LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE

Série Emergence

SHOUD 5 - ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle 
le 5 janvier 2019  
www.crimsoncircle.com

Je suis ce que je suis, Adamus du Domaine Souverain.

Ah! Prenons une profonde respiration et bienvenue en 2019. Bienvenue en 2019. Combien d'entre vous – augmentons ces lumières, parce que ça va vous concerner un peu là combien d'entre vous pensaient réellement aller aussi loin, jusqu'en 2019? (rires) Vous pensiez y arriver. Combien ne pensaient pas y arriver ou se demandaient juste s’ils y arriveraient ? 2019, quand vous y pensiez, même 20 ans en arrière : «Cela semble être il y a trèèèès longtemps ». Combien d’entre vous pensaient qu’ils n’y arriveraient pas, ou n’étaient pas tout à fait sûrs qu’ils verraient 2019? Il devrait y avoir plus de mains levées. Peut-être que toutes les personnes concernées sont en ligne.

Vous savez, c'est une chose assez intéressante. C’est presque une lutte qui est en train de se dérouler à l'intérieur de vous. Une part de vous pense que vous n’étiez pas prévu pour rester longtemps là, dans cette vie. (Linda bouge les mains avec excitation) Certains d'entre vous pensent… oui.

LINDA: Mais Adamus! Vous nous aviez dit que nous allions rester! C’est ce que vous nous aviez dit! Ne devrions-nous pas vous croire?

ADAMUS: Non, je vous avais dit : « Si vous voulez rester dans les parages. (quelques rires) Si vous voulez rester dans le coin. » C’est aussi pourquoi, à un moment donné, je vous ai dit que même s’il n’y en avait que cinq, parce que c’est le nombre de personnes auquel je m’attendais qui resteraient, mais…

LINDA:   Pbbbt !!   (rire)

ADAMUS: Mais vous y êtes arrivés. 2019. C’est une grande année. 2019 sera une plus grande année que 2020. 2020, ça a l’air mieux, vous savez, 2020. Mais 2019 sera une plus grande année – J'irais même jusqu'à dire une meilleure année pour vous que 2020. 2020 sera une année en quelque sorte assez ennuyeuse après cette année-là (quelques rires).

LINDA: Uh-oh.

ADAMUS: Vous aurez besoin d’une bonne relaxation.

LINDA: Uh-oh. De l’ennui? (plus de rires)

ADAMUS: Cependant, avant de faire quoi que ce soit, prenons une bonne et profonde respiration – que diriez-vous d'une respiration quantique – dans le Permettre.

LINDA: Mmm.

ADAMUS: Dans le Permettre. Peut-être que le cadeau le plus sacré que vous puissiez vous offrir, c’est de simplement permettre.

Ce cheminement, ce voyage est naturel. Il va aboutir. En prenant une profonde respiration et en permettant, vous vous permettez vous-même. Vous permettez au divin, au Maître, à tout ce que vous êtes d’être là. Sans être dispersé en plusieurs morceaux quelque part ailleurs. Sans que votre divin ne se retrouve à l’extérieur, dans quelque paradis perdu quelque part. Mais quand vous prenez une profonde respiration et que vous permettez, vous laissez tout cela être là. Cela ne fait aucun mystère, sauf si l’humain s’y met et qu’il commence à bricoler avec ce processus très naturel appelé Réalisation. Tôt ou tard, cela arrivera à tous ceux qui passent sur Terre.

Ce que vous avez probablement appris et remarqué jusqu’à présent, c’est que lorsque vous vous en mêlez, que vous essayez de comprendre ce processus, que vous essayez de travailler à votre Réalisation, ça devient une véritable lutte. Les choses s’effondrent, tombent en morceaux. Lorsque vous permettez simplement – Je veux dire, que vous permettez votre Soi, vous permettez votre cheminement, vous permettez vos expériences, vous permettez le Maître. Quand vous le permettez, alors il semble y avoir cette synchronicité. Tout se met simplement en place et arrive simplement. Et alors, bien sûr, l'humain panique: «Oh! Je dois contrôler. Je dois gérer. Je dois diriger ce qui est en train de se faire. » Commençons cette année avec un bon grand énorme Permettre.

LINDA: Mmm.

ADAMUS: Laissez-vous profiter de cette année.

 

Cette Nouvelle Année

Cette année, je vais l'appeler l'année des nouveaux amis. L'année de nouveaux amis (quelques rires). Ouais. Oh, et certains d'entre vous rient parce que vous n'avez pas d'amis et que vous ne pouvez pas imaginer cela (rire). Et c’est également naturel que vous ayez perdu beaucoup d'amis en cours de route, parce qu’ils ne comprennent pas très bien. C'était assez difficile de leur parler de ce que vous êtes en train de traverser – (Quelqu'un dit "vous êtes un mec zarbi") un mec zarbi, parfois même d'autres Shaumbra le pensent – donc, vous en arrivez à ce point où vous n’avez pas beaucoup d’amis dans votre entourage. Mais cette année 2019 sera l’année de nouveaux amis.

Je peux voir certains d'entre vous penser: «Je ne veux pas vraiment me faire de nouveaux amis." (Certains Shaumbra crient "Non!") "Eh, non! Je suis passé par là, j’ai déjà donné. Ça demande trop de travail. » Ces amis sont différents.Ces amis vont être très différents et nous en parlerons dans le Shoud d'aujourd'hui. Mais pour l’instant, que diriez-vous d’une bonne et profonde respiration du Permettre.

(pause)

J'étais au club des Maîtres Ascensionnés lors du réveillon du Nouvel An. J'avais décidé de passer un peu de temps là-bas. Ça a été une longue année. J'étais un peu fatigué, j'avais juste besoin de me détendre un peu et l'un des autres Maîtres Ascensionnés est venu vers moi, Mezrah, une femme très séduisante. Ooh, puis-je dire cela aujourd’hui? Une femme?

LINDA: Non! Vous ne pouvez pas.

ADAMUS: Une personne. Une personne, une ex-personne est venue me voir, Mezrah. Vous savez, vous arrivez au Club des Maîtres Ascensionnés et vous pouvez faire semblant d’être tout ce que vous voulez. Vous pouvez être un homme, une femme, ou les deux à la fois. Pourquoi pas? Vous pouvez faire tout ce que vous voulez, mais il y a toujours une tendance, que vous remarquerez quand vous viendrez ici, c’est que les Maîtres Ascensionnés ont tendance à continuer à se présenter à l’extérieur (se vêtir) comme ils l’étaient dans leur vie la plus récente sur Terre. Ils ont toujours tendance à se balader avec cette identité, en la manifestant visuellement aux autres. Je pense que c’est parce qu'ils considèrent que cette vie-là est la plus spéciale de toutes leurs vies. Même ceux qui ont eu des vies où ils étaient célèbres peuvent ne pas prendre le personnage de cette personne célèbre. Ils prendront plutôt le personnage de qui ils étaient dans leur dernière vie.

Donc, il y a cette… Ce que j'aime dans la Réalisation, le Club des Maîtres Ascensionnés et dans le fait d'être un Maître Ascensionné, c'est que vous pouvez jouer n'importe quel jeu, n'importe quelle histoire. Vous pouvez jouer ce que vous voulez. Vous pouvez jouer à être très humain au Club des Maîtres Ascensionnés. Vous savez, nous buvons beaucoup de scotch et de bourbon et de bon vin et nous mangeons beaucoup de nourriture. Vous pouvez continuer à faire ces choses, mais vous réalisez que c'est en quelque sorte une belle histoire, une magnifique illusion. Vous n'y êtes pas pris au piège. Vous ne devenez pas accro à cela.

Avant d’aller plus loin dans l’histoire de Mezrah, vous savez que je l’ai déjà dit et je vais encore vous le répéter: il n’existe absolument rien sur cette Terre, qu’il s’agisse de produits chimiques, de minéraux ou de tout autre produit, qui soit vraiment addictif. Rien n’existe qui soit physiquement addictif. Mentalement addictif, ah, par contre ouais. Et vous pouvez croire que vous êtes accro à une substance physique, mais il s'agit juste d'une dépendance mentale. Alors, avec cette compréhension, il est relativement facile en fait de surmonter – (à Linda) qu'est-ce que vous regardez ? – de surmonter les dépendances (rires). Je pense qu’après tout cela notre chère Linda d'Eesa va parler à Cauldre de son addiction mentale à la cigarette.

Donc, vous ne pouvez vraiment pas être accro à quoi que ce soit, et je dis cela parce que je voudrais que vous commenciez à vous libérer de vos peurs de vous remettre à trop boire ou à trop fumer d’herbe – eh bien, c’est ce que vous faites de toute façon – ou quoi que ce soit d’autre. Les dépendances pour les Shaumbra vont devenir une chose du passé, vraiment, parce qu’avec votre nouvelle relation à l'énergie et la compréhension de ce qu'est vraiment une dépendance, ce sera une chose du passé. Vous êtes maintenant libre de profiter de la vie sans craindre de devenir dépendant. N'est-ce pas merveilleux?Yeah Yeah. Oui, oui (quelques applaudissements). Et alors vous allez vraiment commencer à réaliser, pour ceux qui sont accro, oh, l’enfer qu’ils se font vivre, et la culpabilité et le désespoir parfois dans lequel ils se mettent, et c’est vraiment juste une affaire de mental. C'est comme une forme d'hypnose.

Mais pour en revenir à mon histoire, je parlais avec Mezrah et elle m’a dit – Vous savez, on se moque de moi parfois, parce que je crois que je suis un peu pompeux parfois (quelques rires).

LINDA: Nooon!

 

ADAMUS: Non. Non, non, non, non. Et je suis un peu – oh, j'entends toutes sortes de mots qui arrivent à présent (rires) – arrogant, c’est peut-être le mot adéquat, de temps en temps, mais plus que tout, c'est juste qu’en fait je suis vraiment fier, vraiment fier de tout ce que vous faites. Et je sais que c'est dur, c'est dur, et vous savez  vraiment  comment rendre les choses difficiles, mais (plus de rires), non, je suis vraiment, vraiment très fier du chemin que nous avons parcouru. Et elle m’a dit: «Alors, Adamus, alors quelles sont les dernières nouvelles avec les Shaumbra? Qu'allez-vous faire en 2019? Quel est le grand thème? » Et j'y ai réfléchi pendant un moment, puis je lui ai dit: « Tu sais, Mezrah, il est vraiment temps d'avoir de nouveaux amis » – de nouveaux amis – et c'est ce que nous allons faire cette année. Et c’est par là que nous allons entrer dans le vif du sujet aujourd'hui.

LINDA: Des amis humains? Des amis humains?

ADAMUS: Je ne vais pas encore vous le dire. Je vais laisser le mystère, le suspense.

LINDA: Hmm.

ADAMUS: Alors, et c'est toujours – j'adore vous donner de petites leçons de théâtre aussi. Vous êtes en train de devenir un Maître, un Maître incarné, sur cette planète. Vous savez, vous avez mis en ordre vos affaires et rien ne vous dérange vraiment, rien ne vous embête, rien ne vous submerge, sauf si vous le voulez, juste pour le plaisir. Mais en tant que Maîtres, vous apprenez aussi, vous développez ce sens de la théâtralité. La théâtralité.

Maintenant, je sais que j’ai eu une précédente incarnation en tant que l’un des plus grands dramaturges au monde (quelques rires), l’un des plus grands que le monde ait jamais vu. Mais j’ai beaucoup appris de lui – c’était un personnage odieux, ce Shakespeare – mais j'ai beaucoup appris de lui dans cette vie. Jouez la comédie. Jouez le jeu (en parlant de façon dramatique). Passez du gris à la couleur. Ayez le sens du temps. Du temps. Savez-vous ce que c’est qu’avoir le sens du temps ? (plus de rires) Ce n'est pas juste que tout vous soit livré de la même manière tout le temps (en parlant d'une voix monotone) et… Ayez le sens du temps (dit de façon dramatique).

Soyez expressif et quand vous travaillerez avec vos élèves, ce que nombre d'entre vous feront, je veux dire, pas nécessairement dans une école, vous savez, où vous suivez des cours d'illumination spirituelle, mais quand vous travaillerez avec les autres. Où est le livre?

LINDA: Il est tombé par terre.

ADAMUS: Tombé par terre. Ce livre est un super début. C'était l’idée qu’il y avait derrière ce livre. Il ne s’agissait pas juste que tous les Keahakers écrivent des histoires.

LINDA: Nous y voilà.

ADAMUS: Le propos c’était d’enseigner, d'une manière ou d'une autre, à partir d’histoires, de vos histoires de Maître. Et en tant que Maîtres, vous allez commencer à vous amuser avec vos histoires. Elles ne vont plus vous submerger, vous mettre à l’envers et vous hanter et tout le reste. Vous allez vous – merci – vous allez commencer à vous amuser avec vos histoires. Mais soyez un peu théâtral avec vos étudiants quand ils viendront à vous. Faites ce genre de choses (rires, alors qu'Adamus hoche la tête et prend un air grave). Apprenez à utiliser vos yeux, "Mm hmm" (en en faisant la démonstration). Ne vous asseyez pas comme ça : «Oh!» (Plus de rire en voyant les yeux écarquillés d'Adamus). Et, vous savez, prenez quelques bonnes attitudes (rires alors qu’il en fait la démonstration), des attitudes qui quand vous parlerez à un élève leur montreront que vous êtes vraiment concerné par leur problème, parce qu'ils vous diront des choses comme… ils vous diront: «Oh, Sart Je ne sais même pas si j’ai encore envie de vivre…», et la réaction typique c’est de leur dire :« Oh, non, non! Vraiment, ne fais pas ça! » Mais soyez du genre…, Sart soyez du genre… (quelques rires, alors qu'Adamus hoche la tête). Ça va attirer leur attention. Ça va vraiment attirer leur attention. Alors soyez un peu théâtral.

Donc, en plus de tout le reste, officiellement, c'est l'année des nouveaux amis, mais il y a une sorte de post-scriptum à tout cela et c’est: «Allez ! Soyez expressif. Soyez un peu théâtral », que vous écriviez une histoire  mettez une grande théâtralité dans cette histoire. Vous savez ce que les Shaumbra ont fait? Ils ont pris leurs expériences personnelles ennuyeuses et mornes, et ils les ont rendues amusantes, ils en ont fait une histoire, et ça leur a mis le cœur en joie. Ils ont pris ce qui provenait de leur vie personnelle, et cela aurait même pu être une tragédie, pour en faire une belle et amusante histoire, remplie de sagesse, d'humour, et d’un peu de théâtralité.

C'était donc la raison de ce livre. Et la raison pour laquelle je voulais qu’il sorte le 31 décembre, à la fin de l'année, c’était pour commencer cette nouvelle année avec quelques histoires théâtrales. Amusez-vous avec ça. Vous n’inventez rien. Je veux dire, pas du tout. Si vous embellissez quelque chose de votre vie, vous ne l'inventez pas. Vous ne faites que l'embellir. Vous ajoutez simplement un peu de couleur à quelque chose qui autrement… C'est comme si votre assiette se composait d’une sorte de viande brune, de pommes de terre brunes et de sauce brune, et que vous mettiez simplement du vert et du jaune dessus, et du rouge avec de la sauce aux canneberges. Vous la rendez juste un peu plus amusante.

Les humains sont si mornes, tristes, ennuyeux avec leurs histoires. J'aimerais voir des t-shirts – je demande toujours à avoir des t-shirts et je ne vois jamais rien venir – mais j’aimerais voir des t-shirts affichant "je ne suis pas triste." Vous savez, écrit juste de manière claire et simple, pour vous rappeler à vous-même: "Je ne suis plus triste à présent ». Okay. Cette année, il y aura de la théâtralité dans vos histoires, d'accord? N'ayez pas peur de jouer.

Donc, l'année des amis. L'année de nombreux mouvements. Maintenant, j’en parlerai plus dans ProGnost: Le Dragon entre , la semaine prochaine. Cela va être une année folle. Je veux dire, ça va être une sacrée année. Vous pouvez déjà le voir. Vous n'avez pas besoin d'être un prophète, comme moi, pour le voir. Il y aura des hauts et des bas, beaucoup de divisions. Cela ne va certainement pas être une année Kumbaya (paradisiaque ou harmonieuse). Mais pour vous, je dirais que ce sera votre meilleure année à ce jour, pour peut-être 98% d'entre vous (applaudissements et acclamations). Pourquoi pensez-vous que ce sera ainsi ? Parce que vous en avez marre de l’autre façon de faire. Vous êtes fatigués de l’autre chemin et vous savez que ça peut être facile. Vous savez que ça n’a pas besoin d’être difficile. Vous connaissez toutes ces expériences, ce sont juste de bonnes grosses histoires.

Alors, prenons une profonde respiration, une respiration quantique pour ce nouveau Maître, cet esprit, ce divin qui arrive dans votre vie ; une vie où vous n'êtes plus seul, où vous avez toutes ces autres choses qui arrivent.

 

La Sagesse des Shaumbra

D'accord, Linda au micro, j’ai une question pour le public. La question d’aujourd’hui n’a pas beaucoup de rapport avec ce dont nous allons parler, mais je veux juste savoir. Je veux vraiment savoir quelque chose, et c'est une question intéressante. Nous voilà en ce début d’année et ma question c’est : est-ce que l’humanité, la planète, en sont là où vous vous attendiez qu’elles soient maintenant ? Aviez-vous des attentes différentes quant au niveau où la planète, et l'humanité, en seraient à présent? En 2019. Nous avons dépassé le calendrier Maya. Nous avons dépassé la convergence et la concordance harmoniques et tout le reste. Nous avons dépassé tout ça. En est-on arrivé là où vous vous attendiez que la planète en soit? Linda, s'il vous plaît. C'est une question profonde.

KELLY: Non.

ADAMUS: Non. Et pourquoi ?

KELLY: Mais en y réfléchissant, c'est logique, parce que nous sommes en quelque sorte en train de tout déconstruire avant de le reconstruire…

ADAMUS: D'accord.

KELLY:… et de nous reconnecter. Donc, dans ce sens, cela a du sens.

ADAMUS: D'accord.

KELLY: Mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussi agité…

ADAMUS: Maintenant, je parle de la planète, pas de votre vie, bien sûr (rires).

KELLY: Eh bien, je voulais dire, mais… oui! Ouais, je suis juste un peu surprise par ce qui se passe dans le monde et par le fait qu'il y ait tant de haine et…

ADAMUS: Ouais, c'est un peu bizarre, n'est-ce pas?

KELLY:… cela semble beaucoup. C’est intense, oui.

ADAMUS: Ouais. Alors peut-être que vous vous attendiez, peut-être qu'avant votre arrivée dans cette vie ou peut-être qu’il y a 20 ans ou quand vous étiez enfant, vous vous attendiez à ce que les choses évoluent et soient plus en cohésion et…

KELLY: Je pense qu’en quelque sorte je pensais que tout le monde serait d’accord avec moi, en un sens.

ADAMUS: D'accord, d'accord.

KELLY: Ou quelque chose comme ça.

ADAMUS: Et combien sont d’accord avec vous?

KELLY: Je ne sais pas. Les Shaumbra peut-être ?

ADAMUS: Pas beaucoup! Yeah Yeah!

KELLY: Peu de Shaumbra.

ADAMUS: Eh bien, c'est un bon point. C'est un bon point. Pas beaucoup.

KELLY: Ouais.

ADAMUS: Pas beaucoup. Bien. Je vous remercie.

KELLY: D'accord. Je vous remercie.

ADAMUS: Eh bien, trouvez-vous cela déprimant ou triste? Vous savez, est-ce que vous restez éveillée la nuit en pensant…

KELLY: J'ai des moments comme ça.

ADAMUS: Ouais. Planète de merde. Ouais.

KELLY: Oui, et je dois vraiment secouer ça et le faire sortir en respirant ou en allant me promener. Ouais.

ADAMUS: C'est un truc difficile.

KELLY: Ouais.

ADAMUS: Ouais.

KELLY: C'est lourd.

ADAMUS: Ouais, bien.

Est-ce que la planète, l'humanité sont là où vous vous attendiez à ce qu’elles soient actuellement?

JULIE: Je dirais que c'est mélangé. Il y a eu des hauts et des bas et j'ai l'impression de ne plus être attachée à tout ça depuis un moment. Ça m’est difficile de garder une trace de ce qui se passe, de savoir "Quel jour sommes-nous?"

ADAMUS: D'accord, d'accord! (ils rient)

JULIE: Et “Où suis-je?!” Et “Que se passe-t-il maintenant ?!” et…

ADAMUS: Donc, quand vous étiez jeune, vous étiez, disons, à l'école primaire et vous étiez un peu rêveuse, où vous attendiez-vous à ce que la planète en soit? Vous étiez à l'école primaire, quoi, il y a 20 ans? (elle rigole) Alors, où vous attendiez-vous à ce que la planète en soit?

JULIE: Je veux dire, je me souviens d'un moment où je pensais que la planète se ferait exploser, que les gens la feraient exploser.

ADAMUS: Ouais, ouais.

JULIE: Alors, j'ai – jusqu'à présent, j'ai été plutôt contente (de voir où nous en sommes arrivés) !

ADAMUS: Alors c'est peut-être une bonne chose! (ils rient)

JULIE: J'étais du genre "Cool!" Ok!

ADAMUS: "Nous ne l'avons pas encore faite exploser!"

JULIE: Nous ne l'avons pas encore fait.

ADAMUS: Ouais, d'accord.

JULIE: Donc, pour moi, vous savez, il y a eu des hauts et des bas et à différents moments je voyais les choses avec des points de vue complètement différents en m’inquiétant pour l'environnement, et puis je passais par des périodes où « Tout va bien et ce sera comme ce sera ! » (elle rit)

ADAMUS: Vous lâchez du lest à mesure que vous avancez sur votre chemin!

JULIE: Non!

ADAMUS: Ouais. Et trouvez-vous cela triste ou sans importance?

JULIE: Ni l’un ni l’autre. Il y a tant d'âmes extraordinaires  que je croise, ainsi que des esprits de la nature.

ADAMUS: D'accord.

JULIE: Et je rencontre des gens tout le temps, des jeunes qui sont dans des endroits différents et qui arrivent avec des points de vue différents et des gens qui se lancent en politique, alors c'est un mélange.

ADAMUS: Ouais. C'est un mélange.

JULIE: Il y a vraiment de la folie et il y a plus de gens que jamais qui racontent leurs histoires, et font des expériences et jouent. Donc, c'est définitivement un mélange.

ADAMUS: Et dans votre propre vie? Si vous regardez en arrière, à l'époque où vous étiez, je dirais, peut-être dans votre quatrième ou cinquième année. En est-on là où vous pensiez qu’on en serait?

(une pause)

Regardez votre vie maintenant…

JULIE: C'était tellement différent. Je, je… non, j'étais tellement… (elle soupire) j'étais tellement juste dans la machine, comme je l'appelle, donc dans la matrice.

ADAMUS: Oh, intéressant.

JULIE: Alors j'étais juste…

ADAMUS: Intéressant.

JULIE: J'étais très en sécurité et très protégée et très aimée et très nourrie et donc nullement connectée à aucun…

ADAMUS: Alors pourquoi êtes-vous sortie de la matrice, si c'était si confortable?

JULIE: Et j'étais si malheureuse. Je me sentais tellement étouffer à être dans une petite boîte.

ADAMUS: Ah! Intéressant. Intéressant. Bien. Excellent.

LINDA: Et maintenant voyons ce qu’il se passe à la porte d’à côté (cf.la fille de Julie).

ADAMUS: Ooh! Je sens qu’il y aura de nouvelles histoires de Maîtres à venir. Nous devrons peut-être faire un autre livre assez rapidement. Oui. Est-ce que la planète, l'humanité, en sont là où vous pensiez qu’elles en seraient, où vous vous attendiez qu’elles soient ?

ERIN: Je vais être honnête, je n'y pense pas vraiment. Je suis plus égoïste. Je pense juste à moi, pas à l'humanité…

ADAMUS: En fait, j'aime ça. J'encourage ça.

ERIN:… ni à la planète (elle rit).

ADAMUS: Non, prenez soin de vous. C'est vraiment, vraiment bien. Comment ça va pour vous ?

ERIN: Bien.

ADAMUS: Ouais, bien. D'accord.

ERIN: Il y a toujours de bonnes choses qui m’arrivent.

ADAMUS: N’êtes-vous pas parfois fatiguée par les autres personnes, la conscience de masse, vous savez?

ERIN: Non.

ADAMUS: Non?!

ERIN: Non.

ADAMUS: Oh, vous le serez assez vite (rire).

ERIN: Je suis encore jeune! (elle rit)

ADAMUS: Vous avez une merveilleuse maman, voilà pourquoi.

ERIN: Ouais!

ADAMUS: Ouais. Bien. Merci beaucoup.

LINDA: Merci.

ADAMUS: Deux de plus.

LINDA: D'accord.

ADAMUS: Est-ce que la planète se trouve là où vous vous attendiez qu’elle soit?

CHERYL: Je dois dire que je me sens très éloignée de la planète en général, donc je n'avais pas vraiment d'attentes à ce sujet.

ADAMUS: Cauldre me demande s’il peut intervenir en précisant les choses.

CHERYL: Mm hmm.

ADAMUS: Je ne vais pas l’ignorer cette fois (elle rit). Avez-vous déjà… (Adamus rit) Vous attendiez-vous à ce que Donald Trump devienne Président de l'Amérique? (Adamus rit)

CHERYL: Vous savez…

ADAMUS: Il n'y a aucun jugement à cela.

CHERYL:… Je pense que nous avons beaucoup d'imbéciles dans ce bureau (ovale) et le pays réussit à survivre aussi bien qu'il le peut. Alors …

ADAMUS: Ouais, ouais.

CHERYL: Encore une fois, je ne vote pas. Votre vote ne veut rien dire. De toute façon, tout se fait via un collège électoral, alors.

ADAMUS: Exact.

CHERYL: Alors je ne peux vraiment pas…

ADAMUS: Mais cela fait du bien de penser que vous pouvez y aller et tirer le levier (pour faire bouger les choses), là où de toute façon, cela ne fait aucune différence.

CHERYL: Non, pas du tout. Je ne me sens plus concernée par tout cela depuis des années.

ADAMUS: Ouais. Ouais. C'est en fait assez commun à tous les Shaumbra certains sont certes encore sur un mode va-et-vient avec ça – mais c’est assez commun de simplement dire, "Vous savez, ce n'est pas mon truc."

CHERYL: Ce n'est pas à moi.

ADAMUS: "Ce n'est pas ma bataille, ce n'est pas mon jeu", alors ils laissent simplement tomber cela (ils lâchent prise sur cela).

CHERYL: Ouais.

ADAMUS: Mais je tiens à préciser que, bien que les Shaumbra abandonnent beaucoup de tout cela, en réalisant que cela ne va pas beaucoup les aider à ce stade – ce qui vous aide vraiment, c’est quand vous devenez Réalisé, cela fait plus que tout au monde mais il y a toujours ce désir chez nombre de Shaumbra de redevenir des travailleurs de l'énergie sur la planète, de revenir à devoir se battre et lutter – en politique, contre Donald Trump, pour l’environnement, quoi que ce soit. Vous savez, il y a toujours…, ça les retient toujours. Je le remarque un peu. Ouais. Je vous remercie. Bonnes réponses.

LINDA: Pouvons-nous demander ce qu’il en pense à ce gars venu d'Israël? Je suis vraiment curieuse de savoir.

ADAMUS: Oui, mais dites-lui de faire attention et de ne pas se heurter la tête contre ce gros truc (la télé) accroché au mur.

SAGY: On m'a dit de faire attention, oui.

ADAMUS: Oui.

SAGY: D'accord.

ADAMUS: Oui. L'humanité est-elle là où vous vous attendiez qu’elle soit ? Au passage, ravi de vous voir. Je ne vous avais pas vu depuis longtemps.

SAGY: Merci.

ADAMUS: Ça fait trois vies, je crois.

SAGY: Au moins.

ADAMUS: Oui, oui, oui.

SAGY: Au moins.

ADAMUS: Bien.

SAGY: Merci beaucoup.

ADAMUS: Ouais.

SAGY: Je n'avais aucune attente (par rapport à la planète).

ADAMUS: Aucune attente.

SAGY: Non. Dans mon enfance, j'avais beaucoup de peurs en moi.

ADAMUS: Ouais.

SAGY: Et…

ADAMUS: Vous savez, avec les bombes qui vous tombent sur la tête tous les jours, je dirais…

SAGY: Tous les…

ADAMUS:… que c’est compréhensible.

SAGY: Ouais, exact. Mais ce n'était pas seulement ça. C'était de regarder seulement le côté sombre, et puis j'ai changé ma perspective et maintenant je vois les deux côtés, et c'est plutôt cool.

ADAMUS: Ouais. Ça l’est!

SAGY: Et je peux même apprécier un gars comme Donald Trump. Je veux dire, c’est une caricature. Il est assez ridicule, mais il se tient là pour quelque chose, non?

ADAMUS: Exactement.

SAGY: Ouais, et de son point de vue, tout est question de business, et c'est à ce niveau que se trouve l'humanité actuellement.

ADAMUS: Et quelque chose est en train de bouger malgré tout.

SAGY: C'est vrai.

ADAMUS: Nous ne savons pas dans quelle direction, mais c’est en train de bouger.

SAGY: C'est vrai.

ADAMUS: Ouais. Et c’est mieux que d’être bloqué, absolument. Alors – eh bien, dirigeons-nous vers votre région d’origine – est-ce que le Moyen-Orient en est là où vous vous attendiez qu’il soit, disons, quand vous étiez plus jeune ou avant d'entrer dans cette incarnation?

SAGY: Non.

ADAMUS: Non. Où vous attendiez-vous à ce qu’il en soit ?

SAGY: Pas là où il est actuellement (il rit). C'est la seule chose que je puisse dire.

ADAMUS: Vous voulez dire qu’il est hors de son périmètre sur la carte? Ou est-ce que vous vous attendiez à ce que tout le monde…

SAGY: Non.

ADAMUS:… réalise qu'ils sont tous Hapiru, de la même famille.

SAGY: J'espérais plus que cela, que tout le monde se réalise et que ça devienne le Paradis sur Terre.

ADAMUS: Ouais, ouais.

SAGY: Mais ce n'est pas le cas et ça me va aussi. C'est comme …

ADAMUS: Mais vous réalisez qu'au Moyen-Orient, la plupart des êtres qui y sont actuellement appartiennent à la même famille spirituelle appelée Hapiru et les querelles de famille sont les pires. Et ensuite, si quelqu'un d'extérieur intervient pour s'immiscer dans les querelles de famille –   boom!   – Il se fait dégommer aussi.

SAGY: Ouais.

ADAMUS: Alors, oui, c'est une vieille querelle de famille.

SAGY: C'est vrai. C'est pourquoi je suis ici et pas en Israël (rires).

ADAMUS: Ouais. Je vous remercie. Je suis content que vous soyez là. Ravi de vous avoir. C'est bon de vous revoir.

SAGY: Merci.

ADAMUS: Un de ces jours, je partagerai une histoire que nous avons vécue vous et moi.

SAGY: D'accord.

ADAMUS: Ouais.

SAGY: Merci beaucoup.

ADAMUS: Un de plus.

LINDA: Oh, encore un.

ADAMUS: Est-ce que la planète en est là où vous vous attendiez à ce qu’elle soit actuellement ?

LINDA: Oh, voyons.

ADAMUS: En 2019.

LINDA: Vous le saviez.

MARY SUE: Non.

ADAMUS: Non. C'était pourtant clair.

MARY SUE: C'est très clair.

ADAMUS: Ouais, ouais. Et où vous attendiez-vous à ce qu’on en soit?

MARY SUE: Je pensais que ce serait plus paradisiaque que ça.

ADAMUS: Ouais. Oui, et quand vous êtes revenue pour vous incarner dans cette vie, vous pensiez en vous y préparant : «Oh, la planète va vraiment aller beaucoup mieux, parce que n’est-ce pas, nous en avons fini avec la Seconde Guerre mondiale. C'est sorti de notre route. Maintenant, nous pouvons vraiment unir le monde et… ” Wow.

MARY SUE: Je suis choquée de voir tout ce qui est en train de sortir. Je réalise que tous ces trucs se passaient même quand j'étais petite et je ne le savais pas.

ADAMUS: Exact.

MARY SUE: Mais je suis simplement étonnée de voir combien c’est ouvert et personne ne semble faire attention.

ADAMUS: Exact. exact. Bien. Alors, comment décririez-vous l'émotion que vous ressentez avec cela?

MARY SUE: Je n'ai jamais regardé de soap-operas, mais à présent, j’ai l’impression de me retrouver dans l'un d'eux (ils rient). Et c'est plutôt amusant. Je me plais à regarder brièvement les nouvelles chaque jour et je suis choquée par ce qui se passe.

ADAMUS: Ouais. C’est et ça peut être triste parfois, et cela peut vraiment vous peser lourdement, et certaines parts en vous peuvent même penser que vous devez sortir sauver la planète, ce que je ne dis pas que vous êtes en train de faire. Mais il y a cette tendance, "je dois faire quelque chose pour cette planète." Et la raison pour laquelle j'ai posé cette question – merci    La raison pour laquelle j'ai posé cette question en ce début de nouvelle année… c’est dû à deux raisons.

Beaucoup d'entre vous sont venus ici avec de grands espoirs. Chacun d'entre vous sans exception, ici ou en ligne, savait que cela allait être une grande vie pour vous. Vous aviez de nombreuses attentes avant de venir, comme par exemple, quand vous étiez très jeune, que vous alliez faire quelque chose de remarquable pour aider la planète. Certains d'entre vous en rêvaient, je veux dire, que ce soit en rêves la nuit ou dans des rêves éveillés. Beaucoup d'entre vous aspiraient à faire quelque chose, à inventer quelque chose qui allait vraiment aider l'humanité ou à créer une entreprise qui allait avoir un impact énorme sur la planète, et puis cela ne s'est pas produit. Et alors votre vie a déraillé, de multiples façons différentes. Et puis, ce vieux rêve, ce ressenti: «Ce sera une sacrée vie et je ferai quelque chose de significatif pour cette planète, pour aider à la réunir, pour aider à en faire une sorte de paradis, pour mettre un terme aux guerres, pour en finir avec la faim et l'esclavage. "

Ensuite, vous avez été distraits. Vous avez peut-être pensé avoir commis des erreurs ou fait quelque chose de mal, et puis les choses ont commencé à s’effondrer – que ce soit votre travail, votre famille ou tout le reste, tout a commencé à s'effondrer   – Et alors ce rêve, cette connaissance intérieure qui semblait résonner tel un écho si lointain. Et alors, vous en êtes arrivé au point où vous étiez à peine capable de survivre, je veux dire, à juste pouvoir garder la tête sur les épaules pour continuer à vivre tous les jours et essayer de garder votre santé en équilibre, et tout le reste.

Mais je ne veux pas que ce rêve ne se réalise pas. Je ne veux pas que ce rêve soit oublié, parce qu’il est plus grand que jamais. Ce n'est pas ce à quoi vous auriez pu vous attendre. Vous n'êtes peut-être pas celui qui guérira le cancer ou qui trouvera le moyen de distribuer de la nourriture aux pauvres ou d'inventer une nouvelle technologie.

Vous êtes en train de faire quelque chose d’autre et vous savez exactement ce que c'est. Vous permettez votre Réalisation. C’est ce que vous avez ressenti à l’époque, quand vous pensiez: «ça sera une vie très importante. Je ferai quelque chose d'important. » Et beaucoup d'entre vous pensent:« Oh, bon sang! C’est mon ego qui s'est mis en travers de mon chemin. Je voulais être une pointure et être célèbre et tout le reste. » Non, en fait, votre motivation était de faire quelque chose pour la planète, quelque chose de vraiment, vraiment important, mais ce n'était pas ce à quoi vous vous attendiez. Il ne s’agissait pas d’être le PDG d'une grande entreprise ou le président d'une entreprise ou même des États-Unis. C'est quelque chose qui se fait très silencieusement. C'est ce que vous êtes en train de faire en ce moment même. En ce moment même.

Et même si une part de vous vous dit: «Mais je ne fais rien du tout», j’ai envie de hurler quand vous dites ça (quelques rires). « Je ne fais rien du tout. Je suis juste assis à la maison et je ne suis pas, n’est-ce pas, mon nom ne fait pas les gros titres. Et je n'ai pas encore écrit de livre et je n'ai pas encore commencé ma nouvelle pratique de guérison. »Vous êtes en train de faire ce pour quoi vous êtes venus là, et cela se fait silencieusement. Cela doit se faire silencieusement. Vous faites plus pour cette planète que celui qui imagine un remède contre le cancer. C'est une grande déclaration, mais c'est très vrai.

Il suffit juste de quelques personnes. Pas besoin de religion, de discours. Il suffit juste de quelques personnes qui permettent. C'est tout ce qu'il faut. Nous allons avoir une grande discussion à ce sujet dans une semaine lors du ProGnost : qu'est-ce qui est en train de se passer actuellement et pourquoi. Cela demande juste quelques personnes. Et cela affecte plus le changement que toute autre chose, et non pas parce que vous essayez de changer le monde de manière proactive. Souvenez-vous que cela se fait en pure compassion. Mais pour le dire simplement, quand votre lumière brille, votre radiance illumine des potentiels qui n’auraient peut-être jamais été vus autrement.

Vous pourriez tout bonnement vous trouver dans un café à attendre d’être servi et voici qu’un toxicomane arrive – comment dites-vous déjà ? un accro à la méthamphétamine –  qui arrive juste derrière vous pour prendre son café avec l'argent qu'il vient de voler, et vous n'avez pas un mot à lui dire. Vous n’avez pas besoin de lui réciter de formule magique ou de lui faire du Reiki. Votre présence est tout ce qui compte. C'est tout, parce que votre présence est – à défaut de meilleur mot – lumière. C'est la conscience, la conscience. Et soudain, il peut voir le potentiel qu'il n’est pas accro à la méthamphétamine, qu'il n’est pas dépendant, qu'il n'a pas besoin de voler. Et il pourrait même ne jamais savoir que cela venait de vous, jamais. Il sait juste que soudain, il a eu une révélation en buvant son café et peut-être qu’il aura pensé que son café était drogué ou quelque chose du genre, mais c'est ce pour quoi vous êtes venus ici. C'est pour ça que vous êtes venus ici.

Ah, j'adore ressentir vos aspirations passées et le désir que vous aviez pour cette vie, ne sachant pas vraiment comment elle se passerait exactement, mais sachant que cela se produirait. Et c’est ce que vous êtes en train de faire actuellement.

C’est l’une de ces choses que je dois continuer à vous répéter, parce que vous n’y croyez toujours pas. Vous continuez de dire: "Eh, ça sonne vraiment bien, mais Adamus doit parler de la personne à côté de moi, parce que pour ma part, je ne fais pas grand-chose." Vous ne pouvez pas imaginer, avec votre logique humaine, ce que vous êtes en train de faire, et c'est pourquoi j'adore travailler avec vous. C'est pourquoi j'adore tout à la fois vous provoquer, vous botter le cul et que je vous aime.

Alors, prenons une bonne et profonde respiration avec ça.

Les attentes. La planète n'est pas ce à quoi vous vous attendiez. Beaucoup d'entre vous pensaient qu’elle aurait déjà explosé. Beaucoup d'entre vous pensaient que tout le monde serait enfin uni, que nous vivrions juste ce merveilleux amour planétaire mondial et que ce serait le paradis, et rien de tout ça ne s'est passé, mais pourtant beaucoup de choses sont en train de se produire.

 

L’Ego

Je voudrais vous parler un peu de l'ego. L’égo. Et, vous savez, alors que nous étions en train de parler de ce que vous êtes vraiment en train de faire sur la planète, n’est-ce pas, une part de votre égo vous disait: «Je vais devenir quelqu’un d’important, peut-être de célèbre, peut-être quelqu’un de riche, mais ça va le faire ». Votre priorité numéro un c’est – "Je veux faire quelque chose pour cette planète." C'est un véritable fil conducteur, commun à vous tous: "Je veux faire quelque chose pour cette planète." Et ensuite vous commencez à penser: "Eh bien, c'était mon ego."

Vous savez, j'ai travaillé avec…, j’ai connu Sigmund Freud. Vraiment. (Adamus rit). Tout à fait. Et, n’est-ce pas, il a popularisé le terme d’«ego». On n'en parlait pas beaucoup avant lui, mais il a en quelque sorte contribué à définir l'ego, à le vulgariser et à amener les gens à penser à leur ego, mais il a aussi contribué à faire de l’égo quelque chose de vil, de méchant, d’infâme.  C'est le mauvais côté de son travail. Il a contribué à vilipender l'ego, comme si c'était une mauvaise chose, comme si c'était votre ombre. Il a fait de l'ego un genre de négatif et même aujourd'hui, les gens disent: «Eh bien, vous avez un gros ego.» Eh bien, super! (Adamus rit) Hé Merci!

À propos, l’ego n’a pas de taille. Vous ne pouvez pas avoir un grand ou un petit ego. Vous ne pouvez pas avoir un mauvais ego ou quoi que ce soit d'autre. Un ego est juste un ego. L'ego vient du mot latin «I go» (je vais), ou on pourrait le traduire par «aller de l'avant» ou simplement bouger, faire quelque chose. Ego. En fait, l'ego est une chose merveilleuse à bien des égards, mais, eh bien, il a été quelque peu vilipendé, on l’a rendu en quelque sorte mauvais.

Prenons juste un moment pour ressentir l'ego humain. Prenons un moment. Juste le mot. Quel genre de ressenti fait-il émerger en vous? L’Ego.

(pause)

Et Linda au micro, svp. Je serais curieux d’entendre un mot qui vous vient à l’esprit pour définir l’ego. Un mot.

SHAUMBRA 1 (femme): Le pouvoir.

ADAMUS: Le pouvoir. Ouais ok. Bien. Linda, continuez à courir avec le micro. L’Ego, le pouvoir.

DIANE: Le Soi.

ADAMUS: Le Soi, d'accord. Quel genre de soi, cependant?

DIANE: Mon identité individuelle.

ADAMUS: Mmm, d'accord. Quel genre d'identité? (elle rit) Est-ce que c'est quelque chose dont vous voulez avoir toujours plus? Vous voulez avoir plus d'ego? Moins d'ego? Quelque chose sur lequel que vous devez travailler – votre ego est-il quelque chose sur lequel vous devez travailler?

DIANE: Je ne pense pas – je ne travaille pas sur le mien, pour autant que j’en sois consciente.

ADAMUS: D'accord. D'accord. Et avec les autres?

DIANE: Oh oui.

ADAMUS: Avez-vous déjà accusé quelqu'un d'avoir un gros ego ou l’avez-vous juste pensé ?

DIANE: J'y ai certainement pensé.

ADAMUS: Ouais, d'accord. A propos de quelqu'un en particulier?

DIANE: Ouiiiii (rire), mais quelqu’un qui restera anonyme.

ADAMUS: D'accord. Bien bien. Bien.

LINDA: Il ne montera pas sur scène, pas vrai? (plus de rires)

DIANE: Il pourrait ! (Linda rit)

ADAMUS: L’égo. Quel mot vous vient à l'esprit quand on vous parle d'ego? L'égo.

(Susan fait une pause)

LINDA: Nancy veut le micro. Elle n'hésitera pas, elle. C’est maintenant.

ADAMUS: Non! Elle était sur le point de me donner sa réponse !

LINDA: Eh bien, attendez! Nancy va vous donner la sienne en premier, et ensuite on reviendra à Susan.

ADAMUS: Non! Je voulais entendre ce que vous alliez dire.

LINDA: D'accord, allez-y.

SUSAN: L'essence de l'humain.

ADAMUS: L’essence, d'accord. Ouais.

SUSAN: L'humain.

ADAMUS: L'humain. D'accord… d'accord, je ne vais pas encore ajouter mon grain de sel.

NANCY: Pour moi, je pense que c'est une part de la trinité…

ADAMUS: Une part de la trinité.

NANCY:… de mon moi.

ADAMUS: Ouais, le divin, le Maître et l’ego.

NANCY: Ouais.

ADAMUS: D'accord. Vous aimez votre ego?

NANCY: Oui.

ADAMUS: D'accord. Continuons avec les mots. Nous commençons à nous échauffer. L’ego. Qu’est-ce qu’il faiut remonter en vous ?

TOM: La fierté.

ADAMUS: La fierté. D'accord. Continuons à creuser là-dedans. L’ego.

CAROLYN: La vanité.

ADAMUS: La vanité. D'accord. Avez-vous déjà été vaniteuse ?

CAROLYN: Tout à fait, oui (quelques rires).

ADAMUS: Vous l'avez probablement été et ce n'est pas grave.Vous savez, une partie de ce que je veux vous montrer ici, c’est qu’il existe de nombreux attributs négatifs attachés à l’ego – la vanité, le fait d’être arrogant et pompeux et tout le reste. Alors que nous continuons notre discussion, ressentez vraiment tous ces mots, tous ces attributs attachés à l’ego.

Continuez s'il vous plaît. L’ego.

ALI: L’auto-glorification.

ADAMUS: D'accord. Avez-vous déjà pratiqué cela?

ALI: Ouais.

ADAMUS: Ouais. Vous êtes-vous sentie mal à ce sujet?

ALI: Oui.

ADAMUS: Vous êtes-vous flagellée pour cela ?

ALI: Je me suis tapé sur les doigts.

ADAMUS: Tout à fait, c’est ce que je voulais vous montrer.

ALI: Ouais.

ADAMUS: Ouais. Ouais. Vous vous êtes tapé sur les doigts. Boom! Hou la la! Boudiou!

ALI: C’est pas bien Ali!

ADAMUS: Oh! "C’est pas bien Ali!" Et avoir un tel ego, et – oh! – tu es juste…   

ALI: Tiens-toi juste tranquille!

ADAMUS: Oui, oui! Regardez ce qui se passe quand vous vous démarquez! Ouais.

ALI: Oui.

LINDA: Ça ne peut pas être juste de la confiance ?

ADAMUS: Laissez-les gens s’exprimer comme ils veulent, s'il vous plaît.

LINDA: Je suis l'un d'entre eux.

ADAMUS: S'il vous plaît.

LINDA: Je suis l'un d'entre eux (quelques rires).

ADAMUS: "Je suis l'un d'entre eux", d'accord! Je sais qui sera le prochain au micro.

SART: Ça doit être des Sart-ismes.

ADAMUS: Des Sart-ismes. Ouais (Sart rit). L’ego.

SART: C’est la part mauvaise.

ADAMUS: Oui,l’ ego. Par quel mot le qualifieriez-vous?

SART: (faisant une pause) Juste… la culpabilité.

ADAMUS: Pardon?

SART: La culpabilité.

ADAMUS: La culpabilité. D'accord. Oui, le regard que vous affichez dit tout. C'est comme, "Euh ..."

SART: Ouais.

ADAMUS: L’ego. D'accord.

SART: C'est la culpabilité de faire quelque chose à d'autres personnes.

ADAMUS: D'accord, d'accord. D'accord. Bien.

SART: Oui, et juste après que vous l’ayez fait, vous savez que cela les a blessé ou leur a fait du tort.

ADAMUS: Ouais, du moins c’est ce que vous pensez.

SART: Oui, c’est ce que vous pensez.

ADAMUS: Ou ce que vous voulez penser.

SART: Ou…

ADAMUS: Ouais.

SART: Alors, ça veut dire que vous voulez que cela se passe ainsi.

ADAMUS: Ouais, ouais. Ouais. Alors, au pire de votre ego, que s'est-il passé?

SART: Oh, le pire a dû arriver quand je buvais.

ADAMUS: Ouais. Ouais (Sart rit). Ouais. Comment l'alcool a-t-il affecté votre ego? (quelques rires)

SART: Cela m’a déshinibé et permis de dire tout ce qui me passait par la tête.

ADAMUS: D'accord, d'accord, d'accord. Et vous l'avez fait.

SART: Oh, oui!

ADAMUS: Ouais. Et avez-vous eu des ennuis à cause de ça?

SART: Oh, jamais.

ADAMUS: Ouais, bien. Bien (ils rigolent). Alors, quand vous avez arrêté de boire, avez-vous mis vos ennuis sur le compte de votre ego ou est-ce que d’autres personnes ont mis ça sur le compte de votre ego ?

SART: Oui, tout à fait.

ADAMUS: Alors qu'est-ce que vous avez fait avec votre ego?

SART: Je l'ai mis dans une valise que j’ai jetée derrière moi et…

ADAMUS: Oh non, d'abord vous lui avez fait sa fête (Sart rigole). Ensuite, vous l’avez mis dans une valise que vous avez jetée derrière vous, et ensuite vous êtes régulièrement allé lui donner des coups de pied.

SART: Oui, et ensuite j'ai balancé la valise à travers la porte.

ADAMUS: Vous êtes-vous racheté, vous et votre ego, quand vous avez cessé de boire?

SART: Non.

ADAMUS: Non, d'accord.

SART: Non.

ADAMUS: Est-ce que vous bataillez toujours avec cet ego?

SART: Oui, je le fais toujours.

ADAMUS: Ouais. Est-ce la raison pour laquelle vous vous servez de cet énorme, mais vraiment énorme engin de chantier (pour le terrassement)? C'est comme si, n’est-ce pas, vous disposiez d’un pouvoir, d’une puissance grâce à ça, en plus de pouvoir aussi creuser un peu la terre.

SART: Oh, ça aide.

ADAMUS: Ouais! (ils rient)

SART: ça aide vraiment.

ADAMUS: Pourriez-vous vous imaginer être PDG d'une grande entreprise? Pas moi.

SART: Dieu préserve les employés!

ADAMUS: Exactement (rit Sart). Exactement, oui, parce qu’avec cet énorme ego! Oh mon Dieu! Vous auriez eu raison de vampiriser tout le pays. Cela aurait été comme un énorme buffet pour votre ego.

SART: J'aurais dû engager de nouvelles personnes tous les matins.

ADAMUS: C'est ça! (ils rient) Bien! Mais avec le travail que vous faites maintenant, vous êtes au grand air, dans la nature et vous travaillez avec de gros engins. Personne ne va vous chercher des noises parce qu'ils savent qu’avec votre D9, vous pouvez revenir détruire leur maison le lendemain matin, alors…

SART: Je leur dis: "Rappelez-vous, j'ai de gros camions à benne basculante."

ADAMUS: Exactement, exactement (ils rigolent). Bien. Je vous remercie.

SART: Merci.

ADAMUS: Deux de plus sur l'ego. Quels mots vous viennent à l'esprit?

LINDA: Voyons voir.

ADAMUS: Il en manque quelques-uns, quelques-uns de vraiment important.

LINDA: Sylvia.

SYLVIA: Maintenant je suis perdue.

ADAMUS: «Maintenant? Maintenant ? », dites-vous?

SYLVIA: Maintenant je suis perdue.

ADAMUS: Qu'est-ce qui vous vient à l'esprit lorsque je prononce le mot ego?

SYLVIA: L’ego. Comme vous l’avez dit, "je vais", c'est comme une sécurité pour moi-même.

ADAMUS: Ouais, ouais. C'est vous-même.

SYLVIA: D'un côté, et de l'autre, il peut être égoïste.

ADAMUS: égoïste, d'accord.

SYLVIA: Juste à penser à moi-même.

ADAMUS: Est-ce que vous faites ça très souvent?

SYLVIA: J’essaye.

ADAMUS: Vous essayez. Yeah Yeah.

SYLVIA: Ou j’essaye de ne pas trop le faire.

ADAMUS: Oh, vous essayez de ne pas trop le faire.

SYLVIA: Ouais.

ADAMUS: C'est triste. 

SYLVIA: Je suis, je suis…

ADAMUS: D'où est-ce que tout ça vient, le fait de considérer que c'est mauvais de faire attention à vous? D'où est-ce que, bon dieu, tout ça provient? (Quelqu'un dit "De l'église") Exactement. Exactement. Je ne vais pas encore faire d’anti-cléricalisme primaire. Non, je l'ai juré pour le Nouvel An. Yeah Yeah. Plus de critiques contre l'église. Vous savez pourquoi? Parce que je n'en ai plus besoin. Vous savez, l'année dernière, il y a un an, lorsque nous étions en train de discuter et que je vous ai demandé de commenter ce qui allait se passer en 2018, ma conclusion avait été en quelque sorte qu’il allait y avoir une désintégration de l'église. Et j’entends le mot «église» génériquement, au sens de toutes les religions. Et pour moi, c'est toujours la chose la plus importante qui se soit produite l'année dernière. Pas la chose qui a fait les plus gros titres dans les news.

Mais, voyez-vous, quand une société a des mythes – et la religion est tout un mythe – quand elle a des mythes, les mythes aident à façonner les communautés et à former leurs valeurs, leur morale et leurs lois, en gros tout ce qui compose le monde. Vous avez de multiples mythes – des religions et des croyances – qui ont formé / fondé vos valeurs sociales et finalement vos lois. Donc, vous avez cela, tout en haut à ce niveau. Vous avez aussi ça, je crois qu’on pourrait appeler ça, la stabilité de la planète, la façon dont elle fonctionne. C’est entièrement basé sur ces valeurs qui proviennent à l’origine des mythes.   

Et les mythes ne proviennent pas uniquement de l'église telle que vous la connaissez aujourd'hui. Cela vient de très, très loin, et même de plus loin encore. Il y a les mythes qui proviennent des Incas, des Mayas et des Aborigènes, et de toutes les autres choses antérieures aux mythes chrétiens de, oh, 5000 ans; et aussi les mythes égyptiens qui sont antérieurs d’environ 25 000 ans. Donc, les mythes construisent les valeurs et les structures sociales. C'est la gravité qui maintient toutes les choses en place.

Eh bien, maintenant, ce qui est en train de se passer sur la planète, c’est que l’église est en train de se désintégrer et de s’effondrer, qu’il s’agisse de l’église chrétienne ou de la religion musulmane, des juifs ou autres. On constate un énorme manque de respect et je crois qu’on pourrait même dire, un manque de croyance en beaucoup de ces anciennes valeurs religieuses. Si j’avais été le coach de ces églises, je leur aurais dit : «Faites un peu de mise à jour de temps en temps. Renouvelez-vous. Vous savez, dépassons cette idée comme quoi les femmes ne peuvent pas être prêtres. Je veux dire, c'est tellement ancien, dépassé et tellement stupide. Faisons une mise à jour de temps en temps. » Mais les religions sont tellement déterminées à maintenir et à s’accrocher à leurs anciennes façons de faire.

Alors maintenant, tout est en train de s’effriter, de partir en lambeaux. Vous le voyez en surface, dans certaines choses. Tous ces trucs avec l’église catholique et les prêtres et les abus sexuels perpétrés depuis tellement longtemps, bien plus longtemps que ce que l’on veut bien admettre. Ce n'est pas une épidémie récente. Cela dure depuis toujours. C’est en train de provoquer un manque de confiance et de foi dans la foi, et quand vous n’avez pas foi dans la foi, alors vous avez de gros problèmes.

Donc, la structure sous-jacente des mythes est en train de se détériorer. Les gens ne croient plus en l’église et ne suivent plus ses préceptes. Cela commence à secouer toute chose en surface, comment la communauté, le pays, la morale, les valeurs et les affaires ont été construits. C’est pourquoi je vous dis que la plus grande chose qui s’est produite l’année dernière, c’est la détérioration continue des valeurs religieuses sur la planète, et ça aura un impact énorme, en particulier cette année, alors que cette structure va continuer de s’effriter toujours davantage.

Et ce n'est pas, en soi… il ne s’agit pas de dire que l'Église catholique va faire faillite ou que les Méthodistes vont trouver une méthode différente (rire). Bien qu’ils le pourraient. Mais cela veut dire que tous ces mouvements religieux n’auront bientôt plus l’effet qu’ils avaient jadis, en termes de gravité sur la conscience de cette planète. Et comme ces structures s'érodent, il en va de même pour les valeurs, ce que vous avez probablement constaté si vous suivez les actualités. Les valeurs sont en train de s'effondrer. La gravité inhérente à ces valeurs, qui maintient la cohésion des croyances et des lois et de tout le reste, est en train de s'effondrer. Donc, c'est un peu ce qui est en train de se passer.

Et alors vous obtenez un personnage comme le président Trump dans son bureau ovale, et il est vraiment en train de foutre la merde dans tout ça. Et je ne dis pas que c'est bien ou mauvais. Je dis juste que c'est ce que les gens méritent (rires). Tout à fait! Absolument. Non, et on devrait en quelque sorte avoir un respect fondamental pour tout cela, et je ne parle pas du tout comme un politique. D’ailleurs, je ne voterais pas si j'étais sur votre planète actuellement. Je ferais ce que Tobias disait: «Tiens-toi derrière le mur» et rigole. Ris-en.

Bon alors, où en étions-nous? (quelqu'un dit « à l’ego")

LINDA: A l’ego.

ADAMUS: D'accord. J'ai besoin de quelques mots de plus. Augmentez la lumière un petit peu, parce que Linda va courir dans le public.

LINDA: Juste là.

ADAMUS: L’ego. Il me manque quelques mots là.

MONICA: Pour moi, l'ego c’est la dualité…

ADAMUS: La dualité.

MONICA:… ou le jugement. Parce que si je ne suis pas dans l'ego, alors c'est l'unité et les choses sont juste comme elles sont. Ce serait, je pense que vous diriez, Permettre. Donc, pour moi, il y a mon mental humain ou mon mental ego, et mon mental Esprit.

ADAMUS: D'accord. Oh intéressant.

MONICA: Alors chaque fois que je suis en jugement, je me dis: «Oh, c'est mon mental humain. Que dirait mon mental Esprit? »

ADAMUS: D'accord, d'accord.

Monica: Oui. Donc c'en est un (de mot, d’attribut du mental).

ADAMUS: Oh, intéressant. Maintenant, vous avez un conflit entre les deux. C'est très sage. Je vous remercie. J'ai juste besoin de quelqu'un pour me dire le mot que j’attends. Gary, est-ce que ce sera vous ?

GARY: La conscience de soi.

ADAMUS: La conscience de soi. Ouais. Ouais. Est-ce une bonne conscience de soi ou une mauvaise?

GARY: Ni l'un ni l'autre.

ADAMUS: Ni l'un ni l'autre?

GARY: C'est juste une conscience.

ADAMUS: D'accord.

GARY: C'est une connaissance intérieure de…

ADAMUS: Est-ce que vous comptez sur votre ego pour avoir plus de conscience de vous ?

GARY: Non.

ADAMUS: Non. Sur quoi comptez-vous pour avoir plus de conscience de vous ?

GARY: (Pause) Sur quoi puis-je compter pour avoir plus de conscience de moi…

ADAMUS: Si vous ne l'acquérez pas avec l'ego, d'où obtenez-vous cette conscience de vous ?

GARY: De ce que je sens, de ce que je ressens.

ADAMUS: D'accord, c'est juste. Bien, parce que ces sens outrepassent en quelque sorte l'ego.

GARY: Oui.

ADAMUS: Ouais. D'accord.

GARY: Espérons-le

ADAMUS: Bien. Bonne réponse. Toutes les réponses sont bonnes jusqu'à présent. Je regrette le temps où je pouvais vraiment vous reprendre pour vos mauvaises réponses (quelques rires). Ça me manque tellement. Ça me faisait de belles histoires à raconter quand j’allais au Club des Maîtres Ascensionnés.

LINDA: Moishe.

ADAMUS: N'auriez-vous pas pu me sortir une réponse stupide sauce makyo? Non non!

LINDA: Ne rentrez pas dans son jeu !

ADAMUS: Vous auriez pu ! (Adamus rit)

MOISHE: Je pourrais essayer.

ADAMUS: Vous pourriez! Allez-y monsieur.

MOISHE: C'est une confiance humaine.

ADAMUS: Une confiance.

MOISHE: Et je pense que les humains le méprisent parce qu'ils se méprisent eux-mêmes. Mais c'est une confiance humaine.

ADAMUS: D'accord. Bien. Génial. Je n’y suis toujours pas là (je n’ai toujours pas entendu le mot que j’attends). J'ai besoin d’en entendre quelques autres encore.

LINDA: Henrietta pense connaître le bon mot. Ou elle pense que vous voulez vous en prendre à elle.

ADAMUS: Les deux (Linda rigole).

HENRIETTA: L’instinct de survie, l’instinct de conservation, l’auto-préservation.

ADAMUS: L’instinct de survie. D'accord.

HENRIETTA: C'est ça. Parce que plus l'ego est grand, plus la façon de se présenter au monde sera en rapport. La personne va vraiment essayer de tout faire pour être perçue comme solide et vigoureuse dans sa présentation au monde. Parce qu’elle essaie de se protéger.

ADAMUS: Mais qu’est-ce qui sonne faux dans tout cela? Vous touchez au but. Donc, l’ego, c’est l’instinct de survie, de conservation, c’est l’auto-préservation. C’est, pourrait-on dire, votre défense, d'une certaine manière.

HENRIETTA: Oui.

ADAMUS: C'est votre protection.

HENRIETTA: Parce que l'humain a peur d’aller dans le néant.

ADAMUS: D'accord. Il a peur de tout, mais… (quelques rires)

HENRIETTA: Oui.

ADAMUS: Donc, vous avez cet ego que vous fabriquez en quelque sorte et qu’ensuite vous gonflez. Vous le faites gonfler et augmenter de volume, et une part de tout ça c’est de l’auto-préservation, mais ensuite, l'ego prend goût à son propre jeu et commence à croire en ses propres histoires. Mais qu'est-ce qui en découle, où est le problème? Arrêtons le film un instant. Vous avez ce bon gros ego, quel est son problème?

HENRIETTA: Il croit qu’il est réel. Je veux dire, plus l'ego est grand, plus il est réel pour la personne. Cela le solidifie et le rend plus fort dans la présentation de l’humain face au monde.

ADAMUS: Quel est le vrai problème en cela? Vous vous approchez vraiment très près et vous êtes en train d’inspirer la personne qui va me donner la bonne réponse dans un instant.

CAROLE: L’auto-évaluation, le jugement de soi et la projection.

ADAMUS: On est en train d’y arriver. Nous y sommes presque. L’auto-évaluation, le jugement et la projection. Vous avez cet ego qui est en quelque sorte tout gonflé de lui-même, infatué, pompeux et arrogant, mais c'est une identité et c'est vous, mais quel est le problème?

TAD: la peur.

ADAMUS: On y est presque là.

TAD: Oh! La peur-ité! La peur-esque! La peur.

ADAMUS: D'accord. Ehhh! Je vais vous le dire. L’idée de jugement ça vous donne une indication, mais je cherche un autre mot. Vous êtes si proches. Si proches.

ALICE: Je vais aux toilettes (elle rit).

ADAMUS: Elle va directement aux toilettes! (rires) Ouais. Essayez juste d’inventer quelque chose. N'importe quoi.

ALICE: En voilà un bon (mot), la reconnaissance.

ADAMUS: La reconnaissance. Ouais ok. J'aurais inventé quelque chose de différent (ils rigolent).

ALICE: J'allais dire à peu près pareil que ce que Gary a déjà dit, la conscience du soi humain. Quand je pense à mon propre ego, c'est ce que je suis en tant que…

ADAMUS: Vous avez un ego? Vous avez un gros ego?

ALICE: J'ai un ego. Il n’a pas de taille, mais je suis consciente de cet humain…

ADAMUS: Vous avez un ego dynamique?

ALICE: Oh oui!

ADAMUS: Oh oui! (rires) Oh, oui, oui, oui, oui. Ouais. Quel est le problème avec votre ego?

ALICE: Il n'y a rien qui aille mal avec le mien, aucun problème ! (rires et quelques applaudissements)   

LINDA: Ça dit tout ! (Linda rit)

ADAMUS: Ouais. Et vous pourriez ajouter à cela, "Et qu'est-ce qui ne va pas avec le vôtre?"

ALICE: Ouais! Ouais! Quel est le problème avec le vôtre?!

 

Définition d'Adamus de l'Ego

ADAMUS: L’ego. Je vais vous donner la réponse. Vous étiez très proche de la bonne réponse, Tad, mais l'ego est fragile. (Le public dit «Oh») Il est fragile! Il est cette bonne grosse et grandiose dynamique, une sorte de makyo de l’auto-préservation, de l'identité, et tout le reste, peu importe ce que vous pourriez dire; il est sacrément fragile. Il est tellement fragile, il est presque plus fragile qu'un œuf. Si quelqu'un le touche, il tombe en morceaux (dit avec une voix larmoyante). Il ne sait pas quoi faire! Après toutes les fanfaronnades auxquelles il se prête, si quelqu'un genre le regarde juste méchamment, il s’écroule !! Il n'est pas réel. C'est une illusion. Il est réel, mais c'est une illusion et ce n'est pas vraiment vous.

Pourtant, les humains s'identifient à lui – et j'ai toujours un désaccord à ce sujet avec Freud. S'il essaie un jour d'entrer au club des Maîtres Ascensionnés, je ne voterai pas pour lui (rires). Non, il doit réparer pour cela. Il a fait de l'ego une chose mauvaise, fragile et méchante et tout le reste. Il a vraiment vilipendé l'ego. 

Mais pour étayer mon propos ici et – quel était mon propos déjà ? Je n’en ai pas. L'égo. Je le définis comme… voudriez-vous bien écrire cela sur votre tablette magique ou quelle que soit la chose que vous utilisez?

LINDA: D'accord.

ADAMUS: C'est ça?

Ok, l'ego, ma définition de l'ego. C'est votre expérience… (pause et quelques rires alors qu’il y a des difficultés techniques) Je pensais que c’était supposé apparaître à l'écran comme par magie, et on ne voit rien là. Alors Linda est juste en train d'écrire pour elle-même (Adamus rit). N’aimez-vous pas la technologie? Oh, c'est tellement utile. Où est mon tableau blanc? Nous aurions déjà fini, si nous avions tout écrit sur le  tableau.

LINDA: Chut! Continuez.

ADAMUS: Continuez?! Vous devez écrire. Vous devez écrire.

LINDA: Ce n'est pas de ma faute (si ça ne marche pas).

ADAMUS: Ouais. Mettons la caméra sur ce petit problème technique là (Peter aide Linda avec l'iPad). Et rallumez les lumières. Je veux que tout le monde voie ce qui est – oh, il faut que nous comprenions ça. Ouais.

LINDA: Merci, Adamus. Nous aimons vraiment ce genre d'attention.

ADAMUS: Je sais. Ne vous… – sous la pression technique. Ooh! Il y a une raison pour laquelle je joue avec vous comme ça.

LINDA: Vraiment?

ADAMUS: Ouais, ouais. Vous l’apprendrez dans une minute.

LINDA: D'accord, «votre expérience…» (quelqu'un dit «oui!» Lorsque l'image apparaît à l'écran)

ADAMUS: «Votre expérience est basée sur vos histoires émotionnelles» – c’est la définition, ma définition de l'ego, qui est la seule définition (quelques gloussements) – «Basée sur vos histoires émotionnelles vues à travers les autres».

LINDA: Ooh.

ADAMUS: Au passage, j'adore venir en tant qu'Adamus. Je peux être un peu plus insouciant que St. Germain. Et, vous savez, je plaisante. J'agis un peu de façon arrogante et pompeuse à dessein. Et je parle très bien de moi-même (je dis beaucoup de bien de moi-même), parce que je le peux. Mais je veux vous faire prendre cette habitude d’être capable de le faire aussi. Parler vraiment en bien de vous-mêmes, mais pas de façon sérieuse. Vous savez, pas comme "Je suis la personne la plus spéciale au monde" (quelques rires). N’est-ce pas, c'est comme, non, parlez en bien de vous avec un sourire sur le visage, d'accord? Et plaisantez à ce sujet en faisant rire les autres, vous savez. Et il y aura toujours cette petite voix qui vous dira : "Oh, c'est mon ego et je suis tellement arrogant." Oh, oui. Oh oui. Et c'est amusant.

Alors, où en étions-nous? "Votre expérience basée sur des histoires émotionnelles." Toute histoire est émotionnelle. Tout ce qui traverse votre mental est émotionnel. Tout. Et j’ai eu un débat récemment – j’ai gagné – j’ai eu une discussion récemment avec un ami qui est là aujourd’hui, et que je vous présenterai dans un instant, et cet ami m’a dit: «Que voulez-vous dire, Adamus, quand vous dites que tout est émotionnel? Et un chiffre ? C’est émotionnel? Un nombre a-t-il une charge émotionnelle ? » Et je lui ai répondu :« 6-6-6 » (quelqu'un crie« Ohh! » Et une autre personne a dit« Bravo »), et ensuite je lui ai dit :« Treize » et « quarante-quatre » et «Un million cinq cent soixante-douze», juste comme ça.

Tout est émotionnel. Chaque histoire que vous avez jamais eue est toute émotion. Il n'y a en fait pas vraiment de logique. C'est un peu une fausse idée de croire que tout est vraiment logique sur cette planète. Tout est basé sur l'émotion. Chaque décision que vous prenez est basée sur une émotion. Vous pensez que vous recherchez la meilleure voiture à acheter? C'est basé sur de l'émotion! Vous justifiez vos émotions en faisant des recherches et en vous disant: «Je suis vraiment une personne intelligente, parce que j'ai acheté une Prius.» Non, c'était basé sur une émotion, parce que votre émotion a fait jaillir en vous l’idée que : «Je suis un ami des arbres. Je n'utilise pas de carbone dans mon automobile. » C'est totalement émotionnel. Vous le justifiez et appelez cela de la logique et vous avez acheté une Prius, qui est d'ailleurs une belle voiture. Où en étions nous? Ah d'accord.

La chose intéressante à propos de l'ego – il est tellement fragile, parce qu’il est tout entier basé sur ce que les autres pensent de vous. L'ego, pour la plupart d’entre vous, n’est pas basé sur vos propres observations de vous-même. Il est basé sur les observations de la façon dont les gens vous observent. Par conséquent, l'ego est très, très fragile, sensible à la touche apportée par toute personne, sensible à l'impression faite sur lui par n'importe qui. 

L'ego c’est – je vais vous donner un exemple. Disons que vous allez raconter une blague et la plupart d’entre vous ne sont pas vraiment de bons blagueurs. Non, pas du tout, parce que vous n’êtes pas, vous n’êtes pas – eh, vous n’êtes pas drôles (rires). Non, vous êtes encore trop sérieux, vous le savez ? Détendez-vous, retirez vos sous-vêtements serrés et vous pourrez ensuite raconter des blagues. Alors, disons que vous allez raconter une blague, que vous trouvez vraiment, vraiment très bonne et vous avez déjà entendu quelqu'un d'autre la raconter et tout le monde avait ri, et donc vous racontez la blague et personne ne rit. En fait, vous réalisez soudainement que les gens pensent qu’elle est politiquement incorrect, parce qu’il ne faut pas faire de blagues sur les personnes âgées ou autres. Alors qu’en fait, c'est ce qui est le plus marrant. Mais tout à coup, vous réalisez que personne n'a ri. Maintenant, votre ego va former une chose: «Je ne suis pas une personne drôle. Je ne devrais plus jamais raconter de blague. C'était vraiment mal." Cela va dans votre ego, ainsi que tout le reste.

Jusqu'à présent, l'ego était basé sur vos expériences, qui sont toutes formidables – les expériences sont merveilleuses  mais actuellement, il se base sur une histoire émotionnelle, ce qui est bien, aussi longtemps que vous le reconnaissez. C'est une histoire émotionnelle. C'est tout ce que c'est, et l'histoire peut changer. Mais la partie qui ne fonctionne pas très bien ici, c’est celle qui dit que l’expérience est «vue à travers les autres», comment ils vous perçoivent.

Alors, prenons une bonne et profonde respiration avec cela, et je tiens à préciser que l'ego, à cause de Freud et à cause de vous, n'a pas toujours été un ami. Ce n'est pas un ami du tout. C’est quelque chose que vous essayez de fuir, ou duquel vous voulez vous cacher, quelque chose que vous essayez de polir, de travailler, de détruire, de faire exploser, de renforcer, et tout le reste, cette chose qu’on appelle l’ego.

Et l’origine de l'ego, en latin, c’est : «Je vais. J’avance. J'expérimente. Je m’expanse. Je progresse. » Alors, votre premier nouvel ami cette année, c’est votre ego. L'ego est une belle chose. C'est la conscience de soi, comme cela a été dit auparavant. C'est la conscience de soi, mais plus à travers le regard des autres, comment ils réagissent à vous.

Vous savez comment ça se passe quand vous vous habillez pour la journée, que vous mettez quelque chose et que vous sortez et que quelqu'un vous regarde comme si…, il vous regarde comme si… il vous jette juste un petit regard comme ça (il jette un regard dédaigneux), et alors vous réagissez ainsi : «Oh! Oh! C'est terrible. Je n'aurais pas dû porter ça. Je porte de l’orange… ” Quel genre de… ça ressemble à une chemise de bûcheron avec un écusson royal (décrivant ce que Tad porte). Je veux dire, qui porterait un truc comme ça? (quelques rires) Et c’est super. Mais l'ego est du genre : «Oh! Je n'aurais pas dû me mettre ça. Je vais me faire remarquer et c’est stupide. "

Alors, la première chose que nous devons faire, c’est de laisser tomber la troisième partie, à savoir l’idée de quelque chose «Vu à travers le regard des autres». Cela n'a plus d'importance. Cela n'a plus d'importance.

Et la partie histoire émotionnelle? Ouais. Jusqu'à présent, les histoires étaient émotionnelles et les émotions peuvent être bonnes et amusantes. Elles sont très humaines. Mais transformons-les, pas en simples «histoires émotionnelles», mais transformons-les en, disons plutôt en quelque chose basé sur… – par quel autre mot pourrait-on remplacer le mot émotions? Que voulez-vous que deviennent vos histoires ? “Basées sur” – que pourrait-on dire ? (Quelqu'un dit "Vos meilleures histoires") Vos meilleures histoires, vos histoires géniales? Changeons cela depuis “Basées sur vos histoires” –  Que pensez-vous de… (quelqu'un dit «créatives») créatives ? (quelqu'un dit «divertissement») Divertissantes? Que diriez-vous de "Sages?" Vous savez, ce qui est sage peut toujours être émotionnel. Le sage peut être génial et exceptionnel, mais en apportant de la sagesse. En apportant de la sagesse à présent. Vous ne vous percevez plus à travers les réactions des autres personnes à votre égard, mais à présent c’est votre sagesse qui se trouve dans vos histoires. Et elles peuvent être drôles. Elles peuvent être tragiques. Elles peuvent être sincères. Elles peuvent être brutales. Cela n'a pas d'importance, mais à présent vous avez la sagesse.

Alors pendant que nous y sommes, Linda…

LINDA: Attendez que je termine (écrivant sa nouvelle définition).

ADAMUS: (gloussant) "En apportant vos histoires sages."

LINDA: “Votre sagesse” ou “vos histoires sages?”

ADAMUS: "Vos expériences basées sur vos histoires sages." Ouais.

Ressentons vraiment cela pour cette année. Je veux dire, c'est là que vous allez. Vous n'avez vraiment pas besoin de travailler dessus. Mais… ouais (rire alors que l'image disparaît de nouveau). Je n'ai pas… je n'ai pas.... Ce n'est pas moi. Pas cette fois-ci (quelqu'un a dit «Linda a gagné»).

Alors, vos meilleurs amis cette année, vos nouveaux amis qui arrivent, en cette année des nouveaux amis. Tout d'abord, il y a vous. L'égo. Inspirons l'ego. Ce n'est pas quelque chose de mauvais. C'est l'humain en expérience et c'est la raison pour laquelle l'humain est ici, pour faire des expériences. Mais alors que vous inspirez votre nouvel ami, l’ego, qui n’est pas du tout quelque chose de mauvais – vous pouvez même en avoir beaucoup, je veux dire, vous pouvez vraiment être plein d’ego – il signifie juste: «Je vais, j’expérimente. Je suis ce que je suis », mais à présent avec sagesse. 

 

Un second ami

Le second ami qui arrive, il est en train d’arriver depuis un moment, mais vous allez vraiment le remarquer cette année, c'est le Maître. Je l'appelle le Maître mais ce que c'est vraiment, c'est la sagesse. Certains diraient la divinité. Ça sonne un peu plus féerique. J'aime simplement parler de  "sagesse" et de "Maître", parce que c'est l'essence de toutes les histoires, qu'elles soient émotionnelles ou tragiques ou autre chose. C'est l'essence.

Donc cette année, ce Maître – que nous avons vraiment commencé à amener il y a un ou deux ans, je veux dire, en l’intégrant – il va jouer un rôle très important dans votre vie cette année, parce que vous le Permettez. C'est tout. Vous permettez une part de vous que vous ne connaissez pas vraiment, et qui n'a pas été totalement déformée par le vieil ego, l'ego humain. Le Maître est pur et jamais – vous ne pouvez pas corrompre le Maître. L’humain s’inquiète toujours: «Est-ce que je vais polluer quelque chose ou vraiment le faire foirer? Parce que je rate tout. » Vous ne pouvez pas. La sagesse c’est la sagesse. C'est tout ce que c'est, et ce n'est pas un jugement ou quoi que ce soit d'autre.   

Alors prenons une profonde inspiration pour que le Maître arrive. Ce sera votre autre nouvel ami, d'une manière très intime.

Cela étant dit, certains d'entre vous peuvent penser : «D'accord, Adamus, nous en avons déjà parlé, nous avons déjà parlé de l'arrivée du Maître. J'ai essayé de l'appeler. Le Maître décroche le téléphone et me raccroche au nez. » (Rires) « Je ne comprends pas vraiment ce truc du Maître. Est-ce juste un super ego? Est-ce que c'est ça? » Non, non, non, non, non. Non, le Maître n'est pas un super ego. Le Maître est simplement la sagesse et il y a une sagesse inhérente à tout ce que vous faites. Mais vous y résistez et l’évitez en disant que votre ego, vous savez, vous avez trop d'ego et que vous ne pouvez pas gérer tout ce truc. Mais à présent, le Maître arrive, la sagesse arrive.

Alors, nous allons inventer un mot totalement nouveau là. Linda, si vous voulez bien aller sur une nouvelle page de…votre écran?

LINDA: Oh.

ADAMUS: Une toute nouvelle page. Génial. Toute propre. Écrivez – sur les deux tiers à droite de la page       écrivez le mot "EGO" en majuscules. C'était rapide (quelques rires alors que d’autres problèmes techniques apparaissent). Il y a une raison à tout cela. Je suis désolé. Je vais vous la dire dans un instant. Il y a une raison, et ce n'est rien que vous soyez en train de faire. Je vous expliquerai.

Donc, nous allons inventer un nouveau mot.

(pause)

Elle est en train d’écrire, mais ça n’apparait pas au tableau… (pause, alors que Peter l'aide à nouveau).

Quelqu'un connaît-il une bonne blague? (quelques rires) Vous n'oseriez pas en dire une maintenant, n'est-ce pas? (Adamus rit) Tout le monde vous regarde du genre: "Quoi?!" Ouais. Combien d’entre vous se considèrent vraiment drôles? Oh, il y en a deux d'accord. Ouais. Ouais. D'accord. Bien. Assez drôles. En quelque sorte. Ouais. D'accord.

Alors, mettons ce tableau blanc là-bas, le truc avec du papier dessus qui fonctionne réellement.

Quelqu'un me dit que je suis une bille. Oui, je le suis (le public dit «Ohh!»).

LINDA: D'accord.

ADAMUS: D'accord. Essayons cela encore, Linda. Écrivez ce mot sur les deux tiers du côté droit de votre écran magique.

LINDA: Les deux tiers du côté droit?

ADAMUS: En majuscules, "EGO".

LINDA: Du côté droit?

ADAMUS: Oui. Commencez – ouais. Oh, ça marche bien (l'écran dysfonctionne à nouveau, quelques rires).

LINDA: Quoi?! Donnez-lui une seconde.

ADAMUS: Venez ici. Donnez-ça à l'oncle Adamus ici. Mettez-moi une nouvelle page.

LINDA: D'accord.

ADAMUS: Ouais, une page vierge. D'accord. Oups!

LINDA: Bon travail (quelques rires).

ADAMUS: Rien de tout cela n'est de ma faute. Je vais vous l’expliquer dans un instant.

LINDA: Bien sûr que non.

ADAMUS: C'est le mauvais sens de l'humour de quelqu'un. D'accord. Un très mauvais sens de l'humour, vous allez payer pour cela plus tard. J'ai besoin d'une nouvelle page. Maintenant, j’en ai marre (plus de gloussements).

LINDA: Vous en avez marre ?   

ADAMUS: Ils rient beaucoup de l'autre côté. Je vous expliquerai (quelques rires). D'accord. D'accord, nous allons inventer un nouveau mot pour 2019… (il essaie d'écrire)

LINDA: Apparemment non (plus de rires car cela ne fonctionne toujours pas). Vous pensiez que c’est moi qui merdait ? Ce n'était pas moi!

ADAMUS: Ce n'est pas… voyez, ce que j'écris n’apparait pas à l’écran. Ok. Laissons cela. Imaginez le mot «ego», e-g-o. Imaginez qu’il est écrit à l'écran, même si ce n'est pas le cas. Maintenant, nous allons mettre… (quelqu'un dit «Le papier arrive» alors que Peter apporte le grand bloc-notes) Le papier arrive. Oh, dieu merci! Dieu merci! Retour au bon vieux papier du temps jadis. Oui. (quelqu'un crie «C’est fiable!») Oui, c’est du papier sur qui on peut compter. Regardez, le stylo ne marche pas. Pourquoi est-ce que vous me donnez ça? (l'iPad)

LINDA: Parce qu’il marche!

ADAMUS: J'ai besoin d'un nouvel écran.

LINDA: Non, vous n'en avez pas besoin. Vous pouvez effacer ça.

ADAMUS: Non, j'ai besoin d'un nouveau – oh, effacez-ça.

LINDA: D'accord.

ADAMUS: (soupire et quelques rires) C'est… (Linda halète en effaçant l'écran) C'est vraiment drôle à la caméra ce que vous êtes en train de faire là (plus de rires).

ADAMUS: Arrêtez ça!

LINDA: Vous n'aimez pas ça?!

ADAMUS: Arrêtez ça!

LINDA: Etes-vous en train de me dire que vous n'aimez pas?! (rires) Vraiment, ça ne vous plait pas?! Êtes-vous sûr? (plus de rires)

ADAMUS: Arrêtez ça! (Adamus rit) D'accord, ouais! Il y a des enfants qui regardent ! D'accord. Sommes-nous prêts à y aller?

LINDA: Non, vous devez cliquer ça. Cliquez sur le marqueur.

EDITH: Et voilà votre tablette.

LINDA: Cliquez sur le marqueur.

ADAMUS: Ah, la technologie.

LINDA: Ici, ici.

ADAMUS: D'accord. D'accord.

LINDA: Je pense que nous y sommes (quelques rires et une pause alors qu’il écrit).

ADAMUS: Oh, je n'aime pas la façon dont j'écris.

LINDA: Oh, ça marche! Ça marche!

ADAMUS: Mais c'est très mal écrit, peu soigné. Cauldre n'a pas une belle…

LINDA: Ici.

ADAMUS: Donnez-moi… non, non. J'ai besoin d'une nouvelle feuille. J'ai besoin d'une nouvelle feuille.

LINDA: Je ne peux pas vous mettre une nouvelle feuille.

ADAMUS: Cela restera dans les annales de… (plus de rires)

LINDA: Essayez ça.

ADAMUS: D'accord, d'accord. Ecrivez-le. Commencez tout d'abord par la droite…

LINDA: D'accord.

ADAMUS:… et écrivez le mot “O.”

LINDA: "O"?

ADAMUS: C'est une lettre.

LINDA: C'est une lettre.

ADAMUS: D'accord. Maintenant, écrivez «G» (rire). Maintenant, écrivez un «E.» (Adamus rit)

D'accord. Maintenant, prenons une profonde respiration. Nous allons inventer un nouveau mot, la conscience, tout le reste, et écrire… donnez-moi cela.

LINDA: Vous pouvez le faire vous-même.

ADAMUS: Donnez-moi ça (il écrit un «W» devant «ego».) Wego (quelqu'un répète «Wego!»). C'est le Maître et l'humain ensemble. Tout cela menant au… (rires) Ça a pris du temps ! (quelques applaudissements)

LINDA: C'était compliqué.

ADAMUS: Ça pris du temps! Oh bon sang! Et ce n'était pas très drôle! Si j'avais un ego, je serais à plat à présent. Mais j'ai un Wego (plus de rires). Et nous pouvons enlever cette chose maintenant (le bloc-notes). Oh mon Dieu!

Wego (Adamus rit). Maintenant, ce n'est même plus drôle. C'est le Maître et l'humain ensemble, votre nouvel ami. Vous n'êtes plus seul.

L'ego était très, très seul. Très seul. Il n'avait aucun copain de jeu. Il n'avait pas de copains. À qui l'ego pouvait-il parler? A vous et ça vous a ravagé. L'ego n'avait aucun ami. Mais à présent, nous combinons l'humain et le Maître et ça fait un Wego. C'est votre identité. C'est votre sage histoire (pleine de sagesse). Il s’agit de vos expériences. Ce sont les belles histoires de votre vie. C'est le Wego.

Diantre, ça a perdu de son punch, n'est-ce pas? (Adamus rit)

 

Un troisième ami

Ensuite, dans votre liste d'amis qui se présentent cette année. Vous avez l'humain et le Maître. Ce sont vos nouveaux amis et il y a en une autre pour aller avec, pour accompagner le Wego. C'est l'énergie.

LINDA: Ooh.

ADAMUS: L’énergie. Et nous en parlons depuis quelques mois, nous en parlons à Keahak depuis un moment, mais il y a eu une sorte de relation contradictoire avec l'énergie. C'est quelque chose que vous pensez…, que vous pensez vouloir, mais ensuite vous en avez peur parce que, eh bien, elle pourrait aggraver les choses dans votre vie. L'ego ne savait pas s'il n’allait pas faire un mauvais usage de toute cette énergie, de ce pouvoir et de tout le reste.

Cette année, je vais insister sur le fait que si vous restez au Crimson Circle – clairsemez les rangs, je suis le directeur du marketing, «Partez d'ici! Allez voir ailleurs! »(Adamus rit) Si vous restez au Crimson Circle, une partie des Shaumbra cette année…, vous devez permettre à l'énergie de devenir votre amie. C'est tout. Point. Plus de contradiction dans votre relation à l'énergie. Plus de batailles ou de luttes avec l'énergie. Vous devez permettre à l'énergie d'être votre amie, sinon, bye-bye.

Il n’y a tout simplement pas de place, là où nous allons, pour l’ancien, le travail, la souffrance, le fait d’être esclave de l’énergie. Il n'y a absolument aucune place pour ça. Pour le reste d'entre nous, pour vous qui permettez à l'énergie d'être votre amie, ça sera amusant. Ça sera facile. Vous ne vous soucierez plus des questions d'abondance et de toutes ces choses. Un tout nouveau monde s'ouvre à vous.

Donc, vous avez trois choses. Vous avez un nouvel ego et le Maître, nous allons l'appeler le Wego. Cela va vraiment renverser Freud. Il ne va pas savoir quoi faire avec ça. Oh, il va essayer de le démonter. Et vous avez l'énergie.

Prenons une bonne et profonde respiration avec ça pour cette année.

Alors maintenant – je dois prendre une boisson là  nous passons à présent à la partie amusante. Nous arrivons au merabh. C'est le moment où j'arrête de parler et où vous vous endormez. Mais avant d'entrer dans le merabh, laissez-moi vous expliquer un petit peu ce qui est en train de se passer ici.

 

L’Invité du jour

Vous vous souvenez de notre cher ami John Kuderka? Il n'est pas parti depuis si longtemps que ça. John a été bien occupé à travailler au laboratoire – il n’est pas aux toilettes, il est dans son laboratoire (quelques rires – jeu de mot du fait de la proximité entre les deux termes en anglais : lavatory et laboratory) – à travailler. Il avait une telle passion pour les Shaumbra. Vous savez, il était assis là, à son bureau, et n’avez-vous pas trouvé que l’ambiance était un peu encombrée et chaotique aujourd'hui? (le personnel hoche la tête «oui») Oui hein. Vous remarquez que dès que nous commençons à travailler avec la technologie, John affiche un grand sourire. Il s’est dit : «Je vais les embêter en mettant la pagaille aujourd'hui», et c’est ce qu’il a fait. Toute cette petite agitation ici et le va-et-vient et tout, c'était juste John qui passait un bon moment avec nous. Il était très versé sur la technique, très mental.

John n'était certes pas ce que je considérerais être un excellent communicant (Leslie rit et Adamus rit), loin de là, mais ce qu’il avait vraiment comme qualité, c’était cet amour absolu pour les Shaumbra et son travail. Il les accompagnait depuis longtemps, depuis plusieurs vies. Ce n'était pas sa première fois ici.

Quand il nous a quittés, il a pris un engagement. Il a dit: "Je vais travailler là-dessus" – il appelait ça une technologie –, "une technologie de communication, un lien", lorsqu'il est passé de l'autre côté, parce qu’il avait réalisé que l'une des choses les plus difficiles pour les Shaumbra et pour lui, c’était comment communiquer avec…, comment connecter l'humain, l'ego, avec le Maître, et en moindre part le Je Suis, la divinité. Comment fait-on ça? Parce que quand on est coincé dans son mental et qu'on y est vraiment confiné en quelque sorte, par son propre ego ou son manque de confiance en son ego, comment arriver à établir ce lien, entre l’humain et le Maître?

Eh bien, il a travaillé là-dessus dans les autres dimensions. Il vient régulièrement dans les Shouds et il est là aujourd'hui avec nous, comme vous avez pu le constater après le moment de technologie – humm – de merde que nous avons vécu. Vous savez, ce qu’il veut vraiment vous dire à vous tous, vous voyez, c’est que sans lui, la technologie serait juste encore plus compliquée. Ouais. Ouais. C’est ton petit ego là, John. Il sourit et rit, parce qu’il est en train de travailler actuellement là-dessus, sur ce lien, cette technologie. En fait, il travaille un peu avec Tesla, mais il fait beaucoup de choses lui-même parce qu’il a une profonde et réelle compréhension des Shaumbra.

Donc, il voulait venir aujourd'hui pour vous présenter celà, et nous allons le faire maintenant avec le merabh, avec le Wego et avec nos nouveaux amis.

Alors, je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu'il a en tête et cela pourra être un peu déroutant pour Cauldre, parce que je serai là, mais John sera peut-être enclin à faire des apparitions également. Mais voyons ce qui se passe, au fur et à mesure que nous amenons cela.

Prenons une profonde respiration et souhaitons la bienvenue à John Kuderka, de retour parmi nous.

Euh, il attendait quelques applaudissements là (applaudissements et acclamations du public).

Génial. Mettons un peu de musique et démarrons le show.

Merabh de Connexion

Une bonne respiration profonde.

(la musique commence)

Aujourd'hui, nous avons parlé de l'ego. Il a vraiment été rendu méchant, comme si c’était une mauvaise chose. Ce n'est pas le cas. Il est vos histoires. Il est vos expériences. Jusqu'à présent, la plupart d'entre elles étaient vues au travers du regard des autres, à travers votre perception de ce que les autres pensaient de vous. C’est ainsi que l’ego s’est créé et s’est développé, que ce soit au contact de vos parents, vos amis, vos conjoints ou autres. Et cet ego a toujours été très, très fragile, extrêmement fragile, parce qu’il n'était pas vraiment à vous. A présent revenons à ce qui est à vous – vous – votre sens de la conscience, votre perception de vous-même sans la participation de personne d'autre.

C’était – maintenant je parle au nom de John – c’était l’un des plus grands défis qu’il ait eus à relever au cours de la dernière année, et sur lequel il a travaillés : ce qu’il appelle un programme. John était un genre de technicien du logiciel, alors tout pour lui relevait de programmes informatiques, et celui-ci a été l'un de ses plus grands défis. Comment aller au-delà de l'ego, du sens d'une identité qui ne vous appartient pas vraiment? Elle a été construite par d'autres. Comment aller vers Soi, Vous? 

Et vous… – encore une fois, c’est quelque chose qui a vraiment déconcerté John – quand il réalisa, il découvrit que nous n’êtes même pas vos pensées. Ce n'est pas vous. Vous vous identifiez à elles. Vous les mettez dans le même panier que votre ego. Mais comment allez-vous au-delà de vos pensées pour reprendre contact avec Vous?   

Alors il réalisa que la plupart des gens en fait ne connaissent pas leur vrai Soi. La plupart des gens s'identifient toujours à leurs pensées, à leur ego, à un ancien ego toujours attaché à la façon dont les autres vous percevaient.

Et alors, John a examiné tout ce truc pour se connecter avec le Maître, avec la sagesse. Comment faites-vous cela sans les vieilles pensées et les limitations? Comment amenez-vous ces choses, celles dont nous parlons, vos nouveaux amis pour cette année? Et comment vous connectez-vous avec l'énergie? C'est la chose qui l'a le plus fasciné, comment vous connectez-vous à l'énergie?

Vous savez, moi, Adamus, je dis que l'énergie est le chant de l'âme. L'énergie, c'est de la communication, mais comment vous y connectez-vous? Si ce n’est pas depuis votre ego et vos pensées, comment vous y connectez-vous depuis qui vous êtes vraiment, votre perception, votre conscience de vous-même?

Alors John s’est mis à bricoler des trucs dans son laboratoire.

Je suis venu lui rendre visite de temps en temps et j’ai eu l’occasion d’entamer une conversation amicale: «Hey, John Kuderka, comment ça se passe là-dedans? Tu avais fermé la porte à clé, bien verrouillée. Tu y es depuis un bon moment, très longtemps même. Comment ça se passe là-dedans? »

Et John s’est retourné, me regardant en disant: «Urhh, je travaille dessus» (quelques rires). Un bon communicant... Mais je savais, je savais qu'il était très empressé dans ce qu'il faisait.

Je suis revenu lui rendre visite il y a environ six semaines, j'ai frappé à sa porte, et j’ai entendu sa voix: «Il n'y a personne.» J’ai frappé à nouveau en disant: «John, c'est Adamus. Tu ne peux pas m’avoir. "

Il m’a répondu: «Je suis occupé. Je suis presque là. Reviens demain."

Alors je suis revenu le lendemain et John avait un grand sourire sur le visage, mais du genre – je veux dire, ce n’est pas vraiment qu'il ait un visage, mais en quelque sorte si   il m’a fait un grand sourire et m’a dit: "Je pense que j’ai réussi." Il a dit: "J'ai développé un patch" – c’était un programmeur, un genre de technicien, c'est pourquoi il pense comme ça : "J’ai développé un patch, quelque chose qui relie le vrai humain au Maître, le véritable humain à l'énergie. " 

Je lui ai dit: «Comment ça marche, John?» Il a commencé à me dire et je lui ai dit: «Eh, non. Je n'ai pas besoin de tous ces discours d'ingénieur. Est- ce que ça marche, John? Est-ce que ça marche?" 

Et il a dit: "Oui, tout à fait."

J'ai dit: «Comment peux-tu l’assurer? Comment le sais-tu?"

Et il m’a dit: «Tu sais, je suis revenu vers moi, en tant qu’humain sur cette planète, dans cette vie, il n'y a pas si longtemps. Je suis revenu à moi, disons-le comme ça, un an ou deux avant de partir, et je l'ai essayé sur moi, un peu comme quand on remonte dans le temps. " Il m’a dit:" Cela a changé ma vie. Quelque chose a changé. C'était juste au moment où je savais que je n’en avais plus pour longtemps sur cette planète, alors ça ne me posait pas de problème de l'essayer sur moi au cas où ça ne fonctionnerait pas. Au moins, ça m'aurait seulement tué moi. " Il m’a dit:" Mais je l’ai essayé sur moi et cela m’a changé. J'ai commencé à communiquer différemment avec moi, avec ma bien-aimée, Leslie ... "(Adamus s'étouffe)" ... avec d'autres. " Il m’a dit:" J'ai commencé à prendre conscience de choses dans les autres dimensions, et oui, au début, mon ancien ego me disait que j'étais juste fou, mais ensuite j'ai réalisé que je ne l'étais pas. »

Alors, je lui ai dit: «Alors, John, attendons après le premier de l’an, pour que tu viennes en parler. Que tu viennes en parler, parce que je parlerai à ce moment-là des nouveaux amis. Je parlerai de l'amie énergie et du nouvel ego appelé Wego. Faisons comme ça. »Voilà pourquoi nous sommes ici aujourd’hui.

Prenons une bonne et profonde respiration et permettons simplement.

Qu'est-ce que c’est ? John appelle cela un patch ou un lien. Il corrigeait toujours les logiciels du Crimson Circle avec des patch.

Il était vraiment doué pour ça, à réparer des choses qui étaient cassées en quelque sorte, en leur mettant des patchs et en permettant qu’un élément puisse communiquer avec un autre. Bonnie l'appelait souvent, peut-être aussi Jean, elle l'appelait et lui disait: «Oh, ce logiciel ne fonctionne pas», et il le corrigeait. Il le rendait communicant.

Ce qu’il a fait à présent, c’est de développer ce que vous pourriez appeler une sorte de patch de conscience, un lien, et il vous invite, je vous invite à simplement prendre une profonde respiration et à permettre cette chose. il ne veut pas passer trop de temps à la décrire, mais permettez cette chose – qui vous ouvre à cette connexion, au Maître. Alors, ce n'est pas quelque chose de lointain, ce n'est pas quelque chose qui se trouve ailleurs. Ce n'est pas que vous allez entendre des mots, mais il y aura une telle connaissance intérieure que le Maître et vous seront ensemble réunis. 

Prenez une profonde respiration et permettez cela.

John est en train de dire :  "Prenez-en possession ». Cela ne lui appartient pas. Il appelle cela du freeware. De l’Open source. Ceux qui sont prêts peuvent simplement le respirer. C'est – comment diriez-vous, John?    est-ce un lien énergétique? Non.

John est en train de dire: «Essayez-le juste. Ça marche. Arrêtez d'essayer de le comprendre. Cela fonctionne, c’est tout. "

Qu'est-ce que c'est? C'est ce lien qui relie l'humain et le Maître. C'est un conduit, une passerelle, une connexion. Deux points de lumière qui à présent se connectent gracieusement et facilement, l’humain et le Maître, sans lutte, sans mental. Il a imaginé une sorte de circuit qui permet d'aller au-delà de la pensée.

(pause)

Et le suivant, ce lien depuis l’humain Maître, depuis votre Wego, à l’énergie.

L'énergie est un chant. C'est une communication, mais c'était comme si elle était tombée dans l'oreille d'un sourd. C'est un peu comme si elle n’avait pas intégré votre vie. C’était un très bon concept, mais comment l’amenez-vous vraiment à vous?

Comment vous y connectez-vous vraiment?

Comment devenez-vous ami avec quelque chose qui est vraiment déjà vous?

Comment pouvez-vous contourner les pensées de l’ancien ego, les critiques et les jugements et tout le reste du vieil ego, pour maintenant communier avec l'énergie, la laisser être votre amie.

John vous invite donc à respirer dans ce… ce magnifique circuit, comme il l’appelle, un élégant circuit.  Hmm. C’est un tel technicien.

(pause)

C’est comme une passerelle, une connexion entre vous et l’énergie, votre    énergie.

(pause)

Et John est très attentif à souligner que ce circuit ne lui appartient pas. Il ne lui appartient pas.  John vous aide simplement à en prendre conscience. Il en a compris en quelque sorte, le chemin – c’est comme ça je crois que vous diriez – le circuit, le programme informatique, énergétiquement parlant, qui existait déjà en vous, mais qui était complètement enfoui.

Ce n'est pas comme si vous accédiez à un implant ou autre chose. Vous êtes juste en train de prendre conscience d'un lien très naturel et très beau qui existe entre le Maître et l'humain. 

Pas besoin d’en parler longuement les uns avec les autres. C'est l'élégance de ce circuit. Il n’y a pas besoin d’en parler.

Vous savez comment c'est avec un très bon ami avec qui vous n'avez pas besoin de parler tout le temps? Il est juste là.

Prenez une profonde respiration et tout ce que vous avez à faire c’est de le permettre.

(pause)

Ce lien entre le Maître et l’humain.

Vous savez, vous avez passé les dernières années à essayer de comprendre : «Qu'est-ce que je fais? Comment puis-je y arriver? Qu'est-ce que je dois faire pour entrer en contact avec le Maître? » – et John a en quelque sorte ouvert, pourrait-on dire, la conscience, la voie, en donnant l'exemple pour que vous puissiez l'ouvrir en vous-même. 

Et maintenant cette même chose, juste ce point de connexion entre l'humain, le Maître et l'énergie.

John dit que dans son travail, il doit en permanence revenir à la simplicité absolue il utilise le terme de «simplicité au point zéro» – parce que chaque fois qu'il commence à compliquer les choses, chaque fois qu'il commence à essayer – ce qu'il appelle essayer d'appliquer une logique, cela tombe en charpilles. Mais il en est arrivé à une simplicité proche du zéro, et ensuite il est devenu très conscient de la connexion naturelle, du lien naturel qui est déjà la entre ce sage humain et l’énergie.

Prenez une profonde respiration. Ressentez le design élégant de cette connexion.

Une bonne respiration profonde.

(pause)

Alors à présent, nous invitons en cette année les nouveaux amis du Maître, de l'énergie et de l'ego ou du Wego. Nous amenons cela dans cette année et nous ouvrons maintenant le lien, la connexion, de sorte que nous ayons tout cela, qui puisse interagir, s’écouler et se déplacer ensemble.

Si jamais vous sentez que vous avez perdu la connexion avec le Maître ou si elle s’estompe, si vous sentez que vous perdez cette amitié avec l'énergie, revenez juste à cela.

J'allais dire, appelons cela le Lien Kuderka, mais il n'aime pas ça. Il dit que c'est le vôtre. Il vous appartient.

Il note également qu'il n'est pas le premier à avoir découvert cela, je crois qu'il appelle ça un correctif, un patch. Il n'est pas le premier à l’avoir trouvé. D’autres l’ont fait qui ne l'ont tout simplement pas partagé. Ils ne sont pas restés sur la planète, ils n'étaient pas en mesure de le canaliser à travers un autre humain. Il n'est pas le premier à le découvrir, mais il est le premier à avoir la joie de le partager.

Prenons une profonde respiration.

Ce patch, ce lien entre l'humain, le Maître et l'énergie.

Prenons une profonde respiration, alors que nous entamons une nouvelle année, votre meilleure année de tous les temps. Oh, le monde sera un vrai rmerdier, mais (quelques gloussements) ce sera pour vous la meilleure année de tous les temps.

(la musique s'estompe)

Sur ce, merci et ma reconnaissance profonde à John Kuderka, qui dit qu'il reviendra et que la prochaine fois,  il ne créera pas de problème avec la technologie.  Mais il devait prouver qu'il était vraiment là. Donc, mes remerciements et ma reconnaissance particulière à John et à vous tous.

Et rappelez-vous simplement que tout est bien dans toute la création.

Merci et bonne année. Bonne année (applaudissements du public).