LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série e-2012
SHOUD 11 : “Présence Rayonnante” – ADAMUS, canalisé par
Geoffrey Hoppe
Présenté au Crimson Circle
Le 7 Juillet 2012
www.crimsoncircle.com
Je Suis ce que Je Suis, rayonnant et toujours présent, Adamus du
Royaume Souverain. Je vous remercie. (le public applaudit)
Bienvenue à ce cours pour vivre l'ascension. Je promets de ne pas
vous faire passer de mauvais moment aujourd'hui, Édith.
ÉDITH : Je vous remercie.
ADAMUS : Vous pouvez me faire passer un moment difficile,
mais je ne vous en ferai pas passer un en retour.
Bienvenue à ce cours, mes chers amis. Nous venons de passer un
merabh de quatre minutes, pendant qu'on jouait cette -hum- musique à
l'eau de rose*. (le public répond « Oh ! ») N'est-ce pas ?!
(Kerri crie « Oui ! » ; Adamus rit) Tandis que la musique
jouait, vous pouviez ainsi vous laissez dériver un peu, vous pouviez permettre
un changement de conscience. Vraiment. Pourquoi pas un peu de grande
musique, parfois, hein ?
* « Soul Companions (Compagnons d'Âme) » par
Mary Chapin Carpenter et James Taylor, du CD « Ashes and Roses (Des
Cendres et des Roses) »
Vous avez vécu un merabh de quatre minutes de changement de
conscience. Le reste des deux prochaines heures va juste consister à vous
permettre de le vivre comme c'est, de l'intégrer, le ramener dans votre corps,
de devenir une présence rayonnante.
Vous vous demandez pourquoi vous êtes ici aujourd'hui ? Il
n'y a nulle part ailleurs où aller ! (rires) Pour entendre parler de la
présence rayonnante. C'est la prochaine étape. C'est la prochaine chose sur
laquelle nous allons travailler -être présent. Ah !
Illumination. Illumination -il s'agit d'être présent. Il s'agit
d'être conscient, et il y a une énorme différence entre être dans le mental et
être conscient. Vraiment. Conscient -en fait, vous n'avez pas vraiment besoin
d'utiliser beaucoup le mental.
L'illumination permet à un flux naturel de prendre place. A la
minute où vous commencez à la provoquer, dès que vous commencez à la trafiquer,
dès que vous pensez que l'humain -juste l'humain tout seul- sait comment faire
cette chose, et que vous n'invitez pas l'âme, vous n'invitez pas les aspects,
vous n'invitez pas votre soi, ça ne va pas très bien marcher. Vous serez à
quatre pattes pour me faire venir. Ha, ha, ha ! (rires)
Donc, mes chers amis, nous avons aujourd'hui de nombreux invités
dans la maison. Pas seulement vous, pas seulement Jonette (Crowley) et Aigle
Blanc. Nous avons de nombreux invités dans la maison. Oh, il y a toujours des
invités. C'est juste que je ne les laisse pas parler très souvent. (quelques
rires) Beaucoup d'invités dans la maison aujourd'hui.
Nous avons de belles, de beaux Shaumbra, de partout dans le monde.
Nous avons les énergies et l'amour des êtres angéliques.
La Joute
Vous savez... et je dis « aimer » parce qu'ils aiment
faire partie de tout ceci. Ils aiment observer. Mais c'est une sorte d'amour
intéressé. C'est le même amour que beaucoup d'entre vous aviez l'habitude
d'avoir dans les vies passées, en allant à une joute. (quelques rires) Les
chevaux, les longues perches, l'un habillé en sombre, l'autre habillé en clair,
s'inclinant l'un après l'autre, tombant en s'opposant l'un à l'autre -boum!-
et l'un tombe du cheval. Et ils rient, ils applaudissent et ils acclament
pendant que vous êtes au sol, vous demandant ce qui a bien pu vous frapper.
Pourquoi ? Ils peuvent rire parce qu'ils savent que vous
allez vous remettre debout. Ils savent que cela ne va pas vous détruire. Ils
savent que pour une raison bizarre vous aimez continuer à revenir sur le
cheval, attrapant cette perche et le poursuivant à nouveau. Mais avec qui
joutez-vous ? (le public dit « vous »). Vous-mêmes. Absolument.
Pourquoi joutez-vous avec vous-mêmes ?
Pourquoi ? (le public donne des réponses variées, comprenant « Qui
sait ? » et « Distraction ») Distraction. (quelqu'un dit
« Drame ») Drame. (quelqu'un dit « Ennui ») Ennui. Bonne
réponse. L'ennui. (quelqu'un dit « Habitude ») Habitude -meilleure
réponse. L'habitude. Vous avez juste l'habitude de sauter sur ce cheval, de
mettre votre armure et de vous opposer à vous-mêmes. L'obscurité contre la lumière.
Forcer en force. Oh, c'est palpitant pour les autres de regarder. Excitant,
parce qu'ils veulent toujours savoir, tout d'abord, combien vous êtes
passionnés pour ça ; comment vous entrez dans votre armure ; comment
vous vous en accommodez ; comment vous saisissez votre arme ; comment
vous montez sur ce cheval ; comment vous avez autant de détermination et
d'énergie, et ensuite, comment vous allez en découdre avec vous-mêmes !
Pas beaucoup de rires sur celle-ci. (rires) Comment vous êtes éjectés du cheval,
jetés à terre, mais vous vous relevez et essayez à nouveau.
Que diriez-vous demain matin, lorsque vous vous réveillez, pas
d'armure. Aller dépouillé, nu, ce qui signifie sans cette énergie de protection
-pas vous, monsieur (rires) -sans cette énergie de protection que vous mettez
tous les jours. Ça se comprend, parce que c'est difficile là-bas. Il y a
des jours où vous ressentez que vous devez mettre en place ce gardien.
Pourquoi pas, demain, ne pas la mettre, juste pour voir ce
qui se passe ? Que diriez-vous demain, de ne pas prendre votre lance et de
la nettoyer, d'enlever le sang d'hier ? Que diriez-vous de laisser cette
lance sur le sol, là où elle est tombée en dernier ? Et si vous oubliiez
le cheval ? Le cheval indique juste le pouvoir que vous utilisez parfois
pour entrer dans votre vie, dans votre journée. Que diriez-vous d'être dans
votre propre présence rayonnante ? N'est-ce pas le seul costume dont vous
ayez besoin ? N'est-ce pas vraiment le seul outil ? N'est-ce pas la
seule chose que vous avez besoin de prendre avec vous pour la journée ?
Maintenant, que va-t-il arriver à ce moi sombre ? Le moi qui
s'oppose, cette partie de vous avec laquelle vous vous êtes battus chaque jour,
que va-t-il lui arriver ? (quelqu'un dit « Intégration ») Non. Il
va sauter sur son cheval, il va attraper sa lance, et il va vous
poursuivre ! (Adamus rit) Pourquoi ? L'habitude. L'habitude. Il a été
bien formé, par qui ? (le public répond « Moi ») Ouais. Les
questions sont trop faciles aujourd'hui. (Adamus rit) Nous allons passer aux
difficiles plus tard.
Il a été bien formé. C'est une partie de l'habitude, une partie du
programme, le duel quotidien avec vous. Mais au bout d'un moment, il va en
avoir un peu marre de s'harnacher, sortir la lance, grimper sur le cheval et
vous courir après. Il va finalement comprendre qu'il peut intégrer. Vous n'avez
pas à vous battre contre le jour.
Maintenant, dans ce guerrier sombre qui s'oppose, il y a des
éléments de la conscience de masse. Il y a des éléments d'autres personnes -des
amis, de la famille, des collègues de travail. Ce sont des éléments, mais ils
sont tous attirés dans cette force d'opposition en vous. Un peu comme votre
propre boson Higgs, il attire cette énergie. La transforme en quelque chose de
réel. Il la transforme en matière et en expérience.
Donc, demain, vous prenez juste une profonde respiration. Ne vous
harnachez pas. N'attrapez pas la lance. Ne grimpez pas sur le cheval. Ne vous
battez pas. Il n'y a rien du tout à combattre. Rien du tout. Plus tôt vous
réaliserez ça, plus vous aurez de plaisir avec votre illumination.
Prenons une profonde respiration et accueillons tous nos invités
d'aujourd'hui -les merveilleux, les adorables êtres angéliques, les êtres
humains- tous ici comme une partie de cela.
Que se passe-t-il maintenant ?
Vous êtes à mi-chemin du 12-12-12. Oui. Vous dites
« Seulement à mi-chemin ? » A mi-chemin. Mais cela ne se termine
pas forcément le 21-12. Cela ne va pas nécessairement se terminer à la fin de
l'année, ou le 21 Décembre. Il va y avoir beaucoup de résidu. Que se passe-t-il
le 21 Décembre ? (quelqu'un dit « Un autre jour »)
Fondamentalement un autre jour, mais il a été implanté dans la conscience que
c'est un jour particulier. Même ceux qui ne sont pas dans la même conscience,
ils ont ce petit implant, ils se demandent un peu si c'est la fin du monde, la
fin d'une ère, ou -curieusement- juste un autre espoir perdu.
Réalisez-vous qu'il va y avoir beaucoup de gens qui vont se
réveiller le 22 Décembre et ressentir un espoir perdu ? « Oh merde »,
comme dirait Sart. « C'est juste un autre jour ». C'est probablement
plus difficile que de voir quelque grande catastrophe dans le monde, quelque
drame, parce qu'il y a beaucoup de gens qui vont se réveiller le 22 Décembre et
dire « Ça ne pourrait être mieux. Ils parlent de changements. Ils parlent
de nouveau monde. Ils parlent de la fin de l'ancien monde, peu importe. C'est
juste un autre jour. »
C'est peut-être une des choses les plus difficiles, parce que
dedans, il y a une telle perte d'espoir, ou, appelons-la une
perte de délivrance. Une perte de quelque chose qui vient pour faire un
changement significatif. Pour vous, à la fin de cette année, ça n'a pas
vraiment d'importance, parce que ce qui se passe en ce moment -particulièrement
avec toutes ces énergies sauvages, tous ces influx d'énergie qui sont arrivés
et toutes les façons dont les humains y ont fait face- ce qui se passe
réellement, c'est qu'une nouvelle série de potentiels est en train de se
révéler. Des potentiels qui ont toujours été là -toujours, toujours été là-
mais ils étaient masqués. Ils étaient derrière le nuage, ou le voile,
invisibles, ou dont les humains n'étaient pas conscients.
Ce qui arrive maintenant, c'est qu'une partie de ceux-ci
arrivent au premier plan. Pour vous, cela fait des années que vous
les ressentez, et ils ont été essentiellement mis à votre disposition. Pour
l'humanité, ils vont juste commencer à en devenir conscients, pour une large
part, en raison même du travail que vous avez fait dans votre propre conscience.
Il n'y aura donc pas d'évènement dramatique le 21 Décembre, ou au
cours des semaines, ou forcément, au cours des mois. Ils
ne seront pas dramatiques. Ce sera une ouverture graduelle, et il y aura des
moments de grande intensité. En fait, cet été -très intense, comme vous l'avez
déjà ressenti. À l'automne, ça va se calmer. (quelqu'un dit
« Ouais ») Eh bien, je n'ai pas encore terminé. (rires) Nous sommes
seulement en automne. (Adamus glousse) Je vais vous donner, donner à chacun, un
sentiment de quiétude et de calme. « Ahh ! »
Fin Septembre, Octobre, vous allez dire « Oh, vous
voyez ? Les choses se sont très bien passées. » Ça va un peu vous
bercer, en quelque sorte, et vous réconforter. C'est comme une symphonie. C'est
comme une symphonie. Nous en sommes à la moitié. Les tambours battent.
L'orchestre est dans sa pleine cadence, et ensuite, il se calme, et la
symphonie, à l'automne, devient un peu somnolente. Va vers l'intérieur. Et
ensuite, arrive le final grandiose ! Une énergie finale. Oui. Au début de
la mi-Novembre, jusqu'à la fin de l'année. Mais à nouveau, pas de débarquements
d'Ovnis, pas d'atterrissages en masse. Non... j'allais dire pas d'évènements
sans précédents -il va y avoir des évènements sans précédents qui vont se
passer- mais rien qui efface l'humanité de la surface de la Terre.
Mais pendant tout ce temps, en ce moment, d'énormes énergies arrivent. Des
changements prennent place. Vous pouvez les voir. Ça finit par devenir des
nouvelles, parfois des mois et des mois plus tard. Nous avons traversé de
gigantesques influx d'énergie ces derniers mois. De gigantesques influx
d'énergie. Il leur faut alors un certain temps
avant d'affecter les humains, entrer dans la réalité, et faire l'objet
de nouvelles.
Vous avez eu des évènements météorologiques extraordinaires qui se
sont passés et cela va continuer. Ici même, dans vos propres arrières- cours,
les feux. Dans d'autres parties du mondes, des inondations. Tout cela fait
partie de l'ensemble des manifestations énergétiques de ce processus. Donc, ça va
continuer. Nous sommes à mi-parcours en ce moment.
Prenons une profonde respiration dans ceci.
Vous l'avez fait jusqu'ici. Ce n'était pas si difficile. En fait,
c'est en train de devenir un peu... n'est-ce pas un peu plus facile ?
(quelqu'un dit « Oui » ; quelqu'un d'autre dit
« Non ») Non. (Adamus glousse) Non.
Prenons une profonde respiration avec ça, alors que nous
continuons dans cette année. Phénoménal, des changements phénoménaux.
Avez-vous ressenti les changements à l'intérieur de vous ?
(quelqu'un dit « Oui ») Oui. Quelle sorte ? Le micro, s'il vous
plaît, si vous voulez bien. Oh, n'est-ce pas terrifiant ? Linda est à la
hauteur, avec ce micro. Excusez-moi.
SHAUMBRA 1 (femme) : Ainsi, quels changements ai-je
ressentis ?
ADAMUS : A l'intérieur de vous. Quelles sont les choses les
plus importantes que vous avez remarquées ?
SHAUMBRA 1 : Lâché des trucs du passé. Je rêve juste que je
laisse aller -beaucoup de rêves de lâcher-prise sur les choses du passé.
ADAMUS : Bien.
SHAUMBRA 1 : Et donc, j'ai juste confiance que c'est ce qui
se passe réellement.
ADAMUS : Oui, c'est.
SHAUMBRA 1 : Même si je ne le ressens pas toujours. Mais j'ai
confiance que ça se passe.
ADAMUS : C'est. C'est. Et ce lâcher-prise de vieux trucs. Des
couches, et des couches, et des couches. Vous pensiez, lorsque Tobias est
parti, que c'était la fin du lâcher-prise ? Mais ça continue. Il y a tant
de couches.
Mais cela ne se passe pas forcément de façon linéaire. Ce n'est
pas comme si vous deviez suivre une chronologie. Ou, ce n'est pas comme si vous
pouviez seulement lâcher tellement à la fois. Il y a des mouvements
extraordinaires qui se produisent dans les coulisses, et ce n'est pas seulement
du lâcher-prise. Cela devient une intégration, parce que, lorsque vous lâchez
quelque chose, ça le libère de sa structure énergétique, ou système de
croyance. Ça l'ouvre, mais ensuite, cela vous revient en intégration. C'est un
peu comme « libérer, clarifier, ramener », mais d'une façon très
nouvelle, avec la sagesse de ce que vous avez appris.
Vous voyez, quand c'est contenu... je vous remercie. Quand c'est
réprimé dans de vieilles croyances, ou de vieilles structures énergétiques,
l'âme ne peut pas en comprendre la sagesse. C'est toujours verrouillé. Ça essaie toujours, soit de se résoudre, soit
de se cacher. Mais dès que les problèmes sont résolus dans l'amour, dans la
confiance, ça le libère. L'âme distille alors cette magnifique expérience dans
la sagesse. Bien.
Illumination naturelle
Nous sommes ici pour l'illumination. Une seule et unique raison.
Vous êtes ici pour l'illumination. L'illumination est une question de
conscience. L'illumination est une question, on pourrait dire d'une façon
bizarre, d'accomplissement, ou d'achèvement. L'illumination parle de
simplification. L'illumination parle... (il y a un grondement de
tonnerre ; rires) d'intégration. D'intégration avec toutes ces pièces et
morceaux qui flottent partout là-bas. D'intégration, et vous ne pouvez vraiment
pas faire l'intégration si vous essayez de le rendre complexe.
L'illumination est un processus naturel, mes chers amis. Un
processus naturel. C'est sans doute mon plus gros point et il le sera jusqu'à
ce que je parte.
Oh, je peux vous entendre demander « Quand ?
Quand ? À quelle date ? » (Adamus glousse)
L'illumination est un processus naturel, et je vais continuer d'en
parler, encore et encore, parce que, tout d'abord, tout cet état de conscience
humaine limitée est anormal. Avoir un corps séparé, un mental séparé est
anormal. Ne pas savoir, ou ne pas ressentir, lorsque je dis « Je Suis ce
que Je Suis », essayer de comprendre -est anormal. Être séparé de votre
soi, ce que vous appelez l'Esprit, de votre âme -anormal. Souffrir -contre
nature. Manque d'abondance -anormal. Toutes ces choses -anormal. Solitude
-contre nature. Pas normal. Toutes ces choses ont été créés par vous, mises là
par vous, dans le cadre glorieux d'une sacrée expérience. Il doit y avoir un
meilleur moyen de le faire. (Adamus glousse)
C'est contre nature, parce que le naturel est simple, il est
intégré, et il est, eh bien, on pourrait dire, indépendant. Au sein du soi. Ça,
c'est naturel. C'est contre nature d'être malheureux. Absolument contre nature
de manquer d'abondance. Oui, je vais faire court... (quelqu'un laisse tomber un
caillou sur le sol)
KATHY : Chéri, c'est pour vous de toute façon. (en lui
tendant le caillou)
ADAMUS : Je vous remercie.
KATHY : J'avais besoin d'un signe.
ADAMUS : Bien. Un caillou. Ne
vous endormez pas. (rires alors qu'il « menace » de jeter le caillou à
quelqu'un) C'est anormal d'être malheureux. C'est totalement contre nature de
manquer d'abondance. Je vais faire un cours d'abondance, mais j'ai attendu...
LINDA : Quand ?
ADAMUS : Quand. Quand voudriez-vous que je le fasse ?
(le public répond « Maintenant ! ») Êtes-vous prêts pour
ça ? (le public répond « Oui ! » et quelques-uns
applaudissent)
Je dois vous avertir. Vous applaudissez, vous acclamez, vous dites
« Je suis prêt pour ça ». Tout d'abord -comment pourrais-je dire ça
poliment- Cauldre et Linda, et beaucoup d'entre vous, ne seront jamais invités
à certains endroits par d'autres personnes. Ça va être très clair, pas très
gentil, très direct, et il y a des gens qui vont se sentir offensés par ça,
parce qu'ils sont investis dans le manque. Les enseignants, mes chers amis, les
auteurs, certains d'entre vous -investis dans vos propres manques
d'abondance. N'est-ce pas étrange d'être investi dans le manque ? N'est-ce
pas comme une sorte d'oxymore ?
Mais c'est un état d'être anormal, que de ne pas être dans
l'abondance. Vous devez travailler à ne pas être dans l'abondance. Vous
rendez-vous compte de ça ? Et je sais que certains d'entre vous disent
« Mais, Adamus, je mets vraiment mon intention là-dessus. » Ptt ! (il crache) sur l'intention.
LINDA : C'était quoi ?
ADAMUS : Laissez-moi les exciter. (Adamus crache à nouveau)
C'est contre nature d'être dans le manque. Vous devez vraiment travailler
là-dessus. En fait, vous êtes vraiment des mages pour être capables d'être sans
abondance. Je me demande parfois comment vous faites ça ? Montrez-moi vos
trucs. Non, je ne veux pas savoir. Montrez-moi comment vous faites ça ?
Vous pourriez écrire des livres racontant combien vous êtes doués pour être
dans le manque d'abondance, parce que c'est tout simplement contre nature.
Les problèmes physiques, biologiques -complètement contre nature.
Comment faites-vous ça ? Comment faites-vous pour que votre corps -je ne
m'en prends pas à vous (à Pete), je suis juste penché sur vous- comment
faites-vous pour que votre corps soit déséquilibré ? C'est anormal. Jonette,
Aigle Blanc, Mark, tous, ils savent ça. Ils sont comme
« Oh.... ! » (il hausse les épaules)
Aussi, une des choses que nous allons faire, mes chers amis, c'est
d'aller au-delà de certaines d'entre elles, mais c'est difficile. Ce n'est pas
facile d'être Adamus, je sais. (rires) Pourquoi ? Oups ! (son
équipement micro a glissé) Pourquoi ? Parce que vous vous y accrochez très
fort.
Et il y a des moments... eh bien, tout d'abord, laissez-moi vous
dire, vous vous y accrochez si fort que votre âme vous laisse. Elle le fait
vraiment. Je veux dire, vous tournez le dos à votre âme, elle vous tourne le
dos. Pourquoi ? Elle vous aime tellement. C'est de la compassion. Tout ce
que je fais, mon âne le fait. (rires) Très vrai. (Adamus glousse)
Donc, il y a des moments aussi, lorsque vous insistez sur votre
manque, ou vos déséquilibres physiques, ou votre satanée dépression -oh, c'est
tellement triste- vos autres problèmes, vous n'avez pas de relations- nous
pouvons faire une longue... nous avons fait de longues listes- mais vous vous y
accrochez ! Et ensuite, vous me dites que ce ne sont pas les vôtres. Vous
me dites que vous êtes un... je ne regarde personne en particulier. Ne...
(Adamus glousse) Vous me dites que vous ne les avez pas crées, que vous êtes
juste une victime, et nous répétons ça, encore et toujours. Vous vous y
accrochez.
Certains des autres êtres, sans respect ni compassion, vous
laissent les avoir. Mais pas moi. (Adamus glousse) Je vous combattrai pour eux.
Je les sortirai de vous, si je peux. Je verrai à quel point vous voulez
vraiment, réellement, ces problèmes. Oh ! Manque d'abondance. Nous allons
l'utiliser comme point de repère, lorsque nous ferons ce cours sur l'abondance.
Je vais faire payer très cher pour ça. (rires) Et puis, oublier ! Ohh !
Nous utiliserons cela comme point de repère. Est-ce clair,
Linda ? L'abondance. Et lorsque vous signerez, vous devrez indiquer
combien d'argent vous avez à la banque, combien vous gagnez en ce moment,
quelles sont vos dettes. Et ensuite, nous allons travailler là-dessus, et même
si c'est six mois, ou une année, ou deux ans plus tard, nous allons y revenir
et nous allons mesurer, non pas mon succès, mais le vôtre. Nous allons mesurer
pour voir si vous êtes toujours accrochés au manque, voire pas du tout.
Juste -s'il vous plaît- imaginez, juste pour un instant, ici.
Faisons comme si. Faisons un conte de fées et saupoudrons un truc en poussière.
Imaginez juste une existence, une vie, vivant là où est toute l'abondance. Vous
n'y avez jamais même pensé. Où la santé est juste là. Eh, deux fois par an,
vous êtes malade à vomir, mais c'est juste comme un nettoyage des toxines qui
se trouvent dans l'air.
Imaginez une relation qui ne soit pas un défi. C'est un soutien.
Où, vous savez, il n'y a pas de bataille. Vous ne cherchez rien en dehors.
C'est simplement une manière géniale de profiter de la vie, de partager la vie
avec quelqu'un d'autre.
Ainsi, prenons juste une profonde respiration et imaginons ces
choses.
Imaginons, pendant un instant, cette chose que nous appelons illumination,
qui, vraiment, est juste la simplification. C'est tout ce que c'est, et
l'intégration. Imaginons que vous ne la poursuiviez plus ; en fait, vous
la vivriez. Quelle idée ! Ouais, inspirons juste ça pendant un
moment. Vous l'êtes, tout simplement. Nous ne parlons même jamais plus
d'illumination. Nous nous réunissons comme ça. Nous jouons au poker. Nous
buvons du vin. Nous passons du bon temps. Nous faisons juste un break avec le
monde extérieur pour un petit moment. Imaginez ça. Ouais.
Ainsi, et je sais que nous avons parlé de ça auparavant, mais
pourquoi continuons-nous de revenir sur des problèmes santé, d'abondance, de
relations, d'aspects et toutes ces autres choses ? (quelqu'un dit
« Nous les aimons ») Vous les aimez ! Ouais. Ça me fait du travail.
Exact. (rires)
SART : Vous êtes sur le registre du personnel.
ADAMUS : Sur le registre du personnel.
Je dois dire que, en dépit de mes commentaires, ce que vous faites
est remarquable, en faisant cette transformation, cette avancée absolue, cette
avancée complètement naturelle. Vous supportez plutôt bien. Encore beaucoup de
lutte mentale qui continue, encore beaucoup de je-m'accroche, toujours des
questionnements sur ce qui arriverait. Que se passerait-il, Jan, si demain
matin, vous laissiez juste aller, lorsque vous vous réveillez ? Vous
laissez aller, tout simplement. Que se passerait-il ?
JAN : Je ne sais pas.
ADAMUS : « Je ne sais pas ». Pensez-y pendant un
instant. Juste vous laissez aller. En d'autres termes, laissez aller toutes les
choses dans lesquelles vous êtes accrochée. Les crochets sont les choses telles
que l'argent, les relations, la santé, et de se demander ce que putain, vous
faites ici. Vous venez juste de vous réveiller le matin et vous n'avez pas mis
cette armure -désolé Pete- vous n'avez pas mis cette armure, et vous n'avez pas
monté le cheval, si je puis dire.
LINDA : Comment ?! (rires)
ADAMUS : C'est un terme d'équitation. (plus de rires) Très
bien, « montée sur le cheval ». Peu importe. Désolé. Que se
passerait-il, Jan ? Vous pensez toujours à monter le cheval. Laissez
tomber ça... ooh, débarrassez-vous de ça. (rires) Que se passerait-il ?
JAN : C'est un coup dur de revenir.
LINDA : Elle est toujours en train de monter le cheval, grâce
à vous !
ADAMUS : (en riant) Un pied dans l'étrier, lancez votre jambe
par-dessus, oui.
JAN : J'ai vraiment du mal à imaginer ça, de ne pas être
accro à tout, parce que, dans ma vie, je suis une telle faiseuse, vous savez,
que tout ce que j'ai à faire, je suis toujours accrochée à ça, et à toutes ces
choses. De laisser aller toutes ces sortes de trucs...
ADAMUS : Donc, demain matin, ne le faites pas. Qu'est-ce qui
va se passer ?
JAN : Je ne sais pas. C'est vraiment difficile. C'est
là-dessus que je travaille en ce moment.
ADAMUS : Est-ce vraiment si difficile ?
JAN : Pour moi.
ADAMUS : Ouais.
JAN : Je veux dire, c'est le genre de ce que je travaille en
ce moment. Au lieu d'être une faiseuse, être un « être-euse », et
c'est difficile.
ADAMUS : Qu'est-ce que ça vous fait, de
« faire » ? (quelques rires)
JAN : Ouais. Umm, c'est une sorte de toujours...
ADAMUS : Est-ce que vous trouvez que rien ne
fonctionne ?
JAN : Ouais.
ADAMUS : Alors, pourquoi ne faites-vous rien ?
JAN : Ouais ! J'aimerais. (elle glousse)
ADAMUS : Ça marche ! Ça marche. Vous voyez, avec toutes
les choses auxquelles vous êtes accrochés, dans le fait-de-faire et de rester
occupés, ce sont tous des attributs de l'Ancienne énergie. Vous vous rendez
compte que vous pouvez en finir avec beaucoup, sans rien faire. Vous le pouvez
vraiment. Je veux dire, vous n'avez pas vraiment besoin d'exercer. C'est en
train de passer de mode. Oui. Ça l'est vraiment. C'est comme... je sais que
certains d'entre vous aiment à penser que vous êtes des
« fashionistes » (créateurs de mode) spirituels. Pas des fascistes,
des fashionistes. Des fashionistes. Nous créons des mots, ici dans les Shouds.
Comme une fashionista. Des concepteurs spirituels. Et parfois, vous savez, vous
êtes très « vieux jeu » pour ce qui est des choses que vous devez
faire. Vous n'avez pas à faire quoi que ce soit. Maintenant, votre mental peut
dire que vous allez être sans le sou et tout le monde va penser que vous avez,
vous savez, rejoint quelque secte, et... (Adamus glousse) Vous n'avez pas à
faire quoi que ce soit.
JAN : Donc, je ne fais pas suffisamment. C'est...
ADAMUS : Donc, vous ne faites pas assez. Vous rendez-vous
compte que la création véritable n'a rien à voir avec le faire ? La
création véritable -et nous allons en parler ici, juste dans un instant- est
simplement une question de présence rayonnante. C'est tout. Et alors, toute la
merde vous arrive. (quelques rires) C'était un terme technique. (Adamus
glousse) Certains d'entre vous tombent de sommeil. Nous devons le garder... Je
suis juste en train de vous distraire, ici. La véritable présence rayonnante
fait que ça se produit. Vous n'avez pas à faire quoi que ce soit.
Maintenant, vous allez rentrer dans un conflit -Jan et d'autres
comme vous- parce que vous êtes tellement habitués à faire. Et, si vous ne
faites pas, si vous ne faites pas quelque chose, les choses ne vont pas bouger
-c'est ce que vous croyez. Et donc, il y a cette poussée constante, qui pousse,
qui pousse, le train-train quotidien. Pouss... (il pousse quelqu'un) Désolé.
Pousser, pousser, pousser les choses. C'est comme pousser un rocher en haut de
colline. Ne vous est-il pas venu à l'esprit, tout d'abord, qu'il n'y a vraiment
pas de rocher, et il n'y a vraiment pas de colline. Et, ne vous êtes-vous pas
arrêtés, pour vous poser la question, pourquoi le poussez-vous ? Où
allez-vous avec ça ? Que se passe-t-il lorsque vous arrivez au sommet de
la colline ? Qu'allez-vous faire de ce satané rocher que vous avez poussé
en haut de la colline ? Il y a juste une autre colline ! C'est
tout ! Oui. Ou, il dévale de l'autre côté et maintenant, vous devez le
remonter.
Donc, mon point de vue dans tout ça, c'est qu'il se passe
d'énormes changements, au-delà de ce que vous avez imaginé.
J'aime le mental. C'est une merveilleuse création, mais son temps
est venu et c'est ce qu'il vous dit. C'est ce qu'il vous dit. Il dit
« S'il te plaît, libères-moi » (Adamus le dit avec une voix haut
perchée ; beaucoup de rires, surtout d'une personne) Ouais. Il gagne une
Récompense d'Adamus. Ouais, oui. Un rire éhonté.
LINDA : Junior ? Est-ce ce Junior qui l'a gagné ?
(le jeune homme a écrit « Adamus Junior » sur son badge)
ADAMUS : Junior, oui.
LINDA : D'accord.
ADAMUS : Fils. (quelques rires et Adamus rit) Donc, chers
amis, mon point de vue dans ce...
LINDA : Adamus, voulez-vous l'attribuer à Junior ?
ADAMUS : Oh oui, absolument. Pour vous. (Adamus lui tend la
Récompense)
JUNIOR : Je vous remercie, père.
ADAMUS : Oui, oui. (rires) Je suis vierge. (beaucoup de
rires, et Cauldre postillonne avec sa boisson) Même Cauldre n'en croit pas un
mot.
Mon point de vue est simple. L'énorme changement que vous vivez à
l'heure actuelle concerne, eh bien, on pourrait dire les paradigmes, mais c'est
la conscience. Cela a même été difficile d'imaginer ce qui arrive après.
Presque impossible.
Ou, laissez-moi reformuler ça. C'est difficile de même l'imaginer,
et cela a été une partie du problème. Vous avez imaginé ce qui vient après, et
quand vous l'imaginez, cela vous maintient dans le train-train quotidien, dans
l'ancienne conscience, et cela vous empêche de vraiment ressentir dans
l'exploration de ce qui vient après.
Ce qui vient après est tellement au-delà du mental, mais le mental
aimerait savoir, le mental aimerait participer. C'est tellement au-delà du
train-train quotidien. Ça implique la confiance. Il y a beaucoup de plaisir. Ça
change la perspective de tout. Vraiment de tout. Et c'est naturel. C'est la
meilleure partie.
C'est tellement naturel, cela va se produire. C'est inévitable.
En fait, vous -vous, votre âme, tous vos trucs, votre bazar- vous avez choisi
ce temps pour que cela se produise. Pourquoi ? Plus d'énergie sur Terre,
conscience plus élevée et vous êtes fatigués de la routine quotidienne. Donc,
cela va se produire.
Le laisserez-vous se produire ? S'il vous plaît ?
(quelqu'un dit « Oui ») Eh bien, vous dites ça maintenant, mais
demain matin, quand vous prendrez l'autoroute pour aller à votre bureau, vous
allez y revenir. Et souvenez-vous juste de ce dont nous avons parlé ici. Cessez
de faire des trucs. Votre propre illumination -votre propre illumination- la
meilleure chose, c'est de lui foutre la paix.
Laissez-la se produire
C'est tellement pénible, je suppose que vous l'appelleriez. C'est
tellement décourageant de regarder certains d'entre vous travailler sur votre
illumination. Pourquoi ? Parce que vous n'avez aucune idée de ce que c'est
vraiment. Réellement. Nous avons joué ce jeu lors des ateliers -qu'est-ce que
l'illumination ? « Je ne sais pas, mais je pense que je vais
peut-être être un peu plus jeune, et je pense que mon ADN va être un peu mieux
et j'aurai un petit peu plus d'argent. » Cela n'est pas l'illumination. Ce
sont les résultats de l'illumination. Cela n'est pas l'illumination.
Cela se produit ! Cessez d'y penser, cessez de la programmer
et vivez-la, tout simplement.
Je vais poser cette question -prête pour les volontaires avec le
micro, Linda ? Je vais poser cette question. Comment allez-vous dormir le
soir ? Tout le monde. Comment allez-vous dormir ?
KATHY : A partir du moment où je m'allonge dans le lit, ou
voulez-vous que...
ADAMUS : Commençons à six heures du matin et travaillons
nous-mêmes tout au long de la journée. (rires)
KATHY : Oh ! Je démarre ma matinée... c'est
facile ! C'est facile ! Je démarre ma matinée et termine ma journée
avec un bain moussant.
ADAMUS : Un bain moussant.
KATHY : Et parfois des Sels d'Epsom, cela dépend de ce que
j'ai fait dans la journée.
ADAMUS : Et si vous ne faites pas ça ?
KATHY : Je me raidis.
ADAMUS : Oui, d'accord.
KATHY : Mes vieux os se sentent à nouveau 60 ans.
ADAMUS : Oui.
KATHY : Ouais
ADAMUS : Bien.
KATHY : Et cette thyroïde qui va « woo, woo, woo. »
ADAMUS : Ouais. Bien. D'accord. Bain moussant. Quelqu'un
d'autre prend un bain moussant avant d'aller au lit ?
KATHY : Couchez-vous et ressentez votre corps dans le lit.
C'est vraiment agréable.
ADAMUS : Bien. Comment allez-vous dormir le soir ?
(quelqu'un crie « Quand je suis fatigué ») Elle s'en sortira avec le
micro.
LINDA : J'ai un coup de main, ici.
ADAMUS : Oui.
MICHELLE : Je ne suis pas très fière de dire ça, mais
j'allume la TV...
ADAMUS : Voulez-vous vous lever, aussi longtemps que vous ne
serez pas fière. (rires)
MICHELLE : Ouais ! J'allume la TV, parce que je n'arrête
pas de penser.
ADAMUS : Oh !
MICHELLE : Et je mets quelque chose d'idiot, comme, je ne
sais pas... et je m'endors.
ADAMUS : Ce serait la TV. Oui. (rires)
MICHELLE : Ouais.
ADAMUS : C'est synonyme.
MICHELLE : C'est la seule façon de m'endormir.
ADAMUS : Et que regardez-vous ?
MICHELLE : Ancient aliens (Extra-terrestres du passé) ou
quelque chose d'autre... (beaucoup de rires)
ADAMUS : Je m'en vais. (Adamus va vers la porte) Certains
autres... quelqu'un d'autre viendra et canalisera. Je m'en vais. C'est trop
pour moi. Je ne sais pas. L’Archange Michael, c'était juste un petit...
MICHELLE : Cela me fait dormir !
ADAMUS : C'est comme « Ancient aliens ?! Ils
regardent Ancient aliens ?! » (Adamus sort ; les gens disent
« Où va-t-il ? » ; « Est-il vraiment
parti ? » ; « Au revoir ! » ; il revient
quelques instants plus tard) Ancient aliens ?!
MICHELLE : Je m'endors quand je commence à regarder. Je ne
sais pas.
ADAMUS : Oui. Bien. Bien. D'accord. Et ensuite, vous vous
endormez, et que se passe-t-il après ça ? Éteignez-vous la TV ?
MICHELLE : Ouais, je me réveille au milieu de la nuit et
j'éteins, après je rêve...
ADAMUS : Cela semble-t-il...
MICHELLE : Je... je ne... je ne sais pas. Je n'ai pas
l'habitude de le faire.
ADAMUS : Cela semble-t-il sain ?
MICHELLE : Non.
ADAMUS : Naturel ?
MICHELLE : Non.
ADAMUS : Dénaturé ?
MICHELLE :
Un peu.
ADAMUS :
Beaucoup ! (rires) Drôle, mais bizarre. Bien. Oui. Nous passons, sans
jugement.
LINDA :
Ouais, c'est ça. Bon travail. Très bon travail. Qui d'autre a levé la
main ? Quelqu'un d'autre ?
ADAMUS :
Bien. Vous pourriez écouter mes messages. Ça vous ferait vraiment dormir. Vous
avez devant, mais vous préférez Tobias. (glousse) Bien. Je vous remercie.
LINDA :
Junior -Junior est prêt.
JUNIOR :
Je respire à ma façon pour dormir.
ADAMUS :
Vous respirez à votre façon pour dormir. Bien. Bien. D'accord. Suivant. Un peu
plus. N'oubliez pas le fond de la salle.
LINDA :
Je viens de voir une main levée.
ADAMUS :
Ils sont assis là-bas pour une raison.
LINDA :
Je suppose que moi non. (asseoir)
ADAMUS :
Oui. Comment s'endormir ?
PAUL :
Je pose une condition quant à ce que je veux vivre, et ensuite, je pose juste
ma tête en arrière et je suis parti.
ADAMUS :
Bien. D'accord.
LINDA :
Vous êtes en contrôle, monsieur. Wow !
ADAMUS :
Vous rendez-vous compte de cette condition ? Si vous posez une condition,
ou déposez une intention -sans jeu de mots- faites-vous...
PAUL :
Pas toujours, ou pas immédiatement, mais en général,
ça commence à donner une direction, à ma manière.
ADAMUS :
Bien.
PAUL :
Ainsi, il se peut que ça vienne, une semaine plus tard, mais ça vient.
ADAMUS :
Bien. D'accord. Bien. Suivant. Comment vous endormez-vous ?
LINDA :
C'est bon de vous revoir.
MARTY :
J'aime écouter de la musique, de préférence pas « heavy metal »
ADAMUS :
Pas heavy metal.
MARTY :
Ouais.
ADAMUS :
Écoutez-vous certains de mes favoris ?
MARTY :
Probablement pas.
ADAMUS :
Probablement pas. Probablement pas.
MARTY :
Un peu de Yoham.
ADAMUS :
Je comprends, vous êtes vraiment le -hum- chanteur/compositeur.
MARTY :
Ouais, je comprends ça aussi.
ADAMUS :
Mmh mmh, mmh mmh.
MARTY :
Cela fait deux d'entre nous, au moins.
ADAMUS :
Et vous avez quelques paroles très intéressantes.
MARTY :
Vous avez parlé à Cauldre !
ADAMUS :
Non, il est trop embarrassé pour me parler de cela. (rires)
MARTY :
Magnifique.
ADAMUS :
Magnifique. Bien. Je vous remercie. Ainsi, vous écoutez de la musique.
MARTY :
Oui, oui.
ADAMUS :
Éteignez-vous consciencieusement avant de vous endormir, ou bien sont-ils
juste...
MARTY :
Euh, juste une minuterie, ainsi ils s'éteignent. Ouais.
ADAMUS :
Bien.
MARTY :
Hmm hmm.
ADAMUS :
Bien. Encore un peu.
TIFFANY :
Je m'installe là où je vais dans mes rêves, parce que j'ai réellement des rêves
lucides.
ADAMUS :
Oui.
TIFFANY :
Ainsi, lorsque je vais me coucher, je pense aux choses que je fais dans ma vie
et je me demande d'en rêver, et je travaille ces trucs pendant mon sommeil.
ADAMUS :
Bien, comment sont vos rêves ?
TIFFANY :
Mes rêves sont super. Ils sont très amusants.
ADAMUS :
Bien.
TIFFANY :
Parfois, cependant, je dois dire « Non, pas cette nuit, j'ai besoin de
dormir. »
ADAMUS :
C'est exact. C'est exact.
TIFFANY :
Parce que ça devient un peu fatigant, mais je pars...
ADAMUS :
Pensez-vous que ça fonctionne réellement ?
TIFFANY :
Je le pense. Je me sens différente depuis ça.
ADAMUS :
Ouais. Ouais. Je veux dire, vous ne pensez pas que vous les rêvez ? Ou
bien, vous pensez que vous vous donnez une ambiance énergétique ?
TIFFANY :
C'est probablement énergétique, mais je crois que je vais à des endroits aussi.
ADAMUS :
Ouais. Ouais, vous le faites. (chuchoté) Ouais. Vous pourriez aller dans de
bons endroits, des endroits reposants, des endroits heureux. Venez à mon
palais. Oui.
TIFFANNY :
Je pense que je suis allée à votre palais auparavant.
ADAMUS :
Oui ! Oui !
LINDA :
Holà ! Trop d'information ! (rires)
ADAMUS :
Bien. Suivant. Oui.
JOSHUA :
Généralement, je vais au lit lorsque je suis épuisé.
ADAMUS :
Épuisé. Bien. Et, est-ce un épuisement infligé, auto-infligé ?
JOSHUA :
Parfois, je suis épuisé d'attendre d'y arriver.
ADAMUS :
Ouais. Parfois, certains d'entre vous vont s'épuiser, simplement pour le faire.
Bien. Je vous remercie pour vos réponses.
Pourquoi
ai-je posé la question « Comment allez-vous dormir ? »
Tout
d'abord, pour une bonne part, ceci est vraiment fatigant à écouter avant de
vous endormir. Que vous ayez besoin d'un rituel, que vous ayez besoin de
réfléchir au moyen de vous endormir, que vous ayez même à vous dire, à quoi
bordel, vous allez rêver. Ne savez-vous pas que vous allez rêver à de bonnes
choses, que vous vous le disiez, ou pas ? Oui, vous pouvez vous dire, par
exemple, l'humain peut se dire « Je suis un peu fatigué. J'ai vraiment besoin
de dormir, » parce que souvent, vous allez dans ces états de rêve, ils
sont vraiment extraordinaires, mais vous y allez toujours. C'est juste que vous
ne vous en souvenez pas. Donc, vous vous trompez réellement, tout simplement.
Comment
allez-vous dormir ? Vous regardez Ancient aliens à la TV. Vous jouez des
casques et vous faites toutes ces choses. C'est un peu contre nature !
C'est un peu, eh bien, décalé. Disons tout net que c'est pervers (Adamus
glousse) que vous ayez besoin de faire ces choses.
Ceci
est mon point de vue. Le sommeil est naturel. Il a été conçu comme ça. Vous
l'avez conçu comme ça. Les rêves sont très, très naturels. Vous avez... en ce
moment, vous vivez vraiment dans une douzaine de rêves, ou plus. Vous pensez
juste que vous êtes ici, tout simplement, mais il y a tous ces états de rêve en
cours, auxquels vous allez avoir accès bientôt. Cela va vraiment vous perturber
alors que vous essayez de conduire pour aller travailler. (quelques rires)
Mais
tout ce bazar d'avoir à faire quelque chose pour entrer dans l'état de sommeil,
très anormal, parce que l'état de sommeil en lui-même est naturel. Vous l'avez
conçu. C'est un petit truc pour vous empêcher de vous perdre totalement. Vous
piquez du nez pour dormir et vous permettez vraiment que les connexions
naturelles se remettent en place. Le naturel, ce qu'on appelle voyager et
ressentir dans les autres royaumes. L'interface naturelle entre votre vie
passée et votre futur potentiel. L'interaction naturelle -interaction
silencieuse- avec votre âme, tout prend place.
Si
ce n'était pas pendant le sommeil, les chances de se perdre ici étaient
vraiment, vraiment élevées. Aussi, vous avez eu ce truc intelligent. Vous avez
dit « Je donnerai une partie de ma vie, juste pour rester intact. »
Mais maintenant, l'humain a du mal à dormir -à s'endormir- dérange l'état
naturel du sommeil. Ne comprend même pas comment vous -il- va dormir.
J'insiste
sur ce point aujourd'hui pour une raison très simple. S'endormir, pour l'être
humain, pourrait être la chose la plus effrayante que vous ayez jamais faite.
Ça pourrait. La chose la plus terrifiante. Pourquoi ? Parce que vous
lâchez le contrôle. Vous explosez littéralement les limites. Vous laissez
aller. Et parfois, vous devez le faire dans un état d'épuisement absolu, sinon
le mental continue de bouillonner et chercher à résoudre les trucs. Mais
finalement, d'épuisement, vous allez vous endormir.
Lorsque
vous passez, mes amis, cela pourrait être la chose la plus effrayante que vous
ayez jamais faite. Mais ça ne l'est pas. Pourquoi ? Vous l'avez fait
environ 18 000 fois, ou plus, cela dépend de l'âge que vous avez, rien que dans
cette vie-ci. Ça fait beaucoup. Vous avez fini par avoir confiance. Vous avez
fini par vous rendre compte que vous allez probablement vous réveiller.
Probablement. Pas toujours. Vous ne pensez même pas à vous endormir, vous avez
juste à vous efforcer de trouver le sommeil.
Et
mon point de vue, Aandrah, c'est que c'est la même chose avec l'ascension.
C'est juste s'endormir, mais en fait, c'est se réveiller. C'est le même
principe. C'est naturel. Vous ne devriez pas avoir à y travailler. Avez-vous
déjà remarqué, lorsque vous vous efforcez de trouver le sommeil, cela rend plus
difficile de vraiment dormir ? Lorsque vous le laissez juste arriver -éteignez
les Anges et les Aliens et écoutez-moi -oh, Ancient Aliens- c'est aussi naturel
que de s'endormir. Ça l'est vraiment.
Mais
il y a quelque chose que l'esprit travaille - « Et si ? Que va-t-il
se passer ensuite ? » Pourquoi ? Eh bien, parce que vous ne
l'avez jamais vraiment vécu dans ce royaume. Vous ne l'avez jamais vécu ici.
Ainsi, il y a toute cette inquiétude, cette consternation, beaucoup de
programmation, d'hypnose, les superpositions et les habitudes qui vous font
faire ça.
Considérez-le
pendant un instant. Examinez ce truc de trouver le sommeil.
C'est
laisser aller, totalement. C'est libérer et faire confiance, totalement. C'est
prendre une profonde respiration, totalement, et ahhh, juste laisser aller.
Entrer dans les autres royaumes. Entrer dans vos rêves. Vous vous sentez
suffisamment à l'aise pour le faire. Vous le laissez se produire presque toutes
les nuits.
L'illumination,
c'est la même chose, réellement. Vous n'avez pas à y travailler. Vous n'avez
pas à prendre une... vous ne devriez pas prendre une pilule pour ça. Vous
n'avez pas à étudier. Étudiez-vous
« Comment vais-je m'endormir ce soir ? » Cela devrait me
fatiguer et me faire aller dormir. Non, vous le laissez juste arriver.
Tous les soirs, vous pénétrez dans l'expérience de l'endormissement.
Vous
savez comme c'est beau lorsque vous êtes dans cet état intermédiaire, vous
réalisez, en quelque sorte « Ah, je laisse aller les structures. Je laisse
aller les contrôles », et vous commencez à glisser rapidement dans cet
état de rêve, et parfois, c'est un peu comme si vous vous autorisiez à y
revenir discrètement ? C'est la même chose avec l'illumination, mais au
lieu de vous endormir, vous vous réveillez réellement.
Prenons
une profonde respiration avec ça.
C'est
un processus naturel. Il n'y a rien que vous puissiez ou deviez faire en
dehors de vous permettre de le vivre. Mais pour je ne sais quelle raison, vous
avez toujours le mental qui veut sauter là-dedans avec ses « et si »
- « Et si je fais faillite ? Et si je tombe malade ? » -
ainsi, vous tergiversez vraiment sur l'inévitable. Et cela vous empêche aussi
de ressentir joyeusement tout cet endormissement dans votre éveil.
Il
n'y a pas de pilule. Il n'y a pas d'eau. Il n'y a pas de prière. Il n'y a rien
d'autre que vous qui le vivez. C'est ça. Point.
Maintenant,
il y a ce qu'on pourrait appeler vos expériences avec elle. L'expérience de
lâcher-prise de l'humanité, ce genre de changement quantique. Il y a les
transitions, entre sortir des limitations humaines, et entrer dans votre
plénitude. Oui ! Et c'est bon de partager à propos de celles-ci. C'est bon
de se rencontrer ici et d'en parler. Bon d'en rire. Bon de se rendre compte et
de rire à propos des trucs fous auxquels vous vous accrochiez. Mais ce n'est
pas bon d'intellectualiser à ce propos. Mais ce n'est pas bon de dire
« C'est ainsi que vous faites l'illumination. Et ce doit être fait de
cette façon, et ce doit être avec certains cristaux », et Dieu sait quels
autres accoutrements. C'est bon de se rencontrer simplement et de vous permettre
de ressentir, vivre et être rayonnants dans votre illumination.
C'est
bon d'être dans une rencontre comme celle-ci où c'est très, très sûr, et où
vous pouvez même vous ouvrir un peu plus, et vous pouvez rire de vous-mêmes un
petit peu plus. Rire de quelques-unes des torsions, des manipulations, des
questions et des trucs qui vous inquiètent. Il n'y a à s'inquiéter de rien. Il
n'y a à s'inquiéter de rien. Ohhhh, je pourrais voir le mental accourir
« N'écoutes pas Adamus, parce qu'il ne sait pas ce que c'est d'être sans
le sou ou malade. Et si... »
Vraiment ?
Réellement? Il ne s'agit pas de ce que je dis. Il s'agit de vous faire
confiance, tout comme vous vous faites confiance chaque nuit, pour entrer dans
cette chose appelée sommeil, qui est une grande inconnue géniale. Demandez à
votre propre mental, plus tard, à ce sujet « Mental, qu'en est-il de cette
chose appelée sommeil ? Tu n'es pas vraiment là. Tu ne contrôles pas les
choses, n'est-ce pas ? Tu es juste là-bas, un peu comme un paresseux. Mais
pourtant, tu peux lâcher-prise. »
Prenons
une profonde respiration avec ça. (pause)
C'est
facile. C'est vraiment étonnamment facile, et vous allez venir me voir, un
jour, en disant « Adamus, c'était si facile, comment se fait-il que vous
ne m'ayez pas dit ça ? » (il prend un verre)
SART :
Ouais.
ADAMUS :
Ouais. Ouais. Buvons à ça.
À
propos du « Boson de Higgs »
Je
veux faire une brève mention ici, à propos des avancées qui se produisent. Tout
d'abord, les percées extérieures ; deuxièmement, l'intérieure.
Il
y a eu cette grande découverte scientifique le 4 juillet, le Jour de
l'Indépendance. Ne savez-vous que cela avait été planifié de cette manière par
mes amis Maçons ? (rires) Oui. Vrai. Grande annonce. Oh, ce n'est pas 100
pour cent sûr, mais 99,9 pour cent sûr. C'est une déclaration qui va revenir
les hanter. Cette chose appelée le boson de Higgs, qui est fondamentalement la
particule -ce qu'il n'est pas du tout, je ne veux pas leur dire cela, bien que-
cette particule qui, fondamentalement, met l'énergie dans la matière. Et après
dix milliards de dollars d'investissements dans cette recherche, juste avec le
CERN, sans parler des autres, ils ont dû fournir un communiqué de presse qui
indique quelque chose, car ils recherchaient plus de financement. Ils ont dit
« Nous pensons que nous l'avons découvert. » En fait, ils ont en
partie raison. Ils en ont découvert la moitié. (quelqu'un demande
« Parlez-vous de la fusion froide ? ») Non, je parle de cette
« particule de Dieu. » Oui.
Donc,
ils ont fait cette grande annonce que ce boson, cette particule avait été
découverte. Partiellement exact. Intéressant. Intéressant.
Tout
d'abord, je dois vous rendre un grand hommage. Vous connaissez ces
trucs avant qu'ils ne sortent aux actualités. En fait, vous les comprenez énergétiquement,
et ensuite, les scientifiques utilisent des milliards de dollars pour essayer
de les vérifier. Je ne sais pas pourquoi ils ne viennent pas vous parler, tout
simplement. (rires) Parce que vous avez une compréhension innée qu'il y a
quelque chose qui attire littéralement l'énergie dans certaines directions. Ce
qu'ils appellent ce boson, en fait, est un aimant, et il attire certaines
particules des énergies pour aller dans la matière, pour former une réalité
physique.
Eh
bien, la question est, tout d'abord, pourquoi donc seulement certaines
énergies, vont dans la matière ? Pourquoi pas toutes ? Qu'est-ce qui
fait que certaines énergies les attirent pour aller dans la matière ?
Comment fait le boson, ou l'énergie, pour déterminer si elles vont aller dans
la matière ? Qu'est-ce qui arrive aux énergies qui ne vont pas dans la
matière ?
KATHY :
Ouais, c'est une meilleure question.
ADAMUS :
Ouais, je sais. (Adamus glousse) Et... et ce qui se passe -ah, grande question-
ce qui arrive aux énergies qui vont dans la matière, parce qu'elles ne restent
pas là pour toujours ? Aussi, quelle est la porte de derrière pour les
laisser sortir ? Intéressant.
Ce
qui va se passer, avec cette grande annonce à propos de cette particule -c'est
vraiment un élément- mais ce qui va se passer dans les mois qui viennent, alors
qu'ils continuent à chercher, quelqu'un va se rendre compte qu'en fait, ça ne
travaille pas selon la méthode scientifique. Ils ont vu que ça marche pendant
un certain temps, mais maintenant, ça ne fonctionne pas. Que vont-ils
faire ? Se taire s'ils sont intelligents et s'ils veulent garder leur
boulot ! (rires) « Oh ouais ! La vieille particule ! Ça le
fait vraiment bien, patron ! Oui monsieur -99,9 pour cent. » Ohh.
Donc,
ce qui va se passer, c'est qu'ils vont... tout à coup, les principes
scientifiques qu'ils utilisent et les modèles standards sur lesquels ils basent
tout ça, soudain, ne vont plus fonctionner. Ça va les déconcerter. Ça va en
rendre fous quelques-uns, parce qu'ils y pensent beaucoup trop, et qu'ils ne
devraient pas. Mais ils vont se rendre compte que ça ne fonctionne pas pareil
tout le temps. Et pour la validation scientifique, il le faut, mais ça ne va
pas le faire, tout d'abord, parce qu'ils
ne le prennent pas en considération pour chaque élément, pour chaque énergie,
pour chaque particule, pour chaque tout -avec une petite exception- tout a sa
contrepartie, son ombre, qui existe dans un royaume différent. Ils ne viennent
pas ensemble, pour la plupart, dans le même royaume. Donc, s'il y a ce boson de
Higgs dans, disons, ce royaume, qu'ils peuvent identifier, ils ne voient pas
l'autre moitié de celui-ci -son côté obscur, le côté de son ombre, ou son
contraire. Pas « obscur » comme dans « mauvais. »
Ça
s'applique tout le temps. Quelque fois, c'est une force d'opposition, quelque
fois elle est complémentaire, mais il
doit avoir ça, dans l'ensemble, et eux ne le voient pas.
Ça
va donc les rendre confus et perplexes à propos de ce qui se passe vraiment.
Mais c'est bien, parce que cela va aussi les motiver pour dire « Que se
passe-t-il vraiment ici ? » Et ils vont commencer à comprendre que
les choses ne sont pas linéaires, que la méthode scientifique, en fait, est
valide dans certains cas, mais on doit aller au-delà des vieilles méthodes
scientifiques dans d'autres cas. Vous devez comprendre une toute nouvelle façon
de penser, une nouvelle mathématique pour l'univers, une nouvelle façon de
comprendre l'énergie et ses mouvements. Et ils vont dire que ce Higgs est dans
un certain champ. Non, il ne l'est pas.
Il est partout. Il est tout autour. Il est ici-même. Il est dans votre ventre
en ce moment. Il est partout.
Qu'est-ce
qui motive ce boson ? Qu'est-ce qui fait qu'il est là, en première
ligne ? Que fait-il ? Il est comme un agent de la circulation, en
fait. Il ralentit les choses aux moments appropriés. Il accélère, ou laisse
passer, d'autres trafics. Mais pourquoi ? Pourquoi ? Et jusqu'à ce
qu'ils se posent vraiment la question à eux-mêmes, ils vont encore gaspiller
dix milliards, tout simplement.
La
conscience est la réponse.
KATHY :
Est-ce comme un [inaudible] ?
ADAMUS :
Non. Non.
KATHY :
Ce n'est pas altéré par les scientifiques.
ADAMUS :
Non. Oui et non. Permettez que je reste sur la voie, ici. Je travaille avec une
pression sur le temps. Pauvre Cauldre, lui seul a tant de temps.
Donc,
mes chers amis, c'est comme un agent de la circulation et il dirige les
énergies, mais qu'est-ce qui l'a créé ? Qu'est-ce qui détermine quelles
énergies sont mises dans la matière, quelles énergies vont ailleurs ? Où
vont-elles ? C'est la conscience. Mais ce qui a le plus gros impact sur la
conscience, c'est la passion qu'il y a derrière. La passion qu'il y a derrière.
Et
ce n'est pas l'énergie. Pas du tout, et ce n'est pas de penser, parce que la
pensée n'est pas passionnée. Et c'est là que beaucoup d'entre vous, vous
rencontrez un problème. Vous pensez vraiment votre chemin, et vous vous
épuisez, tout simplement. Et il y a très peu de résultat direct de ceci.
C'est
la passion. La passion ne vient pas du mental, mais elle peut inspirer
le mental. La passion, en fait, n'est pas réellement de la créativité, mais
elle peut engendrer la créativité. La passion est simple. Elle est expressive.
Elle est ouverte. Elle est libre.
Je
vous demande donc, dès maintenant, de prendre juste un moment pour ressentir
votre propre passion. Elle est comme un certain nombre des variables,
là-dehors, un certain nombre des énergies, dans les Champs, comme l'amour
lui-même. Où est la passion ? Est-elle dans votre oreille ? Votre
orteil ? Vraiment. Votre cœur ? Ou est-elle partout ? Est-elle
juste vous ? Est-elle juste votre immense désir, le désir de votre âme, de
vivre, tout simplement ? Juste pour le plaisir de vivre, sans se soucier
du résultat final, à moins que vous n'aimiez pas là où il va et que vous
vouliez le changer. Juste pour l'expérience.
Je
mentionne cela parce que les scientifiques sont sans imagination, dans leur
travail, tout à fait sans imagination, et dans une certaine mesure, ils doivent
l'être. Vous êtes très vrais à propos de vous-mêmes et de là où vous allez.
Vous parvenez à de petites percées, en ce moment. De petites ouvertures. Nous
en avons parlé, lors de notre dernière rencontre. C'est ce qu'on appelle un
mirage. J'ai dit, lorsque vous avez ce « aha », ce petit inspir, cela
vous fait cesser d'y penser, finalement et vous le comprenez, tout simplement.
Vous n'avez pas besoin de penser à « Je Suis ce que Je Suis. » C'est
juste là. Et vous n'avez pas besoin de penser à l'abondance. « Comment
puis-je obtenir l'abondance ? C'est quoi, l'abondance ? » C'est
juste là. C'est soudain -qu'est-ce ? Aandrah le sait -c'est intégré.
Lorsque vous y pensez, ce n'est pas intégré. C'est un concept. Ça flotte
là-bas, quelque part.
Quand
vous venez... quand c'est intégré, c'est juste... Ah ! C'est ça. Et je dis
à ce moment-là, lorsque ça arrive, je vous l'ai dit le mois dernier, faites un
mirage. Un mirage. Juste un bref - « Oooh ! Je viens juste d'avoir cette illumination. Je
l'ai sentie. Je promets que je ne vais pas y penser, je vais juste le
vivre. » Faites quelque chose. Prenez un verre de vin. Dansez dans la rue.
Prenez un bain moussant ou quoi que ce soit, juste pour reconnaître le moment,
de telle sorte que vienne la prochaine percée, et la prochaine percée, et la
prochaine percée.
La
vie -tout comme les scientifiques ont tendance à être très linéaires dans leur
façon de penser, et si quelqu'un pouvait juste sortir de la boite, peut-être
faire un peu, ce qu'on appelle, de vision à distance, ou se projeter dans les
potentiels, ils comprendraient tout de suite -et pour vous, c'est un peu la
même chose. Il s'agit... vous endurez le train-train quotidien. Vous vous levez
le matin. Vous subissez la routine. Vous vous habillez, et il y a une partie de
vous -je sais, parce que j'étais avec vous- qui est comme « Allons-y, un
autre jour. Dieu, quand, oh quand, Adamus, quand, oh quand, Aigle Blanc et
Marc, quand, oh quand, cela va-t-il se passer ? » Et vous subissez le
train-train quotidien, suivant la même routine, vous demandant quand cela va se
passer.
Cela
va se passer au moment où vous vous levez le matin, vous ne mettez pas votre
armure, vous ne vous préparez pas à la bataille, et vous dites « Je vais
le faire autrement. Je ne vais pas y penser aujourd'hui. Je ne vais pas essayer
de programmer mon illumination, aujourd'hui. » Et très souvent, c'est
vraiment un tas de makyo. Vous programmez comment devenir un peu plus riche et
ne pas mourir très jeune.
Aussi,
lorsque vous dites « Je vais juste me lever aujourd'hui, et ça va être
naturel, » vous laissez le processus naturel se produire, vous le laissez
venir à vous.
Ce
que je veux dire, avec ceci, c'est que je sens chez la plupart d'entre vous
-une percée. Pas une avancée spectaculaire, mais une avancée. Cette avancée,
faite de belles étapes, va vous empêcher de frire ou de fondre lorsque vous
l'aurez, celle avec un grand A. Mais ensuite, elles vont continuer à venir, pas
d'une façon linéaire, pas une par jour, ou rien de ce genre, et vous allez
avoir tendance, quand vous captez cette avancée
qui s'en vient -qui s'en vient dans un corps humain près de vous !
(rires) -vous allez faire quoi ? Vous allez être comme les scientifiques
qui travaillent au CERN. Vous allez essayer de le reproduire. Vous allez dire
« Oh mon dieu, c'était grandiose ! Woo! Les deux meilleures secondes
de ma vie ! (rires) Sentiment total de connexion » et vous allez
aussi comprendre, quand vous pigez ça, mes chers amis, que vous n'allez pas
dire « Kumbaya, nous sommes tous un. » Vous allez dire « Ah !
Je Suis ce que Je Suis ! » C'est une énorme différence lorsque vous
avez fait cette avancée.
Vous
allez être comme les scientifiques. Vous allez dire « Je suis sûr à 99
pour cent que j'ai eu une illumination, aujourd'hui. Je pense que je l'ai eue.
Je suis pratiquement sûr. Mais je vais le faire savoir, parce que j'ai investi
de nombreuses vies dans ce chemin de l'illumination, aussi je vais dire à tous
ceux qui se demandent, autour de moi « Ah, j'ai eu mon illumination,
aujourd'hui. » Et alors, vous allez essayer de le reproduire.
Et
ce train-train quotidien va recommencer à vous broyer. Il va recommencer à vous
épuiser. Et ça, c'est quand vous essayez de dire « D'accord, maintenant, à
quoi je pensais lorsque j'ai eu cette avancée ? Qu'est-ce que je
faisais ? Je vais y retourner. Je vais aller au même point. C'était ça. Je
marchais au bord du lac et j'ai vu un voilier, c'était un jour ensoleillé, la
numérologie finissait en neuf, donc ça devait être bon. Je vais attendre le
prochain jour ensoleillé, la numérologie neuf et, oh, que vais-je faire à
propos de ce voilier ? Il a coulé. »
Vous
allez essayer de reproduire la même situation, et ça ne va pas marcher. Je vais
vous dire, maintenant. Pourquoi ? Vous êtes juste allés dans le mental.
Vous avez contrôlé. Vous avez programmé. Vous avez essayé de reproduire quelque
chose qui (a) ne doit pas nécessairement être reproduit ; (b) vous auriez
même pu avoir une plus grosse avancée si vous l'aviez juste laissée être. Si
vous faites ce mirage pendant un instant et reconnaissez « Oh ! Je viens
d'avoir cette merveilleuse percée. Génial ! Woo ! Ah ! Je vais
encore plus la laisser venir » et ensuite, vous passez votre chemin, à
profiter de la vie, tout simplement. Ça vous semble logique ? Non. Bien.
Donc,
ce que je dis, là encore, c'est que des trucs quantiques vont se passer, dès
maintenant. Pourquoi ? Parce que vous avez beaucoup de passion pour ça, et
aussi, que vous êtes fatigués de la routine quotidienne. Et pourquoi pas ?
Pourquoi pas, juste pour le plaisir, se permettre quelques grandes avancées,
ici. Les deux prochains mois. Les deux prochains mois. Et quand ça arrive,
arrêtez-vous juste un instant. Inspirez-le.
Je
parle d'extraordinaires, de niveaux stupéfiants -c'est même difficile de le
mettre en mots- de confiance, et un
changement dans la manière dont vous avez avancé. Je ne parle pas seulement de
la route qui devient un peu plus large, je parle de la route qui s'en va et de
vrais et complets changements dans votre perception des choses. Absolus. Je ne
veux pas rentrer dans les détails, parce que je veux que vous le viviez.
Donc,
faisons ça. Faisons juste un très court... vous vivez là un moment grandiose de
la vie, je l'espère. Cette, ce qu'on appelle une percée, une ouverture
soudaine, qui enlève le voile, tout à coup, juste l'instant de
« aha ». Vous êtes tellement prêts pour ça. Tellement prêts pour ça.
Si vous le choisissez -je pose juste la question- mais si vous choisissez ça,
cela viendra à vous. Vous le créerez, si vous le choisissez.
Donc,
prenons un moment dans cet espace sûr. Dans cet espace protégé. C'est votre
affaire personnelle, si vous le choisissez... si vous le choisissez. (pause)
Bon.
Et je sais qu'avec la passion que vous avez, cela va arriver, sans aucun doute.
Quand c'est là, s'il vous plaît, ne sortez pas et ne faites pas de stupides
efforts de relations publiques à ce sujet. En d'autres termes, ne commencez pas
à le poster sur Facebook et YouTube ni à en faire des vidéos pour en faire des
cours. C'est une chose personnelle, pour vous, en ce moment. Soyez avec elle.
Soyez avec elle, parce qu'il y a des scientifiques qui vont avoir l'air fin
pendant un moment, avec leur découverte. Ils en ont découvert une partie. C'est
le problème.
Aussi,
prenons une profonde respiration avec ça et passons au sujet suivant. Je vois
qu'il ne nous reste que quelques minutes, juste avec moi.
Être
Présent
La
chose suivante, et vraiment, mon véritable message de ce jour. Comme vous vous
permettez d'expérimenter la vie d'une toute nouvelle manière, que vous vous
libérez de certaines obligations et de certaines limitations, une des
suggestions-clés que j'ai pour vous, pour de très nombreuses raisons, c'est de
permettre votre présence dans cette réalité. Oh, c'est un genre de vieux truc,
d'une certaine façon, être dans l'instant Présent ; peut-être
spirituellement démodé, maintenant. Disons-le d'une manière différente -être
présent. Pourquoi ? Parce que, très souvent, vous ne l'êtes pas. Très
souvent, vous pensez à d'autres choses,
ce qui est vieux. Nous en avons parlé auparavant. Mais, en ce moment, il
devient plus important que jamais d'être présent. Cela signifie d'être
incorporé dans votre corps physique, dans votre mental, en vous-mêmes, pour
être ici.
C'est
le point de rencontre pour la percée dont je viens de parler. C'est le point de
rencontre pour les énergies qui arrivent. Vous êtes, d'une certaine façon,
votre propre boson. Vous êtes votre propre point de rassemblement de l'énergie,
la mettant dedans si c'est important, la mettant dans l'abondance, la mettant
dans la santé. Vous devenez ce point de réception.
C'est
important d'être totalement présent, et, bon, je vous donne de bonnes notes
dans un certain nombre d'autres domaines. Être présent n'est pas celui où la
plupart d'entre vous recevraient un « A ». Non, non. Ou un
« B », ou un « C ». (Adamus glousse) Pourquoi ? Parce
que les énergies sont étranges. C'est difficile. Les énergies extérieures sont
pleines de défis. Mais alors que ces percées apparaissent, vous allez vouloir
être ancrés. Vous allez vouloir être dans votre corps.
Donc,
qu'est-ce que la présence ? Qu'est-ce que la présence ? Être ici.
Être conscient, dès maintenant. En le faisant simple.
Donc,
vous prenez une profonde respiration, comme Aandrah vous dirait de faire.
Prenez une profonde respiration dans votre corps. En fait, mettons-nous tous
debout pour être vraiment présents. Ouais. (le public se lève)
Prenez
une profonde respiration dans votre présence. Cela signifie dans votre corps,
dans votre soi, dans cette salle, dans cette dimension.
Maintenant,
je n'ai pas dit de vous limiter à cette seule dimension, parce que le fait est,
vous pouvez être dans de nombreuses dimensions. Vous pouvez être dans de
nombreuses réalités au même moment, et être conscients de toutes. Mais ça
commence par être présents, ici même. C'est l'endroit où vous recevez
les énergies. C'est l'endroit où vous recevez votre âme. C'est l'endroit où
vous recevez votre Je Suis-tude.
Lorsque
vous n'êtes pas ici, quand vous êtes partis dans votre petit monde de rêve,
votre rêverie, peu importe la passion que vous avez pour ce truc de
l'illumination, il ne va pas trouver son chemin vers vous. Vous n'allez pas
recevoir l'abondance qui est juste ici.
Donc,
vous prenez une profonde respiration, entrez dans votre corps.
Maintenant,
facile, assez parlé. La partie suivante -et, c'était ringard- la partie
suivante consiste à rayonner. À être radieux, dans la
mesure où... Vous êtes dans votre corps. Vous êtes plutôt ici. Au moins
pour les cinq, six, prochaines minutes, vous êtes ici. Maintenant, pouvez-vous
être radieux ? Et, avant que vous le fassiez, pensez à ceci, considérez
ceci : Il y a eu toutes les raisons de ne pas être radieux. Vous ne voulez
pas vous démarquer. Vous ne voulez pas affecter d'autres personnes. Vous avez
peur que votre éclat, votre rayonnement, les submerge, tout simplement.
(quelques rires) En fait, plus encore, vous avez peur que quelqu'un vous
remarque. Aha ! Ils vont voir ce qui paraît dans vos yeux. Aussi, gardez
les yeux baissés. Vous prenez votre petite voix et personne ne peut vous entendre,
personne ne peut vous voir. Donc, maintenant, vous entrez dans votre
rayonnement.
Dans
votre radiance, vous prenez une profonde respiration. Vous laissez derrière
vous cette armure de combat et vous
laissez juste rayonner les énergies, la lumière, peu importe comment vous
l'appelez -votre Je Suis-tude. Vous ne faites aucun mouvement des mains,
Joanne, désolé. Vous prenez juste une profonde respiration. Ahhh !
Laissez-la s'ouvrir. Laissez-la rayonner.
Vous
ne la forcez pas. Non, elle n'a pas besoin d'être forcée. Vous la permettez.
Vous ne la manipulez pas avec une thérapie par la couleur. Il n'y a personne
d'autre pour rayonner à votre place. Vous ne passez pas par un logarithme
rayonnant. Vous ne regardez pas dans le manuel « Comment rayonner :
étape 1. » Oh -et vous riez, mais c'est typique- celle-ci serait typique
« Comment je rayonne, exactement ? »
Vous
prenez une profonde respiration, et vous la laissez être, tout simplement,
parce que ce champ d'énergie que vous êtes -au moins, vous êtes le point de
convergence de l'énergie- est naturel. Il a été anormal de le contenir.
Donc,
vous prenez une profonde respiration. Oooh ! Vous rayonnez. Vous l'ouvrez.
Pas de contrôle. Pas de retenue. Sans vous soucier si votre champ d'énergie
fait trois mètres, ou vingt mètres. Cela n'a pas d'importance. D'abord, pour
que vous voyiez, il faut vous
permettre de briller. Pour que vous voyiez. Ainsi, lorsque vous regardez dans
le miroir...
Je
dois demander. Tant de fois, j'observe, vous regardez dans le miroir, et -maintenant,
lorsque je me regarde dans le miroir, je ne vois rien (rires)- mais j'observe,
vous regardez dans le miroir et vous voyez quelque chose, mais vous ne voyez
rien, si vous voyez ce que je veux dire. Vous ne ressentez rien. Vous voyez
quelque chose, mais vous ne ressentez rien. Un peu critique « Oh, il faut
que je me coiffe un peu différemment, et que je mette du maquillage. »
Mais, vous pourriez regarder dans le miroir et ressentir quelque chose. C'est
parce que vous avez retenu ce rayonnement. Vous ne vous voyez même pas, même
dans un miroir. Les autres ne vous voient pas non plus.
Devinez
qui d'autre ne vous voit pas ? Votre âme ! Vous vous cachez ;
elle joue à cache-cache avec vous. C'est un jeu génial.
Et,
que diriez-vous de rayonner maintenant ? Que diriez-vous de vous
ouvrir ?
Eh
bien, vous vous inquiétez. C'est facile à faire ici, parce que, eh bien, nous
sommes tous Shaumbra et cela ne vous gêne pas si votre énergie se rapproche de
quelqu'un d'autre. Mais vous vous inquiétez de ça aussi au dehors. « Eh
bien, et si je fais du tort à quelqu'un ? » Dites vous que, votre
radiance va faire une seule chose, bon, peut-être deux choses. Tout d'abord,
ils vont s'enfuir. (quelques rires) Deuxièmement, l'autre chose que ça va
faire, est d'illuminer certains de leurs potentiels. Ça ne va pas leur causer
du tort ; ça va illuminer certains de leurs potentiels.
N'est-ce
pas une merveilleuse chose à faire ? C'est comme se promener avec une
bougie. Vous ne les faites pas chercher quoi que ce soit. Peut-être que vous
allez juste illuminer certaines choses qu'ils n'ont jamais vues. Et vous n'avez
rien à foutre qu'ils les voient ou pas. Vous aimez juste tenir cette bougie.
Peut-être que c'est mon boulot. Eh, vous pouvez être assis. De manière
radieuse, s'il vous plaît. Amenez votre rayonnement avec vous, jusqu'à la
chaise. (le public s'assoit)
Le
rayonnement, ah. Maintenant, je vais travailler avec vous sur le rayonnement,
pour le mois prochain, en vous rappelant « Ne mettez pas cette armure.
Vous n'allez pas au combat. » Vous allez trouver que c'est un peu
inconfortable, au début, parce que vous aviez tellement l'habitude de le
retenir. Vous étiez tellement habitués à... vous ne le sentiez même pas à
l'intérieur de vous-mêmes, c'était juste si peu.
Aussi,
je vais vous demander de le sortir, de lui donner naissance. Les gens vont
commencer à vous remarquer. Oh oui. Ils vont commencer à vous voir. (il regarde
intensément Kerri)
KERRI :
Suis-je radieuse ?
ADAMUS :
Montez ici. (rires) Elle a demandé. Et qui suis-je pour juger ? À la
place, vous le ferez.
LINDA :
Vous étiez en retard. A-t-elle besoin d'un micro ?
ADAMUS :
Non, elle n'a pas besoin d'un micro. Avez-vous mangé, ma chère ?
KERRI :
Oui.
ADAMUS :
Mm. Je ne m'étais pas rendu compte que c'était un restaurant. Je pensais...
(rires) D'accord, s'il vous plaît, rayonnez pour nous. (Kerri tend ses mains et
sourit ; le public rit)
ADAMUS :
Bien. Bien. D'accord, je dois... (Adamus s'assoit au premier rang) Bien.
Rayonnez, s'il vous plaît. (elle tend ses mains et sourit à nouveau)
KERRI :
Cela s'est-il révélé davantage ?
ADAMUS :
Oh, nous sommes toujours... nous attendons toujours. (Adamus glousse)
KERRI :
Comment ?
ADAMUS :
Nous observons.
KERRI :
Je rayonne, n'est-ce pas, Norma ? (Norma hoche la tête) Je vous remercie,
Norma.
ADAMUS :
Eh, eh, eh. Arrêtez la démonstration. Donc, vous avez eu le
« divertissement rapide ». En fait, vous rayonniez. Qu'avez-vous
remarqué ? Merde ! D'abord, dans les yeux. Ses yeux sont devenus
vivants -oui, ils l'étaient- et ils ont eu de l'éclat, tout à coup, et elle a
dit « Je suis radieuse. » Mais ensuite, que s'est-il
passé ?
KERRI :
J'ai eu un doute.
ADAMUS :
Comme toujours, aussi prévisible. C'est un pari à Las Vegas, c'est sûr. Elle a
eu des doutes ! Et elle a dit « Oh mon dieu, peut-être que je ne
rayonne pas ! Oh ! Peut-être que je n'ai pas bien fait. Ça alors,
j'aurais dû lire ce livre sur le rayonnement avant de venir. Norma, est-ce que
je le fais bien ? » Norma est comme « Vous le faites toute
seule, chérie. (rires) Parce que si je dis quelque chose, je vais monter
là-haut aussi ! » Eh bien, montez ici ! (rires) S'il vous
plaît ! (Norma monte et fait un câlin à Kerri) Et maintenant, ce que vous
demandez. Oh, je vais aller au fond de la salle pour voir -pour ressentir-
le rayonnement.
Donc,
commençons à rayonner. Mmmmm. (Kerri et Norma rayonnent)
Ne
me regardez pas. (rires)
NORMA :
Je ne vous regarde pas. Je vois au travers de vous. (rires)
ADAMUS :
Rayonnez. Un être lumineux. (elles restent là, à rayonner)
Que
remarquez-vous ? Que remarquez-vous ? (le public donne des réponses
variées) Eh bien, que remarquez-vous ? Quelqu'un. Oh, je ne vais pas vous appeler ici, juste parce que vous
avez le micro. Je vais vous appeler ici,
de toute façon, mais pas seulement parce que vous avez le micro. Oui, Marie.
MARIE :
Eh bien, Kerri a cessé son baratin lorsqu'elle a commencé à rayonner.
ADAMUS :
Oui. Bien. Bien. Qu'avez-vous remarqué d'autre ?
PAUL :
Kerri avait une belle lumière. (rires et Adamus glousse)
LINDA :
Kerri avait une belle lumière.
ADAMUS :
Je vais vous dire. Tout d'abord, Aandrah a l'habitude de le faire. Elle l'a
fait pendant des vies. Elle peut rester là. Elle n'a pas besoin de bouger le
moindre muscle. Elle n'a pas une seule chose à faire. Elle ne joue pas, elle
rayonne, tout simplement, et c'est juste... donc, elle est ici. Pratiquement
inébranlable. Il y a juste quelques trucs, je dirais, qui pourraient vraiment
l'ébranler, mais pratiquement inébranlable. Juste là, présente. Elle doit
l'être, dans le travail qu'elle fait -ouf ! absolument présente- parce que
sinon, les aspects de ceux avec qui elle travaille, lui botteraient le cul
jusqu'à l'autre bout de la création.
Kerri
a le naturel... elle peut venir jusque ici, elle peut rayonner, tout
simplement, naturellement. Ensuite, que se passe-t-il ? « Ah !
Peut-être que je ne le fais pas bien. Oh mon dieu ! Cela va être très
embarrassant, parce que tout le monde va aller sur Facebook à ce propos. »
Ainsi, tous les trucs humains arrivent. Vous le faisiez de façon absolument
magnifique, jusqu'à ce que vous y pensiez. Donc, n'y pensez pas, cette fois.
KERRI :
D'accord.
ADAMUS :
Rayonnez. Mmm. (elle rayonne)
Vous
y êtes ! Vous y êtes !
Maintenant,
maintenant...
KERRI :
Comment pourriez-vous ne pas aimer tout ça ?
ADAMUS :
Oh, je l'aime. Maintenant -donnez-moi... (il prend sa main)- pouvez-vous
prendre avec vous demain, dans votre monde, ce que vous venez de faire ?
KERRI :
Oui. Je peux.
ADAMUS :
Conneries.
KERRI :
Je peux ! (rires)
ADAMUS :
Absolu... vraiment ? Vous allez penser que vous pouvez.
KERRI :
Je ne lâcherai pas. Je le ferai !
ADAMUS :
Bien.
KERRI :
Je n'abandonne jamais !
ADAMUS :
Et vous n'avez pas à le faire.
KERRI :
N'ai-je pas obtenu des points, avec ça ?
ADAMUS :
Ne montez pas sur le cheval, demain.
KERRI :
D'accord. Non. Je le laisse tomber, dès maintenant. Boum ! Mon armure
aussi. (elle bouge comme si elle l'enlevait)
ADAMUS :
Bien. Bien. Vous n'en avez pas besoin.
KERRI :
Elle est partie.
ADAMUS :
Vous n'en avez pas besoin.
KERRI :
Non.
ADAMUS :
Regardez cet exemple (en parlant de Norma), mmm. Maintenant, introduisez-vous
en vous-mêmes. Vous n'avez rien à faire. Mmm. (il rayonne)
KERRI :
Oui. Je le ferai.
ADAMUS :
C'est aussi simple que ça.
Maintenant,
vos yeux vont s'éclairer. Ça sera une des premières choses. Et vous allez avoir
le sourire aux lèvres. Vous perdrez ce froncement de sourcils que vous avez
lorsque vous devez mettre vos habits de combat. Vous rayonnez votre présence,
tout simplement. Ça fait du bien. Ça vous fait vous sentir en vie.
Lorsque
vous allez avoir cette percée, dont je viens de vous dire qu'elle arrivait
bientôt, vous allez être présents pour la recevoir. Ça va être une expérience
extraordinaire. Vous allez vous demander pourquoi et comment vous avez fait
toutes ces choses si compliquées, et difficiles et anormales. Bien.
Prenons
une profonde respiration. Je vous remercie. Je vous remercie.
(applaudissements) Prenez votre radiance avec vous. Prenez-la avec vous.
Vous
n'avez même pas à la travailler. (Adamus glousse alors que Kerri caracole dans
l'allée) J'espère que la caméra a filmé ça. (rires)
Vous
prenez cette radiance avec vous. Vous n'avez pas à la travailler et c'est le
principal. Vous n'avez pas à la créer. Elle est déjà là. Vous l'amenez juste
ici, dans votre présence, dans ce moment. Tout le reste, c'est du gâteau. À
moins que vous aimiez le drame, sauf si vous aimez la lutte, sauf si vous aimez
les défis, qui vous rendent misérables, malades, sans le sou et déprimés. Ce
n'est probablement pas la chose pour vous, mais sinon, mes chers amis, nous en
sommes au point maintenant, où nous parlons d'apporter votre soi dans votre
monde, pour le monde. Pour le monde, absolument.
Accueil
de Jonette et Aigle Blanc
Ainsi,
avec ça, prenons une profonde respiration et faisons un petit changement
d'énergie. Préparons-nous pour Jonette Crowley et Aigle Blanc. S'il vous plaît,
venez devant, ma chère. (le public applaudit) S'il vous plaît. Maintenant,
relaxez-vous, je vous en prie. (le public applaudit) Oh, la présence. Oh oui.
Faisons-le. Rayonnons ensemble. (ils rayonnent)
JONETTE :
Mmm.
ADAMUS :
Bien.
JONETTE :
Il y a un écho. Ils rayonnent en retour !
ADAMUS :
Ouais ! Vous apprendrez avec les autres qu'il y a comme une résonance de
diapason, et ils rayonnent ensemble. Et vous n'avez pas à faire quoi que ce
soit. Bien.
Donc,
si vous voulez bien vous tenir prête.
JONETTE :
Très bien. Je vais m'asseoir dans cette belle chaise haute.
ADAMUS :
Bien. Prenons une profonde respiration alors que nous amenons cela. (ils
rayonnent)
Questions
& Réponses
C'est
maintenant le temps des questions et réponses. Questions et réponses, pas un de
mes favoris -je cède à Cauldre et Linda et quelques autres- parce que vous
connaissez les réponses. Maintenant, les questions sont devenues meilleures.
Bien meilleures. Pauvre Tobias, il a dû faire face à quelques questions
vraiment mauvaises ! (Adamus glousse)
Donc,
allons-y. Nous allons -nous, les entités- allons être très clairs et très
directs dans nos réponses. Oh, nous avons déjà convenu de cela. Nous allons
juste y aller directement. Est-ce que tout va bien pour vous ? (le public
répond « Oui ») Vous dites ça maintenant, mais... (Adamus glousse)
Bien.
Prenons
une profonde respiration. Chère Linda va lire les questions ou passer le micro
dans le public.
LINDA :
Les deux.
ADAMUS :
Alors qu'elle met le micro en face de vous, il vaut mieux avoir une question
prête, ou une bonne déclaration.
Prenons
une profonde respiration.
LINDA :
J'en ai certaines à courir avec le micro, et j'ai certaines questions à lire.
Quelqu'un a-t-il une question dès maintenant ? Oh, allons-y.
ADAMUS :
Bien. Nous ferons des aller-retour...
LINDA :
Retour à la caméra, femme.
ADAMUS :
… avec les réponses. Bien. Commençons.
VICKY :
Je voudrais entendre ce qu'Aigle Blanc a à dire...
ADAMUS :
Oh génial, j'aimerais aussi.
VICKY :
… à propos de la particule du boson de Higgs.
ADAMUS :
Absolument. Aigle Blanc, boson de Higgs.
AIGLE
BLANC : Bienvenue, ceci est plus du domaine de Marc, mais nous allons
canaliser Marc.
Ils
vont découvrir que ce n'est pas tant une particule qu'un portail, et c'est un
portail multidimensionnel, c'est pourquoi il n'agit pas de la même façon à
chaque fois. Et ils vont découvrir que ce n'est pas juste un portail,
mais des millions de portails qui agissent comme un portail. Et donc, c'est
impossible pour eux de le délimiter. C'est impossible pour eux de le trouver
avec des mesures scientifiques. C'est une particule de conscience Adamantine,
mais ce n'est pas du tout une particule, ne serait-ce que parce qu'elle est une
ouverture vers un espace. Et l'espace est multidimensionnel. Je vous remercie.
ADAMUS :
Bien. Bonne question.
AIGLE
BLANC : Et maintenant, recevons-nous cinq milliards de dollars ?
(rires) Nous travaillons sur l'abondance de Jonette.
LINDA :
Quelqu'un d'autre ? Une autre question ?
ADAMUS :
Questions.
LINDA :
D'accord, eh bien j'ai une question pour
Adamus à lire.
ADAMUS :
Bien.
QUESTION :
(lue par Linda) Adamus...
LINDA :
Ceci a été envoyé par un enseignant.
QUESTION :
(continuant) Nous discutons souvent, et vous m'avez demandé quelle était la
passion de mon cœur, et l'enseignement de l’École de l’Énergie Sexuelle est ce
qu'elle est. Ce que je vous demande, c'est quelles sont vos idées sur l’École
de l’Énergie Sexuelle ? Qu'est-ce que cela apporte aux participants
qu'aucun autre atelier en création ne leur apporte ? Et pourriez-vous,
s'il vous plaît, soutenir l’École de l’Énergie Sexuelle à Wellington, Nouvelle
Zélande, en août ? (rires)
ADAMUS :
Belle tentative de promotion déguisée en question (rires), mais une question
valide. L’École de l’Énergie Sexuelle
-de Tobias bien entendu- était vraiment là pour aider les gens à comprendre le
pompage énergétique. Nous parlons d'énergie aujourd'hui avec ce boson de Higgs.
Nous parlons de la façon dont travaille l'énergie, et pendant des éons, pas
seulement ici sur Terre, mais dans les royaumes angéliques, il y a eu des
batailles pour l'énergie, mais plus encore pour le pouvoir. Les batailles
originelles ont commencé lorsque les êtres angéliques, qui n'étaient plus dans
l'unité de la Source, se sont retrouvés dans le vide et ont essayé de retourner
à la Maison. Ils pensaient que la façon de le faire était de récolter de
l'énergie, un peu comme du carburant de fusée, pour les ramener à la Maison.
Mais finalement, dans toutes ces tentatives de voler de l'énergie à l'extérieur
d'eux-mêmes, ils sont arrivés de plus en plus loin de la Maison.
Il
y a toujours une crise d'énergie à
l'intérieur. Il y a des crises d'énergie dans ce monde, des crises d'énergie
partout dans l'univers. Aussi, ce dont nous parlons ici à propos du pompage
énergétique, à propos du vol d'énergie, ne concerne pas seulement les humains.
C'est vraiment partout dans la création. Toujours des luttes de pouvoir,
partout, dans toutes les dimensions.
Il
y en a beaucoup qui sont résolues ici, avec la compréhension, pas seulement
avec l’École de l’Énergie Sexuelle, mais d'autres choses que leur pouvoir est
une illusion. Et si le pouvoir est une illusion, il n'y a pas besoin de voler,
de rassembler, ou de retenir l'énergie. L'énergie est libre et gratuite. C'est
pour les besoins de l'expérience.
Il
n'y a pas de réel pouvoir. Presque tout le monde continue d'agir avec
l'illusion qu'il y a la dualité. Et dans la plupart des endroits, elle y est
toujours, mais si vous lisez mon livre (Vivre sa
Divinité) -ma publicité sans honte- vous lirez dans un des derniers
chapitres que tout ce concept de dualité a été résolu, en gros, presque au cœur
de toutes choses. En d'autres termes, il n'y a plus de raison d'avoir des
forces opposées. Plus de raison de monter sur votre cheval chaque matin, avec
votre lance, sortir et jouter. Pourquoi ? Pourquoi l'avez-vous fait ?
Parce que c'est la façon dont ça s'est toujours fait. Peut-être, juste
peut-être, que vous êtes ceux qui allez changer ça. Bien.
Question
suivante pour Aigle Blanc.
KERRI :
Lorsque je m'allonge pour respirer...
ADAMUS :
Oh, vous êtes si rayonnante, en ce moment.
KERRI :
Je vous remercie !
ADAMUS :
Oui.
KERRI :
Ma couleur favorite.
ADAMUS :
Oui.
KERRI :
Quand je m'allonge pour respirer, ces derniers temps, j'ai eu cette expérience
et elle est éphémère. Et c'est... je pense que ça pourrait être Aliyah*, et je
veux une confirmation. Je ne... vous savez, je fais. C'est tellement fort et
flippant que je l'arrête, et je n'ai même pas une pensée consciente de
l'arrêter. Je me rends compte juste après, qu'en fait, je l'ai coupée. Et
est-ce... si juste, je... j'ai ce sentiment comme, si je pouvais me sortir de
mon côté humain, ça pourrait être un état d'être permanent. Et donc, pourquoi
j'arrête ça ? Et, vous savez, cela doit-il être fermé ? Cela a-t-il
besoin d'être graduel ? Et qu'est-ce que c'est ?
*Aliyah
est un état expansé de l'être, dont parle Tobias dans l’École de l’Énergie
Sexuelle.
AIGLE
BLANC : Répondons juste à ça, pour commencer. Le saut que fait votre
conscience, elle le fait de toute façon. La partie de vous qui peut l'arrêter
est seulement responsable d'une très petite porte. Le reste de l'immeuble est
libre, et donc, votre esprit, votre conscience, qui comprend déjà ces vastes
dimensions dont vous faites partie, il va son petit bonhomme de chemin. Il a
des expériences.
Ce
qui est fermé, c'est le cycle de la mémoire, de sorte que, lorsque vous
revenez, vous vous souvenez que vous ne pourrez jamais la fermer, parce que la
partie de vous qui peut fermer la porte est seulement responsable d'une très
petite porte. Souvenez-vous de ça. Donc, ne vous inquiétez pas si vous la
fermez, ne vous inquiétez pas s'il y a une certaine crainte, ou un peu plus de
transformation qui doit avoir lieu. Il faut savoir que lorsque vous ressentez
qu'il y a un saut, il est déjà fait.
Et,
prenons votre question et disons juste quelque chose à propos de cette percée
que tout le monde attend. La plaisanterie, c'est que c'était hier, et vous
étiez tellement occupés à regarder vers demain, que vous ne l'avez même pas
remarquée. Et si chaque percée que vous avez jamais voulue était hier ? Et
la partie de vous qui est responsable de quelque chose s'est donné la responsabilité de ce petit
théâtre. Mais la vaste partie de votre existence, votre âme en est responsable
et elle est infiniment plus intelligente et elle ne ferme jamais les portes. Je
vous remercie.
ADAMUS :
Excellent. Question suivante. Bien.
MARIE :
J'ai un projet que j'ai créé avec beaucoup de créativité et de passion, et
maintenant, je suis dans le processus de commercialisation de ce produit. Et
maintenant, le cerveau se met tellement dedans, c'est comme si, comment je peux
faire ça sans cerveau ? Dois-je juste laisser tomber ? Ou, vous savez,
um...
ADAMUS :
Donc, pour une petite clarification, ici, c'est « Où est la
créativité ? »
MARIE :
C'est exact. Dans la commercialisation, dans le fait d'apporter l'abondance
avec cette création, qui est... vous avez parlé de la passion. Le titre en est
« Une passion pour la tarte. » Donc, j'y ai mis ma passion et ma
créativité.
ADAMUS :
Je pense qu'AIGLE BLANC et moi allons répondre tous les deux à cette question.
Voulez-vous commencer ?
AIGLE
BLANC : Nous n'écoutions pas. Non. (Adamus glousse)
ADAMUS :
Ah.
AIGLE
BLANC : Bon, la créativité est dans la totalité, mais tout à coup, la
création du produit vous a permis d'être créative, et dans la
commercialisation, la partie des ventes, vous vous permettez de ne pas savoir.
Ainsi, vous avez fermé la créativité.
Au
lieu de vous inquiéter à propos de votre mental, laissez-le vous donner un
tableau de jeu afin que vous sachiez toutes les bribes et trucs que vous
devriez faire, et ensuite, vous y lancez des fléchettes, ou des cristaux, ou
tout simplement, vous fermez les yeux et vous prenez le truc « Ah, si mon
mental l'a mis là, c'était quelque chose à faire, je vais prendre celui-ci,
c'est ce que je vais faire aujourd'hui. »
Ainsi,
permettez que l'heureux hasard... permettez que votre mental mette en place la
table de jeu, et laissez la magie prendre exactement la tâche, et de cette
manière, votre mental fait place à la magie et vous aurez beaucoup plus de
plaisir.
MARIE :
Je vous remercie.
ADAMUS :
Bien. Et très vite, trois éléments inhérents à ce que vous faites. Tout
d'abord, le projet, juste pour faire quelque chose ; deuxièmement, dans
l'espoir de gagner un peu d'argent ; et troisièmement, juste pour être
créatif. Mais parfois, les priorités s'organisent. Cela aurait pu venir du
cœur, tout simplement, juste pour faire quelque chose de créatif. Vous avez un
talent créatif très naturel, mais c'est d'où vient la créativité. La
commercialisation, les détails...
MARIE :
C'est exact. Il n'y a pas de passion dans la commercialisation.
ADAMUS :
Ouais, ouais. Mais vous pensez aussi la commercialisation en termes
relativement dépassés. La commercialisation est totalement redéfinie, en ce
moment.
MARIE :
D'accord.
ADAMUS :
Et vous ne pourriez pas la comprendre, même si vous essayiez. Bien. Et comme
beaucoup d'entre vous le savez, les meilleures choses qui arrivent, les choses
qui ont le plus de succès, sont celles que vous n'essayiez même pas vraiment de
faire, elles sont juste arrivées, et elles évoluent, tout simplement. Bien.
LINDA :
J'ai une autre question à lire.
ADAMUS :
Oui.
QUESTION :
(lue par Linda) Adamus, qu'en est-il de nos pakauwahs ? Lorsque vous nous
en avez parlé, vous avez souligné l'importance de travailler avec eux pendant
un bon moment, et dit que nous ferions même évoluer ce concept jusqu'à déployer notre énergie pendant le temps où nous sommes
ensemble. La question qui me vient à l'esprit de temps en temps, avez-vous
observé que nous ne le faisons pas très bien ? Ou, d'une autre manière,
que nous avons déjà atteint un point de compréhension de ce concept d'expansion
de notre énergie, de sorte que vous laissez tomber cette question du
Pakauwah ? Bien sûr, j'apprécierais les commentaires d'AIGLE BLANC sur ce
sujet, s'il avait envie d'en faire aussi. Et, soit dit en passant, je vous
remercie de tout mon cœur.
ADAMUS :
Le Pakauwah est quelque chose dont nous avons parlé il y a presque trois ans.
C'était votre animal spirituel, en quelque sorte, un genre de -quelques-uns
d'entre vous le considéraient comme un totem- mais c'était votre création.
C'était un véhicule, ou un mécanisme pour vous permettre vraiment de voyager
librement dans les autres royaumes. Vous l'avez donc pris comme un animal,
parce que si vous l'aviez pris comme un humain, même comme un aspect humain de
vous, il aurait immédiatement eu des limites et aurait commencé à se battre
avec vous. Ainsi, nous l'avons fait en tant qu'animal, vous voyez.
Donc
maintenant, alors que vous appreniez à créer ce Pakauwah, ce totem, dans les
autres dimensions, vous vous sentiez plus sûrs de voyager là-bas. Vous avez
remarqué -la plupart d'entre vous l'ont remarqué- que le pakauwah changeait.
Vous pourriez d'abord avoir eu un aigle, ou un chien, une tortue, et il a
évolué. Et vous avez découvert tout à coup qu'il pouvait continuer à évoluer.
Il n'avait pas à rester dans une personnalité, ou une forme.
Le
Pakauwah, c'est vous. Je n'y suis pas revenu et n'ai pas continué à en
parler, parce que nous avons eu d'autres choses dont nous devions parler, mais
il était vous. Vous changez les formes. Vous pouvez aller dans les autres
dimensions. Vous pouvez voyager partout. Chaque fois que vous mettez en doute
que, recréez juste un pakauwah -vous- et ensuite, libérez-le.
Bien.
Des ajouts ? Je continue de vouloir vous appeler monsieur, et vous êtes
très belle.
AIGLE
BLANC : Eh bien, nous ne sommes pas un monsieur, même lorsque nous étions
un Indien.
ADAMUS :
Vous êtes une madame ? (rires)
AIGLE
BLANC : Chef.
ADAMUS :
Chef. Chef. (rires, Adamus glousse)
AIGLE
BLANC : Il viendra un temps où les humains seront capables de créer une
manifestation réelle dans les autres royaumes. Le truc le plus proche dont nous
pourrions l'appeler, c'est un avatar, et il aura une existence indépendante,
au-delà de votre mental. Mais, comme vous êtes Dieu, vous êtes des créateurs
aussi. Cela est fermé, et il est arrivé que les humains puissent créer êtres
spirituels, qui en fait commencent à manifester la présence, à manifester la
réalité physique. Il se peut que ce soit très rare, mais nous voulons juste
planter l'idée qui continue de travailler avec cet animal totem, cet être
interdimensionnel, parce que, toute cette idée va se transformer en quelque
chose au-delà de vos plus folles espérances.
Et
vous demandiez à Adamus si vous faisiez bien avec lui. Quand vous le faites,
vous le faites très bien, mais la plupart d'entre vous passez à la prochaine
meilleure chose.
ADAMUS :
Bien. Question suivante.
LUC :
Adamus.
ADAMUS :
Oui.
LUC :
En descendant ici...
ADAMUS :
N'êtes-vous pas un ami de Tobias ?
LUC :
Je pense que je le suis.
ADAMUS :
Oui.
LUC :
Ouais.
ADAMUS :
Oui.
LUC :
Bons souvenirs.
ADAMUS :
Ouais.
LUC :
Ouais.
ADAMUS :
Question.
LUC :
J'en ai une.
ADAMUS :
Bien.
LUC :
Alors que je roulais, en descendant ici...
ADAMUS :
Et la réponse -c'est à vous.
LUC :
Eh bien... (rires et applaudissements) J'ai quelque chose à dire à ce sujet
aussi. En conduisant pour descendre ici, j'ai écouté les deux derniers
messages, Mai et Juin, et j'ai trouvé très intéressant d'entendre, dans le
message de Mai, vous disiez qu'autour du 10 Mai, arriveraient de très intenses
énergies. Et je me demandais tout simplement si ces intenses énergies sont
toujours avec nous, ou si elles nous ont quittés ? Maintenant, prenez
garde, parce que j'ai la réponse brève à cette question. Je veux juste
m'assurer que vous gérez toujours la situation, ici.
ADAMUS :
(gloussant) Bien. Bien. Excellente question, et c'est la vieille question, si
un arbre tombe dans la forêt et que personne n'est là pour l'entendre, cela
fait-il du bruit ? Si d'intenses énergies arrivent et que vous n'êtes pas
présents dans votre corps, vous n'êtes pas là pour les recevoir, s'en
vont-elles ? Quelle est la réponse ?
AIGLE
BLANC : C'est à vous.
LUC :
Eh bien, peut-être que c'était juste une coïncidence, mais le 10 Mai est le
jour où j'ai quitté mon bureau pour la dernière fois.
ADAMUS :
Ouais. Était-ce une coïncidence ?
LUC :
Je sais que ça ne l'était pas.
ADAMUS :
Y a-t-il des coïncidences ? (le public dit « Non ») Des
erreurs ? (le public répond « Non ») Oh, il y en un peu. (Adamus
glousse) Pas beaucoup. Pas beaucoup.
Donc,
les énergies intenses sont arrivées. La grosse part d'entre elles a duré
environ une semaine et il y a eu beaucoup d'autres après-séismes depuis. Et la
vraie question est sont-elles juste passées ? Sont-elles parties dans une
autre dimension ? La réponse est non. Elles sont toujours disponibles.
Elles planent autour pour un moment, parce que, fondamentalement, ces énergies
sont venues parce que l'humanité les a demandées. Vous les avez demandées.
Donc,
elles reviendront. C'est comme le -je travaille ici avec Cauldre sur
l'analogie- livreur d'UPS ou FedEx. La plupart d'entre vous -vous tous- savez
ce dont il s'agit. Le mec de la livraison avec le drôle de short apparaît, et
il sonne à la porte.
Maintenant,
en théorie, vous allez répondre tout de suite si vous êtes à la maison, si vous
êtes dans votre présence. Il va sonner à nouveau, et va commencer à devenir
impatient, et sonner à nouveau. La troisième fois, avec la formation, on leur
enseigne à laisser une petite note. « Tellement désolé. Nous essaierons à
nouveau. »
C'est
exactement ce qui se passe. Ces énergies sont venues, et vous n'étiez pas
présents, si vous n'étiez pas dans votre présence, elles vont essayer de
revenir. Mais, après la troisième tentative, je suis désolé, le paquet est
retourné à l'expéditeur. (quelqu'un dit « Hmmm ») C'est une
analogie ! (Adamus glousse) Je sais que certains d'entre vous vont
attendre que l'homme d'UPS se manifeste. (rires) C'est une histoire !
(Adamus glousse) « Bonjour, est-ce mon illumination dans cette boite ? »
(rires)
Aigle
Blanc, des commentaires ?
AIGLE
BLANC : Et l'énergie qui est venue, pas seulement en Mai, mais Juin a été
un mois très intense aussi, ces énergies ne sont pas nées dans une galaxie
lointaine et ensuite propulsées dans la conscience de la Terre ; elles
sont nées dans la conscience de la Terre, et le champ morphogénétique humain en
a demandé plus. Et donc, elles s'intègrent avec tout ce que vous êtes et
ensuite, la vague suivante arrive et elle s'intègre avec ce qui est venu en
Mai. Donc, elles
ne partent pas. Elles
se reconditionnent
de façons beaucoup plus douces, parce que ceux d'entre vous qui
étaient là pour l'homme d'UPS étaient capables de recevoir les énergies et de
les intégrer. Et donc, le colis est maintenant sur Terre. Il a été ouvert pour
ceux qui ne peuvent être à la maison pour l'homme d'UPS.
Sachez
donc que tous, vous créez les énergies. Elles ne viennent pas des taches
solaires. Elles proviennent de la croissance de la conscience. Elles deviennent intégrées, reconditionnées. Elles se
déplacent dans une symphonie dynamique, de manière que chacun puisse les
trouver. Vous trouvez votre colis qui ressemble à ceci (elle fait
des gestes) ; un Musulman Shiite trouve son colis qui ressemble à quelque
chose d'autre, mais ils obtiennent tous les mêmes énergies, de façon qu'ils
ouvrent la porte.
Ce
sont des temps excitants, et ceux d'entre vous qui sont bien ancrés, bien
ancrés dans votre présence radieuse, apportent les énergies, les
reconditionnent, et les rayonnent de telle sorte que les autres puissent les
recevoir de la manière dont ils ont besoin. Vous, par votre vie -par votre vie-
rendez un service énorme à l'évolution de l'humanité, sans rien faire.
ADAMUS :
Bien. Excellent. Bonnes questions.
AIGLE
BLANC : Je vous remercie.
ADAMUS :
Suivant.
LINDA :
Une dernière question à lire ?
ADAMUS :
Plusieurs autres, et nous allons toujours commencer par Aigle Blanc,
maintenant.
LINDA :
D'accord, une dernière question à lire.
ADAMUS :
Et il veut des questions difficiles, difficiles, difficiles. Les questions que
vous avez toujours peur de me poser.
LINDA :
Et je lis une dernière question...
ADAMUS :
Oui, s'il vous plaît.
LINDA :
… qui a été envoyée, parce que nous l'avons permis.
ADAMUS :
S'il vous plaît.
QUESTION :
(lue par Linda) De nombreux clients viennent me voir et nous déplaçons beaucoup
d'énergie. Cependant, un portail d'affaires a refusé de m'inscrire comme
conseiller jusqu'à présent, et je me suis cassé un membre. Quelles sont vos
idées, s'il vous plaît ? Merci et un gros câlin.
ADAMUS :
Bien.
AIGLE
BLANC : Nous n'avons pas compris le un peu « cassé un membre ».
LINDA :
Vraiment ?
ADAMUS :
Littéralement ?
LINDA :
Ouais, littéralement.
AIGLE
BLANC : Oh. (en gloussant)
ADAMUS :
Bien.
AIGLE
BLANC : Nous allons simplement dire que, pour cette personne particulière,
ce portail de consultation n'était pas aligné avec l'énergie dont vous aviez
besoin, et vous vous changiez vous-même. Vous deviez manipuler les énergies de
la façon dont vous travaillez, afin de vous intégrer à un portail qui n'était
pas vous. Et ainsi, vous avez été durement touché.
ADAMUS :
Bien. Bien. Et tant des choses que vous faites, que vous essayez et créez, ne
vont pas s'intégrer dans le vieux mécanisme, le courant de l'ancienne manière
de faire les choses. Vous n'allez pas nécessairement être capables de mettre
vos nouvelles créations dans le vieux système. Certaines d'entre elles, oui.
Beaucoup d'entre elles, non. Alors, que faites-vous ? (quelqu'un dit
« Respirer ») Imaginez, respirez, ouvrez les possibilités, et soyez
radieusement présents. Bien. Suivant.
JUNIOR :
Salut.
ADAMUS :
A.J. ?
JUNIOR :
A.J. C'est à propos des aspects. Un jour ou l'autre, lorsque je suis distrait,
ou alors, mes aspects, juste une sorte de congé pour moi et revient comme un
chien qui aboie et voudrait me manger.
ADAMUS :
Oui ! C'est une bonne façon de le poser. Un chien qui aboie et voudrait
vous manger. Oui.
JUNIOR :
Oui, c'est que parfois, ils sont comme... ils deviennent si incontrôlables, et
que devrais-je faire, ou...
ADAMUS :
Bien. Bonne question.
AIGLE
BLANC : Nous avons une petite question à ce sujet, et puis, vous êtes
l'expert en aspects. Il y a toujours un aspect essentiel qui est votre soi
divin. Aussi, lorsque vous voyez apparaître l'aspect chien qui aboie, vous
dites « Bonjour, aspect chien qui aboie. Ce n'est pas moi. » Et si,
c'est une partie de vous, mais ce n'est pas le vous que vous voulez ici. Donc,
vous le mettez sur votre main et vous -fouffffffffff !- le chassez. « Ce n'est pas moi. »
Et ensuite, un autre -fouffffffffff!- « Ce n'est pas moi non
plus. » Parce que nous avons tous ces petites voix que nous ne voulons pas
être moi. Eh bien, choisissez-le maintenant. « Ce n'est pas moi, » et
vous ne faites pas le choix de sa connexion avec vous. Il peut toujours être
vous si vous l'invitez à dîner, mais à ce moment-là, vous ne voulez pas de ce
chien qui aboie.
ADAMUS :
Bon, et en fait, j'aimerais qu'Aandrah intervienne là-dessus avec son expertise
dans les aspects. Le chien qui aboie. Venez, s'il vous plaît.
AANDRAH :
Ce n'est pas le chien qui aboie qui m'intéresse, mais derrière le masque,
derrière le jeu, c'est moi. C'est une partie de moi qui dit « Vas-tu
remarquer, même si je dois aboyer pour attirer ton attention ? Vas-tu
respirer cette compassion et me recevoir, quoi qu'il en soit ? »
Regardez, au-delà de la façade, l'illusion que porte l'aspect. Allez-vous
recevoir et être la voix que vous êtes vraiment ?
Respirez
très profondément. Respirez très profondément. Tombez en amour avec cette
personne qui a tellement peur et qui crie « S'il te plaît, regardes-moi.
S'il te plaît, regardes-moi. » Allez-vous oser vous arrêter ? Soyez
dans votre propre silence. Dites oui. Viens à la maison. Viens à la maison.
ADAMUS :
Bien. Je vous remercie. Question suivante. Encore deux questions et demi.
CHERYL :
C'est toute une question, pas une moitié de question.
ADAMUS :
Oui.
CHERYL :
Pour ceux d'entre nous qui choisissent l'ascension en prenant nos corps avec
nous, y a-t-il des choses que nous devons faire pour permette au corps de
circuler ? Ou bien, devons-nous juste le choisir et permettre que ça
arrive ?
ADAMUS :
Bonne question. Excellente question. Oui, Aigle Blanc.
AIGLE
BLANC : Nous allons vous redonner la main pour celle-là, parce qu'il y a
quelques exemples où, une fois que vous êtes prêts à ascensionner, en fait,
vous voulez votre corps avec vous. Donc, vous pouvez avoir un avis différent
sur ce point.
ADAMUS :
Absolument. Dans l'ascension, il y a l'intégration totale du Corps de
Conscience. Ce n'est pas seulement un attribut physique, mais c'est le mental,
le corps, l'esprit, les aspects, les chiens qui aboient et tout le reste
d'entre eux qui se rejoignent. Ensuite, dans cette ascension, lorsque,
fondamentalement, lorsque vous quittez cette planète vivante, quittez le corps
physique, en fait, le corps physique vous accompagne.
Cela
peut se faire d'une ou deux façons. Il peut se désintégrer, littéralement. Il
peut aller avec vous dans les autres dimensions, ainsi que je l'ai fait, comme
l'ont fait beaucoup d'autres Maîtres Ascensionnés. Nous ne voulons pas laisser
nos os derrière nous. Vous savez, ne jetez pas d'ordures dans la Terre. Vous
savez, emmenez-le avec vous. En d'autres temps, certains Maîtres Ascensionnés,
le corps physique est resté, mais ils ont emporté avec eux tous les attributs
de leur biologie. Pourquoi ? Eh bien, parce que c'était une partie de
votre expérience. Cela demeure pour toujours dans l'essence ou la mémoire de
votre âme. Donc, vous emportez tout... parce que, être dans la réalité physique
est extraordinaire. Vous pouvez avoir du sexe, manger de la nourriture, boire
du vin, sentir l'air, prendre une douche, toucher une autre personne, faire
toutes ces autres choses dans le corps physique. Pourquoi ne voudriez-vous pas
au moins emporter les attributs ? Et ceux qui sont vraiment intégrés et
décidés emporteront aussi la chair et les os. Pas tant pour qu'ils puissent les
créer, littéralement, mais parce que l'illusion de leur réalité disparaît, et
avec elle, tous les éléments qui la composent.
Bon.
Voulez-vous prendre votre corps avec vous ?
CHERYL :
Oui.
ADAMUS :
Pourquoi ? Vous ne voulez pas que les corbeaux viennent le picorer. (ils
gloussent tous les deux)
CHERYL :
Eh bien, vous savez, lorsque vous parlez d'enterrement avec des gens et que je
dis que je ne vais pas en avoir un parce que je ne serai pas là, ils ne
semblent pas comprendre. Et ensuite, lorsque des gens veulent vous vendre un
caveau, et tout, je dis que je n'en ai pas besoin puisque je ne vais pas être
là. Alors les gens disent « Eh bien, que faites-vous de l'assurance, si
vous ne pouvez pas prouver que vous êtes morte ? » Et je dis
« Eh bien, je ne vais pas être là, donc, je ne vais pas me soucier de
ça. » (rires)
ADAMUS :
Comment peut-on prouver qu'on est mort ?
CHERYL :
Comment, le corps. Je veux dire, vous savez, tous les autres voient le corps,
ainsi ils peuvent attester qu'il est mort. C'est ainsi qu'ils peuvent le
prouver.
ADAMUS :
Oui, oui. Non, ça, c'est comment les autres le prouvent, mais comment
pourriez-vous prouver que vous êtes morte ?
CHERYL :
Je préfère prouver que je suis en vie. (ils rient tous les deux) Mais oui, je
veux une pleine et totale intégration, en prenant non seulement les aspects et
les éléments de l'être dans le physique, mais je veux prendre aussi le
physique.
ADAMUS :
Absolument, et c'est l'état le plus naturel. C'est l'état le plus naturel. Dans
un mort -nous pourrions avoir de longues discussions à ce sujet, nous avons-
mais c'est malsain d'enterrer un corps dans le sol, je crois, parce qu'il garde
une grande partie de l'énergie de cet aspect, cette vie passée, coincé sur
Terre. C'est un peu, je suppose, c'est un petit peu morbide que vous vouliez
mettre le corps dans le sol et ensuite avoir tout le monde qui pleure dessus.
C'est juste logique de le prendre avec vous.
CHERYL :
Mm hmm.
ADAMUS :
Oui. Bien.
CHERYL :
D'accord, je vous remercie.
ADAMUS :
Bien. Je vous remercie. Question suivante. Est-ce la demi ou est-ce la
complète ?
MICHELLE :
Je pense que c'est probablement une complète.
ADAMUS :
D'accord, bien.
MICHELLE :
Il y a une raison pour laquelle je n'arrive pas à dormir la nuit. C'est juste
que je continue à penser, et penser, et penser, et je me sens comme si j'avais
perdu ma direction. Et j'ai toujours une sorte de connexion, ou direction, une
sorte de savoir, en général, où je devrais aller ou ce que je devrais faire. Et
je n'ai rien, et j'essaie, j'essaie, j'essaie de le comprendre, et je ne semble
pas obtenir une quelconque réponse, ou je ne sais tout simplement pas ce que je
fais, et je le trouve très difficile.
ADAMUS :
Bonne question.
AIGLE
BLANC : Nous allons donner une demi réponse. (Adamus glousse)
MICHELLE :
Alors, toute aide serait super.
ADAMUS :
Bien.
AIGLE
BLANC : Ainsi, lorsqu'il n'y a pas une direction nette, alors la direction
est clairement de se réjouir du vide. Beaucoup d'entre vous sautent dans
d'énormes changements de conscience. Vous ne pouvez pas le faire pas à pas et
être dans un monde différent. Parfois, vous devez traverser le vide, et le vide
est sans direction, de par sa nature même. C'est sans ancrage. C'est
inconfortable. Et toutes les parties de vos aspects qui n'aiment pas ça
deviennent folles. Et si vous pouvez juste apprécier et embrasser le vide pour
ses qualités de néant et ne pas ressentir que vous devez mal faire quelque
chose, parce que vous n'avez pas de direction ici, embrassez le vide, parce
qu'il est le meilleur enseignant de la nouvelle conscience, et la plupart
d'entre vous le détestent.
C'était
ma demi réponse.
ADAMUS :
En fait, c'était parfaitement dit. Il n'y a rien que je puisse vraiment
ajouter, mais je vais le faire. (rires) Non, très vrai. Vous traversez ce vide,
comme l'a dit Aigle Blanc. Vous passez par la libération de l'ancien chemin
linéaire, et c'est très inconfortable. Aussi votre mental, ayant été
programmé pour penser à travers tout, continue le balayage. « Que
devrais-je faire après ? Qu'est-ce qui me rendra digne ? » Comme
je l'ai dit auparavant, en fait, si rien ne fonctionne, ne faites rien, car
alors, c'est en train de fonctionner. Profitez de... vous libérez les anciennes
passions. Vous libérez les anciens schémas. Pouvez-vous juste être bien dans le
fait que c'est bon de veiller tard et regarder Ancient Aliens ? Et
pouvez-vous être bien avec le fait que vous n'avez pas à faire quoi que ce
soit, vous n'avez pas à avoir une direction. En fait, c'est mieux. Vous voyez,
vous êtes absolument sage, parce que cette autre partie de vous dit « Je
n'ai pas besoin d'une direction. » Par-dessus tout, libérez-vous de tous
vos buts.
MICHELLE :
D'accord.
ADAMUS :
De tous. De tous vos programmes pour ce que les choses sont censées être. Les
buts sont mentaux et restrictifs. Il y a dû avoir un temps où les buts
fonctionnaient. Mais où nous allons maintenant, où vous allez tous, les
buts sont risibles. Ce sont de vraies
plaisanteries. Aussi, laissez-les aller. Et, la meilleure chose, comme l'a dit
Aigle Blanc, prenez du plaisir dans le vide. Ouais.
MICHELLE :
J'essaierai.
ADAMUS :
Et cessez de penser comme un humain.
MICHELLE :
Merci beaucoup.
ADAMUS :
Bien. Encore une question.
SHAUMBRA
2 (une femme) : Ainsi, nous sommes ici, et je voudrais juste vous
remercier d'être là pour moi, comme un reflet de moi-même pendant si longtemps,
car c'est vraiment ma passion. Et, éclatons-nous, parce que nous sommes là.
ADAMUS :
Bien. Je vous remercie.
SHAUMBRA
2 : C'était la demi question.
ADAMUS :
C'était la demi question. (Adamus glousse) Bien. Et nous allons en prendre une
de plus, et ensuite, c'est... mon carrosse m'attend.
LARA :
Donc, j'ai beaucoup travaillé, ces derniers temps, sur l'intégration de mes
aspects, et parfois, je suis un peu confuse quant à savoir si... mes aspects
ont des tas d'idées à propos des trucs que je veux faire. Et j'ai un problème
pour discerner si c'est une idée qui vient d'un de mes aspects non intégrés, ou
si ça vient de mon âme. Donc, j'aimerais un peu de clarté sur ce point.
ADAMUS :
Oh ouais. Il n'y a pas de clarté là-dessus, mais allez-y, Aigle Blanc.
AIGLE
BLANC : Pouvez-vous ressentir la qualité des idées ? Parce qu'une
idée qui vient d'un aspect non intégré n'a pas de rayonnement. Elle n'a pas une
énergie qui peut la propulser vers l'avant. C'est juste une idée, une idée sans
intérêt. Si l'idée a un sentiment, où il y a un courant, où en fait, il y a une
source -une source inépuisable ou une fontaine- alors cette idée est de votre âme. Vous pouvez toujours
ressentir la différence de qualité avant de prendre une décision. Et vous ne
pouvez la ressentir avec votre tête. Vous la ressentez avec votre cœur.
Pouvez-vous voir ce que nous disons ?
LARA :
Oui, je peux le ressentir.
AIGLE
BLANC : Très bien.
ADAMUS :
Ah... l'Aspectologie était un des principaux cours de Tobias. Ça et les
Énergies Sexuelles. Beaucoup de pensée est entrée dans l'Aspectologie
maintenant, et c'est probablement une partie du problème. Vous pouvez arriver
au point où vous êtes tellement pris par les aspects -Est-ce mon
aspect ? » ou « Pourquoi l'aspect est-il un chien qui
grogne ? » Eh bien, parce que vous ne l'avez pas nourri, et parce
qu'il ne vous aime pas. Je veux dire, ces choses sont assez simples.
Donc,
on en vient au point -et ceci est le point de vue d'Adamus sur les choses, un
peu différent peut-être de celui d'Aandrah- mais il arrive un moment, avec vos
aspects, où vous leur dites « Ou vous vous pliez au programme »,
« Ou vous partez tout de suite ». Il arrive un moment où vous dites
« Aspects, je suis responsable, pas vous. Je vous ordonne de me
servir. »
Maintenant,
cela va conduire à toutes sortes de discussions sur le Forum, parce que, eh bien, ils aiment en discuter là-bas.
« Je pensais qu'on était supposés aimer nos aspects. Je pensais qu'on
était censés intégrer nos aspects. » Eh bien, vous avez quelque peu
exagéré, et maintenant, vous les dorlotez, et maintenant, ils travaillent une
fois de plus contre vous, en fait. Donc, il est peut-être temps de vous lever,
de prendre une profonde respiration, d'entrer dans votre présence et dans votre
radiance, et de leur ordonner de vous servir. Vous êtes en train de vous
prendre la tête avec « Était-ce un aspect ? Et que devrais-je
faire ? Et comment puis-je y faire face ? Je ne sais pas quoi faire
avec mes aspects. » A nouveau, ils dirigent la maison.
Prenez une profonde respiration - « Je vous ordonne de
me servir. » Soyez très clairs avec eux. En fait, c'est ce qu'ils veulent.
En fait, ils veulent que vous cessiez d'être une mauviette spirituelle, et en
fait, ils veulent que vous cessiez de penser à eux comme à des aspects. Ils
veulent que vous soyez le patron, voyez-vous.
Vous avez fait une chose intéressante. Vous avez explosé votre vie
-plutôt intéressant, un jeu amusant à faire- de façon à pouvoir réévaluer,
rééquilibrer. Mais maintenant que vous commencez à les mettre ensemble, les
aspects viennent tous, et c'est à nouveau comme une sorte de rivalité pour se
positionner, alors que vous vous reconstruisez. Vous êtes juste très clairs
avec eux, c'est vous, le Je Suis, qui est le patron, et ils n'auront pas
leur ancienne place dans la nouvelle maison. Soyez très clairs. Ils se mettront
au pas très rapidement.
LARA : Je vous remercie.
ADAMUS : Prenons une profonde respiration avec ça, et quand
vous avez un doute, lorsque vous commencez à vous demander, à penser, et
« et si », et tout le reste, vous arrêtez, tout simplement, prenez
une profonde respiration, et vous vous souvenez que c'est tout naturel. Ça
l'est vraiment. Ne mettez pas l'armure. Ne grimpez pas sur le cheval. Ne forcez
pas votre voie dans la vie.
Vous prenez une profonde respiration.
Si quoi que ce soit, votre âme, Aigle Blanc et moi-même, voulons
simplement que vous profitiez de l'expérience. Aussi, prenez une profonde
respiration et souvenez-vous que tout va bien, dans toute la création.
Avec ça, Je Suis Adamus, à votre service. Cessez de trop penser.
Adieu.