LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE

Série des Ailes

SHOUD 6 - ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle, le 3 février 2018

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Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

Bienvenue, chers Shaumbra. Bienvenue à notre réunion.

Ce matin, ce cher Sam - Tobias - ce cher Sam s'est réveillé, il s'est levé et, oh, il a presque 19 ans, il s'est levé et s'est regardé dans le miroir, et vous savez combien les jeunes sont mal à l’aise avec leur apparence physique et la façon dont ils présentent. A mesure que vous prenez de l’âge, vous lâchez un peu prise sur tout ça. Non pas que vous en ayez besoin (rire), mais ce cher Sam s'est levé, s’est regardé dans le miroir et en a presque été choqué. Son visage était très, très rouge, comme s'il s’était mis au soleil pendant huit ou dix heures sans aucune protection solaire. Et il s’est dit en lui-même: "Je n'ai pourtant pas été au soleil ces derniers jours" – d’ailleurs, là où il vit actuellement, il n'y a pas beaucoup de soleil en cette période de l'année. Il se demandait ce qui se passait, pourquoi son visage était si rouge. Ça ne lui faisait pas forcément mal, mais c’était juste rouge comme un coup de soleil. Et il continuait de se demander ce qui se passait. Mais nous qui sommes là pour cette réunion en ce jour de l'écharpe rouge, nous savons, nous savons qu'il est simplement en train de capter - et que Tobias est en train de capter - la résonance, la vibration de ce que nous faisons ici, en nous réunissant une fois encore. C'est magnifique, et nous le faisons en ce mois de février. Le 14 février, ce sera aussi le jour de St. Germain (quelques rires).

SART: Oui!

ADAMUS: Oui, et ce jour est parfois davantage connu comme le jour de la Saint-Valentin, mais je préfère l’appeler le jour de Saint-Germain.

Donc nous sommes là, réunis en souvenir du pourquoi vous êtes venus ici, pourquoi vous êtes venus tous ensemble. Oh, vous vous connaissez tous. Pour presque chacun d’entre vous, vous vous connaissez depuis au moins cinq ou six vies. Vous n'êtes pas vraiment nouveaux les uns pour les autres. Certains d'entre vous sont ici pour la première fois et vous pensez que vous êtes nouveaux venus ici (et que vous êtes nouveaux les uns pour les autres), mais vous ne l'êtes pas. Pas du tout. Peut-être l’êtes-vous dans ce corps physique-ci, mais vous n'êtes vraiment pas nouveaux les uns pour les autres.

Alors, merci de vous être habillés en rouge, en souvenir, en rappel… Excusez-moi juste un instant, pendant que je ... (il va chercher l'une des écharpes Shaumbra rouges à vendre) Je dois réparer quelque chose qui n'est pas tout à fait bien, là dans cette pièce. Merci de vous être habillés en rouge, de porter vos écharpes en souvenir de ce voyage, du pourquoi vous êtes venus ici.

Il y a quelque chose qui ne m’a pas semblé tout à fait juste, correct pendant que je vérifiais l'énergie de la pièce. (Adamus met une écharpe Shaumbra rouge sur Edith et le public dit, "Aww!") Oui. Maintenant vous êtes complète, Edith.

EDITH: Merci (elle l'embrasse sur la joue).

ADAMUS: Mais je dois vous dire que ça va vous imposer une demande de ma part. Donc, si vous acceptez cette écharpe, vous devrez me faire une faveur.

EDITH: D'accord.

ADAMUS: "D'accord", dit-elle. Permettez simplement. Permettez simplement. Non, quelquefois vous n'êtes pas très bonne au permettre. Vous le savez.

EDITH: Oui, je sais.

ADAMUS: Vous aimez lutter. Vous aimez la bataille, mais comme je vous l'ai dit dans notre récent cours sur La Vie de Maitre n° 6, plus de combat, Edith. Rien. Vous ne vous battez pas contre le monde. Vous ne combattez plus votre famille. Vous ne luttez plus pour avoir de l'argent, ok?

EDITH: J’aimerais ne plus avoir à le faire.

ADAMUS: Oh! Regardez ça, "j’aimerais ne plus avoir à le faire." C’est donc qu’elle s'accroche toujours à cette lutte. Vous voulez qu'on revienne dans un an pour voir comment ça continue de se passer pour vous? Ou êtes-vous prête à lâcher prise ... pouvons-nous lui donner le micro ?

LINDA: Bien sûr.

ADAMUS: Êtes-vous prête à abandonner cette bataille immédiatement? C'est tout ce que c'est, une vieille bataille contre ces forces qui ont tout, alors que vous, vous devez travailler toute votre vie pour tout, et c’est si dur. Vous êtes toujours ... vous êtes une sorte de hache de guerre, vous savez (rires). Eh bien, c'est vrai.

C'est très vrai. Non, vous aimez vous accrocher à certaines de ces choses. Cela vous donne une cause (à défendre), comme j'en ai parlé dans la Vie de Maître n°6. Cela vous donne quelque chose pour vous donner de l’énergie et c'est une passion. Mais ça suffit, Edith. Plus de lutte pour obtenir cette chose de l'abondance. D'accord?

EDITH: Ok, j'aime ça.

ADAMUS: D'accord. Et permettez simplement. C'est tout ce que vous avez à faire. C'est tout ce qu'on vous demande. Vous avez votre siège réservé ici tous les mois, et attention si quelqu'un essaie de vous le prendre (plus de rires). Je vais (en retirant de l'argent de la poche de Cauldre) vous donner 20 - il n’emporte pas beaucoup avec lui - je donnerai 20 dollars à celui qui pourra lui prendre son siège le mois prochain (plus de rires et le public dit, "Oh!").

EDITH: S'il vous plaît, ne faites pas ça.

ADAMUS: "S'il vous plaît ne faites pas ça" (Adamus rit). Je peux ressentir ici dans le public que les gens se disent: «Ça ne vaut pas 20 dollars.» (Rires) «La colère d'Edith ne vaut pas ça”.

Edith, une chose, s'il vous plaît, alors que nous avançons, sinon ça sera très difficile pour vous. Et vous savez, vous êtes un peu comme une figure emblématique de ce que c’est que de s’accrocher à l’ancien. Je veux dire, en d'autres termes, vous rendez service à tant de personnes ici – et là-bas (en montrant la caméra), je parle de ceux qui regardent en ligne – vous leur rendez service en les représentant tout simplement. Il s’agit juste de permettre à partir de maintenant. Plus de luttes. Vous n’avez rien fait d’incorrect. Vous ne faites pas d'erreur dans votre illumination. Rien. Mais tant que vous vous accrocherez aux luttes, aux combats et aux vieilles choses sur l'abondance et tout le toutim, et peut-être aussi sur le fait de ne pas être une assez bonne personne ou quoi que ce soit d'autre, ce sera vraiment difficile à partir de maintenant. Donc, je vous donne cette écharpe et je vous demande de la porter souvent.

EDITH: D'accord.

ADAMUS: Peut-être chaque... – peut-être que nous allons passer un marché: tant qu'Edith portera son écharpe chaque mois, lavez-la quand même de temps en temps bien sûr, mais tant que vous la porterez une fois par mois, chère Edith, alors vous aurez cette place réservée. Pas d'écharpe, pas de siège.

LINDA: Ouais !! Ouh! Est-ce une promesse?

EDITH: Je pense que ça s'appelle du chantage.

ADAMUS: Non, le chantage, c’est totalement différent. Si c'était du chantage, oh! Nous aurions un différent ... non, ça s'appelle un marché, «Faisons un marché». Qu'y a-t-il derrière la porte numéro un?

EDITH: J’adore ça (elle rit).

ADAMUS: Oui, des problèmes d'abondance. Qu'y a-t-il derrière la porte numéro deux? De vieilles batailles. Qu'y a-t-il derrière la porte numéro trois? Votre droit absolu à la réalisation. Ce n'est pas un combat.

EDITH: Une grande abondance financière.

ADAMUS: Non, non, non, non, non.

EDITH: Oh ...

LINDA: Ça c'était la porte numéro 1.

ADAMUS: Parce qu’il ne s’agit même pas d'abondance. L'abondance sort de votre vocabulaire. Vous n'y pensez même plus. Vous voyez, vous êtes en train de dire: «Me voici, moi Edith, et l'abondance est là-bas.» Ce n'est pas ça. Oubliez l'abondance, totalement. Arrêtez d’y travailler. Arrêtez de batailler avec ça. Prenez juste une profonde respiration et oubliez-la. Et elle sera là. Elle sera là. Elle vient à vous depuis de nombreuses directions. Regardez, aujourd'hui, vous avez déjà eu une écharpe gratuite.

EDITH: Oui.

ADAMUS: Je veux dire, que voulez-vous de plus que ça? (Adamus rit)

EDITH: Merci. Merci beaucoup.

ADAMUS: Merci. Merci. Merci, Edith. Portez cette écharpe, et gardez votre place (plus de rires).

Alors, Sam s’est réveillé en se demandant pourquoi son visage était tout rouge, et vous pouviez presque entendre Tobias rire dans les autres dimensions en lui disant: «Oh, cher fils, mon cher Soi, c'est parce que c'est ce rappel, le rappel de milliers d'années en arrière, le rappel des temples de Tien quand tu es venu là avec un engagement si fort. "

Prenons une bonne respiration profonde avec cela, alors que nous commençons la journée. Prenons une bonne respiration profonde et laissons simplement toutes ces énergies se rassembler.

Edith, elles se rassemblent. L’abondance, dont nous n'avons même plus besoin de parler. Ce n'est pas un problème. Les énergies sont là pour vous servir. Point. Rien d'autre ne compte. Il n'y a pas de si, de et ou de mais. Il n'y a pas de "J'y pense ou j'y travaille". En tant que Maître , vous prenez juste une profonde respiration et vous la permettez. C'est tout. Si cela vous demande un plus gros effort que cela, ou s’il y a du doute, alors c’est que vous vous en approchez à l'envers. Alors ça risque d’être difficile.

Là où nous allons, et ce dont je vais vous parler dans un instant, c'est le rêve, et nous sommes en train d’y aller. Nous y allons. Mais laissez derrière vous tout ce qui ne vous sert plus. Laissez-le derrière vous. Et j'ai été accusé de briser des familles et de casser des relations. Ce n’est pas parce que je n'étais pas marié dans ma dernière vie et que je ne le serai plus jamais que j'essaie de briser vos relations. Je suis en train de vous dire de laisser derrière vous ce qui ne vous sert pas. Et si c'est une relation - et je sais que c'est dur - laissez-la derrière vous. Laissez cette relation évoluer par elle-même sans la retenir. Si c'est de l'argent, si c'est de l'estime de soi, quoi que ce soit, nous ne pouvons tout simplement pas l’emmener là où nous allons. Nous avons beaucoup à faire durant les trois à cinq prochaines années. Je vais vous l’expliquer dans un instant. Nous avons beaucoup à faire, mais nous le faisons en étant relaxés. En étant relaxés, détendus. (Adamus prend une gorgée de son café.) Ah! Le café humain Mmm. Et, oui, ça ne me dérangerait pas non plus d’avoir un verre de vin, mais plus tard (quelques rires).

Alors, prenons une bonne respiration profonde et permettons aux énergies d'entrer.

Je vais vous dire à présent pourquoi ce jour est un jour important. Nous allons prendre une mesure. Rappelez-vous. Il y a quelques années, dans mon Mess age de la Saint Valentin, je vous ai dit que nous allions prendre des mesures. Nous allons utiliser le mois de Saint-Germain, le mois de la Saint-Valentin, pour le faire. Donc aujourd'hui, à la fin de la session, nous prendrons une mesure pour voir où nous en sommes et ce qui va se passer ensuite. C'est comme une mesure test que nous allons prendre, alors soyez prêts. Que vous soyez assis ici ou en ligne, nous allons passer un test aujourd'hui. Oh, je peux ressentir que vous avez la chair de poule quand je vous dis ça (quelques rires). Pouah! Et nous allons enregistrer tout cela jusqu'à la fin pour vraiment en garder trace.

Mais avant de faire cela, commençons avec la sagesse des Shaumbra.

LINDA: Eh bien !

ADAMUS: Où est la musique de fanfare (la musique d’introduction)? Commençons avec la sagesse des Shaumbra.

LINDA: Eh bien !

ADAMUS: Je crois que c'est le - yay! Yay! (sifflets de l'assistance et quelques applaudissements) Oh, nous avons besoin d’un buzzer.

 

La Sagesse des Shaumbra

Commençons avec la sagesse des Shaumbra. Le temps qui vous est dévolu pour répondre aux questions. J'en ai une bonne aujourd'hui. Woo! Alors, chère Linda, allons choisir dans le public le Maître plein de sagesse qui sera le premier à répondre à ma question.

LINDA: D'accord.

ADAMUS: Qui cela va-t-il être?

LINDA: Allez-vous d’abord poser la question ou quoi?

ADAMUS: Et Linda ne sait pas quelle est la question et ne sait certainement pas quelle est la réponse.

LINDA: D'accord, je vais choisir sur qui je mise.

ADAMUS: Ohh! Ouais. Vous remarquerez comment elle se faufile par derrière (quelques rires).

LINDA: Oh, ouais! Oh oui.

MARY SUE: J'ai vu cette ombre arriver.

ADAMUS: C'est un peu comme, c'est un peu comme la Réalisation. Elle se faufile par derrière. Vous ne voyez pas la Réalisation, l'Illumination, venir à vous en pleine face. Vous voyez toutes vos autres conneries. Mais, non, la Réalisation se faufile par derrière, juste comme le fait Linda.

Voici ma question pour vous. Oh, ça va être bien. Vous êtes un bon premier choix. Alors, sur une échelle de un à dix, un étant le moins, dix étant le plus; sur une échelle de un à dix, à quel niveau vous situeriez-vous pour définir combien vous étiez peu ordinaire ou différente − ou disons même ce qui est un fait : bizarre, étrange − quand vous étiez enfant? Avant de répondre à cette question toutefois, vous devez essentiellement prendre en compte trois périodes différentes, trois périodes de développement, de développement de l'énergie.

La première, c’est quand vous aviez environ trois ou quatre ans. C'est à ce moment-là que vous avez vraiment pris conscience des choses et que vous avez voulu vous rapprocher des autres. Vous avez commencé à vous voir vous-mêmes dans le miroir tendu par les autres. C'est une période très importante. Une autre est apparue vers l'âge de sept à huit ans. Vous avez commencé à avoir des amis. Vous êtes sortis du cercle restreint de votre famille et vous avez commencé à vous voir en comparaison des autres. La dernière période se situe quelque part entre 16 et 21 ans, et ce sont des chiffres généraux.

Donc, il y a fondamentalement trois périodes trois moments essentiels où vous vous mesurez aux autres, et où votre moi humain se dit: «Ohhh, purée, ouais. Je suis ... " Eh bien, à combien vous évaluez-vous dans l’ensemble?

MARY SUE: Donc, dix étant le fait d’être vraiment différente?

ADAMUS: Vraiment bizarre, oui.

MARY SUE: Je ne dirais pas vraiment bizarre, je dirais vraiment différente.

ADAMUS: Vraiment différente, d'accord.

MARY SUE: Je ne ressentais pas la même chose que les autres. J’étais très sensible.

ADAMUS: Quand avez-vous réalisé cela pour la première fois?

MARY SUE: Je pense que le marqueur pour moi a été mon quatrième anniversaire.

ADAMUS: Vos quatre ans, d'accord. La période de trois à quatre ans.

MARY SUE: Ma grand-mère allait venir nous rendre visite et j'étais sûre qu'elle allait m’apporter un petit pins en forme de papillon que j'avais vu dans le magasin avec elle, et quand elle est arrivée, elle m'a donné un mouchoir (elle rit).

ADAMUS: Vraiment ??

MARY SUE: Oui.

ADAMUS: Grand-mère vous a donné un bout de tissu plein de morve? Je veux dire ... (rires) du genre, "J'aurais pu avoir un papillon, mais j'ai ça?" C'est du genre... énorme!

MARY SUE: Eh bien, j’ai juste pensé qu'il y avait peut-être quelque chose de symbolique dans le ...

ADAMUS: Est-ce que vous renifliez beaucoup? Je veux dire, vous aviez le rhume? Du genre, vous aviez des problèmes de sinus que grand-mère pensait résoudre ... pire encore, était-il déjà usagé ce mouchoir ? (Le public dit "Beurk")

MARY SUE: Je suis sûr que je l'ai conservé (elle rit).

ADAMUS: Oh! Vous dites que vous l'avez toujours?

MARY SUE: Non.

ADAMUS: Oh, ok. Ok.

MARY SUE: Plus maintenant.

ADAMUS: Bien. Donc vous avez réalisé à ce moment-là pourquoi le ...

MARY SUE: Oui, je me souviens être retournée dans ma petite chambre minuscule et, vous savez, juste comme ...

ADAMUS: Sous les escaliers?

MARY SUE: Oui.

ADAMUS: Oui, ouais.

MARY SUE: C'est celle-là.

ADAMUS: Oui, ouais.

MARY SUE: Et j’ai simplement... c’était comme si, non, les choses n’allaient pas se passer comme je pensais qu'elles le devraient, et ça a été comme une réalisation.

ADAMUS: Oui. Grand-mère, fichtre, déposant tout ce traumatisme en vous. Et que s’est-il passé plus tard? Venons-en au moment où, oh, je vois quelque chose vers 15, 16 ans, cet intervalle de temps.

MARY SUE: Eh bien, ça pourrait être du genre, fin du collège?

ADAMUS: Oui, ouais.

MARY SUE: Quand Kennedy a été abattu aussi.

ADAMUS: oui, oui.

MARY SUE: Je crois que j'étais comme ...

ADAMUS: Vous avez essayé de vous intégrer.

MARY SUE: Oh, j'ai absolument essayé de m'intégrer.

ADAMUS: C'était vraiment important pour vous. Mais quand avez-vous réalisé que ça ne fonctionnait pas?

MARY SUE: (rires) Je pense que probablement, eh bien, c’était peut-être le moment. Je ne peux pas dire que j’ai explosé en décidant que j’allais être moi-même.

ADAMUS: Oui, c'est vrai. Non non.

MARY SUE: Non.

ADAMUS: Vous avez essayé de vous adapter la plupart du temps jusqu'à ...

MARY SUE: La plupart du temps mais je, je ...

ADAMUS: Quand cela s'est-il arrêté?

MARY SUE: Ça continue encore.

ADAMUS: D'accord (ils rient).

ADAMUS: Est-ce que vous vous sentez bien (intégrée) ici?

MARY SUE: Un peu.

ADAMUS: Un peu, d'accord.

MARY SUE: Mais, non, je suis devenue deux personnes. Je suis devenue une certaine personne devant les autres, mais ensuite j'avais ma propre vie personnelle.

ADAMUS: Mm hmm. Sur une échelle de un à dix, où vous situez-vous par rapport à tout ça?

MARY SUE: Je dirais près du sommet.

ADAMUS: Environ ...

MARY SUE: Huit, neuf, dix (elle rit).

ADAMUS: Oui, 9,99.

MARY SUE: (gloussant) Oui.

ADAMUS: Quelque chose comme ça. Yeah Yeah.

MARY SUE: Oui, je suis d'accord avec ça.

ADAMUS: Puis-je vous demander, est-ce que vous luttez avec tout ce truc d’essayer de vous intégrer, d’essayer d’être une gentille fille?

MARY SUE: Oui.

ADAMUS: Pourquoi?

MARY SUE: Parce que j'aime sortir et rire avec les gens.

ADAMUS: Aimez sortir et rire des gens à partir de maintenant (rires).

MARY SUE: Oh, d'accord (elle rit).

ADAMUS: Non, je suis juste curieux. C'est un conflit.

MARY SUE: Oui.

ADAMUS: C'est dans votre énergie. Et vous pourrez toujours savourer le fait de sortir et d’être avec d’autres gens, peut-être même plus si vous êtes vraiment vous-même, en acceptant que vous êtes juste différente.

MARY SUE: D'accord.

ADAMUS: Étrange, bizarre, peu importe comment vous voulez le qualifier.

MARY SUE: (gloussant) D'accord.

ADAMUS: Non. Non, vous comprendrez que c'est un compliment. Ouais.

MARY SUE: Merci.

ADAMUS: Bien. Je vous remercie.

MARY SUE: Merci.

ADAMUS: Merci. Au suivant. Sur une échelle de un à dix.

LINDA: D'accord.

ADAMUS: A quel niveau de bizarrerie êtes-vous?

LINDA: C'est un nouveau, donc il y a un risque.

ADAMUS: D'accord, il y a un gros risque. Allons-y.

SHAUMBRA 1 (homme): J'attendais ça.

ADAMUS: Oui, ouais! Oh oui!

SHAUMBRA 1: Dois-je me lever? (quelqu'un répond "Oui, tout à fait") Est-ce que le micro est ouvert?

ADAMUS: Oui, il est ouvert.

SHAUMBRA 1: Bien. Hey, ravi de vous voir.

ADAMUS: Merci. Merci (Shaumbra 1 glousse). Ravi de vous voir.

SHAUMBRA 1: Quelle est la question?

ADAMUS: Quelle est la question?

SHAUMBRA 1: Je vous vois pour de vrai !

ADAMUS: En un, il y a quelques règles maison ici. Ne dites jamais ... (le public dit "je ne sais pas") Ok, vous allez tous aux toilettes maintenant!

SHAUMBRA 1: Ai-je dit cela? (Adamus rit) Est-ce que j'ai dit ça?

ADAMUS: Non, non. Pas du tout. Je suis juste en train de vous expliquer. J'essaie d'être favorable à un changement. (Shaumbra 1 rit à haute voix) Donc, la question est ...

SHAUMBRA 1: Je savais que j’adorerais être là !

ADAMUS: Nous aurons besoin d'un tableau blanc pour plus tard, mais je viens de remarquer cette chose étrange ici (en référence à l’ipad posé sur le podium). Pourrions-nous avoir le tableau blanc ici, à votre convenance, s'il vous plaît? Moi et les appareils électroniques... Vous voyez, j'ai mon tableau blanc (quelqu'un dit "Yay!" Et quelques applaudissements).

La question est, sur une échelle de un à dix, à quel point étiez-vous étrange, différent, peu ordinaire, ou du moins vous perceviez-vous comme tel lorsque vous étiez jeune?

SHAUMBRA 1: C'est une bonne question.

ADAMUS: Merci.

SHAUMBRA 1: Merci. Alors je dirais que j’étais − je ne me souviens pas beaucoup de ce qui se passait avant mes cinq ans, mais je me souviens tout à fait d’avoir été visité à cinq ans.

ADAMUS: D'accord. Par qui?

SHAUMBRA 1: C'était la Conscience Christique, Saint Germain et l’Ange Gabriel.

ADAMUS: D'accord. Bien. Bien.

SHAUMBRA 1: Vos copains.

ADAMUS: Oui, ouais. Mes copains. Ouais, ouais (Shaumbra 1 glousse). Ouais. Et à la suite de cela, qu'avez-vous pensé de votre réalité, de votre santé mentale?

SHAUMBRA 1: J'ai réalisé que je suis infini.

ADAMUS: Quand vous aviez cinq ans?

SHAUMBRA 1: Oui.

ADAMUS: D'accord. Maintenant, en grandissant, où avez-vous grandi?

SHAUMBRA 1: C'est du lourd, ok. J'ai grandi à Birmingham, en Angleterre.

ADAMUS: Oh. Je supposais bien à votre accent que ce n'était pas en Alabama (quelques rires). Alors, en grandissant, vous avez en quelque sorte essayé de vous intégrer, mais ...

SHAUMBRA 1: Oh, oui.

ADAMUS: ... vous avez réalisé assez tôt que ça ne fonctionnait pas. Alors vous êtes-vous senti ostracisé par vos camarades de classe?

SHAUMBRA 1: Oui, j’ai failli me suicider.

ADAMUS: Oh, vraiment.

SHAUMBRA 1: Oui.

ADAMUS: Quel âge aviez-vous?

SHAUMBRA 1: J'avais environ 14 ans.

ADAMUS: Pourquoi?

SHAUMBRA 1: Parce que, euh ...

ADAMUS: Étiez-vous brutalisé (malmené par les autres)?

SHAUMBRA 1: Oui. J'avais développé une relation spéciale avec la Conscience Christique.

ADAMUS: Bien.

SHAUMBRA 1: Et ...

ADAMUS: Certaines personnes disaient que vous étiez fou. Je ne dirais pas cela, mais certaines personnes le disaient.

SHAUMBRA 1: Ouais, ouais. J’étais ridiculisé.

ADAMUS: Oui. Vous êtes en classe, à parler à un professeur, "Hey! Je suis en relation avec la Conscience Christique! "

SHAUMBRA 1: Non, pas tout à fait comme ça.

ADAMUS: Je sais. J'exagère, comme vous le savez.

SHAUMBRA 1: Mais ce que j'ai réalisé, c'est que j'étais beaucoup plus grand que ce qu'on m'avait dit. Et il y avait beaucoup plus, juste tellement plus que ce qu'on m'avait dit ou ce que je ressentais. Je me sentais juste ...

ADAMUS: On dirait un tas de trucs d'ego, "je suis plus grand ..."

SHAUMBRA 1: Peut-être. Peut être.

ADAMUS: "Je suis plus grand que ce qu'on m'a dit."

SHAUMBRA 1: Peut-être. Ouais peut-être. Je ne sais pas, mais oui, j'ai été malmené.

KERRI: Qu'est-ce que vous avez dit, vous ne savez pas?

SHAUMBRA 1: Oh, mince

LINDA: Ohh! (Quelques rires)

ADAMUS: Donc, nous avons une petite règle ici, mais je vais vous demander: Allons-nous l’envoyer aux toilettes dames pour ... (à l'unanimité, le public dit "Non!") Attendez. Laissez-moi vous présenter les options et ...

SHAUMBRA 1: Eh bien, j'ai un accent. Sûrement que ça joue (il rit).

ADAMUS: Doit-il faire une pause (aux toilettes)? Ou a-t-il droit à ...

LINDA: Il doit faire une pause!

ADAMUS: ... un passe-droit aujourd'hui? Qui veut qu'il aille aux toilettes?

KERRI: Moi! (quelqu'un dit "non" et le public rit)

ADAMUS: Vous n'êtes pas obligé d'y aller.

SHAUMBRA 1: Merci beaucoup.

ADAMUS: Oui (quelqu'un crie "C'est une expérience").

ADAMUS: C'est une expérience, oui.

SHAUMBRA 1: C'en est une, super.

ADAMUS: Oui, ouais.

SHAUMBRA 1: Merci.

ADAMUS: Donc, vous dites que vous avez failli vous suicider. C'était vraiment, vraiment, vraiment, vraiment dur pour vous à l'époque, et je suis venu vous voir à plusieurs reprises.

SHAUMBRA 1: Oui. Et alors, quand j'ai eu 18 ans, j'ai été visité par la Conscience Christique, qui a littéralement réécrit ma programmation (qui m’a littéralement reprogrammé) du jour au lendemain.

ADAMUS: Oui.

SHAUMBRA 1: Et je suis devenu une personne complètement différente.

ADAMUS: De quelle reprogrammation parlez-vous?

SHAUMBRA 1: Eh bien, j’étais engagé dans le mouvement de la Nouvelle Naissance de l'église chrétienne. Mais j'ai simplement commencé à ressentir et à sentir ... (il soupire) le grandiose Je Suis. C'est tout ce que je peux dire.

ADAMUS: Oui.

SHAUMBRA 1: Et que cette vie est beaucoup plus intéressante et que les gens sont tellement plus beaux que ce qu'on nous a dit.

ADAMUS: Oui. Pourquoi ne vous êtes-vous pas suicidé?

SHAUMBRA 1: Je crois, en regardant en arrière, que toute personne qui devient un opérateur de changement doit affronter les abîmes et s'engager dans la vie.

ADAMUS: Pourriez-vous répéter cela encore une fois? Et j'aimerais vraiment que cette caméra se rapproche de vous.

SHAUMBRA 1: D'accord. Je vais essayer de me rappeler (de ce que je viens de dire). Je crois que toute personne qui veut être un opérateur de changement doit faire face aux abîmes et ensuite s'engager dans la vie.

LINDA: Mmm (quelqu'un dit "Excellent").

ADAMUS: Merci (applaudissements du public). Je vous remercie. Je vous remercie. Et à présent, vous n’êtes plus obligé d'aller dans les toilettes dames et ...

SHAUMBRA 1: D'accord!

ADAMUS: ... Linda vous donnera même une écharpe gratuite puisque vous n'avez pas ...

SHAUMBRA 1: J'en ai déjà une!

ADAMUS: Oh, vous en aurez une gratuite.

SHAUMBRA 1: On m'en a déjà donné une.

ADAMUS: Oui, mais vous en aurez une autre.

SHAUMBRA 1: Oh, fantastique!

ADAMUS: Prenez-la, bon sang! Elle vient à vous.

SHAUMBRA 1: J'adore l'abondance. C'est fantastique!

ADAMUS: Linda, voudriez-vous lui donner une autre écharpe?

LINDA: Avec plaisir.

ADAMUS: Oui. C'était super, et je pense que chacun d'entre vous - merci - je pense que chacun d'entre vous peut ressentir l’épreuve que vous avez traversée, parce que vous tous l'avez vécue aussi, peut-être pas jusqu'au suicide. Mais j'oserais dire, qu’entre ceux qui sont assis ici en personne et ceux qui sont en ligne, il y en a environ 90%, oh, environ 92% et demi qui ont pensé au suicide. Pas du genre larmoyant, mais juste, "J’en ai tellement marre, je ne peux tout simplement plus le supporter." C'est presque écrit dans le livre des Shaumbra, et espérons-le, pas pour les générations à venir, mais pour chacun d'entre vous. Je peux le ressentir et les autres peuvent le ressentir et je vous en remercie. Et aujourd'hui, tout cela va être transformé aujourd'hui. Voilà pourquoi vous êtes là. Je vous remercie. Ouais.

SHAUMBRA 1: Merci.

ADAMUS: C'est drôle, vous n'avez pas l'air d'être de l'Alabama (rires). Je vous remercie. Donc, sur une échelle de dix, votre bizarrerie atteint le sommet (plus de rires).

SHAUMBRA 1: Merci.

ADAMUS: Oui, ouais. D'accord, quelques-uns de plus.

LINDA: D'accord.

ADAMUS: Dans votre enfance, sur une échelle de un à dix, votre bizarrerie.

KATHLEEN: Nous y revoilà (elle fait une pause). À quel âge en sommes-nous?

ADAMUS: Vous pouvez mixer tous les âges, donc vous avez la période de trois à quatre ans, de sept à huit, et de 16 à 21 ans, dans votre enfance. Tout d'abord, avec votre famille, il y a la première prise de conscience que: "Ce n'est pas ma famille." De huit à neuf ans, vous êtes avec vos amis: "Oh, je ne suis pas comme eux." De seize à vingt et un ans: "Je ne m’adapterai jamais à ce monde. » C'est aussi simple que cela. Alors, en les mixant tous, où en êtes-vous?

KATHLEEN: Sur une échelle de un à dix?

ADAMUS: Oui.

KATHLEEN: Je suis là-bas

ADAMUS: Donnez-moi un chiffre.

KATHLEEN: Neuf.

ADAMUS: Neuf. Je lui donnerais beaucoup plus que ça (Adamus rit). Non, non pas que vous soyez bizarre; mais c’est votre perception de vous-même. Vous essayez de vous intégrer, de vous adapter, en particulier aux problèmes familiaux; vous essayez de vous intégrer à votre famille. Ouille, ouille, ouille. Et…

KATHLEEN: J’en suis devenu le clown.

ADAMUS: Oui.

KATHLEEN: Mm hmm.

ADAMUS: Mais vous essayiez aussi de garder l'énergie en mouvement.

KATHLEEN: Mm hmm.

ADAMUS: Vous essayiez vraiment de dissimuler le dysfonctionnement qui se produisait.

KATHLEEN: Tout à fait.

ADAMUS: Oui. Et vous saviez durant tout ce temps que: «C'est juste que ... je ne suis pas adaptée à ce qu’il y a ici.» Quand avez-vous ressenti que vous aviez le plus essayé de vous intégrer? Quand s’est passé ce grand plongeon - "Je vais m'intégrer. Je vais sauter dans la vie et essayer d'être normale"?

KATHLEEN: Beaucoup plus tard.

ADAMUS: Quand ?

KATHLEEN: J'étais adulte.

ADAMUS: Vingt-cinq ans? 30 ans?

KATHLEEN: J'ai peut-être même attendu plus tard que cela.

ADAMUS: D'accord. Quand avez-vous eu des enfants?

KATHLEEN: A 24 ans.

ADAMUS: Pensiez-vous que ce serait un tournant dans votre vie?

KATHLEEN: Oui. Oui.

ADAMUS: "Je ferais mieux de m'adapter à tout, parce que maintenant je suis maman."

KATHLEEN: Oui.

ADAMUS: Cela vous a-t-il aidée?

KATHLEEN: Oui. J'ai été capable de me rapprocher des autres de cette façon et d'ouvrir mon cœur et de guérir certaines choses.

ADAMUS: Oui, et vous avez essayé d'être normale, essayé d'être une maman.

KATHLEEN: Oui.

ADAMUS: Quand avez-vous réalisé que vous n'étiez pas vraiment une bonne mère au sens conventionnel du terme? Vous savez, vous ne correspondiez tout simplement pas au type de maman de banlieue.

KATHLEEN: Eh bien, j'ai quand même essayé d’être présidente d’une association de parents d’élèves, alors ...

ADAMUS: Ouais, eh bien, ça c’était un gros challenge (quelques rires). C’en était un assez gros.

KATHLEEN: Et ça a été amusant d’être maman accompagnatrice dans le club de foot de mes enfants.

ADAMUS: Oui.

KATHLEEN: Mais à environ 31 ans, j'ai ouvert un commerce et je me suis mise à mon compte

ADAMUS: Oui.

KATHLEEN: J'ai rencontré le Crimson Circle peu après et je me suis développée.

ADAMUS: Donc, sur une échelle de un à dix, vous aviez un ressenti de vous-même, vous ne vous êtes jamais tout à fait intégrée, à part peut-être au début de votre vie de maman, vous savez, parce que vous étiez tellement absorbée dans ce que vous faisiez. Mais ce que je peux vous dire là, c'est que vous êtes encore en train d’essayer de vous intégrer, et pas seulement en public, mais même parfois avec les Shaumbra.

KATHLEEN: (fait une pause) C’est mon seuil.

ADAMUS: Exact. Et en ce qui concerne les Shaumbra?

KATHLEEN: Oui.

ADAMUS: Oui. Et il n’est pas question d’intégration ici.

KATHLEEN: Non, pas du tout.

ADAMUS: Pas du tout. Pas du tout.

KATHLEEN: Il s’agit d’être soi-même.

ADAMUS: Exactement.

KATHLEEN: Et de s’aimer.

ADAMUS: Et certains en fait viennent vraiment ici pour essayer de s'intégrer. Ils pensent que "Ok, c'est ma famille, j'ai l’écharpe pour le prouver, et je vais essayer de m'y intégrer", mais en fait, il n’est pas question d’intégration ici autrement qu’en étant simplement soi-même, aussi étrange que cela puisse être. Et il y a beaucoup d'étrangeté ici (rires). Non, mais c'est un endroit sûr pour l'étrangeté. Pourquoi pas? Bien.

KATHLEEN: Les choses changent quand vous lâchez simplement prise.

ADAMUS: Tout à fait.

KATHLEEN: Tout à fait.

ADAMUS: C'est extraordinaire.

KATHLEEN: Oui.

ADAMUS: Bien, merci.

KATHLEEN: Merci.

ADAMUS: Deux de plus, s'il vous plaît.

LINDA: D'accord. Laissez-moi voir.

ADAMUS: Deux de plus. À qui ira ce micro? Ah! L’étrangeté. Ce n'est pas votre nom (rires).

PAULA: C'est ok. Je suis ok avec le fait d’être bizarre, étrange.

ADAMUS: Vous vous êtes bien amusée avec ça, en fait.

PAULA: Tout à fait.

ADAMUS: Oui. Vous l'avez en quelque sorte utilisée pour pousser les gens à y faire face. Ouais.

PAULA: Oui. J'ai grandi dans une fervente famille Mormon et j'étais au-delà. Je pouvais voir l'air. Je savais que j'étais différente des autres. Je pouvais voler dans les airs en restant sur ma chaise. Je ne cadrais pas avec eux.

ADAMUS: Je parie que c’était même encore plus énorme avec les personnes âgées (elle rit).

PAULA: Ça ne collait pas!

ADAMUS: J’en suis sûr! J’en suis sûr! Combien avez-vous pris sur vous pour cacher tout cela?

PAULA: (faisant une pause) J'étais plus âgée quand j'ai réalisé que je devais le cacher, parce que c'était devenu une situation intenable avec mes amis plus qu’avec ma famille.

ADAMUS: Exact.

PAULA: J’ai été une rebelle totale vers 17, 18 ans et je suis juste partie.

ADAMUS: Oh. Ouais. Bien. Et maintenant, des années plus tard, comment vous sentez-vous, niveau étrangeté, par rapport aux autres?

PAULA: Je me fiche d’être plus bizarre que les autres. Ça ne me dérange pas même quand je suis avec eux. J'observe en quelque sorte cette étrangeté, et s'ils ne l'aiment pas, c'est ok pour moi.

ADAMUS: Oui. Bien bien. Voudriez-vous revenir à ... (elle secoue la tête "Non") Non.

PAULA: Non.

ADAMUS: La loyauté, vous savez ... il y avait une belle petite structure là-dedans. Vous n’aviez pas besoin de penser beaucoup.

PAULA: Non, nullement.

ADAMUS: On le faisait pour vous.

PAULA: Avec un peu de chance, vous n’aviez pas du tout à penser.

ADAMUS: Oh, oui, exactement (elle rit). Moins vous pensiez, mieux c’était, parce qu’on vous disait: «Voici les règles, suivez-les», et ensuite, c’est devenu «À quel point suivez-vous les règles?”

PAULA: Absolument.

ADAMUS: Puis-je demander à votre fille si elle pense que vous êtes bizarre? Yeah Yeah! (Quelques rires) Son visage. Son visage dit tout.

THERESA: Elle est bizarre.

ADAMUS: Aimez-vous cela, d’avoir une mère étrange ou préféreriez-vous avoir une mère normale?

THERESA: Oh, je ne pense pas que ça aurait collé avec une maman normale.

ADAMUS: Probablement pas.

THERESA: Non.

ADAMUS: Non, non, non. Ouais.

THERESA: Non.

ADAMUS: Ouais, parce que vous êtes en quelque sorte comme deux petits pois dans une cosse (quelques rires). Non, c’est une bonne bizarrerie! (Ils rient) Bien. Non, c’est une bonne bizarrerie.

THERESA: Je ne pense pas être bizarre! (plus de rires)

ADAMUS: Non, bizarre, comparé aux autres, vous savez, la société, vous savez, les Mormons. Vou savez, bizarre par rapport à la norme.

THERESA: Je crois que je pensais que tout le monde était bizarre et que moi j'étais normale.

ADAMUS: J'aime ça (quelques rires). J'aime - et vous ne teniez pas le micro suffisamment près de votre bouche, alors pourriez-vous répéter s’il vous plait.

THERESA: Désolée, oui. Je pensais que tout le monde était bizarre et que moi j'étais normale.

ADAMUS: Bien. Maintenant, qu'est-ce qui était bizarre chez eux?

THERESA: Hmm. Eh bien, quand j'étais jeune, j'aimais bien être qui j'étais alors que pour beaucoup de gens, ce n’était pas le cas.

ADAMUS: Oui.

THERESA: Et donc je pensais que c'était un peu bizarre. Mais …

ADAMUS: Étiez-vous mormonisée quand vous étiez jeune?

THERESA: Pas vraiment.

ADAMUS: Oh, d'accord.

THERESA: Du genre, j'ai des oncles qui ont àpeu près mon âge, donc ils ressemblent plus à de grands frères.

ADAMUS: Oui.

THERESA: Et donc j’avais l’habitude d’aller à l'église avec eux, mais très tôt j'ai compris que ce n'était pas vraiment mon truc.

ADAMUS: Pas votre truc.

THERESA: Oui.

ADAMUS: Bien.

THERESA: Pas du tout.

ADAMUS: Mais vous avez passé beaucoup de temps dans votre vie - j'essaie de digérer cela – à être différente des autres, mais en étant plutôt heureuse de ça.

THERESA: Oui, ça me convenait parfaitement.

ADAMUS: Bien.

THERESA: Oui.

ADAMUS: Bien. Un de plus. Je vous remercie. Je vous remercie. Un de plus. Vore niveau d'étrangeté.

LINDA: Voyons voir. Hmm. Hmm, hmm, hmm. Alors probablement ...

ADAMUS: Où est-ce que je veux en venir avec cette question, certains d'entre vous se le demandent.

ADAMUS: Oui, votre niveau d'étrangeté. Salut.

SHAUMBRA 2 (femme): Salut. Je dirais que durant ma petite enfance, j’en étais à huit ou neuf.

ADAMUS: Oui.

SHAUMBRA 2: Et durant mes années d'adolescence, à quatre ou cinq.

ADAMUS: Quatre, cinq.

SHAUMBRA 2: Ou plus bas.

ADAMUS: Alors en quelque sorte vous...

SHAUMBRA 2: J'ai essayé de m'intégrer.

ADAMUS: En quelque sorte vous avez appris à vous intégrer. D'accord.

SHAUMBRA 2: Et ensuite, je dirais... oui, durant mes années d'adolescence. Après mes 20 ans, je dirais neuf.

ADAMUS: Neuf, d'accord.

SHAUMBRA 2: Oui, je viens juste de réaliser que je ne faisais pas grand-chose (pour m’intéger).

ADAMUS: Quel âge avez-vous maintenant?

SHAUMBRA 2: Quarante-quatre ans.

ADAMUS: Oh, c’est drôle, vous avez l'air d’en avoir 20. Ouais. Ouais (elle rit) Et non, je n’exagère pas (ils rient).

SHAUMBRA 2: Merci.

ADAMUS: Vous faites très jeune. Alors, où en êtes-vous maintenant de votre niveau d'étrangeté par rapport aux autres?

SHAUMBRA 2: Je pense que c'est toujours dans le neuf.

ADAMUS: D'accord.

SHAUMBRA 2: Ouais, à peu près.

ADAMUS: Bien. D'accord. Bien, merci.

 

De la communauté à la souveraineté

Je pose la question aujourd'hui parce que vous avez probablement neuf et demi ou plus dans votre niveau d'étrangeté, et vous avez en quelque sorte appris à l'accepter. En quelque sorte. Je dirais que pour la plupart d'entre vous, dans les dernières oh, mon dieu, cinq ou six dernières années, vous avez traversé de vraies luttes avec ça - «Qu'est-ce qui m'arrive?» - et il y a une énorme séduction, une gravité qui vise à vous intégrer à la conscience de masse. Personne n'aime être complètement à l'extérieur, hors norme.

Vous savez, Abraham Maslow en a parlé dans certaines de ses études. Tout le monde est en quête de reconnaissance et de bonne intégration à la communauté. C'est en fait très important pour l'équilibre psychologique ordinaire. Sans cela, avoir un lien, une proximité avec la communauté et en gros se voir à travers les autres - "Comment est-ce que je suis intégré? Est-ce que je suis bien intégré? Suis-je à l’aise avec le fait d’être bien intégré dans la société ou dans un groupe ou une église ou autre chose? »- cela crée un très fort sentiment de stabilité mentale. Quand on enlève ça à quelqu'un, il devient un peu fou, et c'est à cause de cette gravité, de cette séduction. En quelque sorte, elle vous maintient intégrés. Sans cela, sans le sentiment que vous appartenez à quelque chose, le mental devient très instable psychologiquement. Presque chacun d'entre vous a eu ce sentiment, probablement dans les dernières, je dirais environ les six dernières années - cela dépend de qui vous êtes - mais quand vous avez soudainement réalisé, «Je ne suis pas intégré. Je ne le serai probablement jamais.” Sans plus d'espoir d'essayer de vous intégrer. Sans plus avoir besoin d'essayer de vous intégrer. En réalisant soudain que "Cela ne fonctionne tout simplement pas". Cela déclenchera quelque chose dans le mental humain qui le rendra déséquilibré, parce que vous n'êtes plus enfermés ou hypnotisés par la conscience de masse.

Le mental est ancré dans une énorme conscience de masse. Et maintenant que vous retirez cette ancre, que votre point d'attache s’en est presque allé, votre mental commence à devenir un peu farfelu. Vous avez tous vécu cela et vous vous êtes réveillés la nuit en vous disant : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Pourquoi est-ce que je me sens si dissocié? Qu'est-ce que je fais d’incorrect? "- vous passez par toute la litanie des angoisses mentales à deux heures du matin. Il n’y a rien qui n’aille pas. Rien du tout. Vous abandonnez simplement cette gravité très séduisante, et le mental ne sait pas comment gérer cela. Il a été programmé depuis une éternité pour faire corps avec la communauté, que ce soit votre famille, que ce soit une organisation, que ce soit juste des amis, peu importe. Certaines communautés sont maintenant tout bonnement construites autour des gens que vous connaissez de votre travail, parce que le mental fait constamment des comparaisons : «Comment est-ce que je m'intègre à mon environnement de travail ou à mon environnement social ou autre?» Vous commencez à lâcher prise sur cela, à abandonner cela et votre mental devient fou. Il le devient vraiment. Et ensuite vous êtes confrontés à des choses comme: «Est-ce que je veux rester?" Vous êtes confrontés à "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?"

Et ensuite, votre mental vous joue un drôle de tour. Il remplit cet espace de doute, du doute de soi. "Il y a quelque chose qui ne va pas. Je dois revenir à la norme. Il y a quelque chose qui cloche chez moi. » Et vous le ressentez (ce doute), qui s’immisce même dans votre corps, « Je suis tellement déconnecté » et « Oh, qu'est-ce qui ne va pas? » Et « Adamus dit que cela fait simplement partie de l’éveil, mais oh , j’ai juste l’impression de devenir fou. » C'est simplement le mental qui veut constamment se relier avec, s'associer à un type de communauté, comment vous vous voyez face aux autres.

C’est très intéressant, tout à fait fascinant de voir comment fonctionne le mental, et cette part de programmation du mental est à mettre au passif de l’Atlantide qui en porte la responsabilité. Il n’y avait pas cela avant cette époque. Il a été programmé, instillé par hypnose au cœur même de la pensée mentale que vous avez besoin de la communauté.

Rappelez-vous, l’Atlantide était très communautaire. C'était comme un grand et superbe kibboutz, et il y avait très peu d'individualité. Les gens veulent toujours revenir à cette lointaine origine, ils veulent revenir au: «Nous allons tous nous isoler sur une île, une ferme ou quoi que ce soit d'autre. Revenons aux bases." Il n'y a pas de retour en arrière possible. Tout comme avec la technologie, il n'y a pas de retour en arrière possible. C'est la même chose avec l'ancien style de communauté.

Ce qui se passe maintenant, c’est qu’on va vers la souveraineté. Nous ne retournons pas au vieux concept d'unité. Mais le mental le souhaite désespérément, parce qu'il a été programmé de cette façon. Il a été programmé pour cela, et a toujours vous voir, et en quelque sorte à vous mesurer, par rapport aux autres - leur réaction à votre égard, à quel point vous collez à ce groupe, à quel point vous existez dans ce groupe.

 

En avance sur votre temps

Il y a quelque chose de très, très intéressant dans tout cela parce que, mes chers amis, vous n'avez jamais été censés vous intégrer comme ça. Vous avez appris à être humains, comment agir en humains. Vous avez aidé à inventer cela. Vous avez appris à jouer le rôle d’humains, mais quelque part, à un moment, vous vous êtes dit «Ça suffit». J'aime ces mots: «Ça suffit». Ça dit simplement: «J'en ai marre de cela.» Vous vous êtes dit: « Ça suffit”, et fondamentalement, à présent, dans cette vie en particulier, vous êtes très en avance sur votre temps.

Vous êtes en avance sur votre temps, et notez cela. Vous êtes venus en étant en avance sur votre temps, mais vous êtes aussi en train de sortir du temps. C'est une sorte de mélange des deux très intéressant qui est en train de se produire. Vous étiez très en avance sur votre temps, par conséquent vous n'allez jamais vous intégrer. Et une fois que vous reconnaissez cela, que vous êtes simplement venus ici pour apporter quelque chose, que vous pourriez qualifier comme étant à la pointe ou en avance sur son temps ou quoi que ce soit d'autre, mais vous êtes venus ici en étant en avance sur les autres. Vous êtes venus ici pour apporter – regardons-le de cette façon - vous êtes venus ici pour leur apporter un cadeau. Vous êtes venus ici pour vous apporter un cadeau à vous-mêmes, certes, avec votre intégration (réalisation), mais c'est aussi le cadeau que vous êtes venus leur apporter, c’est pourquoi vous êtes venus en étant en avance sur votre temps.

Vous ne collez pas aux normes. Cela vous fait vous sentir différents. Vous vous êtes vraiment rabaissés, dénigrés à cause de cela tant de fois dans votre vie - pas seulement durant les trois périodes dont je vous parlais, mais tout au long de votre vie - et cela a tendance à vous faire mal. Vous avez tendance à douter de vous-mêmes: "Qu'est-ce que je suis en train de faire? Est-ce que je deviens fou? Comment se fait-il que je ne m’intègre pas bien, que je sois étrange? Je dois avoir un trouble de la personnalité, parce que je ne m’intègre tout simplement pas " S'il vous plaît, arrêtons-nous un instant et réalisez que vous êtes juste en avance sur votre temps.

Vous l’avez toujours su. Vous l’avez su avant même de naître en cette vie, mais ensuite vous l'avez oublié. Vous le saviez durant les premières années de votre vie, mais ensuite vous avez atteint cet âge de trois ou quatre ans où l'on vous a dit que ces êtres à qui vous parliez n'existent pas. Vous les aviez tout simplement inventés. Plus tard dans votre vie, quand vous avez ressenti qu'il y avait tellement plus et que la vie elle-même vous disait: "Non, il n'y a vraiment rien de tout cela. C’est ainsi. Tu trouves un travail. Tu fondes une famille. Tu meurs. » Quand vous avez ressenti qu'il devait y avoir autre chose et que les gens vous disaient: « Tu es complètement fou. Est-ce que tu ne pourrais pas tout simplement être heureux avec ce que tu as. Est-ce que tu ne pourrais pas tout simplement t'intégrer et te satisfaire des jeux du cirque et du pain comme tout le monde. " C'est demain – le Super Bowl (quelques rires).

Vous avez été durement éprouvés, et j'aimerais changer cela dès maintenant, et j'aimerais que vous la ressentiez, non pas à travers mes mots, mais à l’intérieur de vous-mêmes, parce qu’elle est toujours là, cette connaissance intérieure que vous êtes venus sur Terre en étant en avance sur votre temps. Et je me souviens qu’un grand nombre d'entre vous me disaient: "Oh, je viens en étant en avance sur mon temps. Mais ça ne m'arrivera jamais (d’être inadapté). » (Quelques rires) Oui. Vous savez, du genre : "Je serai suffisamment costaud. J'ai le courage et la force (de le faire). "

Et une autre chose intéressante à propos de nombre d'entre vous: quand vous étiez plus jeunes, vous saviez que vous possédiez plus que les autres. Pas nécessairement plus d’'intelligence ou d'argent, pas nécessairement plus de personnalité ou de capacité sportive, mais vous saviez que vous pouviez prendre plus sur vous que les autres. Vous saviez que vous pourriez être mis à terre par la vie elle-même ou par d'autres personnes, et que vous vous relèveriez quand même. Vous le saviez. Vous saviez que vous étiez venus ici avec quelque chose de spécial, mais le train-train de la vie vous a eus finalement. Ce que vous ne saviez pas à l'époque, lorsque vous êtes arrivés en cette vie, ce que vous ne saviez pas, c'est que cette vie serait plus difficile, en termes de densité de conscience de masse.

Vous êtes venus ici en vous disant: "Peu importe ce qui se passera, je n’oublierai pas. Je ne laisserai pas cette chose me perturber. Je ne laisserai pas cette chose m’endormir, m’anesthésier. Je ne me laisserai pas aboutir à des pensées suicidaires. " Donc, vous êtes venus en sachant que vous aviez plus, mais ce que vous avez fait, c’est de comparer ce plus à vos vies antérieures lorsque la densité de la conscience de masse n'était pas aussi lourde. Vos vies antérieures étaient plus – pourriez-vous dire - archaïques à bien des égards, mais la densité n'était pas aussi forte qu'elle l'est à présent. Vous n’aviez pas anticipé ça, alors ça a été un coup dur pour vous. Vous avez été mis K.O. On vous a retiré la cuillère en argent de la bouche. Et vous vous êtes dit: "Que diable se passe-t-il?"

Prenons juste un instant pour, s’il vous plait, ressentir en vous-mêmes, pas seulement mes mots, mais parce que c'est là en chacun de vous. Ressentez à l’intérieur de vous-mêmes que vous êtes venus en étant en avance sur votre temps.

Ce n'est pas que vous vous passez la main dans le dos, et je sais que presque aucun d’entre vous ne se dit: «Eh bien, ça me rend meilleur.» Pas du tout. Cela vous dit juste que vous êtes venus en avance sur votre temps. C’est un peu fou. Sur une échelle de un à dix, vous êtes à dix. Mais il y avait quelque chose dans ce frisson que vous adoriez.

Vous êtes venus en étant en avance sur votre temps et maintenant, pour vraiment rendre les choses encore plus confuses, vous allez sortir du temps. Ouais. Vous êtes venus apporter une conscience, une lumière, quelle que ce soit la façon dont vous voulez l'appeler, dans cette réalité et avant les autres. Est-ce que vous réalisez que ce que vous faites ici ne se fait pas dans les autres groupes New Age à travers le monde? Ça ne se fait pas dans les monastères ou les temples du monde entier. Ça ne se fait dans aucune de ces retraites spirituelles, métaphysiques ou New Age, autour du monde. Celui-ci est un petit groupe, un très petit groupe, et ce que nous sommes en train de faire ne se fait dans aucun autre groupe. Les autres groups l’évoquent de temps en temps, et encore une fois, je ne dis pas que c'est mieux ou moins bien. Je pense que parfois vous êtes vraiment fous de faire ça, mais c’est ainsi. Il s’agit juste de dire que vous êtes venus en étant très en avance sur votre temps.

Pourriez-vous juste - prenons un instant et ressentons cela.

(pause)

Et notre prochaine étape sera de sortir du temps. Ça va vraiment vous perturber si vous y réfléchissez, alors que faisons-nous? Nous le permettons tout simplement. Venir en étant en avance sur votre temps, et puis sortir du temps.

Je vais faire ici une déclaration très claire et très osée, dans ce que j'appelle notre message du mois de la Saint-Valentin, en vous disant que vous serez le premier groupe d'humains à faire l’expérience de ce que c'est que de sortir du temps – et de l’espace parce que c’est vraiment exactement la même chose. Le premier groupe d'humains à faire cela. Certaines personnes l'ont déjà fait. La plupart sont devenues folles, et elles ont eu du mal à recoller les morceaux. Nous allons le faire dans une énergie très sûre. Nous allons le faire ensemble. Je veux dire, pas ensemble façon Kumbaya, et il y en aura d’autres qui le feront en même temps que nous, mais nous, nous le ferons avec tout l’accompagnement du Conseil du Crimson Circle récemment rénové et allégé. Et je dis tout cela parce que c'est notre prochaine étape.

Alors, prenons une profonde respiration ensemble. Vous êtes venus là en étant en avance sur votre temps, mais je vais vous dire tout de suite que nous allons aussi aller au-delà du temps. Alors, habituez-vous à des choses vraiment bizarres, vraiment différentes. Et si vous revenez à l'un des principes de Maslow, si vous les regardez pour vous dire: «Oh, je dois continuer à regarder les autres, y compris les Shaumbra, pour voir où j'en suis dans mon équilibre», oubliez ça . Ce n'est pas là. Soyez à l'aise en abandonnant, en lâchant prise sur tout cela, ce sentiment d'appartenance à la communauté, cette identité communautaire. Ça va vous sembler bizarre – vous le savez, parce que vous avez tous enduré cela, mais ça va vous sembler encore plus bizarre – de ne plus ressentir ce vieux lien. C'est vraiment une sorte d'hypnose du mental, un implant placé là il y a très longtemps et il est en train de disparaitre avec le reste de l'ombre, parce qu'il n'y a plus de place pour ça à présent.

 

Nikola Tesla

En parallèle de ce quue nous évoquons, le fait d'être en avance sur son temps, il faut savoir qu’il y a toujours eu d'autres humains extraordinaires. La plupart d'entre vous connaissent Nikola Tesla. C’était certainement quelqu’un de très en avance sur son temps, bien en avance, probablement - je dirais probablement en avance de 100 ans sur son temps. Lui, comme vous, était un travailleur de l'énergie. Il travaillait l’énergie en termes d'électricité, mais il est allé bien au-delà. Et au début, Tesla a aussi essayé de s'intégrer et a réalisé assez tôt qu'il ne le pouvait pas.

Oh, on a profité de lui. Les gens ont volé ses idées et même ses brevets. Même Thomas Edison l’a tout simplement arnaqué  par deux fois de plusieurs grosses sommes d'argent qui lui avaient été promises, pour qu’on lui dise ensuite : «Oh, eh bien, vous ne suivez pas la voie américaine. C'était une blague. Votre prime, c’était une blague. Ce n’est pas ce que nous voulions vraiment dire. " Mais il persista. Il continua son travail. Des personnes très instruites, des communautés académiques et scientifiques disaient de lui qu'il était complètement fou. Mais nous savons aujourd'hui que Nikola Tesla ne l'était pas. Il le savait.

Pouvez-vous imaginer ce qu'il a traversé quand, aussi brillant fut-il, il fut littéralement obligé de travailler dans les rues de New York à pelleter le gravier et le béton et le crottin de cheval pour gagner sa vie, juste pour manger? Voici l'un des êtres les plus brillants en termes de compréhension de la véritable physique - pas la physique actuelle, mais la véritable physique – et personne ne l'écoutait. Il était fauché. Sans argent pendant de longues périodes, parce que soit on profitait de lui, soit on ne l’embauchait pas. Il était trop bizarre. Il ne collait pas au moule. On ne voulait pas de lui dans ces organisations.

Il était si brillant qu'il comprit un principe très, très fondamental sur lequel la science actuelle est encore en train de travailler : l'énergie est libre. Elle est dans l'air, littéralement dans l'air. Le plus drôle c'est que c'est si évident, et c'était évident pour Tesla. Il l'avait compris. En fait, il avait développé un petit appareil, un appareil très bon marché, capable d'extraire l'énergie de l’air. A peu ou sans frais. Il était tellement en avance sur son temps, que le monde n'était pas prêt pour cela, et peut-être ne l'est-il toujours pas, prêt pour l'énergie libre. Que feraient donc les gens d’une énergie totalement libre / gratuite, vraiment? Vous savez, bien que cela puisse paraître une bonne chose, si tout le monde avait de l'énergie gratuite, imaginez, eh bien, imaginez certaines personnes que vous connaissez - un voisin, un ami ou un patron - qui soudainement ont accès à une énergie totalement gratuite et pour autant qu'ils le souhaitent. Comment pourraient-ils gérer cela, sans conscience? Oh, revenons à ce facteur de conscience.

Tesla était génial. Il s’était rendu compte de quelque chose, en avait parlé à d'autres personnes et ces dernières pensaient qu'il était complètement fou, parce qu’il leur disait: «Voici la chose. Il y a de l'énergie tout autour de nous, mais pour une part, une partie de cette énergie est dans un état de neutralité. C'est pourquoi vous ne pouvez pas la voir. C'est pourquoi vous ne savez pas comment l'activer à travers des choses comme l'électricité ou d'autres dynamiques énergétiques. Mais elle est là. " Et on se moquait de lui en lui disant:" Si elle est là, alors comment la capter pour la faire travailler pour vous? " Et Tesla leur répondait," Vous l'imaginez tout simplement. Vous prenez cette énergie qui est tout autour de vous et qui est dans un état neutre et "- il dit ces mots -" Vous l'imaginez tout simplement", et on pensait qu'il était fou. Nous utilisons une terminologie un peu différente. Nous activons l'énergie à partir d'un état d'être neutre, à travers la conscience, la conscience, mais c'est à peu près la même chose. Et pas besoin de beaucoup de mécanique ou d'appareils sophistiqués pour la mettre au travail. Pas besoin.

Donc, Tesla a été ridiculisé. Il est mort pauvre, vivant seul dans une chambre d'hôtel plutôt miteuse à New York. Il est mort fauché. Il a probablement davantage contribué à l'évolution énergétique de ce monde que n’importe quel autre être. Il a compris les multi-dimensions. Malheureusement, nombre de ses écrits se sont perdus – et il en a détruit beaucoup lui-même. Vous savez, vous écrivez tous ces trucs et on dit de vous que vous êtes fou, alors ce que vous faites, c’est de détruire les preuves. Il en a brûlé beaucoup et une grande part a été ramenée en Europe à l'époque de ce que vous appelez le Bloc de l'Est et elle a été cachée. Elle a été cachée.

Ce qui est intéressant, c'est que ceux qui ont mis la main sur ces écrits – en fait, ils n’avaient pas été expédiés - mais ceux qui ont lu ces écrits n'avaient aucune idée de ce dont il parlait quand il parlait d'énergie libre. Ils le prenaient pour une sorte de fou excentrique. Aujourd'hui, ses énergies, sa mémoire, sa conscience ont été réhabilitées. Vous avez même quelque chose qu’on appelle la Tesla Motor Company, les batteries Tesla. Tout cela en l’honneur de cet être extraordinaire qui avait 100 ans d'avance sur son temps.

Vous êtes probablement en avance de 30, peut-être 40 ans sur votre temps, mais le temps avance plus vite qu'à l'époque. Les événements se produisent plus rapidement. Vous êtes en avance sur votre temps. Je dirais que vous êtes les Teslas de la conscience, et je dis cela depuis la partie la plus profonde de mon Je Suis. Les Teslas de la conscience. Vous travaillez avec la conscience en empruntant des chemins que les autres vont ridiculiser, et en vous méprisant. Ils le font déjà. Ils se moqueront de vous en vous disant: "Prouvez-le. Prouvez-le. " Mais vous ne pourrez pas. C'est ça le truc. Vous pouvez seulement le vivre, et c'est ça la preuve.

Ce n'est pas une équation mathématique que nous essayons de résoudre. Ce n'est pas un problème de physique, pas un problème qui relève de la physique humaine ordinaire. C'est quelque chose de très différent. Et vous êtes venus dans cette vie et vous avez essayé de vous y adapter, intégrer et ça ne marche pas. Et vous essayez de maintenir l'un des derniers vestiges de ceci - je dirais - l'hypnose atlantéenne de devoir avoir une communauté, vos familles, parce que si vous pouvez vous y accrocher, s'ils acceptent toujours vos appels téléphoniques ou lisent vos emails, alors votre mental pense que c'est bien. Mais vous allez au-delà de ça.

Les Teslas de la conscience. Et j'ai validé avec Nikola avant notre réunion d’aujourd'hui en lui demandant: "Puis-je utiliser cet exemple?" Et il était très enthousiaste à cette idée. Il était si rempli de joie qu'on puisse se souvenir de lui de cette façon et que vous puissiez porter fièrement cela et le garder en vous. Ce n'est pas de la flatterie. Ce n'est pas de la flatterie, parce que je sais ce que vous avez traversé pour en arriver là. Je connais le prix que vous avez payé, les difficultés, les os brisés et les émotions brisées qu'il vous a fallu endurer pour en arriver là.

Prenons une profonde respiration avec ça.

Ressentez simplement cela. Laissez-le résonner en vous - les Teslas de la conscience. Quelqu'un qui était si en avance sur son temps qu'il en a été ridiculisé, mais plus tard honoré.

Donc, ma question pour vous, mais je ne vous donnerai pas la réponse, ma question: Quel est le lien entre Elon Musk et Nikola Tesla? Parlez-en sur vos médias sociaux. Ce n'est pas forcément ce que vous pensez. Je répondrai à cette question le mois prochain. Quel est le lien entre Elon Musk, cet individu extraordinaire, étonnant à bien des égards. Ce n'est pas le technicien le plus expérimenté que j'ai jamais connu, mais il sait comment faire quelque chose de très important. Je veux parler de laisser les choses venir à lui, laisser les énergies le servir. C’est un Maître dans l’art de laisser les énergies le servir. Il est très intelligent, mais ce n'est pas l’homme le plus intelligent. Il n'est pas nécessairement le meilleur manager au monde, mais il laisse les énergies venir à lui. Prenez cet indice, chers Teslas de la conscience.

Il y a eu de nombreux autres grands hommes qui étaient en avance sur leur temps. Pour nombre d'entre eux, vous n’en avez jamais entendu parler. Ils étaient tellement en avance sur leur temps, que vous n'avez jamais entendu parler d'eux. Il y a eu des homologues de Tesla, bien sûr. Benjamin Franklin par exemple, était en avance sur son temps, mais il a appris à s'intégrer en quelque sorte. Mais il était vraiment extraordinaire, très métaphysique. Et un fait peu connu, c’est que c’était aussi Mark Twain, Samuel Clemens, des gens en avance sur leur temps. Des gars très bizarres, très bizarres (quelques rires), même si c'était mon incarnation. Lui et Tesla étaient de bons amis. Ouais. Je veux dire, c'est prouvable. Ils étaient de bons amis. Ils avaient une grande admiration l'un pour l'autre, et c’est toujours le cas.

Alors, prenons une profonde respiration avec ça. Vous êtes en avance sur votre temps et à présent nous allons sortir du temps. Soyez à l’aise avec le fait que vous êtes venus là pour apporter un cadeau que vous allez laisser aux autres. Vous êtes venus là pour le faire pour vous, mais vous allez laisser ce cadeau, qui s'appelle la conscience. Il ne peut pas nécessairement être défini ou packagé, ni mesuré, ni pesé ou quoi que ce soit d'autre, mais vous avez apporté ce cadeau et vous avez traversé de nombreuses difficultés pour en arriver là.

Donc, tous les doutes que vous avez à propos de vous et de votre communauté, à chercher à vous intégrer dans vos groupes et familles et tout le reste, laissez tout cela afin que ce soit transformé à présent. Nous le ferons dans une minute. En fait, faisons-le immédiatement.

Linda, voudriez-vous me rendre service en dessinant sept personnages en bâtons sur une ligne horizontale, sur un panneau de papier. Sept personnages en bätons.

 

 

Regarder vers l'avant

La chose la plus importante à laquelle nous devons travailler actuellement, dans cette période qui arrive, c’est la phase du «Ça suffit» dans laquelle nous nous trouvons ... Je vais revenir là-dessus un petit peu.

Donc, il y a quelques années, quand je suis arrivé ici, je vous ai parlé des Shaumbra, de qui nous sommes, de qui vous êtes, où nous en sommes. J'ai défini tout cela en quelque sorte. Je vous ai dit que les Shaumbra n'étaient pas un très gros groupe à l'échelle mondiale. Il y a environ 100 000 humains qui lisent nos enseignements, regardent certaines des webtransmissions une fois de temps en temps. En réduisant encore ce nombre, on peut dire qu’environ 30 000 personnes les regardent régulièrement. Ce n'est pas beaucoup, comparé à la population mondiale. Et là-dessus, il y en a environ 15 000 qui se consacrent vraiment et absolument à leur réalisation dans cette vie. Ils ne laisseront rien se mettre en travers de leur chemin. Ce n'est vraiment pas beaucoup. C’est assez pour moi. J'aurais été content même avec cinq personnes, c'est tout ce qui m’aurait suffit.

Donc, au fil des ans, vous avez vu le Crimson Circle changer et changer, les gens aller et venir. Certaines des personnes vraiment engagées sont restées, certaines sont parties pour une courte période et sont revenues ensuite, parce que de temps en temps, vous avez besoin de vous évader par vous-mêmes dans les bois, pour ainsi dire, et d’utiliser ce temps pour évoluer de l'étudiant à l'enseignant; en venant ici pour chercher des informations et en revenant ici à un moment donné, en ayant intégré l'information, pour à présent tout simplement vous joindre au groupe pour faire la fête.

Nous avons pris des chemins détournés très intéressants ces deux dernières années en particulier, et nous en avons pris un très, très intéressant récemment, en particulier dans certaines discussions que nous avons eues à Keahak et ici dans les Shouds et ProGnost.

Alors, que va-t-il se passer pendant les trois à cinq prochaines années? Nous allons essayer, en quelque sorte – j’essaie de trouver le mot juste avec Cauldre – non pas de nous resserrer, non pas de nous isoler, mais nous allons devenir plus – non pas concentrés - nous allons devenir plus efficacies, c’est peut-être une façon de le dire.

Au cours de ces trois à cinq prochaines années, ceux qui se tiennent en quelque sorte en périphérie, ceux qui sont des vampires énergétiques - et vous pouvez les repérer à un kilomètre à la ronde - vont s'en aller, avec notre bénédiction. Ils vont faire autre chose. Ils - et ce n'est pas négatif - mais l'intensité était trop forte pour eux. Ils avaient d’autres problèmes ou s'accrochaient à trop d'autres choses, et par conséquent, ils se sont séparés de nous; la plupart d'entre eux d'une manière agréable, et nombre d’entre eux reviendront un jour.

Les trois ou cinq prochaines années, nous allons en quelque sorte nous isoler, et ce n'est une fois encore pas tout à fait le bon mot, Cauldre, mais nous allons nous intérioriser. C'est un meilleur mot. Nous allons nous intérioriser au cours des trois ou cinq prochaines années. Une raison très importante à cela, c’est parce qu'en ce moment précis, nombre d'entre vous vont finalement permettre leur Réalisation. Vous allez arrêter de vous battre, et de combattre et de transporter vos poubelles. Vous allez commencer à réaliser que rien de tout cela ne compte. Les vieilles émotions et les vieilles hypnoses, vous allez juste les laisser partir.

Au cours de ces trois à cinq prochaines années, le Crimson Circle ne va pas trop grandir. En fait, il pourrait même devenir plus petit. Il pourrait se contracter. Les chiffres pourraient baisser, avec moins de Shaumbra. Mais ceux qui seront là, permettront vraiment leur illumination; ceux qui resteront, iront vraiment au fond d'eux-mêmes pour cette intégration avec le Maître.

Durant cette période - je pense que j’y ai fait référence en parlant de popcorn qui éclate – durant cette période, vous allez le voir tout autour de vous, en même temps que les Shaumbra permettront leur Réalisation. Et ils ne le porteront pas sur leur écharpe. Ils ne viendront pas nécessairement vous tapoter l’épaule en vous disant: "Oh, je suis réalisé." Vous le saurez juste. Et il n’y aura pas de jalousie, du genre "Oh, pourquoi eux et pas moi ?" Il n'y aura aucune sorte de supériorité en cela. Vous allez juste réaliser, "Oh, mon cher, c'est arrivé. C'est arrivé. Ils l'ont permise, et s'ils l'ont permise, je peux certainement le faire aussi. » Les trois à cinq prochaines années vont être vraiment belles, au fur et à mesure que cette Réalisation, réunissant le Divin et l'Humain, se produira.

Ce sera un peu effrayant au début, parce que parfois le rêve est mieux que la réalité. Parfois, la quête est meilleure que le fait de trouver, parce qu’alors c'est comme avec l'humain: "Qu’est-ce qu’il y a après?" Mais, à travers ceux qui permettront leur Réalisation, vous en viendrez rapidement à vous rendre compte que le rêve n'était pas mieux que la réalité. Le rêve est la réalité et la réalité existe sur plusieurs niveaux différents.

Ceux qui auront eu cette Réalisation en premiers vous aideront à comprendre qu’elle n'est pas ce que vous pensiez qu’elle serait. Ce n'est pas une chose humaine, comme une chose humaine qui aurait une forme précise ou serait modelée d’une certaine façon. C'est très, très différent, et c’est ça qui sera excitant. Et je sais que certains d'entre vous (Adamus glousse) - certains d'entre vous et peut-être avec raison - ont un peu la nausée en pensant, "Oh, mon dieu, on va encore se retrouver avec des gens qui vont se frapper la poitrine en parlant de comment ils se sont illuminés ou réalisés, alors que ce ne sera pas le cas du tout. Ce sera dysfonctionnel. Ce ne sera pas vrai. " Il y en aura certes, mais pas beaucoup. Pas beaucoup, parce que nous avons éliminé l’intégralité du makyo présent chez les Shaumbra, à l’exception d’environ 4,7% de makyo résiduel. Ça ne cadre tout simplement plus avec les Shaumbra. Il n'y a plus de place pour ça. Il n'y a plus, plus du tout de makyo, pas quand la Réalisation est si précieuse pour vous et si importante pour vous, et pas quand vous réalisez, eh bien, que certains d'entre vous réalisent que l'horloge tourne. Vous savez: "Il est temps que cela se fasse."

Les trois à cinq prochaines années seront un beau moment partagé ensemble. Nous allons faire, je crois, davantage de simples groupes d'énergie, des sortes de merabh, pour juste sortir de la folie et juste permettre.

Ensuite, ensuite - et je l'ai dit au personnel du Crimson Circle, comme cette chère Linda, qui est très absorbée dans ses pensées en ce moment, le sait.

LINDA: Je suis très absorbée dans mes pensées. Merci de l'avoir remarqué.

ADAMUS: Très absorbée dans ses pensées (quelques rires). Ensuite, j'ai demandé à l'organisation du Crimson Circle d'être prête pour la suite.

Donc, vous avez ici un groupe de milliers de personnes dans le monde qui permettent leur Réalisation et d'autres encore plus nombreux qui sont là sur le point de la permettre, mais soudain cela change l'énergie de tout le Crimson Circle et soudain il y a cette prochaine vague qui arrive d’ici trois à cinq ans, avec un assez grand nombre de Shaumbra, encore une fois, de partout dans le monde. Ils ne seront pas attirés par le sensationnalisme de ce qui est en train de se passer, mais ils seront attirés par l'énergie. Ils ne sauront pas comment ils sont arrivés ici. Ils ne connaîtront pas grand chose au Crimson Circle, mais ils vont se sentir attirés par lui. Ils vont se sentir attirés par vous, par votre rayonnement et votre lumière, et alors, alors cela ouvre une toute nouvelle phase. Préparez-vous à ça. Préparez-vous à cela, c'est ce que j'ai demandé à l'organisation du Crimson Circle, parce qu’alors tout va changer. Mais pour les trois à cinq prochaines années, il est temps de créer cet espace sûr et de permettre. C'est tout.

 

Permettre la sagesse

Une grande partie de cela consiste simplement à reconnaître la sagesse qui est là, la sagesse qui vient avec le Maître. J'ai expliqué ça dans certaines de nos réunions, mais je vais le récapituler ici sur le beau schéma de Linda. Chacun de ces personages en bâtons représente une de vos vies, et elles s’en vont vers le passé - il n'y en a pas seulement sept - et elles s’en vont aussi vers le futur, toutes vos vies sont représentées par ces personnages en bâtons.

Le Je Suis, vous, le Maître, avez choisi cette vie actuelle pour votre intégration (en encerclant un personnage au milieu). C’est un truc assez simple. Vous n'avez pas choisi les autres vies, vous avez déclaré: "Voilà, c’est là, ici-même, et à ce moment-même" - ce que j'appelle le Temps des Machines - "l'équilibre de la conscience sur Terre, le moment propice pour tout. Ça se produit ici-même. » Vous savez que vous auriez pu le faire il y a plusieurs vies de cela, et vous ne l'avez pas fait. Vous ne l’avez pas fait. Eh bien, cela nous indique un certain nombre de choses: le potentiel est toujours là, et vous avez décidé d'attendre jusqu'à maintenant pour de nombreuses raisons.

Ce qui se passe ici c’est que le Maître, qui est fondamentalement constitué par toutes vos vies, la sagesse de toutes vos vies, sans leurs circonstances factuelles et leurs détails, il s’agit juste de leur sagesse. Cette sagesse, ce calice - je vais en faire une coupe, un calice - ce calice contient la sagesse de toutes vos vies et cette sagesse s’écoule en ce moment vers cette vie. Depuis cette vie-ci où vous en êtes, vous, le receveur, elle s’écoule ensuite tôt ou tard vers toutes vos autres vies, mais ce n'est pas le sujet. Cette sagesse s’écoule en ce moment même.

En ce moment même, et c’est très important parce que notre prochaine étape, c’est de permettre à cette sagesse de faire ce qu'elle fait. Elle distille. Elle prend toutes vos poubelles et toute la merde et les jette dehors. Permettez-lui de le faire. Cela peut parfois être inconfortable, physiquement et mentalement. Mais ce qui est en train de se passer, c'est que tout est en train d’être distillé. La sagesse est en train d’être amenée à l'humain, vous, à partir du Maître. Certains l'appellent le divin. Je n'aime pas vraiment ce terme,  parce que vous pensez en termes de pouvoir. Quand je parle de sagesse, la sagesse de toutes vos vies humaines, avec l'empathie du Maître qui comprend tout du cheminement humain et de ses difficultés, la sagesse qui arrive en ce moment-même, c’est ça qui vous empêchera de perdre votre équilibre.

Certes, vous ressentirez bien parfois que: «Oh, je suis en train de perdre mon équilibre et je dois surveiller mes pensées.» Non! Cette sagesse empêchera cela d'arriver. Ou, "Si je ne garde pas le-contrôle de moi-même, je vais faire de mauvaises choses, parce que j’en ai déjà faites dans le passé." Non. La sagesse ne vous laissera pas faire cela. Elle ne vous laissera pas mal agir, faire du mal. Vous pouvez en faire l’expérience (faire un test). Vous pouvez vous dire: «Ok, alors je vais aller me saouler ce soir et voir si la sagesse m'empêchera de le faire.» Vous savez, elle vous permettra probablement de vous enivrer, mais ensuite vous vous direz, "Beurk! C'était ... non, plus jamais ça. "(Quelques rires) " Ok. Je n'ai pas besoin de faire ça. Aller ici, faire cela. Ok."

Cette sagesse arrive et elle est disponible dès maintenant. En fait, ce n'est pas quelque chose que nous essayons d'amener ici. Elle est là. Elle est là. Avez-vous remarqué récemment dans vos rêves, comme ils sont vraiment bizarres? Durant toute la nuit, des rêves vraiment bizarres et vous vous réveillez presque tous les matins en vous disant: "Qu’est-ce que ça veut dire?” Oof! Lâchez prise, laissez tomber. Oubliez ça.

Ce qui est en train de se passer, c’est que même dans votre sommeil, la sagesse se distille et vous ressentez que ce processus est en cours. Pour vous dans votre mental humain, c'est une longue nuit de rêve et c'est frustrant et ça continue encore et encore. Vous êtes juste dans une centrifugeuse actuellement. Vous êtes dans une cocotte-minute, un distillateur, et vous ressentez simplement ce que c'est que de vous faire “sagifier” (transformer par la sagesse) (quelques rires). Et c'est ce qui est en train de se passer.

A présent, alors que vous êtes assis ici, alors que je vous distrais volontairement, vous êtes en train d'être sagifiés. Tout ce que vous avez fait ce matin est en train d’être mis dans cette machine de sagesse et d’être distillé et sagifié avant de vous être rendu. Tout. Rien n'est exempté. Tout ce que vous ferez plus tard aujourd'hui sera sagifié. En d'autres termes, ce qui se produisait habituellement dans le temps, c’est que vous viviez votre vie humaine et que vous traversiez toutes vos histoires, et puis vous mourriez et ensuite tout cela était amené à la sagesse, et ensuite peut-être qu’un tout petit peu de cette sagesse était mis à votre disposition dans votre vie suivante. Mais c’est en train de se produire en vous à l’instant même. Sans attendre la fin de votre vie. Sans attendre le futur pour y accéder. La sagesse est ici en ce moment-même. Tout ce que vous avez fait, tous les traumatismes que vous avez vécus en grandissant, en pensant: «Je suis différent, je suis bizarre», maintenant, et quand nous avons fait notre petit Questions-Réponses juste avant, tout est en train d’être amené à la sagesse.

Ça n'a jamais été comme ça auparavant. Ça a toujours été : faites votre expérience, attendez longtemps, récupérez de la sagesse. Plus vous faisiez d'expériences, plus vous attendiez longtemps. C'est pourquoi vous avez vécu une vie après l'autre, avec une sorte de sagesse incrémentale. Un petit peu de sagesse ici dans cette vie, un petit peu plus tard. Mais tout désormais est en train de se passer en ce moment-même. C'est pourquoi parfois aussi, vous avez l'impression que quelqu'un a mis un Roto-Rooter (broyeur) dans votre cerveau et votre corps, et que vous êtes complètement - comment dites-vous déjà - naze. C'est pourquoi parfois rien n'a de sens, parce que tout est en train d'être sagifié. Et c'est à votre disposition, pour tout.

C'est probablement l'étape la plus importante dans ce que nous sommes en train de faire en ce moment, le processus le plus important: permettre cette sagesse. Tout d'abord, en reconnaissant qu'elle est là; deuxièmement, en la permettant. Ce n'est rien que ... oh, faisons simplement un merabh. Amenons-la dès maintenant. Et, au passage, après le Merabh, nous ferons notre test, alors allez là où vous devez aller (au petit coin), mais nous allons revenir.

 

Merabh du Permettre la Sagesse

Prenons une bonne respiration profonde et mettons de la musique.

(la musique commence)

Oh mon... Je vous regarde parfois. Je regarde comme vous êtes submergés. Il y a beaucoup de paris au Club des Maitres Ascensionnés qui vont être perdus (rires). Beaucoup. Je vais admettre que je parie des deux côtés (plus de rires). D'abord, contre vous et ensuite pour vous, alors je gagne dans tous les cas, quel qu’il soit.

Prenons une respiration profonde et la chose suivante la plus importante et profonde que vous puissiez faire sans y travailler, c’est simplement de permettre cette sagesse, et tout ce processus qui amène les choses depuis leurs détails circonstanciels, depuis l'expérience humaine, les blessures et les joies et tout le reste, tout, toutes les pensées que vous avez jamais eues, chaque pensée, et permettre à tout cela de parvenir à la sagesse.

Je vais vous donner un petit indice à ce sujet. Quand vous avez traversé cette chose qu’on appelle le Mur de Feu, c'est en gros quelque chose dont Tobias vous a parlé il y a très longtemps, mais constitutif de votre identité. Quand vous avez traversé le Mur de Feu et que vous avez été brisé en milliards, et en milliards et en milliards de morceaux, chaque morceau est devenu un potentiel. Tout ce que vous auriez jamais pu expérimenter, penser ou ressentir était contenu dans le Mur de Feu, l’expérience que vous avez faite là-bas, cet éclatement, ce fracassement du soi.

On peut se dire, on peut se poser la question: "Avez-vous jamais quitté le Mur de Feu? Etes-vous toujours dans cette expérience?”

Mais à présent, la sagesse entre dans le jeu. Arrive un potentiel qui n'avait jamais été envisagé dans le Mur de Feu. Arrive non pas la sagesse du passé, mais aussi celle du présent, de ce qui est en train de se passer en ce moment-même.

C'est ce que nous allons faire ces trois à cinq prochaines années, en laissant tout parvenir à la sagesse, y compris la pensée que vous venez à peine d’émettre, et en amenant la sagesse du passé et du futur, du futur de vos vies qui pourraient être vécues dans ce qui pourrait être le futur mais qui sont vraiment en train de se produire en ce moment-même.

C'est une des parts les plus intimes de la relation avec le Je Suis. Le Je Suis adore cette sagesse. Il adore vivre, faire des expériences, mais ensuite il amène tout cela à la sagesse. Et à présent, vous avez accès à cela. C’est en train de se produire dans le moment présent.

Prenons une profonde respiration et chers amis, permettez simplement la sagesse. C'est tout.

(pause)

Permettez la sagesse.

(pause)

Prenez une bonne respiration profonde en cet instant, dans cet espace sûr. Nous allons faire cela de différentes façons, car nous entrons vraiment dans l'intégration. Mais, comme je l'ai déjà dit à Edith, il n'y a plus de combat. Il n'y a plus de travail sur les choses, parce que désormais il s’agit de dire à l'humain, "Permets tout simplement".

Rappelez-vous, la sagesse n'a aucun pouvoir. Elle n'a vraiment aucune énergie. Ce n'est pas une force. C'est en fait, je crois que vous pourriez dire que c’est la connexion avec le Je Suis, la conscience.

A partir de maintenant, au lieu d'essayer de comprendre les choses dans votre mental... au lieu d'essayer de comprendre les choses dans votre mental, amenez-les dans la sagesse.

Prenons une bonne respiration profonde et permettons tout simplement.

(pause)

Prenons une bonne et profonde respiration en écoutant la musique qui joue clairement. Prenons une bonne respiration profonde, en permettant la sagesse.

Vous n'avez plus à lutter contre des choses dans votre mental ... ou à comprendre les choses.

Prenez une bonne respiration profonde.

(pause)

Le Maître vous apporte la sagesse de toutes vos vies et la sagesse en train d’être distillée en ce moment même.

(pause)

C'est pourquoi tous ces rêves sont si étranges, parce que vous êtes actuellement en train de prendre conscience de la manière dont les choses sont amenées à la sagesse, distillées.

(pause)

Voyez-vous, vous, l'humain, ne devez pas travailler à cela, ni le combattre, ni lutter contre. Permettez juste cette sagesse, et si vous vous demandez: "Qu'est-ce que la sagesse?" Eh bien, laissez-vous en faire l'expérience. Ce n'est pas de l'intelligence. Ce n'est pas votre Q.I. On pourrait dire que c'est la beauté et la joie de tout. Tout ce que vous avez vécu, tout ce dont vous avez fait l’expérience.

(pause)

Quand je vous dis d’arrêter le nettoyage émotionnel, ce que je vous dis en réalité, c'est permettez à cette sagesse du Maître de venir à vous et de distiller tout ce vieux nettoyage, tous ces vieux problèmes.

Permettez-lui d’aller dans vos pensées; je crois que vous diriez d’aller dans votre tête. C'est vous de toute façon, mais c'est le Maître.

Permettez-lui d'aller dans les expériences de votre passé qui sont peut-être encore traumatiques.

Permettez-lui de venir dans votre corps. Oui, même votre biologie, votre corps physique peut être distillé en sagesse, absolument.

(pause)

Prenons une bonne et profonde respiration dans la sagesse du Maître, et ces prochaines années que nous passerons ensemble, vous apprendrez qu'il n'y a pas de ligne de séparation, il n'y a pas de différence entre l'humain et le Maître. C'est la même chose. C’est la même chose.

Un mot à retenir de notre Shoud d'aujourd'hui, un seul mot: Sagesse. Sagesse.

Prenons une bonne respiration profonde.

Une bonne respiration profonde. Ah!

Vous savez que souvent j'aime finir sur un merabh, mais pas aujourd'hui. Pas aujourd'hui. Non, nous allons reprendre le cours normal de notre Shoud.

 

La mesure

Alors, je vous ai dit qu'il était temps de prendre une petite mesure. Je vous l'ai dit il y a quelques années, nous prendrons une petite mesure une fois par an. Je vous ai dit que ça déterminerait le fait de savoir si je reste ou non avec vous..., mais en fait vous êtes coincés avec moi (quelques rires). Mais je veux voir où vous en êtes, et voici le test. Le test. Linda, au micro, s'il vous plait.

Le test de votre sagesse - et nous la mesurerons aussi au fil du temps, à mesure que nous avancerons - le test de votre sagesse, c’est que je voudrais que vous me posiez votre plus belle question à présent, parce que la vraie compréhension de la sagesse est dans les questions que vous posez, pas dans les réponses que vous me donnez.

Alors Linda, à qui vous voulez, posez-moi votre plus belle question. La plus belle question. Cela déterminera où nous allons, chacun d'entre nous.

LINDA: Pas de pression.

ADAMUS: (riant) Quelle est votre plus belle question?

(légère pause)

Ne détestez-vous pas la pression?

JULIE: Je sais.

ADAMUS: N'est-ce pas horrible?

JULIE: J'essaie juste de la ressentir (elle fait une pause).

ADAMUS: Eh! Vous voyez, vous devenez mentale.

JULIE: Je sais. Je sais.

ADAMUS: Oui, ouais, ouais, ouais.

JULIE: Je sais.

ADAMUS: Vous voulez qu'on revienne à vous plus tard? Vous voulez que Linda vous accorde quelques instants?

JULIE: Oui.

ADAMUS: D'accord. Donc, ok.

JULIE: D'accord.

ADAMUS: Mais nous reviendrons à vous.

JULIE: D'accord.

ADAMUS: Merci. Ah.

DAVID: Oh, boudiou ! (David rit) Ah! (David fait une pause) Je vais peut-être aller dans les toilettes dames (rires).

ADAMUS: Est-ce que je ne vous y ai pas vu déjà, un peu plus tôt? (plus de rires)

DAVID: Je pense ...

ADAMUS: Votre plus belle question, David. Et n'essayez pas de philosopher. Il y a une grande différence entre ...

DAVID: Oui, c’est ce que j’étais en train de faire.

ADAMUS: ... philosopher et être sage. Une astuce: la sagesse est simple.

DAVID: Oui (il fait une nouvelle pause).

ADAMUS: Eh bien, nous n’allons pas loin, pour le moment, avec notre test! (Adamus rit)

DAVID: Je pense que je vais devoir ...

ADAMUS: Vous voulez passer votre tour.

DAVID: ... revenir.

ADAMUS: D'accord, bien. Bien. Au suivant.

LINDA: Oh, eh bien !

ADAMUS: Oh, eh bien !

LINDA: Une main s’est levée. Pardon.

EDITH: Bonjour, mon beau.

ADAMUS: Bonjour, ma belle (Edith rit).

EDITH: Ai-je de la sagesse?

ADAMUS: "Est-ce que j'ai de la sagesse?" C'est ça votre question?

EDITH: Oui, en effet.

ADAMUS: Et vous voulez que je vous réponde?

EDITH: Peut-être.

ADAMUS: Oui. C'est ce que je suis en train de faire ici. Je réponds à vos questions.

EDITH: Oui, s'il vous plaît.

ADAMUS: Edith m’a demandé, "Est-ce que j'ai de la sagesse?" Edith, vous en avez tellement que vous ne vous en rendez même plus compte. Vous avez une telle sagesse, mais vous comptez toujours sur votre force musculaire et votre cerveau. Alors à présent, laissez simplement cette sagesse vous servir dans votre vie.

EDITH: Merci.

ADAMUS: Et quand vous la chercherez, du genre: "Eh bien, où est cette sagesse dont Adamus nous parlait?" Elle n'est pas dans votre mental. Elle n'est même pas vraiment dans votre coeur. Elle n'a aucune force, et donc sera très calme, très tranquille. Vous n'aurez pas de grosse sensation, mais quand vous la toucherez, vous le saurez. Bien.

EDITH: Merci.

ADAMUS: Question suivante. Comment évalueriez-vous cette question sur une échelle de un à dix? Lui donneriez-vous, cher public, une note au-dessus de six ou en-dessous de six ? (quelqu'un dit "en dessous de six") En-dessous de six. Trois à quatre? (plusieurs commentaires du public) Eh, juste, ouais. Non, juste sur - était-ce une très bonne question, vous savez, parce que c'est un test là et de lui dépend ce que nous ferons le mois prochain. Alors..., mais au moins, au moins, Edith mérite des applaudissements pour avoir répondu à cette foutue question (Adamus rit et le public applaudit).

LINDA: Oh.

ADAMUS: Au suivant.

LINDA: La personne suivante?

ADAMUS: Oui, la question suivante.

SHAUMBRA 3 (homme): Comment sait-on que ça marche?

ADAMUS: Comment sait-on que ça marche?

SHAUMBRA 3: J'ai l’impression que c'est un peu comme quand vos yeux s’allument.

ADAMUS: Oui.

SHAUMBRA 3: Et je sais que c'est ça, mais très souvent, il y a beaucoup de doutes qui s’immiscent.

ADAMUS: Oui!

SHAUMBRA 3: Et je cherche quelques indicateurs, parce que mon cerveau ne peut pas faire face à cela.

ADAMUS: Bien. Je vais vous faire une réponse pleine de sagesse, d'accord? Je dois m'asseoir et prendre une air de sage. Quelle était la question déjà? (Rires) Comment sait-on que ça marche?

SHAUMBRA 3: Comment sait-on que ça marche?

ADAMUS: Oh, petit scarabée, vous assumez que ça marche.

SHAUMBRA 3: Merci.

ADAMUS: D'accord, la réponse était bonne. La question était plutôt bonne aussi. Mais la réponse était vraiment très bonne (quelques rires). La question valait-elle cinq ou plus?

LINDA: Oui.

ADAMUS: Ou cinq ou moins? Tout ceux qui sont pour plus de 5, levez la main. Les personnes en ligne, levez la main. Ooh, d'accord. Nous sommes au-dessus de cinq. Vous êtes en sécurité. Ouais. Mais nous en avons encore deux qui n'ont pas répondu, alors nous revenons à eux à présent.

Une belle question. Vous voyez, vous pouvez déterminer beaucoup de choses sur la sagesse de quelqu'un à partir des questions qu'il pose. Vous avez tous entendu qu'il n'y a pas de question stupide. En fait, c'est une personne stupide qui a dit ces mots. Oui. Sur ce, à David.

DAVID: Oh, vous revenez trop vite.

ADAMUS: Oui, nous sommes de retour, de retour vers vous.

DAVID: Un peu trop vite, en fait.

ADAMUS: Quelle question. Quelle question avez-vous toujours voulu me poser ?

DAVID: Était-ce vous qui, quand j'étais de l'autre côté du voile avant cette incarnation, m'a aidé à me guider ? A ce moment-là, j'ai fini par choisir mes parents et je pense que c'est peut-être vous qui m’avez dit, vous savez: "Ressens-les et va leur rendre visite pour voir si c'est la famille dans laquelle tu veux t’incarner." Etait-ce bien vous?

ADAMUS: Non. Je suis celui qui vous a dit "N’y va pas" (David rit de bon cœur et le public rit aussi). C'était vous et vous verrez, si vous retournez dans votre passé ou vos expériences, vous y retournerez et vous verrez qu’à chaque fois que vous pensiez que c'était un guide spirituel ou un ange ou même moi, vous réaliserez qu’à chaque fois, c'était votre vous du futur qui revenait vous rendre visite. Vous l’avez déguisé avec des noms et des visages différents, mais à chaque fois c'était vous. Donc, bien. Oh, j'adore mes réponses!

LINDA: Oui, nous comprenons ! Nous comprenons cela! (Quelques rires)

ADAMUS: Quelques...

LINDA: D'accord, je suis en train de ...

ADAMUS: S'il vous plaît.

LINDA: Je suis menacée. Pardon.

ADAMUS: Oui, oui. Votre question.

ALICE: La vraie création ne serait-elle pas de simplement permettre ?

ADAMUS: La vraie création ne serait-elle pas de simplement permettre? J'irai un peu plus loin que ça. La vraie création n'est qu'une expression de joie, d'êtreté, et ensuite de Permettre. La véritable création, c’est de prendre une bonne respiration profonde et de juste - ahhh! –  rayonner votre êtreté - "Oh, wow!" - et ensuite de permettre que cela se manifeste de la façon, quelle qu’elle soit, dont ça veut se manifester, sans programme ou calendrier, mais simplement Permettre. Et puis, le vrai créateur s'assied et regarde comment toute l'énergie commence à tourbillonner et il se dit: "C'est extraordinaire. Je suis extraordinaire. » Et ensuite, le vrai créateur se dit : « Je vais plonger dans ma création » et moi, je suis en train de vous hurler en arrière-plan:« Ne fais pas ça! »(Rires) À moins que vous ne soyez vraiment sages. Ouais. Bien. Bonnes questions. Nous y arrivons. Nous commençons à nous échauffer. Deux de plus.

JULIE: J’ai l’impression que c'est si facile, Permettre.

ADAMUS: Ah.

JULIE: Et que tout est déjà fait et tout est bien.

ADAMUS: Oui.

JULIE: Et donc je pense que ma question ne sera pas autre chose que: y a-t-il autre chose à savoir ? (en référence à la question du Shaumbra 3) Il vous demandait comment savons-nous si nous y sommes arrivés.

ADAMUS: Comment le savez-vous?

JULIE: Oui. Je viens juste ...

ADAMUS: Oui. Je vous donnerai une réponse très claire à cela: c'est fait. Maintenant, allez dans l'expérience de ce que c'était que d'y arriver. Arrêtez de pleurnicher, de vous plaindre, de donner des coups de pied, de retenir les choses et de me crier dessus ou de me blâmer. Et posez-vous juste la question : comment voulez-vous en faire l’expérience ? C'est ma question à chacun d'entre vous. Et bien sûr, vous me direz: "Oh, je veux être dans la joie et l'amour et la paix." Et je vous répondrai : eh bien, je ne pense pas. Je pense que vous voulez en faire l'expérience sur le mode “déterrons la hâche de guerre” (quelques rires) et sur le mode “combattant”et “catcheur”, pour voir combien d’histoires de merde vous pouvez traverser. Et c'est bien. Je serai toujours là de toute façon. Mais comment voulez-vous le traverser, le vivre ? C'est si simple. Vraiment, comment voulez-vous le vivre ?

Maintenant, avant que votre mental ne réponde, puisez dans votre sagesse. Puisez dans votre sagesse. Vous obtiendrez une réponse complètement différente de la réponse de votre mental. Une réponse complètement différente. Et rappelez-vous, la sagesse n’est pas partiale et n’émet aucun jugement. Il n'y a pas d'énergie ou de puissance en elle. C'est juste que soudain, vous ressentez que c’est comme si vous étiez dans une piscine chaude et dorée comme du miel, et vous ressentez : "Oh!" Cela change tout. Et vous n’êtes même pas capable de définir ce que c’est dans l’instant, mais soudain, vous devenez sage au lieu de rester mental, et cela change tout.

Nous partons sur un chemin totalement différent plutôt que de revenir au vieux mental. Donc, bien.

JULIE: Super.

ADAMUS: Bonne question.

JULIE: Merci.

ADAMUS: Ouais. Encore deux, et nous en arriverons à la conclusion de notre test. Et, cher monsieur, Linda vous donnera le micro juste après.

LINDA: Elle vous en donnera pour votre argent.

ADAMUS: Oui, elle vous en donnera pour votre argent (quelques rires). Elle peut être soudoyée pour cela. Oui. Votre question.

SILVIA: Eh bien, juste quand je suis arrivée, j’ai dit à Denise "Ne dis jamais jamais" (elle rit). Ok, ma question concerne le cours sur ProGnost, vous y étiez tellement formidable.

ADAMUS: Oh! Ce n'était pas moi.

SILVIA: En étant dans le moment présent.

ADAMUS: Oui.

SILVIA: C'est comme si vous aviez attendu ce moment.

ADAMUS: Tout à fait !

SILVIA: Et j'hésitais à venir ici, mais j'étais tellement enthousiaste, parce que je sentais que je devais venir ici. Donc, ma question, c’est: que s'est-il passé après ce jour que vous aviez anticipé, je parle du jour où vous avez présenté ProGnost?

ADAMUS: Que s'est-il passé après ProGnost?

SILVIA: Après. Yeah Yeah!

ADAMUS: Pour vous ou pour moi?

SILVIA: Pour vous.

ADAMUS: Oh, je suis retourné au Club des Maîtres Ascensionnés.

SILVIA: Et bien, euh ...

ADAMUS: Il y avait un diner offert en mon honneur cette nuit-là (quelques rires), oui.

SILVIA: Eh bien, c’était le cas pour vous et pour nous également.

ADAMUS: Oui. Qu'est-il arrivé? Nous partons dans une direction totalement différente. Nous sommes sortis du vieux cours / chemin, même si nous ne suivions pas ce cours / chemin depuis très longtemps. Nous continuons à opérer des changements. Il y a eu un énorme changement dans le travail que nous sommes en train de faire. Nous avons dit au revoir ... (Linda fait signe à Adamus) Oh, elle veut faire du placement de produit. Si vous souhaitez une écharpe Shaumbra, appelez Linda au 1-800 ... (rires)

LINDA: On voyait l'étiquette, elle flashait sur l’écharpe.

ADAMUS: Mon étiquette flashe toujours (plus de rires). Donc, ce qui s'est passé, c'est que nous nous sommes resserrés (en nombre). Il y en avait qui n'aimaient pas tout ça: «Ohh, la technologie et les robots», et en gros, nous leur avons dit que c'est ce qui est en train de se passer dans le monde. Là où nous allons, c’est un peu un monde parallèle, mais nous y apportons la conscience plutôt que l'intelligence artificielle. Et certains sont partis (nous ont abandonnés), de nombreux Shaumbra. Ils feront d'autres choses. Ils poursuivront leur propre chemin, mais c'est à ce moment-là que nous leur avons dit, "C'est ainsi." Plus de temps à perdre. Ça suffit.  Plus le temps de lambiner. Plus le temps pour me poser des putain de questions du genre comment dois-je appeler mon chien ou mon chat. C’est ainsi. Et il n'y aura plus aucune tolérance énergétique pour aucun makyo, ou aucune de ces autres choses.

Vous êtes trop précieux pour moi et vous êtes trop précieux pour vous et je suis en train d’être évalué par les Maîtres Ascensionnés, alors nous devons bien avancer. Nous devons faire que cette chose se produise. C’est pourquoi nous nous sommes resserrés. Nous savons où nous allons. Vers la clarté. C'est ça, la clarté.

SILVIA: Alors quelle note vous ont-ils donnée?

ADAMUS: Quelle note? Oh, ils m'ont donné dix à la puissance dix (rires), parce que ...

SILVIA: Bien sûr!

ADAMUS: Oui, bien sûr! Ecoutez, si vous ne pouvez pas parler de vous en bien, qui d’autre le fera? (plus de rires) Vous devez vous illuminer, rire un peu, vous détendre. Oui monsieur.

SHAUMBRA 4 (homme): J’ai travaillé sur moi depuis, je dirais, la majeure partie de ma vie.

ADAMUS: Oui.

SHAUMBRA 4: J'ai fait un chemin spirituel, des retraites, des cercles de médecine, et il y a quelque chose en moi qui insiste pour ne pas reconnaître ma grandeur.

ADAMUS: C'est vrai.

SHAUMBRA 4: Il y a quelque chose en moi qui veut juste s’accrocher à ma peur et à mes doutes. Et ce quelque chose ne veut pas me permettre d'entrer pleinement dans ma nature illimitée. Il veut s’accrocher et j'essaie de comprendre cela et d'aller au-delà.

ADAMUS: Bien sûr. Donc, votre question serait?

SHAUMBRA 4: Oh (il rit). Oh. Comment puis-je aller au-delà de cela?

ADAMUS: Vous le faites tout simplement. Et je ne veux pas être léger ou désinvolte avec ça, mais ... donc vous avez suivi, surtout dans cette vie mais aussi dans les autres, vous avez suivi beaucoup de formations, de structures, de méthodes, de définitions. Quand vous venez ici, vous constatez que nous n’avons aucune définition. Nous lâchons prise sur tout. C'est effrayant pour l’essentiel. C'est terrifiant à bien des égards, car à quoi allez-vous vous accrocher? Rien, sauf à votre sagesse. Vous lâchez prise sur tout ce que vous avez appris. Pas parce que : "C'était mauvais." Vous vous dites juste, "ça m'a servi à l'époque, mais je suis dans un endroit différent." Vous abandonnez tout cela, les enseignements, la philosophie, la sagesse, les enseignants, tous cela, même moi. Vous abandonnez tout cela et maintenant vous volez librement et c'est effrayant. Mais alors, dans cette peur pure et simple, vous réalisez que vous devez regarder ailleurs que dans les anciennes réponses, puis soudain vous réalisez, "Fichtre! Je suis là. Je viens de sauter de l'avion sans parachute. Qu'est ce que je vais faire? Hey! Je suis le Maître. Il n'y a jamais eu d'avion. Et je ne suis pas en train de descendre en chute libre, prêt à m’écraser sur Terre, mais je permets ma propre souveraineté. "

Donc, vous êtes trop intellectuel. Vous le savez. Vous êtes trop intelligent pour votre propre bien. Arrêtez d'essayer de tout comprendre. Continuez simplement à respirer votre Soi. Ouais. Et la sagesse.

SHAUMBRA 4: D'accord.

ADAMUS: Bien.

SHAUMBRA 4: Merci.

ADAMUS: Est-ce que cela a répondu à votre question? Ouais. Je vois environ 30 autres questions qui vous traversent le mental en ce moment-même. C'est comme si vous aviez cette curiosité intellectuelle, ce qui est amusant pendant un moment. Mais si vous êtes vraiment ... eh bien, je dois vous le demander. Êtes-vous vraiment engagé à permettre votre Réalisation dans cette vie?

SHAUMBRA 4: Oh, je ne sais pas comment répondre à ça (le public dit "Ohhhh!").

ADAMUS: Oh! Ce sera la double peine. D'abord, vous devrez aller dans les toilettes hommes, qui sentent vraiment mauvais, puis dans les toilettes femmes (rires). Alors, où cela va-t-il nous mener ? Où allons-nous avec ...

SHAUMBRA 4: Je fais tous ces efforts. Suis-je juste stupide?

ADAMUS: Voici ce que je pense des efforts (il fait semblant de cracher).

LINDA: Ohh!

ADAMUS: Pourquoi faites-vous des efforts ? Pourquoi faites-vous des efforts?

SHAUMBRA 4: Pour m'améliorer.

ADAMUS: Conneries !

SHAUMBRA 4: Pour évoluer.

ADAMUS: Conneries ! Désolé. Non, je ne le suis pas (désolé) (plus de rires). Vous ne perfectionnerez jamais l'humain. Vous n'améliorerez jamais votre mental. Vous pouvez faire semblant. Vous pouvez vous amuser. Vous pouvez prétendre que votre santé s’améliore ou que vous êtes plus intelligent, mais ce ne sera jamais le cas. C'est l'illusion de l'illumination. Au travail de qui incombe l’illumination ? Au travail de qui, le vôtre ou celui du Je Suis?

SHAUMBRA 4: Au Je Suis.

ADAMUS: Alors pourquoi ne le laissez-vous pas faire son job? Vous ne le laissez pas. Vous interférez. Vous interférez avec tout le processus naturel d'illumination, parce que vous pensez que vous devez le faire. C'est égoïste. Cela va vous causer beaucoup de problèmes. Ce n'est pas à vous de vous en occuper. Vous ne savez pas ce qu'est l'illumination ou la Réalisation. Le Je Suis lui, le sait.

Donc, ici, vous avez un humain qui se dit: "Je vais travailler à mon illumination. Je vais étudier. Je vais faire des efforts. Je vais dépenser beaucoup d'argent. » Et je vous le dis tout de suite, vous me donnez cent dollars et je vous garantis votre illumination (rires). Je vous taquine, mais faites-moi une faveur et rendez-vous service à vous-même et à n'importe qui dans votre entourage, faites une faveur à votre vie. Arrêtez d’y travailler. Savourez votre vie. Quand vous devenez trop mental, et philosophe, et intellectuel, prenez une profonde respiration et dites-vous: «Je confie cela à la sagesse. Je le remets à ma sagesse. " Et puis permettez-le.

Mais ça va être vraiment difficile, parce que vous voulez créer votre propre illumination et vous ne pouvez pas. Vous pouvez tromper un peu l'humain en lui faisant croire que vous faites des progrès, mais c'est comme si on trompait un cheval pour le faire avancer en lui faisant croire qu'il aura une carotte. Vous ne pouvez pas. Et le postulat de tout notre mouvement, c’est que l'illumination est un processus naturel si vous le permettez. Permettre cela signifie simplement sortir et profiter de votre vie. Prenez beaucoup de respirations profondes et permettez. Le Maître arrive et alors, vous réaliserez que le Maître était déjà là et que c’était déjà vous, mais l'humain interférait, parce que ...

Permettez tout simplement, d'accord? Et au début, vous allez dire: "Mon dieu, c'est tellement ennuyeux. Je dois faire quelque chose. Je ferais mieux d'aller dans un autre cours ou ... " Vous respirez profondément et vous commencez à réaliser la beauté du Permettre. C'est tout.

L'illumination est naturelle. Tout enseignant qui dit: «Non, j'ai un programme. J'ai le bon cours ici " est plein de makyo et aussi de beaucoup d'autres choses - pouvoir, manipulation et tout cela. Tout d'abord, il ne devrait pas y avoir d'enseignants spirituels. Honte à ceux qui aspirent à en être un, car c'est tout simplement vous, l'humain, qui vous dites: «Voilà, je permets un processus naturel.» C'est tout. C'est tout. Et, oui, vos doutes vont arriver. Tout à fait. Le mental va s’y mettre. Le mental essaye toujours de faire des associations avec quelque chose, de s'accrocher à quelque chose. Le mental va rechercher votre sens de l'identité et de la conscience et tout le reste jusqu'à ce que vous en ayez juste la nausée.

Donc, vous respirez profondément et vous permettez. C'est tout. C'est tout. Ce n'est pas si difficile que ça. Nous avons juste à nous réunir de temps en temps, une fois par mois, comme ça, pour être dans un espace sûr, parce que c'est dur à l’extérieur. Vous êtes bombardés par beaucoup de choses. Nous nous réunissons ensemble, je vous distrais - c'est tout ce que je fais, je vous distrais simplement - afin que vous puissiez permettre votre divinité. Et la divinité - et souvenez-vous de cela clairement, revenez et écoutez cela dix fois - il n'y a pas de pouvoir dans le divin, dans le Je Suis. Il n'y a pas de pouvoir et pas d'énergie, alors arrêtez de rechercher ça. Je vous remercie.

SHAUMBRA 4: Merci.

ADAMUS: Bien.

D'accord, une question. Oh, c'est l’heure de la pizza. C’était ça la question? A quelle heure la pizza? (Rires) C’est la plus belle question du jour.

Prenons une bonne respiration profonde et maintenant je vais vous laisser mesurer les questions en terme de sagesse contenue dans la question elle-même. Oh, vous en apprenez tellement sur la sagesse d'une personne à travers les questions qu'elle pose.

Alors, où en sommes-nous? Où en sommes-nous sur notre sagesse-mètre? Notre sagesse-mètre – j’invente des mots - notre compteur de sagesse. Nous allons nous resserrer pendant les trois prochaines années. Nous aurons beaucoup de clarté au cours des trois ou cinq prochaines années. Où en sommes-nous actuellement en terme de clarté? (quelqu'un dit "Cinq") Cinq, j'entends. J'entends cinq. Est-ce que j'entends six? Six? Six? 5,5?

SART: Huit!

ADAMUS: Huit. Sart dit huit. A l'arrière, j'ai un quatre. J’ai un quatre. On n’est pas très optimistes. J’ai un ne- ... où en sommes-nous? (quelqu'un dit "Dix") En ligne, donnez votre point de vue pour que je puisse ressentir tout cela.

LINDA: Cela dépend.

ADAMUS: "Ça dépend" ici. De quoi, chère Linda?

LINDA:De la taille du public.

ADAMUS: Du public? D'accord. Cela dépend du public. Où souhaitez-vous être actuellement en terms de sagesse? (Le public dit "Dix") Oh, ne soyez pas trop optimistes! (Rires) Où voulons-nous être en terme de sagesse actuellement? (quelqu'un dit «100%» et quelqu'un d'autre dit «juste là où je suis») «Juste là où j’en suis». J'aime cette réponse, c’est la meilleure. "Juste où j’en suis. C’est parfait où j’en suis. "

Prenons une bonne respiration profonde avec ça.

Quelle journée ça a été. Comme toujours, nous allons vraiment nous concentrer - eh, concentrer, oubliez ce mot - nous allons avoir de la clarté ces prochaines années ensemble, et ce que nous allons vraiment faire, ce n'est pas seulement en parler, mais amener cette sagesse, réunir l'humain et le Maître. C'est si simple. C'est facile. Vous n'avez pas à l'étudier. Vous venez juste ici de temps en temps pour rire un peu, manger un morceau de pizza et boire du vin bon marché.

Avec ça, tout va bien ...

ADAMUS ET LE PUBLIC: ... dans toute la création.

ADAMUS: Merci. Merci, chère Linda (applaudissements du public).

LINDA: Merci.

ADAMUS: Merci.