tard.

SART : Ouais.

ADAMUS : Avant la fin de notre session, qui pourrait se finir tard. (Rires Ă©touffĂ©s d’Adamus)

SART : J’ai beaucoup de temps.

ADAMUS : Ainsi, bien. Merci et une rĂ©compense pour vous.

SART : Merci.

ADAMUS : Bien sĂ»r. Et, chère Linda, vous n’avez pas besoin de courir si vite, parce qu’un micro va aller directement jusqu’à Bonnie.

BONNIE : Je pense que pour moi c’est le fait de rester Ă©quilibrĂ©e. Je sors facilement de l’équilibre.

ADAMUS : Oh, j’aime celui-lĂ . Rester Ă©quilibrĂ©. Alors que se passe t-il Chère Bonnie, quand vous sortez de l’équilibre ?

BONNIE : Bien, les choses ne sont plus les mĂŞmes. Les choses changent, et je ne sais pas comment rĂ©agir.

ADAMUS : Quand vous dites choses sont elles pas les mĂŞmes, les choses ? Vous ? Le monde ? Moi ?

BONNIE : Moi. Je parle de moi, parce que c’est moi qui sort de l’équilibre.

ADAMUS : Oui.

BONNIE : Et je suis effrayĂ©e de sortir de l’équilibre. C’est comme si je ne peux mĂŞme pas marcher sur le sol sans sentir qu’il est diffĂ©rent maintenant.

ADAMUS : Oui. Et qu’est ce que l’équilibre ?

BONNIE : Je ne sais pas. C’est se sentir confortable entre les trucs qui ne sont pas si bons et les choses qui sont vraiment bonnes, c’est juste rester au milieu.

ADAMUS : Pensez-vous que l’équilibre est toujours employĂ© comme un mot ou un raisonnement pour tout garder en ordre ?

BONNIE : ContrĂ´le, ouais.

ADAMUS : Je n’ai pas dit le contrĂ´le. Vous avez dit contrĂ´le, mais vous avez absolument raison. ContrĂ´le. Garder les choses en ordre, la dernière zone de confort avec vous-mĂŞme, mais aussi l’attente que ce damnĂ© reste du monde devrait ĂŞtre en ordre, et il ne l’est pas ! Il ne l’est pas ! C’est le chaos dehors. Mais en fait, Bonnie, le chaos est une chose Ă©tonnante pour plonger dedans, et vous avez eu quelques expĂ©riences avec lui. Il n’y a vraiment aucun chaos ; il y a juste beaucoup de mouvements d’énergie et de conscience qui sont mal compris ou non connus, c’est chers amis comme Joe qui comprend vraiment ce qu’il se passe mais qui n’a pas fait le choix de faire quelque chose avec ça. Mais il n’y a pas de chaos. C’est la chose Ă©tonnante.

Comme j’aime le préciser si souvent, le monde, l’univers, la création est dans un ordre parfait. C’est juste que vous ne comprenez pas tout à fait comment il est ordonné. Alors il y a une frustration interne pour absolument savoir comment est ordonné cet ordre et qui a ordonné de le commencer. Dans cette vie vous ne pourrez pas le comprendre avec le mental, mais vous pouvez le sentir. Mais vous devez vous permettre de ressentir le chaos.

J’ai posĂ© la question qu’est ce que l’équilibre ? Ma rĂ©ponse est, le chaos absolu. Cela Ă  l’air d’être une contradiction, mais le vĂ©ritable Ă©quilibre au niveau du noyau de la crĂ©ation est le chaos. C’est le chaos dans la perception humaine, mais c’est vĂ©ritablement dans un ordre parfait ; pas en ordre d’un point de vue des mathĂ©matiques, ni de la nature ou de la science, certainement pas dans un ordre de Dieu. C’est un Ă©tat de perfection dĂ©ployĂ©e.

Maintenant c’est une contradiction en termes humains, parce que théoriquement la perfection n’a pas besoin de changer. Elle est parfaite. Mais pourtant la perfection, toute la création, évolue constamment. Ce serait une contradiction de termes, qui apparaîtrait comme étant le chaos, mais ça ne l’est pas, parce que la véritable perfection et le véritable équilibre veut continuer à expérimenter sa perfection et ses potentiels. Et c’est là où nous irons plus tard aujourd’hui, peut-être ce soir. Nous parlerons des potentiels. Merci.

BONNIE : Merci.

ADAMUS : Plonger dans le chaos. Le chaos vous a appelĂ©. Le chaos vous a invitĂ© Ă  sa table, et vous avez criĂ© et donnĂ© des coups de pied. Mais c’est une chose Ă©tonnante.

BONNIE : Merci.

ADAMUS : Merci. Et quand vous rentrez dans le chaos, comprenez que ce n’est vraiment pas chaotique.

BONNIE : Super.

LINDA : Y a-t-il un prix ?

ADAMUS : Oh, absolument.

LINDA : Juste un, Bonnie.

ADAMUS : Bien maintenant faisons-le par choix. Vous choisissez si vous voulez que Linda vous donne le micro. Levez lez mains.

SHAUMBRA (FEMME) : Mon dĂ©fi a Ă©tĂ© l’augmentation de la clartĂ© au sujet de choses comme l’intĂ©gritĂ©, la clartĂ©, Ă  un niveau entièrement diffĂ©rent, qui sollicite l’action, cela a Ă©tĂ© un dĂ©fi.

ADAMUS : ClartĂ© accrue. Puis je mettre mes propres mots ici, pour le livre ? Conscience.

SHAUMBRA(FEMME) : Okay.

ADAMUS : Conscience, clartĂ©. Maintenant beaucoup de Shaumbra n’ont pas cela. Ils ressentent presque un manque de clartĂ©. Mais vous dites que vous avez plus de clartĂ©, plus de conscience.

SHAUMBRA (FEMME) : Oui, et cela affecte ma vie parce que les choses que je pensais ĂŞtre bonnes ou qui allaient bien, avec cette clartĂ© je rĂ©alise soudainement que m’étais menti Ă  mon sujet.

ADAMUS : Ah ! Quels sont les mensonges lĂ -dessous ? Quels sont les mensonges lĂ -dessous, c’est un grand dĂ©fi, et cela est en rapport avec la gestion de l’énergie et le fait de faire des choix, ce dont nous avons parlĂ© tout Ă  l’heure. Tout est reliĂ©. Et cela est aussi en rapport avec le fait que vous ne pouvez pas revenir en arrière. Alors vous commencez Ă  devenir plus conscients, vous prenez conscience des premières Ă©tapes, vous prenez conscience de ce que vous considèreriez comme tous vos dĂ©fauts et tous les mensonges qui ont Ă©tĂ© dits. Vous regardez le cĂ´tĂ© sombre des expĂ©riences que vous avez eues et arrive alors le dĂ©sir de devenir moins conscients.

SHAUMBRA (FEMME) : Ouais.

ADAMUS : D’un autre cĂ´tĂ©, parlons de cet autre cĂ´tĂ© – le manque de conscience. Beaucoup de Shaumbra dĂ©sirent vraiment l’éveil, je vais donc Ă©crire une petite note ici. Puisque vous avez la conscience, comment l’obtenez-vous ? Comment avez-vous obtenu votre conscience ? Y a-t-il un remède Ă  base d’herbes sur le marchĂ© de la conscience ?

SHAUMBRA (FEMME) : Je pense que le plus grand changement est venu quand j’ai fait l’atelier Interdimensionnel. Je suis restĂ©e ici et je me suis mise en expansion dans tout ce que je suis.

ADAMUS : Donc vous avez fait un choix pour ĂŞtre plus consciente et maintenant vous dites que c’est un dĂ©fi ?

SHAUMBRA (FEMME) : Oui.

ADAMUS : C’est ça, oui.

SHAUMBRA (FEMME) : Je reviendrais en arrière pour rien au monde, et c’est un dĂ©fi…

ADAMUS : Et c’est un dĂ©fi.

SHAUMBRA(FEMME) : … avoir Ă  retravailler les relations dans ma vie et…

ADAMUS : Oui. Et y a-t-il quelque chose que vous pourriez partager avec de futurs lecteurs potentiels sur la façon de devenir plus conscient ?

SHAUMBRA (FEMME) : C’est comme s’installer – ça a l’air un peu bizarre – comme s’installer dans une chaise très confortable Je me sens comme si je m’étais assise sur le bord de ma chaise pour rester en conscience.

ADAMUS : Pourrais-je revenir Ă  certaines des autres rĂ©ponses ici. Plus de conscience serait de rester dans le moment prĂ©sent. Et faire des choix vont naturellement amener la conscience.

SHAUMBRA (FEMME) : Oui.

ADAMUS : Mais d’autre part vous ne pouvez pas revenir en arrière.

SHAUMBRA (FEMME) : Vrai.

ADAMUS : Vous ne pouvez pas revenir en arrière. Bien. Merci. Merci.

SHAUMBRA (FEMME) : Je vous en prie.

LINDA : Gagnante d’un prix.

ADAMUS : Oh, absolument.

LINDA : VoilĂ .

ADAMUS : Il n’y a aucune mauvaise rĂ©ponse, juste des rĂ©ponses qui peuvent causer de la peine. Oui, Peter. Bonjour Peter.

PETER : Merci.

ADAMUS : Avez-vous payĂ© les 25 $ aujourd’hui ?

PETER : Oui.

ADAMUS : En avez-vous eu pour votre argent ?

PETER : Oh, incroyable. Merci.

ADAMUS : Oui. StupĂ©fiant.

PETER : Ouais. Je pense que ce qui se produit chez moi c’est une apprĂ©ciation croissante pour une conscience qui grandit chez moi.

ADAMUS : Vrai.

PETER : Et je trouve que… ce qui vient Ă  la conscience a deux aspects.

ADAMUS : Vrai.

PETER : Un qui a Ă©tĂ© enseignĂ© – j’en discutais aujourd’hui - est le pĂ©chĂ© originel, celui oĂą je suis mauvais et tout ce truc. Et il y a l’autre qui est joie, paix et gratitude. Et je constate que plus que je vais dans la paix et la gratitude, c’est comme une sorte de reflets qui m’aide au niveau du pĂ©chĂ© originel, pour parler du Moi.

ADAMUS : J’ai notĂ© une chose intĂ©ressante chez les humains - pas nĂ©cessairement Shaumbra - mais les humains aiment le pĂ©chĂ© originel. Donnez-leur le choix entre la conscience du pĂ©chĂ© originel et la conscience heureuse et joyeuse, le plus souvent ils vont vers le pĂ©chĂ© originel.

PETER : Oui. C’était un mensonge. C’est un mensonge.

ADAMUS : Oui, mais ils l’aiment aussi.

PETER : Oh ouais ! Et je suis conscient de combien ils l’aiment.

ADAMUS : Vous savez, l’église le vend, mais quelqu’un l’achète.

PETER : Ouais.

ADAMUS : Et c’est pourquoi c’est une relation rĂ©alisable.

PETER : Oui.

ADAMUS : Oui. Mais le dĂ©fi. Quel est le dĂ©fi ?

PETER : Bien, le dĂ©fi est d’abandonner ce pĂ©chĂ© originel et de ne plus y rentrer pour reconnaitre ce qui arrive dans ma vie.

ADAMUS : Vrai.

PETER : ĂŠtre joyeux, avoir de la gratitude et Ă©mettre une estime positive aux gens.

ADAMUS : Oui. Oui, maintenant, est-ce un dĂ©fi d’abandonner l’obscuritĂ©, la culpabilitĂ©, le… ?

PETER : J’ai Ă©tĂ© programmĂ© Ă  faire cela. Je suis programmĂ© pour faire ça, okay, et l’autre cĂ´tĂ© c’est quelque chose que l’on ne m’a pas enseignĂ© - la gratitude.

ADAMUS : Alors, si je peux l’énoncer dans mes mots, vous roulez sur l’autoroute, sur votre cĂ´tĂ© droit il y a un magnifique fleuve qui serpente avec des saules tout le long de la berge ; et sur le cĂ´tĂ© gauche il y a cinq bâtiments en feu avec les pompiers, les ambulances et les hĂ©licoptères. OĂą regardez-vous ?

PETER : Ouais, je vais regarder probablement en premier le feu et les ambulances.

ADAMUS : Vrai.

PETER : Et alors je dis, « Ă§a ne sent pas bon. Cela ne me sert pas. Â»

ADAMUS : Exactement.

PETER : Et ensuite je vais vers l’autre cĂ´tĂ©, vers ce beau dĂ©sert, les montages et le coucher de soleil.

ADAMUS : Environ un millionième d’une seconde, et puis vous retournez aux sirènes.

PETER : Oui, et je choisis cela. Et je sais que c’est bon pour moi maintenant. C’est une chose pure.

ADAMUS : Oui. Mais - et ici nous parlons d’une façon gĂ©nĂ©rale, pas simplement pour vous - mais il y a une tendance Ă  ce que les humains continuent Ă  regarder le feu, le drame. Il y a une fascination morbide avec ça. Il y a une excitation. Il y a une action. Cela stimule les sens primaires des humains et c’est le drame. Et le beau fleuve qui serpente… plus tard. « Plus tard, Â» disent ils. « Mais le feu se passe en ce moment. Â»

PETER : Ouais.

ADAMUS : Si vous deviez rĂ©sumer en quelques mots, le dĂ©fi serait… ?

PETER : Exprimer ma lumière intĂ©rieure.

ADAMUS : Pas tout Ă  fait.

PETER : Pas tout Ă  fait, bien.

ADAMUS : Non, non. Un dĂ©fi. Quelqu’un lit ce livre et dit, « quels sont les dĂ©fis qui sont incroyables… Â»

PETER : C’est la responsabilitĂ©. Prendre la responsabilitĂ© de ma vie et de mes choix.

ADAMUS : Audience, une meilleure façon d’énoncer ceci Ă  partir de votre expĂ©rience personnelle ?

SHAUMBRA : Le drame.

ADAMUS : Le drame. Merci. Merci, oui. C’est l’attention au drame par opposition - je vais l’appeler - aux potentiels. Oui. Bien, excellent. Ok, et juste un de plus. C’est juste l’échauffement de notre discussion, je dois entrer dans ma confĂ©rence ici.

LINDA : L’échauffement ? Okay.

ADAMUS : Oui, juste ici. Elizabeth. Je peux sentir votre passion qui coule Ă  flot.

ELIZABETH : Vraiment ?

ADAMUS : Oui.

ELIZABETH : Je dirais que le plus grand dĂ©fi pour moi est de cesser de me harceler et d’honorer combien je suis venue de loin plutĂ´t qu’être frustrĂ©e parce que je n’ai pas fait ceci, ceci ou cela. Vous savez, apprĂ©cier qui je suis Ă  chaque moment qu’importe ce que je fais en laissant ma perfection ĂŞtre.

ADAMUS : Alors le dĂ©fi a Ă©té…

ELIZABETH : Oui, absolument. La critique au lieu de l’approbation.

ADAMUS : Soi mĂŞme…

ELIZABETH : Amour ? Approbation ?

ADAMUS : Le doute Ă  propos de soi, dĂ©ni, analyse critique. (Adamus Ă©crit)

ELIZABETH : Oui, tous ceux lĂ .

LINDA : Jugement ?

ELIZABETH : Ouais, jugement.

ADAMUS : Et le moi entier, et peut-ĂŞtre nous pouvons dire la dignitĂ©. « Je ne suis pas digne. Â»

ELIZABETH : Absolument. Bon mot.

ADAMUS : Et si vous Ă©tiez digne, tout d’abord, Dieu serait sur votre seuil chaque matin avec votre petit dĂ©jeuner si vous en Ă©tiez digne.

ELIZABETH : Oui.

ADAMUS : Et tout coulerait parfaitement dans votre vie et tout le monde vous aimerait totalement et serait Ă©tonnĂ© par vous.

ELIZABETH : Bien dit !

ADAMUS : Oui, oui.

LINDA : Ceci n’est pas très bien traduit. Vous ĂŞtes sarcastique, vrai ?

ADAMUS : Yah !

ELIZABETH : Ah, ouais !

LINDA : Je veux juste aider ceux qui doivent traduire les canalisations.

ELIZABETH : Ah, bon point.

ADAMUS : Je comprends. Tout cela sont des ordures Ă  propos du soi et, si je pouvais ici, moi dirait que c’est probablement l’un des plus grands problèmes, et cela nous ramène un peu dans le prĂ©cĂ©dent, le drame, mais Ă©galement il est plus facile de regarder votre cĂ´tĂ© obscur que votre cĂ´tĂ© lumineux. Vous ne croyez pas nĂ©cessairement que le cĂ´tĂ© lumineux – je ne veux pas diffĂ©rencier l’ombre et la lumière, mais ceux qui lisent le feront - est presque plus attirant. Ils ont Ă©tĂ© conditionnĂ©s Ă  regarder l’obscuritĂ© et la conclusion est - « si j’étais une meilleure personne, je serais plus spirituelle et davantage lumineuse. Â» Pas du tout.

Vous devriez rencontrer certains des grands maĂ®tres ascensionnĂ©s des autres royaumes ! Ils Ă©taient des criminels. Ils Ă©taient des hĂ©rĂ©tiques. Ils ne se sont pas conformĂ©s Ă  la loi - aucuns. Ils ont parlĂ© d’une façon profane Ă  Dieu et de Dieu. Mais ils Ă©taient les rebelles. Ils ont dĂ» exploser ce dont je vais parler dans un moment – les formules. Donc Merci. C’est très perspicace.

ELIZABETH : Merci.

ADAMUS : Allons vers un de plus.

LINDA : Okay.

ADAMUS : Les mains se lèvent.

LINDA : Les courageux. Avez-vous un choix ?

ADAMUS : Non, allez-y. Vous choisissez.

LINDA : Ok. Ah, pas cela encore.

STEVE : Est-ce que j’ai le prix d’abord ?

LINDA : Non vous avez d’abord le micro. DĂ©solĂ©e.

STEVE : Confusion mentale.

ADAMUS : Confusion mentale. Oui. Et ces deux mots sont fondamentalement le mĂŞme mot (rire) alors nous allons juste l’appeler « mental. Â» Il y avait une Ă©poque oĂą le mental n’était pas confus, mais c’était il y a longtemps. C’est un des autres livres que j’adorerais que quelqu’un Ă©crive, parce que j’en ai d’autres Ă  l’esprit, mais pour revenir en arrière, vraiment canaliser le passĂ© et la crise AtlantĂ©enne, la transformation du mental en Dieu.

STEVE : Mon mental adorerait tout savoir Ă  ce sujet.

ADAMUS : Oui. Oui, il. Mais si vous Ă©criviez le livre, cela devrait venir de votre coeur, et alors votre mental dirait, « mais tu es en train de tout inventer. Â» Mais le faites-vous ? C’est la grande question et c’est le dilemme mental qui se produit. La grande question. La grande question.

Ainsi, bon. Nous sommes exactement lĂ  oĂą je voulais ĂŞtre - douze - et il est temps de dĂ©cider qui va avoir… oh, après que votre rĂ©compense soit donnĂ©e. Qui va avoir les cinq cents ?

LINDA : Les cinq cents quoi ?

ADAMUS : J’ai dans la poche de Cauldre… mais dĂ©cidons d’abord qui va l’avoir. Et personnellement je serais honorĂ© si nous pouvions rĂ©compenser Joe pour son honnĂŞtetĂ©. (l’audience approuve et applaudit) un billet craquant de cinq cents dollars - de Hongrie. Oui. (rire) et si vous pouviez le lever jusqu’à la camĂ©ra, s’il vous plait. Tenez-le en l’air… non, venez ici.

LINDA : (Ă  Joe) Votre sac autour du cou est beau.

ADAMUS : On a dit qu’il y a une ressemblance avec moi lĂ  dessus. Et si nous pouvions trouver une manière de le faire voir ici. Continuez Ă  le tenir devant la camĂ©ra. (l’image vient sur l’écran et Shaumbra dit, « Ahh ! ") Merci. DĂ©pensez le sagement.

Merci. … (applaudissements de l’assistance) et Linda était si contrariée que je distribue la ferme.

Bouger de l’énergie

Prenons - hmm, il y a tellement à dire - mais faisons une pause d’évolution énergétique un instant avant que nous rentrions dans le sujet. Avec un peu de musique.

LINDA : S’il vous plait.

ADAMUS : Et ouvrons un peu notre voix. Hannibal si vous voulez bien, vous avez neuf minutes.

HANNIBAL : (en chantant) neuf minutes !

ADAMUS : Neuf minutes !

HANNIBAL : Neuf minutes. Bien. Et ce n’est pas du temps du tout, asseyez vous droit et prenez une profonde respiration. D’abord, nous allons commencer par mettre les mains sur le visage… et fredonner, avec la bouche en avant. (l’assistance le fait) Hmmmmmmmmmmm.

Très haut. Aussi haut que possible. Hmmmmmmmmmmm. Fredonnez. La bouche en avant, comme le bec d’un oiseau. Hmmmmmmmmmmmmm. Pouvez-vous sentir la vibration ? Pouvez-vous sentir la vibration sur le crâne ? (Hannibal met ses mains sur la tĂŞte)

Hmmmmmmmmmmmmmm. Plus fort. Plus fort. Respirez plus profondément. Hmmmmmmmmmmmmm.

Les mains ici (sur les cĂ´tĂ©s du visage) Oh-h-h-h-h-h-h-h-h-h-h-h ! E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e !

E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e ! Comme une spirale. Plus haut, plus haut, plus haut !

Je vais vous faire voir - e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e - et redescendez, puis vers le haut dans la voix de la tĂŞte. Utilisez juste la voix de la tĂŞte, ne descendez pas. Beaucoup de personnes veulent juste rester dans la voix de la poitrine. Nous voulons aller chercher la voix de la tĂŞte. Prenez une grande respiration. E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e !

Qu’est ce que vous ressentez ? Refaisons-le. Refaisons-le. Une grande respiration. E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e !

Hah ! Hah ! Hah ! Vous devez ouvrir la bouche. Vous devez ouvrir la bouche d’abord. Une grande bouche. Sans rĂ©primer. Hah ! Hah ! Hah ! Hah ! Rapidement. Rapidement. Hah ! Hah ! Très vite. Hah ! Hah ! Hah ! Hah ! Hah ! Hah ! Hah !

Debout, debout, debout. Les mains sur le ventre et ouvrez la bouche d’abord et pressez et puis regardez moi, regardez moi. Hah ! Hah ! Ouvrez la bouche en premier. Hah ! Oui ! Hah ! Oui. Hah ! Hah ! Hah !

Faisons la tonalitĂ© O.O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o. Faites les mains. O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o. Plus haut ! O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o. O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o.

E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e. Bouche ouverte. E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e.

Faisons A-a-a-a-a-a-a-a-a. Faisons U-u-u-u-u-u-u-u-u. Faisons O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o. Et oh. Oh-h-h-h-h-h-h-h-h-h-h-h…

Je vais vous faire chanter un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit. Ok allons y. Un… ExtrĂŞme ! ExagĂ©rez, ExagĂ©rez, ExagĂ©rez, ExagĂ©rez. De façon extravagante. Bonne respiration et U-n-n-n-n-n-….

Si vous commencez Ă  cette hauteur, oĂą allez-vous aller ? Commencez plus bas. Une bonne respiration et nous y allons U-n-n-n-n…

Une bonne respiration, D-e-u-u-u-u-u-u-x… T-r-o-i-i-i-i-i-s… Q-u-a-t-r-e-e-e-e-… Ci-i-i-i-i-i-i-n-q… S-i-i-i-i-i-i-i-i-i-x… S-e-e-e-e-e-e-p-t. Ouvrez la bouche !

Vous n’avez pas la bouche ouverte. Allez Ă  « sept. Â» SEPT ! ! Soyez extravagants, extrĂŞmes. Allez. S-e-e-e-e-e-p-t… H-u-u-u-u-i-i-i-i-i-t.

Merci beaucoup ! (applaudissements de l’assistance) Merci. Vous pouvez vous asseoir maintenant. (Hannibal fait un rire exagĂ©rĂ© et l’assistance l’imite.)

LINDA : Merci. Merci ! Est-ce que c’est une voix ou autre chose ? Wow.

La zone d’éveil

ADAMUS : Chers Shaumbra, le mois dernier nous avons parlĂ© de cette convergence ou de cette rĂ©union de l’onde humaine et de l’onde divine. Tout naturellement, je le simplifie, parce qu’il y a beaucoup d’autres ondes qui participent Ă  ceci. Mais pour vous rappeler, nous avons parlĂ© du divin comme un flux, comme un rythme sur lequel vous pouvez vous brancher, et de l’humain qui a son propre flux et rythme. Et avec les deux, c’est parfois une très belle danse qu’ils font ensemble.

Ils reviennent ensemble et ils partent vers leur propre voyage, et ils reviennent. Et chaque fois qu’ils sont proches l’un de l’autre, ils partagent leurs expériences, ils partagent ce qu’ils ont appris. Comme vous assis ici en ce moment, une partie de vous apprend et expérimente, il y a aussi votre divin qui est également dans les autres royaumes qui apprend et expérimente. C’est une danse merveilleuse. C’est une danse naturelle.

TĂ´t ou tard, ces Ă©lĂ©ments dĂ©cident de venir ensemble, et c’est ce qui se produit en ce moment. Ainsi ces ondes Ă  un certain point se croisent et font alors une danse Ă©ternelle ensemble, encore et encore et encore. Ce point ici s’appelle le point « X Â» ou l’éveil ou la zone, et c’est lĂ  oĂą vous ĂŞtes. Il n’y a pas beaucoup d’humains qui sont lĂ . Ils sont quelque part en arrière ici, ici, mais vous vous ĂŞtes lĂ .

Tobias, dans le travail qu’il a fait avec vous au cours des années – tout au long des âges en fait, mais au cours des années – a fait cette danse avec vous et vous a amenés dans cette première zone d’éveil. Il vous a rassurés, si rien de plus, que vous étiez divins, que vous n’étiez pas fous. Il vous a aidés à apaiser certaines des blessures que vous aviez supportées tout au long du chemin – ce que l’humain avait enduré sur le chemin. Il vous a aidés à regarder dans les potentiels du futur qui vous amèneraient à ce point et que d’une façon c’était réconfortant et rassurant et que vous pouviez voir dans vos potentiels.

Ainsi il a aidĂ© Ă  vous amener ici et nous nous sommes passĂ©s le relais et il a dit, « Adamus, tu le prends Ă  partir d’ici, parce que je retourne. Je vais contourner ceci (l’onde) je reviens pour ĂŞtre avec Shaumbra ici (le point « X Â») pour travailler avec eux d’une manière très diffĂ©rente. Â»

Ainsi, et nous avons parlĂ© de ceci avec un autre groupe rĂ©cemment, mais juste avant que vous entriez dans cette zone (la zone « X Â»), l’humain devient très, très fantasque, si nous devions magnifier ceci juste avant que vous entriez dans le point « X Â». (Adamus dessine onde irrĂ©gulière) cela devient très turbulent.

L’esprit - votre divin - répond avec une forme intéressante de compassion, une réflexion très intéressante de vous-même. Quand vous devenez fantasques, hors de l’expérience et que vous avez aussi une compassion et une compréhension de ce que vous êtes en train de traversez, cela devient irrégulier aussi (Adamus dessine une autre onde irrégulière) décide de ne pas suivre exactement votre modèle mais se désynchronise de vous. Les ingénieurs, les découvertes scientifiques comprennent la synchronisation. Quand les fréquences fonctionnent ensemble au même niveau, c’est une merveilleuse musique. Quand elles ne travaillent pas ensemble, c’est affreux. C’est affreux.

Mais il y a un but Ă  cela. Ce n’est pas fait avec une mauvaise intention ou par stupiditĂ© de la part du divin, et gĂ©nĂ©ralement pas de la part de l’humain, parce que - pour le simplifier - quand cela (le modèle de l’onde) n’est pas synchronisĂ© ou est dĂ©phasĂ©, il y a un dĂ©sir très fort de revenir de nouveau dans la phase - mais pas dans la vieille phase, ou dans les vieux modèles. Et c’est dans cette zone irrĂ©gulière juste avant d’entrer dans la zone« X Â», que ces modèles irrĂ©guliers d’une manière communiquent les uns avec les autres - pas avec des mots ou avec des sons - mais ils communiquent et disent, « allons au prochain niveau. Faisons-le diffĂ©remment . Au lieu de ce reflux constant, de cette danse du cygne constante, faisons-le ensemble. Â»

Ce comportement fantasque donne (appelons le, Ă©nergie ou Ă©lan pour aller jusqu’au point oĂą vous ĂŞtes en ce moment) l’éveil. Et je n’aime pas tellement le terme « Ă©veil Â» car cela fait comme si vous Ă©tiez complètement endormis, et en fait vous ne l’avez jamais Ă©tĂ©. Vous aviez juste crĂ©Ă©s diffĂ©rents niveaux de conscience, et vous dites, « ouvrons-les maintenant. Â»

Beaucoup de choses intĂ©ressantes se produisent ici, et ensemble, travaillant avec Shaumbra autour du monde, nous allons Ă©crire et parler de ce qui se passe dans cette zone de turbulences et qu’est ce qui se produit une fois que vous ĂŞtes ici (la zone « X Â»). Cela n’aurait il pas Ă©tĂ© intĂ©ressant et utile pour vous s’il y avait eu quelque chose qui n’était pas de la merde philosophique…

SHAUMBRA : Oui !

ADAMUS : Merci… qui n’était pas de la thĂ©orie, qui n’était pas juste un livre que quelqu’un voulait vendre Ă  des millions d’exemplaires, que ce n’était pas quelqu’un qui essayait simplement de devenir un grand gourou. Cela n’aurait il pas eu de la valeur si quelqu’un avait divulguĂ© ceci, pas avec tous les dĂ©tails, bien sĂ»r, mais aurait dit, « voici en quelque sorte ce qui se produit. Vous allez avoir votre propre manière de l’expĂ©rimenter, mais voici en quelque sorte ce qui se produit. Â» Et c’est ce que nous faisons.

C’est une des grandes raisons pour lesquelles vous ĂŞtes venus ici sur terre, pourquoi vous ĂŞtes restĂ©s ici sur terre, et pourquoi vous sentez cette connexion avec Shaumbra. Et nous allons le faire d’une façon simple, facile Ă  comprendre, et nous n’allons pas le faire avec un truc de luxe. Nous allons l’écrire de façon Ă  ce que les humains comprennent. Pourquoi l’écrire dans des termes Ă©sotĂ©riques et thĂ©ologiques que personne ne comprend et qu’ils lisent Ă  la hâte ? Nous allons l’apporter, parce que, vous savez, nous pouvons le faire, parce que vous ĂŞtes passĂ©s par l’expĂ©rience et que vous ne voulez pas le rendre plus le complexe que ce que c’était. C’était suffisamment complexe. Ainsi nous avons un appel pour la simplicitĂ©.

Que se passe t-il dans cette zone « X Â» ? Et d’ailleurs vous verrez qu’il y a une diffĂ©rence dans la zone de turbulences par opposition Ă  la zone « X Â». Dix ans passĂ©s dans la zone de turbulences, maintenant nous sommes dans la zone « X. Â»

Alors qu’est ce qu’il se passe ici ? Alors qu’est ce qu’il se passe ici ? Bien, un certain nombre de choses. Les formules ne fonctionnent pas, et les formules sont ces choses que vous avez conçues, les petites formules pour votre vie humaine. Elles ne fonctionnent plus. Les humains et mĂŞme les anges vivent avec des formules (de beaux petits systèmes de croyance prĂ©emballĂ©s, comme aller Ă  l’épicerie dans le rayon des aliments surgelĂ©s, mais c’est la section non stimulĂ©e des croyances et ils saisissent les choses des rayons) des formules pour la façon dont ils vivent.

Maintenant, il est admis que quelques formules sont appropriĂ©es. Une formule pour conduire votre voiture, c’est d’un commun accord. Mais pour la plupart, les gens sont emprisonnĂ©s dans les formules. Comment s’habiller ? Vous savez, c’est une formule. Il y a beaucoup de diffĂ©rentes formules qui disent comment vous ĂŞtes censĂ©s manger. Mais les gens ont des croyances de formule. Ils ont des routines et des habitudes qu’ils rĂ©pètent encore et encore pour essayer de mettre de l’ordre dans leur vie, mais ils ne sentent pas qu’il n’y a pas d’ordre. Ils essayent de mettre de l’ordre, mais ils savent qu’il n’y en a pas. C’est comme essayer de ratisser les feuilles dans une tempĂŞte. Cela ne marchera pas. Mais les formules donnent du confort.

Les formules ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es ici (dans la zone avant l’éveil), je veux dire des vies de formules, et maintenant vous ĂŞtes ici (« X ") et elles ne fonctionnent pas. Cela donne l’impression que l’humain tombe en morceaux. (Adamus dessine une figure « tombĂ©e Â»). Cela donne l’impression que tout s’émiette et que l’humain dĂ©gringole dans des abĂ®mes ne sachant pas s’il en rĂ©chappera un jour. Et ce n’est pas vrai du tout. Absolument pas vrai. C’est juste ressenti de cette façon lĂ , parfois vous l’expĂ©rimenter de cette façon, mais cela fait partie de l’expĂ©rience.

Donc les formules ne fonctionnent pas, et vous avez probablement trouvé cela dans votre propre vie. Vous avez essayé de retourner aux vieilles formules, aux vieilles manières de faire mais ça ne marche pas.

Maintenant, naturellement la prochaine Ă©tape est d’essayer de crĂ©er une nouvelle formule ! Absolument ! Absolument. Alors il y a une tentative dĂ©sespĂ©rĂ©e, une tentative excessivement dĂ©sespĂ©rĂ©e pour rechercher, pour essayer de trouver la nouvelle formule, le nouveau processus et le nouveau procĂ©dĂ©. Et c’est lĂ , d’ailleurs, oĂą vous ĂŞtes tous passĂ©s par la panne des formules ou c’est comme une façon qu’elles ont de se dĂ©structurer elles mĂŞmes, ainsi l’énergie peut ĂŞtre libre. L’énergie finalement ne veut pas ĂŞtre piĂ©gĂ©e dans une formule. C’est un flux libre. Joe sait cela.

Mais il y a une tentative dĂ©sespĂ©rĂ©e du mental pour crĂ©er la nouvelle formule. Et alors vous mettez des mots fantaisistes et brillants dessus et vous l’appelez « nouvelle Ă©nergie. Â» Bien, n’est-ce pas ? Est-ce juste la mĂŞme vieille formule un peu arrangĂ©e avec un nouveau titre ? Oui. Oui, parce qu’il y a… donnez-moi un peu de latitude sur ceci, mais gĂ©nĂ©ralement il n’y a pas de formules nouvelle Ă©nergie. Il y a de la physique derrière cela, parce que la vieille Ă©nergie a rĂ©pondu aux formules. Ce qui a Ă©tĂ© fait hier peut ĂŞtre refait aujourd’hui, alors vous le rĂ©pĂ©tez, vous le perfectionnez et le refaites encore et encore jusqu’à ce que vous entriez dans la crise et dans le chaos. Mais la vieille Ă©nergie Ă©tait vibratoire et prĂ©visible, en bonne partie. Ainsi vous avez continuĂ© Ă  jouer avec elle d’une nouvelle façon mais c’est tout Ă  fait prĂ©visible. Si je verse de l’eau sur David, ce que je ne ferai pas, il y aura des rĂ©ponses prĂ©visibles.

La nouvelle énergie, ne peut pas être confinée à une formule, parce qu’elle n’est pas vibratoire. Elle n’a pas de modèle à elle. Parce que vous pouvez le faire une fois ne signifie pas nécessairement que vous pouvez le refaire. Cela pourrait apparaître comme étant très chaotique, Bonnie, mais ça ne l’’est pas. Ça ne l’est pas. C’est en fait très beau. Et quand vous approfondissez de plus en plus la nouvelle énergie, vous allez vous rendre compte combien elle est belle.

Vous n’avez pas besoin de formules. Vous n’avez pas besoin de processus et de procédures. S’il y avait des processus impliqués dans la nouvelle énergie travaillant avec la vieille énergie ou toute autre nouvelle énergie, le processus serait inhérent à l’intérieur d’elle. Elle n’a pas besoin d’être créée, fabriquée ou analysée. Le processus est inhérent à l’intérieur d’elle. Mais il change, alors le mental devient confus. Il semble que tout tombe en morceaux, mais ce n’est pas le cas. Elle se restructure avant de se développer encore. Donc les formules ne fonctionnent pas.

Ce que vous avez Ă©galement est ce que j’appelle `le syndrome de Gabriel.’ Qu’est-ce que c’est ? Quand vous ĂŞtes dans cette zone ici, c’est l’endroit de la trompette… mais c’est votre trompette. Vous avez une fois rĂ©pondu Ă  la trompette de Gabriel et l’avez souvent regrettĂ© (rires), l’appel pour venir sur terre, l’appel qui vous a sorti des royaumes angĂ©liques pour venir et partager dans cette expĂ©rience Ă©tonnante sur terre. Je pense qu’elle a Ă©tĂ© Ă©crite par quelques anges commerciaux qui l’ont trop mise en avant, mais… (rires) oui, « allez voir le monde ! Â» (Rires Ă©touffĂ©s d’Adamus). C’est l’original « Allez voir le monde Â» des brochures de voyage distribuĂ©es.

Ainsi la trompette de Gabriel a soufflĂ©, et elle souffle. Et - (rire) c’était drĂ´le - et vous venez sur terre pour avoir toutes ces expĂ©riences. Bien, vous avez votre propre trompette de Gabriel intĂ©rieure quand vous continuez jusqu’à ce point ici. C’est l’appel de chacune de vos parties pour intĂ©grer. Ce (« X ") est en fait l’intĂ©gration - vos aspects, vos vies passĂ©es, les potentiels du futur, les potentiels du passĂ© non expĂ©rimentĂ©s – ce sont toutes vos parties, et, Ă©videmment, les ondes divine et humaine qui viennent maintenant ensemble.

Vous avez cet événement qui crée beaucoup de ce qui semblerait être le chaos, beaucoup de bruit. Soudain, tout le monde revient à la maison en même temps, et une partie de vous n’est pas aussi sure qu’elle veuille que tout le monde revienne à la maison. C’est une sorte de plaisir d’avoir la maison pour vous-même - en d’autres termes, le manque de conscience - mais maintenant elles reviennent toutes à la maison. Elles ne font pas que visiter. Elles restent. Mais c’est bien, parce qu’elles intègrent. Vous ramenez toute cette énergie dans votre vie.

Vous avez tout ceci qui continue et vous faites ce profond plongeon intérieur. Nous en avons parlé avant dans certains des autres défis. Parfois cela devient obsédant et vous devenez excessivement critique, doutant de vous même, vous analysant et analysant les autres aussi. Il y a une tendance pour les métaphysiciens de vouloir analyser tout le monde, car alors ils n’ont pas à s’analyser eux-mêmes si durement en ce jour particulier. Mais ils veulent analyser tout le monde. Et je ne parle pas que de l’analyse de logiciel, des choses mécaniques, scientifiques ou mathématiques, mais l’analyse du comportement humain.

Un des… (des rires Ă©touffĂ©s d’Adamus) vous savez ceux – pardonnez moi si je sors des limites ici - mais ceux qui deviennent des conseillers et des psychologues sont ceux qui se trouvent justement ici (lĂ  oĂą les ondes sont irrĂ©gulières). Ceux sont peut-ĂŞtre les plus inadĂ©quats mais peut-ĂŞtre qu’ils sont comprĂ©hensifs pour analyser et conseiller les autres, parce qu’ils sont dans la zone des turbulences et qu’ils n’ont aucune idĂ©e de ce qu’il se passe - « mais cela fait certainement du bien de parler de vos problèmes plutĂ´t que des miens. Â» N’y voyez aucune offense Ă  quiconque, mais cela arrive.

Dans cette zone « X Â» on descend profondĂ©ment en soi. C’est une descente Ă  la dĂ©couverte de soi mĂŞme. C’est un plongeon pour voir ce qu’il se passe. C’est un plongeon pour ouvrir la conscience, mais il mène Ă  beaucoup de doutes, Ă  beaucoup d’analyses critiques et il devient obsĂ©dant. Il devient votre première pensĂ©e du matin et la dernière de la nuit. Et souvent vous amenez cette analyse obsĂ©dante de notre cĂ´tĂ© pendant votre Ă©tat de rĂŞve et - whew ! c’est intĂ©ressant… non !

Il y a un point dans l’analyse que Tobias a parfaitement rĂ©sumĂ© - « je ne m’en soucie guère ! Â» Non, il a dit « cela n’a pas d’importance. Â» (rires). C’est la mĂŞme chose. La mĂŞme chose, vous venez juste de le dire jusqu’oĂą pouvez-vous analyser ? Jusqu’oĂą pouvez-vous vous focaliser sur toutes les mauvaises et vilaines choses que vous avez faites dans vos vies passĂ©es et dans cette vie ? Jusqu’oĂą pouvez-vous aller dans le cĂ´tĂ© obscur de l’évĂ©nement qui arrive ? Je pense que je vous ai invitĂ© Ă  regarder les autres potentiels que vous n’avez jamais regardĂ©s, dans les mauvaise choses que vous avez faites ou qui se sont produites… je ne vous choisis pas (Ă  Hannibal), j’adore simplement votre collier. En fait, vous avez perdu ce copain ! (beaucoup de rires car Adamus prend le collier d’Hannibal et le met autour de son cou). Oui, merci. Ça a l’air mieux sur Cauldre ! (Rires d’Adamus) est-ce qu’ainsi, rien n’est il sacrĂ© ? Non, non, non.

Vous entrez dans la profonde descente de l’analyse et vous avez tendance Ă  rester bloquĂ©s. Vous avez besoin de quelqu’un ou de quelque chose qui vienne vous secouer et qui dise, « c’était intĂ©ressant, mais pourquoi ne regardez-vous pas l’autre cĂ´tĂ© de cet Ă©vĂ©nement qui a eu lieu ou ses autres cĂ´tĂ©s, de cette mauvaise chose que vous avez faite Ă  quelqu’un d’autre ? Â» Il y a des milliers et des millions d’autres potentiels qui sont aussi vrais que celui qui a Ă©tĂ© jouĂ© ici, et ils sont très vrais. Pourquoi ne regardez-vous pas le cĂ´tĂ© brillant des choses ou de l’autre cĂ´tĂ© de toute façon ? Pourquoi devenir si obsĂ©dĂ©s, comme Peter l’a dit, pourquoi devenir aussi obsĂ©dĂ©s Ă  propos du drame et de l’obscuritĂ© ?

Chers Shaumbra, vous en êtes là en ce moment. Vous en êtes au milieu, et parfois c’est absolument déprimant. Je dois l’admettre, oui ça l’est. Parfois vous vous demandez ce que vous avez fait pour mériter ça. Parfois c’est absolument stimulant, vivifiant et libératoire. Et parfois les illuminations vous submergent tellement que vous devenez acharnés pour avoir plus d’illuminations - et alors vous essayez tellement d’étudier et de travailler à ça et à toute autre chose que vous tombez dans la routine. Mais c’est là où vous en êtes. C’est là où vous êtes. Il y a - je ne veux pas dire de bonnes nouvelles, mais les choses évoluent. Je suppose que ce sont de bonnes nouvelles. Les choses évoluent.

Et encore, nous simplifions un tragique et épique voyage humain. En d’autres termes, déplaçons nous au delà. Abandonnons ça.

Que faire ?

Que pouvez-vous faire quand vous ĂŞtes lĂ  ? (dans la zone « X Â»). Que pouvez-vous faire ? Nous avons parlĂ© des problèmes. Que pouvez-vous faire ?

Nous sommes ici… je vais faire un schéma comme le contenu d’un fait. Permettez-moi de gaspiller encore plus de papier. Plusieurs d’entre vous le savent ou l’ont compris, vous aviez une chose appelée la Merkaba. (Adamus dessine) Merkaba. C’était représentatif de beaucoup, beaucoup de choses différentes. Je l’ai toujours appelée un bijou avec beaucoup de facettes - si vous l’imaginez en trois dimensions ou en huit dimensions – que vous pouviez regarder sous différents angles. Mais présentée ici comme ceci vous pourriez dire que ça c’était masculin, ça féminin. La partie masculine, la partie féminine, ou la lumière et l’obscurité. C’était les différents composants qui s’intermélangeaient. Ceci a pu également représenter l’humain et le divin. Mais c’était ce que vous étiez.

Maintenant je donne un coup-de-pied dedans - non pour ĂŞtre critique, mais pour ĂŞtre un observateur – j’ai toujours Ă©tĂ© amusĂ© par ces cours qui vous enseignaient Ă  tourner une partie de votre Merkaba dans un sens - je ne peux pas mĂŞme le faire tellement ça embrouille - et l’autre partie dans l’autre sens. Comme si vous pouviez obtenir quelque chose d’autre que des vertiges, la nausĂ©e et ĂŞtre encore plus confus ? Ce n’est pas la question de la faire tourner. Je veux dire, faire tourner votre Ă©nergie est comme le drame, en tournant vous attrapez un petit changement, mais après vous retournez tout de suite exactement lĂ  oĂą vous en Ă©tiez quand vous l’avez laissĂ©e. Je vais refaire un schĂ©ma.

Ces éléments séparés sont finalement venus ensemble et (Adamus dessine)… ce n’est pas un si bon schéma, Cauldre. Nous allons refaire cela. Rappelez-vous notre symbole original vous représentant (un point avec un cercle autour), et ces éléments sont venus ensemble, ce n’est plus la Merkaba mais maintenant c’est la nouvelle énergie. J’entrerai dedans un moment dans les 13 minutes que nous restent.

Mais vous ĂŞtes ici dans la zone « X Â» et la question est, que pouvez-vous faire maintenant ? Que pouvez-vous faire tandis que vous ĂŞtes ici ? Vous savez maintenant que ça aboutit, parce que vous avez l’humain/divin, masculin/fĂ©minin, toutes vos autres parties duelles qui commencent Ă  se mĂ©langer ensemble. Mais l’ingrĂ©dient critique ici est la confiance (Adamus Ă©crit), et la confiance n’est pas aveugle, d’ailleurs. Je ne vais pas employer le mot « foi Â» non plus – la foi dans quoi ? Mais une confiance saine en vous-mĂŞme - pas une confiance aveugle mais une confiance saine – qui requiert ou vous fait signe de vous ouvrir vraiment, qui laisse les formules se dissoudre.

Une confiance saine pour passez par un processus qui est très appropriĂ© qui finalement ne sera plus un processus. Le processus tombe. Une confiance que vous ĂŞtes Dieu aussi, mais ne soyez pas stupide ou aveugle. Vraiment, laissez vraiment votre moi humain, votre conscience humaine sentir cela. Est-ce que vous le sentez vrai pour vous ? Est-ce que vous sentez que c’est vrai pour vous de vous ouvrir Ă  votre divin ? Est-ce que c’est absolument comme un mur blanc ? Est-ce que ça ressemble Ă  un grand abĂ®me quand vous vous ouvrez Ă  la confiance de votre divin ? Si c’est cela, prenez une profonde respiration. Il n’y a pas de prĂ©cipitation. Il n’y a aucune course.

Ce que je dis est que la confiance doit ĂŞtre rĂ©elle. La confiance dans votre propre divin, dans votre propre moi, elle a besoin d’être rĂ©elle. Vous ne pouvez pas la fabriquer, vous ne pouvez pas la contrĂ´ler, et en fait, cette confiance ne peut vraiment pas ĂŞtre un système de croyance comme vous avez connu des systèmes de croyance dans le passĂ© ; en d’autres termes, juste une belle structure mentale Ă  laquelle vous pouvez vous accrocher dĂ©sespĂ©rĂ©ment. La confiance doit ĂŞtre très rĂ©elle.

Demandez-vous, alors que vous explorez ceci, parce que la confiance est l’une des clefs – ayez confiance en vous. Pas Lui (Adamus pointe le doigt vers le haut) ou Elle, pas les guides spirituels, pas un gourou, mais seulement vous-mĂŞme. Souligner huit fois « seulement Â» point d’exclamation en caractères gras. Seulement ! vous-mĂŞme ! Pas mĂŞme les belles perles ou les cristaux ou les mantras ou toute autre chose. La confiance doit ĂŞtre vraie. Ne me dites pas, « d’accord Adamus, je vais me faire confiance, Â» et puis sortir dehors et retourner dans la non confiance en vous-mĂŞme.

Vous pouvez vous inviter à expérimenter la confiance en vous-même. Vous pouvez amener cette expérience dans votre vie. Je dois m’en aller d’ici, il est tard.

Confiance. L’autre, compassion. (Adamus Ă©crit) la compassion est si importante ici - pour vous-mĂŞme. Certains l’appelleraient le pardon, d’une certaine manière. La compassion accepte toutes vos parties, parce que vous avez tous ces aspects, vous avez toutes ces parties et ces morceaux qui reviennent. Ils ont besoin de sentir cette compassion. Ils sont bienvenus Ă  la maison. Cela ne peut pas ĂŞtre fabriquĂ©. En d’autres termes, vous ne pouvez pas simplement dire, « je vais ĂŞtre dans la compassion, Â» puis rentrer Ă  la maison et commencer Ă  vous fouetter ou Ă  vous dire que vous ne pouvez pas l’avoir tant que vous n’avez pas amĂ©liorĂ© des choses en vous-mĂŞme. La compassion doit ĂŞtre honnĂŞte.

La compassion, comme Aandrah et On (Norma et Garret) peuvent vous le dire, ça peut être un défi. Quand vous allez dans l’espace de la compassion en vous-même, cela amènera également tous vos problèmes avec lesquels vous n’avez pas eu de compassion. Toutes les choses qui n’ont pas reçues de compassion… (rire pour le nouveau mot d’Adamus’) vont remonter. Chaque blessure, chaque aspect cassé, chaque aspect mauvais, sombre et malheureux va venir, parce que finalement, il veut votre compassion mais ne croit pas vraiment en votre compassion. Alors encore, ça vient en étant vrai avec vous-même.

La compassion c’est ĂŞtre capable de regarder l’incident le pire de votre vie, le plus mauvais, et ĂŞtre capable - vous l’avez toujours regardĂ© Ă  partir d’ici (il se tourne pour regarder devant) – ĂŞtre capable de marcher de l’autre cĂ´tĂ© de cet incident et de le regarder d’ici (il se tourne pour regarder derrière). Et je ne parle pas de voir la fausse bontĂ© en lui, mais je parle de le sentir vraiment, de le comprendre vraiment. N’allez pas dans le mental, mais comprenez vraiment ce qu’il s’est vraiment passĂ© dans cet incident et dans les autres impliquĂ©s, s’il y en avait. Qu’est ce qu’il s’est passĂ© vraiment ? Vous l’avez regardĂ© d’une seule perspective et d’un seul plan. Si vous voulez vraiment avoir de la compassion, avec Ă©motion et avec le ressenti, promenez-vous autour de chaque facette en tant qu’observateur et expĂ©rimenter.

Vous avez portĂ© pendant longtemps une croix avec vous - beaucoup de croix. Regardez ces croix. La croix n’était pas celle pour se faire clouer dessus ; la croix Ă©tait l’intersection entre le divin et l’humain ici - le « X Â» ou la croix. Regardez-la de cette perspective. Donc - nous entrerons plus avant dans ceci lors de la prochaine discussion - mais deux ou trois choses dans nos moments d’affaiblissement.

Libre arbitre et volonté divine

Deux ou trois choses. J’ai dit le mois dernier : « est ce que les humains ont le libre arbitre ? Â» Non. Ils l’ont eu d’une certaine manière, mais ils l’ont abandonnĂ©, par libre arbitre. Ils l’ont abandonnĂ©. Ils l’ont donnĂ© Ă  beaucoup d’autres choses.

Dans cette zone, la zone « X Â» oĂą nous revenons, cela sollicite une question de votre part. Ici (« X "), le libre arbitre, pour employer votre dĂ©finition, mais la souverainetĂ© - libre arbitre - peut ĂŞtre ramenĂ©e. Vous pourriez avoir de nouveau cet outil, mais cela doit ĂŞtre Ă  partir d’une reconnaissance très consciente de votre volontĂ© divine. Cela vous donnera quelque chose Ă  considĂ©rer pour le mois prochain. Le libre arbitre revient Ă  l’humain quand l’humain reconnaĂ®t consciemment sa volontĂ© divine.

La volontĂ© divine ne doit pas ĂŞtre confondue avec le destin ou avec un dieu Ă©loignĂ©. Le divin c’est vous, et donc cette volontĂ©, cette onde c’est vous. Quand l’humain reconnaĂ®t son onde comme divine, alors qu’il vient Ă  ce point « X Â», le libre arbitre revient. Quand la souverainetĂ© est acceptĂ©e et rĂ©alisĂ©e, le vĂ©ritable libre arbitre au sujet de tout - au sujet de tout ce qui va vous arriver - revient.

Alors en rĂ©ponse Ă  la question, les humains avaient le libre arbitre… en arrière plan. Les ĂŞtres angĂ©liques avaient le libre arbitre. Ils l’ont abandonnĂ©. Ils l’ont abandonnĂ©. Cette conscience a Ă©tĂ© amenĂ©e sur terre et on a dit aux humains qu’ils avaient le libre arbitre, mais personne ne s’est jamais questionnĂ© Ă  son sujet. « Si j’avais le libre arbitre, pourquoi devrais-je mourir ? Si j’avais le libre arbitre total, pourquoi ne pourrais je pas faire ceci et ceci et cela ? Si j’ai le libre arbitre total, pourquoi dois-je encore me conformer aux lois, aux structures et aux formules ? Â» Vous voyez.

Non, les humains ne l’ont pas, mais vous, mes chers amis, pouvez intégrer la volonté divine, le libre arbitre, de retour dans le Je Suis où il n’est plus différencié. Le Je Suis est tout. Vous n’avez pas besoin de libre arbitre à ce point. Vous n’avez même pas besoin de volonté divine. Les deux viennent ensemble, et cela devient le Je Suis.

Nouvelle Ă©nergie

Oh, nous manquons de temps, et je veux faire deux exercices spécifiques et ce n’est pas simplement de longues conférences pénibles au sujet de la nature de la réalité et où vous allez après.

En Ă©tant Ă  ce point « X Â» … oh, il reste si peu de temps. Je vais solliciter une indulgence ou je payerai si je le dois ? J’aurai le salaire de Cauldre.

LINDA : Tout va bien. Tout va bien.

ADAMUS : Nous aurons besoin de quelques minutes de plus après cinq heures.

LINDA : Nous vous ferons plaisir.

ADAMUS : Alors… et je vais me dĂ©pĂŞcher. Nous reviendrons lĂ -dessus le mois prochain.

Tout d’abord, prenez une profonde respiration. Tout d’abord, je dois sortir mon ballon. (Adamus sort un ballon rouge) donc, maintenant, nouvelle énergie. Parlons de cela un instant et nous irons dans les potentiels.

La vieille Ă©nergie, la vieille conscience, Ă©taient deux Ă©lĂ©ments sĂ©parĂ©s. Vous avez eu la conscience, comme nous en avons parlĂ© Ă  maintes reprises. Vous aviez la conscience reprĂ©sentĂ©e par ceci (Adamus dessine le point encerclĂ©), et vous aviez l’énergie, qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par votre dĂ©sir de revenir Ă  la maison, qui est entrĂ©e dans la conscience (Adamus dessine) -, Ă©nergie, conscience - pour crĂ©er la rĂ©alitĂ©, pour manifester alors la conscience pouvait s’expĂ©rimenter. Elles Ă©taient deux composants sĂ©parĂ©s - conscience, Ă©nergie.

Cette chose que nous appelons la nouvelle énergie est très différente, parce que – en utilisant le ballon comme exemple - ce n’est pas la conscience et ce n’est pas un élément d’énergie séparé. La nouvelle énergie est littéralement l’intégration de la conscience et de l’énergie ensemble dans le même paquet. Dans le même paquet.

Ainsi la conscience n’a pas besoin d’appeler l’énergie pour la soutenir. Elle est déjà incorporée, et cela fournira beaucoup de discussion plus tard. Elle est déjà là. C’est pourquoi elle est nouvelle. Elle n’a jamais été avant, mais elle fonctionne également d’une manière très nouvelle. Système d’opération totalement nouveau. Gardez ça en tête. Passons à l’étape suivante.

Potentiels

Nous sommes dans la zone « X Â» ici, et vous dites, « qu’est ce qu’il y a ensuite ? Â» Et c’est vraiment une très bonne question. « qu’est-ce qu’il y a ensuite ? Je suis dedans. C’est Ă©tonnant, c’est intĂ©ressant, mais - woo ! - oĂą allons-nous ? Â»

A partir d’ici nous commençons à entrer dans les potentiels. Les potentiels en fait ne sont pas dans l’avenir. Ça a l’air d’être ça. Il semble qu’ils sont sur une certaine ligne en bas, mais ils n’y sont pas. Le potentiel pour n’importe quoi en dehors de cette expérience immédiate est déjà ici. Très, très peu de personnes en fait imaginent les potentiels. Elles attendent le destin. Une partie du problème a été un manque d’imagination. Quand un certain nombre d’entre vous est entré dans les potentiels du futur, vous êtes devenus analytiques. Vous voulez le faire de façon bien réglée, ou vous le faites avec une perspective humaine très limitée. En d’autres termes, vous imaginez petit. Vous avez manqué la plupart des potentiels, presque tous les potentiels. Vous ne vous permettez pas de les sentir.

En plus il y a ce nouveau potentiel qui est là et que vous avez totalement manqué, parce que vous recherchez quelque chose qui ressemblait un peu aux vieux potentiels. Un peu de conscience, ajoutez y quelques tasses d’énergie, mélangez ensemble et heureusement ça marche. Il y a des potentiels étonnants ici, en ce moment, disponibles à vous pour votre `qu’est ce qu’il y a ensuite.’ Des potentiels étonnants, et certains que vous appelleriez vieille énergie, d’autres très nouvelle énergie. Mais ils sont vos choix. Ils sont le champ où vous devez choisir, et c’est presque illimité.

Vous ne pouvez pas y arriver par votre cerveau, et c’est l’un des autres Ă©lĂ©ments, quand au fond nous parlions des symptĂ´mes… (Adamus tourne les feuilles). J’adore faire ça avec le papier. Un des autres Ă©lĂ©ments est le mental - une tendance Ă  ĂŞtre mental - mais le mental ne marche pas ici (« X ") ou pas comme vous penser qu’il devrait. Tout chasse le mental quand vous ĂŞtes Ă  ce point ici.

Donc il y a la tendance de dire en tant que crĂ©ateur, « je vais aller explorer mes potentiels. Â» Bien, tout d’abord, ne sortez pas de lĂ . Ils sont justement lĂ . Deuxièmement, explorez. Ne pensez pas Ă  eux, explorez. Ressentez-les. Pendant des annĂ©es Tobias vous a dit de ressentir par opposition Ă  penser et vous avancez sur la pointe des pieds. Plongez en eux. Vous n’avez pas beaucoup Ă  perdre. Laissez vous vraiment aller et sentez tous les potentiels, ou autant que vous voulez.

A quoi ressemble ce ressenti ? Est-ce qu’il rĂ©sonne ? Est-ce qu’il se ressent comme Ă©tant bien Ă  vous ? Es-ce que c’est quelque chose que vous voudriez expĂ©rimenter dans votre vie ? Vous n’avez pas besoin de dĂ©tails ou besoin d’être littĂ©ral, je parle juste de ressentir. Ressenti. J’imagine tous ces potentiels comme bulles qui flottent autour de vous en ce moment, et vous commencez Ă  voyager Ă  l’intĂ©rieur et Ă  l’extĂ©rieur d’elles. Ressentez-les. Vous n’avez pas Ă  faire de choix encore, n’ayez pas peur des ressentis. Est-ce que ça Ă  l’air d’être dramatique ? Est-ce que ça a l’air d’être bien ? Est-ce que ça a l’air comme vous ? Beaucoup vont ĂŞtre ressentis comme Ă©tant plats ou vieux, et soudainement vous allez… pendant que vous dĂ©rivez autour de vos potentiels, quelque chose rĂ©sonnera. Quelque chose sonnera la cloche, vous le ressentirait juste.

Je voudrais faire une expérience avec ça maintenant. Alors si vous le voulez, vous êtes invités à fermer les yeux, vous mettre sur la tête ou tout ce que vous voulez. Je vais vous demander deux ou trois choses, que tout d’abord vous ressentirez. Deuxièmement, n’allez pas dans le mental. Troisièmement, soyez l’observateur, promenez vous autour, amusez-vous avec.

Maintenant, vous avez tous ces potentiels de qu’est ce qu’il vient après, je ne parle pas nĂ©cessairement d’un travail, mais de quels ressentis, de quelle passion, de quelle expĂ©rience dans votre vie ? Sans ĂŞtre littĂ©ral. Baladez vous autour de ces incroyables bulles de potentiel. Vous n’avez pas Ă  payer pour elles, il n’y a ni juste ni faux, et vous n’avez pas besoin de choisir maintenant.

(silence pendant environ une minute)

Maintenant arrêtons-nous là un moment. Je sais que nous allons continuer de travailler à ceci, nous aurons plein de temps. Et je vais vous demander de faire… je ne vais pas l’appeler devoir. Nous dirons juste `une expérience,’ mais c’est vraiment un devoir. Faire ceci est très simple et cela prend une quantité incroyable de finesse et d’ouverture. Vous n’allez pas nécessairement l’avoir tout de suite, et quand vous l’aurez, vous allez vous demander pourquoi vous ne l’avez pas eu tout de suite.

Donc je vais vous demander de le faire pour notre prochaine réunion. Allez dans un grand magasin et, engagez vous à ne rien acheter, et passez une heure à vous promener. Un grand magasin qui offre beaucoup de choses différentes – vêtements, chaussures, parfums, bijoux et équipements ménagers - et baladez vous, de rayons en rayons, observez - les marchandises, pas nécessairement les autres personnes - observez et ressentez, parce que chaque article se ressentira différemment.

Certains vont vous appeler par votre nom. D’autres vont chatouiller votre fantaisie. Avec d’autres, vous juste envie de vous éloignez d’eux. Ceci va être un bon entrainement ou expérience quand nous reviendrons discuter au sujet des potentiels. Vous êtes l’observateur. Vous n’essayez pas de vous représentez quelque chose. Vous n’avez rien à analyser. Vous allez juste de rayons en rayons, de casiers en casiers.

De quoi ça Ă  l’air ? Car d’une certaine manière c’est comme si nous continuons Ă  travailler, Ă  expĂ©rimenter vos potentiels. C’est comme aller dans un Ă©norme magasin avec beaucoup d’articles. Ressentez les, expĂ©rimentez les, sentez les. Nous reviendrons, lors de notre prochaine session que nous irons plus profondĂ©ment dans les potentiels, lĂ  oĂą vous allez Ă  partir de maintenant.

Dans notre prochaine session, je voulais le faire ici, mais nous allons Ă©galement aller dans c certains potentiels Ă  imaginer pour l’humanitĂ©. Pour l’humanitĂ©. Pas pour la sauver, mais pour en ajouter. Vous voyez, en ce moment humanitĂ©, la conscience de masse, peut utiliser quelques nouvelles perspectives supplĂ©mentaires dans le pool des opinions et des perspectives qu’elle a dĂ©jĂ . Vous savez, elle est entrĂ©e dans ses propres formules et rails, mais la conscience de la masse envoie en fait son propre appel qui dit, « est ce quelqu’un a une perspective diffĂ©rente, un potentiel diffĂ©rent, Ă  m’envoyer s’il vous plait. Ajoutez votre conscience ou votre potentiel. Â»

Donc le mois prochain nous entrerons dans un potentiel pour une nouvelle source d’énergie. Une nouvelle source d’énergie. Ne pas pensez pas Ă  cela, parce que vous allez devenir techniques et analytiques. Nous allons juste entrer et nous allons imaginer puis nous ajouterons les potentiels pour une nouvelle source d’énergie. Évidemment, c’est opportun. Cette tragique flaque d’huile, vous savez, son cĂ´tĂ© sombre avec naturellement beaucoup de plages sales, beaucoup de poissons, d’oiseaux et d’animaux morts. C’est le cĂ´tĂ© sombre et un dĂ©gât environnemental. Vous allez entendre parler de ce drame pendant des semaines et peut-ĂŞtre des mois. Alors les politiciens vont se servir de cette opportunitĂ© pour amplifier et dire, « nous devons faire quelque chose pour protĂ©ger notre environnement. Â» Pourquoi ne l’ont-ils pas fait avant ? Ils montent Ă  la tribune maintenant.

Mais cela amène la conscience. C’est le bon cĂ´tĂ©. Cela apporte la conscience Ă©norme non pas pour l’environnement, mais pour l’énergie. Bonjour ! Vous aviez cette Ă©nergie qui suintait hors de la terre, cette très vieille Ă©nergie qui sentait, qui puait et qui collait. A la surface les gros titres pleuraient au sujet de l’environnement, mais la vĂ©ritable solution est l’énergie. Qu’est ce qu’il y a ensuite ? 25 ans, peut-ĂŞtre 30 ans qui restent avec l’abondance, avec l’écoulement de l’énergie du pĂ©trole. Elle ne va pas partir après cela, mais elle va devenir très prĂ©cieuse.

Alors cette flaque, est-ce une mauvaise chose ? Bien, Laissez-moi vous dire, c’est une des meilleures façons de manier les dĂ©fis, mais en fait ça pourrait ĂŞtre une chose très salutaire pour que l’humanitĂ© jette un coup d’œil Ă  l’énergie. Et c’est au sujet de ce que nous sommes tous. Nous sommes la nouvelle Ă©nergie.

Sur ce, chers Shaumbra, rappelez vous que tout est parfait et bien dans toute la crĂ©ation. C’est un honneur et une joie d’être ici avec vous dans la zone « X Â».

Par conséquent, je suis ce que je suis, et vous êtes aussi.

Au mois prochain, adios.

Photo Credits – Dave Schemel ([email protected])