LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série (SUIVANTE)

SHOUD 3 : “AHMYO” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 2 Octobre 2010
www.crimsoncircle.com

Je suis ce que je suis, Adamus du domaine souverain. Bienvenue à notre réunion, chers Shaumbra, et moi je ne fais pas d’excuse pour avoir changé le programme. (Adamus a présenté son message avant l’introduction habituelle de Geoff et Linda). Je pense que nous avons parlé dans notre dernière réunion « d’attendre l’inattendu. » (rires) merci ! (il prend l’écharpe de quelqu’un)

S’attendre au changement et à la surprise. Mais il y a aujourd’hui une raison très valable. Il ya beaucoup de choses qui se passent dans le monde, si vous ne l’avez pas remarqué. Même si vous ne lisez plus les journaux, même si vous ne suivez pas les nouvelles, vous devriez absolument pouvoir les sentir. Tension, pression, résistance, drame (oh, et c’est juste votre vie). (rires) Le reste du monde passe par le changement extrême. Et parlant de ça, j’ai un rendez-vous très bientôt, alors j’ai voulu faire cette réunion plus tôt de sorte de pouvoir faire les deux. Selon la manière dont les choses tournent peut-être que vous en aurez connaissance dans les journaux ou aux nouvelles, si vous les suivez, ou vous entendrez parler de cela plus tard. J’ai un rendez-vous très urgent pour… (il prend une respiration profonde) de grands changements arrivent.

Alors j’ai fait cette réunion un peu plus tôt. Oh, les slides (ce sont les transparents projetés sur un écran dont se servent Geoff et Linda lors de leur introduction au shoud) peuvent attendre. Est-ce que quelqu’un veut vraiment les voir ? (quelques réponses de l’assistance)

LINDA : Oui !

ADAMUS : Oui, absolument. (rire)

LINDA : Oui.

ADAMUS : En parlant de ça, oh, ce monde change si vite, et c’est une bonne chose. C’est une bonne chose. Vous l’avez demandé depuis très longtemps. Des vies à dire, « je choisis le changement. » Des vies à travailler pour faciliter le changement dans le monde qui se produit en ce moment.

(Quelqu’un entre dans la salle) N’avez-vous pas reçu le message, Ours qui rit ? L’email - cet email céleste - « Nous commençons tôt aujourd’hui » ? Dépêchez-vous. Allez aux toilettes. Revenez ici. (rires)

Il y a deux très fortes dynamiques qui arrivent. Belles chaussures. (à un membre de l’assistance) belles chaussures. Si seulement Cauldre voulait apprendre à s’habiller autrement que comme un cowboy autrichien.

(beaucoup de rires)

Groupes et dynamique sur terre

Donc, deux changements majeurs arrivent dans le monde en ce moment qui affectent vraiment tout. Un, il y a un groupe de gens, rassemblés ensemble dans les gouvernements, les affaires et les endroits d’influence et de pouvoir, qui croient que les humains ne peuvent pas prendre soin d’eux-mêmes, que l’humain moyen ne peut pas être responsable de ses propres pensées, actions ou actes. Ils croient que les humains ont besoin d’une certaine guidance de la part des gouvernements, des églises, et des autres choses. Ils ne croient pas que les humains soient par nature intelligents, bons et honorables. Ils pensent que l’humanité est toujours, oh, dans sa propre forme d’âge sombre. Ils pensent que les gens laissés à eux mêmes détruiront cette terre par la guerre, par la pollution et par la corruption.

Shaumbra, faites-vous partie de ce groupe ? (l’assistance répond à l’unisson, « non ! "). Non, non, non. En fait, ceci va être une expérience intéressante au cours des prochaines années, parce que ce groupe croit que (ils le croient sincèrement) les humains ne peuvent pas être responsables d’eux-mêmes. On ne peut pas leur donner le pouvoir, l’argent ou le choix ou n’importe quoi d’autre du genre. Il y a ce groupe qui croit que l’on doit dire aux humains ce qu’ils doivent faire.

Ils le font sous la bannière de Dieu, du pays, de la famille, et fondamentalement ils ne croient pas, Diane, que vous êtes Dieu aussi. Ils croient que sans lois, sans règles, sans règlements vous vous détruirez. Et ils croient aussi qu’ils vous font une faveur, vous voyez.

Il y a un autre groupe de personnes sur terre qui s’en fiche. (quelqu’un a un petit rire fort). Merci. Je vous regarderai quand j’aurai besoin d’un rire. (rires). Et il y a un groupe de gens comme vous qui savent, qui croient vraiment que les humains sont, par nature, bons. Ils traversent toujours les problèmes et le karma, ils sont toujours attirés ou dépendants du drame, mais étant donné le vrai choix pur, étant donnée la volonté divine dans leur vie, ils seront à la hauteur. Oh, ils peuvent passer par le chaos. Ils peuvent passer par quelques crises pour arriver là, mais au final, ils prendront la décision qui est la meilleure pour eux, et finalement, ce qui est le meilleur pour vous est le meilleur pour le monde.

Donc vous avez cette intéressante dynamique qui arrive. Il y a des gens très passionnés, particulièrement passionnés, quand ils viennent à penser que les humains doivent encore être contrôlés, quand ils pensent que les humains vont détruire l’environnement, détruire l’économie, tout détruire autour d’eux. Ils se battent dur, se battent très dur, pour le contrôle (le contrôle de votre vie) mais ils le font, pensent ils à partir d’un bon sentiment.

Vous pouvez le voir dans la dynamique, vous pouvez le voir dans la politique et en particulier dans la religion. Quelle religion aujourd’hui - vraiment, quelle religion aujourd’hui - croit que vous êtes Dieu aussi ? Quelle religion croit que vous pouvez gérer cette énorme quantité d’énergie qui vient, que vous pouvez gérer en faisant des choix dans votre vie, que vous pouvez vous gérer vous-même ? Et nous savons, Kerri, que vous le pouvez. Que vous le pouvez.

Prenons une respiration profonde avec ça.

C’est l’une des forces de la résistance… merci. (il rend l’écharpe). Oui. Je l’ai infusée avec mon énergie et mon amour. Oui.

Donc, une autre dynamique - très, très semblable en même temps - une autre dynamique est un groupe de personnes sur terre qui ne veut pas le changement. S’il y a quelque chose qu’ils veulent c’est retourner aux vieilles manières, et vous savez qu’ils ne le peuvent pas (pause pendant qu’il prend un verre et fait la grimace).

LINDA : Que voulez-vous ? Qu’aimez-vous ?

ADAMUS : J’ai pensé que c’était peut-être du café. Mais ils ne veulent pas le changement. Ils ont peur du changement. Ils pensent que le changement porte peut-être quelque chose de diabolique, porte quelque chose d’inconnu. Le changement n’est pas divin. Alors ils préconisent des choses pour rester les mêmes ou pour retourner à ce qu’ils appellent `des temps plus simples.’ Et ils n’étaient pas plus simples. Rappelez-vous juste certaines de vos vies passées combien elles étaient compliquées, combien vos vies étaient sans conscience.

Mais ils veulent revenir. Ils veulent revenir environ, oh, quelque part entre 1400 et 2000 ans. De retour aux bons vieux jours ! (rire) oui, de retour dans le désert. Donc ils font tout ce qu’ils peuvent à travers la conscience de masse pour résister au changement.

Il y en a d’autres qui savent que le changement est inévitable. Il va se produire, d’une manière ou d’une autre. Il y en a qui comprennent à quel point c’est beau de changer.

Cela vous dérange si je pousse quelques boutons ? (il inspecte le matériel électronique dans le fond de la salle) Whoa. C’est étonnant. Donc c’est la dynamique que vous sentez tout autour de vous dans votre vie. Vous ressentez que la conscience de masse - une partie de cette conscience de masse - ne pense pas que vous puissiez être responsables. Une partie d’elle ne veut pas le changement, et cela cause certains, bien, conflits énergétique étonnants - conflits sur lesquels je vais travailler plus tard aujourd’hui. Et peut-être, juste peut-être, vous voudrez plus tard vous joindre à moi dans notre travail. Aimeriez-vous faire cela ? (l’assistance répond, « oui ")

LINDA : Dites m’en plus d’abord. (beaucoup de rires)

ADAMUS : Je vous dirai que c’est une énergie passionnante et très élevée, avec beaucoup de drame, beaucoup de passion, beaucoup de dualité, le tout mélangé ensemble avec quelques intrigues et conspirations.

LINDA : J’attendrai votre rapport. (plus de rires)

ADAMUS : Vous n’avez pas à prendre votre corps physique là. C’est ce dont vous avez vraiment peur – que quelque chose blesse votre corps physique. Vous n’êtes pas inquiets pour votre conscience. Parce que vous savez qu’elle est très flexible et très résistante. Vous n’êtes pas inquiets de venir là en l’esprit, de planer et de regarder ce qu’il se passe.

Vous n’avez pas du tout peur si je vous dis allons dans ce conflit – cela arrivera plus tard aujourd’hui, une autre fois demain – allons y avec votre esprit, avec votre conscience et ne choisissez pas un camp ou un autre, même si c’est parfois amusant de le faire. N’essayons pas de forcer les résultats de la situation, même si cela peut impliquer - prenez une respiration profonde - des vies humaines et des biens. Allons là bas et apportons de nouveaux potentiels, les potentiels qui ne sont pas réalisés en ce moment par les parties concernées. Vous voyez, voici ce qu’est un vrai travailleur du changement… c’est ce que le véritable esprit fait.

Vous savez, c’est quelque chose que vraiment l’Esprit - le grand, l’éternel – l’Esprit ne peut vraiment pas le faire comme vous le pouvez, croyez le ou pas. L’Esprit est là tout le temps, mais à la différence de vous, l’esprit ne peut pas aller là et apporter de nouveaux potentiels. Quelqu’un qui est sous une forme humaine consciente et qui comprend comment expanser son énergie a le plus haut niveau de conscience à apporter dans de nouveaux potentiels, plus encore que les êtres angéliques. Les êtres angéliques sont un peu éthérés. Ils sont en quelque sorte non solides. Mais un humain qui expanse son énergie dans une situation comme celle ci peut apporter plus de potentiels que n’importe qui ou n’importe quoi. Donc faisons cela après avoir passé vos slides aujourd’hui, après que la réunion ait été ajournée.

Oh, d’ailleurs, désolé que vous ayez manqué l’appel de notre commencement anticipé. Pas vous, Larry. (il parle dans la caméra de Larry). Pour ceux sur… Allons-y (à une caméra différente). Désolé vous avez manqué l’appel. Nous avons commencés plus tôt aujourd’hui. Si vous êtes tristes d’avoir manqué les slides, nous les passerons après. Mais en ce moment je délivre un message. Merci.

Nous irons là bas plus tard. Maintenant, cela vous affectera-t-il, ou, encore mieux, comment cela vous affectera-t-il quand nous irons là bas ? Bien vous allez probablement ressentir la tension. Vous allez probablement ressentir la quantité massive d’énergie prête à s’entrechoquer. Elle ne va pas blesser votre corps, et elle n’a pas à le faire. Vous pouvez être un peu anxieux, mais, bien, vous l’avez été avant de venir ici aujourd’hui. (rires). Vous allez avoir le déclic, vous demandant depuis plusieurs jours ce qu’il se passe ? » Nous parlerons de cela dans une minute.

Donc, chers Shaumbra, partons en voyage plus tard.

Que choisissez-vous ?

Ensuite. Le mois dernier nous avons parlé des grandes questions que vous deviez voir avant notre rencontre – les grandes questions étant les grands dilemmes que vous traversiez- Voulez-vous rester sur cette planète ? » Bien vous ne voulez pas d’une mort physique douloureuse, mais si vous pouviez juste claquer des doigts et whshht ! vous êtes de l’autre côté, le feriez-vous ? Aucune douleur. Aucun morceau laissé derrière vous. Si vous pouviez juste revenir de l’autre côté comme cela, le feriez vous ? (certains dans l’assistance disent, « non ")

Vous dites, non, mais environ deux-tiers des Shaumbra qui ont reçu ce devoir à faire à la maison afin d’être vraiment avec cette question pendant les semaines qui ont suivi notre réunion, deux-tiers ne savent pas encore ce qu’ils veulent faire, remettent au lendemain et repoussent toujours, passant toujours par cet affreux scénario mental où ils disent, « dans une colonne j’écrirai pourquoi je devrais rester, et dans l’autre pourquoi je devrais partir. » Et ce qu’il se passe c’est que leur énergie est refoulée et devient très très bloquée. Et quand je leur rappelle, comme je l’ai fait, qu’il est le temps de prendre une décision, ils ont toutes les excuses du monde. Toutes les excuses. Ils créent même quelques drames dans leur vie où ils n’ont pas besoin d’être là ainsi ils peuvent éviter de répondre à la question. Ils sont dans cette zone intermédiaire. Ce n’est pas même une zone où il n’y a rien, parce que vous pouvez choisir le rien. Mais ils choisissent le vide. Ils le choisissent … ce n’est même pas le rien. Ils choisissent, bien, la frustration en fait.

L’autre partie de la question qui a été posée la dernière fois avant notre réunion était : et si vous restez, que voulez vous faire ? Qu’allez-vous faire ? Bien, c’est une question frustrante et difficile. « Je ne sais pas. Qu’est ce que l’Esprit veut que je fasse ? » Vous vous asseyez et vous réfléchissez à ce que vous voulez faire. Et à ce que veut l’Esprit.

Certains sont dans le mental au sujet de cette question. Vous avez commencé à aller de nouveau dans vos expériences précédentes – qu’est ce qui était bien, qu’est ce qui ne l’était pas. Ce qui se cachait derrière cette question était qu’il était presque impossible de répondre à cette question, parce que c’est à votre disposition en ce moment dans le champ de vos potentiels et ce n’est pas quelque chose que l’esprit peut comprendre. Mais pourtant vous l’avez ressenti. Vous avez ressenti « Il y a quelque chose à faire pour moi. Ce n’est pas quelque chose à faire pour l’humanité, c’est quelque chose à faire pour moi. Je ne dois même pas le faire pour mes aspects. Je peux le faire pour moi. » Vous l’avez ressenti, mais quand vous avez essayé de l’exprimer clairement, quand vous avez essayé de le mettre en mots, cela vous a échappé, c’est parti. C’est très, très naturel.

Allez dans vos ressentis. Vous ne devez pas le définir. Vous n’avez pas à écrire sur un morceau de papier ce que vous voulez exactement faire. Rentrez dans ces ressentis. C’est peut être quelque chose qui est profondément satisfaisant, quelque chose qui est amusement, quelque chose qui libère - peut-être que c’est cela que vous voulez faire. Et je n’ai pas posé la question quel travail voulez vous. Peut-être que vous ne voulez pas de travail. Vous savez, vous pouvez survivre sans travail. Vous le pouvez vraiment. Demandez le à Aandrah, demandez le à On (Norma, Garret). Demandez à tous ceux qui ne sont pas dans l’ancien monde, dans un genre de travail vieille conscience. Vous pouvez survivre en dehors de cela. Absolument. C’est ce que nous appelons être un être souverain.

LINDA : Mais certains pensent que cela veut dire ne rien faire.

ADAMUS : Si vous choisissez de ne rien faire, c’est très bien. C’est très bien. Et si vous cessez d’être mental à propos de ce que vous voulez faire et que vous rentriez dans le ressenti, alors soudain vous allez réaliser que l’esprit aime s’expanser. L’Esprit aime interagir. L’esprit s’ennuie dans un état neutre et stagnant. L’Esprit veut s’expanser et s’exprimer. Je l’écrirai. Vous l’avez peut être déjà entendu, mais vous choisissez d’oublier. L’esprit veut s’expanser, toujours, toujours.

Vous avez vu le résultat. L’Esprit ne peut pas faire marche arrière, et il ne le veut pas. L’Esprit ne veut pas juste ne rien faire, parce qu’au coeur de l’Esprit, au coeur de vous même, existe cette joie absolue de la vie, la joie absolue de s’expanser pour trouver : « qu’est ce qui vient après ? que puis-je créer ? » L’Esprit n’aime pas être bloqué. Ainsi même si vous essayez de ne rien faire et que vous essayez de vous reposer dans votre « -Z-boy à la maison » - ce grand meuble hideux qui est dans les salons américains - (c’est un canapé) vous ne le pouvez presque pas le faire. Vous deviendrez d’abord fous. Vous deviendrez cinglés et alors vous commencerez à rentrer dans votre propre super-analyse, vous rentrerez dans un processus mental, et alors vous vous effondrerez, mais au moins vous feriez quelque chose ! (rires) et je ne dis pas cela… bien, avec un peu d’humour, mais c’est vraiment quelque chose. C’est l’expérience de vous rendre absolument fous.

L’esprit veut également s’exprimer. Quand vous vous réveillez le matin et que tout semble si parfait, vous n’avez pas besoin de prendre soin du monde, il fait beau dehors, le reste de votre famille est parti pour la journée, vous avez la maison pour vous seul, et vous ressentez cette intense sensation de joie, que voulez-vous faire ? Chanter, marcher ou respirer, mais vous voulez exprimer cela d’une façon ou d’une autre. C’est comme cela que l’Esprit est. La joie de l’expansion mène à la joie de l’expression. Donc, mes chers, il serait très difficile - essayez - il serait très difficile de ne juste rien faire. Quelle est la dernière fois où vous n’avez rien fait ?

LINDA : Il y a deux secondes.

ADAMUS : Ah, non, non. Non, parce que vous êtes en train de cliqueter à partir d’ici (il montre sa tête) et à partir d’ici, le coeur, bien sûr, vous m’aimez. Et ça c’est faire quelque chose. (plein de rires) Alors, mes chers amis, où en étions-nous ? J’ai perdu le fil. Donc, expérience et expansion.

Se faire confiance

Des tas de choses se passent en ce moment. Je veux mettre l’accent sur quelque chose aujourd’hui – de très, très important. Vous pouvez dire que nous arrivons à notre prochaine étape. Cela vous mènera également dans notre expérience de groupe plus tard aujourd’hui, ce soir. Je vais poser une question et demander à Linda d’Eesa de courir avec le micro.

LINDA : Avec plaisir.

ADAMUS : Prête ?

LINDA : Oui monsieur.

ADAMUS : Pour ce groupe ici, je vais vous demander, quel est votre niveau de confiance en vous-même sur une échelle de 1 à 10 ? Dix étant le plus haut (confiance absolue et inconditionnelle) ; zéro étant que le mieux serait de vous enfermer dans les toilettes. Ressentez le. Prenez une respiration profonde, ressentez-le. Il n’y a pas de mauvaise réponse. Il n’y a pas de bonne réponse non plus. Des volontaires, Linda.

LINDA : Oh volontaires. Ici, juste ici.

ADAMUS : Volontaire (rires). Quel est le niveau de confiance en vous-même.

GAIL : Dois-je me lever ?

LINDA : Faites ce que vous choisissez.

ADAMUS : Allez-y.

GAIL : Je me lève. Je savais que vous me choisiriez. En fait, cela dépend où je suis, avec quelle section…

DAMUS : Ah, une respiration profonde.

GAIL : Tout le monde respire avec moi, svp.

ADAMUS : Ouais. Quel est le niveau de confiance en vous-même.

GAIL : Ce dernier mois environ 1 et demi.

ADAMUS : 1 et demi. Bien. Merci pour l’honnêteté.

GAIL : Ouais.

ADAMUS : Ouais, et pour maintenant, ce serait combien ?

GAIL : En ce moment environ huit, neuf.

ADAMUS : C’est bien. Bien. En moyenne c’est de l’ordre de 2.2. (rire)

GAIL : Ouais, quelque chose comme ça.

ADAMUS : Ouais. Ouais, et c’est bien de le reconnaitre. Merci pour l’honnêteté. Nous allons changer cela aujourd’hui. Nous allons changer cela. Vous allez le changer.Au suivant. Quel est le niveau de confiance en vous-même en ce moment.

MICHELLE : Cinq.

ADAMUS : Voulez-vous vous lever. Oui ?

MICHELLE : Cinq.

ADAMUS : Cinq. Cinq. Et, puis-je être personnel avec vous ?

MICHELLE : Bien sûr.

ADAMUS : Bien sûr. Je vous ai entendu dire, « Oh-h-h ! » (rires)

MICHELLE : Bien sûr.

ADAMUS : Oh-h bien sûr ! À quoi ne faites-vous pas confiance en vous ? Et ensuite je vous donnerai la réponse.

MICHELLE : Quand je sens que j’ai confiance en moi, je me rends compte qu’elle n’est pas complètement là.

ADAMUS : Ouais. À quoi ne faites-vous pas confiance en vous ?

MICHELLE : Que je fais toujours les choses convenablement.

ADAMUS : Bien. Si je peux.

MICHELLE : Oui.

ADAMUS : Faire le mauvais choix ; faire confiance à votre corps – problème, problème, problème, et faire confiance à vos croyances - problème, problème, problème. Et tous les autres, vous avez probablement les mêmes aussi. Merci.

Il y a une peur absolue, quand vous arrivez à ce point d’évolution, qui est de faire le mauvais choix. Mon dieu, combien de vies - mille, 1400, 1800 ? Vous ne voulez pas faire la grande erreur maintenant en faisant le mauvais choix ! (rires) et vous renvoyer à peu près autour de la première vie. Vous renvoyer en Lémurie, ou si vous êtes chanceux, en Atlantide. Alors vous ne voulez pas faire les mauvais choix.

(il prend une copie du cours d’étude personnelle Vivre l’interdimension) oh, excellent programme pour ceux qui sont intéressés par l’expansion multidimensionnelle. Merci. C’est moi qui l’ai fait. (rires)

Faire confiance à votre corps. Vous avez eu des vies - chacun de vous - des vies de conflit avec le corps. Le corps est ce qui vous maintient ici. C’est pourquoi il vous rend fou. C’était drôle. (rires)

D’une certaine façon vous accusez votre corps de tous les problèmes de la vie sur terre. Si ce n’était pas pour votre fichu corps, vous ne vous inquièterez pas. Nous allons faire un petit voyage aujourd’hui un peu plus tard, et certains ont maintenant un peu peur - « que va-t-il se passer ? » Bien, quand j’ai dit que vous n’aviez pas à vous inquiéter, rien n’arrivera à votre corps, vous dites, « d’accord, alors je peux tout faire. » Donc, problème avec le corps. Problème avec les croyances.

Pour tous ceux ici et ceux arrivant en retard à notre webcast, (il parle encore devant la caméra) je suis Adamus. Vous êtes arrivés en retard. (quelques rires). Ce n’est pas Geoffrey, non. Il ne serait jamais aussi beau. (rires car il pose). Merci.

Alors, confiance dans vos croyances. Vous avez été impliqués dans un dieu qui connaissait tant de sortes d’organismes religieux et spirituels. Vous avez abusé des croyances - vous avez fait des excès avec les croyances. Avec les croyances. Et les croyances sont drôles. Elles contiennent une quantité énorme d’amusement, tout comme jouer la comédie est amusant, si vous comprenez que c’est cela que vous faites. Mais si vous oubliez que vous jouez la comédie, que vous vous prenez au sérieux et que vous pensez que c’est vrai, alors ce n’est désormais plus amusant. Si vous prenez vos croyances au sérieux, cela va vous faire du mal. Vous allez être bloqués, et d’une façon ou d’une autre, vous devez sortir de ces croyances.

Les croyances ne sont pas mauvaises. Je veux clarifier ceci. Il n’y a rien mal avec elles tant que vous comprenez que vous les avez créées et que vous pouvez les annihiler n’importe quand. Comprenez que les croyances servent un but temporaire, mais ne vous enfermez pas dedans. Combien d’entre vous - vous n’avez pas à répondre à haute voix - mais combien ont crû à l’enfer depuis de nombreuses vies ? Vous êtes bloqués dedans. Vous avez couru la moitié de votre vie ou de vos vies à cause de la peur de l’enfer. Vous n’avez pas eu ce que j’appellerais une expérience pleine et complète de ces vies, parce que vous couriez à cause d’un système de croyance – l’enfer. Il vous a foutu les jetons. (quelques rires). Merci.

Donc, suivant. Au suivant. Se faire confiance, sur une échelle de 1 à 10, où êtes-vous en ce moment ?

KAREN : Sept ou huit, ces derniers jours.

ADAMUS : Sept ou huit. Que diriez-vous d’une façon générale ? Disons les deux dernières années.

KAREN : Oh, des hauts et des bas. Des hauts et des bas.

ADAMUS : Et en moyenne.

KAREN : Oh, peut-être quatre ou cinq, en moyenne.

ADAMUS : Quatre ou cinq. Ok. Bien.

KAREN : Mais quelques fois en haut, quelques fois en bas.

ADAMUS : Oui. Mais c’est l’effet des montagnes russes. C’est une partie de l’effet de l’éveil. Et quels étaient les problèmes pour se faire confiance ?

KAREN : Quand je pouvais vraiment bien entendre à l’intérieur, j’avais vraiment confiance et je suis montée au plus haut.

ADAMUS : Ce n’est pas ce que j’ai demandé. Quel était – prenez une profonde respiration maintenant – qu’est ce qui vous a vraiment fait sortir hors de votre confiance en vous ? C’est si évident. Oh, maintenant vous pensez. Vous ne vous ressentez pas.

KAREN : Probablement faire confiance en l’humain.

ADAMUS : Maintenant je vous donne la réponse correcte. Le problème est que vous allez blesser quelqu’un. Vous avez une des plus douces, des plus belles et rayonnantes dispositions, mais vous blessez des gens. Pas intentionnellement, vous n’avez pas nécessairement voulu le dire, mais vous avez blessé des gens. Alors que faites-vous ? Que faites vous, chacun d’entre vous, quand vous avez blessé quelqu’un d’autre – en incluant le massacre, la torture, ce genre de choses - quand vous avez vraiment fait mal à quelqu’un ? (quelqu’un dit, « vous vous sentez coupable ")

Culpabilité. Vous vous fermez. Vous vous retirez. Vous battez en retraite et vous dites, « plus jamais… » Oh, ne détestez-vous pas cela - jamais ? « Je ne serai plus jamais en position de blesser quelqu’un, » parce que vous avez eu, et vous avez toujours, certains pouvoirs, des talents magnifiques qui sont inexprimés en ce moment, parce que vous les associez au fait de blesser les autres.

Et je ne vous blâme pas de ne pas vouloir blesser les autres. D’une manière - désolé Peter – ‘une manière théorique et philosophique, vous ne pouvez pas blesser les autres. D’une autre manière très nouvelle énergie – excusez-moi Bonnie - d’une autre manière très nouvelle énergie, même si vous essayez tout de suite de blesser les autres, vous ne le pourriez pas. Vous ne pourriez pas. Même si vous essayez - faites un choix conscient, c’est trèsdésagréable - vous ne pouvez pas blesser quelqu’un d’autre maintenant. Votre conscience, votre connexion avec votre propre esprit ne permettra pas cela.

Sachant cela, sachant que vous ne pouvez pas blesser les autres, cela ne vous donnerez pas plus confiance ? Ne pourrions-nous pas monter cela jusqu’environ sept ?

KAREN : Bien sûr. Oui.

ADAMUS : Absolument. Absolument. Vous avez tellement de talents, je sais qui vous êtes. Nous avons travaillé ensemble. Je sais ce que vous pouvez faire en tant que leader et en tant que personne créatrice. Mais vous vous êtes retirée. Vous ne pouvez blesser quiconque maintenant.

Je sais que peut-être cela défie certains - quelques personnes qui écoutent. « Que voulez-vous dire par Je ne peux pas ? Je peux sortir par la porte tout de suite, saisir un couteau et me déchainer dans un centre commercial. » Non vous ne pouvez pas. Non vous ne pouvez pas. Peut-être que d’autres le peuvent, mais vous ne le pouvez pas. Pas à cause des systèmes de croyance, pas parce que vous avez une grande morale. Mais parce que vous avez une conscience maintenant qui ne.le permettrait pas.

Au suivant. Niveau de confiance. Oui, où êtes-vous pour le moment ?

PAUL : Probablement sept, huit.

ADAMUS : Sept, huit. C’est assez bas. Comparé à où vous pourriez être. Comparé à la joie que vous pourriez avoir. Qu’est ce qui vous arrête ?

PAUL : ça monte ou ça baisse selon comment je suis confiant.

ADAMUS : Oui.

PAUL : Et donc je suis prêt à entendre n’importe quel étalonnage, n’importe quelle autre contribution quand je ne suis pas certain.

ADAMUS : Qu’est ce qui vous empêche d’aller au 10. C’est si évident. Tout le monde le sait.

PAUL : Le micro. (beaucoup de rires et quelques applaudissements) ADAMUS : C’est bien.

PAUL : Je veux une récompense d’Adamus.

ADAMUS : Vous l’avez. Vous l’avez. Tous ceux qui ont eu le micro ont une récompense. Mais poursuivons. Oui. Oui, mes compliments.

Ainsi vous êtes à sept, huit. Qu’est qu’il y a entre vous et le 10 ? Parce qu’en fait tout le monde devrait être à un 10 absolu. Et je ne vais pas être heureux jusqu’à ce que vous soyez à 10.

PAUL : Je ne sens pas que j’ai le savoir complet à cet instant.

ADAMUS : Dire le encore. Levez-vous. Levez-vous. Allez-y. (rires parce que Adamus marche vers Paul, qui lui s’éloigne d’Adamus). Allez-y. Ne vous inquiétez pas. J’ai dit que vous ne blesseriez pas les autres. Vous ne sortirez pas de couteau. Moi je le peux ! (Adamus le gifle, l’assistance est très surprise et rit) mais je veux encore entendre ce que vous avez dit. Allez-y. Vous n’avez pas de complète…

PAUL : Connaissance, conscience dans la conscience physique.

ADAMUS : Là vous y allez. Vous pouvez abandonner le micro. C’est ce qui vous garde du 10 - un niveau de confiance de 10 avec vous-même. Désolé pour la claque. Elle vous guérira.

Vous voulez le savoir. Vous voulez l’intellectualiser. Vous voulez comprendre, et si vous ne pouvez pas, si ça ne passe pas par un processus, si cela ne fait pas sens, si ça n’a pas de sens, vous ne le faites pas. Et c’est ce qui vous retient du 10. Ce - oh, c’est ce qui me fait continuer - ce saut de la confiance qui va au-delà du mental, qui va profondément dans le coeur et dans le ressenti, « je m’en fiche, je n’ai pas à le savoir. Je n’ai pas à le transformer. Je ne dois pas devenir mental. Je condamne l’analyse, je vais juste le vivre. » C’est ce qui vous éloigne du 10. Autrement tout est bon.

PAUL : Alors sortir du mental ?

ADAMUS : Duh ! ! (rires) je veux dire oui ! Oui. Je n’essaye pas de vous embarrasser, mais absolument, sortir du mental. Cesser d’essayer de comprendre. Vous le faites bien parfois, vous laissez l’énergie du mental s’en aller. Vous avez un mental étonnant, mais s’il y avait quelque chose au delà du mental ? Et s’il y avait quelque chose… ici, je vais m’adresser à votre mental. Mental, et s’il y avait quelque chose même meilleur, plus grand, plus intelligent, qui n’a pas besoin de connections chimiques et électriques pour se représenter les choses ? Et s’il y avait quelque chose de si grand que c’est déjà là ? Que pensez-vous de cela ?

PAUL : Je ne doute pas de ça mais je n’ai pas encore l’accès à la connaissance vers le degré où je veux aller au delà du huit. Uh-oh.

LINDA : Dois-je lui reprendre son prix ? (rire)

ADAMUS : Non, non, non. C’est bien. C’est bien. (rires) C’est bien. Si j’avais… s’il y avait une piscine ici maintenant, et si j’avais un corps de channeler,un peu plus grand si j’avais choisi un channeler un peu plus fort, je vous prendrais, je lutterais avec vous dans l’eau, je mettrais et maintiendrais votre tête sous l’eau jusqu’à ce que vous soyez au bord de la mort - je suis ce genre de type ! - jusqu’à ce que vous vouliez tellement reprendre votre souffle que vous donneriez n’importe quoi pour ça. N’importe quoi. N’importe quoi. Et alors je tirerais votre tête hors de l’eau et je vous ranimerais et maintenant je dis, si vous voulez vous connaitre et être vous-même aussi fort que ça, si vous voulez aller au delà du mental aussi fort que ça, si vous avez un désir aussi fort que ça, alors vous y arriverez. En d’autres termes, vous ne le voulez pas assez.

PAUL : Je peux sentir cela.

ADAMUS : Yah ! Alors, bien, merci. Bon dialogue. Et c’est vraiment très simple. Il faut juste faire ce saut que vous n’avez pas fait. … Je vais le dire d’une façon différente. Rien de ceci ne fait sens et ne le fera jamais. Vous ne satisferez jamais votre intellect humain. Vous ne satisferez jamais votre mental sur ce qui se passe sur terre, jamais. Vous ne pouvez jamais donner du sens à ceci. Cela étant donné, arrêter d’essayer. Arrêtez d’essayer.

La vie véritable - vous n’avez pas besoin de lui donner un sens. C’est dans le moment. C’est spontané. Cela vient de l’intuition. Cela vient de gnost. Et votre mental - votre mental, monsieur – hurle et dit : « laissez-moi sortir d’ici. Libérez-moi de ce fardeau à devoir être si intelligent, devant tout comprendre. Libérez-moi de mes limitations que je, » (chaque partie de vous), « que je puisse m’expanser et grandir, que je puisse me déployer. » Et le mental le veut. C’est ça le truc. Vous n’avez pas à combattre le mental, car il le veut. Mais vous êtes si programmés, si hypnotisés - vous tous - à penser que vous devez comprendre. Et vous n’avez pas à comprendre. Alors laissez aller. Amusez-vous. Appréciez.

PAUL : Merci.

ADAMUS : Vous pariez. Absolument. Et je vais vous donner un super prix d’Adamus ici. (Linda pousse un cri pendant qu’il prend l’argent de la poche de Cauldre ; rires pendant qu’elle essaye de le lui prendre). Maintenant ne touchez pas le channeler ! Ne pas toucher… ceci est un jeu. C’est un jeu. J’ai le choix ici entre un billet d’un dollar de Cauldre et un billet presque craquant de cent dollars. Que choisissez-vous ? (pause alors qu’il les tient devant Paul) Est-ce si difficile ? ! (Beaucoup de rires)

LINDA : Ouais, parce qu’il sait que je regarde !

PAUL : Je n’ai pas peur. Ouais. Le Franklin. (le billet de 100$)

ADAMUS : Il est à vous. Merci. (applaudissements de l’assistance) Toujours, toujours contrôler les poches de Cauldre avant de faire une session. Donc,… Et c’est bien. En fait… en fait, vous avez cent dollars, Cauldre avait environ mille dollars, et moi je suis éternellement riche de toute façon donc je n’en ai pas besoin.

PAUL : Quand vous voulez ! (rire)

ADAMUS : Absolument ! Et Shaumbra, cela devrait…

LINDA : Donnez-moi maintenant le reste qu’il y a dans votre poche. (rires)

ADAMUS : Cauldre tombe dans un léger doute maintenant. Il y a deux dollars. Et… et, d’ailleurs, Shaumbra, ce n’est qu’un morceau de papier ! Il a eu qu’un morceau de papier et tout le monde est excité. Ce n’est qu’un morceau de papier. Mais il y a beaucoup d’énergie dedans.

Maintenant, en fait, je voudrais que vous alliez au delà du mental et que vous transformiez ce billet en quelque chose de plus grand. Comment faites-vous cela ? En tenant les cent dollars – en les tenant – en les regardant fixement et en essayant de le transformer en un billet de mille dollars. Non ! Vous le faites par - nous allons faire un exercice plus tard, vous utiliserons cela, svp, pour l’exercice que nous ferons plus tard - vous le mettez dans votre poche et vous le laissez aller. Oui, Bien. Excellent. Bien.

Encore quelques uns. Votre niveau de confiance en vous-même. Levez-vous, s’il vous plait. C’est plus difficile comme ça, n’est-ce pas ?

AVRIL : Oui.

ADAMUS : Oh !

AVRIL : Je dirais huit.

ADAMUS : Huit. C’est bien. C’est bien. Et qu’est ce qui vous garde éloignée de…

AVRIL : Un billet de cent dollars ! (beaucoup de rires)

ADAMUS : Vous savez où il est ! Ouais. Qu’est-ce qui vous tient éloignée du 10 ?. Vous êtes très près. Qu’est ce qui pourrait vous éloigner ?

AVRIL : Je pense que c’est la peur… la peur d’y arriver et la peur de ne pas y arriver. Les deux. Les deux.

ADAMUS : Absolument. Absolument, et c’est très sage, et si j’avais plus d’argent, je… voyons voir si j’ai quelque chose ayant de la valeur.…

LINDA : N’y pensez même pas. (rires)

ADAMUS : Mais oui, c’est une situation difficile intéressante. Vous pouvez vous assoir. Situation difficile intéressante. C’est comme si vous étiez très près, vous êtes à huit ou en particulier à ce niveau neuf et vous dites : « bien, et si je reliais les points ? Et si j’allais à l’endroit de la confiance complète en moi ? Qu’est ce qu’il se passerait alors ? » Aandrah ?

LINDA : Attendez, attendez, attendez, je viens avec le micro. Courir, courir, courir, courir.

ADAMUS : Ils ont touché cet endroit de confiance absolue, alors pourquoi arrêtent-ils ?

AANDRAH : La peur qui a été si familière depuis si longtemps.

ADAMUS : La familiarité.

AANDRAH : Oui.

ADAMUS : Et avec elle, le jeu.

AANDRAH : Oui.

ADAMUS : Le jeu. Et que se passe t-il ? Une partie de vous dit, « bien, si la vieille familiarité n’est là plus et que le jeu s’en va, je n’aurai rien à faire. » Mais si.

AANDRAH : Oui.

ADAMUS : Vous aurez quelque chose à faire. C’est juste… c’est un peu une sorte d’état de rêve, un jeu qui est joué avec le soi. Quand vous arrivez à la complète confiance, vous arrêtez le jeu. Et une partie de vous dit, « bien d’accord, si je n’ai pas de jeux à jouer, pourquoi devrais je rester ici ? » C’est un nouveau jeu, et ce n’est pas un jeu de la dualité. C’est une joie nouvelle d’être ici sur terre dans un corps physique sans souffrance, sans douleurs, sans tous les autres problèmes. Ainsi, Bien. Un de plus.

LINDA : Ok. Un de plus.

ADAMUS : Et choisissez le bon. Ne faites pas le mauvais choix ici. (rires)

LINDA : Bien, j’ai vos bijoux, ainsi nous sommes tous en sureté.

ADAMUS : Vous ne pouvez pas faire de mauvais choix. Alors, quel est votre niveau de confiance en vous ?

PETIT RENARD : Pour une raison instantanément c’est monté de 2 ou 3 crans. (rires) je dirais que ça bouge entre sept et huit.

ADAMUS : Sept, huit. Ok. Et qu’y a-t-il dans l’intervalle ?

PETIT RENARD : Oh, oublier que c’est un voyage, s’amuser, ne pas être sérieux et penser à cela, spécialement en ce moment avec ces nouveaux potentiels qui apparaissent pour moi, me sentant en sécurité. ADAMUS : Ouais. Maintenant puis-je vous donner ma réponse ?

PETIT RENARD : Bien sûr.

ADAMUS : A.P.

PETIT RENARD : A.P.

ADAMUS : A.P. – Les autres personnes. Pas les personnes âgées P.A. Les autres personnes. Regardez, vous faites tout ce travail pour les autres personnes. C’est votre passion. C’est votre vie. C’est la justification pour que vous restiez ici, mon bon monsieur. « Je fais ceci pour les autres, » avec d’autres variations c’est « j’ai des enfants. Je… » Voici mon préféré. « J’ai des parents qui sont malades, et donc je ne peux pas prendre de temps pour moi, parce que je prends soin d’eux. » Makyo. Alors A.P. Vous le faites pour tous les autres. Vous devez être ici pour guider toutes ces malheureuses personnes pendant leur éveil. Vous devez être ici pour prendre soin de vos enfants, parce que sans vous, évidemment, elles s’écrouleraient, parce que, bien, peut-être qu’elles ne sont pas aussi divines. Évidemment, vous devez prendre soin de d’autres. Donc, A.P. Bien. Merci.

LINDA : Un dernier ?

ADAMUS : C’est votre choix.

LINDA : Je pense que ce serait bien d’entendre la jeune MACKENZIE.

ADAMUS : C’est votre choix. Mais je n’ai aucune remarque désinvolte à faire à quelqu’un d’autre. Allez-y.

MACKENZIE : Dois-je me lever ?

LINDA : Juste à temps.

ADAMUS : Oui, vous devez vous lever.

LINDA : Bienvenue, Mackenzie.

MACKENZIE : Merci.

ADAMUS : Echelle de un à 10.

MACKENZIE : Honnêtement, je dois dire que cette question…

ADAMUS : Non, je veux que vous mentiez. (rires)

MACKENZIE : Bien, je peux faire ça aussi.

ADAMUS : Non, allons-y pour l’honnêteté.

MACKENZIE : Cette question me met dans la confusion.

ADAMUS : Vraiment.

MACKENZIE : Vous pourriez dire que je suis un 10 ou un zéro, parce que je suis moi.

ADAMUS : Vrai.

MACKENZIE : Et si je ne me fais pas confiance, comment est ce que je peux être moi ?

ADAMUS : Vrai.

MACKENZIE : Donc dans mon mental, la confiance n’est pas très pertinente, parce qu’il n’y a pas d’autre manière d’être soi-même. Vous êtes vous-même ou vous essayez de ne pas l’être.

ADAMUS : Oui. Et qui connaissez-vous qui est vraiment lui même ?

MACKENZIE : Personne.

ADAMUS : Qui pourrait être votre standard ?

MACKENZIE : Ummm, désolée. (elle regarde sur le côté)

ADAMUS : Ne regardez pas dans cette pièce. (rires)

MACKENZIE : Je sais ! Je sais ! J’ai vu l’écran et elle était là-bas et j’ai regardé là-bas ! (rires)

ADAMUS : Et philosophiquement je suis d’accord. Pratiquement, j’ai un peu de mal. Vous avez absolument raison, mais qui connaissez-vous qui est vraiment le… qui est l’exemple du Je Suis ou le vrai moi ?

MACKENZIE : Personne.

ADAMUS : Personne.

MACKENZIE : Non. Tout le monde suit des règles. Ils essaient et sont convenables avec la société. Le plus souvent ils essayent et pensent à ce que les autres personnes… comment les autres personnes leur répondraient…

ADAMUS : Oui.

MACKENZIE : … et ce qu’elles devraient faire pour eux. Et à la fin cela finit que personne purement n’est vrai envers eux-mêmes, parce que tout le reste continue. Comme mon professeur qui disait l’autre jour combien notre génération est tellement accablée avec toute cette information qui est partout, cela est difficile d’être juste purement une chose. Alors…

ADAMUS : Vrai. Bien. Merci. Et, mais laissez-moi vous demander, mis à part tout ceci, que ressentez vous en ce moment, sur une échelle de un à 10 ? Je sais que je suis un peu futile en demandant ceci, mais…

LINDA : Elle a 13 ans et elle est avec une foule d’adultes.

ADAMUS : Elle l’a fait étonnamment bien.

MACKENZIE : Treize ans ? ! J’ai seize ans !

LINDA : Quinze, au sein d’une foule d’adultes.

MACKENZIE : Six. Seize.

ADAMUS : Maintenant, quel est votre niveau de confiance après cette folie ? !

LINDA : Seize.

ADAMUS : Maintenant, votre niveau de confiance.

MACKENZIE : UM, je suppose vous pourriez dire que je suis à 10, parce que je suis moi et c’est juste qui je suis.

ADAMUS : Ok. Bien

MACKENZIE : Même avec les autres trucs.

ADAMUS : Bien. Excellent. Merci.

LINDA : Merci d’être si hardie.

ADAMUS : Ainsi, chers Shaumbra, nous en avons parlé l’autre nuit lors de notre programme radio. Nous avons parlé de cette question de confiance, et il est très, très important de comprendre où vous êtes. Vous n’avez pas besoin de lui assigner un nombre, mais vous faites vous vraiment confiance implicitement ? Faites-vous confiance à votre corps ? Faites-vous confiance à vos choix ? Faites-vous confiance à vos décisions ? Faites-vous confiance… faites-vous confiance à l’Esprit ? Faites-vous confiance à la vie ? Faites-vous confiance à la vie, en ce monde rempli de chaos ? Vous faites-vous absolument confiance, êtes vous dans l’abandon ? Vous levez-vous devant un groupe et chantez vous ? Faites vous des choses extravagantes ? Faites vous confiance à la réalité de toute cette partie de votre voyage dans lequel vous êtes, voyage appelé éveil spirituel et illumination ? Ou est ce juste un machin de plus.

Ainsi j’évoque ce point et je pousse un peu là-dessus pour le contrarier - où en êtes vous avec la confiance en vous-même - parce qu’il va être difficile d’avancer ou, disons, de prendre beaucoup plus d’expansion si vous ne comprenez pas au moins votre niveau de confiance. Maintenant cela ne concerne pas le fait de vous faire à 100% confiance, mais il s’agit de comprendre pourquoi vous ne faites pas confiance à certaines parties de vous-même.

Nous en avons parlé l’autre nuit … bien, laissez moi vous donner un exemple. Disons que vous vous levez demain matin, que vous avez la nausée, vous êtes très malade, suant, transpirant, vomissant. Quelle est la première chose que vous faites ? Courir aux toilettes, j’espère. (quelques rires) en second lieu : « qu’est ce que j’ai fait de mal ? Qu’est ce que j’ai mangé de mauvais ? » Click, click, click, click, par le mental, évaluant tout. Après, « qu’est ce que l’esprit a essayé de me dire ? » Après, « peut-être que mon corps est plus puissant que mon âme, parce que regarde moi, je suis malade ».

Maintenant, vous négociez. Vous avez beaucoup de libération aux toilettes. Vous vous sentez toujours aussi mal, et vous décidez de vous asseoir devant votre ordinateur et de travailler un peu. Le téléphone sonne et vous sursautez parce que vous ne vous sentez pas si bien, vous faites tomber votre ordinateur, de la fumée sort et votre ordinateur brûle. « Oh non, ça va être un de ces mauvais jours, » vous vous dites. « Pourquoi n’ai-je plus d’énergie ? Qu’est ce que j’ai fait de mal ? Pourquoi ça arrive à moi ? Est-ce que je suis attaqué par des spectres ? Des extraterrestres ? Il y a peut-être une mauvaise et menaçante énergie quelque part dans la maison. Je sais que j’aurais dû appeler quelqu’un pour faire du feng shui afin d’enlever cette mauvaise énergie, et maintenant ils prennent le pouvoir. »

Alors vous négociez. Vous avez éteint le feu. Vous réalisez que vous êtes sans ordinateur. Alors vous décidez de sauter dans votre voiture - et vous savez ce qui va se passer ensuite - pour aller au magasin d’informatique. Et tandis que vous conduisez, en pensant à cette si mauvaise journée, un accident de voiture. Personne n’est blessé, mais maintenant votre voiture fume - elle est un peu comme votre ordinateur avec des roues. Elle est bousillée. Elle est bousillée, et vous dites, « qu’est ce que j’ai fait de mal ? »

Maintenant, étant donné tout ceci… oh, et d’ailleurs, tandis que vous êtes debout à attendre la police pour un constat, vous réalisez que vous n’avez pas votre permis de conduire ni votre carte grise. Vous les avez laissés à la maison, vous avez maintenant sorti votre portefeuille, vous y jetez un coup d’oeil quand quelqu’un marche le long de la route, le vole et descend la rue en courant.

Maintenant, « J’aurai dû rester dans mon lit. » Non. Mauvaise réponse. Question - pouvez-vous être dans un espace d’une telle confiance que vous savez que tout est absolument parfait ? Et pouvez vous en fait éclater de rire, « ha, ha, ha. Je sais que j’ai créé ça. Dieu ne l’a pas créé. Adamus, hmm, non, il ne l’a pas créé. (rires) les mauvais esprit ne l’ont pas créé. Je l’ai créé. » Pouvez vous être à ce niveau de confiance et dire, « chouette, c’est amusant ! » Ou au moins, « je sais que cela va évoluer à partir de maintenant. » C’est cela la confiance. C’est la confiance. Je pourrais entrer dans d’autres scénarios en attendant que la police vienne… oh, je n’irai pas là. Maintenant qu’est ce que la confiance. Tous les jours nous avons - nous, le Conseil Cramoisi – nous avons des milliers de plaintes de la part des Shaumbra du monde entier. « Pourquoi cela arrive t-il ? » Bien, la réponse que nous donnons c’est parce que vous l’avez créé. « Pourquoi ces choses se produisent-elles dans ma vie ? Ah, ça doit être parce que maintenant je dois sortir et prendre des cours de cristal, et j’ai besoin, vous savez, de prendre, oh, des vitamines, et… » Vous devenez tous coincés.

Et si vous aviez un tel niveau de confiance que vous sauriez implicitement que c’est la perfection ? Et si toutes ces choses qui vous sont arrivées aujourd’hui… et si lorsque vous appelez maintenant un taxi pour vous ramener à la maison, vous rencontriez quelqu’un - peut-être le chauffeur de taxi, peut-être quelqu’un d’autre – rencontriez quelqu’un qui vous amène plein de cadeaux dans votre vie ; peut-être de l’argent, peut-être l’amour, l’amitié, des enseignements, ou autre chose. Peut-être que toutes ces choses qui se sont produitesfaisaient partie de votre préparation et ce que vous appelleriez votre âme, que… votre âme n’attache vraiment pas d’importance à toutes ces choses humaines secondaires. Elle veut être avec vous, et vous l’avez appelée pour ça. Et quand vous l’avez fait, cela a provoqué une dynamique qui ne peut pas être arrêtée, et c’est en train de se produire.

Remerciez dieu pour la sagesse de votre âme qui va… maintenant, votre âme n’a pas créé ces accidents, mais c’était une énergie entre vous et votre divin, une énergie qui est sortie et qui a ramené les expériences manifestées pour rendre tout ça possible, et continuera à apporter ces expériences. L’âme ne s’inquiète pas vraiment si votre voiture est claquée, parce qu’il y a d’autres voitures. Elle ne s’inquiète pas de votre ordinateur, parce qu’il était temps d’arrêter de toute façon. Il était temps d’en avoir un neuf, parce qu’il y a des choses que vous ne faisiez pas que vous pourriez faire avec un nouvel ordinateur. Elle ne s’inquiète pas que vous vomissiez vos tripes le matin parce que cela libère les toxines de votre corps qui ont été bloquées depuis longtemps. Elle ne s’inquiète d’aucune de ces choses, parce qu’elle - vous - vous avez une compréhension et une sagesse plus profondes.

Maintenant, qu’est ce qu’il y a sur le chemin ? Cet aspect humanoide. Cet aspect humain qui n’aime pas le changement, celui qui ne veut pas avancer. Cet aspect humain qui ne croit pas à son propre Moi. Il n’y croit vraiment pas, parce que l’aspect humain n’est pas réel. Il a été fabriqué. C’est un numéro, une comédie et il ne croit vraiment pas en lui, car il sait que c’est de la comédie, mais malheureusement vous ne savez pas que c’est de la comédie - encore.

Toutes ces choses qui arrivent – vous casser une jambe, perdre votre travail, ou quoi que ce soit. Et si vous aviez une confiance absolue ? Et si vous aviez un grand sourire et que vous disiez, « ma propre guidance pour moi même c’est de permettre à ces choses d’arriver pour me sortir de ce truc, » ou quoi que ce soit, « pour faire avancer les choses, pour continuer à m’expanser. »

La question est, pouvez-vous avoir ce niveau de confiance ? C’en est une grande. Pouvez-vous avoir ce niveau de confiance quand une vague d’inquiétude vient sur vous, comme elle l’a fait récemment, et dire : « tout est dans un ordre parfait dans ma vie » - dans votre vie. Si vous ratez un avion, si vous glissez sur la glace, que vous tombiez et que vous vous cassiez le dos, pouvez-vous avoir ce niveau de confiance ? Le pouvez-vous ?

Maintenant, une chose intéressante se produit. Je vais vous donner la fin de l’histoire. Quand vous faites, quand vous choisissez cela, alors vous n’avez pas besoin que toutes ces choses se produisent, parce que vous êtes déjà décoincés. Une partie de vous a peur, « oh mon dieu, si j’entre dans la confiance, je vais perdre mon travail, mon compagnon va s’éloigner de moi, mon chien va mourir, et oh mon dieu, regardez toutes ces choses. » C’est seulement parce que vous n’êtes pas à 10, parce que vous êtes à deux ou à huit ou à sept.

Les nombres n’importent pas. Si vous avez le moindre degré de doute, que vous soyez à 1 ou à 9.9, c’est la même chose. C’est la même chose. Donc, ça n’a pas d’importance si quelqu’un dit : « je suis à deux. » C’est pareil que 9.999. Vous ne faites pas confiance. Vous ne faites pas confiance.

C’est un point très important. Oh, prenez une respiration profonde. Je peux… oh, Vous êtes déjà tellement dans la tête avec ce que je dis. Oh ! Vous êtes comme, « bien, comment puis-je avoir confiance en moi ? » Faites un choix et prenez une respiration profonde. C’est tout. Et chaque fois… oh, vient ici la conclusion. La semaine prochaine ou alors - 10 jours, semaine à 10 jours - vous aurez une expérience se rapportant à maintenant au sujet de la confiance en soi.

Quelque chose va se produire - et je n’ai pas dit quoi, j’ai juste dit quelque chose - et cela va déclencher, va vous rappeler la discussion que nous avons ici. Et cela vous donnera une occasion de faire un choix très conscient. Est-ce que « je me fais confiance ? Ou est ce que j’entre dans le drame, j’entre dans le questionnement, j’entre dans le sentiment que je ne suis vraiment pas digne ? » Vous aurez une expérience. Ecrivez là après. Écrivez une petite histoire courte à son sujet. Cela vous aide à ancrer cette énergie, et cela pourrait également être bien pour le prochain livre que nous ferons ensemble.

Ahmyo

Cela va bien être un jour Zen aujourd’hui, et je vous remercie Robert pour le costume que vous portez. Est-ce que cela vous dérangerez de vous lever avec le châle ? Joli look zen aujourd’hui. (Robert se lève). Oui, look de moine zen, oui. (quelques applaudissements)

Il y a un mot - Zen-ish sorte de mot - pour la confiance absolue en soi. Ahmyo. Ahmyo. Pouvez-vous le dire ? (l’assistance et l’Adamus le disent ensemble, « Ahmyo ") dans les autres royaumes, ce n’est pas vraiment un mot. C’est un peu une vibration. Ahhh-mmmm-yoooo. cela résonne un peu. Faisons-le. Ahhhhh-mmmm-yoooo.

Confiance absolue - pas dans le monde, pas dans le monde extérieur, pas dans les autres personnes, pas dans les déités, les entités ou toute autre chose, pas dans les étrangers - mais en vous-même. Ahmyo. « Ahmyo. Je suis ce que je suis. Je sais que quoi qu’il se passe dans ma vie, je le crée absolument pour mon plus grand bien. Pas pour une punition, pas pour une » - je ne peux pas jurer, mais - « pas pour une leçon, pas parce que je suis mauvais. Je la crée en fait pour mon plus grand bien. »

Au moment où vous arrivez à ce point, vous ouvrez les potentiels qui vous étaient précédemment inconnus. A ce moment vous pouvez être dans cet espace d’Ahmyo, la confiance absolue - « je crée ma propre vie ; Je ne m’inquiète pas à quoi peuvent ressembler les circonstances extérieures, je continue à créer ma vie » - c’est ça ahmyo. C’est la confiance inconditionnelle en soi qui exclut le mental. Ahmyo. Quand vous êtes à ce point - qui que vous soyez, vous n’avez qu’à le reconnaitre - alors les choses peuvent vraiment commencer à bouger. Alors nous commençons à nous amuser, ce que nous ferons dans un moment. Ahmyo.

Ahmyo est pur, absolument pur, le soi pur, en fait, une sorte de réalisation du Je Suis. Ahmyo, où vous cessez de douter de tout ce qui se produit, vous cessez d’essayer de l’analyser. « Tout est créé par moi pour » - qu’importe comment vous l’appelez - « un plus grand bien, pour ma propre expansion ou pour ma joie de la vie. Chaque petite chose. » Ce niveau de confiance en soi c’est ce dont tous les maîtres ascensionnés ont aspiré, ou ont expérimenté, je devrais dire, dans leur dernière vie sur terre. Ce - ahmyo - est, ce que vous pourriez dire, est la dernière et peut-être l’étape la plus joyeuse.

Imaginez un moment, imaginez, fermez vos yeux si vous le choisissez, mais imaginez ce que c’est que d’avoir une confiance inconditionnelle absolue en vous-même. Ahmyo. Cela inclut faire confiance à votre corps. Oui, même s’il tombe malade ou s’il a mal, pouvez-vous lui faire confiance ? Ahmyo. N’importe ce qu’il se passe, vous l’avez créé pour l’amour du soi. Ce qu’il se passe quand vous commencez vraiment à avoir la compréhension consciente d’ahmyo, vous cesser de vous inquiéter au sujet des choses. Vous cessez de vous inquiéter de ce qui vient ensuite, vous voyez, parce que vous réalisez que ce qui vient après est absolument parfait. Et quand vous êtes dans l’état d’ahmyo, cela ouvre tous les potentiels d’une maladie - qui n’est vraiment pas une maladie ; c’est juste un signal clair. Cela ouvre le potentiel de choses comme le manque d’abondance sur lequel vous vous étiez focalisés - le manque - très longtemps. Soudain, lorsque vous dites, « j’ai créé ça, » cela s’expanse à l’extérieur, et ouvre le véritable potentiel le plus élevé. Vous n’avez plus alors à expérimenter de saloperies dans votre vie. Vous n’amenez pas ces derniers, ce que vous appelez, de mauvais scénarios, parce qu’il n’y a désormais plus besoin d’eux. Votre, ce que vous appelleriez, votre âme a maintenant votre attention, et elle demandait juste à vous faire confiance, pour faire confiance en vous même. Ainsi quelle serait l’antithèse de l’ahmyo ? Makyo ! (rires) absolument. Makyo.

Maintenant, pour ceux d’entre vous qui ne savent pas ce que c’est, je dirais que le mot pour makyo c’est… cela signifie faux, illusoire, distraction, et aussi ce que je – puis je dire le mot ? Je dois écrire le mot, parce que j’ai été invité à ne pas dire connerie devant un groupe. (rires ; il écrit « connerie »). Nous y voilà, la version espagnole, connerie, oui. (rires. No hablo inglés. Je ne parle pas anglais).

Ainsi l’opposé de ahmyo, qui est pureté, confiance, aucune inhibition et vérité, est d’une certaine manière l’opposé de makyo. Maintenant le makyo rentre, j’associe généralement le mot à la distraction spirituelle ou à la C. spirituelle, et cela arrive. Cela arrive à tous ceux que j’ai jamais connu qui sont sur le chemin spirituel, y compris Bouddha – il y a beaucoup de makyo là - comprenant certains des grands leaders spirituels de tous les temps, comprenant chaque Maître Ascensionné que j’ai jamais connu. Ils arrivent à ce point de makyo lors du voyage. Cela arrive près de la fin de la réalisation du soi, et ils commencent à se polluer avec beaucoup de merde – connerie spirituelle, rhétorique, dogmatisme, trucs organisationnels et structurels. Et c’est pourquoi - j’irrite parfois les gens - mais je dis libérez vous de l’astrologie. Maintenant, j’aime l’astrologie, mais pas quand c’est une addiction. J’aime les cristaux quand ils ornent mes mains et mon corps…

LINDA : Bienvenue à mon club.

ADAMUS : … en tant que bijoux. Vous savez, j’aime le Tarot, quand il est fait de manière juste, quand il est puissant. Mais toutes ces choses, incluant – terrain sacré ici - incluant Shaumbra peuvent être makyo. Toutes ces choses deviennent des distractions. Elles sont fausses. Elles sont installées pour deux ou trois raisons. Un, pour remplir le vide, parce que quand vous arrivez à cette partie du processus d’éveil, soudain vous percevez devant un grand vide, un grand néant. En d’autres termes, vous ne pouvez pas voir plus loin que la libération de tous les jeux humains, et cela semble vide devant vous. Et vous avez mis tellement souvent le makyo sur le chemin, vous avez mis beaucoup de distractions sur le chemin pour remplir le vide.

Maintenant, sachez qu’il n’y a aucun vide dans toute de la création. Cela ne peut pas être. Dans cette dimension, dans n’importe quelle autre dimension, il n’y a pas de vide. Il n’y a pas vide. Débarrassez-vous de cette croyance qu’il y a des vides. Il ne peut pas en avoir, parce que c’est la création. Cela ne se peut pas. Ainsi vous chargez votre futur ou ce vide à venir avec un bouquet de merde, un jeu.

Le makyo est souvent mis là, parce qu’il y a une résistance à finir le jeu, alors ce sont plus des morceaux de jeux ou des jouets qui sont mis là. Makyo est également mis là - toute cette distraction et tout le reste - parce que vous ne voulez pas faire face à la vraie question qui est devant vous en ce moment, et qui est ahmyo. La Confiance.

J’ai vu des humains spirituels sages, extraordinaires, lumineux très évolués sur leur chemin, comme vous diriez, qui étaient prêts à prendre cette étape finale dans ce que vous appelleriez le statut d’ascension et soudain ils sont allés dans makyo. Soudain, ils sont allés dans la fausseté au dernier moment. Ils devaient remplir avec quelque chose. Ils ont littéralement eu peur de passer à cette étape - 100 % de confiance en soi. Ils peuvent avoir 99.9, mais il y a eu la crainte de traverser la ligne. Il y a toujours une retenue. « Je peux me faire entièrement confiance sauf pour… » et vous complétez les blancs. « sauf pour l’apparence que j’ai ; sauf pour mon intelligence, la façon dont les autres me voient. » C’est un grand piège pour les travailleurs spirituels, les leaders spirituels. Soudain, ils pensent qu’ils doivent se comporter d’une certaine manière devant les autres - sages, intelligents, baignés de lumière blanche et de bénédictions avec de sages déclarations. Pas du tout ! Pas du tout. En fait, les véritables enseignants et travailleurs spirituels sont de véritables humains, parce qu’ils n’en ont pas peur. Il n’en ont pas peur. Ceci est la confiance absolue.

Maintenant allons dans la partie pratique de notre discussion. Je ne veux pas prendre de temps sur les slides. (rires)

LINDA : Nous sommes davantage inquiets pour la nourriture.

ADAMUS : Nous continuerons à parler d’ahmyo – l’entière confiance - mais en attendant ce soir, demain, quand nous sortirons avec notre groupe pour une promenade dans le chaos, la trahison et un potentiel désastre, vous aurez l’occasion de regarder votre propre ahmyo. Vous faites-vous confiance, est-ce que c’est vrai, est ce que notre expérience de groupe va être réelle ? Ou sommes nous en train d’inventer ? Regardez, vous voyez ce niveau qui déclenche cette confiance ? « Et si nous ne faisions que l’inventer ? » (quelqu’un dit « ça n’a pas d’importance."). Bien, ça n’a pas d’importance. Absolument. Absolument, je n’ai pas d’autre billet de cent… mais vous avez une récompense d’Adamus juste pour cela. Ça n’a pas d’importance.

LINDA : Qui ?

ADAMUS : La belle dame dans le fond.

LINDA : Laquelle ?

ADAMUS : Celle qui lève la main.

LINDA : Ok.

ADAMUS : Vous savez, et quelques uns voudront faire une partie de bras de fer avec moi pour ça, dire que ça n’a pas d’importance. « Et si nous ne faisions que le l’inventer ? Et si ce n’était qu’une brillante distraction ? » Et je dis qu’en fait ça n’a pas d’importance. Ça n’en a vraiment pas. Exactement.

Alors prenons une respiration profonde avec cela. Ainsi vous allez avoir une occasion d’expérimenter makyo et ahmyo, les deux, ce soir et dans les 10 prochains jours. Et ce n’est pas une sorte de punition ou de leçon. C’est une expérience que vous vous donnez pour que vous puissiez vraiment commencer à le ressentir plutôt que d’y penser ; là où, Paul, où vous pouvez en fait entrer dans son coeur - ici, ici… (il prend le téléphone portable de Paul) non, je ne veux pas vos noisettes, je ne veux que votre téléphone, ok (rires), merci - où vous pouvez en fait rentrer dans le réel ressenti de cela. (plus de rire parce que Paul plaide en faveur de son téléphone et Adamus grimace) Tellement fracassé. Tellement fracassé.

Ainsi… (Adamus prend le téléphone) ça sonne ! Bonjour ? Tobias ? Est-ce que c’est vous ? (rires) oh, Kuthumi. Je te parlerai plus tard. Je sais que c’est important, mais pour le moment j’ai un groupe, nous parlons. Nous serons tous là plus tard. Ok, merci. Uh, namaste. (rires)

Infusion

Donc, bien, maintenant nous entrons dans l’application pratique. C’est là que c’est amusant. Tout le monde a un objet. Paul, les cent dollars seront votre objet. Tout le monde prend un objet de son sac. Cela peut être des bijoux, ça peut être de l’argent, ça peut être l’un de ces foutus téléphones portables, ça peut être n’importe quoi. Un stylo, oui. Oui, oui. Quelque chose qui est à vous, pas quelque chose qui appartient à quelqu’un d’autre. Cela peut être des clefs, ça peut être de l’argent.

(À Linda) Et qu’est ce qui est à vous ?

LINDA : Vos bijoux.

ADAMUS : Non, mais ce sont mes bijoux. Ils doivent être à vous.

LINDA : Oh.

ADAMUS : ça doit être quelque chose qui est à vous.

LINDA : Est-ce que je ne peux pas le réclamer ?

ADAMUS : Quelque chose. Vous avez une belle bague aujourd’hui.

LINDA : Ok.

ADAMUS : Une belle bague. Vous voulez plus de bijoux ?

LINDA : Ouais !

ADAMUS : Alors allons y. (rire)

Maintenant, nous allons commencer et nous continuerons un processus que je vais appeler infusion. J’emprunte un peu à Aandrah ici. Ils font un cours sur la fusion d’âme. Fusion d’âme. Ce qu’il se passe en ce moment est que - et je suis frustré avec le manque …les mots ne peuvent pas toujours le définir - mais votre âme, votre humanité et vos aspects sont tous intégrés ensemble. Ils sont fusionnés. Ils n’ont jamais en fait vraiment été séparés. C’est une illusion. Mais vous avez créé une très forte illusion de séparation avec le Dieu intérieur. Il est déjà là, pas quelque part à l’extérieur. Vous avez créé une très forte croyance et une illusion forte pour les aspects - parties fragmentées de vous-même – qui parfois reviennent de façon régulière pour l’intégration, mais qui sont souvent très fragmentés.

Donc c’est une grande illusion. Et ce qui se produit en ce moment est que – soutenez avec moi un moment - ce qu’il se passe maintenant c’est qu’ils fusionnent ensemble. (pause pendant qu’il se verse du café et prend un biscuit) ok. Avant que vous alliez vers eux j’ai dû en avoir un peu. Il n’y a jamais de restes.

Maintenant, l’âme et le soi fusionnent ensemble, tout revient dans son unité naturelle, maintenant il est temps également pour vous de commencer à prendre cette énorme et merveilleuse énergie de votre Divinité et de commencer à l’infuser dans les objets de votre vie. Infusez-la.

Deux ou trois rappels ici : Ne le faites pas avec les autres personnes. Faites le seulement avec les objets qui vous appartiennent, qui sont à vous. N’utilisez pas d’objets empruntés. N‘utilisez pas vos enfants. De préférence n’utilisez pas vos chiens pour ceci. Faites le avec des objets. Nous allons commencer à infuser l’énergie. Nous allons commencer à la mettre dans des articles tels que l’argent, les téléphones portables, votre voiture, votre ordinateur, tout ce qui est à vous.

Il y a une barrière artificielle entre vous et la réalité extérieure. Vous avez trouvé cette façon - cette façon très intelligente - de vous séparer de tout et de vous-même en même temps. Vous vous êtes séparés de cette planète, comme ça et vous êtes là bas, et nous avons la Mère Terre ici - Gaia - aujourd’hui. Cela vous dérange t-il de vous lever… oui, oui. Merci. Merci. (applaudissements de l’assistance car une femme habillée comme Gaia se lève)

Et, à cause de ça quelque chose comme - vous pourriez dire - une colère ou une résistance à être entièrement incorporée sur terre, vous vous êtes même séparés de vos objets dans votre vie. Il y a cette croyance que les choses matérielles vont vous maintenir emprisonnés ici. Elles ne le feront pas. En fait, elles vont vous aider à vous libérer.

Donc nous allons commencer à infuser… nous allons commencer à infuser votre énergie dans les choses de votre vie, et vous le faites très simplement. (il se tourne vers Linda)

LINDA : Quoi ?

ADAMUS : Je cherche…

LINDA : Quoi ?

ADAMUS : … un objet pour Cauldre. Je prendrai votre bague, pour la démonstration seulement. C’est très facile.

Maintenant, comprenez que vous êtes un être rayonnant, que vous le sachiez ou pas. Vous dégagez toujours des énergies. Certaines ont des caractéristiques électriques ou magnétiques ; certaines ont, ce que vous appelleriez, plus de lumière, vous savez, comme dans la lumière (il fait des gestes vers les lumières au plafond), caractéristique ; et certaines d’entre elles sont plus dans ce spectre de pures énergies spirituelles. Vous rayonnez constamment, mais vous le faites un peu inconsciemment sans beaucoup de focalisation.

Vous pouvez commencer à infuser votre énergie dans des objets sans attente de résultats. Vous n’essayez pas de transformer l’objet en autre chose ; littéralement vous vous partagez vous même. Et quand vous le faites, quand vous vous infusez dans cet anneau, vous ne vous enlevez rien. Vous ne prenez pas une partie du cœur de votre énergie en la mettant quelque part ailleurs, parce que maintenant dans la nouvelle énergie, il n’y a jamais de perte. Il y a toujours une augmentation. Vous voyez, la Nouvelle Energie travaille différemment. Rien ne vous est jamais pris. La valeur du cœur de votre l’énergie reste toujours la même ou devient plus grande. Donc ne craignez pas d’abandonner une partie de vous-même.

Nous allons commencer l’infusion ici, ou ce que vous appelleriez fusionner - une fusion et un mélange. Quel est le mot français pour « blending », Mélange ? (quelqu’un confirme dans l’assistance, « Mélange ") Mélange. Aw, ce n’est pas plus joli à entendre que « infuse » (infuser) ? Alors disons que vous pouvez l’appeler comme vous voulez… nous dirons ensemble, mélange. Disons-le avec… S’il vous plait ? (Alain le dit avec la prononciation française, « mélange ") micro s’il vous plait.

LINDA : Sans problème.

ADAMUS : Vous devez vraiment entendre les nuances dedans, la beauté de la langue française.

ALAIN : Mélange.

ADAMUS : Mélange. (il le dit avec la bouche pleine de gâteau) Mélange. (rires) Cauldre peut mieux parler le français avec la bouche pleine. Mélange. (plus de rires)

Donc nous allons commencer à infuser. Et ne rentrez pas dans la confusion à propos de l’infusion. C’est un processus très simple. Pourquoi ? Pourquoi. Pourquoi ferions-nous ceci ? Parce que cet anneau, ou l’objet que vous tenez, porte tellement plus de potentiels que l’évidence que vous voyez ici. L’évidence, quelques petites pierres - je souhaite vraiment que Cauldre lui achète de plus grandes pierres - et de l’or. D’ailleurs, l’or - et nous allons le voir pendant que nous… nous allons commencer à entrer dans les pierres précieuses et les bijoux.

LINDA : Oh bébé. (rire)

ADAMUS : L’or est beau, parce que l’or est probablement la meilleure substance humaine pour équilibrer les énergies pendant l’alchimie. Les alchimistes n’essayaient pas de changer des choses en or ; ils utilisaient de l’or véritable ou la dynamique énergique de l’or pour équilibrer un processus. Chaque fois que vous alchimisez, chaque fois que vous transmutez, chaque fois que vous débloquez l’énergie à l’intérieur de quelque chose, il y a un échange énorme d’énergie et de transmutation. Elle peut en fait être maîtrisée. Les alchimistes ont travaillé avec l’or, parce qu’il a une façon d’équilibrer ce processus et cela ne vous submerge pas. Juste un peu d’or faisant un long chemin, équilibrant vraiment l’alchimie.

Alors pourquoi allons-nous infuser ? Bien, parce que cet anneau est tellement plus qu’un anneau. Cet anneau a les potentiels que vous n’avez pas même commencé à réaliser. Ce billet de cent dollars que vous possédez maintenant - ils sont à vous, et non plus à Cauldre - a des potentiels en lui. C’est un morceau de papier, mais par l’infusion il a des potentiels énormes. En d’autres termes, en étant si confiant dans le soi que vous pouvez mettre une partie de vous-même en lui sans vous souciez qu’un autre humain puisse vous faire quelque chose d’horrible ou qu’un certain mauvais esprit va vous posséder. Ils ne veulent pas vous posséder. Faites-moi confiance. Pas là où vous en êtes dans votre évolution. Vous êtes trop clairs pour eux. Ils vont aller vers d’autres humains. Je parlerai de cela plus tard.

Alors comment infusez-vous ?

(Adamus prend une respiration profonde et souffle doucement et délibérément sur l’anneau)

Je viens de le faire. J’ai pris une profonde respiration. Je me suis détendu. Pas d’attente. N’essayez pas de forcer le changement. Il n’y a aucune poussée, il n’y a aucune résistance. J’ai une très grande confiance en moi et je ne m’inquiète pas. Et par le souffle j’ai partagé. J’ai infusé. J’ai diffusé dans cet objet sans aucune demande, sans dire, « OK, maintenant tu dois te transformer en cinq anneaux de plus grande taille. » Sans rien de tout ceci, mais je me sens si joyeux au sujet de ma vie que je peux le partager avec les objets physiques autour de moi.

Maintenant, prenez une respiration profonde.

Prenez votre objet. Libérez toutes les attentes. Faites-vous confiance. Ahmyo. Ahmyo. Et soufflez dans cet objet.

(pause. L’assistance infuse ses objets) Si vous avez le petit mental qui vous donne un coup de pied et qui di :, « Que diable es tu en train de faire ? » ou, « je n’aurais pas dû manger de l’ail pour le déjeuner, whew ! » laissez aller.

Maintenant, vous venez de partager, d’expanser ou de souffler - d’ailleurs, souffler est la chose la plus facile à faire ; il y en a plein d’autres, mais respirer est facile - vous venez de partager votre soi, votre Je Suis, votre ahmyo, avec cet objet.

Ce n’est pas du prana. Ce n’est pas le chi. Ce n’est pas une certaine énergie du champ universel. C’est vous. Vous l’avez ? Elle ne vient pas d’ailleurs. Vous n’entrez pas dans une piscine d’énergie située sur une autre planète. Ce n’est pas cette énergie typique de force de vie qui traverse les choses. C’est vous. Le Pur Vous.

Maintenant, ce qu’il se passe est qu’il vous a pris. Vous êtes en lui maintenant. Pas emprisonnés, mais vous êtes devenus une partie de lui. Avec ce niveau de confiance profond, d’ahmyo, vous n’avez pas peur de lui. Vous n’avez pas peur que, « oh mon dieu, j’ai mis tout mon mauvais karma dedans. » C’est votre pureté. C’est votre ahmyo. Vous pourriez même le chanter ahmyo. Ahhhhhhhhmmmmyooooooooo.

Ma pureté, mon amour, est entré dedans. Merci. (il donne de nouveau l’anneau à Linda). Regardez, observez comment cela ouvre les potentiels. Maintenant, laissez-moi vous demander. Que se passe t-il si soudain - est-ce que je peux récupérer ceci ? (à Linda) - ce qu’il se produit… maintenant, vous respirez dedans, dans ce bel anneau, et tout à coup vous le perdez- ? (il fait le geste de le jeter par la porte arrière et Linda crie)

LINDA : N’y pensez même pas !

ADAMUS : Je le mettrai ici avec les autres appareils pris aujourd’hui. Donc soudain vous le perdez. « Oh non ! Je ne l’ai pas fait comme il fallait ! Et ça a un effet inattendu comme de la sorcellerie. » Non. C’était ce qui était absolument censé être. Retourner à ahmyo. Il y a quelque chose qui continue ici. Cet anneau n’est pas perdu. Cet anneau s’est expansé dans une autre dimension, une dimension non physique.

LINDA : Est-ce que c’est ce qui est arrivé à mon cadeau d’anniversaire de cette année ?

ADAMUS : C’est exactement ce qu’il s’est produit. C’est exactement ce qu’il s’est produit ! Vous pouvez raconter l’histoire.

LINDA : Nous étions en Turquie au bazar, et nous regardions toutes les belles choses dans le bazar, quand soudain Geoff, avec une certaine influence je pense, a vu ce magnifique bracelet en or et a offert de me l’acheter. Il était remarquablement magnifique, de grande valeur. Je l’ai aimé, je l’ai accepté et je l’ai mis à mon poignet, et il a disparu dans l’avion en Egypte. Boo le hoo, hoo, hoo, hoo. (rires pendant qu’elle fait semblant de pleurer et qu’Adamus fait semblant de jouer du violon)

ADAMUS : Ou qu’a-t-il fait ? Ou qu’a-t-il fait ? Une autre chose s’est elle produite ? A-t-il glissé dans une autre dimension ? Ou a-t-il glissé sur le poignet d’un Turc ou d’un Egyptien local ? ça n’a pas d’importance. Ça n’a pas d’importance, parce qu’il y avait beaucoup de belle énergie dedans. Ce n’était pas simplement pour l’or ni pour la beauté de l’objet, mais pour l’énergie aimante de Cauldre et l’anniversaire de Linda. Maintenant, makyo dit : « j’ai fait quelque chose de mal. Je n’ai pas fais attention. Je devrais plus prendre soin de mes affaires. » Ou, voici un autre exemple de makyo employé par Linda elle-même, « je ne suis pas digne d’amour. »

LINDA : Cela me met à nue. Merci.

ADAMUS : Très à nue. (rires) « je ne le mérite pas. Je ne suis pas une assez bonne épouse. J’ai besoin de … je ne peux pas accepter ce beau cadeau. » (elle le frappe avec un oreiller). Je ne sais faire que taper. (rires)

C’est makyo. C’est un bouquet de merde. Ahmyo est « ce cadeau qui continuera à donner. Ce cadeau est parti et a pris de l’expansion. Il n’a pas besoin d’être à mon poignet, bien que ça pourrait être beau. Ce cadeau qui est dehors me ramène beaucoup d’autres cadeaux. » Tout dépend de votre conscience - de votre conscience. Si vous êtes dans le makyo, vous avez raison. Vous avez perdu ce fichu truc, et il ne reviendra jamais. Si vous êtes dans ahmyo, vous avez ouvert les potentiels qui étaient en lui, et il y en avait beaucoup. Pouvez-vous être cette confiance ? (quelqu’un dit, « Wow "). Wow est juste. Wow C’est la vie dans cette nouvelle énergie, et c’est ce que nous faisons.

Revenons à… (il embrasse Linda) c’était de la part de Cauldre. Maintenant, infusion, revenons à elle. Fusion, mélange, mel…. mel…. Donc, maintenant, je vais vous demander de faire ceci avec des objets et vous pouvez le faire n’importe quand, n’importe où. Même si des gens sont autour de vous…….. Je pourrais avoir votre… Je prendrai ça maintenant. (il prend le téléphone portable de Paul)

LINDA : Uh oh.

ADAMUS : Même si des gens sont autour de vous et que vous vouliez faire un peu d’infusion… (rires parce qu’il tient le téléphone et `furtivement’ souffle dedans), ils n’ont même pas à le remarquer. Ou vous pourriez faire semblant de parler… (il le porte à son oreille et souffle « en longueur » dedans, plus de rires). Vous voyez, vous pouvez infuser votre énergie dans tout.

Applications pratiques

Donc quelques applications pratiques… bien, tout d’abord, rappelez-vous la raison pour laquelle vous le faites, vous partagez votre Je Suis. Vous êtes maintenant si assurés et si confiants que vous pouvez sortir et fertiliser tout ce que vous posséder. Diffusez-le. Il amènera les objets à la vie. Il leur apportera la vie.

Essayez ceci si vous voulez. Si vous avez une petite figurine, une petite statue de Quan Yin à la maison - je sais que vous tous le faites même si vous le cachez et ne me direz rien à ce sujet -, Statue de Quan Yin, statue de Jésus. Mais s’il vous plait, ne prenez pas Jésus sur la croix, vous savez, Jésus est là. Ou alors un petit bibelot que vous avez eu sur votre chemin. Je ne crois pas qu’il existe encore de statue d’Adamus, mais elle serait incroyable. Ou alors allez acheter quelque chose au marché. Ça n’a même pas à avoir une description définie. Ça pourrait être une peluche, une petite poupée ou autre chose.

Commencez à infuser. (il fait une démonstration en soufflant sur une tasse). Vous apporterez cet objet à la vie. Un objet inanimé, une petite statue - vous commencerez à l’amener à la vie.

Il commencera à porter, à transmettre et à exprimer votre énergie. C’est une prolongation naturelle de vous même. Soudain, cet objet sera assis à côté de votre lit ou de n’importe quoi d’autre, et après quelques mois d’infusion douce - c’est un mot clé, douceur - soudain vous allez jeter un coup d’œil et il va chanter et danser. Est-ce que ça veut dire que les autres doivent le voir chanter et danser ? Non ? Le verront-ils ?

Probablement. Probablement. Ou ils peuvent remarquer le truc étrange qui se produit dans la pièce. Il commencera à chanter, à danser ou à parler, et c’est vous. N’oubliez jamais cela. C’est vous. C’est vous. C’est votre amour et votre joie qui sont dans ces autres objets. Et pendant qu’il fait cela, il va ouvrir des potentiels. Il ne s’agit pas d’adorer ces choses. Il s’agit d’avoir une telle confiance en vous maintenant, que vous pouvez ouvrir et partager - oh, ahmyo - avec tout.

Pensons à certaines applications pratiques pendant les neuf dernières minutes qui nous restent. Linda le micro, s’il vous plait.

LINDA : Avec plaisir.

ADAMUS : Et s’il vous plait, un rappel - seulement vos objets pour le moment. Et je sais que certains d’entre vous allez sortir et essayer de souffler sur votre conjoint. Ne le faites pas. (rires). C’est un manque de compassion. Seulement vos objets ou vos possessions ou comme vous voulez les appeler. Je ne recommanderais vraiment aucun animal familier pour le moment. Nous irons là dedans une autre fois. Oui, ils vous « appartiennent ». Mais non, ne le faites vraiment pas. Ils vont aimer répondre à ceci. Ils - oui, un de vous vient de l’avoir - ils répondent déjà à ça. Ils répondent déjà. Cet animal familier c’est vous, mais vous ne le faites pas consciemment. Abstenez-vous de faire cela pour un temps. Les choses comme les arbres. Promenez vous dehors et tenez-vous éloignés des arbres, pour le moment. Seulement les objets que vous possédez, ceux qui sont à vous. Bijoux. Pensons à quelques autres. Applications pratiques. Vous allez amener la vie et ouvrir les potentiels des objets matériels dans votre vie.

LINDA : Mon stylo.

ADAMUS : Votre stylo. Le stylo est un bon objet. Et pourquoi un stylo ?

LINDA : Pour créer le flux au stylo pour que je m’exprime.

ADAMUS : Et c’est seulement vos objets. Aucun animal familier. Aucune personne. Gardez cela simple, en particulier le mois prochain ou les deux prochains mois.

Donc, OK, un stylo. Maintenant vous soufflez sur un stylo. Vous faites l’ahmyo. Vous vous ouvrez. Vous infusez – rappelez vous ce mot, infuser - votre énergie. Pas le prana ou ces autres énergies - votre énergie, votre âme. Donc, votre stylo. Ok.

CAROL : Que diriez-vous de votre voiture.

ADAMUS : Voiture. Excellent. Donnez-lui un prix. Un prix, oui.

LINDA : C’était qui ? C’était qui ? Carol.

ADAMUS : La voiture. Maintenant, vous le faites - vous savez ça - vous le faites de toute façon, mais vous ne le faites pas consciemment. Cette voiture devient vous, le jour d’après vous la reprenez. Et votre essence s’accumule dans la voiture. Vous avez des problèmes avec la voiture ? Prenez une respiration profonde. La voiture peut réellement entrer dans un autre potentiel d’elle-même et vous servir d’une manière beaucoup plus grande, c’est ce qu’elle veut faire, mais n’était pas en mesure de le faire.

Employer l’ahmyo, la respiration dans la voiture, pendant que vous conduisez. Hah, hah, hah, hah, hah, hah (Adamus feint de conduire tout en soufflant très rapidement ; rires) maintenant vous faites le choix conscient de vous infuser dans la voiture. Elle ouvre de nouveaux potentiels. Elle vous servira, elle rendra votre environnement plus sûr, plus fiable et avec moins d’essence qu’avant. Absolument. Suivant.

KATHLEEN : L’ordinateur !

ADAMUS : C’en est un évident. Le micro par ici.

JOSHUA : Ma carte de crédit.

ADAMUS : Votre carte de crédit ! J’adore ! J’adore ! (applaudissements de l’assistance) Maintenant, rappelez-vous, sans attente, sans attente. Ne dites pas, « oh, éponge tout ce solde, » parce que vous venez d’impliquer un certain type de polarité ou de dualité. Et vous ne voulez pas entrer dans cela. Vous ne faites que vous souffler dedans. Cette carte de crédit devient vivante. Elle ouvre de nouveaux potentiels. Vous êtes en confiance avec vous-même, donc vous n’avez pas peur des potentiels. Vous pouvez les diriger, vous pouvez les gérer, et vous respirez dedans. Excellent. Excellent. Avez-vous reçu une récompense d’Adamus ?

LINDA : Je m’en suis déjà occupée.

ADAMUS : Je pense que vous devriez en avoir deux. Regardez ? Cette carte de crédit travaille déjà. (rires) Donc nous attendrons le micro. Au suivant.

LINDA : Juste ci.

KATHLYN : Votre permis d’affaires.

ADAMUS : Permis d’affaires. C’est bien. Pour quel genre d’affaires ?

LINDA : Pour quel genre d’affaires ?

KATHLYN : J’ai une affaire de coach de jardinage.

ADAMUS : Coach de jardinage. Bien. Excellent. Vous soufflez dedans sans attente, mais vous soufflez votre âme dedans. Et, vous savez, pour beaucoup d’entre vous, votre âme n’est pas dans votre vie pour le moment, et elle veut l’être. Votre humanité est dans votre vie, et ce n’est pas sûr qu’elle veuille l’être. Vous pouvez rire maintenant. (rires)

Ainsi vous soufflez le divin dans votre vie. Vous voyez comment ceci fonctionne ? Si simple. Le divin a été séparé. Il a été dehors ici ou là-bas quelque part. Maintenant vous respirez votre âme dans votre vie. Oui ! Oui ! Je suis enthousiaste. Quoi d’autre ? Quoi d’autre ?

INGE : Et les lunettes ?

ADAMUS : Les lunettes. Bien sûr, bien sûr. Les lunettes, mais aucune attente. Pas d’attente que vos yeux vont aller mieux. Confiance absolue. Vous soufflez simplement parce que c’est quelque chose qui est sur votre visage et c’est quelque chose qui est là pour vous. Et ne dites pas, (en soufflant rapidement) « Hah, hah, hah, clarté, hah, hah, hah, de meilleurs yeux. » Vous ne faites que souffler votre âme dedans. Plutôt que d’avoir une séparation entre vous et le monde matériel, nous les fusionnons ensemble maintenant, Aandrah c’est juste ? Absolument. Donc les lunettes. Quoi d’autre ? Lequel est vraiment important ?

LINDA : Juste une minute. Juste une minute. Ici.

ADAMUS : Le micro seulement.

VINCE : La clé de la maison. La clé de la maison.

ADAMUS : La clé de la maison. Que diriez-vous de la maison entière ? Tenez vous debout dehors - hah ! (rire parce qu’ il souffle vraiment « grand ") oui.

VINCE : Bien, je ne pense pas aussi grand que vous le faites !

ADAMUS : Maison ou clé. Mais oui, la clef représente votre maison, alors vous pourriez le faire juste avec votre clé. Absolument, votre maison. Votre maison contient plus de votre énergie que n’importe quoi d’autre. Vraiment. Parce que c’est… bien, vous y passez tellement de temps, c’est votre retraite. Donc vous soufflez dans votre maison. Votre âme vient maintenant dans votre maison, dans votre maison physique. Votre âme a été loin dans une autre maison, et maintenant elle peut venir dans votre maison. Voyez comment cela fonctionne ? Vous amenez, vous fusionnez, vous vous infusez dans votre vie, et cela ouvre les potentiels qui étaient précédemment inconnus. Suivant.

ALAYA : Salut Lara, Marty. Je sais que vous êtes à la maison en ce moment. Notre nourriture.

Nourriture.

ADAMUS : Nourriture. Tout ce que vous mangez. Absolument ! Et s’il vous plait, vous savez, n’essayez pas de faire de la magie sur la nourriture. Vous essayez de faire du Reiki sur la nourriture. Ne la bénissez même pas. Vous n’avez pas la bénir. Vous permettez juste à votre âme d’être dans cette nourriture, et elle ouvre des potentiels, que ce soit de la pizza ou des haricots biologiques, que ce soit un steak ou du poisson, que ce soit des frites ou de l’alfafa. Qu’importe. Vous passez au dessus de ces choses concernant vos régimes parce que ça n’a pas d’importance. Votre âme est maintenant dans cette nourriture. Vous n’êtes plus dépendant de cette nourriture pour l’énergie ou les protéines ou le reste. Ce que vous faites vraiment c’est dire : « je l’ai déjà à l’intérieur, et maintenant je vais le manger parce que j’aime ça » Larry.

LARRY : Mon portefeuille entier.

ADAMUS : Votre portefeuille entier. Ok, oui. C’est un bon objet, parce que votre portefeuille est très symbolique. Comment est votre portefeuille ?

LARRY : Vide. (rires)

ADAMUS : Comment ?

LARRY : Vide. Il est vide. Auriez-vous un billet de cent $ ? (rire)

ADAMUS : Ouais. Est-il lourd ou léger ?

LARRY : Lourd.

ADAMUS : Ne vous regardez pas. (Larry regarde la caméra il travaille)

LARRY : Je vous regarde pour m’assurer que vous êtes bien dans la caméra.

ADAMUS : Votre portefeuille. Vous avez absolument raison. Maintenant, je vous défie - vous - je vous défie de le faire dans la confiance. Pour ne pas le faire à partir d’un état de makyo, pas à partir d’un état de besoin ou ce que vous sentez comme étant vide, mais un état d’ahmyo. Confiance totale. Pouvez vous, mon cher ami… ne regardez pas cette caméra.

LARRY : Elle me parle. (la régisseuse parlait dans son casque)

ADAMUS : Dites lui de ne pas regarder cette caméra.

LARRY : Arrêtez !

ADAMUS : Pouvez-vous, une fois pour toutes, respirer votre âme dans votre vie et recevoir l’abondance et ne pas vous inquiéter au sujet de ce qui vous distrait dans votre voyage spirituel ?

LARRY : Oui.

ADAMUS : Merci. Bien. Ok. Suivant. Sur quoi d’autre pouvez-vous souffler ?

DAVE : Les instruments de musique.

ADAMUS : Absolument. C’en est un bon. Les instruments de musique, même si - et particulièrement si - vous n’en jouez pas un. Allez en acheter un. Soufflez en lui. Regardez le venir à la vie. Vraiment. Okay encore quelques uns, j’ai un rendez-vous. Kuthumi sera contrarié si je suis en retard.

OURS QUI RIT : Mon lit.

ADAMUS : Votre lit. C’en est un bon. Un vraiment bon. Que se passe t-il dans votre lit ? Non, je ne veux pas… (rires)

LINDA : S’il vous plait.

OURS QUI RIT : Oui, mon autel. Ouais.

ADAMUS : Votre lit, parce que c’est votre plate-forme pour la libération des rêves.

OURS QUI RIT : Ouais.

ADAMUS : Et ce n’est pas seulement dormir, mais pouvez-vous imaginer ouvrir les potentiels associés à votre lit ? Excellent. Et un de plus. Et peut-être Jean vous commencerez un forum en ligne ou un tableau de messages où Shaumbra pourra noter certaines des choses sur lesquelles ils vont souffler leur âme et les laisser venir à la vie, et puis les corriger si ils vont souffler sur d’autres personnes. Oui.

JEAN : Mon corps.

ADAMUS : Votre corps - excellent ! Excellent. Votre - hah, hah (il souffle) - votre corps ! Votre corps ! Absolument. Vous avez eu cette illusion que vous êtiez emprisonnés dans ce corps et qu’il vous trahissait. Ou s’il ne l’a fait pas, il va le faire. Vous avez cette croyance de mourir de maladie, de mourir de vieillesse, de mourir d’épuisement. Vous avez tout cela qui est dans votre corps. Et si vous
- hah - soufflez dans votre corps ? Certains pensent que votre corps est la maison de votre âme. Hmm, hmm, hmm, hmm, hmm. Vous n’avez pas laissé votre âme dedans, parce que vous n’aimez pas vraiment ce corps ou votre santé ou les problèmes qui sont affiliés ou associés à la biologie. Soufflez dans votre corps. Absolument. Excellent. J’espère tout le monde a eu une récompense d’Adamus.

LINDA : Oui monsieur. Oui.

ADAMUS : Bien. Il est temps de ficeler ceci. Nous continuerons le mois prochain. En attendant, veuillez trouver, quelques objets. Oh, vous n’avez pas à exagérer, mais trouvez quelques objets qui ont vraiment une signification pour vous, les choses que vous avez vues sur le tableau ici. Et cela peut être qu’un bijou. Ça peut être une pierre que vous avez trouvée il y a longtemps, que vous avez rapportée la maison et qui repose sur votre… j’espère que vous n’avez pas d’autel. , n’est ce pas Ours qui rit ? (il fait oui de la tête). Enlevez-le. Enlevez-le. Aujourd’hui, pas plus tard que demain. Pas d’autels. La seule chose qui devrait être sur un autel est votre cul. (rire) C’est une vraie déclaration. Je ne veux rien voir d’autre sur un autel. Vous devriez adorer rien d’autre que vous-même, ou une photo de vous, si vous avez peur de mettre vos fesses dessus. Chiche. Enlevez tout et mettez une photo de vous. Chiche.

Ok, donc. Autel, diminuant. Quoi ? ! Pensez-vous que Jésus veuille être sur votre autel ? Non ! Pensez-vous que Bouddha veuille être sur votre autel ? Non ! Il veut que vous soyez sur votre autel. Il n’y a pas de maître ascensionné qui se respecte qui veuille être adoré. Pas du tout ! Ils ont tous des histoires vraiment misérables. J’en ai raconté quelques unes lors de nos rencontres. Ils ont tous eu la partie de makyo dans leur voyage - accroché à une croix, mort de faim, ou quoi que c’était. Ils ne veulent pas que vous les adoriez, parce que, vous savez pourquoi ? Ils ne veulent pas que vous alliez sur le même chemin qu’eux, pas plus que vous ne vouliez que les nouveaux éveillés ne suivent exactement le même chemin que vous. Voulez-vous qu’ils vous adorent pour ce que vous avez traversé dans votre vie ? Absolument - peut-être - pas !

Non, et non pas parce que c’était faux, mais vous pavez le chemin. Il y a une - oh, Kuthumi, j’ai fini dans une minute - il y a une manière plus efficace de faire ceci, une manière plus gracieuse, et c’est ahmyo. C’est la grâce absolue dans l’action. La grâce absolue. Ils ne veulent pas être sur votre autel. Enlevez-les. Et Gaia ne veut pas être sur votre autel. Elle s’en va, comme vous le savez. Ils ne veulent pas être là. Les cristaux ? Ils ont perdu leur énergie il y a longtemps. Vous n’avez pas besoin d’adorer les cristaux ou le reste. Votre photo, votre photo sur cet autel.

Alors prenons une respiration profonde. Nous en avons fait beaucoup aujourd’hui, un autre merveilleux rassemblement. Faisons vite une rapide révision.

Confiance, ahmyo. C’est important. Si vous allez faire cette infusion, vous voudrez la faire à partir d’un espace de confiance. Vous voulez vous faire une très grande confiance sans réserve ou sans hésitation. « Je Suis ce que Je Suis. » Qu’est ce qu’il y a de plus ici ? Alors vous pouvez faire l’infusion.

Nous allons entrer dans… ceci environ sur trois ou quatre séries où nous allons parler de l’infusion et de la différence qu’elle fait dans votre propre vie. En faisant ça, elle fait une différence énorme, avec les êtres angéliques qui viennent ici pour la première fois. Elle va faire une différence énorme dans ce que nous faisons ensemble. Elle va faire une différence dans le potentiel du monde. Elle fera à une différence aujourd’hui, demain, toutes les fois où nous avons notre événement ensemble. Une énorme différence.

Alors prenons une respiration profonde, à propos de la confiance, à propos d’ahmyo. Prenez une respiration profonde et comprenez que quand vous partagez consciemment votre âme, quand vous partagez votre soi et que vous le soufflez dans les objets dans votre vie, vous ne créez plus de séparation entre vous et votre monde matériel. Vous ne créez plus de séparation entre vous et votre esprit en ce monde. Quand vous soufflez la vie dans ces objets, ils viennent vraiment à la vie et ils vous servent d’une toute nouvelle manière.

Alors, chers Shaumbra, prenons une profonde respiration, et nous vous verrons plus tard ce soir.

En attendant, je dois à tous vous rappeler, que tout va bien dans toute la création, et que nous sommes tous ce que nous sommes.

Guten abend.

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Les matériaux du Cercle Cramoisi avec Tobias, Adamus Saint-Germain et Kuthumi Singh lal sont offerts gratuitement depuis août 1999. Le cercle cramoisi est un réseau global d’anges humains, appelés Shaumbra, qui sont parmi les premiers pour la transition dans la nouvelle énergie. Tandis qu’ils expérimentent les joies et les défis de l’ascension, ils deviennent les standards pour les autres humains dans leur voyage de découverte du Dieu intérieur.

Le cercle cramoisi se réunit mensuellement à Denver, dans le Colorado où Adamus présente la dernière information à travers Geoffrey Hoppe. Ces réunions du Cercle Cramoisi sont ouvertes au public et tous sont les bienvenus. Si vous lisez ceci et ressentez un sens de la vérité et une connexion, vous êtes en effetShaumbra. Vous êtes un professeur et un guide pour les humains et les anges. Permettez à la graine de la divinité de fleurir en vous maintenant et durant les temps qui viennent. Vous n’êtes jamais seuls, parce qu’il y la famille autour du monde et les anges dans les royaumes autour de vous.

Vous pouvez distribuer librement ce texte sur une base non-commerciale et gratuite.Veuillez inclure les informations en leur totalité, y compris ces notes. Toutes autres utilisations doivent être approuvées par écrit par Geoffrey Hoppe, Golden, Colorado. Voir la page de contacts sur le site Web :

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