LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Découverte
SHOUD 4: “Kharisme 4” –  ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe
Présenté au Crimson Circle
le 6 Décembre 2014
www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du domaine souverain.

Bienvenue, chers amis. La vie est belle. La vie est belle. Ah, prenons une bonne respiration.

La vie est belle et simple. Vraiment. Elle l’est. Aujourd’hui, nous allons en parler, pourquoi parfois cela semble difficile, pourquoi parfois vous rendez cela difficile alors que c’est en réalité très simple.

Je vais vous demander de ressentir cela un instant, si vous le voulez bien. La vie est simple.

Oh, vous pouvez me donner mille raisons pour lesquelles elle n’est pas simple. Vous pouvez me parler de votre passé. Vous pouvez me faire part de vos inquiétudes quant à votre avenir, mais c’est simple. Ça l’est vraiment.

La question que je vous pose est : pouvez-vous gérer ça ? Eh, avant de répondre, je veux que vous ressentiez vraiment cela. Pouvez-vous supporter que la vie soit facile et abondante et libre et différente. Pouvez-vous le gérer ? (Quelqu’un chuchote « oui »)

Vous dites oui, mais de toute évidence ce n’est pas le cas. (Rires) Je dis ça, je ne dis rien. (Adamus glousse) Avons-nous loupé la rangée de devant ? (il y a quelques chaises de libre). Leur a-t-on dit… Linda, les avez-vous effrayés ? Personne devant…(Quelqu’un vient s’asseoir à la rangée de devant) Merci. Je ne mords pas. Je crache. (Rire) Je crache du feu mais je ne mords pas. Quelqu’un d’autre ? Première rangée. Première rangée. Merci. Oui. Eh, Pas ici avec vos oreilles. (Quelqu’un porte des cornes de rennes qui peut cacher la vue à la caméra)

LINDA : Encore une chaise.

ADAMUS : Encore une ? (Adamus glousse)

LINDA : Merci. Merci.

ADAMUS : Oui. Nous nous préoccupons des problèmes techniques. (Rires) La vie est simple, mais vous devez être conscient. Oui. (Il s’assoit sur l’une des chaises) C’est pour moi. Oui. (Quelques rires) Oh !

LINDA : Non, non. (Quelqu’un d’autre est venu s’asseoir devant)

ADAMUS : Vraiment désolé. Je crois que c’est la vôtre. Merci. Bien, avec votre chapeau à cornes, vous ne pouvez pas vous placer là.

La vie est simple et elle est belle, et c’est là où nous allons. C’est là où nous allons.

Et ça a l’air beau. Vous dites, « oh ouais ! C’est ce que je veux. » Mais, afin d’y arriver, nous devons lâcher prise sur certaines choses. Nous devons avoir une vision –une vision !- de la vie, une vie facile, ce qu’elle est.

Nous ne devons pas tomber dans la gravité très dense de la conscience de masse. C’est simple en réalité, mais au début c’est inconfortable.

Bienvenue à tous ceux qui écoutent en ligne. N’aimez-vous pas les vacances ? N’aimez-vous pas la beauté des vacances ? Pouvez-vous faire une vue panoramique de la scène (Aux cameramen). Oh Linda, vous pouvez rester assise là-bas. Vous faites partie de la beauté naturelle. Oui.

LINDA : oh, vous avez conquis mon cœur aujourd’hui. Ohhhh. (Quelques applaudissements)

ADAMUS : Oh, j’aime les vacances. J’ai toujours aimé ça. J’ai tendance à revenir plus souvent, pas seulement pour les Shouds, mais pour vous. J’ai tendance à revenir plus souvent pendant les vacances parce que vous êtes, ah, un peu plus lumineux, un peu plus simples. Les vacances, le moment –à peu près le seul moment qu’il reste maintenant- où les humains croient en la magie. Ils croient que quelque chose de spécial se passe. Ils regardent des films de vacances – certains disent qu’ils sont kitsch – un peu tristes, larmoyants. Mais j’aime m’asseoir avec vous lorsque vous regardez « La vie est belle ». Ouais. Ouais. Vous, moi, du popcorn, vos kleenex, mon écharpe et beaucoup de larmes. (Quelques gloussements)

J’aime les vacances parce que ça vous rappelle si souvent le passé lorsque les choses étaient vraiment plus magiques sur terre. Mais beaucoup de cette magie s’est envolée. C’est l’ère du mental.

Vous pouvez…s’il vous plait, mettez-vous à l’aise (Il invite Linda à se rasseoir sur sa chaise). Et … Sandra, dois-je vous le rappeler à chaque fois ? (Adamus glousse) Un café à la crème, s’il vous plait, pas de lait de chèvre. (Quelques gloussements)

Donc la fin de cette année est magique. C’est peut-être parce que vous avez travaillé si dur pendant l’année, vous étiez stressés, incertains et vous avez passé des heures éreintantes au travail que vous n’aimez peut-être même pas, à vous occuper de vos parents –bon, vous devez aussi faire ça pendant les vacances – mais c’est un moment de l’année si magique durant lequel vous baissez un peu la garde. Les petits enfants et même quelques adultes croient au Père Noël. Vous croyez aux choses magiques qui peuvent survenir dans votre vie. Vous croyez aux miracles. Miracles.

Ah, plus tôt aujourd’hui, j’ai croisé une, comment l’appelez-vous, une sans-abri se tenant au coin de la rue avec sa petite pancarte en carton, ouais, sur laquelle était écrit « j’ai seulement besoin d’un miracle. » Il n’était pas écrit « j’ai seulement besoin d’argent ». C’est une première. Il était écrit « j’ai besoin d’un miracle ». Et vous savez quoi ? Mes miracles se produisent. Les miracles ne viennent pas d’une source angélique et d’un esprit et quelque chose comme ça. Les miracles sont simplement les choses que vous ne comprenez pas autrement. Vous ne comprenez pas comment c’est arrivé, et cela n’a pas d’importance. Cela n’a pas d’importance de savoir en détail comment telle ou telle chose est arrivée ou comment telle ou telle personne est entrée dans votre vie.

Un miracle se produit lorsque vous êtes prêts à sortir de vos anciennes limites, lorsque vous êtes prêts à sortir de votre mental, lorsque vous êtes prêts à sortir de votre personnage, personnage auquel vous vous identifiez tellement. Soudain, les miracles se produisent parce que vous êtes plus disponibles pour les énergies qui vous attendaient. Qui vous attendaient. Tout est là.

C’est pourquoi je dis que c’est facile. J’utilise ce terme « Kasama », que certains traduiraient par le terme « Kismet » qui signifie destin, mais pas le destin régulier et linéaire. Kasama est le destin de l’âme.

Nous avons parlé de ça récemment à Keahak. Le destin de… (Sandra lui apporte son café) Vraiment ? Une tasse en carton pour votre commandant ?! Une tasse en carton – plastic. S’il vous plait ! S’il vous plait.

EDITH : oh mon frère ! C’est pas la fin du monde ! (Rire)

ADAMUS : Non. Je vais vous raconter une histoire, Édith. Je vais vous raconter une histoire. S’il vous plait (à Sandra), en céramique au moins. En cristal, encore mieux. Ouais. (Adamus glousse). Je vais vous raconter une histoire, chère Édith. Vous l’avez partiellement entendue de Cauldre (pendant l’introduction), mais elle est très vraie.

Le bateau sur le Nil à quai ne convenait pas à ma résonance. Donc, Nous aurions pu tous les 70 nous asseoir dans le bateau et subir le bruit et l’inconfort, mais pourquoi ? Pourquoi ? C’était aussi simple que de dire « déplacez le bateau. » C’est aussi simple que ça – « déplacez le bateau ».

« Du café dans une tasse en céramique. » « Je Suis ce que Je Suis. » « Une vie abondante. » Pourquoi pas ?

Pourquoi, Édith, qui a parlé franchement et qui ressens à présent le poids de mes énergies. Pourquoi, Édith, vous êtes-vous accrochée à moins que le meilleur pour Édith ? Pourquoi ? Nous aurons besoin du microphone. Ne tergiversons pas. J’ai besoin de mon café, microphone. Préparez le tableau. Un microphone. Oui. S’il vous plait, s’il vous plait, ne vous précipitez pas tous pour venir m’aider.

LINDA : Dieu nous en préserve !

ADAMUS : Donc Édith, pourquoi vous êtes-vous accrochée à tout…levez-vous Édith, si vous le voulez bien. Prenez la chaise.

LINDA : ohhh, ohhh ! ADAMUS : Ohhhhh ! LINDA : Ohhhh ! EDITH : Édith, la rock star dans le monde entier. Il y a maintenant le « Facteur Édith » parmi les Shaumbra ! (Rire)

LINDA : Ohhhh !

ADAMUS : Veuillez vous asseoir. Vous n’avez pas besoin de rester debout. Asseyez-vous.

EDITH : Vraiment ?

ADAMUS : Vous voyez ?! Mon point de vue.

EDITH : D’accord ! D’accord ! D’accord ! (Elle s’assoit sur la chaise d’Adamus)

ADAMUS : Offert…

EDITH : Je ne sais pas si je peux me lever là.

ADAMUS : le siège d’un roi, et elle dit « Vraiment ? »

Donc, Édith…

LINDA : Geoff, c’est une torture !

ADAMUS : Édith, pourquoi vous contenteriez-vous de moins que le meilleur dans votre vie ? Pourquoi vous êtes-vous contentée de moins que le meilleur ?

EDITH : C’est une très bonne question.

ADAMUS : Je sais. Je l’ai posée.

EDITH : Si seulement je connaissais la réponse.

ADAMUS : Ohh. Oww !

LINDA : Ohhhhh ! (Des plaintes et commentaire du public)

ADAMUS : Ohhhh ! Je sais, mais c’était trop près.

LINDA : Édith !

ADAMUS : ça frise…

Édith, vous la connaissez, et c’est ça le problème. Vous la connaissez mais vous refusez de la voir. Vous n’avez pas de vision. Bon, si vous avez des visions, ce sont celles d’Édith.

LINDA : Ohhhh !

ADAMUS : Déplacez le bateau. (Adamus glousse) Je m’en fiche. Je m’en fiche et vous devriez en faire de même. Pourquoi participez-vous aux shouds ici chaque mois ?

EDITH : Parce que je les aime. Je les apprécie et je crois en eux.

ADAMUS : Oui.

EDITH : je crois en l’illumination, en la conscience.

ADAMUS : Bien.

EDITH : Pleine conscience du corps.

ADAMUS : Ouais, tout le reste.

EDITH : Oui.

ADAMUS : Mais tout est là. Je le veux en Édith la prochaine fois que nous parlons comme ça. Je veux que ce soit intégré en Édith.

EDITH : Je pensais que ça l’était.

LINDA : Ohh !

ADAMUS : Pas la Édith à qui j’ai parlé avant ! Pas la Édith qui accepte moins que le meilleur pour elle-même et sa vie. Et vous avez tous une petite Édith en vous. (Adamus glousse) Vous avez tous ce « permettre moins que le meilleur ». Pourquoi ? Pourquoi ? Eh bien, nous allons en parler aujourd’hui. C’est une parfaite organisation.

Permettre moins que le meilleur – argent, santé, relations, enfants – devons-nous continuer ou vous voyez ce que je veux dire ? Moins que le meilleur.

EDITH : Je vois ce que vous voulez dire, mais j’aimerais avoir la solution.

LINDA : Mmmmm.

EDITH : Bon, vous ne voulez pas que je mente, ou bien ?

ADAMUS : Eh bien…

LINDA : Je le veux !

ADAMUS : … dans un sens... (Beaucoup de rires)

EDITH : Vous avez raison, Linda.

ADAMUS : Donc, ceci amène à se poser la question… ça joue en ma faveur. Cela amène à se demander qu’est-ce que le mensonge ? Qu’est-ce que le mensonge, Édith ? Vous dites ne pas vouloir me mentir. Je pense que vous me mentez et pire encore, vous vous mentez à vous-même.

Lorsque vous dites ne pas savoir… désolé. Crash. Lorsque vous dites ne pas savoir, vous mentez. Vous mentez lorsque vous dites que vous ne voulez pas me mentir, car vous êtes en train de mentir. Vous mentez en ne vous permettant pas d’être qui vous êtes. Et c’est si facile. C’est si facile, mais quelque chose vous en empêche. Et vous m’avez donné la permission d’être brutal avec vous, si nécessaire, et aimant, si nécessaire. Vous m’avez donné la permission de vous indiquer là où vous vous êtes aveuglée et fermée. Lorsque vous dites à vous-même et au public du monde entier – si vous regardez bien cette petite lumière rouge sur la caméra, le monde est en train de regarder – vous vous êtes donné la permission pour que j’expose votre mensonge et le mensonge est « je ne sais pas ». Vous savez. Et cela va être la chose la plus difficile à surmonter et la plus belle aussi, c’est très facile.

Donc s’il vous plait, ma chère, s’il vous plait. Ça se résume à, vous pouvez dire, une question de valeur mais c’est vraiment une question de vision, vision pour Édith. Et la vision boit un café dans une tasse en porcelaine. C’est une petite chose, Édith, mais qui en vaut la peine. (Adamus sirote son café) Ahhh ! (Quelques gloussements) Ceci est un café sensuel qui ne peut tout simplement pas être expérimenté avec une tasse en carton mais seulement en porcelaine.

C’est le « déplacez le bateau » et ne pas s’en préoccuper. Le diriger et ne pas s’inquiéter. Cauldre, Linda, les autres, Lucia, ils s’inquiètent lorsque je dis « déplacez le bateau ». Je me fiche des détails. Ils ne m’affectent pas. Et je ne vais pas me lancer dans des mauvais et longs questionnements concernant la pauvre équipe et le navire qui doit effectuer ce travail et que va dire le capitaine et respecte-t-on les règles. Je m’en fiche et vous devriez en faire de même.

Cette année – l’année à venir, Édith – est une période de réalisation. C’est un moment de rassemblement. Et la question que je me pose, que Metatron a posé il y a très longtemps, est : êtes-vous prêts ?

EDITH : Je suis prête…

ADAMUS : Restons-en là. Ahh, ce « mais » allait se montrer. Le « mais »…

LINDA : Quoi ?!

ADAMUS : Dans vos mots. Dans vos mots, le « mais ».

Trois vœux

Édith, question. Le Père Noël est réel, vous le savez. Non, le Père Noël est réel. À chaque fois qu’il y a une croyance de conscience de masse en quelque chose – le diable. Le diable est très réel parce qu’assez de gens croient en lui. Ils le créent. C’est en quelque sorte causé par la conscience de masse. C’est comme les Maitres Ascensionnés qui peuvent créer une âme collective, c’est très facile. Donc, si assez de gens croient au Père Noël, le Père Noël est réel.

EDITH : D’accord.

ADAMUS : Et il peut se manifester. Je ne parle pas d’être réel comme, vous savez, beaucoup de gens y croient mais je parle du Père Noël qui se manifeste vraiment. Et les miracles et la magie du Père Noël et des elfes se produisent. Ils se produisent vraiment.

Donc, Édith, en sachant cela, vous avez trois vœux pour le Père Noël. Qu’allez-vous demander ? Trois vœux.

EDITH : Une vie ahmyo.

ADAMUS : Une vie ahmyo. Ok.

EDITH : Une grande et magnifique abondance et richesse.

ADAMUS : Bien.

EDITH : Une grande et magnifique santé.

ADAMUS : Ok.

EDITH : Et une grande…

ADAMUS : Eh, trois. Trois. (Adamus glousse)

EDITH : Oh.

ADAMUS : N’abusez pas de votre chance avec le Père Noël !

EDITH : Oh, la sagesse. J’aimerais plus de sagesse.

ADAMUS : Le père Noël n’est pas idiot ! Il sait compter jusqu’à trois. (Rire)

Ok, une vie ahmyo. Il ne peut pas vous offrir ça. Vous devez vous l’offrir à vous-même. C’est en réalité plus simple que ce se soit vous qui vous l’offriez plutôt que le Père Noël.

Abondance sauvage – le Père Noël peut en fait vous aider là-dessus, parce qu’une fois que vous l’avez permis, cela vient à vous. Cela n’a pas d’importance que ça vienne de Jésus, du Père Noël ou de moi ou de qui que ce soit d’autre, nous continuerons d’apporter ces cadeaux. Nous continuerons d’apporter l’énergie. Nous aiderons à amener l’énergie pour de l’abondance sauvage. Oui.

Et la santé. Santé. Ahh, oui. Ça dépend principalement de vous. Le Père Noël n’a pas une totale influence là-dessus. Mais ça dépend principalement de vous.

EDITH : Je pensais que tout dépendait de nous, que nous étions les maitres créateurs.

ADAMUS : Vous l’êtes. Vous l’êtes. Mais souvent ce sont les autres qui amènent les énergies. Votre corps est en quelque sorte le vôtre. Vous apportez ces énergies. Beaucoup d’autres choses viennent de l’extérieur. Le corps est quelque chose de très personnel. Et je vais vous donner un indice : ne travaillez pas sur la guérison de votre corps. Vraiment.

EDITH : Je ne le fais pas.

ADAMUS : Je sais.

EDITH : Il est guéri.

ADAMUS : C’est guéri. Bon, il est en fait… nous allons aller au-delà du corps physique que vous connaissez maintenant. Nous allons aller dans le corps de lumière. Alors nous allons en quelque sorte aller au-delà de ce corps. Avec le corps de lumière, il ne prête pas attention au vieux corps physique. Nous n’allons pas soigner le vieux – pas « vieux corps » comme dans « vous » - mais le corps auquel vous vous êtes habituée. Bon. Merci. Et merci de me tolérer.

EDITH : Je vous aime et vous tolère.

ADAMUS : Merci. Merci. (Quelques gloussements)

Donc, chère Linda…(le public applaudit) Merci.

Continuons là-dessus, si vous le voulez bien, au public s’il vous plait. Le Père Noël. Vous avez trois vœux. Qu’allez-vous demander. Trois vœux. Levez-vous, si vous le voulez bien. Oui.

RICKI : Mes trois vœux que… j’essaie de ne pas répéter ce qu’a dit Édith.

ADAMUS : Oui. N’est-ce pas difficile ? Tout le monde veut simplement répéter ce que dit Édith. (Adamus glousse)

RICKI : Bien sûr.

ADAMUS : Citer Édith. Oui.

RICKI : Bon…

ADAMUS : Trois vœux.

RICKI : Je veux que l’année prochaine soit une année magique.

ADAMUS : Ok.

RICKI : Durant laquelle de fantastiques et magnifiques choses se passeront.

ADAMUS : Comme quoi ?

RICKI : Que je sache au fond de moi que je suis un Maitre Ascensionné et que je suis exactement où j’ai besoin d’être et que je fais ce que j’ai envie de faire.

ADAMUS : Bien.

RICKI : Je veux résoudre mes problèmes de famille. J’aime ma famille et pourtant j’ai l’impression d’être soit trop dépendant d’eux ou qu’eux dépendent de moi et j’ai besoin d’être davantage mon propre Moi. Et je veux être – simplement une sorte d’humain personnel – qui vit dans un endroit parfait pour moi.

ADAMUS : Qu’est-ce que cela signifie ?

RICKI : Cela signifie que nous essayons de savoir si nous allons rester là où nous vivons en ce moment ou vivre autre part ou qu’est-ce que nous allons faire.

ADAMUS : Bien. Ok. Le père Noël peut un peu aider pour plusieurs de ces choses. Plus particulièrement le déménagement et sa partie physique car, comme vous le savez, déménager – une fois que vous vous êtes décidé ou que ça arrive dans votre vie, c’est la partie facile – mais la partie physique peut être difficile et le Père Noël a beaucoup d’assistants qui peuvent aider.

RICKI : Ce serait bien.

ADAMUS : Ouais, ouais. Illumination, maitrise – tout dépend de vous. Le Père Noël ne peut pas vous aider pour ça. En fait, je déteste annoncer la nouvelle, le Père Noël est vraiment magique mais il n’est pas un Maitre Ascensionné. (Quelques gloussements, quelqu’un dit « Aww ») Il s’en fiche.

RICKI : Cela a du sens comme nous l’avons créé.

ADAMUS : Ouais, ouais. Ouais. Et pas seulement « nous » mais la conscience de masse, les humains et tout le reste. Ils ne croient pas aux Maitres Ascensionnés. Eh bien ! Nous allons les choquer l’année prochaine. (Adamus est le seul à glousser) C’était drôle.

RICKI : Ouais.

LINDA : Ah, ah, ah, ah !

ADAMUS : Ils n’y croient pas, mais ça ne va pas tarder à arriver. Bien. Merci beaucoup.

LINDA : D’autres ?

ADAMUS : Oh oui. C’est mon introduction. Trois vœux pour le Père Noël.

STEPHAN : Bon, je pourrais faire trois vœux. Donc un vœu serait d’avoir trois autres vœux lorsque je le veux. (Rire)

ADAMUS : En fait, le Père Noël a une petite clause. Il a une clause. Ouais, c’est pour ça qu’on l’appelle Claus. Non, vous n’en avez que trois. Le premier vœu vaudrait pour vingt autres ?. Il n’est pas stupide. Vous imaginez comme il serait occupé. Non, vous n’en avez que trois. Comptez-les.

STEPHAN : Ok, l’opportunité de ma vie. Ok.

ADAMUS : Ouais. Vous voyez, parce que la raison est très simple. Vous demanderiez un nombre illimité d’autres vœux et vous n’agiriez jamais. Vous vous diriez « J’ai tout plein de vœux et je n’ai plus rien à faire. » Maintenant vous êtes dans l’embarras. Vous avez droit à trois vœux et vous avez environ 42 secondes restantes pour répondre à la question ou vous perdez vos vœux. C’est aussi simple que ça !

STEPHAN : Un vœu : j’attends une décision concernant ma carte de séjour. Je veux savoir si c’est… ça peut arriver n’importe quand, donc ce serait un peu…

ADAMUS : Oh, c’est arrivé. Ok.

STEPHAN : Ok. Bien.

ADAMUS : On en a fini avec ça.

STEPHAN : Cool !

ADAMUS : C’est terminé. N’est-ce pas génial ?

STEPHAN : J’adore !

ADAMUS : Juste comme ça. Je ne l’ai pas fait.

STEPHAN : Ouais, avant de venir ici.

ADAMUS : Je l’ai influencé ou amené dans votre vision. Donc, bien.

STEPHAN : Un autre serait d’ordre pratique comme vendre une de mes sociétés…

ADAMUS : Bien. Bien.

STEPHAN : … qui m’apporteraient beaucoup d’argent.

ADAMUS : Bien. Je suis content que vous ayez qualifié cela. Bien. Donc gagner de l’argent.

STEPHAN : Ouais.

ADAMUS : Bien. Ok, fini, fini.

STEPHAN : Parfait.

ADAMUS : Ouais.

STEPHAN : quoi d’autre ?

ADAMUS : Le temps presse.

STEPHAN : Le temps presse.

ADAMUS : N’importe quoi. Inventez simplement quelque chose. Très vite !

STEPHAN : Humm…

ADAMUS : Ehrrrr ! (Ca sonne comme une minuterie)

STEPHAN : Une grande maison l’année prochaine. Une grande maison.

ADAMUS : Ok. Une grande maison. Une grande maison.

STEPHAN : Cinq chambres.

ADAMUS : Cinq chambres. En êtes-vous le propriétaire ?

STEPHAN : Ouais, pourquoi pas ?

ADAMUS : Y a-t-il quelqu’un avec vous dans la maison ?

STEPHAN : Ouais !

ADAMUS : Quelqu’un d’autre y vit ?

STEPHAN : Oui.

ADAMUS : Un tas de gens. Vous vivez dans une communauté.

STEPHAN : Un tas de gens. Une communauté.

ADAMUS : Ouais, ouais ! Et vous restez là à trainer en chantant Kumbaya ! Ehh… (quelques gloussements) Mais c’est votre maison.

STEPHAN : Oui.

ADAMUS : Oui. Bien. Donc vous pourriez les mettre dehors n’importe quand.

STEPHAN : Ouais. Je contrôle…

ADAMUS : Commençons comme ça. Commençons par dire que c’est votre maison. Mettez immédiatement tout le monde dehors.

STEPHAN : Ok, c’est ma maison et je peux donc inviter des gens et…

ADAMUS : Pas pour la plupart. (Adamus glousse)

STEPHAN : Peut-être pas.

ADAMUS : J’essaie simplement de vous aider là.

STEPHAN : Ok.

ADAMUS : Eh, ouais, parce qu’il y a une tendance à…vous avez besoin de votre propre espace.

STEPHAN : C’est vrai.

ADAMUS : Ouais, ouais. Je sais que c’est vrai. Je ne mentirais pas. Mais bon…

STEPHAN : Ce qui est bien c’est que comme c’est ma maison, je peux faire ce que je veux. Donc, je peux…

ADAMUS : Oui, vous pouvez, avec vous-même.

STEPHAN : Exactement.

ADAMUS : Ok. Vous pouvez organiser des diners de temps en temps mais aucun de ces déménagements…

STEPHAN : Vous êtes invité.

ADAMUS : Ouais, merci. Bien. Qu’y a-t-il pour le diner ? Que servez-vous ?

STEPHAN : Ce que je sers ? Hum, du filet mignon, du vin rouge.

ADAMUS : Ouais.

STEPHAN : Et… ouais, et puis…

ADAMUS : Pour l’instant, ça a l’air d’être un diner ennuyeux. (Adamus glousse)

STEPHAN : On vous donnera les détails plus tard.

ADAMUS : Ok, super. Bon vœux. Ils sont là. Ils se sont donc exaucés.

Maintenant, je vais vous demander ce qui suit. Prenez une profonde respiration et incarnez-les vraiment. C’est fait, simplement comme ça. Il a fallu beaucoup d’encouragement de ma part pour faire ressortir cela, pour vous le faire verbaliser et vous faire vous demander si vous pouvez vraiment demander ces choses. Absolument. Vous pouvez demander pour toutes les choses que vous avez choisies.

EDITH : Pas d’assiettes en carton.

ADAMUS : Pas d’assiettes en carton ? (Rire)

STEPHAN : Ok !

ADAMUS : Je quitterai la soirée si le diner est servi sur des assiettes en carton.

Donc, c’est déjà fait, parce que vous l’avez visualisé. Il a fallu quelques encouragements mais c’est déjà fait. Et c’est si simple. Ces choses physiques – une maison, le travail, la carte de séjour – si simple. Ce sont vraiment des vœux pour le Père Noël. Je veux dire, il est bon, vous êtes bon à ça et je suis bon à faire ressortir tout cela, mais cela arrive tout simplement.

Donc à partir de maintenant, vous ne vous inquiétez pas des détails. Vous ne vous demandez pas comment cela va arriver. Vous ne stressez pas. Vous ne planifiez rien. Mais vous êtes dans l’instant présent. Lorsque le processus démarre, lorsque les choses commencent à se passer, vous êtes là comme un Maitre gracieux qui maintient simplement ces énergies en mouvement. Il ne les bloque pas. Ne se demande comment cela est arrivé. Ne se pose aucune question, même s’il y a quelques contretemps en cours de chemin.

STEPHAN : Exactement.

ADAMUS : Ah ! Si d’un coup votre avocat vous appelle et dit « Nous avons un problème ». Vous prenez donc une bonne respiration et vous pensez ou même dites : « Non, vous avez un problème. Moi pas. C’est déjà fait, maintenant faites en sorte que ça arrive ».

STEPHAN : Toute l’année c’était comme ça. C’était intéressant. Vous vous dites « Wow ! Quelle année de merde ! » mais ensuite vous changez, vous vous dites « Wow ! C’est magique comme tout s’arrange à la perfection. »

ADAMUS : Qu’en est-il du « et ! » C’est le « et ».

STEPHAN : Ouais !

ADAMUS : C’était une année « perturbante » - Je ne suis plus autorisé à jurer en ligne (Adamus glousse)

STEPHAN : Le Père Noël exauce ses vœux. Vous le pouvez !

ADAMUS : Mais c’était une année éprouvante et oh, quelle fantastique année.

STEPHAN : Ouais.

ADAMUS : Oui. Oui. Et l’avocat appelle et dit « Nous avons un petit problème concernant la carte de séjour » et vous prenez une profonde respiration et vous répondez « Et ? »

STEPHAN : Résolu !

ADAMUS : « Pas mon problème ! » ouais. Ouais, c’est beau. Bien ? Merci.

STEPHAN : Merci.

ADAMUS : Bien. Encore deux, ma chère Linda.

LINDA : deux de plus ?

ADAMUS : Je marque un point, là.

LINDA : Ok. Je sens…

ADAMUS : Ouais, trois vœux pour le Père Noël, qui est très réel. Très réel. Trois vœux.

LINDA : (court vers quelqu’un) On m’appelle. On m’appelle.

ADAMUS : Oui, oui. Trois vœux.

LARRY : Plus d’argent ! Plus d’argent ! Plus d’argent ! (Rire)

ADAMUS : Bien, bien. Bien. Ok.

LARRY : C’est tout.

ADAMUS : Et, mon cher ami, cela va arriver. Maintenant…

LARRY : Bien.

ADAMUS : Donc, et qu’allez-vous faire de cet argent ?

LARRY : Acheter plein de conneries. (Rire)

ADAMUS : Avant de répondre à cette question, vous vous souvenez de l’histoire que j’ai racontée – elle allait être dans mon livre à succès « Mémoires d’un Maitre » - de l’étudiant à qui le Maitre a octroyé un prêt et qui est revenu un an plus tard deux fois plus ruiné. Allez-vous être comme ça ou allez-vous faire quelque chose de différent pour… (Un téléphone sonne, Adamus fait une pause et fronce des sourcils)

LARRY : Peu importe !

ADAMUS : … pour stimuler… (Ca sonne à nouveau) Je le prends. Je le prends. (Adamus glousse)

LARRY : Quelqu’un a laissé son téléphone allumé.

LINDA : Ne le lui donnez pas ! Êtes-vous devenu fou ?! (Rire) Ne le lui donnez pas !

ADAMUS : Je dois appeler le Père Noël.

LINDA : (rire) Éteignez-le et asseyez-vous dessus !

ADAMUS : Père Noël, Sheema a été mauvaise. Elle a laissé son portable sonner au milieu de ma présentation. Donc, Père Noël, ôtez-la de la liste.

Donc, beaucoup d’argent, beaucoup d’argent, beaucoup d’argent. Et qu’allez-vous en faire ?

LARRY : Le dépenser.

ADAMUS : Et ?

LARRY : Le dépenser !

ADAMUS : Et ?

LARRY : Dépenser encore plus !

ADAMUS : Ok, jusqu’à quand ? Jusqu’à que vous soyez complètement fauché ?

LARRY : Je vais en avoir plus.

ADAMUS : Bien. Merci.

LARRY : De rien.

ADAMUS : Merci. Oui. Oui, de vous à moi. ( ?) Eh, bon, pas vraiment dans ce sens, mais… (Rire)

LINDA : Ohh !Ohh !Oww !

ADAMUS : Bien. Bien. Et j’espère que dans le temps je vous ai assez énervé et fâché pour que vous rentriez chez vous en disant « Oh ! Cet Adamus ! Arghhh ! », assez pour refaire circuler les énergies.

Encore un, s’il vous plait.

LINDA : Ok.

ADAMUS : Le Père Noël, trois vœux. Qu’allez-vous demander ? Qu’allez-vous demander ?

LINDA : Oh, attendez, attendez ! Nous devons varier un peu. Masculin, féminin ; masculin, féminin. (Elle glousse)

SHEEMA : Oh !

ADAMUS : Pourquoi ? Est-ce encore important ?

LINDA : Non. C’est juste un jeu.

ADAMUS : Ok.

SHEEMA : Je suis la mauvaise fille.

ADAMUS : Qu’en est-il d’illuminée, non illuminée ? Illuminée, non…

LINDA : Ohhhh !

ADAMUS : Ohhh ! (le public crie également « ohhhh »)

Allez, s’il vous plait. Trois.

SHEEMA : Bon, le premier vœu serait d’être illuminée.

ADAMUS : Ouais.

SHEEMA : Mais je ne pense pas que le Père Noël puisse m’aider pour ce vœu.

ADAMUS : Non, non, non.

SHEEMA : Je veux une maison.

ADAMUS : Vous voulez une maison ?

SHEEMA : Ouais.

ADAMUS : Bien.

SHEEMA : Je veux une vraie et belle maison.

ADAMUS : Ouais, ouais.

SHEEMA : Avec trois, quatre chambres.

ADAMUS : Ok. Ouais. Peut-être que vous pourriez emménager avec Stephan.

SHEEMA : Nooon ! (Ils gloussent) Je veux ma propre maison.

ADAMUS : Merci. Oh ! oui. Et quoi d’autre ?

SHEEMA : Hummm…

ADAMUS : En voilà un de fait. Ok. Quoi d’autre ?

SHEEMA : Bon, celui-ci est aussi très personnel. Je veux que mon côté créatif explose et ressorte.

ADAMUS : Pourquoi ce n’est pas le cas ?

SHEEMA : Pourquoi ce n’est pas le cas ?

ADAMUS : Ouais – bon, hell ? (Adamus glousse) Écho, écho, écho. (Quelques rires) Pourquoi ce n’est pas le cas ?

SHEEMA : Parce que…

ADAMUS : Ce regard de merlan frit.

SHEEMA : … j’ai été assez occupée à réfléchir à mon illumination.

ADAMUS : Ne sont-ils pas pareils ? (Elle glousse) Ne sont-ils pas pareils ? Je veux dire, vous réfléchissez aux deux choses, voilà ce que je veux dire. (Elle glousse de nouveau) Ne réalisant aucun des deux. Mais ne sont-ils pas pareils ? L’explosion de votre créativité, aussi bien que…

SHEEMA : Ça commence à ressortir.

ADAMUS : Commence.

SHEEMA : Oui.

ADAMUS : Doucement mais sûrement ?

SHEEMA : Ça me faisait peur.

ADAMUS : Pourquoi ? Vous devriez avoir peur de ne pas l’avoir.

SHEEMA : Ben, vous savez, comme lorsque j’ai entendu ma voix pour la première fois, il y a environ sept ans, c’était tellement incroyable que ça en était effrayant.

ADAMUS : Ouaip.

SHEEMA : Et j’ai arrêté de chanter pendant sept ans.

ADAMUS : Oh. Vous savez ce qui va se passer maintenant, n’est-ce pas ?

SHEEMA : Eh bien, je recommence à chanter.

ADAMUS : Ouais, maintenant.

SHEEMA : Oh non !!! (rire) Nooon !! (Quelques applaudissements) Eh bien, je suis seulement…

ADAMUS : Noël Blanc, une de mes préférées.

SHEEMA : Non, non, non, non.

ADAMUS : (chantant) Je rêve …

SHEEMA : J’apprends ma …

ADAMUS : (continuant à chanter) … d’un Noël blanc. (le public chante avec lui) Comme ceux d’autrefois. Allez-y. Nous avons tous chanté, à vous maintenant.

SHEEMA : Je déteste cette chanson. (Rires)

LINDA : Feliz Navidad !

ADAMUS : Jingle Bells. Peu importe.

SHEEMA : Bon, voilà ce qui se passe. Toute ma vie j’ai fait du chant diphonique…

ADAMUS : Distraction !

SHEEMA : Non, c’est la vérité !

ADAMUS : Distraction. Je ne vais pas être si facile à … s’il vous plait.

SHEEMA : Non !

ADAMUS : Vous avez 30 secondes.

SHEEMA : Je parviens à peine à vocaliser ma véritable voix.

ADAMUS : Oui.

SHEEMA : Mais je vous le promets, bientôt je viendrai interpréter une chanson.

ADAMUS : Ca ne prend pas. Bientôt c’est maintenant. Oui. Vous voulez l’illumination ? (elle marque un temps d’arrêt, tandis que le public lui dit également “vas-y !”) Allez-y ! (Adamus glousse) En avant. C’est un public cruel. “Vas-y ! Vas-y ! Vas-y ! Vas-y ! Vas-y ! Vas-y !”

SHEEMA : Non !

ADAMUS : Je viens de chanter. Pas bien, mais j’ai chanté. (Elle glousse)

EDITH : Elle est illuminée et très créative. (Quelques rires)

LINDA : Tu pourrais bien être la prochaine, Édith. (Plus de rires)

ADAMUS : Vous voyez Édith – Édith, là vous venez à la rescousse. Vous avez cette merveilleuse opportunité en cet instant Père Nöel, là où d’autres manifestent – snap (il claque des doigts) – des maisons, de l’argent, des entreprises vendues avec de grands bénéfices – snap ! – simplement en un claquement de doigts. c’est aussi simple que ça !

Alors, Pourquoi hésiter ? Vous disiez à l’instant que vous commencez à réaliser votre voix. Je dis libérez-la. Vous disiez vouloir une explosion de créativité. Je ne pense pas. Je pense que vous voulez y réfléchir. Je pense que vous voulez jouer avec. Je ne crois pas que vous la vouliez vraiment. Je reprends le micro. C’est chanter ou rien. (Le public répète “Chante !”)

SHEEMA : Feliz Navidad ? (le public crie “oui !”) D’accord. Je vais essayer …

ADAMUS : Et puis nous nous joindrons à vous à un moment.

SHEEMA : Okay. Mais...vous allez entendre ma gorge. Okay ? Donc allons-y …

ADAMUS : Shh ! Shh ! Shh ! Shh ! Shh ! Shh ! Shh ! Shh ! Shh ! Voilà, vous voyez ?! Vous voyez de quoi je parle ?! Oh ‼ J’ai dit que ça allait être si simple et j’ai dit que la vie est belle et … (elle coupe Adamus en entonnant une chanson en espagnol (“besa me mucho”) ; Adamus l’écoute en souriant)

Ahhhh ! (le public applaudit et quelqu’un crie “Bravo” ; Adamus et Sheema s’étreignent) Merci. Ah !

J’aime vraiment la manière dont nous jouons. Nous sommes vraiment démonstratifs, au lieu de simplement en parler, et je réalise que parfois je dois pousser Linda hors de ses zones de confort, vos zones de confort, mais c’était aussi simple que ça. Vous veniez de déclarer que l’un de vos vœux était cette expression créative, cette explosion et votre illumination. Mais voilà que lorsque l’opportunité vous est donnée, “Eh bien, réfléchissons. Pensons-y. Parlons-en. ”

C’est aussi simple que ça

Mes chers amis, pour en venir à mon propos : l’Engagement. Chacun d’entre vous a pris l’engagement dans cette existence que c’est terminé, aussi simple que ça. Rien d’autre. Rien d’autre. Vous avez pris un engagement avant cette incarnation. Vous avez pris un engagement dans la vie précédente, entre vos vies. Quand vous étiez bébé, vous aviez cet engagement. – “C’est terminé, ce sera tout ou rien.” Ce feu qui gronde dans votre cœur et tout votre être est ce qui vous a amené ici, cet engagement que c’est dans cette vie – cette existence ; l’engagement que vous n’allez pas louper ça ; vous n’allez pas vous laisser distraire ; l’engagement que c’est maintenant – tout ou rien – si profond dans vos veines. Une grande partie de tout ce que vous avez fait dans cette vie. C’est la seule chose qui compte.

Et, mes chers amis, Père Noël ou pas, Adamus ou pas, c’est ici. C’est fait. Il n’y a rien que vous ayez à travailler. Rien que vous ayez à étudier. C’est le temps de la réalisation, de ce qui est déjà.

J’ai utilisé ce terme “Kasama” avec Keahak récemment. Nous allons en faire l’expérience, nous tous, dans de nombreuses manières différentes. C’est ce qui a déjà été fait, ce qui est déjà là. Que ce soit l’illumination, ou quelques dollars de bonus dans votre poche, que ce soit votre santé ou votre corps de lumière ou quoi que ce soit, c’est fait. C’est venu à travers une vision, à travers un désir. C’est là. Pas là au-dehors. Cette chanson n’avait pas besoin de rester là-bas quelque part, dans le futur. Cette expression sauvage de créativité ou cette abondance ou cette connaissance ou cette simplicité n’a pas besoin d’être quelque part au-dehors, à bonne distance. Rien que vous deviez vous efforcer d’atteindre. C’est là. Kasama est la destinée de l’âme.

Maintenant, j’ai dit maintes fois qu’il n’y a pas de destinée (fatalité ?). Il n’y a pas de destin. Pas en termes linéaires. Il n’y a rien là au dehors. Il n’y a pas de main suprême guidant votre vie et faisant se produire les choses. Il n’y a pas de conseil angélique ou d’aliens (extra-terrestres ?) ou d’êtres sous la terre ou même d’êtres du gouvernement manipulant votre vie. Il n’y a pas de destinée extérieure, mais il y a la destinée de l’âme. Il y a ce qui est déjà en vous, Édith. Déjà fait.

L’argent – et l’argent n’est que la pointe (partie émergée) de l’iceberg – mais la réalisation. La réalisation.

Nous avons fait...J’ai fait – eh, nous avons tous fait – un travail effectif durant ces cinq années écoulées à désherber, à lâcher prise, à s’éloigner de ceux qui n’étaient pas pleinement engagés. IL n’y a pas de place au Cercle Cramoisi pour ceux qui ne sont pas absolument engagés dans leur illumination. Ce n’est pas une attraction. Ce n’est pas un spectacle. En fait, c’est un peu du spectacle, mais...(Quelques gloussements) C’est plus que du spectacle. Ce n’est pas simplement une distraction de plus. C’est ça. C’est ça.

Comme je l’ai dit à Cauldre et à d’autres shaumbras, c’est l’année, c’est le moment, c’est le maintenant quand le pop corn commence à exploser. Il a été chauffé à bloc. Vous savez, quand vous mettez les grains dans la casserole et elle commence à chauffer et vous vous demandez dans combien de temps ces grains vont enfin commencer à éclater. Particulièrement si vous avez vraiment faim et qu’il est tard le soir et vous avez ce film en cours et vous voulez simplement que ces graines se mettent à exploser dans cet orgasme créatif. Et...

SART : Ouais ! (Il rit et d’autres avec lui crient “ ouais”)

ADAMUS : Mais je dis ça et je commence notre session du jour en disant que c’est véritablement assez simple. Et vous voilà tous « Ouais, ouais. Oh, c’est facile. » Mais ensuite quand ça vient à vous, quand c’est juste là, prêt à être réalisé, voilà que vous commencez à servir des excuses et des « mais » et des « attendons » ou « je ne sais pas » ou quoi que ce soit.

Mes chers amis, le Père Noël est réel, très réel. Vous pourriez dire qu’il est en vous. Vous avez contribué à le créer grâce à vos merveilleuses croyances enfantines en lui.

C’est juste là, et nous allons à sa réalisation. Je ne veux plus entendre la moindre excuse, le moindre "mais". Tous les outils sont là, il ne s’agit maintenant que de vous laisser exploser et être qui vous êtes. Ouais. Une magnifique explosion en Soi.

Nous y reviendrons dans un moment pour en discuter un peu plus en détails. Mais tout d’abord je veux vous raconter la dernière de mes histoires pour le Livre Premier des Mémoires du Maître.

LINDA : Ahh. Le livre premier.

ADAMUS : Le premier. Oui, oui.

LINDA : Ohhhh.

ADAMUS : Mémoires du Maître. Et je vous prie de réaliser que ce que j’appelle mon livre, est notre livre. Ce sont de courtes histoires pour illustrer, démontrer des propos très simples.

Les gens le comprendront-ils ? Quelques-uns. Peut-être même plus que quelques-uns. Est-ce que cela changera le monde ? Je m’en moque. Ça n’a pas d’importance. C’est amusant d’écrire ces histoires. C’est vraiment amusant de les récapituler. Tandis que je raconte l’histoire, si souvent vous vous demandez si cette histoire est vraiment la vôtre. Eh ! Ouais. Parfois c’est votre nom, parfois vous vous demandez si j’ai simplement changé le nom. Ce sont nos histoires.

Donc avant que nous allions plus loin, j’aimerais vous raconter l’histoire qui conclut le Livre Premier des Mémoires du Maître.

Et puisque nous y sommes, Cauldre s’inquiète parfois, et Linda peut-être souvent, disant “Adamus, voilà une grande déclaration disant que ce sera un succès parmi les best-sellers ». Non, parce que je ne le souhaite pas. Je n’essaie pas de projeter des pensées positives – il crache – dessus, parce que ça ne fonctionne pas. Nous réalisons cela. Désolé. Cela ne fonctionne pas si bien. (Quelques gloussements) Je n’essaie pas de saupoudrer cela de poussière magique. Il est très simple pour moi de dire cela, parce que je le vois. Je le sais. C’est déjà là. Déjà publié. Il s’est déjà répandu à travers le monde comme une traînée de poudre. Il est déjà traduit dans de multiples langues, les éditeurs font déjà la queue en suppliant Linda de leur accorder un contrat, et elle tiendra bon face à eux jusqu’à avoir obtenu exactement ce qu’elle veut.

Ce n’est pas un vœu pieux, et c’est là toute la différence. C’est la différence avec ce que beaucoup d’entre vous ont fait dans leur vie – « J’espère simplement que c’est là. Je souhaiterai de manière positive ou j’aurai des pensées positives » et cela ne fonctionne pas. Ca n’est pas très efficace. Vous savez simplement que c’est là. Je le vois, et alors il en est ainsi.

C’est une manière magnifique de façonner votre réalité. Je le vois déjà ; donc, c’est là. Ainsi, quelle que soit la direction prise par les événements, ça n’a pas d’importance. Peut-être que le déroulement de votre vie ne prenait pas si bonne tournure. Ça n’a pas d’importance. Vous avez simplement cette vision, et puis tout change.

C’est, en un sens, jouer avec le temps et sans le temps. Oh, nous avons eu de si belles discussions au sujet du temps en Égypte. De si belles expériences avec l’état d’intemporalité en sortant d’une conscience des restrictions de temps et en réalisant que c’est déjà fait. Pas dans le futur. Pas d’ici 20 ans, dans l’instant, et cela change tout. Cela change le passé. Tout. Tout.

Oh, mon plus grand moment sera quand certains d’entre vous, grains de maïs, certains qui se sont vraiment ouverts...et j’utilise l’analogie avec le popcorn parce que beaucoup d’entre vous la jouez à la méthode lente du rôti . Vous l’enfournez et vous le laissez cuire pendant près de six heures jusqu’à ce qu’il ait lentement rôti.

Le popcorn, on le réchauffe pour de bon et boum ! Il éclate. Mais il éclate en cette incroyable, savoureuse et croustillante chose, ce que vous êtes. (Quelqu’un dit “Oooh”)

Et, oui, oooh. (Adamus rit) Donc, mes chers amis, en Égypte, oh, nous avons eu de merveilleuses expériences au-delà du temps. Et mon plus grand moment est quand l’un d’entre vous est venu à moi et pas avec des mots makyo, mais une véritable connaissance et m’a dit “je comprends enfin où tu voulais en venir par le passé. Enfin je le comprends non plus intellectuellement, mais je saisis quand tu dis que le passé n’est pas du tout ce que je croyais qu’il était, ou le souvenir que j’en avais. Quand l’un de vous me dit “tu sais, je pensais que mon enfance était vraiment malheureuse et mes parents méchants, et que je faisais de mauvaises choses et de mauvais choix et j’ai parfois mal tourné dans ma vie.” Et puis soudain vous réalisez que ce n’était pas du tout ce que vous croyiez. Vous réalisez soudain qu’elle se déroule encore, que ça n’a rien de mauvais et qu’en fait on pourrait dire que, d’une façon merveilleuse, ça n’a jamais réellement existé.

Quand l’un de vous vient à moi en me disant “Je viens de réaliser ce que tu voulais dire à propos du passé. Je comprends enfin.” Oh ! Un de mes moments déterminants. Mais en attendant, allons à notre histoire.

Une Histoire

Prenons une bonne respiration profonde, alors que nous passons à la dernière histoire racontée dans les Mémoires d’un Maître. Harold aimait les vacances d’hiver. Il les aimait tant qu’il décida d’apporter la touche finale à la décoration de l’immense sapin de Noël dans le grand hall de l’école spirituelle. Il y entra avant qu’aucun des autres ne soit même réveillé pour finaliser les décorations d’un arbre de près de sept mètres de haut. Il était immense.

Il attrapa la grande échelle. Il prit toutes les décorations et les ornements, les rassembla autour de lui pour y accéder facilement, et commença à grimper l’échelle, tenant, bien sûr, l’ornement à poser au sommet du sapin, un ange magnifique en cristal qui serait posé tout en haut de l’arbre. Et tandis qu’il apportait ces touches finales, il entendit la porte s’ouvrir sur le grand hall, et il se tourna pour voir et vit que c’était le Maître. Le Maître.

Et dans ce moment de finitions, dans ce moment très matinal, alors qu’il se retourna pour voir le Maître, bien sûr, vous pouvez imaginer ce qui arriva au pauvre Harold. Il perdit l’équilibre. Il trébucha du haut de l’échelle, atterrit sur les caisses de décorations posées sur le sol, et ce faisant, se cassa le bras, deux côtes, fut coupé au visage sur l’un des ornements en verre par terre, et s’évanouit.

LINDA : Awww.

ADAMUS : Le Maître se tenait au fond de la pièce, ne se sentant pas un instant mal concernant ce qui venait d’arriver à Harold, mais comprenant que c’était parfait pour Harold.

Le Maître avança jusqu’à l’endroit où gisait Harold, tenant toujours à la main l’ange de cristal qui était l’ornement du sommet du sapin, mais il était en partie cassé, et des morceaux se trouvaient sur son visage, le contempla, voyant le sang s’écouler sur son visage, prit une profonde respiration, saisit son Apple iPhone 6 – nous intégrons des produits dans nos histoires, maintenant (Rires)– il saisit son Apple iPhone 6 and appela le 911. (L’équivalent américain des Urgences françaises) Délicieuse histoire jusqu’ici. (Adamus glousse)

La suite de l’histoire trouve le Maître à l’hôpital, au chevet du pauvre Harold dont le bras était maintenant plâtré, qui souffrait beaucoup de ses côtes cassées et qui avait un large bandage couvrant les nombreuses égratignures qu’il s’était faites sur la tête. Et soudain, l’étudiant, Harold, commença juste à s’éveiller alors que le Maître entrait dans sa chambre, il commença à se réveiller et le Maître lui dit “alors cher Harold, à quoi pensiez-vous donc ? Qu’est-ce qui vous est passé par la tête au moment où vous êtes tombé de l’échelle ? Qu’est-ce que vous aviez en tête ? A quoi pensiez- vous ?”

Harold réfléchit un moment, repensa à l’incident et dit “et bien Maître, il y a eu deux choses principalement. La première était, vais-je survivre ? Ça a été une longue chute du haut de cette échelle. Il y avait tant de boîtes au sol. Allais-je survivre ? Je ne suis plus un jeunot. C’est une grave chute. Est-ce que je vais survivre ?” Et le Maître dit, “Oui. Quoi d’autre ?” Harold dit, “Vous savez, j’étais seul dans cette salle à finir de préparer le sapin. Ce à quoi je pensais, c’était que j’ai une vie agréable. J’ai deux merveilleux enfants. J’ai une épouse charmante ; nous sommes mariés depuis longtemps, nous avons une jolie maison. Mais je me demandais qu’ai-je fait vraiment ? Je me suis engagé dans votre communauté spirituelle, Maître, durant les cinq années passées. Mais qu’ai-je vraiment fait ? Est-ce que je me distrais ? Ai-je vraiment appris quoi que ce soit ? Est-ce que je ne fais que tourner mes roues ? Est-ce juste une distraction dans une vie qui sans cela, pourrait être ennuyeuse ? Voilà ce à quoi je pensais.”

Le Maître répondit, “C’est parfait. Absolument parfait.” Et il dit à Harold, “Vous savez, quand une chose se produit, quand vous faites une chute, quand vous avez un accident, quand n’importe laquelle de ces choses se produit, revenez toujours à ce que vous aviez en tête au moment crucial, parce que c’est ce qui détermine la situation.

“Vous étiez là, à décorer le sapin pour les Fêtes, pensant à vos progrès, à savoir si vous aviez fait un bon travail dans votre propre quête spirituelle. Harold, vous pensiez à votre engagement, vous vous demandiez si vous étiez sincère avec vous-même, si vous étiez honnête. Et soudain tout l’équilibre s’est rompu. Ce n’est pas parce que je suis entré que vous êtes tombé en perdant l’équilibre. Je suis entré parce que vous étiez en déséquilibre. J’étais la distraction parfaite, la raison parfaite pour que vous vous retourniez sur l’échelle, perdiez l’équilibre et tombiez. Et ce faisant, cela a produit un certain nombre de choses. Cela vous a amené à vous demander si vous étiez vraiment vivant. Si vous étiez vraiment vivant. Vous voici maintenant dans un lit d’hôpital, probablement reconnaissant que cela n’ait pas été plus grave. Ce n’est pas invalidant. Vous guérirez très vite. Mais vous deviez considérer votre vie.

“Les humains sont intéressants, d’une certaine manière. Très intéressants, parce qu’ils veulent plus que tout se sentir vivants, mais ne savent pas toujours comment. Les humains font de drôles de choses pour se sentir vivants, Harold, comme tomber d’une échelle. Tu pourrais penser que c’est un signe d’en haut, mais ce n’était pas le cas. C’était une façon pour toi de te sentir vivant. Certainement, confronter la mort t’a fait te sentir vivant. En étant dans les souffrances, comme c’est le cas en ce moment, cela vous rappelle qu’en fait vous êtes vivant. La douleur est aussi drôle que ça. Alors qu’il est très difficile d’endurer la douleur, elle vous rappelle que vous êtes vivant, d’une étrange manière.

“Pourquoi est-ce que les humains font des choses, parfois insidieuses et douloureuses, simplement pour se sentir vivants ? Pourquoi est-ce qu’ils roulent à tombeau ouvert sur l’autoroute, simplement pour l’excitation de se sentir vivants ? Pourquoi est-ce que les humains mettent la musique tellement fort, au-delà de ce que leurs oreilles peuvent même tolérer. Pourquoi cela ? Parce que ça les fait se sentir vivants. Ce bruit, cette vibration, ce pouvoir externe et cette énergie venant à travers leurs oreilles et distordant leur cerveau – cela les fait se sentir vivants.

“Pourquoi est-ce que les humains se disputent avec d’autres, qu’ils disent aimer ? Parce que cela les fait se sentir vivants. Et ouais Harold, même une dispute vous fait vous sentir vivant. Cela met de l’action dans ce qui pourrait autrement être une vie ennuyeuse, une vie où l’on se demande si l’on est vraiment vivant, vraiment utiles, si ce que nous faisons a vraiment de la valeur.

“Pourquoi est-ce que les humains jouent à des jeux extrêmes ? Pourquoi est-ce que les humains se coupent eux-mêmes intentionnellement ? Pourquoi les humains prennent-ils de la drogue ou boivent-ils à l’excès, Harold ? Parce que cela les fait se sentir vivants.”

“Il y a en effet de meilleures manières de se sentir vivant, mais très rares sont les humains qui le réalisent. Alors ils ont recours à ces challenges extérieurs à eux-mêmes. Ils font d’étranges choses extrêmes simplement pour se sentir vivants, parce qu’il n’y a rien de pire, rien de pire que de se sentir mort, engourdi, bon à rien, même en ayant toujours un corps physique.”

“Alors ils font des choses très étranges. Votre chute de l’échelle, Harold, était d’une certaine manière la réponse à votre question à vous-même, que vous vous posiez là-haut : faisiez-vous quelque chose de significatif dans votre vie ? Étiez-vous vraiment vivant ?”

“Et la vraie question, Harold, c’est : est-ce que vous vous en laissez la liberté ? Est-ce que vous vous permettez de sentir la vie ? Ou vous fermez-vous à elle ? Faites-vous des compromis ? Avez-vous toujours à satisfaire les autres ? A donner d’abord aux autres ?

Vous ne pouvez pas vous sentir vivant de cette façon. Non. Pour tout vous dire, quand vous faites ça, quand il s’agit toujours de faire passer les autres en premier, chaque jour vous vous sentirez un peu plus mort, parce qu’ils prennent votre énergie et vous le leur permettez.”

“Quand vous êtes tombé de cette échelle et que vous êtes passé par cette douleur insoutenable et puis l’évanouissement à cause de la douleur, vous vous êtes senti tellement vivant de ressentir cette douleur. N’est-ce pas étrange ?”

“Harold, cela fait cinq ans que je vous connais. Vous avez été un bon étudiant. Mais, Harold, vous doutez. Vous doutez de vous-même. Vous vous retenez. Vous ressentez toujours comme tellement important de faire tout, pour tout le monde, que tout le monde doit être heureux. Vous vous limitez toujours. Vous avez toujours honte d’avoir plus dans votre vie.

“Donc Harold, d’une certaine manière, vous vous tuez à petit feu, jour après jour. Et vous vous dites, bien, vous êtes un bon père. Vous avez un bon métier. Vous n’avez pas de factures en retard, mais vous savez aussi bien que moi, que vous ne vous sentez pas véritablement vivant.” À ce moment, Harold s’effondra en pleurant parce qu’il savait exactement de quoi parlait le Maître, et pleurer faisait tant de bien. Et le Maître n’essaya pas de conseiller Harold, ne lui donna pas de tape sur l’épaule ou la tête en disant que tout ira bien, parce qu’il savait que ce moment de larmes était se sentir vivant à nouveau. Il savait que ces larmes, ces émotions et ce relâchement arrivaient à point, que cela l’ouvrait à son âme.

À cet instant, la porte s’ouvrit sur un groupe de soignants bénévoles pour la période des Fêtes qui entonnèrent un magnifique chant de Noël, et le Maître dit “Oh Harold, écoutez chanter les anges.” (Grognements et rires à la blague d’Adamus) Et Harold grommela et grogna, pas de la douleur de ses blessures mais des blessures infligées par le cruel sens de l’humour du Maître. Ainsi s’achèvent les Mémoires d’un Maître. (Adamus glousse et le public l’applaudit) Pour en venir, Shaumbra, au fait d’être vivant. Vivant.

Survivre ou être vivant

Nous avons fait un long chemin ensemble, et l’on pourrait dire que ça deviendra plus intense encore, et c’est bien parce que vous allez vous sentir vivants. Nous avons parcouru ensemble un long chemin et il n’y a plus désormais de place dans votre vie pour la simple survie, de juste vous en sortir. Pas de place.

C’est véritablement une question de survie ou d’être vivant. C’est la question – survivre ou être vivant ? Il n’y a plus de terrain d’entente ici. Il n’y a plus de retenue ici. Je vais être franc et massif avec ça cette année à venir. Cela n’a rien à voir avec l’année, mais c’est le bon moment. J’aime la période des Fêtes de fin d’année. On célèbre, on décompresse un peu et on se prépare pour le round suivant. Mais le prochain round n’aura rien à voir avec la survie.

La survie n’est pas très amusante n’est-ce que pas ? Non. Non. Vous n’êtes pas venu ici pour survivre, et c’est en partie là qu’est le conflit. C’est ce qui vous rend différent des autres humains. C’est ce qui fait que parfois vous pensez que vous êtes très étrange et différent et tout le reste. Et c’est un fait, parce que vous ne tolérerez pas la survie. Vous tomberez métaphoriquement d’une très grande échelle si vous ne faites que survivre après tout ça.

Vous ne le permettrez pas. Harold est tombé de l’échelle. Le Maître ne l’a pas poussé. Le Maître se trouvait simplement en train d’entrer dans la pièce au moment parfait, comme cela se produit dans une parfaite synchronicité ?. Mais ce n’est pas le Maître qui l’a fait tomber. C’était simplement Harold, sentant sa connaissance insister sur le fait qu’il y avait plus, mais sentant aussi qu’il le refoulait. Il voulait être un bon père, un bon époux, un bon étudiant, et cela ne fonctionnait plus. Il ne faisait que survivre. Il n’était pas véritablement vivant.

Vous dites que vous voulez une explosion, une explosion de votre créativité. Vous voulez l’illumination, qui n’est rien d’autre que la réalisation. Vous voulez que ça se produise, et j’ai démarré plus tôt cet entretien en disant que c’est simple, vraiment facile, si vous ne vous mettez pas vous-même en travers et si vous ne vous trouvez pas d’excuses. Et si le micro vient à vous, vous chantez depuis votre cœur, et je dis cela en métaphore. Si la vie vient à vous, vous l’étreignez. Vous la commandez. Vous dansez avec elle. Vous vous sentez vivant en cela.

La chose la plus formidable pour un être incarné est de connaître le Je Suis, et c’est aussi de se sentir vivant. Et puis, vous venez sur cette planète pour vous incarner biologiquement. C’est en quelque sorte étranger, mais maintenant vous y êtes accoutumés. Vous venez ici pour vous sentir vivants. Il n’est pas de meilleure manière de se sentir vivant qu’en ayant cinq sens humains, et un corps qui peut faire l’expérience de la douleur. Se trouver dans une réalité linéaire avec toute son étroitesse, en fait, d’une certaine façon aide à vous sentir vivant. Mais à un certain point vous vous retrouvez enlisés dans les routines, dans la conscience de masse, dans votre propre dogme, votre propre crasse – une crasse énergétique – et vous vous arrêtez. Vous faites des compromis. Vous vous retenez. Vous me dites que vous allez chanter un jour dans le futur. Vous me dites que vous êtes vraiment prêts, quoi que “ce” soit, mais vous attendez simplement. Après quoi ? Vous attendez.

Et dans le même temps...je ne m’en soucie pas vraiment parce que ça s’est déjà produit de toute façon. Je peux le voir quand je vous regarde, Pete, ou n’importe lequel d’entre vous. C’est fait. La réalisation, la Maîtrise, l’illumination, quoi que ce soit – c’est fait. Donc je ne m’en inquiète pas. La seule chose que je trouve douloureuse, c’est quand vous surviviez tout juste, quand vous n’êtes pas véritablement vivant. La seule chose que je trouve difficile c’est de vous regarder, sachant que c’est déjà là, sachant que vous avez peur de le réaliser, peut-être. Vous mettez ça de côté. Vous l’éteignez. Vous attendez que le grain de pop corn le plus proche explose d’abord pour vous assurer qu’il ne disparaît pas en éclatant (Adamus sourit)

Mes amis, nous ne pouvons plus attendre. Nous ne pouvons pas. Je ne pense pas que vous vouliez cela, mais ça arrive quand même. Et il y a encore cette hésitation. Nous ne pouvons plus attendre.

J’ai déjà dit auparavant que la réalisation de l’illumination est le genre de chose que l’on veut plus que la vie elle-même. Si je vous tenais la tête sous l’eau, comme je maintiens un couvercle sur cette casserole de popcorn, si vous le voulez plus que la vie elle-même, il y a toujours cette hésitation, cette retenue.

Et cela en vient au point où vous ne faites que survivre. Il y a une part de vous qui le sait, et qui va vous pousser de l’échelle. Pas moi. Pas une conspiration, mais vous même vous poussant de l’échelle pour pouvoir vous sentir vivant. C’est une des choses merveilleuses avec les expériences de mort imminente. Oh ! Elles sont incroyables. Effrayantes. Et elles ne sont pas toujours de mort imminente. Parfois elles sont des expériences de mort. (Adamus glousse) C’est ça le plus incroyable, parce que cela pourrait prendre une autre direction. Mais soudain, cela vous fait sentir vivant.

Nous n’avons pas à nous engager sur cette route. En fait je ne le recommande pas, quoi qu’il arrive. Nous n’avons nul besoin d’en passer par un accident de voiture, ce qui figure dans l’énergie de certains d’entre vous ou par cette autre route avec la peur du cancer .Celle-ci est effrayante. Ouais. Nous ne devrions même pas en parler, n’est-ce pas ? Non, parlons-en, parce que cela vous effraie à mort, et c’est légitime.

Le Docteur vous annonce la nouvelle : “Vous avez le cancer.” Mmmh. Houla. Soudain, vous commencez à apprécier la vie, hein ? Soudain, ce n’est plus simplement de la survie. C’est dire en quelque sorte “Il faut que je vive ! Il faut que je fasse tout ce que j’avais envie de faire.”

Et vous venez à moi. C’est la partie amusante. Vous venez à moi et vous me dites “Hey, Adamus, tu sais, je viens d’avoir la nouvelle. Pas si bonne. Peux-tu faire quoi que ce soit ?” Et moi, “Non. Vois avec le Père Noël Il pourra peut-être t’aider.” (Il glousse) Pas très bonne nouvelle. Pas très bonne. Mais c’est formidable. Et le … (il regarde Linda)

LINDA : J’écoute.

ADAMUS : Le bon côté c’est que, quand vous apprenez la nouvelle, vous paniquez et vous vous demandez s’il existe un remède miracle quelque part. Naaan. Mais vous commencez à contempler la vie. Et alors vous venez à moi et nous avons de grandes discussions – et vous savez qui vous êtes – et d’abord vous commencez par vouloir négocier. Ca ne fonctionne pas. Mais ensuite vous dites, “tu sais, j’aimerais juste avoir...” et remplissez les blancs. “J’aimerais juste avoir permis. J’aimerais juste n’avoir pas procrastiné ma propre illumination, ma propre réalisation. J’aurais aimé être plus audacieux. J’aurais aimé ne pas tant faire de compromis. J’aurais aimé avoir alors la vision claire que j’ai à présent. Oh, j’en ai la vision. Avec la perspective de la mort et toute la douleur et tout le reste qu’il va y avoir dans ce grand supplice, oh, comme j’ai des regrets.”

Mes chers amis, captons cette vision maintenant. Bien plus facilement. J’ai dit au départ que c’est en fait vraiment facile, à moins que vous ne vous mettiez en travers de votre propre chemin. Ayons cette vision à présent.

Et la vision – je ne parle pas d’une vision avec vos yeux. Visionnez la conscience. C’est ce que vision signifie. C’est une conscience.

Cauldre me permettra de raconter une histoire intéressante. Il a eu une expérience l’autre soir, tandis qu’il était assis devant la télévision à regarder un show télé débile et relaxant, dit-il. Il se relaxait. Et soudain, il put voir d’une manière qu’il n’avait jamais connue avant. Pas simplement avec ses yeux. Il voyait à 360 degrés. Même les yeux fermés, il voyait tout, le manteau de la cheminée, le bois des meubles,. Il pouvait voir et sentir à travers les choses. Il pouvait tout sentir sans effort. Sans aucun effort, même sans essayer. Soudain la conscience était là. C’est comme ça. Soudain, simplement toute la conscience.

Et la conscience n’est pas du tout une chose mentale. C’est juste là. Vous n’avez pas à y travailler. Soudain, vous réalisez la mise en route. Vous réalisez comment les énergies fonctionnent, comment elles viennent vous servir. Vous réalisez que vous êtes votre meilleur ami, et votre pire ennemi. Vous réalisez combien vous vous mettez en travers de votre propre chemin. Vous réalisez combien vous avez cédé au compromis. J’allais dire ‘vous vous dégonflez,’ mais vous cédez tellement au compromis.

Se souvenir de la vision

Vous savez pourquoi vous êtes là dans cette vie. Vous connaissez cet engagement, cet engagement brûlant profondément, mais ensuite vous vous laissez aller au compromis. Dépassons cela. Ayons de la vision. Je vais donc demander de baisser légèrement la lumière avec une musique merabh agréable de saison. Ah, oui. Une vision, ah, ça ne vient pas des yeux. C’est la connaissance de ce dont nous avons parlé.

(une douce musique de Noël démarre) Cela n’implique pas que vous deviez connaître ? tous les détails de ce qui va arriver. C’est la vision, une vision de votre illumination dans cette vie. C’est juste là.

(pause)

Ce n’est pas une vision mentale, ce n’est pas une vision qui demande que vous conjuriez votre esprit. C’est une vision, une connaissance, que vous êtes venu dans cette vie en disant que c’est la dernière. Vous êtes venu dans cette vie si profondément engagé que rien ne se mettrait en travers de votre route. Pas même vous.

J’ai toujours aimé ce moment, où vous dites, “personne ne se mettra en travers de mon chemin, même pas moi.”

Même si cela impliquait de tomber d’une échelle, d’avoir un accident de voiture, ou quoi que ce soit, vous ne laisseriez rien se mettre en travers. Vous avez une telle vision, une telle vision de la raison de votre présence ici. Elle est toujours là.

La beauté en cela c’est que vous n’avez rien à faire. Vous n’avez pas à provoquer la vision. Vous n’avez pas à comprendre comment le faire. C’est déjà fait.

Vous avez simplement besoin de revenir à cette vision. Le Maître incarné illuminé. Pas dans dix ans, pas plus tard.

Maintenant.

Cette vision seule, cette re-connection se suffit à elle-même. Elle soulèvera des montagnes et des bateaux. Cette vision, cette connaissance, sans aucun doute, cette vision audacieuse est tout ce qu’il faut. Tout le reste commence simplement à se mettre en place.

C’est le moment où vous, le Maître, pouvez arborer ce grand sourire. C’est le moment où vous pouvez permettre aux énergies de vous servir. C’est le moment où vous ne vous moquez pas ou ne vous raccrochez pas à la richesse et aux riches, à la santé. Vous ne posez pas le pied sur le frein.

Cette vision...c’est ce que vous avez amené dans cette vie. Vous savez, cette vision, c’est l’une des deux choses que vous déteniez, que vous considériez comme tellement précieuse, tellement précieuse que vous l’avez cachée. Vous ne vouliez pas que quoi que ce soit ne perturbe, ne pollue, ou ne corrompe cette vision. Alors vous l’avez cachée de telle manière qu’elle ne serait pas exposée aux aléas de ce monde. Vous l’avez cachée parce que vous saviez que vous seriez très vulnérables aux ténèbres dans cette vie, beaucoup plus que dans d’autres existences.

Je répèterai cela. Vous saviez que vous alliez être vulnérables aux ténèbres dans cette vie plus que dans n’importe quelle autre. Ainsi vous avez caché cette vision pour qu’elle ne soit pas corrompue. Vous alliez être beaucoup plus vulnérable du côté sombre, parce que vous alliez être plus sensible, vous alliez être plus que des explorateurs, et vous saviez qu’un moment viendrait où vous ne pourriez plus fuir le côté sombre plus longtemps – le vôtre et celui des autres. Vous ne pourriez plus fuir plus longtemps. Vous ne pourriez pas cacher la lumière plus longtemps.

La véritable intégration c’est d’intégrer le tout – ombre et lumière , haut et bas, bon et mauvais, masculin, féminin – ainsi vous avez caché cette vision de votre illumination, si bien que vous pourriez presque dire que vous avez oublié où vous l’avez caché.

(pause)

Mais vous savez, pas moi. J’ai vu quand vous l’avez caché. Je savais que nous serions assis ici ensemble juste avant les vacances de Noël, juste après avoir traversé le marqueur historique qu’est 2012. Je savais qu’il viendrait un point où vous ne pourriez plus vous borner à simplement survivre. Vous n’alliez plus vous en tenir aux simples discussions mensuelles sur combien l’illumination pourrait être merveilleuse. Je savais qu’il viendrait un point où, si on ne dépassait pas cela, nous aurions une mutinerie ici au Cercle Cramoisi.

Alors j’ai eu la vision, vous avez eu la vision d’être assis ici, tranquillement, une musique de saison en fond sonore, un bel arbre d’Hannukah sur scène, et je savais que nous parlerions de vision une fois encore. La vision que vous aviez, la vision, la connaissance que l’illumination était déjà là. Pas quelque part au-dehors, mais juste là.

La vision, la conscience ; et puis, dans cette forme de Kasama, ce qui veut dire que c’est déjà arrivé, puis j’ai dit, “Vous savez, il faut être un être courageux et audacieux pour avoir une vision et la permettre.” Très audacieux, courageux.

C’est une chose d’avoir la vision, la connaissance de l’illumination et de la tenir à distance, autant qu’on pourrait tenir une carotte devant un cheval. C’est autre chose, une toute autre chose de le permettre.

D’une certaine manière, on pourrait dire que c’est presque amusant, à un moment donné, d’avoir la vision et de continuer à travailler dans son intention, la maintenant irréalisée. Assez drôle, jusqu’à un moment donné. Mais ensuite, et bien, la vie commence à s’écouler hors de vous. Vous ne vous sentez pas si vivant. Vous sentez que vous ne faites que survivre. En fait, cela arrive à énormément de ceux qui poursuivent le chemin spirituel.

Je dirais que toute personne qui s’implique dans la spiritualité et, jusqu’à un certain degré, la religion, toute personne a un profond et sincère désir de connaître quelque chose de plus grand. Mais ensuite, si souvent, le travail spirituel, les groupes, les livres, les produits sont simplement un moyen de survie. Ils ne sont qu’une distraction. C’est une autre déclaration au Soi, que le Soi n’est pas prêt.

Tôt ou tard...tôt ou tard vous êtes lassé de tout ça et nous arrivons à un moment de vérité. C’est déjà arrivé et c’est en train d’arriver.

Le truc drôle est que ce moment de vérité présente ne se déroule pas qu’ici. Cela se déroule également dans tout ce qui concerne votre passé. Ce que vous ressentez maintenant est ressenti par vous, un jeune enfant au moment de Noël, un jeune adulte d’un Noël d’il y a vingt, vingt-cinq ans. C’est ressenti partout.

C’est se souvenir de cette vision, cette vision magnifique, cet engagement, “Illuminé, un point c’est tout.”

Maintenant que nous sommes dans le ressenti de cette vision et de l’engagement à l’illumination dans cette vie, la prochaine étape est de faire preuve de courage, d’être extravagant, intrépide, et laisser venir à vous. Plus d’attente ou de retenue. Plus d’arrangement pour quoi que ce soit d’autre que la réalisation complète. Plus de gamberge. Plus de doute. Plus de jeu. C’est fini.

C’est fini. C’est fait ou meurs. Donc faisons-le.

(pause)

Je comprends pourquoi vous avez caché la vision, pourquoi vous avez prétendu qu’elle n’était pas là. Je peux comprendre pourquoi vous ne vouliez pas la voir corrompue. Vous auriez préféré ne pas la réaliser, ne pas vraiment la détenir, plutôt que de la voir déformée par vous ou par d’autres.

Mais exposons-la de nouveau. Sortons-la de là où elle était cachée, ouvrez-la, simplement, comme vous ouvririez un cadeau de Noël. Ouais, maintenant. N’attendez pas l’an prochain.

Ouvrez-le comme s’il n’attendait que vous au pied de cet arbre.

Je vous en prie, s’il vous plait ouvrez-le. C’est votre illumination. C’est votre connaissance. C’est votre accomplissement.

Ressentez-le.

(Pause)

Vous voyez, c’était vraiment simple. Ce n’était pas si dur. A présent, amenez-ça simplement en vous. Amenez-le en dedans.

(Pause)

Votre corps, amenez-le dans votre corps et votre esprit. C’est vivant. Vous voyez, c’est vivant.

Ce n’était pas un livre des secrets. Ce n’était pas une baguette magique. C’était vous. Votre vision, elle est bien vivante. Vous n’avez pas à faire des trucs du genre tomber d’une échelle ou avoir un accident de voiture ou apprendre une mauvaise nouvelle chez le docteur. Ce sont des manières fausses de se sentir vivant. La vision est vivante, amenez-la en vous, dans votre corps, dans vos yeux, votre nez, votre bouche. Laissez-la affluer dans vos oreilles, votre nombril, vos pieds, vos jours et vos nuits.

Elle est vivante.

(Adamus marque une longue pause)

Prenez une profonde respiration. Prenez une bonne respiration bien profonde, mes chers amis.

J’adore cette période de l’année. C’est tellement, tellement magique. La magie est très réelle. La magie est très réelle si vous le lui permettez.

Donc, comme je l’ai dit en préambule, c’est simple. C’est drôlement simple. Parfois, vous vous mettez vous-même en travers de votre chemin. Ouais. Vous vous mettez en travers de votre chemin avec les doutes et la retenue. Mais là où nous allons maintenant, là où les Shaumbras qui restent, là où nous allons maintenant c’est la réalisation, l’expérience, le fait de le vivre. Ne pas juste survivre à la vie et en parler, mais la vivre. C’est là que nous allons.

En fait cela va devenir beaucoup plus facile, beaucoup plus facile à de nombreux égards. Mais ça va requérir de vous que vous soyez extravagant, audacieux – et bien, vraiment audacieux – en étant vous.

Ainsi, mes chers Shaumbras, un tel plaisir d’être ici avec vous. Maintenant je dois m’en aller, me préparer pour votre soirée. Oui, je serai dans les parages. Et, s’il vous plait, quoi qu’il en soit, ne me servez pas ou à vous-même autre chose que le meilleur. Pas seulement à la soirée de ce soir, mais dans votre vie en général.

Prenons donc une profonde respiration et rappelons-nous que... LE PUBLIC ET ADAMUS : Tout est bien dans toute la création. ADAMUS : Et avec ceci, bonnes vacances chers Shaumbras. Merci. Merci. (Applaudissements du public)