Je suis ce que je
suis, Adamus l’incomparable, l’incorrigible et souvent cité
incorrectement Saint-Germain (prononciation française). Je ne suis pas
Mère Saint-Germain (rires), et ce n’est pas l’ancien new age, comme vous
l’avez probablement remarqué.
Chers Shaumbra, nous nous réunissons de nouveau pour… ooh ! … (rires. Linda l’aide avec le micro)
LINDA : Mauvais fonctionnement
ADAMUS :
Ooh ! Nous nous réunissons de nouveau pour la réunion mensuelle avec le
cercle cramoisi - les anges humains ici sur terre, avec le Conseil
cramoisi - tous les êtres angéliques qui travaillent avec vous, avec qui
vous travaillez de façon régulière. Nous rassemblons nos énergies ainsi
que celles de Shaumbra tout autour du monde.
(pause, rires car Linda essaye d’accrocher le micro sur l’arrière de la ceinture) je pense qu’elle le fait exprès. Ça marche ?
LINDA : Ouais babe… Oui monsieur.
ADAMUS : Merci. (Adamus met la batterie du micro dans sa poche)
LINDA : Merci.
ADAMUS :
Nous rassemblons nos Ă©nergies, ce que nous faisons si souvent dans les
autres royaumes pendant votre Ă©tat de rĂŞve, et maintenant beaucoup
d’entre vous commencez à vous aventurer dans les autres royaumes même
lorsque vous êtes réveillés. Mais c’est toujours une occasion spéciale
chaque mois lorsque nous nous réunissons ici avec chacun de vous autour
du monde comprenant aussi ceux qui regardent Internet. Nous vous
invitons ici… nous vous invitons… nous vous attirons dans notre espace
ici. (regardant la caméra). Vous ne faites pas que regarder, vous…
allez, vous tous. Venez ici. Si je dois vous avoir un par un, je le
ferai, mais nous vous aurons.
Vous voyez, certains aiment passer par
cette expérience et ce processus à distance. Ils aiment regarder et
observer. Ils aiment feindre qu’ils ne font vraiment pas partie de cette
chose appelée Shaumbra ou ils se tiennent juste sur la touche. Mais oh
non, oh non. Si vous regardez maintenant, vous ĂŞtes dedans.
Chers Shaumbra, nous avons beaucoup à dire aujourd’hui. Et comme toujours, si peu de temps et tellement à dire.
Les défis de l’éveil
Rentrons dans le vif du sujet. Je vais
demander à Linda d’Eesa de prendre le micro et de venir dans
l’assistance. Vous aurez probablement besoin de quelques récompenses
d’Adamus dans votre poche arrière. Nous ne savons pas encore. Mais,
chers Shaumbra, je suis en train d’écrire un autre livre. Nous sommes en
train d’écrire un livre. J’en aurai le crédit, mais vous aussi. Nous
écrivons un livre… puis-je faire cela pour vous ? (offrant « d’aider »
Linda avec le micro)
LINDA : S’il vous plait. (rire)
ADAMUS :
Nous écrivons un livre concernant l’intégration dans le corps de la
conscience. Ce n’est pas un très bon titre, alors nous allons l’appeler
quelque chose comme « L’éveil – croyez le ou pas » ou un autre parmi
d’autres titres, dans lequel je n’entrerai pas maintenant.
Mais chacun de vous a été de ce voyage,
chacun de vous est passé par cette expérience depuis des vies. Vous y
êtes passés intensément. Il y a quelque chose de commun avec vous tous
parce que vous avez dit, « je suis fatigué de continuer une vie après
l’autre. Aussi intense et difficile que cela soit avec ses défis, cela
va se produire dans cette vie. » Les énergies et la conscience sur terre
sont ici pour ça. Il était difficile de passer à travers le processus
de l’éveil dans les autres vies. Vous êtes passés par de nombreux
processus mentaux et de douleurs, mais les temps sont lĂ maintenant.
Certains de vous deviennent frustrés, et
vous vous défoulez sur le pauvre Cauldre et sur Linda, parfois sur moi.
Mais vous devenez frustrés et vous dites, « pourquoi ça n’arrive pas
plus vite ? Pourquoi cela ne se produit pas juste comme ça (claquement
de doigt) ? » Deux raisons - par votre choix. Un, cela probablement vous
brĂ»lerait, vous ferez exploser, vous enverrait de nouveau directement Ă
vos amis du Conseil Cramoisi. Ce n’est pas si mauvais, mais vous avez
pris un engagement. Vous allez le faire dans cette vie, avec des
difficultés. Ça été beaucoup l’enfer, avec quelques grosses vagues, mais
je suis réellement enchanté de voir que vous trouvez de plus en plus de
joie avec ça. Vous pouvez rire à son sujet. Vous pouvez maintenant
partager vos histoires de façon plus claire.
Avez-vous remarqué qu’il y a un ou deux
ans quand vous essayiez d’expliquer à d’autres le processus par lequel
vous êtes passés, c’était très… Entrez, entrez (à quelqu’un qui entre
dans la salle). Il y a des sièges ici. S’il vous plait, j’aimerais que
vous vous asseyiez ici aujourd’hui. (rires) oh, comme j’aimerais. Oui,
nous vous avons réservé ce siège !
Donc vous avez pris cet engagement très
profond - vous allez le faire durant cette vie - et les Ă©nergies sont
maintenant ici pour le soutenir, là où elles n’étaient pas avant.
Maintenant, parfois vous devenez frustrés. Vous voulez que ça aille plus
vite, mais vous avez Ă©galement pris un engagement pendant lequel vous
allez le faire d’une manière qui est compatible et sympathique – éveil
sympathique - avec la conscience sur terre. Comme je l’ai dit plus tôt,
il y a environ un an vous avez probablement trouvé difficile de décrire
clairement le processus par lequel vous passiez quand vous parliez aux
autres. C’était confus, déformé. Vous n’étiez même pas sûrs de ce que
vous disiez. Mais j’ai remarqué maintenant que vous pouvez l’articuler.
Vous pouvez le récapituler. Vous pouvez prendre des points plutôt que
d’aller dans une vieille et longue histoire qui ennuyait à mourir
certains de vos Ă©tudiants. Je ne m’adresse pas Ă vous, naturellement (Ă
un membre de l’assistance). J’aime juste m’appuyer de temps à autre.
Donc vous essayez de rendre ce processus
compatible ou sympathique avec l’évolution de la conscience sur terre.
Que pensez-vous que c’est, Kathleen ?
KATHLEEN : Je n’ai pas entendu la question. (rire)
ADAMUS : Vous étiez en train de me prendre pour la vedette, n’est ce pas ? !
KATHLEEN : J’étais juste… (riant)
ADAMUS :
Envoûtée ! Submergée, vous regardiez à travers Cauldre, naturellement,
dans mes énergies, que j’ai apportées aujourd’hui plus que la normale.
LINDA : Continuez, levez vous.
ADAMUS : Oui. Ainsi vous avez… quelle était ma question ?
KATHLEEN : Je ne sais pas ! Je ne sais pas ! (rire)
ADAMUS : Je suis aussi confus que vous maintenant. (rire) oh bien, merci de la réponse. C’était bien. Ainsi, chers Shaumbra…
KATHLEEN : Est-ce que j’ai un prix ?
ADAMUS : Non. Non, pas encore. Nous reviendrons vers vous plus tard.
Ainsi vous avez rendu vos Ă©nergies
compatibles avec celles sur terre. Au lieu des longues histoires que
vous avez racontées aux autres, maintenant vous pouvez les clarifier. Je
pense que nous les clarifions, n’est ce pas ? Nous clarifions.
Alors je veux Ă©crire un livre avec vous,
avec vous tous. Nous avons commencĂ© ce processus il y a une semaine Ă
Kelowna, demandant aux Shaumbra lĂ bas quelles sont les choses qui leur
sont arrivées lors du processus de l’éveil ? De votre expérience
personnelle, de votre perspective personnelle, quels ont été les défis
de l’éveil ?
Maintenant, vous pouvez probablement
faire une longue liste, mais pendant que Linda circule avec le micro,
moi je vais vous demandez de rester clairs et concentrés - et juste une
chose, s’il vous plait. Nous circulerons, j’écrirai sur le tableau, et
ensemble nous Ă©crirons un livre. Nous Ă©crirons un livre.
Alors ce livre - « le manuel de
l’éveil » - sera d’une grande valeur pour ceux qui viendront après, ceux
qui en ce moment s’engagent dans l’éveil. Et cela facilitera vraiment
leurs expériences, leur voyage sera plus facile en sachant par quoi vous
êtes passés. Cela n’enlèvera pas leurs expériences, mais cela changera
la nature de l’expérience.
Donc, avec ceci, continuons avec cette chère Rita.
LINDA : Je savais cela !
RITA : Quelle Ă©tait la question ?
ADAMUS : Oui, quelle… (des rires d’Adamus) c’était…
LINDA : Le défi de l’éveil.
ADAMUS : J’ai oublié. Qu’est-ce que j’ai demandé ?
LINDA : Les défis.
ADAMUS : Quels étaient les défis ?
RITA : Un défi, comme…
ADAMUS : Un défi. Un défi vu avec votre perspective personnelle.
RITA : Aller dans l’inconnu.
ADAMUS : Aller dans l’inconnu. C’est bien et cela mérite une récompense d’Adamus.
RITA : D’accord !
ADAMUS :
D’ailleurs, la personne qui donnera la meilleure réponse aujourd’hui
aura quelque chose de craquant, d’un peu usé, un billet de cinq cents.
Alors travaillons… (de nombreux rires car Linda fait une grimace). Ce
n’est pas mon argent !
LINDA : Ok !
ADAMUS :
Donc, (il écrit) « l’inconnu. » Maintenant, je vais vous demander, chère
Rita, n’avez-vous jamais trouvé stimulant de vouloir entrer dans
l’inconnu ?
RITA : Oui, parfois.
ADAMUS : Parfois. Et angoissant d’une part…
RITA : Oh oui.
ADAMUS : … mais stimulant de l’autre.
RITA : Oh oui.
ADAMUS : Vous êtes vous permise de mettre un pied dans l’inconnu, ou avez-vous senti une grande poussée venir derrière vous ?
RITA : (rire) Bien, c’était comme une sorte de grande poussée.
ADAMUS :
Grande poussée. Je vais mettre un astérisque ici, « une grande
poussée, » parce que - « poussée par derrière » (Adamus écrit) - parce
que vous tous pouvez probablement sentir ceci, quand vous essayez de
juste mettre un orteil dans l’inconnu, ça ne marche pas. Vous ne pouvez
pas mettre juste un orteil dedans, parce qu’alors ce n’est pas vraiment
l’inconnu. C’est juste un petit hors-d’oeuvre de ce qui est. Alors vous
finissez par avoir une grande poussée. D’où est-ce que cette grande
poussée viendrait ?
RITA : Elle est venue de l’intérieur ?
ADAMUS : Oui. Bien. Excellent. Vous êtes en compétition pour avoir le billet cinq cents.
RITA : Une autre récompense pour moi ? (rire)
ADAMUS :
Je donnerais la récompense, mais Linda tente de gérer le stock, alors.
Oui, une récompense. Et aujourd’hui vous avez un cadeau spécial sur la
récompense.
LINDA : Je
veux mentionner qu’Amy Van Johnson a dit, « je voudrais contribuer aux
cadeaux d’Adamus. » Alors en fait… il y a un as à l’intérieur, elle a
fabriqué les pochettes et il y a quelque chose d’unique ou de spécial
dans chacune d’elle.
ADAMUS : Oui.
LINDA : Merci Amy.
ADAMUS : Levez le haut pour que tout le monde puisse voir.
LINDA : Oui. Non, non elle doit choisir. Debout. Debout Rita. Maintenant choisissez au hasard. (Rita en choisit un) oh !
ADAMUS : Oh !
LINDA : Et tout est fait main par elle.
ADAMUS : Oui. Et la récompense est à l’intérieur.
LINDA : Et
à l’intérieur il devrait y avoir l’as d’Adamus et autre chose, une
autre surprise. Ah, c’est l’as d’Adamus. Et y a-t-il un autre prix Ă
l’intérieur ? Parfois il y a plus qu’un seul prix.
RITA : Juste un.
LINDA : Juste un, okay. Bien, cela fait deux parce que vous avez eu aussi la petite pochette. Merci. Suivant ?
ADAMUS :
Une question supplémentaire Rita. Maintenant que vous avez expérimenté
une partie de l’inconnu, qu’avez-vous appris de l’inconnu ?
RITA : J’ai appris que c’était une grande intelligence. Il y a beaucoup de sagesse dans l’inconnu.
ADAMUS :
Beaucoup de sagesse - et si je peux ajouter un mot - l’inconnu n’est pas
vraiment inconnu. Il n’est pas expérimenté, et cela fait une
différence. Quelque chose qui n’a pas été encore expérimenté, mais qui
n’est pas réellement inconnu. Et dans une certaine mesure il n’y a
aucune raison de le craindre. C’est juste quelque chose que vous n’avez
pas expérimenté. Mais une fois que vous plongez dans l’inconnu, comme
beaucoup l’ont fait, après que vous vous soyez un peu installés, vous
commencez à réaliser que ce n’est pas vraiment l’inconnu. En partie
parce que - je vais conclure notre discussion aujourd’hui avec ce point -
mais en partie parce que c’est un potentiel qui a presque toujours été
là . Pas tous les potentiels, mais c’est un potentiel qui a été là .
Souvent dans l’état de rêve, vous entrez
dans des potentiels pour les ressentir, parce que, tout Ă fait
franchement, vous n’avez pas été très bons pour les sentir dans votre
état d’éveil, parce que le mental tend à le bloquer. Ainsi vous - vous
tous chaque nuit - vous entrez dans diffĂ©rents potentiels. Nous irons lĂ
dedans un peu plus tard aujourd’hui, mais bonne réponse. Merci. Oui. Et
vous connaissant comme je vous connais, je sais qu’il y a une certaine
passion à entrer dans l’inconnu. Vous vous ennuieriez totalement si vous
ne le faisiez pas. Vous ne feriez pas un bon ouvrier.
Ok, suivant. Allons vers Ours qui rit.
LINDA : Oh bien sur.
ADAMUS : J’ai changé votre nom pour vous (« avant c’était Ours debout "). J’espère que cela ne vous dérange pas. Souriez, partenaire.
Alors, Ours qui rit, quel est votre défi de l’éveil, basé sur votre expérience personnelle ?
OURS QUI RIT : La manipulation de l’énergie de la Kundalini.
ADAMUS : Vraiment.
OURS QUI RIT : Intense, vous savez, toute la colonne vertébrale.
ADAMUS : C’est quoi la Kundalini ?
OURS QUI RIT : Bien, c’est toute cette poussée d’énergie de tous mes chakras de la terre vers le
haut.
ADAMUS : C’est quoi un chakra ?
OURS QUI RIT : Tous mes centres dans mon… la vibration que j’ai quand j’ai ces grands moments « Ah-ha » et qui manipule cette énergie.
ADAMUS :
Qu’est ce qu’il s’est passé… et je joue un peu avec vous ici, mais
l’énergie est Ă©nergie. La conscience est conscience. Ne commençons pas Ă
la disséquer en Kundalini et serpents se tortillant – c’est un peu
érotique - et chakras. Vous segmentez votre corps dans différents
chakras. Vous n’avez qu’un chakra. Vous êtes un corps de conscience.
Alors maintenant vous avez un défi pour gérer cette énorme quantité d’énergie. Comment traitez-vous ça ?
OURS QUI RIT : Une partie d’elle est plaisante et une partie d’elle est désagréable.
ADAMUS :
Comment vous occupez-vous de ça… qu’est ce que vous faites ? Est-ce que
vous vous asseyez et laissez cela être balayé comme une marée ?
OURS QUI RIT : Bien, parfois oui. D’autres fois c’est intense. C’est très intense.
ADAMUS : Très intense. Et mettez-vous votre pied sur le frein pour essayer de le ralentir ?
OURS QUI RIT : Non, je le laisse passer Ă travers moi.
ADAMUS : Avez-vous votre pied sur l’accélérateur ?
OURS QUI RIT : Heureusement que non.
ADAMUS : Heureusement que non. (rires) Donc vous n’avez pas d’accélérateur, pas de frein.
OURS QUI RIT : Non…
ADAMUS : Vous ne faites qu’y aller…
OURS QUI RIT : Je suis le courant.
ADAMUS : Vous suivez le courant. Et, bien, cela amène une question. A qui est ce flux ?
OURS QUI RIT : Mon flux.
ADAMUS :
Oui, ça a l’air d’être une bonne réponse mais ce n’est pas une réponse
vraie, parce
qu’en fait… vous suivez le flux des personnes autour de vous. Vous
suivez le flux de la conscience de masse. Vous suivez le flux des
aspects qui deviennent comme fous et font la fĂŞte tout autour de vous
pendant que vous suivez juste le flux. Qui est le patron ?
OURS QUI RIT : Moi.
ADAMUS : Soyez dans un service souverain.
OURS QUI RIT : Oui.
ADAMUS : Oui. Vous ĂŞtes le patron.
OURS QUI RIT : Je suis le patron.
ADAMUS :
C’est toute la manière de le dire… et merci. Merci. Tout est dans la
manière où vous dites oui, il y a une quantité énorme d’énergie qui
arrive très vite, la conscience qui s’expanse très rapidement, et plus
vous mettez en expansion votre conscience, plus cela appelle d’énergie
pour la soutenir. Donc il y a des périodes où cela vous submerge, mais
vous pouvez arrêter, prendre une respiration profonde et dire, « Whoa !
Je sais que je crée ceci à tous les niveaux, et je sais que je me
prĂ©cipite pour le traverser dans cette vie. Mais vous savez, de temps Ă
autre cet humain Ours qui rit, a juste besoin de s’arrêter et de rire.
Je n’ai pas besoin de passer par l’intensité. »
Si souvent c’est comme sauter dans une
voiture de sport, et rouler sur une autoroute de LA (Los Angeles), pas
de mains sur le volant, pas de pieds sur le frein ou l’accélérateur, et
vous suivez le courant. Qu’est ce qu’il se passe ? Oui, vous pouvez
seulement imaginer. Vous pouvez seulement imaginer.
C’est un point très positif pour ceux
qui arrivent dans le processus de l’éveil. Vous ne voulez pas contrĂ´ler Ă
partir de votre aspect/partie humaine. Vous ne voulez pas contrĂ´ler
l’éveil, mais vous pouvez faire des pauses toutes les fois que vous en
sentez le besoin. Vous pouvez également demander que ça aille plus vite,
et c’est une co-gestion entre chaque partie de vous-même - l’esprit,
l’humain, et le corps. Le corps - parfois cet éveil provoque des ravages
sur le corps. En partie parce qu’au niveau de l’ADN et du niveau avant
l’ADN, il y a une pléthore de purification qui se met en place, les
Ă©nergies entrent, tout se combine pour permettre Ă la nouvelle Ă©nergie
d’entrer. Vous êtes en train de vous transformer. Vous vous permettez de
vous transformer et d’être retravaillés Cela est un grand défi pour le
corps physique
Oui, gérer l’énergie et la conscience.
Il n’y a aucune course. Il n’y a aucune course en cela. En fait, il est
intéressant de noter que chacun de vous est absolument souverain et
individuel, mais pourtant il y a une connexion commune avec les autres
Shaumbra autour du monde. La connexion commune (Adamus regarde dans la
caméra), - je veux qu’ils se sentent les bienvenus - et il y a… ce n’est
pas comme un moment de rassemblement en masse, mais vous passez Ă
travers ça en quelque sorte ensemble - indépendants, mais en quelque
sorte ensemble. Il n’y a aucun accord formel, et oui, vous pouvez partir
du paquet quand vous voulez.
Mais il y a un certain confort, parce que vous avez étudié ensemble,
vous êtes allés dans les écoles de mystère dans le passé ensemble, vous
vous êtes de nouveau réunis ensemble dans cette vie. Alors vous bougez
ensemble. Vous partagez, comme nous faisons maintenant, sagesse et
perspicacités.
Allons voir Lisa dans le fond. Ah, elle était si… elle le savait.
LISA : La question ?
ADAMUS : La question est, de votre expérience personnelle quel est le défi de passer par le processus de l’éveil ?
LISA : Que vous ne pouvez pas revenir en arrière.
ADAMUS : Que vous ne pouvez pas revenir en arrière. Pourquoi pas ?
LISA : Une
fois que vous avez fait un pas dans l’expérience de vous permettre, de
permettre à votre âme d’avancer, et que vous voulez
revenir en arrière et être avec les autres personnes, faire des choses
mondaines comme prendre des décisions d’affaires, ça ne marche plus.
ADAMUS :
Absolument. Point positif. Dans la théorie, vous le pourriez
probablement. Vous pourriez créer l’illusion que vous revenez en
arrière, mais alors vous devriez vraiment prendre des médicaments.
(rires). Vraiment - légaux, illégaux, mis en bouteille, à fumer - mais
vous auriez beaucoup Ă faire pour descendre. Cela ne veut pas dire que
tomber ne peut pas arriver, mais c’est difficile. Une fois que le
processus commence, il est très difficile de revenir en arrière. Et il y
a des parties de vous qui absolument - veulent absolument revenir en
arrière. Pourquoi est ce que j’ai fait ça ? A quoi je pensais ? » Mais
en fait, c’est une belle chose qui se produit.
Vous commencez Ă ressentir des choses
que vous n’avez pas aimées ou que vous avez rejetées avant - vos
familles, votre travail, la nature mondaine de l’existence humaine,
douleur et souffrance, programmes de télé stupides - il y avait un
certain confort en eux, et une partie de vous veut retourner Ă cela.
Mais ça devrait aussi être confortable de savoir qu’il y a ce groupe
incroyable - Shaumbra – avec qui vous pouvez partager vos larmes et vos
rires quand vous le voulez, et qu’il vous donne également l’espace et
l’intimité quand vous le voulez également.
Excellent, et ça appelle une récompense. Merci.
LINDA : Okay… choisissez. Voilà .
ADAMUS :
Donc la question encore – comme ça vous n’aurez pas besoin de me la
redemander - la question est, basé sur votre expérience personnelle,
quel est le défi de l’éveil, John Kuderka ?
LINDA : Oh mon dieu ! John sur la caméra ! Wow ! Est-ce que c’est cool ? !
ADAMUS : Est-ce que c’est cool !
JOHN : Pas vraiment. (rires et quelques applaudissements)
ADAMUS : Cher John, ça a l’air d’être un défi.
JOHN : Bien, est ce que c’est supposé être un défi ?
ADAMUS : Absolument !
JOHN : Bien, alors c’en est un. Ah, quelle était la question ? (rire)
ADAMUS :
Peut-être dois-je le peindre sur le mur. De votre expérience
personnelle, s’il vous plait partagez avec nous un défi de l’éveil, en
assumant que maintenant des milliards, ou peut-ĂŞtre deux ou trois cent
personnes liront ceci Ă un certain moment.
(pause)
LINDA : (en murmurant) Vous pouvez le faire.
JOHN : Bien, c’est une bonne question. Peut-être juste être conscient du processus.
ADAMUS :
Conscient du processus. Vous voulez dire que le défi est de ne pas être
conscient ? Ou que le défi c’est connaître le processus ?
JOHN : Oui ! (rire)
ADAMUS :
Tous les deux ! ok (de rire), vous avez peut-être deux récompenses
d’Adamus, mais je vais mettre « le processus » (en l’écrivant) et c’est
le défi de ne pas vraiment comprendre - si je peux mettre des mots dans
votre bouche - ne pas comprendre ce qui se trouve sur la route devant
vous.
JOHN : ça a l’air d’être ça.
ADAMUS :
La route et ne pas savoir. Et alors nous dirons Ă©galement intuitivement,
car vous serez probablement d’accord, intuitivement vous savez un peu
ce qu’il y a sur cette route devant vous et ça peut être effrayant. Et
ainsi… bien. Vous avez une récompense. (il écrit) `la route savoir
intuitif’….Excellent.
LINDA : Ah, n’êtes pas vous spécial.
ADAMUS :
Okay, et nous allons devant, vers Gail, pour vous garder en mouvement.
Alors Gail, basé sur la question, que je présume maintenant gravée et
inscrite en vous… oui. Elle disparaîtra une fois que vous en parlerez.
Elle ne parle pas par elle-mĂŞme.
GAIL : Salutations.
ADAMUS : C’est bon de vous voir.
GAIL : C’est bon de vous voir, très cher. Rester présent dans le maintenant.
ADAMUS : Rester présent.
GAIL : Avec tout ce qui arrive, apprendre comment utiliser ce que nous choisissons d’utiliser…
ADAMUS : Oui.
GAIL : …
et nous ne savons pas comment cela fonctionne, tout en restant dans le
maintenant. Ne pas regretter le passé, ne pas anticiper sur le futur, ce
qui cause la peur – qui peut causer la peur.
ADAMUS :
Excellent. Excellent, parce que c’est un défi. Il y a une tendance,
quand vous commencez à entrer dans ce processus, vous – vous tous – vous
vous détachez du passé. Vous commencez à libérer, comme Tobias vous en a
parlé maintes et maintes fois. Vous commencez à laisser aller. Vous
êtes maintenant comme un ballon à air chaud, libre d’explorer, de
voyager, de s’expanser. Mais de cette manière, il est très facile de
quitter le moment présent, en particulier quand vous réalisez, tout
d’abord, que probablement vous n’y avez pas été souvent. Vous n’êtes pas
très familiers du moment présent. Deuxièmement, le moment présent exige
un grand degré de conscience. Vous devenez automatiquement conscient
quand vous êtes dans le moment présent, et parfois - le plus souvent -
les humains ne veulent pas vraiment ĂŞtre conscients. Ils veulent
beaucoup d’autres choses, mais la conscience submerge parfois, c’est un
peu difficile à gérer. Ainsi, oui, c’est bien.
GAIL : Mon
sentiment a été depuis, que la plupart d’entre nous, probablement nous
tous dans cette pièce, avons choisi de naître dans ces temps de la
vieille Ă©nergie.
ADAMUS : Oui.
GAIL : … intégrant, sortant de cette grille, pendant que nous sommes transformés
ADAMUS : Oui.
GAIL : … naturellement en même temps…
ADAMUS : Oui.
GAIL : cela comporte plus de défis.
ADAMUS :
Ah, beaucoup plus de défis. Beaucoup plus de défis, en particulier si
vous regardez l’étroitesse de la tranche d’âge dont vous venez tous. Que
ce soit de 20 à 80 ans, c’est une tranche d’âge bien réduite et vous
êtes nés dans une conscience de très vieille énergie. La conscience qui
s’est beaucoup questionnée pour savoir si la terre continuerait ? Est-ce
que les humains se détruiraient-ils avec les armes nucléaires ?
Presque, vous avez été très proches d’un incident. Ou est ce quelque
chose comme le truc du déclencheur du millénaire ? Il y a eu beaucoup de
questions pour arriver Ă ce moment lĂ , ici pour commencer Ă poser les
bases de la nouvelle conscience, véritablement la nouvelle conscience.
Puis passer par elle à un niveau très personnel est un plus grand défi
qui peut vous tirer hors du maintenant.
Alors je vous demande, de votre
perspective, est ce que la plupart des personnes - pas les Shaumbra, la
plupart des personnes - vivent dans le passé ou dans l’avenir ?
GAIL : Les deux, et c’est mon défi principal…
ADAMUS : Donnez moi un pourcentage.
GAIL : … mais vous l’a déjà couvert dans la gestion de l’énergie. Dans un pourcentage - au moins 95 %.
ADAMUS : Dans l’avenir.
GAIL : Dans les deux.
ADAMUS :
Dans les deux, oui, mais quel pourcentage dans le passé ? Quel
pourcentage dans l’avenir ? Et peut-être combien dans le maintenant ?
GAIL : Ok, je dirais 45% dans le passé, 45% dans l’avenir et environ 0,005% dans le moment présent
ADAMUS : (rire) oui, indécise !
GAIL : Est-ce que je parle votre langue ! ?
ADAMUS : Nous devenons proches.
GAIL : Ok.
ADAMUS :
Je dirais personnellement que 70% du temps sont passés dans le passé. Au
sujet des autres, oh, tout au plus, 5% sont passés dans le moment
présent. Le reste, se réfléchissant dans le futur. Et le futur est très
différent du passé. J’y viendrais plus tard. Mais, bien, merci.
GAIL : Je vous en prie. Merci.
ADAMUS : Oui.
LINDA : Gagnante du prix ?
ADAMUS : Oui, oh, absolument. Absolument.
LINDA : Vous n’avez pas le droit de regarder ! C’est juste une chose à prendre au hasard. Merci. Voilà .
ADAMUS : Merci. C’est un peu comme jouer aux osselets ici.
LINDA : C’est amusement.
ADAMUS : Allons vers Joe Engel.
LINDA : Ok, avec plaisir. OĂą est Joe Engel ?
ADAMUS : Oui… caméra… ici.
LINDA : Ah, nous y voilà . Non, il n’est pas sur la caméra. Ça y est, vous y êtes, monsieur.
JOE : Je
dirai faire des choix, pour moi personnellement, ou accepter, peut-ĂŞtre,
les conséquences des choses que j’ai pu sentir qui me ralentissaient
dans le passé.
ADAMUS : Ainsi vous dites que faire des choix serait un défi ?
JOE : Oui, probablement pour moi.
ADAMUS : Oui, bien, c’est bien. Si vous ne faites pas des choix, que faites-vous ?
JOE : Je deviens fou.
ADAMUS : Vous devenez fou, ouais. Laissez-moi vous demander, pourquoi ne voudriez-vous pas faire de choix ?
JOE : Par peur de l’échec ou peur d’aller au delà .
ADAMUS : Peur de faire un mauvais choix, peut-ĂŞtre ?
JOE : Ouais.
ADAMUS :
Le mauvais choix ? Beaucoup de vieille conscience est associée au bon et
au mauvais, au vrai et au faux, comment le monde voit vos choix. Vous
avez la critique, comme tout le monde a, pour leurs choix par les
parents par les professeurs et les autres. Ainsi, oui, c’est bien. Alors
faites-vous des choix maintenant ?
JOE : Je fais un peu de travail d’art de temps en temps.
ADAMUS :
Oui, mais faites-vous des choix ? Le travail d’art est merveilleux, mais
que dites vous au sujet d’un choix ? Je sens que ma question est
éludée.
JOE : Dans les grandes lignes - je ne fais pas probablement de choix en terme de…
ADAMUS : Merci de votre honnêteté. Vous avez une récompense juste pour cela. Pas pour la réponse, juste pour l’honnêteté.
Vous avez raison. Il y a toujours une
hésitation pour faire des choix et il y a encore la tendance de laisser
les choses se faire. Suivre le courant. Voir ce qui se passera demain.
Bien, je peux vous dire. La conscience est d’une certaine manière comme
le temps. Elle est très prévisible pour la plupart des personnes, parce
que vous pouvez presque prévoir que le temps demain sera le même
qu’aujourd’hui. Ainsi ce qui se produit dans votre vie demain sera
probablement comme ça l’est aujourd’hui. Jusqu’à ce qu’une tempête
monte, qui se produit approximativement tous les 3 ou 4 jours - si vous
prenez une moyenne. Alors soudainement, une tempĂŞte arrive et alors tout
le monde se défoule au sujet du temps - un peu comme la conscience.
Sans faire de choix, vous ne faites
qu’aller d’un jour Ă un autre. Un jour comme les autres jours, jusqu’Ă
ce qu’un orage frappe. Et alors vous devenez fou. « Pourquoi toutes ces
mauvais trucs arrivent dans ma vie ? (rire d’une personne) ouais, vous
et moi rions. Quel est le problème avec eux aujourd’hui ?
Alors une tempĂŞte arrive. Il y a
beaucoup de drame. Bien, en partie l’orage vient parce que vous vous
ennuyez terriblement avec votre train train quotidien. À un certain
niveau à l’intérieur de vous, vous savez que vous avez pris un
engagement pour ĂŞtre ici pour une raison, pour faire quelque chose,
ainsi c’est cette poussée qui vous avez – qui vous pousse dans le dos -
qui dit, « fait quelque chose. » Vous pouvez même dire que c’est la
volonté divine qui vous libère de votre ânerie humaine. Ouais, ainsi… Je
pensais que c’était drôle. (quelques rires)
Ainsi, oui, merci. Merci.
JOE : Merci.
ADAMUS : Mais question. Allez-vous commencer Ă choisir ?
JOE : Oui, je choisis la volonté divine.
ADAMUS :
Oui, mais je veux dire choisir. Ouais, vous êtes la volonté divine qui
vous choisit, d’ailleurs. Vous ne la choisissez pas. Ne vous moquez pas
de vous ici. (Rires d’Adamus)
JOE : Oui, oui.
ADAMUS : Je parle des choses dans votre vie. Je parle… est ce que je peux partager un peu de ce que nous parlons ?
JOE : Oui, absolument.
ADAMUS : Vraiment ?
JOE : Oui.
ADAMUS : Avec tout le monde ?
JOE : Allez-y. Je suis ici.
ADAMUS : Avec le monde ?
JOE : Pourquoi pas !
ADAMUS :
Une des choses dont nous parlons, de notre propre manière intéressante,
sont les frustrations que vous avez à ne rien faire, vous n’accomplissez
rien. Profonde respiration. Vous avez des aspirations extrĂŞmement
élevées. C’est pourquoi vous êtes venu si grand. Grandes aspirations.
Des objectifs phénoménaux. Peut-être un peu trop élevés qui vous font
pensez que vous ne pouvez pas sauter cet obstacle, vous ne pensez pas
que vous pouvez l’accomplir.
Dans une certaine mesure - et je parle Ă
vous tous - dans une certaine mesure vous mettez cette barre si haut
que parfois vous ne pouvez même pas la voir. Parfois il n’y a aucune
possibilité pour que votre mental humain puisse comprendre comment vous
allez l’atteindre, ainsi vous approuvez, vous abandonnez dans l’échec.
« Je ne peux pas le faire. » Il est presque plus facile de dire, « vous
savez, je suis juste… j’ai des idées merveilleuses, mais c’est la
société ou c’est mon karma ou quoi que ce soit d’autre qui me tire vers
le bas et me réprime, » et alors vous ne faites rien, vous ne faites pas
de choix.
Si vous deviez commencer Ă faire des
choix, alors cela vous rendrait ouvert Ă ce que vous ĂŞtes vraiment venu
faire ici. Et je ne parle pas de faire quelque chose ’comme un travail
de cadre supérieur ou d’être un grand chanteur, mais vous auriez une
chance dans quelques temps pour ça, ou écrire le roman de tous les
romans. Vous savez, il y a beaucoup d’auteurs shaumbra merveilleux, mais
ils recherchent les grands poissons. Ils recherchent la baleine. Ils
écriront un livre seulement s’ils sentent que cela fera trembler les
gens dans leurs chaussures, qu’ils tombent à genoux devant
l’émerveillement des mots qui ont été écrits. Et s’ils ne peuvent pas
faire cela, ils n’écriront pas de livre - ou quoi que ça puisse être.
Vous avez de brillantes perspicacités
dans le fonctionnement de l’énergie. Vous comprenez les cycles et les
flux d’énergie, parce que vous l’avez étudiée, vous avez une passion
pour elle et vous avez pour elle, oh, ce que vous appelleriez une
conscience du troisième oeil. Vous comprenez comment elle se déplace et
coule, mais vous ne faites rien avec elle excepté d’être un grincheux
parfois. Vous avez dit je pourrais… je suis désolé que Kerri, est ce que
j’ai dit ça ?
KERRI : Je ne l’ai pas dit !
ADAMUS : Mais je lui ai demandé la permission d’être ouvert. Ainsi vous devenez grincheux. Pourquoi, grincheux ?
JOE : Parce qu’elle est l’intermédiaire. Le saut à partir du chaud, être dans…
ADAMUS : Non. Votre énergie est constipée (rires), et cela donnerait à n’importe qui une mauvaise journée.
JOE : Absolument.
ADAMUS : C’est ça.
JOE : C’est vrai.
ADAMUS :
Vous avez une merveilleuse Ă©nergie. Une merveilleuse Ă©nergie, mais elle
est nouée en haut et elle est devenue très mentale. Vous savez ce que
vous essayez de faire ? Vous ĂŞtes comme moi, oui, parce que vous essayez
de sortir mentalement de votre prison. Vous essayez de mentaliser votre
sortie. Cela ne fonctionnera pas et je vous dis que, et je vous dis
encore et maintenant c’est sur la vidéo et il y a peut-être cent mille
personnes qui regardent en ce moment. Probablement pas, mais peut ĂŞtre.
Alors l’énergie refoule et voilà où vous
êtes Monsieur….Non. Maître…, le Type de l’Energie qui Coule et qui
comprend comment tout cela fonctionne – pas au niveau des maths ou même
de la géométrie sacrée, bien que ce soit intéressant - mais de la nature
intuitive du flux d’énergie. C’est comme si vous compreniez le flux
énergétique comme un ingénieur en fluides comprend le mouvement de
l’eau, des fleuves et des autres fluides. Oui. Mais tout est refoulé.
Alors que faites-vous ? Vous passez vos
jours à attendre que le jour suivant soit différent. Et il ne l’est pas.
C’est comme le temps. Ce sera la même chose demain. Jusqu’à ce que la
tempête arrive et puis, en fait ce sera probablement l’une des choses
qui vous fournira le plus d’excitation dans votre vie - les tempêtes.
Ainsi vous les créez inconsciemment pour vous sortir de votre m… hors de
votre zone de confort. (rires). Merci de me laisser parler si
ouvertement Ă ce sujet.
JOE : Merci pour ces Ă©claircissements.
ADAMUS : Je vous l’ai déjà dit. C’est finalement… les autres l’entendent.
JOE : J’ai toujours senti que j’étais très fâché contre…
ADAMUS : Vous l’êtes.
JOE : … contre vous et…
ADAMUS : Vous l’êtes.
JOE : … ou que je n’écoute pas.
ADAMUS :
Les deux ! Vous n’écoutez pas et alors vous devenez fâché. Si vous
écoutiez, vous ne seriez pas en colère. Vous avez une énorme
perspicacité, mais vous ne faites pas de choix – de votre propre aveu -
et alors cela refoule et c’est comme si vous vouliez crier. Il y a des
jours oĂą vous ne savez pas mĂŞme si vous voulez ĂŞtre ici, si vous le
voulez ou pas. Vous… ohhh… vous n’acceptez pas l’amour des personnes qui
essaient de vous en donner, y compris le petit, y compris l’être aimé, y
compris chacun ici. Vous avez cette barrière et vous ne l’acceptez pas,
parce que, bien, dites-moi. Pourquoi ? Il y a des gens dehors lĂ qui
veulent désespérément vous aimer. Pourquoi ne les laissez-vous pas vous
aimer ?
JOE : Je
pense que peut-être j’ai peur de la façon… si je les laisse approcher
trop près, j’aurais peur de la façon dont ils me voient ou la façon dont
est ma vie.
ADAMUS :
Aha. Aha. En fait, si je pouvais modifier un peu cela, vous avez peur
qu’ils vous voient de la même manière que vous vous
voyez. Mais ils ne vous voient pas de cette façon. Ils n’essayent pas de
voir les défauts, les bosses, les meurtrissures et les mauvaises
choses. Ce n’est pas leur intention. C’est peut être la votre – une
auto-Ă©valuation excessivement critique. Ils essayent juste de vous
aimer. Alors peut-ĂŞtre, juste peut-ĂŞtre, vous pourriez apprendre une
leçon de ceux qui veulent vous aimer et regarder la compassion qu’ils
ont et voir si vous pouvez faire cela pour vous-mĂŞme. Et alors nous ne
vous appellerons pas Monsieur. Grincheux, nous vous appellerons Monsieur
Stupéfiant. Merci. (applaudissements de l’assistance)
JOE : Merci.
LINDA : Qui est la prochaine victime ?
ADAMUS :
Il n’y a aucune victime. Ah, oh, ha ha ha. Si vous pensez c’est un acte
aléatoire qui gêne, ce n’est pas ça. Non, non, non, non. Il y a des
choix ici. Maintenant, qui fait un choix ? Qui fait un choix ? Sart.
Sart, vous avez une sagesse incroyable Ă
partager avec le groupe. Alors basés sur votre expérience personnelle,
quels sont les défis de l’éveil ?
SART : Rester avec.
ADAMUS : Rester avec. Aidez-moi à comprendre ce que voulez dire par ça.
SART : Rester avec au lieu de laisser un travail ou une activité l’affecter ou quelqu’un d’autre dans ma vie.
ADAMUS : Pourquoi ne voudriez-vous pas rester avec ?
SART : Parce que l’autre partie est confortable.
ADAMUS : Intéressant. Bon, excellent. Excellent. Maintenant que se passerait-il si vous ne restiez pas avec ?
SART : Alors je deviendrais grincheux. (beaucoup de rires et d’applaudissements d’Adamus et de l’assistance)
ADAMUS : Bien, la misère aime la compagnie, n’est ce pas !
SART : Oui.
ADAMUS :
Oui, rester avec lui. Pourriez vous imaginer avec moi un instant, oh,
vous tous si vous voulez. Ainsi vous dites, « rester avec
lui, » j’écris « le courage. » Imaginez juste un instant, vous le
laissez aller. Vous n’essayez pas de rester avec. Que se produirait-il ?
SART : J’apprécierais la vie davantage.
ADAMUS : (rire) Cela ressemble Ă une assez bonne recommandation alors.
SART : Oui ça l’est.
ADAMUS : Oui.
SART : Et j’espère y arriver bientôt.
ADAMUS :
Oui. Alors - aidez-moi Ă comprendre, parce que nous Ă©crivons un livre
ici et nous essayons d’être clairs avec tous nos lecteurs - alors à quoi
ressemble rester avec ? Que feriez-vous pour rester avec ?
SART : Savoir que vous êtes Dieu et que vous créez tout.
ADAMUS : Ok, dans les actions dans votre vie.
SART : Oui. Dans les actions journalières, chaque…
ADAMUS : Mais que feriez-vous pendant un jour ou une semaine ou un mois pour rester avec ? Vous forcez à aller à ces réunions ?
SART : Non, je pense que j’irais à plus de conférences. Je…
ADAMUS : Lire des livres ? Étudier les écritures saintes ?
SART : Ouais, j’ai arrêté de lire en fait après un moment de…
ADAMUS : Ainsi, vous ne restez pas avec.
SART :
Oui, je ne reste pas avec. J’ai laissé les choses affecter ma vie. Quand
j’ai un travail, je vais à ce travail très chaud et lourd.
ADAMUS : Vrai.
SART :
Parce qu’à certains moments je peux travailler à mon travail et moi le
laisser affecter mon non être, ou quelque soit la façon dont vous voulez
l’appeler, avec moi même.
ADAMUS : Votre vie spirituelle.
SART : Oui, avec ma vie spirituelle.
ADAMUS : Oui. C’est terrible comme les choses arrivent de cette manière.
SART : Oui.
ADAMUS : Fichtre ! S’il n’y avait pas toutes ces activités humaines, vous seriez probablement vraiment spirituel. (rire)
SART : Oui. Si j’arrêtais d’acheter des voitures.
ADAMUS : Oui, encore, imaginez avec moi un moment, si vous ne vous étiez pas soucié de rester avec, si…
SART : ça n’avait pas d’importance.
ADAMUS :
Si cela n’avait pas d’importance ou que peut-être vous ayez une profonde
confiance en vous-mĂŞme dans le processus plutĂ´t
qu’une détermination humaine ou parfois une obstination de devoir faire
certaines choses, peut-ĂŞtre laisser aller et comprendre que rien ne peut
se mettre sur le chemin. Rien. C’est naturel. C’est un processus
naturel lors de l’éveil, et finalement chacun passe par lui. Chaque être
le traversera. Vous êtes juste peu un fou pour l’avoir traversé en
premier, ou plus tĂ´t que les autres.
Mais il y a un phénomène intéressant et
certains pensent que c’est une discipline, une étude, un rituel ou une
pratique. La plupart d’entre vous êtes arrivés ici de cette manière -
cherchant ou désirant encore une autre structure. A un certain niveau,
la structure vous déplaisait, mais à un autre niveau vous sentiez qu’il
était important d’avoir une certaine structure parce que vous n’aviez
pas Ă vous faire confiance, il y avait une structure. Mais que se passe
t’il quand vous laissez aller, quand vous arrêtez de travailler avec
elle, lĂ oĂą votre travail est spirituel, lĂ oĂą mĂŞme les distractions
sont spirituelles, en fait vous convertissez cette l’énergie ou cette
conscience dans « tout est spirituel »’ et finalement, il n’y a rien de
spirituel. La spiritualité est un mot légèrement corrompu, à mon humble
avis.
SART : Je savais ça.
ADAMUS : Cela est. Cela est. Désolé d’avoir pris sur votre temps de parole.
SART : Non, c’est très bien. Je suis prêt pour le grand changement, je pense, pour laisser aller cela. Laisser aller cela.
ADAMUS : Uh-oh ! Uh-oh ! (Rires d’Adamus)
SART : Oui.
ADAMUS : Ces fameux presque derniers mots.
SART : Presque derniers mots.
ADAMUS : Oui. Bien, bien. Et quel genre de changements ?
SART : Oh je pense comme vous le dites, pour faire…
ADAMUS : Grand comment ?
SART : … où ça n’a pas d’importance.
ADAMUS : Grand comment ?
SART : Je ne sais pas. Il y a longtemps que je n’ai pas fait de grande chose ici.
ADAMUS : Bien, nous travaillerons lĂ dessus plus tard.
SART : Ouais.
ADAMUS : Avant la fin de notre session, qui pourrait se finir tard. (Rires étouffés d’Adamus)
SART : J’ai beaucoup de temps.
ADAMUS : Ainsi, bien. Merci et une récompense pour vous.
SART : Merci.
ADAMUS : Bien sûr. Et, chère Linda, vous n’avez pas besoin de courir si vite, parce qu’un micro va aller directement jusqu’à Bonnie.
BONNIE : Je pense que pour moi c’est le fait de rester équilibrée. Je sors facilement de l’équilibre.
ADAMUS : Oh, j’aime celui-là . Rester équilibré. Alors que se passe t-il Chère Bonnie, quand vous sortez de l’équilibre ?
BONNIE : Bien, les choses ne sont plus les mêmes. Les choses changent, et je ne sais pas comment réagir.
ADAMUS : Quand vous dites choses sont elles pas les mĂŞmes, les choses ? Vous ? Le monde ? Moi ?
BONNIE : Moi. Je parle de moi, parce que c’est moi qui sort de l’équilibre.
ADAMUS : Oui.
BONNIE :
Et je suis effrayée de sortir de l’équilibre. C’est comme si je ne peux
même pas marcher sur le sol sans sentir qu’il est différent maintenant.
ADAMUS : Oui. Et qu’est ce que l’équilibre ?
BONNIE :
Je ne sais pas. C’est se sentir confortable entre les trucs qui ne sont
pas si bons et les choses qui sont vraiment bonnes, c’est
juste rester au milieu.
ADAMUS : Pensez-vous que l’équilibre est toujours employé comme un mot ou un raisonnement pour tout garder en ordre ?
BONNIE : ContrĂ´le, ouais.
ADAMUS :
Je n’ai pas dit le contrôle. Vous avez dit contrôle, mais vous avez
absolument raison. Contrôle. Garder les choses en ordre, la dernière
zone de confort avec vous-même, mais aussi l’attente que ce damné reste
du monde devrait être en ordre, et il ne l’est pas ! Il ne l’est pas !
C’est le chaos dehors. Mais en fait, Bonnie, le chaos est une chose
étonnante pour plonger dedans, et vous avez eu quelques expériences avec
lui. Il n’y a vraiment aucun chaos ; il y a juste beaucoup de
mouvements d’énergie et de conscience qui sont mal compris ou non
connus, c’est chers amis comme Joe qui comprend vraiment ce qu’il se
passe mais qui n’a pas fait le choix de faire quelque chose avec ça.
Mais il n’y a pas de chaos. C’est la chose étonnante.
Comme j’aime le préciser si souvent, le
monde, l’univers, la création est dans un ordre parfait. C’est juste que
vous ne comprenez pas tout à fait comment il est ordonné. Alors il y a
une frustration interne pour absolument savoir comment est ordonné cet
ordre et qui a ordonné de le commencer. Dans cette vie vous ne pourrez
pas le comprendre avec le mental, mais vous pouvez le sentir. Mais vous
devez vous permettre de ressentir le chaos.
J’ai posé la question qu’est ce que
l’équilibre ? Ma réponse est, le chaos absolu. Cela à l’air d’être une
contradiction, mais le véritable équilibre au niveau du noyau de la
création est le chaos. C’est le chaos dans la perception humaine, mais
c’est véritablement dans un ordre parfait ; pas en ordre d’un point de
vue des mathématiques, ni de la nature ou de la science, certainement
pas dans un ordre de Dieu. C’est un état de perfection déployée.
Maintenant c’est une contradiction en
termes humains, parce que théoriquement la perfection n’a pas besoin de
changer. Elle est parfaite. Mais pourtant la perfection, toute la
création, évolue constamment. Ce serait une contradiction de termes, qui
apparaîtrait comme étant le chaos, mais ça ne l’est pas, parce que la
vĂ©ritable perfection et le vĂ©ritable Ă©quilibre veut continuer Ă
expérimenter sa perfection et ses potentiels. Et c’est là où nous irons
plus tard aujourd’hui, peut-être ce soir. Nous parlerons des potentiels.
Merci.
BONNIE : Merci.
ADAMUS :
Plonger dans le chaos. Le chaos vous a appelĂ©. Le chaos vous a invitĂ© Ă
sa table, et vous avez crié et donné des coups de pied. Mais c’est une
chose Ă©tonnante.
BONNIE : Merci.
ADAMUS : Merci. Et quand vous rentrez dans le chaos, comprenez que ce n’est vraiment pas chaotique.
BONNIE : Super.
LINDA : Y a-t-il un prix ?
ADAMUS : Oh, absolument.
LINDA : Juste un, Bonnie.
ADAMUS : Bien maintenant faisons-le par choix. Vous choisissez si vous voulez que Linda vous donne le micro. Levez lez mains.
SHAUMBRA
(FEMME) : Mon défi a été l’augmentation de la clarté au sujet de choses
comme l’intégrité, la clarté, à un niveau entièrement différent, qui
sollicite l’action, cela a été un défi.
ADAMUS : Clarté accrue. Puis je mettre mes propres mots ici, pour le livre ? Conscience.
SHAUMBRA(FEMME) : Okay.
ADAMUS :
Conscience, clarté. Maintenant beaucoup de Shaumbra n’ont pas cela. Ils
ressentent presque un manque de clarté. Mais vous dites que vous avez
plus de clarté, plus de conscience.
SHAUMBRA
(FEMME) : Oui, et cela affecte ma vie parce que les choses que je
pensais être bonnes ou qui allaient bien, avec cette clarté je réalise
soudainement que m’étais menti à mon sujet.
ADAMUS :
Ah ! Quels sont les mensonges lĂ -dessous ? Quels sont les mensonges
là -dessous, c’est un grand défi, et cela est en rapport avec la gestion
de l’énergie et le fait de faire des choix, ce dont nous avons parlé
tout à l’heure. Tout est relié. Et cela est aussi en rapport avec le
fait que vous ne pouvez pas revenir en arrière. Alors vous commencez Ă
devenir plus conscients, vous prenez conscience des premières étapes,
vous prenez conscience de ce que vous considèreriez comme tous vos
défauts et tous les mensonges qui ont été dits. Vous regardez le côté
sombre des expériences que vous avez eues et arrive alors le désir de
devenir moins conscients.
SHAUMBRA (FEMME) : Ouais.
ADAMUS :
D’un autre côté, parlons de cet autre côté – le manque de conscience.
Beaucoup de Shaumbra désirent vraiment l’éveil, je vais donc écrire une
petite note ici. Puisque vous avez la conscience, comment
l’obtenez-vous ? Comment avez-vous obtenu votre conscience ? Y a-t-il un
remède à base d’herbes sur le marché de la conscience ?
SHAUMBRA
(FEMME) : Je pense que le plus grand changement est venu quand j’ai fait
l’atelier Interdimensionnel. Je suis restée ici et je me suis mise en
expansion dans tout ce que je suis.
ADAMUS : Donc vous avez fait un choix pour être plus consciente et maintenant vous dites que c’est un défi ?
SHAUMBRA (FEMME) : Oui.
ADAMUS : C’est ça, oui.
SHAUMBRA (FEMME) : Je reviendrais en arrière pour rien au monde, et c’est un défi…
ADAMUS : Et c’est un défi.
SHAUMBRA(FEMME) : … avoir à retravailler les relations dans ma vie et…
ADAMUS : Oui. Et y a-t-il quelque chose que vous pourriez partager avec de futurs lecteurs potentiels sur la façon de devenir plus
conscient ?
SHAUMBRA
(FEMME) : C’est comme s’installer – ça a l’air un peu bizarre – comme
s’installer dans une chaise très confortable Je me sens comme si je
m’étais assise sur le bord de ma chaise pour rester en conscience.
ADAMUS :
Pourrais-je revenir à certaines des autres réponses ici. Plus de
conscience serait de rester dans le moment présent. Et faire des choix
vont naturellement amener la conscience.
SHAUMBRA (FEMME) : Oui.
ADAMUS : Mais d’autre part vous ne pouvez pas revenir en arrière.
SHAUMBRA (FEMME) : Vrai.
ADAMUS : Vous ne pouvez pas revenir en arrière. Bien. Merci. Merci.
SHAUMBRA (FEMME) : Je vous en prie.
LINDA : Gagnante d’un prix.
ADAMUS : Oh, absolument.
LINDA : VoilĂ .
ADAMUS : Il n’y a aucune mauvaise réponse, juste des réponses qui peuvent causer de la peine. Oui, Peter. Bonjour Peter.
PETER : Merci.
ADAMUS : Avez-vous payé les 25 $ aujourd’hui ?
PETER : Oui.
ADAMUS : En avez-vous eu pour votre argent ?
PETER : Oh, incroyable. Merci.
ADAMUS : Oui. Stupéfiant.
PETER : Ouais. Je pense que ce qui se produit chez moi c’est une appréciation croissante pour une conscience qui grandit chez moi.
ADAMUS : Vrai.
PETER : Et je trouve que… ce qui vient à la conscience a deux aspects.
ADAMUS : Vrai.
PETER : Un
qui a été enseigné – j’en discutais aujourd’hui - est le péché
originel, celui où je suis mauvais et tout ce truc. Et il y a l’autre
qui est joie, paix et gratitude. Et je constate que plus que je vais
dans la paix et la gratitude, c’est comme une sorte de reflets qui
m’aide au niveau du péché originel, pour parler du Moi.
ADAMUS :
J’ai noté une chose intéressante chez les humains - pas nécessairement
Shaumbra - mais les humains aiment le péché originel. Donnez-leur le
choix entre la conscience du péché originel et la conscience heureuse et
joyeuse, le plus souvent ils vont vers le péché originel.
PETER : Oui. C’était un mensonge. C’est un mensonge.
ADAMUS : Oui, mais ils l’aiment aussi.
PETER : Oh ouais ! Et je suis conscient de combien ils l’aiment.
ADAMUS : Vous savez, l’église le vend, mais quelqu’un l’achète.
PETER : Ouais.
ADAMUS : Et c’est pourquoi c’est une relation réalisable.
PETER : Oui.
ADAMUS : Oui. Mais le défi. Quel est le défi ?
PETER : Bien, le défi est d’abandonner ce péché originel et de ne plus y rentrer pour reconnaitre ce qui arrive dans ma vie.
ADAMUS : Vrai.
PETER : ĂŠtre joyeux, avoir de la gratitude et Ă©mettre une estime positive aux gens.
ADAMUS : Oui. Oui, maintenant, est-ce un défi d’abandonner l’obscurité, la culpabilité, le… ?
PETER :
J’ai été programmé à faire cela. Je suis programmé pour faire ça, okay,
et l’autre côté c’est quelque chose que l’on ne m’a pas
enseigné - la gratitude.
ADAMUS :
Alors, si je peux l’énoncer dans mes mots, vous roulez sur l’autoroute,
sur votre côté droit il y a un magnifique fleuve qui serpente avec des
saules tout le long de la berge ; et sur le côté gauche il y a cinq
bâtiments en feu avec les pompiers, les ambulances et les hélicoptères.
OĂą regardez-vous ?
PETER : Ouais, je vais regarder probablement en premier le feu et les ambulances.
ADAMUS : Vrai.
PETER : Et alors je dis, « ça ne sent pas bon. Cela ne me sert pas. »
ADAMUS : Exactement.
PETER : Et ensuite je vais vers l’autre côté, vers ce beau désert, les montages et le coucher de soleil.
ADAMUS : Environ un millionième d’une seconde, et puis vous retournez aux sirènes.
PETER : Oui, et je choisis cela. Et je sais que c’est bon pour moi maintenant. C’est une chose pure.
ADAMUS :
Oui. Mais - et ici nous parlons d’une façon générale, pas simplement
pour vous - mais il y a une tendance Ă ce que les humains continuent Ă
regarder le feu, le drame. Il y a une fascination morbide avec ça. Il y a
une excitation. Il y a une action. Cela stimule les sens primaires des
humains et c’est le drame. Et le beau fleuve qui serpente… plus tard.
« Plus tard, » disent ils. « Mais le feu se passe en ce moment. »
PETER : Ouais.
ADAMUS : Si vous deviez résumer en quelques mots, le défi serait… ?
PETER : Exprimer ma lumière intérieure.
ADAMUS : Pas tout Ă fait.
PETER : Pas tout Ă fait, bien.
ADAMUS : Non, non. Un défi. Quelqu’un lit ce livre et dit, « quels sont les défis qui sont incroyables… »
PETER : C’est la responsabilité. Prendre la responsabilité de ma vie et de mes choix.
ADAMUS : Audience, une meilleure façon d’énoncer ceci à partir de votre expérience personnelle ?
SHAUMBRA : Le drame.
ADAMUS :
Le drame. Merci. Merci, oui. C’est l’attention au drame par opposition -
je vais l’appeler - aux potentiels. Oui. Bien, excellent. Ok, et juste
un de plus. C’est juste l’échauffement de notre discussion, je dois
entrer dans ma conférence ici.
LINDA : L’échauffement ? Okay.
ADAMUS : Oui, juste ici. Elizabeth. Je peux sentir votre passion qui coule Ă flot.
ELIZABETH : Vraiment ?
ADAMUS : Oui.
ELIZABETH :
Je dirais que le plus grand défi pour moi est de cesser de me harceler
et d’honorer combien je suis venue de loin plutôt qu’être frustrée parce
que je n’ai pas fait ceci, ceci ou cela. Vous savez, apprécier qui je
suis à chaque moment qu’importe ce que je fais en laissant ma perfection
ĂŞtre.
ADAMUS : Alors le défi a été…
ELIZABETH : Oui, absolument. La critique au lieu de l’approbation.
ADAMUS : Soi même…
ELIZABETH : Amour ? Approbation ?
ADAMUS : Le doute à propos de soi, déni, analyse critique. (Adamus écrit)
ELIZABETH : Oui, tous ceux lĂ .
LINDA : Jugement ?
ELIZABETH : Ouais, jugement.
ADAMUS : Et le moi entier, et peut-être nous pouvons dire la dignité. « Je ne suis pas digne. »
ELIZABETH : Absolument. Bon mot.
ADAMUS :
Et si vous étiez digne, tout d’abord, Dieu serait sur votre seuil chaque
matin avec votre petit déjeuner si vous en étiez digne.
ELIZABETH : Oui.
ADAMUS : Et tout coulerait parfaitement dans votre vie et tout le monde vous aimerait totalement et serait étonné par vous.
ELIZABETH : Bien dit !
ADAMUS : Oui, oui.
LINDA : Ceci n’est pas très bien traduit. Vous êtes sarcastique, vrai ?
ADAMUS : Yah !
ELIZABETH : Ah, ouais !
LINDA : Je veux juste aider ceux qui doivent traduire les canalisations.
ELIZABETH : Ah, bon point.
ADAMUS :
Je comprends. Tout cela sont des ordures Ă propos du soi et, si je
pouvais ici, moi dirait que c’est probablement l’un des plus grands
problèmes, et cela nous ramène un peu dans le précédent, le drame, mais
également il est plus facile de regarder votre côté obscur que votre
côté lumineux. Vous ne croyez pas nécessairement que le côté lumineux –
je ne veux pas différencier l’ombre et la lumière, mais ceux qui lisent
le feront - est presque plus attirant. Ils ont Ă©tĂ© conditionnĂ©s Ă
regarder l’obscurité et la conclusion est - « si j’étais une meilleure
personne, je serais plus spirituelle et davantage lumineuse. » Pas du
tout.
Vous devriez rencontrer certains des
grands maîtres ascensionnés des autres royaumes ! Ils étaient des
criminels. Ils étaient des hérétiques. Ils ne se sont pas conformés à la
loi - aucuns. Ils ont parlé d’une façon profane à Dieu et de Dieu. Mais
ils Ă©taient les rebelles. Ils ont dĂ» exploser ce dont je vais parler
dans un moment – les formules. Donc Merci. C’est très perspicace.
ELIZABETH : Merci.
ADAMUS : Allons vers un de plus.
LINDA : Okay.
ADAMUS : Les mains se lèvent.
LINDA : Les courageux. Avez-vous un choix ?
ADAMUS : Non, allez-y. Vous choisissez.
LINDA : Ok. Ah, pas cela encore.
STEVE : Est-ce que j’ai le prix d’abord ?
LINDA : Non vous avez d’abord le micro. Désolée.
STEVE : Confusion mentale.
ADAMUS :
Confusion mentale. Oui. Et ces deux mots sont fondamentalement le mĂŞme
mot (rire) alors nous allons juste l’appeler « mental. » Il y avait une
époque où le mental n’était pas confus, mais c’était il y a longtemps.
C’est un des autres livres que j’adorerais que quelqu’un écrive, parce
que j’en ai d’autres à l’esprit, mais pour revenir en arrière, vraiment
canaliser le passé et la crise Atlantéenne, la transformation du mental
en Dieu.
STEVE : Mon mental adorerait tout savoir Ă ce sujet.
ADAMUS :
Oui. Oui, il. Mais si vous Ă©criviez le livre, cela devrait venir de
votre coeur, et alors votre mental dirait, « mais tu es en train de tout
inventer. » Mais le faites-vous ? C’est la grande question et c’est le
dilemme mental qui se produit. La grande question. La grande question.
Ainsi, bon. Nous sommes exactement lĂ oĂą
je voulais être - douze - et il est temps de décider qui va avoir… oh,
après que votre récompense soit donnée. Qui va avoir les cinq cents ?
LINDA : Les cinq cents quoi ?
ADAMUS :
J’ai dans la poche de Cauldre… mais décidons d’abord qui va l’avoir. Et
personnellement je serais honoré si nous pouvions récompenser Joe pour
son honnêteté. (l’audience approuve et applaudit) un billet craquant de
cinq cents dollars - de Hongrie. Oui. (rire) et si vous pouviez le lever
jusqu’à la caméra, s’il vous plait. Tenez-le en l’air… non, venez ici.
LINDA : (Ă Joe) Votre sac autour du cou est beau.
ADAMUS :
On a dit qu’il y a une ressemblance avec moi là dessus. Et si nous
pouvions trouver une manière de le faire voir ici. Continuez Ă
le tenir devant la caméra. (l’image vient sur l’écran et Shaumbra dit,
« Ahh ! ") Merci. Dépensez le sagement.
Merci. … (applaudissements de l’assistance) et Linda était si contrariée que je distribue la ferme.
Bouger de l’énergie
Prenons - hmm, il y a tellement Ă dire -
mais faisons une pause d’évolution énergétique un instant avant que
nous rentrions dans le sujet. Avec un peu de musique.
LINDA : S’il vous plait.
ADAMUS : Et ouvrons un peu notre voix. Hannibal si vous voulez bien, vous avez neuf minutes.
HANNIBAL : (en chantant) neuf minutes !
ADAMUS : Neuf minutes !
HANNIBAL :
Neuf minutes. Bien. Et ce n’est pas du temps du tout, asseyez vous
droit et prenez une profonde respiration. D’abord, nous allons commencer
par mettre les mains sur le visage… et fredonner, avec la bouche en
avant. (l’assistance le fait) Hmmmmmmmmmmm.
Très haut. Aussi haut que possible.
Hmmmmmmmmmmm. Fredonnez. La bouche en avant, comme le bec d’un oiseau.
Hmmmmmmmmmmmmm. Pouvez-vous sentir la vibration ? Pouvez-vous sentir la
vibration sur le crâne ? (Hannibal met ses mains sur la tête)
Hmmmmmmmmmmmmmm. Plus fort. Plus fort. Respirez plus profondément. Hmmmmmmmmmmmmm.
Les mains ici (sur les côtés du visage) Oh-h-h-h-h-h-h-h-h-h-h-h ! E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e !
E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e ! Comme une spirale. Plus haut, plus haut, plus haut !
Je vais vous faire voir -
e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e - et redescendez, puis vers le haut dans la voix
de la tĂŞte. Utilisez juste la voix de la tĂŞte, ne descendez pas.
Beaucoup de personnes veulent juste rester dans la voix de la poitrine.
Nous voulons aller chercher la voix de la tĂŞte. Prenez une grande
respiration. E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e !
Qu’est ce que vous ressentez ? Refaisons-le. Refaisons-le. Une grande respiration. E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e !
Hah ! Hah ! Hah ! Vous devez ouvrir la
bouche. Vous devez ouvrir la bouche d’abord. Une grande bouche. Sans
réprimer. Hah ! Hah ! Hah ! Hah ! Rapidement. Rapidement. Hah ! Hah !
Très vite. Hah ! Hah ! Hah ! Hah ! Hah ! Hah ! Hah !
Debout, debout, debout. Les mains sur le
ventre et ouvrez la bouche d’abord et pressez et puis regardez moi,
regardez moi. Hah ! Hah ! Ouvrez la bouche en premier. Hah ! Oui ! Hah !
Oui. Hah ! Hah ! Hah !
Faisons la tonalité
O.O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o. Faites les mains.
O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o. Plus haut !
O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o. O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o.
E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e. Bouche ouverte. E-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e.
Faisons A-a-a-a-a-a-a-a-a. Faisons U-u-u-u-u-u-u-u-u. Faisons O-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o. Et oh. Oh-h-h-h-h-h-h-h-h-h-h-h…
Je vais vous faire chanter un, deux,
trois, quatre, cinq, six, sept, huit. Ok allons y. Un… Extrême !
Exagérez, Exagérez, Exagérez, Exagérez. De façon extravagante. Bonne
respiration et U-n-n-n-n-n-….
Si vous commencez à cette hauteur, où allez-vous aller ? Commencez plus bas. Une bonne respiration et nous y allons U-n-n-n-n…
Une bonne respiration,
D-e-u-u-u-u-u-u-x… T-r-o-i-i-i-i-i-s… Q-u-a-t-r-e-e-e-e-…
Ci-i-i-i-i-i-i-n-q… S-i-i-i-i-i-i-i-i-i-x… S-e-e-e-e-e-e-p-t. Ouvrez la
bouche !
Vous n’avez pas la bouche ouverte. Allez
à « sept. » SEPT ! ! Soyez extravagants, extrêmes. Allez.
S-e-e-e-e-e-p-t… H-u-u-u-u-i-i-i-i-i-t.
Merci beaucoup ! (applaudissements de
l’assistance) Merci. Vous pouvez vous asseoir maintenant. (Hannibal fait
un rire exagéré et l’assistance l’imite.)
LINDA : Merci. Merci ! Est-ce que c’est une voix ou autre chose ? Wow.
La zone d’éveil
ADAMUS :
Chers Shaumbra, le mois dernier nous avons parlé de cette convergence ou
de cette réunion de l’onde humaine et de l’onde divine. Tout
naturellement, je le simplifie, parce qu’il y a beaucoup d’autres ondes
qui participent à ceci. Mais pour vous rappeler, nous avons parlé du
divin comme un flux, comme un rythme sur lequel vous pouvez vous
brancher, et de l’humain qui a son propre flux et rythme. Et avec les
deux, c’est parfois une très belle danse qu’ils font ensemble.
Ils reviennent ensemble et ils partent
vers leur propre voyage, et ils reviennent. Et chaque fois qu’ils sont
proches l’un de l’autre, ils partagent leurs expériences, ils partagent
ce qu’ils ont appris. Comme vous assis ici en ce moment, une partie de
vous apprend et expérimente, il y a aussi votre divin qui est également
dans les autres royaumes qui apprend et expérimente. C’est une danse
merveilleuse. C’est une danse naturelle.
Tôt ou tard, ces éléments décident de
venir ensemble, et c’est ce qui se produit en ce moment. Ainsi ces ondes
Ă un certain point se croisent et font alors une danse Ă©ternelle
ensemble, encore et encore et encore. Ce point ici s’appelle le point
« X » ou l’éveil ou la zone, et c’est là où vous êtes. Il n’y a pas
beaucoup d’humains qui sont là . Ils sont quelque part en arrière ici,
ici, mais vous vous ĂŞtes lĂ .
Tobias, dans le travail qu’il a fait
avec vous au cours des années – tout au long des âges en fait, mais au
cours des années – a fait cette
danse avec vous et vous a amenés dans cette première zone d’éveil. Il
vous a rassurés, si rien de plus, que vous étiez divins, que vous
n’étiez pas fous. Il vous a aidés à apaiser certaines des blessures que
vous aviez supportées tout au long du chemin – ce que l’humain avait
enduré sur le chemin. Il vous a aidés à regarder dans les potentiels du
futur qui vous amèneraient à ce point et que d’une façon c’était
réconfortant et rassurant et que vous pouviez voir dans vos potentiels.
Ainsi il a aidé à vous amener ici et
nous nous sommes passĂ©s le relais et il a dit, « Adamus, tu le prends Ă
partir d’ici, parce que je retourne. Je vais contourner ceci (l’onde) je
reviens pour être avec Shaumbra ici (le point « X ») pour travailler
avec eux d’une manière très différente. »
Ainsi, et nous avons parlé de ceci avec
un autre groupe récemment, mais juste avant que vous entriez dans cette
zone (la zone « X »), l’humain devient très, très fantasque, si nous
devions magnifier ceci juste avant que vous entriez dans le point « X ».
(Adamus dessine onde irrégulière) cela devient très turbulent.
L’esprit - votre divin - répond avec une
forme intéressante de compassion, une réflexion très intéressante de
vous-même. Quand vous devenez fantasques, hors de l’expérience et que
vous avez aussi une compassion et une compréhension de ce que vous êtes
en train de traversez, cela devient irrégulier aussi (Adamus dessine une
autre onde irrégulière) décide de ne pas suivre exactement votre modèle
mais se désynchronise de vous. Les ingénieurs, les découvertes
scientifiques comprennent la synchronisation. Quand les fréquences
fonctionnent ensemble au même niveau, c’est une merveilleuse musique.
Quand elles ne travaillent pas ensemble, c’est affreux. C’est affreux.
Mais il y a un but à cela. Ce n’est pas
fait avec une mauvaise intention ou par stupidité de la part du divin,
et généralement pas de la part de l’humain, parce que - pour le
simplifier - quand cela (le modèle de l’onde) n’est pas synchronisé ou
est déphasé, il y a un désir très fort de revenir de nouveau dans la
phase - mais pas dans la vieille phase, ou dans les vieux modèles. Et
c’est dans cette zone irrégulière juste avant d’entrer dans la
zone« X », que ces modèles irréguliers d’une manière communiquent les
uns avec les autres - pas avec des mots ou avec des sons - mais ils
communiquent et disent, « allons au prochain niveau. Faisons-le
différemment . Au lieu de ce reflux constant, de cette danse du cygne
constante, faisons-le ensemble. »
Ce comportement fantasque donne
(appelons le, énergie ou élan pour aller jusqu’au point où vous êtes en
ce moment) l’éveil. Et je n’aime pas tellement le terme « éveil » car
cela fait comme si vous étiez complètement endormis, et en fait vous ne
l’avez jamais été. Vous aviez juste créés différents niveaux de
conscience, et vous dites, « ouvrons-les maintenant. »
Beaucoup de choses intéressantes se
produisent ici, et ensemble, travaillant avec Shaumbra autour du monde,
nous allons Ă©crire et parler de ce qui se passe dans cette zone de
turbulences et qu’est ce qui se produit une fois que vous êtes ici (la
zone « X »). Cela n’aurait il pas été intéressant et utile pour vous
s’il y avait eu quelque chose qui n’était pas de la merde philosophique…
SHAUMBRA : Oui !
ADAMUS :
Merci… qui n’était pas de la théorie, qui n’était pas juste un livre que
quelqu’un voulait vendre à des millions d’exemplaires, que ce n’était
pas quelqu’un qui essayait simplement de devenir un grand gourou. Cela
n’aurait il pas eu de la valeur si quelqu’un avait divulgué ceci, pas
avec tous les détails, bien sûr, mais aurait dit, « voici en quelque
sorte ce qui se produit. Vous allez avoir votre propre manière de
l’expérimenter, mais voici en quelque sorte ce qui se produit. » Et
c’est ce que nous faisons.
C’est une des grandes raisons pour
lesquelles vous êtes venus ici sur terre, pourquoi vous êtes restés ici
sur terre, et pourquoi vous sentez cette connexion avec Shaumbra. Et
nous allons le faire d’une façon simple, facile à comprendre, et nous
n’allons pas le faire avec un truc de luxe. Nous allons l’écrire de
façon à ce que les humains comprennent. Pourquoi l’écrire dans des
termes ésotériques et théologiques que personne ne comprend et qu’ils
lisent à la hâte ? Nous allons l’apporter, parce que, vous savez, nous
pouvons le faire, parce que vous êtes passés par l’expérience et que
vous ne voulez pas le rendre plus le complexe que ce que c’était.
C’était suffisamment complexe. Ainsi nous avons un appel pour la
simplicité.
Que se passe t-il dans cette zone
« X » ? Et d’ailleurs vous verrez qu’il y a une différence dans la zone
de turbulences par opposition à la zone « X ». Dix ans passés dans la
zone de turbulences, maintenant nous sommes dans la zone « X. »
Alors qu’est ce qu’il se passe ici ?
Alors qu’est ce qu’il se passe ici ? Bien, un certain nombre de choses.
Les formules ne fonctionnent pas, et les formules sont ces choses que
vous avez conçues, les petites formules pour votre vie humaine. Elles ne
fonctionnent plus. Les humains et mĂŞme les anges vivent avec des
formules (de beaux petits systèmes de croyance prĂ©emballĂ©s, comme aller Ă
l’épicerie dans le rayon des aliments surgelés, mais c’est la section
non stimulée des croyances et ils saisissent les choses des rayons) des
formules pour la façon dont ils vivent.
Maintenant, il est admis que quelques
formules sont appropriées. Une formule pour conduire votre voiture,
c’est d’un commun accord. Mais pour la plupart, les gens sont
emprisonnés dans les formules. Comment s’habiller ? Vous savez, c’est
une formule. Il y a beaucoup de différentes formules qui disent comment
vous êtes censés manger. Mais les gens ont des croyances de formule. Ils
ont des routines et des habitudes qu’ils répètent encore et encore pour
essayer de mettre de l’ordre dans leur vie, mais ils ne sentent pas
qu’il n’y a pas d’ordre. Ils essayent de mettre de l’ordre, mais ils
savent qu’il n’y en a pas. C’est comme essayer de ratisser les feuilles
dans une tempĂŞte. Cela ne marchera pas. Mais les formules donnent du
confort.
Les formules ont été développées ici
(dans la zone avant l’éveil), je veux dire des vies de formules, et
maintenant vous êtes ici (« X ") et elles ne fonctionnent pas. Cela
donne l’impression que l’humain tombe en morceaux. (Adamus dessine une
figure « tombée »). Cela donne l’impression que tout s’émiette et que
l’humain dégringole dans des abîmes ne sachant pas s’il en réchappera un
jour. Et ce n’est pas vrai du tout. Absolument pas vrai. C’est juste
ressenti de cette façon là , parfois vous l’expérimenter de cette façon,
mais cela fait partie de l’expérience.
Donc les formules ne fonctionnent pas,
et vous avez probablement trouvé cela dans votre propre vie. Vous avez
essayé de retourner aux vieilles formules, aux vieilles manières de
faire mais ça ne marche pas.
Maintenant, naturellement la prochaine
étape est d’essayer de créer une nouvelle formule ! Absolument !
Absolument. Alors il y a une tentative désespérée, une tentative
excessivement désespérée pour rechercher, pour essayer de trouver la
nouvelle formule, le nouveau processus et le nouveau procédé. Et c’est
là , d’ailleurs, où vous êtes tous passés par la panne des formules ou
c’est comme une façon qu’elles ont de se déstructurer elles mêmes, ainsi
l’énergie peut être libre. L’énergie finalement ne veut pas être piégée
dans une formule. C’est un flux libre. Joe sait cela.
Mais il y a une tentative désespérée du
mental pour créer la nouvelle formule. Et alors vous mettez des mots
fantaisistes et brillants dessus et vous l’appelez « nouvelle énergie. »
Bien, n’est-ce pas ? Est-ce juste la même vieille formule un peu
arrangée avec un nouveau titre ? Oui. Oui, parce qu’il y a… donnez-moi
un peu de latitude sur ceci, mais généralement il n’y a pas de formules
nouvelle énergie. Il y a de la physique derrière cela, parce que la
vieille énergie a répondu aux formules. Ce qui a été fait hier peut être
refait aujourd’hui, alors vous le répétez, vous le perfectionnez et le
refaites encore et encore jusqu’à ce que vous entriez dans la crise et
dans le chaos. Mais la vieille énergie était vibratoire et prévisible,
en bonne partie. Ainsi vous avez continué à jouer avec elle d’une
nouvelle façon mais c’est tout à fait prévisible. Si je verse de l’eau
sur David, ce que je ne ferai pas, il y aura des réponses prévisibles.
La nouvelle Ă©nergie, ne peut pas ĂŞtre
confinée à une formule, parce qu’elle n’est pas vibratoire. Elle n’a pas
de modèle à elle. Parce que vous pouvez le faire une fois ne signifie
pas nécessairement que vous pouvez le refaire. Cela pourrait apparaître
comme étant très chaotique, Bonnie, mais ça ne l’’est pas. Ça ne l’est
pas. C’est en fait très beau. Et quand vous approfondissez de plus en
plus la nouvelle Ă©nergie, vous allez vous rendre compte combien elle est
belle.
Vous n’avez pas besoin de formules. Vous
n’avez pas besoin de processus et de procédures. S’il y avait des
processus impliqués dans la nouvelle énergie travaillant avec la vieille
Ă©nergie ou toute autre nouvelle Ă©nergie, le processus serait inhĂ©rent Ă
l’intérieur d’elle. Elle n’a pas besoin d’être créée, fabriquée ou
analysée. Le processus est inhérent à l’intérieur d’elle. Mais il
change, alors le mental devient confus. Il semble que tout tombe en
morceaux, mais ce n’est pas le cas. Elle se restructure avant de se
développer encore. Donc les formules ne fonctionnent pas.
Ce que vous avez Ă©galement est ce que
j’appelle `le syndrome de Gabriel.’ Qu’est-ce que c’est ? Quand vous
êtes dans cette zone ici, c’est l’endroit de la trompette… mais c’est
votre trompette. Vous avez une fois répondu à la trompette de Gabriel et
l’avez souvent regretté (rires), l’appel pour venir sur terre, l’appel
qui vous a sorti des royaumes angéliques pour venir et partager dans
cette expérience étonnante sur terre. Je pense qu’elle a été écrite par
quelques anges commerciaux qui l’ont trop mise en avant, mais… (rires)
oui, « allez voir le monde ! » (Rires étouffés d’Adamus). C’est
l’original « Allez voir le monde » des brochures de voyage distribuées.
Ainsi la trompette de Gabriel a soufflé,
et elle souffle. Et - (rire) c’était drôle - et vous venez sur terre
pour avoir toutes ces expériences. Bien, vous avez votre propre
trompette de Gabriel intérieure quand vous continuez jusqu’à ce point
ici. C’est l’appel de chacune de vos parties pour intégrer. Ce (« X ")
est en fait l’intégration - vos aspects, vos vies passées, les
potentiels du futur, les potentiels du passé non expérimentés – ce sont
toutes vos parties, et, Ă©videmment, les ondes divine et humaine qui
viennent maintenant ensemble.
Vous avez cet événement qui crée
beaucoup de ce qui semblerait ĂŞtre le chaos, beaucoup de bruit. Soudain,
tout le monde revient Ă la maison en mĂŞme temps, et une partie de vous
n’est pas aussi sure qu’elle veuille que tout le monde revienne à la
maison. C’est une sorte de plaisir d’avoir la maison pour vous-même - en
d’autres termes, le manque de conscience - mais maintenant elles
reviennent toutes Ă la maison. Elles ne font pas que visiter. Elles
restent. Mais c’est bien, parce qu’elles intègrent. Vous ramenez toute
cette Ă©nergie dans votre vie.
Vous avez tout ceci qui continue et vous
faites ce profond plongeon intérieur. Nous en avons parlé avant dans
certains des autres défis. Parfois cela devient obsédant et vous devenez
excessivement critique, doutant de vous mĂŞme, vous analysant et
analysant les autres aussi. Il y a une tendance pour les métaphysiciens
de vouloir analyser tout le monde, car alors ils n’ont pas à s’analyser
eux-mĂŞmes si durement en ce jour particulier. Mais ils veulent analyser
tout le monde. Et je ne parle pas que de l’analyse de logiciel, des
choses mécaniques, scientifiques ou mathématiques, mais l’analyse du
comportement humain.
Un des… (des rires étouffés d’Adamus)
vous savez ceux – pardonnez moi si je sors des limites ici - mais ceux
qui deviennent des conseillers et des psychologues sont ceux qui se
trouvent justement ici (là où les ondes sont irrégulières). Ceux sont
peut-être les plus inadéquats mais peut-être qu’ils sont compréhensifs
pour analyser et conseiller les autres, parce qu’ils sont dans la zone
des turbulences et qu’ils n’ont aucune idée de ce qu’il se passe -
« mais cela fait certainement du bien de parler de vos problèmes plutôt
que des miens. » N’y voyez aucune offense à quiconque, mais cela arrive.
Dans cette zone « X » on descend
profondément en soi. C’est une descente à la découverte de soi même.
C’est un plongeon pour voir ce qu’il se passe. C’est un plongeon pour
ouvrir la conscience, mais il mène à beaucoup de doutes, à beaucoup
d’analyses critiques et il devient obsédant. Il devient votre première
pensée du matin et la dernière de la nuit. Et souvent vous amenez cette
analyse obsédante de notre côté pendant votre état de rêve et - whew !
c’est intéressant… non !
Il y a un point dans l’analyse que
Tobias a parfaitement résumé - « je ne m’en soucie guère ! » Non, il a
dit « cela n’a pas d’importance. » (rires). C’est la même chose. La même
chose, vous venez juste de le dire jusqu’où pouvez-vous analyser ?
Jusqu’où pouvez-vous vous focaliser sur toutes les mauvaises et vilaines
choses que vous avez faites dans vos vies passées et dans cette vie ?
Jusqu’où pouvez-vous aller dans le côté obscur de l’événement qui
arrive ? Je pense que je vous ai invité à regarder les autres potentiels
que vous n’avez jamais regardés, dans les mauvaise choses que vous avez
faites ou qui se sont produites… je ne vous choisis pas (à Hannibal),
j’adore simplement votre collier. En fait, vous avez perdu ce copain !
(beaucoup de rires car Adamus prend le collier d’Hannibal et le met
autour de son cou). Oui, merci. Ça a l’air mieux sur Cauldre ! (Rires
d’Adamus) est-ce qu’ainsi, rien n’est il sacré ? Non, non, non.
Vous entrez dans la profonde descente de
l’analyse et vous avez tendance à rester bloqués. Vous avez besoin de
quelqu’un ou de quelque chose qui vienne vous secouer et qui dise,
« c’était intéressant, mais pourquoi ne regardez-vous pas l’autre côté
de cet événement qui a eu lieu ou ses autres côtés, de cette mauvaise
chose que vous avez faite à quelqu’un d’autre ? » Il y a des milliers et
des millions d’autres potentiels qui sont aussi vrais que celui qui a
été joué ici, et ils sont très vrais. Pourquoi ne regardez-vous pas le
côté brillant des choses ou de l’autre côté de toute façon ? Pourquoi
devenir si obsĂ©dĂ©s, comme Peter l’a dit, pourquoi devenir aussi obsĂ©dĂ©s Ă
propos du drame et de l’obscurité ?
Chers Shaumbra, vous en ĂŞtes lĂ en ce
moment. Vous en êtes au milieu, et parfois c’est absolument déprimant.
Je dois l’admettre, oui ça l’est. Parfois vous vous demandez ce que vous
avez fait pour mériter ça. Parfois c’est absolument stimulant,
vivifiant et libératoire. Et parfois les illuminations vous submergent
tellement que vous devenez acharnés pour avoir plus d’illuminations - et
alors vous essayez tellement d’étudier et de travailler à ça et à toute
autre chose que vous tombez dans la routine. Mais c’est là où vous en
êtes. C’est là où vous êtes. Il y a - je ne veux pas dire de bonnes
nouvelles, mais les choses Ă©voluent. Je suppose que ce sont de bonnes
nouvelles. Les choses Ă©voluent.
Et encore, nous simplifions un tragique et épique voyage humain. En d’autres termes, déplaçons nous au delà . Abandonnons ça.
Que faire ?
Que pouvez-vous faire quand vous ĂŞtes
là ? (dans la zone « X »). Que pouvez-vous faire ? Nous avons parlé des
problèmes. Que pouvez-vous faire ?
Nous sommes ici… je vais faire un schéma
comme le contenu d’un fait. Permettez-moi de gaspiller encore plus de
papier. Plusieurs d’entre vous le savent ou l’ont compris, vous aviez
une chose appelée la Merkaba. (Adamus dessine) Merkaba. C’était
représentatif de beaucoup, beaucoup de choses différentes. Je l’ai
toujours appelée un bijou avec beaucoup de facettes - si vous l’imaginez
en trois dimensions ou en huit dimensions – que vous pouviez regarder
sous différents angles. Mais présentée ici comme ceci vous pourriez dire
que ça c’était masculin, ça féminin. La partie masculine, la partie
féminine, ou la lumière et l’obscurité. C’était les différents
composants qui s’intermélangeaient. Ceci a pu également représenter
l’humain et le divin. Mais c’était ce que vous étiez.
Maintenant je donne un coup-de-pied
dedans - non pour être critique, mais pour être un observateur – j’ai
toujours été amusé par ces cours qui vous enseignaient à tourner une
partie de votre Merkaba dans un sens - je ne peux pas mĂŞme le faire
tellement ça embrouille - et l’autre partie dans l’autre sens. Comme si
vous pouviez obtenir quelque chose d’autre que des vertiges, la nausée
et être encore plus confus ? Ce n’est pas la question de la faire
tourner. Je veux dire, faire tourner votre Ă©nergie est comme le drame,
en tournant vous attrapez un petit changement, mais après vous retournez
tout de suite exactement là où vous en étiez quand vous l’avez laissée.
Je vais refaire un schéma.
Ces éléments séparés sont finalement
venus ensemble et (Adamus dessine)… ce n’est pas un si bon schéma,
Cauldre. Nous allons refaire cela. Rappelez-vous notre symbole original
vous représentant (un point avec un cercle autour), et ces éléments sont
venus ensemble, ce n’est plus la Merkaba mais maintenant c’est la
nouvelle énergie. J’entrerai dedans un moment dans les 13 minutes que
nous restent.
Mais vous êtes ici dans la zone « X » et
la question est, que pouvez-vous faire maintenant ? Que pouvez-vous
faire tandis que vous êtes ici ? Vous savez maintenant que ça aboutit,
parce que vous avez l’humain/divin, masculin/féminin, toutes vos autres
parties duelles qui commencent à se mélanger ensemble. Mais l’ingrédient
critique ici est la confiance (Adamus écrit), et la confiance n’est pas
aveugle, d’ailleurs. Je ne vais pas employer le mot « foi » non plus –
la foi dans quoi ? Mais une confiance saine en vous-mĂŞme - pas une
confiance aveugle mais une confiance saine – qui requiert ou vous fait
signe de vous ouvrir vraiment, qui laisse les formules se dissoudre.
Une confiance saine pour passez par un
processus qui est très approprié qui finalement ne sera plus un
processus. Le processus tombe. Une confiance que vous ĂŞtes Dieu aussi,
mais ne soyez pas stupide ou aveugle. Vraiment, laissez vraiment votre
moi humain, votre conscience humaine sentir cela. Est-ce que vous le
sentez vrai pour vous ? Est-ce que vous sentez que c’est vrai pour vous
de vous ouvrir à votre divin ? Est-ce que c’est absolument comme un mur
blanc ? Est-ce que ça ressemble Ă un grand abĂ®me quand vous vous ouvrez Ă
la confiance de votre divin ? Si c’est cela, prenez une profonde
respiration. Il n’y a pas de précipitation. Il n’y a aucune course.
Ce que je dis est que la confiance doit
être réelle. La confiance dans votre propre divin, dans votre propre
moi, elle a besoin d’être réelle. Vous ne pouvez pas la fabriquer, vous
ne pouvez pas la contrĂ´ler, et en fait, cette confiance ne peut vraiment
pas être un système de croyance comme vous avez connu des systèmes de
croyance dans le passé ; en d’autres termes, juste une belle structure
mentale à laquelle vous pouvez vous accrocher désespérément. La
confiance doit être très réelle.
Demandez-vous, alors que vous explorez
ceci, parce que la confiance est l’une des clefs – ayez confiance en
vous. Pas Lui (Adamus pointe le doigt vers le haut) ou Elle, pas les
guides spirituels, pas un gourou, mais seulement vous-mĂŞme. Souligner
huit fois « seulement » point d’exclamation en caractères gras.
Seulement ! vous-mĂŞme ! Pas mĂŞme les belles perles ou les cristaux ou
les mantras ou toute autre chose. La confiance doit ĂŞtre vraie. Ne me
dites pas, « d’accord Adamus, je vais me faire confiance, » et puis
sortir dehors et retourner dans la non confiance en vous-mĂŞme.
Vous pouvez vous inviter à expérimenter
la confiance en vous-même. Vous pouvez amener cette expérience dans
votre vie. Je dois m’en aller d’ici, il est tard.
Confiance. L’autre, compassion. (Adamus
Ă©crit) la compassion est si importante ici - pour vous-mĂŞme. Certains
l’appelleraient le pardon, d’une certaine manière. La compassion accepte
toutes vos parties, parce que vous avez tous ces aspects, vous avez
toutes ces parties et ces morceaux qui reviennent. Ils ont besoin de
sentir cette compassion. Ils sont bienvenus Ă la maison. Cela ne peut
pas être fabriqué. En d’autres termes, vous ne pouvez pas simplement
dire, « je vais être dans la compassion, » puis rentrer à la maison et
commencer à vous fouetter ou à vous dire que vous ne pouvez pas l’avoir
tant que vous n’avez pas amélioré des choses en vous-même. La compassion
doit ĂŞtre honnĂŞte.
La compassion, comme Aandrah et On
(Norma et Garret) peuvent vous le dire, ça peut être un défi. Quand vous
allez dans l’espace de la compassion en vous-même, cela amènera
également tous vos problèmes avec lesquels vous n’avez pas eu de
compassion. Toutes les choses qui n’ont pas reçues de compassion… (rire
pour le nouveau mot d’Adamus’) vont remonter. Chaque blessure, chaque
aspect cassé, chaque aspect mauvais, sombre et malheureux va venir,
parce que finalement, il veut votre compassion mais ne croit pas
vraiment en votre compassion. Alors encore, ça vient en étant vrai avec
vous-mĂŞme.
La compassion c’est être capable de
regarder l’incident le pire de votre vie, le plus mauvais, et être
capable - vous l’avez toujours regardé à partir d’ici (il se tourne pour
regarder devant) – être capable de marcher de l’autre côté de cet
incident et de le regarder d’ici (il se tourne pour regarder derrière).
Et je ne parle pas de voir la fausse bonté en lui, mais je parle de le
sentir vraiment, de le comprendre vraiment. N’allez pas dans le mental,
mais comprenez vraiment ce qu’il s’est vraiment passé dans cet incident
et dans les autres impliqués, s’il y en avait. Qu’est ce qu’il s’est
passé vraiment ? Vous l’avez regardé d’une seule perspective et d’un
seul plan. Si vous voulez vraiment avoir de la compassion, avec Ă©motion
et avec le ressenti, promenez-vous autour de chaque facette en tant
qu’observateur et expérimenter.
Vous avez porté pendant longtemps une
croix avec vous - beaucoup de croix. Regardez ces croix. La croix
n’était pas celle pour se faire clouer dessus ; la croix était
l’intersection entre le divin et l’humain ici - le « X » ou la croix.
Regardez-la de cette perspective. Donc - nous entrerons plus avant dans
ceci lors de la prochaine discussion - mais deux ou trois choses dans
nos moments d’affaiblissement.
Libre arbitre et volonté divine
Deux ou trois choses. J’ai dit le mois
dernier : « est ce que les humains ont le libre arbitre ? » Non. Ils
l’ont eu d’une certaine manière, mais ils l’ont abandonné, par libre
arbitre. Ils l’ont abandonné. Ils l’ont donné à beaucoup d’autres
choses.
Dans cette zone, la zone « X » où nous
revenons, cela sollicite une question de votre part. Ici (« X "), le
libre arbitre, pour employer votre définition, mais la souveraineté -
libre arbitre - peut être ramenée. Vous pourriez avoir de nouveau cet
outil, mais cela doit être à partir d’une reconnaissance très consciente
de votre volonté divine. Cela vous donnera quelque chose à considérer
pour le mois prochain. Le libre arbitre revient à l’humain quand
l’humain reconnaît consciemment sa volonté divine.
La volonté divine ne doit pas être
confondue avec le destin ou avec un dieu éloigné. Le divin c’est vous,
et donc cette volonté, cette onde c’est vous. Quand l’humain reconnaît
son onde comme divine, alors qu’il vient à ce point « X », le libre
arbitre revient. Quand la souveraineté est acceptée et réalisée, le
véritable libre arbitre au sujet de tout - au sujet de tout ce qui va
vous arriver - revient.
Alors en réponse à la question, les
humains avaient le libre arbitre… en arrière plan. Les êtres angéliques
avaient le libre arbitre. Ils l’ont abandonné. Ils l’ont abandonné.
Cette conscience a été amenée sur terre et on a dit aux humains qu’ils
avaient le libre arbitre, mais personne ne s’est jamais questionné à son
sujet. « Si j’avais le libre arbitre, pourquoi devrais-je mourir ? Si
j’avais le libre arbitre total, pourquoi ne pourrais je pas faire ceci
et ceci et cela ? Si j’ai le libre arbitre total, pourquoi dois-je
encore me conformer aux lois, aux structures et aux formules ? » Vous
voyez.
Non, les humains ne l’ont pas, mais
vous, mes chers amis, pouvez intégrer la volonté divine, le libre
arbitre, de retour dans le Je Suis où il n’est plus différencié. Le Je
Suis est tout. Vous n’avez pas besoin de libre arbitre à ce point. Vous
n’avez même pas besoin de volonté divine. Les deux viennent ensemble, et
cela devient le Je Suis.
Nouvelle Ă©nergie
Oh, nous manquons de temps, et je veux
faire deux exercices spécifiques et ce n’est pas simplement de longues
conférences pénibles au sujet de la nature de la réalité et où vous
allez après.
En étant à ce point « X » … oh, il reste
si peu de temps. Je vais solliciter une indulgence ou je payerai si je
le dois ? J’aurai le salaire de Cauldre.
LINDA : Tout va bien. Tout va bien.
ADAMUS : Nous aurons besoin de quelques minutes de plus après cinq heures.
LINDA : Nous vous ferons plaisir.
ADAMUS : Alors… et je vais me dépêcher. Nous reviendrons là -dessus le mois prochain.
Tout d’abord, prenez une profonde
respiration. Tout d’abord, je dois sortir mon ballon. (Adamus sort un
ballon rouge) donc, maintenant, nouvelle Ă©nergie. Parlons de cela un
instant et nous irons dans les potentiels.
La vieille Ă©nergie, la vieille
conscience, étaient deux éléments séparés. Vous avez eu la conscience,
comme nous en avons parlé à maintes reprises. Vous aviez la conscience
représentée par ceci (Adamus dessine le point encerclé), et vous aviez
l’énergie, qui a été créée par votre désir de revenir à la maison, qui
est entrée dans la conscience (Adamus dessine) -, énergie, conscience -
pour créer la réalité, pour manifester alors la conscience pouvait
s’expérimenter. Elles étaient deux composants séparés - conscience,
Ă©nergie.
Cette chose que nous appelons la
nouvelle énergie est très différente, parce que – en utilisant le ballon
comme exemple - ce n’est pas la conscience et ce n’est pas un élément
d’énergie séparé. La nouvelle énergie est littéralement l’intégration de
la conscience et de l’énergie ensemble dans le même paquet. Dans le
mĂŞme paquet.
Ainsi la conscience n’a pas besoin
d’appeler l’énergie pour la soutenir. Elle est déjà incorporée, et cela
fournira beaucoup de discussion plus tard. Elle est déjà là . C’est
pourquoi elle est nouvelle. Elle n’a jamais été avant, mais elle
fonctionne également d’une manière très nouvelle. Système d’opération
totalement nouveau. Gardez ça en tête. Passons à l’étape suivante.
Potentiels
Nous sommes dans la zone « X » ici, et
vous dites, « qu’est ce qu’il y a ensuite ? » Et c’est vraiment une très
bonne question. « qu’est-ce qu’il y a ensuite ? Je suis dedans. C’est
étonnant, c’est intéressant, mais - woo ! - où allons-nous ? »
A partir d’ici nous commençons à entrer
dans les potentiels. Les potentiels en fait ne sont pas dans l’avenir.
Ça a l’air d’être ça. Il semble qu’ils sont sur une certaine ligne en
bas, mais ils n’y sont pas. Le potentiel pour n’importe quoi en dehors
de cette expérience immédiate est déjà ici. Très, très peu de personnes
en fait imaginent les potentiels. Elles attendent le destin. Une partie
du problème a été un manque d’imagination. Quand un certain nombre
d’entre vous est entré dans les potentiels du futur, vous êtes devenus
analytiques. Vous voulez le faire de façon bien réglée, ou vous le
faites avec une perspective humaine très limitée. En d’autres termes,
vous imaginez petit. Vous avez manqué la plupart des potentiels, presque
tous les potentiels. Vous ne vous permettez pas de les sentir.
En plus il y a ce nouveau potentiel qui
est là et que vous avez totalement manqué, parce que vous recherchez
quelque chose qui ressemblait un peu aux vieux potentiels. Un peu de
conscience, ajoutez y quelques tasses d’énergie, mélangez ensemble et
heureusement ça marche. Il y a des potentiels étonnants ici, en ce
moment, disponibles à vous pour votre `qu’est ce qu’il y a ensuite.’ Des
potentiels Ă©tonnants, et certains que vous appelleriez vieille Ă©nergie,
d’autres très nouvelle énergie. Mais ils sont vos choix. Ils sont le
champ où vous devez choisir, et c’est presque illimité.
Vous ne pouvez pas y arriver par votre
cerveau, et c’est l’un des autres éléments, quand au fond nous parlions
des symptômes… (Adamus tourne les feuilles). J’adore faire ça avec le
papier. Un des autres éléments est le mental - une tendance à être
mental - mais le mental ne marche pas ici (« X ") ou pas comme vous
penser qu’il devrait. Tout chasse le mental quand vous êtes à ce point
ici.
Donc il y a la tendance de dire en tant
que créateur, « je vais aller explorer mes potentiels. » Bien, tout
d’abord, ne sortez pas de là . Ils sont justement là . Deuxièmement,
explorez. Ne pensez pas Ă eux, explorez. Ressentez-les. Pendant des
années Tobias vous a dit de ressentir par opposition à penser et vous
avancez sur la pointe des pieds. Plongez en eux. Vous n’avez pas
beaucoup Ă perdre. Laissez vous vraiment aller et sentez tous les
potentiels, ou autant que vous voulez.
A quoi ressemble ce ressenti ? Est-ce
qu’il résonne ? Est-ce qu’il se ressent comme étant bien à vous ? Es-ce
que c’est quelque chose que vous voudriez expérimenter dans votre vie ?
Vous n’avez pas besoin de détails ou besoin d’être littéral, je parle
juste de ressentir. Ressenti. J’imagine tous ces potentiels comme bulles
qui flottent autour de vous en ce moment, et vous commencez Ă voyager Ă
l’intĂ©rieur et Ă l’extĂ©rieur d’elles. Ressentez-les. Vous n’avez pas Ă
faire de choix encore, n’ayez pas peur des ressentis. Est-ce que ça Ă
l’air d’être dramatique ? Est-ce que ça a l’air d’être bien ? Est-ce que
ça a l’air comme vous ? Beaucoup vont être ressentis comme étant plats
ou vieux, et soudainement vous allez… pendant que vous dérivez autour de
vos potentiels, quelque chose résonnera. Quelque chose sonnera la
cloche, vous le ressentirait juste.
Je voudrais faire une expérience avec ça
maintenant. Alors si vous le voulez, vous êtes invités à fermer les
yeux, vous mettre sur la tĂŞte ou tout ce que vous voulez. Je vais vous
demander deux ou trois choses, que tout d’abord vous ressentirez.
Deuxièmement, n’allez pas dans le mental. Troisièmement, soyez
l’observateur, promenez vous autour, amusez-vous avec.
Maintenant, vous avez tous ces
potentiels de qu’est ce qu’il vient après, je ne parle pas
nécessairement d’un travail, mais de quels ressentis, de quelle passion,
de quelle expérience dans votre vie ? Sans être littéral. Baladez vous
autour de ces incroyables bulles de potentiel. Vous n’avez pas à payer
pour elles, il n’y a ni juste ni faux, et vous n’avez pas besoin de
choisir maintenant.
(silence pendant environ une minute)
Maintenant arrĂŞtons-nous lĂ un moment.
Je sais que nous allons continuer de travailler Ă ceci, nous aurons
plein de temps. Et je vais vous demander de faire… je ne vais pas
l’appeler devoir. Nous dirons juste `une expérience,’ mais c’est
vraiment un devoir. Faire ceci est très simple et cela prend une
quantité incroyable de finesse et d’ouverture. Vous n’allez pas
nécessairement l’avoir tout de suite, et quand vous l’aurez, vous allez
vous demander pourquoi vous ne l’avez pas eu tout de suite.
Donc je vais vous demander de le faire
pour notre prochaine réunion. Allez dans un grand magasin et, engagez
vous Ă ne rien acheter, et passez une heure Ă vous promener. Un grand
magasin qui offre beaucoup de choses différentes – vêtements,
chaussures, parfums, bijoux et équipements ménagers - et baladez vous,
de rayons en rayons, observez - les marchandises, pas nécessairement les
autres personnes - observez et ressentez, parce que chaque article se
ressentira différemment.
Certains vont vous appeler par votre
nom. D’autres vont chatouiller votre fantaisie. Avec d’autres, vous
juste envie de vous éloignez d’eux. Ceci va être un bon entrainement ou
expérience quand nous reviendrons discuter au sujet des potentiels. Vous
êtes l’observateur. Vous n’essayez pas de vous représentez quelque
chose. Vous n’avez rien à analyser. Vous allez juste de rayons en
rayons, de casiers en casiers.
De quoi ça à l’air ? Car d’une certaine
manière c’est comme si nous continuons à travailler, à expérimenter vos
potentiels. C’est comme aller dans un énorme magasin avec beaucoup
d’articles. Ressentez les, expérimentez les, sentez les. Nous
reviendrons, lors de notre prochaine session que nous irons plus
profondément dans les potentiels, là où vous allez à partir de
maintenant.
Dans notre prochaine session, je voulais
le faire ici, mais nous allons Ă©galement aller dans c certains
potentiels à imaginer pour l’humanité. Pour l’humanité. Pas pour la
sauver, mais pour en ajouter. Vous voyez, en ce moment humanité, la
conscience de masse, peut utiliser quelques nouvelles perspectives
supplémentaires dans le pool des opinions et des perspectives qu’elle a
déjà . Vous savez, elle est entrée dans ses propres formules et rails,
mais la conscience de la masse envoie en fait son propre appel qui dit,
« est ce quelqu’un a une perspective différente, un potentiel différent,
à m’envoyer s’il vous plait. Ajoutez votre conscience ou votre
potentiel. »
Donc le mois prochain nous entrerons
dans un potentiel pour une nouvelle source d’énergie. Une nouvelle
source d’énergie. Ne pas pensez pas à cela, parce que vous allez devenir
techniques et analytiques. Nous allons juste entrer et nous allons
imaginer puis nous ajouterons les potentiels pour une nouvelle source
d’énergie. Évidemment, c’est opportun. Cette tragique flaque d’huile,
vous savez, son côté sombre avec naturellement beaucoup de plages sales,
beaucoup de poissons, d’oiseaux et d’animaux morts. C’est le côté
sombre et un dégât environnemental. Vous allez entendre parler de ce
drame pendant des semaines et peut-ĂŞtre des mois. Alors les politiciens
vont se servir de cette opportunité pour amplifier et dire, « nous
devons faire quelque chose pour protéger notre environnement. » Pourquoi
ne l’ont-ils pas fait avant ? Ils montent à la tribune maintenant.
Mais cela amène la conscience. C’est le
bon côté. Cela apporte la conscience énorme non pas pour
l’environnement, mais pour l’énergie. Bonjour ! Vous aviez cette énergie
qui suintait hors de la terre, cette très vieille énergie qui sentait,
qui puait et qui collait. A la surface les gros titres pleuraient au
sujet de l’environnement, mais la véritable solution est l’énergie.
Qu’est ce qu’il y a ensuite ? 25 ans, peut-être 30 ans qui restent avec
l’abondance, avec l’écoulement de l’énergie du pétrole. Elle ne va pas
partir après cela, mais elle va devenir très précieuse.
Alors cette flaque, est-ce une mauvaise
chose ? Bien, Laissez-moi vous dire, c’est une des meilleures façons de
manier les défis, mais en fait ça pourrait être une chose très salutaire
pour que l’humanité jette un coup d’œil à l’énergie. Et c’est au sujet
de ce que nous sommes tous. Nous sommes la nouvelle Ă©nergie.
Sur ce, chers Shaumbra, rappelez vous
que tout est parfait et bien dans toute la création. C’est un honneur et
une joie d’être ici avec vous dans la zone « X ».
Par conséquent, je suis ce que je suis, et vous êtes aussi.
Au mois prochain, adios.
Photo Credits – Dave Schemel ([email protected])