LES ENSEIGNEMENTS DU CIRCLE CRIMSON

Série du Transhumain

SHOUD 8 - ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

 

Présenté au Crimson Circle le 1er avril 2017

www.crimsoncircle.com

 

Je suis que je suis, Adamus du domaine souverain.

 

Prenons une profonde respiration tous ensemble alors que nous commençons ce Shoud. Une bonne et profonde respiration tous ensemble.

 

Avez-vous ressenti comme quelque chose a changé dans la pièce? Comme quelque chose a changé où que vous soyez ? En commençant ce Shoud avec ces très belles et très sensuelles vidéo et musique (se référant à cette video), pendant que vous laissiez tous vos soucis et vos préoccupations s’en aller un moment, votre attention a été distraite, focalisée sur les images à l'écran, faisant émerger de nombreux souvenirs; votre amour pour cette planète – la chose dont les Shaumbra disent qu’elle leur manquera le plus dans cette dernière vie. La chose qui leur manquera le plus, mais chers Shaumbra, juste un rappel pour vous dire que la chose précise dont vous pensez qu’elle va vous manquer le plus, bien plus que votre famille ou vos proches ou vos animaux de compagnie ou tout autre chose – la nature – cette nature, cette Gaia est en vous pour toujours. Où que vous alliez, même dans les dimensions non physiques, vous l’emporterez avec vous.

 

C'est ce qui fait la beauté d'être un Maître Ascensionné. Une fois que vous êtes venu sur cette planète, une fois que vous avez ressenti les vibrations de la nature – la nature -, cela donne vie à la vie, cela vous amène à l'expression, même d'une manière très focalisée, singulière, mais cela vous amène à l'expression - la nature , vous allez l'emporter partout où vous irez.

 

Ne serait-ce qu’une simple promenade dans les bois, même si vous vous retrouvez dans une lointaine galaxie, même si vous êtes dans les autres dimensions, vous pourrez toujours ramener cela à vous. C'est la beauté de ce que vous avez fait ici, surtout dans cette vie. En l'amenant en vous, en l'intégrant.

 

Prenons une bonne et profonde respiration avec cela, pour (acter) ce changement qui s'est produit alors que jouait cette belle video musicale; ce changement qui s'est produit alors que vous avez juste permis un instant. Permis de nombreuses choses. Vous vous êtes permis de vous installer, de sortir de votre mental, d’arrêter cette pensée incessante, cette pensée tambourinante que vous avez tendance à nourrir si souvent. Vous vous êtes permis d'être sensuel. Pendant que la vidéo jouait, il ne s’agissait pas seulement de focalisation – du sens de la Focalisation, de la focalisation sur la Focalisation. Pendant un moment, vous avez laissé les autres sens commencer à entrer.

 

J'ai beaucoup parlé des sens ces derniers temps, parce que c'est finalement ce qui se passe avec un Maître qui sort de l’éveil et qui entre dans l'illumination incarnée. Vous réalisez qu'il ne s'agit pas d'étudier les textes ou les écritures anciens, il ne s’agit pas de vous astreindre à une discipline que peut-être vous n’aimez pas faire en fait, mais il s’agit de simplement vous ouvrir à vos autres sens de manière naturelle, facilement.

 

Traverser des Changements

 

Je sais que vous êtes en quelque sorte dans un état de fluctuation actuellement. "Fluctuation", ai-je dit. Un état de fluctuation, un état de, oh, d’une certaine confusion, un état de transition actuellement, et c'est totalement naturel, totalement attendu. Vous traversez cela de manière vraiment beaucoup plus gracieuse que ne l’ont fait de nombreux Maîtres Ascensionnés. Vous traversez cela de manière beaucoup plus intégrée que ne l’aurait prévu n'importe lequel des Maîtres Ascensionnés assis au club.

 

C'est difficile. C'est éprouvant. Aucun doute là dessus. C'est presque comme si vous étiez absorbé par la gravité - une gravité qui voudrait vous ramener dans le mental, le sens singulier de la Focalisation; une gravité qui vous aspire et vous ramène dans les anciennes manières de faire et ensuite qui vous maintient dans les tentatives de perfectionnement de ces anciennes façons de faire, pensant que cela va certainement vous conduire à votre réalisation. Vous en êtes à ce point où vous revenez à vos sens alors que vous êtes encore dans votre corps physique, alors que vous êtes en train d’intégrer des choses comme la nature, alors que vous intégrez les expériences physiques de votre vie.

 

C'est vraiment profond. Il n'y a vraiment aucun mot humain pour le décrire, mais vous effectuez une transition. Et la plus grande chose que j'entends dans vos querelles nocturnes avec moi, dans vos débats nocturnes avec moi; la plus grande chose que j'entends, et même dans vos moments d’intimité quand vous êtes avec vous-même, vous vous demandez encore et encore: "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous avez un peu mal à la tête: "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous avez mal aux orteils : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous avez des pensées tordues : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous ne vivez pas dans votre vie un flux régulier de synchronicités, ou vous ne vivez plus l'ancien ennui dans votre vie, et vous vous demandez : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Et je vous le dis encore et encore, "Absolument rien".

 

Vous rencontrez tant de changements en même temps, de profonds changements dans votre corps et votre mental. Il n'y a rien qui n’aille pas. Si vous pouviez juste inspirer cela et le permettre la prochaine fois que vous traverserez une de ces choses - "Pourquoi tout s’effondre dans ma vie ? Pourquoi mon corps me fait-il souffrir? Pourquoi est-ce que je me sens tellement chamboulé? "- parce que vous êtes en train de traverser le plus grand changement de toutes vos vies, de plus d’un millier de vies. Parmi toutes les choses que vous avez vécues, vous êtes en train de traverser le plus grandiose des changements, alors même que vous êtes dans ce corps physique, alors même que vous êtes en train de transcender le mental pour retourner à vos sens.

 

Il n'y a rien qui cloche, mais c'est presque comme une prophétie auto-réalisatrice. C'est presque comme si vous vouliez qu'il y ait quelque chose qui ne va pas. Peut-être, d’une certaine façon. Un petit peu. Ben ouais. De façon en quelque sorte maladive, du genre - "Vous avez besoin d’une psychothérapie" - (quelques rires). "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Voulez-vous vraiment la réponse à cela? Qu'est-ce qui ne va pas chez vous? "Pourquoi mon corps tombe-t-il en déliquescence? Oh mon Dieu! Je dois avoir une terrible maladie. Je vieillis. Je ne peux plus penser. " Il n'y a rien qui cloche. Vous êtes en train d’effectuer une transition. Ça a des effets négatifs sur votre corps. Vraiment. Ça a des effets négatifs sur vos pensées et votre mental et tout le reste, tout ce que vous pensiez être, tout ce à quoi vous vous identifiez. Ça a un impact.

 

Mais si vous pouviez respirer profondément et dire de la manière la plus digne d’un Maitre - prenez une profonde inspiration et dites-vous, comme le dirait un Maître - «Tout cela fait partie de cette chose que j'ai choisie, appelée l’illumination incarnée. C'est tout ce que c’est. C'est tout ce que c’est.

 

Alors, la prochaine fois que vous recevrez une contravention pour excès de vitesse, alors que vous ne saviez même pas que vous étiez en excès de vitesse; la prochaine fois qu'une assiette tombera de vos mains et se brisera; la prochaine fois que vous glisserez et vous blesserez au coude ou quoi que ce soit qui pourrait advenir; la prochaine fois que vous passerez une nuit totalement blanche; la prochaine fois que vous attraperez un rhume ou une grippe, la prochaine fois que votre partenaire vous quittera, quoi que ce soit, respirez profondément. Il n'y a rien qui cloche chez vous. Vous êtes simplement en train d’entrer dans votre maîtrise. Et plus tôt l'humain reconnaîtra cela, plus tôt l'humain permettra le "et" - "Oh, et il n’y a rien qui cloche, cela fait partie de cette transformation, de cette expansion, de cette intégration, de cette prise de conscience multidimensionnelle", quoi que ce soit qu’il arrive, la prochaine fois que ça arrive, prenez-le comme le ferait un Maître. Respirez comme un Maître. Soyez en grâce comme un Maître et permettez-le simplement.

 

L'humain, oui, voudra probablement hurler et, "Oh! Mais rien ne va dans ce que je fais." Non. Votre vie est en train de changer.

 

Je vous l'ai déjà dit, quel est le pire, le pire scénario possible? Que rien ne change. Le pire scénario serait que vous continuiez à faire ce que vous faites depuis un millier de vies. Combien d'années cela ferait-il, un millier de vies? Un paquet d'années. Cent mille ans ou quelque chose comme ça, pour certains d'entre vous un peu plus, pour d’autres un peu moins. Mais voulez-vous vraiment continuer à faire la même chose encore et encore? Est-ce que -en fait, c’est une question encore plus importante - est-ce vraiment ça la sécurité? Est-ce vraiment ça la sécurité ? De juste continuer à faire la même chose, à se lever à la même heure tous les jours, à manger le même repas, à avoir les mêmes discussions avec les mêmes amis, à aller au même travail et à avoir les mêmes soucis humains.

 

Vous avez le sentiment que, "Eh bien, c'est sûr. Je connais la bête. Je connais déjà le résultat, alors je vais simplement rester avec ça." Mais en fait, ce n'est vraiment pas sûr. C'est en fait, pourriez-vous dire, l'une des choses les plus dangereuses que vous pourriez vous infliger - vous mettre dans une ornière, et vous enfoncer encore plus profond dans cette ornière.

 

Le plus drôle - drôle pour moi, pas pour vous – le plus drôle, c'est que lorsque vous essayez de vous mettre dans une ornière, lorsque vous essayez d'entrer dans vos modèles parce qu'ils sont confortables et qu’avec eux vous savez ce qu'il faut anticiper, il y a une autre part de vous appelée le "Maître Botteur de Fesses " - MBF - qui se présente et qui vous voit dans cette ornière puante dont l'humain se plaint et il fera des choses pour vraiment vous faire bouger, parce que le Maître ne veut pas que vous restiez dans une ornière. Il ne veut pas se retrouver dans une ornière. Alors le Maître Botteur de Fesses viendra et vous en fera sortir.

 

Prenons une bonne et profonde inspiration avec cela, alors que nous commençons avec notre question du jour, la question du Shoud. Linda, prête avec le micro?

 

La question du jour

 

LINDA: C’est bon.

 

ADAMUS: C'est bon. Et c'est parti. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie actuellement et pourquoi? Augmentez l’éclairage, s'il vous plaît.

 

LINDA: Oh, puis-je répondre à cela?

 

ADAMUS: Oui, en fait, j'allais vous le demander. Vous êtes la première. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie actuellement et pourquoi? Allez-y. Si vous voulez bien vous lever.

 

SHAUMBRA 1 (femme): D'accord. Des taches sur tout mon corps.

 

ADAMUS: Des taches. Pourrions-nous voir ces taches sur votre corps? (rire)

 

SHAUMBRA 1: (rires) Non

 

ADAMUS: Ay yi yi! Des taches. Des taches, et vous provoquent-elles des démangeaisons?

 

SHAUMBRA 1: Oui.

 

ADAMUS: Sont-elles violettes ou vert?

 

SHAUMBRA 1: (rire) Rose vif.

 

ADAMUS: Rose vif. Ce n'est pas si mal. Ensuite, elles deviennent vertes, quand nous avons des problèmes, mais ... et vous dites-vous : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?"

 

SHAUMBRA 1: Oui, tout à fait.

 

ADAMUS: "J'ai des taches sur le corps." Et pourquoi ces taches sur votre corps?

 

SHAUMBRA 1: Je n'en ai aucune idée. C'est nouveau.

 

ADAMUS: (chuchotements) Ouch! (Quelqu'un dit "Ohh!")

 

LINDA: Ohhh!

 

SHAUMBRA 1: (rire) Ohhh!

 

LINDA: Ohhh!

 

ADAMUS: D'accord, c'était très près.

 

SHAUMBRA 1: C'était ...

 

ADAMUS: C'était trop près. Je veux dire, si vous aviez dit quelque chose comme "Je ne sais pas ..."

 

SHAUMBRA 1: Je ressens comme  si...

 

ADAMUS: Ouf!

 

SHAUMBRA 1: J'ai l'impression de traverser une certaine transformation, oui.

 

ADAMUS: Ouais, oui.

 

SHAUMBRA 1: Absolument.

 

ADAMUS: Qu'est-ce que vous faites pour ces taches? Est-ce que vous prenez du sel contre les taches ou quelque chose comme ça?

 

SHAUMBRA 1: Rien.

 

ADAMUS: Rien.

 

SHAUMBRA 1: Non.

 

ADAMUS: Vous laissez simplement les taches telles qu’elles sont.

 

SHAUMBRA 1: Oui.

 

ADAMUS: Que pensez-vous qui en est, eh bien, la cause racine et ensuite la cause physique? Quelle en est la cause principale (cause racine) ?

 

SHAUMBRA 1: Hmmm, la cause racine...

 

ADAMUS: Quelle est la taille des taches?

 

LINDA: Mon dieu!

 

ADAMUS: Eh, c'est couvert de taches. Nous sommes en famille! Nous pouvons parler de ces choses. Nous pouvons faire une démonstration en images ici.

 

LINDA: Ne le faites pas! Ne le faites pas!

 

SHAUMBRA 1: D'accord! (ils rient)

 

ADAMUS: Vous voulez voir les miennes? (Plus de rires)

 

SHAUMBRA 1: Bien sûr!

 

ADAMUS: Donc cause racine. Cause première.

 

SHAUMBRA 1: Euhhh ...

 

ADAMUS: Oh, j'adore celle-là.

 

SHAUMBRA 1: De petites ... probablement ...

 

ADAMUS: Des punaises de lit.

 

SHAUMBRA 1: ... irritations.

 

ADAMUS: Des irritations. Quel genre d'irritations?

 

SHAUMBRA 1: Pas comme dans certaines choses.

 

ADAMUS: Je peux voir à travers vos vêtements. Je peux voir les taches. Oh mon.... Ce n'est pas si grave (elle rit).

 

SHAUMBRA 1: Je ...

 

ADAMUS: Elle m'a cru.

 

SHAUMBRA 1: Je crois vraiment que ce sont de petites irritations de la vie.

 

ADAMUS: De grandes irritations de la vie, oui, oui.

 

SHAUMBRA 1: Petites et grandes.

 

ADAMUS: Et voudriez-vous mettre un nom sur ces irritations?

 

SHAUMBRA 1: (rire) Les interrogations sur ce qui va se passer.

 

ADAMUS: Ouais. Je veux dire, y a-t-il un nom associé à l'irritation, comme Bob ou Mary ou quelque chose comme ça? (Elle rit) Rien de ce genre ne s’est passé ?

 

SHAUMBRA 1: Un peu ... Eh bien, peut-être.

 

ADAMUS: Ouais, maintenant que vous le mentionnez (elle rit). Vous n’y aviez jamais pensé de cette façon, mais oui. Et en fait, la vraie raison – ce sont les allergies alimentaires auxquelles vous n'êtes pas encore vraiment ajustée. Mais il y a quelque chose qui est en train de se passer ...

 

SHAUMBRA 1: Vraiment?

 

ADAMUS: ... avec tout le processus de digestion des aliments. Les gens dans votre vie viennent juste en quelque sorte se surajouter à cela. Mais, non, c'est une allergie alimentaire.

 

SHAUMBRA 1: Vraiment?

 

ADAMUS: Ouais, oui.

 

SHAUMBRA 1: Oh.

 

ADAMUS: Ouais. Et quel type d'aliments aimez-vous?

 

SHAUMBRA 1: Les fruits et légumes.

 

ADAMUS: Ah, merde (elle rit). Les fruits et légumes. Non, c'est vraiment bon.

 

SHAUMBRA 1: Et un peu de sucre.

 

ADAMUS: Et un peu de sucre, ah, le sucre est lâché (elle rit). Qu'en est-il des céréales naturelles ou ...

 

SHAUMBRA 1: Ouais, ça aussi.

 

ADAMUS: Ouais. De la crème glacée?

 

SHAUMBRA 1: Mm, parfois.

 

ADAMUS: De temps en temps. D'accord. De la viande ?

 

SHAUMBRA 1: Non.

 

ADAMUS: Pourquoi?

 

SHAUMBRA 1: Je n'aime pas ça, je n’ai jamais aimé.

 

ADAMUS: Du poisson? Du poisson?

 

SHAUMBRA 1: J’aimais avant, mais plus maintenant.

 

ADAMUS: De l’agneau?

 

SHAUMBRA 1: Pas du tout.

 

ADAMUS: Vous n'aimez pas les kebabs d'agneau?

 

LINDA: J'aime porter de l'agneau!

 

ADAMUS: Wow! Hou la la! (Quelques rires) Qu'en est-il du poulet? Le poulet.

 

SHAUMBRA 1: Occasionnellement.

 

ADAMUS: A l'occasion. Ouais ok. Donc, vous avez des allergies alimentaires en cours. Trop d'acides dans le corps causant ... eh bien, ce ne sont pas seulement les acides, mais des allergies alimentaires. Changez votre nourriture.

 

SHAUMBRA 1: Changer de nourriture.

 

ADAMUS: Changez. Ne passez pas des bananes aux pommes. Je parle de passer d'un régime biologique frugivore très sain à un régime très merdique - pizza et poulet frit (certains rires). Changez de nourriture.

 

SHAUMBRA 1: D'accord.

 

ADAMUS: Maintenant, maintenant je vous dis cela et, au début votre estomac va se rebeller parce que vous avez programmé dans votre mental que certains aliments sont bons, certains aliments sont mauvais. Essayez un peu. Les crevettes. Vous aimez les crevettes ?

 

SHAUMBRA 1: Non.

 

ADAMUS: Mangez-en (rires). C'est bon pour vous. Quelques crevettes. Et Sandra, notez-le. Des crevettes pour notre prochaine renconre ici. Oui, et nous vous regarderons manger des crevettes. Jean, voulez-vous le noter, nous allons faire une petite vidéo sur la consommation de crevettes. Et une sur le poulet. Quelques petits blancs de poulet ...

 

SHAUMBRA 1: Je peux le faire.

 

ADAMUS: ... ou quelque chose comme ça, vous savez. Et juste ... vous avez des allergies alimentaires qui sont associées à vos croyances et, qui sont parties prenantes de ce processus - je ne vais pas déjà révéler ma conclusion, mais tout ça est grandiose. Merci (elle rit). Yeah Yeah.

 

SHAUMBRA 1: Merci.

 

ADAMUS: Et aussi ces trucs de taches.

 

SHAUMBRA 1: Ces trucs de taches.

 

ADAMUS: Ouais, oui. Et les bains de sel.

 

SHAUMBRA 1: D'accord.

 

ADAMUS: Ouais. Mais dans le bain de sel, faites-vous couler un bon...- vous avez une belle baignoire, n'est-ce pas?

 

SHAUMBRA 1: Oui, un jacuzzi.

 

ADAMUS: Faites-vous couler un bon bain et mettez du sel de mer naturel dedans et ensuite mettez-y quelques-unes de ces crevettes (rires) et regardez-les flotter. Elles vont grignoter toutes ces petites taches et elles les mangeront. Ouais, c'est génial. Ooh! Un bain à la crevette. Je n'en ai pas pris depuis longtemps. Il y a encore des choses humaines qui me manquent. Un bain à la crevette. Juste, ouais. Protégez vos parties intimes, mais à part cela (plus de rires), le bain à la crevette est tout simplement génial. Bien. Merci. Mais les allergies alimentaires sont la réponse.

 

SHAUMBRA 1: C'est facile.

 

ADAMUS: Ouais. C'est facile. Ouais. Maintenant, est-ce que vous allez vraiment faire cela ou est-ce un bon gros Poisson d’Avril que vous faites à l'oncle Adamus en disant que vous allez changer votre alimentation? Allez-vous vraiment, en quelque sorte, essayer de commencer à mettre d'autres groupes d’aliments dans votre régime quotidien?

 

SHAUMBRA 1: Bien sûr, je peux le faire.

 

ADAMUS: Ouais, une petite lasagne, peut-être, avec une bonne saucisse dedans et ... (elle fait une grimace) Non, essayez ... Vous voyez ? Vous voyez? Qu’est-ce que je vous disais? Je commence, je donne cette profonde conférence - nous aurions presque pu terminer le Shoud ici même - et je vous dis qu’il y a des changements dans votre vie et vous réagissez : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous traversez des changements. Voulez-vous s'il vous plaît ne pas entrer dans une ornière?

 

SHAUMBRA 1: D'accord.

 

ADAMUS: Allez-vous essayer de changer de nourriture un petit peu?

 

SHAUMBRA 1: Absolument. Je vais le faire.

 

ADAMUS: Un petit peu. D'accord. Yeah Yeah. D'accord. Je vous remercie.

 

SHAUMBRA 1: Merci.

 

ADAMUS: Merci. Aimez-vous ...

 

LINDA: Oh, il n'en a pas fini avec vous. Il n’en a jamais fini (rires). Jamais.

 

ADAMUS: Je pense à toutes les choses que j'ai adorées! Vous aimez le canard?

 

SHAUMBRA 1: Non.

 

ADAMUS: Le canard vous aime! (Plus de rires) Ouais, essayez. Essayez. Bien. Un petit canard de Pékin.

 

SHAUMBRA 1: Coin-coin.

 

ADAMUS: ça fait des années.

 

SHAUMBRA 1: Coin-coin.

 

ADAMUS: J'aimerais que Cauldre et Linda ...

 

SHAUMBRA 1: Coin-coin !

 

ADAMUS: ... me sortent plus souvent pour découvrir une nourriture intéressante (quelques rires).

 

LINDA: Je ne suis pas responsable.

 

ADAMUS: Je sais que vous ne l'êtes pas (rires et Adamus pointe son doigt vers Cauldre et chuchote "Il est ennuyeux!") Des pizza et des hamburgers, ouais. Je suis étonné qu’il n'ait pas une grosse tache qui le recouvre (Linda rit). Mais merci. Je vous remercie. Bonne façon de commencer. Au suivant.

 

LINDA: Eh bien, les esprits inquisiteurs veulent savoir.

 

ADAMUS: Oui. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie et pourquoi?

 

DAVID: Me lever au milieu de la nuit pour aller aux toilettes. (Linda rit)

 

ADAMUS: N'est-ce pas naturel?

 

DAVID: Je le fais plus que de nature.

 

ADAMUS: Plus que de nature.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: D'accord, qu'est-ce qui se passe?

 

DAVID: Eh bien, euh ...

 

ADAMUS: Ohhh! Attendez. Faisons un arrêt sur image. Il est juste devenu mental. Avez-vous vu ça? Il a commencé à penser à ce qu'il pense être un problème de devoir se lever au milieu de la nuit pour aller aux toilettes. Maintenant, respirez profondément. Que se passe-t-il avec ça?

 

DAVID: Virus de l'énergie sexuelle, liberté ancestrale.

 

ADAMUS: Vous vous faites avoir.

 

DAVID: Ouais (rires).

 

ADAMUS: Wow!

 

DAVID: Irritation de, en quelque sorte, vous savez, parfois de doute ...

 

ADAMUS: Ehhhh! Où est mon buzzer? Vous avez tort sur toute la ligne.

 

DAVID: Okay.

 

ADAMUS: Vous pensez trop. Vous faites trop de "Qu’est-ce qui ne va pas chez moi?" "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Et "Ça doit être ça". Oubliez tout cela. Nous sommes au-delà du truc du SES. D'accord? Nous sommes au-delà du truc ancestral. Je suppose que vous les avez vus, les avez regardés, que vous les avez suivis.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: Vous les avez enseignés.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: Alors nous sommes au-delà de cela. Maintenant, qu'est-ce qui se passe?

 

(David fait une pause et soupire)

 

Ouais.

 

DAVID: Ouais.

 

ADAMUS: C'est un - et attendez que je fasse ma grande révélation - mais vous avez un trouble de la sensibilité du sommeil. Ce n'est pas vraiment un trouble ; c'est une sensibilité du sommeil. Vous devenez très sensible dans votre état de sommeil. Vous l’êtes de toute façon, mais vous ne la laissez pas assez sortir (cette sensibilité), même si certaines personnes pensent que vous la laissez trop s’exprimer. Vous ne la laissez pas assez s’extérioriser - votre sensibilité réelle, votre conscience réelle. Quand vous entrez dans l'état de sommeil, vous devenez très sensible, très conscient des choses. Vous retenez tout pour dormir, mais vous ne le faites pas pour de vrai. Alors c’est si sensuel que cela vous réveille et que vous pensez que vous vous réveillez parce que vous devez aller faire pipi, ce que vous devez faire probablement, mais à ce moment-là, ça n'a pas vraiment d'importance. Il s’agit plus de votre sensibilité du sommeil, et c'est une bonne chose, David. C'est vraiment une bonne chose, surtout quand vous n’êtes pas obligé de vous lever à une heure précise le matin. Est-ce exact?

 

DAVID: Pas besoin, en effet.

 

ADAMUS: Vous pouvez faire des siestes toute la journée, si vous voulez.

 

DAVID: Et je fais effectivement une sieste d’habitude.

 

ADAMUS: Ouais, oui. Et vous pourriez aussi bien utiliser un bassin hygiénique ou quelque chose comme ça (rires), et vous n’auriez même plus à quitter le confort de votre matelas. C'est un peu grossier, mais ...

 

DAVID: Ouais, un peu grossier.

 

ADAMUS: C'est un peu grossier, oui. Mais ça ne l’est pas ... et je tiens à vous dire à vous tous, vous tous, que les choses auxquelles vous pensez ne sont probablement pas justes. Je dirais que 87 % d'entre vous ont tout faux. Vous avez tout faux. Et vous dites: "Oh, mon dieu! Je dois me lever à cause de ma prostate et, oh, cette putain de prostate ! Pourquoi en ai-je même une? " Et c'est, non, ce n'est pas ça, David. Vous avez une sensibilité du sommeil. C'est tout. Et vous devenez très conscient et vous vous expansez durant votre sommeil, et ensuite vous vous réveillez, parce que vous êtes très conscient. Et alors, c'est : "Oh! Je dois me trainer aux toilettes. "

 

Prenez une profonde respiration. Il n'y a rien qui cloche chez vous. Arrêtez de travailler sur ça comme vous l’avez fait jusqu’à maintenant. Arrêtez d’y penser comme vous l'avez fait jusqu’à maintenant. C'est presque obsessionnel.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: Ouais. Un peu ennuyeux.

 

DAVID: Ennuyeux.

 

ADAMUS: Ennuyeux (David rit). Ouais.

 

DAVID: C'est une vraie pissotière (rires).

 

ADAMUS: C'était bien! Ouais, ouais (David rit à haute voix). C'était vraiment bien, David. Vous voyez ? ça a en quelque sorte émergé.

 

DAVID: Ouais.

 

ADAMUS: Je veux dire, votre humour. Bien. Je vous remercie.

 

DAVID: Merci.

 

ADAMUS: Au suivant.

 

DAVID: Merci.

 

ADAMUS: Au suivant. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie actuellement? Et si quelqu'un dit Adamus, hein ... (quelques rires) Eh. C'est ce qu'elle allait dire.

 

LINDA: Non, en fait, pas du tout.

 

ADAMUS: Oh. Oui, la chose la plus agaçante.

 

DENISE: J'essayais de trouver quelque chose d'intellectuel, mais pour être honnête avec vous quand je monte dans ma voiture et que je suis contrariée ou déçue par la vie, je commence à hurler.

 

ADAMUS: Ouais, oui. Vous êtes contrariée parce que vous conduisez ou vous utilisez juste votre voiture comme véhicule ? Sans jeu de mots.

 

DENISE: Faites dégager les gens de ma route.

 

ADAMUS: Ouais. Je veux dire, est-ce que c’est de conduire qui vous dérange ou êtes-vous contrariée par plusieurs choses dans la vie, mais que ce n'est que lorsque vous montez dans votre voiture, qui est une arme mortelle, que vous commencez à ressentir que vous pouvez exprimer votre colère?

 

DENISE: Non. C'est là que je peux exprimer ma colère. Personne ne peut m'entendre parce que je suis assez - je peux être assez violente.

 

ADAMUS: Ouais, ouais, oui. Alors vous attendez jusqu'à ce que vous montiez dans votre voiture, comme c'est un endroit où vous ne pouvez pas faire de tort à quiconque ...

 

DENISE: Je ne vais pas frapper quelqu'un. Oh non! (Elle rit)

 

ADAMUS: Exact, exact. Non. C’est un endroit vraiment bien pour faire sortir votre colère lorsque vous conduisez sur l'autoroute (quelques rires). Donc, vous laissez ...

 

DENISE: Prudemment.

 

ADAMUS: ... la colère sortir et ce n'est pas vraiment le traffic (qui est la cause de votre colère). Pourquoi cette colère?

 

DENISE: (fait une pause) Pourquoi cette colère?

 

ADAMUS: Pourquoi cette colère?

 

DENISE: Vous me posez une question difficile là.

 

ADAMUS: Non, ce n'est pas une question difficile. C'est tellement facile.

 

DENISE: Oui.

 

ADAMUS: Ouais, oui.

 

DENISE: Je pense que c’est parce qu’il y a quelque chose que je ne veux pas dans ma vie. Je ne veux pas avoir à l'exprimer et à le ressentir, mais pourtant je pense que cela vient à moi souvent.

 

ADAMUS: Ouais, oui.

 

DENISE: Alors j’essaie de comprendre comment l'exprimer sans ...

 

ADAMUS: Quelle est votre plus grande frustration / contrariété dans la vie, en dehors de vous? Ce serait évident. Quelle est cette plus grande frustration?

 

DENISE: Être capable de communiquer ...

 

ADAMUS: Connerie.

 

DENISE: ... clairement. Eh bien, comme ...

 

ADAMUS: Les gens!

 

DENISE: D'accord.

 

ADAMUS: Les gens.

 

DENISE: Les gens ...

 

ADAMUS: C'est pourquoi vous ne communiquez pas.

 

DENISE: ... ma famille.

 

ADAMUS: Votre famille, et les gens et les maris et plus de famille et les amis et tout le reste. Les gens. C’est une grande frustration. Ça éteint la communication qui est l'un des sens principaux.

 

DENISE: C'est la famille.

 

ADAMUS: Et alors, qu'est-ce que vous faites?

 

DENISE: Je m'éteins.

 

ADAMUS: Oui. Comment vous éteignez-vous?

 

DENISE: Je deviens juste silencieuse.

 

ADAMUS: Et quoi d'autre? Vous devenez silencieuse ...

 

DENISE: Je garde ça en moi et alors ça gémit et ça fulmine.

 

ADAMUS: Qu'est-ce qui se produit d’autre en résultat du fait que vous vous éteignez à cause des humains qui vous ont maltraitée dans votre vie? Que se passe-t-il d'autre?

 

DENISE: Je le retire de moi-même.

 

ADAMUS: Ouais.

 

DENISE: Je l’extrais de  moi-même.

 

ADAMUS: Vous arrêtez d'entendre. Vous arrêtez d'écouter. Vous arrêtez de communiquer. Le sens de la Communication est si beau. C'est un sens. Ce n'est pas seulement l'acte de parler ou d'écouter. C'est un sens, et vous avez fait un très bon travail pour l’éteindre, jusqu'à ce que vous montiez dans votre voiture. Pouvez-vous vous entendre dans votre voiture?

 

DENISE: Oh, oui.

 

ADAMUS: Oh, oui. N'est-ce pas incroyable que vous puissiez enfin vous entendre dans votre voiture? Alors arrêtons cela. Nous ferons une petite chose aujourd'hui pour mettre fin à cela.

 

DENISE: Merci.

 

ADAMUS: D'accord. Plus de jeux. Oui, les gens vont vous blesser. Tout à fait. Les gens vont se moquer de vous. Ils vont rire de vous. Ils prendront tout ce que vous avez. Ils essayeront de prendre votre âme, s'ils le peuvent. Mais ils ne le peuvent pas.

 

DENISE: Oh non. Ils ne prendront pas mon âme (elle rit).

 

ADAMUS: Ils vont essayer.

 

DENISE: Ils vont essayer, mais ...

 

ADAMUS: Ils vont essayer, mais ils ne peuvent pas.

 

DENISE: Je pense que c'est pourquoi je la protège.

 

ADAMUS: Ouais. Je veux dire, même si vous la leur offriez, ils ne pourraient pas. Mais il y a cette énorme chose, et vous continuez à vous demander toujours: "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? " Ce sont juste les gens. Ce n'est pas vous, d'accord? Je vous remercie.

 

DENISE: Merci.

 

ADAMUS: Deux de plus ici. C'est ma partie préférée de tout le Shoud (Adamus rit). Oui, très chère.

 

CAROLINE: Ça ne vous dérange pas si je reste assise ?

 

ADAMUS: Vous êtes plus belle que jamais. Restez assise, s'il vous plaît. Ouais (elle patauge un peu avec le micro).

 

CAROLINE: Ça ne vous dérange pas si je reste assise ?

 

ADAMUS: Pas du tout.

 

CAROLINE: Merci.

 

ADAMUS: Ouais. Puis-je venir m'asseoir près de vous? (Elle rit)

 

CAROLINE: Oui, vous pouvez.

 

ADAMUS: Bien. Bien. D'accord (il vient s’asseoir près d'elle).

 

CAROLINE: Merci.

 

ADAMUS: Vous vous rendez compte qu'il y a des caméras partout ici (ils rient).

 

CAROLINE: Oh, filmez! (Elle rit)

 

ADAMUS: Nous ne pourrions pas avoir un moment d’intimité même si nous essayions. Alors, quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie?

 

CAROLINE: Mon dos.

 

ADAMUS: Votre dos.

 

CAROLINE: Mon dos. Mm hmm.

 

ADAMUS: Que se passe-t-il avec ça ?

 

CAROLINE: Eh bien, je me suis brisé une vertèbre sans même avoir essayé (elle rit).

 

ADAMUS: Ouais.

 

CAROLINE: Et ça a guéri, mais ça m'a laissé paralysée.

 

ADAMUS: Avec une douleur?

 

CAROLINE: Oui.

 

ADAMUS: Une grosse douleur?

 

CAROLINE: Pas trop à présent.

 

ADAMUS: Ouais. Ouais. Donc le dos. Que diriez-vous que le dos représente dans votre vie?

 

CAROLINE: La force.

 

ADAMUS: Et - la force, c'est vrai - et quoi d'autre?

 

CAROLINE: La stabilité.

 

ADAMUS: Et quoi d'autre?

 

(Elle fait une pause)

 

La rigidité?

 

CAROLINE: Exact.

 

ADAMUS: Je veux dire, c'est la force. Le dos c’est la force.

 

CAROLINE: Oui.

 

ADAMUS: Mais c'est aussi une certaine rigidité. En d'autres termes, les choses doivent être d'une certaine manière.

 

CAROLINE: Oui.

 

ADAMUS: Et le dos se meurt quand vous portez trop de fardeaux, que vous essayez de garder tout le monde ensemble - pas seulement vos proches, mais vous essayez de garder tout le monde ensemble - et quand ... vous êtes si rigide parfois – je veux dire, vous êtes charmante, belle, mais quelquefois si rigide, dans vos manières de faire. Diriez-vous qu'elle est vraiment un peu obstinée, têtue parfois ?

 

VINCE (son mari): Obstinée, têtue, oui.

 

ADAMUS: Ouais, têtue, oui. Maintenant, je m'éloigne, parce que ça devient un peu chaud ici (quelques rires). Mais têtue, rigide. Et c'est presque comme ce que j'ai dit, votre Soi Maître, le Maître botteur de fesses arrive et dit: "Plus de rigidité. Plus d’entêtement. Il est temps de s'ouvrir. " Vous avez un sens naturel de la créativité, mais vous avez même essayé de rendre cela très structuré. Et votre corps vous dit: "Non. Non. Nous ne pouvons plus le faire.”

 

Vous allez bien en fait; votre corps vous dit simplement: "Tu dois lâcher prise sur cela, toute cette rigidité". Ouvrez-vous grand. Faites des choses folles de temps en temps. Vous êtes trop, excessivement comme il faut dans votre vie (elle rit doucement). Ouais. Ouais, et lâchez prise sur cela. Il y en a plusieurs comme ça parmi vous ici dans cette salle, mais je ne vais pas trop regarder autour. Lâchez prise sur cela. Et je sais que vous avez tendance à penser, "Oh, mon dos est foutu. Il ne va jamais guérir. Et les médecins m'ont parlé de tous ces problèmes et il est foutu depuis longtemps. " Pas du tout. Il y a une chose appelée le corps de lumière, et il se construit en permettant. Mais vous et moi aurons besoin d’avoir une petite discussion sur le permettre un jour ou l’autre. Vous venez au stage du Simple Maître cet été. Vous essayez même de contrôler le permettre, et cela ne marche pas. Permettre c’est juste permettre.

 

Alors, prenez une bonne respiration profonde. Nous reviendrons sur ce dos ensemble, de façon à ce que vous ne souffriez pas, que vous n'ayez pas de difficulté à marcher, car vous adorez marcher. Vous adorez votre liberté, et ceci l'a certainement limitée.

 

CAROLINE: Mm hmm.

 

ADAMUS: D'accord.

 

CAROLINE: Merci.

 

ADAMUS: Absolument.

 

CAROLINE: Mm (il l'embrasse).

 

ADAMUS: Merci. Bien.

 

LINDA: Un de plus?

 

ADAMUS: D'accord. Ouais, faisons-en encore deux.

 

LINDA: D'accord.

 

ALAIN: J'ai pu le voir venir! (Linda rit)

 

ADAMUS: Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie ...

 

LINDA: C’est si prévisible, hein?

 

ADAMUS: ... autre que quand ...

 

ALAIN: Siiii prévisible! (Linda rit)

 

ADAMUS: ... quand quelqu'un vous tend le micro?

 

ALAIN: Je suis tellement comme elle (Caroline), vous savez. J'ai un mauvais dos. Donc.

 

ADAMUS: La chose la plus agaçante dans votre vie?

 

ALAIN: (rire) Actuellement, c'est ce problème de santé récurrent avec mes poumons qui a foutu en l’air mon dos.

 

ADAMUS: Exact. Sensationnel.

 

ADAMUS: (chantant) La colonne vertébrale est connectée à ... ok (quelques rires).

 

ALAIN: Alors ça semble très... - c'est comme si quelqu'un me frappait sur l'épaule, pour me réveiller.

 

ADAMUS: De quoi est-il question ?

 

ALAIN: Eh bien, il est question de ne pas vivre la vie, je pense. Que respirer c’est vraiment être dans le moment présent, être là.

 

ADAMUS: Alors, qu'est-ce qui se passe quand vous êtes un homme très sensible et que vous avez un désir de vivre, une joie de vivre, mais que vous êtes très structuré, à cause de vos attentes et du reste; qu'est-ce qui se passe quand une part de vous veut juste cette liberté - cette liberté et son expression - mais qu’une autre part de vous la retient et reste dans la structure, le modèle? Vous obtenez des problèmes.

 

ALAIN: Des choses que je ne veux pas quitter.

 

ADAMUS: Oui. Et comment essayez-vous de les éliminer?

 

ALAIN: Eh bien, apparemment en toussant.

 

ADAMUS: En toussant. En toussant. En toussant. Vous essayez de les faire sortir. Cela finit par créer un élancement dans votre dos parce que vous faites un énorme effort chaque fois que vous toussez. Mais c'est simplement une question de permettre à cette part créative sensuelle en vous de simplement s’épanouir. Faites quelque chose d’à moitié fou ou de complètement fou. Prenez un tas de bombes de peinture et pulvérisez-en l'intérieur de votre maison (rires, son épouse Patricia est choquée).

 

ALAIN: D'accord, d'accord.

 

ADAMUS: Ou faites-le dans la maison de quelqu'un d'autre.

 

ALAIN: Ouais! Ouais. Je le ferai dans le garage peut-être.

 

ADAMUS: Je le dis en plaisantant, mais pas du tout. Qui a-t-il de plus important? En laissant cela ... Vous avez un tel sens naturel de la créativité, et des vies entières passées à vraiment guider les efforts créatifs et à être créatif vous-même, et maintenant vous êtes devenu tellement verrouillé et cette toux essaie de le faire sortir, de le faire passer. Cela affecte votre dos, et très bientôt, ça va commencer à affecter vos épaules, et après ça, c'est ...

 

ALAIN: C'est déjà fait.

 

ADAMUS: Et puis les maux de tête et tout le reste. Ça n’en vaut pas la peine. Ça n’en vaut pas la peine. Et je reviens sur le point que j'ai soulevé dans mon introduction. Vous vous demandez, tous, qu’est-ce qui ne va pas chez vous? Il n'y a vraiment rien. Il y a ce que vous pourriez appeler des symptômes de surface qui se produisent, et si vous arrêtiez de devenir si mentaux, en pensant ... Arrêtez de faire de l'autodiagnostic, vous savez, comme un médecin ou un psychologue. Et j’arriverai à ma conclusion dans un instant, mais le dos, la toux, tout le reste. Soyez créatif. Bon dieu, vous êtes un peu français. Je veux dire que vous auriez ...

 

ALAIN: J'en ai encore le passeport d’après ce que j’ai vu la dernière fois.

 

ADAMUS: Vous en avez encore le passeport. Donc, vous êtes un habitué des States, un habitué des États-Unis - et cela a comprimé quelque peu cela (cette créativité française) hors de vous. Mais soyez créatif à nouveau. Vraiment. Bien. Cauldre me dit de me taire, mais je m'amuse bien (Alain rit). Bien. Bien. Je vous remercie. Un de plus.

 

ALAIN: Merci.

 

ADAMUS: Un de plus. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie actuellement. Linda? La chose la plus agaçante.

 

VICKI: D'accord, je vais franchir le pas ici.

 

ADAMUS: S'il vous plaît.

 

VICKI: La sécheresse vaginale. (Quelqu'un demande "Qu'est-ce qu'elle a dit?") La sècheresse vaginale.

 

ADAMUS: Ohhh!

 

LINDA: Ohh! (Linda rit)

 

ADAMUS: Je pensais que vous aviez dit ...

 

LINDA: Je pensais que vous aviez dit: "Conduire jusqu’en Chine!" (Rires)

 

ADAMUS: Je pensais que vous aviez dit «Conduire jusqu’en Chine» et j'allais vous dire «d'accord».

 

LINDA: C'est tout comme, oui!

 

VICKI: Oh, oui!

 

LINDA: Vous ne pouvez pas conduire jusqu’en Chine!

 

VICKI: Oh, non! Je veux dire …

 

ADAMUS: Abordons la «conduite vers la Chine» cependant (plus de rires).

 

VICKI: Vous savez, la post-ménopause. Vous savez, les choses de filles ...

 

ADAMUS: Pourquoi? Pourquoi, pourquoi, pourquoi?

 

VICKI: ... qui déclinent (vieillissent).

 

ADAMUS: Ouais, pourquoi?

 

VICKI: Ouais!

 

ADAMUS: Ouais. Pourquoi avez-vous ce problème?

 

VICKI: Toute femme de mon âge a ce problème.

 

ADAMUS: Connerie.

 

VICKI: Oui.

 

ADAMUS: Non.

 

VICKI: Oui.

 

ADAMUS: Non.

 

VICKI: Oui!

 

ADAMUS: Non.

 

VICKI: Oui.

 

ADAMUS: Vous le souhaitez?

 

VICKI: Non !! (Adamus rit)

 

ADAMUS: Pourquoi pensez-vous ... En dehors du fait que toute autre femme l’a aussi et tout le reste, que pensez-vous qui se passe avec cela ?

 

VICKI: Eh bien, je pense qu'il y a un défaut de conception avec la ménopause.

 

ADAMUS: Non, il n'y en a pas, et franchement - oh, je dois attendre ma conclusion pour vraiment, pas pour l’aborder mais pour en discuter plus en détail - mais il y a ... okay. Il est question d’abus sexuel. La plupart des gens ont vécu cela dans une certaine mesure, certains plus que d'autres. Il y a alors extinction de la sensualité du sexe. Il y a le "Je suis trop vieille pour le sexe. Ça n'a jamais été amusant de toute façon, je n'ai jamais eu le bon partenaire, j’ai toujours eu plus de plaisir par moi-même, à le faire moi-même, Dieu n'aime pas ça ", et toutes ces autres choses. Que pensez-vous que cela produise? Je veux dire, pensez-vous qu’il y aura une inondation là-bas? Non! (Quelques rires) Ça va s’assécher et ce sera comme si ce n’était plus nécessaire. Ce n'est plus utile, alors c’est juste du genre: "D'accord, je m'en vais." Il est temps de revenir à la sexualité, mais vous allez vraiment avoir du mal avec ça. La sexualité, revenir à la sexualité. Pour être ... (quelqu'un dit, "ça a l'air d'un cours") C'est retourn... ouais, oui. Un cours que Cauldre n'enseignerait pas, mais Alain aimerait l'enseigner (rires) dans sa nouvelle approche créative française. Oui, "Le Retour à la Sexualité". Donc, non, c'est l’extinction de l'être sensuel. Pourquoi? Pourquoi?

 

VICKI: Parce que les femmes de mon âge ne sont plus désirables.

 

ADAMUS: Connerie ! Ce n'est pas vrai du tout. Certaines de mes plus grandes expériences d'amour, et Cauldre devient très embarrassé à mesure que j’en parle ... (quelques rires) Mes plus grandes amours étaient ce que j'appellerais des femmes mûres. Les jeunes femmes, elles ne savent pas ce qu'elles font. Elles hurlent beaucoup. Elles parlent trop, et ensuite ... (quelques rires) Ce n'est pas marrant et c'est fini tout de suite. Et elles disent des trucs comme, "Oh, Adamus! Oh! Tu m'as épuisée. " La femme plus mûre, c'est du syle:" Chéri, chéri, passons une autre nuit ensemble. "

 

Non, la sensualité chez les hommes et les femmes augmente avec l'âge. Elle devrait augmenter avec l'âge. Vous devenez plus sensuel, plus expérimenté, plus libre avec votre corps, moins inhibé par ce que les gens pensent. À un certain point, vous n’en avez plus rien à faire, et c'est juste du style “vas-y, fonce !”, que ce soit de pratiquer la sensualité sur vous-même, avec un partenaire, de nombreux partenaires, peu importe. Cela n'a vraiment pas d'importance. Mais il n'y a aucune raison pour ... La sensualité augmente avec la sagesse. Regardez ce qui va se passer plus tard aujourd'hui. La sensualité ... (Adamus rit)

 

SART Ouais, chéri!

 

ADAMUS: La sensualité augmente avec la sagesse. A présent, prenez une profonde respiration, prenez un verre d'eau et ramenez-la, chéri (plus de rires). C'est un nouveau T-shirt pour Sart. "Ramenez-la, chéri."

 

VICKI: Ramenez-la, chéri.

 

ADAMUS: Nous saurons ce que signifie le T-shirt. D'accord, merci. Merci pour votre franchise.

 

La sensibilité

 

J'ai commencé avec cette question: "Quelle est la chose la plus agaçante actuellement dans votre vie?" - et nous avons eu de très nombreuses bonnes réponses. Je vous en remercie. Fondamentalement, c'est tout! (Adamus rit) Ce qui se passe en ce moment dans votre vie, c'est que vous devenez un être sensuel, multi-sens, et plus uniquement Focalisé. C’est un sujet que j’aborde depuis un bon moment maintenant. Sortons de la Focalisation sur le singulier.

 

La Focalisation est un sens. C'est un sens angélique. En fait, dans les autres dimensions, à part ceux qui ont séjourné ici sur Terre, les anges ne sont pas vraiment bons à la focalisation. Dans les royaumes angéliques, en quelque sorte, vous pourriez dire que les anges rebondissent sur les murs. Vous vous agacez vraiment d'être entouré d'un tas d'anges tout droit sortis d’un conte de fées mais qui ne sont jamais venus sur Terre. C’est du style : “Quoi?! Essaie de t’ancrer à la Terre. Allons! Pourrais-tu seulement te fixer sur un seul sujet à la fois? " Et ils sont un peu efféminés et un peu, vous savez, une chose ou une autre. Vous connaissez certaines personnes comme ça, mais c'est pire. C'est pire dans les autres dimensions. Vous avez été bons à la focalisation. Mais nous allons au-delà de cela à présent.

 

Alors, ce qui se passe, c'est que vous devenez très sensibles. C'est en quelque sorte un moment bizarre actuellement, parce que vous êtes en train de vous ouvrir à d'autres sens. J'ai parlé récemment à Keahak ou à dans La Vie de Maître 4 du sens du U, par exemple. C'est un sens, c'est-à-dire que vous êtes capable de percevoir les particules d'énergie, qui ne sont pas des particules physiques; mais vous êtes capable de percevoir les particules d'énergie en unité. Plutôt que tous ces petits - je crois que vous les appelez des points -, vous êtes capable de percevoir une chaise. C'est extraordinaire. C'est un sens. Au lieu de voir des millions de petits points d'énergie, vous avez développé la capacité à travers le sens de l'Unité de les assembler en un tout.

 

C'est un sens très ludique. Vous n’êtes plus obligé de simplement voir une chaise. Votre sens de l'Unité vous permet de voir une chaise dans cette dimension. Mais ce même sens de l'Unité vous permet de voir l'arbre dont elle est issue et de ressentir l’arbre dont elle est issue. De voir et de ressentir une entité qui est assise juste là actuellement - s'il voulait bien quitter ma chaise - je vais vous le présenter dans un instant. C'est le sens de l'Unité.

 

Vous êtes en train de vous ouvrir à de multiples sens, et c'est un moment très bizarre. C'est comme de traverser la puberté sur le chemin de votre maîtrise. C'est comme une puberté spirituelle. En même temps, vous devenez très sensibles, sensibles à tant de choses différentes sur Terre, et c'est un moment très agaçant et très énervant à traverser. Et je voulais encore souligner que vous allez faire des choses comme des éruptions cutanées et des trucs embêtants, et que vous allez subir toutes sortes de toux et de douleurs et tous ces autres problèmes, car vous devenez très sensibles.

 

Parlons de certains de ces petits problèmes, et je vais aborder ce que vous qualifieriez de côté énervant, mais aussi de la bénédiction que représente aussi ce qui va vous arriver. Je pense que nous devrions prendre le tableau ou quelque chose pour écrire.

 

LINDA: Juste là.

 

ADAMUS: Ah! Demandez et vous recevrez. Ça vient à vous, pas vrai ? C'est juste là. Nous n'avons pas notre petit tableau magique aujourd'hui, mais nous avons mon préféré: le bon vieux tableau démodé dans le genre des tables de Moïse. Oui.

 

~ La nourriture

 

D'accord, donc, la nourriture. La nourriture. Vous avez parlé de la nourriture auparavant. Vous devenez plus sensibles à cela. Cela va affecter votre corps. Certains aliments que vous pensez être bons pour vous, oubliez-les, parce que votre corps change. Votre chimie, votre pH, les équilibres internes entre ce que vous appelez les énergies sombres et les énergies de lumière sont en train de changer.

 

Il y a certains aliments qui vous déclencheront quelque chose tout de suite, même si vous pensez qu'ils sont sains. Chaque nourriture est saine. Tous les aliments. Les vers sont sains (quelques rires). J'aime les vers.

 

EDITH: Tant mieux pour vous.

 

ADAMUS: Ouais, des petits vers collants. Ils sont vraiment ... (plus de rires) Eh bien, ça n'a pas d'importance. Chaque nourriture est bonne pour vous, mais il vous appartient de le ressentir. Certains aliments vont vous affecter. Même si vous dites: «Oh, je mange sain aujourd'hui. Un yogourt et des bananes ", peut-être que ce ne sera pas le cas. Peut être pas. Cela pourrait activer certaines vieilles croyances qui doivent s’en aller à présent. D'accord, donc, la nourriture. Écrivez cela sur le tableau.

 

D'autre part, la nourriture va developper un goût comme jamais auparavant. Vous allez goûter à la richesse des aliments comme jamais auparavant, même avec de la farine d'avoine. C’est un de mes aliments favoris (Linda fait des bruits grossiers). Linda hoche la tête quand je dis cela. Même avec de la farine d'avoine, il y a une telle richesse, une telle saveur lorsque vous ouvrez vos sens. Donc une sensibilité à la nourriture. Oubliez tout ce que vous avez pu penser à ce sujet. C'est presque un ordre pour avancer. Allez au-delà de toutes vos vieilles idées au sujet de l’alimentation.

 

LINDA: Monsieur, y a t-il un thème pour cela?

 

ADAMUS: Un thème. A quoi pourrions-nous penser qui nous indiquerait que nous sommes dans la Focalisation ici ? (Quelques rires) La sensibilité. La sensibilité. Qu'en est-il du bruit?

 

LINDA: Oh, oui!

 

~ Le bruit

 

ADAMUS: Dieu, le bruit! Je veux dire, tout à coup, c’est énervant, et vous pensez: «Oh, je dois devenir comme ces vieilles personnes âgées, vous savez: « Dégagez de chez moi, petits salorpards! » (Linda suffoque) « Oh, ce bruit ! Je ne peux pas le supporter. Baissez votre chaîne stéréo. " (Quelques rires) Vous devenez très sensibles à tout type de son, et cela peut être énervant. Certaines fréquences pour certains d'entre vous, sont juste horribles à entendre. Les sons forts. Que diriez-vous de ceci - je vais l'implanter en vous tous - des gouttes d'eau qui s’écoulent du robinet tard dans la nuit et vous ne pouvez pas le réparer. Flop ! Flop ! Flop! C'est comme, "Ohh!" Alors vous utilisez votre mental pour le surmonter, "Je ne pense pas à ce bruit de goutte à goutte." Vous devenez juste cinglé, parce que ça empire comme jamais.

 

Et ces sons énervants de ... Cauldre a une phobie des gens qui font du bruit quand ils mangent (Adamus fait le bruit de quelqu’un qui mange bruyamment et Linda rit). Et maintenant, vous pensez peut-être qu'il est une personne équilibrée, mais lorsqu'il est découvert, il s'avère être un peu dingue au sujet des bruits alimentaires. Alors, s'il vous plaît, s’il vous plait vous tous, lorsque vous serez avec Cauldre, pour partager un repas, ne mangez pas (rires). Ne mangez pas. La pauvre Linda doit faire face à cela depuis des années. Il peut l'entendre manger un bretzel à un km de distance (plus de rires). Et la pauvre chérie, elle ne peut même plus manger dans la maison. Pas étonnant qu'elle soit si maigre. Je veux dire, elle ne peut pas manger. Elle doit manger quand il quitte la maison. Elle le voit partir en voiture dans l'allée - "Oh, super. Maintenant, je vais pouvoir manger mon bol de céréales. " Errrrr! Il se retourne, revient - "Arrête de manger si bruyamment!" (Rires)

 

LINDA: Il exagère à peine.

 

ADAMUS: Le bruit. Maintenant, de l'autre côté, il y a la beauté du son, comme vous ne l'avez jamais entendu auparavant, dans la musique, dans la nature. Un oiseau chantant à l’aube, le matin. C'est tellement riche et sensuel. C’est un peu comme si vous étiez entre deux. Vous partez de sens vraiment mornes et ennuyeux pour aller dans le multi-sens, mais vous allez faire l'expérience de certains de ces inconforts, de ces agacements avec certains des sens.

 

~ Les réflexions négatives

 

Quels sont les autres agacements dont nous pouvons parler? Que dire des pensées négatives? Les pensées négatives. La sensibilité aux pensées négatives, les vôtres pour commencer. Vous devenez plus conscient, "Oh mon dieu, ma tête est remplie de tant de pensées négatives. Je dois être une mauvaise personne. " Non, vous êtes juste conscient. Tout le monde en a et la plupart de ces pensées ne sont pas les vôtres. Nous en avons parlé, je ne veux pas y revenir encore. Mais vous êtes devenu tellement sensible aux pensées négatives, aux trucs qui viennent d'autres personnes. C'est épuisant – et encore pire lorsque vous les considérez comme vôtres - mais c'est épuisant, ces pensées négatives.

 

Je veux faire un film avec Michael Conti un jour, sur les récurrences intérieures de votre mental. Qu'est-ce qui se passe là-dedans et comment ces choses-là, vous savez, les pensées, arrivent en quelque sorte; elles ne vous appartiennent pas nécessairement, mais vous devez les combattre et lutter contre, et vous ne gagnerez pas. Il n'y a pas de victoire possible. Vous les laissez juste partir. Mais vous êtes là à ruminer toutes ces pensées - "Je dois contrôler mes pensées. Je dois gérer mes pensées. Je dois avoir de bonnes pensées, parce que je suis une personne spirituelle. Je suis en route vers l'illumination. Pourquoi est-ce que je pense à prendre une poubelle et à la jeter dans la cour de mon voisin? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Il y a quelque chose qui ne va pas. Je dois revenir en arrière et écouter Ancestral Freedom, parce que je ne dois pas l'avoir bien compris." C'est la pensée de votre putain de voisin à propos de ses propres ordures! Ce n'était pas vos pensées pour commencer. Donc vous devenez tellement conscients, et particulièrement avec ce que vous appellez les pensées négatives. Amusez-vous avec elles. Jouez avec elles. En pensées, roulez-vous dans les ordures de votre voisin. Embrassez-le.

 

Vous verrez qu’en réalité, ce n'était vraiment pas une pensée négative. Il y avait plus à cela que de prendre une poubelle, et de la déverser dans la cour de votre voisin. C'est réellement sensuel. C'est en fait quelque chose à contempler et il y a plus à cela que ce que vous pensiez en surface. Il n'y avait vraiment pas de pensées négatives. Devenez sexy avec les pensées négatives. Vraiment. Permettez-vous d'entrer en elles. Vous avez tellement peur d'elles - "Je dois en rester loin. Oh, des pensées négatives m’arrivent. Je vais tuer quelqu'un. " Arrêtez ça. Soyez sensuel avec elles. Ressentez-les. Si une pensée vous vient et que vous dites, "Oh, le côté obscur! Lucifer! Elles vont me capter. " Non, pas du tout. Vous êtes en train de devenir sensuel, et dans cette sensualité, vous démolissez la façade (l’apparence) de ce que vous appellez une pensée négative ou mauvaise. Vous la démolissez et soudain vous voyez tout, tout est riche et sensuel. Il n'y a pas de négatif ou de positif. C'est juste une sensibilité qui arrive à travers vous. Et alors vous n’en avez plus peur. Vous n'essayez pas de la combattre. Vous n’essayez plus de surmonter la négativité.

 

Vous devenez plus sensible.

 

~ La foule

 

Qu'allons-nous ajouter à la liste? Il y en a un d’évident. Les gens. La foule. La foule. Les gens - vous pouvez séparer ça en deux parties - mais la foule.

 

LINDA: Quel terme préférez-vous ?

 

ADAMUS: La foule. Vous devenez si sensible à la foule et aux gens et vous vous dites: «Oh! Je suis un solitaire." Non, pas du tout. Vous êtes juste sensible, et la foule dégage un énorme, un énorme ressenti. Que faire alors? Eh bien, vous pouvez vous promener dans la nature ou la ressentir. Maintenant, c'est un peu dévastateur au début, car il y a beaucoup d'énergie là-dedans. Mais ressentir cette foule. Ressentez comme elle peut-être dégoûtante, ou combien elle peut être belle. Ressentez l'unité de cette foule de personnes. Ressentez la qualité moutonnesque de cette foule, sans faire de jugement, mais ressentez ces personnes.

 

Ce sera de plus en plus difficile, pendant un certain temps, d'être parmi la foule. Et nombre d'entre vous ont eu l’habitude d’être en quelque sorte, je dirais, des personnes sociales, dans le temps, mais  quelque part du fait de votre sensibilité, vous êtes devenu dé-socialisé. Alors, ressentez juste la foule.

 

Ce qui est beau dans une foule ou même dans les personnes individuelles, ce qui est beau, c’est que vous les regardez, vous les ressentez, vous êtes conscient de leurs cœurs. Il n'y aura plus de séparation, de grand mur entre vous et elles. Vous n’aurez pas à vous demander ce qu'elles pensent ou ressentent. Je ne parle pas de devenir medium et de lire dans leur esprit. Vous serez capable de ressentir cette personne, sa vie, son cheminement, si elle est encore endormie; sa beauté intérieure. Même les humains les plus méprisables ont une telle beauté en eux.

 

Ils sont sur un chemin. Ils sont différents de vous. Vous pouvez trouver difficile d’être avec eux pendant longtemps, mais vous allez commencer à reconnaitre ce qu’est une connexion d’âme à âme, une réalisation d’âme à âme. Pas l'ancien makyo de surface du genre "Namaste", mais la personne réelle et l'âme derrière ce visage et ce corps. Vous devenez plus sensible. Oui, très chère.

 

LINDA: Êtes-vous en train de dire que nous allons en quelque sorte être capables de tolérer les gens insensibles les plus méprisables?

 

ADAMUS: Absolument.

 

LINDA: Wow.

 

ADAMUS: Et voici pourquoi: parce que vous avez été une personne méprisable.

 

LINDA: Bada boom.

 

ADAMUS: Bada boom, c’est bien. Non, vous aurez une telle empathie et une telle compassion, sans vous sentir désolé pour eux, sans ressentir le besoin de commencer à prêcher, de les réveiller et tout le reste. Votre nouvelle sensibilité vous permettra de simplement être en leur présence, de capter l’intégralité de ce que vous pourriez appeler leur histoire, mais pas une histoire linéaire, l’intégralité de leur être ! – snap! - comme ça. Pas avec un jugement, mais en conscience. Vous accèderez à une compréhension à un niveau tel que vous ne vous sentirez pas désolé pour la personne qui dort dans la rue en pleine nuit. Vous l’honorerez (lui rendrez hommage). Vous aurez une telle appréciation de toute personne ayant un handicap physique, que vous cesserez de vous sentir en souffrance auprès d’eux, si vous voyez ce que je veux dire; vous arrêterez de vous sentir embarrassé ou coupable auprès d'eux. Vous les honorerez d'une manière tellement profonde. C'est ça la sensibilité. Mais vous en êtes à ce moment d’entre deux, en étant style : «Je ne peux pas supporter la foule. Je n'aime pas les gens. Je suis un solitaire ", et soudain à être le grand être empathique que vous êtes.

 

~ Les odeurs

 

Quoi d'autre? Quoi d’autre ajouter sur la liste? Oui. (Une femme dit "Les odeurs") Les odeurs ! Oh oui! Les odeurs. Quelqu'un a-t-il une sensibilité aux odeurs? Ouais. Vous devriez tous lever la main. Et si vous ne le faites pas, cela ouvre très rapidement et soudainement sur des odeurs, les odeurs de poubelles faisandées de ces sortes de toilettes, comment les appelez-vous déjà, vos toilettes portables. Ohhh, ouais, et ce n'était que la personne qui se tenait à côté de vous (quelques rires). Vous commencez à sentir l'énergie, et c'est en réalité assez grossier au début. C'est dévastateur. Ça n’est pas nécessairement une odeur physique causée par une activité anaérobie ou aérobie. C'est simplement sentir l'énergie, et oh, c'est fort parfois.

 

La beauté de cela, c’est que vous pouvez sentir l'énergie. Vous avez cette appréciation de l'énergie dans l'air, de l'énergie autour des gens. Soudain, en fait, vous ne vous ouvrez pas vraiment au sens de l'odorat; Vous vous ouvrez à d'autres sens et vous percevez cela comme une odeur, mais c'est la beauté de cela. C'est la beauté.

 

~ La nature

 

D’autres choses. La nature peut aller sur la liste. Les allergies. Soudain, toute votre vie, vous n'avez jamais vraiment eu d'allergies et soudain vous éternuez. Ce sont les arbres. Le pollen. Les poils de chien. Tous ces trucs, et vous dites : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Soudain, je ne peux plus rien gérer. Je dois devenir faible. " Non! Vous devenez sensible.

 

La nature a l'une des énergies les plus fortes de toutes. Et quand la nature traverse des changements - les fleurs qui fleurissent, les arbres, les feuilles qui sortent - c'est très, très fort. Très fort. Cela fait pleurer mes yeux de temps en temps. C’est très fort. Et vous combinez cela avec le fait que vous devenez plus sensible, mais que vous adorez la nature, mais pourtant vous allez la quitter, comme si vous trahissiez la nature ou Gaia ou quoi que ce soit – au passage, Gaia s'en va aussi, alors ça n'a pas d'importance - et cela déclenche une sensibilité dans votre être et soudain vous éternuez tout le temps. Et ensuite : "Qu'est-ce qui se passe? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Je ne peux pas apprécier la nature. Je ne peux même pas sortir, parce que j’éternue tout le temps." En fait, vous êtes en train d’intégrer la nature dans votre être afin que vous puissiez l'emporter avec vous, et c'est dévastateur, c’est écrasant parfois.

 

Maintenant, nous pourrions continuer avec vos sensibilités, encore et encore, avec toutes vos sensibilités différentes, que ce soit à la nourriture, aux sons, aux odeurs, à toutes ces choses. Ce sur quoi je voulais vraiment insister ici, c’est que vous devenez simplement plus sensuel. C'est tout. Vous êtes exactement dans cette zone entre deux et c'est très, très, très éprouvant pour votre vieux corps et votre mental.

 

Actuellement, votre corps et votre mental ne comprennent pas comment intégrer votre nouvelle sensibilité. Cela dévaste leurs systèmes. C’est si écrasant énergétiquement que ça fait exploser les connexions électriques. Ça va faire exploser certains équipements électroniques de votre ordinateur, simplement parce que, en poursuivant cette analogie, ça fait également exploser certains de vos anciens systèmes corporels.

 

Le corps et le mental ne comprennent pas comment gérer un sens qui va au-delà de la focalisation - le sens de l'Unité, le sens de l'Imagination, certains des autres sens dont nous avons parlé récemment et nous allons en reparler davantage. Le corps et le mental se posent cette grande question : «Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Pourquoi tout est-il différent? Pourquoi tout est en train de changer? " Il n'y a rien, rien, rien qui cloche. Il n'y a rien qui cloche, bien que je puisse entendre certains d'entre vous me dire: "Eh bien, oui, mais Adamus, vous ne comprenez pas."

 

Permettez-moi de vous raconter l'histoire, parce que je comprends tout à fait ce qui se passe, et quiconque parmi vous pense que son problème est très spécial et qu'il ne peut être surmonté ou quoi que ce soit, a tort. Vous passez simplement de l’état d’être une personne ennuyeuse, insipide et une personne très profondément enfouie dans une ornière, une personne très incolore, à quelqu’un qui devient très sensible et très sensuel.

 

Lord Ventor

 

Permettez-moi de vous raconter l’histoire d’un de mes collègues Maîtres Ascensionnés. Il était assis là tout à l’heure, et je lui ai dit de bouger. Il s'appelle Lord Ventor.

 

LINDA: Pfft!

 

ADAMUS: Il était britannique dans sa dernière vie. Lord Ventor. Il était assis sur ma chaise. Du style, "Monsieur! Mon bon monsieur! Dégage de ma chaise. Elle est à moi. Va t’asseoir sur la chaise de Linda. " (Quelques rires)

 

Lord Ventor est un Maître Ascensionné. Comme je l'ai dit, il était anglais dans sa vie passée. Nous l'appelons le Sept de Pique au Club des Maîtres Ascensionnés. Le Sept de Pique. Il lui a fallu sept vies d'une réelle agonie et souffrance avant qu'il n'ait son illumination. Et je veux dire par là qu'il en était très proche. Il était très proche de son illumination, mais à chaque fois, ça ne marchait pas. Il mourait avant l'illumination.

 

Je soulève cela parce que certains d'entre vous en sont très proches également et que certains d'entre vous ont fait leur transition, et c'est ... Vraiment? Vous allez revenir encore et faire cela en l'an 2042 et essayer à nouveau? Non Non Non Non.

 

Lord Ventor en a été très proche sept fois, à y être presque, comme s'il avait pu la goûter. Il aurait pu la toucher. C'était comme si ceci (le tableau) était l'illumination, la porte vers l'illumination, il était presque lààààà (touchant pratiquement le tableau), et ça ne marchait pas. Son système explosait à chaque fois, son corps et son mental.

 

Il était devenu très, très sensible. Il était devenu très sensible à la nourriture anglaise (rires).

 

LINDA: C'est facile.

 

ADAMUS: Et il avait presque cessé de manger (Adamus rit). Je n'ai jamais compris. L’Angleterre est très proche de la France. Tellement proche, mais pourtant si loin.

 

Il était devenu très sensible à la pollution. Il y avait beaucoup de pollution à l’époque, quand on utilisait le charbon tout le temps et les gens se demandaient pourquoi ils avaient des problèmes pulmonaires. C'est comme si vous brûliez du charbon et que vous le respiriez. Il était devenu très sensible aux animaux et il avait beaucoup de chevaux. Il était devenu trop sensible aux chevaux. Ça l'a tué une fois. La simple sensibilité au cheval l'a tué. Ouais. Ouais.

 

Sept fois, il a été très proche de l'illumination, mais à chaque fois qu’il sombrait dans une sensibilité dévastatrice, il essayait de la résoudre en faisant ce que les humains essayent de faire, ce que vous essayez de faire. Il essayait de surmonter cela avec certains remèdes à base de plantes. Il essayait de le surmonter par l'hypnose. C'était une blague. Il essayait de le surmonter à travers des séances de spiritisme, de la sorcellerie et tout le reste, plutôt que juste en comprenant qu'il partait d’un état d’être très linéaire-local-ennuyeux pour monter en sensibilité.

 

Finalement, il l'a compris. Finalement, je crois qu’en quelque sorte, et bien, il en est arrivé au point où il n'avait plus d'autres options. Il en était à présent à sa septième tentative vers l'illumination. Je veux dire, il travaillait dur. Il y travaillait vraiment fort. Il en était à sa septième tentative et il n'avait vraiment plus rien, et il savait qu'il allait mourrir. Il toussait. Il éternuait. Il ne pouvait plus manger cette nourriture franchement atroce. Il n'aimait pas les gens, alors il ne les laissait pas l’approcher. Je pense qu'il devait se lever pour aller aux toilettes toute la nuit, et qu’il traversait toutes ces autres choses jusqu’à ce que finalement, il n’eut plus qu’à lâcher prise. Il devait s’arrêter d'essayer si fort. Et quand il l'eut fait, il fut submergé, en quelque sorte, par la sensibilité. Mais au lieu de ce que vous appelez le côté difficile de la sensibilité, il s’ouvrit aussi à son côté sensuel, le côté qui pouvait trouver de la sensualité même dans la nourriture anglaise; la part qui pouvait entendre la beauté dans tout type de bruit. Il s’ouvrit à cet autre côté, et en lui, il y eut une avalanche de réelle sensualité, une sorte d'équilibre presque pour toutes les autres choses, et il s’ouvrit à certains de ses autres sens et il cessa de lutter. Et soudain il vit, ressentit et fit l’expérience de la beauté de toutes ces choses. Soudain, il réalisa : "Oh! Cela fait partie de l'illumination. Vous partez d'un état d’être terne et inconscient et fermé pour aller dans la sensibilité et la sensualité. "

 

Ouais, c’est agaçant quand vous avez des éruptions cutanées. C'est agaçant de tousser. C'est agaçant d’avoir le syndrome de la bouche sèche et tout le reste. Tout cela est agaçant, et tout cela fait partie de votre entrée dans la maîtrise.

 

Il n'y a aucune faute en cela. Il n'y a rien que vous faites mal. Il n'y a pas de mauvais virage. S'il y avait quelque chose que je vous recommanderais, ce serait d’arrêter de vous inquiéter à ce propos et ça sera difficile pour vous. Beaucoup d'entre vous aiment s’inquiéter. Arrêtez de vous inquiéter de cela et arrêtez de prendre tous ces trucs pour essayer de le surmonter. Arrêtez de courir voir des sorcières et des sorciers pour obtenir toutes sortes de remèdes étranges. Soyez juste sensibles. Je ne dis pas de ne jamais en prendre - Cauldre et Linda ont simultanément dit: "On ne peut pas prendre une aspirine ou une pilule anti-allergique?" Ne le faites pas exagérément. Ne vous désensibilisez pas. Vous aurez quelques jours inconfortables, des années même, mais cela n'a pas d'importance (rires). Vous vous ouvrez à votre sensualité.

 

Lord Ventor l'a finalement compris. Il l'a finalement permis, et grâce à cela, il fit l’expérience d’un ressenti exquis, une énergie exquise, une sensualité exquise, et il réalisa, oh, mon dieu, qu’il avait été un vieux rabat-joie durant de nombreuses vies. Il avait travaillé trop fort sur quelque chose qui s'appelait l'illumination, une chose à laquelle vous ne pouvez pas travailler. Vous pouvez la permettre. Point.

 

Alors, je vois tant d'entre vous, j'entends tant d'entre vous. Vous avez des démangeaisons, vous toussez, vous vous grattez, vous éructez, vous pétez, vous faites toutes ces autres choses et plein d’autres choses se passent dans votre corps, et c’est bien. Vous ne pouvez pas supporter d'être entouré d'autres personnes, mais vous ne pouvez pas supporter non plus d'être seul. Qu’est-ce qui est pire? Être seul ? Être avec d'autres personnes? Vous ne pouvez pas dormir la nuit.

 

David, cette sensibilité du sommeil que vous avez est une bénédiction, pas une malédiction. Ouais, levez-vous et allez aux toilettes en même temps, mais quand vous casserez vos vieilles habitudes de dormir huit heures et que vous serez capable de dormir un petit peu, de vous lever un petit peu, de dormir un petit peu, vous casserez les vieux rythmes. C'est une bénédiction de se lever - c'est-à-dire de se lever à deux heures du matin ou quatre heures du matin ou à deux heures et quatre heures et six heures. Et alors? Qu'est-ce qui importe dans l'illumination? Alors, qu'est ce qui compte?

 

Vous maudissez votre humanité et votre condition humaine, bien sûr, et cela devient de plus en plus intense maintenant. Mais c’est aussi une bénédiction. Et ce ne sont pas seulement des mots, car je sais que beaucoup d'entre vous ont eu de réels ressentis sensuels, des expériences sensuelles ces derniers temps. Une petite ici, une petite là-bas, une petite expérience de ressentir à nouveau, s’ouvrir à nouveau. Mais ensuite, vous vous éteignez. Vous avez peur de cela. Tout est bien. Ça va s'ouvrir de toute façon.

 

Je prends une direction un peu différente dans ce Shoud, parce que je veux que vous compreniez que vous devenez plus sensibles et plus sensuels. C'est bien. C'est un peu inconfortable mais c’est bien.

 

Mise en place du Merabh d'aujourd'hui

 

Maintenant, j'aimerais faire quelque chose. Je voudrais faire un merabh, mais j'aimerais le faire de façon un peu différente. Et je veux que vous m’écoutiez attentivement et que vous ne parliez plus avant que tout soit prêt. (Adamus s'arrête, puis rit) Je dois parler à Cauldre une minute. (Rires alors qu'il va derrière la chaise et fait semblant de parler) D'accord, nous avons parlé. D'accord.

 

Voici ce que nous allons faire. En numéro un, nous allons augmenter l’intensité de l’éclairage dans le public, et tout le monde, vous à la maison, vous aller ressentir cela. Que se passe t-il ici? Et la scène s'éclaire. Bien. Gardez toutes ces lumières allumées. N'est-ce pas intense? " Oh! Diminuez ces lumières. " Non, nous en avons besoin.

 

En numéro deux, dans un instant, je vais vous faire mettre toutes vos chaises en cercle, sans parler. Pas un mot. Pas un mot. Toutes les chaises en trop, empilez-les, mettez-les contre le mur, mettez-les là-bas. Il faut juste assez de chaises pour le nombre de personnes dans le cercle. Pas encore. Pas encore. Et tout cela sans parler, et je dois pouvoir me promener à l’arrière du cercle et qu’il y ait une ouverture juste ici pour marcher dans le cercle. Donc, seulement ces chaises. Le personnel de production, SVP ne participez pas à cela. Restez prêts à la caméra. J'ai besoin que vous soyez tous très conscients. Nous allons surtout utiliser la caméra deux, trois et quatre sur ce sujet, pour être très conscients.

 

Donc, maintenant, sans un seul mot, et nous allons mesurer le temps mis à faire cela. Qui va être notre minuteur? D'accord. Nous allons minuter cela. Avez-vous une montre?

 

LINDA: Sans blague!

 

ADAMUS: Sans blague. D'accord. Vous avez une toute nouvelle montre ‘sans blague’. Vous la regardez, "Sans blague!" (Quelques rires) C'est comme une Timex, "Sans blague !" D'accord, à trois, sans parler. Nous allons minuter cela, les chaises en cercle.

 

(Pause, alors que tout le monde commence à bouger les chaises)

 

Et Crash, vous voudrez bien prendre des photos à l'intérieur et à l'extérieur du cercle.

 

J'entends des voix et ce n'est pas la mienne. N’oubliez pas un espace pour que je puisse passer au milieu, juste là où vous placez votre chaise. J'ai besoin d’espace pour pouvoir marcher.

 

Où en sommes-nous avec le temps, Linda?

 

LINDA: Vous ne m'avez pas dit de démarrer.

 

ADAMUS: Je sais, mais où en sommes-nous? Edith?

 

EDITH: Il est 4 heures moins 10.

 

ADAMUS: Pas de téléphones cellulaires. Pas de bouches ouvertes. Combien de temps s'est écoulé depuis que nous avons commencé cela?

 

LINDA: Une minute.

 

ADAMUS: Non.

 

LINDA: Deux minutes.

 

ADAMUS: Non. Vous ne l’avez pas minuté.

 

LINDA: Vous ne m'avez pas dit quand commencer!

 

ADAMUS: Nous y sommes presque.

 

(pause)

 

Presque. Empilez certaines de ces chaises ici. Laissez-moi de la place pour marcher.

 

(Pause plus longue)

 

Bien. Cent quarante-huit secondes. Pas mal. Pas mal. Bien. Maintenant, vous pouvez vous détendre. Bien.

 

Deux ou trois choses à observer. Tout d'abord, nous faisons quelque chose de différent. Vous avez l'habitude de vous asseoir sur les mêmes chaises de la même façon tout le temps. Nous avons fait quelque chose de différent. Ce n'était pas si mal, n'est-ce pas? Vous pouvez parler maintenant (Adamus rit). Vous pouvez rire. Ouais Oui. Pas si mal. D'accord, ça c'est la première chose: la vie change quand vous entrez dans l'illumination. Ne vous attendez pas aux mêmes vieilles chaises, aux mêmes vieilles rangées tout le temps.

 

Deuxièmement, si vous aviez parlé  et je veux vraiment que vous ressentiez cela si vous aviez discuté pendant que nous essayions de faire cela, nous aurions encore pris cinq minutes à le faire. Lorsque vous parlez beaucoup, vous êtes vraiment dans la distraction. Votre bouche s’agite, votre cerveau s’agite, ensuite certains d'entre vous disent aux autres ce qu'il faut faire et certains autres s’asseoient et socialisent un peu. Certains d'entre vous vont faire pipi et font toutes ces autres choses. C'est extraordinaire ce qui peut arriver, en particulier lors d’un processus créatif, ce qui est le cas de celui-ci, lorsque cette bouche humaine ne s’agite pas. C'est un point important.

 

Si vous voulez réaliser quelque chose dans votre vie - un projet, passer à un autre niveau dans votre illumination – fermez-la et permettez. C'est tout. Vous commencez à parler - parler et penser sont tout à fait simultanés, ce sont deux choses très semblables - vous commencez à parler, vous commencez à penser et tout à coup vous bousillez un processus autrement très fluide. C'était fluide, quand on considère que nous ne l'avons jamais fait avant. Nous l’avons fait une fois sur un bateau en Egypte. C'était dur, mais ça avait fonctionné.

 

Quand vous arrêtez les discussions et toutes les pensées et que vous permettez simplement, il y a un flux qui se met en place et soudain regarde soudainement ce qui se passe. Ce n’est pas ce que j'appelle un cercle parfait, mais c’est plutôt bien. Il ressemble à un oeuf. Je suis au milieu d'un oeuf ici, une grande forme d'oeuf. C'est donc très, très important.

 

Ça change les énergies dans la pièce, n'est-ce pas? Ça les change beaucoup, et cela apporte plus de sensualité. Plus de sens commencent à s'ouvrir. Certains d'entre vous pensent que nous allons faire une pause en chantant Kumbaya dans un instant. Pas du tout. Il ne s’agit pas de ça. Je voulais juste faire quelque chose de différent pour ce merabh.

 

Vous tous qui regardez en ligne - où êtes-vous? (Il cherche la bonne caméra) Oh, vous tous qui regardez en ligne, amenez-vous maintenant. Shh! Arrêtez de parler. Amenez-vous dans ce cercle, dans ce que nous faisons et expérimentons ici.

 

Maintenant, juste ... vous y pensez. Vous le faites, tout simplement. "Je suis là", vous vous souvenez ? "Je suis là", et alors vous êtes là. Ok, bien.

 

Maintenant, mettons une petite musique légère de merabh et prenons une profonde inspiration. C'est amusant. C'est comme d’aller faire du camping (rires).

 

(La musique commence)

 

Et je n'aime pas - je veux dire, j'aime ça (un petit pot), parce qu'il dit St. Germain, j'aime ça - mais je n'aime pas tous ces trucs là, alors on va déménager ça (quelqu'un déplace le piédestal). Oh, prenez juste une profonde respiration et ressentez la beauté de la musique et de cette journée.

 

Ah! Prenez une bonne respiration profonde et nous garderons les lumières allumées. Vous les gars, vous vous amusez là-bas derrière (à l'équipe de production). Vous n'avez jamais fait cela, pas vrai? Ouais. Mais n'est-ce pas amusant? C'est créatif. Si nous vous en avions parlé au préalable, vous auriez été inquiets - "Eh bien, comment faisons-nous ceci et comment faisons-nous cela?" Mais vous êtes juste dans le moment présent. Il y a un flux en cela. Il y a une sorte de sensualité en cela.

 

Alors prenez une bonne respiration profonde. Commençons.

 

Merabh du Lâcher Prise

 

Ceci est un merabh de lâcher prise sur de nombreuses blessures. Je sais que nous avons déjà lâché des blessures et des blessures, mais il y en a encore. Mais nous allons le faire à présent un peu différemment. Au lieu de les combattre et d'essayer de les comprendre, nous allons le faire sensuellement. En les laissant juste partir. Et la partie la plus importante de ce merabh, c’est de laisser ces blessures s’en aller, mais aussi d’en embrasser la sagesse.

 

Vous voyez, dans chaque expérience que vous vivez, peu importe la difficulté, peu importe si elle cause une douleur ou la mort, il y a de la sagesse. C'est ce que l'âme adore. Elle adore la sagesse. Elle se fiche du reste. Elle s’en fiche complètement. Elle se fiche de toutes les difficultés, de toutes les histoires. Elle adore la sagesse.

 

Vous pourriez presque transposer les mots «sagesse» et «sensualité». Ils sont si proches. La sagesse. C'est cette essence de ce que l'âme retire de tout ce qui lui est jamais arrivé, de tout ce qu’elle a jamais expérimenté à travers vous. La sagesse. Cela ne signifie pas l’intelligence. Cela signifie, eh bien, c'est l'essence, la sensualité.

 

Au lieu de combattre vos blessures, au lieu d'essayer de guérir vos blessures, à présent, vous les laissez partir, et ensuite vous en embrassez la sagesse, le ressenti.

 

Et avant d'aller plus loin avec cela, je tiens à rappeler à tout le monde que dans toutes ces choses dont nous avons parlé - la sensualité, la sagesse, n’importe laquelle de ces choses, l'illumination - il n'y a pas de travail impliqué. Si vous y travaillez, cela ne se produit pas. Il n'y a pas de travail dans ce domaine. Si vous essayez, si vous luttez, si vous combattez en vous-même, si vous planifiez, si vous calculez, si vous êtes inquiet, si vous avez des démangeaisons et si vous êtes tout le reste de ces choses, c’est que vous y travaillez.

 

La réalisation, qui signifie de vraiment revenir à vos sens, c’est justement de le permettre. Il n'y a pas de calcul dans votre cerveau pour savoir comment le faire correctement, comment respirer correctement, comment s'asseoir correctement, comment manger correctement, comment faire tout cela. Il n'y en a pas. Et c'est là où tant de personnes sur le chemin ont fauté. Eh bien, pas fauté, mais elles se sont distraites avec leur makyo, par exemple avec la manière dont elles doivent le faire.

 

Quelle que soit la blessure qui se trouve là, quelle que soit la douleur ou la diffculté, quelle que soit la répugnance que vous avez par rapport à vous-même, relâchez-la sans effort. Si vous y travaillez, vous ne le permettez pas. Laissez-le s’en aller – car ça veut s’en aller - et ensuite embrassez-en la sagesse.

 

Montons la musique un petit peu et vous êtes tous ici maintenant - ceux qui regardent en ligne, vous êtes là aussi. Je veux que vous ressentiez ce qui vient ensuite. Montez la musique, s'il vous plaît.

 

(La musique devient plus forte)

 

Prenez une bonne respiration profonde. N’y travaillez plus, Edith (Adamus place ses mains sur ses épaules). Prenez une bonne respiration profonde. Bien.

 

(Adamus va ensuite à la personne suivante et se penche doucement sur ses épaules, continuant ainsi tout au long du merabh)

 

(Joanne) Il y a tellement de sagesse ... tant de sagesse à contempler.

 

(Shawna) Ouais, je peux ressentir la douleur. Je crois que vous pourriez dire,  “j’ai donné”. Alors je le comprends, mais maintenant, laissez-la juste s’en aller. Sans y travailler. Sans le forcer. Sans le fuir non plus.

 

(Sart) Sans le fuir. Vous êtes vraiment prêt à recevoir cette sagesse, d'accord? Respirez-la. Bien.

 

(Denise) Plus de fermeture. Arrêtez de travailler si fort, s'il vous plaît. Permettez-le simplement. La sagesse - la sagesse et la sensualité – c’est presque le même mot.

 

(Mary) Il n'y a pas de réponse cachée quelque part. Rien qui vous échappe. Vous n’avez pas besoin d’être si dure. Arrêtez de travailler à cela. Oof! Vous tous.

 

(Femme) Prenez une bonne respiration profonde. Détendez-vous simplement. Toutes ces choses difficiles, lorsque vous accèderez à leur autre côté, vous ressentirez ce qui se passe réellement, vous réaliserez combien il y a de sagesse à contempler. Beaucoup.

 

(Alaya) C'est là que vous relâchez toutes ces blessures. Elles ne vous servent plus. Pas du tout. Elles avaient juste besoin d'une bonne occasion, d’un bon Merabh de Shoud comme celui-là pour les laisser partir. Ne travaillez pas dessus. Je peux vous sentir en train d’y travailler. Laissez-les s’en aller tout simplement.

 

(Nancy) Et vous réaliserez que je ne fais rien de cela. Je me tiens juste debout là. Comme je vous l'ai déjà dit, je suis avec vous à chaque étape. Je ne fais rien. Je vous laisse juste savoir que vous allez bien. Eh bien, vous le savez déjà, n'est-ce pas? Maintenant, récoltez cette sagesse. Laissez tout cela s’en aller et apportez simplement la sagesse.

 

(Caroline) Je vous rappelle simplement ce que vous savez déjà. Il n'y a rien de comparable en fait à toucher un être humain, d’être près d'un humain, dans une totale compassion, un complet honneur, amour. Relâchez toute cette douleur. Respirez dans la sagesse. Plus aucune douleur.

 

(Vince) C'est comme si je jouais le rôle du Maître, le Maître qui est en vous. J'adore ce rôle, car je peux me ressentir si profondément en chacun de vous. Vous êtes un peu comme ce Lord Ventor. Tellement proche, mon ami. Vous vous accrochez si fort. Prenez juste une bonne et profonde respiration. Apportez cette sagesse. Juste en permettant.

 

(Laughing Bear) Cela ressemble à une sorte de new-age, n'est-ce pas? Ouais, mais c'est très sensuel. Une bonne respiration profonde. Préparez-vous dans votre vie pour des secousses à venir très bientôt. Permettez-les simplement, voulez-vous? Permettez-les juste. Ne les camouflez pas. Permettez-les juste. Le Maître en vous vous demande: "Pouvez-vous simplement faire confiance?"

 

(Femme) Je pense que je m’amuse plus avec vous tous que ce que j'ai fait depuis bien longtemps. Et pour tous ceux qui regardent en ligne, en même temps que je passe de l’un à l’autre, je vous touche aussi tous et chacun de vous. Ah, pas besoin d'avoir peur. Juste permettre. Bien.

 

(Marcus) Il est temps de lâcher les blessures. N’y travaillez pas. Si vous y travaillez, ça restera là. Vous les relâchez simplement et vous en inspirez rapidement la sagesse. Vous la respirez. Et voilà. Il ne retient pas, vous voyez. Cet homme permet cette sagesse ... Hm. Bien.

 

(Tom) Portez juste cette sagesse en avant. Pas besoin de la retenir. Portez-la en avant. Pour certains d'entre vous, c'est tellement clair, la sagesse, comme pour ce grand homme ici. Il y a tant de sagesse, mais vous avez presque peur de la faire sortir. Vous pensez juste que ce n’est pas le bon moment. Non, il suffit de la faire sortir. Portez-la en avant.

 

(Alain) Toutes les blessures. De l'énergie bloquée, c’est tout ce que c’est. Prenez juste une profonde respiration et allons au-delà de cela. Ensuite, vous laissez cette sagesse surgir. Vous arrêtez d'essayer de vous guérir ou de vous réparer. Vous laissez juste cette sagesse advenir. Les mots sagesse et sensuel, créatif – ce sont presque les mêmes.

 

(Patricia) Un de ces jours, nous referons cela à nouveau, pas lors d’un Shoud, mais pour quiconque veut venir ici et le faire. Et j'aimerais que chacun d'entre vous ait la chance de simplement toucher et ressentir et tenir le plus grand des êtres. Prenez une bonne et profonde respiration. Plus de travail à ce sujet. Juste le permettre. D'accord.

 

(Femme) Mm. Vous avez tellement de sensibilité, cela provoque des éruptions cutanées sur votre corps. Maintenant, vous laissez simplement passer cela – sans y travailler, nous le laissons juste vous traverser - et ce qui se mettra à sa place, c’est la sagesse ... et beaucoup de grâce.

 

(David) Avoir vraiment confiance en soi-même, c'est beau, mais c'est difficile. Vous pouvez vous demander en quoi avoir confiance parfois, mais, eh bien, comme Lord Ventor, tôt ou tard, vous n'aurez plus le choix, et vous ferez juste confiance. Vous arrêterez de travailler à ce sujet. Vous arrêterez de tenter de le comprendre. Vous permettrez simplement. Bien.

 

(Steve) Eh bien, c'est un Shoud différent, n'est-ce pas? (Adamus rit) Prenez une bonne respiration profonde. Une bonne respiration profonde. Ah! C’est tellement prêt à vous traverser, mon bonhomme. Tellement prêt. Il y a certaines choses anciennes enfouies là, vous prenez juste une respiration profonde. Vous n’avez pas besoin de savoir ce que c'est, vous réalisez juste qu'il est temps. Le temps d'aller au-delà. Génial.

 

(Tiffany) Bon. En voici une qui est tout à fait prête. (Adamus rit) Tout à fait prête à laisser s’en aller beaucoup de choses. Mais elle ne pensait pas qu'elle savait comment s'en débarrasser. Elle pensait que ce serait comme attaché à elle de manière permanente, comme une poubelle remplie d'ordures avec des conduits bouchés tout autour. Eh bien, il suffit juste de retirer le ruban adhésif et de laisser les déchets derrière vous, d'accord? C'est tout. Vraiment simple. Je ferai une histoire de Maître autour de ça un jour. D'accord.

 

(Larry) Il veut me frapper. Non, il le fait vraiment. Je veux dire, il le fait vraiment (quelqu'un rit). Ouais. Ouais. Mais il sait que je connais le Kung Fu, et je suis derrière lui (Adamus rit). En fait, il est drôle. Il n’essaie pas, il ne travaille pas tellement à cela. Il croit juste que ce n’est pas possible. Qu’est-ce qui est pire? Y travailler dur ou ne pas y croire ? Lequel préféreriez-vous avoir? Aucun, d'accord? Tout ce que vous croyez est la réalité que vous créez. Quoi que vous permettiez dans votre vie, sans tous ces boucliers et barrières et tout ce que vous avez mis en place, cette sorte de protection contre les blessures; ce que vous permettez, c'est ce qui advient. C'est aussi simple que cela, pas pour les autres, mais pour vous. Arrêtez le makyo. Commencez à ressentir à nouveau, mon ami. Oh! Commencez à ressentir de nouveau. C'est la sagesse, d'accord? Sommes-nous amis? (Il dit oui de la tête et ils se touchent la main) Bon. Bien.

 

(Astraya) Ah! Un ange. Mm. Ce sera vraiment ennuyeux pour l'avant Shoud la prochaine fois. Ou peut être pas. Faites une bonne respiration profonde. Vous êtes si proche. Et Lord Ventor s'intéresse particulièrement à vous. Vous feriez mieux de le regarder. Il est - hmm - anglais (quelques rires). Lâchez prise simplement, ok? Vous n’y travaillez pas. Vous lâchez prise tout simplement, d'accord? Bien.

 

(Vicki) Et je dois vous demander, ressentez-vous mon toucher? (Elle dit oui de la tête) Je veux dire, pas seulement un toucher physique, mais ...

 

VICKI: Oh, oui.

 

ADAMUS: Ouais. D'accord. Maintenant, amenez cela dans votre corps. C'est sensuel. Ce ne sont pas seulement mes mains sur vos épaules, mais c'est vous et moi, dans une sorte de fusion, de danse, de ressenti. D'accord, une respiration profonde. Trop de résistance, d'accord? Permettez simplement. Vous remarquerez que je n’ai pas de programme, de but dans mon toucher, d'accord? Merci.

 

(Olivia) Prenez une bonne respiration profonde. Ah, il y a une telle beauté dans vos yeux, mais aussi une souffrance. D'accord. Laissez-la juste s‘en aller. D'accord, il s'agit de sagesse maintenant. Il s'agit d'être sensuel. D'accord. Plus de travail acharné. Plus de tentatives.

 

(Tess) Pour tous ceux qui regardent, tout le monde, vous êtes là. Vous faites partie de cela. Je ne passe pas seulement d'un humain à l'autre. Je suis avec vous tous. Et je ne le fais pas. Je le dis juste, ma chère, hmm, pas beaucoup de souffrance ici. Pas beaucoup de problèmes. Qu’est-ce que ça vous ferait si vous étiez parmi les premières à atteindre votre Réalisation, vos sens? C’est un peu intimidant peut-être, mais je sens que vous êtes prête. Respirez-le.

 

(Eric) Hm. D'accord ... (longue pause) Remarquez que je n’ai pas dit un mot (Eric dit oui de la tête). Nous n'avions pas à le faire. Je vous remercie. Nous n'avions pas à le faire. Tout était bien là.

 

(Olga) D'accord. Prenez juste une respiration. Juste, ooh. Ressentez dans la partie supérieure de la poitrine, vous retenez juste certaines choses là. Vous les crachez. (Adamus fait un bruit de crachat et elle se met à rire) Et alors, quand vous riez, ça apporte beaucoup de sagesse.

 

(Elizabeth) Ah! Plus de travail à ce sujet. Plus de luttes. Il y a tellement de sensualité qui arrive à l'heure actuelle, qui s’écoule simplement. Vous pouvez presque le voir quand vous la regardez. N’en ayez pas peur. Demandez-vous juste où c’est. Bien.

 

(Carole) Regardez tous ces prix Adamus sur son badge. Oh mon Dieu. Elle a dépensé beaucoup d'argent ou elle est vraiment bonne. Pas de travail. Pas de travail. Pas davantage, d'accord? Respirez profondément. Amenez-le à la sagesse. Embrassez la sagesse de chaque expérience que vous avez jamais eue. (Adamus claque quelque chose sur son dos) Egh! Elle retenait quelque chose. Je devais le laisser tomber. C'était comme une petite bestiole sur votre dos.

 

(Silvia) Une respiration profonde. En voici une qui ne retient pas vraiment grand chose. Pas beaucoup d'anciens problèmes, merci, mais elle attend juste la permission d'être sensuelle, d'être illuminée. Cela ne viendra pas de moi cependant. Vous devez le faire pour vous-même, d'accord?

 

Prenons une profonde respiration ensemble.

 

Quelques remarques pour aujourd'hui. Attendez-vous à ce que les choses soient différentes. Ne vous attendez pas à toujours être assis sur les mêmes chaises dans la même rangée de la même manière. Quand un cercle vient à vous, embrassez-le.

 

Faites-le tranquillement sans beaucoup y penser, sans beaucoup d’attentes et d’inquiétude. Faites-le simplement. Le fait de créer cela aujourd’hui  a pris moins de trois minutes. C'était facile. Laissez-le venir à vous. Taisez-vous quand vous le faites. Stoppez toute intervention humaine dans le processus d'illumination. Oui, ce sera différent. Oui, vous devrez peut-être faire vos trucs (de production) ici de façon très différente. Ce n'était pas si difficile. Ouais, ça pourrait être un peu bizarre. Nous sommes assis en cercle; Je viens toucher tout le monde.

 

L'esprit, l'illumination vient à vous d’une manière à laquelle vous ne vous attendez probablement pas. Vous avez essayé de les faire venir de la même façon encore et encore pendant longtemps, en attendant que l'illumination en résulte, et cela viendra de manière très différente.

 

Et le troisième et probablement mon plus grand point aujourd'hui, vous ne pouvez pas travailler votre chemin vers l'illumination. Vous ne pouvez pas combattre vos vieilles batailles et vos vieux démons, et y travailler dur, et le souffrir, le comploter et le planifier, comme vous l'avez fait. Vous le permettez simplement. Vous le permettez simplement.

 

De temps en temps, une distraction se produira, que ce soit moi me tenant debout derrière vous – ce qui est une belle distraction. Je ne faisais rien. Je n’étais pas en train de vous guérir. Je ne veux pas. Je ne mettais pas d'énergie sur vous. Je ne faisais rien. Je vous distrayais suffisamment longtemps pour que vous vous ressentiez. Tout ce que vous avez ressenti, que vous soyez ici ou que vous regardiez en ligne, ce que vous avez ressenti ne venait pas de moi. Ça venait de vous.

 

Prenons ensemble une bonne respiration profonde.

 

Merci, mes chers amis, de m'avoir permis d'être ici avec vous durant ce moment magnifique, sensuel et plein de sagesse.

 

Prenons une bonne respiration profonde et rappelez-vous que tout est bien dans toute la création, en particulier la vôtre. Je vous remercie.

 

Je suis Adamus, dans le cercle. Je vous remercie. (Applaudissements du public)

LES ENSEIGNEMENTS DU CIRCLE CRIMSON

Série du Transhumain

SHOUD 8 - ADAMUS SAINT-GERMAIN, canalisé par Geoffrey Hoppe

 

Présenté au Crimson Circle le 1er avril 2017

www.crimsoncircle.com

 

Je suis que je suis, Adamus du domaine souverain.

 

Prenons une profonde respiration tous ensemble alors que nous commençons ce Shoud. Une bonne et profonde respiration tous ensemble.

 

Avez-vous ressenti comme quelque chose a changé dans la pièce? Comme quelque chose a changé où que vous soyez ? En commençant ce Shoud avec ces très belles et très sensuelles vidéo et musique (se référant à cette video), pendant que vous laissiez tous vos soucis et vos préoccupations s’en aller un moment, votre attention a été distraite, focalisée sur les images à l'écran, faisant émerger de nombreux souvenirs; votre amour pour cette planète – la chose dont les Shaumbra disent qu’elle leur manquera le plus dans cette dernière vie. La chose qui leur manquera le plus, mais chers Shaumbra, juste un rappel pour vous dire que la chose précise dont vous pensez qu’elle va vous manquer le plus, bien plus que votre famille ou vos proches ou vos animaux de compagnie ou tout autre chose – la nature – cette nature, cette Gaia est en vous pour toujours. Où que vous alliez, même dans les dimensions non physiques, vous l’emporterez avec vous.

 

C'est ce qui fait la beauté d'être un Maître Ascensionné. Une fois que vous êtes venu sur cette planète, une fois que vous avez ressenti les vibrations de la nature – la nature -, cela donne vie à la vie, cela vous amène à l'expression, même d'une manière très focalisée, singulière, mais cela vous amène à l'expression - la nature , vous allez l'emporter partout où vous irez.

 

Ne serait-ce qu’une simple promenade dans les bois, même si vous vous retrouvez dans une lointaine galaxie, même si vous êtes dans les autres dimensions, vous pourrez toujours ramener cela à vous. C'est la beauté de ce que vous avez fait ici, surtout dans cette vie. En l'amenant en vous, en l'intégrant.

 

Prenons une bonne et profonde respiration avec cela, pour (acter) ce changement qui s'est produit alors que jouait cette belle video musicale; ce changement qui s'est produit alors que vous avez juste permis un instant. Permis de nombreuses choses. Vous vous êtes permis de vous installer, de sortir de votre mental, d’arrêter cette pensée incessante, cette pensée tambourinante que vous avez tendance à nourrir si souvent. Vous vous êtes permis d'être sensuel. Pendant que la vidéo jouait, il ne s’agissait pas seulement de focalisation – du sens de la Focalisation, de la focalisation sur la Focalisation. Pendant un moment, vous avez laissé les autres sens commencer à entrer.

 

J'ai beaucoup parlé des sens ces derniers temps, parce que c'est finalement ce qui se passe avec un Maître qui sort de l’éveil et qui entre dans l'illumination incarnée. Vous réalisez qu'il ne s'agit pas d'étudier les textes ou les écritures anciens, il ne s’agit pas de vous astreindre à une discipline que peut-être vous n’aimez pas faire en fait, mais il s’agit de simplement vous ouvrir à vos autres sens de manière naturelle, facilement.

 

Traverser des Changements

 

Je sais que vous êtes en quelque sorte dans un état de fluctuation actuellement. "Fluctuation", ai-je dit. Un état de fluctuation, un état de, oh, d’une certaine confusion, un état de transition actuellement, et c'est totalement naturel, totalement attendu. Vous traversez cela de manière vraiment beaucoup plus gracieuse que ne l’ont fait de nombreux Maîtres Ascensionnés. Vous traversez cela de manière beaucoup plus intégrée que ne l’aurait prévu n'importe lequel des Maîtres Ascensionnés assis au club.

 

C'est difficile. C'est éprouvant. Aucun doute là dessus. C'est presque comme si vous étiez absorbé par la gravité - une gravité qui voudrait vous ramener dans le mental, le sens singulier de la Focalisation; une gravité qui vous aspire et vous ramène dans les anciennes manières de faire et ensuite qui vous maintient dans les tentatives de perfectionnement de ces anciennes façons de faire, pensant que cela va certainement vous conduire à votre réalisation. Vous en êtes à ce point où vous revenez à vos sens alors que vous êtes encore dans votre corps physique, alors que vous êtes en train d’intégrer des choses comme la nature, alors que vous intégrez les expériences physiques de votre vie.

 

C'est vraiment profond. Il n'y a vraiment aucun mot humain pour le décrire, mais vous effectuez une transition. Et la plus grande chose que j'entends dans vos querelles nocturnes avec moi, dans vos débats nocturnes avec moi; la plus grande chose que j'entends, et même dans vos moments d’intimité quand vous êtes avec vous-même, vous vous demandez encore et encore: "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous avez un peu mal à la tête: "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous avez mal aux orteils : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous avez des pensées tordues : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous ne vivez pas dans votre vie un flux régulier de synchronicités, ou vous ne vivez plus l'ancien ennui dans votre vie, et vous vous demandez : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Et je vous le dis encore et encore, "Absolument rien".

 

Vous rencontrez tant de changements en même temps, de profonds changements dans votre corps et votre mental. Il n'y a rien qui n’aille pas. Si vous pouviez juste inspirer cela et le permettre la prochaine fois que vous traverserez une de ces choses - "Pourquoi tout s’effondre dans ma vie ? Pourquoi mon corps me fait-il souffrir? Pourquoi est-ce que je me sens tellement chamboulé? "- parce que vous êtes en train de traverser le plus grand changement de toutes vos vies, de plus d’un millier de vies. Parmi toutes les choses que vous avez vécues, vous êtes en train de traverser le plus grandiose des changements, alors même que vous êtes dans ce corps physique, alors même que vous êtes en train de transcender le mental pour retourner à vos sens.

 

Il n'y a rien qui cloche, mais c'est presque comme une prophétie auto-réalisatrice. C'est presque comme si vous vouliez qu'il y ait quelque chose qui ne va pas. Peut-être, d’une certaine façon. Un petit peu. Ben ouais. De façon en quelque sorte maladive, du genre - "Vous avez besoin d’une psychothérapie" - (quelques rires). "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Voulez-vous vraiment la réponse à cela? Qu'est-ce qui ne va pas chez vous? "Pourquoi mon corps tombe-t-il en déliquescence? Oh mon Dieu! Je dois avoir une terrible maladie. Je vieillis. Je ne peux plus penser. " Il n'y a rien qui cloche. Vous êtes en train d’effectuer une transition. Ça a des effets négatifs sur votre corps. Vraiment. Ça a des effets négatifs sur vos pensées et votre mental et tout le reste, tout ce que vous pensiez être, tout ce à quoi vous vous identifiez. Ça a un impact.

 

Mais si vous pouviez respirer profondément et dire de la manière la plus digne d’un Maitre - prenez une profonde inspiration et dites-vous, comme le dirait un Maître - «Tout cela fait partie de cette chose que j'ai choisie, appelée l’illumination incarnée. C'est tout ce que c’est. C'est tout ce que c’est.

 

Alors, la prochaine fois que vous recevrez une contravention pour excès de vitesse, alors que vous ne saviez même pas que vous étiez en excès de vitesse; la prochaine fois qu'une assiette tombera de vos mains et se brisera; la prochaine fois que vous glisserez et vous blesserez au coude ou quoi que ce soit qui pourrait advenir; la prochaine fois que vous passerez une nuit totalement blanche; la prochaine fois que vous attraperez un rhume ou une grippe, la prochaine fois que votre partenaire vous quittera, quoi que ce soit, respirez profondément. Il n'y a rien qui cloche chez vous. Vous êtes simplement en train d’entrer dans votre maîtrise. Et plus tôt l'humain reconnaîtra cela, plus tôt l'humain permettra le "et" - "Oh, et il n’y a rien qui cloche, cela fait partie de cette transformation, de cette expansion, de cette intégration, de cette prise de conscience multidimensionnelle", quoi que ce soit qu’il arrive, la prochaine fois que ça arrive, prenez-le comme le ferait un Maître. Respirez comme un Maître. Soyez en grâce comme un Maître et permettez-le simplement.

 

L'humain, oui, voudra probablement hurler et, "Oh! Mais rien ne va dans ce que je fais." Non. Votre vie est en train de changer.

 

Je vous l'ai déjà dit, quel est le pire, le pire scénario possible? Que rien ne change. Le pire scénario serait que vous continuiez à faire ce que vous faites depuis un millier de vies. Combien d'années cela ferait-il, un millier de vies? Un paquet d'années. Cent mille ans ou quelque chose comme ça, pour certains d'entre vous un peu plus, pour d’autres un peu moins. Mais voulez-vous vraiment continuer à faire la même chose encore et encore? Est-ce que -en fait, c’est une question encore plus importante - est-ce vraiment ça la sécurité? Est-ce vraiment ça la sécurité ? De juste continuer à faire la même chose, à se lever à la même heure tous les jours, à manger le même repas, à avoir les mêmes discussions avec les mêmes amis, à aller au même travail et à avoir les mêmes soucis humains.

 

Vous avez le sentiment que, "Eh bien, c'est sûr. Je connais la bête. Je connais déjà le résultat, alors je vais simplement rester avec ça." Mais en fait, ce n'est vraiment pas sûr. C'est en fait, pourriez-vous dire, l'une des choses les plus dangereuses que vous pourriez vous infliger - vous mettre dans une ornière, et vous enfoncer encore plus profond dans cette ornière.

 

Le plus drôle - drôle pour moi, pas pour vous – le plus drôle, c'est que lorsque vous essayez de vous mettre dans une ornière, lorsque vous essayez d'entrer dans vos modèles parce qu'ils sont confortables et qu’avec eux vous savez ce qu'il faut anticiper, il y a une autre part de vous appelée le "Maître Botteur de Fesses " - MBF - qui se présente et qui vous voit dans cette ornière puante dont l'humain se plaint et il fera des choses pour vraiment vous faire bouger, parce que le Maître ne veut pas que vous restiez dans une ornière. Il ne veut pas se retrouver dans une ornière. Alors le Maître Botteur de Fesses viendra et vous en fera sortir.

 

Prenons une bonne et profonde inspiration avec cela, alors que nous commençons avec notre question du jour, la question du Shoud. Linda, prête avec le micro?

 

La question du jour

 

LINDA: C’est bon.

 

ADAMUS: C'est bon. Et c'est parti. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie actuellement et pourquoi? Augmentez l’éclairage, s'il vous plaît.

 

LINDA: Oh, puis-je répondre à cela?

 

ADAMUS: Oui, en fait, j'allais vous le demander. Vous êtes la première. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie actuellement et pourquoi? Allez-y. Si vous voulez bien vous lever.

 

SHAUMBRA 1 (femme): D'accord. Des taches sur tout mon corps.

 

ADAMUS: Des taches. Pourrions-nous voir ces taches sur votre corps? (rire)

 

SHAUMBRA 1: (rires) Non

 

ADAMUS: Ay yi yi! Des taches. Des taches, et vous provoquent-elles des démangeaisons?

 

SHAUMBRA 1: Oui.

 

ADAMUS: Sont-elles violettes ou vert?

 

SHAUMBRA 1: (rire) Rose vif.

 

ADAMUS: Rose vif. Ce n'est pas si mal. Ensuite, elles deviennent vertes, quand nous avons des problèmes, mais ... et vous dites-vous : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?"

 

SHAUMBRA 1: Oui, tout à fait.

 

ADAMUS: "J'ai des taches sur le corps." Et pourquoi ces taches sur votre corps?

 

SHAUMBRA 1: Je n'en ai aucune idée. C'est nouveau.

 

ADAMUS: (chuchotements) Ouch! (Quelqu'un dit "Ohh!")

 

LINDA: Ohhh!

 

SHAUMBRA 1: (rire) Ohhh!

 

LINDA: Ohhh!

 

ADAMUS: D'accord, c'était très près.

 

SHAUMBRA 1: C'était ...

 

ADAMUS: C'était trop près. Je veux dire, si vous aviez dit quelque chose comme "Je ne sais pas ..."

 

SHAUMBRA 1: Je ressens comme  si...

 

ADAMUS: Ouf!

 

SHAUMBRA 1: J'ai l'impression de traverser une certaine transformation, oui.

 

ADAMUS: Ouais, oui.

 

SHAUMBRA 1: Absolument.

 

ADAMUS: Qu'est-ce que vous faites pour ces taches? Est-ce que vous prenez du sel contre les taches ou quelque chose comme ça?

 

SHAUMBRA 1: Rien.

 

ADAMUS: Rien.

 

SHAUMBRA 1: Non.

 

ADAMUS: Vous laissez simplement les taches telles qu’elles sont.

 

SHAUMBRA 1: Oui.

 

ADAMUS: Que pensez-vous qui en est, eh bien, la cause racine et ensuite la cause physique? Quelle en est la cause principale (cause racine) ?

 

SHAUMBRA 1: Hmmm, la cause racine...

 

ADAMUS: Quelle est la taille des taches?

 

LINDA: Mon dieu!

 

ADAMUS: Eh, c'est couvert de taches. Nous sommes en famille! Nous pouvons parler de ces choses. Nous pouvons faire une démonstration en images ici.

 

LINDA: Ne le faites pas! Ne le faites pas!

 

SHAUMBRA 1: D'accord! (ils rient)

 

ADAMUS: Vous voulez voir les miennes? (Plus de rires)

 

SHAUMBRA 1: Bien sûr!

 

ADAMUS: Donc cause racine. Cause première.

 

SHAUMBRA 1: Euhhh ...

 

ADAMUS: Oh, j'adore celle-là.

 

SHAUMBRA 1: De petites ... probablement ...

 

ADAMUS: Des punaises de lit.

 

SHAUMBRA 1: ... irritations.

 

ADAMUS: Des irritations. Quel genre d'irritations?

 

SHAUMBRA 1: Pas comme dans certaines choses.

 

ADAMUS: Je peux voir à travers vos vêtements. Je peux voir les taches. Oh mon.... Ce n'est pas si grave (elle rit).

 

SHAUMBRA 1: Je ...

 

ADAMUS: Elle m'a cru.

 

SHAUMBRA 1: Je crois vraiment que ce sont de petites irritations de la vie.

 

ADAMUS: De grandes irritations de la vie, oui, oui.

 

SHAUMBRA 1: Petites et grandes.

 

ADAMUS: Et voudriez-vous mettre un nom sur ces irritations?

 

SHAUMBRA 1: (rire) Les interrogations sur ce qui va se passer.

 

ADAMUS: Ouais. Je veux dire, y a-t-il un nom associé à l'irritation, comme Bob ou Mary ou quelque chose comme ça? (Elle rit) Rien de ce genre ne s’est passé ?

 

SHAUMBRA 1: Un peu ... Eh bien, peut-être.

 

ADAMUS: Ouais, maintenant que vous le mentionnez (elle rit). Vous n’y aviez jamais pensé de cette façon, mais oui. Et en fait, la vraie raison – ce sont les allergies alimentaires auxquelles vous n'êtes pas encore vraiment ajustée. Mais il y a quelque chose qui est en train de se passer ...

 

SHAUMBRA 1: Vraiment?

 

ADAMUS: ... avec tout le processus de digestion des aliments. Les gens dans votre vie viennent juste en quelque sorte se surajouter à cela. Mais, non, c'est une allergie alimentaire.

 

SHAUMBRA 1: Vraiment?

 

ADAMUS: Ouais, oui.

 

SHAUMBRA 1: Oh.

 

ADAMUS: Ouais. Et quel type d'aliments aimez-vous?

 

SHAUMBRA 1: Les fruits et légumes.

 

ADAMUS: Ah, merde (elle rit). Les fruits et légumes. Non, c'est vraiment bon.

 

SHAUMBRA 1: Et un peu de sucre.

 

ADAMUS: Et un peu de sucre, ah, le sucre est lâché (elle rit). Qu'en est-il des céréales naturelles ou ...

 

SHAUMBRA 1: Ouais, ça aussi.

 

ADAMUS: Ouais. De la crème glacée?

 

SHAUMBRA 1: Mm, parfois.

 

ADAMUS: De temps en temps. D'accord. De la viande ?

 

SHAUMBRA 1: Non.

 

ADAMUS: Pourquoi?

 

SHAUMBRA 1: Je n'aime pas ça, je n’ai jamais aimé.

 

ADAMUS: Du poisson? Du poisson?

 

SHAUMBRA 1: J’aimais avant, mais plus maintenant.

 

ADAMUS: De l’agneau?

 

SHAUMBRA 1: Pas du tout.

 

ADAMUS: Vous n'aimez pas les kebabs d'agneau?

 

LINDA: J'aime porter de l'agneau!

 

ADAMUS: Wow! Hou la la! (Quelques rires) Qu'en est-il du poulet? Le poulet.

 

SHAUMBRA 1: Occasionnellement.

 

ADAMUS: A l'occasion. Ouais ok. Donc, vous avez des allergies alimentaires en cours. Trop d'acides dans le corps causant ... eh bien, ce ne sont pas seulement les acides, mais des allergies alimentaires. Changez votre nourriture.

 

SHAUMBRA 1: Changer de nourriture.

 

ADAMUS: Changez. Ne passez pas des bananes aux pommes. Je parle de passer d'un régime biologique frugivore très sain à un régime très merdique - pizza et poulet frit (certains rires). Changez de nourriture.

 

SHAUMBRA 1: D'accord.

 

ADAMUS: Maintenant, maintenant je vous dis cela et, au début votre estomac va se rebeller parce que vous avez programmé dans votre mental que certains aliments sont bons, certains aliments sont mauvais. Essayez un peu. Les crevettes. Vous aimez les crevettes ?

 

SHAUMBRA 1: Non.

 

ADAMUS: Mangez-en (rires). C'est bon pour vous. Quelques crevettes. Et Sandra, notez-le. Des crevettes pour notre prochaine renconre ici. Oui, et nous vous regarderons manger des crevettes. Jean, voulez-vous le noter, nous allons faire une petite vidéo sur la consommation de crevettes. Et une sur le poulet. Quelques petits blancs de poulet ...

 

SHAUMBRA 1: Je peux le faire.

 

ADAMUS: ... ou quelque chose comme ça, vous savez. Et juste ... vous avez des allergies alimentaires qui sont associées à vos croyances et, qui sont parties prenantes de ce processus - je ne vais pas déjà révéler ma conclusion, mais tout ça est grandiose. Merci (elle rit). Yeah Yeah.

 

SHAUMBRA 1: Merci.

 

ADAMUS: Et aussi ces trucs de taches.

 

SHAUMBRA 1: Ces trucs de taches.

 

ADAMUS: Ouais, oui. Et les bains de sel.

 

SHAUMBRA 1: D'accord.

 

ADAMUS: Ouais. Mais dans le bain de sel, faites-vous couler un bon...- vous avez une belle baignoire, n'est-ce pas?

 

SHAUMBRA 1: Oui, un jacuzzi.

 

ADAMUS: Faites-vous couler un bon bain et mettez du sel de mer naturel dedans et ensuite mettez-y quelques-unes de ces crevettes (rires) et regardez-les flotter. Elles vont grignoter toutes ces petites taches et elles les mangeront. Ouais, c'est génial. Ooh! Un bain à la crevette. Je n'en ai pas pris depuis longtemps. Il y a encore des choses humaines qui me manquent. Un bain à la crevette. Juste, ouais. Protégez vos parties intimes, mais à part cela (plus de rires), le bain à la crevette est tout simplement génial. Bien. Merci. Mais les allergies alimentaires sont la réponse.

 

SHAUMBRA 1: C'est facile.

 

ADAMUS: Ouais. C'est facile. Ouais. Maintenant, est-ce que vous allez vraiment faire cela ou est-ce un bon gros Poisson d’Avril que vous faites à l'oncle Adamus en disant que vous allez changer votre alimentation? Allez-vous vraiment, en quelque sorte, essayer de commencer à mettre d'autres groupes d’aliments dans votre régime quotidien?

 

SHAUMBRA 1: Bien sûr, je peux le faire.

 

ADAMUS: Ouais, une petite lasagne, peut-être, avec une bonne saucisse dedans et ... (elle fait une grimace) Non, essayez ... Vous voyez ? Vous voyez? Qu’est-ce que je vous disais? Je commence, je donne cette profonde conférence - nous aurions presque pu terminer le Shoud ici même - et je vous dis qu’il y a des changements dans votre vie et vous réagissez : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Vous traversez des changements. Voulez-vous s'il vous plaît ne pas entrer dans une ornière?

 

SHAUMBRA 1: D'accord.

 

ADAMUS: Allez-vous essayer de changer de nourriture un petit peu?

 

SHAUMBRA 1: Absolument. Je vais le faire.

 

ADAMUS: Un petit peu. D'accord. Yeah Yeah. D'accord. Je vous remercie.

 

SHAUMBRA 1: Merci.

 

ADAMUS: Merci. Aimez-vous ...

 

LINDA: Oh, il n'en a pas fini avec vous. Il n’en a jamais fini (rires). Jamais.

 

ADAMUS: Je pense à toutes les choses que j'ai adorées! Vous aimez le canard?

 

SHAUMBRA 1: Non.

 

ADAMUS: Le canard vous aime! (Plus de rires) Ouais, essayez. Essayez. Bien. Un petit canard de Pékin.

 

SHAUMBRA 1: Coin-coin.

 

ADAMUS: ça fait des années.

 

SHAUMBRA 1: Coin-coin.

 

ADAMUS: J'aimerais que Cauldre et Linda ...

 

SHAUMBRA 1: Coin-coin !

 

ADAMUS: ... me sortent plus souvent pour découvrir une nourriture intéressante (quelques rires).

 

LINDA: Je ne suis pas responsable.

 

ADAMUS: Je sais que vous ne l'êtes pas (rires et Adamus pointe son doigt vers Cauldre et chuchote "Il est ennuyeux!") Des pizza et des hamburgers, ouais. Je suis étonné qu’il n'ait pas une grosse tache qui le recouvre (Linda rit). Mais merci. Je vous remercie. Bonne façon de commencer. Au suivant.

 

LINDA: Eh bien, les esprits inquisiteurs veulent savoir.

 

ADAMUS: Oui. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie et pourquoi?

 

DAVID: Me lever au milieu de la nuit pour aller aux toilettes. (Linda rit)

 

ADAMUS: N'est-ce pas naturel?

 

DAVID: Je le fais plus que de nature.

 

ADAMUS: Plus que de nature.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: D'accord, qu'est-ce qui se passe?

 

DAVID: Eh bien, euh ...

 

ADAMUS: Ohhh! Attendez. Faisons un arrêt sur image. Il est juste devenu mental. Avez-vous vu ça? Il a commencé à penser à ce qu'il pense être un problème de devoir se lever au milieu de la nuit pour aller aux toilettes. Maintenant, respirez profondément. Que se passe-t-il avec ça?

 

DAVID: Virus de l'énergie sexuelle, liberté ancestrale.

 

ADAMUS: Vous vous faites avoir.

 

DAVID: Ouais (rires).

 

ADAMUS: Wow!

 

DAVID: Irritation de, en quelque sorte, vous savez, parfois de doute ...

 

ADAMUS: Ehhhh! Où est mon buzzer? Vous avez tort sur toute la ligne.

 

DAVID: Okay.

 

ADAMUS: Vous pensez trop. Vous faites trop de "Qu’est-ce qui ne va pas chez moi?" "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Et "Ça doit être ça". Oubliez tout cela. Nous sommes au-delà du truc du SES. D'accord? Nous sommes au-delà du truc ancestral. Je suppose que vous les avez vus, les avez regardés, que vous les avez suivis.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: Vous les avez enseignés.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: Alors nous sommes au-delà de cela. Maintenant, qu'est-ce qui se passe?

 

(David fait une pause et soupire)

 

Ouais.

 

DAVID: Ouais.

 

ADAMUS: C'est un - et attendez que je fasse ma grande révélation - mais vous avez un trouble de la sensibilité du sommeil. Ce n'est pas vraiment un trouble ; c'est une sensibilité du sommeil. Vous devenez très sensible dans votre état de sommeil. Vous l’êtes de toute façon, mais vous ne la laissez pas assez sortir (cette sensibilité), même si certaines personnes pensent que vous la laissez trop s’exprimer. Vous ne la laissez pas assez s’extérioriser - votre sensibilité réelle, votre conscience réelle. Quand vous entrez dans l'état de sommeil, vous devenez très sensible, très conscient des choses. Vous retenez tout pour dormir, mais vous ne le faites pas pour de vrai. Alors c’est si sensuel que cela vous réveille et que vous pensez que vous vous réveillez parce que vous devez aller faire pipi, ce que vous devez faire probablement, mais à ce moment-là, ça n'a pas vraiment d'importance. Il s’agit plus de votre sensibilité du sommeil, et c'est une bonne chose, David. C'est vraiment une bonne chose, surtout quand vous n’êtes pas obligé de vous lever à une heure précise le matin. Est-ce exact?

 

DAVID: Pas besoin, en effet.

 

ADAMUS: Vous pouvez faire des siestes toute la journée, si vous voulez.

 

DAVID: Et je fais effectivement une sieste d’habitude.

 

ADAMUS: Ouais, oui. Et vous pourriez aussi bien utiliser un bassin hygiénique ou quelque chose comme ça (rires), et vous n’auriez même plus à quitter le confort de votre matelas. C'est un peu grossier, mais ...

 

DAVID: Ouais, un peu grossier.

 

ADAMUS: C'est un peu grossier, oui. Mais ça ne l’est pas ... et je tiens à vous dire à vous tous, vous tous, que les choses auxquelles vous pensez ne sont probablement pas justes. Je dirais que 87 % d'entre vous ont tout faux. Vous avez tout faux. Et vous dites: "Oh, mon dieu! Je dois me lever à cause de ma prostate et, oh, cette putain de prostate ! Pourquoi en ai-je même une? " Et c'est, non, ce n'est pas ça, David. Vous avez une sensibilité du sommeil. C'est tout. Et vous devenez très conscient et vous vous expansez durant votre sommeil, et ensuite vous vous réveillez, parce que vous êtes très conscient. Et alors, c'est : "Oh! Je dois me trainer aux toilettes. "

 

Prenez une profonde respiration. Il n'y a rien qui cloche chez vous. Arrêtez de travailler sur ça comme vous l’avez fait jusqu’à maintenant. Arrêtez d’y penser comme vous l'avez fait jusqu’à maintenant. C'est presque obsessionnel.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: Ouais. Un peu ennuyeux.

 

DAVID: Ennuyeux.

 

ADAMUS: Ennuyeux (David rit). Ouais.

 

DAVID: C'est une vraie pissotière (rires).

 

ADAMUS: C'était bien! Ouais, ouais (David rit à haute voix). C'était vraiment bien, David. Vous voyez ? ça a en quelque sorte émergé.

 

DAVID: Ouais.

 

ADAMUS: Je veux dire, votre humour. Bien. Je vous remercie.

 

DAVID: Merci.

 

ADAMUS: Au suivant.

 

DAVID: Merci.

 

ADAMUS: Au suivant. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie actuellement? Et si quelqu'un dit Adamus, hein ... (quelques rires) Eh. C'est ce qu'elle allait dire.

 

LINDA: Non, en fait, pas du tout.

 

ADAMUS: Oh. Oui, la chose la plus agaçante.

 

DENISE: J'essayais de trouver quelque chose d'intellectuel, mais pour être honnête avec vous quand je monte dans ma voiture et que je suis contrariée ou déçue par la vie, je commence à hurler.

 

ADAMUS: Ouais, oui. Vous êtes contrariée parce que vous conduisez ou vous utilisez juste votre voiture comme véhicule ? Sans jeu de mots.

 

DENISE: Faites dégager les gens de ma route.

 

ADAMUS: Ouais. Je veux dire, est-ce que c’est de conduire qui vous dérange ou êtes-vous contrariée par plusieurs choses dans la vie, mais que ce n'est que lorsque vous montez dans votre voiture, qui est une arme mortelle, que vous commencez à ressentir que vous pouvez exprimer votre colère?

 

DENISE: Non. C'est là que je peux exprimer ma colère. Personne ne peut m'entendre parce que je suis assez - je peux être assez violente.

 

ADAMUS: Ouais, ouais, oui. Alors vous attendez jusqu'à ce que vous montiez dans votre voiture, comme c'est un endroit où vous ne pouvez pas faire de tort à quiconque ...

 

DENISE: Je ne vais pas frapper quelqu'un. Oh non! (Elle rit)

 

ADAMUS: Exact, exact. Non. C’est un endroit vraiment bien pour faire sortir votre colère lorsque vous conduisez sur l'autoroute (quelques rires). Donc, vous laissez ...

 

DENISE: Prudemment.

 

ADAMUS: ... la colère sortir et ce n'est pas vraiment le traffic (qui est la cause de votre colère). Pourquoi cette colère?

 

DENISE: (fait une pause) Pourquoi cette colère?

 

ADAMUS: Pourquoi cette colère?

 

DENISE: Vous me posez une question difficile là.

 

ADAMUS: Non, ce n'est pas une question difficile. C'est tellement facile.

 

DENISE: Oui.

 

ADAMUS: Ouais, oui.

 

DENISE: Je pense que c’est parce qu’il y a quelque chose que je ne veux pas dans ma vie. Je ne veux pas avoir à l'exprimer et à le ressentir, mais pourtant je pense que cela vient à moi souvent.

 

ADAMUS: Ouais, oui.

 

DENISE: Alors j’essaie de comprendre comment l'exprimer sans ...

 

ADAMUS: Quelle est votre plus grande frustration / contrariété dans la vie, en dehors de vous? Ce serait évident. Quelle est cette plus grande frustration?

 

DENISE: Être capable de communiquer ...

 

ADAMUS: Connerie.

 

DENISE: ... clairement. Eh bien, comme ...

 

ADAMUS: Les gens!

 

DENISE: D'accord.

 

ADAMUS: Les gens.

 

DENISE: Les gens ...

 

ADAMUS: C'est pourquoi vous ne communiquez pas.

 

DENISE: ... ma famille.

 

ADAMUS: Votre famille, et les gens et les maris et plus de famille et les amis et tout le reste. Les gens. C’est une grande frustration. Ça éteint la communication qui est l'un des sens principaux.

 

DENISE: C'est la famille.

 

ADAMUS: Et alors, qu'est-ce que vous faites?

 

DENISE: Je m'éteins.

 

ADAMUS: Oui. Comment vous éteignez-vous?

 

DENISE: Je deviens juste silencieuse.

 

ADAMUS: Et quoi d'autre? Vous devenez silencieuse ...

 

DENISE: Je garde ça en moi et alors ça gémit et ça fulmine.

 

ADAMUS: Qu'est-ce qui se produit d’autre en résultat du fait que vous vous éteignez à cause des humains qui vous ont maltraitée dans votre vie? Que se passe-t-il d'autre?

 

DENISE: Je le retire de moi-même.

 

ADAMUS: Ouais.

 

DENISE: Je l’extrais de  moi-même.

 

ADAMUS: Vous arrêtez d'entendre. Vous arrêtez d'écouter. Vous arrêtez de communiquer. Le sens de la Communication est si beau. C'est un sens. Ce n'est pas seulement l'acte de parler ou d'écouter. C'est un sens, et vous avez fait un très bon travail pour l’éteindre, jusqu'à ce que vous montiez dans votre voiture. Pouvez-vous vous entendre dans votre voiture?

 

DENISE: Oh, oui.

 

ADAMUS: Oh, oui. N'est-ce pas incroyable que vous puissiez enfin vous entendre dans votre voiture? Alors arrêtons cela. Nous ferons une petite chose aujourd'hui pour mettre fin à cela.

 

DENISE: Merci.

 

ADAMUS: D'accord. Plus de jeux. Oui, les gens vont vous blesser. Tout à fait. Les gens vont se moquer de vous. Ils vont rire de vous. Ils prendront tout ce que vous avez. Ils essayeront de prendre votre âme, s'ils le peuvent. Mais ils ne le peuvent pas.

 

DENISE: Oh non. Ils ne prendront pas mon âme (elle rit).

 

ADAMUS: Ils vont essayer.

 

DENISE: Ils vont essayer, mais ...

 

ADAMUS: Ils vont essayer, mais ils ne peuvent pas.

 

DENISE: Je pense que c'est pourquoi je la protège.

 

ADAMUS: Ouais. Je veux dire, même si vous la leur offriez, ils ne pourraient pas. Mais il y a cette énorme chose, et vous continuez à vous demander toujours: "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? " Ce sont juste les gens. Ce n'est pas vous, d'accord? Je vous remercie.

 

DENISE: Merci.

 

ADAMUS: Deux de plus ici. C'est ma partie préférée de tout le Shoud (Adamus rit). Oui, très chère.

 

CAROLINE: Ça ne vous dérange pas si je reste assise ?

 

ADAMUS: Vous êtes plus belle que jamais. Restez assise, s'il vous plaît. Ouais (elle patauge un peu avec le micro).

 

CAROLINE: Ça ne vous dérange pas si je reste assise ?

 

ADAMUS: Pas du tout.

 

CAROLINE: Merci.

 

ADAMUS: Ouais. Puis-je venir m'asseoir près de vous? (Elle rit)

 

CAROLINE: Oui, vous pouvez.

 

ADAMUS: Bien. Bien. D'accord (il vient s’asseoir près d'elle).

 

CAROLINE: Merci.

 

ADAMUS: Vous vous rendez compte qu'il y a des caméras partout ici (ils rient).

 

CAROLINE: Oh, filmez! (Elle rit)

 

ADAMUS: Nous ne pourrions pas avoir un moment d’intimité même si nous essayions. Alors, quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie?

 

CAROLINE: Mon dos.

 

ADAMUS: Votre dos.

 

CAROLINE: Mon dos. Mm hmm.

 

ADAMUS: Que se passe-t-il avec ça ?

 

CAROLINE: Eh bien, je me suis brisé une vertèbre sans même avoir essayé (elle rit).

 

ADAMUS: Ouais.

 

CAROLINE: Et ça a guéri, mais ça m'a laissé paralysée.

 

ADAMUS: Avec une douleur?

 

CAROLINE: Oui.

 

ADAMUS: Une grosse douleur?

 

CAROLINE: Pas trop à présent.

 

ADAMUS: Ouais. Ouais. Donc le dos. Que diriez-vous que le dos représente dans votre vie?

 

CAROLINE: La force.

 

ADAMUS: Et - la force, c'est vrai - et quoi d'autre?

 

CAROLINE: La stabilité.

 

ADAMUS: Et quoi d'autre?

 

(Elle fait une pause)

 

La rigidité?

 

CAROLINE: Exact.

 

ADAMUS: Je veux dire, c'est la force. Le dos c’est la force.

 

CAROLINE: Oui.

 

ADAMUS: Mais c'est aussi une certaine rigidité. En d'autres termes, les choses doivent être d'une certaine manière.

 

CAROLINE: Oui.

 

ADAMUS: Et le dos se meurt quand vous portez trop de fardeaux, que vous essayez de garder tout le monde ensemble - pas seulement vos proches, mais vous essayez de garder tout le monde ensemble - et quand ... vous êtes si rigide parfois – je veux dire, vous êtes charmante, belle, mais quelquefois si rigide, dans vos manières de faire. Diriez-vous qu'elle est vraiment un peu obstinée, têtue parfois ?

 

VINCE (son mari): Obstinée, têtue, oui.

 

ADAMUS: Ouais, têtue, oui. Maintenant, je m'éloigne, parce que ça devient un peu chaud ici (quelques rires). Mais têtue, rigide. Et c'est presque comme ce que j'ai dit, votre Soi Maître, le Maître botteur de fesses arrive et dit: "Plus de rigidité. Plus d’entêtement. Il est temps de s'ouvrir. " Vous avez un sens naturel de la créativité, mais vous avez même essayé de rendre cela très structuré. Et votre corps vous dit: "Non. Non. Nous ne pouvons plus le faire.”

 

Vous allez bien en fait; votre corps vous dit simplement: "Tu dois lâcher prise sur cela, toute cette rigidité". Ouvrez-vous grand. Faites des choses folles de temps en temps. Vous êtes trop, excessivement comme il faut dans votre vie (elle rit doucement). Ouais. Ouais, et lâchez prise sur cela. Il y en a plusieurs comme ça parmi vous ici dans cette salle, mais je ne vais pas trop regarder autour. Lâchez prise sur cela. Et je sais que vous avez tendance à penser, "Oh, mon dos est foutu. Il ne va jamais guérir. Et les médecins m'ont parlé de tous ces problèmes et il est foutu depuis longtemps. " Pas du tout. Il y a une chose appelée le corps de lumière, et il se construit en permettant. Mais vous et moi aurons besoin d’avoir une petite discussion sur le permettre un jour ou l’autre. Vous venez au stage du Simple Maître cet été. Vous essayez même de contrôler le permettre, et cela ne marche pas. Permettre c’est juste permettre.

 

Alors, prenez une bonne respiration profonde. Nous reviendrons sur ce dos ensemble, de façon à ce que vous ne souffriez pas, que vous n'ayez pas de difficulté à marcher, car vous adorez marcher. Vous adorez votre liberté, et ceci l'a certainement limitée.

 

CAROLINE: Mm hmm.

 

ADAMUS: D'accord.

 

CAROLINE: Merci.

 

ADAMUS: Absolument.

 

CAROLINE: Mm (il l'embrasse).

 

ADAMUS: Merci. Bien.

 

LINDA: Un de plus?

 

ADAMUS: D'accord. Ouais, faisons-en encore deux.

 

LINDA: D'accord.

 

ALAIN: J'ai pu le voir venir! (Linda rit)

 

ADAMUS: Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie ...

 

LINDA: C’est si prévisible, hein?

 

ADAMUS: ... autre que quand ...

 

ALAIN: Siiii prévisible! (Linda rit)

 

ADAMUS: ... quand quelqu'un vous tend le micro?

 

ALAIN: Je suis tellement comme elle (Caroline), vous savez. J'ai un mauvais dos. Donc.

 

ADAMUS: La chose la plus agaçante dans votre vie?

 

ALAIN: (rire) Actuellement, c'est ce problème de santé récurrent avec mes poumons qui a foutu en l’air mon dos.

 

ADAMUS: Exact. Sensationnel.

 

ADAMUS: (chantant) La colonne vertébrale est connectée à ... ok (quelques rires).

 

ALAIN: Alors ça semble très... - c'est comme si quelqu'un me frappait sur l'épaule, pour me réveiller.

 

ADAMUS: De quoi est-il question ?

 

ALAIN: Eh bien, il est question de ne pas vivre la vie, je pense. Que respirer c’est vraiment être dans le moment présent, être là.

 

ADAMUS: Alors, qu'est-ce qui se passe quand vous êtes un homme très sensible et que vous avez un désir de vivre, une joie de vivre, mais que vous êtes très structuré, à cause de vos attentes et du reste; qu'est-ce qui se passe quand une part de vous veut juste cette liberté - cette liberté et son expression - mais qu’une autre part de vous la retient et reste dans la structure, le modèle? Vous obtenez des problèmes.

 

ALAIN: Des choses que je ne veux pas quitter.

 

ADAMUS: Oui. Et comment essayez-vous de les éliminer?

 

ALAIN: Eh bien, apparemment en toussant.

 

ADAMUS: En toussant. En toussant. En toussant. Vous essayez de les faire sortir. Cela finit par créer un élancement dans votre dos parce que vous faites un énorme effort chaque fois que vous toussez. Mais c'est simplement une question de permettre à cette part créative sensuelle en vous de simplement s’épanouir. Faites quelque chose d’à moitié fou ou de complètement fou. Prenez un tas de bombes de peinture et pulvérisez-en l'intérieur de votre maison (rires, son épouse Patricia est choquée).

 

ALAIN: D'accord, d'accord.

 

ADAMUS: Ou faites-le dans la maison de quelqu'un d'autre.

 

ALAIN: Ouais! Ouais. Je le ferai dans le garage peut-être.

 

ADAMUS: Je le dis en plaisantant, mais pas du tout. Qui a-t-il de plus important? En laissant cela ... Vous avez un tel sens naturel de la créativité, et des vies entières passées à vraiment guider les efforts créatifs et à être créatif vous-même, et maintenant vous êtes devenu tellement verrouillé et cette toux essaie de le faire sortir, de le faire passer. Cela affecte votre dos, et très bientôt, ça va commencer à affecter vos épaules, et après ça, c'est ...

 

ALAIN: C'est déjà fait.

 

ADAMUS: Et puis les maux de tête et tout le reste. Ça n’en vaut pas la peine. Ça n’en vaut pas la peine. Et je reviens sur le point que j'ai soulevé dans mon introduction. Vous vous demandez, tous, qu’est-ce qui ne va pas chez vous? Il n'y a vraiment rien. Il y a ce que vous pourriez appeler des symptômes de surface qui se produisent, et si vous arrêtiez de devenir si mentaux, en pensant ... Arrêtez de faire de l'autodiagnostic, vous savez, comme un médecin ou un psychologue. Et j’arriverai à ma conclusion dans un instant, mais le dos, la toux, tout le reste. Soyez créatif. Bon dieu, vous êtes un peu français. Je veux dire que vous auriez ...

 

ALAIN: J'en ai encore le passeport d’après ce que j’ai vu la dernière fois.

 

ADAMUS: Vous en avez encore le passeport. Donc, vous êtes un habitué des States, un habitué des États-Unis - et cela a comprimé quelque peu cela (cette créativité française) hors de vous. Mais soyez créatif à nouveau. Vraiment. Bien. Cauldre me dit de me taire, mais je m'amuse bien (Alain rit). Bien. Bien. Je vous remercie. Un de plus.

 

ALAIN: Merci.

 

ADAMUS: Un de plus. Quelle est la chose la plus agaçante dans votre vie actuellement. Linda? La chose la plus agaçante.

 

VICKI: D'accord, je vais franchir le pas ici.

 

ADAMUS: S'il vous plaît.

 

VICKI: La sécheresse vaginale. (Quelqu'un demande "Qu'est-ce qu'elle a dit?") La sècheresse vaginale.

 

ADAMUS: Ohhh!

 

LINDA: Ohh! (Linda rit)

 

ADAMUS: Je pensais que vous aviez dit ...

 

LINDA: Je pensais que vous aviez dit: "Conduire jusqu’en Chine!" (Rires)

 

ADAMUS: Je pensais que vous aviez dit «Conduire jusqu’en Chine» et j'allais vous dire «d'accord».

 

LINDA: C'est tout comme, oui!

 

VICKI: Oh, oui!

 

LINDA: Vous ne pouvez pas conduire jusqu’en Chine!

 

VICKI: Oh, non! Je veux dire …

 

ADAMUS: Abordons la «conduite vers la Chine» cependant (plus de rires).

 

VICKI: Vous savez, la post-ménopause. Vous savez, les choses de filles ...

 

ADAMUS: Pourquoi? Pourquoi, pourquoi, pourquoi?

 

VICKI: ... qui déclinent (vieillissent).

 

ADAMUS: Ouais, pourquoi?

 

VICKI: Ouais!

 

ADAMUS: Ouais. Pourquoi avez-vous ce problème?

 

VICKI: Toute femme de mon âge a ce problème.

 

ADAMUS: Connerie.

 

VICKI: Oui.

 

ADAMUS: Non.

 

VICKI: Oui.

 

ADAMUS: Non.

 

VICKI: Oui!

 

ADAMUS: Non.

 

VICKI: Oui.

 

ADAMUS: Vous le souhaitez?

 

VICKI: Non !! (Adamus rit)

 

ADAMUS: Pourquoi pensez-vous ... En dehors du fait que toute autre femme l’a aussi et tout le reste, que pensez-vous qui se passe avec cela ?

 

VICKI: Eh bien, je pense qu'il y a un défaut de conception avec la ménopause.

 

ADAMUS: Non, il n'y en a pas, et franchement - oh, je dois attendre ma conclusion pour vraiment, pas pour l’aborder mais pour en discuter plus en détail - mais il y a ... okay. Il est question d’abus sexuel. La plupart des gens ont vécu cela dans une certaine mesure, certains plus que d'autres. Il y a alors extinction de la sensualité du sexe. Il y a le "Je suis trop vieille pour le sexe. Ça n'a jamais été amusant de toute façon, je n'ai jamais eu le bon partenaire, j’ai toujours eu plus de plaisir par moi-même, à le faire moi-même, Dieu n'aime pas ça ", et toutes ces autres choses. Que pensez-vous que cela produise? Je veux dire, pensez-vous qu’il y aura une inondation là-bas? Non! (Quelques rires) Ça va s’assécher et ce sera comme si ce n’était plus nécessaire. Ce n'est plus utile, alors c’est juste du genre: "D'accord, je m'en vais." Il est temps de revenir à la sexualité, mais vous allez vraiment avoir du mal avec ça. La sexualité, revenir à la sexualité. Pour être ... (quelqu'un dit, "ça a l'air d'un cours") C'est retourn... ouais, oui. Un cours que Cauldre n'enseignerait pas, mais Alain aimerait l'enseigner (rires) dans sa nouvelle approche créative française. Oui, "Le Retour à la Sexualité". Donc, non, c'est l’extinction de l'être sensuel. Pourquoi? Pourquoi?

 

VICKI: Parce que les femmes de mon âge ne sont plus désirables.

 

ADAMUS: Connerie ! Ce n'est pas vrai du tout. Certaines de mes plus grandes expériences d'amour, et Cauldre devient très embarrassé à mesure que j’en parle ... (quelques rires) Mes plus grandes amours étaient ce que j'appellerais des femmes mûres. Les jeunes femmes, elles ne savent pas ce qu'elles font. Elles hurlent beaucoup. Elles parlent trop, et ensuite ... (quelques rires) Ce n'est pas marrant et c'est fini tout de suite. Et elles disent des trucs comme, "Oh, Adamus! Oh! Tu m'as épuisée. " La femme plus mûre, c'est du syle:" Chéri, chéri, passons une autre nuit ensemble. "

 

Non, la sensualité chez les hommes et les femmes augmente avec l'âge. Elle devrait augmenter avec l'âge. Vous devenez plus sensuel, plus expérimenté, plus libre avec votre corps, moins inhibé par ce que les gens pensent. À un certain point, vous n’en avez plus rien à faire, et c'est juste du style “vas-y, fonce !”, que ce soit de pratiquer la sensualité sur vous-même, avec un partenaire, de nombreux partenaires, peu importe. Cela n'a vraiment pas d'importance. Mais il n'y a aucune raison pour ... La sensualité augmente avec la sagesse. Regardez ce qui va se passer plus tard aujourd'hui. La sensualité ... (Adamus rit)

 

SART Ouais, chéri!

 

ADAMUS: La sensualité augmente avec la sagesse. A présent, prenez une profonde respiration, prenez un verre d'eau et ramenez-la, chéri (plus de rires). C'est un nouveau T-shirt pour Sart. "Ramenez-la, chéri."

 

VICKI: Ramenez-la, chéri.

 

ADAMUS: Nous saurons ce que signifie le T-shirt. D'accord, merci. Merci pour votre franchise.

 

La sensibilité

 

J'ai commencé avec cette question: "Quelle est la chose la plus agaçante actuellement dans votre vie?" - et nous avons eu de très nombreuses bonnes réponses. Je vous en remercie. Fondamentalement, c'est tout! (Adamus rit) Ce qui se passe en ce moment dans votre vie, c'est que vous devenez un être sensuel, multi-sens, et plus uniquement Focalisé. C’est un sujet que j’aborde depuis un bon moment maintenant. Sortons de la Focalisation sur le singulier.

 

La Focalisation est un sens. C'est un sens angélique. En fait, dans les autres dimensions, à part ceux qui ont séjourné ici sur Terre, les anges ne sont pas vraiment bons à la focalisation. Dans les royaumes angéliques, en quelque sorte, vous pourriez dire que les anges rebondissent sur les murs. Vous vous agacez vraiment d'être entouré d'un tas d'anges tout droit sortis d’un conte de fées mais qui ne sont jamais venus sur Terre. C’est du style : “Quoi?! Essaie de t’ancrer à la Terre. Allons! Pourrais-tu seulement te fixer sur un seul sujet à la fois? " Et ils sont un peu efféminés et un peu, vous savez, une chose ou une autre. Vous connaissez certaines personnes comme ça, mais c'est pire. C'est pire dans les autres dimensions. Vous avez été bons à la focalisation. Mais nous allons au-delà de cela à présent.

 

Alors, ce qui se passe, c'est que vous devenez très sensibles. C'est en quelque sorte un moment bizarre actuellement, parce que vous êtes en train de vous ouvrir à d'autres sens. J'ai parlé récemment à Keahak ou à dans La Vie de Maître 4 du sens du U, par exemple. C'est un sens, c'est-à-dire que vous êtes capable de percevoir les particules d'énergie, qui ne sont pas des particules physiques; mais vous êtes capable de percevoir les particules d'énergie en unité. Plutôt que tous ces petits - je crois que vous les appelez des points -, vous êtes capable de percevoir une chaise. C'est extraordinaire. C'est un sens. Au lieu de voir des millions de petits points d'énergie, vous avez développé la capacité à travers le sens de l'Unité de les assembler en un tout.

 

C'est un sens très ludique. Vous n’êtes plus obligé de simplement voir une chaise. Votre sens de l'Unité vous permet de voir une chaise dans cette dimension. Mais ce même sens de l'Unité vous permet de voir l'arbre dont elle est issue et de ressentir l’arbre dont elle est issue. De voir et de ressentir une entité qui est assise juste là actuellement - s'il voulait bien quitter ma chaise - je vais vous le présenter dans un instant. C'est le sens de l'Unité.

 

Vous êtes en train de vous ouvrir à de multiples sens, et c'est un moment très bizarre. C'est comme de traverser la puberté sur le chemin de votre maîtrise. C'est comme une puberté spirituelle. En même temps, vous devenez très sensibles, sensibles à tant de choses différentes sur Terre, et c'est un moment très agaçant et très énervant à traverser. Et je voulais encore souligner que vous allez faire des choses comme des éruptions cutanées et des trucs embêtants, et que vous allez subir toutes sortes de toux et de douleurs et tous ces autres problèmes, car vous devenez très sensibles.

 

Parlons de certains de ces petits problèmes, et je vais aborder ce que vous qualifieriez de côté énervant, mais aussi de la bénédiction que représente aussi ce qui va vous arriver. Je pense que nous devrions prendre le tableau ou quelque chose pour écrire.

 

LINDA: Juste là.

 

ADAMUS: Ah! Demandez et vous recevrez. Ça vient à vous, pas vrai ? C'est juste là. Nous n'avons pas notre petit tableau magique aujourd'hui, mais nous avons mon préféré: le bon vieux tableau démodé dans le genre des tables de Moïse. Oui.

 

~ La nourriture

 

D'accord, donc, la nourriture. La nourriture. Vous avez parlé de la nourriture auparavant. Vous devenez plus sensibles à cela. Cela va affecter votre corps. Certains aliments que vous pensez être bons pour vous, oubliez-les, parce que votre corps change. Votre chimie, votre pH, les équilibres internes entre ce que vous appelez les énergies sombres et les énergies de lumière sont en train de changer.

 

Il y a certains aliments qui vous déclencheront quelque chose tout de suite, même si vous pensez qu'ils sont sains. Chaque nourriture est saine. Tous les aliments. Les vers sont sains (quelques rires). J'aime les vers.

 

EDITH: Tant mieux pour vous.

 

ADAMUS: Ouais, des petits vers collants. Ils sont vraiment ... (plus de rires) Eh bien, ça n'a pas d'importance. Chaque nourriture est bonne pour vous, mais il vous appartient de le ressentir. Certains aliments vont vous affecter. Même si vous dites: «Oh, je mange sain aujourd'hui. Un yogourt et des bananes ", peut-être que ce ne sera pas le cas. Peut être pas. Cela pourrait activer certaines vieilles croyances qui doivent s’en aller à présent. D'accord, donc, la nourriture. Écrivez cela sur le tableau.

 

D'autre part, la nourriture va developper un goût comme jamais auparavant. Vous allez goûter à la richesse des aliments comme jamais auparavant, même avec de la farine d'avoine. C’est un de mes aliments favoris (Linda fait des bruits grossiers). Linda hoche la tête quand je dis cela. Même avec de la farine d'avoine, il y a une telle richesse, une telle saveur lorsque vous ouvrez vos sens. Donc une sensibilité à la nourriture. Oubliez tout ce que vous avez pu penser à ce sujet. C'est presque un ordre pour avancer. Allez au-delà de toutes vos vieilles idées au sujet de l’alimentation.

 

LINDA: Monsieur, y a t-il un thème pour cela?

 

ADAMUS: Un thème. A quoi pourrions-nous penser qui nous indiquerait que nous sommes dans la Focalisation ici ? (Quelques rires) La sensibilité. La sensibilité. Qu'en est-il du bruit?

 

LINDA: Oh, oui!

 

~ Le bruit

 

ADAMUS: Dieu, le bruit! Je veux dire, tout à coup, c’est énervant, et vous pensez: «Oh, je dois devenir comme ces vieilles personnes âgées, vous savez: « Dégagez de chez moi, petits salorpards! » (Linda suffoque) « Oh, ce bruit ! Je ne peux pas le supporter. Baissez votre chaîne stéréo. " (Quelques rires) Vous devenez très sensibles à tout type de son, et cela peut être énervant. Certaines fréquences pour certains d'entre vous, sont juste horribles à entendre. Les sons forts. Que diriez-vous de ceci - je vais l'implanter en vous tous - des gouttes d'eau qui s’écoulent du robinet tard dans la nuit et vous ne pouvez pas le réparer. Flop ! Flop ! Flop! C'est comme, "Ohh!" Alors vous utilisez votre mental pour le surmonter, "Je ne pense pas à ce bruit de goutte à goutte." Vous devenez juste cinglé, parce que ça empire comme jamais.

 

Et ces sons énervants de ... Cauldre a une phobie des gens qui font du bruit quand ils mangent (Adamus fait le bruit de quelqu’un qui mange bruyamment et Linda rit). Et maintenant, vous pensez peut-être qu'il est une personne équilibrée, mais lorsqu'il est découvert, il s'avère être un peu dingue au sujet des bruits alimentaires. Alors, s'il vous plaît, s’il vous plait vous tous, lorsque vous serez avec Cauldre, pour partager un repas, ne mangez pas (rires). Ne mangez pas. La pauvre Linda doit faire face à cela depuis des années. Il peut l'entendre manger un bretzel à un km de distance (plus de rires). Et la pauvre chérie, elle ne peut même plus manger dans la maison. Pas étonnant qu'elle soit si maigre. Je veux dire, elle ne peut pas manger. Elle doit manger quand il quitte la maison. Elle le voit partir en voiture dans l'allée - "Oh, super. Maintenant, je vais pouvoir manger mon bol de céréales. " Errrrr! Il se retourne, revient - "Arrête de manger si bruyamment!" (Rires)

 

LINDA: Il exagère à peine.

 

ADAMUS: Le bruit. Maintenant, de l'autre côté, il y a la beauté du son, comme vous ne l'avez jamais entendu auparavant, dans la musique, dans la nature. Un oiseau chantant à l’aube, le matin. C'est tellement riche et sensuel. C’est un peu comme si vous étiez entre deux. Vous partez de sens vraiment mornes et ennuyeux pour aller dans le multi-sens, mais vous allez faire l'expérience de certains de ces inconforts, de ces agacements avec certains des sens.

 

~ Les réflexions négatives

 

Quels sont les autres agacements dont nous pouvons parler? Que dire des pensées négatives? Les pensées négatives. La sensibilité aux pensées négatives, les vôtres pour commencer. Vous devenez plus conscient, "Oh mon dieu, ma tête est remplie de tant de pensées négatives. Je dois être une mauvaise personne. " Non, vous êtes juste conscient. Tout le monde en a et la plupart de ces pensées ne sont pas les vôtres. Nous en avons parlé, je ne veux pas y revenir encore. Mais vous êtes devenu tellement sensible aux pensées négatives, aux trucs qui viennent d'autres personnes. C'est épuisant – et encore pire lorsque vous les considérez comme vôtres - mais c'est épuisant, ces pensées négatives.

 

Je veux faire un film avec Michael Conti un jour, sur les récurrences intérieures de votre mental. Qu'est-ce qui se passe là-dedans et comment ces choses-là, vous savez, les pensées, arrivent en quelque sorte; elles ne vous appartiennent pas nécessairement, mais vous devez les combattre et lutter contre, et vous ne gagnerez pas. Il n'y a pas de victoire possible. Vous les laissez juste partir. Mais vous êtes là à ruminer toutes ces pensées - "Je dois contrôler mes pensées. Je dois gérer mes pensées. Je dois avoir de bonnes pensées, parce que je suis une personne spirituelle. Je suis en route vers l'illumination. Pourquoi est-ce que je pense à prendre une poubelle et à la jeter dans la cour de mon voisin? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Il y a quelque chose qui ne va pas. Je dois revenir en arrière et écouter Ancestral Freedom, parce que je ne dois pas l'avoir bien compris." C'est la pensée de votre putain de voisin à propos de ses propres ordures! Ce n'était pas vos pensées pour commencer. Donc vous devenez tellement conscients, et particulièrement avec ce que vous appellez les pensées négatives. Amusez-vous avec elles. Jouez avec elles. En pensées, roulez-vous dans les ordures de votre voisin. Embrassez-le.

 

Vous verrez qu’en réalité, ce n'était vraiment pas une pensée négative. Il y avait plus à cela que de prendre une poubelle, et de la déverser dans la cour de votre voisin. C'est réellement sensuel. C'est en fait quelque chose à contempler et il y a plus à cela que ce que vous pensiez en surface. Il n'y avait vraiment pas de pensées négatives. Devenez sexy avec les pensées négatives. Vraiment. Permettez-vous d'entrer en elles. Vous avez tellement peur d'elles - "Je dois en rester loin. Oh, des pensées négatives m’arrivent. Je vais tuer quelqu'un. " Arrêtez ça. Soyez sensuel avec elles. Ressentez-les. Si une pensée vous vient et que vous dites, "Oh, le côté obscur! Lucifer! Elles vont me capter. " Non, pas du tout. Vous êtes en train de devenir sensuel, et dans cette sensualité, vous démolissez la façade (l’apparence) de ce que vous appellez une pensée négative ou mauvaise. Vous la démolissez et soudain vous voyez tout, tout est riche et sensuel. Il n'y a pas de négatif ou de positif. C'est juste une sensibilité qui arrive à travers vous. Et alors vous n’en avez plus peur. Vous n'essayez pas de la combattre. Vous n’essayez plus de surmonter la négativité.

 

Vous devenez plus sensible.

 

~ La foule

 

Qu'allons-nous ajouter à la liste? Il y en a un d’évident. Les gens. La foule. La foule. Les gens - vous pouvez séparer ça en deux parties - mais la foule.

 

LINDA: Quel terme préférez-vous ?

 

ADAMUS: La foule. Vous devenez si sensible à la foule et aux gens et vous vous dites: «Oh! Je suis un solitaire." Non, pas du tout. Vous êtes juste sensible, et la foule dégage un énorme, un énorme ressenti. Que faire alors? Eh bien, vous pouvez vous promener dans la nature ou la ressentir. Maintenant, c'est un peu dévastateur au début, car il y a beaucoup d'énergie là-dedans. Mais ressentir cette foule. Ressentez comme elle peut-être dégoûtante, ou combien elle peut être belle. Ressentez l'unité de cette foule de personnes. Ressentez la qualité moutonnesque de cette foule, sans faire de jugement, mais ressentez ces personnes.

 

Ce sera de plus en plus difficile, pendant un certain temps, d'être parmi la foule. Et nombre d'entre vous ont eu l’habitude d’être en quelque sorte, je dirais, des personnes sociales, dans le temps, mais  quelque part du fait de votre sensibilité, vous êtes devenu dé-socialisé. Alors, ressentez juste la foule.

 

Ce qui est beau dans une foule ou même dans les personnes individuelles, ce qui est beau, c’est que vous les regardez, vous les ressentez, vous êtes conscient de leurs cœurs. Il n'y aura plus de séparation, de grand mur entre vous et elles. Vous n’aurez pas à vous demander ce qu'elles pensent ou ressentent. Je ne parle pas de devenir medium et de lire dans leur esprit. Vous serez capable de ressentir cette personne, sa vie, son cheminement, si elle est encore endormie; sa beauté intérieure. Même les humains les plus méprisables ont une telle beauté en eux.

 

Ils sont sur un chemin. Ils sont différents de vous. Vous pouvez trouver difficile d’être avec eux pendant longtemps, mais vous allez commencer à reconnaitre ce qu’est une connexion d’âme à âme, une réalisation d’âme à âme. Pas l'ancien makyo de surface du genre "Namaste", mais la personne réelle et l'âme derrière ce visage et ce corps. Vous devenez plus sensible. Oui, très chère.

 

LINDA: Êtes-vous en train de dire que nous allons en quelque sorte être capables de tolérer les gens insensibles les plus méprisables?

 

ADAMUS: Absolument.

 

LINDA: Wow.

 

ADAMUS: Et voici pourquoi: parce que vous avez été une personne méprisable.

 

LINDA: Bada boom.

 

ADAMUS: Bada boom, c’est bien. Non, vous aurez une telle empathie et une telle compassion, sans vous sentir désolé pour eux, sans ressentir le besoin de commencer à prêcher, de les réveiller et tout le reste. Votre nouvelle sensibilité vous permettra de simplement être en leur présence, de capter l’intégralité de ce que vous pourriez appeler leur histoire, mais pas une histoire linéaire, l’intégralité de leur être ! – snap! - comme ça. Pas avec un jugement, mais en conscience. Vous accèderez à une compréhension à un niveau tel que vous ne vous sentirez pas désolé pour la personne qui dort dans la rue en pleine nuit. Vous l’honorerez (lui rendrez hommage). Vous aurez une telle appréciation de toute personne ayant un handicap physique, que vous cesserez de vous sentir en souffrance auprès d’eux, si vous voyez ce que je veux dire; vous arrêterez de vous sentir embarrassé ou coupable auprès d'eux. Vous les honorerez d'une manière tellement profonde. C'est ça la sensibilité. Mais vous en êtes à ce moment d’entre deux, en étant style : «Je ne peux pas supporter la foule. Je n'aime pas les gens. Je suis un solitaire ", et soudain à être le grand être empathique que vous êtes.

 

~ Les odeurs

 

Quoi d'autre? Quoi d’autre ajouter sur la liste? Oui. (Une femme dit "Les odeurs") Les odeurs ! Oh oui! Les odeurs. Quelqu'un a-t-il une sensibilité aux odeurs? Ouais. Vous devriez tous lever la main. Et si vous ne le faites pas, cela ouvre très rapidement et soudainement sur des odeurs, les odeurs de poubelles faisandées de ces sortes de toilettes, comment les appelez-vous déjà, vos toilettes portables. Ohhh, ouais, et ce n'était que la personne qui se tenait à côté de vous (quelques rires). Vous commencez à sentir l'énergie, et c'est en réalité assez grossier au début. C'est dévastateur. Ça n’est pas nécessairement une odeur physique causée par une activité anaérobie ou aérobie. C'est simplement sentir l'énergie, et oh, c'est fort parfois.

 

La beauté de cela, c’est que vous pouvez sentir l'énergie. Vous avez cette appréciation de l'énergie dans l'air, de l'énergie autour des gens. Soudain, en fait, vous ne vous ouvrez pas vraiment au sens de l'odorat; Vous vous ouvrez à d'autres sens et vous percevez cela comme une odeur, mais c'est la beauté de cela. C'est la beauté.

 

~ La nature

 

D’autres choses. La nature peut aller sur la liste. Les allergies. Soudain, toute votre vie, vous n'avez jamais vraiment eu d'allergies et soudain vous éternuez. Ce sont les arbres. Le pollen. Les poils de chien. Tous ces trucs, et vous dites : "Qu'est-ce qui ne va pas chez moi?" Soudain, je ne peux plus rien gérer. Je dois devenir faible. " Non! Vous devenez sensible.

 

La nature a l'une des énergies les plus fortes de toutes. Et quand la nature traverse des changements - les fleurs qui fleurissent, les arbres, les feuilles qui sortent - c'est très, très fort. Très fort. Cela fait pleurer mes yeux de temps en temps. C’est très fort. Et vous combinez cela avec le fait que vous devenez plus sensible, mais que vous adorez la nature, mais pourtant vous allez la quitter, comme si vous trahissiez la nature ou Gaia ou quoi que ce soit – au passage, Gaia s'en va aussi, alors ça n'a pas d'importance - et cela déclenche une sensibilité dans votre être et soudain vous éternuez tout le temps. Et ensuite : "Qu'est-ce qui se passe? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Je ne peux pas apprécier la nature. Je ne peux même pas sortir, parce que j’éternue tout le temps." En fait, vous êtes en train d’intégrer la nature dans votre être afin que vous puissiez l'emporter avec vous, et c'est dévastateur, c’est écrasant parfois.

 

Maintenant, nous pourrions continuer avec vos sensibilités, encore et encore, avec toutes vos sensibilités différentes, que ce soit à la nourriture, aux sons, aux odeurs, à toutes ces choses. Ce sur quoi je voulais vraiment insister ici, c’est que vous devenez simplement plus sensuel. C'est tout. Vous êtes exactement dans cette zone entre deux et c'est très, très, très éprouvant pour votre vieux corps et votre mental.

 

Actuellement, votre corps et votre mental ne comprennent pas comment intégrer votre nouvelle sensibilité. Cela dévaste leurs systèmes. C’est si écrasant énergétiquement que ça fait exploser les connexions électriques. Ça va faire exploser certains équipements électroniques de votre ordinateur, simplement parce que, en poursuivant cette analogie, ça fait également exploser certains de vos anciens systèmes corporels.

 

Le corps et le mental ne comprennent pas comment gérer un sens qui va au-delà de la focalisation - le sens de l'Unité, le sens de l'Imagination, certains des autres sens dont nous avons parlé récemment et nous allons en reparler davantage. Le corps et le mental se posent cette grande question : «Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Pourquoi tout est-il différent? Pourquoi tout est en train de changer? " Il n'y a rien, rien, rien qui cloche. Il n'y a rien qui cloche, bien que je puisse entendre certains d'entre vous me dire: "Eh bien, oui, mais Adamus, vous ne comprenez pas."

 

Permettez-moi de vous raconter l'histoire, parce que je comprends tout à fait ce qui se passe, et quiconque parmi vous pense que son problème est très spécial et qu'il ne peut être surmonté ou quoi que ce soit, a tort. Vous passez simplement de l’état d’être une personne ennuyeuse, insipide et une personne très profondément enfouie dans une ornière, une personne très incolore, à quelqu’un qui devient très sensible et très sensuel.

 

Lord Ventor

 

Permettez-moi de vous raconter l’histoire d’un de mes collègues Maîtres Ascensionnés. Il était assis là tout à l’heure, et je lui ai dit de bouger. Il s'appelle Lord Ventor.

 

LINDA: Pfft!

 

ADAMUS: Il était britannique dans sa dernière vie. Lord Ventor. Il était assis sur ma chaise. Du style, "Monsieur! Mon bon monsieur! Dégage de ma chaise. Elle est à moi. Va t’asseoir sur la chaise de Linda. " (Quelques rires)

 

Lord Ventor est un Maître Ascensionné. Comme je l'ai dit, il était anglais dans sa vie passée. Nous l'appelons le Sept de Pique au Club des Maîtres Ascensionnés. Le Sept de Pique. Il lui a fallu sept vies d'une réelle agonie et souffrance avant qu'il n'ait son illumination. Et je veux dire par là qu'il en était très proche. Il était très proche de son illumination, mais à chaque fois, ça ne marchait pas. Il mourait avant l'illumination.

 

Je soulève cela parce que certains d'entre vous en sont très proches également et que certains d'entre vous ont fait leur transition, et c'est ... Vraiment? Vous allez revenir encore et faire cela en l'an 2042 et essayer à nouveau? Non Non Non Non.

 

Lord Ventor en a été très proche sept fois, à y être presque, comme s'il avait pu la goûter. Il aurait pu la toucher. C'était comme si ceci (le tableau) était l'illumination, la porte vers l'illumination, il était presque lààààà (touchant pratiquement le tableau), et ça ne marchait pas. Son système explosait à chaque fois, son corps et son mental.

 

Il était devenu très, très sensible. Il était devenu très sensible à la nourriture anglaise (rires).

 

LINDA: C'est facile.

 

ADAMUS: Et il avait presque cessé de manger (Adamus rit). Je n'ai jamais compris. L’Angleterre est très proche de la France. Tellement proche, mais pourtant si loin.

 

Il était devenu très sensible à la pollution. Il y avait beaucoup de pollution à l’époque, quand on utilisait le charbon tout le temps et les gens se demandaient pourquoi ils avaient des problèmes pulmonaires. C'est comme si vous brûliez du charbon et que vous le respiriez. Il était devenu très sensible aux animaux et il avait beaucoup de chevaux. Il était devenu trop sensible aux chevaux. Ça l'a tué une fois. La simple sensibilité au cheval l'a tué. Ouais. Ouais.

 

Sept fois, il a été très proche de l'illumination, mais à chaque fois qu’il sombrait dans une sensibilité dévastatrice, il essayait de la résoudre en faisant ce que les humains essayent de faire, ce que vous essayez de faire. Il essayait de surmonter cela avec certains remèdes à base de plantes. Il essayait de le surmonter par l'hypnose. C'était une blague. Il essayait de le surmonter à travers des séances de spiritisme, de la sorcellerie et tout le reste, plutôt que juste en comprenant qu'il partait d’un état d’être très linéaire-local-ennuyeux pour monter en sensibilité.

 

Finalement, il l'a compris. Finalement, je crois qu’en quelque sorte, et bien, il en est arrivé au point où il n'avait plus d'autres options. Il en était à présent à sa septième tentative vers l'illumination. Je veux dire, il travaillait dur. Il y travaillait vraiment fort. Il en était à sa septième tentative et il n'avait vraiment plus rien, et il savait qu'il allait mourrir. Il toussait. Il éternuait. Il ne pouvait plus manger cette nourriture franchement atroce. Il n'aimait pas les gens, alors il ne les laissait pas l’approcher. Je pense qu'il devait se lever pour aller aux toilettes toute la nuit, et qu’il traversait toutes ces autres choses jusqu’à ce que finalement, il n’eut plus qu’à lâcher prise. Il devait s’arrêter d'essayer si fort. Et quand il l'eut fait, il fut submergé, en quelque sorte, par la sensibilité. Mais au lieu de ce que vous appelez le côté difficile de la sensibilité, il s’ouvrit aussi à son côté sensuel, le côté qui pouvait trouver de la sensualité même dans la nourriture anglaise; la part qui pouvait entendre la beauté dans tout type de bruit. Il s’ouvrit à cet autre côté, et en lui, il y eut une avalanche de réelle sensualité, une sorte d'équilibre presque pour toutes les autres choses, et il s’ouvrit à certains de ses autres sens et il cessa de lutter. Et soudain il vit, ressentit et fit l’expérience de la beauté de toutes ces choses. Soudain, il réalisa : "Oh! Cela fait partie de l'illumination. Vous partez d'un état d’être terne et inconscient et fermé pour aller dans la sensibilité et la sensualité. "

 

Ouais, c’est agaçant quand vous avez des éruptions cutanées. C'est agaçant de tousser. C'est agaçant d’avoir le syndrome de la bouche sèche et tout le reste. Tout cela est agaçant, et tout cela fait partie de votre entrée dans la maîtrise.

 

Il n'y a aucune faute en cela. Il n'y a rien que vous faites mal. Il n'y a pas de mauvais virage. S'il y avait quelque chose que je vous recommanderais, ce serait d’arrêter de vous inquiéter à ce propos et ça sera difficile pour vous. Beaucoup d'entre vous aiment s’inquiéter. Arrêtez de vous inquiéter de cela et arrêtez de prendre tous ces trucs pour essayer de le surmonter. Arrêtez de courir voir des sorcières et des sorciers pour obtenir toutes sortes de remèdes étranges. Soyez juste sensibles. Je ne dis pas de ne jamais en prendre - Cauldre et Linda ont simultanément dit: "On ne peut pas prendre une aspirine ou une pilule anti-allergique?" Ne le faites pas exagérément. Ne vous désensibilisez pas. Vous aurez quelques jours inconfortables, des années même, mais cela n'a pas d'importance (rires). Vous vous ouvrez à votre sensualité.

 

Lord Ventor l'a finalement compris. Il l'a finalement permis, et grâce à cela, il fit l’expérience d’un ressenti exquis, une énergie exquise, une sensualité exquise, et il réalisa, oh, mon dieu, qu’il avait été un vieux rabat-joie durant de nombreuses vies. Il avait travaillé trop fort sur quelque chose qui s'appelait l'illumination, une chose à laquelle vous ne pouvez pas travailler. Vous pouvez la permettre. Point.

 

Alors, je vois tant d'entre vous, j'entends tant d'entre vous. Vous avez des démangeaisons, vous toussez, vous vous grattez, vous éructez, vous pétez, vous faites toutes ces autres choses et plein d’autres choses se passent dans votre corps, et c’est bien. Vous ne pouvez pas supporter d'être entouré d'autres personnes, mais vous ne pouvez pas supporter non plus d'être seul. Qu’est-ce qui est pire? Être seul ? Être avec d'autres personnes? Vous ne pouvez pas dormir la nuit.

 

David, cette sensibilité du sommeil que vous avez est une bénédiction, pas une malédiction. Ouais, levez-vous et allez aux toilettes en même temps, mais quand vous casserez vos vieilles habitudes de dormir huit heures et que vous serez capable de dormir un petit peu, de vous lever un petit peu, de dormir un petit peu, vous casserez les vieux rythmes. C'est une bénédiction de se lever - c'est-à-dire de se lever à deux heures du matin ou quatre heures du matin ou à deux heures et quatre heures et six heures. Et alors? Qu'est-ce qui importe dans l'illumination? Alors, qu'est ce qui compte?

 

Vous maudissez votre humanité et votre condition humaine, bien sûr, et cela devient de plus en plus intense maintenant. Mais c’est aussi une bénédiction. Et ce ne sont pas seulement des mots, car je sais que beaucoup d'entre vous ont eu de réels ressentis sensuels, des expériences sensuelles ces derniers temps. Une petite ici, une petite là-bas, une petite expérience de ressentir à nouveau, s’ouvrir à nouveau. Mais ensuite, vous vous éteignez. Vous avez peur de cela. Tout est bien. Ça va s'ouvrir de toute façon.

 

Je prends une direction un peu différente dans ce Shoud, parce que je veux que vous compreniez que vous devenez plus sensibles et plus sensuels. C'est bien. C'est un peu inconfortable mais c’est bien.

 

Mise en place du Merabh d'aujourd'hui

 

Maintenant, j'aimerais faire quelque chose. Je voudrais faire un merabh, mais j'aimerais le faire de façon un peu différente. Et je veux que vous m’écoutiez attentivement et que vous ne parliez plus avant que tout soit prêt. (Adamus s'arrête, puis rit) Je dois parler à Cauldre une minute. (Rires alors qu'il va derrière la chaise et fait semblant de parler) D'accord, nous avons parlé. D'accord.

 

Voici ce que nous allons faire. En numéro un, nous allons augmenter l’intensité de l’éclairage dans le public, et tout le monde, vous à la maison, vous aller ressentir cela. Que se passe t-il ici? Et la scène s'éclaire. Bien. Gardez toutes ces lumières allumées. N'est-ce pas intense? " Oh! Diminuez ces lumières. " Non, nous en avons besoin.

 

En numéro deux, dans un instant, je vais vous faire mettre toutes vos chaises en cercle, sans parler. Pas un mot. Pas un mot. Toutes les chaises en trop, empilez-les, mettez-les contre le mur, mettez-les là-bas. Il faut juste assez de chaises pour le nombre de personnes dans le cercle. Pas encore. Pas encore. Et tout cela sans parler, et je dois pouvoir me promener à l’arrière du cercle et qu’il y ait une ouverture juste ici pour marcher dans le cercle. Donc, seulement ces chaises. Le personnel de production, SVP ne participez pas à cela. Restez prêts à la caméra. J'ai besoin que vous soyez tous très conscients. Nous allons surtout utiliser la caméra deux, trois et quatre sur ce sujet, pour être très conscients.

 

Donc, maintenant, sans un seul mot, et nous allons mesurer le temps mis à faire cela. Qui va être notre minuteur? D'accord. Nous allons minuter cela. Avez-vous une montre?

 

LINDA: Sans blague!

 

ADAMUS: Sans blague. D'accord. Vous avez une toute nouvelle montre ‘sans blague’. Vous la regardez, "Sans blague!" (Quelques rires) C'est comme une Timex, "Sans blague !" D'accord, à trois, sans parler. Nous allons minuter cela, les chaises en cercle.

 

(Pause, alors que tout le monde commence à bouger les chaises)

 

Et Crash, vous voudrez bien prendre des photos à l'intérieur et à l'extérieur du cercle.

 

J'entends des voix et ce n'est pas la mienne. N’oubliez pas un espace pour que je puisse passer au milieu, juste là où vous placez votre chaise. J'ai besoin d’espace pour pouvoir marcher.

 

Où en sommes-nous avec le temps, Linda?

 

LINDA: Vous ne m'avez pas dit de démarrer.

 

ADAMUS: Je sais, mais où en sommes-nous? Edith?

 

EDITH: Il est 4 heures moins 10.

 

ADAMUS: Pas de téléphones cellulaires. Pas de bouches ouvertes. Combien de temps s'est écoulé depuis que nous avons commencé cela?

 

LINDA: Une minute.

 

ADAMUS: Non.

 

LINDA: Deux minutes.

 

ADAMUS: Non. Vous ne l’avez pas minuté.

 

LINDA: Vous ne m'avez pas dit quand commencer!

 

ADAMUS: Nous y sommes presque.

 

(pause)

 

Presque. Empilez certaines de ces chaises ici. Laissez-moi de la place pour marcher.

 

(Pause plus longue)

 

Bien. Cent quarante-huit secondes. Pas mal. Pas mal. Bien. Maintenant, vous pouvez vous détendre. Bien.

 

Deux ou trois choses à observer. Tout d'abord, nous faisons quelque chose de différent. Vous avez l'habitude de vous asseoir sur les mêmes chaises de la même façon tout le temps. Nous avons fait quelque chose de différent. Ce n'était pas si mal, n'est-ce pas? Vous pouvez parler maintenant (Adamus rit). Vous pouvez rire. Ouais Oui. Pas si mal. D'accord, ça c'est la première chose: la vie change quand vous entrez dans l'illumination. Ne vous attendez pas aux mêmes vieilles chaises, aux mêmes vieilles rangées tout le temps.

 

Deuxièmement, si vous aviez parlé  et je veux vraiment que vous ressentiez cela si vous aviez discuté pendant que nous essayions de faire cela, nous aurions encore pris cinq minutes à le faire. Lorsque vous parlez beaucoup, vous êtes vraiment dans la distraction. Votre bouche s’agite, votre cerveau s’agite, ensuite certains d'entre vous disent aux autres ce qu'il faut faire et certains autres s’asseoient et socialisent un peu. Certains d'entre vous vont faire pipi et font toutes ces autres choses. C'est extraordinaire ce qui peut arriver, en particulier lors d’un processus créatif, ce qui est le cas de celui-ci, lorsque cette bouche humaine ne s’agite pas. C'est un point important.

 

Si vous voulez réaliser quelque chose dans votre vie - un projet, passer à un autre niveau dans votre illumination – fermez-la et permettez. C'est tout. Vous commencez à parler - parler et penser sont tout à fait simultanés, ce sont deux choses très semblables - vous commencez à parler, vous commencez à penser et tout à coup vous bousillez un processus autrement très fluide. C'était fluide, quand on considère que nous ne l'avons jamais fait avant. Nous l’avons fait une fois sur un bateau en Egypte. C'était dur, mais ça avait fonctionné.

 

Quand vous arrêtez les discussions et toutes les pensées et que vous permettez simplement, il y a un flux qui se met en place et soudain regarde soudainement ce qui se passe. Ce n’est pas ce que j'appelle un cercle parfait, mais c’est plutôt bien. Il ressemble à un oeuf. Je suis au milieu d'un oeuf ici, une grande forme d'oeuf. C'est donc très, très important.

 

Ça change les énergies dans la pièce, n'est-ce pas? Ça les change beaucoup, et cela apporte plus de sensualité. Plus de sens commencent à s'ouvrir. Certains d'entre vous pensent que nous allons faire une pause en chantant Kumbaya dans un instant. Pas du tout. Il ne s’agit pas de ça. Je voulais juste faire quelque chose de différent pour ce merabh.

 

Vous tous qui regardez en ligne - où êtes-vous? (Il cherche la bonne caméra) Oh, vous tous qui regardez en ligne, amenez-vous maintenant. Shh! Arrêtez de parler. Amenez-vous dans ce cercle, dans ce que nous faisons et expérimentons ici.

 

Maintenant, juste ... vous y pensez. Vous le faites, tout simplement. "Je suis là", vous vous souvenez ? "Je suis là", et alors vous êtes là. Ok, bien.

 

Maintenant, mettons une petite musique légère de merabh et prenons une profonde inspiration. C'est amusant. C'est comme d’aller faire du camping (rires).

 

(La musique commence)

 

Et je n'aime pas - je veux dire, j'aime ça (un petit pot), parce qu'il dit St. Germain, j'aime ça - mais je n'aime pas tous ces trucs là, alors on va déménager ça (quelqu'un déplace le piédestal). Oh, prenez juste une profonde respiration et ressentez la beauté de la musique et de cette journée.

 

Ah! Prenez une bonne respiration profonde et nous garderons les lumières allumées. Vous les gars, vous vous amusez là-bas derrière (à l'équipe de production). Vous n'avez jamais fait cela, pas vrai? Ouais. Mais n'est-ce pas amusant? C'est créatif. Si nous vous en avions parlé au préalable, vous auriez été inquiets - "Eh bien, comment faisons-nous ceci et comment faisons-nous cela?" Mais vous êtes juste dans le moment présent. Il y a un flux en cela. Il y a une sorte de sensualité en cela.

 

Alors prenez une bonne respiration profonde. Commençons.

 

Merabh du Lâcher Prise

 

Ceci est un merabh de lâcher prise sur de nombreuses blessures. Je sais que nous avons déjà lâché des blessures et des blessures, mais il y en a encore. Mais nous allons le faire à présent un peu différemment. Au lieu de les combattre et d'essayer de les comprendre, nous allons le faire sensuellement. En les laissant juste partir. Et la partie la plus importante de ce merabh, c’est de laisser ces blessures s’en aller, mais aussi d’en embrasser la sagesse.

 

Vous voyez, dans chaque expérience que vous vivez, peu importe la difficulté, peu importe si elle cause une douleur ou la mort, il y a de la sagesse. C'est ce que l'âme adore. Elle adore la sagesse. Elle se fiche du reste. Elle s’en fiche complètement. Elle se fiche de toutes les difficultés, de toutes les histoires. Elle adore la sagesse.

 

Vous pourriez presque transposer les mots «sagesse» et «sensualité». Ils sont si proches. La sagesse. C'est cette essence de ce que l'âme retire de tout ce qui lui est jamais arrivé, de tout ce qu’elle a jamais expérimenté à travers vous. La sagesse. Cela ne signifie pas l’intelligence. Cela signifie, eh bien, c'est l'essence, la sensualité.

 

Au lieu de combattre vos blessures, au lieu d'essayer de guérir vos blessures, à présent, vous les laissez partir, et ensuite vous en embrassez la sagesse, le ressenti.

 

Et avant d'aller plus loin avec cela, je tiens à rappeler à tout le monde que dans toutes ces choses dont nous avons parlé - la sensualité, la sagesse, n’importe laquelle de ces choses, l'illumination - il n'y a pas de travail impliqué. Si vous y travaillez, cela ne se produit pas. Il n'y a pas de travail dans ce domaine. Si vous essayez, si vous luttez, si vous combattez en vous-même, si vous planifiez, si vous calculez, si vous êtes inquiet, si vous avez des démangeaisons et si vous êtes tout le reste de ces choses, c’est que vous y travaillez.

 

La réalisation, qui signifie de vraiment revenir à vos sens, c’est justement de le permettre. Il n'y a pas de calcul dans votre cerveau pour savoir comment le faire correctement, comment respirer correctement, comment s'asseoir correctement, comment manger correctement, comment faire tout cela. Il n'y en a pas. Et c'est là où tant de personnes sur le chemin ont fauté. Eh bien, pas fauté, mais elles se sont distraites avec leur makyo, par exemple avec la manière dont elles doivent le faire.

 

Quelle que soit la blessure qui se trouve là, quelle que soit la douleur ou la diffculté, quelle que soit la répugnance que vous avez par rapport à vous-même, relâchez-la sans effort. Si vous y travaillez, vous ne le permettez pas. Laissez-le s’en aller – car ça veut s’en aller - et ensuite embrassez-en la sagesse.

 

Montons la musique un petit peu et vous êtes tous ici maintenant - ceux qui regardent en ligne, vous êtes là aussi. Je veux que vous ressentiez ce qui vient ensuite. Montez la musique, s'il vous plaît.

 

(La musique devient plus forte)

 

Prenez une bonne respiration profonde. N’y travaillez plus, Edith (Adamus place ses mains sur ses épaules). Prenez une bonne respiration profonde. Bien.

 

(Adamus va ensuite à la personne suivante et se penche doucement sur ses épaules, continuant ainsi tout au long du merabh)

 

(Joanne) Il y a tellement de sagesse ... tant de sagesse à contempler.

 

(Shawna) Ouais, je peux ressentir la douleur. Je crois que vous pourriez dire,  “j’ai donné”. Alors je le comprends, mais maintenant, laissez-la juste s’en aller. Sans y travailler. Sans le forcer. Sans le fuir non plus.

 

(Sart) Sans le fuir. Vous êtes vraiment prêt à recevoir cette sagesse, d'accord? Respirez-la. Bien.

 

(Denise) Plus de fermeture. Arrêtez de travailler si fort, s'il vous plaît. Permettez-le simplement. La sagesse - la sagesse et la sensualité – c’est presque le même mot.

 

(Mary) Il n'y a pas de réponse cachée quelque part. Rien qui vous échappe. Vous n’avez pas besoin d’être si dure. Arrêtez de travailler à cela. Oof! Vous tous.

 

(Femme) Prenez une bonne respiration profonde. Détendez-vous simplement. Toutes ces choses difficiles, lorsque vous accèderez à leur autre côté, vous ressentirez ce qui se passe réellement, vous réaliserez combien il y a de sagesse à contempler. Beaucoup.

 

(Alaya) C'est là que vous relâchez toutes ces blessures. Elles ne vous servent plus. Pas du tout. Elles avaient juste besoin d'une bonne occasion, d’un bon Merabh de Shoud comme celui-là pour les laisser partir. Ne travaillez pas dessus. Je peux vous sentir en train d’y travailler. Laissez-les s’en aller tout simplement.

 

(Nancy) Et vous réaliserez que je ne fais rien de cela. Je me tiens juste debout là. Comme je vous l'ai déjà dit, je suis avec vous à chaque étape. Je ne fais rien. Je vous laisse juste savoir que vous allez bien. Eh bien, vous le savez déjà, n'est-ce pas? Maintenant, récoltez cette sagesse. Laissez tout cela s’en aller et apportez simplement la sagesse.

 

(Caroline) Je vous rappelle simplement ce que vous savez déjà. Il n'y a rien de comparable en fait à toucher un être humain, d’être près d'un humain, dans une totale compassion, un complet honneur, amour. Relâchez toute cette douleur. Respirez dans la sagesse. Plus aucune douleur.

 

(Vince) C'est comme si je jouais le rôle du Maître, le Maître qui est en vous. J'adore ce rôle, car je peux me ressentir si profondément en chacun de vous. Vous êtes un peu comme ce Lord Ventor. Tellement proche, mon ami. Vous vous accrochez si fort. Prenez juste une bonne et profonde respiration. Apportez cette sagesse. Juste en permettant.

 

(Laughing Bear) Cela ressemble à une sorte de new-age, n'est-ce pas? Ouais, mais c'est très sensuel. Une bonne respiration profonde. Préparez-vous dans votre vie pour des secousses à venir très bientôt. Permettez-les simplement, voulez-vous? Permettez-les juste. Ne les camouflez pas. Permettez-les juste. Le Maître en vous vous demande: "Pouvez-vous simplement faire confiance?"

 

(Femme) Je pense que je m’amuse plus avec vous tous que ce que j'ai fait depuis bien longtemps. Et pour tous ceux qui regardent en ligne, en même temps que je passe de l’un à l’autre, je vous touche aussi tous et chacun de vous. Ah, pas besoin d'avoir peur. Juste permettre. Bien.

 

(Marcus) Il est temps de lâcher les blessures. N’y travaillez pas. Si vous y travaillez, ça restera là. Vous les relâchez simplement et vous en inspirez rapidement la sagesse. Vous la respirez. Et voilà. Il ne retient pas, vous voyez. Cet homme permet cette sagesse ... Hm. Bien.

 

(Tom) Portez juste cette sagesse en avant. Pas besoin de la retenir. Portez-la en avant. Pour certains d'entre vous, c'est tellement clair, la sagesse, comme pour ce grand homme ici. Il y a tant de sagesse, mais vous avez presque peur de la faire sortir. Vous pensez juste que ce n’est pas le bon moment. Non, il suffit de la faire sortir. Portez-la en avant.

 

(Alain) Toutes les blessures. De l'énergie bloquée, c’est tout ce que c’est. Prenez juste une profonde respiration et allons au-delà de cela. Ensuite, vous laissez cette sagesse surgir. Vous arrêtez d'essayer de vous guérir ou de vous réparer. Vous laissez juste cette sagesse advenir. Les mots sagesse et sensuel, créatif – ce sont presque les mêmes.

 

(Patricia) Un de ces jours, nous referons cela à nouveau, pas lors d’un Shoud, mais pour quiconque veut venir ici et le faire. Et j'aimerais que chacun d'entre vous ait la chance de simplement toucher et ressentir et tenir le plus grand des êtres. Prenez une bonne et profonde respiration. Plus de travail à ce sujet. Juste le permettre. D'accord.

 

(Femme) Mm. Vous avez tellement de sensibilité, cela provoque des éruptions cutanées sur votre corps. Maintenant, vous laissez simplement passer cela – sans y travailler, nous le laissons juste vous traverser - et ce qui se mettra à sa place, c’est la sagesse ... et beaucoup de grâce.

 

(David) Avoir vraiment confiance en soi-même, c'est beau, mais c'est difficile. Vous pouvez vous demander en quoi avoir confiance parfois, mais, eh bien, comme Lord Ventor, tôt ou tard, vous n'aurez plus le choix, et vous ferez juste confiance. Vous arrêterez de travailler à ce sujet. Vous arrêterez de tenter de le comprendre. Vous permettrez simplement. Bien.

 

(Steve) Eh bien, c'est un Shoud différent, n'est-ce pas? (Adamus rit) Prenez une bonne respiration profonde. Une bonne respiration profonde. Ah! C’est tellement prêt à vous traverser, mon bonhomme. Tellement prêt. Il y a certaines choses anciennes enfouies là, vous prenez juste une respiration profonde. Vous n’avez pas besoin de savoir ce que c'est, vous réalisez juste qu'il est temps. Le temps d'aller au-delà. Génial.

 

(Tiffany) Bon. En voici une qui est tout à fait prête. (Adamus rit) Tout à fait prête à laisser s’en aller beaucoup de choses. Mais elle ne pensait pas qu'elle savait comment s'en débarrasser. Elle pensait que ce serait comme attaché à elle de manière permanente, comme une poubelle remplie d'ordures avec des conduits bouchés tout autour. Eh bien, il suffit juste de retirer le ruban adhésif et de laisser les déchets derrière vous, d'accord? C'est tout. Vraiment simple. Je ferai une histoire de Maître autour de ça un jour. D'accord.

 

(Larry) Il veut me frapper. Non, il le fait vraiment. Je veux dire, il le fait vraiment (quelqu'un rit). Ouais. Ouais. Mais il sait que je connais le Kung Fu, et je suis derrière lui (Adamus rit). En fait, il est drôle. Il n’essaie pas, il ne travaille pas tellement à cela. Il croit juste que ce n’est pas possible. Qu’est-ce qui est pire? Y travailler dur ou ne pas y croire ? Lequel préféreriez-vous avoir? Aucun, d'accord? Tout ce que vous croyez est la réalité que vous créez. Quoi que vous permettiez dans votre vie, sans tous ces boucliers et barrières et tout ce que vous avez mis en place, cette sorte de protection contre les blessures; ce que vous permettez, c'est ce qui advient. C'est aussi simple que cela, pas pour les autres, mais pour vous. Arrêtez le makyo. Commencez à ressentir à nouveau, mon ami. Oh! Commencez à ressentir de nouveau. C'est la sagesse, d'accord? Sommes-nous amis? (Il dit oui de la tête et ils se touchent la main) Bon. Bien.

 

(Astraya) Ah! Un ange. Mm. Ce sera vraiment ennuyeux pour l'avant Shoud la prochaine fois. Ou peut être pas. Faites une bonne respiration profonde. Vous êtes si proche. Et Lord Ventor s'intéresse particulièrement à vous. Vous feriez mieux de le regarder. Il est - hmm - anglais (quelques rires). Lâchez prise simplement, ok? Vous n’y travaillez pas. Vous lâchez prise tout simplement, d'accord? Bien.

 

(Vicki) Et je dois vous demander, ressentez-vous mon toucher? (Elle dit oui de la tête) Je veux dire, pas seulement un toucher physique, mais ...

 

VICKI: Oh, oui.

 

ADAMUS: Ouais. D'accord. Maintenant, amenez cela dans votre corps. C'est sensuel. Ce ne sont pas seulement mes mains sur vos épaules, mais c'est vous et moi, dans une sorte de fusion, de danse, de ressenti. D'accord, une respiration profonde. Trop de résistance, d'accord? Permettez simplement. Vous remarquerez que je n’ai pas de programme, de but dans mon toucher, d'accord? Merci.

 

(Olivia) Prenez une bonne respiration profonde. Ah, il y a une telle beauté dans vos yeux, mais aussi une souffrance. D'accord. Laissez-la juste s‘en aller. D'accord, il s'agit de sagesse maintenant. Il s'agit d'être sensuel. D'accord. Plus de travail acharné. Plus de tentatives.

 

(Tess) Pour tous ceux qui regardent, tout le monde, vous êtes là. Vous faites partie de cela. Je ne passe pas seulement d'un humain à l'autre. Je suis avec vous tous. Et je ne le fais pas. Je le dis juste, ma chère, hmm, pas beaucoup de souffrance ici. Pas beaucoup de problèmes. Qu’est-ce que ça vous ferait si vous étiez parmi les premières à atteindre votre Réalisation, vos sens? C’est un peu intimidant peut-être, mais je sens que vous êtes prête. Respirez-le.

 

(Eric) Hm. D'accord ... (longue pause) Remarquez que je n’ai pas dit un mot (Eric dit oui de la tête). Nous n'avions pas à le faire. Je vous remercie. Nous n'avions pas à le faire. Tout était bien là.

 

(Olga) D'accord. Prenez juste une respiration. Juste, ooh. Ressentez dans la partie supérieure de la poitrine, vous retenez juste certaines choses là. Vous les crachez. (Adamus fait un bruit de crachat et elle se met à rire) Et alors, quand vous riez, ça apporte beaucoup de sagesse.

 

(Elizabeth) Ah! Plus de travail à ce sujet. Plus de luttes. Il y a tellement de sensualité qui arrive à l'heure actuelle, qui s’écoule simplement. Vous pouvez presque le voir quand vous la regardez. N’en ayez pas peur. Demandez-vous juste où c’est. Bien.

 

(Carole) Regardez tous ces prix Adamus sur son badge. Oh mon Dieu. Elle a dépensé beaucoup d'argent ou elle est vraiment bonne. Pas de travail. Pas de travail. Pas davantage, d'accord? Respirez profondément. Amenez-le à la sagesse. Embrassez la sagesse de chaque expérience que vous avez jamais eue. (Adamus claque quelque chose sur son dos) Egh! Elle retenait quelque chose. Je devais le laisser tomber. C'était comme une petite bestiole sur votre dos.

 

(Silvia) Une respiration profonde. En voici une qui ne retient pas vraiment grand chose. Pas beaucoup d'anciens problèmes, merci, mais elle attend juste la permission d'être sensuelle, d'être illuminée. Cela ne viendra pas de moi cependant. Vous devez le faire pour vous-même, d'accord?

 

Prenons une profonde respiration ensemble.

 

Quelques remarques pour aujourd'hui. Attendez-vous à ce que les choses soient différentes. Ne vous attendez pas à toujours être assis sur les mêmes chaises dans la même rangée de la même manière. Quand un cercle vient à vous, embrassez-le.

 

Faites-le tranquillement sans beaucoup y penser, sans beaucoup d’attentes et d’inquiétude. Faites-le simplement. Le fait de créer cela aujourd’hui  a pris moins de trois minutes. C'était facile. Laissez-le venir à vous. Taisez-vous quand vous le faites. Stoppez toute intervention humaine dans le processus d'illumination. Oui, ce sera différent. Oui, vous devrez peut-être faire vos trucs (de production) ici de façon très différente. Ce n'était pas si difficile. Ouais, ça pourrait être un peu bizarre. Nous sommes assis en cercle; Je viens toucher tout le monde.

 

L'esprit, l'illumination vient à vous d’une manière à laquelle vous ne vous attendez probablement pas. Vous avez essayé de les faire venir de la même façon encore et encore pendant longtemps, en attendant que l'illumination en résulte, et cela viendra de manière très différente.

 

Et le troisième et probablement mon plus grand point aujourd'hui, vous ne pouvez pas travailler votre chemin vers l'illumination. Vous ne pouvez pas combattre vos vieilles batailles et vos vieux démons, et y travailler dur, et le souffrir, le comploter et le planifier, comme vous l'avez fait. Vous le permettez simplement. Vous le permettez simplement.

 

De temps en temps, une distraction se produira, que ce soit moi me tenant debout derrière vous – ce qui est une belle distraction. Je ne faisais rien. Je n’étais pas en train de vous guérir. Je ne veux pas. Je ne mettais pas d'énergie sur vous. Je ne faisais rien. Je vous distrayais suffisamment longtemps pour que vous vous ressentiez. Tout ce que vous avez ressenti, que vous soyez ici ou que vous regardiez en ligne, ce que vous avez ressenti ne venait pas de moi. Ça venait de vous.

 

Prenons ensemble une bonne respiration profonde.

 

Merci, mes chers amis, de m'avoir permis d'être ici avec vous durant ce moment magnifique, sensuel et plein de sagesse.

 

Prenons une bonne respiration profonde et rappelez-vous que tout est bien dans toute la création, en particulier la vôtre. Je vous remercie.

 

Je suis Adamus, dans le cercle. Je vous remercie. (Applaudissements du public)