LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
La série du Kharisme
SHOUD 11: "Kharisme 11" - ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe
Présenté au Cercle Cramoisi
1 août 2015
www.crimsoncircle.com
Je suis ce que je suis, incontestablement Adamus. Ah!
Pas Saint-Germain aujourd'hui, et certainement pas Kuthumi ; aujourd’hui,
c’est une journée tout Adamus, une journée de star (le public l’acclame et
l’applaudit). Vous applaudissez maintenant, mais vous n’avez aucune idée de ce
que j’ai en tête.
Et, chère Edith, on dit que vous vous seriez sentie un peu mal à l'aise
avec la vidéo (en référence à la vidéo "Lost" d’Anouk, diffusée avant
la séance de canalisation).
EDITH: Oh, non. Ça ne m’a pas mise mal à l'aise.
ADAMUS: Ah non ?
EDITH: Non, il s’agit simplement de nous aimer nous-mêmes.
ADAMUS: Absolument ! Vous l'avez entendu de la bouche d'Edith!
(Applaudissements) Pour vous aujourd’hui, une récompense d'Adamus.
EDITH: Oh, wow !
LINDA: Ha ! J'en ai une ! J'en ai une. Ha, ha ! Ha, ha, ha !
ADAMUS: Vous gagnez une récompense d'Adamus.
LINDA: J’en ai une!
ADAMUS: Il s’agit simplement de vous aimer, oui.
LINDA: Elle arrive.
ADAMUS: En fait, je dois vous raconter une histoire. J’ai précisément choisi
ça. Ce n’est pas ma musique préférée, mais probablement mon sujet favori - vous
aimer. Et à un moment donné, ce cher Geoffrey, Cauldre, est devenu un peu
nerveux, il allait mettre quelque chose de doux, de non-agressif, quelque chose
qui ne vous mette pas mal à l’aise. Et il a même utilisé Edith comme excuse. Il
a dit «Cette vidéo risque de mettre Edith mal à l’aise.» Avais-je raison, ma
chère dame? (Il l'embrasse et le public dit «Awww!»)
EDITH: Merci (il l'embrasse à nouveau). Merci.
ADAMUS: Elle est tout à fait à l’aise. Oh, quelqu'un qui s’aime, qui
s’aime, et qui chante ... oh.
LINDA: (Apportant la récompense d'Adamus) C’est la seule.
ADAMUS: Et nous aimerions en avoir un beau cliché. Edith, pour vous (il lui
remet la récompense).
EDITH: Merci infiniment.
ADAMUS: C’est pour vous. Oui. Oui (quelques applaudissements). Vous vous
rendez compte que nous n’en donnons plus beaucoup, maintenant que vous pouvez les
acheter en ligne pour 44$ (quelques
rires). Mais elle est tout à vous.
Ah, l'un de mes sujets favoris est vous aimer vous-même, et nous avons
tendance à être - vous avez tendance à être – mal à l'aise à ce sujet quelquefois,
et parfois presque gênés. Ici, nous avions une belle vidéo avec une chanson qui
parlait du fait d'être perdu - et je sais que beaucoup d'entre vous ressentent
cela, qu’ils sont perdus dans leur propre chanson - et il y avait des images
graphiques, très bien faites d’un point
de vue professionnel, mais qui vous ont installés confortablement dans une
baignoire (rires car Adamus se blottit à côté d'Edith). Ou appelez-moi (Adamus
glousse).
Donc, mes chers amis, nous allons faire quelque chose d’un peu différent
aujourd'hui, un peu différent.
Tout d'abord, comprenez que je suis en fait ici, dans ce Shoud - et un
Shoud est constitué par l’ensemble de nous tous. Un Shoud est un reflet de nous
tous. Quand on a un grand, grand Shoud, un shoud qui devient un point de
repère, c’est parce que vous étiez prêts à passer à l’étape supérieure. Sur le
moment, vous n’avez pas toujours la sensation qu’il est bon, ce n’est pas
toujours confortable sur le moment, mais vous permettez d'aller au niveau
supérieur. Il est parfois si facile, dans votre propre vie, de simplement
maintenir le statu quo, pour juste penser à une vie différente, mais sans jamais
lui permettre d’être différente, afin de ne pas faire de grands changements.
Renverser Dieu
Le mois dernier, nous avons fait un changement audacieux. Nous avons renversé
Dieu (rires). Pour ceux d'entre vous qui ne savent pas de quoi je parle, il ya
quelque chose appelé le cow tipping. Le cow tipping . Oui, les Américains savent ce que c’est. Je crois que
c’est une pratique assez courante par ici. Mais pour ceux d'entre vous qui ne
connaissent pas et qui veulent faire quelque chose ce soir ... (rires et le
public dit «Non!») Vous sortez et allez dans les pâturages où se trouvent des
vaches en train de dormir, et quand une vache est en train de dormir, avec un
doigt, sans réel effort, vous pouvez les faire tomber, les renverser (Adamus
glousse). Non, non, la vache s’en fiche, du moment qu'elle a à manger le lendemain.
Nous avons fait pareil mais avec Dieu. C’était possible, parce que Dieu est
assez endormi. Dieu est assez léthargique et Dieu est juste dehors, dans les
pâturages, juste un peu ... (il fait un visage endormi). Oh, je suis sérieux.
Je ne dis pas que Dieu est une vache (quelques rires). Eh bien, peut-être que
si (plus de rires). C’était donc possible de le renverser, simplement de le retourner
dans tous les sens. Ce fut un grand pas. Vous ne l’avez peut-être pas réalisé
le mois dernier, mais un grand pas a été fait, dans le sens où nous pouvons
même en parler sans s’inquiéter de ce que va penser quelqu’un qui regarde ou
écoute, parce que, eh bien, vous n’avez pas à vous en inquiéter. Personne
d'autre que vous n’écoute ce genre de choses! (Adamus rit)
Sans s’inquiéter des répercussions, parce que, vous savez, tant que Dieu fait
partie de la conscience de masse, les gens veulent qu’il change. Les gens
veulent vraiment un changement en Dieu, mais ils ont peur. Ils ont peur qu’il y
ait trop de changements ou des changements dans la mauvaise direction, mais ils
sont un peu fatigués de Dieu, le Dieu que les humains ont connu. Ils veulent
quelque chose d'un peu plus dynamique, plus rafraîchissant, plus simple, et pas
tel qu’enseigné par quelques vieillards teigneux.
En fait, vous savez les choses vont vraiment émerger sur le front de Dieu quand
les femmes, autant que les hommes, partageront ce truc de Dieu, alors qu’ ils
prient. Pour moi, c’est si étrange – c’était étrange il y a 300 ans, mais c’est
plus étrange encore aujourd'hui - que les prêtres doivent être des hommes, et que
les rabbins soient des hommes en général et les prédicateurs et les ministres
généralement des hommes. Ce n’est pas toujours le cas, mais en général oui.
C’est si étrange. C’était étrange à l'époque. Tout le monde savait qu'il
manquait quelque chose, mais personne n’en parlait. Et nous voici, 300 ans plus
tard et ce quelque chose manque encore. Mais vous le reconnaitrez quand il y
aura des changements dans la plupart des grandes églises et des organisations
religieuses pour permettre aux femmes de se tenir sur le devant de la scène.
Enfin bref, nous avons un peu bousculé Dieu le mois dernier, et il est
tombé, et il y a eu des répercussions. Je veux dire, c’est amusant de faire
cela et de regarder l'ensemble, vous savez, Dieu, ce grand être puissant, omniscient
- boum! - juste comme ça.
Il y a en effet des répercussions, pour vous. Ça commence à secouer, à
ébranler le fondement sur lequel beaucoup de choses ont été construites. Ça
commence à abattre les choses à l’intérieur. Même si je sais que vous pensez tous
que vous n'êtes pas religieux, mais il y avait encore une sorte de vieil
investissement en Dieu. Vous commencez à lâcher cela et les choses refont
surface, parce que Dieu est comme une grande couverture de suppression posée
sur beaucoup de choses - la peur, la culpabilité, la honte et les souvenirs cachés
- tout cela, alors que vous priez Dieu.
Eh bien, lorsque cette courvertures’en va, les choses remontent à la surface.
Sandra.
SANDRA: je suis là.
ADAMUS: Mon café.
SANDRA: je suis là (quelques rires).
ADAMUS: Oui. Merci ma chère. Merci (quelques applaudissements) Merci. Des
cris de joie. Soyez libre de faire irruption ici à tout moment, du moment que
c’est pour mon café, rien d'autre.
Donc, ça bouscule beaucoup de choses et vous avez probablement remarqué
que, de multiples façons, ce fut un mois complètement fou, différent de ceux habituellement
fous, mais ce fut un mois fou – à vous sentir un peu perdus, désancrés, tels un
électron libre ; à vous sentir un peu mal à l'aise du fait que l'ancienne base ne
soit plus là - et c’est tout à fait approprié. Ça fait remonter des choses
comme la lettre du Cher John dont
vous parliez précédemment. Ça fait remonter des lettres de Chère Susan. Ça amène des lettres de Chère Mary, des lettres de Cher Benjamin, des lettres de
Cher Richard. Ça fait remonter
beaucoup de choses, et ça les ramène à la surface. Et quand les choses sont ramenées
à la surface et qu’elles sont exposées à ce que vous appelleriez la lumière ou
la conscience, ça fait vraiment mal pendant un certain temps. Ça vous met vraiment
mal à l'aise, et ni vous ni moi ne voudrions que vous retourniez à votre petit
endroit confortable afin de juste essayer de le rendre un peu plus confortable.
Nous traverserons cela. Vous traverserez cela, et c’est un peu inconfortable et
ça déchire en quelque sorte une partie du matériau de votre algorithme humain,
et il le fallait. Et ça continuera de se faire ainsi.
Ce qui est extraordinaire pourtant, c’est que quand vous comprenez ce qui
se passe, même s’il y a certaines douleurs émotionnelles, mentales, peut-être
même physiques, vous dites "Oh, d'accord. Voilà ce qui se passe. "
C’est beaucoup plus facile que d'être dans l'obscurité absolue et de se dire «
Qu’est-ce qui ne va pas avec moi? "Cela est tout simplement horrible.
Donc, oui, il y aura des moments inconfortables, un temps d’ajustement. Mais quand
vous comprenez que c’est approprié et que vous allez passer au-delà, c’est bien
plus acceptable, plus facile à vivre.
Tout dans le Présent
Alors que je me tiens là à vous parler en ce moment, je parle à chacun et à
chacune d’entre vous. Ceci est votre Shoud. C’est ce que vous créez. Mais je
fais aussi cela pour moi-même, pour moi, parce qu’alors que je suis là à vous
parler, essentiellement à traduire, à mettre en avant votre message et le mien,
il y a une part de moi qui entend cela à l’instant ; une part de moi. C’est une
part qui n’est pas un Maître Ascensionné. C’est une part qui a vécu une période
très difficile il y a 2600 ans. C’est une part de moi qui est tellement
frustrée, confuse et perdue. Donc, je suis ici en train de me parler à
moi-même, en me disant "Tu expérimentes une évolution, une ouverture. Le
moment de l'illumination viendra. "Je suis en train de parler à mon passé,
et le passé n’est pas un retour en arrière dans ce cas. En fait, le passé est exactement
ici.
Vous faites la même chose avec vous-même en ce moment même. Vous parlez à
votre passé. Vous parlez à ce qui vous pourriez dire est votre Présent, votre
temps actuel. Et il y a une part de vous que vous pourriez appeler le futur -
mais ça ne l’est vraiment pas, tout est issu du Présent - qui vous parle et dit« Ça se résoud. »
Il le fallait. Il le fallait. Tout cela arrive ensemble de la plus belle et extraordinaire
façon qui soit et que vous avez créée. Personne d'autre. Que vous avez créée. Alors
en dépit de beaucoup de choses qui vous inquiètent et sur lesquelles vous vous
interrogez en ce moment, tandis que l’humain est assis ici, à penser qu'il y a
quelque chose que vous n’avez pas encore compris, à se demander ce qui va
arriver ensuite, en s’inquiétant probablement à ce sujet, en étant peut-être
frustré par la vie, il y a cette part de vous qui vous parle en ce moment et
qui dit: «Prends une profonde respiration. Détends-toi. Détends-toi."
Vous savez, la chose intéressante, c’est qu'il n'y a pas vraiment de passé
/ présent / futur. Tout doit se passer dans le Présent. Tout doit se passer
dans le Présent. Ça ne peut pas se produire dans le passé ou le futur. Donc,
même ce maître ascensionné que vous êtes est dans le présent, dans le même Présent
où cet humain se trouve - dans le tout à fait même Présent - et le passé est tout
à fait dans le même Présent.
"Alors, quelle est la solution ?" me direz-vous. "Comment se
fait-il que je ne comprenne pas?" Eh bien, parce que vous ne visualisez ou
n’êtes conscient que d’une petite partie du Présent. Tout se passe en ce moment
précis. Il ne s’agit pas d’aller vers le futur; il est ici. Et dans un sens, on
pourrait dire que ce que vous vous dites en ce moment est «Ouvre ta conscience.
Permets ta conscience. " Permettez-vous de réaliser tout ce qui est ici
dans le Présent. Pas mentalement. Pas mentalement. Vous le faites juste, eh
bien, en étant absolument courageux et audacieux et en vous disant: «Je n’ai
plus rien à perdre. Je vais m’ouvrir complètement à présent. "Et puis
arrêtez d'y penser. C’est si important. Et votre Soi, votre Soi réalisé et illuminé
vous dit à présent "Arrête d’y penser. Avance juste en faisant ce que tu
as envie de faire. "Vous le permettez. Vous vous ouvrez et permettez, et
ensuite arrêtez d’y penser. Vivez votre vie quotidienne. Vivez ce que vous
voulez vivre.
Alors prenons une grande respiration et faisons cela dès maintenant.
Rien de nouveau
Donc, aujourd'hui, je ne vais rien vous dire de nouveau. Désolé. Tout ce
que je vais vous dire, vous l’avez déjà entendu, que ce soit ici ou dans ce que
vous appelez le passé ou c’est votre Soi illuminé qui vous l’a déjà dit. Vous
avez déjà entendu cela. Vous le savez déjà. Donc, il n'y a rien de nouveau
aujourd'hui. Et je dois dire cela parce que beaucoup d’entre vous regardent ce
shoud en quête de nouveauté "Qu'est-ce qu'il va dire de nouveau
aujourd'hui?" Vous êtes pris dans le tourbillon de la nouveauté. Tout doit
être nouveau. Mais ce n’est pas le cas. Il n'y a rien de vraiment nouveau.
Je peux vous raconter la même vieille histoire d’une toute nouvelle façon
qui vous ferait penser que c’est nouveau, mais ça ne l’est pas. Si vous revenez
aux premiers Shouds avec Tobias – la Série des Créateurs, la série des Maitres,
et quelques autres - il n'y a rien de nouveau. Il l’a déjà dit auparavant. Je
vais le dire d'une manière différente - plus drôle ou plus dérangeante, en un
sens ; Je vais le dire d'une manière différente - mais au-delà de cela, il n'y
a rien de nouveau parce que ce Soi réalisé et illuminé vous l’a déjà raconté.
Il vous l’a déjà raconté.
Donc, je dis cela parce que, pour ceux d'entre vous qui ne viennent ici que
pour entendre de nouvelles choses -
"Qu’est ce qu’il a dit de nouveau ?" - Et qui bâillent à ce que vous
pensez avoir déjà entendu auparavant, vous voudrez peut-être partir. Je vous
appellerai quand nous parlerons de quelque chose de nouveau – c'est-à-dire jamais
(certains rires).
Il y a une fascination par rapport à cela. C’est comme une dépendance. J’en
parlerai un peu plus dans notre réunion à venir sur les Addictions. Mais il y a
une obsession par rapport à ce qui est nouveau - "Je dois découvrir
quelque chose de nouveau tout d'abord, afin d’être celui qui dit à tout le
monde que je viens d'entendre quelque chose de nouveau "Ce doit être
quelque chose de nouveau, parce que le vieux vous ennuie vraiment. Vous avez
besoin de ce nouveau presque comme d’une distraction, parce que, bon, vous
n’avez jamais vraiment pu le faire. L’ancien, ce qui a été dit avant, vous ne l’avez
jamais vraiment suivi ou permis, donc il faut que ce soit quelque chose de
nouveau. Et ça commence à me fatiguer. Mettez-vous à ma place pendant un
moment, je dois toujours venir avec quelque chose de nouveau chaque mois juste
pour les «nouveaux», juste pour ceux qui aiment la nouveauté.
J’ai donc décidé que ce ne serait pas le cas aujourd’hui. Pas aujourd'hui.
Il n'y a rien de nouveau aujourd'hui. Et maintenant, si nous pouvons nous
débarrasser de tous ceux qui viennent juste ici pour le nouveau, nous pourrons passer
aux choses sérieuses. Okay, faisons quelque chose de nouveau, maintenant qu'ils
sont partis (rires).
C’est du vampirisme énergétique. C'est agaçant. C’est genre, que suis-je,
un humoriste ici ? Vous savez ... (certains dans le public disent «Oui» et
quelques rires) Ok! Faisons quelque chose de nouveau !! (Plus de rires)
Vous ne venez pas ici pour de la nouveauté. Vous venez ici simplement pour
vous ouvrir. Je suis simplement un grand ouvre-boîte dans votre vie (Adamus
glousse). Vous venez ici pour vous ouvrir. C’est facile de rester coincé ici-bas.
Vous ne remarquez pas que je reste dans les parages à la fin du Shoud. Je pars
parce que c’est si facile de rester coincé et emprisonné ici-bas. Ça l’est
vraiment, et non seulement vous êtes coincés dans les activités quotidiennes,
mais vous êtes aussi coincés dans un corps. Je viens juste ici et loue celui-ci
quelques fois par mois et ensuite je passe à autre chose. Mais c’est dur. Nous
venons juste ici pour vous donner un peu de - je voulais dire un massage
spirituel, mais ce n’est pas ça - juste un massage de la conscience et bousculer
un petit peu l’humain qui est en vous. (Adamus glousse).
Avez-vous déjà fait cela, Kerri? Faire tomber une vache?
KERRI: Non, jamais.
ADAMUS: Essayez.
KERRI: Je pourrais m’entrainer sur vous.
ADAMUS: Essayez (quelques rires). Ouais.
KERRI: Je vais beaucoup m’amuser en faisant ça.
ADAMUS: Eh bien, je dois d’abord tomber de sommeil et je ne dors jamais.
KERRI: Oh.
ADAMUS: Alors, oui. Essayez. Prenez des photos, oui, et nous aimerions voir
la vidéo le mois prochain (Adamus glousse).
KERRI: D'accord. Est-ce une mission, professeur?
ADAMUS: Non, c’est comme aller au parc d'attractions (Adamus glousse).
Donc, rien de nouveau. Tout est là. Pourquoi ne le savez-vous pas? Parce
que vous ne vous êtes tout simplement pas ouvert à cela. C'est tout. Pourquoi ?
C’est un grand défi. Et pourquoi ? J’y reviendrai à nouveau lors de notre rencontre
à venir, mais vous devenez accro à la vie. Vous êtes accro à elle. Vous devenez
accro au cheminement. Vous devenez accro aux problèmes. Vous devenez accro à
toute cette chose, et vous venez ici pour entendre votre Soi, le Soi illuminé dire
"Il suffit de prendre une profonde respiration. Il suffit de prendre une
profonde respiration et de permettre. "
Contradictions
Donc, l'autre sujet que je voulais aborder. Vous êtes probablement en train
de découvrir, ou de découvrir encore plus, que la vie devient une série de
contradictions, et c’est difficile. L'humain aime les belles choses et qu’elles
soient organisées et savoir où se trouvent les points A, B et C. Vous remarquez
probablement d'énormes contradictions en vous-même, dans ce que je vous dis ; des
contradictions d'une part lorsque je vous dis "Soyez dans la vie. Soyez
dans la joie de la vie », mais l'instant d'après, je vais vous dire que vous
êtes accro à la vie. Vous dites: «Eh bien, n’est-ce pas une contradiction ?»
Non, pas du tout. Pas du tout.
Un moment nous parlons d’être ouvert, l'instant d’après nous parlons du
fait d’être focalisé. N’est-ce pas une contradiction ? Non pas vraiment. Pas
vraiment, particulièrement une fois que vous commencez à vous autoriser à être
dans le "et," parce qu'il y a des contradictions aux différents
niveaux de la réalité, des vibrations et de l'énergie. Il y a de grandes
contradictions dans ce que vous appelez la nature, la réalité naturelle, et ce
qui se trouve dans d'autres réalités. Et voilà pourquoi c’est difficile de les
voir, parce que vous regardez à travers les yeux de l'attente que tout doit
être d'une certaine façon dans les autres dimensions, et ensuite vous sortez et
vous ne pouvez pas le retrouver. Eh bien, c’est parce qu’il y a un «et». C’est
différent. La gravité ici pourrait être très différente de la gravité ailleurs,
la réaction des énergies peut être très différente ici par rapport à d'autres
endroits.
Alors, s'il vous plaît, habituez-vous à ça. Les contradictions. Il n’y a rien
qui cloche avec votre mental quand vous commencez à percevoir de grandes
contradictions dans les choses et en vous-même, il n’y a aucun problème. En réalité,
il est grand temps d'aller au-delà de la pensée linéaire et de l’idée que tout
doit être pareil.
C’est très difficile dans un premier temps pour votre mental, votre
perception de la réalité. Vous vous sentez de très, très mauvaise humeur. Rien
n'a de sens et vous essayez désespérément de tout remettre ensemble. Et ensuite,
vous devenez déprimés et anxieux et vous ne pouvez pas dormir la nuit. Eh bien,
vous vous en remettrez. Vous vous en remettrez et vous commencerez à vous
rendre compte qu’en tant que Maître incarné, il y a de nombreux niveaux
différents de réalité, et ils n’ont pas tous besoin d’être en 'accord les uns avec
les autres. La physique de cette planète n’a absolument pas besoin d’être en accord
avec la physique des autres dimensions.
Voilà pourquoi c’est amusant. Vous trouverez cela amusant à un moment
donné. C’est presque la raison pour laquelle les choses sont là. Cauldre
parlait à quelqu'un durant la pause de la gravité et comment Tesla avait compris
qu’elle était la source d'énergie. Mais les scientifiques ne verront pas cela
maintenant, parce qu'ils supposent que cette réalité fonctionne également dans
cette (autre) réalité. La dynamique ici (à un endroit) s’applique ici (à un
autre endroit), mais ce n’est pas le cas. C’est très différent. Et elles
peuvent toutes exister et coexister, même si elles ne sont pas ordonnées. Même
si elles sont incompatibles, elles peuvent coexister. C’est un point important.
Voilà pourquoi je dis que tout est dans le Présent. Ça ne peut pas arriver
en dehors du Présent. Il n’y a rien
en dehors du Présent. Mais vous avez la perception d’un passé et d’un futur, et
c’est très difficile de percevoir que l'être illuminé est ici et que le schmuck
est ici aussi. Tout cela est ici, et ça
n’a pas besoin d’être compatible – compatible physiquement, compatible énergétiquement,
compatible dans la conscience - bien que ça puisse coexister. C’est énorme, et si
important.
Maintenant, le mental aura du mal avec cela, comme c’est le cas pour
certains d’entre vous en ce moment "Comment ça marche ?" Votre mental
ne va pas le comprendre, mais je vais expliquer cela dans un instant. Alors
soyez à l'aise avec cela. Soyez simplement à l'aise. C’est ça, s’ouvrir.
S’ouvrir, et il y a des moments où vous allez vous sentir très bizarre et ça
n'aura pas de sens physiquement, mentalement, spirituellement, et vous aurez
l’impression que vous êtes sens dessus dessous, et c’est bien. C’est bien.
Le mental
Beaucoup d'entre vous s’inquiètent de vieillir et que leur mental leur fasse
défaut. Vous savez, il n'y a pas beaucoup de différence entre devenir sénile et
devenir illuminé (quelques rires). Non, il n'y en a pas. Il n'y en a pas, à
part être en mesure de comprendre ce qui se passe.
Je prendrai un exemple. Imaginez une lampe de poche, et quand une personne
vieillit, son mental, eh bien, est comme les piles de la lampe de poche, elles
ne sont plus tout à fait aussi fortes qu’auparavant. Et en plus de cela, au
lieu que le faisceau soit très lumineux, il est un peu plus flou et plus évasé.
Ainsi, très souvent les personnes âgées, dontvous pensez qu’elles deviennent timbrées, alors qu’elles
pensent qu'elles sont juste et d’une manière assez curieuse, un peu plus heureuses
qu'elles ne l'ont jamais été (rires), elles n’ont plus besoin de s’occuper de rien.
Au passage, certains d'entre elles font encore semblant, pour ne pas avoir à composer
avec les humains. Mais leur mental se ramollit et commence à dériver vers les
autres dimensions. Que ce soit la dimension de la mort ou juste les autres dimensions
qui sont déjà là, elles commencent à dériver vers elles.
Maintenant, ce que vous appelez un être humain sain d'esprit et rationnel
les écoute babiller et se dit "Oh, elles sont juste en train de perdre la
tête et j’espère ne jamais devenir comme ça." Eh bien, vous allez devenir comme ça (Adamus glousse).
C'était amusant! (Plus de gloussements) mais avec une différence. Il ne s’agit
pas seulement vieillir. Ce qu’il se passe, c’est que vous vous expansez au-delà
du mental et vous commencez à percevoir les autres dimensions. Et en m’entendant en parler, vous dites : «Oh ! Ça a
l’air bien. C’est comme un grand film de science-fiction dont je serais la vedette.
C’est une grandiose et nouvelle dimension- Star Trek, Star Wars" et tout
le reste. Mais alors, quand ça commence à se produire, vous vous dites "Oh
! Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ?! Je ne me souviens de rien. Oh ! Qu'est-ce
qui ne va pas avec mon cerveau? "
C’est comme le cerveau d’une personne âgée. Il est juste en expansion. Mais
au lieu que ce soit vous qui perdiez
votre capacité de concentration, au lieu que ce soit vous qui vous déconcentriez,
ce qui se passe c’est que vous êtes toujours – c’est une bonne et mauvaise
nouvelle – vous êtes toujours concentré et les piles sont encore chargées. Oui,
elles le sont. Vous êtes toujours concentré, mais maintenant vous avez tout à
la fois un focus là, et un autre là-bas, et un autre ici, et un autre ici (il
fait des gestes vers différents endroits). Vous devenez multi-focus,
multi-concentré, vous voyez. Vous avez tous ces différents faisceaux. Au lieu
d’avoir juste un unique faisceau - comme une personne de 30 ans, avec un seul
faisceau concentré ici - vous commencez à les diriger partout. Cela est très bizarre
au premier abord, mais je veux que vous m’accompagniez pendant un moment jusqu’au
point où ce n’est plus bizarre. D’accord ?
Alors vous voici maintenant en train de vous demander "Que
m’arrive-t-il? Je n’arrive pas à me souvenir de tout. "Vous dirigez juste votre
attention vers de nombreuses réalités différentes. Le mental lutte pour le
comprendre, s’en rappeler, donner un sens à cela, et il ne peut pas. Il ne peut
pas. La plus grande erreur - je vais attendre la fin pour faire un résumé de
tout cela, mais la plus grosse erreur – c’est qu’il ne peut pas. Donc arrêtez
d'essayer. C’est aussi simple que cela.
Votre mental a son attention dirigée ici et il sera seulement en mesure de la diriger là- et peut-être là (à un autre
endroit) et un peu au-delà, mais pas beaucoup plus - alors arrêtez d'essayer de
faire en sorte que le mental comprenne ce qu'il ne peut pas comprendre. Il ne
peut pas.
Alors, venez avec moi
maintenant. Nous n’avons pas besoin de musique ou quoi que ce soit d’autre,
mais venez avec moi dans ce qui est le Présent, dans ce qui n’est pas nouveau.
D’accord ? Première chose. Ce n’est pas nouveau. On ne va pas faire quelque
chose de nouveau ici, parce que vous y êtes déjà. Et ce n’est pas un jeu d'esprit
; ça s’appelle la Réalité 101 (ce qui signifie les bases de la réalité). Venez
avec moi un moment, dans ce lieu où vous pourrez porter votre attention / focus
sur cette Terre - sur votre corps, vos pensées, votre identité. Ce devrait être
facile. C’est ce que vous faites tous les jours, là où vous avez vos habitudes,
où vous avez votre sens de l'équilibre et de la perception.
Bien. A present
nous avons cela. C’est un acquis. Mais immédiatement, à ce même moment, au-delà
de la pensée mentale, il y a d’autres choses, ce que vous pourriez appeler les
dimensions. J’aimerais d’ailleurs en arriver au point où d’ici six mois, nous
n’utilisions plus le mot dimensions. Cela semble être un truc new âge tellement
gnangnan. Or, ce sont juste des réalités. Ce sont juste des expressions, et à
cet instant vous les avez. A cet instant, elles sont là.
Eh bien, je
peux le prouver. Vous le faites dans vos rêves chaque nuit. Certains d'entre
vous s’en souviennent, d’autres non, mais vous allez simplement dans une autre
réalité, une autre expression, une autre expérience. Et souvent, ces autres
choses vont bien au-delà d’un mental physique, si bien qu’elles sont difficiles
à raconter, mais elles sont là. C’est votre âme, votre Présence Je Suis, qui
chante simplement, par exemple, sans avoir à utiliser vos cordes vocales, car
ce n’est pas nécessaire. Elle chante simplement. En sentant cette expression
qui la traverse. C’est une réalité.
La réalité,
c’est à la fois un focus (un point de mire), et aussi un “et” qui vous rend
content. Content - Je ne veux pas utiliser le mot de «paix», parce que même ça
a un sens erronné - mais vous êtes tout simplement en accord avec tout ce qui
se passe à de multiples niveaux.
Cette réalité
est ici en ce moment. Il y a le vous, le focus qui est un enseignant, un
enseignant extraordinaire. Il n’est pas obligé d’être ici dans son corps
physique, dans le mental. C’est possible, mais ce n’est pas obligé. Et il y a
là où vous partagez votre kharisme, votre lumière. Vous n’avez pas besoin
d’avoir 100 personnes assises en face de vous, sur des chaises raides, se
demandant quand est-ce qu’elles vont avoir une pizza (quelques rires). Non,
vous pouvez simplement être dans un autre focus, rayonnant votre kharisme.
C’est cela enseigner. Qui a dit que ça devait obligatoirement se faire face à
un groupe ? De la sorte, ça ne marche pas toujours aussi bien que d'être juste rayonnant.
Et il y a
l'autre focus de vous, un vous si non-humain que c’est presque difficile à
imaginer, donc sans-corps, sans-mental, mais juste dans une êtreté. Une êtreté.
A être juste là.
Et il y a un
autre focus de vous, une expression qui, croyez-le ou non, veut tout faire et
refaire encore, recommencer toutes les choses humaines. Non, c’est vrai.
Vraiment. C’est celui qui me fait peur (il rit). Non, mais c’est celui qui
comprend cette chose, la multiplicité, le «et». Et il comprend qu'il n'y a
vraiment pas de douleur ou de traumatisme, et il comprend que c’est juste une
expérience incroyable, pas un test, et il veut rentrer. Il le veut vraiment. Et
il y a un autre focus qui a déjà, vous voyez. Une autre vie. Je n’ai pas dit
une vie après celle-ci; ça pourrait être avant celle-ci. ça pourrait être avant
celle-ci.
Oui, vous
pouvez être un Maître Ascensionné et avoir une autre vie, et ça n'a pas
d'importance où elle a lieu. ça n'a pas d'importance si elle a lieu avant ou
après votre illumination, parce que rien de tout cela n’a d’importance à un
certain niveau. Cela n’en a pas. Vous pouvez être complètement ascensionné et
dire : «Je veux faire l’expérience d’une autre expression." Et vous pouvez
le faire différemment, sans avoir à passer par le processus ordinaire de la
naissance, ainsi que Tobias l’a fait aussi. Et vous pouvez le faire juste pour
vous amuser. Vous pouvez le faire sans devenir exalté ou philosophe ou coincé
et tout le reste. Et en même temps, vous pouvez être toutes ces choses.
Maintenant, je
dis que vous dites cela - votre Soi
illuminé qui est tout à fait là dit cela, essayant de faire un point sur le
focus humain qui se trouve ici, sur ces chaises ou qui regarde via Internet -
et vous allez dire "Oh yeah! Ce n’est
pas nouveau. Je sais tout cela. Je sais ça. C'est si facile. Je suis un être
“et”. Je ne suis pas coincé dans la merde! "J'ai dit ça pour vous
réveiller (quelques rires). Certains d'entre vous s’étaient assoupis. Vous
n'êtes pris au piège de rien du tout - matérialisme, conneries, quoi que ce
soit. Vous ne l’êtes pas ! C’était juste le focus de l'endroit où vous étiez.
Mais, comme vous le savez, une part de vous, pas la totalité de vous, mais une
part de vous va sortir par la porte tout à l’heure, ou éteindre votre Internet
plus tard, et une autre part de vous va ensuite revenir dans un focus
particulier. Lorsque ce sera le cas, arrêtez-vous simplement.
Arrêtez-vous
simplement. Prenez cette respiration profonde - et - vous n'y serez plus.
Maintenant, ce
qui se passe ici, c’est que vous vous relâchez. Vous relâchez une réalité
linéaire qui se déroulait depuis des siècles, vous étiez comme piégé dans cette
réalité alors que toutes les autres réalités existaient aussi, mais vous
relâchez celle-ci. Vous enlevez votre propre sous-vêtement si serré, et c’est
difficile, car une part de vous veut juste faire que la réalité linéaire soit
un peu meilleure. Et vous vous énervez contre moi parce que chaque mois alors
que vous venez ici, vous dites genre: "Je veux juste rendre ma vie
meilleure», et c’est comme si vous attendiez que je fasse exploser votre vie,
parce qu'en fait, c’est ce que vous voulez. Parce que c’est tellement bloqué
quand vous n'êtes pas «et».
Chaque Maître,
vous y compris, pensez: «Oh! J’essayais juste de rendre ma vie humaine
parfaite»et c’est ce qui pompe. Si vous essayez de faire cela, vous deviendrez
un Lion Rouge, numéro deux (Adamus glousse). Mon prochain livre. Je recherche
un auteur pour y travailler avec moi. Le Lion Rouge, numéro deux, on le devient
lorsque la personne est obsédée par son ... (Crash prend une photo) Merci. Vous
devez vous arrêter de temps en temps pour faire une photo, n’est-ce pas ? C’est
un dicton Zen qui dit - "Arrêtez-vous de temps en temps pour faire une
photo." Maintenant, où en étais-je?
LINDA:
Refaites-le une fois encore. (Crash prend une autre photo et Adamus rit)
ADAMUS: Le
regard de Linda (plus de rires). Que dites-vous, ma chère? Que cherchez-vous à
me dire dans tout cela? Qu'est-ce que ... ouais, dépêchez-vous, prenez la
photo. Cliquez sur le bouton. Bien. Alors maintenant, il quitte la scène
(Adamus marche dans l'allée). Crash se demande, "Que dois-je faire
ensuite? Dois-je le suivre dans la salle? Dois-je le suivre comme un petit
chien pour prendre une photo? "Eh bien, bien sûr que vous le devez !
(Rires) Parce que nous devons montrer les nombreuses poses et les visages
d’Adamus (il pose sur une table à l'arrière). Je ne suis pas juste un gars de
scène. Dépêchez-vous de la prendre. Je ne suis pas juste un gars de scène
(rires). Oh, où était la distraction que je viens de provoquer ? Oh, je
l'adore!
Le Lion Rouge,
numéro deux. Le Lion Rouge, numéro deux parle de l'adepte, de l'étudiant qui
essaie si durement d’accéder à l’illumination. Oh! Et, oh, c’est comme une
croix qu’il porte et c’est la chose que chacun a portée, même vous, et vous
essayez tellement fort. Et les gens disent toujours, "Oh, pauvre de moi.
Je travaille dans ce domaine. Mais aucune percée. Aucune percée. Où est le
problème? "Et donc ils deviennent encore plus rigides au sujet de leur
illumination. Oh! - Bâillement – je suis allé là, j’ai fait cela.
Ils sont
tellement à essayer de travailler sur / parfaire leur humanité qu'ils perdent
ce sacré point de vue global. Ils sont tellement occupés à essayer de rendre
leur petite cage minuscule un peu plus grande ou à en faire quelque chose de
mieux qu'ils perdent le point de vue d’ensemble. Nous allons faire exploser la
cage. "Oh non! Vous ne pouvez pas. J'ai travaillé si dur pour ça. Oh! Et je
suis un tellement bon élève, et oh pauvre de moi et oh "Je vais juste
avancer et - boum! - faire exploser la cage ou – d’un petit coup de doigt
- la renverser.
«Oh! Comment
pourriez-vous faire cela, Adamus? Oh, Dieu ne m’aime pas." Non, Dieu
n’existe pas et il ne vous aime pas de toute manière » (rires). Donc je – petit coup de doigt - boum, tout va dans
tous les sens. «Oh! Ma vie se désagrège. Je ne sais pas si je veux rester sur
la planète. Ohh! " Ta gueule ! Boom!
"Oh, Mon
Dieu. Merci, Adamus. J’avais besoin de cela. J’avais besoin de quelqu'un pour
faire exploser ma réalité, parce que j’étais si coincé en elle et que je
pensais que vous étiez censé arriver et me la rendre juste plus confortable. Et
maintenant, je réalise, Mon Dieu, quel Grand Maître Ascensionné vous êtes. Vous
l’avait fait exploser "(quelques rires). Hey, c’est ce que je fais dans la
vie. J’entends une sorte de demi-rire là-bas (rires plus). Oh, ehh.
Alors, devinez
quoi? Au lieu que ce soit moi qui la fasse exploser, je vous laisserai, vous,
la faire exploser.
KERRI: Très
bien!
ADAMUS: Très
bien (rires). Ouais, attendez d’ici les prochains mois.
Mais, d'une
certaine façon – et j’ai dit que tout venait d’Adamus aujourd'hui, il n'y a
personne d'autre qu’Adamus – c’est le genre de trucs qui arrivent et parfois
c’est si dur, et parfois, vous le savez, je sais que certains d'entre vous,
vous vous barrez loin du Crimson Circle . Vous me trompez. Vous allez vers
d'autres groupes ou d’autres aliens qui vous disent: "Ohhh Pauvre petite chose. Nous vous
aimons tellement” et « Nous allons venir ici et vous donner toutes les
informations pour vous rendre meilleurs." Ils ne le feront pas! J'entends
ces conneries depuis environ trois millions d'années. «Oh! Nous allons venir
sur Terre et vous aider ". Ils ne le feront pas! Et en fait, moi non plus.
Je vous le dis tel quel.
Vous allez
traverser cet extraord- ... tout cela n’est-il pas en quelque sorte amusant
aujourd'hui?
DAVID: Oui.
ADAMUS: Oui
(Adamus glousse). C’est une chose extraordinaire, éprouvante, difficile, et
belle qui se passe, mais vous devez sortir de ce focus humain particulier, et
c’est difficile. C’est difficile. Mais c’est merveilleux, et vous me
remercierez plus tard. Peut être. (Quelqu'un dit «Oui») Ouais. Ouais.
Alors, où en
étions-nous? Oh, aujourd'hui, nous allons faire un questions - réponses. Nous
ne faisons pas cela normalement. Mais, Linda, voulez-vous prendre le micro ? Je
vais poser des questions, et vous allez me donner les réponses (quelques
rires).
LINDA: C’est
étonnant.
ADAMUS: Et
aujourd'hui, il y a une sorte de - il y a une énergie différente. Alors,
sentez-vous libres d’être qui vous voulez, et surtout vous-même. Sentez-vous
libres. C’est plus décontracté aujourd'hui. J’ai renvoyé la moitié des gens qui
voulaient juste de nouveaux trucs, de sorte qu'on est juste entre nous pour
parler, avec quelques belles âmes qui écoutent. Alors restons simplement
décontractés, restons ouverts. Je doute que quelqu'un revienne et écoute cela.
LINDA: Ouais
vous avez raison (quelques rires).
ADAMUS: C’est
juste entre nous, les Maîtres Ascensionnés.
Questions et
réponses
Alors, première
question, et s'il vous plaît rappelez-vous, restez concis. Bien. Première
question. Trouvez quelqu'un d'abord et ensuite, je poserai ma question.
LINDA:
D'accord.
ADAMUS: Ah!
Trouvez quelqu'un. Oh! Bien. Je vais vous poser ma question, et si ça ne vous
dérangeait pas de vous mettre debout ? Qu'est-ce qui vous inquiète? Et est-ce
que quelqu'un pourrait écrire sur le tableau? Quelqu'un assez aimable pour
simplement écrire.
LINDA: Tad.
ADAMUS: Tad.
Formidable. Merci.
LINDA: Oh,
attendez, attendez! Ok, nous sommes bons. Ouais, Tad. Allez-y, Tad.
ADAMUS: Tad, et
une récompense d'Adamus pour elle pour faire tout ce chemin ...
LINDA: Je n’en
ai plus!
ADAMUS: ...
depuis le fond de la salle.
LINDA: Je n’en
ai plus !
ADAMUS: Un peu
d'argent alors. Oh, il n'a pas d'argent.
LINDA: Oh!
Pauvre de vous.
ADAMUS: Ughh!
TAD: C’est
gratuit aujourd'hui.
ADAMUS: Wow.
Ouah. C’était stupide.
TAD: Je suis
une enseignante.
ADAMUS: J’étais
sur le point de lui donner 100 $. Bien. Donc la question est : qu’est-ce qui
vous inquiète ?
NANCY: Je ne
peux vraiment rien trouver qui me rendrait inquiète.
ADAMUS:
Vraiment ?! Vous voulez que je vous trouve quelque chose sur lequel vous
inquiéter ?
NANCY: Bien sûr
(certains rires).
ADAMUS: Ok.
Vraiment? Pas de nuits blanches?
NANCY: Vous
savez, je suis ...
ADAMUS:
l'argent?
NANCY: Non
ADAMUS: la
santé?
NANCY: Non
ADAMUS: Euh, il
y a un peu d'hésitation là.
NANCY: Ouais,
j’ai ce petit problème à l’œil aujourd'hui. Mais ...
ADAMUS: Mais
vous n'êtes pas inquiète à ce sujet.
NANCY: Eh bien,
ça va aller.
ADAMUS: Eh bien
... vous voyez ça? Oh! Vous les gars êtes trop bons pour moi. Bien. Merci.
Voudriez-vous écrire "inquiétude" (à Tad) puis répondre en numéro un,
"Nada." Merci. Rien. Vous n'êtes pas inquiète au sujet d’un membre de
votre famille ou d’un ami ou quoi que ce soit?
NANCY: Pas
vraiment.
ADAMUS: Vous ne
vous souciez pas vraiment d’eux. Okay (rires). Bien. Merci.
NANCY: Ok.
ADAMUS: Ok, au
suivant.
LINDA: Je vais
prendre un visiteur (un non habitué).
ADAMUS: Ouais,
ouais, les visiteurs. Les visiteurs sont plus fair-play. Qu'est-ce qui vous
inquiète dans la vie?
LEONARD:
Parfois, je ne sais pas ce que je dois faire de mon temps.
ADAMUS: Oui,
quoi faire de votre temps ou de toute votre vie?
LEONARD: Non,
de mon temps.
ADAMUS: Oui.
Est-ce que ça vous dérange ?
LEONARD: Pas
vraiment.
ADAMUS: Oh.
Qu'est-ce que c’est qu’on a là, la compagnie des “sans aucun souci” ?! (Rires)
Tout le monde est constipé, anxieux, et tout le reste. Oh! Mais ici, ouais,
Linda arrive juste à choisir les deux (seuls qui font exception à la règle). Ou
est-ce du Makyō?
LINDA: Mmm.
LEONARD: Mmm.
ADAMUS: Hm.
LEONARD: Hm.
ADAMUS: Hm.
Qu'est-ce qui vous inquiète?
LEONARD:
(pause) Je sais que je vais y arriver ...
(Pause)
ADAMUS: Mais ?!
LEONARD: Mais
quand?
ADAMUS: Mais
quand. Bien. Vous vous inquiétez beaucoup à ce sujet?
LEONARD: Non
ADAMUS: Hm.
Vous vous inquiétez au sujet de l'argent?
LEONARD: Un
peu. Pas beaucoup.
ADAMUS: Ouais,
pas beaucoup. Combien avez-vous dans votre poche?
LEONARD: Rien.
ADAMUS: Je
serais inquiet si j’étais vous (rires). Ouais. C’était une bonne réponse, parce
que je l'aurais pris (plus de rires). Êtes-vous inquiet de savoir où vous allez
aller dans la vie?
LEONARD: Non
ADAMUS: Non.
Vous vivez avec vos parents?
LEONARD: Mm, je
reste chez mes parents, mais je ne ...
ADAMUS: Aahhh!
Aah! (Rires) Vous allez rester chez eux pendant 50 ans? (Adamus glousse)
LEONARD: Non!
Non, un mois ou deux.
ADAMUS: Ooh,
d'accord.
LEONARD: Mais
c’est bien, parce que je rends visite à mon père que je ne vois pas beaucoup.
ADAMUS:
Absolument. Absolument. C’est eux qui sont en train de rire. Pas moi. Je
comprends. Donc… mais ne vous inquiétez-vous jamais – pas inquiéter comme si un
souci vous submergeait, mais au point de vous dire – “Boudiou, où serai-je dans
cinq ans ?”
LEONARD: Non
ADAMUS:
Avez-vous un emploi?
LEONARD: En ce
moment, non.
ADAMUS: Pas de
soucis. Bien. Je suis perplexe et étonné, et je vous reprendrais sur votre
makyo si je sentais qu'il y en avait une once.
LEONARD:
D'accord.
ADAMUS: Ok.
Bien. Bien. Excellent. Bien.
TAD: Nada.
LINDA:
D'accord.
TAD: Nada.
ADAMUS: Nada.
Nada. Oui. Et concernant tout le monde qui regarde en ligne en ce moment, je
sais que vous êtes étonnés aussi, comme je le suis, du fait qu'on n’ait aucun
souci jusqu’àprésent. Mais là, je pense que nous en avons un.
DIANE: Ehh!
(Elle rit) Quelques-uns.
ADAMUS:
Quelques-uns. De quoi vous inquiétez-vous?
DIANE: (soupirs)
De ma fille.
ADAMUS: Votre
fille. Combien de vos sujets d’inquiétude concernent votre fille?
DIANE: Eh bien,
ce n’est pas 24h sur 24, mais ...
ADAMUS: Mais de
toute l’inquiétude que vous nourrissez à propos de tout, quel pourcentage
concerne votre fille?
DIANE: Trente.
ADAMUS: trente,
cinquante.
DIANE: Mm.
Cinquante. Bien.
ADAMUS: Oui,
cinquante, soixante. Bien. En quoi est-ce que ça l'aide ?
DIANE: Oh, ça
ne l’aide pas. Eh bien, il y a des choses que je fais pour l'aider, mais je
suis prise entre le vieux jeu ...
ADAMUS:
A-t-elle jamais dit: "Oh, maman. Merci de t’inquiéter pour moi, parce que
ça m’aide vraiment beaucoup ».
DIANE: Non
ADAMUS: Non d’accord.
Bien. Et de quoi d'autre vous inquiétez-vous?
DIANE: d’un
dommage cérébral.
ADAMUS: Euh,
ouais.
DIANE: ça a
court dans la famille.
ADAMUS: Oui.
DIANE: Et je
sais que nous sommes censés libérer ...
ADAMUS: Non
DIANE: ...
notre généalogie ancestrale.
ADAMUS: Nah.
DIANE: Mais
elle est là.
ADAMUS: (Petit coup de doigt) Renversement des
ancêtres. Il s’agit juste – d’un petit
coup de doigt – de les pousser par la sortie. Ouais. Je ne sais pas
pourquoi, mais Cauldre et Linda n’ont pas annoncé que nous venions de faire un
extraordinaire, super enregistrement, l'autre jour appelé Liberté Ancestrale,
et en deux heures et demie, ça guérit la chose entière.
DIANE: Super!
ADAMUS: Yep.
Yep.
DIANE: Sûr que
je vais me le procurer.
ADAMUS: Oui. Je
fais un peu de pré-promotion. Oui.
DIANE:
D'accord.
ADAMUS: Vous
aurez une copie gratuite.
DIANE: Je vous
remercie.
ADAMUS: Oui.
Merci. Donc, quelque chose d’autre au sujet duquel vous seriez inquiète ?
DIANE: Umm,
rien de majeur. Non.
ADAMUS: Non
DIANE: Mmm.
ADAMUS: Mmm. Mm
mm mm mm. Bien. Juste un de plus. Une chose de plus.
(Elle fait une
pause)
Ouais.
DIANE: Eh bien,
l'ensemble de l'activité d’illumination.
ADAMUS:
L'activité d’illumination. Oui, oui (rires). Ouais. "Voyons, je ne peux
penser à rien d’autre. Oh oui! Le monde! L'univers! Dieu! Le tout ... oh yeah!
J’ai en quelque sorte oublié ces petits stress dans ma vie. "Ouais.
Alors quelle
serait votre inquiétude à ce sujet?
DIANE: Oh, vous
le savez. Est-ce que je fais tout bien comme il faut ? Quand vais-je y arriver?
Je comprends que je suis déjà là.
ADAMUS: Oh,
allons droit au cœur du sujet. Est-ce que ça existe ? (l’illumination)
DIANE: (pause)
Ok.
ADAMUS: Je m’inquièterais
à ce sujet. Si j’étais n’importe lequel d’entre vous, je serais inquiet
"Est-ce même réel?" Ouais. Je veux dire, je m’inquièterais
l’essentiel du temps à ce sujet.
DIANE: Mm hmm.
ADAMUS: Oui.
DIANE: Nous
assumerons qu’il s’agit d’une question de foi.
ADAMUS: Bien
sûr. Bien sûr. Et quelle preuve en avez-vous?
DIANE: Aucune.
ADAMUS:
Absolument aucune. Mais je vais vous dire un petit secret.
Même si ce
n’est pas vrai, même s’il ne s’agit que d’un écran de fumée, une drôle de chose
arrive, du fait de la nature même de la conscience, qui fait que même si ça
n’existait pas, la conscience le ferait exister quand même, la conscience le
créerait afin que ça existe. Si
j’utilisais mon histoire d’étang et de verte écume, c’est à dire, si Dieu
n’existait pas, s’il ne s’agissait que d’une évolution bizarre à partir de
l’écume verte d’un étang et que ça avait créé la Terre et les humains et tout
le reste, et qu’il n'y avait pas de Dieu, qu’il n'y avait pas d’anges, de
conscience - laquelle doit exister, elle doit exister pour que n’importe quelle
autre chose puisse exister - la conscience irait à présent créer Dieu et les
cieux et les anges et l'ascension et l'illumination et le plein épanouissement
de ce qui était juste la verte écume d'un étang en de magnifiques Maîtres
Ascensionnés.
Voilà la beauté
de la chose. Ça ne vient pas nécessairement de haut en bas - Dieu, les anges,
les humains, les animaux, la verte écume d'un étang - ça pourrait se passer
dans l'autre sens. C’est ce qui est le plus étonnant. C’est la beauté de la
conscience. Si tout le reste était déformé ou pas vrai ou n’existait pas, au
moment où la conscience serait ajoutée, ça le deviendrait. Voilà ce qui est
extraordinaire.
Alors, disons
qu’une chose telle que l'illumination n’existe pas. Vous êtes né et vous mourez
et voilà. Soudain, au moment où votre conscience dit: «Non, il y a plus”, alors
ça se produit. Voilà la chose extraordinaire. Et cela s’applique à tout, que ce
soit cela, que ce soit votre vie humaine, et c’est en quelque sorte ce qui se
passe vraiment dans votre vie humaine en ce moment. Vous mettez la conscience
en elle et elle s’expanse et crée. Que cela ait été là avant ou non, ça l’est à
présent. Le miracle extraordinaire qui se produit c’est que, même s’il y avait
juste, disons, l'ancien Dieu de la Bible et que c’est tout ce qu’il y avait, et
que vous aviez le choix de mourrir et d’aller au ciel ou en enfer, disons que
c’est tout ce qu’il y avait comme choix, tout d'un coup ça change à partir de
la conscience. Soudain, c’est comme maintenant, je veux plus. Et à présent, il
y a plus. Bien. Bien merci. Je vous remercie de me laisser continuer.
Un de plus avec
les soucis, quelles sont vos inquiétudes? Quelles sont vos inquiétudes?
Je pose la
question parce que j'entends tellement les gens s’inquiéter tout le temps –
s’inquiéter, s’inquiéter, s’inquiéter, s’inquiéter; stresser, stresser,
stresser - et cela affecte votre sommeil et votre santé et tout le reste. Et à
présent, je n’entends pas tant de soucis que ça. Ceux qui regardent en ligne,
vous laissez vos soucis sortir. Vous dites, "Diable! Ils ont le micro. Si
c’était moi, je parlerais de tout ça! "
Pete, qu’en
est-il pour vous?
PETE: Eh bien,
le cancer.
ADAMUS: Le cancer.
Voilà un grand souci contre quoi s’inquiéter.
PETE: Ouais.
ADAMUS: Oui.
PETE: Je viens
juste d’être opéré du cancer.
ADAMUS: Oui,
bien.
PETE: Et mes
cinq frères ont eu le cancer. Mon père a eu un cancer et son frère a eu un
cancer. Alors, c’est comme un gène dans notre famille et ça, vous savez, c’est
le seul sujet qui me préoccupe.
ADAMUS: C’est
plus qu’un gène.
PETE: Ouais,
mais c’en est un, quoi qu’il en soit.
ADAMUS: Oui.
C’est un attribut de l'énergie qui est coincé dans la lignée familiale.
PETE: Exact.
ADAMUS: Vous
savez, nous allons sortir de cela et nous le ferons. Voilà une de mes plus
grandes passions à travailler avec vous.
PETE: Mais
l'autre chose ...
ADAMUS: Le renversement
de la famille – d’un petit coup de doigt
PETE: Ouais. Eh
bien, l'autre chose, ça a été, vous savez, j'ai dit, ok, quelle est la leçon de
ce cancer?
ADAMUS: Exact.
PETE: Et ce qui
m’est apparu c’est que je ne suis plus dans le contrôle ou le faire. Et je dois
me rendre et abandonner. Alors, abandonner
l’inquiétude.
ADAMUS:
Abandonner l'inquiétude.
PETE: Ouais.
ADAMUS: Et Pete
...
PETE: Et, vous
savez, juste ...
ADAMUS:
S’inquiéter ne va rien résoudre.
PETE: Non, ça
ne le pourra pas. ça ne le pourra pas.
ADAMUS: Et
essayer de le surmonter mentalement ne résoudra rien ...
PETE: Non
ADAMUS: ... pas du tout.
Alors que faites-vous?
PETE: j’ai dû rendre les armes.
ADAMUS: Vous dites rendre les armes ...
PETE: Cela signifie ...
ADAMUS: Arrêter d'essayer de contrôler ...
PETE: C’est ça.
ADAMUS: ... et de vous inquiéter.
PETE: Ouais.
ADAMUS: Ouais, ouais.
PETE: En tant qu’homme, j’étais toujours dans le contrôle. C’est de là que
je tirais mon estime de soi.
ADAMUS: Bien sûr.
PETE: Vous savez, produire et tout ce truc, et c’est tout des conneries.
ADAMUS: la Blessure d'Adam.
PETE: Ouais, d'accord.
ADAMUS: Je veux dire, vous savez, "Oh! Je suis un homme et je dois ...
"Ouais, ouais.
PETE: Ouais.
ADAMUS: Nous allons en parler bientôt aussi. Ouais. Je vous donnerai une
copie gratuite.
PETE: Eh bien, merci (Adamus rit).
ADAMUS: Donc, ok. Et comment vous sentez-vous maintenant?
PETE: Vraiment bien.
ADAMUS: Bien.
PETE: Même aujourd'hui ... j’ai été distrait ces trois derniers mois, et
vous pouvez imaginer pourquoi.
ADAMUS: Oui.
PETE: Mais ce matin je me suis levé et j’ai simplement dit, "Hey! Tu
vas à un endroit charmant, tu vas être avec un groupe d'anges. Je m'aime."
ADAMUS: Au paradis? Au paradis?
PETE: Non
ADAMUS: Oh, vous voulez dire ici! Ici! (Rires)
PETE: Ouais. Un groupe d'anges ici.
ADAMUS: Je pensais que vous alliez nous quitter aujourd'hui. Vous vouliez
dire, oh, ici. Ouais.
PETE: Il y a une belle énergie ici. Et il me suffit de m’aligner sur cette
énergie.
ADAMUS: Elle est là.
PETE: Et d’être en phase avec.
ADAMUS: Oui. Et, vous savez, c’est intéressant. Peu importe à quel point le
mental essaye de se concentrer dessus et de s’en faire une idée, « Pourquoi ai-je le cancer et qu’est-ce
que je vais faire, et qu’est-ce que Dieu essaye de me dire? Quelle est la
leçon? » Pff! sur tout cela.
Vous êtes toujours dans l'énergie de la famille et c’était un appel à
l’éveil pour vous. C’est comme si vous n'étiez plus votre famille. Et ces
choses, que ce soit la maladie mentale, physique, elles sont transportées ...
j’en ai parlé. Pourquoi est-ce que nous ne relâchons pas cela ? Pourquoi est-ce
que nous ne relâchons pas cette programmation
maintenant? Linda?
PETE: Elle a été enlevée pour beaucoup de choses. Je
peux le ressentir.
ADAMUS: Oui, et ça continue encore. C’est comme ... ça les libère tout
simplement. "ça ne m’appartient pas."
PETE: Ouais.
ADAMUS: Et en même temps, il y a presque un niveau où on est mal à l'aise.
Vous dites, "Ouille, ouille. Je lâche ma structure avec la famille et ce
qui s’ensuit concernant ces traditions
énergiques. Maintenant, qui suis-je? "Alors, il y a cette étape, mais
ensuite vous la traversez. Bien. Merci, Pete.
Question suivante et il faut que nous avancions. Nous avons à discuter de
beaucoup de choses. La question suivante est, et Linda, ceci est pour n’importe
qui, juste derrière vous.
LINDA: Pardon?
ADAMUS: Ceci est pour n’importe qui, juste derrière vous.
LINDA: Ok, ok,
ok (Adamus rit). Oh oh oh! Non, pas n’importe
qui.
ADAMUS: Ouais, ouais, ouais.
LINDA: Mais quiconque. Compris.
ADAMUS: Non, non. Ici.
LINDA: J’ai pigé.
ADAMUS: Kathleen.
LINDA: J’ai pigé.
ADAMUS: Oui, d'accord.
LINDA: Posez la question.
ADAMUS: Non Donnez-lui le micro. Non, à Kathleen.
LINDA: Ohhh!
ADAMUS: Oui. Donc, contre quoi vous battez-vous ? Venez, venez dans la
lumière, comme j’aime à le dire (quelques rires). Allez, allez, allez, dans la
lumière. Oui. Vous êtes encore dans l'ombre là-bas.
KATHLEEN: Contre quoi je me bats?
ADAMUS: Qu'est-ce que vous combattez? Oh, ça va être bien (elle soupire).
Ah!
LINDA: Effrayant.
KATHLEEN: Permettre tout.
ADAMUS: Ehh ...
KATHLEEN: Ma réalisation.
ADAMUS: Oui, d'accord. Mais descendons ...
KATHLEEN: Parce que c’est ...
ADAMUS: Contre quoi vous battez-vous? C’est une bonne bataille. Etje regarde cette bataille depuis un moment.
(Elle fait une pause)
A présent, je dois vous distraire, parce que vous devenez trop mentale.
KATHLEEN: Vous allez dans la profondeur.
ADAMUS: Mm hmm. Mm.
KATHLEEN: Et vous voulez que j'y aille.
ADAMUS: Vraiment en profondeur. Oh, j'adore ça. Et nous serons debout tous
les deux (il se lève). Nous allons tous les deux rester debout. Alors,
qu’est-ce que vous combattez là?
(Elle fait une pause à nouveau et soupire)
La vapeur sort de ses oreilles (quelques rires). Ouais.
KATHLEEN: Le reste de mon cœur.
ADAMUS: Ouais, ouais. Eh bien ...
KATHLEEN: Tout de moi.
ADAMUS: Oui, contre quoi vous battez-vous? Que sont ces batailles?
Savez-vous ce qu'elles sont?
(Pause)
Puis-je ... êtes-vous d’accord si je le dis?
KATHLEEN: Je suis plutôt heureuse, mais je veux bien l’entendre.
ADAMUS: Ouah! Si ça, c’est être heureuse, je veux bien aller en enfer!
(Rires) Oui oui oui! Il y a tellement plus, ma chère. Vous savez, ne vous
contentez pas de ça comme bonheur. C’est ... je peux jurer? C'est des
conneries. Ne vous contentez pas de ça comme bonheur. ça n'en est pas. Votre souffrance
contrôlée - et je ne m’en prends pas à vous, je suis juste en train d’essayer
de vous faire un peu exploser la carapace ici - cette souffrance contrôlée, et
il y a une grande différence, ma chère. Vous allez mieux ...
KATHLEEN: J’ai choisi d’en finir avec la souffrance l'an dernier.
ADAMUS: Vous allez mieux commevous dites, mais il y a encore tellement plus.
Et puis-je vous dire contre quoi vous vous battez? Ou préfèreriez-vous que je
ne le fasse pas?
KATHLEEN: Je veux l'entendre.
ADAMUS: Je ne sais pas.
KATHLEEN: Je veux l'entendre.
ADAMUS: Je veux dire, tout le monde regarde.
KATHLEEN: Je veux l'entendre.
ADAMUS: Ok. Prête ? N’en veuillez pas ... Cauldre est en train de
dire : n’en veuillez pas à Cauldre.
KATHLEEN: J’ai les jambes qui flagellent en ce moment.
ADAMUS: C’est normal, parce que nous en venons au moment de vérité ici.
KATHLEEN: Merde!
ADAMUS: Bon sang! C’est intense!
KATHLEEN: Merde! Putain!
ADAMUS: Ouais! (Elle rit) Oui! D’accord. Donc, vous touchez la sorcière en
vous.
KATHLEEN: Oooh.
ADAMUS: La sorcière que vous étiez. Je suis vraiment désolé, mais, oui
boum! Brrr! (Elle soupire) La sorcière que vous étiez et dont vous avez
l’impression qu’elle a lamentablement échoué et ça vous hante encore. Et je
parle d’une vraie sorcière dans une vie antérieure. Je veux dire, une vraie sorcière. Une réelle sorcière. Et
ce pouvoir avec lequel vous avez joué et qui vous a en quelque sorte détruite,
maintenant vous êtes en lutte avec ça tous les jours. Et ça n'a même pas de
visage, mais c’est là. Et, ma chère, il n’y a plus besoin de lutter, parce que
personne ne va gagner. Personne ne va gagner. Vous n’allez pas gagner; la
sorcière ne va pas gagner. Donc, c’en est fini avec la lutte. Il s’agissait de
pouvoir, d’abus, de mauvais usage; vous vous retenez. Vous vous retenez pour ne
jamais être à nouveau la sorcière, mais alors vous me dites que vous êtes
heureuse et c’est du style, oh mec, c’est ça
le bonheur? Ouah.
Arrêtez. Prenez une respiration profonde. Arrêtez d'essayer de comprendre,
d'accord? La sorcière est cool. La sorcière n’était pas ce que vous pensiez
qu'elle était, d'accord? Je me fiche de ce qu'on vous a dit.
KATHLEEN: Ça arrive alors
que je suis face à des gens.
ADAMUS: Ouais!
KATHLEEN: Ouais.
ADAMUS: Oui. Et ça arrive surtout alors que vous êtes face à vous-même.
Donc, une énorme suppression a eu lieu, du style, « endors-toi, endors-toi,
endors-toi. » Et la sorcière s’est rebiffée, du genre, « Va te faire
foutre.» et elle a utilisé son truc de sorcière sur vous et elle est devenue
vous. Maintenant, c’est étrange (quelques rires), mais c’est très vrai. Elle va
aimer le fait de « Je vais continuer à te jeter des sorts. Je vais te mettre
à genou. Je ne vais pas te laisser te réinstaller à Bonheurville » tant
que nous n’arriverons pas à une sorte de résolution concernant cela, d'accord?
Alors laissez sortir la sorcière en vous.
KATHLEEN: D'accord.
ADAMUS: Non, je suis sérieux. Et vous autres, écartez-vous du chemin
(rires). Eh bien, c’est - oh! je n'aime pas ces trucs de vie passée, mais dans
ce cas c’est vrai, et ça retient vraiment en arrière, et il y a beaucoup de «Je
vais essayer d'être une bonne fille. Je vais essayer de bien me comporter. Je
vais essayer ... »et ça ne fonctionne pas. Ça ne
fonctionne pas. Et vous faites voler tous ces trucs en éclats, et ensuite vous
êtes du genre, « Oh! Je dois être seule, parce que je fais tout sauter et
je bousille tout le monde. »Il s’agit de s’arrêter un instant, d'accord?
Simplement de laisser sortir la sorcière. Libérez-la. C’est aussi simple que
ça. D’accord.
Ce que je veux vraiment dire c’est qu'il y a beaucoup de ces batailles
internes, et quand j'entends certains d'entre vous dire, «Je ne m’inquiète pas
à propos de quoi que ce soit,» ou «Non, ma vie est heureuse," aarghh!
Vraiment ?! Vraiment ?! Je veux dire, qui pensez-vous que je suis, Kuthumi? On
essaye de me berner ? Ha, ha! (Quelques rires) Désolé. Laissez-la sortir,
d'accord? Et il y a ... Je vous demande contre quoi vous luttez et (a) vous ne
savez pas – en fait, vous savez, mais vous n’allez pas l'admettre - et (b) Vous
n’allez pas gagner. Vous n’allez pas gagner ce combat. La sorcière va gagner.
Elle a plus de pouvoir parce qu'elle sait comment utiliser ces choses. Vous
êtes retenue en arrière. Vous essayez d’y mettre fin, mais elle va gagner à
chaque fois. D’accord? Laissez la sorcière sortir.
Ok, nous allons vraiment approfondir quelques pistes ici. Alors, je ne vais
pas poser cette question. Je vais passer à la dernière question, je l'ai déjà
posée, je vais la poser à nouveau – le micro, à quelqu'un.
Oh! Vous voudrez vous asseoir à
l’écoute de ma question. Pourquoi allez-vous rester?
LARRY: Rester où? (quelques rires) Je ne suis pas ...
ADAMUS: Pourquoi allez-vous rester?
LARRY: Oh, sur la planète. Oh, je me le demande tout le temps.
ADAMUS: Je sais. Et vous n'êtes pas le seul, Larry.
LARRY: Oh.
ADAMUS: Vous n'êtes pas le seul. Alors, pourquoi allez-vous rester?
LARRY: Hummm (pause). A cause de l’illumination. (Adamus fait un bruit)
Non?
ADAMUS: Ok.
LARRY: Très bien.
ADAMUS: Pourquoi allez-vous rester? Vous voulez que je sois brutalement
honnête à ce sujet?
LARRY: Bien sûr.
ADAMUS: Ok. Et ceci est pour beaucoup ...
LARRY: Pourquoi pas? Vous l'avez fait ici. Venez-en au fait !
ADAMUS: Bien sûr, bien sûr. J’ai dit que c’était un jour tout-Adamus, un
jour entièrement issu de la super vedette Adamus
LARRY: Oh oui, tout vous concerne. Venez-en au fait.
ADAMUS: Parce que vous avez peur de partir.
LARRY: Oh, ok.
ADAMUS: Et pour les autres qui ressentent cette question, c’est parce que vous avez peur de partir,
sinon, vous partiriez.
LARRY: Oui.
ADAMUS: Mais vous avez peur, et, vous savez, « Qu'est-ce qui se
passe?» et «Ai-je échoué?» et «Est-ce que c’est bien vrai? Qu’y a-t-il
réellement de l'autre côté? » » et «Y a-t-il quelque chose?» Sinon,
beaucoup d'entre vous seraient partis à l’heure actuelle. Mais vous avez peur
de partir, de sorte que vous suivez les rails, du style, «ok, nous irons aux
réunions mensuelles et nous dirons que nous sommes spirituels.» Et de fait, ça
freine tout en quelque sorte, vous savez. En fait, il n'y a pas de déshonneur à
partir, et je ne m’adresse pas seulement à vous, Larry. Mais, Larry, et
beaucoup d'autres, vous attendez pour voir, «Eh bien, peut-être que ça changera
demain. » Probablement pas. Nous en avons déjà parlé. C’est comme la
météo; ça sera la même chose. «Peut-être que la bonne fortune viendra sur mon
chemin. » Ecoutez, si la bonne fortune n'a toujours pas trouvé votre
maison à l’heure qu’il est, elle ne la trouvera jamais (Adamus rit).
Alors, une sorte de procrastination apathique se met en place et, «Oh! Je
ne veux plus rester ici, mais j’ai peur de partir » et « Nous allons juste
attendre et voir ce qui se passe » Et ensuite je dois venir et vous
réveiller avec quelques gifles, en vous battant pour vous faire vous lever et- petit coup de doigt ! – provoquer un
basculement et tout le reste. Je le referai - petit coup de doigt ! - pour la caméra (rires). Une image vaut
mille souvenirs.
LARRY: Oui.
ADAMUS: Mais, vous savez- vous pouvez donner le micro à Linda, parce que je
parle à tout le monde maintenant - regardez ça à partir de mon point de vue un
instant. Imaginez que vous êtes un Maître Ascensionné.
Vous avez cette dynamique – « Oh, je ne sais pas si je veux rester.
Et, oh, c’est difficile. Et ... » Ok, ok. Mais vous n’allez pas
partir non plus. C’est un peu répugnant, en fait. Je veux dire, c’est vraiment répugnant.
Ça ne vous va pas vraiment bien, et ça fait moche
sur mon dossier au Club des Maîtres Ascensionnés. Vous savez, ils viennent,
« Hey, combien veulent partir? » « Trois, peut-être quatre. C’est
tout (rires). C'est tout. Mais je travaille avec eux. » Et il y en a tout
un tas effectivement qui sont en quelque sorte entre les deux.
Etre entre les deux, c’est être dans un endroit terrible, comme avec
Kathleen. Entre les deux est un terrible, terrible endroit où se trouver, parce
que vous n'êtes ni ici ni là. Vous n'êtes pas dans le Présent. Vous n’êtes
nulle part. Vous êtes juste entre les deux. Qu’aimeriez-vous qu’on écrive sur
votre pierre tombale? « Je ne me rappelle pas qui c’était. Je ne me rappelle ni
du nom sur la pierre tombale ni de l'année, mais il était entre les
deux. » « Qui était-ce? » « Je ne sais pas. Il était juste
entre les deux».
C’est terrible d’être dans un endroit comme ça. Alors, en quelque sorte,
c’est répugnant quand vous dites, « Oh! Je ne sais pas si je veux rester ici »,
et d'autre part, « Bien, je vais attendre et voir ce qui se passera
demain. » On ne va arriver nulle part avec ça. Non. Et c’est ça la
Blessure d'Adam ... heu ... d’Adamus (il rit).
C'était amusant. Je dis cela à mes amis. La Blessure d’Adamus –
« Qu’est-ce que je fais ? » Nous avons tous ces Shaumbra réunis
et c’est du style, « Oh, je ne veux pas rester ici, mais je ne veux pas
partir »! Quoi ! C'est répugnant.
Faites juste un choix dans un sens ou dans l'autre. Vous allez rester ici ou
pas. C'est tout. Engagez-vous à être ici pour de bon ou à foutre le camp. S'il
vous plaît. En fait, c’est mourir qui vous inquiète; mais vous l’avez fait un
millier de fois ou plus. C'est si facile. Ça l'est vraiment. « Oh! Mais c’est
très éprouvant émotionnellement, et (pour ce faire) je dois prendre des
médicaments ou, vous savez, me jeter de la falaise en voiture"(quelques
rires). Ça ressemble à ça, ouais, mais c’est vraiment
facile.
Donc, agissez d'une manière ou d'une autre, mais allez de l’avant. Vivez ou
mourez. C’est uniquement Adamus aujourd'hui! (Adamus rit) Il n'y a pas de
compassion, n’est-ce pas? Mais vous riez.
TAD: Je ris.
ADAMUS: Oui. Ouais. Bien. Alors maintenant, venons-en au cœur du sujet.
Prenons une grande respiration.
J'ai bien brassé les choses en vous questionnant au micro. J’ai vraiment
fait monter la sauce. Et « De quoi est-il question? Est-ce qu’il va en
venir au fait? Est-ce qu’il va en venir au fait? "Oui, je vais le faire.
Le fait est ... J’en ai fini (à Tad). Merci beaucoup, et vous pouvez avoir
vingt dollars du trésor là-bas. Leslie a de l'argent. Oh, payez-la pour son
travail d’aujourd'hui. Payez pour tout, d’accord?
Aller au-delà de l’humain
Mon objet c’est, y a-t-il un objet ? Oui. Il y en a un. Mon objet est en
fait assez simple.
Mon objet est double. Il y a de multiples focus, existant tous en même temps,
mais vous êtes tellement enfermés dans l'humain seulement que vous ne voyez pas
les autres. D’accord?
Le deuxième point c’est - et ceci n’est pas nouveau - vous essayez de vivre
la vie ou l'illumination à partir du mental humain et de la perception humaine,
et ça ne fonctionnera pas. Vous êtes en train d’essayer de vivre l'éveil, la
spiritualité, l'illumination, la réalisation, quel que soit le nom que vous lui
donniez, et vous essayez de le faire à partir de la perception humaine. Ça ne va pas du tout fonctionner. Vous allez devenir
frustrés, colériques, fatigués, malades, et puis vous mourrez, et vous mourrez
frustrés, en colère, malades, fatigués et fauchés, d’avoir essayé si dur de
faire tout ce travail à partir de votre humanité intérieure.
Je l'ai déjà dit, mais il fallait que je le redise aujourd'hui. Arrêtez ça,
Cher John. Arrêtez d'essayer d’agir à partir de Cher John. Ça ne marchera pas.
Et vous le faites tous, vous finissez tous sur la voie de la souffrance, qui
est une impasse, et personne ne peut vous sortir de là. Arrêtez d'essayer
d’agir à partir du mental, des croyances et de votre humanité. Ça ne marchera
pas.
C’était plutôt simple. La question va être: «Eh bien, alors comment puis-je
faire? Que dois-je faire Adamus? Si je ne suis pas censé le faire à partir du
mental humain, où et comment suis-je censé le faire? "
Je reviens à un postulat très important. Comme je le disais, nous devons
juste tout arrêter et revisiter un vieux sujet. Vous n'êtes pas responsable de votre illumination, d'accord? Et je
l'ai dit- je l'ai dit pendant un an et demi maintenant - mais vous finissez par
retourner sur ce terrain et par essayer de la faire (votre illumination).
Pourquoi? Pourquoi? Je me le demande. Êtes-vous obsédés par le fait de faire
quelque chose ? (Quelqu'un dit «Oui.») Oui. Merci. Tout le monde lève la main,
« Ouais! »
SART: Et comment! (Adamus rit)
ADAMUS: Et revenez ici. Comment ça fonctionne pour vous? « Pas si bien
que ça. » Pourquoi est-ce que vous continuez à le faire, alors? « Je
ne sais pas faire mieux. » Si, vous savez. Dialogues Avec le Soi, ce sera
le prochain livre que je vais écrire.
Donc, vous continuez à essayer. A quoi ça sert ? Pourquoi continuez-vous à
revenir à quelque chose qui n'a pas fonctionné auparavant et qui ne
fonctionnera toujours pas - l'humain essayant de faire cette chose de l’illumination?
Je sais pourquoi - quelqu'un l’a dit ici – le contrôle. Ouais, Pete. Le
contrôle. «Je dois être un homme » ou « C’est la seule chose que
j’ai, je ne connais rien de mieux." Arrêtez ça. Arrêtez ça.
Vous, l’humain dans le Présent, qui êtes assis ici au même endroit que
l'être illuminé dans le Présent ou la sorcière dans le Présent, vous l'humain
n’êtes pas responsable. On vous demande seulement de faire deux choses simples.
Une que vous avez déjà faite - choisir. Vous avez déjà fait cela, sinon vous ne
seriez pas ici. Autrement, vous ne vous feriez pas traverser une douleur
émotionnelle et parfois physique aussi atroce. Vous avez déjà fait ce choix.
Numéro deux, soyez juste conscient. Soyez juste conscient. C'est tout.
Le Je Suis prend soin de tout le reste. Pas Dieu - nous nous sommes
débarrassés de Dieu – pas un conseil angélique ou quoi que ce soit d'autre,
mais le Je Suis. Votre Je Suis fait tout. Tout.
Vous pouvez ne pas être capables de le percevoir, parce que vous avez une
attente provenant de votre point de vue d’humain limité. Vous pouvez ne pas le
comprendre, mais le Je Suis fait tout.Vous avez juste à être conscient et à le
permettre.
Permettre
Ainsi nous bouclons la boucle et ce n’est pas nouveau. Il s’agit de
permettre. Mais, vous savez, une drôle de chose est arrivée sur le chemin de
l'illumination concernant l’acte de permettre, c’est que l’humain l’a détourné.
L'humain a dit: «Ok, je dois prendre le contrôle du permettre," et vous
pensez que permettre, à présent, c’est permettre à d'autres gens de voler votre
énergie. Permettre, ça n’est pas cela; ça, c’est de la stupidité. Vous pensez
que permettre, c’est juste rester dans vos vieilles habitudes. Permettre, ça
n’est pas cela; ça, c’est juste être entêté.
Permettre signifie une ouverture absolue à vous-même, quoi qu’il arrive.
Peu importe ce qui se passe. Vous prenez le permettre, certains d'entre vous,
et vous l’utilisez pour trouver des places de stationnement dans les centres
commerciaux. Honte à vous! (quelques rires) «Je me permets moi-même- ouh, ouh,
ouh, ouh! – de créer une place de stationnement "Cela n’est pas permettre.
Ce sont des conneries psychiques. Et vous savez quoi? Un être qui est vraiment dans
le vrai permettre, pas à jouer sur les mots de force et de pouvoir avec le
permettre d’Adamus, quelqu'un qui est vraiment dans l’acte de permettre, en
fait ne pense jamais aux places de stationnement. Pas besoin. Elles sont juste
là. Il n’a donc pas à s’en soucier, "Vais-je avoir la meilleure
place?" Garez-vous à l'autre bout du parking et marchez peut-être, mais
cessez d’utiliser le permettre comme un outil de pouvoir. Ce n’est pas ça du
tout. C’est l'inverse.
Certains d'entre vous ont détourné le permettre ainsi, « Je permets
l’abondance, je permets l'abondance. » A quoi ça ressemble en réalité? «Je
permets l’abondance. Je permets l’abondance. » (Quelqu'un dit « Comme si vous
n’en aviez pas ») Exactement. Vous n’en avez pas. La personne qui permet
vraiment n'a jamais besoin de penser à l'abondance. Elle n’essaye pas de faire
un mantra de ce mot «permettre». Elle permet et elle n’a pas besoin d’y
travailler. Elle doit se rappeler de
temps en temps, "Hey, détends-toi," et quand vous y pensez, vous vous
souvenez, "C’est vrai. Je suis revenu dans ce mental humain cul serré,
constipé. Juste – petit coup de doigt!
– pour le Soi. Boom! Terminé. Terminé. Maintenant, prenez une profonde
respiration et détendez-vous.
Alors, nous allons prendre douze minutes pour faire un peu de permettre. Je
sais. Ce n’est pas nouveau, mais c’est important en ce moment.
Alors, baissons les
lumières. Mettons un peu de musique et permettons vraiment – un permettre grand
ouvert, courageux.
Merabh pour permettre
(La musique
commence)
Vous savez, je
ne peux pas le dire assez, mes chers amis. Je ne peux pas le dire assez. Cette
construction / identité humaine du corps-mental ne va pas faire quoi que ce soit en vue de l'illumination.
Vous allez sur un chemin vraiment éprouvant et sans issue si vous pensez
qu'elle le fera.
L’illumination
est naturelle, oui. C'est naturel de revenir sur ça de temps en temps, et c’est
pourquoi j'entre en jeu et je vous le rappelle. Mais cet aspect humain de vous
ne va pas faire quoi que ce soit pour que se produise l’illumination. Il ne
sait même pas comment le faire. Il n'a pas la capacité d’expansion pour le
faire. Et il ne doit pas non plus en
être tenu responsable.
Mon Dieu! Quand
j'étais juste un simple mortel, je ne savais pas comment le faire. Je ne
pouvais pas le comprendre. Il ne s'agissait pas d'être bon ou de faire les
choses justes, comme je le pensais, parcourir ce chemin ordonné et étroit. Cela
ne marche pas. Et pourtant beaucoup d'entre vous essayent coûte que coûte. Cela
me fait mal parfois de vous voir faire tant d’efforts pour atteindre l'illumination.
Alors arrêtons cela.
Je veux que
vous observiez, d’ici le mois prochain…, c’est une sorte de devoir amusant. Je
veux que vous alliez soit, quelque part physiquement où il y a des gens
spirituels ou des personnes religieuses ou, si vous ne vivez pas dans un
endroit qui vous permette de faire cela, d'aller juste sur Internet sur des
sites spirituels ou religieux, et je veux que vous observiez combien d'efforts
sont mis dans ces pratiques. Non pas pour porter un jugement, mais je veux que
vous voyiez comment les gens travaillent dur dans ce but et aussi comment les
dirigeants font travailler leurs membres et leurs adeptes.
Et ensuite, je
veux que vous vous regardiez, comme vous êtes dur avec vous-même. Ce n'est pas de
votre responsabilité. C’est un peu bizarre, mais ça ne l'est pas. Vous êtes
seulement invité à faire un choix et puis juste à être conscient. Je veux dire,
juste être conscient des changements qui sont en cours. Prenez conscience des
changements qui ont lieu au sein de vous. Mais arrêtez d'essayer de comprendre.
Ceci s'appelle permettre.
Ce n'est pas de
la responsabilité de l'être humain de s'ouvrir aux autres aspects ou autres
réalités du Soi. Ca ne l'est pas.
Ce n’est pas
votre boulot d’essayer de comprendre l'illumination. Ca ne l'est pas.
On vous demande
juste de permettre. Permettez-vous, le Je Suis.
Il y a cette
chose appelée kharisme. C'est cette lumière à l'intérieur, ce rayonnement.
Dans ce
rayonnement, il y a des choses comme la connaissance intérieure et la
compassion. Il y a des choses comme la réalisation et l'intégration. Et cette
lumière du kharisme brille toujours, est toujours là. On vous demande juste de la
permettre.
Vous ne devez
pas créer le kharisme. Eh bien, permettez-moi de le dire d'une manière
différente. Vous l'avez déjà fait.
Vous ne devez
pas essayer d'atteindre les sommets spirituels, élevés, transcendantaux du Soi.
Vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas, mais c'est déjà là.
C'est déjà là.
On vous demande simplement de le permettre. C'est tout.
On vous demande
de le recevoir, d'être ouvert à cela.
Mais, vous
savez, vous ne pouvez pas le faire si vous pensez que vous devez être celui qui
doit comprendre tout cela. Vous ne pouvez tout simplement pas. Lorsque vous
prenez ce fardeau sur votre moi humain, vous devenez si obsédés, préoccupés et
si distraits, que vous ne verrez pas ce qui est juste, ce kharisme, cette
lumière ne seront même pas perçus, parce que vous êtes si préoccupés. Le moi
humain est tellement préoccupé à essayer de comprendre l'illumination.
On pourrait
dire, en quelque sorte, que c'était le mois du "Cher John" pour nombre
d'entre vous, un profond niveau de frustration et de manque d'espoir.
Je peux vous
dire et je peux dire à John cette chose très simple: arrêtez d'essayer de créer
(établir, produire) votre illumination.
C'est l'humain,
la perception de l'humain et les limitations humaines qui essayent de tout
comprendre, et vous ne ferez que vous consumer.
Que pouvez-vous
faire ? Que pouvez-vous faire en tant qu'humain ? Permettre. Pas Jésus, ni
Dieu, ni Bouddha, ni rien d'autre. Permettez votre Soi.
Alors, prenez
une bonne respiration avec cela.
Il y a
beaucoup, beaucoup, beaucoup de facettes de vous-même et d'expressions de
vous-même, qui sont ici en ce moment, qui vont bien au-delà de, eh bien, de ce
que le mental humain pourrait jamais imaginer. Donc, ne le faites pas. N’essayez
pas de le faire. Vous permettez tout simplement.
Il y a des
choses appelées illumination et divin que l’humain ne peut possiblement pas
fabriquer ni forcer ni commander. Mais vous pouvez permettre.
Parfois, le
fait de permettre, cela implique que la vie aura différents hauts et bas auxquels
l'humain ne s'attendait pas. Mais cet humain qui s'efforce d'être illuminé a
des attentes sur ce qui va arriver ensuite.
Ce qui vient
ensuite fait vraiment partie de votre algorithme de Dieu, votre algorithme
divin, mais il peut ne pas être compatible avec, peut être même être en conflit
avec ce que vous appelez votre algorithme humain. Ce qui est juste demandé à
l'humain c’est de permettre cela.
L'humain peut
avoir pensé qu'il ou qu'elle allait être un grand maître spirituel dans cette
vie, et il en est encore bien loin. Mais c'était une attente très humaine.
Maintenant,
cher humain, on vous demande juste de permettre.
C'est comme
recevoir votre Soi, mais pas un Soi qui est limité par vous, par l'humain. On
vous demande de recevoir tout ce que vous êtes, mais cela peut être en
contradiction avec ce que l'humain attendait. Pouvez-vous permettre cela ?
Pouvez-vous
permettre qu'il puisse y avoir beaucoup plus qu'essayer d'arrondir les angles
de votre vie humaine afin de la rendre plus confortable, et que d'autres choses
se produisent en ce moment qui pourraient occasionner un peu de mal-être chez
l'humain ?
Je reviens à
l'analogie très basique du papillon et de la chenille. Il est tellement vrai
que même lorsque la chenille leva les yeux vers le ciel et vit ce beau papillon
et se dit: “ Un jour, je voudrais être comme ça ”, la chenille ne disposait pas
des capacités, en tant que chenille, pour le faire. La chenille essaya et essaya
et essaya d'être le papillon - essaya de coller des ailes sur son dos, essaya
de couper certains de ses membres - mais ne pouvait toujours pas être papillon.
Elle devint très, très frustrée et pensa, " Oh, ce rêve de papillon est
stupide “.
Voilà un peu ce
qui se passe avec nombre d'entre vous. Vous essayez de mettre des ailes d'anges
divins sur votre dos, sur votre dos humain, et cela ne fonctionne tout
simplement pas.
Il fallut attendre que la chenille cesse d'essayer,
cesse de faire autant d’efforts et permette simplement le papillon qui était
déjà là – simplement permettre cela – pour réaliser finalement qu'elle était
les deux. Elle était les deux en même temps. Elle était la chenille et elle était
le papillon.
Voilà la partie
qui est toujours laissée de côté dans cette histoire, parce que ce n'est pas la
chenille qui devient ensuite le papillon. Elle est les deux à la fois.
Voilà
exactement ce qui se passe avec vous. Vous n'allez pas passer de l'état d'être
humain à être divin. Vous serez les deux à la fois et bien plus encore.
S'il vous plaît
arrêtez d'essayer si fort du point de vue humain.
C'est un peu
comme votre ticket d'entrée ici aujourd'hui, qui vous dit que vous ne devez plus travailler
si dur à cela. Juste permettre. Permettre quoi ? Eh bien, permettre le Je Suis.
Mais permettre veut aussi dire lâcher les attentes concernant ce qui va se
passer ensuite et comment ça se passe .Vous le permettez, tout simplement.
C'est une des
choses les plus simples à faire. Mais comme je l'ai dit avant, quand je parlais
des contradictions, cela peut être une des plus difficiles et des plus ardues
contradictions. Cela pourrait être des plus faciles et cela pourrait être des
plus éprouvant de simplement permettre.
(Pause)
Environ 83 pour
cent d'entre vous vont partir d'ici en se sentant peut-être un peu mieux
pendant un temps et puis en rentrant demain, vous vous éveillerez au matin et une fois de plus vous recommencerez à
essayer de (créer) produire votre illumination, comme la chenille essayant de
coller des ailes de papillon sur son dos, et ça ne marchera pas.
Vous allez
devenir frustrés, déprimés et vous fatiguer. Vous allez perdre espoir. Mais
alors quelque chose se déclenchera en vous comme un tintement de cloche, peut-être
une sirène, qui va dire, " Arrête-toi un moment. Je ne dois pas faire
cela. L'humain n'a pas à faire cela. Tout ce que je dois faire est de permettre
”.
Ensuite, vous
prendrez une très bonne respiration profonde et continuerez simplement votre
vie, telle que vous voulez qu'elle soit.
Ok...Bien....
Content qu'on arrive quelque part aujourd'hui. Content qu'on arrive quelque
part.
Prenons une
bonne respiration aujourd'hui et ahh! Cela devrait être vraiment rafraîchissant
de savoir que la responsabilité n'est
plus sur vous, vraiment rafraîchissant. Les choses bougent. Les choses
changent. Ce doit être réellement et vraiment rafraîchissant de savoir que tout
ce que vous avez besoin de faire est de permettre.
Prenons donc
une bonne respiration profonde avec cela et nous allons vraiment le ressentir
dans cette déclaration de séparation ...
ADAMUS ET
PUBLIC: ... tout est bien dans toute la création.
ADAMUS: Mwuahh!
Merci. Merci. Merci (applaudissements).