LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE

Série Kharisma

Shoud 1: « Kharisma 1 »  Adamus, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle

le 2 août 2014


www.crimsoncircle.com

 

NOTE IMPORTANTE: Cette information n’est probablement pas pour vous, sauf si vous prenez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.

 

Je suis ce que je suis, Adamus du Domaine Souverain.

 

Bienvenue à cette réunion. Pour ceux d'entre vous qui reviennent, bienvenue également. (Adamus rit) Je suis toujours étonné. Toujours étonné. Je ne sais pas si vous êtes là parce que vous êtes têtus, parce que vous êtes tenaces ou parce que vous n'avez rien de mieux à faire que d'être ici un samedi après-midi, mais bienvenue à tous, chers amis.

 

Il y a un écriteau dans le Club des Maîtres Ascensionnés, en fait juste lorsque vous passez la porte vous voyez un écriteau qui dit : « J'ai renoncé à tout et je n'attendais rien en retour, excepté moi-même ».

 

 

~ Au-delà de la personnalité

 

Chaque Maître Ascensionné passe par un genre de puberté spirituelle où il abandonne tout. Oh, et il ne s'agit pas seulement de l'argent, des biens, de la voiture, de votre maison, de votre travail ou de votre famille. Mais au fond, ce que vous abandonnez vraiment est tout ce que vous pensiez être vous-même c’est l'une des choses les plus difficiles que vous ou tout autre humain s'éveillant n’aura jamais à faire ; c’est sûr, car il y a toujours le désir de construire cette personnalité, de vous construire vous-même. Vous le faites par des choses comme le choix votre garde-robe, le choix de votre travail, l’attention portée à votre statut dans la communauté et aussi à travers votre relation avec vous-même. Essayant toujours de vous définir d'une manière intéressante et nouvelle. Mais finalement, tout cela finit par s'écrouler, se déchirer ou alors vous vous en libérez gracieusement. Gracieusement.

 

Et c'est ce que j'espère que nous allons faire dans notre prochaine série, cette série, dont je vous dévoilerai le nom dans un moment. Hm. (Quelques rires étouffés) Je vais laisser l'excitation monter un petit peu.

 

Mais en effet, il y a toute cette partie de vous allant au-delà de la personnalité. L'esprit ne peut pas l’appréhender. Il ne le peut pas. Le mental tente de le justifier en disant : « Bon, je vais être un peu moins moi-même ». Mais vous ne pouvez pas être plus ou moins vous-même. Le mental dit : « Je vais me débarrasser de mes mauvaises habitudes ». Eh bien, vous allez découvrir — et ce que je dis maintenant est enregistré — vous allez découvrir qu'en réalité vos mauvaises habitudes vous ont vraiment bien servi. C'est vos bonnes habitudes qui m'inquiètent. (Rires) Vraiment. Ce sont les habitudes, ce sont les choses que vous faites avec une rigueur morale, celles vous défendez, que vous ne lâchez pas, et même quand j'essaie de vous les prendre, même quand j'essaie de vous en débarrasser, vous vous accrochez à elles.

 

Vos mauvaises habitudes, bien sûr, vous ne les aimez pas, vous essayez de vous en débarrasser, vous essayez de les surmonter. Ce sont vos propres champs de bataille de pouvoir au sein de vous-même — merci (à Linda) — donc ce ne sont pas les mauvaises habitudes qui m'inquiètent. C'est ce que vous considérez comme vos bonnes habitudes, les blocs de construction de votre estime, votre personnalité.

 

Vous êtes dans un très drôle — hé, drôle pour moi — drôle de mouvement d'éloignement de ce que vous appelez votre personnalité, votre identité, vers quelque chose qui est comme un grand abîme. Ça ne l'est pas, mais vous devez l'aborder comme si c’était un abîme. Vous devez l'approcher sans savoir ce qui vient après. Sinon, votre personnalité va essayer de s'y accrocher et le façonner à l'image qu'elle aimerait avoir d'elle-même. Et comme vous l'avez découvert, l'image que vous souhaitez avoir de vous-même est assez inaccessible… assez inaccessible.

 

Mais pourtant, vous continuez à chercher à l'avoir. Vous continuez à essayer d'y arriver. Je peux vous dire dès à présent — et ce message est évidemment pour vous, pas pour le monde extérieur — que vous n'allez pas réussir à l'avoir. Alors arrêtez d'essayer. C'est pourquoi je ne suis pas fan du tout des objectifs, des plans et des programmes. C'est pour les mortels. Hé. (Rires étouffés d'Adamus et du public) Et quand je dis mortels, je ne parle pas du corps physique. Je parle de ceux qui s'accrochent à une illusion, disons une perception, de ce qu'est la vie et où ils se situent en elle. Et c'est vraiment ce qu'est la vie de beaucoup de gens — essayer de s'intégrer, se posant sans cesse cette question « Où puis-je m'intégrer ? Comment puis-je m'intégrer ? » — Et cette question, la plus redoutable de tous les temps : « Qui suis-je ? »

 

Ne demandez plus jamais cela. Ah, à la minute où vous la sentez monter en vous — cette question « Qui suis-je ? » et ce, dans quelque itération que ce soit, sous quelque forme que ce soit — au moment où vous la sentez venir, prenez une profonde respiration et « Je suis Ce que Je Suis. Tais-toi ! » (Quelques rires)

 

 

~ Le point sur Sam

 

Commençons la séance d'aujourd'hui avec des nouvelles de Sam. (L'assistance répond « Ooh » ) Ooh. Sam [Incarnation actuelle de Tobias]

 

Ça fait 15 ans d'existence pour le Cercle Cramoisi, et assez curieusement 15 ans pour Sam. Maintenant, est-ce une coïncidence ? Ou pas. Non, pas du tout.

 

Alors Sam a 15 ans maintenant. Imaginez un instant comment c'était quand vous aviez 15 ans. C'est le mal dont je parlais auparavant. (Rires d'Adamus et quelques rires de l'auditoire) 15 ans est un âge tellement difficile à vivre. Vous êtes à mi-chemin de tout. Vous n'êtes pas encore un adulte, mais vous n'êtes plus un enfant. Vous n'êtes pas assez vieux pour conduire, mais vous paraissez stupide à vélo. (Rires) Vous n'avez pas encore les compétences ni même la sagesse pour gérer la vie, mais vous essayez. Comme j'entends Cauldre le dire maintenant, à cet âge, il croyait tout savoir, hein, comme beaucoup d'entre vous. Les parents ne savaient rien. Il pensait savoir ce qu’était être « cool » et les parents n'y comprenaient rien.

 

Mais c’est encore un âge si ingrat, — 15 ans — pour les garçons tout juste sortis de la puberté, je l'espère, et pour les filles regardant les garçons de cet âge et pensant : « Ils sont si pubères ». (Adamus rit)

 

Voici Sam à 15 ans il a mené une vie très intéressante. En fait, il n'a pas beaucoup vécu, parce que, pendant beaucoup, beaucoup d'années, il n'était qu'un corps coquille. Pouvez-vous imaginer cela ? Le fait d'être une coquille. Tout comme une boîte de carton vide. Juste attendre que quelqu'un y mette quelque chose et l'expédie au loin via Chronopost. (Quelqu'un rit) Je vous remercie. J'ai pensé que vous alliez applaudir, éclater de rire ou…

 

LINDA : Je pourrais utiliser la tablette.

 

ADAMUS : D'accord. Donc, le voici à 15 ans et dans cet entre-deux, mais pendant de nombreuses années il était vraiment dans ce corps coquille. Pas infusé avec toute l'énergie ou encore la conscience de lui-même, de Tobias.

 

Puis, quand il, quand Tobias, l'essence de Tobias, commença à occuper ce corps, alors il commença à développer sa propre identité. Mais il y avait toujours quelque chose en lui, une résistance à s'identifier, à développer une personnalité comme celle que vous avez ; toujours une réticence à faire quelque chose qui allait l'enfermer dans un rôle ou un mode ou une identité à lui-même.

 

Maintenant, il est intéressant de noter que le voyage de Sam est également votre voyage. Tout à fait différent — vous n'étiez pas des corps coquilles, certains d'entre vous le sont devenus, mais vous ne l'étiez pas à l'époque. (Rires) Non aucun de vous, bien sûr. Pas un d'entre vous. (Adamus rit)

 

Eh bien, effectivement, il y a un peu de vérité là dedans, parce qu'une partie de vous s'en est allée pendant un certain temps. Une partie de vous s'est en partie éloignée, et sans que quelque chose ou quelqu'un d'autre y soit entré, mais c'était devenu si confus, ce moment de la puberté spirituelle. Si confus que vous ne saviez pas quoi faire. Vous vous êtes littéralement retiré pendant un certain temps.

 

Et quand vous l'avez fait, vous avez découvert que vos ressources, votre abondance, même votre joie, votre désir de vie semblaient s'estomper. Mais vous ne pouviez pas le supporter. Vous ne pouviez pas supporter de faire encore et encore la même chose. Vous saviez que ce n'était pas en résonance avec vous. Vous saviez que cela ne vous emmenait nulle part où vous vouliez aller, mais vous ne saviez pas quoi faire.

 

C'est vraiment comme traverser la puberté pour un enfant. Ne sachant pas vraiment quoi faire avec son corps. Leurs pensées sont en train de changer. Tout est en train de changer. Donc, beaucoup d'entre vous ont renoncé.

 

Il est intéressant de noter que vous avez réellement essayé de plonger plus profondément. Vous avez essayé d'activer quelques vieilles passions, et cela n'a pas fonctionné. Cela n'a pas fonctionné. Il y avait cette résistance interne, je dirais une intelligence divine en vous qui a dit : « Cela ne va tout simplement pas marcher ». Et d'une certaine manière vous avez jeté l’éponge. Vous vous êtes rendu. Vous êtes devenu votre propre coquille.

 

Le corps répondait toujours. La personnalité était comme en pilote automatique. Elle était en mesure de fonctionner, de parler. Et, dans un sens, dans le mode de pilotage automatique, elle a continué à essayer de se reconstruire ou se ré-identifier elle-même. Cela vous rendait fou, absolument fou. Et puis vous posiez la question que je vous ai demandé de ne plus poser. Vous insistiez pour dire : « Qui suis-je ? » Vous alliez vous cacher dans votre placard tard dans la nuit quand vous pensiez que je faisais la fête en France pour dire : « Mais qui suis-je ? Qui suis-je ? Cher Dieu, cher quelqu'un excepté Adamus, qui suis-je ? » (Rire)

 

Et alors vous alliez en cachette chez une voyante. Je sais que vous l'avez fait. Je l'ai vu. Je sais que vous avez été humilié en le faisant. Vous vous êtes sentis coupables et misérables, et à raison. Mais vous avez filé chez une sorte de voyant, de médium, n'importe quoi — n'importe quoi excepté vous, ABU [Anything But You]. — N'importe quoi excepté d'aller réellement creuser au plus profond de vous-même, parce que ça fait mal, et à un certain degré cela fait encore mal. Et dans une certaine mesure je peux en quelque sorte comprendre pourquoi vous avez fui, pourquoi vous avez triché avec moi (Rires) et êtes allé vous faire lire l'avenir, parce qu'il y avait un désespoir. Vous ne saviez pas quoi faire d'autre, et vous pensiez que certainement quelqu'un quelque part devait avoir la réponse.

 

Et puis que s'est-il passé ? Eh bien, nous connaissons l'histoire. Je n'ai même pas à créer une histoire de Mémoire de Maître à ce sujet, mais je le ferai. Vous êtes allé voir cette voyante et vous avez encore plus foiré. Pendant un temps, elle vous a rendu un peu de votre identité. « Oh oui, vous étiez une princesse en Égypte ». Eh bien, en fait, vous l'étiez, ça n'est pas la question. (Rires) Désolé. Je dois extraire cela. Vous ne vous en souviendrez plus. C'est comme dans Men in Black — zzzzt ! — Vous ne pouvez plus vous en souvenir. (Rires) Oh, je regarde vos films stupides. (Adamus rit)

 

Alors ils vous ont donné une perfusion temporaire d'identité. Vous l'avez reconstruite. Vous vous sentiez bien pendant quelques jours, et puis quoi ? Whoosshhh ! Le gros crash. Le gros crash. Mais je m'égare. Nous parlons de Sam, ou sommes-nous en train de parler de vous ? Hmmm. Hmmm.

 

Alors Sam, 15 ans, très intéressant. Il n'a jamais vraiment développé une personnalité. Certains ont dit qu'il était un peu terne. Certains ont dit qu'il était un peu ennuyeux. Certains ont dit qu'il était totalement sans racines, qu'il ne pouvait pas se connecter à quoi que ce soit, qu'il était toujours en train de rêver, et en effet il rêvait. Il passait par un processus très important en lui-même.

 

Il apprenait les compétences de la vie, mais pas tellement bien. Sam, 15 ans, n'est pas un très bon élève. Non. Un peu comme la plupart d'entre vous. (Quelques rires étouffés) Les notes B étaient considérés comme très bons. C'était un jour de fête à la maison. Les notes C étaient acceptables. Pas particulièrement intelligent, mais incroyablement intuitif.

 

Quand il sort de sa tête, quand il arrête d'essayer de comprendre les structures, les modèles, qu'il arrête d'entrer dans l'esprit et dans la logique — c’est incroyable. — Il peut résoudre quoi que ce soit très vite. Il n'a pas à connaître les faits et les chiffres.

 

A 15 ans, Sam n'est pas intéressé par l'université. Il y ira probablement pour une courte période de temps, et puis finira par s'ennuyer incroyablement avec tous les, hé bien, les enseignements ennuyeux qui n'ont vraiment que très peu à voir avec la vraie vie, la vraie joie de la vie. Pas particulièrement bon élève, mais incroyablement intuitif comme beaucoup d'entre vous.

 

La différence est que Sam n'a pas 20 ou 30 ans de programmation pour cacher cette intuition. Sam a été laissé relativement propre et clair. Même si ses parents, maintenant divorcés, étaient tous deux professeurs d'université, ils n'ont pas compris Sam. Je parle de Sam ou de vous ? Ils ne l'ont — ne vous ont — vraiment pas très bien compris et ils l'ont en quelque sorte ignoré, ce qui lui donnait beaucoup de temps libre avec lui-même.

 

C'est intéressant que maintenant, à l'âge de 15 ans, Sam est dans les derniers jours de sa puberté, et maintenant nous pouvons parler plus de lui. Nous l'avons en quelque sorte laissé tranquille pendant les années très sensibles de cette puberté. Nous allons parler de lui de plus en plus, parce qu'il sent cette connexion profonde avec chacun d'entre vous, tout comme Tobias l'a fait et le fait encore.

 

Il sent une connexion. Il ne sait pas encore ce que c'est et il ne se soucie pas de savoir exactement ce que c'est. Il ne se soucie pas de ce qu'il sait à propos de cette chose appelée le Cercle Cramoisi et les Shaumbra et les détails, parce qu'il le ressent. Et c'est ce qu'il laisse venir de l'intérieur de lui. Il sait qu'il y a quelque chose.

 

Il sait que c'est, je suppose que vous pourriez l'appeler, le soutien, la camaraderie, l'acceptation, la compassion. Il sait que c'est là, mais il ne sait pas exactement où. Mais il ne s'en soucie pas, et c'est un point très important. Il n'a pas à connaître les détails. En fait, d'une certaine manière ça le priverait d'un peu de la richesse qu'il ressent en ce moment, parce que s'il devait soudainement redécouvrir le Cercle Cramoisi et Shaumbra, il entrerait trop dans les détails. Mais en ce moment il sent la richesse de chacun d'entre vous. Ouais.

 

Maintenant, je ne serais pas surpris du tout… Cauldre fait un peu de filtrage ici, donc nous allons simplement l'assommer. Mais je ne serais pas surpris du tout s’il commençait à parler à certains d'entre vous, à se connecter avec certains d'entre vous.

 

Il travaille dans une ferme cet été, et il aime ça. Il aime travailler avec la Terre. Pas trop d'animaux à la ferme, principalement des légumes et des fruits. Mais il aime travailler dans ce milieu, sortir, toucher la nature, regarder les choses pousser, voir la beauté de la vie. Il est avec des amis à lui qui ont quitté la ville, la cité, qui travaillent dans les fermes, et ici il a trouvé une passion. Passion qu'il n'avait jamais ressentie auparavant. Son Kaiko. Et cela ne vient pas seulement des plantes et de la terre ou de la camaraderie dans la soirée, mais il ressent quelque chose en lui, quelque chose en train de s'ouvrir.

 

Dans le même temps, il ressent également la sensualité de la vie. Il commence à, disons, ressentir cette sensation très sexuelle et belle venir en lui. Avec certains de ses amis de l'école, il a vu — à plusieurs reprises — l'Internet et la pornographie. Il ne s'y est jamais vraiment beaucoup intéressé. En fait, pour lui, c'est effectivement déroutant, parce qu'il en ressent l'énergie. Il sent l'abus et le vampirisme énergétique qui se déroulent et il se demande, en se disant qu'il y a une telle beauté de cette chose de l'intimité, de la sexualité, mais où est-elle ? Personne n'en parle. Soit le sexe est quelque chose qui est mal, soit le sexe est quelque chose qui est interdit ou c'est dans ces références pornographiques. Donc, il est très confus à ce sujet maintenant, pourquoi les autres humains ne parlent pas de la sexualité d'une manière sacrée, d'une belle manière.

 

Maintenant, il y en a qui le font, bien sûr, mais dans la conscience de masse générale, c'est soit la culpabilité et la honte, soit quelque chose de sombre et décadent et lié au vampirisme énergétique. Ceci, et le fait de travailler à la ferme, lui inspirent en ce moment ce qu'il va poursuivre plus tard dans sa vie. En pleine croissance en ce moment.

 

Sam est grand et vous le trouveriez beau, mais étonnamment ne ressemble plus à l'un ou l'autre de ses parents. C'était le cas quand il était plus jeune. Et puis en passant par tout ce processus de la puberté, il a fait quelque chose de très brillant, quelque chose que je vous demande à tous et à chacun d'entre vous de faire — de renoncer à votre biologie ancestrale. Ce n'est pas la vôtre. Elle est louée. Elle est héritée.

 

Il n'a jamais passé beaucoup de temps dans sa biologie ancestrale. Il en a utilisé des morceaux, des attributs pour s'incarner dans un corps physique. Mais au cours de la puberté, il est passé par une étape très intéressante où il s'en est libéré. Il ne savait pas que c'était ce qu'il faisait. Mais en fait, à un niveau très élevé, il s'est libéré de sa biologie ancestrale.

 

Il y en a bien encore quelques traces, mais il ne ressemble pas à ses parents — très beau, grand. Bien sûr, les hommes et les femmes sont attirés par lui. Et pas seulement pour la sexualité physique, mais à cause de sa personnalité ou, oserais-je dire, son manque de personnalité.

 

Sam est très affectueux, très sensible, mais comme vous, il constate que les choses l'affectent. Il doit s'abriter. Il doit s'éloigner des choses, et c'est pourquoi passer cet été à travailler à la ferme est idéal pour lui.

 

Oui, il a eu des relations intimes avec des femmes. Il a eu des rapports sexuels, même s'il est encore très jeune, mais d'une très, très belle manière. Contrairement à, hé bien, en particulier pour beaucoup d'entre vous — je vais fermer les yeux pour un moment — mais repensez à lorsque vous aviez cet âge, n'ayant pas vraiment une réelle sensibilité ou conscience, la maladresse ou la, oh, la précipitation, la… (Adamus rit) Oh, d'accord. Passons. (Quelques rires)

 

Alors Sam, encore une fois, est très doué, artistiquement, très talentueux, mais ne dispose pas encore de réels débouchés pour exprimer cela. Donc, la meilleure chose qui lui soit arrivée depuis longtemps était, cet été là, l'été à la ferme où il va découvrir beaucoup de choses, comme beaucoup d'entre vous l'avez fait quand vous aviez cet âge.

 

C'est un peu comme une mise à jour sur Sam. Nous resterons plus étroitement en contact maintenant qu'il va sortir de la puberté.

 

 

~ Puberté spirituelle

 

En parlant de sortir de la puberté, la puberté spirituelle, que beaucoup d'entre vous connaissent. C'est bizarre. Vous sortez d'une personnalité très dense — une personnalité qui s'est développée au cours de nombreuses, nombreuses vies — et maintenant elle se dissout.

 

Il y a une résistance. Vous essayez de vous y accrocher à bien des égards. Et comme souvent, ce que je supposerais être naturel, vous voulez lâcher certaines choses du soi et ensuite vous concentrer ou développer d'autres choses sur le soi.

 

Et au fond dans le développement spirituel, en particulier dans cette partie du processus de puberté, alors qu'il arrive à sa fin, vous réalisez que vous avez laissé tomber certaines choses et vous vous rendez compte que c'est comme de nombreuses, nombreuses, nombreuses couches de l'oignon, la peau de l'oignon, vous en épluchez de plus en plus et encore plus. Vous arrivez au point de réaliser que vous continuez à peler, à éplucher, et vous dites : « Quand cet épluchage de pelures les unes après les autres prendra-t-il fin ? »

 

Lorsque vous en arrivez vraiment à ce point et que vous vous rendez réellement malades à éplucher des choses, que vous en avez vraiment marre, c'est alors que tout cela, pourriez vous dire, explose, se dissout, se désagrège, s'en va.

 

C'est un processus effrayant, parce que, une fois de plus, la plupart d'entre vous se retrouvent dans cette réflexion… il y a deux niveaux qui se sont produits. Il y avait un désir sous-jacent interne pour, vous l'appelez spiritualité, la compréhension de Soi ou Dieu, la découverte du vrai Soi. Vous avez toujours eu ce courant sous-jacent, mais cependant vous ne vous étiez pas vraiment rendu compte de quoi il s'agissait. Vous n'avez pas nécessairement… vous n'étiez pas en mesure de l'exprimer. Vous n'étiez pas en mesure de dire : « Eh bien, dans mon for intérieur il y a ce profond désir ». Cela s'est justifié à d'autres niveaux, particulièrement dans le mental, en disant : « J'en ai marre de ma vie. Je veux que les choses changent » ou « Je veux que les choses aillent mieux ».

 

Donc, à un autre niveau vous étiez là, disant : « Je veux plus d'abondance. Je veux être plus jeune. Je veux être plus intelligent. Je veux atteindre mes objectifs ». Donc c'est ce qui se passe ici, malgré un profond désir latent de se connaître authentiquement soi-même, de façon réelle. Ces deux choses sont en conflit de nombreuses façons, parce que la personnalité ne veut pas se voir être détruite. Pas du tout. La personnalité veut s'améliorer. Elle a été programmée pour s'améliorer sur plusieurs vies, de programmation en programmation — améliorer votre intelligence, améliorer votre abondance, améliorer votre apparence, améliorer votre capacité à vous faire des amis et persuader les gens et toutes ces autres choses. Ainsi, la personnalité, l'identité ne peut pas admettre le fait qu'elle va être réellement dissoute.

 

Pourtant, dans le fond il y a quelque chose qui dit : « Gloire ! Alléluia !. C'est le moment. Quand cela va-t-il arriver ? Quand allons-nous nous dépêtrer de ce jeu de mascarade ? Quand allons-nous aller au-delà de ces jeux et entrer dans l'authentique ? »

 

Eh bien, le mental se précipite et dit : « Oh oui, l'authentique. C'est ça». Parce que votre mental a senti quelque chose, la personnalité a senti « ouais, l'authenticité ». Et il essaie alors d'être authentique, et il ne le peut pas. (Quelqu'un rit) Il ne le peut pas. Et c'est risible à un certain degré, parce que vous essayez d'être authentique avec quelque chose qui n'est absolument pas authentique. Ce n'est pas mauvais, mais ce n'est pas authentique. Ce n'est pas ce que vous êtes vraiment.

 

 

~ Corps de Lumière

 

Ressentez maintenant pour vous-mêmes. Ressentez une sensation de vous-même, dans votre corps, dans vos pensées, dans votre Soi. Ce qui est en surface, ce qui parvient aux autres, ce qui est projeté — pas ce qui est vraiment à l'intérieur, mais ce qui est projeté sur l'extérieur— est une ancienne biologie. Nous allons vraiment travailler sur le corps de lumière. En fait, nous n'allons pas travailler. Nous allons permettre le Corps de Lumière.

 

Vous avez compris cela et je sais que certains d'entre vous sont très frustrés, parce que — et prenez spécialement note de ceci — parce que vous essayez de créer le corps de lumière à partir de votre vieux mental humain et les deux ne sont pas vraiment compatibles. Vous essayez d'utiliser votre personnalité, les concepts de votre mental sur ce que doit être le corps de lumière pour attirer le corps de lumière. Et tout ce que vous faites c’est endommager votre ancien corps. Vous causez un conflit dans votre ancien corps, parce que vous pensez à travers lui.

 

Vous avez le concept de marcher à un mètre au-dessus du sol, vous serez éclatant et vaporeux comme un néon dans une nuit brumeuse et simplement bzzzt ! bzzzt ! bzzzt ! (Rires) Ce qui n'a rien à voir avec cela! Rien du tout. Donc, avant que nous puissions vraiment faire beaucoup de choses avec le corps de lumière, nous allons nous débarrasser d'un grand nombre d'idées fausses sur ce qu'est un corps de lumière.

 

C'est intéressant. Vous êtes en conflit. Vous dites : « Eh bien, oui, mais j'ai juste un tel désir pour un corps de lumière. Je suis fatigué de ce corps humain. Il devient plus vieux de minute en minute et devient de plus en plus lourd et déséquilibré ». Ce que vous ressentez à un niveau très profond, et c'est pourquoi j'ai parlé de Kaiko, la passion intérieure, c'est le feu brûlant à l'intérieur. Pourquoi en ai-je parlé le mois dernier parce que c'est ce Kaiko, cette passion, cette énigme, la connaissance intérieure inconnue qui va véritablement engendrer le corps de lumière.

 

Et puis votre tête en prend possession et vous donne toutes les raisons pour lesquelles vous voulez votre corps de lumière et je sais que certains d'entre vous ont déjà commencé à écrire des livres sur votre corps de lumière, et vous n'avez aucune idée de ce que c'est. Et vous allez juste flinguer les autres avec vos fausses perceptions sur le corps de lumière. Nous y arriverons et nous allons y arriver en dépit de vous, parce qu'il y a cette profonde connaissance intérieure que cette biologie n'est pas vraiment la vôtre. Donc débarrassez-vous de tous ces trucs et tous ces stratagèmes et tout ce que vous avez pensé au sujet de ce livre que vous êtes en train d'écrire et les cours que vous allez donner à propos du corps de lumière. Lâchez cela pendant un certain temps jusqu'à ce que vous compreniez vraiment ce qu'est le corps de lumière, jusqu'à ce que vous compreniez vraiment et ressentiez le Kaiko — le désir brûlant, brûlant, brûlant.

 

Cette flamme de Kaiko, comme je l'ai dit, si elle est en vous intérieurement, si vous le permettez, il s'agit d'un feu frais ; « frais » car il ne vous brûle pas. C'est un feu de transmutation et le véritable feu de la transformation alors que l'alchimie est une flamme fraîche. Mais ainsi vous maintenez une position extérieure et en essayant de le manipuler et de l'aiguiser pour l’imbriquer dans votre personnalité actuelle, il brûlera comme l'enfer. Je veux dire comme l'enfer, le véritable enfer. Il brûlera fortement.

 

Il s'agit donc d'entrer dans cette passion et de la permettre. Mais je m'égare encore une fois. Hm.

 

Donc, ce corps de lumière et votre biologie, cela va se faire naturellement. Comprenez-vous cela ? Ça se passe naturellement. C'est ce que vous avez ressenti. C'est pourquoi je me réfère à Sam maintenant, en disant que Sam n'est pas intelligent, mais, oh, il est sage et intuitif, et il est dans l'ici et maintenant, ou quelle que soit votre façon de l'appeler. Il ne pense pas ; il permet.

 

 

~ Au-delà de l'identité et de la validation

 

Donc, dans le même prolongement dans laquelle arrive la fin de la puberté spirituelle, il y a eu une telle tentative d'améliorer ou de développer votre personnalité. Et, encore une fois, je reviens aux raisons pour lesquelles je ne suis pas en faveur des plans,  des programmes et des objectifs. Tout cela ne fait qu'intensifier ou densifier votre personnalité. Et il y a un tel désir de l'être humain de le faire — s'identifier à quelque chose, avec quelque chose. C'est pourquoi ils forment des groupes d'affinité. Ils appartiennent à des clubs et associations afin qu'ils puissent s'identifier. Ils essayent constamment de s'améliorer.

 

Eh bien, nous allons nous libérer, et cela pourrait être effrayant. Eh bien, vous avez eu beaucoup d'expériences à ce sujet jusqu'à maintenant. Cela peut être effrayant parfois, de vraiment libérer ce truc qu'on appelle la personnalité.

 

Mais la personnalité, la chose à laquelle vous vous êtes identifié, relié, que vous avez validée comme identité pour vous-même n'est plus valide. Vous vous rendez compte que souvent ce qui se passe avec les gens qui doivent s'identifier eux-mêmes — vous savez, dans le quotidien vous êtes continuellement validés par des choses — donc vous essayez constamment de vous identifier vous-mêmes. Vous essayez de mettre les morceaux en place et les morceaux du « qui suis-je » — vous êtes une mère ou vous êtes un père ; vous êtes un dirigeant ou vous êtes un chauffeur de taxi ; vous avez cet âge-là ou celui-ci ; vous êtes intelligent, vous êtes stupide — et cela n'a pas d'importance. En vous validant, il n'y a pas une grande différence entre dire « je suis intelligent » et « je suis stupide ». Au moins, c'est une validation ou une parole d'identification : « J'ai eu une enfance malheureuse » ; « J'ai eu une enfance heureuse » ; « Je suis beau » ; « Je suis moche ». Tout est validation, même si c'est une validation négative.

 

Ce sont les crochets que vous mettez sur les choses afin de vous identifier. Et plus vous vous identifiez, plus vous vous associez à d'autres choses, et mieux vous vous sentez pendant un certain temps. Mais alors, cela commence à se dissiper, et ensuite vous arrivez avec un nouveau plan, programme, objectif ou autre.

 

Ne vous méprenez pas. C'est merveilleux d'exprimer l'être créateur que vous êtes. Mais parfois, ces plans et programmes ne sont pas seulement des moyens d'expression, mais plutôt juste un moyen de valider, ou parfois une façon de vous distraire de vous-même.

 

Nous allons maintenant entrer dans un temps merveilleux pour vraiment libérer la personnalité. Je ne parle pas de tuer la personnalité ou de l'anéantir, mais de la libérer de tous ces points de raccordement, de ces points de validation de qui vous êtes.

 

Maintenant, vous avez probablement remarqué que, dernièrement, vous avez eu l'occasion, peut-être de nombreuses occasions, de faire des rêves très intéressants, et très intenses, bizarres. Vous avez essayé de leur donner du sens mais ils ne font pas sens du tout. Ce ne sont pas des rêves prophétiques. Ils ne concernent pas ce qui va se passer dans le monde, ou ce qui va vous arriver à vous. Ils sont littéralement des choses qui se produisent dans votre vie.

 

Vous, à travers ce processus d’essayer de valider votre identité, vous avez créé de plus en plus d'aspects, et vous en aviez déjà beaucoup pour commencer. Mais vous avez créé encore plus d’aspects.

 

Et c’est intéressant. La compréhension de l’Aspectologie est très, très importante, mais elle vous amène aussi au point où vous devenez un peu obsédé par cela. Et, contrairement à ce que Tobias disait à l’origine, vous avez essayé de contrôler ces aspects, comme s’ils étaient une bande de chiots ou comme s’ils étaient vos enfants.

 

Ou alors vous en avez peur, comme s’ils avaient plus de pouvoir que vous ou qu’ils avaient plus d’existence (de capacité à être) que vous, ce qui est peut-être un meilleur mot. C’est très intéressant, et en particulier ce serait une discussion de psychologie spirituelle très intéressante à avoir sur la façon dont la compréhension de l’Aspectologie crée en fait plus d’aspects pendant un moment et crée effectivement, je dirais, une peur des aspects ou fait que l’être créateur — imaginez cela, ce serait un bon film ou livre de science fiction — l’être créateur, commençant à comprendre les aspects qu'il a de lui-même, abandonne effectivement le pouvoir ou plus d’existence à un de ces aspects eux-mêmes, ou bien à plusieurs de ces aspects. En d'autres termes : « Mes aspects sombres sont plus puissants, plus capables d’être que moi ». Et c’est ce qui se passe. Je l'ai vu avec nombre d'entre vous. Je ne vais pas regarder l’un de vous dans les yeux. Je vais regarder vers la caméra. J'ai vu cela se produire. Vous donnez plus d’existence, plus d'autorité, plus d'identité à certains de ces aspects comme s’ils étaient plus intelligents que vous ou qu’ils avaient plus de talent ou étaient plus doués que vous. C'est un phénomène intéressant, parce que vous êtes l’être créateur de chacun de ces aspects.

 

Peut-être y a-t-il un désir caché ou un espoir que l'un d'entre eux soit meilleur que vous. Un espoir que : « Mon Dieu, j'espère qu'il y a quelque chose de mieux que cela, et donc peut-être qu’il y aurait un aspect plus magnifique que je ne le suis » ou même, d'une manière déformée et tordue : « plus puissant que je ne le suis. Tellement sombre qu'il serait plus majestueux que moi ». Une sorte de désir tordu qu'il y ait quelque chose de plus grand que vous, parce que vous n'êtes pas heureux avec ce soi. Eh bien, parce que c'est une personnalité qui n'est pas la vôtre.

 

Pour le corps, bien sûr, c’est facile à comprendre quand je dis que ce n'est pas le vôtre. Vous dites : « Eh bien, zut, ouais. Je ressemble à ma mère. Je ne veux pas ressembler à ma mère. Je veux ressembler à mon père ». Alors, lorsque nous parlons de libérer votre biologie ancestrale, il y a presque comme un ralliement autour d’un étendard. « Eh bien, merde. C’est une question de temps ». Mais je dis que c’est une question de temps également pour vous permettre de reconnaître que cette personnalité n'est pas vraiment la vôtre. Bizarre. Bien sûr, le mental saute sur cela et dit : « Eh bien, à qui elle est, alors ? » A personne. Mais ce n'est pas l’authentique vous. Ce n'est pas le vrai vous.

 

J’ai ressenti, j'ai entendu les questions que vous vous posiez ces derniers temps, et l'une de ces grandes questions c’est « Suis-je authentique ? Suis-je vrai ? »

 

Quand vous étiez plus jeunes, en particulier pour ceux d'entre vous qui ont eu quelque chose de l’ordre d’une éducation religieuse, on avait l'habitude de dire « Suis-je bon ou mauvais ? » Ou si vous croyiez au Père Noël : « Ai-je fait le bien ou ai-je fait le mal ? » et puis maintenant, tout ça a été remplacé par « Suis-je vrai ? Suis-je authentique avec moi-même ? » Eh bien, bien sûr que non ! Bien sûr que non.

 

Je veux que vous jetiez un oeil à votre personnalité. Je parle de l’apparence. Je parle de la vitrine, de la façade. Je ne parle pas de l'arrière-salle. Nous y reviendrons plus tard. Mais je parle de cette apparence que vous avez mise en place. Sur quoi est-elle fondée ? Eh bien, elle est en partie fondée sur votre éducation, en d'autres termes, votre environnement, vos parents et vos frères et sœurs et vos professeurs. Elle est fondée sur cela. Ce n’est pas vraiment la vôtre.

 

Votre personnalité est basée sur de nombreuses réactions aux circonstances de votre passé que vous n'avez pas réellement, pas vraiment, perçues dans ce qu’elles étaient pleinement. Nous en avons parlé à plusieurs reprises. Vous voyez un petit morceau de ce qui s'est passé dans le passé. Mais vous prenez ce morceau et vous le mettez dans le développement de votre personnalité, vous le mettez dans votre soi, puis vous adaptez cela et vous dites : « Eh bien, c'est moi ».

 

Vous prenez des choses qui vous sont arrivées dans la vie et vous les acceptez simplement sans vraiment comprendre ce qui s'est passé, ou sans, devrais-je dire, en extraire la sagesse. Sans en enlever la peur, les détails, les traumatismes et tout le reste, pour juste en extraire la sagesse. Nous avons beaucoup d’extraction de sagesse à faire ici. Et vous prenez aussi des choses qui arrivent de l'extérieur. Les nouvelles — vous les prenez comme si elles étaient vôtres.

 

Et, au passage, tout ce processus que vous traversez, et merci Marty pour l’allusion là. Il a baillé — « aghhh » — tout ce processus est en train de vous fatiguer et il est aussi ennuyeux d’en parler. Ne préféreriez-vous pas plutôt chanter ? Mais ça vous fatigue et vous vous demandez, dans tout ce développement de la personnalité qui descend maintenant vers le déraillement de la personnalité, c'est comme si vous étiez dans la puberté. Vous vous souvenez quand vous aviez 13, 14, 15 ans ? Vous n’aviez jamais assez dormi. Et vous n’aviez jamais assez mangé non plus, mais vous n’aviez jamais assez dormi. Toujours fatigué, toujours à vous sentir anémié, sans énergie, à part le regain d’énergie occasionnel concernant les pensées et les expériences sexuelles. Mais à part ça c'était… (Quelques rires) Je parle plus aux garçons. Les garçons rient. Les hommes. Je devrais dire les hommes.

 

Donc en ce moment vous êtes particulièrement fatigués, très fatigués, et que faites-vous ? Vous dites : « Ohhh, je vieillis ». Alors, que faites-vous ensuite ? C’est tellement classique. (Quelqu'un dit « Vous dormez ») Vous dormez. Non. Vous dites : « Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? Eh. Qu’est-ce qui se passe chez moi ? J'ai besoin de plus d'exercice, parce que j'ai entendu aux infos ou j'ai entendu le médecin dire qu’il fallait faire plus d'exercice. » En fait, ce n’est pas le cas. Vraiment. Quand nous entrerons dans le corps de lumière, vous verrez que tous ces exercices, c’est des conneries. Ça l’est vraiment. (le public applaudit) Non, ça l’est vraiment, parce que vous avez entendu quelque part — « Je dois faire de l’exercice et je dois faire tant d’heures par semaine et c’est… »— oh mon dieu ! Quelle non-joie de vivre.

 

Alors, ensuite, vous dites des choses comme : « Bon alors je dois manger différemment et je… ». Regardez, vous voyez ce que vous faites ? Vous construisez tous ces attributs, qui construisent la personnalité. Non, vous êtes fatigués parce que vous traversez la période de puberté spirituelle. C'est un processus dévorant. Vous vous débarrassez de toute cette merde que vous avez traînée pendant longtemps et qui n'est pas à vous. Ce n'est pas votre personnalité.

 

Lorsque vous rentrerez chez vous ce soir ou quand vous vous réveillerez le matin, regardez-vous dans le miroir s'il vous plaît, parce que ce corps n'est pas le vôtre. Et cette personnalité ? Vous devriez applaudir maintenant ou dans un instant, mais ce n'est pas la vôtre ! (Rires) Dieu merci ! Ça ne l'est pas. Ça ne l'est pas.

 

Maintenant, cela pose beaucoup de questions. Alors, quelle est votre personnalité ? Eh bien, c'est pourquoi j'ai parlé de Kaiko le mois dernier. De la passion. Et d'autre part, vous n'avez plus besoin de vous identifier aux choses. Vous n'avez pas à dire : « Je suis un homme de 42 ans qui mesure 1,80 mètre et qui a eu telle ou telle formation ». Ces choses ne sont pas importantes. Elles ne le sont vraiment pas. Elles ne sont pas importantes là où nous allons.

 

Ce sont des choses amusantes avec lesquelles jouer quand vous vous rendez compte que ce ne sont que des jouets. Ce sont vraiment des choses amusantes avec lesquelles jouer. Et c'est là que vous devenez un véritable acteur, et que vous glissez dans la comédie de tout ce que vous voulez être et ensuite vous en sortez de la même manière (en glissant hors de cette comédie). Mais pour l'instant vous ne croyez pas que vous jouez une comédie. Vous croyez que c'est réel. Vous essayez de trouver plus d'authenticité. Vous continuez d'entendre ceci, provenant des parties les plus profondes de vous-même : « Suis-je authentique ? Suis-je vrai ? Suis-je sincère ? » Cela va venir encore et encore et encore. Vous ne l'êtes pas. Vous ne l'êtes pas du tout. Et ce sont de bonnes nouvelles.

 

Alors ça laisse un grand espace vide. Comme « Waouh, que vais-je faire ? Avec quoi vais-je remplir cela ? Comment vais-je être moi ? » N'est-il pas intéressant que, dans toute cette quête pour être vous, nous allons vous emmener loin de vous, afin que vous puissiez vraiment comprendre qui vous êtes. Donc une grande partie de cela est juste une apparence.

 

Oh, il y a des choses merveilleuses à ce sujet. Ne vous méprenez pas. Il y a des choses merveilleuses, mais vous devez comprendre que c'est un jeu. C’est la créativité au travail. Vous devez aller au-delà de juste essayer d'affiner ce soi, ce corps ou cette personnalité ou ce mental.

 

 

~ La Nouvelle Série

 

Donc, ceci dit, j'ai passé beaucoup de temps à réfléchir à comment appeler notre prochaine série. J'ai jeté un oeil là où nous allions, et à ce que nous allions faire dans notre série. Pendant un moment, j’ai voulu l’appeler la série de l’Amour, et… (Quelqu'un dit « Hmmm » ) Hmm. Conduisant à l'amour du Soi. L'amour, c’est une si belle expérience. Et, oui, pourriez-vous écrire cela sur notre liste de choses à faire. Non, pas là.

 

LINDA : Pas sur cette liste.

 

ADAMUS : Non, sur votre liste : la liste des choses à faire. S'il vous plaît, nous avons besoin de cela — le Livre de l'Amour. Le Livre de l'Amour.

 

LINDA : Bien sûr.

 

ADAMUS : L’amour, expérimenté pour la première fois sur cette planète. Dieu, l'Esprit, ne savait rien de l'amour avant que vous n’en ayez fait l’expérience. Il y a toute cette histoire comme quoi « Dieu est amour ». Dieu n'avait pas la moindre idée de ce qu’était l'amour. Comment aurait-il pu alors qu’il n’en avait jamais fait l’expérience avant qu’il ne le vive grâce à vous et à travers vous ?

 

Alors j'ai pensé l’appeler la série de l’Amour, mais c’était un peu pauvre. C'était un peu facile. Ouais, je voulais en faire quelque chose de plus pénétrant. Mais bien sûr, nous allons parler d'amour, mais pas de l’ancien amour d'une personnalité qui dit qu'elle aime quelqu'un, parce que ce n'est pas de l'amour. (Linda met un post-it sur Adamus, quelques rires étouffés alors qu’il le lit et le rend à Linda) Bon, vous pouvez garder cela.

 

Le Livre de l'Amour. S'il vous plaît rappelez-le à Linda. Chaque fois que vous la verrez, faites-lui un câlin et dites : « Le Livre de l'Amour ! » (Un peu plus de rires)

 

Donc, je voulais l’appeler la série de l’Amour, mais j’ai pensé que, non, c'était trop facile. C'était trop pauvre. J’ai alors voulu l’appeler la Série du Corps de Lumière, parce que nous allons…

 

LINDA : Vous voulez que je l’écrive sur cela ? (Elle a un nouveau type d'outil pour écrire)

 

ADAMUS : Pas tout à fait, pas encore. Oh. Ouais. Nous allons l’appeler la Série du Corps de Lumière. Mais, j’ai pensé, nous allons parler du corps de lumière. Nous allons faire le corps de lumière. Et, oh, alors que vous dites combien ce sera amusant et ce sera merveilleux, en fait ça va être difficile, sauf si vous prenez une profonde respiration et que vous arrêtez d’y travailler et que vous cessez d'avoir des attentes. Vous le recevez naturellement. Ouais.

 

Alors j'ai pensé, non, je ne veux pas l'appeler le Corps de Lumière, parce qu’il va y avoir d’étranges attentes. Tout le monde est supposé devenir beau et sexy et plus jeune. Et tout cela pourrait se produire, cela ne devrait pas être la vraie-… ouais. (Quelques rires étouffés) Pourquoi pas ? Mais est-ce la vraie raison pour le faire ? (Quelques personnes répètent « Non ») Non. Vous dites non maintenant, mais je sais que la vraie… oui. (Rires)

 

Mais nous allons explorer le corps de lumière, mais j’ai pensé que non, cela allait envoyer le mauvais signal, et nous allions attirer… bon sang, nous allions récupérer une partie des gens que nous avions jetés dehors! (Beaucoup de rires)

 

LINDA : Ouais ! Oooh !

 

ADAMUS : Non, non, non, non, non, non. Non, ne faites pas ça. Nous sommes allés loin, beaucoup trop loin.

 

Alors j'ai réfléchi. En fait, je me suis concerté avec quelques-uns du Club des Maîtres Ascensionnés et j’ai dit : « Oui, c’est le temps d’une nouvelle Série avec les Shaumbra. Je recherche plusieurs choses différentes. Je ne vais même pas en parler encore à Cauldre ou à Linda. Mais comment, oh comment, dois-je l’appeler ? » Et ils m’ont fait quelques suggestions à ce sujet, et peut-être que certains d'entre vous ont aussi des suggestions. Des suggestions ?

 

(Il y a une pause)

 

Oh, personne n'ose ! (Adamus rit) Personne d’autre que Pete. Pete, comment l’appelleriez-vous ?

 

PETE : Permettre…

 

ADAMUS : La Série du Permettre.

 

PETE : … Mon Ascension.

 

ADAMUS : Permettre Mon Ascension. Eh, c'est pas mal.

 

LINDA : Mm hmm. Oh, oh ! Un autre.

 

ADAMUS : Il manque une sorte de grésillement, n’est-ce pas. Je pense que nous sommes un peu fatigués de permettre maintenant. Ce serait comme dire « Ah merde ! » Ouais, mais…

 

PETE : Eh bien, vous avez parlé de permettre au début.

 

ADAMUS : Eh bien, au début, puis nous en avons eu assez de cela ! (Rires)

 

PETE : Oh ! Pas moi, mais vous, oui. Okay.

 

ADAMUS : Oui, comment l’appelleriez-vous ?

 

SUE : Le Parcours de mon Illumination.

 

ADAMUS : La série entière concernerait votre parcours vers l'illumination ? Seulement le vôtre ?! (Rires) Est-ce qu'on va passer un an à parler de votre parcours ? Je ne pense pas.

 

Je comprends ce que vous…

 

SUE : Mais tout le monde peut le prendre personnellement.

 

ADAMUS : Le Parcours de mon Illumination. Ouais, vous savez…

 

SUE : Ou tout simplement l’Illumination.

 

ADAMUS : L’Illumination. Ouais.

 

SUE : Oui.

 

ADAMUS : N'avons-nous pas fait cela ou…

 

SUE : C’est un peu ennuyeux.

 

ADAMUS : Ouais.

 

SUE : En quelque sorte.

 

ADAMUS : Non, mais nous y arrivons. Nous y arrivons.

 

ADAMUS : C'est… Cauldre me dit que je suis supposé… il n'y a pas de mauvaises idées.

 

SUE : D'accord.

 

LINDA : Ohhhh ! (L'assistance répond « Ohhhh ! » également)

 

ADAMUS : Nous y arrivons.

 

LINDA : Nous écoutons, ouais.

 

ADAMUS : Quoi d'autre ? D’autres idées ? Non, ce n'est pas mal. C'est juste un peu — quelle est la prochaine étape ? Quelle est la — whissh !

 

SUE : Eh bien, ce que vous nous dites, c'est…

 

LINDA : Attendez, attendez, attendez ! Parlez avec le micro afin que les gens puissent entendre.

 

SUE : Vous nous dites que nous allons passer par l’illum-… notre soi va devenir un corps plus lumineux. C’est juste ?

 

ADAMUS : Oui.

 

SUE : Alors…

 

ADAMUS : C’est possible. Eh bien…

 

SUE : C’est possible.

 

ADAMUS : Ouais.

 

SUE : Mais nous n'allons pas tourner autour du pot. (Rires)

 

ADAMUS : Juste… voulez-vous le faire maintenant ? Simplement en finir avec cela ? (Plus de rires) Vous avez une scène entière pour cela. Nous allons jouer un peu de musique. Nous aurons un peu…

 

SUE : Non, non, non. Nous n'allons pas faire cela.

 

ADAMUS : Eh bien vous le pourriez.

 

SUE : Vous le pourriez.

 

ADAMUS : (Rires) ça ne marche pas avec ce canal ! (Rires)

 

SUE : Oh !

 

LINDA : Ohhhh ! Ohhhh ! De quoi s’agit-il ? Ohhhh !

 

ADAMUS : Un conflit interne. Il essaie de me faire sortir !

 

LINDA : Ohhhh ! Oww ! Wowwww ! (Rire, alors qu’Adamus fait des gestes et des mimiques drôles comme si lui et Cauldre se battaient)

 

ADAMUS : Pfffzzzzz ! Je suis de retour ! (Plus de rires) Je reste là. Il ne va pas m’éjecter dehors. Eh. Au suivant. Au suivant.

 

La Série. Comment appelleriez-vous la Série ?

 

LINDA : Mofo.

 

ADAMUS : La Série de Mofo.

 

MARTY (Mofo) : Allons-y avec cette série de merde ! (Rires et applaudissements de l'assistance) Est-ce assez piquant ?

 

ADAMUS : J'aime ça.

 

MARTY : Il y a un petit zip, hein ? !

 

ADAMUS : J'aime ça. Ouais, c'est bon.

 

MARTY : Ouais.

 

ADAMUS : Mais nous devons le raccourcir un peu. Donnez-moi juste deux ou trois mots.

 

MARTY : Finissez-en !

 

ADAMUS : Venez-en à bout. (Rires) Oui, mais nous pouvons attirer le mauvais type de personnes avec cela.

 

MARTY : Vrai. C'est vrai, oui.

 

ADAMUS : Ouais, ouais.

 

MARTY : Nous ne voulons pas revenir en arrière !

 

ADAMUS : Ouais. Nous aimerions que notre public ait des dents, si vous voyez ce que je veux dire. (Plus de rires)

 

LINDA : En avez-vous fini avec lui ?

 

ADAMUS : (Rires) Oui. Au suivant. D'autres idées avant que je révèle la mienne ? Oui, comment l’appelleriez-vous ?

 

ALAYA : C'est difficile de suivre après   Venez-en à bout !

 

ADAMUS : Ouais, ouais !

 

ALAYA : La série de l’Initiation.

 

ADAMUS : Initiation à quoi ?

 

ALAYA : Initiation à plus de nous-mêmes.

 

ADAMUS : Ouais. En fait c’est pas mal, et en fait c'est bon, mais il y a beaucoup d'initiations qui se passent tous les jours dans le business du New Age. Pour tout vous dire, en ce moment quelqu'un est au milieu de l'océan Pacifique en train d’ouvrir certains portails qui sont juste remplis de poissons et de rien d'autre. (Rires) Mais il pense ouvrir quelque chose. Mais ce que j'aime, c'est l’initiation à soi, pour laquelle vous penseriez que plus de gens seraient en train de la faire, mais ce n’est pas le cas.

 

LINDA : Oooh !

 

ADAMUS : C'est toujours l’initiation à quelque chose d'autre.

 

Cette pauvre planète — si je pouvais juste un moment avoir ma tribune — cette pauvre planète avec tous ces travailleurs de lumière qui courent initier tout ce qu’ils trouvent, des cocotiers aux rochers dans le sol et des tas de choses comme ça. Laissez Gaia tranquille ! S'il vous plaît ! Arrêtez d'initier. Vous savez, initier c'est comme chier partout.

 

Et, vous savez, on utilise l’initiation, l’initiation, les initiations sacrées et tout le reste, on l'utilise comme une distraction. Une distraction énorme de sorte qu’on n’a pas à faire sa propre initiation.

 

ALAYA : L’initiation à soi.

 

ADAMUS : Ouais. Donc j'aime assez cela, mais nous aurions à le quantifier. L’initiation à rien d'autre qu’à vous. Rien d'autre. Mais alors personne ne serait intéressé, parce que les gens veulent sortir initier quelque chose. Oui. Bon.

 

LINDA : Mais ça vous fait vous sentir grand.

 

ADAMUS : Oui, au suivant.

 

SHAUMBRA 1 (Homme) : J’utilise votre mot, Kaiko. (en le prononçant « Ki-ko » )

 

ADAMUS : Kaiko. (Adamus répète sa mauvaise prononciation) Kaiko a une sorte de connotation négative. C'est Kaiko. (Prononcé « Kaï-ko »)

 

SHAUMBRA 3 : Kaiko.

 

ADAMUS : (Rires) « Kaï-ko » a une sorte de négativité culturelle qui lui est associée. C’est juste la raison pour laquelle je n’ai pas voulu l'appeler Kaiho, parce que quelqu'un — hum, Linda — l’aurait tourné en ‘quelque chose d’autre’-ho. (Rires) Mais j'aime cela, et j’ai vraiment pensé à cela, et j'ai effectivement pensé à un certain nombre de choses. Et si nous pouvions avoir notre tableau, là. (Linda va à son podium où se trouve son iPad) Non, le tableau.

 

LINDA : Oh, ce gros truc horrible ?

 

ADAMUS : Qu’est-ce que c’est que ça ?

 

LINDA : Le petit tableau. Venez voir !

 

ADAMUS : Mais comment… comment suis-je supposé… douce mère de Jésus. Elle écrit sur… Euh ! Ohhh ! Je ne peux pas attendre d’en parler aux Maîtres Ascensionnés. Je suis au paradis. Regardez ce que nous avons ici. Quel dispositif. Quel outil. Pourrions-nous le montrer ?

 

LINDA : Mettez-le à l'écran.

 

JOHN (K) : Il n'est pas connecté.

 

ADAMUS : Amenez-le à John. (Linda court à l'arrière de la salle avec la tablette)

 

Alors j'ai pensé à appeler la série Kaiko, et je vais donner à Linda l'orthographe correcte pour Kaiko dans un moment. Et j'ai été à deux doigts de l’appeler ainsi, parce que cette année — et en fait vous êtes absolument sur la bonne voie — cette année il va s’agir de cette passion. Pas de fausses passions. Non, pas d'anciennes passions du genre « essayer de déterrer quelque chose qui vous excite un peu ». Mais je parle de passion fougueuse, enflammée, belle, dévorante, transformatrice, étonnante. Cette chose qui a toujours été à la surface, mais que vous n'avez pas laissée venir, qui dépasse la personnalité, qui dépasse la tentative de développer votre personnalité. (Le public rit lorsque le terme de Linda « Abruti! » apparaît sur l'écran) Je pense que je veux mon tableau, mon tableau.

 

Les premiers mots écrits sur ce nouveau dispositif dont j'allais parler aux Maîtres Ascensionnés ce soir. Et vous savez ce qu'ils diraient ? « Eh bien, que la technologie est merveilleuse ; qu’est ce qui était écrit dessus ? » (Plus de rires) Passons au mode suppression.

 

Kaïkho orthographié K-a-i-k-h-o. J'en ai parlé la dernière fois, le mot Kaïkho, cette passion intérieure, étant orthographié soit avec un ko ou ho. Mais nous allons inventer un mot. Pourquoi pas ? En fait, les mots sont les choses les plus faciles à créer. Il suffit de faire votre propre mot, même s'il a ses racines dans ce qui signifie une véritable passion intérieure.

 

Alors j'ai pensé à appeler la série Kaïkho, parce que nous allons avoir affaire à une passion. Cette passion, ce feu, va venir et gracieusement consumer votre personnalité, et non pas bâtir une meilleure personnalité au-dessus de l'ancienne personnalité. Cela va consumer avec grâce, Paul, tout ce que vous connaissiez de Paul.

 

Et quand je dis consumer, non pas détruire, cela ne va pas… eh bien, je voulais dire que cela ne va pas vous tuer. Je ne pense pas que ce sera le cas. (Rires) Mais cela va consumer tout ce que Paul était, y compris votre nom « Paul », parce que ce n'est vraiment pas votre nom. Cela va consumer, d'une très belle et gracieuse manière, vos pensées. Quand j'ai dit plus tôt « Regardez qui vous pensez être. Regardez dans le miroir. » Vous êtes une composition de biologie et de pensées qui ne sont vraiment pas à vous, pour commencer.

 

Plus nous nous rapprochons du cœur de la transformation et plus nous traversons cette puberté spirituelle, cela devient vraiment plus difficile, parce que la véritable authenticité est là. Elle est là, mais elle a été prise au piège. Elle a été piégée comme le Kaïkho l'a été. Le véritable Je Suis a été piégé, et il a eu toutes sortes d'attributs disposés autour de lui et toutes sortes d'activations et toutes ces autres choses. Ce n'est pas à vous.

 

Et l'on se sent nu au début, quand le Kaïkho commence à le consumer. On se sent nu, car il va y avoir ce désir de reconstruire, le désir de vous ré-identifier. Et il y aura une période, environ 21 jours, de sensation de déconnexion. Mais contrairement à d'autres fois par le passé où cela a été une souffrance, en fait ce sera très libérateur ; un peu effrayant, mais généralement très libérateur. Cela va probablement se produire dans l'année à venir.

 

Vingt-et-un jours pour ressentir que vous n’êtes plus rien, que tout est parti. C'est de l'histoire ancienne. Pendant ce temps durant lequel votre âme prendra chaque détail, chaque pensée, chaque expérience et, ainsi qu'on le mentionne dans Keahak, elle va dépouiller les détails parce qu'ils n’ont pas de sens, va dépouiller les émotions parce qu'elles sont fausses, et va distiller tout cela dans la sagesse.

 

Et puis dans l'année qui vient, nous allons apprendre à vraiment laisser sortir cette sagesse, parce qu’elle n’apparaît pas encore. C'est comme si elle était ailleurs. C'est un peu comme si elle était enterrée, nous avons très, très peu de temps pour extraire la sagesse. Mais c'est en fait quelque chose que Sam a appris à faire. Il a contourné toutes ces autres choses. Il va droit vers la sagesse.

 

Et c'est pourquoi, tout d'abord, tout semble simplement fonctionner pour lui au point où d'autres gens sont jaloux. Il peut tout simplement faire les choses, et il n'est pas très intelligent. Vous savez, si on lui pose une question sur, vous savez, l'histoire ou les mathématiques ou quelque chose comme ça, il ne sait pas et il ne s'intéresse pas vraiment et il n'a pas à s’en préoccuper.

 

Il puise dans la sagesse, cette véritable sagesse intérieure.

 

Alors j'ai très sérieusement pensé à appeler la série Kaïkho. Ensuite, j'ai pris beaucoup de respirations profondes et dit : « Mais quelle est l'essence ? Que voulons-nous vraiment faire ici ? »

 

Et puis ça m'a frappé. Prête à écrire sur la page suivante ? (S'adressant à Linda) Cela m'a frappé. Et ce dont il s'agit avec Kaïkho, l'amour de Soi, permettre, libérer et tout ce que nous faisons pour faciliter l'entrée dans le corps de lumière, il s'agit d'un mot très important — charisme. Charisme. (Charisma en anglais) Et je voudrais appeler cette série Charisme. Ouais. Mais nous allons l’écrire avec un « k ». Vous pouvez aller de l'avant et écrire… non, écrivez d’abord comme ça, Linda, puis en dessous écrivez-le avec un « K » au lieu d'un « C ».

 

 

~ Kharisma

 

Kharisma vient du mot grec « Kharis ». Kharis signifie s’abandonner à la grâce. S’abandonner à la grâce. Le don gracieux.

 

Lorsque vous en arriverez vraiment à… d'ailleurs, il est une sorte de… dans la définition anglaise de charisme, souvent vous pensez à une personne charismatique. Et une partie de cela est vraie. Il y a quelque chose appelé charisme. Ils ne savent pas où c’est. Ils ne semblent pas pouvoir l'extraire. Ils ne peuvent pas en faire une formule chimique. Je suis sûr qu'à l'issue de cette après-midi quelqu'un va inventer des pilules Kharisma conçues juste pour les Shaumbra. (Quelques rires et quelqu'un dit « Sans gluten » ) Ouais, ouais. En fait, je pense que je vais le faire. (Adamus rit)

 

Mais le charisme, c'est quoi ? Eh bien, vous dites que c'est une personne qui a une certaine brillance, je suppose, une certaine personnalité. Les personnalités politiques qui ont du charisme, en utilisant la définition standard, peuvent attirer les gens. Vous avez tous rencontré des gens charismatiques. Vous êtes en leur présence et il y a juste quelque chose, eh bien, de charismatique à leur sujet.

 

Mais ici, ça va être un peu différent. Il ne s'agit pas seulement d’une personnalité heureuse et brillante. Le Kharisma est la grâce venant de l'intérieur. Le Kharisma est ce vous naturel et vraiment authentique, ce vrai vous sans personnalité qui n'est pas vous. C'est le vrai vous. C'est l'expression du Je Suis.

 

Maintenant, il va y avoir une tendance à sortir d'ici en courant et à dire : « Je vais développer mon Kharisma. Je vais entrer en contact. Je vais agir,… — c'est ce que nous devrions faire, une séance d'activation de Kharisma — ». Je vais activer mon charisme « Où est cette eau à jeter, ce seau à jeter ? Non. Non. »

 

Le Kharisma. Il est là. Il est déjà en vous. C'est déjà à l'intérieur tout prêt à sortir. C'est le vous authentique, celui sur lequel vous continuez à vous questionner. Vous continuez à dire : « Eh bien, suis-je authentique ? » Eh bien, non. En fait, vous ne l’étiez pas. Alors reculez afin que votre authenticité puisse sortir, de sorte que le vrai vous puisse sortir.

 

Vous, frère John (M) — je vais m’en prendre à vous, puisque vous m'avez fait ce grand sourire — un tel développement intéressant de la personnalité. Mais je vous regarde, je veux dire, je regarde qui vous pensez être, et j’ai envie de rire un peu, de sourire. Ce n'est pas vous. Et vous le savez, et vous luttez contre ça — comme vous le faites tous, mais je m’en prends à Frère John ici — et vous dites : « Mais je dois continuer à travailler sur moi-même, me développer, m’améliorer et puis sortir et partir à la recherche de moi-même ». Eh bien, ça me fait vomir. Plus maintenant. Vous n'avez plus besoin de faire tout cela.

 

Vous n'avez pas besoin de faire quoi que ce soit, John — ex-John, ancien John. Vous n'avez pas besoin de faire quoi que ce soit d’autre que de laisser ce Kharisma sortir. Il est déjà là. Vous n'avez pas besoin de l'activer. Vous n'avez pas besoin de l'arroser. Vous n'avez pas besoin de faire quoi que ce soit, et ceci va être le défi. Vous allez avoir envie de faire quelque chose. Vous allez dire, votre personnalité va dire : « Eh bien, merde, je dois faire quelque chose avec mon Kharisma. J'ai besoin de le développer. Je dois le respirer». Non, rien d'autre que de le laisser traverser. Donc permettre était correct. C'est la série du Permettre, mais c'est une des choses que vous faites.

 

Le Kharisma est cette, ce que vous appelleriez, cette lumière en vous. Mais je ne veux même pas l'appeler une lumière. Le Kharisma est l’expression du Je Suis, et une fois que vous dépoussiérez, déblayez toutes ces autres choses — la biologie ancestrale et la personnalité qui n'est pas la vôtre… Je ne peux pas insister assez là-dessus. Votre identification, votre personnalité n'est pas vraiment vous. Elle a véritablement été bricolée avec beaucoup de briques venues d'ailleurs. Bricolée au petit bonheur la chance, d'une certaine façon, intéressante, je suppose que vous pourriez dire une sorte de création artistique, mais vous en êtes lassé maintenant et je sais que vous le savez. Nous le savons tous. Eh bien, la plupart d'entre nous le savent.

 

Le Kharisma est le Soi naturel qui émerge. La chose intéressante à propos du Kharisma, il est déjà là, si vous le laissez venir. Vous n'allez pas être en mesure d'identifier ses attributs, toutes les différentes choses à son propos.

 

N'ai-je pas envoyé psychiquement un message pour un café avec de la crème ?

 

LINDA : Oui, oui, oui ! J'ai compris !

 

ADAMUS : Oui. Mais en attendant, j'ai besoin que vous inscriviez…

 

LINDA : Oh… (Rires)

 

ADAMUS : Non, non. Faites… ouais. Chère Linda, vous pouvez confier cela à quelqu'un.

 

Donc le Kharisma. La chose importante à propos du Kharisma, et c’est avec réticence que je mentionne ceci, car cela va susciter des attentes et nous allons oublier le Kharisma, et puis je vais devoir faire une session Kharisma de bottage de cul la prochaine fois. (Quelques rires)

 

Le Kharisma est le…

 

SART : Vous allez encore renverser de l'eau sur le tapis ?!

 

ADAMUS : (Rires) Ouais.

 

Le Kharisma est le véritable attractif. Le vrai attractif. Il y a des livres qui ont été écrits sur la Loi de l'Attraction. Intéressants, allant dans la bonne direction, mais ils ont tendance à être très mentaux. Tout le monde commence à penser à ce qu'ils veulent — jzzz, jzzz, jzzz, jzzz — cela ne fonctionne pas. Ce n'est pas très efficace. Et puis ils deviennent tout déprimés et ils se sentent mal dans leur peau, et puis ils s'identifient à eux-mêmes — « Je ne suis pas très efficace pour attirer les choses. Personne ne m'aime et c'est pourquoi, je ne peux rien attirer ». Non, vous n’êtes tout simplement pas très authentique à ce sujet. Vous êtes très mental à ce sujet.

 

Le mental a peu ou pas de Kaïkho, le feu, la passion. Il n'est pas authentique. Chaque fois que vous formulez une pensée, la plus grande partie n'est vraiment pas à vous. À quatre-vingt-quinze pour cent, quand vous pensez à quelque chose, cela ne vous appartient pas. Mais pourtant vous prétendez que cela l'est. Vous agissez comme si cela l'était. Vous agissez comme si cela l'était. Et cela ne l'est pas. Donc, nous allons décaper tout cela et plonger dans ce qui est à vous.

 

Votre Kharisma ne signifie pas que vous devez sortir et être un extraverti. Cela ne signifie pas que vous deviez marcher dans la rue en serrant la main de tout le monde, raconter des blagues à l'épicerie. Non, vous aurez l'air d'un idiot si vous faites cela. (Quelques rires)

 

Le Kharisma est un appât naturel. Il attire l'énergie naturellement. Il attire les gens.

 

En fait, c'est intéressant parce que Sam n'est pas très bavard. Il n'en dit pas beaucoup, mais n'en a pas besoin. Les mots qu'il dit sont clairs et il les dit de lui-même. Donc, il ne les marmonne pas (Adamus marmonne). Lorsque Sam parle, il y a peu de mots, mais ils sont clairs et tout le monde écoute. Ils n'écoutent pas simplement les ondes sonores provenant de sa bouche. Ils sentent son Kharisma, et il en a beaucoup.

 

Maintenant, les gens vont dire, eh bien, il est charismatique ou il est attrayant, parce qu'il est physiquement attrayant, ou parce qu'il est… il y a juste quelque chose de particulier chez lui. Il a un joli sourire ou de beaux yeux. Mais ils ne font que tenter de le justifier, parce qu'ils ne savent pas comment l'identifier, ils ne savent pas comment parler de ce Kharisma. Donc, ils doivent penser à d'autres choses. Il est charismatique, car il se laisse rayonner. Rien de plus, car il n'est pas lui-même pollué par un tas de choses qui ne sont pas à lui. Dans sa puberté biologique, il a également vécu sa puberté spirituelle de lui-même. Il a énormément de Kharisma.

 

Le Kharisma — si vous allez au fond de la définition réelle — c'est le don de la grâce que l'on se donne à soi-même d'abord, et c'est donné naturellement aux autres.

 

Le Kharisma est l'authenticité. C'est le Je Suis. Il n'a pas besoin de personnalité. Il n'a pas besoin de s'identifier. Le Kharisma n'a pas besoin de plans ni de programmes, ni d'objectifs. Il n'en a pas besoin. L'être humain a besoin d'objectifs simplement pour s'occuper et se sentir mieux dans la réalisation d'un objectif. Le Kharisma n'a pas besoin de cela.

 

Le Kharisma, c'est vous. Et je sais que ce ne sont que des mots pour le moment, que je prononce, ce sont simplement des mots, mais je vais vous demander de le ressentir dans ce petit — eh, c'est un peu comme d'un merabh, mais c'est plutôt simplement comme dix, quinze minutes pour ressentir votre Kharisma.

 

 

~ Merabh du Kharisma

 

Donc, si la musique est prête. Ne la démarrez pas jusqu'à ce que je donne le départ.

 

Prenez une bonne respiration et baissons les lumières s'il vous plaît.

 

Vous avez été à la recherche de quelque chose depuis longtemps, quelque chose dont vous saviez qu'elle était là, mais vous ne saviez pas comment y accéder. Cette chose a été recouverte par des pensées qui ne sont pas vraiment les vôtres, portée dans un corps qui n'est pas le vôtre.

 

Prenons une bonne et profonde respiration, et je vous demande de ressentir cette chose appelée Kharisma.

 

Maintenant, n'y pensez pas, mais laissez-le venir à vous. N'allez pas à sa recherche, mais réalisez que le Kharisma est déjà en vous. Ne l'identifiez pas même avec votre nom. Ce n'est pas le Kharisma de Tammie. Il ne s'agit pas du Kharisma de John, du Kharisma de Stephan. C'est votre Kharisma.

 

Il ne fait pas partie de la construction de la personnalité. Il ne fait pas partie de l'édifice de la personnalité.

 

(La musique commence, une sélection de pistes de PremiumBeat.com)

 

Ce n'est pas une autre brique dans le mur. C'est ce qui a été derrière le mur de briques.

 

Il n'y a rien que vous deviez faire avec. Vous n'avez pas besoin de l'activer.

 

(Pause)

 

Vous n'allez pas le tisser dans les histoires de votre vie.

 

(Pause)

 

Le Kharisma, la grâce en vous, le don de la grâce, est la partie authentique de vous ; cette partie de vous qui voulait simplement être ressentie.

 

Alors, prenez une bonne et profonde respiration, et baissons les lumières — merci — et montons le volume de la musique.

 

(Pause)

 

L'état naturel du Je Suis est le Kharisma.

 

Il afflue de lui-même, mes amis. Il n'y a pas à le contrôler. Il n'y a pas à le mettre dans des petites boîtes soignées. C'est l'expression.

 

(Pause)

 

Le Kharisma ne se sent naturellement jamais en insécurité. La personnalité — votre personnalité — s'est sentie bien des fois en insécurité. Le Kharisma n'est jamais en insécurité. Il ne cherche pas à protéger un corps ou une identité, alors comment pourrait-il l'être.

 

(Pause)

 

Le Kharisma est comme un rayonnement. Il n'est pas du tout dans le mental. Si vous essayez de penser à votre Kharisma, ça va être un peu déroutant. Le mental ne peut le comprendre.

 

Et si votre gestionnaire de personnalité essaie de le comprendre, il n'en sera pas capable. Il ne deviendra jamais une partie de votre personnalité, jamais.

 

Cela frustre en quelque sorte votre gestionnaire de personnalité, car il aime assimiler les choses et les gérer, les intégrer dans l'entourage de la personnalité.

 

Le Kharisma n'a pas d'aspect, pas plus qu'il ne s'autorisera à en avoir.

 

Le Kharisma ne se soucie pas des choses spirituelles, financières, rien de tout cela.

 

Le Kharisma flotte, s'élance, se répand, danse.

 

(Pause)

 

Il ne tolère aucun détail. Il ne tolère aucun passé. Il ne tolère aucune philosophie.

 

(Pause)

 

Il n'a aucune tolérance pour les choses qui ne sont pas authentiques.

 

(Pause)

 

Il ne peut pas être emprisonné, ni contrôlé, ni travaillé, ni blessé.

 

Son meilleur et peut-être son seul ami est le Kaïkho. Le Kaïkho vit juste à côté du Kharisma.

 

Ils partagent une chanson ensemble.

 

Ils se comprennent, parce qu'ils sont tous les deux non définis, non structurés et sans entrave.

 

Kharisma, Kaïkho, passion.

 

La clarté et la grâce.

 

(Pause)

 

Ce Kharisma n'est pas quelque chose que vous puissiez fabriquer. Vous ne pouvez pas l'améliorer. Donc, je vous demande de ne pas essayer. N'essayez pas de l'améliorer, de le faire grandir, parce que c'est simplement le vœu d'une personnalité très inauthentique jouant son jeu de makyo.

 

Le Kharisma est au cœur des cœurs. C'est le véritable Soi.

 

Alors s'il vous plaît, abandonnez avant même d'avoir pensé à essayer de le dominer, de le gérer, de l'instrumentaliser ou de le tromper.

 

(Pause)

 

Vous avez posé cette question pendant longtemps — « Suis-je réel ? Suis-je authentique ? » Non.

 

Vous devez prendre une profonde respiration pour un moment. Arrêtez d'essayer de tout gérer en vous-même.

 

Arrêtez d'essayer de détourner les eaux naturelles, les énergies naturelles et laissez-le simplement, votre Kharisma, laissez-le rayonner, culminer au-dessus de tout ce à quoi vous vous êtes identifié jusque là — chaque pensée, chaque trait de personnalité, chaque échec et chaque réalisation.

 

Laissez le Kharisma remonter à la surface et culminer.

 

Vous commencez à réaliser que c'était vraiment vain d'essayer de développer cette personnalité, pour ensuite l'affiner ; puis d'essayer de la rendre immortelle, traversant même d'une vie à l'autre, peut-être avec un corps différent. Mais vous avez essayé de le faire avec une personnalité.

 

Alors que vous ressentez le Kharisma — votre Kharisma — vous vous rendez compte que c'était vraiment vain. Vous n'en aviez pas besoin.

 

Combien d'énergie a été déployée — déployée pour protéger, modeler, défendre quelque chose dont vous savez très bien que ce n'est pas vraiment vous ?

 

(Pause)

 

Cependant, ce Kharisma, si vous le laissez tranquille — si vous n'essayez pas de le tisser simplement dans votre personnalité actuelle, si vous vous laissez simplement être libre — vous commencerez à comprendre qui vous êtes vraiment.

 

Le Kharisma est la personnalité libre, le Je Suis, libre.

 

Vous commencez à réaliser que ce Kharisma n'a pas à être travaillé. Vous êtes tellement habitués à travailler sur tout et ceci ne demande aucun travail.

 

Cela ne prend pas de temps non plus. Vous êtes habitué à des choses qui se déroulent dans le temps. Vous me dites même « passons à autre chose ». Okay. Le voici. C'est votre Kharisma, Kaïkho. Kharisma, la passion — la passion de la grâce Je Suis.

 

Maintenant, pouvez-vous le laisser venir à vous ?

 

Pouvez-vous laisser ceci être qui vous êtes vraiment ?

 

(Pause)

 

C'est un sentiment, mes amis. Ce n'est pas une pensée. C'est un sentiment. C'est une connaissance intérieure.

 

(Pause)

 

C'est comme prendre un chiffon propre et un nettoyant pour les vitres, et nettoyer toute la poussière, les vieilles accumulations de sorte que vous pouvez laisser ce Kharisma rayonner.

 

Il vous amènera dans des endroits que votre esprit, votre personnalité n'auraient pas pu imaginer. Donc, n'essayez pas. N'essayez pas de le contrôler ou de le manipuler.

 

Il attirera à vous des choses que vous n'auriez pu imaginer auparavant. Le Kharisma est le véritable aimant. Il l'est. C'est un aimant. Nous avons parlé de la Loi de l'Attraction et pourquoi je n'en suis pas particulièrement un grand fan, parce que c'est mental. Cela n'implique pas Kaïkho, la passion. Cela vient de l'esprit et c'est limité.

 

Mais ceci, votre Kharisma, c'est l'appât, l'aimant, le magnétisme, et il attire les choses à vous. Non pas parce que vous y pensez, non pas parce que vous luttez ou stressez pour cela, non pas parce que vous vous concentrez sur lui mentalement. Il les apporte si naturellement, avec tant d'aisance et de grâce, que ce sera un peu un choc, au début. Il va amener des gens. Il va créer des opportunités. Il amènera des êtres angéliques. Il amènera des êtres de la Terre — Les devas, les fées. — Il attire ces choses dans la grâce. Pas par la force, mais dans la grâce, dans la bonté. Il apporte de l'énergie, parce que vous êtes enfin authentique. Vous vous laissez finalement être libre.

 

Prenez une bonne respiration, car c'est la série Kharisma, avec un « K ».

 

Une bonne respiration profonde, et encore une fois ressentez ce Kharisma. Ressentez ce que c'est que de le laisser affluer à travers votre corps ouvertement, librement.

 

(Pause)

 

Eh. Je vois certains d'entre vous qui essaient de le contrôler. Non. Ouvertement, librement. N'en faites pas des pensées mentales pour lui faire guérir certains endroits de votre corps. Vous voyez, tout à coup vous recommencez à gérer. Sortez du chemin.

 

Laissez ce Kharisma, la grâce de l'âme, oh, qu'il vienne dans vos pensées. Vos pensées, ce sont de vieux salauds coriaces, mais laissez ce Kharisma affluer simplement en eux. Oh, c'est ce qu'ils sont. De vieux marins bourrus, c'est ce à quoi ils ressemblent. Qui ont passé beaucoup trop de temps en mer.

 

Laissez ce Kharisma, votre Kharisma — ce n'est pas une énergie de l'unicité universelle ; c'est à vous — laissez-le venir dans vos pensées, dans votre esprit.

 

À présent, si vous pouvez le laisser entrer dans votre esprit, vous vous débrouillez bien, parce que, voyez-vous, vous avez programmé votre esprit pour qu'il soit une telle forteresse. Vous n'allez pas laisser entrer toutes ces choses étrangères, cependant vous le faites vraiment.

 

Donc, prenez une profonde respiration et ressentez comment c'est pour un moment — votre Kharisma, votre authenticité venant directement dans vos pensées. Un peu comme l'huile et l'eau, n'est-ce pas ? (Adamus rit légèrement)

 

Le Kharisma a cependant une façon merveilleuse de bien rincer les débris, de nettoyer les tuyaux, pour ainsi dire, si vous le permettez, si vous ne le forcez pas. Il s'agit de permettre.

 

Ressentez ce que c'est pour un moment, alors que le Kharisma afflue juste dans vos pensées.

 

(Pause)

 

Je peux presque voir cela — ça va faire une formidable scène — vos pensées disant : « Salut, je suis les Pensées. Tu dois être le Kharisma. Bienvenue. Je suis le propriétaire. J'ai créé cet endroit. Tu es le bienvenu ici aussi longtemps que tu feras ce que je dis, que tu m'amélioreras, que tu me rendras plus belle. Oui, parce que tu es simplement le Kharisma. Je suis la personnalité ici ». Votre Kharisma - il crache ! — il crache sur le sol. Il ne sera pas, ne peut pas, être contrôlé, manipulé ou laisser un crétin lui dire quoi faire.

 

(Pause)

 

Prenez une bonne respiration, chers amis, respirez le Kharisma.

 

Le Kharisma, le corps de lumière, toutes ces choses merveilleuses — l'amour — tous les autres domaines que nous aborderons cette année. Et au cœur de ceci il y a le Kharisma.

 

 

~ Pour clarifier

 

Maintenant, je veux faire le point avant de terminer la journée. Vous êtes habitués au mot charisme, signifiant charmant en quelque sorte, peut-être même un peu sexy. Une caractéristique inconnue de la personnalité, à laquelle vous ne pouvez pas résister.

 

Cela va bien au-delà. C'est votre essence. Encore une fois, allez à la racine du mot que les Grecs utilisaient quand cela s'est présenté à eux. Cela signifie le don de la grâce. Ce qu'ils voulaient dire par-là était vous rendre grâce — vous rendre grâce — et puis vous rendrez naturellement grâce aux autres. Cela n'est pas fait dans le but d'honorer les autres, pas fait à l'attention de personnes qui sont naturellement attirées vers vous parce que vous êtes charismatique.

 

Cependant, en cela réside un très puissant attractif naturel. Cela attire naturellement les énergies et les personnes et toutes ces autres choses. Cela les amène simplement à vous. C'est pourquoi les gens charismatiques, ont un peu de cette qualité. Les gens veulent être autour d'eux, l'énergie veut être autour d'eux, les papillons veulent être près des gens qui sont charismatiques. Mais ce n'est pas quelque chose que nous fabriquons artificiellement. Cela révèle quelque chose de très réel en vous-même.

 

Alors à quoi s'attendre ? Eh bien, comme je l'ai dit, il y aura une période d'environ 21 jours — maintenant ou peut-être plus tard dans l'année — où il va y avoir le sentiment que vous êtes arrivé au bord, le bord de votre personnalité. Vous êtes arrivé au grand abîme de nouveau. Mais cet abîme ne va pas être effrayant. Il ne va pas faire mal. Il va vous effrayer à un certain degré, mais vous arriverez à ce point suivant et il s'agit, plus que tout, de révéler la tromperie de la personnalité ; révéler ce qui n'est pas si vrai, et alors révéler aussi — vous le révélerez à vous-même — révéler comme vous avez essayé et travaillé si dur pour la rendre vraie et la rendre appropriée et vous rendre approprié, mais là encore ça ne l'était pas. Cela n'était pas vraiment vous. Et puis d'inviter en vous ce flux de Kharisma.

 

Il - Je vais dire qu'il remplace — mais il consume, il enveloppe ce que vous appeliez votre personnalité, vous-même.

 

Vous n'allez pas vraiment être en mesure de le quantifier tout de suite. C'est un sentiment. C'est une expérience. Vous n'allez pas passer par les cinq ou dix étapes ou quoi que soit que cela implique, tout comme nous n'allons pas passer par les différentes étapes de l'intégration des différents niveaux du corps de lumière. Y a t-il différents niveaux ? En quelque sorte, mais ce n'est pas important.

 

Ces niveaux du corps de lumière ou du Kharisma, nous pourrions les passer en revue et les disséquer scientifiquement, et dire qu'il y a 18 points ou attributs du Kharisma, qui existent, mais permettons-le simplement. Même chose avec le corps de lumière. Nous pourrions dire qu'il y a tous ces différents niveaux, et nous pouvons scientifiquement les quantifier et parler de ce qu'ils font à différents niveaux, mais pourquoi ? Cela va juste vous distraire.

 

Nous allons juste prendre une profonde respiration et permettre.

 

Une chose est drôle, c'est que vous y êtes déjà. Le plus drôle c'est que vous y êtes arrivé. Comme l'a dit Tobias si souvent, vous êtes déjà ascensionnés ; maintenant vous traversez juste ce que c'était pour y arriver. Alors s'il vous plaît n'oubliez pas que c'est déjà fait. C'est déjà fait. Alors arrêtez d'y travailler si dur.

 

Il suffit de prendre une profonde respiration et se rendre compte que…

 

ADAMUS ET PUBLIC : Tout est bien dans toute la création.

 

ADAMUS : Je vous remercie, chers amis. Merci.

 

 

 

Traduit par Didier, Annie, Catherine, Emmanuelle et Nan.

 

 

Relu par Danielle, Clément et les traducteurs.