LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série e-2012

SHOUD 10 : “La Fin de l'Evolution” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 2 Juin 2012
www.crimsoncircle.com

 

Je suis Adamus, du Royaume Souverain.

Vais-je oser ouvrir les yeux de Cauldre ? (rires) (Sart dit « Ouais, c'est sans danger ». C'est en sécurité. C'est sans danger de contempler ces humains étonnants, ces anges, ces grands êtres qui oublient parfois qui ils sont. Ces grands êtres qui parfois, prennent l'habitude de la souffrance, du manque, mais toujours de grands êtres, quoi qu'ils fassent.

Nous avions l'habitude d'appeler ceci l’École de la Nouvelle Énergie. Changeons cela, en prenant une profonde respiration. Appelons-la l’École de la Vie de l'Ascension, chers Shaumbra. C'est ce que nous faisons ici. L’École de la Vie de l'Ascension. Hm.

Ah oui, s'il vous plaît, ma tenue pour ceci... quelque chose d'un peu plus... oh, le manteau d'abord, bien sûr. (quelqu'un a laissé une cape et un chapeau pour Adamus, et David la pose sur lui ; le public répond « Ah ! ») Je vous remercie. Elle doit être nouée devant. (rires) C'est très approprié. Un peu comme une sorte de vampire.

Édith : On revient à Dracula. (David termine de nouer la cape)

Adamus : Ah, je vous remercie.

David : Et maintenant, votre chapeau, monsieur. (en lui offrant le grand chapeau avec une plume)

Adamus : Ah non, votre chapeau. (rires) Celui-là ! (pointant le béret pourpre de David Ne me donnez pas celui-là, mais le vôtre. (David s'exécute, le public répond « Ah ! ») Ah, mon messager a une grosse tête.

David : En effet.

Adamus : Ah oui. Et des photos, s'il vous plaît. Ah. Avec vous, ma belle, s'il vous plaît.

Linda : Qu'est-ce que je fais ici ? (quelqu'un lui a donné une perruque violette, de style 17ème)

Adamus : Pour les photos. (rires et applaudissements alors qu'ils posent ensemble). Je vous remercie.

Bienvenue à l’École de la Vie de l'Ascension. (riant) Pour ceux qui écoutent pour la première fois, oui, nous faisons des choses un peu différentes, ici. On rit, on se met sur son trente-et-un, on chante, on joue la comédie, on est scandaleux, on est sauvages, on est fous et on revient.

Il a été fait une petite plaisanterie, le mois dernier.

Linda : Je suis désolée. Ce n'était pas... ce n'est pas à vous, à proprement parler. Comprenons-nous bien.

Adamus : Je vous remercie.

Linda : Mon dieu. David, David, David. (Linda ajuste la cape)

Adamus : Hm. Il a dû renoncer à son chapeau.

Le mois dernier, si vous vous souvenez, quelqu'un du nom de Sarducius (beaucoup de rires alors qu'il se réfère à Sart), Sarducius vous a tous hypnotisés, à votre insu. Vous a fait vous habiller dans des tenues profanes. (rires alors qu'Adamus se réfère à la plaisanterie faite à Adamus avec les T-shirts, lors du Shoud précédent).

Sart : Ouais !

Adamus : Vous a fait mettre debout devant la caméra pour que tout le monde voit, et vous a fait dire des petits mots cochons sur votre poitrine. (rires)

Aussi, ce mois-ci, nous voulons lui décerner un certificat spécial, apportant avec lui les sentiments de l'une de mes patries, la Transylvanie ; apportant avec lui la reconnaissance de ses belles actions, de son humour. Nous offrons une récompense très spéciale -si je peux avoir la récompense, s'il vous plaît (à Linda)- en souvenir. Je vous remercie, et s'il vous plaît, avancez. Il mélange les métaphores aujourd'hui. Il est un moine et un Viking. Un moine Viking. (rires alors qu'Adamus se réfère au costume de Sart) C'est quoi, ce bordel ?! Bien sûr, c'est quoi ça aussi ?! Donc... (rires)

Sart : Je ne suis pas sûr !

Adamus : Ainsi, ramenant tous les sentiments de Transylvanie et la reconnaissance de vos belles actions... (éclats de rire et applaudissements alors qu'Adamus montre le certificat qui dit « Va te faire voir ») Juste pour vous, Sarducius. C'est le vôtre.

Sart : Je vous remercie. (rires)

Adamus : Ainsi, chers Shaumbra, nous démarrons avec une chanson, un rire et un sourire en entrant dans ce Shoud.

Les énergies de Mai

Le mois dernier, j'ai parlé d'énergies très puissantes qui arrivaient entre le 10 et le 15 Mai environ. Les énergies cosmiques, les énergies de la Terre, les énergies de l'Esprit, les énergies des Royaumes Près de la Terre, entraient, venant de partout. Je vais demander à Linda d'apporter le  micro au public et vous demander -aux volontaires que Linda va choisir- vous demander si vous l'avez ressenti, et comment ? Démarrons avec ça.

Chère Édith, chère Édith, comment va votre abondance ?

Édith : Elle est magnifique, cher Adamus.

Adamus : Je vous remercie. Voulez-vous vivre ?

Édith : Oui.

Adamus : Bien.

Édith : Je suis là, non ?

Adamus : Alors, vous allez être dans l'abondance. Absolument.

Édith : J'ai été là. Je vais avoir 74 ans le mois prochain. Donnez-moi une pause ! Je traîne ! (le public applaudit)

Adamus : Comment l'avez-vous ressenti, chère Édith ?

Édith : J'ai eu quelques rêves étranges.

Adamus : C'est ça ?

Édith : Exact. Et puis j'ai été dépensière et j’ai acheté votre dernier livre. (rires)

Adamus : Ils vous font payer  pour le livre ?

Édith : Oh, je plaisantais seulement.

Adamus : Ils vous font payer le livre dans lequel il y a tellement de votre énergie ? C'est le vôtre. (il lui donne une copie de son nouveau livre, « Vivez votre Divinité ») Ah, ouais. Je peux faire ça facilement. (rires)

Édith : Wow, je vous remercie.

Adamus : Ah, Merci. Bien. Donc, des rêves bizarres, des cadeaux soudains de l'abondance, semblant venir de nulle part.

Édith : C'est ça.

Adamus : Oui, quoi d'autre ?

Édith : Mmmmm. Je ne sais pas, juste...

Adamus : Étais-je dans vos rêves ?

Édith : … eu un mois agréable. Oh, j'ai fait un tas de …

Adamus : Étais-je dans vos rêves ?

Édith : … choses qui ont rapporté de l'argent. Non. Voyons...

Adamus : Non ?!

Édith : Hm ?

Adamus : Étais-je dans vos rêves ?

Édith : Oh oui, nous dansions le tango.

Adamus : Ah bon. Bien. Et ?

Édith : C'est un mensonge. (rires)

Adamus : Presque 74 ans et tellement alerte.

Édith : Oh, vous voulez que je vous frappe ? N'utilisez pas ce mot « alerte » !

Adamus : Alerte. Pleine d'entrain ! Animée.

Édith : Merci.

Adamus : Et riche. Bien. Bien. Donc, les rêves ?

Édith : Oh, ils étaient bizarres, tout simplement, et je pouvais commencer à me les rappeler, mais je n'ai jamais été capable de m'en souvenir.

Adamus : Les rêves ne sont-ils pas tous bizarres ?

Édith : Ouais.

Adamus : Oui. Bien. Je vous remercie. Merci.

Édith : De rien.

Adamus : Suivant. Les énergies du mois dernier. Qu'avez-vous ressenti ?

Marie Sue : J'aurais besoin d'un peu d'aide là-dessus. Je ne suis pas sûre d'avoir ressenti quelque chose d'inhabituel.

Adamus : Bien. Bien. D'accord. Continuez.

Paul : Aha. Qu'ai-je ressenti ? En fait, c'était très intense, et très rapide.

Adamus : Oui.

Paul : Les rêves plus farfelus que d'habitude. Vous étiez dans tous les farfelus. Oui, ouais. Ouais.

Adamus : Édith était-elle dans vos rêves ? (rires)

Paul : Vous savez, nous revivions ce « l'avez-vous plus facile », vous savez, « ou fou », du mois dernier.

Adamus : Oui. Bien.

Paul : Ouais. Donc, ce choix chaque...

Adamus : Vif ? Intense ?

Paul : Vif, intense. Cependant, j'étais heureux, en quelque sorte, d'arriver à la fin de la semaine.

Adamus : Bien.

Paul : Ouais.

Adamus : Magnifique.

Paul : Bien que ça continue, d'une certaine façon.

Adamus : Ah.

Paul : Ouais.

Adamus : Oui.

Paul : Ouais.

Adamus : Bien. Continuez, Linda. Énergies intenses.

Tiffanie : Je suis tellement heureuse qu'on soit en Juin.

Adamus : (en riant) Ouais.

Tiffanie : Adamus, je vous parle souvent lorsque je suis dans la salle de bains, pour une raison que j'ignore, je ne sais pas. Quand je suis sous la douche, quand je suis, vous savez, que j'utilise la salle de bains.

Adamus : Je garde les yeux fermés.

Tiffanie : Vous savez, je ne sais pas si vous, vous réalisez ça, mais je ris tout le temps. Je suis comme si « Ouais, je parle à nouveau à Adamus. Je suis là, dans la salle de bains.. »

Adamus : Maintenant, pourquoi vais-je parler avec tant d'entre vous, pas seulement dans les toilettes, mais sous la douche ? (quelqu'un dit « L'eau »)

Tiffanie : Est-ce l'eau ?

Adamus : L'eau. Oui, quoi d'autre ?

Tiffanie : La nudité ? (rires)

Adamus : Je porte toujours ma cape. (rires alors qu'il ramène étroitement la cape autour de lui)

Tiffanie : (en riant) Pas toujours ! Pas toujours ! (plus de rires)

Adamus : Et ?

Tiffanie : J'ai eu ces rêves vraiment sympas.

Adamus : Non, revenons à la salle de bains.

Tiffanie : Ah, revenir à la salle de bains ? Eh bien, dans...

Adamus : Et Linda peut répondre, parce qu'elle et Cauldre doivent faire avec ça, tout le temps. Qu'y a-t-il au sujet de la salle de bains ?

Linda : Qu'en est-il ?

Adamus : C'est paisible !

Tiffanie : Oh, tranquille.

Adamus : C'est tranquille ! Combien d'entre vous prennent leur téléphone mobile dans la salle de bains ? Ne répondez pas, je ne veux pas savoir. (Adamus rit) Quand vous entrez là, c'est généralement pour une fonction du corps, et c'est calme.

Linda : Geoff et moi devons toujours avoir des discussions de salle de bains à propos de ne pas parler dans la salle de bains.

Adamus : Pas d'affaires dans la salle de bains, bien sûr. Et, oh, eh bien, les affaires, mais vos propres affaires personnelles, dans la salle de bains. Ainsi, c'est un moment tranquille. Il y a certains moments où, les Maîtres Ascensionnés, les êtres angéliques, nous savons lorsque nous pouvons entrer discrètement pour bavarder avec vous. En règle générale, lorsque vous êtes au volant d'une voiture, mais nous n'avons pas trouvé que cela augmente sensiblement le taux d'accidents, encore moins que l'envoi de texto.

Dans la salle de bains, parce que vous êtes détendus. Sous la douche, c'est tranquille -vous vous inondez d'eau, ou quelquefois, lorsque vous vous maquillez ou que vous vous habillez- l'une des très rares fois. C'est plus difficile de venir vers vous le soir lorsque vous allez vous coucher. Pourquoi ? Parce que vous êtes inquiets de tout. C'est alors que vient le bavardage du mental... le bavardage du mental vient vraiment ensuite. Le bavardage du mental a ce moment réservé avec vous. (Adamus rit)

Nous vous parlons à l'état de rêve, bien sûr, mais alors vous ne vous en souvenez pas et c'est tellement frustrant pour nous. Parfois, lors d'un repas, mais en règle générale, vous faites autre chose lorsque vous mangez. Avez-vous conscience de cela ? Vous regardez une émission de télé, surfez sur Internet, faites des mails, vous faites tellement de choses pendant que vous mangez. Auparavant, nous étions en mesure de passer lorsque vous étiez à table, mais pas tellement maintenant.

Aussi, le « moment des toilettes » est-il une expression populaire dans les royaumes angéliques. « Ooh ! Je vois qu'ils sont sur les toilettes ! Descendons afin d'avoir une conversation sacrée avec eux. » (rires) Bien. Oui.

Tiffanie : Ouais, je vous remercie pour ça.

Adamus : Donc, je suis désolé. Qu'avez-vous ressenti ?

Tiffanie : Mes rêves ont vraiment été sympas, parce que j'ai compris des choses dans mon sommeil.

Adamus : Oui.

Tiffanie : Et alors, lorsque je me réveille, je n'ai pas idée de ce que j'ai compris, mais les choses changent. Alors ouais, ça a vraiment été super. De temps en temps, j'ai juste besoin de dire, ça suffit ce soir. Mon corps a  besoin de dormir ce soir.

Adamus : Oui.

Tiffanie : Mais je n'ai pas... en fait, je n'étais pas là le mois dernier, et vous m'avez tous tellement manqué. Vous m'avez manqué, les gars. Mais je l'ai regardé sur mon ordinateur, et tout le « Rester, ou partir », c'était vraiment énorme pour moi. C'était comme si, eh bien, attendez une minute. N'ai-je pas déjà dit que je vais rester ? Et alors, j'ai réalisé que, pas ces derniers temps.

Adamus : Pas ces derniers temps.

Tiffanie : Comme vous devez garder... comme chaque souffle. Je suis maintenant comme « Oh, je respirais dans... »

Adamus : Oui.

Tiffanie : … donc, oui, je reste maintenant. Oh, je respire dedans à nouveau. D'accord, oui, je reste maintenant. » Donc, à chaque instant, tout simplement.

Adamus : C'est si facile à dire, parfois même avec désinvolture, quand la question est soulevée « Voulez-vous vraiment être ici ? » C'est tellement facile de dire « Oui, bien sûr » mais sans vraiment y mettre de la conviction ou de l'engagement. Et alors, ça revient. La question vous revient à la figure au travers de moi, ou de quelqu'un d'autre, et dit...

Shaumbra 3 : Quand je suis aux toilettes.

Adamus : Voulez-vous vraiment être -aux toilettes- voulez-vous vraiment être ici, aux toilettes ? Oui. Bien. Je vous remercie.

Suivant. Les énergies du mois dernier.

Suzanne : Eh bien, je dois dire que ce n'était pas aussi intense que je l'attendais. Une fois qu'on place une attente, je pense que cela a peut-être changé un peu mon expérience.

Adamus : Et si je n'avais parlé de rien à ce sujet, si j'avais décidé de le garder secret, tout simplement ?

Suzanne : Ouais, je pense qu'on l'aurait ressenti, de toute façon, mais d'être dans l'attente a fait gérer le passage des énergies... vous savez, on savait que ça arrivait, donc je pense, il y avait beaucoup de gens à qui j'ai parlé, qui le savaient, qui l'attendaient, et vous savez, ça a vraiment changé notre expérience, modifié ça, pour nous. Mais j'ai trouvé que tout le mois était intense, en fait.

Adamus : Intense. Oui.

Suzanne : Et pas seulement ces dix jours, et nettement éprouvé beaucoup d'extrêmes entre mon divin et mon état humain.

Adamus : Ah.

Suzanne : Je vais donc m'exprimer ainsi.

Adamus : Beaucoup d'extrêmes. Bien, magnifique. Un peu plus.

Julie : Beaucoup de clarté, et beaucoup de oui.

Adamus : Oui. Pourriez-vous vous mettre debout ?

Julie : Oui, bien sûr. Donc, sans aucun doute, beaucoup de clarté. Juste me souvenir, et juste boum, boum, boum. Juste très vite, vite, vite, vite.

Adamus : Très rapide.

Julie : Et ouais, très rapide, et beaucoup plus facile.

Adamus : Bien. Et à propos de votre corps -votre corps physique ?

Julie : Oh, des tonnes. Donc, comme, les modifications de l'ADN.

Adamus : Oui...

Julie : Se laisser pousser une colonne vertébrale.

Adamus : Ouaiaiaiais !

Julie : Ma colonne vertébrale a juste été ouf.

Adamus : Oui.

Julie : Les choses que je fais habituellement -le yoga, monter à cheval- tout était très bancal.

Adamus : Oui.

Julie : Donc, tout simplement, pris en charge mon corps. Respirer beaucoup, boire beaucoup.

Adamus : Beaucoup de changements.

Julie : J'ai joué avec, vous savez, tous les outils avec lesquels j'ai joué dans le passé, pour le plaisir et me souvenir comment respirer, comment permettre, comment être.

Adamus : Oui. Bien.

Julie : Tellement amusant...

Adamus : Et aussi, juste entre parenthèses, certains d'entre vous avez sans doute remarqué que les vieux outils ne marchent plus si bien, les choses qui fonctionnaient vraiment très bien pour vous dans le passé, tout à coup, ne fonctionnent plus. Et ils ne le feront probablement plus jamais. L'essentiel sera toujours là. Respirer, respirer et respirer vont être là et fonctionner. Mais les autres outils que vous aviez, certains étaient très mentaux, certains plutôt vieux. C'est donc très déconcertant quand les vieux trucs de remplacement que vous aviez, les médicaments de secours que vous utilisiez -littéralement, ou de manière figurative- ne fonctionnent plus, tout simplement. Les médicaments ne semblent pas avoir d'effet comme ils avaient l'habitude de le faire. Ou les plantes, ou n'importe lequel des autres suppléments ne semblent pas fonctionner.

Julie : Et je sens que je peux jouer avec eux, vous savez, consciemment.

Adamus : Oui.

Julie : Je peux ainsi utiliser cette mémoire, tout simplement, cette empreinte...

Adamus : Absolument.

Julie : … pour juste respirer ça dedans. C'est donc plutôt un jeu.

Adamus : Ouais. Bien.

Excellent. Les énergies du mois dernier.

Scott : J'avais regardé le Shoud...

Adamus : Levez-vous ! Levez-vous !

Scott : … Je pense au cinq (Mai) environ, et alors... donc j'étais plutôt, j'avais presque une... je m'attendais à des conséquences négatives comme pour le 10...

Adamus : Vraiment ?

Scott : Ouais, comme... c'était exactement le contraire.

Adamus : Ah ! Ah !

Scott : Je peux me souvenir que le 10, j'étais dans mon lit et les idées créatives affluaient comme si elles étaient folles. J'étais comme, oh merci mon dieu, c'est positif. Donc...

Adamus : Et comment avez-vous sauvegardé ces idées ? En d'autres termes, si souvent, une idée créative va affluer, et l'instant d'après, elle a disparu, même si vous dites que vous allez vous en souvenir. Comment êtes-vous resté connecté avec elles ?

Scott : Certaines au moyen d'Evernote (logiciel type « post-it ») -prenant plus de notes que jamais auparavant- mais certaines, un grand nombre des idées se développaient à partir du meilleur des choses, ainsi, ce n'étaient pas comme des choses que je pourrais oublier plus tard, je pense, parce qu'elles étaient comme, eh bien, je pouvais voir comment elles pourraient avoir besoin de venir plus tard. Mais je peux faire ça, et je peux faire ça, et je peux faire ça. Et ainsi, c'était juste... tout ça était positif pour moi.

Adamus : Bien.

Scott : Jusqu'à un point où je pouvais même à peine dormir, tellement j'étais excité à propos des idées.

Adamus : Oui, absolument.

Scott : Et la chose qui a vraiment résonné aussi était le, dont vous aviez parlé, était le problème... le plus gros changement ce mois-ci, je me souviens, a été les outils de résolution de problème du créatif-mental, plutôt que d'être inquiet à ce sujet. A vrai dire, je voudrais juste y aller, et je serais comme « Oh, c'est une solution ingénieuse pour ça. » Ainsi...

Adamus : Ouais. Excellent.

Scott : Ouais.

Adamus : Excellent. Bien. Chevaucher la vague. Chevaucher la vague.

Linda : Encore ? (Adamus hoche la tête)

Joshua : Eh bien, pour moi, le mois passé a été principalement de la colère, de l'impatience et de la frustration.    

Adamus : Bien. Et c'était comment ? On dirait trois de la même famille. (rires)

Joshua : C'était frustrant, mais aussi très bon.

Adamus : Oui. Est-ce que ça a soulevé et fait bouger des trucs ?

Joshua : Ouais, les deux.

Adamus : Bien. Comment les avez-vous gérés ? Quand ils sont venus à la surface, qu'avez-vous fait ?

Joshua : J'ai explosé.

Adamus : Bien ! Bien, bien. Il a explosé. Non, c'est bien. Contre quelqu'un ?

Joshua : Oui.

Adamus : Ah, pas si bien que ça, à moins que les ayez prévenus auparavant, ou avec beaucoup d'argent après. (quelques rires)

Linda : Vous êtes un mec assez discret. Ça fait quoi d'exploser ?

Joshua : C'était un peu pénible.

Adamus : Ouais. Vocal ?

Joshua : Vocal aussi.

Adamus : Bien, bien. Bien. De nombreuses pensées folles durant le mois ?

Joshua : Pas tellement.

Adamus : Ah. Attendez ce mois-ci. (rires) Bien. Très honnête. J'apprécie ça. J'apprécie ça. Bien.

Suivant. Comment était le mois ? (elle soupire profondément) Oh, d'accord.

Gabrielle : Non, la première pensée que j'ai eue lorsque vous avez dit ça « Oh, voici un implant subtil. »

Adamus : Mm hmm.

Gabrielle : Ouais. Et non, ce n'était pas très différent du reste du mois.

Adamus : Comment était le reste du mois ?

Gabrielle : Intense !

Adamus : Ah. (elle rit) Intense de chez intense. Bien. Bien. Comment vous sentez-vous en ce moment, physiquement ?

Gabrielle : Bien.

Adamus : Bien. Mentalement ?

Gabrielle : Un peu fatiguée.

Adamus : Fatiguée.

Gabrielle : Ouais.

Adamus : Oui. Bien. Et vous devriez l'être.

Gabrielle : Pourquoi ?

Adamus : Du fait de l'intensité qui affecte le corps, et sans aucun doute affecte le mental. Vous êtes ici dans un environnement différent. Vous traversez beaucoup de ménage et de réorganisation.

Gabrielle : Ouais, c'est vrai.

Adamus : Mais ça va vous fatiguer. Parfois, la fatigue est une bonne chose. Je sais que les humains n'aiment pas être fatigués, mais quelle est l'évaluation d'être fatigué ? Quelqu'un crie « Vous dormez ! ») Cela vous fait sortir de votre mental. Quand vous êtes vraiment fatigués, le mental ne fait pas son suivi classique. En fait, vous êtes plus dans le ressenti lorsque vous êtes fatigués. Bien. Encore un peu.

Kari : Eh bien, ce dimanche, ma fille et son amie sont venues et m'ont aidée à réorganiser mon appartement. J'y avais déjà travaillé pendant un grand moment. Mon amie Joanie, ici, avait travaillé avec moi, et nous avons continué de travailler avec cette énergie extraordinaire. Transformé ma chambre. Nous nous sommes débarrassées du lit. Nous avons installé un beau cache-lit. Nous avons transformé et fait ce beau bureau à domicile.

Adamus : Bien.

Kari : Nous avons travaillé ensemble de manière à, vous savez, à aider les gens à vivre plus longtemps, être en meilleure santé, à être plus heureux et plus riches. C'est notre objectif. J'ai l'impression que c'est ma mission divine.

Adamus : Bien. Oubliez l'objectif.

Kari : Si. Ouais.

Adamus : Les objectifs vampirisent.

Kari : Ouais, je suis d'accord.

Adamus : Ils le font vraiment.

Kari : Mauvais mot. Mauvais mot, je suis d'accord. Je suis d'accord.

Adamus : Mais faites-le juste avec la passion. Faites avec la passion.

Kari : Oui.

Adamus : Oui, absolument. Bien.

Kari : Génial.

Adamus : Donc, du ménage, au sens propre, de la réorganisation, ce qui indique généralement qu'il se passe aussi quelque chose à l'intérieur.

Kari : Exact.

Adamus : Comment vous sentez-vous en ce moment ?

Kari : Oh, je suis excitée. Et j'ai toutes sortes d'énergie...

Adamus : Physiquement ?

Kari : Physiquement.

Adamus : Bien.

Kari : Ouais. Je ne dors pas beaucoup. Je vais, je vais, je vais.

Adamus : Ah ! Ah !

Kari : Alors, j'ai été très fatiguée. Je ne me suis pas réveillée ce matin et l'ai fait avec peine, ici. Alors, mais, ouais, je viens juste... je me sens bien. Je me sens bien de partout.

Adamus : Bien. Bien. Encore deux.

Joyce : Euh, voyons.

Adamus : Un peu chaud. (Adamus enlève la cape)

Joyce : Un peu... oh, que feriez-vous... comment voulez-vous... vibrant. En en faisant trop, en suivant ma fille partout, et le petit-fils, et je ne peux pas prendre les rues piétonnes, et tous ces gens et ma fille qui me disent quoi faire, tout le temps. (elle rit nerveusement) Alors, je suis juste...

Adamus : Ainsi, c'était comment pour vous ? Intense ? Frustrant ? Exaspérant ?

Joyce : Intense, frustrant, mais ensuite, rentrons à la maison et faisons vite un petit somme.

Adamus : Oui. Je suis désolé, mais...

Joyce : Rentrons à la maison et faisons vraiment une petite sieste vite fait. Je n'en peux plus. (elle rit nerveusement alors qu'Adamus s'approche pour l'observer de près)

Adamus : Il y a plus d'esprit dans vos yeux.

Joyce : Il y en a plus ?

Adamus : Plus de vie dans vos yeux, absolument.

Joyce : Oh, je me sens bien, maintenant.

Adamus : Oui, bien. Bien.

Joyce : Ouais. Tout va bien.

Adamus : Excellent. Bien. Encore une.

Doris : C'est bon d'être ici. Ça a été deux mois intenses. Sachant ce que je voulais, sachant quelle était ma passion, pas ralenti suffisamment longtemps pour la fonder, ralenti au cours des deux dernières semaines, l'ai possédée, et suis arrivée à une clarté comme jamais auparavant.

Adamus : Excellent.

Doris : Ouais.

Adamus : Excellent.

Doris : C'est une chose géniale. C'était intense, et quand je devenais trop occupée, je ralentissais tout simplement, respirais et maintenais mon équilibre.

Adamus : Bien.

Doris : Et j'ai une clarté de folie, en ce moment.

Adamus : Bien, parce que je n'ai rien implanté au sujet des énergies. Elles sont très réelles. Je voulais donner à chacun une info à leur sujet afin qu'ils sachent ce qui venait, avant qu'elles n'arrivent. Mais la clarté que j'ai implantée, oui.

Doris : Je vous remercie.

Adamus : Bien. Ouais. Bien. La clarté, quelle chose merveilleuse. Avoir la clarté, la compréhension. Encore un.

Linda : Un de plus ?

Adamus : Un de plus. Marie, comment était le mois ?

Marie : Il était excellent.

Adamus : Bien.

Marie : J'ai passé la semaine sans même savoir si quoi que ce soit était différent. Mais il semblait, tout de suite après, que l'énergie était plus intense, et j'ai fait un peu de création par la suite.

Adamus : Bien.

Marie : Et j'ai pris conscience que c'était ma passion. Créer, tout simplement.

Adamus : Magnifique. Qu'avez-vous créé ?

Marie : J'ai créé un groupe pour se rencontrer tous ensemble, se rencontrer en personne.

Adamus : Oui. Des personnes réelles, ou imaginaires ?

Marie : Non, des personnes réelles. Des personnes réelles. (quelques rires)

Adamus : On ne sait jamais, avec Shaumbra. C'est bien. On peut avoir un groupe avec des personnes imaginaires, c'est quelquefois plus amusant et ils partent à l'heure. (rires)

Marie : Et aussi, j'avance avec mon nouveau site web, et des tas de choses.

Adamus : Bien. Bien.

Marie : Ouais.

Adamus : Excellent.

Marie : Je vous remercie.

Adamus : Donc, je vous remercie.

C'était donc beaucoup d'énergies intenses qui sont venues. J'ai voulu parler d'elles, ainsi vous avez compris en avance, fait un peu de préparation.

Les Effets de l'Énergie sur Terre

Ces énergies qui sont venues sur Terre sont maintenant absorbées dedans, un peu comme une éponge absorberait l'eau ; absorbées dans la Terre, absorbées dans les gens. La plupart des gens -la plupart- n'ont pas vraiment remarqué quoi que ce soit d'énorme, hors de l'ordinaire, pendant cette période. Vous avez probablement -vous, Shaumbra, partout dans le monde- avez probablement remarqué plus, parce que vous êtes plus sensibles aux énergies,  maintenant.

Ces énergies sont en train d'absorber, en ce moment. Juin devrait être un mois intéressant, pas nécessairement pour vous. Je dirais que Juin sera un mois relativement calme, ou un mois fluide pour vous. Pas ennuyeux du tout, mais un mois fluide. Le reste du monde ? Ils vont commencer à ressentir cette intensité. Vous prenez la combinaison de certains évènements solaires et astrologiques qui ont lieu, la chaleur de l'été – juste la chaleur ; vous savez, oubliez toutes ces énergies farfelues, juste le temps plus chaud- et le temps étrange – le temps étrange, étrange, étrange- ça va affecter les gens. Ça va les frapper d'abord dans leurs corps, parce que ces énergies qui arrivent servent un but magnifique.

Tout d'abord, elles soutiennent, ou facilitent le changement physique dans le modèle de l'homme -le corps d'Adam Kadmon- changeant littéralement l'ADN, changeant la structure biologique, séparant littéralement ou désintégrant certaines énergies Atlantes de conformité qui ont tellement fait partie de votre biologie. Particulièrement, pour ceux qui sont prêts, et il n'y en a pas beaucoup, en fait -étrange appareil (regardant un nouveau ventilateur sur l'espace scénique)- il n'y en a pas beaucoup, mais pour ceux qui sont prêts, cette énergie va littéralement rentrer dans leur biologie et commencer à les sortir des  caractéristiques héréditaires de leurs familles, les sortant de leur karma ancestral, et ils vont le remarquer d'abord dans leur corps.

Si souvent, Shaumbra, vous regardez dans le miroir, vous contemplez votre corps, et c'est vraiment juste, dans un sens, un sous-produit de vos ancêtres. Pas tant de votre choix, vraiment, en dehors des accoutrements que vous mettez  dessus ou de la manière dont vous vous habillez. Mais votre corps -votre corps physique- est un simple sous-produit de vos maudits ancêtres. Ouais. Pour le meilleur, ou pour le pire, vous voyez. Ce qui se passe maintenant, alors que ces énergies arrivent, pour ceux qui sont prêts, ça vous démonte, ça vous sort de ça, ça vous sort de tout ce truc ancestral.

Certains comprennent mal les mots que je dis. Ils pensent qu'il s'agit d'être anti-famille. Les familles sont formidables -aussi longtemps que vous ne vous investissez pas dedans karmiquement. Tant que vous n'avez pas perdu à la loterie et n'avez pas fini avec certaines caractéristiques. Ce corps... (il fait signe à quelqu'un) Non, ce  corps... (il fait signe à Sart, à la place) Ce corps devrait être et peut être le sous-produit de votre propre passion, de votre âme, et de votre choix. Que dis-je avec ça ? Je dis qu'avec ces intenses énergies qui arrivent, vous pouvez littéralement transformer votre corps, si vous le choisissez ; votre allure. Vous pouvez commencer à transformer certaines caractéristiques.

Cependant, si vous ne le choisissez pas, cela ne va probablement pas arriver à un tel degré. Mais si vous dites « Hé, c'est mon  corps ; il n'appartient plus à cette lignée ancestrale. C'est ma vie ; ce n'est pas seulement un sous-produit des aspects de ma vie passée. C'est mon mental ; ce n'est pas simplement un sous-produit de programmation hypnotique. Je Suis ce que Je Suis. » Alors, vous voyez, vous commencez littéralement à transformer votre corps, votre mental, votre identité.

Auparavant, nous avons parlé des noms. Beaucoup d'entre vous -certains d'entre vous- avez changé votre nom. C'est parfaitement compréhensible, parce que cet autre nom vous avait généralement été donné par vos parents. Je veux dire, regardez votre nom. Vous seriez-vous appelé comme ça ? Probablement pas. Non pas que votre nom soit détestable, mais vous  ne vous seriez probablement pas appelé ainsi.

Ainsi, vous commencez cette totale transformation. Ces énergies qui sont arrivées le mois dernier -énormes- sont ce que j'appellerais les énergies de séparation. Les énergies de séparation.

Les Énergies de la Séparation

Maintenant, il va sembler y avoir une contradiction dans ce que je dis aujourd'hui -si vous restez éveillés durant tout le truc- parce que plus tard, vous allez dire « Mais vous venez juste de dire qu'il s'agissait de séparation, et maintenant vous dites qu'il s'agit d'intégration. Lequel est-ce ? » C'est les deux à la fois. Les deux. Pourquoi ? Fréquemment, lorsque des énergies adverses, produites par une conscience fracturée -pour la plupart, pensée de mental fracturé, mais parfois, la conscience- des énergies adverses sont produites ensemble... il veut s'asseoir (parlant de Cauldre, Adamus s’assoit un instant) Elles sont produites ensemble, dans le même vaisseau. (Adamus se relève)

Linda : Super.

Adamus : Je me suis assis ! (rires) Elles sont produites ensemble, dans le même vaisseau, dans votre corps même. Ça peut être des énergies très adverses, votre mental. Elles sont presque fondues, liées ou fusionnées, même si elles sont opposées. Les caractéristiques -vos désirs par rapport à ce qui se manifeste dans votre vie- très opposées ou très différentes.

La chose étonnante est que les humains ont été capables de faire ça -saisir des concepts et de l'énergie ici, attraper des théories et des pensées là-bas- totalement ce qui semblerait, dans sa forme simple, très opposé, mais vous avez été capable de les introduire, de les rouler toutes ensemble, de les compresser toutes ensemble et de les fondre toutes ensemble, et elles ne doivent pas nécessairement rester ensemble, en fin de compte.

Ce que vous êtes en train de vivre en ce moment est une période de séparation. Séparation d'avec des choses qui ne vous servent plus vraiment, d'avec des concepts qui venaient vraiment du passé -plus nécessairement les vôtres- par des manifestations qui sans aucun doute ne sont vraiment pas les vôtres. Mais, quelques-unes des manifestations, certaines des choses qui se passent en ce moment dans votre vie, sont simplement dues à des vieilles routines et des modèles instaurés il y a longtemps. Ils ont été mis en pilote automatique, et ils continuent. Ils continuent de jouer. Ils continuent de reproduire les mêmes résultats, même si votre mental, vos croyances, votre conscience dit « Non, je veux quelque chose de différent. »

Donc, vous avez fait rentrer ces extraordinaires énergies massives, et dit, en gros « J'ai besoin de quelque chose pour démolir tout ce fatras. Pour le démêler. » Et le fait est que beaucoup d'entre vous l'avez fait avec élégance. Beaucoup d'entre vous l'avez fait sans courbatures graves, parce que c'est généralement la première chose qui se passe -de graves courbatures durant cette période- parce que vous allez ressentir les choses d'abord dans votre corps. Alors que les vieilles théories sont démêlées, vous allez ressentir des maux et des douleurs. Votre colonne vertébrale, vos épaules, votre tête -ce genre de choses.

La bonne nouvelle, c'est que vous avez été capables de respirer à travers elles. Vous n'êtes pas rentrés dans le mental à leur sujet. Vous ne vous êtes pas affolés à leur propos. Et alors même que nous sommes assis ici, en ce moment, il y a une énorme quantité de transformation continue dans votre corps.

Et j'ai soulevé la question de votre karma ancestral. C'est l'un des plus grands, l'une des plus grandes retenues que vous avez à votre corps, une des choses qui vous lie à lui. Ce n'est pas que vos ancêtres aient eu de mauvais gênes ou des attributs malades, bien qu'il y ait quelques caractéristiques de la maladie qui se soient tissées dans tout cela. Ce n'est pas que cela ait été mauvais, c'est juste que ce ne sont pas les vôtres. Juste que ce ne sont pas les vôtres.

Et la question devient « Qu'est-ce ? » La question que j'ai ici pour vous est, disons que le corps peut être transformé. Que choisissez-vous ? Que voulez-vous ? Eh bien, la première chose devrait être une libération de certaines de ces maladies ancestrales -maladie de cœur, diabète, cancer. Ainsi, beaucoup de ces choses circulent littéralement au travers de votre lignée ancestrale, circulant dans votre corps même. Votre corps est rempli de maladies potentielles, en ce moment, qui se sont répandues en lui.

Et ce n'est pas juste la maladie, c'est la racine de la maladie même qui transparaît, aussi bien. Qu'est-ce qui cause le cancer ? (quelqu'un dit « la haine ») La haine. Ainsi, la haine démarre le processus et ensuite, cette énergie du cancer circule partout, elle entre dans le karma ancestral, dans votre sang, dans votre ADN, et c'est là. Ce n'est pas vraiment le vôtre. Il ne vous appartient pas. Comme beaucoup d'autres choses.

Donc maintenant, en ce moment -je veux dire, en ce moment même, ici, en cet instant merveilleux- est un grand moment pour laisser aller tout ça. Ce ne sont vraiment pas les vôtres.

Des choses comme le vieillissement, bien sûr. Tout le monde veut être plus jeune. Mais, même les attributs de la vieillesse -vous pouvez suivre sur un graphique combien de temps vos ancêtres ont vécu ou quand ils sont morts- cela ne vous appartient vraiment pas non plus. (Linda lui tend un verre) Je vous remercie. Cela ne vous appartient plus non plus, ainsi, vous pouvez laisser aller celui-là. Cela signifie-t-il que vous allez soudain devenir plus jeune ? Eh, peut-être. C'est possible. Vous allez commencer à agir de façon un peu plus jeune, parce que vous n'avez pas cette superposition du tic-tac de l'horloge, de « Ma mère a seulement vécu jusqu'à 74 ans ; mon père est mort quand il avait 58 ans. » Ainsi, vous ressentez ce tic-tac d'horloge à l'intérieur de vous. Eh bien, c'est. C'est programmé juste là. Vous laissez ça aller. Ça ne signifie pas forcément que vous allez devenir plus jeune, mais vous n'allez plus être sur l'horloge de la mort biologique de quelqu'un d'autre.

D'autres attributs, vos attributs physiques. Porter du poids peut beaucoup  plus être quelque chose de vos ancêtres. Ainsi, vous héritez de ça. Vous apportez ça.

Mes chers amis, cette énergie qui vient juste d'arriver est là pour vous soutenir dans la séparation aimante d'avec les choses qui ne sont pas les vôtres. Et, devinez quoi ? Vous ne pouvez pas faire ça depuis votre mental. Vous avez essayé. Ça ne fonctionne pas. Vous avez essayé de dire « Je vais me forcer à changer de cette façon. Je vais me forcer à être plus mince, à être plus jeune. » Marche pas. C'est très mental. Le mental ne peut pas stimuler suffisamment d'énergie pour y arriver.

L'énergie vient de la passion et de la clarté. Le mental peut penser tout ce qu'il veut, mais il ne peut jamais arriver à vous faire perdre 10, 20, 30 livres (4,5 kg, 9 kg, 13 kg). En fait, tout le contraire. Vous vous duperez -votre mental vous dupera- pendant une courte période, pensant que vous perdez du poids, et vous montez sur la balance et vous pourriez être... Devinez quoi ? Tout le temps, vous avez cette autre énergie au travail, intégrée, ce n'est vraiment pas la vôtre, en fait, elle vous fait déjà reprendre les kilos, et même plus. Même plus. Remarquez, lorsque vous faites un régime ? Aussitôt que vous arrêtez, vous prenez encore plus.

Ces énergies qui viennent d'arriver, si vous les inspirez, si vous avez confiance en vous, profitez de la vie, cessez de vous inquiéter des choses, en fait, elles soutiennent la libération de beaucoup, beaucoup, beaucoup de vieux systèmes, de systèmes minables, de choses qui vraiment n'étaient pas à vous. Dans le mental -c'est là où ça vient après- dans le mental, et c'est ce que vous allez remarquer plus, en Juin. Celles-ci s'absorbent.

Ça va commencer par aller dans les constructions mentales. Pas seulement les systèmes de croyances, mais littéralement la façon dont le mental fonctionne, traite l'énergie et émet vos pensées.

Combien de vos pensées ne sont pas les vôtres ? Devinez. (le public donne des réponses variées) Quelque part, entre 90 et 95 pour cent ne sont vraiment pas à vous. Ne sont vraiment pas à vous. Elles viennent des aspects. Elles viennent de la conscience de masse. Elles viennent de la personne assise à côté de vous. Elles proviennent d'enregistrements historiques, ou de banques de mémoires du mental. Et quand je dis les banques de mémoire du mental, ne sont vraiment pas les vôtres. Vraiment pas les vôtres. C'est une séparation.

Séparation. Pourquoi ? Parce que ces pensées du mental, qui sont emmagasinées là, en particulier celles des catégories de systèmes de croyances, de peurs, d'inquiétudes, ces genres de choses, celles-ci furent développées quand vous étiez très jeunes, pour la plupart -leur fondement- ou même dans une autre vie. Elles furent développées dans une vie antérieure, même si c'était dans la même période biologique que celle où vous êtes maintenant. En d'autres termes, vous aviez 10, 20 ou 30 ans, ça n'a pas d'importance. C'était une autre vie. C'était une autre vie. Ça l'était vraiment, et ce n'était pas forcément la vôtre.

Ainsi, ces énergies de séparation arrivent pour que ce soit plus facile de supprimer ça. Que pouvez-vous faire ? Eh bien, la meilleure chose à faire est de regarder un bon film et de rire. La meilleure chose est de ne pas s'en inquiéter, parce que vous les avez appelées ici. Vous avez demandé ces énergies intenses, et elles doivent être intenses pour réussir ce genre de choses. Vous avez appelé pour qu'elles soient là.

Maintenant, vous n'avez pas besoin de faire quoi que ce soit, vraiment, en dehors de respirer un peu, vous souvenir un peu de vos choix, revenir un peu sur la raison pour laquelle vous êtes toujours ici sur cette planète, le cœur même de la question que je pose -voulez-vous rester, ou voulez-vous partir ? Où est la musique ? (Adamus glousse, en se référant au résumé vidéo du Shoud précédent)

Donc, ce mois-ci, vous allez remarquer que c'est plus dans le mental. Mais, comme certains d'entre vous, ça peut être une balade de joie. Ça ne doit pas être l'ancienne façon de le faire -en passant par la dépression. Certains le feront. Certains le feront.

Vous savez, c'était, je dirais une partie de vous, votre essence véritable, a dit en gros « Ça n'a pas d'importance ! » La plupart d'entre vous a réellement dit ça « Peu importe ce que ça demande. Je veux juste que ce soit fait. Je me fiche de ce que ça exige pour sortir de ce schéma, de l'ancien processus humain. » Et je comprends, oh, je comprends. Ayant été enfermé dans un cristal pendant... vous ai-je raconté cette histoire ? (quelques rires) Voudriez-vous l'entendre à nouveau ? Certains... il y en a quelques-uns qui n'ont pas entendu l'histoire. Vous l'avez entendue deux fois, oui.

Donc, je comprends sincèrement. Et alors, vous essayez de vous en sortir par tous les moyens. Vous essayez de croire en votre salut. De faire des concessions pour votre salut, de vous mentir sur votre salut, quoi que cela vous demande, jusqu'à ce que finalement, finalement, vous laissiez aller et disiez « Je m'en fiche. » Alors, les énergies peuvent venir, et ensuite, elles le font pour vous, vraiment. Vous pouvez chevaucher cette incroyable vague de la séparation.

Mais pourquoi la séparation ? N'avez-vous pas suffisamment traversé ça ? Non. Pourquoi la séparation en ce moment ?

Bien sûr, ça  décolle certaines des choses dans lesquelles vous étiez coincés. Ça décolle les énergies qui ne devraient vraiment plus être ensemble -dans les systèmes de croyance, dans votre biologie, votre karma ancestral, vos relations avec vos vies passées et tout le reste de cela- ça le décolle. Mais qu'est-ce que ça fait réellement ? (quelqu'un dit « ça nous libère ? ») La liberté. Absolument. Absolument. Ça le libère. Ça vous  libère. Et n'est-ce pas cela que nous avons vraiment demandé ? (le public acquiesce)

La liberté. La liberté de vivre hors du passé. La liberté de vivre hors de la conscience de masse. La liberté de vivre au-delà des vieilles idées. La liberté de se dégager des vieux schémas. La liberté, c'est vraiment ce que vous avez demandé. La liberté pour vous-même.

Oh, pourquoi tant d'entre vous veulent chanter, tout simplement, au propre comme au figuré. Combien veulent monter en flèche, veulent se libérer. Vous pouvez presque le sentir. Vous y êtes presque. C'est comme « Oh, juste cette dernière poussée, et j'y serai, » et cette dernière poussée, en fait, c'était ces énergies entrantes. Et elles vous libèrent. Elles vont mettre certaines personnes dans la dèche. Certaines personnes qui n'ont pas roulé leur bosse comme vous l'avez fait. Vraiment. Vraiment. Certaines personnes, en particulier, qui sont pleines de makyo.

C'est quoi, makyo ? (le public répond « Des conneries ») Vous voyez, je n'ai plus besoin de le dire. Makyo, c'est vos distractions spirituelles. Makyo... il arrive lorsque commence le processus de l'éveil. C'est comme, juste quand vous vous sentez vraiment bien, vous allez faire ce truc de l'éveil, vous allez être spirituel, c'est alors que le makyo arrive, vraiment. Je veux dire, à la pelle, dans les multiplicateurs de makyo. Vous l'avez tous vu. Vous l'avez tous fait. Vous l'avez tous vécu. Mais ce makyo arrive et ces énergies de séparation vont le mettre dehors.

Il y a beaucoup de gens qui sont investis dans leur makyo. Profondément investis dans le makyo. Je veux dire, littéralement, une entreprise. Makyo d'affaires, makyo d'affaires spirituelles, makyo de livres spirituels. Ils sont très profondément investis dans leur makyo, ainsi il leur est très difficile de laisser aller. Je vous remercie beaucoup, vous tous, pour avoir compris tout d'abord ce qu'était le makyo, et ensuite, de l'avoir laissé aller. Vous éclatant avec vous-même.

Donc, ces énergies, une chose extraordinaire. Mais elles concernent la séparation. Pourquoi ? Parce que la séparation vous donne la liberté. La séparation libère beaucoup d'énergie. Libère une énorme quantité d'énergie.

Imaginez que vous allez dans un asile de fous et que vous déverrouillez toutes les portes et laissez tout le monde sortir. (rires) C'est mieux pour l'asile de fous. Ça ne demande pas tant d'entretenir l'endroit. Tout le monde est parti. Et les êtres qui étaient là n'étaient pas à vous, pour commencer. Peut-être que vous pourriez transformer l'asile d'aliénés en un véritable centre spirituel, maintenant. Cela a été une maison folle. Elle a enfermé tout le monde. Mais, en réalité, ils vous avaient enfermés, jusqu'à ce que vous apportiez cette clé maîtresse et disiez « Je vais les laisser tous sortir. Je ne peux m'en occuper plus longtemps. Je ne peux les gérer. Ils ne s'améliorent pas. Ils s'aggravent, et par-dessus tout, je vais être moi-même dans cet endroit. »

Ainsi, vous entrez et tournez la clé, les laissez tous sortir, libérant une énorme quantité d'énergie. Et une fois qu'ils sont relâchés, en fait, ils vont mieux. Une fois qu'ils sont dehors, vous êtes soulagés de beaucoup de responsabilité et de l'obligation d'essayer de traiter les fous. Et vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas vous traiter comme ça, vous voyez.

Donc, c'est un temps génial d'émerveillement, d'émerveillement absolu, qui se passe.

En Juin, vous allez plus le ressentir en train de refaire la structuration du mental. Ça va entrer, ça va évacuer des tas de vieilles choses qui ne vous appartiennent vraiment pas. Le ménage -en passant par la réorganisation, littéralement. Cela va changer aussi la façon dont les énergies sont absorbées par le mental et utilisées pour le traitement. Le plus gros facteur est ce dont nous avons parlé les deux derniers mois : la fusion maintenant, ou le retour à l'harmonie, du mental et du créatif.

Le mental a été le fou enfermé dans la poubelle. Vous l'avez relâché, découvert qu'après tout, il n'était pas vraiment fou. Le truc fou, c'était de le mettre à la poubelle, dans cet asile de fous. Vous l'avez fait sortir et maintenant, il peut se mêler au créatif -étonnante créativité- création qui va être profonde, et je vais en parler dans un instant. Et je vais parler de ce qu'il faut vraiment faire pour l'ancrer.

Nouvelles idées. Des idées qui viennent de votre cerveau, de vous, tellement grandioses, tellement dynamiques, vous allez penser qu'elles sont folles. Vous allez vous retenir sur certaines choses qui commencent à se réaliser. Vous allez dire « Je ne peux pas parler de ça aux gens. Ils vont penser que je suis cinglé. » Et quand vous le faites, je vais être là pour dire « Non. Parlez. Dites. Arf !  Sortez ces idées ! Parlez-en ! Faites-les ! Pourquoi ? Eh bien, si vous ne le faites pas, vous allez vraiment être déçu par vous-même, et vous allez retourner à l'asile de fous. Si vous ne le faites pas, le monde ne bénéficiera pas de ces idées grandioses.

Donc, ce mois sera un mois très, très intéressant du point de vue du mental. Le reste du monde va aller en enfer, mais vous allez surfer sur la vague.

En parlant de cela, croyez-vous vraiment faire ces choses ?! (en parlant de l'épée Viking de Sart) Pensez-vous vraiment les porter lors de nos réunions sacrées ?

Sart : Ouais. (rires)

Adamus : Ouais ! Et de quoi est-elle le symbole ? (le public donne diverses réponses) Quel symbole représente-t-elle ? La séparation ! (Adamus « coupe » quelque chose avec)

Sart : La séparation !

Adamus : La séparation. Vous saviez cela. Bien. La séparation. Je vous remercie. Je vous remercie.

Sart : De rien.

Adamus : C'est la clé. C'est ce que vous utilisez pour couper le cadenas sur l'asile de fous. Suivant.

Sart : Je suis sorti de mon cristal !

Adamus : Suivant, chers Shaumbra. Prenons une profonde respiration alors que je vérifie l'heure. Assurez-vous que nous avons suffisamment de temps pour toutes ces informations.

Merabh

Suivant. Au cours des deux derniers mois, et lors de certaines de nos réunions, j'ai parlé d'un merabh. Linda, pourriez-vous s'il vous plaît, écrire cela sur le tableau. Merabh.

Linda : Comment l'orthographiez-vous ?

Adamus : De la même façon que la dernière fois.

Linda : Je ne sais pas !

Adamus : (gloussant) M-e-r-a-... oups. M-e-r-a-b-h. Merabh.

Que signifie Merabh ? En fait, cela signifie littéralement, dans certaines langues anciennes, cela parle d'achèvement, d'action de rassembler. L'action de réunir. La complétude. Et c'est pourquoi je dis qu'il y a un peu de contradiction, parce que je parle de la séparation, et maintenant, je parle de complétude. Mais pour être complet, vous devez être séparé. (quelques rires) En d'autres termes, pour trier, passer au crible, délier, défaire. L'anormal rapprochant de certaines forces.

Ce n'est pas normal que votre corps soit basé sur quelqu'un d'autre, qui est mort depuis longtemps.

Ce n'est pas normal d'avoir des pensées qui sont figées, piégées, qui ne sont pas fluides.

Ce n'est pas normal de ne pas savoir pour qui vous vous prenez, bon sang. C'est très anormal.

Ce n'est pas normal de ne pas vraiment comprendre comment vous êtes arrivés ici en premier lieu, et comment vous allez en sortir.

Ces choses sont anormales. Très étranges et anormales. Je dois souvent me demander pourquoi vous choisissez des choses tellement anormales, mais je suppose que vous êtes Shaumbra... et humains.

Un merabh signifie la complétude.

Une fois que les énergies, qui ont été liées ensemble, collées et soudées ensemble, sont déchirées et libérées, alors vous pouvez revenir à la complétude, qui est un merabh. Ma définition, ou mon expérience, avec un merabh, travaille avec vous et dit « Si vous le laissez arriver, tout simplement. » Vous prenez trois minutes. Est-ce trop pour votre illumination ? Si vous prenez juste trois minutes et que vous faites quelques respirations. Trois minutes à écouter de la musique agréable.

Ah ! Merci, mon chéri. (parlant à un enfant qui a apporté une assiette de nourriture à sa mère) Tu n'en as pas pris une pour l'Oncle Adamus ? (quelques rires) Même nous, les fantômes, nous avons besoin de manger de temps en temps. (Adamus glousse) Adorable enfant. (plus de rires)

Le merabh. Trois minutes pour changer la conscience, pour changer la façon dont  vous attirez l'énergie, pour changer quelque chose dans votre corps, quelque chose dans votre mental, quelque chose dans votre esprit. Juste trois minutes pour prendre une profonde respiration, sans y penser. Cesser de lutter contre. Cesser d'utiliser des constructions mentales pour sortir des constructions mentales. Vous voyez, ça ne fonctionnera jamais. Ça ne fonctionnera plus jamais, plus du tout.

Donc, trois minutes pour dire « Je vais faire un merabh et laisser les énergies bouger, et je vais juste me rasseoir. Je promets -cher Dieu, je promets- je ne vais pas toucher à quoi que ce soit pendant ces précieuses trois minutes sacrées. Je ne vais pas chanter. Je ne vais pas allumer d'encens. Je ne vais pas tomber dans la confusion avec un tas de makyo. Je ne vais rien faire -même pas essayer d'entrer en moi. Je vais juste respirer et laisser faire. » Ça, c'est un merabh.

Nous avons joué avec eux lors de nos cours, ces derniers temps, avec un accompagnement musical. Vous pouvez le faire sans musique. La musique, c'est plutôt agréable. C'est un peu distrayant. Il ne s'agit pas de répéter quelque chose, une affirmation. Il ne s'agit pas d'essayer d'implanter de nouveaux concepts mentaux dans de vieux concepts mentaux, parce qu'alors, vous allez vous retrouver avec un tas de conneries. Il s'agit de dire « Je suis un être normal, et je vais abandonner mes façons de faire anormales, » vous voyez.

Ainsi, faisons un merabh dès maintenant. A propos de quoi le ferons-nous ? Faisons-le juste pour le changement. Faisons-le pour utiliser, permettre à ces incroyables, ces extraordinaires énergies qui viennent d'arriver, qui sont toujours là, de faciliter le changement, la séparation. Vous voyez, c'est tout. Vous n'y pensez même pas.

Prenez une profonde respiration et « Oh ! Elles sont là ! »

Et, cher John, pourriez-vous jouer un peu de cette musique que vous jouiez pendant la pause, le truc qu'ils n'ont pas entendu ici, mais qu'ils ont entendu dans le reste du monde.

Vous prenez une profonde respiration. Ceci est un merabh. Changement sans effort. Gracieux.

Vous prenez une profonde respiration et une petite musique de fond, juste pour un pur divertissement et distraction, et vous dites « Je Suis... » (le public dit « Je Suis ») Non, j'allais terminer ma phrase. (rires)

[La musique commence : « Confession » de l'album « Respiration » par Blue Stone]

Et vous dites « Je suis dans l'instant. Je suis normal. Je suis naturel. Je suis esprit. Je Suis ce que Je Suis. Je vais laisser ces énergies me servir maintenant. Je vais les laisser venir faire ce que j'ai essayé de faire dans mon petit cerveau tout ce temps. Je vais les laisser le faire, parce qu'elles me servent. »

Vous ne demandez pas. Vous ne priez pas. Mon dieu, ne croisez pas vos mains comme ça, madame ! Quelqu'un pensera que vous priez ! (Adamus rit) Je sais, mais ils vont encore penser que vous priez. Vous ne priez pas. Non, vous riez un petit peu.

Prenez une profonde respiration et ressentez. Oh, ces énergies. Whoo ! Qu'est-ce qu'elles font. (pause)

C'est un processus naturel, mes chers amis. Tout naturel. Seul un être humain qui croit en lui-même et en sa divinité peut vraiment comprendre ce que je dis. C'est un processus naturel.

Ça ne vient pas de Dieu.

Ça ne vient pas d'extra-terrestres.

Ça ne vient pas de Gaïa. Elle s'en fiche.

C’est le vôtre.

Édith : Mais je suis Dieu.

Pas le vieux Dieu. Merabh, merabh, merabh. (signe de la main à Édith)

Prenez une profonde respiration. Vous voyez ? Naturel. Whoo ! (pause)

Oh, cessez de méditer et profitez juste de la musique. Moquez-vous de moi, si vous voulez. Ha, ha, ha, ha, ha, ha. (il glousse) Oh, encore mieux, moquez-vous de quelqu'un d'autre. (rires)

Bien. C'était un merabh. Vous voyez comme c'est simple ? C'est naturel. C'est naturel. La musique disparaît en fondu, vous prenez une profonde respiration.

Maintenant, votre mental se demande ce qui vient juste de se passer. « S'est-il passé quelque chose ? Y a-t-il un signe, un éclair, quelque chose ? » Non ! Non. Juste un changement. Juste retourner à votre état naturel. Ceci est un merabh.

Mirage

Suivant. Le suivant est quelque chose de très similaire. C'est un cousin du merabh. J'aime avoir un pupitre, si cela ne vous dérange pas. (se référant à un pupitre de musique) Cela me donne l'impression d'être un professeur. Oui. J'aime avoir ça.

Oui, le suivant est un... c'est un... oh oui, ceci est très bien. Le suivant... (quelques rires) Pas un prédicateur. Non, un professeur.

Le suivant, est un cousin du merabh -cousin, parce qu'il est aussi sans effort. Il plane. Il est dans sa forme naturelle. Mais ici, c'est un peu différent, parce que ceci est réellement une cérémonie. C'est une reconnaissance et un ancrage de quelque chose que vous allez expérimenter en Juin -et je viens d'implanter ça dans chacun d'entre vous. (Adamus fait un signe avec ses doigts, comme pour faire une formule magique, d'abord au public, ensuite à la caméra) Hm. Même si vous êtes sur Internet, vous allez en faire l'expérience en Juin.

Certains d'entre vous ont déjà eu cela récemment et très profond, et vous en aurez beaucoup plus. Et quand vous le faites, c'est un bon moment pour faire cet exercice que j'appelle -c'est le cousin d'un merabh- c'est appelé un mirage. Un mirage. Vous êtes familier avec le mot « mirage ». Un mirage. C'est un mirage.

Qu'est un mirage ? Eh bien, vous pensez que c'est une illusion. Ah ! Est-ce une illusion, vraiment, lorsque vous voyez un mirage ?

Ce genre de mirage est... il vient de la définition d'émerveillé... voudriez-vous écrire cela ? (à Linda) Oui. Mirage. Écrit comme vous savez. Oui, et si quelqu'un ici, dit que c'est un casino à Las Vegas, je vais vous demander de sortir prendre l'air.

Un mirage est littéralement défini comme un... et vous allez rester là-haut pour écrire cette définition.

Linda : On dirait « mi-rage ». (elle le prononce « ma rage »)

Adamus : (gloussant) Oui, ça pourrait. Ça pourrait. Ah, très bon. Très bon.

Mirage signifie « se demander à l'intérieur. » Se demander. Voulez-vous écrire cela ? Pas errer ; se demander à l'intérieur. Le mirage signifie également le miroir, ou la réflexion. Un mirage signifie la vision intérieure.

Au fil des ans, il a été associé avec la personne sans eau, dans le désert, qui commence à halluciner et voir des trucs. Mais la définition originale de mirage était en fait celle d'aller à l'intérieur, la vision intérieure. La vision intérieure.

Donc, l'expérience avec le mirage est merveilleuse. C'est une cérémonie. Nous ne pouvons pas nécessairement essayer d'en faire l'expérience ici. Cela doit venir dans ce moment où ce qui était auparavant une idée mentale, ou une pensée, ou une croyance optimiste, commence soudain à devenir réelle. Laissez-moi expliquer. Eh bien, Tobias en fait, l'a expliqué il y a de nombreuses années lorsqu'il a parlé de Ah, « l'instant de Ah. »

*Voir «  La Langue de Ah » et les leçons suivantes de Tobias.

Vous en avez eu quelques-uns, probablement pas assez. Vous allez en avoir beaucoup plus. Quand tout à coup, vous m'entendez, par exemple -voici un exemple- je dis les mots « Je Suis ce que Je Suis », et vous dites les mots « Je Suis ce que Je Suis », et quelque chose de profond à l'intérieur de vous dit « Mais, qu'est-ce que ça signifie ? » Alors, vous commencez votre bavardage typique sur un de vos fils dans votre forum... mental, (Adamus glousse) comme vous en avez -un forum mental ! - des fils de message, en parlant de ce que ça signifie, et quelle était la signification biblique de « Je Suis ce que Je Suis », et doit-il être en fait « Je Suis ce que Je Suis » ou « Je Suis qui Je Suis ? » Est-ce « Je Suis ce que Je Suis, si Je Suis qui Je Suis ? » Et vous le faites ! Pas forcément vous ; vous le faites là-bas. (regardant dans la caméra)

Vous... oui, j'aimerais l'un d'eux. (se référant au pupitre) Je voudrais... mais un plus joli. Un qui soit un peu plus stable, et je l'aimerais, oui, un peu plus solide, un peu plus stable. Quelque chose où je puisse m'appuyer. Et j'aimerais que le pique soit là, et... (quelqu'un dit « l'As ») Et le, ouais, l'as et la fleur de lys. S'il vous plaît.

Linda : De quelle couleur le voulez-vous ?

Adamus : Eh bien, violet. (rires) Vous aviez besoin de demander ? Oui, j'en voudrais un joli, et il faudrait qu'il soit fabriqué sur mesure. Et puis, avec un peu de dorure à la feuille d'or, ce serait joli. (le public dit « Oooh ! ») Ouais. Oui, oui. Très joli. Oui. Et j'aimerais un écran de TV en bas, que personne d'autre ne pourrait voir. Je pourrais me voir. (rires) Oui, bien.

Donc, un mirage est ce moment, lorsque tout à coup « Je Suis ce que Je Suis » n'est plus seulement une succession de jolis mots de makyo, mais soudain, vous allez dire « Je comprends. Je n'y pense plus. C'est là. C'est arrivé. Je ne le dis pas juste pour impressionner quelqu'un, ou parce qu'Adamus m'a dit de le dire. Je comprends ce que c'est... Je comprends, je comprends. » Voilà !

Faites un mirage. Oh, c'est  un mirage, mais prenez-le au second degré. C'est là où vous l'ancrez. C'est là où vous sortez les bougies et l'encens, vraiment, et dites « C'est le moment de faire une cérémonie. » Ni Tobias ni moi n'avons jamais été fans de cérémonie, car il y a beaucoup de cérémonies de makyo là-dehors. Beaucoup d'entre elles.

Tout le monde a fait des cérémonies et ne savaient fichtre rien de la raison pour laquelle ils faisaient une cérémonie. Et généralement, la cérémonie était pour quelque chose qui leur était extérieur. C'était quelque chose au sein de tout le monde, et ça n'avait pas de but. C'était un cercle vicieux.

Au moment où soudain vous le comprenez, tout à coup vous saisissez « Je sais  maintenant pourquoi Adamus a tellement parlé du karma ancestral. Ce n'est pas parce qu'il n'aime pas la famille ; il n'aime pas la façon dont l'énergie de la famille est construite, je comprends. Je suis donc prêt à libérer ma famille, non pas que je ne les aime pas, mais en fait, parce que je les aime.

Quand vous comprenez tout à coup, et que ce n'est plus juste une pensée, c'est là (dans le corps). Vous êtes « Oh ! Ah ! J'ai compris ! » C'est un ressenti et un sens, maintenant. C'est une nouvelle conscience. C'est lorsque vous faites un mirage. C'est lorsque vous faites la cérémonie du mirage.

Vous arrêtez. Peu importe ce que vous faites, sauf peut-être si vous êtes aux toilettes, vous arrêtez. Vous sortez une bougie. Vous vous mettez à genoux. Vous faites quelque chose pour reconnaître cet instant. Pourquoi ? Parce que cela l'enracine. Ça le solidifie. Sinon, il y a une tendance à avoir un moment comme ça, un moment fugace de brève illumination, parce que l'illumination vient à petites doses. Ce... pourquoi ? Quelqu'un vient de demander pourquoi cela vient seulement à petites doses ? Sinon vous explosez. Oui. Boum !

Donc, cela a tendance à venir à vous, maintenant, à doses satisfaisantes, de belles petites doses, et alors, une fois que vous êtes habitués à ces petites illuminations, alors elles commencent à devenir un peu plus grandes, et un peu plus grandes, jusqu'à ce que vous soyez juste un gros morceau d'illumination en marche. (Sart dit « Ouaiaiais !) Ouais. C'est ce à quoi ressemble l'illumination, « Ouaiaiais ! » En fait, c'est plutôt bon. Ouais, j'aime ça.

Donc, vous vous arrêtez un moment pour l'ancrer, parce que sinon, ce qui va se passer -et vous avez déjà vécu cette expérience- c'est que tout à coup vous avez eu cette petite expérience grandiose et puis, bien vite, vous vous demandez, vous doutez, vous perdez confiance. « Eh bien, c'était quoi tout ça ? Bon, ça s'est passé, tout simplement, mais maintenant, je dois retourner à mon monde de merde. » Non !  C'est lorsque vous arrêtez pendant un moment, et que vous faites quelque chose -chanter une chanson, allumer une bougie, manger un cookie, quoi que ce soit. C'est votre cérémonie pour le mirage.

Et le mirage n'est pas juste une hallucination. Les hallucinations sont réelles, à propos. Le mirage dit «Je me suis émerveillé intérieurement. J'ai compris ce « aha ». C'est vivre l'ascension. Je vais vivre ça maintenant. Ça ne va pas remonter dans un autre plan éthéré. Ça ne va pas faire resurgir d'anciens aspects et constructions pour qu'ils me tourmentent maintenant, » comme cela vous est arrivé dans le passé. Vous avez une brève illumination ; très souvent, alors, ces mauvais aspects ont refait surface, vous ont hantés, et ont dit « Tu te racontes des histoires », ou « Ce n'est pas vrai », ou « T'es juste cinglé », ou « Reviens, fais ton travail. Tu as des choses qui sont importantes. Prends soin des autres. Tu es tellement égoïste d'avoir ces brèves illuminations pour toi-même », vous voyez.

C'est ce qui est arrivé très souvent dans le passé avec vos illuminations, avec vos « aha », avec le mirage. Vous le remettiez dans le panier de l'illusion, et ils ne l'étaient pas. Aucun d'eux ne l'a jamais été. Peut-être quelquefois mal compris par vous au sein de votre réalité, mais ils n'ont jamais été des fantasmes. Ce n'étaient même pas des illusions. C'étaient de petites avancées spectaculaires.

Donc, lorsque cela se passe maintenant, et je dis cela parce que vous allez le vivre au cours de ce prochain mois. Des idées auxquelles vous avez adhéré dans un état mental de l'être, mais qui n'ont jamais été vraiment ressenties. Des choses que, dites-vous « Eh bien, ça a l'air pas mal », mais vous ne les avez jamais vraiment vécues.

Lorsque je dis quelque chose comme « combinant l'énergie du mental et du créatif », le mental jette un coup d’œil à ça et dit « Oh, d'accord. Peu importe. Je vais m'en charger de toute façon, donc, ça n'a pas d'importance. » (Adamus glousse) Mais lorsque soudain vous le pigez et le ressentez, tel que c'est vraiment, vous avez ce « Oh mon dieu, Adamus est un prince, un Maître. (rires) Est un Maître. Si bienveillant. » Mais lorsque vous avez ce moment et que vous dites « J'ai pigé maintenant, que c'est comme avoir le mental et le créatif. Ce n'est plus là-haut (tête). C'est ici à l'intérieur (cœur). » C'est un mirage. Ancrez-le. Équilibrez-le. Faites-lui une cérémonie.

Pourquoi ? Parce que, tout d'abord, ça le reconnaît. Reconnaissez-le pour vous. S'il vous plaît, n'appelez pas vos amis pour leur dire « Faites un saut pour un mirage. (rires) Nous servons du vin blanc. » Non, non, non. C'est une chose très, très personnelle. Très personnelle. Avant même de commencer à l'écrire sur votre journal -pour le peu d'entre vous qui tiennent un journal- faites la cérémonie, le mirage.

Oh, ensuite, ce qui se passe, c'est que ça va inviter le prochain mirage, et le mirage suivant, et le suivant. Ils vont se sentir bienvenus dans cette maison du Je Suis. Ils vont sentir soudain que c'est approprié et que c'est naturel. Et alors, vous allez avoir tous ces... vous pourriez commencer à aligner toutes ces pensées et idées que vous avez eues à propos, oh, de l'illumination. Ha, ha, ha. Elle est bien bonne.

Vous n'avez pas idée de ce qu'est l'illumination, et c'est correct. Le mental ne peut pas comprendre l'illumination. Il essaie. Vous pouvez peut-être le ressentir un peu -ou le mot ascension, quand nous en parlons- mais fondamentalement, c'est un gros point d'interrogation. Ça a l'air bien, mais tout à fait honnêtement, lorsque nous avons été avec Shaumbra, dans le monde entier, ils n'ont pas idée de ce qu'est l'illumination.

Demandez-leur « C'est quoi, l'illumination ? » (Adamus prend un air confus) Euh. C'est quoi l'ascension ? Quand je meurs et que je monte dans un nuage de fumée ? Que je rencontre Jésus ? » Non. Je parle d'intégration totale. C'est quoi ça ? « Euh.... sais pas. » Ils sont honnêtes là-dessus, au moins, mais je leur dis, c'est pour ça que vous êtes revenus ici -pour l'illumination, l'ascension, peu importe comment vous l'appelez -le Nirvana sur Terre. C'est le premier facteur de motivation de toute votre vie. C'est probablement la seule passion que vous ayez gardée. C'est pour ça que vous vivez, travaillez et respirez. Et vous ne savez pas ce que c'est ??! (rires)

Édith : Si, nous savons !

Adamus : Définissez-le, m'dame.

Édith : C'est conscience et éveil.

Adamus : Ça c'est de la merde makyo, si je l'ai jamais entendu !

Édith : Non, ça ne l'est pas !

Adamus : Continuez, Édith.

Édith : (Linda lui tend le microphone) Oh, je n'ai pas besoin de ça, je vais juste lui crier après. (rires)

Adamus : Continuez. Jetez-moi de votre mieux.

Édith : Je l'ai déjà fait. Je vous ai parlé de conscience...

Adamus : C'était votre mieux ? Ha, ha, ha.

Édith : … et l'éveil. Vous savez...

Adamus : C'est quoi, l'éveil ?

Édith : Et nous pensons que vous êtes un prince charmant, aussi, ne soyez pas pourri. (Adamus glousse) Mais c'est la conscience et l'éveil.

Adamus :  Oui. C'est quoi, la conscience ?

Édith : Et la conscience, la compréhension et la connaissance de qui nous sommes.

Adamus : Ce sont toutes des constructions mentales. Sinon, vous n'auriez pas dit un mot.

Édith : Oh merde ! (beaucoup de rires)

Adamus : Absolument, et vous avez tout à fait raison. Vous avez tout à fait raison. Ce sont toutes des constructions mentales, et je veux qu'elles deviennent comme des compréhensions profondes et simples. Je veux qu'elles deviennent très réelles, pas un objectif. Pas quelque chose à quoi vous aspirez, mais je veux qu'elles vivent l'ascension au sein de votre corps.

Vous y arrivez. Vous y arrivez. Vous avez eu des illuminations. Le mois prochain, je veux que vous reveniez et disiez « Adamus, j'ai pigé. J'ai eu ce mirage. J'ai fait ma cérémonie. Vous avez raison. Ce n'est rien dont vous ayez même parlé. »

Édith : Que diriez-vous si nous pouvions conclure un accord ?

Adamus : Je ne fais pas d'accords. Pas de compromis. Pas d'accords.

Édith : Oh si, vous faites des accords !

Adamus : Je ne fais pas d'accords.

Édith : Que diriez-vous si vous nous disiez d'abord...

Adamus : Vous dire ?

Édith : … ce que sont les choses au lieu d'essayer de nous mettre dans l'embarras.

Adamus : Je vous ai dit les choses d'abord.

Édith : Toujours nous dire les choses d'abord.

Adamus : Non, il n'y a pas de gêne ici. Absolument aucune. Non, et c'est une vraie déclaration.

Édith : Non, pas de gêne, mais je ne peux penser à un autre mot.

Adamus : C'est une vraie déclaration, parce que vous dites « C'est quoi l'éveil ? » Vous pouvez peut-être me débiter quelques mots en retour, mais vous ne l'avez pas vraiment ressenti. Vous avez un sens pour ça, mais c'est mental.

Qu'est-ce que l'éveil ? « Eh bien, c'est quand je me réveille et que je me souviens qui je suis. » Conneries. Foutaises.

Édith : Eh bien, qu'est-ce que c'est ?

Adamus : Des conneries. Je viens de vous donner la réponse. (Adamus glousse)

Je ne veux pas vous le dire, Édith, ou à quelqu'un d'autre. Nous utilisons ce mot, ainsi nous avons une sorte de point de référence pour la discussion, mais je ne veux pas vous dire. Je ne peux pas vous dire.

Qu'est-ce que l'illumination ? Eh bien, c'est un exemple typique -nous allons y venir dans un instant si je me dépêche- c'est une chose typique « Si je suis illuminé, je suis vraiment intelligent. Je plane sur l'eau, en quelque sorte. » Vous avez vu, le mois dernier, comment je marche sur l'eau. Ouais ! Que, hmmmmmm, vous êtes paisibles ; mmmmmm, vous allez vibrer ; mmmmm vous portez des robes blanches et vous descendez la rue, et vous êtes un peu éclatants. Ceci est du makyo. C'est vieux. Il y a eu quelques Maîtres qui l'ont fait, mais regardez ce qui leur est arrivé. L'un a fini cloué à la croix ; l'autre est devenu vraiment gros et avait une mauvaise haleine. (rires) C'est juste que... nous allons le faire de façon un peu différente. Un peu différente.

Donc, c'est pourquoi je dis qu'un mirage est une des plus belles choses dont vous allez faire l'expérience. C'est ce « aha. » Tout à coup, sortir de la construction mentale. Rien de mal à être dans une sorte de cadre de conscience étrange et anormal, de pensée-mentale, de limitation, de peur, d'espoir et de désir. Rien de mal avec ça, parce que, au moins, ça fait entrer les énergies qui vont supporter tout ceci.

Mais finalement, en fin de compte, quand vous avez ce mirage majeur, vous allez comprendre ce dont je parle. Et je suis presque inquiet à l'idée de mettre trop de mots dessus, parce que soudain, vous suivez les mots. Vous discutez de ce que signifie Je Suis ce que Je Suis, et si vous faites cela, s'il vous plaît, retournez à Spiritualité 101. (« 101 » signifie classe débutants) Ne venez pas à mon cours -s'il vous plaît ! (un couple de personnes applaudit) Je vous remercie. Deux applaudissements. Trois. Bien. Sérieusement, parce que c'est de la masturbation spirituelle, aussi connue sous le nom de makyo. Makyo, c'est de la masturbation de merde. C'est mental. Cela va vous coincer. Cela va blesser votre mental, votre corps, et cela va, en fait, vous conduire à vivre une vie très étrange, une sorte de vie où vous essayez d'être spirituel, mais vous essayez d'être matériel. Vous essayez de faire des boulots, mais vous essayez d'être plus saint-que-moi-tu-meurs, et ça ne va pas fonctionner. Que va-t-il se passer ? Vous allez exploser. Vous le ferez. Vous exploserez, et vous exploserez aussi presque tout autour de vous.

Et vous n'en avez pas besoin. Vous n'en avez pas besoin. C'est mon point de vue. Vous n'en avez pas besoin. Ce n'est pas normal d'aboutir à l'accomplissement de cette façon. Ce n'est pas une façon normale de réaliser soudain que vous êtes illuminés.

Souvenez-vous, Tobias, le grand Maître, a dit il y a longtemps « Vous êtes déjà ascensionnés. Vous faites juste l'expérience, maintenant, de ce que c'est d'arriver là. » Vous êtes déjà là. Maintenant, vous remontez le temps, littéralement, à travers l'espace, grâce à l'expérience. Comment êtes-vous arrivés là ?

Vous entendez ces mots-là et vous dites « Oh, ça a l'air vraiment cool. Comme quelque chose que Gene Roddenberry aurait écrit. Oh wow, laisse Star Trek écrire une histoire à ce sujet. » Mais ce n'est pas dans le cœur. Ce n'est pas encore réalisé à un niveau de conscience. Mais ça le sera, et c'est en train de l'être, et c'est quand vous faites le mirage.

Vous sortez un encens. Jetez des pièces tout autour de vous. Quoi que ce soit qui crée une cérémonie. Faites attention aux étoiles. Ça n'a pas d'importance. C'est une reconnaissance, et ça dit « ça y est ». Et vous allez revenir vers moi. Le mois prochain, nous allons courir dans tous les sens, avec le micro, « Comment était votre mirage ? » -et n'en inventez pas un- « Comment était votre mirage ? » Et vous allez « Vous savez, je ne veux pas vous en parler, parce que c'était le mien. Cela a été une profonde expérience. Je ne veux pas devenir mental à ce sujet. » Je dirai « Bien. Je vous remercie Édith. Je vous remercie. » C'est ça, le mirage.

J'aimerais en faire un ici, mais c'est très personnel. Vous pouvez faire un merabh en groupe. Un mirage est totalement à vous. Et souvenez-vous, quand vous atteignez cette illumination soudaine, cette soudaine percée, ça vous fait sortir de la voie anormale, et vous fait entrer dans votre état naturel d'être.

Prenez une profonde respiration.

Bien. Laissez partir celui-là.

Fin de la ligne

Dans les minutes qui restent, je veux parler d'un autre concept -un concept intéressant, peut-être un triste concept -peut-être celui qui mettra en colère certains d'entre vous et qui sera une contradiction avec ce que j'ai dit plus tôt. Mais, c'est la vie.

Vous êtes arrivés à la fin de la ligne de quelque chose. Vous êtes arrivés à la fin de la ligne. Je vais dessiner une ligne afin que vous compreniez. Vous êtes arrivés à la fin de la ligne. (il dessine une ligne) Bien. Et je dis ça, encore et encore, parce que peut-être l'un de vous, êtres intelligents, peut aussi choisir une chanson avec ces mots pour... J'aime ce que vous avez fait auparavant quand vous...

Linda : Johnny Cash. « Je marche droit. »

Adamus : Non, ça, c'est être sur la corde raide. C'est, vous savez, c'est une mauvaise chose. Fin de la ligne. « Voyager... » (quelqu'un dit « de Wilbury »). Ouais, Cauldre essaie de comprendre... « Voyager... » ce groupe qui chante.

Ainsi, vous arrivez à la fin de la ligne, et cette ligne, c'est -et cela va vous paraître un peu étrange, mais respirez dedans- l'évolution. L'évolution. Vous êtes arrivés à la fin de l'évolution. (Adamus prend une profonde respiration) Ah ! Quoi, vous avez peur ? Cela signifie-t-il que vous allez mourir maintenant, ou que vous reculez ? Non. Pas du tout.

Vous avez été programmés et vous vous êtes investis dans l'évolution de, certainement, le mental -apprendre plus, devenir plus sage, avoir plus de capacités pour résoudre les problèmes -donc, vous avez été conditionnés pour ça, programmés pour ça. Et c'est pour ça que vous avez vécu, fondamentalement. Et c'est pourquoi vous avez, vous savez « Je deviens un être évolué. »

A un certain degré, il y a une évolution qui recouvre la biologie. (quelqu'un éternue bruyamment) Vous allez arracher Jésus de la croix, si vous continuez comme ça ! (rires)

Donc, vous arrivez à un point où il n'y a plus d'évolution du corps. Vous pensez que vous faites partie de cette évolution de la biologie. Vous regardez les photos de Darwin. Vous regardez les singes d'il y a longtemps et dites « Eh bien, je suis juste un petit tremplin dans l'évolution de la biologie du corps physique. »  Non, vous êtes à la fin de la ligne de ça aussi. Littéralement, avec ce dont nous avons parlé auparavant, vous n'avez plus à faire évoluer votre biologie ancestrale. Vous créez la vôtre propre. Donc, il n'y a plus d'évolution le long de l'ancienne ligne. L'évolution s'arrête. Lorsque vous arrivez à ce point de l'éveil, elle s'arrête.

Même les concepts de la spiritualité cessent d'évoluer. Hm, ouais. Parce que ça indique qu'il y a encore quelque chose à apprendre. Ça indique qu'il y a presque une croissance requise, qui vient après. Ça indique que la spirale continue de spiraler. Et ça le fait depuis longtemps, pendant très, très longtemps, jusqu'à ce qu'elle revienne sur elle-même. (il dessine une spirale) Nous avons parlé de ça auparavant. Cela arrête le cycle de l'évolution.

Cela effectue également un changement spectaculaire dans le concept de vos moyens d'existence, de votre vie. Vous n'évoluerez plus lorsque vous arrivez à un certain point sur le chemin spirituel. Peut-être effrayant ? La réaction courante serait « Ça y est ??! Ça y est ?! Je ne vais pas devenir plus intelligent ? Je ne vais pas devenir en meilleure santé ? Je ne vais pas devenir plus sage ? C'est exact, et c'est une bonne chose.

Tout d'abord, cela va vous libérer d'une énorme, énorme quantité de responsabilité -fardeau, je dirais. Manque de liberté. Il y avait un programme à l'intérieur de vous, qui disait « Évolue, évolue, évolue, évolue. Chaque jour, je suis supposé aller mieux. Chaque jour, je suis supposé devenir plus sage. Évolue-toi toi-même. » Ça, c'est terminé. Je ne dis pas tous les êtres humains. Je dis vous. Si vous écoutez, si vous êtes là, c'en est fini de ça. Concept très étrange, et inconfortable aussi.            

L'évolution a tendance à être, à nouveau, une construction mentale, une idée, littéralement, un implant qui vous a gardé à faire la toupie sur cette spirale, croissant encore et encore. Vous pensez même que, bien, non, l'esprit évolue. Le divin évolue. Non, il ne le fait pas.

Ce qui se passe, c'est que... laissez-moi me faire comprendre clairement. Lorsque vous cessez d'évoluer, ou cessez d'essayer d'évoluer, j'affirme que c'est un processus quelque peu artificiel -quelque peu ; pas totalement, mais quelque peu artificiel- lorsque vous n'essayez plus de forcer ou pousser l'évolution de vous-même, vous entrez dans un de ces grands « aha ». Grand « aha ». Et dans ce « aha », vous réalisez qu'il n'y a plus rien à gagner, il n'y a plus rien à perdre ; il n'y a plus rien à acquérir ou à quoi aspirer. Dans ce moment dans lequel vous pouvez soudain atteindre le « aha », à un certain point, vous réalisez tout à coup que maintenant, sans plus d'évolution, il s'agit de vivre l'ascension.

Maintenant, toute la sagesse qui a été dans l'âme, toute la sagesse que vous avez, disons, partagé avec l'âme -l'âme, la conscience- de toutes les choses que vous avez faites... et, à propos, ce ne sont pas les détails de ce que vous avez fait ; c'est au sujet du résultat de ce que vous avez fait. Il n'y a pas de Mémoire Akashique dans l'âme, et j'ose être en désaccord avec ceux qui disent qu'il y en a une qui flotte autour là-bas, comme un Borg* très gros, énorme, géant. L’univers ne donne pas une merde pour les détails. Ils sont mentaux et ils vont être éliminés. Tous les détails -ce que vous avez fait à un certain moment, à un certain endroit- ils vont juste être jetés aux chiottes, parce qu'ils n'ont pas d'importance. Ils n'ont vraiment pas d'importance.

*Les Borgs ou le Collectif Borg sont, dans l'univers de fiction de Star Trek, une race de créatures cybernétiques - en partie organique, en partie mécanique. Ils sont connus pour être impitoyables et particulièrement difficiles à éliminer. 

Ils sont mentaux ! Ils sont hors de propos ! C'est ce qui a été ressenti et ce qui a été vécu durant cette période. C'est ce dont l'âme se souvient et c'est ce dont le cosmos se souviendra.

Dieu merci -et vous-même- vous n'allez pas vous souvenir de tous les détails, et ce n'est pas enregistré dans un énorme disque dur cosmique. Non, cela a été complètement éliminé. Dieu merci, tous les détails ont été éliminés -ce que vous portiez un certain jour, et ce que vous avez dit à quelqu'un, et ce que vous avez pensé alors que vous passiez devant un bar, voulant y aller et prendre un verre. Tout ça, c'est éliminé, et la seule chose qui reste est l'essence, la sagesse et l'expérience. C'est tout ce qui reste.

Vivre votre Essence

Maintenant, vous avez cette merveilleuse conscience d'être, et elle ruisselle -ruisselle (il dessine une goutte)- avec cette sagesse. C'est comme des abeilles façonnant leur rayon de miel, construisant leur ruche. Elles ne cessent de mettre ce merveilleux nectar dedans, d'en mettre tellement, qu'elles ne peuvent même plus le traiter, et qu'il veut juste ruisseler. Mais vraiment, il veut juste tomber goutte à goutte, directement sur quelque chose de pertinent -sur un gentil pirate, ou un biscuit, ou dans une tasse de thé- plutôt que juste s'écraser sur le sol.  C'est la même chose avec vous. Vous avez évolué, encore et encore, et grandi, encore et encore. Il est temps d'arrêter ça.

Maintenant, c'est le moment de prendre cette -cette essence, cette sagesse- et de la vivre. Cessez de mettre le miel dans le rayon et commencez à le manger, mes amis. C'est vraiment ce dont il s'agit dès maintenant. Quand vous cessez d'évoluer, alors vous commencez à vivre. Lorsque vous cessez de faire vos tentatives mentales d'évolution, a) vous allez réaliser combien c'était artificiel ; b) vous allez réaliser combien c'était incomplet ; et c) vous allez vous rendre compte que la vraie joie -vous et l'Esprit maintenant- est d'être cette sagesse, de la vivre. De la vivre.

Votre conscience, votre Esprit, veut partager cette sagesse. Veut... ce n'est pas tout à fait le mot juste. Il veut qu'elle participe à l'expérience maintenant.

Le nectar, l'essence, a été essentiellement mis là, dans la ruche, dans le rayon de miel, fondé sur l'apport de l'expérience ; distillé en sagesse, distillé dans une merveilleuse essence -l'essence de l'âme- et maintenant, il veut qu'elle revienne dans l'expérience. Une sorte d'évolution intéressante, une espèce de cycle intéressant, on peut dire. Mais pour ce faire, cela requière la fin de l'évolution comme vous l'avez connue. Plus d'évolution mentale.

Cela ne veut pas dire que vous n'allez plus jamais lire un livre, ou suivre un autre cours, ou faire quelque chose. Pas du tout. Mais cela signifie qu'il n'y a plus de raison d'essayer de faire évoluer le Soi. Maintenant, il s'agit de vivre le Soi. Une énorme différence, parce que vous si vous consacrez toutes vos ressources et votre énergie, et tout le reste, à l'évolution, il ne reste rien pour vivre. C'est maintenant le moment de tout remettre ensemble.

Une partie du mental va crier et dire « Eh bien non, je veux vraiment, vraiment être évolué et vraiment beaucoup de trucs de ce genre, et je veux y aller. Je veux continuer à évoluer, encore et encore. » Mes amis, c'est comme un chien qui court après sa queue, à un certain point. Vous allez arriver nulle part. Que fait un chien s'il attrape sa queue ? En fait, si un chien attrape sa queue, il détruit les aspirations du chien, les rêves, les poursuites, les passions et tout le reste.

Le chien va fondamentalement s'écrouler quand il attrapera sa queue. Ainsi, nous avons ici une situation où il n'y a pas besoin d'évolution. Maintenant, il est question de vivre.

Maintenant, la question que certains d'entre vous se posent, c'est comme « Mais n'est-ce pas une question piège qu'Adamus est en train de nous poser ? N'êtes-vous pas en train de dire qu'en vivant l'essence, qu'en étant l'essence, en ayant le mirage comme une partie du vécu de l'expérience, cela ne continue-t-il pas l'évolution ? » Je vous dis, vous êtes des petits futés philosophes. Cessez de penser de cette manière. Non vraiment. Je veux dire. Je veux dire. Cessez de penser de cette façon. C'est des conneries de makyo philosophique, et la seule façon que vous aurez de connaître la réponse à cette question est de le faire, de le vivre, de l'être. Cessez d'y penser. Cessez de le construire.

Laissez ces énergies qui arrivent en ce moment vous déchirer -de façon affectueuse. Oh non, ça peut être amusant. Ça peut être extraordinaire. Ça peut être joyeux. Ça peut être tellement libérateur, et elles sont là pour ça. Elles sont là pour le faire. Elles sont là pour vous séparer, afin que vous puissiez revenir à vous-même, entier et complet, sans tous ces fragments, sans toutes ces parties et morceaux, mais revenir à votre état naturel.

Être Naturel

En ce moment, vous êtes dans un état d'être artificiel -intéressant, étrange, unique- mais artificiel. Ce n'est pas vous. Vous pensez que ça l'est. C'est pourquoi je dis « cessez l'évolution, » parce que tout ce que vous essayez de faire, c'est  de faire évoluer le concept humain. Vous essayez de faire évoluer quelque chose qui était artificiel au départ, dès le début. Une expérience intéressante. Je ne dis pas que c'est un mensonge. Il y a beaucoup de mensonges incrustés dedans, mais en soi, ce n'est pas un mensonge. C'était juste une expérience vraiment bizarre.

Mais en ce moment, vous revenez à l'état naturel de vous, du Je Suis, et ce n'est pas celui qui est assis dans le fauteuil. Ce n'est pas l'identité que vous avez maintenant. Votre état naturel est... une partie de cette identité est là, dedans, mais il y a tellement plus. Tellement plus.

Imaginez pour un instant, imaginez vivre démêlés. Imaginez vivre démêlés pendant un instant. Je veux dire, pas ligotés dans toutes ces choses. (Adamus glousse) Et nous avons un exemple, par ici. Caméra 2, démêlons avec On (Garrett). Allez-y, On. Est-ce là votre idée d'un Maître Ascensionné ? Eh bien, c'est bien sûr ! Il peut rire et sourire. Bien sûr !

Imaginez être démêlés. Imaginez ne pas passer par les jeux de devinettes pour ce que vous devriez faire ensuite. Imaginez ne pas passez par cet état d'étranglement lorsque la peur entre en jeu. Bien, lorsque vous avez une bonne idée, en forme, lorsque vous vous sentez bien, soudain -swissst !- la peur entre en jeu. Imaginez ne plus avoir à essayer de répondre à la vie. Vraiment ! Ne pas essayer d'évoluer votre soi, fondé sur des tas de vieux apports merdiques, de vos enseignants, parents, vos aspects, vies passées et tout le reste. Essayant de « Eh bien, vous devez évoluer. » Ils le disaient avec des mots différents. « Tu dois faire la bonne chose. Tu dois être meilleur. Tu dois réussir. » Tout ça est à propos de l'évolution.

Même vos enseignants spirituels, mes chers amis, même vos enseignants spirituels vous ont dit que vous deviez être évolués. Oh, c'était un gros truc -d'aller dans une réunion spirituelle et faire une sorte de « Je suis plus évolué que toi. » Maintenant, vous pouvez entrer et dire « Je m'en fous de l'évolution. Je m'en fiche. Allez joyeusement vous faire voir. (rires) Je suis à la fin de la ligne. Plus d'évolution pour moi. » Ils vont vous regarder d'une façon plutôt bizarre. Ah oui. Vous aurez l'opportunité de faire ça, la semaine prochaine. Ils vous regardent d'une façon plutôt bizarre, comme « Hein, d'où viennent-ils ? »  Cela, c'est lorsque vous dites « Parce que je vis la respiration de l'essence. Je vis, je n'évolue pas. » Hm, absolument.

Ainsi, imaginez un instant de quel grand soulagement il s'agit dès lors que vous n'évoluez plus. Ah, il y a toujours une partie de vous qui dit « Non, mais une petite évolution, de temps à autre ? Je ne veux pas que ce soit... » Vous allez découvrir que cette évolution servait un but. Elle vous a fait jouer. Elle vous a fait éprouver. Mais lorsque vous démarrez ça (pointant le centre de la spirale), lorsque vous revenez en vous-même... (Linda désigne sa montre) Ah ! Le temps n'est rien. Je suis ici sur le point de conclure, très théâtral. Elle désigne sa montre comme si « Adamus, tout le monde est fatigué. » Non, fascinés. Ils sont absolument fas-... leurs yeux sont clos et ils sont penchés en arrière, uniquement parce qu'ils sont à fond dedans. (quelques rires)

Fin de la ligne. Revenez en vous-même, où vit la biologie que vous possédez maintenant, où un mental, qui a été débarrassé de ses bagages et de ses détails, soudain, rencontre l'essence. Soudain, rencontre cette sagesse de l'âme. Et maintenant, les deux s'embrassent, ayant pensé pendant des lustres qu'ils étaient séparés. Après avoir eu l'illusion de la séparation, réalisent maintenant qu'ils ne l'avaient jamais vraiment été. Ils reviennent ensemble.

Il faut... non, pas besoin, Cauldre. Ce n'est pas le mot juste. Il s'agit de confiance. Il s'agit de permettre l'intégration. La confiance est capable de s'asseoir ici, dans un merabh de trois minutes et dire, (il prend une profonde respiration) « J'ai déplacé certaines énergies. J'ai changé de conscience. Ouf ! Je n'ai pas eu besoin d'y travailler. » C'est la confiance. C'est la confiance. Et elle permet que cela se passe.

Il s'agit de confiance, et il s'agit, mes chers amis, d'être naturel. Être naturel. De forcer les choses n'est pas naturel. De penser aux choses n'est pas naturel. D'essayer de gagner à vie n'est pas naturel. Les objectifs, ne sont pas naturels. Les études spirituelles ne sont pas naturelles. Aucune d'entre elles. C'est un état artificiel. Ce n'est pas naturel d'avoir un mental qui est différent, ou qui opère sur un niveau de fréquence différent de celui du corps. C'est artificiel. Ce n'est pas naturel de parler de votre corps et de votre mental comme s'ils étaient des parties et des morceaux séparés, et de votre esprit. C'est pourquoi je l'appelle le Corps de Conscience. Il est, chacun d'eux.

Ce n'est pas naturel, toute cette incarnation et ce cycle de réincarnation. Ce n'est pas naturel. Ce furent des expériences intéressantes, mais revenez à votre état d'être naturel. Revenez aux flux naturels de l'énergie. Revenez à vivre sans souffrir, à vivre sans penser à la façon de vivre, à vivre sans se soucier du moment suivant, à vivre là où vous respirez absolument dans l'essence de vous-même. Cela a toujours été là.

Prenons une profonde respiration avec ça, mes chers amis.

Oui, je suis impatient de retrouver mon nouveau pupitre de professeur. Oui, le mois prochain, bien sûr.

Aussi, prenons une profonde respiration alors que nous terminons ce Shoud. Je crois que l'on va jouer une musique.

Alors que je fais ma grande sortie, je veux vous rappeler, au cours du mois prochain, lorsque vous commencez à ressentir ces illuminations, sortez de votre mental. Cessez d'y penser. Laissez-les juste se produire. Faites le mirage, le respect, la cérémonie. Et lorsque vous commencez à douter de ce qui vient juste de vous arriver, lorsque vous commencez à douter si vous -vous personnellement- pouvez vraiment vivre au sein de votre vie, si vous pouvez réellement vous permettre de ressentir, vous prenez une profonde respiration et vous vous souvenez, peu importe de quelles nouvelles parlent les reporters, tout va bien dans toute la création.

Avec cela, mes chers amis, jusqu'à ce que nous nous retrouvions, ça pourrait être cette nuit -ha ha ha ! Je Suis Adamus, à votre service. Je vous remercie. Je vous remercie.