LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série e-2012
SHOUD 12 : “Dépasser la Lignée Atlante” – ADAMUS, canalisé par
Geoffrey Hoppe
Présenté au Crimson Circle
Le 4 Août 2012
www.crimsoncircle.com
Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Royaume
Souverain et haute énergie aujourd'hui.
Bienvenue Shaumbra. Groupe difficile,
aujourd'hui. Je Suis Adamus du Royaume Souverain, mais j'ai dû amener des
renforts, aujourd'hui -l'Archange Michaël (canalisé par Robert Theiss).
(quelqu'un dit « Très bien ! » et « Ouais ! »)
Très bien ? Vous n'êtes pas satisfaits avec moi ?! (rires et
applaudissements)
Pourquoi ? Parce que nous n'allons pas vous
laisser partir sans un changement. J'ai dit Changement, Linda.
Changement. (rires et Adamus glousse) je peux lire dans ses pensées.
Pourquoi ? Parce que vous en voulez un. Et
comment allons-nous le faire ? (quelqu'un dit « Merabh » ;
quelqu'un d'autre dit « Facile ») La manière simple, j'espère.
J'espère. Pourquoi pas ?
Nous sommes ici aujourd'hui pour une célébration.
Nous sommes ici aujourd'hui pour quelques rires et points de vue et, j'entends
par là la nourriture, les chansons, un jour de fête. Ah, beaucoup à célébrer.
Nous allons entrer dedans dans un instant, mais je veux regarder ce beau, ce
merveilleux groupe d'humains, aujourd'hui, hm ? (quelqu'un dit
« Salut ») Salut. (Adamus lui envoie un baiser) Je vous remercie.
Merveilleux groupe de Shaumbra. Ah !
Vous êtes un groupe intéressant. (rires) Presque
sept milliards d'humains sur cette planète. Ça fait beaucoup. Ça fait beaucoup.
Sept milliards d'humains qui encrassent les énergies de cette planète -mm, mm,
mm, passage pour Adamus (il marche au travers d'une rangée de chaises)- et
pourtant, moins de, oh, je dirais à peu près 150 millions, qui ont un concept
d'éveil, un vrai... (il s'arrête devant Dave Schemel) Crash ? Oh ouais.
(il pose pour une photo)
CRASH : Ascensionné, mec ?
(rires ; flash de l'appareil photo)
ADAMUS : Je suis aveugle ! Je suis
comme Tobias ! Je ne peux pas voir. (le public rit) Cent cinquante
million, à peu près, qui ont quand même... (Adamus envoie un baiser à la
caméra) une idée de l'éveil. Peut-être moins d'un million d'humains sur cette
planète qui ont choisi l'illumination, qui ont quand même une idée de ce qu'est
l'illumination. Oh, beaucoup d'humains pensent qu'ils veulent aller au
ciel ; en fait, ils ont peur d'aller en enfer. Beaucoup d'humains veulent
juste avoir une vie un peu meilleure. Mm, mm, mm, ouais, et voilà ;
passage pour Adamus. (il pousse la chaise de quelqu'un hors du passage) Vous
pensiez que j'allais juste vous étreindre, mon gaillard ! (rires)
Mais vous, mes chers amis... ah ! (il va
jusqu'à la porte ouverte) je peux m'échapper ! (rires alors qu'il sort)
Les archanges là-bas. Moins que...
Vous, mes chers Shaumbra. L'illumination. Vous
avez demandé l'illumination. Vous la voulez, dans cette vie-ci, plus que de
respirer l'air. Essayons-le. (Adamus retient sa respiration) Vous ne devez pas
respirer. Plus que l'air. L'illumination. (Adamus retient sa respiration) Pas
de respiration, juste l'illumination.
(pause alors qu'Adamus continue de retenir sa
respiration)
Je peux attendre un grand moment. (rires) Ce sont
les poumons d'un fumeur, mais la sagesse d'un Maître Ascensionné. (beaucoup de
rires) Hahhh.
(il relâche sa respiration)
L'illumination. Pourquoi ? Linda, micro s'il
vous plaît.
LINDA : Avec plaisir.
Pourquoi l'illumination ?
ADAMUS : Pourquoi l'illumination ? Non pas « Qu'est-ce que l'illumination »,
mais pourquoi ? Pourquoi choisissez-vous...
LINDA : Dois-je désigner des
volontaires ?
ADAMUS : Voudriez-vous écrire au tableau, ma chère (à un membre du public).
LINDA : Dois-je désigner des
volontaires ?
ADAMUS : Oui, comme toujours. Pourquoi
l'illumination ? Avant que vous répondiez, je suis ici pour travailler
avec vous, vous soutenir, vous aimer, vous
encourager, vous pousser par-dessus la falaise de l'illumination. C'est pourquoi
vous êtes ici, pourquoi je suis ici.
L'illumination. Pourquoi ? Vous pourriez
simplement prétendre qu'elle n'est pas là. Vous pourriez attendre une autre
vie. Pourquoi, ma superbe chérie, pourquoi ? Meilleure vue de la caméra.
ELIZABETH : Je n'ai pas un...
ADAMUS : Pouvez-vous vous lever ?
ELIZABETH : Je n'ai pas un mental...
ADAMUS : Parlez-vous comme si vous le
pensiez vraiment ?!
ELIZABETH : Je voudrais. (elle parle un peu
plus fermement) Je n'ai pas d'explication mentale.
ADAMUS : Oui.
ELIZABETH : J'ai un... je ne veux pas dire
une volonté, mais c'est une essence, tout simplement... c'est juste ce que je
fais.
ADAMUS : Où est-ce ? Nous allons
l'extraire.
ELIZABETH : Pas dans un endroit particulier.
C'est juste une passion et au-delà des mots. Il n'y a pas de mots. C'est juste
savoir que c'est là que je vais.
ADAMUS : Votre mental ne remet-il jamais en
cause tout ce truc de l'illumination que vous voulez ?
ELIZABETH : Oh, grands dieux non. Ça
n'arrive jamais... évidemment ! (rires)
ADAMUS : Même Aandrah allait se tourner et
vous faire baisser les yeux. (plus de rires)
ELIZABETH : Bien sûr.
ADAMUS : Oui. Vous dites que cette
illumination que vous cherchez est plus importante que le mental lui-même.
ELIZABETH : Absolument.
ADAMUS : Bien. Et si nous pouvions extraire
cette illumination, la retirer de vous, la mettre dans une chambre forte pour
une autre vie. Alors quoi ? Que ressentiriez, penseriez,
feriez-vous ? Alors quoi ? Où seriez-vous sans cette passion de
l'illumination ?
ELIZABETH : Je ne peux le concevoir.
ADAMUS : Bon. Excellent. Mais vous me dites
que vous ne pouvez vraiment pas le définir non plus.
ELIZABETH : Non.
ADAMUS : C'est là, tout simplement. C'est
une passion. C'est énorme.
ELIZABETH : C'est, tout simplement. C'est,
tout simplement. Elle a été là. Je ne peux pas vous dire mentalement quand elle
a commencé. Ça a commencé avec une vie très étrange, sachant qu'il y avait
quelque chose de plus.
ADAMUS : Et comment la vie s'est-elle passée
depuis lors ?
ELIZABETH : Oh, c'est tellement bizarre, je
ne peux pas vous dire. (rires)
ADAMUS : Aussi, comment définiriez-vous ceci
pour notre tableau « Pourquoi l'illumination ? » C'est, tout
simplement ?
ELIZABETH : (elle hésite) Pourquoi
l'illumination ? (elle hésite à nouveau et prend une profonde respiration)
C'est le seul chemin que j'emprunte. La seule
voie. La seule chose que je sais, ou veux, en ce moment.
ADAMUS : Pouvez-vous la sentir totalement...
je peux la sentir venant de vous. Pouvez-vous la sentir venant de vous ?
ELIZABETH : Je peux. Oui, je peux.
ADAMUS : Bien. Bien.
ELIZABETH : Je veux dire, Je Suis ce que Je
Suis. (le public rit et applaudit) (Adamus l'amène à l'avant)
LINDA : Non ! Non !
ADAMUS : Vous l'avez commencé. Mais lorsque
vous dites « Je Suis ce que Je Suis, ça devrait faire sauter les briques
hors de cette cheminée. Ça devrait faire dresser les poils sur les bras de
Shaumbra, sur les jambes, ou n'importe où. Ça devrait avoir une telle passion,
comme la passion que vous venez d'exprimer. Comment ça se passe maintenant « Je
Suis ce que Je Suis ? » Comment ça marche ?
ELIZABETH : C'est intéressant que vous
disiez ça, parce que...
ADAMUS : Eh bien, je dis toujours ça. Je
Suis ce que Je Suis. C'est ma position.
ELIZABETH : Et vous dites souvent que ça n'a
pas à être... ça n'a pas à faire trembler les murs. Ça n'a pas besoin d'être
fort.
ADAMUS : Non, j'ai dit que ça n'a pas à être
fort.
ELIZABETH : C'est exact. Très bien.
ADAMUS : C'est exact. Bon. Faisons-le.
ELIZABETH : Je Suis ce que Je Suis.
ADAMUS : C'est plutôt bon. Bonne sensation.
Bonne sensation. Bien. Que diriez-vous
pour eux, maintenant ? (quelques applaudissements)
ELIZABETH : Je Suis ce que Je Suis.
ADAMUS : Un peu incertain.
ELIZABETH : Ouais, je sais ! Eh bien,
c'est eux ! (rires)
ADAMUS : Refaisons-le.
ELIZABETH : Ils me dévisagent !
ADAMUS : Ouais. Pourriez-vous fermer les
yeux ? (au public ; plus de rires)
ELIZABETH : Je Suis ce que Je Suis. (Adamus
fait une grimace) Non ?
ADAMUS : (en riant) Je n'ai pas dit un mot.
ELIZABETH : Je vous ai vu. Très bien. Très
bien. (elle hésite) Norma ? (rires) D'accord. Je Suis ce que Je Suis.
ADAMUS : Plus équilibré.
ELIZABETH : Je vous remercie.
ADAMUS : Je vous remercie.
ELIZABETH : Je vous remercie. Merci.
ADAMUS : Merci.
ELIZABETH : Puis-je partir,
maintenant ?
ADAMUS : Vous pouvez partir, maintenant.
ELIZABETH : Namasté.
ADAMUS : Oui, juste dehors, au coin de la
rue. C'est ce drôle de petit bâtiment. Oui, vous pouvez partir, maintenant.
ELIZABETH : Je vous remercie.
ADAMUS : Ou l'avez-vous déjà ? Oh.
(Adamus glousse) L'illumination, pourquoi ? Pourquoi ?
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
SHAUMBRA 1 (femme) : Je ne sais pas.
ADAMUS : Continuez et levez-vous, s'il vous
plaît. Je vous remercie.
SHAUMBRA 1 : Je ne sais pas pourquoi.
ADAMUS : Vous ne savez pas pourquoi ?
SHAUMBRA 1 : Je le ressens juste à
l'intérieur.
ADAMUS : Ouais.
SHAUMBRA 1 : Il n'y a pas de mots.
ADAMUS : Pas de mots.
SHAUMBRA 1 : Juste un ressenti.
ADAMUS : Bien, mais est-ce important pour
vous ?
SHAUMBRA 1 : Oui !
ADAMUS : N'y
a-t-il rien de plus important ?
SHAUMBRA 1 : A ce moment, non.
ADAMUS : Non. Mais vous ne pouvez pas le
mettre en mots.
SHAUMBRA 1 : Non.
ADAMUS : Intéressant. Intéressant. Si vous
étiez obligée, même, d'en décrire le ressenti, qu'est-ce que ça pourrait être,
le ressenti de cette illumination -le désir ?
SHAUMBRA 1 : Oui.
ADAMUS : Je ne veux pas dire vos mots pour
vous.
SHAUMBRA 1 : L'excitation.
ADAMUS : L'excitation.
SHAUMBRA 1 : Le désir, la passion.
ADAMUS : La passion.
SHAUMBRA 1 : Ehhh, oooh.
ADAMUS : Oooh. C'est un bon mot. Oui. (rires)
SHAUMBRA 1 : Ouais.
ADAMUS : Soit dit en passant, le premier est
« C'est, tout simplement » pour la première, pour Élizabeth. Et
maintenant « Ne peux pas le mettre en mots, ooooh ah, » si vous
pouvez...
SHAUMBRA 1 : C'est une bonne chose.
ADAMUS : C'est une bonne chose. Non, en
fait, je fais comme ça. Et vous pourriez le faire...
SHAUMBRA : Ça me donne la chair de poule
quand je le dis.
ADAMUS : Oui.
SHAUMBRA 1 : Et je l'ai maintenant.
ADAMUS : Exactement.
SHAUMBRA 1 :
C'est comme haah !
ADAMUS : Comment l'avez-vous dit
avant ? Oooh ah !
SHAUMBRA
1 : Oooh ah !
ADAMUS : Oooh ah ! (rires) Pouvez-vous
le faire ici, dans la caméra, pour que tout le monde le voie ? Le oooh ah !
SHAUMBRA
1 : Oooh ah !
ADAMUS :
Ah !
SHAUMBRA
1 : Oooh ah !
ADAMUS : Que diriez-vous que nous le
fassions tous ? Ooooh ah !!
SHAUMBRA 1 : Ouais ! C'est ça.
ADAMUS : Je vous remercie. Oh, ohhh !
SHAUMBRA 1 : Je pète le feu !!! c'est
ça.
ADAMUS : Je vous remercie. (elle essaie de
lui donner le micro) Je ne veux pas de ce truc. L'illumination. Pourquoi?
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
YVONNE (femme) : Pourquoi pas ? (Linda
dit « Ahhhh »)
ADAMUS : J'ai dit que c'est une bonne
raison. Pourquoi pas ? Vous avez essayé tout le reste, vous pourriez tout
aussi bien essayer l'illumination. (rires) Vous avez une passion pour ça ?
YVONNE : C'est tout ce qui compte. Il n'y a
rien d'autre.
ADAMUS : Il n'y a rien d'autre.
YVONNE : Il n'y a rien d'autre.
ADAMUS : Bien. Je vous échange 1 000 $, ici
même, maintenant. Linda va vous faire un chèque contre votre illumination.
LINDA : Ouais, foutaises. (rires)
ADAMUS : Non ?! (Adamus glousse)
YVONNE : Je ne le prendrais pas.
ADAMUS : Vous ne le prendriez pas.
YVONNE : Non.
ADAMUS : Vous ne le prendriez pas. Me
donneriez-vous 1 000 $ pour votre illumination ?
YVONNE : Si je les avais.
LINDA : Elle a tout dépensé avec nos
évènements ! Il ne lui reste plus d'argent pendant encore un an !
ADAMUS : Je sens un dilemme. (rires) C'est
plus important que toute autre chose, « pourquoi pas », de toute
façon, et juste pour la modique somme de 1 000 $ -le prix va monter- mille
dollars, vous pouvez l'avoir, mais vous n'avez pas 1 000 $ ?
YVONNE : Pas sur moi. Vous savez, c'est à
dessein que je ne les ai pas amenés. (Adamus glousse)
ADAMUS : Mais l'illumination, c'est important.
YVONNE : Absolument.
ADAMUS : Peut-être que vous apporterez 1 000
$ au cours, lors d'une prochaine vie. (rires)
YVONNE : Peut-être.
ADAMUS : Une simple somme de 1 000 $... Bon.
Je vous remercie. Merci.
L'illumination. Avez-vous 1 000 $ ?
LINDA : Ne l'écoutez pas.
BRIAN (mari d'Yvonne) : A la banque.
ADAMUS : A la banque ? Les banques vont
toutes s'effondrer. Mais putain, que fait-il là-bas ? (Adamus glousse) Je
plaisante. Ne faites...
L'illumination, pourquoi ? Pourquoi ?
Pourquoi ?
BRIAN : Comme dit auparavant, c'est une
passion.
ADAMUS : Passion, mais pourquoi ?
recherchez-vous les sensations fortes ? Avez-vous jamais fait du
parachutisme ?
BRIAN : Non.
ADAMUS : Non ? Quelle est la chose la
plus effrayante que vous ayez faite ?
BRIAN : Arpenté des charpentes métalliques.
ADAMUS : Vous avez fait quoi ?
BRIAN : Arpenté des charpentes métalliques.
Ferronnier (monteur de charpentes métalliques).
ADAMUS : C'est plutôt effrayant.
BRIAN : Oui.
ADAMUS : Ah ouais. Donc, l'illumination
serait le prochain frisson, le prochain exercice de haute voltige ?
BRIAN : Oui, j'y vois un frisson de plaisir.
ADAMUS : Oui, oui. Et qu'est-ce que votre
mental vous dit à propos de cette illumination ?
BRIAN : Le problème, c'est que je reste dans
mon mental. J'ai besoin de sortir de mon mental.
LINDA : Ahhh !
ADAMUS : Ah ! Eh bien, vous êtes venu
au bon endroit, au bon moment. (rires)
BRIAN : Oui, en effet.
ADAMUS : La seule chose, c'est qu'il vous
manque 1 000 $ ! (plus de rires) Bien. Je vous remercie. Merci. Bien.
LINDA : Je vous remercie, Brian.
ADAMUS : Oui, le mental. Ouf, hm.
L'illumination, pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
Juste parce que. Nous avons d'étranges réponses, ici - « Rien d'autre n'a
d'importance » - comment voudriez-vous définir la vôtre, pour notre tableau ?
D'autres mots pour ça ?
BRIAN : Je dirais rechercher les sensations
fortes.
ADAMUS : Les sensations fortes ! Bien.
Les frissons de l'illumination, ouah. Bien. Suivant.
LINDA : Soyez gentil.
SHAUMBRA 2 (femme) : Je vous remercie,
Linda.
ADAMUS : Je suis toujours gentil.
SHAUMBRA 2 : Oui, j'en suis sûre.
ADAMUS : Oui. (Adamus glousse)
L'illumination, pourquoi ? Vous avez un grand sourire, aujourd'hui. Oui,
vous êtes ici entre amis. Vous êtes ici dans cette salle de classe pour vivre
l'ascension. L'illumination !
SHAUMBRA 2 : Et d'emblée, c'est le moment,
c'est la route. C'est en train de prendre fin...
ADAMUS : C'est la route sur laquelle vous
êtes.
SHAUMBRA 2 : Oui.
ADAMUS : Pas d'autres routes ?
SHAUMBRA 2 : Eh bien, dans cette vie-ci.
ADAMUS : Il y a quelques autres routes, je
peux vous montrer le chemin. Cela n'a pas à être l'illumination. Mais
l'illumination. Quelle impression cela vous fait-il, à l'intérieur ?
SHAUMBRA 2 : Juste...
ADAMUS : (il va vers le buffet) Je vais
manger pendant que vous y pensez.
SHAUMBRA 2 : D'accord. Délice café.
Peut-être. Y a-t-il du café ici ?
ADAMUS : Allez-y. L'illumination.
SHAUMBRA 2 : Total accomplissement.
LINDA (voyant Adamus manger directement dans un
saladier) Ohhhh !
ADAMUS : Quoi ?!
SHAUMBRA 2 : Et joie.
ADAMUS : L'illumination.
SHAUMBRA 2 : Juste ça. Plaisir,
réjouissance.
ADAMUS : Plaisir, réjouissance.
SHAUMBRA 2 : Juste complet...
ADAMUS : Complet.
SHAUMBRA 2 : Accomplissement, réalisation.
Je ne sais pas, c'est juste être.
ADAMUS : Être, ouais, ouais.
SHAUMBRA 2 : Allez ! (ils rient)
ADAMUS : Avez-vous jamais douté de tout ce
truc à propos de l'illumination ? Avez-vous jamais pensé combien c'est
ridicule ?
SHAUMBRA 2 : Non.
ADAMUS : Non ?
SHAUMBRA 2 : Non. C'est seulement la manière
d'y arriver qui est ridicule.
ADAMUS : La manière -oh ouais. Ouais,
ouais ! Bien. Donc, nous avons toujours un autre... comment le
définiriez-vous « Je ne sais pas ? » ou « Je suis juste
coincée dans cette voie ? » C'est une bonne chose.
SHAUMBRA 2 : Non, non, pas coincée. Juste,
juste...
ADAMUS : Je roulais, ma voiture est tombée
en panne, mes pneus étaient à plat, maintenant, je suis coincée dans cette voie
de l'illumination.
SHAUMBRA 2 : Non, non, non. Pas coincée.
Non, pas coincée.
ADAMUS : Pas coincée. Non, non.
SHAUMBRA 2 : C'est juste la fin du chemin.
Je veux dire, quand vous arrivez là où vous alliez. Je veux dire, juste la fin
de la route, quand vous arrivez finalement...
ADAMUS : C'est juste là où vous alliez.
SHAUMBRA 2 : … la maison.
ADAMUS : C'est là où vous alliez, tout
simplement.
SHAUMBRA 2 : Je crois.
ADAMUS : D'accord. « Là où il se trouve
que je vais. »
SHAUMBRA 2 : Fin de la route.
ADAMUS : Un petit voyage sur la route de
l'illumination. Je remarque que nous n'allons pas bien loin aujourd'hui.
L'Archange Michaël désire venir parler et nous avons beaucoup à discuter ici.
Oh mon dieu, le temps s'écoule.
Encore deux. L'illumination. L'illumination,
pourquoi ? Vous pourriez faire quelque chose d'autre. Vous pourriez être
allongés sur la plage, quelque part. Vous pourriez faire n'importe quoi.
Pourquoi l'illumination ? Vous pourriez être pasteur dans une église. Vous
feriez un bon pasteur, dans une église.
TERRY : Mais, jamais je ne me sentirais
autant aimé.
ADAMUS : Jamais se sentir aimé.
TERRY : Si j'étais pasteur, jamais je ne
sentirais l'amour de mon âme aussi profondément.
ADAMUS : Maintenant, nous faisons des
progrès. Bien. Bien.
TERRY : Et il n'y a aucun argent qui peut
l'acheter.
ADAMUS : Il y en a. Il y a mille dollars.
(rires) Vous êtes sceptiques, mais !
TERRY : Et personne ne peut me le donner.
LINDA : Mmmmm.
ADAMUS : Ohhh. Peut-être...
TERRY : Mais je peux le recevoir.
LINDA : Ohhhh.
ADAMUS : Bien. Bien. Organisation parfaite. Pourquoi n'avez-vous
pas ?
TERRY : J'ai.
ADAMUS : Ah ! Ohh ! Bien. Bien.
Vous êtes illuminé ?
TERRY : Oui.
ADAMUS : Complètement, pleinement, à votre
convenance ?
TERRY : Non. (rires)
ADAMUS : Bien.
TERRY : Mais.
ADAMUS : Mais.
TERRY : C'est à un souffle, et il y a une
respiration.
ADAMUS : Pour 1 000 $, je vous montrerai la
respiration. (rires)
TERRY : Non, vous ne pouvez pas ! C'est
mon choix, mec ! (rires)
ADAMUS : Waouh ! Archange Michaël, je
vais avoir besoin d'aide par ici ! (rires) En voici un rude.
TERRY : Il est sur mon épaule.
ADAMUS : Vous vous tenez derrière lui, je
vais le pousser ! (rires) Bien. Bien. Mais l'illumination, pourquoi ?
Pourquoi ?
TERRY : Eh bien, c'est ce qui me garde ici,
sur la planète. C'est ce qui me garde en vie.
ADAMUS : Passion ?
TERRY : Il n'y a rien d'autre qui m'aurait
gardé en vie.
ADAMUS : Ah, bon.
TERRY : Rien.
ADAMUS : Hm. Je ressens cela. Je vous
remercie.
TERRY : Oui.
ADAMUS : Je vous remercie.
LINDA : Hmm.
ADAMUS : Et une de plus. Je vous remercie.
D'accord. L'illumination, pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Linda
court. Pourquoi ?
CHRISTY : Je savais que vous alliez venir pour moi.
LINDA : Levez-vous, s'il vous plaît.
CHRISTY (soupirant) : Parce que c'est le
moment.
ADAMUS : J'aime ça.
CHRISTY : Mm hmm.
ADAMUS : Vous avez un « applaudissement
silencieux »*, un « clap de golf »**, derrière vous. Oui. Parce
que c'est le moment, bon.
* : http://lifeprint.com/asl101/pages-signs/a/applause.htm
Le
"Silent Applause" (ou applaudissement silencieux), permet à un public
de montrer son appréciation en levant et agitant silencieusement les mains.
** Le
"Golf Clap" est un battement des mains, exagérément discret, conçu
comme une manifestation de soutien, sarcastique ou dédaigneuse, qu'on entend
sur les terrains de golf, lors de concours, car en raison de la distance entre
le micro et la foule, le Golf Clap ressemble à une foule de gens applaudissant
à un volume minimal.
CHRISTY : Ouais.
ADAMUS : Mais pourquoi ?
CHRISTY : Parce que ça fait assez longtemps.
ADAMUS : A faire ?
CHRISTY : Ehhh, vous savez, la question
« Qui suis-je ? »
ADAMUS : Exact, exact, exact.
CHRISTY : A vivre ça.
ADAMUS : Oui.
CHRISTY : A trouver qui je suis, qui je ne
suis pas.
ADAMUS : Oui.
CHRISTY : Et c'est juste un moment
exceptionnel. (rires)
ADAMUS : C'est juste une période
exceptionnelle. Je vous remercie, et ce groupe est tellement merveilleux quand
je pense, en termes de T-shirts et d'autocollants. « C'est juste un moment
exceptionnel ». « L'illumination. C'est juste un moment
exceptionnel. » C'est magnifique. Vous secouez quelques personnes à la
galerie marchande. Bien. Je vous remercie.
L'illumination. C'est pourquoi je suis ici, c'est
pourquoi vous êtes ici. J'ai terminé (à Linda).
L'illumination. C'est un ressenti. Difficile à
décrire. Difficile à mettre en mots. Pourquoi ? Parce que ce n'est
vraiment pas un truc mental, ce n'est pas un but, et ce n'est pas seulement la
prochaine aventure humaine, et ce n'est pas juste pour vous divertir. C'est
plutôt le contraire. Ce n'est pas seulement prendre le temps. L'illumination,
c'est quelque chose qui est le feu en vous, une passion en vous, un désir.
Et le truc intéressant avec l'illumination, c'est
que ça n'est pas venu du mental humain. C'est très difficile à décrire. Ce
n'était pas quelque chose que vous avez pensé depuis ici (tête),
« Hé ! Je vais essayer l'illumination. Pourquoi pas ? »
C'est quelque chose qui est venu d'ici (cœur) et ici (tout autour) et de
partout, et le mental essaye encore de le comprendre, le définir, peut-être
même de le repousser, se demandant combien vous êtes sérieux à ce propos. Mais
l'illumination est une partie de vous naturelle, normale. La réponse à la
question « Qui suis-je ? »
L'illumination, comme je l'ai dit de nombreuses
fois, va se passer, de toutes façons. C'est normal. Tôt ou tard -probablement
tard- le reste des humains sur Terre vont passer par une prise de conscience,
quand ils seront prêts, au moment qui leur sera approprié. Pour une quelconque
raison, vous, mes chers amis, l'avez choisi maintenant, et c'est ce qui se passe.
Ça se passe tous les jours. Difficile, parfois,
de passer au travers, parce qu'il n'y a pas un livre -un livre valable- sur
l'illumination, et il ne peut quasiment pas y en avoir. Il peut y avoir des
histoires de gens, avec leurs vies, leurs identités, qui sont passés par ça, ou
sont entrés dedans, mais ce n'est pas un processus pas-à-pas. Personne ne peut
dire « Voici comment devenir illuminé. » On peut raconter des
histoires, et les autres qui lisent leurs histoires peuvent ressentir cette passion,
dans la partie de la tragédie humaine, dans l'éventuelle fusion et
l'intégration. Mais l'illumination est un processus naturel qui se passe.
Dépasser la Lignée Atlante
Je soulève cette question aujourd'hui, parce que
c'est une célébration -une véritable célébration- de bien des façons.
Aujourd'hui, le titre de ma conférence est « Dépasser la Lignée
Atlante ». Dépasser la Lignée Atlante.
J'ai entendu des tas de conférences, en cette
année 2012, à propos des Mayas et du
calendrier Maya -tout à fait vrai, soit dit en passant, jusqu'à un certain
point ; jusqu'à un certain point de commercialisation humaine, de drame et
tout le reste- mais il y avait des cycles dans le calendrier Maya. Mais... mais
il y avait aussi des cycles de l'imagination Atlante. Ce n'était pas tant un
calendrier, qu'une projection, ou une compréhension, des cycles.
Les Atlantes -dont vous étiez tous- les Atlantes,
particulièrement dans les Temples de Tien, avaient compris qu'il se produirait
treize cycles. Peu importe combien ils ont duré car ce ne sont pas des années
civiles. On ne peut pas les rattacher à des années, mais treize cycles de
création humaine, de développement spirituel, qui se produiraient sur la
planète, le dernier étant de dépasser la lignée Atlante de la conscience
mentale.
Ce n'est pas un hasard si vous êtes dans votre
13e année en tant que Shaumbra. Pas un hasard, si vous additionnez le mois et
l'année, si vous obtenez un 13. Treize est vraiment un nombre sacré.
Je sais que beaucoup de gens ont peur du 13. Un
grand nombre de bâtiments, de par le monde, n'ont pas de 13e étage. C'est comme
« Nous allons faire comme s'il n'était pas là. » D'une certaine
façon, c'est plutôt approprié, parce que le 13 est aussi appelé le nombre sacré
de puissance invisible - « puissance » n'est pas tout à fait le mot
adéquat- mais le nombre potentiel.
Treize, si vous regardez les apôtres, 12 apôtres,
plus Yeshua, 13. Combien de chevaliers à la Table Ronde ? Douze, plus
Arthur, ça fait treize. Vendredi 13, ce nombre effrayant. En fait, il ne
l'était pas du tout. C'était un nombre sacré jusqu'à ce que quelqu'un, une
certaine organisation, parte à la chasse aux sorcières un vendredi 13, tuant de
très nombreuses personnes qui étaient dans les Écoles des Mystères, faisaient
partie des Chevaliers du Temple, participaient au travail que tant d'entre vous
faisaient. Mais 13 -vraiment sacré, nombre intéressant du changement. Du
changement.
Célébration
C'est donc un mois, un jour, un temps de
célébration, ici, d'aller au-delà de cette Lignée Atlante. C'est pourquoi
c'était réellement difficile, pour vous, d'exprimer ce qu'est cette chose,
cette illumination. Difficile d'exprimer ce que c'est. (quelqu'un dit
« Bar mitzvah » ; Adamus glousse) Ce n'est pas une bar-mitzvah.
(quelques rires) Je vous remercie. Treize est la Bar mitzvah. Je vous remercie.
Oui, bien. Grandir. Vous avez absolument raison.
Donc, nous allons avoir une cérémonie. Faisons
un... (le public dit « Merabh ! ») Plus tard. Merabh !
Merabh ! Merabh ! C'est tout ce que vous voulez, maintenant. Que diriez-vous
d'une conférence ? (quelqu'un crie « Woo ! ») Que
diriez-vous... (riant) tout ce qu'ils veulent, c'est des merabhs. Je peux
partir ; vous prenez la suite (à Yoham). Vous faites des merabhs. (Gerhard
demande « C'est quoi, un merabh ? » ; rires) Je ne sais
pas, mais nous en aurons treize avant que nous ayons terminé ! Faisons une
célébration.
Maintenant, pour ce faire, je ne me sens pas
habillé convenablement. Aussi, s'il vous plaît, oui. (Linda va dans
l'arrière-salle) Je me sens comme si j'étais habillé comme un vilain touriste.
(rires) Aussi, j'ai demandé à Linda de se procurer une tenue plus appropriée
pour l'occasion. Oui, oui.
Faisons une célébration. C'est une combinaison de
choses. C'est comme une sorte de marqueur, ou un événement majeur -dépasser la
Lignée Atlante, entrer dans quelque chose de nouveau, faire immédiatement un
énorme changement, un changement absolu. Donc, oui. (Linda apporte une
magnifique cape ) Un peu plus de circonstance,
maintenant. (le public répond « Oooh ! » et « Ahhh ! »)
Si j'avais seulement eu des bottes hautes, un pantalon approprié et une chemise
à jabot pour aller avec, et une couronne. (quelqu'un dit « Oh, c'est
magnifique ») Oui, n'est-ce pas ? Oui. Oui. Oui. S'il vous plaît.
LINDA : Oh attendez, et une couronne ?
(Linda met une pince à cheveux avec des fleurs pourpres sur la tête
d'Adamus ; beaucoup de rires)
ADAMUS : J'avais l'air digne, là. Eh, ce
n'est pas si mal. Là-derrière. (il le met à l'arrière de sa tête) Oh. (plus de
rires) Je ne suis pas inquiet au sujet de ma -hum- virilité. Donc, bien.
Excellent. Excellent.
Maintenant, étape suivante. Je comprends qu'il y
a une cérémonie, une représentation, aujourd'hui, alors s'il vous plaît,
présentons. (Dave McMasters et Robert Thiess apportent un nouveau pupitre pour
Adamus, construit par Robert Thiess)
LINDA : D'accord. Hmmmm. Ohhhh !
Ohhhh !
(quelques personnes applaudissent) Waouh !
ROBERT : Avec plaisir.
ADAMUS : Demandez et vous recevrez.
ROBERT : Absolument.
ADAMUS : Alors, voulez-vous expliquer un
peu ?
ROBERT : Eh bien, ce bois est un beau
Sapele, bois qui vient d'Afrique, et si vous le regardez, il montre différents
aspects de lui-même, tout en étant lui-même en même temps. (il montre le grain
du bois sous différents angles). Nous appelons ça un pupitre de conférencier.
ADAMUS : Un pupitre de conférencier.
ROBERT : Pour les grands conférenciers.
ADAMUS : Mmm, magnifique.
ROBERT : Et là, bien sûr, vous pouvez le
parer de tout ce que vous voulez, et je crois que vous avez un logo à mettre
ici ?
ADAMUS : A venir.
ROBERT : Oui.
ADAMUS : Oui.
ROBERT : Oui.
ADAMUS : Magnifique.
ROBERT : Je vous remercie.
ADAMUS : Vous êtes un véritable artisan.
ROBERT : Ah, je vous remercie.
ADAMUS : Oui, et un Maître.
ROBERT : Je vous remercie.
ADAMUS : Je dois demander, là, avez-vous
fait ça ?
ROBERT : J'ai eu un peu d'aide.
ADAMUS : Ou mon ami Michaël ?
ROBERT : Mais nous sommes tous les deux
capables de faire cela. Il n'a pas la même sensibilité, les scies à ruban,
dégauchisseuse et circulaire, que vous avez.
ADAMUS : Il est bon à l'épée aussi.
ROBERT : Il est très bon à l'épée, mais
aujourd'hui, il dépose l'épée, en votre honneur.
ADAMUS : Ah ! Je vous remercie.
ROBERT : Merci.
ADAMUS : Ouais, je vous remercie. Ah, si...
(le public applaudit)
LINDA : Magnifique. Waouh ! Je me sens
comme à l'église.
ADAMUS : Ah. Magnifique. Maintenant, je me
sens à la maison. Oui. Mm.
Donc, maintenant, nous pouvons continuer notre
cérémonie, oui, « Dépasser la Lignée Atlante ».
Prenons une profonde respiration ensemble...
(pause)
… dépasser la Lignée Atlante... entrer dans la
réalisation de l'illumination. J'apprécie vraiment beaucoup ce pupitre.
Chers Shaumbra... je me sens comme si j'étais à
un discours d'ouverture.
Temps d'aller au-delà
Chers Shaumbra, le voyage a commencé pour nous
tous, nous tous, dans les Temples de Tien, en Atlantide. Dans les Temples de
Tien, nous nous sommes réunis. Nous avons imaginé un temps tout comme celui-ci,
treize cycles plus tard, un temps de changement et d'évolution, pour nous tous.
Ça a commencé là.
Nous ne savions pas quels rebondissements
auraient lieu sur le chemin. Nous n'avions aucune idée, aucune notion, des
difficultés et des défis, des larmes et des rires. Nous ne pouvions même pas
imaginer, à ce moment-là, qu'il y aurait des jours, et des vies, où nous
serions complètement perdus, totalement emplis de la perte de l'espoir, de la
vision, de l'identité. Mais nous avons imaginé, à l'époque des Temples de Tien,
un temps qui viendrait, où nous pourrions parler du mot
« illumination », où nous pourrions l'accepter en notre sein, où nous
pourrions littéralement amener cette conscience dans la réalité -une réalité
dont nous savions qu'elle serait dense et dure, une réalité qui tenterait
presque de la chasser hors de nous. Mais avec une profonde passion que nous avons
tous ramenée de l'Atlantide, nous savions qu'elle nous soutiendrait et qu'elle
fleurirait, ici sur Terre.
L'Atlantide, c'était l'époque du mental, du
développement du mental, de la standardisation de nous-mêmes en tant qu'êtres
humains, sur cette planète que nous aimons tant. C'était un temps pour penser,
pour structurer, pour concevoir, et nous l'avons fait. Nous avons conçu
entièrement le modèle de l'humain que nous voyons maintenant sur la planète.
En Atlantide, nous avons également envisagé une
époque où nous dépasserions les limites du mental -le mental qui nous a gardés
en place, nous a maintenus, nous a rassemblés, nous a permis de voir le monde
au travers du mental et des yeux humains. Mais nous nous sommes dit « Il
viendra un temps où nous dépasserons cette lignée, lorsque nous irons au-delà
de l'ère du mental, lorsque nous entrerons dans l'ère suivante de la Nouvelle
Énergie », et nous voilà. Nous y sommes aujourd'hui.
Après l'Atlantide, nous sommes revenus de sous la
terre où nous avions vécu pour la protection, mais aussi, symbolique de notre
propre regard intérieur, allant vers la vision intérieure, nous connectant à
notre âme et à notre divin, ce qui aurait été difficile à faire en étant
toujours investis dans toutes les activités de l'extérieur, ou du monde
supérieur.
Et, à partir de là, nous sommes allés dans les
temps de l’Égypte, sortant, littéralement, de terre, dans ce qui est les
temples, les pyramides, partout dans le monde. Nous sommes sortis. Donc,
beaucoup d'entre vous, dans les temps de l’Égypte, dans la Grande Pyramide,
dans la Chambre du Roi, respirant dans notre divinité, respirant dans les
potentiels pour cette ère de l'humanité.
Plus tard, nous rassemblant dans le corps, ou
dans l'esprit, à l'époque de Yeshua comme Esséniens, comme ceux qui apportent
les mystères sur cette planète, et celui qui annonce ce que beaucoup pensaient
que ça serait le début d'une nouvelle époque, d'un nouvel âge, mais vous tous
saviez que cela avait déjà commencé. Marchant avec le grand Maître Yeshua, les
terres d'Israël, apportant ces énergies, ensemençant cette Terre avec l'énergie
Christ, l'énergie du Christos.
Sans oublier les temps de Tobias. Oui, Tobias.
Cher Tobias, et beaucoup d'entre vous étaient dans ces temps-là aussi. Tobias,
le père, aussi appelé Tobie -Tovius. Tobias, le fils, Sarah, l'Archange
Raphaël. Une belle histoire et un temps où, à nouveau, nous sommes tous
ensemble, tous réunis pour cet objectif de réaliser ce que nous avons imaginé
aux temps des Temples de l'Atlantide.
Et puis, sur les Écoles des Mystères -ah, les
Écoles des Mystères- partout en Europe. Un lieu pour le plaisir et l'étude, un
endroit de réelle compréhension sur la manière d'apporter le divin. Mais, comme
vous le savez, le monde n'était pas tout à fait prêt à cette époque. Les Écoles
des Mystères étaient comme des îles, des îles en elles-mêmes, beaucoup de
célébration, mais au moment où vous -nous- sommes entrés dans le monde
extérieur, ce fut un choc. C'était traumatisant, passant des merveilleuses
énergies dans les Écoles des Mystères, à la conscience très, très dense du
monde humain.
Et maintenant, ce temps. Il y a treize ans, la
véritable énergie de Shaumbra a commencé à se manifester. Au fil des ans,
beaucoup d'entre vous avez rassemblé ce nouvel appel de l'Archange Gabriel, ce
nouvel appel à se réunir, disant « C'est le moment pour votre
illumination. » C'est le moment. Cet appel qui nous a rassemblés, mois
après mois, au cours de ces années. Un appel qui a apporté quelque chose en
vous, vous a donné du courage, vous a donné l'espoir pour votre propre
illumination. Pas pour le monde, pas pour votre famille, pour personne excepté
vous. Il vous a donné le potentiel, apporté sur cette Terre, d'être dans votre
illumination.
Et ce jour, nous allons au-delà. Nous dépassons
la Lignée Atlante, dépassons le mental, le mental dans lequel nous avons été,
pratiquement piégés dedans. Nous en avons très souvent parlé dans nos réunions,
mais aujourd'hui, on pourrait dire que les énergies sont
bonnes. Elles sont là pour qu'on aille au-delà. Au-delà.
Ce magnifique pupitre est plus que quelque chose
sur lequel je vais m'appuyer et que je vais marteler dans les mois et quelques
années qui viennent. Il est plus qu'un simple meuble, plus que le bois.
Ce pupitre -et j'espère que vous tous pourrez le
toucher avant de partir- ce pupitre est vraiment un symbole, un symbole de
l'endroit où nous sommes tous. C'est le symbole de votre sagesse. Cela ne m'a
pas été offert. Cela vous a été offert. C'est un symbole de votre sagesse.
C'est le symbole de ce que vous avez à offrir aux autres en tant qu'enseignants
des énergies spirituelles. C'est un symbole de tout ce que vous avez appris, de
tout ce que nous avons dit ensemble, au cours de ces treize dernières années.
C'est un symbole de l'illumination, c'est un
symbole de vous -de vous, prenant votre place légitime, à votre pupitre. Chacun
et chacune d'entre vous, non pas assis métaphoriquement dans le public, mais
étant à votre propre pupitre, parlant de votre propre voix. Avec le public qui
pourrait n'être que vous, ou un public qui pourrait remplir des salles
immenses.
C'est un symbole du voyage, du chemin parcouru
depuis les Temples de Tien en Atlantide, du chemin parcouru en seulement treize
années. Je sais que cela semble long parfois, treize années. Treize années
dédiées à votre vie, et plus, mais treize années en tant qu'énergie Shaumbra.
Mais, si l'on considère combien sont lointains les temps de l'Atlantide, les
temps de Tobias, Yeshua, même les Écoles des Mystères, treize années, c'est un temps
très court, en fait. Alors...
La seule chose qui nous manque, c'est du
champagne. Mais je comprends qu'on boira un peu d'alcool plus tard aujourd'hui.
Donc, chers Shaumbra, prenons une profonde
respiration, pour le symbole de votre sagesse, de vos enseignements, de votre
voyage. Le pupitre -peu importe comment vous voulez l'appeler, pupitre de
conférencier, podium- cela représente
votre sagesse.
Ah, profonde respiration. Ah. Bien. Bien.
La Lignée Atlante
Maintenant, la Lignée Atlante dont je parle, c'est
le mental, et c'est sans doute le plus gros défi que vous ayez tous en ce
moment. Cauldre me dit que je suis à court de temps. J'ai sept minutes pour
faire mes déclarations extraordinaires.
La Lignée Atlante est mentale. Peut-être
devrais-je dire, la plus importante dynamique... (quelqu'un se lève pour aller
aux toilettes) Oui, nous irons ensemble.
JOANNE : Oh, d'accord.
ADAMUS : Oui, s'il vous plaît. Je vous
accompagne.
La plus importante dynamique en cours dans... où
allons-nous ?
JOANNE : Je ne sais pas où vous allez. Je
vais aux toilettes.
ADAMUS : Oh, moi aussi ! C'est
exactement là où j'allais. (rires alors qu'il quitte la salle avec elle) Bien.
Bien. Je suis heureux. Ouais, je vous aiderai le long du chemin. C'est un des
trucs à propos de l'illumination, vous savez. Ouais, se balader sur le chemin.
Ouais. (rires) Et quel cabinet prenez-vous ? (elle rit)
JOANNE : Celui-ci est pour les femmes.
ADAMUS : Vous voulez le gauche ou le
droit ?
JOANNE : Les femmes utilisent celui à
l'intérieur et les mecs, d'habitude, celui à l'extérieur.
ADAMUS : Oh non, je vais juste venir ici,
avec vous.
JOANNE : Oh !
ADAMUS : Non, non, non. C'est très bien.
C'est très bien. Oui. Attendez, une seconde. (Linda se racle la gorge ;
Dave est reparti avec l'appareil photo) Nous devons être pris en photo. Oui.
Vous savez, je me sens comme si j'avais une robe aussi, aujourd'hui. Comment je
lève ce truc pour y aller ? Oh, eh bien, d'accord. Bonne chance. Bonne
chance. Si vous avez besoin d'aide, vous n'avez qu'à appeler. (rires alors
qu'il revient dans la salle de réunion) J'essayais juste d'aider. Tout le monde
va bien, là-dedans ?
Ça vous apprendra à ne pas aller faire pipi
pendant la conférence. (rires) Si vous vous sentez très émus, retenez-vous.
(plus de rires)
Donc, où en étions-nous ? Nous parlions du
plus important changement de tous, qui se déroule maintenant, pour vous. Le
plus important changement. En fait, c'est peut-être le plus important
changement planétaire, là maintenant, mais le plus
important changement que vous vivez. Est-ce qu'elle passe par un
changement, là-bas ? (rires)
Le plus important changement que vous vivez est
celui de la liberté. C'est ce que... si vous résumez tout ce que la planète vit
en ce moment -la lutte, l'agitation et tout le reste, tout est une question de
liberté. C'est une question de liberté. Et nous en avons déjà parlé. J'ai
irrité certains d'entre vous, en disant que je n'étais pas vraiment sûr que les
humains soient prêts pour la liberté. Vraiment ! Ils ont pris l'habitude
de ne pas en avoir. Ils sont devenus complaisants. Ils ont permis que quelqu'un
prenne soin d'eux, en quelque sorte, et ils ont pris l'habitude de s'en
plaindre.
Mais, ce qui se passe maintenant, si vous jetez
un œil à certaines guerres, à certaines choses qui se passent sur cette
planète, la véritable lutte, c'est pour la liberté, et il y a encore une grande
question. Les humains sont-ils prêts pour la liberté ? Oui, Pollyana, ce
serait très bien de dire, absolument, que tous les humains sont magnifiques,
des êtres merveilleux, mais ils sont toujours dans la conscience mentale
Atlante, une conscience qui a été programmée, qui a été formée à ne pas
avoir de liberté. A penser qu'ils ont la liberté, à prétendre qu'ils ont la
liberté, mais en fait, de ne pas l'avoir.
Vous, avec votre passion pour l'illumination,
avec votre passion pour la souveraineté, vous traversez un changement dans la
liberté. Dans la véritable liberté. La souveraineté, le Je Suis, ne dépend pas
des autres êtres, n'est pas pris dans les rouages de la conscience de masse.
C'est une question difficile. Se libérer des familles spirituelles, de vos
familles angéliques. Se libérer de votre famille biologique. Dieu les aime.
Quittez-les. (rires) Quittez-les au nom de votre propre liberté, de façon à ne
pas être liés dans le karma ancestral, la biologie ancestrale. Aimez-les pour
le Je Suis, le Dieu intérieur, mais pas seulement parce qu'ils sont votre
famille. Liberté de votre propre expression, pour votre propre expression.
Liberté de l'esprit.
Maintenant, ce n'est pas pour dire que le mental
n'a pas sa place, mais en fait, si vous le ressentez, le mental ne veut pas
plus longtemps la place qu'il a eue. Il ne veut vraiment pas. C'est la chose
qui vous fait... ce genre de truc qui vous fait douter. En fait, votre mental
ne vous fait pas vraiment douter, mais le mental traite toute la conscience au
sujet du doute. C'est vous qui doutez de vous, mais le mental ensuite, va
travailler à votre service, en traitant la totalité, apportant des souvenirs du
passé, des fois où vous avez été blessés, des fois où vous avez été jetés aux
lions, aux loups et à tout le reste. Donc, le mental est plutôt un genre de
collaborateur dans tout ce truc.
Nous en arrivons à ce point de la liberté, ici,
aujourd'hui, dès maintenant, dans cette salle, avec tous les Shaumbra du monde entier, et je vous pose la question, une fois
encore : êtes-vous individuellement -n'y répondez pas tout de suite,
ressentez-la, parce qu'il y a quelques petits détails- êtes-vous prêts pour ce
changement dans la liberté ? Le texte en petits caractères, c'est, eh
bien, vous aurez la liberté. Vous aurez la souveraineté. Mais lorsque vous
allez passer à la liberté, vous lâchez les attachements sur tous les trucs qui
vous ont gardés dans une espèce de prison, ou loin de la liberté.
Et vous dites « Eh bien, n'est-ce pas une
bonne chose ? » Je ne sais pas. Je ne sais pas, parce que, quelles
sont les choses auxquelles vous vous accrochez toujours ? L'argent -ou vos
anciennes notions de l'argent ? Les amis et la famille ? Peur d'être
seul au monde ? La souveraineté, c'est d'être seul, soit dit en passant,
mais beaucoup d'entre vous ont peur... oh, j'aime bien ça. (pupitre) C'est si
bon. (rires ; Robert dit quelque chose, Adamus glousse) Il ne couvre pas
ça ! Ouais. Super clichés quand même, pour Crash. Oui. Avez-vous essayé de
sauter dessus afin d'être sûr qu'il est solide ? Oui. Vous dites que c'est
un pupitre de conférencier. Je ne suis pas encore debout dessus. (Robert
répond, ils rient tous les deux)
Donc, êtes-vous prêts pour cette liberté ?
Parce que cela signifiera laisser aller les attachements sur une large variété
de choses. Et si vous perdez votre travail demain ? Vous allez dire
« Aah ! Qu'est-ce que j'ai mal fait ? » Non, c'est la liberté.
C'est vraiment la liberté. Les relations, tout le reste, nous n'aborderons pas
ça parce que je ne veux pas vous déprimer, mais ça libère dans votre
souveraineté, dans votre liberté. Mais la chose à laquelle nous allons vraiment
jeter un œil aujourd'hui, c'est la liberté au-delà du mental. La liberté
au-delà du mental.
A nouveau, le mental a limité votre capacité à
voir les potentiels, et les potentiels sont grandioses. Dans notre prochaine
série, qui démarre en Oct-... (il s'empêche de marteler le pupitre) démarrant
en Octobre -peut-être quelque renforcement- notre prochaine série qui démarre
en Octobre concernera les potentiels. Nous la titrerons « Les Nouveaux
Potentiels » ou peut-être quelque chose de plus intelligent que ça.
Le mental vous a retenus... vous avez permis au
mental de vous empêcher de voir les potentiels, par conséquent, vous n'avez pas
vraiment été libres. Les potentiels qui sont au-delà du mental sont
phénoménaux, à couper le souffle, excitants, mais ils sont tellement
quantiques, quantiquement différents, de la façon dont vous avez pensé jusqu'à
maintenant. Si quantiquement différents.
C'est presque sans être capables de l'expliquer
tout de suite, les potentiels qui surgissent pour que vous réalisiez, qui sont
dans votre vie -ils ne viennent pas de moi, ils viennent de vous-...
JOANNE : (revenant des toilettes) Salut.
ADAMUS : De retour ? Bien.
Les potentiels sont au-delà du mental. Des choses
que vous vous considéreriez fou de seulement les imaginer en ce moment, disent
« C'est tout simplement fou. C'est juste complètement fou, » mais en
fait, ça ne l'est pas. Mais il y aura des changements dans votre vie. Il y aura
des changements.
Changements
Je veux parler des changements pendant un
instant. Nous avons eu une conférence de très haute énergie lors de notre
récent DreamWalker Life (tenu douze jours avant) Très haute. C'était le
parangon. C'était magnifique. Vous avez été secoués. Je suis arrivé le premier
matin et j'ai dit « Les énergies se déplacent déjà. Elles circulent
déjà. » Et j'ai dit « Elles vont continuer. Vous allez les amener à
de nouveaux niveaux. Vous allez les amener à d'extraordinaires nouveaux
niveaux, mais... » et personne n'a entendu le mais. Hm. Peut-être
que j'ai oublié de le dire. (Adamus glousse) Mais j'ai dit, quand vous
retournez dans votre vie, de retour à votre ancienne identité -votre maison,
votre voiture, votre job et tout le reste- ça va être difficile pendant un
certain temps, un petit laps de temps. Pourquoi ? Parce que vous traversez
un changement quantique.
Rien n'est plus comme c'était lorsque vous l'avez
quitté, et ce que nous avons expérimenté au DreamWalker Life, là-haut dans les
montagnes est infime, comparé à ce que vous allez expérimenter dans les
quelques prochaines années. Infime, au regard de ce qui se passait réellement.
Aussi, mes chers amis, comment
changez-vous ? Comment traversez-vous ça ? Comment l'empêchez-vous de
vous écraser totalement ?
Eh bien, tout d'abord, vous allez réaliser que ça
ne va pas vous écraser. Deuxièmement, vous réalisez que vous allez avoir des
effets. Vous allez les ressentir dans votre corps, parce que votre corps change
de façon drastique, en ce moment. Vous allez avoir des changements dans votre
mode de vie quand vous traversez un changement pareil. C'est cahoteux et
bosselé, tout d'abord. Vous allez découvrir -vous découvrirez- si vous
avez besoin de repos, de vous éloigner des autres. Le mental crée des activités
pour se justifier, pour rester occupé, et tant d'entre vous -occupés tout le
temps. Activité après activité, projet après projet, et pas vraiment sur les
chemins de l'illumination ; juste pour vous garder occupés.
Lorsque vous traversez un changement intense, des
choses vont se passer. Ça pourrait vous mettre au tapis. Vous pourriez tomber
malades. Vous pourriez perdre la tête, devenir fous. Vraiment. Et un de vos
amis Shaumbra l'a fait. Et c'est une bonne chose. C'est une bonne chose. Ne
vous sentez pas mal.
Ce cher Joe, ce cher Joe avait besoin de ce
moment de tranquillité, avait besoin de ce temps pour sortir de son mental. En
ce moment, alors que nous parlons d'aller au-delà du mental, en fait, il y a un
magnifique effet résiduel pour Joe, parce que Joe sort de son mental pour vous
tous, d'une certaine façon. Il le fait pour lui-même, mais cela a un effet sur
vous. Ce que vous ressentez de ça en ce moment, ça l'aide.
Je soulève ce point -et je devrai le soulever à
nouveau plus tard pour vous rappeler -nous allons traverser... vous avez
traversé des changements, mais nous allons traverser des changements quantiques
lors de cette prochaine Série, et au-delà. Permettez à ces changements de se
produire dans votre vie. Lorsque quelque chose se passe, ne tombez pas dans
la panique de penser que vous avez mal fait. Vous ne pouvez pas mal faire dans
l'illumination ! En fait, vous ne pouvez même pas revenir en arrière. Vous
ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas dire « Je ne suis pas sûr à propos de
cette illumination. Je vais revenir. » Vous ne pouvez pas du tout. Vous ne
pouvez pas non plus mal faire dans l'illumination.
Donc, prenons une profonde respiration avec ça.
Beaucoup d'entre vous avez traversé d'énormes
changements ces dernières semaines -d'énormes changements- et vous les avez
traversés plutôt élégamment. Vous avez permis ces changements. Vous vous êtes
écoutés. Quand vous vous êtes sentis fatigués, vous avez dormi. Vous avez fait
les choses que vous deviez. Vous avez respiré lorsque vous commenciez à être
troublés, en d'autres termes, trop dans une activité mentale. Vous avez pensé à
Aandrah. Certains d'entre vous sont venus... beaucoup d'entre vous sont venus
vers Aandrah. (Adamus glousse) Ces changements vont continuer à se produire.
Afin de vraiment comprendre les changements, ce
qui se passe, il est important de comprendre la relation entre ce que nous
appelons le moi humain, le Corps de Conscience, et votre âme, votre divin.
Imaginez, pendant un instant, un livre brillant.
(rires alors qu'Adamus ramasse son livre « Vivre sa Divinité ») Ce
livre contient plusieurs éléments différents. Le papier. Le papier, qui vient
généralement des arbres. Le papier. Et si vous regardez vraiment le papier, si
vous le regardez de près, il y a des fibres là-dedans. C'est constitué d'un
grand nombre de fibres qui ont été pressées ensemble pour créer le papier.
Il y a de l'encre sur les pages. De l'encre sur les
pages qui forme des mots. Ce sont juste de petits gribouillis, mais lorsque
vous les lisez, ça signifie beaucoup. Et il y a de la colle qui tient tout
ensemble.
Dans une sorte d'analogie grossière, c'est comme
votre soi humain. Vous êtes l'encre. Vous êtes les mots sur le papier. Vous
êtes l'histoire qu'on écrit sur le papier. Le papier, pourrait-on dire, serait
votre esprit, votre essence. Et la colle, la colle est l'énergie, la
conscience, qui maintient le tout ensemble.
Ainsi, les mots sont séparés du papier, à un
certain point. Ils sont sur le papier, mais ils sont séparés, et d'une certaine
manière, c'est ainsi que vous vous voyez.
Vous n'êtes pas le papier, vous êtes les mots.
Vous êtes l'encre sur la page, et le papier a été séparé. Et la colle -même pas
toujours consciente de ça.
Ce qui se passe, dans la compréhension de la
relation entre tous ces éléments, c'est que tout à coup, il n'y a plus vraiment
de papier. Il n'y a pas vraiment d'encre. Ils commencent à fusionner ensemble.
Même les fibres dans le papier ne sont plus juste maintenues en place en tant
que fibres. Elles commencent à se déplacer, changer, se combiner ensemble,
créant un type de fibre complètement différent au point où il n'y a plus de
séparation entre le papier, les mots, l'encre, la colle. C'est ce qui se passe.
Vous n'êtes plus seulement un humain. Vous avez
dépassé la Lignée Atlante du mental. Il n'y a plus de distinction, ou de
séparation, entre l'Esprit, l'humain, le mental, ou n'importe quelle énergie,
aucune de ces choses. Cela fusionne ensemble. C'est le processus de
transformation que traverse chacun et chacune d'entre vous.
Il y a des changements qui ont lieu, qui vont
avoir l'air de bosses, ou d'accidents sur la route, et ils ne le sont pas. Ils
ne le sont pas. Partant d'ici, nous entrons dans des potentiels quantiques, des
changements significatifs, au-delà du mental. Vous vous sentirez parfois comme
si vous deveniez fous. Il y a des fois où vous aurez le mental qui se ferme, ou
qui décroche, et des fois, même, où votre corps se sent comme s'il passait par
une douleur atroce, ou des bouleversements. Il va y avoir des fois, par
moments, même, où vous allez vous sentir comme si vous alliez mourir. Mais en
fait, vous allez juste vraiment devenir vivants.
Donc, prenons une profonde respiration.
Permettre le Changement
Comment faisons-nous des changements ?
Prenez une profonde respiration. Ça aide toujours. À calmer le mental, à amener
certaines énergies, à faciliter les changements que vous vivez.
Vous pouvez aussi faire un merabh. Aussi,
pourquoi ne pas en faire un tout de suite. (quelques applaudissements ;
Linda dit « Youpi! ») Faisons un merabh pour le dépassement de la
Lignée Atlante, la lignée mentale. Dans ce merabh avec Yoham, soyez,
simplement. Permettez, simplement. Un merabh, c'est vraiment permettre.
Permettre. Sans forcer. C'est l'un des changements quantiques, significatif,
dont nous allons discuter -on ne force plus.
Pouvez-vous imaginer -avant que la musique ne
joue- pouvez-vous imaginer ce nouveau potentiel où vous n'avez même plus besoin
d'essayer ? Aucun essai ? Essayer est une énergie mentale. Où vous
n'avez pas besoin de forcer quoi que ce soit. Vous n'avez pas besoin de forcer
un changement avec un merabh, il le fait simplement. Pourquoi ? Parce que
vous l'avez imaginé. Vous l'avez apporté.
Là où nous allons avec ça, il n'y a pas à
comprendre tout ça. Il n'y a pas à le comprendre. On ne peut pas. On ne veut
pas. Comprendre des choses, c'est très mental, et en fait, c'est en train de
devenir pénible d'essayer de comprendre des trucs. C'est en train de devenir
pénible aussi, de ne pas comprendre les choses, parce que les gens vont vous
poser des questions.
Ils vont venir vers vous et dire « Pourquoi,
l'illumination ? » et vous n'allez pas être capables d'y répondre.
Vous n'allez pas avoir la réponse, et pendant un court moment, vous allez vous
sentir stupide, du genre « L'illumination, c'est tout ce que je fais, et
je ne suis même pas capable de répondre à la question de quelqu'un dans la
rue. » Et alors, tout à coup, parce que votre mental ne vous limite plus,
ou ne contrôle plus vos pensées, vous allez le comprendre. Et quand ils posent
la question « Pourquoi l'illumination ? » et que vous restez
coincés, sans mots, vous allez juste faire ça (il touche doucement quelqu'un).
Vous allez juste les toucher à l'épaule, ou sur le visage, ou n'importe où -ils
vont le comprendre. Pas besoin de dire quoi que ce soit -Waouh!- en eux,
directement. Ah ! C'est là où nous allons, Shaumbra. C'est là où nous
allons.
Ce n'est pas de la magie. Pas du tout de la
magie. Pour tout dire, je dois en rire. Ha, ha, ha. (rires, Adamus glousse) Il
n'y a pas de secrets. Il n'y a pas de mystères. Il n'y a pas de magie. C'est
l'état naturel d'être. État naturel d'être. Tout le reste a été dénaturé.
Donc, faisons un merabh, en dépassant la Lignée
Atlante, en allant au-delà du mental, tout simplement. Oh, emmenez le mental
avec vous, parce qu'il va changer. Tout simplement, comme les relations entre
l'encre, le papier, et la colle changent, la relation avec le mental change.
Vous n'avez plus à le comprendre, dieu merci. Vous n'avez plus à y travailler.
Donc, un merabh. Quelques minutes de belle
musique. (à Yoham) Voulez-vous que je chante avec vous, cette fois ?
EINAT : Oui, bien sûr ! (Adamus glousse)
(la musique commence)
ADAMUS : Quelques minutes de belle musique
et juste permettre. Permettre. C'est un mot auquel nous allons revenir, encore
et encore -permettre.
Nous allons faire une expérience spéciale de
Permission Quantique -ce n'est pas un atelier, mais une expérience- pour ceux
qui veulent cinq jours de permission intense, à venir au début de l'année
prochaine. Et nous parlerons de permettre souvent. C'est ce dont il s'agit. La
liberté, c'est permettre. Permettre, c'est la liberté. Donc...
Avec la musique, avec le merabh, un changement.
Un changement. Un changement gracieux. Je ne veux attraper aucun d'entre vous à
réfléchir à ça.
Et si la musique joue et que vous vous demandez
« Est-ce que ça marche ? Est-ce que ça marche ? » cessez,
s'il vous plaît. N'êtes-vous pas fatigués de ces anciennes manières ? Oui,
ça marche ! Évidemment ! Pourquoi ? À cause de Yoham. (il
glousse) Non, parce que vous le permettez. Vous le permettez. Ça marche.
Vous pourriez vous interroger toute la journée. Est-ce la façon dont vous
voulez continuer à vivre ? Ou dire « Ça marche ! »
Le changement gracieux. Le rééquilibrage du
corps, du mental, de l'esprit. Ça marche. C'est un merabh. Ah ! Vous
n'avez pas à faire quoi que ce soit.
Dépasser la Lignée Atlante... treize ères plus
tard, nous y sommes.
(pause)
Un temps que vous avez imaginé. Oh, vous ne
connaissiez pas la date, ça n'avait pas d'importance.
(pause)
C'était plus une question de potentiel.
(pause)
Glissant élégamment au-delà de cette lignée...
(pause)
… dans un véritable sentiment, le genre de
sentiment qui a été exprimé plus tôt aujourd'hui à propos de l'illumination.
(pause)
Vous n'avez pas à devenir mental. Vous vous
exprimez au travers de vos ressentis.
(pause)
Dépassant la Lignée Atlante...
(pause plus longue)
Le potentiel de la liberté... Ah, la liberté
-retour à votre état naturel d'être.
(pause)
Bon de savoir qu'il n'y a rien à obtenir ou
achever. La liberté, de nouveau dans votre état naturel.
(pause)
Le mental voudrait qu'on essaie d'atteindre
l'illumination.
(pause)
Elle est déjà là. C'est déjà votre état naturel.
(pause)
Dans la liberté, c'est aussi l'opportunité de
vivre vos rêves. Nous avons parlé de ça avec beaucoup d'entre vous auparavant,
pas juste de rêver vos rêves, mais en fait, de les vivre. D'être dedans. De les
amener ici. De vivre le rêve. Plus de séparation entre cette chose que vous
connaissez comme un humain et vos rêves : ils arrivent ensemble.
(pause)
C'est quantique. C'est permettre totalement... et
il n'y a rien que vous deviez faire pour arriver à ça, en dehors de le
permettre. C'est la meilleure des choses. Pas de secrets, pas de mystères, pas
de 1 000 $. C'est de revenir à vous. Retour à qui vous êtes.
(pause)
J'adore regarder certains d'entre vous, en ce
moment, qui commencent à piger. Certains d'entre vous sont toujours à dire
« Est-ce que je le fais bien ? » Certains d'entre vous disent
« J'ai vraiment besoin de me lever et aller aux toilettes, mais Adamus va
me suivre. » Certains d'entre vous ont faim.
C'est une chose intéressante. Certains d'entre
vous se demandent si vous êtes réellement prêts pour ça, ou dignes -dignes- et
c'est très intéressant. Eh bien, évidemment, vous êtes prêts si vous voulez
l'être. Et bien sûr, vous ne serez jamais dignes si vous continuez de penser comme
ça.
Dépasser la Lignée Atlante. Dépasser la Lignée
Atlante. Vous n'avez pas à vous demander si vous êtes dignes. Cette question
est tout à fait hors de propos. Absolument hors sujet. Il est simplement
question de savoir si c'est cette chose que vous choisissez. C'est tout.
Donc, écoutez, alors que se joue la musique du
merabh.
(longue pause alors que la musique continue)
Donc, dépassant la Lignée Atlante, au-delà du
mental, d'immenses potentiels nouveaux en attente. Vous n'avez pas à y penser,
ou vous demander ce qu'il y a vraiment là, ou si vous êtes prêts. Non. Nous
allons explorer. Nous allons expérimenter.
Il y aura des changements. Il y aura des fois,
où vous
allez vous sentir maladroits, ou bizarres, parce que vous passez d'un
niveau à un autre. Vous changez. Et alors que nous entrons là-dedans, dans
notre prochaine série, prenez juste une profonde respiration, faites quelques
merabhs de temps en temps, mais permettez à ces changements de se produire.
Bien.
Je vous remercie, Yoham. Bonne musique merabhique.
Archange Michaël
Maintenant, avec cela, c'est le moment pour les
bénédictions, l'amour de l'Archange Michaël, de venir avec nous, d'être ici
avec nous. Je n'ai pas souvent d'invité, ici au Théâtre Shaumbra. Une fois de
temps en temps, mais non, j'aime bien le temps où je suis avec vous. Nous avons
beaucoup de travail à faire. J'aime continuer à le faire avancer, mais j'aime
particulièrement la façon dont Michaël et Robert Theiss, et Koka, rassemblent
les énergies, et apportent cette magnifique énergie de Michaël à travers vous
tous.
Et je tiens à faire remarquer que ce pupitre que
nous avons là est vraiment un cadeau des familles des Archanges Raphaël,
Michaël, de Yeshua, bien sûr, et Métatron. C'est donc le vôtre. Je vous
remercie. Et avec cela, c'est un honneur de partager cette scène avec
l'Archange Michaël. Je vous remercie. Je vous remercie. (le public applaudit)
ARCHANGE MICHAËL : Créateur, vous avez
oublié votre livre. (se référant à « Vivre sa Divinité »)
ADAMUS : Oh, c'est pour que vous le lisiez.
(rires)
ARCHANGE MICHAËL : Oh. Oh oui. Oui.
ADAMUS : Il y a de nouvelles informations
pour vous, là-dedans, Mike.
ARCHANGE MICHAËL : Oui. Oui.
ADAMUS : Oui.
ARCHANGE MICHAËL : Quel chapitre me
recommandez-vous, mec ?
ADAMUS : J'aime « L'Alchimie de la
Lumière et de l'Obscurité. »
ARCHANGE MICHAËL : Absolument.
ADAMUS : C'est un de mes favoris.
ARCHANGE MICHAËL : Absolument.
ADAMUS : Oui. Oui, bien. Je vous remercie.
ARCHANGE MICHAËL : Salutations. Comment
puis-je être avec vous sans l'épée ? En avez-vous terminé de me permettre
de combattre vos démons pour vous ? Est-ce vraiment ce temps, où nous pouvons être libérés, en fait, de savoir qu'il n'y
a rien au dehors, ni à l'intérieur de vous, que vous ayez à craindre encore ?
Êtes-vous prêts pour cette liberté ? Bien sûr.
C'est le groupe -c'est le groupe- à l'avant-garde d'une telle
liberté, parce que mon cher ami et Maître enseignant Adamus vous a présenté, et
partagé avec vous, une variété de produits, services, programmes. (rires)
ADAMUS : Mais hélas, je ne suis pas un
Archange.
ARCHANGE MICHAËL : Bien sûr.
ADAMUS : Un simple Maître Ascensionné.
ARCHANGE MICHAËL : Effectivement.
ADAMUS : Ce que vous me rappelez tout le
temps !
ARCHANGE MICHAËL : En effet. (rires)
ADAMUS : Mais j'ai une jolie cape. (Adamus
se lève et montre sa cape)
ARCHANGE MICHAËL : Hm.
ADAMUS : Et un livre.
ARCHANGE MICHAËL : Mais avec ce groupe, avec
tous les enseignements, toutes les danses et célébrations, pouvons-nous
vraiment faire enfin que ce soit réel -l'énergie, la dimension, l'expérience,
l'amour pour la vie-même- afin de devenir les nouveaux amants de la vie ?
Avez-vous cet amour pour vous-mêmes pour être cela ? Bien sûr, comme
Adamus l'a partagé avec vous, cessez d'y
penser. Cessez de réfléchir à l'amour.
Je suis complètement en amour avec vous, sinon je
ne serais pas là, car, n'est-ce pas une expérience plutôt ennuyeuse si vous
n'êtes pas en amour avec la vie ? Cessez de me traîner. (quelques rires)
C'est le moment, et vous êtes le groupe. Il n'y a personne d'autre en face de
vous. Est-ce un fardeau ou une joie ? (le public répond
« Joie ») En effet. Est-ce un fardeau ou une joie ? (le public
répond « Joie » à nouveau) Bien sûr.
C'est ma joie, alors, de servir les nouveaux
créateurs, parce que c'est ceux que je regarde. Ceux qui ont le courage d'aller
dans un voyage, une aventure, une expérience pour découvrir quelque chose que
personne d'autre n'a découvert, à l'exception de tous les Maîtres Ascensionnés.
Mais, eux aussi, sont totalement en amour avec vous. Ils ne peuvent que vous
aider à être en amour avec vous, juste comme vous êtes, et cela leur briserait
le cœur, comme cela briserait mon cœur, si vous choisissiez de tourner le dos à
ce type de liberté -une liberté qui vous place toujours à l'avant-garde de vos
propres créations. Toujours. Quelle étape audacieuse. Quelle étape audacieuse.
Y a-t-il un tel amour, dans cette salle, pour cette audace ?
Nous le voyons. Nous le voyons. Et nous
comprenons en un clin d’œil que vous souhaiteriez tous que ce soit vrai, et
pourtant, votre corps ne serait pas capable de l'intégrer. Votre mental
deviendrait même plus fou, en effet. Mais vous avez la sagesse et l'amour pour
permettre d'intégrer ça. Mais, faut-il attendre demain pour rendre ce choix
vraiment réel ? Demain existe-t-il pour cette expérience ? Allez-vous
attendre demain ? (quelqu'un dit « Non ») Bien sûr. Bien sûr.
Et, allez-vous cesser de me demander de combattre les créatures que vous avez
créées ? Hm.
Avec ce groupe, je dépose mon épée.
Pourquoi ? Hm. Non pas, comme mon partenaire le pense, que je pourrais
avoir développé un syndrome du canal carpien. (rires) En effet, je dépose mon
épée avec le plus grand respect pour, maintenant, co-créer consciemment avec
vous. Pas au-dessus de vous, car vous m'avez donné naissance en tant
qu'archange. Tout ce que je suis, vous l'êtes. Appropriez-vous le.
Faites-le vôtre. Inspirez ce potentiel comme s'il était réel, même si votre
mental questionne « Comment pourrais-je être ça ? Car tous les livres
et les enseignements ont suggéré le contraire. » Regardez au-dessus de
vous et là, vous trouverez quelque chose de plus grand que votre moi. Nous
baissons les yeux sur vous et nous voyons la grandeur. Nous la voyons.
Maintenant, cessez de vous en cacher.
Maintenant, ma question -vraiment, ma question-
comment voulez-vous que je vous serve, créateurs ? L'épée est déposée.
Plus de batailles. Il n'est plus question de lumière et d'obscurité. Il n'y a
rien à craindre au dehors. Comment puis-je vous servir ? Exprimez-vous
ici. Premier volontaire. Bien sûr.
ALAYA : J'ai aussi un micro !
ARCHANGE MICHAËL : Vous recevez tout ce que
vous voulez.
ALAYA : Je vous remercie.
ARCHANGE MICHAËL : Préférez-vous une couleur
différente ? Au pupitre, je vous prie. (elle monte au pupitre)
ALAYA : J'aimerais monter sur vos ailes et
voir ce que vous voyez.
ARCHANGE MICHAËL : Non, non.
ALAYA : Non ? Voudriez-vous monter sur
mes ailes et voir ce que je vois ?
ARCHANGE MICHAËL : Et si les ailes n'avaient
jamais existé ? Mais, sommes-nous prêts à prendre la fuite ensemble ?
Pour reprendre vos mots.
ALAYA : Pour voyager, voler, voir, vivre,
être et respirer... ressentir.
ARCHANGE MICHAËL : Oui. Maintenant,
voulez-vous vraiment cette liberté ? (elle soupire) Laissez-moi démontrer.
Puis-je toucher votre corps ?
ALAYA : Oui.
ARCHANGE MICHAËL : Vous ne pouvez pas
l'avoir. Répondez.
ALAYA : Vous ne me touchez même pas. Je suis
partie. J'en ai assez.
ARCHANGE MICHAËL : Hm. (à David) Vous
touchez les jambes. Peut-il toucher votre corps ? (elle fait signe que
« oui ») Tenez ses jambes. (David tient ses jambes) Vous voulez
marcher ? Vous ne pouvez pas.
ALAYA : Je peux. Je marche déjà. Je n'ai pas
besoin de mon corps pour marcher.
ARCHANGE MICHAËL : Vous êtes dans votre
corps.
ALAYA : Je fais partie de lui.
ARCHANGE MICHAËL : Toute cette transformation
ne se passe pas dans un concept, mais en tant qu'expérience physique. Comment
se sent-on de se voir refuser la liberté de marcher ?
ALAYA : Même si je ne suis pas. On ne me
refuse pas la liberté de marcher.
ARCHANGE MICHAËL : Marchez. (elle essaie,
mais David tient ses jambes ; rires alors qu'elle lutte) Qu'est-ce que ça
fait ? C'est un homme magnifique, un fonctionnaire idéal, mais il va
rester collé à vous pour le reste de votre vie ! S'il vous plaît, ne
faites pas de mal au pupitre. (rires)
Nous voulons juste démon-... je vous remercie. Je
vous remercie.
ALAYA : De rien.
ARCHANGE MICHAËL : Mais nous voulons
démontrer, vous devez vouloir cette liberté ! Qui d'autre s'accroche à
vous ? Qui d'autre autorisez-vous à s'accrocher à vous, au nom de
quoi ? Vous devez la prendre et dire non à ceux qui sont pénibles, ou,
comme l'a dit Adamus, ce n'est pas leur temps, tout simplement. Peut-être que
dans votre vie, ceux auxquels votre cœur est si profondément connecté, depuis
un espace de compassion, ne le comprendront jamais. Voulez-vous compromettre
votre liberté pour leur timing ? (quelqu'un répond « non »)
Mais, voulez-vous être un exemple vivant pour toute l'humanité qui veut savoir
« Y a-t-il autre chose en dehors des dogmes dont on nous a bourré le
crâne ? » Bien sûr. En effet.
Donc, vous êtes les nouveaux marcheurs de la
liberté de l'Esprit, les nouveaux créateurs de vie, les nouveaux chamans, la
prêtresse réincarnée, le prêtre sans sermon. Ah ! Cela n'est-il pas
merveilleux ? Sans vouloir vous offenser (à Adamus)
Le prêtre sans sermon. La liberté de marcher,
tout simplement. Juste la conscience d'être tellement vivant. C'est le moment,
aujourd'hui, en ce moment. C'est le moment de s'approprier ça.
La liberté a-t-elle besoin d'être canalisée pour
devenir réelle ? (le public répond « Non ») Pouvez-vous parler
au nom de votre propre divinité ? (le public répond « Oui ») Et
la reconnaître ? (le public répond « Oui ») Et vous en
souvenir ? (le public répond « Oui ») Bien sûr. Effectivement.
Un autre volontaire. Peut-être dans cette
direction.
LINDA : Quelle direction ?
ARCHANGE MICHAËL : Droit devant nous. Bob
est très bouleversé. Il a passé trois jours sur la
route, parti avec elle.
LINDA : Oh, désolée. Je suis seulement les
directions.
KOKA : Je vous remercie. Quelle est la
question ?
ARCHANGE MICHAËL : Comment puis-je vous
servir, chère...
KOKA : Comment pouvez-vous me servir ?
ARCHANGE MICHAËL : … prêtresse ?
KOKA : (elle hésite) Vous voulez vraiment
prendre la route pendant trois jours avec moi ?
ARCHANGE MICHAËL : En effet. En effet. Vous
parlez au nom d'une lignée, née d'un genre qui s'est démodé. D'une souveraineté
qui ne s'est pas réalisée. Vous vivez un état de grâce qui a été refusé.
Comment puis-je vous servir en tant que nouvelle
créatrice ?
KOKA : Je crois que la meilleure façon de me
servir est de croire que je peux le faire moi-même.
ARCHANGE MICHAËL : Je vous remercie. Merci.
Un autre volontaire. Ah ! Nous en avons déjà une. En effet. (le public
applaudit alors que Linda est choisie)
LINDA : Je savais que ça allait arriver.
ARCHANGE MICHAËL : Je ne suis pas aussi poli
qu'Adamus. Comment puis-je vous servir ?
LINDA : (hésitant) En me permettant d'être
tout ce que je suis.
ARCHANGE MICHAËL : Eh bien, soit. Eh bien,
soit. C'est si facile, n'est-ce pas ?
LINDA : Oui, en fait.
ARCHANGE MICHAËL : Ne pouvons-nous pas juste
danser, maintenant, faire la fête ensemble ? Devons-nous maintenir cette
façade entre les royaumes physiques et éthériques ? (certains dans le
public disent « Non ») En effet. En effet. Alors, allons-nous
l'ouvrir aux questions générales ?
Questions & Réponses
LINDA : Je le sens par ici.
JULIE : Ce qui m'est venu, alors que vous
parliez de service, c'était « jouir », et juste les royaumes
féeriques, voir des trucs, sentir des trucs. C'était vraiment magique.
ARCHANGE MICHAËL : Oui. Oui. Mais jouez avec
cette magie, même avec ceux qui n'ont pas l'air au courant, ou trop denses pour
le ressentir, pour savoir. Voyez-les simplement comme
des fées qui ont perdu leur chemin. Et alors, cessez de les attendre, pour
devenir davantage ce que vous êtes déjà, afin de vous permettre de prendre
votre envol ici. Parce que, ça peut ne pas être leur temps, mais c'est le
vôtre. Absolument.
Qu'est-ce qu'Adamus a et qui vous manque ?
(rires alors qu'Adamus sourit, saisit son pupitre et frime avec sa robe)
Vraiment. Qu'est-ce qu'Adamus a et qui vous
manque ? (un couple de gens disent « Rien ») Maintenant, allez.
Soyons honnêtes.
JOSHUA : La réalisation de l'expérience.
ARCHANGE MICHAËL : Oui. Mais nous avons déjà convenu que
l'expérience commence maintenant pour vous.
JOSHUA : Oui.
ARCHANGE MICHAËL : Et qu'est-ce qui manque
d'autre ?
(Joshua hésite)
ARCHANGE MICHAËL : Vous avez raison.
JOSHUA : Seulement la réalisation.
ARCHANGE MICHAËL : Oui. Et pourtant, elle
commence maintenant ?
JOSHUA : Oui.
ARCHANGE MICHAËL : Ne serait-il pas plus
amusant de danser avec ce personnage ?
JOSHUA : Après le barbecue. (rires)
ARCHANGE MICHAËL : Effectivement. C'est
plutôt un bon danseur. (plus de rires alors qu'Adamus fait une grimace)
Il démontre une liberté dont vous vous privez. Il
démontre une liberté qui est votre droit de naissance. Il le démontre à la fois
sous l'angle de la comédie et de la grâce, et il vous offre l'opportunité de
tomber en amour avec ce avec quoi il est déjà
tombé en amour.
Maintenant. Ça commence maintenant, avec la
prochaine respiration, et ensuite, c'est fait. Vous avez terminé. Et alors,
vous venez ensemble célébrer. Ce que vous choisissez consciemment d'inspirer.
Le potentiel -le potentiel, sans savoir ce qu'il va devenir- et vous et moi
avons fait de grandes batailles ensemble, et vous développerez un syndrome du
canal carpien. (rires)
Faisons-le circuler. Je vous remercie.
APRIL : Donc, que fais-je ?
ARCHANGE MICHAËL : Plus près de la bouche.
Merci.
APRIL : Quelle est la question ?
ARCHANGE MICHAËL : C'est votre question.
J'ai les réponses.
APRIL : D'accord ! (elle se redresse)
ARCHANGE MICHAËL : Oui, ça fait tellement de
bien de se sentir grand. De sentir que votre colonne vertébrale soutient votre
corps tout entier. Toute l'histoire que vous avez charriée, toutes les peines,
tous les déguisements que vous avez portés.
APRIL : Je suis prête à les laisser aller.
ARCHANGE MICHAËL : Bien sûr. Elle est très
puissante, cette colonne vertébrale. Elle veut supporter ce corps. Vos jambes
sont fortes. Votre corps est ferme. Il veut juste danser, maintenant. C'est
tout ce qu'il veut faire.
APRIL : Je suis prête.
ARCHANGE MICHAËL : Oui. Oui.
TIM : Au travers des nombreuses discussions
que nous avons eues ensemble...
ARCHANGE MICHAËL : En effet.
TIM : … sur plusieurs millénaires, qui parle
le plus, vous ou mon grand Soi ?
ARCHANGE MICHAËL : Hm. Qui voulez-vous
croire qui parle le plus ?
TIM : Le grand Soi.
ARCHANGE MICHAËL : Alors, croyez-le.
TIM : Mais...
ARCHANGE MICHAËL : Mais alors, êtes-vous
prêt à agir d'après ce que vous entendez, reconnaissez et revendiquez comme
étant votre vérité, et ne pas écouter tout le bruit de fond qui arrive et
suggère que ce n'est pas vous, qui pose la question « qui parle ? »
TIM : Oui.
ARCHANGE MICHAËL : Voulez-vous cette liberté
d'avoir ce genre de clarté . Il l'a (pointant vers Adamus).
TIM : Il l'a depuis longtemps.
ARCHANGE MICHAËL : Oh, je n'en sais rien.
(rires) Oui. N'était-ce pas Tobias qui écoutait mes chants d'oiseaux dans sa
prison ?
TIM : Oui.
ARCHANGE MICHAËL : (parlant à Adamus) Et,
cher ami, que me disiez-vous, avec les mêmes gazouillis d'oiseaux, pris dans
votre cristal ?
ADAMUS : Cent mille ans. Je vous ai raconté
l'histoire ? (rires)
ARCHANGE MICHAËL : Oui. Je pense qu'elle a
quatre lettres qui se répètent encore et encore. (plus de rires)
Donc, nous avons éclairci cela. Vous avez fait un
choix, et vous l'inspirez afin que, en conscience, ça fasse partie de ce que
vous faites, croyez, ressentez, vivez, et ensuite, nous passons à autre chose.
TIM : Oui.
ARCHANGE MICHAËL : Vous avez fini. Alors,
deux Maîtres Ascensionnés (Joshua est avec Tim), commencent juste à le
manifester dans une réalité physique, parce que vous avez choisi de le rendre
réel ici. Il démontre une liberté que très, très peu de gens ont choisi
d'incorporer vraiment, que vous pouvez avoir votre gâteau et le manger aussi.
Vous pouvez être ici, dans le physique, et vous amuser dans l'éthérique. Ou,
l'éthérique était tellement ennuyeux que vous avez dû venir ici ? (rires)
Oui. D'autres questions, et incluons Adamus.
SHAUMBRA 3 (femme) : J'aimerais vous
entendre tous les deux parler de la différence, dans l'autonomisation ou la
déresponsabilisation, entre prendre soin ou avoir de la compassion.
ADAMUS : Hm.
ARCHANGE MICHAËL : Oui. Si vous voulez
prendre soin de vous-même, c'est un état profond de compassion. Si vous prenez
soin des autres qui utilisent votre vie comme un système de soutien, alors,
comment appelez-vous ça ?
SHAUMBRA 3 : Du vampirisme.
ADAMUS : Exactement. C'est très facile de se
faire prendre dans tout ce piège du vampirisme. Il y a les autres qui veulent
simplement votre énergie, ils veulent la prendre, donc, ça dépend seulement de
la raison pour laquelle vous le faites. Et pour quelle raison
choisiriez-vous de prendre ce soin ? La compassion ? Le
chagrin ? Le soin ? Ayant été dans le même rôle, peut-être, dans le
passé, de celui qui avait besoin d'être pris en charge et revenant maintenant
pour prendre soin ? Donc, qu'est-ce que ça fait ressortir en vous ?
(elle hésite)
Ne savez pas ?
SHAUMBRA 3 : Non.
ADAMUS : Cela vous fait-il plaisir ?
SHAUMBRA 3 : Parfois.
ADAMUS : Quand cela ne vous amuse-t-il
pas ?
(elle hésite à nouveau, et soupire)
Quand vous vous sentez fatiguée, épuisée, vous
demandant si ça aide vraiment ?
SHAUMBRA 3 : Quand l'effet, c'est que ça
interfère avec la simplicité et l'autonomisation des autres, plutôt que de les
rendre à eux-mêmes.
ADAMUS : Oui. Et il a été un temps où vous
avez tous été des gardiens, sous une forme ou une autre -vos familles,
peut-être votre profession- mais où vous avez pris soin des autres. Une des
choses difficiles, c'était d'être le soutien de l'énergie et le gardien du
pionnier et pirate de l'énergie. Très difficile, parce qu'il y a toujours une
partie de vous qui se sent très compatissante, à propos de ce rôle, et qui aime
ça, et une partie de vous qui se sent un peu égoïste pour ce qui est de faire
tout ce truc de l'illumination pour vous-mêmes. Mais je voudrais dire à tous
ceux d'entre vous qui sont investis dans le soin aux autres, il arrivera un
moment où vous aurez besoin de sortir de ça pour prendre soin de vous. Oui. Je
vous remercie.
SHAUMBRA 3 : Je vous remercie.
ADAMUS : Bien. Je pense que nous avons le
temps pour trois de plus.
ARCHANGE MICHAËL : Trois de plus.
ADAMUS : Trois de plus.
KATE : Ma question serait que je ne me
souviens pas de tous les autres royaumes. Je sais qu'ils sont là. Est-ce
important pour mon illumination ?
ARCHANGE MICHAËL : Il est seulement
important que vous vous souveniez de ce que ça fait d'être connectée aux autres
royaumes, et alors que vous avez confiance dans le ressenti de cette connexion,
l'information, sans la moindre idée à l'esprit, semblera télécharger dans votre
propre conscience comme devenant alors réelle. Mais si vous faites confiance au
ressenti, faites confiance au ressenti. La connexion ici, entre Cauldre et
Adamus ne se serait pas développée si Cauldre n'avait tout simplement pas fait
confiance au ressenti de cette relation, afin qu'Adamus puisse vous parler des
autres royaumes. Et ainsi, le cadeau qui a été démontré, c'est un cadeau qui a
été partagé avec vous. C'est aussi votre droit de naissance. Nous voulons que
vous soyez tous là-haut (sur le devant), ainsi nous pouvons nous asseoir là (comme
le public), pour écouter votre sagesse. Au bout d'un moment, nous
n'avons plus rien à vous dire. Nous allons être à court d'histoires. (rires)
ADAMUS : Et l'autre chose à garder à
l'esprit, c'est de faire un petit changement à propos de tout ce concept des
« autres royaumes ». Il n'y a vraiment pas d'autres royaumes. Il y a
ce royaume, selon qu'il est perçu avec un focus très étroit ou un très large.
C'est réellement tout le même royaume. L'a
toujours été, le sera toujours. Il s'agit donc de prendre une profonde
respiration et se sentir libre de percevoir les plus grands espaces de ce
royaume. N'y pensez pas comme étant là-haut, ici-bas, ou quoi que ce soit comme
ça. Certainement, je ne sais pas pour vous, Mike, mais je ne suis pas un fan des dimensions 1, 2, 3, 4, comme ça.
Ce sont toutes un peu la même chose. C'est ce que vous allez vous autorisez à
percevoir hardiment ?
Maintenant, parce que les humains ont été limités
ou contenus à un certain niveau de perception, quand ils s'ouvrent, c'est
inconfortable. Ils attrapent le vertige. Ils sentent qu'ils perdent la tête.
Leur corps commence à vomir, à chier et à faire tous ces autres trucs, ils se
sentent très mal à l'aise, mais c'est juste un ajustement à la vastitude de ce
royaume. Ouais.
Je n'aime pas quand nous entrons dans ces autres
dimensions ou royaumes. Cela crée encore plus de séparation. C'est, dans quelle
mesure voulez-vous respirer dans ce royaume ? Oui, quel super tee-shirt.
Oui.
(Linda tend le micro à Paul, il se tient debout
et ne dit rien. Adamus commence à tourner autour de lui, l'Archange Michaël le
rejoint.)
ARCHANGE MICHAËL : En effet. (rires alors
que Paul sursaute) Nous sommes un peu durs d'oreille. (chacun d'eux salue avec
le geste de « Namasté ») Créateur.
PAUL : Cela fait longtemps.
ADAMUS : Question ?
ARCHANGE MICHAËL : Réponse.
ADAMUS : Bien. Je pense que nous avons
terminé. (rires) C'était un peu bizarre.
ARCHANGE MICHAËL : Comment vous sortez-vous
de ça ?
ADAMUS : Paul, allez-y.
PAUL : Hmm.
ADAMUS : Je pense que nous allons devoir le
refaire.
ARCHANGE MICHAËL : Ohhh.
PAUL : Sortir du mental. En parler.
(Adamus se retourne vers Paul et le gifle des
deux mains ; beaucoup de rires)
ARCHANGE MICHAËL : Oh. Et je dois nettoyer
après lui. (l'Archange Michaël se retourne et embrasse Paul sur la joue ;
rires et applaudissements)
ADAMUS : Lequel des deux l'a sorti du
mental ?
ARCHANGE MICHAËL : Mm hmm.
PAUL : C'était parfait.
ADAMUS : Laissez-moi vous demander, Paul,
pourquoi êtes-vous dans le mental ? Quelle est l'histoire ? Quelle
est l'histoire ?
PAUL : Il n'y a pas d'histoire.
ADAMUS : D'accord. Pourquoi le mental ?
PAUL : Eh bien, à un moment, c'était
confortable, mais maintenant, ça ne l'est plus.
ADAMUS : D'accord. Et où, la
prochaine ?
PAUL : Au-delà du mental.
ADAMUS : Oui, mais... ouais. Où cela va-t-il
vous emmener ?
PAUL : Dans le cœur.
ADAMUS : Peut-être, ouais, mais je voudrais
dire ça n'a pas d'importance. Ça n'a pas d'importance. Vraiment pas.
Vous avez confiance en vous, ça n'a pas d'importance. Sortir du mental, au-delà
des limitations. Ça n'a pas d'importance, parce que ça va être grandiose. Ça va
être grandiose.
PAUL : Ouais.
ADAMUS : Bon. Cessez de penser à sortir du
mental.
PAUL (gloussant) : Génial.
ADAMUS : Bien. Je vous remercie.
PAUL : Je vous remercie.
ADAMUS : Il y a beaucoup d'énergies -si vous
ne l'avez pas remarqué- très, très mentales, et si vous pouvez le ressentir, il
y a une espèce de lourdeur dans la salle, une sensation d'oppression, de
somnolence. Ce devrait être un moment de fête, mais toujours à y penser. Alors,
qu'est-ce qui se passe maintenant ? Il y a un changement sous-jacent qui
se passe, et qui sait ? Vous pourriez rentrer à la maison ce soir, et
avoir un terrible mal de tête. Ouais, ouais. Ou... mais pourquoi pas ? Ça
indique simplement que quelque chose se passe. Ou vous pouvez être juste
terriblement troublés. « Que s'est-il passé dans la salle aujourd'hui avec
Shaumbra ? Je ne comprends pas. » Vous allez essayer de paraître
sensés, comme vous pourriez le faire en ce moment. Ça n'a pas d'importance. Ce
n'est pas grave. Ce changement est en cours.
Pourquoi ? Parce que vous le permettez. Oui.
Bon. Une de plus, vraiment une bonne question, une question vraiment
extraordinaire. (quelqu'un veut vraiment le micro)
LINDA : D'accord.
ALAYA : Cela signifie-t-il que depuis que
Geoffrey canalise Adamus, et je ne connais pas votre nom, mais vous canalisez
Michaël...
ADAMUS : Robert.
ALAYA : Cela signifie-t-il -merci Robert-
cela signifie-t-il que nous allons laisser aller et canaliser un tas d'autres
gens ?
ARCHANGE MICHAËL : Arrêtons de canaliser. Je
ne veux pas être canalisé. Je veux être compris comme étant aussi un aspect de
Robert. Je veux aussi être adopté comme un aspect de vous. Pouvons-nous juste
cesser de créer la séparation ? Il va venir un temps, ici, où la
canalisation ne sera pas appropriée. Pensez-vous que Geoffrey n'aura pas la
sagesse ? (rires alors qu'Adamus la regarde d'un air interrogateur)
ALAYA : Non, mais je sais, j'en parle, ou y
pense, beaucoup -j'y pense- c'est l'intégration de mes... tout moi.
ARCHANGE MICHAËL : Soi supérieur, soi
grandiose...
ALAYA : Exact, soi grandiose.
ARCHANGE MICHAËL : … soi inférieur, soi
moyen, tout le soi...
ALAYA : Très bien.
ARCHANGE MICHAËL : Soi Divin -soi Divin-
le soi du créateur conscient. Quelque chose que l'humain ne peut tout
simplement pas comprendre avant que l'intégration ne se produise. Ainsi,
pouvons-nous nous arrêter ? Sinon, que va-t-il se passer ?
ALAYA : Eh bien, la séparation continue.
ARCHANGE MICHAËL : En effet. Et la peine, la
souffrance, et le manque. Qu'est-ce qui vous manque qu'il incarne déjà ?
ALAYA : Rien.
ARCHANGE MICHAËL : Eh bien, vous demandez...
ALAYA : Excepté pour la question de la
séparation. Donc, cela veut-il dire que Geoffrey s'en va et qu'Adamus
reste ?
ARCHANGE MICHAËL : Eh bien, espérons que
non.
ALAYA : Ce sont les questions qui me
viennent. Et donc...
ADAMUS : Pas ce potentiel !
ALAYA : Je sais, mais c'est une question.
ADAMUS : Imaginez à nouveau... nous allons
nous concentrer, nous allons être les potentiels qui n'auraient pas forcément
pu être imaginés dans le mental Atlante. C'est pourquoi aujourd'hui nous
dépassons ce Lignage.
Vous n'allez pas avoir besoin de messagers comme
ça, comme nous le faisons maintenant, parce que vous allez être dans un groupe
et vous êtes soit... vous allez être au pupitre à
partager les uns avec les autres, à rire les uns avec les autres, ou une
entité va apparaître et vous allez être capable de la voir. Et dès maintenant,
vous dites « Mais je ne sais pas comment faire ça, ni comment ça se passe.
Avons-nous besoin de quelqu'un pour le faciliter ? » Non, une entité
apparaîtra, peut-être pas dans une forme physique, mais dans sa forme
d'énergie, et vous serez capable de voir cette entité et d'entendre cette
entité. Et cette entité ne va pas nécessairement être là pour vous dire comment
le faire, mais partagera certaines façons dont ils font
les choses, et écoutera comment vous les faites.
Donc, nettoyons toutes les
anciennes façons de penser en dehors de la table (de la loi?). Ne
pensons plus comme des Atlantes.
ALAYA : Et c'est pourquoi j'avais besoin de
poser la question.
ARCHANGE MICHAËL : Absolument.
ALAYA : Juste, je... oui.
ADAMUS : Absolument.
Ainsi, prenons une profonde respiration.
Oui ! L'heure est venue, la minute est
venue, le temps est venu pour nous d'aller faire un tour au-delà cette Lignée
Atlante, au-delà du mental. Je vous interrogerai. Je vais vous pousser pour
cesser de penser comme un Atlante, pour vous ouvrir aux rêves et aux
potentiels. Que peut-être demain, dans ce mental, vous pourriez penser qu'il
est fou, eh bien, vous allez parvenir à réaliser qu'il ne l'est pas du tout.
Vous voulez le faire -ce truc de l'illumination-
parce que c'est un grand défi, très enrichissant, très stimulant, qui sort du
vieux moule humain, parce que vous pouvez, parce que vous avez passé 1 000
vies, ou plus sur Terre. Vous voulez le faire, juste pour le faire. Et, alors
que vous le faites, ça va faire une énorme différence dans la conscience de
cette planète. Toute cette conscience, et cette énergie que vous dérangez, va
partir et être disponible pour les potentiels des autres.
Prenons une profonde respiration ensemble, alors
que nous dépassons cette Lignée Atlante, alors que nous entrons dans les
nouveaux potentiels, qui ne sont pas linéaires, qui ne sont pas limités.
Prenons une profonde respiration et remercions
l'Archange Michaël, Robert, Koka, d'être ici, dans ce Théâtre Shaumbra.
Prenons une profonde respiration pour toutes les
entités, et pour vous.
Et, lorsque vous partez d'ici, quand vous quittez
cette énergie et que vous vous demandez ce qu'il en est, si vous le faites
bien, quand ça viendra à être, et toutes ces autres questions, vous prenez une
profonde respiration et vous vous dites « Tout va bien dans toute la
création. »
C'est la fête, Shaumbra, c'est la fête. Je vous
remercie. Merci.