LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série e-2012

SHOUD 12 : “Dépasser la Lignée Atlante” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 4 Août 2012
www.crimsoncircle.com

 

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Royaume Souverain et haute énergie aujourd'hui.

Bienvenue Shaumbra. Groupe difficile, aujourd'hui. Je Suis Adamus du Royaume Souverain, mais j'ai dû amener des renforts, aujourd'hui -l'Archange Michaël (canalisé par Robert Theiss). (quelqu'un dit « Très bien ! » et « Ouais ! ») Très bien ? Vous n'êtes pas satisfaits avec moi ?! (rires et applaudissements)

Pourquoi ? Parce que nous n'allons pas vous laisser partir sans un changement. J'ai dit Changement, Linda. Changement. (rires et Adamus glousse) je peux lire dans ses pensées.

Pourquoi ? Parce que vous en voulez un. Et comment allons-nous le faire ? (quelqu'un dit « Merabh » ; quelqu'un d'autre dit « Facile ») La manière simple, j'espère. J'espère. Pourquoi pas ?

Nous sommes ici aujourd'hui pour une célébration. Nous sommes ici aujourd'hui pour quelques rires et points de vue et, j'entends par là la nourriture, les chansons, un jour de fête. Ah, beaucoup à célébrer. Nous allons entrer dedans dans un instant, mais je veux regarder ce beau, ce merveilleux groupe d'humains, aujourd'hui, hm ? (quelqu'un dit « Salut ») Salut. (Adamus lui envoie un baiser) Je vous remercie. Merveilleux groupe de Shaumbra. Ah !

Vous êtes un groupe intéressant. (rires) Presque sept milliards d'humains sur cette planète. Ça fait beaucoup. Ça fait beaucoup. Sept milliards d'humains qui encrassent les énergies de cette planète -mm, mm, mm, passage pour Adamus (il marche au travers d'une rangée de chaises)- et pourtant, moins de, oh, je dirais à peu près 150 millions, qui ont un concept d'éveil, un vrai... (il s'arrête devant Dave Schemel) Crash ? Oh ouais. (il pose pour une photo)

CRASH : Ascensionné, mec ? (rires ; flash de l'appareil photo)

ADAMUS : Je suis aveugle ! Je suis comme Tobias ! Je ne peux pas voir. (le public rit) Cent cinquante million, à peu près, qui ont quand même... (Adamus envoie un baiser à la caméra) une idée de l'éveil. Peut-être moins d'un million d'humains sur cette planète qui ont choisi l'illumination, qui ont quand même une idée de ce qu'est l'illumination. Oh, beaucoup d'humains pensent qu'ils veulent aller au ciel ; en fait, ils ont peur d'aller en enfer. Beaucoup d'humains veulent juste avoir une vie un peu meilleure. Mm, mm, mm, ouais, et voilà ; passage pour Adamus. (il pousse la chaise de quelqu'un hors du passage) Vous pensiez que j'allais juste vous étreindre, mon gaillard ! (rires)

Mais vous, mes chers amis... ah ! (il va jusqu'à la porte ouverte) je peux m'échapper ! (rires alors qu'il sort) Les archanges là-bas. Moins que...

Vous, mes chers Shaumbra. L'illumination. Vous avez demandé l'illumination. Vous la voulez, dans cette vie-ci, plus que de respirer l'air. Essayons-le. (Adamus retient sa respiration) Vous ne devez pas respirer. Plus que l'air. L'illumination. (Adamus retient sa respiration) Pas de respiration, juste l'illumination.

(pause alors qu'Adamus continue de retenir sa respiration)

Je peux attendre un grand moment. (rires) Ce sont les poumons d'un fumeur, mais la sagesse d'un Maître Ascensionné. (beaucoup de rires) Hahhh.

(il relâche sa respiration)

L'illumination. Pourquoi ? Linda, micro s'il vous plaît.

LINDA : Avec plaisir.

Pourquoi l'illumination ?

ADAMUS : Pourquoi l'illumination ? Non pas « Qu'est-ce que l'illumination », mais pourquoi ? Pourquoi choisissez-vous...

LINDA : Dois-je désigner des volontaires ?

ADAMUS : Voudriez-vous écrire au tableau, ma chère (à un membre du public).

LINDA : Dois-je désigner des volontaires ?

ADAMUS : Oui, comme toujours. Pourquoi l'illumination ? Avant que vous répondiez, je suis ici pour travailler avec vous, vous soutenir, vous aimer, vous encourager, vous pousser par-dessus la falaise de l'illumination. C'est pourquoi vous êtes ici, pourquoi je suis ici.

L'illumination. Pourquoi ? Vous pourriez simplement prétendre qu'elle n'est pas là. Vous pourriez attendre une autre vie. Pourquoi, ma superbe chérie, pourquoi ? Meilleure vue de la caméra.

ELIZABETH : Je n'ai pas un...

ADAMUS : Pouvez-vous vous lever ?

ELIZABETH : Je n'ai pas un mental...

ADAMUS : Parlez-vous comme si vous le pensiez vraiment ?!

ELIZABETH : Je voudrais. (elle parle un peu plus fermement) Je n'ai pas d'explication mentale.

ADAMUS : Oui.

ELIZABETH : J'ai un... je ne veux pas dire une volonté, mais c'est une essence, tout simplement... c'est juste ce que je fais.

ADAMUS : Où est-ce ? Nous allons l'extraire.

ELIZABETH : Pas dans un endroit particulier. C'est juste une passion et au-delà des mots. Il n'y a pas de mots. C'est juste savoir que c'est là que je vais.

ADAMUS : Votre mental ne remet-il jamais en cause tout ce truc de l'illumination que vous voulez ?

ELIZABETH : Oh, grands dieux non. Ça n'arrive jamais... évidemment ! (rires)

ADAMUS : Même Aandrah allait se tourner et vous faire baisser les yeux. (plus de rires)

ELIZABETH : Bien sûr.

ADAMUS : Oui. Vous dites que cette illumination que vous cherchez est plus importante que le mental lui-même.

ELIZABETH : Absolument.

ADAMUS : Bien. Et si nous pouvions extraire cette illumination, la retirer de vous, la mettre dans une chambre forte pour une autre vie. Alors quoi ? Que ressentiriez, penseriez, feriez-vous ? Alors quoi ? Où seriez-vous sans cette passion de l'illumination ?

ELIZABETH : Je ne peux le concevoir.

ADAMUS : Bon. Excellent. Mais vous me dites que vous ne pouvez vraiment pas le définir non plus.

ELIZABETH : Non.

ADAMUS : C'est là, tout simplement. C'est une passion. C'est énorme.

ELIZABETH : C'est, tout simplement. C'est, tout simplement. Elle a été là. Je ne peux pas vous dire mentalement quand elle a commencé. Ça a commencé avec une vie très étrange, sachant qu'il y avait quelque chose de plus.

ADAMUS : Et comment la vie s'est-elle passée depuis lors ?

ELIZABETH : Oh, c'est tellement bizarre, je ne peux pas vous dire. (rires)

ADAMUS : Aussi, comment définiriez-vous ceci pour notre tableau « Pourquoi l'illumination ? » C'est, tout simplement ?

ELIZABETH : (elle hésite) Pourquoi l'illumination ? (elle hésite à nouveau et prend une profonde respiration) C'est le seul chemin que j'emprunte. La seule voie. La seule chose que je sais, ou veux, en ce moment.

ADAMUS : Pouvez-vous la sentir totalement... je peux la sentir venant de vous. Pouvez-vous la sentir venant de vous ?

ELIZABETH : Je peux. Oui, je peux.

ADAMUS : Bien. Bien.

ELIZABETH : Je veux dire, Je Suis ce que Je Suis. (le public rit et applaudit) (Adamus l'amène à l'avant)

LINDA : Non ! Non !

ADAMUS : Vous l'avez commencé. Mais lorsque vous dites « Je Suis ce que Je Suis, ça devrait faire sauter les briques hors de cette cheminée. Ça devrait faire dresser les poils sur les bras de Shaumbra, sur les jambes, ou n'importe où. Ça devrait avoir une telle passion, comme la passion que vous venez d'exprimer. Comment ça se passe maintenant « Je Suis ce que Je Suis ? » Comment ça marche ?

ELIZABETH : C'est intéressant que vous disiez ça, parce que...

ADAMUS : Eh bien, je dis toujours ça. Je Suis ce que Je Suis. C'est ma position.

ELIZABETH : Et vous dites souvent que ça n'a pas à être... ça n'a pas à faire trembler les murs. Ça n'a pas besoin d'être fort.

ADAMUS : Non, j'ai dit que ça n'a pas à être fort.

ELIZABETH : C'est exact. Très bien.

ADAMUS : C'est exact. Bon. Faisons-le.

ELIZABETH : Je Suis ce que Je Suis.

ADAMUS : C'est plutôt bon. Bonne sensation. Bonne sensation. Bien.  Que diriez-vous pour eux, maintenant ? (quelques applaudissements)

ELIZABETH : Je Suis ce que Je Suis.

ADAMUS : Un peu incertain.

ELIZABETH : Ouais, je sais ! Eh bien, c'est eux ! (rires)

ADAMUS : Refaisons-le.

ELIZABETH : Ils me dévisagent !

ADAMUS : Ouais. Pourriez-vous fermer les yeux ? (au public ; plus de rires)

ELIZABETH : Je Suis ce que Je Suis. (Adamus fait une grimace) Non ?

ADAMUS : (en riant) Je n'ai pas dit un mot.

ELIZABETH : Je vous ai vu. Très bien. Très bien. (elle hésite) Norma ? (rires) D'accord. Je Suis ce que Je Suis.

ADAMUS : Plus équilibré.

ELIZABETH : Je vous remercie.

ADAMUS : Je vous remercie.

ELIZABETH : Je vous remercie. Merci.

ADAMUS : Merci.

ELIZABETH : Puis-je partir, maintenant ?

ADAMUS : Vous pouvez partir, maintenant.

ELIZABETH : Namasté.

ADAMUS : Oui, juste dehors, au coin de la rue. C'est ce drôle de petit bâtiment. Oui, vous pouvez partir, maintenant.

ELIZABETH : Je vous remercie.

ADAMUS : Ou l'avez-vous déjà ? Oh. (Adamus glousse) L'illumination, pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?

SHAUMBRA 1 (femme) : Je ne sais pas.

ADAMUS : Continuez et levez-vous, s'il vous plaît. Je vous remercie.

SHAUMBRA 1 : Je ne sais pas pourquoi.

ADAMUS : Vous ne savez pas pourquoi ?

SHAUMBRA 1 : Je le ressens juste à l'intérieur.

ADAMUS : Ouais.

SHAUMBRA 1 : Il n'y a pas de mots.

ADAMUS : Pas de mots.

SHAUMBRA 1 : Juste un ressenti.

ADAMUS : Bien, mais est-ce important pour vous ?

SHAUMBRA 1 : Oui !

ADAMUS : N'y a-t-il rien de plus important ?

SHAUMBRA 1 : A ce moment, non.

ADAMUS : Non. Mais vous ne pouvez pas le mettre en mots.

SHAUMBRA 1 : Non.

ADAMUS : Intéressant. Intéressant. Si vous étiez obligée, même, d'en décrire le ressenti, qu'est-ce que ça pourrait être, le ressenti de cette illumination -le désir ?

SHAUMBRA 1 : Oui.

ADAMUS : Je ne veux pas dire vos mots pour vous.

SHAUMBRA 1 : L'excitation.

ADAMUS : L'excitation.

SHAUMBRA 1 : Le désir, la passion.

ADAMUS : La passion.

SHAUMBRA 1 : Ehhh, oooh.

ADAMUS : Oooh. C'est un bon mot. Oui. (rires)

SHAUMBRA 1 : Ouais.

ADAMUS : Soit dit en passant, le premier est « C'est, tout simplement » pour la première, pour Élizabeth. Et maintenant « Ne peux pas le mettre en mots, ooooh ah, » si vous pouvez...

SHAUMBRA 1 : C'est une bonne chose.

ADAMUS : C'est une bonne chose. Non, en fait, je fais comme ça. Et vous pourriez le faire...

SHAUMBRA : Ça me donne la chair de poule quand je le dis.

ADAMUS : Oui.

SHAUMBRA 1 : Et je l'ai maintenant.

ADAMUS : Exactement.

SHAUMBRA 1 :  C'est comme haah !

ADAMUS : Comment l'avez-vous dit avant ? Oooh ah !

SHAUMBRA 1 : Oooh ah !

ADAMUS : Oooh ah ! (rires) Pouvez-vous le faire ici, dans la caméra, pour que tout le monde le voie ? Le oooh ah !

SHAUMBRA 1 : Oooh ah !

ADAMUS : Ah !

SHAUMBRA 1 : Oooh ah !

ADAMUS : Que diriez-vous que nous le fassions tous ? Ooooh ah !!

SHAUMBRA 1 : Ouais ! C'est ça.

ADAMUS : Je vous remercie. Oh, ohhh !

SHAUMBRA 1 : Je pète le feu !!! c'est ça.

ADAMUS : Je vous remercie. (elle essaie de lui donner le micro) Je ne veux pas de ce truc. L'illumination. Pourquoi? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?

YVONNE (femme) : Pourquoi pas ? (Linda dit « Ahhhh »)

ADAMUS : J'ai dit que c'est une bonne raison. Pourquoi pas ? Vous avez essayé tout le reste, vous pourriez tout aussi bien essayer l'illumination. (rires) Vous avez une passion pour ça ?

YVONNE : C'est tout ce qui compte. Il n'y a rien d'autre.

ADAMUS : Il n'y a rien d'autre.

YVONNE : Il n'y a rien d'autre.

ADAMUS : Bien. Je vous échange 1 000 $, ici même, maintenant. Linda va vous faire un chèque contre votre illumination.

LINDA : Ouais, foutaises. (rires)

ADAMUS : Non ?! (Adamus glousse)

YVONNE : Je ne le prendrais pas.

ADAMUS : Vous ne le prendriez pas.

YVONNE : Non.

ADAMUS : Vous ne le prendriez pas. Me donneriez-vous 1 000 $ pour votre illumination ?

YVONNE : Si je les avais.

LINDA : Elle a tout dépensé avec nos évènements ! Il ne lui reste plus d'argent pendant encore un an !

ADAMUS : Je sens un dilemme. (rires) C'est plus important que toute autre chose, « pourquoi pas », de toute façon, et juste pour la modique somme de 1 000 $ -le prix va monter- mille dollars, vous pouvez l'avoir, mais vous n'avez pas 1 000 $ ?

YVONNE : Pas sur moi. Vous savez, c'est à dessein que je ne les ai pas amenés. (Adamus glousse)

ADAMUS : Mais l'illumination, c'est important.

YVONNE : Absolument.

ADAMUS : Peut-être que vous apporterez 1 000 $ au cours, lors d'une prochaine vie. (rires)

YVONNE : Peut-être.

ADAMUS : Une simple somme de 1 000 $... Bon. Je vous remercie. Merci.

L'illumination. Avez-vous 1 000 $ ?

LINDA : Ne l'écoutez pas.

BRIAN (mari d'Yvonne) : A la banque.

ADAMUS : A la banque ? Les banques vont toutes s'effondrer. Mais putain, que fait-il là-bas ? (Adamus glousse) Je plaisante. Ne faites...

L'illumination, pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?

BRIAN : Comme dit auparavant, c'est une passion.

ADAMUS : Passion, mais pourquoi ? recherchez-vous les sensations fortes ? Avez-vous jamais fait du parachutisme ?

BRIAN : Non.

ADAMUS : Non ? Quelle est la chose la plus effrayante que vous ayez faite ?

BRIAN : Arpenté des charpentes métalliques.

ADAMUS : Vous avez fait quoi ?

BRIAN : Arpenté des charpentes métalliques. Ferronnier (monteur de charpentes métalliques).

ADAMUS : C'est plutôt effrayant.

BRIAN : Oui.

ADAMUS : Ah ouais. Donc, l'illumination serait le prochain frisson, le prochain exercice de haute voltige ?

BRIAN : Oui, j'y vois un frisson de plaisir.

ADAMUS : Oui, oui. Et qu'est-ce que votre mental vous dit à propos de cette illumination ?

BRIAN : Le problème, c'est que je reste dans mon mental. J'ai besoin de sortir de mon mental.

LINDA : Ahhh !

ADAMUS : Ah ! Eh bien, vous êtes venu au bon endroit, au bon moment. (rires)

BRIAN : Oui, en effet.

ADAMUS : La seule chose, c'est qu'il vous manque 1 000 $ ! (plus de rires) Bien. Je vous remercie. Merci. Bien.

LINDA : Je vous remercie, Brian.

ADAMUS : Oui, le mental. Ouf, hm. L'illumination, pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Juste parce que. Nous avons d'étranges réponses, ici - « Rien d'autre n'a d'importance » - comment voudriez-vous définir la vôtre, pour notre tableau ? D'autres mots pour ça ?

BRIAN : Je dirais rechercher les sensations fortes.

ADAMUS : Les sensations fortes ! Bien. Les frissons de l'illumination, ouah. Bien. Suivant.

LINDA : Soyez gentil.

SHAUMBRA 2 (femme) : Je vous remercie, Linda.

ADAMUS : Je suis toujours gentil.

SHAUMBRA 2 : Oui, j'en suis sûre.

ADAMUS : Oui. (Adamus glousse) L'illumination, pourquoi ? Vous avez un grand sourire, aujourd'hui. Oui, vous êtes ici entre amis. Vous êtes ici dans cette salle de classe pour vivre l'ascension. L'illumination !

SHAUMBRA 2 : Et d'emblée, c'est le moment, c'est la route. C'est en train de prendre fin...

ADAMUS : C'est la route sur laquelle vous êtes.

SHAUMBRA 2 : Oui.

ADAMUS : Pas d'autres routes ?

SHAUMBRA 2 : Eh bien, dans cette vie-ci.

ADAMUS : Il y a quelques autres routes, je peux vous montrer le chemin. Cela n'a pas à être l'illumination. Mais l'illumination. Quelle impression cela vous fait-il, à l'intérieur ?

SHAUMBRA 2 : Juste...

ADAMUS : (il va vers le buffet) Je vais manger pendant que vous y pensez.

SHAUMBRA 2 : D'accord. Délice café. Peut-être. Y a-t-il du café ici ?

ADAMUS : Allez-y. L'illumination.

SHAUMBRA 2 : Total accomplissement.

LINDA (voyant Adamus manger directement dans un saladier) Ohhhh !

ADAMUS : Quoi ?!

SHAUMBRA 2 : Et joie.

ADAMUS : L'illumination.

SHAUMBRA 2 : Juste ça. Plaisir, réjouissance.

ADAMUS : Plaisir, réjouissance.

SHAUMBRA 2 : Juste complet...

ADAMUS : Complet.

SHAUMBRA 2 : Accomplissement, réalisation. Je ne sais pas, c'est juste être.

ADAMUS : Être, ouais, ouais.

SHAUMBRA 2 : Allez ! (ils rient)

ADAMUS : Avez-vous jamais douté de tout ce truc à propos de l'illumination ? Avez-vous jamais pensé combien c'est ridicule ?

SHAUMBRA 2 : Non.

ADAMUS : Non ?

SHAUMBRA 2 : Non. C'est seulement la manière d'y arriver qui est ridicule.

ADAMUS : La manière -oh ouais. Ouais, ouais ! Bien. Donc, nous avons toujours un autre... comment le définiriez-vous « Je ne sais pas ? » ou « Je suis juste coincée dans cette voie ? » C'est une bonne chose.

SHAUMBRA 2 : Non, non, pas coincée. Juste, juste...

ADAMUS : Je roulais, ma voiture est tombée en panne, mes pneus étaient à plat, maintenant, je suis coincée dans cette voie de l'illumination.

SHAUMBRA 2 : Non, non, non. Pas coincée. Non, pas coincée.

ADAMUS : Pas coincée. Non, non.

SHAUMBRA 2 : C'est juste la fin du chemin. Je veux dire, quand vous arrivez là où vous alliez. Je veux dire, juste la fin de la route, quand vous arrivez finalement...

ADAMUS : C'est juste là où vous alliez.

SHAUMBRA 2 : … la maison.

ADAMUS : C'est là où vous alliez, tout simplement.

SHAUMBRA 2 : Je crois.

ADAMUS : D'accord. « Là où il se trouve que je vais. »

SHAUMBRA 2 : Fin de la route.

ADAMUS : Un petit voyage sur la route de l'illumination. Je remarque que nous n'allons pas bien loin aujourd'hui. L'Archange Michaël désire venir parler et nous avons beaucoup à discuter ici. Oh mon dieu, le temps s'écoule.

Encore deux. L'illumination. L'illumination, pourquoi ? Vous pourriez faire quelque chose d'autre. Vous pourriez être allongés sur la plage, quelque part. Vous pourriez faire n'importe quoi. Pourquoi l'illumination ? Vous pourriez être pasteur dans une église. Vous feriez un bon pasteur, dans une église.

TERRY : Mais, jamais je ne me sentirais autant aimé.

ADAMUS : Jamais se sentir aimé.

TERRY : Si j'étais pasteur, jamais je ne sentirais l'amour de mon âme aussi profondément.

ADAMUS : Maintenant, nous faisons des progrès. Bien. Bien.

TERRY : Et il n'y a aucun argent qui peut l'acheter.

ADAMUS : Il y en a. Il y a mille dollars. (rires) Vous êtes sceptiques, mais !

TERRY : Et personne ne peut me le donner.

LINDA : Mmmmm.

ADAMUS : Ohhh. Peut-être...

TERRY : Mais je peux le recevoir.

LINDA : Ohhhh.

ADAMUS : Bien. Bien.  Organisation parfaite. Pourquoi n'avez-vous pas ?

TERRY : J'ai.

ADAMUS : Ah ! Ohh ! Bien. Bien. Vous êtes illuminé ?

TERRY : Oui.

ADAMUS : Complètement, pleinement, à votre convenance ?

TERRY : Non. (rires)

ADAMUS : Bien.

TERRY : Mais.

ADAMUS : Mais.

TERRY : C'est à un souffle, et il y a une respiration.

ADAMUS : Pour 1 000 $, je vous montrerai la respiration. (rires)

TERRY : Non, vous ne pouvez pas ! C'est mon choix, mec ! (rires)

ADAMUS : Waouh ! Archange Michaël, je vais avoir besoin d'aide par ici ! (rires) En voici un rude.

TERRY : Il est sur mon épaule.

ADAMUS : Vous vous tenez derrière lui, je vais le pousser ! (rires) Bien. Bien. Mais l'illumination, pourquoi ? Pourquoi ?

TERRY : Eh bien, c'est ce qui me garde ici, sur la planète. C'est ce qui me garde en vie.

ADAMUS : Passion ?

TERRY : Il n'y a rien d'autre qui m'aurait gardé en vie.

ADAMUS : Ah, bon.

TERRY : Rien.

ADAMUS : Hm. Je ressens cela. Je vous remercie.

TERRY : Oui.

ADAMUS : Je vous remercie.

LINDA : Hmm.

ADAMUS : Et une de plus. Je vous remercie. D'accord. L'illumination, pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Linda court. Pourquoi ?

CHRISTY : Je savais que vous alliez venir pour moi.

LINDA : Levez-vous, s'il vous plaît.

CHRISTY (soupirant)  : Parce que c'est le moment.

ADAMUS : J'aime ça.

CHRISTY : Mm hmm.

ADAMUS : Vous avez un « applaudissement silencieux »*, un « clap de golf »**, derrière vous. Oui. Parce que c'est le moment, bon.

* : http://lifeprint.com/asl101/pages-signs/a/applause.htm

Le "Silent Applause" (ou applaudissement silencieux), permet à un public de montrer son appréciation en levant et agitant silencieusement les mains.

** Le "Golf Clap" est un battement des mains, exagérément discret, conçu comme une manifestation de soutien, sarcastique ou dédaigneuse, qu'on entend sur les terrains de golf, lors de concours, car en raison de la distance entre le micro et la foule, le Golf Clap ressemble à une foule de gens applaudissant à un volume minimal.

CHRISTY : Ouais.

ADAMUS : Mais pourquoi ?

CHRISTY : Parce que ça fait assez longtemps.

ADAMUS : A faire ?

CHRISTY : Ehhh, vous savez, la question « Qui suis-je ? »

ADAMUS : Exact, exact, exact.

CHRISTY : A vivre ça.

ADAMUS : Oui.

CHRISTY : A trouver qui je suis, qui je ne suis pas.

ADAMUS : Oui.

CHRISTY : Et c'est juste un moment exceptionnel. (rires)

ADAMUS : C'est juste une période exceptionnelle. Je vous remercie, et ce groupe est tellement merveilleux quand je pense, en termes de T-shirts et d'autocollants. « C'est juste un moment exceptionnel ». « L'illumination. C'est juste un moment exceptionnel. » C'est magnifique. Vous secouez quelques personnes à la galerie marchande. Bien. Je vous remercie.

L'illumination. C'est pourquoi je suis ici, c'est pourquoi vous êtes ici. J'ai terminé (à Linda).

L'illumination. C'est un ressenti. Difficile à décrire. Difficile à mettre en mots. Pourquoi ? Parce que ce n'est vraiment pas un truc mental, ce n'est pas un but, et ce n'est pas seulement la prochaine aventure humaine, et ce n'est pas juste pour vous divertir. C'est plutôt le contraire. Ce n'est pas seulement prendre le temps. L'illumination, c'est quelque chose qui est le feu en vous, une passion en vous, un désir.

Et le truc intéressant avec l'illumination, c'est que ça n'est pas venu du mental humain. C'est très difficile à décrire. Ce n'était pas quelque chose que vous avez pensé depuis ici (tête), « Hé ! Je vais essayer l'illumination. Pourquoi pas ? » C'est quelque chose qui est venu d'ici (cœur) et ici (tout autour) et de partout, et le mental essaye encore de le comprendre, le définir, peut-être même de le repousser, se demandant combien vous êtes sérieux à ce propos. Mais l'illumination est une partie de vous naturelle, normale. La réponse à la question « Qui suis-je ? »

L'illumination, comme je l'ai dit de nombreuses fois, va se passer, de toutes façons. C'est normal. Tôt ou tard -probablement tard- le reste des humains sur Terre vont passer par une prise de conscience, quand ils seront prêts, au moment qui leur sera approprié. Pour une quelconque raison, vous, mes chers amis, l'avez choisi maintenant, et c'est ce qui se passe.

Ça se passe tous les jours. Difficile, parfois, de passer au travers, parce qu'il n'y a pas un livre -un livre valable- sur l'illumination, et il ne peut quasiment pas y en avoir. Il peut y avoir des histoires de gens, avec leurs vies, leurs identités, qui sont passés par ça, ou sont entrés dedans, mais ce n'est pas un processus pas-à-pas. Personne ne peut dire « Voici comment devenir illuminé. » On peut raconter des histoires, et les autres qui lisent leurs histoires peuvent ressentir cette passion, dans la partie de la tragédie humaine, dans l'éventuelle fusion et l'intégration. Mais l'illumination est un processus naturel qui se passe.

Dépasser la Lignée  Atlante

Je soulève cette question aujourd'hui, parce que c'est une célébration -une véritable célébration- de bien des façons. Aujourd'hui, le titre de ma conférence est « Dépasser la Lignée Atlante ». Dépasser la Lignée Atlante.

J'ai entendu des tas de conférences, en cette année 2012, à propos des Mayas et du calendrier Maya -tout à fait vrai, soit dit en passant, jusqu'à un certain point ; jusqu'à un certain point de commercialisation humaine, de drame et tout le reste- mais il y avait des cycles dans le calendrier Maya. Mais... mais il y avait aussi des cycles de l'imagination Atlante. Ce n'était pas tant un calendrier, qu'une projection, ou une compréhension, des cycles.

Les Atlantes -dont vous étiez tous- les Atlantes, particulièrement dans les Temples de Tien, avaient compris qu'il se produirait treize cycles. Peu importe combien ils ont duré car ce ne sont pas des années civiles. On ne peut pas les rattacher à des années, mais treize cycles de création humaine, de développement spirituel, qui se produiraient sur la planète, le dernier étant de dépasser la lignée Atlante de la conscience mentale.

Ce n'est pas un hasard si vous êtes dans votre 13e année en tant que Shaumbra. Pas un hasard, si vous additionnez le mois et l'année, si vous obtenez un 13. Treize est vraiment un nombre sacré.

Je sais que beaucoup de gens ont peur du 13. Un grand nombre de bâtiments, de par le monde, n'ont pas de 13e étage. C'est comme « Nous allons faire comme s'il n'était pas là. » D'une certaine façon, c'est plutôt approprié, parce que le 13 est aussi appelé le nombre sacré de puissance invisible - « puissance » n'est pas tout à fait le mot adéquat- mais le nombre potentiel.

Treize, si vous regardez les apôtres, 12 apôtres, plus Yeshua, 13. Combien de chevaliers à la Table Ronde ? Douze, plus Arthur, ça fait treize. Vendredi 13, ce nombre effrayant. En fait, il ne l'était pas du tout. C'était un nombre sacré jusqu'à ce que quelqu'un, une certaine organisation, parte à la chasse aux sorcières un vendredi 13, tuant de très nombreuses personnes qui étaient dans les Écoles des Mystères, faisaient partie des Chevaliers du Temple, participaient au travail que tant d'entre vous faisaient. Mais 13 -vraiment sacré, nombre intéressant du changement. Du changement.

Célébration

C'est donc un mois, un jour, un temps de célébration, ici, d'aller au-delà de cette Lignée Atlante. C'est pourquoi c'était réellement difficile, pour vous, d'exprimer ce qu'est cette chose, cette illumination. Difficile d'exprimer ce que c'est. (quelqu'un dit « Bar mitzvah » ; Adamus glousse) Ce n'est pas une bar-mitzvah. (quelques rires) Je vous remercie. Treize est la Bar mitzvah. Je vous remercie. Oui, bien. Grandir. Vous avez absolument raison.

Donc, nous allons avoir une cérémonie. Faisons un... (le public dit « Merabh ! ») Plus tard. Merabh ! Merabh ! Merabh ! C'est tout ce que vous voulez, maintenant. Que diriez-vous d'une conférence ? (quelqu'un crie « Woo ! ») Que diriez-vous... (riant) tout ce qu'ils veulent, c'est des merabhs. Je peux partir ; vous prenez la suite (à Yoham). Vous faites des merabhs. (Gerhard demande « C'est quoi, un merabh ? » ; rires) Je ne sais pas, mais nous en aurons treize avant que nous ayons terminé ! Faisons une célébration.

Maintenant, pour ce faire, je ne me sens pas habillé convenablement. Aussi, s'il vous plaît, oui. (Linda va dans l'arrière-salle) Je me sens comme si j'étais habillé comme un vilain touriste. (rires) Aussi, j'ai demandé à Linda de se procurer une tenue plus appropriée pour l'occasion. Oui, oui.

Faisons une célébration. C'est une combinaison de choses. C'est comme une sorte de marqueur, ou un événement majeur -dépasser la Lignée Atlante, entrer dans quelque chose de nouveau, faire immédiatement un énorme changement, un changement absolu. Donc, oui. (Linda apporte une magnifique cape ) Un peu plus de circonstance, maintenant. (le public répond « Oooh ! » et « Ahhh ! ») Si j'avais seulement eu des bottes hautes, un pantalon approprié et une chemise à jabot pour aller avec, et une couronne. (quelqu'un dit « Oh, c'est magnifique ») Oui, n'est-ce pas ? Oui. Oui. Oui. S'il vous plaît.

LINDA : Oh attendez, et une couronne ? (Linda met une pince à cheveux avec des fleurs pourpres sur la tête d'Adamus ; beaucoup de rires)

ADAMUS : J'avais l'air digne, là. Eh, ce n'est pas si mal. Là-derrière. (il le met à l'arrière de sa tête) Oh. (plus de rires) Je ne suis pas inquiet au sujet de ma -hum- virilité. Donc, bien. Excellent. Excellent.

Maintenant, étape suivante. Je comprends qu'il y a une cérémonie, une représentation, aujourd'hui, alors s'il vous plaît, présentons. (Dave McMasters et Robert Thiess apportent un nouveau pupitre pour Adamus, construit par Robert Thiess)

LINDA : D'accord. Hmmmm. Ohhhh ! Ohhhh !

(quelques personnes applaudissent) Waouh !

ROBERT : Avec plaisir.

ADAMUS : Demandez et vous recevrez.

ROBERT : Absolument.

ADAMUS : Alors, voulez-vous expliquer un peu ?

ROBERT : Eh bien, ce bois est un beau Sapele, bois qui vient d'Afrique, et si vous le regardez, il montre différents aspects de lui-même, tout en étant lui-même en même temps. (il montre le grain du bois sous différents angles). Nous appelons ça un pupitre de conférencier.

ADAMUS : Un pupitre de conférencier.

ROBERT : Pour les grands conférenciers.

ADAMUS : Mmm, magnifique.

ROBERT : Et là, bien sûr, vous pouvez le parer de tout ce que vous voulez, et je crois que vous avez un logo à mettre ici ?

ADAMUS : A venir.

ROBERT : Oui.

ADAMUS : Oui.

ROBERT : Oui.

ADAMUS : Magnifique.

ROBERT : Je vous remercie.

ADAMUS : Vous êtes un véritable artisan.

ROBERT : Ah, je vous remercie.

ADAMUS : Oui, et un Maître.

ROBERT : Je vous remercie.

ADAMUS : Je dois demander, là, avez-vous fait ça ?

ROBERT : J'ai eu un peu d'aide.

ADAMUS : Ou mon ami Michaël ?

ROBERT : Mais nous sommes tous les deux capables de faire cela. Il n'a pas la même sensibilité, les scies à ruban, dégauchisseuse et circulaire, que vous avez.

ADAMUS : Il est bon à l'épée aussi.

ROBERT : Il est très bon à l'épée, mais aujourd'hui, il dépose l'épée, en votre honneur.

ADAMUS : Ah ! Je vous remercie.

ROBERT : Merci.

ADAMUS : Ouais, je vous remercie. Ah, si... (le public applaudit)

LINDA : Magnifique. Waouh ! Je me sens comme à l'église.

ADAMUS : Ah. Magnifique. Maintenant, je me sens à la maison. Oui. Mm.

Donc, maintenant, nous pouvons continuer notre cérémonie, oui, « Dépasser la Lignée Atlante ».

Prenons une profonde respiration ensemble... (pause)

… dépasser la Lignée Atlante... entrer dans la réalisation de l'illumination. J'apprécie vraiment beaucoup ce pupitre.

Chers Shaumbra... je me sens comme si j'étais à un discours d'ouverture.

Temps d'aller au-delà

Chers Shaumbra, le voyage a commencé pour nous tous, nous tous, dans les Temples de Tien, en Atlantide. Dans les Temples de Tien, nous nous sommes réunis. Nous avons imaginé un temps tout comme celui-ci, treize cycles plus tard, un temps de changement et d'évolution, pour nous tous. Ça a commencé là.

Nous ne savions pas quels rebondissements auraient lieu sur le chemin. Nous n'avions aucune idée, aucune notion, des difficultés et des défis, des larmes et des rires. Nous ne pouvions même pas imaginer, à ce moment-là, qu'il y aurait des jours, et des vies, où nous serions complètement perdus, totalement emplis de la perte de l'espoir, de la vision, de l'identité. Mais nous avons imaginé, à l'époque des Temples de Tien, un temps qui viendrait, où nous pourrions parler du mot « illumination », où nous pourrions l'accepter en notre sein, où nous pourrions littéralement amener cette conscience dans la réalité -une réalité dont nous savions qu'elle serait dense et dure, une réalité qui tenterait presque de la chasser hors de nous. Mais avec une profonde passion que nous avons tous ramenée de l'Atlantide, nous savions qu'elle nous soutiendrait et qu'elle fleurirait, ici sur Terre.

L'Atlantide, c'était l'époque du mental, du développement du mental, de la standardisation de nous-mêmes en tant qu'êtres humains, sur cette planète que nous aimons tant. C'était un temps pour penser, pour structurer, pour concevoir, et nous l'avons fait. Nous avons conçu entièrement le modèle de l'humain que nous voyons maintenant sur la planète.

En Atlantide, nous avons également envisagé une époque où nous dépasserions les limites du mental -le mental qui nous a gardés en place, nous a maintenus, nous a rassemblés, nous a permis de voir le monde au travers du mental et des yeux humains. Mais nous nous sommes dit « Il viendra un temps où nous dépasserons cette lignée, lorsque nous irons au-delà de l'ère du mental, lorsque nous entrerons dans l'ère suivante de la Nouvelle Énergie », et nous voilà. Nous y sommes aujourd'hui.

Après l'Atlantide, nous sommes revenus de sous la terre où nous avions vécu pour la protection, mais aussi, symbolique de notre propre regard intérieur, allant vers la vision intérieure, nous connectant à notre âme et à notre divin, ce qui aurait été difficile à faire en étant toujours investis dans toutes les activités de l'extérieur, ou du monde supérieur.

Et, à partir de là, nous sommes allés dans les temps de l’Égypte, sortant, littéralement, de terre, dans ce qui est les temples, les pyramides, partout dans le monde. Nous sommes sortis. Donc, beaucoup d'entre vous, dans les temps de l’Égypte, dans la Grande Pyramide, dans la Chambre du Roi, respirant dans notre divinité, respirant dans les potentiels pour cette ère de l'humanité.

Plus tard, nous rassemblant dans le corps, ou dans l'esprit, à l'époque de Yeshua comme Esséniens, comme ceux qui apportent les mystères sur cette planète, et celui qui annonce ce que beaucoup pensaient que ça serait le début d'une nouvelle époque, d'un nouvel âge, mais vous tous saviez que cela avait déjà commencé. Marchant avec le grand Maître Yeshua, les terres d'Israël, apportant ces énergies, ensemençant cette Terre avec l'énergie Christ, l'énergie du Christos.

Sans oublier les temps de Tobias. Oui, Tobias. Cher Tobias, et beaucoup d'entre vous étaient dans ces temps-là aussi. Tobias, le père, aussi appelé Tobie -Tovius. Tobias, le fils, Sarah, l'Archange Raphaël. Une belle histoire et un temps où, à nouveau, nous sommes tous ensemble, tous réunis pour cet objectif de réaliser ce que nous avons imaginé aux temps des Temples de l'Atlantide.

Et puis, sur les Écoles des Mystères -ah, les Écoles des Mystères- partout en Europe. Un lieu pour le plaisir et l'étude, un endroit de réelle compréhension sur la manière d'apporter le divin. Mais, comme vous le savez, le monde n'était pas tout à fait prêt à cette époque. Les Écoles des Mystères étaient comme des îles, des îles en elles-mêmes, beaucoup de célébration, mais au moment où vous -nous- sommes entrés dans le monde extérieur, ce fut un choc. C'était traumatisant, passant des merveilleuses énergies dans les Écoles des Mystères, à la conscience très, très dense du monde humain.

Et maintenant, ce temps. Il y a treize ans, la véritable énergie de Shaumbra a commencé à se manifester. Au fil des ans, beaucoup d'entre vous avez rassemblé ce nouvel appel de l'Archange Gabriel, ce nouvel appel à se réunir, disant « C'est le moment pour votre illumination. » C'est le moment. Cet appel qui nous a rassemblés, mois après mois, au cours de ces années. Un appel qui a apporté quelque chose en vous, vous a donné du courage, vous a donné l'espoir pour votre propre illumination. Pas pour le monde, pas pour votre famille, pour personne excepté vous. Il vous a donné le potentiel, apporté sur cette Terre, d'être dans votre illumination.

Et ce jour, nous allons au-delà. Nous dépassons la Lignée Atlante, dépassons le mental, le mental dans lequel nous avons été, pratiquement piégés dedans. Nous en avons très souvent parlé dans nos réunions, mais aujourd'hui, on pourrait dire que les énergies sont bonnes. Elles sont là pour qu'on aille au-delà. Au-delà.

Ce magnifique pupitre est plus que quelque chose sur lequel je vais m'appuyer et que je vais marteler dans les mois et quelques années qui viennent. Il est plus qu'un simple meuble, plus que le bois.

Ce pupitre -et j'espère que vous tous pourrez le toucher avant de partir- ce pupitre est vraiment un symbole, un symbole de l'endroit où nous sommes tous. C'est le symbole de votre sagesse. Cela ne m'a pas été offert. Cela vous a été offert. C'est un symbole de votre sagesse. C'est le symbole de ce que vous avez à offrir aux autres en tant qu'enseignants des énergies spirituelles. C'est un symbole de tout ce que vous avez appris, de tout ce que nous avons dit ensemble, au cours de ces treize dernières années.

C'est un symbole de l'illumination, c'est un symbole de vous -de vous, prenant votre place légitime, à votre pupitre. Chacun et chacune d'entre vous, non pas assis métaphoriquement dans le public, mais étant à votre propre pupitre, parlant de votre propre voix. Avec le public qui pourrait n'être que vous, ou un public qui pourrait remplir des salles immenses.

C'est un symbole du voyage, du chemin parcouru depuis les Temples de Tien en Atlantide, du chemin parcouru en seulement treize années. Je sais que cela semble long parfois, treize années. Treize années dédiées à votre vie, et plus, mais treize années en tant qu'énergie Shaumbra. Mais, si l'on considère combien sont lointains les temps de l'Atlantide, les temps de Tobias, Yeshua, même les Écoles des Mystères, treize années, c'est un temps très court, en fait. Alors...

La seule chose qui nous manque, c'est du champagne. Mais je comprends qu'on boira un peu d'alcool plus tard aujourd'hui.

Donc, chers Shaumbra, prenons une profonde respiration, pour le symbole de votre sagesse, de vos enseignements, de votre voyage. Le pupitre -peu importe comment vous voulez l'appeler, pupitre de conférencier, podium- cela  représente votre sagesse.

Ah, profonde respiration. Ah. Bien. Bien.

La Lignée Atlante

Maintenant, la Lignée Atlante dont je parle, c'est le mental, et c'est sans doute le plus gros défi que vous ayez tous en ce moment. Cauldre me dit que je suis à court de temps. J'ai sept minutes pour faire mes déclarations extraordinaires.

La Lignée Atlante est mentale. Peut-être devrais-je dire, la plus importante dynamique... (quelqu'un se lève pour aller aux toilettes) Oui, nous irons ensemble.

JOANNE : Oh, d'accord.

ADAMUS : Oui, s'il vous plaît. Je vous accompagne.

La plus importante dynamique en cours dans... où allons-nous ?

JOANNE : Je ne sais pas où vous allez. Je vais aux toilettes.

ADAMUS : Oh, moi aussi ! C'est exactement là où j'allais. (rires alors qu'il quitte la salle avec elle) Bien. Bien. Je suis heureux. Ouais, je vous aiderai le long du chemin. C'est un des trucs à propos de l'illumination, vous savez. Ouais, se balader sur le chemin. Ouais. (rires) Et quel cabinet prenez-vous ? (elle rit)

JOANNE : Celui-ci est pour les femmes.

ADAMUS : Vous voulez le gauche ou le droit ?

JOANNE : Les femmes utilisent celui à l'intérieur et les mecs, d'habitude, celui à l'extérieur.

ADAMUS : Oh non, je vais juste venir ici, avec vous.

JOANNE : Oh !

ADAMUS : Non, non, non. C'est très bien. C'est très bien. Oui. Attendez, une seconde. (Linda se racle la gorge ; Dave est reparti avec l'appareil photo) Nous devons être pris en photo. Oui. Vous savez, je me sens comme si j'avais une robe aussi, aujourd'hui. Comment je lève ce truc pour y aller ? Oh, eh bien, d'accord. Bonne chance. Bonne chance. Si vous avez besoin d'aide, vous n'avez qu'à appeler. (rires alors qu'il revient dans la salle de réunion) J'essayais juste d'aider. Tout le monde va bien, là-dedans ?

Ça vous apprendra à ne pas aller faire pipi pendant la conférence. (rires) Si vous vous sentez très émus, retenez-vous. (plus de rires)

Donc, où en étions-nous ? Nous parlions du plus important changement de tous, qui se déroule maintenant, pour vous. Le plus important changement. En fait, c'est peut-être le plus important changement planétaire, là maintenant, mais le plus important changement que vous vivez. Est-ce qu'elle passe par un changement, là-bas ? (rires)

Le plus important changement que vous vivez est celui de la liberté. C'est ce que... si vous résumez tout ce que la planète vit en ce moment -la lutte, l'agitation et tout le reste, tout est une question de liberté. C'est une question de liberté. Et nous en avons déjà parlé. J'ai irrité certains d'entre vous, en disant que je n'étais pas vraiment sûr que les humains soient prêts pour la liberté. Vraiment ! Ils ont pris l'habitude de ne pas en avoir. Ils sont devenus complaisants. Ils ont permis que quelqu'un prenne soin d'eux, en quelque sorte, et ils ont pris l'habitude de s'en plaindre.

Mais, ce qui se passe maintenant, si vous jetez un œil à certaines guerres, à certaines choses qui se passent sur cette planète, la véritable lutte, c'est pour la liberté, et il y a encore une grande question. Les humains sont-ils prêts pour la liberté ? Oui, Pollyana, ce serait très bien de dire, absolument, que tous les humains sont magnifiques, des êtres merveilleux, mais ils sont toujours dans la conscience mentale Atlante, une conscience qui a été programmée, qui a été formée à ne pas avoir de liberté. A penser qu'ils ont la liberté, à prétendre qu'ils ont la liberté, mais en fait, de ne pas l'avoir.

Vous, avec votre passion pour l'illumination, avec votre passion pour la souveraineté, vous traversez un changement dans la liberté. Dans la véritable liberté. La souveraineté, le Je Suis, ne dépend pas des autres êtres, n'est pas pris dans les rouages de la conscience de masse. C'est une question difficile. Se libérer des familles spirituelles, de vos familles angéliques. Se libérer de votre famille biologique. Dieu les aime. Quittez-les. (rires) Quittez-les au nom de votre propre liberté, de façon à ne pas être liés dans le karma ancestral, la biologie ancestrale. Aimez-les pour le Je Suis, le Dieu intérieur, mais pas seulement parce qu'ils sont votre famille. Liberté de votre propre expression, pour votre propre expression. Liberté de l'esprit.

Maintenant, ce n'est pas pour dire que le mental n'a pas sa place, mais en fait, si vous le ressentez, le mental ne veut pas plus longtemps la place qu'il a eue. Il ne veut vraiment pas. C'est la chose qui vous fait... ce genre de truc qui vous fait douter. En fait, votre mental ne vous fait pas vraiment douter, mais le mental traite toute la conscience au sujet du doute. C'est vous qui doutez de vous, mais le mental ensuite, va travailler à votre service, en traitant la totalité, apportant des souvenirs du passé, des fois où vous avez été blessés, des fois où vous avez été jetés aux lions, aux loups et à tout le reste. Donc, le mental est plutôt un genre de collaborateur dans tout ce truc.

Nous en arrivons à ce point de la liberté, ici, aujourd'hui, dès maintenant, dans cette salle, avec tous les Shaumbra du monde entier, et je vous pose la question, une fois encore : êtes-vous individuellement -n'y répondez pas tout de suite, ressentez-la, parce qu'il y a quelques petits détails- êtes-vous prêts pour ce changement dans la liberté ? Le texte en petits caractères, c'est, eh bien, vous aurez la liberté. Vous aurez la souveraineté. Mais lorsque vous allez passer à la liberté, vous lâchez les attachements sur tous les trucs qui vous ont gardés dans une espèce de prison, ou loin de la liberté.

Et vous dites « Eh bien, n'est-ce pas une bonne chose ? » Je ne sais pas. Je ne sais pas, parce que, quelles sont les choses auxquelles vous vous accrochez toujours ? L'argent -ou vos anciennes notions de l'argent ? Les amis et la famille ? Peur d'être seul au monde ? La souveraineté, c'est d'être seul, soit dit en passant, mais beaucoup d'entre vous ont peur... oh, j'aime bien ça. (pupitre) C'est si bon. (rires ; Robert dit quelque chose, Adamus glousse) Il ne couvre pas ça ! Ouais. Super clichés quand même, pour Crash. Oui. Avez-vous essayé de sauter dessus afin d'être sûr qu'il est solide ? Oui. Vous dites que c'est un pupitre de conférencier. Je ne suis pas encore debout dessus. (Robert répond, ils rient tous les deux)

Donc, êtes-vous prêts pour cette liberté ? Parce que cela signifiera laisser aller les attachements sur une large variété de choses. Et si vous perdez votre travail demain ? Vous allez dire « Aah ! Qu'est-ce que j'ai mal fait ? » Non, c'est la liberté. C'est vraiment la liberté. Les relations, tout le reste, nous n'aborderons pas ça parce que je ne veux pas vous déprimer, mais ça libère dans votre souveraineté, dans votre liberté. Mais la chose à laquelle nous allons vraiment jeter un œil aujourd'hui, c'est la liberté au-delà du mental. La liberté au-delà du mental.

A nouveau, le mental a limité votre capacité à voir les potentiels, et les potentiels sont grandioses. Dans notre prochaine série, qui démarre en Oct-... (il s'empêche de marteler le pupitre) démarrant en Octobre -peut-être quelque renforcement- notre prochaine série qui démarre en Octobre concernera les potentiels. Nous la titrerons « Les Nouveaux Potentiels » ou peut-être quelque chose de plus intelligent que ça.

Le mental vous a retenus... vous avez permis au mental de vous empêcher de voir les potentiels, par conséquent, vous n'avez pas vraiment été libres. Les potentiels qui sont au-delà du mental sont phénoménaux, à couper le souffle, excitants, mais ils sont tellement quantiques, quantiquement différents, de la façon dont vous avez pensé jusqu'à maintenant. Si quantiquement différents.

C'est presque sans être capables de l'expliquer tout de suite, les potentiels qui surgissent pour que vous réalisiez, qui sont dans votre vie -ils ne viennent pas de moi, ils viennent de vous-...

JOANNE : (revenant des toilettes) Salut.

ADAMUS : De retour ? Bien.

Les potentiels sont au-delà du mental. Des choses que vous vous considéreriez fou de seulement les imaginer en ce moment, disent « C'est tout simplement fou. C'est juste complètement fou, » mais en fait, ça ne l'est pas. Mais il y aura des changements dans votre vie. Il y aura des changements.

Changements

Je veux parler des changements pendant un instant. Nous avons eu une conférence de très haute énergie lors de notre récent DreamWalker Life (tenu douze jours avant) Très haute. C'était le parangon. C'était magnifique. Vous avez été secoués. Je suis arrivé le premier matin et j'ai dit « Les énergies se déplacent déjà. Elles circulent déjà. » Et j'ai dit « Elles vont continuer. Vous allez les amener à de nouveaux niveaux. Vous allez les amener à d'extraordinaires nouveaux niveaux, mais... » et personne n'a entendu le mais. Hm. Peut-être que j'ai oublié de le dire. (Adamus glousse) Mais j'ai dit, quand vous retournez dans votre vie, de retour à votre ancienne identité -votre maison, votre voiture, votre job et tout le reste- ça va être difficile pendant un certain temps, un petit laps de temps. Pourquoi ? Parce que vous traversez un changement quantique.

Rien n'est plus comme c'était lorsque vous l'avez quitté, et ce que nous avons expérimenté au DreamWalker Life, là-haut dans les montagnes est infime, comparé à ce que vous allez expérimenter dans les quelques prochaines années. Infime, au regard de ce qui se passait réellement.

Aussi, mes chers amis, comment changez-vous ? Comment traversez-vous ça ? Comment l'empêchez-vous de vous écraser totalement ?

Eh bien, tout d'abord, vous allez réaliser que ça ne va pas vous écraser. Deuxièmement, vous réalisez que vous allez avoir des effets. Vous allez les ressentir dans votre corps, parce que votre corps change de façon drastique, en ce moment. Vous allez avoir des changements dans votre mode de vie quand vous traversez un changement pareil. C'est cahoteux et bosselé, tout d'abord. Vous allez découvrir -vous découvrirez- si vous avez besoin de repos, de vous éloigner des autres. Le mental crée des activités pour se justifier, pour rester occupé, et tant d'entre vous -occupés tout le temps. Activité après activité, projet après projet, et pas vraiment sur les chemins de l'illumination ; juste pour vous garder occupés.

Lorsque vous traversez un changement intense, des choses vont se passer. Ça pourrait vous mettre au tapis. Vous pourriez tomber malades. Vous pourriez perdre la tête, devenir fous. Vraiment. Et un de vos amis Shaumbra l'a fait. Et c'est une bonne chose. C'est une bonne chose. Ne vous sentez pas mal.

Ce cher Joe, ce cher Joe avait besoin de ce moment de tranquillité, avait besoin de ce temps pour sortir de son mental. En ce moment, alors que nous parlons d'aller au-delà du mental, en fait, il y a un magnifique effet résiduel pour Joe, parce que Joe sort de son mental pour vous tous, d'une certaine façon. Il le fait pour lui-même, mais cela a un effet sur vous. Ce que vous ressentez de ça en ce moment, ça l'aide.

Je soulève ce point -et je devrai le soulever à nouveau plus tard pour vous rappeler -nous allons traverser... vous avez traversé des changements, mais nous allons traverser des changements quantiques lors de cette prochaine Série, et au-delà. Permettez à ces changements de se produire dans votre vie. Lorsque quelque chose se passe, ne tombez pas dans la panique de penser que vous avez mal fait. Vous ne pouvez pas mal faire dans l'illumination ! En fait, vous ne pouvez même pas revenir en arrière. Vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas dire « Je ne suis pas sûr à propos de cette illumination. Je vais revenir. » Vous ne pouvez pas du tout. Vous ne pouvez pas non plus mal faire dans l'illumination.

Donc, prenons une profonde respiration avec ça.

Beaucoup d'entre vous avez traversé d'énormes changements ces dernières semaines -d'énormes changements- et vous les avez traversés plutôt élégamment. Vous avez permis ces changements. Vous vous êtes écoutés. Quand vous vous êtes sentis fatigués, vous avez dormi. Vous avez fait les choses que vous deviez. Vous avez respiré lorsque vous commenciez à être troublés, en d'autres termes, trop dans une activité mentale. Vous avez pensé à Aandrah. Certains d'entre vous sont venus... beaucoup d'entre vous sont venus vers Aandrah. (Adamus glousse) Ces changements vont continuer à se produire.

Afin de vraiment comprendre les changements, ce qui se passe, il est important de comprendre la relation entre ce que nous appelons le moi humain, le Corps de Conscience, et votre âme, votre divin.

Imaginez, pendant un instant, un livre brillant. (rires alors qu'Adamus ramasse son livre « Vivre sa Divinité ») Ce livre contient plusieurs éléments différents. Le papier. Le papier, qui vient généralement des arbres. Le papier. Et si vous regardez vraiment le papier, si vous le regardez de près, il y a des fibres là-dedans. C'est constitué d'un grand nombre de fibres qui ont été pressées ensemble pour créer le papier.

Il y a de l'encre sur les pages. De l'encre sur les pages qui forme des mots. Ce sont juste de petits gribouillis, mais lorsque vous les lisez, ça signifie beaucoup. Et il y a de la colle qui tient tout ensemble.

Dans une sorte d'analogie grossière, c'est comme votre soi humain. Vous êtes l'encre. Vous êtes les mots sur le papier. Vous êtes l'histoire qu'on écrit sur le papier. Le papier, pourrait-on dire, serait votre esprit, votre essence. Et la colle, la colle est l'énergie, la conscience, qui maintient le tout ensemble.

Ainsi, les mots sont séparés du papier, à un certain point. Ils sont sur le papier, mais ils sont séparés, et d'une certaine manière, c'est ainsi que vous vous voyez.

Vous n'êtes pas le papier, vous êtes les mots. Vous êtes l'encre sur la page, et le papier a été séparé. Et la colle -même pas toujours consciente de ça.

Ce qui se passe, dans la compréhension de la relation entre tous ces éléments, c'est que tout à coup, il n'y a plus vraiment de papier. Il n'y a pas vraiment d'encre. Ils commencent à fusionner ensemble. Même les fibres dans le papier ne sont plus juste maintenues en place en tant que fibres. Elles commencent à se déplacer, changer, se combiner ensemble, créant un type de fibre complètement différent au point où il n'y a plus de séparation entre le papier, les mots, l'encre, la colle. C'est ce qui se passe.

Vous n'êtes plus seulement un humain. Vous avez dépassé la Lignée Atlante du mental. Il n'y a plus de distinction, ou de séparation, entre l'Esprit, l'humain, le mental, ou n'importe quelle énergie, aucune de ces choses. Cela fusionne ensemble. C'est le processus de transformation que traverse chacun et chacune d'entre vous.

Il y a des changements qui ont lieu, qui vont avoir l'air de bosses, ou d'accidents sur la route, et ils ne le sont pas. Ils ne le sont pas. Partant d'ici, nous entrons dans des potentiels quantiques, des changements significatifs, au-delà du mental. Vous vous sentirez parfois comme si vous deveniez fous. Il y a des fois où vous aurez le mental qui se ferme, ou qui décroche, et des fois, même, où votre corps se sent comme s'il passait par une douleur atroce, ou des bouleversements. Il va y avoir des fois, par moments, même, où vous allez vous sentir comme si vous alliez mourir. Mais en fait, vous allez juste vraiment devenir vivants.

Donc, prenons une profonde respiration.

Permettre le Changement

Comment faisons-nous des changements ? Prenez une profonde respiration. Ça aide toujours. À calmer le mental, à amener certaines énergies, à faciliter les changements que vous vivez.

Vous pouvez aussi faire un merabh. Aussi, pourquoi ne pas en faire un tout de suite. (quelques applaudissements ; Linda dit « Youpi! ») Faisons un merabh pour le dépassement de la Lignée Atlante, la lignée mentale. Dans ce merabh avec Yoham, soyez, simplement. Permettez, simplement. Un merabh, c'est vraiment permettre. Permettre. Sans forcer. C'est l'un des changements quantiques, significatif, dont nous allons discuter -on ne force plus.

Pouvez-vous imaginer -avant que la musique ne joue- pouvez-vous imaginer ce nouveau potentiel où vous n'avez même plus besoin d'essayer ? Aucun essai ? Essayer est une énergie mentale. Où vous n'avez pas besoin de forcer quoi que ce soit. Vous n'avez pas besoin de forcer un changement avec un merabh, il le fait simplement. Pourquoi ? Parce que vous l'avez imaginé. Vous l'avez apporté.

Là où nous allons avec ça, il n'y a pas à comprendre tout ça. Il n'y a pas à le comprendre. On ne peut pas. On ne veut pas. Comprendre des choses, c'est très mental, et en fait, c'est en train de devenir pénible d'essayer de comprendre des trucs. C'est en train de devenir pénible aussi, de ne pas comprendre les choses, parce que les gens vont vous poser des questions.

Ils vont venir vers vous et dire « Pourquoi, l'illumination ? » et vous n'allez pas être capables d'y répondre. Vous n'allez pas avoir la réponse, et pendant un court moment, vous allez vous sentir stupide, du genre « L'illumination, c'est tout ce que je fais, et je ne suis même pas capable de répondre à la question de quelqu'un dans la rue. » Et alors, tout à coup, parce que votre mental ne vous limite plus, ou ne contrôle plus vos pensées, vous allez le comprendre. Et quand ils posent la question « Pourquoi l'illumination ? » et que vous restez coincés, sans mots, vous allez juste faire ça (il touche doucement quelqu'un). Vous allez juste les toucher à l'épaule, ou sur le visage, ou n'importe où -ils vont le comprendre. Pas besoin de dire quoi que ce soit -Waouh!- en eux, directement. Ah ! C'est là où nous allons, Shaumbra. C'est là où nous allons.

Ce n'est pas de la magie. Pas du tout de la magie. Pour tout dire, je dois en rire. Ha, ha, ha. (rires, Adamus glousse) Il n'y a pas de secrets. Il n'y a pas de mystères. Il n'y a pas de magie. C'est l'état naturel d'être. État naturel d'être. Tout le reste a été dénaturé.

Donc, faisons un merabh, en dépassant la Lignée Atlante, en allant au-delà du mental, tout simplement. Oh, emmenez le mental avec vous, parce qu'il va changer. Tout simplement, comme les relations entre l'encre, le papier, et la colle changent, la relation avec le mental change. Vous n'avez plus à le comprendre, dieu merci. Vous n'avez plus à y travailler.

Donc, un merabh. Quelques minutes de belle musique. (à Yoham) Voulez-vous que je chante avec vous, cette fois ?

EINAT : Oui, bien sûr ! (Adamus glousse)

(la musique commence)

ADAMUS : Quelques minutes de belle musique et juste permettre. Permettre. C'est un mot auquel nous allons revenir, encore et encore -permettre.

Nous allons faire une expérience spéciale de Permission Quantique -ce n'est pas un atelier, mais une expérience- pour ceux qui veulent cinq jours de permission intense, à venir au début de l'année prochaine. Et nous parlerons de permettre souvent. C'est ce dont il s'agit. La liberté, c'est permettre. Permettre, c'est la liberté. Donc...

Avec la musique, avec le merabh, un changement. Un changement. Un changement gracieux. Je ne veux attraper aucun d'entre vous à réfléchir à ça.

Et si la musique joue et que vous vous demandez « Est-ce que ça marche ? Est-ce que ça marche ? » cessez, s'il vous plaît. N'êtes-vous pas fatigués de ces anciennes manières ? Oui, ça marche ! Évidemment ! Pourquoi ? À cause de Yoham. (il glousse) Non, parce que vous le permettez. Vous le permettez. Ça marche. Vous pourriez vous interroger toute la journée. Est-ce la façon dont vous voulez continuer à vivre ? Ou dire « Ça marche ! »

Le changement gracieux. Le rééquilibrage du corps, du mental, de l'esprit. Ça marche. C'est un merabh. Ah ! Vous n'avez pas à faire quoi que ce soit.

Dépasser la Lignée Atlante... treize ères plus tard, nous y sommes.

(pause)

Un temps que vous avez imaginé. Oh, vous ne connaissiez pas la date, ça n'avait pas d'importance.

(pause)

C'était plus une question de potentiel.

(pause)

Glissant élégamment au-delà de cette lignée...

(pause)

… dans un véritable sentiment, le genre de sentiment qui a été exprimé plus tôt aujourd'hui à propos de l'illumination.

(pause)

Vous n'avez pas à devenir mental. Vous vous exprimez au travers de vos ressentis.

(pause)

Dépassant la Lignée Atlante...

(pause plus longue)

Le potentiel de la liberté... Ah, la liberté -retour à votre état naturel d'être.

(pause)

Bon de savoir qu'il n'y a rien à obtenir ou achever. La liberté, de nouveau dans votre état naturel.

(pause)

Le mental voudrait qu'on essaie d'atteindre l'illumination.

(pause)

Elle est déjà là. C'est déjà votre état naturel.

(pause)

Dans la liberté, c'est aussi l'opportunité de vivre vos rêves. Nous avons parlé de ça avec beaucoup d'entre vous auparavant, pas juste de rêver vos rêves, mais en fait, de les vivre. D'être dedans. De les amener ici. De vivre le rêve. Plus de séparation entre cette chose que vous connaissez comme un humain et vos rêves : ils arrivent ensemble.

(pause)

C'est quantique. C'est permettre totalement... et il n'y a rien que vous deviez faire pour arriver à ça, en dehors de le permettre. C'est la meilleure des choses. Pas de secrets, pas de mystères, pas de 1 000 $. C'est de revenir à vous. Retour à qui vous êtes.

(pause)

J'adore regarder certains d'entre vous, en ce moment, qui commencent à piger. Certains d'entre vous sont toujours à dire « Est-ce que je le fais bien ? » Certains d'entre vous disent « J'ai vraiment besoin de me lever et aller aux toilettes, mais Adamus va me suivre. » Certains d'entre vous ont faim.

C'est une chose intéressante. Certains d'entre vous se demandent si vous êtes réellement prêts pour ça, ou dignes -dignes- et c'est très intéressant. Eh bien, évidemment, vous êtes prêts si vous voulez l'être. Et bien sûr, vous ne serez jamais dignes si vous continuez de penser comme ça.

Dépasser la Lignée Atlante. Dépasser la Lignée Atlante. Vous n'avez pas à vous demander si vous êtes dignes. Cette question est tout à fait hors de propos. Absolument hors sujet. Il est simplement question de savoir si c'est cette chose que vous choisissez. C'est tout.

Donc, écoutez, alors que se joue la musique du merabh.

(longue pause alors que la musique continue)

Donc, dépassant la Lignée Atlante, au-delà du mental, d'immenses potentiels nouveaux en attente. Vous n'avez pas à y penser, ou vous demander ce qu'il y a vraiment là, ou si vous êtes prêts. Non. Nous allons explorer. Nous allons expérimenter.

Il y aura des changements. Il y aura des fois, où  vous  allez vous sentir maladroits, ou bizarres, parce que vous passez d'un niveau à un autre. Vous changez. Et alors que nous entrons là-dedans, dans notre prochaine série, prenez juste une profonde respiration, faites quelques merabhs de temps en temps, mais permettez à ces changements de se produire. Bien.

Je vous remercie, Yoham. Bonne musique merabhique.

Archange Michaël

Maintenant, avec cela, c'est le moment pour les bénédictions, l'amour de l'Archange Michaël, de venir avec nous, d'être ici avec nous. Je n'ai pas souvent d'invité, ici au Théâtre Shaumbra. Une fois de temps en temps, mais non, j'aime bien le temps où je suis avec vous. Nous avons beaucoup de travail à faire. J'aime continuer à le faire avancer, mais j'aime particulièrement la façon dont Michaël et Robert Theiss, et Koka, rassemblent les énergies, et apportent cette magnifique énergie de Michaël à travers vous tous.

Et je tiens à faire remarquer que ce pupitre que nous avons là est vraiment un cadeau des familles des Archanges Raphaël, Michaël, de Yeshua, bien sûr, et Métatron. C'est donc le vôtre. Je vous remercie. Et avec cela, c'est un honneur de partager cette scène avec l'Archange Michaël. Je vous remercie. Je vous remercie. (le public applaudit)

ARCHANGE MICHAËL : Créateur, vous avez oublié votre livre. (se référant à « Vivre sa Divinité »)

ADAMUS : Oh, c'est pour que vous le lisiez. (rires)

ARCHANGE MICHAËL : Oh. Oh oui. Oui.

ADAMUS : Il y a de nouvelles informations pour vous, là-dedans, Mike.

ARCHANGE MICHAËL : Oui. Oui.

ADAMUS : Oui.

ARCHANGE MICHAËL : Quel chapitre me recommandez-vous, mec ?

ADAMUS : J'aime « L'Alchimie de la Lumière et de l'Obscurité. »

ARCHANGE MICHAËL : Absolument.

ADAMUS : C'est un de mes favoris.

ARCHANGE MICHAËL : Absolument.

ADAMUS : Oui. Oui, bien. Je vous remercie.

ARCHANGE MICHAËL : Salutations. Comment puis-je être avec vous sans l'épée ? En avez-vous terminé de me permettre de combattre vos démons pour vous ? Est-ce vraiment ce temps, où nous pouvons être libérés, en fait, de savoir qu'il n'y a rien au dehors, ni à l'intérieur de vous, que vous ayez à craindre encore ? Êtes-vous prêts pour cette liberté ? Bien sûr.

C'est le groupe -c'est  le groupe- à l'avant-garde d'une telle liberté, parce que mon cher ami et Maître enseignant Adamus vous a présenté, et partagé avec vous, une variété de produits, services, programmes. (rires)

ADAMUS : Mais hélas, je ne suis pas un Archange.

ARCHANGE MICHAËL : Bien sûr.

ADAMUS : Un simple Maître Ascensionné.

ARCHANGE MICHAËL : Effectivement.

ADAMUS : Ce que vous me rappelez tout le temps !

ARCHANGE MICHAËL : En effet. (rires)

ADAMUS : Mais j'ai une jolie cape. (Adamus se lève et montre sa cape)

ARCHANGE MICHAËL : Hm.

ADAMUS : Et un livre.

ARCHANGE MICHAËL : Mais avec ce groupe, avec tous les enseignements, toutes les danses et célébrations, pouvons-nous vraiment faire enfin que ce soit réel -l'énergie, la dimension, l'expérience, l'amour pour la vie-même- afin de devenir les nouveaux amants de la vie ? Avez-vous cet amour pour vous-mêmes pour être cela ? Bien sûr, comme Adamus l'a partagé avec vous, cessez d'y penser. Cessez de réfléchir à l'amour.

Je suis complètement en amour avec vous, sinon je ne serais pas là, car, n'est-ce pas une expérience plutôt ennuyeuse si vous n'êtes pas en amour avec la vie ? Cessez de me traîner. (quelques rires) C'est le moment, et vous êtes le groupe. Il n'y a personne d'autre en face de vous. Est-ce un fardeau ou une joie ? (le public répond « Joie ») En effet. Est-ce un fardeau ou une joie ? (le public répond « Joie » à nouveau) Bien sûr.

C'est ma joie, alors, de servir les nouveaux créateurs, parce que c'est ceux que je regarde. Ceux qui ont le courage d'aller dans un voyage, une aventure, une expérience pour découvrir quelque chose que personne d'autre n'a découvert, à l'exception de tous les Maîtres Ascensionnés. Mais, eux aussi, sont totalement en amour avec vous. Ils ne peuvent que vous aider à être en amour avec vous, juste comme vous êtes, et cela leur briserait le cœur, comme cela briserait mon cœur, si vous choisissiez de tourner le dos à ce type de liberté -une liberté qui vous place toujours à l'avant-garde de vos propres créations. Toujours. Quelle étape audacieuse. Quelle étape audacieuse. Y a-t-il un tel amour, dans cette salle, pour cette audace ?

Nous le voyons. Nous le voyons. Et nous comprenons en un clin d’œil que vous souhaiteriez tous que ce soit vrai, et pourtant, votre corps ne serait pas capable de l'intégrer. Votre mental deviendrait même plus fou, en effet. Mais vous avez la sagesse et l'amour pour permettre d'intégrer ça. Mais, faut-il attendre demain pour rendre ce choix vraiment réel ? Demain existe-t-il pour cette expérience ? Allez-vous attendre demain ? (quelqu'un dit « Non ») Bien sûr. Bien sûr. Et, allez-vous cesser de me demander de combattre les créatures que vous avez créées ? Hm.

Avec ce groupe, je dépose mon épée. Pourquoi ? Hm. Non pas, comme mon partenaire le pense, que je pourrais avoir développé un syndrome du canal carpien. (rires) En effet, je dépose mon épée avec le plus grand respect pour, maintenant, co-créer consciemment avec vous. Pas au-dessus de vous, car vous m'avez donné naissance en tant qu'archange. Tout ce que je suis, vous l'êtes. Appropriez-vous le. Faites-le vôtre. Inspirez ce potentiel comme s'il était réel, même si votre mental questionne « Comment pourrais-je être ça ? Car tous les livres et les enseignements ont suggéré le contraire. » Regardez au-dessus de vous et là, vous trouverez quelque chose de plus grand que votre moi. Nous baissons les yeux sur vous et nous voyons la grandeur. Nous la voyons. Maintenant, cessez de vous en cacher.

Maintenant, ma question -vraiment, ma question- comment voulez-vous que je vous serve, créateurs ? L'épée est déposée. Plus de batailles. Il n'est plus question de lumière et d'obscurité. Il n'y a rien à craindre au dehors. Comment puis-je vous servir ? Exprimez-vous ici. Premier volontaire. Bien sûr.

ALAYA : J'ai aussi un micro !

ARCHANGE MICHAËL : Vous recevez tout ce que vous voulez.

ALAYA : Je vous remercie.

ARCHANGE MICHAËL : Préférez-vous une couleur différente ? Au pupitre, je vous prie. (elle monte au pupitre)

ALAYA : J'aimerais monter sur vos ailes et voir ce que vous voyez.

ARCHANGE MICHAËL : Non, non.

ALAYA : Non ? Voudriez-vous monter sur mes ailes et voir ce que je vois ?

ARCHANGE MICHAËL : Et si les ailes n'avaient jamais existé ? Mais, sommes-nous prêts à prendre la fuite ensemble ? Pour reprendre vos mots.

ALAYA : Pour voyager, voler, voir, vivre, être et respirer... ressentir.

ARCHANGE MICHAËL : Oui. Maintenant, voulez-vous vraiment cette liberté ? (elle soupire) Laissez-moi démontrer. Puis-je toucher votre corps ?

ALAYA : Oui.

ARCHANGE MICHAËL : Vous ne pouvez pas l'avoir. Répondez.

ALAYA : Vous ne me touchez même pas. Je suis partie. J'en ai assez.

ARCHANGE MICHAËL : Hm. (à David) Vous touchez les jambes. Peut-il toucher votre corps ? (elle fait signe que « oui ») Tenez ses jambes. (David tient ses jambes) Vous voulez marcher ? Vous ne pouvez pas.

ALAYA : Je peux. Je marche déjà. Je n'ai pas besoin de mon corps pour marcher.

ARCHANGE MICHAËL : Vous êtes dans votre corps.

ALAYA : Je fais partie de lui.

ARCHANGE MICHAËL : Toute cette transformation ne se passe pas dans un concept, mais en tant qu'expérience physique. Comment se sent-on de se voir refuser la liberté de marcher ?

ALAYA : Même si je ne suis pas. On ne me refuse pas la liberté de marcher.

ARCHANGE MICHAËL : Marchez. (elle essaie, mais David tient ses jambes ; rires alors qu'elle lutte) Qu'est-ce que ça fait ? C'est un homme magnifique, un fonctionnaire idéal, mais il va rester collé à vous pour le reste de votre vie ! S'il vous plaît, ne faites pas de mal au pupitre. (rires)

Nous voulons juste démon-... je vous remercie. Je vous remercie.

ALAYA : De rien.

ARCHANGE MICHAËL : Mais nous voulons démontrer, vous devez vouloir cette liberté ! Qui d'autre s'accroche à vous ? Qui d'autre autorisez-vous à s'accrocher à vous, au nom de quoi ? Vous devez la prendre et dire non à ceux qui sont pénibles, ou, comme l'a dit Adamus, ce n'est pas leur temps, tout simplement. Peut-être que dans votre vie, ceux auxquels votre cœur est si profondément connecté, depuis un espace de compassion, ne le comprendront jamais. Voulez-vous compromettre votre liberté pour leur timing ? (quelqu'un répond « non ») Mais, voulez-vous être un exemple vivant pour toute l'humanité qui veut savoir « Y a-t-il autre chose en dehors des dogmes dont on nous a bourré le crâne ? » Bien sûr. En effet.

Donc, vous êtes les nouveaux marcheurs de la liberté de l'Esprit, les nouveaux créateurs de vie, les nouveaux chamans, la prêtresse réincarnée, le prêtre sans sermon. Ah ! Cela n'est-il pas merveilleux ? Sans vouloir vous offenser (à Adamus)

Le prêtre sans sermon. La liberté de marcher, tout simplement. Juste la conscience d'être tellement vivant. C'est le moment, aujourd'hui, en ce moment. C'est le moment de s'approprier ça.

La liberté a-t-elle besoin d'être canalisée pour devenir réelle ? (le public répond « Non ») Pouvez-vous parler au nom de votre propre divinité ? (le public répond « Oui ») Et la reconnaître ? (le public répond « Oui ») Et vous en souvenir ? (le public répond « Oui ») Bien sûr. Effectivement.

Un autre volontaire. Peut-être dans cette direction.

LINDA : Quelle direction ?

ARCHANGE MICHAËL : Droit devant nous. Bob est très bouleversé. Il a passé trois jours sur la route, parti avec elle.

LINDA : Oh, désolée. Je suis seulement les directions.

KOKA : Je vous remercie. Quelle est la question ?

ARCHANGE MICHAËL : Comment puis-je vous servir, chère...

KOKA : Comment pouvez-vous me servir ?

ARCHANGE MICHAËL : … prêtresse ?

KOKA : (elle hésite) Vous voulez vraiment prendre la route pendant trois jours avec moi ?

ARCHANGE MICHAËL : En effet. En effet. Vous parlez au nom d'une lignée, née d'un genre qui s'est démodé. D'une souveraineté qui ne s'est pas réalisée. Vous vivez un état de grâce qui a été refusé. Comment puis-je vous servir en tant que nouvelle créatrice ?

KOKA : Je crois que la meilleure façon de me servir est de croire que je peux le faire moi-même.

ARCHANGE MICHAËL : Je vous remercie. Merci. Un autre volontaire. Ah ! Nous en avons déjà une. En effet. (le public applaudit alors que Linda est choisie)

LINDA : Je savais que ça allait arriver.

ARCHANGE MICHAËL : Je ne suis pas aussi poli qu'Adamus. Comment puis-je vous servir ?

LINDA : (hésitant) En me permettant d'être tout ce que je suis.

ARCHANGE MICHAËL : Eh bien, soit. Eh bien, soit. C'est si facile, n'est-ce pas ?

LINDA : Oui, en fait.

ARCHANGE MICHAËL : Ne pouvons-nous pas juste danser, maintenant, faire la fête ensemble ? Devons-nous maintenir cette façade entre les royaumes physiques et éthériques ? (certains dans le public disent « Non ») En effet. En effet. Alors, allons-nous l'ouvrir aux questions générales ?

Questions & Réponses

LINDA : Je le sens par ici.

JULIE : Ce qui m'est venu, alors que vous parliez de service, c'était « jouir », et juste les royaumes féeriques, voir des trucs, sentir des trucs. C'était vraiment magique.

ARCHANGE MICHAËL : Oui. Oui. Mais jouez avec cette magie, même avec ceux qui n'ont pas l'air au courant, ou trop denses pour le ressentir, pour savoir. Voyez-les simplement comme des fées qui ont perdu leur chemin. Et alors, cessez de les attendre, pour devenir davantage ce que vous êtes déjà, afin de vous permettre de prendre votre envol ici. Parce que, ça peut ne pas être leur temps, mais c'est le vôtre. Absolument.

Qu'est-ce qu'Adamus a et qui vous manque ? (rires alors qu'Adamus sourit, saisit son pupitre et frime avec sa robe)

Vraiment. Qu'est-ce qu'Adamus a et qui vous manque ? (un couple de gens disent « Rien ») Maintenant, allez. Soyons honnêtes.

JOSHUA : La réalisation de l'expérience.

ARCHANGE MICHAËL :  Oui. Mais nous avons déjà convenu que l'expérience commence maintenant pour vous.

JOSHUA : Oui.

ARCHANGE MICHAËL : Et qu'est-ce qui manque d'autre ?

(Joshua hésite)

ARCHANGE MICHAËL : Vous avez raison.

JOSHUA : Seulement la réalisation.

ARCHANGE MICHAËL : Oui. Et pourtant, elle commence maintenant ?

JOSHUA : Oui.

ARCHANGE MICHAËL : Ne serait-il pas plus amusant de danser avec ce personnage ?

JOSHUA : Après le barbecue. (rires)

ARCHANGE MICHAËL : Effectivement. C'est plutôt un bon danseur. (plus de rires alors qu'Adamus fait une grimace)

Il démontre une liberté dont vous vous privez. Il démontre une liberté qui est votre droit de naissance. Il le démontre à la fois sous l'angle de la comédie et de la grâce, et il vous offre l'opportunité de tomber en amour avec ce avec quoi il est déjà tombé en amour.

Maintenant. Ça commence maintenant, avec la prochaine respiration, et ensuite, c'est fait. Vous avez terminé. Et alors, vous venez ensemble célébrer. Ce que vous choisissez consciemment d'inspirer. Le potentiel -le potentiel, sans savoir ce qu'il va devenir- et vous et moi avons fait de grandes batailles ensemble, et vous développerez un syndrome du canal carpien. (rires)

Faisons-le circuler. Je vous remercie.

APRIL : Donc, que fais-je ?

ARCHANGE MICHAËL : Plus près de la bouche. Merci.

APRIL : Quelle est la question ?

ARCHANGE MICHAËL : C'est votre question. J'ai les réponses.

APRIL : D'accord ! (elle se redresse)

ARCHANGE MICHAËL : Oui, ça fait tellement de bien de se sentir grand. De sentir que votre colonne vertébrale soutient votre corps tout entier. Toute l'histoire que vous avez charriée, toutes les peines, tous les déguisements que vous avez portés.

APRIL : Je suis prête à les laisser aller.

ARCHANGE MICHAËL : Bien sûr. Elle est très puissante, cette colonne vertébrale. Elle veut supporter ce corps. Vos jambes sont fortes. Votre corps est ferme. Il veut juste danser, maintenant. C'est tout ce qu'il veut faire.

APRIL : Je suis prête.

ARCHANGE MICHAËL : Oui. Oui.

TIM : Au travers des nombreuses discussions que nous avons eues ensemble...

ARCHANGE MICHAËL : En effet.

TIM : … sur plusieurs millénaires, qui parle le plus, vous ou mon grand Soi ?

ARCHANGE MICHAËL : Hm. Qui voulez-vous croire qui parle le plus ?

TIM : Le grand Soi.

ARCHANGE MICHAËL : Alors, croyez-le.

TIM : Mais...

ARCHANGE MICHAËL : Mais alors, êtes-vous prêt à agir d'après ce que vous entendez, reconnaissez et revendiquez comme étant votre vérité, et ne pas écouter tout le bruit de fond qui arrive et suggère que ce n'est pas vous, qui pose la question « qui parle ? »

TIM : Oui.

ARCHANGE MICHAËL : Voulez-vous cette liberté d'avoir ce genre de clarté . Il l'a (pointant vers Adamus).

TIM : Il l'a depuis longtemps.

ARCHANGE MICHAËL : Oh, je n'en sais rien. (rires) Oui. N'était-ce pas Tobias qui écoutait mes chants d'oiseaux dans sa prison ?

TIM : Oui.

ARCHANGE MICHAËL : (parlant à Adamus) Et, cher ami, que me disiez-vous, avec les mêmes gazouillis d'oiseaux, pris dans votre cristal ?

ADAMUS : Cent mille ans. Je vous ai raconté l'histoire ? (rires)

ARCHANGE MICHAËL : Oui. Je pense qu'elle a quatre lettres qui se répètent encore et encore. (plus de rires)

Donc, nous avons éclairci cela. Vous avez fait un choix, et vous l'inspirez afin que, en conscience, ça fasse partie de ce que vous faites, croyez, ressentez, vivez, et ensuite, nous passons à autre chose.

TIM : Oui.

ARCHANGE MICHAËL : Vous avez fini. Alors, deux Maîtres Ascensionnés (Joshua est avec Tim), commencent juste à le manifester dans une réalité physique, parce que vous avez choisi de le rendre réel ici. Il démontre une liberté que très, très peu de gens ont choisi d'incorporer vraiment, que vous pouvez avoir votre gâteau et le manger aussi. Vous pouvez être ici, dans le physique, et vous amuser dans l'éthérique. Ou, l'éthérique était tellement ennuyeux que vous avez dû venir ici ? (rires)

Oui. D'autres questions, et incluons Adamus.

SHAUMBRA 3 (femme) : J'aimerais vous entendre tous les deux parler de la différence, dans l'autonomisation ou la déresponsabilisation, entre prendre soin ou avoir de la compassion.

ADAMUS : Hm.

ARCHANGE MICHAËL : Oui. Si vous voulez prendre soin de vous-même, c'est un état profond de compassion. Si vous prenez soin des autres qui utilisent votre vie comme un système de soutien, alors, comment appelez-vous ça ?

SHAUMBRA 3 : Du vampirisme.

ADAMUS : Exactement. C'est très facile de se faire prendre dans tout ce piège du vampirisme. Il y a les autres qui veulent simplement votre énergie, ils veulent la prendre, donc, ça dépend seulement de la raison pour laquelle vous le faites. Et pour quelle raison choisiriez-vous de prendre ce soin ? La compassion ? Le chagrin ? Le soin ? Ayant été dans le même rôle, peut-être, dans le passé, de celui qui avait besoin d'être pris en charge et revenant maintenant pour prendre soin ? Donc, qu'est-ce que ça fait ressortir en vous ?

(elle hésite)

Ne savez pas ?

SHAUMBRA 3 : Non.

ADAMUS : Cela vous fait-il plaisir ?

SHAUMBRA 3 : Parfois.

ADAMUS : Quand cela ne vous amuse-t-il pas ?

(elle hésite à nouveau, et soupire)

Quand vous vous sentez fatiguée, épuisée, vous demandant si ça aide vraiment ?

SHAUMBRA 3 : Quand l'effet, c'est que ça interfère avec la simplicité et l'autonomisation des autres, plutôt que de les rendre à eux-mêmes.

ADAMUS : Oui. Et il a été un temps où vous avez tous été des gardiens, sous une forme ou une autre -vos familles, peut-être votre profession- mais où vous avez pris soin des autres. Une des choses difficiles, c'était d'être le soutien de l'énergie et le gardien du pionnier et pirate de l'énergie. Très difficile, parce qu'il y a toujours une partie de vous qui se sent très compatissante, à propos de ce rôle, et qui aime ça, et une partie de vous qui se sent un peu égoïste pour ce qui est de faire tout ce truc de l'illumination pour vous-mêmes. Mais je voudrais dire à tous ceux d'entre vous qui sont investis dans le soin aux autres, il arrivera un moment où vous aurez besoin de sortir de ça pour prendre soin de vous. Oui. Je vous remercie.

SHAUMBRA 3 : Je vous remercie.

ADAMUS : Bien. Je pense que nous avons le temps pour trois de plus.

ARCHANGE MICHAËL : Trois de plus.

ADAMUS : Trois de plus.

KATE : Ma question serait que je ne me souviens pas de tous les autres royaumes. Je sais qu'ils sont là. Est-ce important pour mon illumination ?

ARCHANGE MICHAËL : Il est seulement important que vous vous souveniez de ce que ça fait d'être connectée aux autres royaumes, et alors que vous avez confiance dans le ressenti de cette connexion, l'information, sans la moindre idée à l'esprit, semblera télécharger dans votre propre conscience comme devenant alors réelle. Mais si vous faites confiance au ressenti, faites confiance au ressenti. La connexion ici, entre Cauldre et Adamus ne se serait pas développée si Cauldre n'avait tout simplement pas fait confiance au ressenti de cette relation, afin qu'Adamus puisse vous parler des autres royaumes. Et ainsi, le cadeau qui a été démontré, c'est un cadeau qui a été partagé avec vous. C'est aussi votre droit de naissance. Nous voulons que vous soyez tous là-haut (sur le devant), ainsi nous pouvons nous asseoir là (comme le public), pour écouter votre sagesse. Au bout d'un moment, nous n'avons plus rien à vous dire. Nous allons être à court d'histoires. (rires)

ADAMUS : Et l'autre chose à garder à l'esprit, c'est de faire un petit changement à propos de tout ce concept des « autres royaumes ». Il n'y a vraiment pas d'autres royaumes. Il y a ce royaume, selon qu'il est perçu avec un focus très étroit ou un très large. C'est réellement tout le même royaume. L'a toujours été, le sera toujours. Il s'agit donc de prendre une profonde respiration et se sentir libre de percevoir les plus grands espaces de ce royaume. N'y pensez pas comme étant là-haut, ici-bas, ou quoi que ce soit comme ça. Certainement, je ne sais pas pour vous, Mike, mais je ne suis pas  un fan des dimensions 1, 2, 3, 4, comme ça. Ce sont toutes un peu la même chose. C'est ce que vous allez vous autorisez à percevoir hardiment  ?

Maintenant, parce que les humains ont été limités ou contenus à un certain niveau de perception, quand ils s'ouvrent, c'est inconfortable. Ils attrapent le vertige. Ils sentent qu'ils perdent la tête. Leur corps commence à vomir, à chier et à faire tous ces autres trucs, ils se sentent très mal à l'aise, mais c'est juste un ajustement à la vastitude de ce royaume. Ouais.

Je n'aime pas quand nous entrons dans ces autres dimensions ou royaumes. Cela crée encore plus de séparation. C'est, dans quelle mesure voulez-vous respirer dans ce royaume ? Oui, quel super tee-shirt. Oui.

(Linda tend le micro à Paul, il se tient debout et ne dit rien. Adamus commence à tourner autour de lui, l'Archange Michaël le rejoint.)

ARCHANGE MICHAËL : En effet. (rires alors que Paul sursaute) Nous sommes un peu durs d'oreille. (chacun d'eux salue avec le geste de « Namasté ») Créateur.

PAUL : Cela fait longtemps.

ADAMUS : Question ?

ARCHANGE MICHAËL : Réponse.

ADAMUS : Bien. Je pense que nous avons terminé. (rires) C'était un peu bizarre.

ARCHANGE MICHAËL : Comment vous sortez-vous de ça ?

ADAMUS : Paul, allez-y.

PAUL : Hmm.

ADAMUS : Je pense que nous allons devoir le refaire.

ARCHANGE MICHAËL : Ohhh.

PAUL : Sortir du mental. En parler.

(Adamus se retourne vers Paul et le gifle des deux mains ; beaucoup de rires)

ARCHANGE MICHAËL : Oh. Et je dois nettoyer après lui. (l'Archange Michaël se retourne et embrasse Paul sur la joue ; rires et applaudissements)

ADAMUS : Lequel des deux l'a sorti du mental ?

ARCHANGE MICHAËL : Mm hmm.

PAUL : C'était parfait.

ADAMUS : Laissez-moi vous demander, Paul, pourquoi êtes-vous dans le mental ? Quelle est l'histoire ? Quelle est l'histoire ?

PAUL : Il n'y a pas d'histoire.

ADAMUS : D'accord. Pourquoi le mental ?

PAUL : Eh bien, à un moment, c'était confortable, mais maintenant, ça ne l'est plus.

ADAMUS : D'accord. Et où, la prochaine ?

PAUL : Au-delà du mental.

ADAMUS : Oui, mais... ouais. Où cela va-t-il vous emmener ?

PAUL : Dans le cœur.

ADAMUS : Peut-être, ouais, mais je voudrais dire ça n'a pas d'importance. Ça n'a pas d'importance. Vraiment pas. Vous avez confiance en vous, ça n'a pas d'importance. Sortir du mental, au-delà des limitations. Ça n'a pas d'importance, parce que ça va être grandiose. Ça va être grandiose.

PAUL : Ouais.

ADAMUS : Bon. Cessez de penser à sortir du mental.

PAUL (gloussant) : Génial.

ADAMUS : Bien. Je vous remercie.

PAUL : Je vous remercie.

ADAMUS : Il y a beaucoup d'énergies -si vous ne l'avez pas remarqué- très, très mentales, et si vous pouvez le ressentir, il y a une espèce de lourdeur dans la salle, une sensation d'oppression, de somnolence. Ce devrait être un moment de fête, mais toujours à y penser. Alors, qu'est-ce qui se passe maintenant ? Il y a un changement sous-jacent qui se passe, et qui sait ? Vous pourriez rentrer à la maison ce soir, et avoir un terrible mal de tête. Ouais, ouais. Ou... mais pourquoi pas ? Ça indique simplement que quelque chose se passe. Ou vous pouvez être juste terriblement troublés. « Que s'est-il passé dans la salle aujourd'hui avec Shaumbra ? Je ne comprends pas. » Vous allez essayer de paraître sensés, comme vous pourriez le faire en ce moment. Ça n'a pas d'importance. Ce n'est pas grave. Ce changement est en cours.

Pourquoi ? Parce que vous le permettez. Oui. Bon. Une de plus, vraiment une bonne question, une question vraiment extraordinaire. (quelqu'un veut vraiment le micro)

LINDA : D'accord.

ALAYA : Cela signifie-t-il que depuis que Geoffrey canalise Adamus, et je ne connais pas votre nom, mais vous canalisez Michaël...

ADAMUS : Robert.

ALAYA : Cela signifie-t-il -merci Robert- cela signifie-t-il que nous allons laisser aller et canaliser un tas d'autres gens ?

ARCHANGE MICHAËL : Arrêtons de canaliser. Je ne veux pas être canalisé. Je veux être compris comme étant aussi un aspect de Robert. Je veux aussi être adopté comme un aspect de vous. Pouvons-nous juste cesser de créer la séparation ? Il va venir un temps, ici, où la canalisation ne sera pas appropriée. Pensez-vous que Geoffrey n'aura pas la sagesse ? (rires alors qu'Adamus la regarde d'un air interrogateur)

ALAYA : Non, mais je sais, j'en parle, ou y pense, beaucoup -j'y pense- c'est l'intégration de mes... tout moi.

ARCHANGE MICHAËL : Soi supérieur, soi grandiose...

ALAYA : Exact, soi grandiose.

ARCHANGE MICHAËL : … soi inférieur, soi moyen, tout le soi...

ALAYA : Très bien.

ARCHANGE MICHAËL : Soi Divin -soi Divin- le soi du créateur conscient. Quelque chose que l'humain ne peut tout simplement pas comprendre avant que l'intégration ne se produise. Ainsi, pouvons-nous nous arrêter ? Sinon, que va-t-il se passer ?

ALAYA : Eh bien, la séparation continue.

ARCHANGE MICHAËL : En effet. Et la peine, la souffrance, et le manque. Qu'est-ce qui vous manque qu'il incarne déjà ?

ALAYA : Rien.

ARCHANGE MICHAËL : Eh bien, vous demandez...

ALAYA : Excepté pour la question de la séparation. Donc, cela veut-il dire que Geoffrey s'en va et qu'Adamus reste ?

ARCHANGE MICHAËL : Eh bien, espérons que non.

ALAYA : Ce sont les questions qui me viennent. Et donc...

ADAMUS : Pas ce potentiel !

ALAYA : Je sais, mais c'est une question.

ADAMUS : Imaginez à nouveau... nous allons nous concentrer, nous allons être les potentiels qui n'auraient pas forcément pu être imaginés dans le mental Atlante. C'est pourquoi aujourd'hui nous dépassons ce Lignage.

Vous n'allez pas avoir besoin de messagers comme ça, comme nous le faisons maintenant, parce que vous allez être dans un groupe et vous êtes soit... vous allez être au pupitre à partager les uns avec les autres, à rire les uns avec les autres, ou une entité va apparaître et vous allez être capable de la voir. Et dès maintenant, vous dites « Mais je ne sais pas comment faire ça, ni comment ça se passe. Avons-nous besoin de quelqu'un pour le faciliter ? » Non, une entité apparaîtra, peut-être pas dans une forme physique, mais dans sa forme d'énergie, et vous serez capable de voir cette entité et d'entendre cette entité. Et cette entité ne va pas nécessairement être là pour vous dire comment le faire, mais partagera certaines façons dont ils font les choses, et écoutera comment vous les faites.

Donc, nettoyons toutes les anciennes façons de penser en dehors de la table (de la loi?). Ne pensons plus comme des Atlantes.

ALAYA : Et c'est pourquoi j'avais besoin de poser la question.

ARCHANGE MICHAËL : Absolument.

ALAYA : Juste, je... oui.

ADAMUS : Absolument.

Ainsi, prenons une profonde respiration.

Oui ! L'heure est venue, la minute est venue, le temps est venu pour nous d'aller faire un tour au-delà cette Lignée Atlante, au-delà du mental. Je vous interrogerai. Je vais vous pousser pour cesser de penser comme un Atlante, pour vous ouvrir aux rêves et aux potentiels. Que peut-être demain, dans ce mental, vous pourriez penser qu'il est fou, eh bien, vous allez parvenir à réaliser qu'il ne l'est pas du tout.

Vous voulez le faire -ce truc de l'illumination- parce que c'est un grand défi, très enrichissant, très stimulant, qui sort du vieux moule humain, parce que vous pouvez, parce que vous avez passé 1 000 vies, ou plus sur Terre. Vous voulez le faire, juste pour le faire. Et, alors que vous le faites, ça va faire une énorme différence dans la conscience de cette planète. Toute cette conscience, et cette énergie que vous dérangez, va partir et être disponible pour les potentiels des autres.

Prenons une profonde respiration ensemble, alors que nous dépassons cette Lignée Atlante, alors que nous entrons dans les nouveaux potentiels, qui ne sont pas linéaires, qui ne sont pas limités.

Prenons une profonde respiration et remercions l'Archange Michaël, Robert, Koka, d'être ici, dans ce Théâtre Shaumbra.

Prenons une profonde respiration pour toutes les entités, et pour vous.

Et, lorsque vous partez d'ici, quand vous quittez cette énergie et que vous vous demandez ce qu'il en est, si vous le faites bien, quand ça viendra à être, et toutes ces autres questions, vous prenez une profonde respiration et vous vous dites « Tout va bien dans toute la création. »

C'est la fête, Shaumbra, c'est la fête. Je vous remercie. Merci.