LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série e-2012

SHOUD 8 : “Le Dilemme du Gourou” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 7 Avril 2012
www.crimsoncircle.com

  

Je Suis ce que Je Suis, Adamus, humblement à votre service.

Bienvenue, chers Shaumbra. Il me faut un moment pour m'adapter à votre nouveau cadre, ici. (Les sièges dans la salle de réunion et l'espace scénique ont été remaniés depuis le dernier Shoud.) Je suis tellement habitué à voir certains d'entre vous assis à certaines places, et maintenant, vous avez bougé. Ou est-ce que j'ai bougé ? Ah ! La question.

Je tiens à vous remercier tous pour avoir créé ce nouveau Théâtre d'Adamus. Je vous remercie. (le public applaudit)

Ainsi, nous sommes réunis en ce jour très spécial -spécial pour beaucoup de raisons. Il y a votre nouvelle  installation. Naturellement, dans le Théâtre d'Adamus, toutes ces caméras -toutes ces caméras, partout dans le plafond- ah oui, filmé de partout. Vous et moi, Pete.

Pete : Oui.

Adamus : Oui. (Adamus glousse) Personne ne peut échapper à l'examen de la caméra. Hm. Une journée spéciale.

Ainsi, chers Shaumbra, une journée spéciale. Pourquoi ? Vous avez une nouvelle installation, un nouveau montage, tout à fait agréable, en fait. C'est bon pour les pieds de Cauldre (il y a un nouveau tapis), c'est bon pour le visionnement. Vous êtes entre les jours, comme l'a mentionné la chère Linda d'Eesa, entre le Vendredi Saint et Pâques, au milieu de toute l'énergie de mort et d'ascension, ici. Vous êtes ici à un moment très important de votre chemin, un moment très important dans l'histoire de cette Terre.

Si vous prenez juste une profonde respiration, pendant un instant, imaginez les livres qui vont être écrits dans vingt ans -ou cent- au sujet de ce temps-ci. Ce temps-ci. Parfois, vous ne réalisez même pas ce qui se passe vraiment, parce que vous êtes en train de vous accrocher, en espérant que vous pourrez éviter d'être emportés dans ces vents et tempêtes ; en espérant que vous allez atteindre la fin de la journée, quand vous pouvez ouvrir la bouteille de vin, prendre une petite gorgée médicinale (rires), et vous détendre un peu ; et puis, avoir un peu d'angoisse, avant d'aller au lit. Le lit -autrefois un endroit réservé pour le sexe et l'état de rêve, pour aller dormir ; maintenant, un endroit pour plus de chaos, plus de tension, plus de traumatisme.

Ainsi, vous avez juste quelques minutes pour vous détendre avant d'aller vous coucher le soir. La journée est finie. Vous êtes sur le point de commencer votre nouvelle tâche, à l'état de rêve. Un moment que vous utilisiez pour aller dans des pays remplis de sucettes et d'arcs-en-ciel, et de tous ces charmants petits animaux amicaux et leurs familles, qui vous aimaient, en fait, et vous pouviez vous en aller dans l'état de rêve la-la . Mais maintenant, maintenant, c'est presque plus difficile que d'être ici, presque plus difficile.

Vous vous réveillez le matin, à moitié épuisé, perplexe, vous demandant ce qui vient après, espérant pendant un instant, que vous puissiez retourner dans l'état de rêve. Mais non ! Vous vous êtes enfuis de là pour revenir sur Terre ! Demeurant allongé dans le lit « Je n'ose pas me lever, car voici une autre journée, je n'ose pas me rendormir, parce que c'est un endroit effrayant, maintenant. » Ça l'est vraiment.

L'état de rêve a changé. Si vous imaginez l'état  de rêve comme une sorte d'extension des Royaumes Proches de la Terre -et au-delà, au-delà- mais ça va dans les Royaumes Proches de la Terre. Il y a une partie de ces royaumes reliés à la conscience humaine, qui sont pour les états de rêve, et vous y allez. Beaucoup de changements. Ça fait que ce changement ici, ne ressemble à rien. (quelqu'un dit « Ha ha. ») Ah ha, ha ha. Très intense.

C'est là, je dois dire -cet espace que vous avez créé ici- est en fait l'un des vrais refuges que vous avez. Un des bons endroits où vous pouvez venir et juste prendre une profonde respiration, et vous pourriez aller dormir. Non ! (Adamus glousse) Vous pouvez vous détendre. Vous pouvez rire. C'est un endroit pour le rire, la fête et la joie, et pour s'arrêter juste un moment hors de toute cette intensité.

Aussi, je veux démarrer ce Shoud avec un peu de respiration profonde. C'est intense là-bas ! C'est intense là-dedans ! C'est intense dans les états de rêve. Où allez-vous ? Eh bien, vous pouvez venir ici. Vous pouvez trouver cet endroit à l'intérieur, mais souvent, cet endroit à l'intérieur est très chaotique aussi. L'avez-vous remarqué ?

Prenons donc quelques minutes pour faire un peu de respiration profonde et se détendre. Ici, c'est sûr. Ça l'est vraiment.

Vous n'avez à traiter qu'avec moi. Ici vous pouvez vous détendre. Laissez cet anayatron, tout ce petit système de communication énergétique, aller réparer, régénérer vos corps. Vos corps sont laminés avec l'énergie. Remarquez vos maux et douleurs, comment vos muscles peuvent être douloureux parfois ? Oh ouais. C'est à cause de l'énergie intense.

Rappelez-vous lorsque j'ai dit que c'était « L'année de la Délivrance » ? L'année de la délivrance, beaucoup d'énergie qui vient de partout ; des énergies qui viennent des éruptions solaires, plus importantes que jamais, plus implacables que jamais ; des énergies qui viennent de la Terre, depuis tous les royaumes. De l'énergie partout, elle arrive. Vous l'avez demandée. Maintenant que vous l'avez, vous vous en plaignez.

Prenons une profonde respiration, ici dans notre espace sacré, Shaumbra Central. (pause)

Prenons une profonde respiration. C'est intense et vous devenez tellement critiques à l'égard de vous-mêmes de n'être pas capables de le gérer. Je prenais le thé l'autre jour, avec une partie des autres Maîtres Ascensionnés. Oui, nous avons du thé et des cigares. Je prenais le thé l'autre jour et nous parlions à propos de notre ascension, il y a des centaines, des milliers d'années, peu importe quand ça s'est passé. En fait, c'était un peu ennuyeux, à l'époque. Les choses bougeaient vraiment lentement. Les choses  étaient très  sombres, à l'époque. Maintenant, c'est intense. Ça change à chaque instant. Nous riions sous cape, entre nous, de voir combien c'était difficile pour vous, combien nous avions du plaisir à travailler avec vous, mais disant que nous étions heureux d'avoir ascensionné à l'époque où nous l'avions fait.

Que regardez-vous à la TV ?! Vous me regardez ! (rires) (une photo d'Adamus a été projetée sur le grand écran, à l'avant de la salle) Qu'est-ce que c'est ? Vous regardez la TV alors que c'est en direct ici ? Je vous vois regarder fixement la TV. Non, je suis ici ! (Adamus glousse et le public rit)  Il s'agit d'une distorsion de la réalité. C'est très étrange. Je vais soulever la question à l'heure du thé, la prochaine fois, avec le Club des Maîtres Ascensionnés. « Vous pouvez être vivant, là dans la pièce avec eux, mais pourtant, ils regardent l'écran. Pourquoi ça ? Pourquoi ça ? » (quelqu'un dit « c'est nouveau ! ») Non, vous le faites tout le temps. Vous le ferez encore dans un an.

Ainsi, chers Shaumbra, c'est intense là-bas. Prenez une profonde respiration. Prenez une grande respiration... (pause)... et ça va continuer à être intense. Ça l'est. Ça l'est. Vous devez être capables de rire de vous-mêmes. Vous devez être capables de rire avec vous-mêmes et avec tous vos aspects. Oui. Rire avec vos aspects parce qu'ils rient déjà. Donc, vous pourriez tout aussi bien rire avec eux. (rires et Adamus glousse) Et Aandrah sait exactement de quoi je parle. Riez de vos aspects. Oui. Choisissez de rire de vos cul-spects. (jeu de mot intraduisible avec ass (cul) et spects) (rires) Vous saviez que j'allais dire ça. Oui. Ouais. Un autre t-shirt Shaumbra. Oui. Oui. Et vous devez être vrai avec vous-même. Nous allons en parler aujourd'hui. Soit dit en passant, je ne vais pas vous dire grand-chose aujourd'hui. Non, désolé. Ah ! Ah bien... (rires) et j'ai entendu quelqu'un penser « il ne dit jamais rien. » Donc, vous venez ici pour manger. C'est bien. Ce dont je vais vous parler aujourd'hui, cependant, ce sont des rappels de choses dont nous avons parlé pendant longtemps. Vous vous êtes donné ces sagesses, longtemps avant d'en avoir vraiment besoin. Vous vous êtes donné des intuitions, des années avant que ce ne soit vraiment nécessaire, en fait. Au moment où elles ressemblaient un peu à des « révélations. » Maintenant, ils vont être des outils dans votre boite à outils. Ils vont être des bandages dans votre trousse de premier secours. Ils vont être du baume. Ils vont être des sédatifs, pour vous.

Mais, je les ramène maintenant, je rappelle certains points, parce que vous les avez mis sur votre chemin avant l'heure où vous pourriez en avoir besoin, et maintenant, vous allez avoir besoin d'eux. Maintenant, vous avez vraiment besoin d'eux.

C'est intense, là-bas, comme nous le disions dans notre club de thé, l'autre jour. C'est extraordinaire que vous teniez le coup comme vous le faites en ce moment avec tout ce qui se passe. C'est étonnant que vous puissiez rire. C'est stupéfiant que votre corps ne soit pas tombé en morceaux, tout simplement. C'est sidérant que vous n'ayez pas grillé les fusibles* dans votre mental -trop de fusibles, quelques-uns ici et là. (rires) C'est époustouflant que vous puissiez encore vous identifier à vous-mêmes. C'est la chose la plus étonnante. C'est très, très étonnant que vous puissiez encore vous identifier à vous-mêmes.

(* se référant à des fusibles électriques)

Connaissance de soi

Donc, je vais poser la question ici -je vais demander à Linda d'Eesa d'aller au tableau pour écrire les réponses -sur une échelle de 1 à 10- 1, 10- une échelle de un à dix, dix étant le plus, un étant le moins. Je vais demander à David de prendre le microphone.

Dans quelle mesure vous connaissez-vous ? Et nous allons commencer par cette table qui est toujours ignorée. Eh, vous choisissez, David. Dans quelle mesure vous connaissez-vous ? Oh, ha ! hm. Ne vous inquiétez pas de la caméra.

Bonnie : D'accord.

Adamus : Elle s'est juste déplacée automatiquement -vrrr ! Oui.

Bonnie : Plutôt.

Adamus : Plutôt.

Bonnie : Je sais.

Adamus : Plutôt, sur une échelle de un à dix. « Plutôt » n'est pas dans de un à dix.

Bonnie : Le plus, un ?

Adamus : Non, le moins, un. Le moins vous vous connaissez, étant un ; le plus, dix. Dans quelle mesure vous connaissez-vous ?

Bonnie : Sept.

Adamus : Sept. bien. Donc nous avons un sept.

Linda : Donc, j'écris juste le chiffre sept ?

Adamus : Juste le chiffre sept. Extraordinaire. Simple. D'accord, bien. Dans quelle mesure vous connaissez-vous, Timothée, à la caméra ? D'autres caméras zooment sur vous de partout. Elles fondent sur vous. Dans quelle mesure vous connaissez-vous, Timothée ?

Timothée : Huit.

Adamus : Huit. Bien, bien. Nous avons un sept et un huit.

Linda : Les voulez-vous de haut en bas, ou en travers ?

Adamus : Si je dois prendre ce genre de décisions... (rires)

Linda : J'essaie seulement de vous satisfaire.

Adamus : … Je vais revenir pour le thé.

Linda : Je n'ai pas de problème.

Adamus : Bonne question. Écrivez-les en travers, s'il vous plaît. En travers. Suivant. Revenons directement ici, à l'homme sur le sol. Ah, vous l'avez presque manqué. Il est sur le plancher.

Matt : Dix.

Adamus : Un dix.

Matt : Oui monsieur.

Adamus : Vous vous connaissez à dix. Bien. Excellent. Quel est votre nom ?

Matt : Matt.

Adamus : Matt. Bien Matt. Il n'y a rien d'autre à connaître de vous-même ?

Matt : Eh bien, c'est ce qui est encore dans le futur.

Adamus : Eh, vous êtes un dix. Vous êtes un dix. Il n'y a rien d'autre à connaître.

Matt : Comme ici, maintenant ? Je ne crois pas, non.

Adamus : Non. Bien.

Matt : Non.

Adamus : Excellent. Il n'y a pas... dans le Théâtre d'Adamus -je suis désolé- le Théâtre Shaumbra, il n'y a pas de mauvaises réponses. Eh bien, en fait, il n'y a pas de bonnes réponses. (rires) Bien. Et revenons ici vers M. Collins. Dans quelle mesure vous connaissez-vous ?

M. Collins : Eh, c'est une bonne question.

Adamus : Je sais. C'est la mienne.

M. Collins : Ehh, je dirais peut-être à 6,5.

Adamus : 6,5. bien, bien. Remise à zéro. Remise à zéro. Allons vers Lucky, par ici. Lucky.

Lucky : Uhh, 8,5.

Adamus : 8 points... eh bien, vous allez devoir le faire pour les caméras. Vous voyez les caméras ? Vous voyez comment elles bougent, sans que personne les touche ?

Lucky : 8,5.

Adamus : 8,5. Bien, bien. Génial. Qu'est-ce qu'il y a dans ces 1,5 ?

Lucky : Je pense que c'est juste qu'on est toujours en train d'apprendre plus sur soi, par les perceptions d'autrui ou les siennes, et les vôtres.

Adamus : Ouais, bien. Bien. Donc, vous n'avez pas besoin d'aller très loin. Vous y êtes presque. Ça vous a seulement pris 1 039 vies pour arriver à 8,5. Ce n'est pas mal. Je dis qu'on pourrait le faire avec environ cent vies. Vous serez là jusqu'au bout. Oh merde, c'est vrai. Oui. Parlant de ça, Sart.

Sart : Oh, ce doit être 12. (rires)

Adamus : Douze. Mesdames et Messieurs, j'ai donné les variables de un à dix. Il est tellement plein de... (Adamus pointe vers le t-shirt de Sart qui dit « Merde » ; le public le lit et dit « Merde ! » - plus de rires) Bien. Je vous remercie de ne pas comprendre comment jouer le jeu.

Sart : Il y a des règles ?

Adamus : Il y a seulement mes directives. Oui. Pas de règles. Bien. Allons ici... ah oui, vers Ali. Ali, dans quelle mesure vous connaissez-vous ? De un à dix.

Ali : Eh bien, quand vous parliez de s'identifier à soi-même, je pensais que ce n'était probablement pas une bonne chose si on s'identifiait toujours à soi-même. Je veux dire, ni bon ni mauvais, mais probablement...

Adamus : Mais, où êtes-vous ?

Ali : Peut-être cinq.

Adamus : Peut-être cinq.

Ali : Et pas sûre, de toute façon.

Adamus : Hésitant autour de cinq. Donc, mettez des lignes ondulées autour de cinq.

Ali : Ouais.

Adamus : Bien. David, vous choisissez maintenant. Je vais juste fermer les yeux. Vous choisissez le suivant. Oui.

Leslie : Peut-être deux, mais ça monte.

Adamus : Ça monte. Bien, bien. Vous savez, ne vous pressez pas pour arriver. Prenez votre temps.

Leslie : Eh bien, ça dépend des jours.

Adamus : Oui, ça dépend... comment ça va aujourd'hui ?

Leslie : Eh bien, probablement plus près de dix que de deux, mais ça pourrait être deux...

Adamus : C'est un grand écart.

Leslie : C'est vrai. C'est vrai.

Adamus : D'accord, de dix à deux. Deux à dix.

Leslie : Ouais.

Adamus : Oui. Ouais, dix, quatre, deux -un peu de Dr Pepper pas loin d'ici.* Bien. Bien. Vous choisissez, David. Jeffrey ?

(* Référence à une vieille campagne publicitaire pour la boisson gazeuse « Dr Pepper » où « l'heure Dr Pepper » était à 10, 2 et 4 heures. Référence Wikipedia.)

Jeffrey : Zéro.

Adamus : Zéro. Oh, avec un petit air de violon qui passe là-bas. Zéro.

Jeffrey : Repartir à zéro.

Adamus : Ouais, zéro. D'accord. Wow. Wow. D'accord. Je vais le lâcher, celui-là. Qu'en est-il de Mofo -je veux dire... (rires alors qu'Adamus s'adresse à Marty qui avait dit « Mofo » au cours du précédent Shoud) De un à dix, MF, mon ami.

Marty : Oh ouais !

Adamus : Ouais, ouais, ouais.

Marty : Je dois dire que ces jours-ci, j'y suis presque. C'est un neuf.

Adamus : Vous dévalez la pente ?

Marty : Ouais.

Adamus : Ouais, ouais. Où êtes-vous ? Vous êtes à neuf ?

Marty : Neuf. Mmh mmh.

Adamus : Vous êtes à neuf et vous reculez ?

Marty : Non, je me rapproche de « la connaissance totale, petit scarabée. »

Adamus : Oohhh vraiment ! (rires) Ehhh, neuf est le nombre de l'achèvement. D'accord ? Numérologiquement -le nombre de l'achèvement ? Mofo est à neuf. Mm mm. (Adamus hoche la tête et glousse)

Marty : Ohhhh !...

Adamus : D'accord, bel essai. Je l'aime. Bien, bien. Et nous en prenons deux de plus. Deux de plus.

David : Un.

Adamus : Un pour David.

David : Oui.

Adamus : Non, deux personnes de plus. Ouais, il y a un peu de confusion là-dedans. Oui. Ainsi, vous êtes à un.

David : Oui.

Adamus : Ouais, deux personnes de plus. Faisons un, John Kuderka. Le Calme. Le Sage. Où en êtes-vous, monsieur ?

John : Vingt-deux.

Adamus : Vingt-deux. Ah, un de ces Maîtres-nombres. Un Maître-nombre.

Linda : Vingt-deux.

Adamus : Il est à quatre. (rires) Est-ce bon ? Est-ce mauvais ? Bien, et un de plus.

Pete : Six.

Adamus : Six. Bien. D'accord. Donc, Linda, très vite maintenant, additionnez les nombres dans votre tête, et quelle est la moyenne ?

Linda : Oh pas question ! (rires) Non, je suis à fond !

Adamus : Certains d'entre vous l'ont déjà fait. Certains en ligne -pas ceux d'ici, mais certains d'entre vous en ligne- vous les avez déjà additionnés, soit dans votre tête, soit avec votre calculatrice. Donc, quelle est approximativement votre moyenne si vous retirez ceux qui ne suivent pas les directives -vous retirez le 12, retirez le 22- le deux entre dix devient- disons à ce sujet environ 4 ½, et ensuite, très rapidement calculer, calculer... (pause)

Ça n'a pas d'importance ! Ça n'a pas d'importance. Ça n'en a vraiment pas, et mon point essentiel aujourd'hui, dans cette première partie de la discussion, mon point essentiel aujourd'hui -ça n'a pas d'importance. En fait, si cela avait de l'importance, ça voudrait dire qu'il serait mieux d'être plus près de zéro, parce que c'est vers là que vous vous dirigez. Ouais, ouais. Vous faites votre chemin, vous faites votre chemin, pensant que vous savez qui vous êtes, pensant que vous avez tout compris. Mes chers amis, laissez ça tomber comme une patate chaude. Laissez tomber ça tout de suite. Vous n'allez pas savoir qui vous êtes, dieu merci. Il n'y a pas de nombre dix. Il n'y a même pas un bon 9,9 pour ceux qui font un chemin spirituel.

Que mangez-vous là-bas, Ours qui rit ?

Ours qui rit : Des bonnes choses.

Adamus : Pouvons-nous avoir une prise de vue de vos bonnes choses ? Mon dieu ! Mon dieu ! (Adamus montre à la caméra l'assiette pleine d'Ours qui rit) Regardez ça ! (rires) Ouais... ouais, par ici (aux caméras) Par ici, afin que tout un chacun, dans le monde, puisse voir ce que mange Ours qui rit, au beau milieu de cette conférence sacrée.

Linda : Il apprécie le buffet ! Il se régale du buffet !

Adamus : Juste comme si vous n'aviez pas fait une pause. En voulez-vous ? (rires alors qu'Adamus offre l'assiette aux autres)

Linda : Vous allez lui faire peur. Il n'est pas venu depuis longtemps.

Adamus : Non ? Non. Linda ?

Linda : Non ! Rendez-la lui ! Quelle grossièreté !

Adamus : Les humains et leur nourriture. En fait, cher ami, j'ai juste béni ça pour vous. (Adamus passe ses mains au-dessus de la nourriture, puis souffle dessus)

Linda : Ohhh ! (Ours qui rit lui donne des perles)

Adamus : Euh, je vous remercie ! Je vous remercie. (il se met les perles)

Ours qui rit : De rien.

Adamus : Mettez-le comme ceci. (rires) C'est lourd.

Linda : Donc, Ours qui rit... il récompense la mauvaise conduite. C'est gentil.

Adamus : Absolument. Oui. Donc, alors... (Adamus essaie de mettre les perles)... comme je disais, comme je disais, il vaut mieux en fait...

Linda : (venant regarder les perles) C'est intéressant.

Adamus : Ajustement de costume, oui.

Linda : Voulez-vous plus d'aide pour ça ?

Adamus : (Adamus récupère quelque chose sur le collier de perles) Qu'est-ce qui a été fumé, là-dedans ? (Linda lui ajuste les perles) Comme je disais, il est préférable d'être plus près de zéro en ce moment, parce que c'est le chemin que vous prenez. C'est une évolution intéressante et je vais l'écrire sur le tableau, si ça ne vous dérange pas. Je vous remercie. Merci.

Linda : Laissez-moi vous tourner la page. Voulez-vous garder ces nombres ?

Adamus : Vous arrivez à un point, dans tout cet apprentissage de se connaître soi. Vous arrivez à un point de... vous arrivez à un sept et vous commencez à vous sentir 2assez bien dans votre peau. (Adamus commence à dessiner un cercle qui n'est pas complètement fermé) Point de départ (12 heures) ; vous descendez ici du 3 au 4 (heures), vous vous sentez plutôt mal ; vous descendez ici vers le 5, 6 et vous commencez à remonter au 8, 9, vous vous sentez bien avec vous-même. Vous arrivez là. Vous arrivez à savoir qui vous êtes et puis -chhhkkkpppp! Ça se renverse presque tout seul. Avez-vous remarqué ça ? (quelques personnes disent « oui ») Oui. Oui. Presque comme vous sentez que vous êtes là-bas, dans les parages, vous vous délectez presque de cette chose, tellement que vous étiez sur le point d'être prêt à écrire votre livre « Je commence à me connaître, je commence à m'aimer » -soudain, il s'effrite, tombe en morceaux, et c'est une bonne chose. Vous avez mis ça là-bas. Vous avez mis ce traquenard explosif là-bas -sachant que vous alliez marcher dessus, sachant que ça vous ferait exploser- intentionnellement, parce qu'il n'y a jamais à apprendre à se connaître. Pas dans les termes humains, autrement dit. Vous ne voulez pas vous connaître si bien que ça, parce qu'alors vous êtes coincé.

Je vous les rends. (Adamus rend les perles à Ours qui rit) Elles ont été bénies aussi, pas par moi.

Ours qui rit : Oui

Adamus : Oui. Vous arrivez au point où vous avez explosé. Vous laissez aller, parce que vous prenez conscience que cette identité que vous commencez à connaître est absolument fausse. Absolument. Pas méchamment fausse, juste une fausse illusion, un faux illusoire. Donc, vous la sabotez, en quelque sorte. Vous la laissez aller, car ainsi vous pouvez vraiment évoluer, donc il ne s'agit pas de commencer à vous connaître ; c'est juste d'être le Je Suis. Je sais, il y a là une petite nuance, mais vous la laissez aller, parce que, tout d'abord, vous n'arriverez jamais à atteindre 10. vous arriverez à 9,99999 et ensuite, elle explose. Alors, pourquoi même essayer à nouveau ? Si vous êtes à 4 ½ ou à 8, ou à 22, John, pourquoi même essayer ? Laissez aller. C'est un jeu qui ne peut pas être gagné et qui vraiment ne devrait pas l'être. C'est un jeu qui demande une quantité énorme d'énergie, et le prix à la fin est vraiment la découverte -seulement la découverte- qu'arriver à se connaître était une illusion. Une illusion. Soudain, pour beaucoup d'entre vous qui pensent qu'ils ont vraiment réussi à se connaître, ils découvrent, comme Aandrah le sait, qu'ils sont arrivés à connaître un aspect. Et alors, il y a deux aspects de plus, dix de plus, cent de plus, qu'ils doivent arriver à connaître. Et alors, ils sont pris dans cette sorte de labyrinthe. Ils sont pris dans ce monde étrange des illusions. Et c'est très facile de se perdre lorsqu'on est dans ce monde étrange des illusions.

Donc, nous sommes ici à un point où vous pouvez dire que ce n'est même plus important. Ça ne l'est vraiment pas. Ça ne l'est vraiment pas.

Il n'y a même pas besoin de le chercher. Il s'agit juste d'être le Je Suis, tous les jours. Pas d'avoir à le chercher, mais de savoir qu'il est là. C'est en train de se faire juste dans l'expérience, plutôt que dans la recherche. C'est tout.

La chose amusante, c'est que, lorsque vous arrivez à ce point, vous commencez vraiment à vous connaître -mais pas vous, le soi humain ; vous-même, le Dieu, le Je Suis.

Ainsi, prenons une profonde respiration avec ça. (pause)

Il y a une petite différence, mais c'est une différence importante. Une petite différence entre commencer à se connaître et juste, pourrait-on dire, être vous-même.

Donc, laissez aller toute cette énergie que vous avez concentrée là-dessus, ce n'est même pas important. Ensuite, parlons de ce qui se passe en ce moment. A propos, nous allons... Cauldre a demandé du temps pour les questions à la fin, donc nous allons y consacrer du temps. Ainsi,  commencez à penser à toutes ces bonnes questions que vous allez poser, nous allons laisser le temps. (Adamus fait une pause)

Je n'ai entendu aucun applaudissement. En fait, j'ai eu peur ! (rires) Ah Linda doit juste prendre ce microphone pour aller dans le public plus tard pour les questions des volontaires.

Les énergies actuelles

Ainsi... très bien, ensuite. Qu'est-ce qui se passe ? Nous sommes en Avril, début Avril 2012, l'année de la délivrance d'énormes énergies, aussi de grands changements. Pas étonnant même que quelqu'un se soit présenté avec la brillante idée de modifier cette pièce. Et tandis que cela  peut paraître petit à l'échelle mondiale, en fait, c'est tout à fait significatif, parce que vous avez changé l'énergie pour ceux qui viennent de manière régulière. Quelque chose de différent, ici dedans. Il se passe quelque chose, ici dedans.

Certains d'entre vous l'aiment. Certains d'entre vous -j'ai entendu- certains, bien que vous disiez « Oh oui, c'est très joli, » vous pensez, « Je veux retourner à l'ancienne manière. J'étais habitué à l'ancienne manière. J'étais à l'aise. Je savais où m'asseoir. Je savais qui était assis près de moi. Je savais où regarder. Je savais où était cette satanée caméra. »

Donc, il y a un certain niveau d'inconfort avec ce changement. Eh bien, c'est une année d'énormes changements, la libération d'énergies à un taux sans précédent. Sans précédent.

Il est intéressant d'observer ce qui se passe de manière globale, en ce moment. Alors que toutes ces énergies viennent de tous les endroits, de partout, les gens essaient de les gérer ou de les comprendre. Ils essaient de les définir.

En fait, je n'aime pas lorsque les gens essaient de les sur-définir, parce qu'alors ils entrent dans le mental. C'est juste une simple question de beaucoup d'énergies, causant beaucoup de changement, le tout comme résultat de l'humanité ayant levé la main et dit « Nous sommes prêts. » C'est aussi simple que ça.

Ces énergies entrent en ce moment, et elles sont intériorisées par les gens, en général, par les individus, en général. Elles sont intériorisées. Les gens essaient de comprendre ce que c'est -je ne parle pas simplement de Shaumbra, je parle de tout le monde- ils essaient de comprendre ce qui se passe. Pourquoi les choses ont-elles l'air différentes ? Ils essaient de les justifier ou de les comprendre depuis ici (tête). Ils essaient de dire « Eh bien, c'est à cause de ceci et cela a changé. » Ils font généralement fausse route. C'est juste une augmentation d'énergie. Si vous étiez une ampoule et que vous soyez habituée à ce qu'il entre 110 volts pour vous allumer, et que soudain, il y ait 130, vous allez vous sentir un peu différente, et vous allez vous demander « Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi semble-t-il que je ne puisse pas le gérer de la manière... c'est sûr, je suis lumineuse, mais vais-je brûler ? » Soudain, ça monte à 220, puis 440, et de plus en plus haut, et les gens pètent les plombs. Beaucoup d'entre eux vont essayer de l'éviter. Ils vont essayer de la dévier. Ils vont essayer de prétendre qu'elle n'est pas là. Ainsi, que font-ils ? Ils retournent à... ils retournent. Ils retournent aux anciennes méthodes. Ils disent « Quoi qu'il se passe, ça ne fonctionne pas, donc je vais revenir à ce qui marchait. » Vous avez tendance à faire ça.

Quand vous avez un peu de problèmes, vous dites « Je vais juste revenir à ce qui fonctionnait l'an dernier, ou il y a dix ans, parce que je sais que ça marchait. » Eh bien, prenez un moment, regardez en arrière ; ça ne marchait pas si bien que ça non plus. Vous l'avez manipulée. Vous avez compris à travers elle. Vous avez appris d'elle, et plus que tout autre chose, vous expérimentez avec elle.

Donc, en ce moment, en général, ces énergies sont en train d'entrer, et je voudrais dire que si elles tapent sur quoi que ce soit, si elles atterrissent sur quoi que ce soit dans une personne, c'est dans son mental. C'est pourquoi vous voyez une épidémie de gens qui prennent des antidépresseurs et ces autres médications. Buvez du vin, tout simplement. Vous n'avez pas besoin de tout ça. Avec modération. C'est quoi la modération, Élizabeth ?

Élizabeth : Chaque jour.

Adamus : Chaque jour. C'est... (rires) Modéré. Chaque fois que le soleil brille. Très modéré. Donc, ça atterrit dans leur mental, les rendant fous. Puis, du mental, ça va dans le corps, parce que le corps a été entraîné à suivre le mental. Puis, ils commencent à avoir des affections physiques et des choses qui vont mal dans leurs corps.

Mais en fait, pour la plupart des gens, la plupart des humains, cette quantité énorme d'énergie qui entre, éclaire leurs aspects, en fait... leurs aspects. Eh ? Ainsi, ils essaient d'éviter tout ça. Ils prétendent que ce n'est pas là.

Les aspects vont dire « Regardez toute cette énergie. Regardez tout ce potentiel de chaos. Regardez tout ce qu'il y a pour créer une espèce de confusion de masse. Regardez tout ce potentiel pour obtenir l'attention que nous avons toujours voulu obtenir. » Ainsi, les aspects sont très occupés. Oh, toute personne spécialisée en Aspectologie devrait faire un bureau d'affaires, en ce moment -les gens alignés aux portes- mais vous voyez, les aspects ne vont pas faire leur chemin là-bas, et les humains ne savent pas ce qui se passe. Vrai. Ainsi, vous avez cette incroyable intériorisation qui entre dans le cerveau, qui entre au niveau de l'aspect, les gens se demandant ce qui se passe. Ils deviennent un peu bizarres, en ce moment, devenant un peu extrêmes, donc, que se passe-t-il après ?

 ***************************************************************************

Vous êtes tous de bons prophètes ici, oui, et vous n'êtes pas médiums. Vous n'avez pas besoin d'être devins pour comprendre ce qui va se passer ensuite. Vous intériorisez tout et, On ?

Garrett : Ça doit sortir !

Adamus : Ça explose. Ça va être un été long et chaud. Je ne plaisante pas. (quelqu'un crie « youpi ») Je ne plaisante pas. Ouais. (Adamus glousse) Ça va être un été de folie, de bien des façons. Ce qui se passe en ce moment est en grande partie ces choses qui se passent sur une base individuelle, personnelle, de gens qui essaient de ressentir leur voie à travers ça. Ils ne savent même pas comment en parler, ils n'en parlent donc pas vraiment.

Mais, une fois que quelques-uns commencent à exploser, et une fois que quelques organisations commencent à se concevoir dans cette énergie, en d'autres mots, ils commencent à se présenter avec les réponses, la manière -oh, mes chers amis, je vais faire une pause pour un instant, pour donner mon avis. Je ne le fais pas très souvent. (rires) Les humains... un individu humain est la plus grande chose de la création. Un être humain est le plus grand de tous les êtres, où que ce soit, et j'ai bourlingué un petit peu. Je suis allé dans différentes dimensions. J'ai vu différentes parties de la création qui sont absolument extraordinaires, et je n'ai jamais rencontré, jamais trouvé -même jamais eu une rencontre rapprochée- avec un être aussi grand qu'un être humain.

Et je dis ça, mais : les êtres humains sont merveilleux, jusqu'à ce qu'ils entrent dans une organisation. (rires) N'importe quelle organisation -une entreprise, une église, une fondation de bienfaisance- peu importe ce que c'est. Qu'y a-t-il à propos des humains ?

Magnifiques individuellement, mais au moment où ils s'organisent, vous avez les problèmes de contrôle, les problèmes de pouvoir, les questions de hiérarchie. C'est là où le virus de l'énergie sexuelle entre en jeu. Il aime les organisations. Ev... vous ne pourrez pas m'arrêter, Cauldre. Il pourrait même nuire à cette organisation d'êtres magnifiques, mais il ne le fera probablement pas. (Adamus glousse) Une fois que les humains s'organisent, cela met en évidence, parfois, le pire en eux.

Pourquoi ça ? Pourquoi cette dynamique est-elle comme ça ? (quelqu'un répond) Pardon ?

Lara : Il n'est pas destiné à être organisé.

Adamus : Pas destiné à être organisé. Bingo ! Vous recevez une récompense d'Adamus, aujourd'hui. Cette jolie peluche... oui, oui. (il lui apporte un gros lapin rose en peluche, le public répond « oh » et applaudit) Ce joli petit lapin en peluche ! Oui. Levez-vous un instant, afin que chacun dans le monde puisse voir. Oui. Jolie peluche.

Lara : Je vous remercie.

Adamus : Oui. Oui. Vous la méritez. Bien. Il en reste encore une. Soyez très vigilante. Gardez vraiment les yeux ouverts.

Absolument. Finalement, la souveraineté, c'est de s'aimer, s'accepter et se reconnaître. Ça l'est. Donc, les organisations, en ce moment, se retirent de ça. Elles le font réellement. En général, les organisations ne veulent pas de souveraineté. Elles ne veulent pas de voix au chapitre. Elles ne veulent pas beaucoup d'individus ; elles veulent le conformisme. Elles veulent des règles. Elles veulent un caractère conciliant. Ainsi, on a ici de grands humains, mais ils s'organisent en groupes. Vous savez. Vous savez. Au sein -eh bien, sans vouloir mentionner vos familles- vous savez, au sein de vos entreprises, au sein de vos organisations politiques.

Donc, je digresse, mais j'aime le faire. Donc, où en étions-nous ? Explosion ! Été chaud, long été chaud, toutes ces énergies qui continuent. Où allez-vous être ?

Marie-Alice : A la plage.

Adamus : A la plage. C'est exactement où vous devriez être ! Qui a dit ça ? Vous avez gagné l'autre ! (rires alors qu'il lui donne un gros poussin en peluche) A la plage. Je vous remercie. 

Ah oui, donc. Linda, est-ce tout ce que vous avez apporté aujourd'hui ? (quelqu'un dit « les œufs » en se référant aux autres décorations de Pâques) Des œufs ? Des œufs.

On pourrait refiler une partie de la nourriture.  Il y a l'assiette d'Ours qui rit que nous pouvons donner.

Linda : J'ai les habituelles Récompenses d'Adamus.

Adamus : Les Récompenses d'Adamus. Rien de plus convoité dans toute la création que les Récompenses d'Adamus -à part un ami en peluche. Oui. Bien.

Donc, où allez-vous être cet été et cet automne pendant que tout ça se passe ? (quelqu'un dit « Respirer ») Respirer. (quelqu'un dit « Rire ») En rire. En comprenant que c'est absolument approprié. Vous n'avez rien à faire. Vous n'avez pas à assumer cette responsabilité pour vous-même. Vous n'avez pas à sauver le monde. En fait, vous pouvez jouir de la vie, tout simplement. C'est là où vous pourriez être cet été -à jouir de la vie, quoi que cela signifie. En vous engageant envers vous-même, ainsi que nous en avons parlé le mois dernier. En vous engageant envers vous-même, quoi que cela signifie. En vous offrant des cadeaux. En vous donnant l'acceptation et l'amour que vous méritez.

Quatre Questions

Donc, quatre choses qui se passent en ce moment à l'intérieur de vous, à l'intérieur de chacun et chacune d'entre vous, et vous pouvez les écrire au tableau en résumé, chère Linda. Vous êtes particulièrement jolie aujourd'hui. Y a-t-il (le public approuve) -ouais- quelque chose de spécial ?

Linda : Non. Je viens de saigner sur la veste que je devais porter.

Adamus : Oh ! Eh bien, bon. (quelques rires) Le martyre avant que la réunion ne commence, c'est bon.

Linda : Vous savez, le lendemain du Vendredi Saint. Qu'espérez-vous ? (rires)

Adamus : Quatre questions en cours en ce moment à l'intérieur de vous. Des choses dont vous pourriez être conscients. Des choses que vous allez probablement « Ah ah ! Je le savais ! » Je vous ai dit que vous saviez déjà ce que j'allais vous dire, mais vous ne l'aviez pas réalisé. Quatre choses qui se passent.

D'abord, et c'en est une importante. Ça peut prendre un petit peu de temps pour réaliser l'ampleur de ce qu'elle est vraiment. Mais avant d'entamer ça, laissez-moi vous dire, vous comprenez tous que votre ADN est -Chtt ! Chtt ! Chtt !- en train d'être refait, reconstruit. Vous êtes en construction. Vous refaites vos ancrages d'énergie, comment vous vous tenez dans la réalité, comment vous faites pour tenir debout, pour penser, vous souvenir, agir machinalement. Vous refaites tout ça.

Vous refaites la quantité, les niveaux de lumière et d'énergie que vous pouvez apporter dans votre réalité. Même si certains jours c'est très intense et que vous essayez de l'éteindre, vous ne pouvez vraiment pas. Il y a énormément de lumière et d'énergie.

1. Intégration mentale et créative

Voici maintenant ce qui se passe en ce moment. Ça pourrait changer le mois prochain, mais en ce moment, c'est un peu ce qui se passe.

Avant toute chose, vous avez été principalement un être mental. La plupart du temps, vous fonctionnez par le biais de l'esprit avec des pensées mentales. En analysant les choses, en les jugeant, en les mettant dans de jolis petits compartiments mentaux bien rangés.

Pendant environ 96 % du temps, vous utilisez l'aspect mental de vous-même dans votre environnement quotidien. Quatre pour cent vont pour le créatif, et c'est vraiment un progrès, parce qu'il y a seulement quelques années, c'était à peu près 1 %.

Maintenant, c'est en train de faire un bond, un bond très rapide, à l'endroit où, au lieu d'avoir le scénario cerveau gauche/cerveau droit , au lieu de passer du mental au créatif, maintenant, ils commencent à fusionner ensemble.

Imaginez-le de cette façon. Imaginez un évier dans une cuisine ou une salle de bains -un vieil évier- qui a un robinet d'eau froide par ici, et un robinet d'eau chaude par là. Et vous devez les tourner ensemble, ou juste l'un ou l'autre et essayer de les mélanger. Ou en utiliser un tout simplement, parce que c'est devenu gênant. C'est brûlant d'un côté, glacé de l'autre. C'est une bonne analogie pour le mental et le créatif – intégration mentale et créative (à Linda).

Imaginez maintenant que c'est ensemble dans le même robinet, comme la plupart d'entre vous en utilisez tous les jours. Vous ouvrez l'eau. Vous obtenez une certaine quantité de pression, et vous pouvez ajuster la température, suivant que vous vous lavez les mains, que vous nettoyez des marmites et des casseroles, ou que vous avez besoin de vous rafraîchir.

C'est considérable, et je ne dis pas que c'est 50-50 dès maintenant, mais il y a la possibilité de les fusionner ensemble, de façon qu'il n'y ait pas seulement le mental, puis le créatif, et ensuite le mental, et ensuite le mental, et ensuite le mental, et ensuite un petit peu de créatif. Ils se rassemblent. Vous avez donc maintenant une conscience combinée, à l'intérieur de vous-même, qui est créative et mentale.

Ça semble merveilleux, n'est-ce pas ? Vous en voulez plus ? (le public dit « oui ») Eh, vous dites ça, mais quand les changements arrivent, alors tout à coup, vous vous dites « Pourquoi ça ne marche pas comme d'habitude ? » Robinet d'eau froide, robinet d'eau chaude, maintenant un seul robinet -ça va sembler différent pendant un certain temps. Ça va affecter vos rêves, parce qu'un grand nombre de fois, les rêves étaient beaucoup plus littéraux, beaucoup plus mentaux, et maintenant vous avez plus d'inspiration dans les rêves. Cela va avoir une incidence sur vos processus de pensées, particulièrement pour la résolution -la résolution des problèmes- parce que la plupart du temps vous appliquez une énergie mentale sur quelque chose qui aurait dû être créatif.

Vous avez un problème, quelque chose ne fonctionne pas, vous avez des problèmes techniques, ici -comme ils l'ont expérimenté en installant mon nouveau théâtre, les questions techniques- comme à son habitude, le mental aurait cliqué et dit « Nous avons ce problème. Passons en revue tous les scénarios. Analysons ce qui ne va pas. » En fait, cela aurait dû être le moment où vous auriez dû utiliser surtout le créatif. Vraiment. Essentiellement le créatif. Chaque fois qu'il y a un problème, mettez-y de la créativité. Vous aurez la solution. La créativité est la chose qui trouve les réponses. Le mental exécute ce que trouve le créatif, au moins jusqu'à maintenant. Donc, vous avez cette nouvelle fusion intéressante de créatif et de mental. Cela va déstabiliser votre mental. Ça va vraiment le faire. Ça va changer la façon dont vous traitez les problèmes de la vie, les situations au travail, le calcul de vos impôts.

Quand vous allez acheter quelque chose au magasin, qui doit être assemblé, auparavant, vous le sortiez de l’emballage et le regardiez – et vous appeliez quelqu'un d'autre pour qu'il l'assemble pour vous. Ou alors, vous deveniez très mental à propos de ça au lieu d'y mettre du créatif.

Donc maintenant, vous les fusionnez ensemble. Vous l'avez déjà fait. C'est déjà mis en œuvre. Mais maintenant, si vous  vous en rendez compte, si votre mental le comprend, vous pouvez vous détendre un peu plus, parce que cela change la façon dont vous approchez les situations, les problèmes.

Également, avec cette nouvelle intégration du créatif et du mental, cela va ajouter de la couleur, de la profondeur, une dimension à tout ce que vous faites. C'est une époque formidable, comme je l'ai déjà dit, pour initier un projet, une affaire. Vous voyez, beaucoup d'entre vous avez essayé de faire des affaires auparavant. Vous avez été très mental à ce propos. Vous deviez  le comprendre avant de le faire. Juste comme vous, comme un humain essayant de le comprendre, en essayant de parvenir à  mieux vous connaître. En fait, c'est un processus créatif.

Le créatif est plus difficile pour le mental -en fait, en fin de compte, beaucoup plus facile- beaucoup plus difficile pour le mental, parce qu'il aime comprendre les choses. Il aime savoir où sont les pièges. Il aime savoir quels sont les différents scénarios. C'est le mental en action qui essaie de le comprendre, et c'est pourquoi la plupart d'entre vous n'avez pas fait ces choses qui sont vraiment votre passion, parce que vous avez essayé de le comprendre en avance. Vous avez essayé d'y penser.

Le créatif, c'est... vous pouvez l'imaginer comme une énergie très fluide, très expansive. Le créatif pourrait être comme -imaginons pendant un moment- un liquide coloré qui peut changer de couleur à tout moment, qui change de son état liquide à celui de gaz instantanément, et de nouveau liquide, ou tout ce qu'il veut être. Il peut s'écouler en montée, en descente. Ça n'a vraiment aucune importance.

Attendu que le mental est très linéaire, très défini, qu'il sert un grand dessein, un merveilleux but. Il vous garde ici, pour une seule chose.

Ainsi, maintenant c'est difficile, parce que dans le créatif, il ne peut pas suivre les anciens schémas. Cela requière que vous ayez confiance en vous -le Ahmyo, la confiance en soi. Donc on peut dire, dans ce premier scénario, l'intégration du mental et du créatif, en ce moment. C'est une belle chose. Jamais fait auparavant par un grand nombre de gens. Beaucoup d'individus l'ont fait. Vous remarquerez que nous n'avons pas un gros manuel. Vous n'avez pas eu besoin d'aller à beaucoup de cours. Vous n'avez pas eu à l'étudier, parce que cela aurait été une sorte de défaite dans le dessein. Mais ça se passe. Ça se passe. C'est là. Donc, prenons une profonde respiration avec ça. (pause)

Prenons une profonde respiration avec ça.

L'intégration. Cela va causer des changements dans la façon dont vous traitez les choses. Ça va même causer certains changements dans le niveau de votre passion, mais tout pour le mieux, pourrait-on dire.

Vous êtes dans un processus très créatif ici en ce moment, sur le chemin spirituel. Ça fait quelque temps que vous avez quitté le cheminement spirituel mental. Maintenant, vous êtes dans le cheminement spirituel créatif. C'est pourquoi nous essayons de simplifier les choses. Nous essayons de les distiller. En sortant du mental.

Beaucoup de gens ont encore besoin de ce chemin spirituel mental -d'étudier les rituels, étudier les disciplines, étudier les Maîtres. Vous êtes sortis de ça -illumination spirituelle créatrice. C'est le numéro un.

2. Désintégration du Moi Émotionnel

Numéro deux. Une grosse partie du moi que vous avez essayé de connaître au fil des ans, une grosse partie de ce moi était votre moi émotionnel, votre moi émotionnel, et en ce moment, il se dissout. Il se désintègre. Il s'effrite. C'est bien ? Bien, oui. Oui, absolument.

Ce qui se passe, en particulier lors de la fusion créatif-mental, il n'y a plus vraiment de place à l'auberge pour le moi émotionnel, le petit enfant gâté. (Adamus glousse) Ouais. Cette petite chose -eh bien, c'est en fait une grande chose- qui vous aurait appelé et interrompu si souvent. Vous savez, l'émotion vient du mental, absolument 100 % mentale. C'est la mauvaise imitation des sentiments véritables de l'âme par le mental .

Donc, le mental a inventé ça -c'était une espèce de jalousie de ne pas avoir de vrais sentiments- donc il a fabriqué les émotions. Elles sont immatures. Elles sont irréalistes. Elles sont exigeantes. Elles sont égoïstes sans être autonomes. Les émotions ne pourraient jamais en  avoir assez. C'étaient des mangeuses d'énergie. Elles se sont nourries du vrai vous. Elles se sont nourries des autres gens. Cela a causé de petites crises de rage. Cela a provoqué de la colère. Cela vous a amené à regarder les choses avec un regard très immature.

Donc, en ce moment, le moi émotionnel se désintègre.

Kathleen : Woo hoo ! (Adamus glousse et le public rit)

Adamus : Voulez-vous venir ici et le faire ? Permettez que je le dise à nouveau. Et en ce moment, le moi émotionnel se désintègre.

Kathleen : Woo hoo ! (Adamus glousse, plus de rires et d'applaudissements) C'est les bonnes nouvelles ; maintenant, les mauvaises. Donc, que se passe-t-il ? Que se passe-t-il dans la façon dont vous vous sentez lorsque le moi émotionnel se désintègre ? Que se passe-t-il ? Je vais céder la parole à Aandrah, si vous voulez bien lui donner un microphone. Que se passe-t-il ? Vous l'avez vu chez nombre de ceux avec lesquels vous travaillez -levez-vous et venez ici devant- quand le moi émotionnel commence à se désintégrer.

Aandrah : Ça donne des crises de hurlements.

Adamus : Absolument, ça donne des crises de hurlements. Oui. Vous n'avez pas besoin de me le dire, dites-le leur. (rires alors qu'il fait signe au public)

Aandrah : (au public) Des crises de hurlements.

Adamus : Des crises de hurlements. Des crises de hurlements, parce qu'il est habitué à trouver son chemin. Il a l'habitude de jouer de vous très, très bien, comme d'un violon. Il est habitué à être la façon dont, par inadvertance, peut-être inconsciemment, vous volez l'énergie. C'est la façon dont vous vous êtes senti vivant, un grand nombre de fois, lorsque ce petit morveux émotionnel est sorti et a commencé à commander et exiger, se substituant au vous spirituel. Il dépérit, en ce moment. Il n'a pas sa place, et bien sûr, alors que ça se passe, il va crier. Il va vous donner des crises de colère, des crises de petites choses bizarres, des émotions que vous pensiez contrôler depuis longtemps -la jalousie, les autres qui ont plus. Il va avoir une espèce de petit grincement à propos de « Pourquoi je ne reçois pas plus d'argent, plus d'attention ? Comment se fait-il qu'ils n'ont pas dit quelque chose de gentil sur moi ? »

Étranges petites choses, et une partie de vous se dit : « Eh bien, c'est tellement bizarre. Pourquoi je pense ça ? Je croyais être au-delà de ça. »

Eh bien, en ce moment, ce moi émotionnel se révolte. C'est un peu comme... merci (à Linda, qui lui tendait une boisson). C'est un peu comme la méchante sorcière dans le Magicien d'Oz, quand l'eau a été jetée sur elle. Poussant un cri, criant « À l'aide... »

Kathleen : Je fonds ! Je fonds !

Adamus : Venez ici et faites cela. (rires) C'est un peu comme la méchante sorcière du Magicien d'Oz quand l'eau a été jetée sur elle. Poussant un cri, criant...

Kathleen : Je fonds ! Je fonds !

Adamus : (glousse) Je vous remercie. Merci. Vous le faites tellement mieux. Aimeriez-vous canaliser ici, un jour ? (Adamus glousse) Donc, oui. Elle a dit oui. Vous l'avez tous entendu. Les caméras l'ont vu. La caméra vous regarde en ce moment. Regardez-la, regardez-la, onduler et vous faire un clin d’œil. (beaucoup de rires alors que la caméra va et vient) Oh ouais ! Et il y en a quatre maintenant.

Donc, absolument, il fond. Il fond. Il s'en va. Deux ou trois choses se passent ici. Il va désespérément chercher à maintenir sa position. Il va vous menacer. Il va faire toutes sortes de choses étranges. Il va sortir la nuit, dans vos rêves. Il va surgir aux moments les plus inappropriés. Il va se battre avec vous. Ne vous en souciez pas. Vous prenez une profonde respiration et vous dites « Va mourir, sorcière ! » (beaucoup de rires) Ça y est ! Au revoir ! J'ai jeté l'eau ; tu t'en vas. Je deviens adulte et mature ;  au revoir pour toujours ! Pas plus. »

Ainsi, chers Shaumbra, mais il y a quelques petites choses qui se passent quand le moi émotionnel s'en va. Il a été comme un méchant ami, mais un ami qui était toujours là, et une partie de vous commence à se languir de cette sorte d'interaction dysfonctionnelle que vous aviez continuellement avec lui. Ainsi, il va y avoir une petite partie de vous qui a très envie que ça revienne un petit peu. Regardez qui vous choisissez comme amis pendant cette période, parce qu'ils seront presque d'intéressants remplaçants de ce moi émotionnel qui s'en va.

Vous pourrez aussi trouver que, tout à coup, vous prenez conscience que le moi émotionnel avait une étrange façon de partager ses repas avec vous -ses repas d'alimentation en énergie, venant d'autres personnes. Il prenait un grand plat et vous donnait un petit peu du plat d'énergie qu'il venait juste de prendre à quelqu'un, mais au moins, vous aviez quelque chose. Au moins, il vous donnait le petit déjeuner, dans l'ordre des choses. Donc, maintenant, une partie de vous va être déficiente en énergie. Les vitamines ne vont pas vous aider. Les smoothies ne vont pas pouvoir vous aider ici. Une partie de vous va chercher désespérément de l'énergie, quelque part ailleurs. Arrêtez. Arrêtez tout de suite, et là, prenez une profonde respiration. (Adamus prend une profonde respiration) Prenez une profonde respiration et c'est alors que vous dites « Je Suis ce que Je Suis. Je suis mon propre réfrigérateur. (rires) Tout est à l'intérieur de moi. Je suis le cuisinier. Je peux créer cela. Je n'ai besoin d'aller nulle part ailleurs. » Il y a de l'énergie provenant de partout. De partout. Il y a surabondance. Nous avons un sur-approvisionnement d'énergie, en ce moment, sur Terre -d'énergie cosmique, qui est -dont une si grande partie affecte les gens. Mais quand vous ressentez ce besoin de se  nourrir, vous prenez une profonde respiration -c'est ici (à l'intérieur). C'est ici, et ça vient de sources gratuites -le cosmos, votre divin, chaque partie de vous- donc, vous prenez une profonde respiration et ressentez-le.

Donc, mes chers amis, vous allez entendre des braillements et des hurlements de la part de votre moi émotionnel. Que va-t-il lui arriver ? Que va-t-il lui arriver ? Parce que je sais que certains d'entre vous sont très inquiets à l'idée que vous lui faites mal. Vous voulez le nourrir. Vous voulez le ramener et lui dire « Je suis tellement désolé d'être un tel connard spirituel. Je suis désolé d'avoir essayé de me débarrasser de toi. » Qu'est-ce qui se passe ?

Shaumbra 1 (une femme) : Il va transmuter, non ?

Adamus : Il transmute. Absolument. C'est tout ce qu'il va faire. Il a été piégé dans le petit bébé. Il a été piégé dans l'adolescent immature, et maintenant, il va transmuter dans le Je Suis. Je Suis.

Donc, prenons une profonde respiration avec cela.

3. Le temps

Un autre facteur -un facteur important- numéro trois : le temps. Maintenant, vous le savez déjà. Le temps est vraiment... tout d'abord, le temps est essentiellement une illusion. C'est une véritable illusion. Le temps a tendance à être mental, ainsi, alors que le mental et le créatif fusionnent, le concept du temps, dans lequel vous êtes profondément ancré- quelle heure est-il, Bonnie ?

Bonnie : Je dois regarder.

Adamus : Bien, bien. Elle a dit « Il faut que je regarde. » Je suis heureux qu'elle ne l'ait pas su du haut de sa tête. Le concept du temps change, et vous commencez à réaliser combien il est flexible, en fait. Vous commencez à comprendre que c'est un outil énergétique. Mais vous commencez également à réaliser combien cela a été une  prison pour vous.

Comme décalages temporels, vous vous rendrez compte que ça peut aller d'avant en arrière, et latéralement, et aussi amusant que ça puisse paraître -d'être capable de remonter dans le temps... et je ne parle pas de temps linéaire ; je parle de temps expérienciel.

Il y a un peu de différence. Je vais vous expliquer.

Ainsi, le temps linéaire, c'est votre horloge. Le temps linéaire est calculé d'après les mouvements du soleil et des étoiles, et de tout le reste. C'est la façon dont la plupart des gens établissent leurs jours. Le temps expérienciel est la séquence d'évènements qui se sont déroulés, la sagesse qui a été acquise au cours de ces expériences, et l'évolution ou le dévoilement de la prochaine série de potentiels grandioses. C'est ma définition du temps en dehors de la montre que vous portez.

Soudain, vous commencez à réaliser que le temps est très malléable. Vous pouvez remonter dans le temps. Pas dans un genre d'époque comme 1823, bien que vous le pourriez probablement, mais vous ne le voulez pas. Ce n'était pas une bonne année. Mais vous pouvez remonter dans la séquence des évènements, et dans la perception de ces évènements, dans la sagesse qui a été distillée dans ces évènements. Vous pouvez remonter dans n'importe quelle époque.

Et quand vous le ferez, vous aurez une révélation intéressante qui, direz-vous « Eh bien, c'est étrange. C'est comme tout nouveau. Même si je suis remonté dans le temps, cela semble être le futur, » parce que, d'une façon étrange, c'est un peu ça. Laissez-moi vous expliquer.

Alors que vous expansez votre conscience -et c'est là, parfois, où les mots sont tellement limités- ne pensez pas à l'expansion comme... pourriez-vous me tenir cette rinçure ? (en tendant sa tasse à Linda)

Linda : Avec plaisir.

Adamus : Ne pensez pas l'expansion comme allant comme ça -à l'extérieur (s'étirant). L'expansion, d'une manière très étrange, est comme ça, en fait (en déplaçant ses mains ensemble). Maintenant, le mental dit « Eh bien, non. Ça s'effondre. » Non, ça distille. Ainsi, lorsque vous expansez votre conscience, en fait, vous la clarifiez, vous la simplifiez, vous la distillez.

Donc, lorsque vous remontez dans le temps, dans le temps expérienciel, ce que vous pouvez faire chaque fois que vous avez envie, vous prenez soudain conscience que c'est tout nouveau. Vous allez dire « Je pensais qu'Adamus avait dit qu'on pouvait remonter dans le temps. Je suis dans le futur. » Y êtes-vous, vraiment ? Cette salle est-elle vraiment nouvelle, aujourd'hui ? Hah.

Vous pouvez remonter dans le temps, et cette expérience qu'il y avait, change soudain -tout à son sujet- ainsi, elle paraît nouvelle.

Ce n'est pas ce que c'était auparavant. Pourquoi ? Parce que maintenant, vous le revisitez avec une nouvelle conscience, avec une nouvelle vision. Toute une manière complexe de vous distraire pendant un instant, pour dire que le temps change, le temps expérienciel, mais cela va affecter aussi le temps de votre horloge. C'est une bonne chose. Est-ce ? Quelles sont les chutes ? Toujours demander à quelqu'un quelle heure il est, oui. Quels sont les... (Sart dit « Prenez une montre ! ») Prenez une montre, ouais. Quels sont les défis lorsque vous êtes libérés des contraintes du temps ? Vous êtes toujours en retard pour les rendez-vous. Oui. Oui.

Garrett : Ou vous êtes toujours en avance.

Adamus : Vous êtes toujours en avance aux rendez-vous, oui. Ce qui se passe, c'est que vous vous sentez perturbé à propos des choses. Vous aviez l'habitude de calculer vos mouvements, vos processus mentaux, tout au long de la journée, en fonction du temps. Même votre faim du matin, votre fatigue de l'après-midi, votre détente la nuit -quoi qu'il se passe- étaient tous induits par ce système global du temps.

Lorsque ce temps commence à se décaler, ou finalement s'en aller, ça va vous faire vous sentir un peu bizarre, et quand c'est le cas, qu'allez-vous faire ? (quelqu'un dit « Respirer ») Non, j'ai dit qu'allez-vous faire. Ça c'est ce que je ferais. Vous allez essayer de retourner ! Vous allez dire « Oh, je ne peux pas gérer ça. C'est un peu écrasant. Quelle journée épouvantable, et j'ai peur d'aller dormir le soir, je vais donc m'en retourner. Je veux revenir, eh bien, je vais retourner lire des trucs de Tobias, parce que vraiment, ça me ramènera dans le temps. » (rires) « Il était vraiment gentil et il gardait les yeux fermés. (plus de rires)

Linda : Quel est le numéro trois ?

Adamus : Oh, le trois, c'est le temps.

Linda : Le temps. Le temps de rien ? Le temps de changer ? Le temps...

Adamus : Juste le temps, en général.

Linda : D'accord.

Adamus : Donc, tout change, alors il vous arrive de vous sentir mal à l'aise. Votre corps, même, essaie de s'adapter à nouveau temps/pas de temps. Et alors, ça va faire mal, parce que votre corps est habitué à la façon dont vous l'avez formé à ressentir. Vous l'avez entraîné à dormir à certains moments, à manger à certaines heures, les autres choses du corps que vous faites à certains moments, donc il va se sentir très mal à l'aise. Votre mental va devenir fou. Votre mental va devenir fou, spécialement pour les natifs de la Vierge (Adamus glousse), parce que ça ne va plus être si prévisible. Ça ne va plus être si prévisible.

Que faites-vous ? Oui, vous prenez une profonde respiration. Vous prenez une respiration profonde. C'est là que vous vous faites confiance. C'est là que vous vous permettez d'être ancré, mais en expansion. Où vous vous autorisez à distiller jusqu'à l'essence. Où vous cessez de vous demander « Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? Qu'ai-je fait de travers ? »

Tout d'abord, lorsque vous demandez « Qu'est-ce qui ne va pas avec moi »,  ce que font tant d'entre vous-  peut-être pas exactement ces mots, mais une terminologie différente, « Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? » - malheureusement, vous allez trouver la réponse ! Vous allez trouver une longue liste de tous les aspects, de l'univers, de partout. « Ah ! Elle veut savoir ce qui ne va pas avec elle. Nous allons lui dire ! » Ne posez plus cette question. Ainsi, vous dites « Je Suis ce que Je Suis.  Dégages ! Je Suis ce que Je Suis. » Ne posez plus cette vieille question. Et ne demandez plus « Qui suis-je ? » Oh mon dieu, quelle mauvaise question à poser. (Adamus glousse)

Donc, le quatrième élément énergétique que vous vivez. Oui, Ours qui rit ?

Ours qui rit : Puis-je utiliser ça comme autocollant « Je Suis ce que Je Suis. Dégages ! » (rires)

Adamus : Ouais. Je serais un peu prudent sur l'endroit où vous conduirez par la suite. N'allez pas à Boulder. (rires) Et n'allez pas au Texas. (Adamus glousse)

Ours qui rit : Que diriez-vous de la Caroline du Sud ?

Adamus : Absolument. Tout est à vous. C'est tout à vous, et je vous remercie d'avoir posé la question.

4. Multi-étapes

Donc, la quatrième qualité de choses que vous vivez en ce moment, et suivez-moi sur ce point. Vous avez accédé ici à cette nouvelle étape. Belle, oui. Très chère. Très cher, tout ça. Ce n'est pas venu gratuitement. Donc, accélérez, videz vos poches avant de partir, aujourd'hui. (rires) Cauldre aurait aimé avoir dit ça, mais je le pouvais. Je ne plaisante pas.

Donc, de toute façon, chers Shaumbra. Vous avez accédé à cette nouvelle grande étape. Il s'agit d'une, appelons-la perception, dimension. Je suis l'autre. Je marche de long en large, ici et je suis... qu'est-ce que je fais aujourd'hui, chère Linda ?

Linda : Vous pontifiez.

Adamus : Je pontifie ? Je provoque ?

Linda : Non ! C'était une plaisanterie.

Adamus : Je provoque, peut-être bien.

Linda : Vous stimulez.

Adamus : Je divertis !

Linda : Ohhhh.

Adamus : C'est mon cadeau. Je suis un grand perturbateur.

Edith : Oui, bien sûr.

Adamus : Oui, en effet. Oui, et je divertis parce que parfois, nous en avons besoin, tout simplement, pour sortir de cette énergie du mental, une petite distraction. Pendant que je divertis, les énergies véritables que vous avez appelées peuvent alors venir, parce qu'autrement, vous y pensez trop, et elles sont comme bloquées. Mais une petite distraction -swfft!- vous prenez une injection de vous-même. Quelle grande chose.

Donc, nous avons atteint la scène là-haut, belle étape. Vous voulez me voir devenir multidimensionnel devant vos yeux ? (le public dit « Oui ! ») Mettez une de ces caméras sur moi. (l'écran derrière Adamus affiche tout à coup des photos de lui, répétées à l'infini.) Extraordinaire ! (le public rit et dit « Woo ! ») Extraordinaire ! Et ils disaient qu'on ne pourrait pas le faire ! Ensuite, voulez-vous me voir marcher sur l'eau ? (le public dit « Oui ! »)

Linda : Non !

Adamus : Si.

Linda : Non ! Non, putain !

Adamus : Marcher sur l'eau ! (il verse de l'eau sur le sol, puis il marche dessus ; le public rit et applaudit) Et ils disaient qu'on ne pourrait pas le faire ! (beaucoup de rires) Je vous remercie.

Linda : Je vous avais dit non.

Adamus : Une distraction ! Une distraction ponctuelle, une petite infusion de vous-même. D'autres tours dans mon sac ? (rires)

Donc, ce qui se passe, c'est qu'il y a la scène, il y a moi. Et il est intéressant que ce soit ce que vous percevez, mais souvent séparé. Vous regardez mes mouvements au travers de Cauldre, généralement inconscient de la scène. Vous êtes seulement concentrés sur cette chose. Intéressant. Pendant que je suis ici à parler, il y a beaucoup d'autres scènes tout autour. Les scènes de vie, les scènes où vous allez pour interpréter vos expériences, les scènes de rêves, et elles sont toutes, elles sont toutes vraiment ici. Et ce n'est pas seulement moi qui bouge ici. Il y a des amis avec moi aujourd'hui qui se déplacent autour.

Le point, c'est que vous allez aller à plusieurs étages. En d'autres mots, vous allez commencer à percevoir les différents degrés et niveaux de réalité autour de vous. Ça ne va pas être rare. Le mental a tendance à séparer les choses. Il aime les compartiments. Il aime que ce qu'il pense soit ordonné de manière agréable. Mais le créateur qui arrive maintenant, va faire bouger ça, aussi ça va être multi-étages. C'est une bonne chose, non ? Mais quels sont les défis ? David ?

David : La désorientation.

Adamus : La désorientation, absolument. Vous l'aimez agréable et simple, ou beau -pas simple, en fait ; vous l'aimez complexe- mais vous l'aimez charmant et clair. Vous l'aimez singulièrement complexe. En d'autres mots, une seule dimension, mais vous essayez alors de la rendre très complexe.

Vous pénétrez dans un état d'être, qui va vous faire percevoir beaucoup des dimensions autour de vous, et cela va être désorientant, physiquement et mentalement. Ça peut être effrayant, à certains moments. Certains d'entre vous ont eu des expériences, ces dernières semaines, de ressentis, comme si vous allez juste sortir de votre corps. Et alors, que faites-vous ? Vous vous accrochez. Vous essayez de revenir en arrière. Vous faites la respiration. Vous tapez du pied. Vous faites n'importe quoi. Ça vous fait peur.

Naturellement, car que se passe-t-il quand vous glissez au-delà ? Mais donnez-vous la permission de le faire, d'une manière douce et gentille, tout simplement. Il y a tellement plus là-dehors.

Et le créateur aime ça. Le créateur le comprend. Le créateur baigne dedans. Il -ne se nourrit pas de ça- mais ça fait vivre le créateur, pour qu'il soit multidimensionnel, pour qu'il prenne conscience qu'il y a beaucoup d'étages ici même. Il y a de nombreuses réalités qui se produisent, toutes en même temps. Essayez ceci. Si vous avez jamais ce ressenti, ce ressenti bancal que soudain, la réalité se déplace, la réaction typique est de garder les yeux grands ouverts, vraiment grands, parce que les yeux sont la chose qui, probablement plus que toute autre chose, que votre mental, vous ancre dans la réalité. Mais vos yeux sont aussi les plus grands arnaqueurs de la réalité. Les plus grands arnaqueurs.

Fermez vos yeux. Fermez vos yeux, et ressentez les dimensions autour. Le mental dit « Eh bien, si on ne peut le voir avec les yeux, alors ça n'existe pas. » Ah ! Ah, quel mensonge. Quel mensonge grandiose. Donc, vous fermez les yeux, le créateur arrive. Il arrive dans la zone du troisième œil. Il va faire une magnifique connexion avec le mental, ainsi le mental peut commencer à comprendre les multi-étages, sans essayer de les contrôler. A ce moment, avec les yeux clos, les énergies se concentrent dans la région du troisième œil, maintenant, le créateur commande les énergies d'une façon aimante. Pas comme le mental avait l'habitude de le faire, mais le créateur génère ces énergies. Il ne laissera pas le mental en prendre le contrôle. Donc, vous pouvez y aller. Vous pouvez y aller. Donc, voilà mes quatre... multi-étages serait le nombre quatre.

Linda : Multi-étages ?

Adamus : Multi-étages. Scènes. Théâtres. Les réalités. Les dimensions. Multi-étapes. Multi-étages, vous pénétrez dedans.

Donc, je soulève ces quatre choses, pour vous aider à comprendre où vous en êtes, ce que vous traversez en ce moment, parce que je sais que parfois, vous vous inquiétez. Je sais que parfois, vous vous demandez si vous le faites bien, quelle est la recommandation. Tout va pour le mieux. Il s'avère, tout simplement, que vous traversez un nombre énorme de choses différentes en ce moment, dans une plus large mesure que ce que vous avez jamais traversé en une seule fois.

Donc, prenons une profonde respiration avec cela... et je m'étendrai davantage, lors de nos prochaines réunions, sur les différentes choses qui se passent.

Maintenant, j'aimerais en quelque sorte arriver à un point, avant de prendre les questions et les réponses. (Linda pouffe de rire)

Le Dilemme du Gourou

Et l'autre point, peut-être le cinquième, mais je ne veux pas le mettre... il mérite sa propre feuille de papier. Il mérite son truc à part, parce que c'est une autre évolution que vous traversez.

C'est en fait un dilemme. C'est un dilemme. C'est ce que j'appelle le dilemme du gourou. Qu'est-ce que ça signifie ? Ça signifie que vous êtes ici, des êtres qui deviennent illuminés et qui permettent que ça pénètre dans votre vie quotidienne ; des êtres spirituels sur un chemin spirituel ; qui généralement en ont terminé avec tout ce concept de devoir apprendre à vous connaître, afin que vous puissiez enfin être vous, vous voyez.

Linda : Deux « m » ?

Adamus : Dilemme. Deux « m ». Et vous avez une certaine notion archétypale de cette chose appelée l'illumination, et du gourou, et c'est très perturbant, parce que vous avez mis ça comme le Standard, ou l'exemple, la lumière qui brille sur votre chemin, et vous dites « Je dois être comme ça. Je dois être -afin d'être mon moi spirituel- je dois faire ce que les gourous ont fait. »

Tout comme nous avons parlé auparavant du démantèlement de tout ce concept d'apprendre à vous connaître, il est également temps de démanteler toute cette conception du gourou que vous aspirez à être.

Laissez-moi vous donner quelques exemples, et alors que je le fais, pensez à ce qu'a été votre dilemme du gourou. A quoi, dans le mental humain, pensiez-vous que vous deviez ressembler ? Parce que je vous le dis maintenant, ce n'est pas vraiment ce à quoi vous avez besoin de ressembler. Yeshua, Jésus, puisque nous sommes au beau milieu de sa célébration. Pensez simplement à l'énergie de Jésus pendant un instant, ce que l'on vous a enseigné lorsque vous étiez plus jeune. Calme, paisible, la guérison, marchant sur l'eau, ce que tout le monde peut faire, je l'ai prouvé tout à l'heure, halo au-dessus de la tête, longue chevelure, barbe, oui. Des sandales, la robe. Oui, absolument. Mouton, petit mouton. (rires) Mes chers amis, aussi comique qu'elle pourrait être, c'est l'image que vous aviez.

Maintenant, le vrai Yeshua ? L'humain le plus impatient que j'aie jamais rencontré ! Absolument, totalement impatient, il n'avait aucune patience envers la stupidité, les règles, haïssait les organisations, n'aimait pas le temps, n'aimait pas les traînards. Pourquoi ? Parce qu'en dessous, même si ce n'était pas un être doté d'une âme, il apportait tellement d'aspects ou d'énergies de vous. Et impatient - « Avançons ! »

Il était connu pour la bagarre. Boom ! Un coup de poing, direct dans la figure. Se bagarrant à même le sol. Ce n'est pas dans la Bible, n'est-ce pas ? Ça n'aurait pas fait un très bon effet, vous savez, pensaient-ils, de le mettre dedans. Il aimait beaucoup manger. Il est devenu un peu grassouillet, plus tard. Il s'est un peu laissé aller.. hm (Adamus fait un geste « large »)

Il était connu pour jurer et dire des gros mots. Il y avait beaucoup de gens qui avaient peur de lui. C'était un rebelle, un révolutionnaire, et il était intolérant. (Adamus glousse) Un être aimant, une totale compassion, mais absolument impatient. Ce n'est pas la belle image du portrait que vous avez de lui, que beaucoup aspirent à être. « Je dois être.. que dirait Jésus ? » Jésus dirait « Foutez le camp de mon chemin ! » (beaucoup de rires et d'applaudissements)

Désolé, je m'excuse d'être si irrévérencieux, mais c'est...

Linda : Non, vous ne le faites pas !

Adamus : C'est vrai ! C'est comme « Écartez-vous, nous avons du travail à faire. Nous sommes là pour ensemencer la Terre avec la conscience Christ, le Christos, la conscience cristal, pour un nouvel âge qui arrive. Mettez-vous en route avec elle ! Circulez ! Partez sur une autre planète, allez quelque part ailleurs, parce qu'ici, c'est un endroit où on s'élève et où on s'expanse. » Donc, il était tout à fait révolutionnaire. Et non, ils n'ont pas écrit ça, parce qu'alors, que ce serait-il passé ? Tout le monde aurait essayé d'être révolutionnaire, les organisations, que je n'aime pas, ne pouvaient pas le supporter.

Pensez à ce cher Bouddha pendant un instant. Cher Bouddha. Je lui ai parlé l'autre jour, pour tout vous dire. Pas pour glisser des noms en passant, ou quoi que ce soit, mais... (rires) « Bouddha, » je lui ai dit, « Bouddha, nous avons du travail à faire. » Bouddha était névrotique, phobique. Il avait des phobies, des tas de phobies. Il était tout simplement terrorisé à l'idée de certains insectes ou bestioles. Il était névrotique. Il avait toujours besoin de se laver les mains et les pieds, tout le temps. Il était très égoïste, dans le mauvais sens du terme égoïste. Il volait l'énergie de tout le monde. « Oh, voilà qu'arrive Bouddha. Poussez-vous de là. Il va essayer de voler de l'énergie. » Et il ne pourrait jamais s'installer, dans n'importe quoi. Il avait choisi de naître dans une belle et riche famille ; il ne pourrait pas s'en arranger.

Il avait tout le temps des démons après lui. Il était peut-être ce qu'on pourrait appeler une personnalité multiple, pétant les plombs pour un oui ou pour un non, comme le font beaucoup de névrotiques -un saint homme à l'instant, un connard total la minute d'après. Il serait offensé s'il y avait certaines choses que vous portiez, ou si certaines odeurs émanaient de votre corps. Il était donc très difficile de s'entendre avec lui.

Plus tard, il se relaxa. Il se détendit un peu. Il avait cette obsession névrotique de l'illumination et il se laissa mourir de faim pour l'obtenir. En fait, il se priva de nourriture parce qu'il avait la phobie de beaucoup d'aliments. Il ne voulait tout simplement pas les manger. Si quelqu'un même, regardait un aliment qu'il allait manger, il ne pouvait pas le manger.

Finalement, il se détendit. Il renonça à essayer de se trouver, à essayer de se connaître. Il se relâcha. C'est quand il a commencé à manger. Il a pris un peu de poids et il a finalement eu l'illumination qu'il avait toujours voulue.

Il fusionna avec lui-même.

Ainsi, gourou ? Est-ce là le tableau qui a été peint ? Est-ce cela que vous voyez lorsque vous allez dans les temples sacrés ? Non, vous voyez le très paisible Bouddha. Mais il ne l'était pas.

Et -non pas que celui-ci soit un Maître Ascensionné, mais c'est un cas d'étude intéressant- Steve Jobs. Steve Jobs, quelqu'un de votre époque -brillant, passionné, manquant totalement d'assurance. Manquant absolument d'assurance. Un instant obsédé par le projet sur lequel il travaillait, et le vrai projet était en fait des outils technologiques pour expanser la conscience, de l’inter-connectivité pour partager, pour expanser réellement la conscience de l'humanité. C'était comme si c'était implanté en lui. De brillantes idées. C'était un visionnaire qui avait fait cette fusion mental/créatif il y a longtemps, mais manquait totalement d'assurance. Toujours en questionnement. C'est fatigant, au bout d'un moment. « Est-ce que je fais bien ? Est-ce que je vais dans le bon sens ? Aurais-je dû le faire de cette façon, ou de celle-ci ? » Perdu beaucoup d'énergie à douter et à se faire du souci tout le temps.

Donc, chers amis, ah, en voici un autre, il se trouve justement que j'ai fait un tour avec lui l'autre jour -Saint Jean le Baptiste. Fou. (rires) C'était un désaxé ! Encore un bon exemple de personnalité multiple : un instant hurlant et vociférant pour faire sortir les démons des gens, leur poussant la tête sous l'eau. Il avait l'habitude de noyer les gens. Ce n'était pas un baptême ! C'était un meurtre ! (rires) Plus tard, ils ont changé ça et dit qu'il baptisait. C'est comme « Non, il essaie de tuer le salaud ! » (plus de rires) Et l'instant d'après, très pieux, respectueux, demandant pardon à Dieu. Eh bien, je l'aurais fait aussi si j'avais toutes ces saloperies. Agenouillé. C'était un fou ! Ses cheveux étaient en pétard. Sa barbe -remplie de nourriture depuis des années. Il ne se lavait pas. Lui et Bouddha ne se seraient jamais entendus. Ils auraient eu des moments difficiles, ensemble.

Nous allons donc mettre ça au point afin de passer aux questions et réponses.

Le dilemme du gourou, votre dilemme : à qui aimeriez-vous ressembler -à l'un d'eux ? (le public dit « non ») Ou oui. Ou oui. En d'autres termes, ils avaient des caractéristiques humaines parce qu'ils étaient ici, sur Terre, en tant qu'humains. Ils avaient ce qu'on pourrait appeler des failles, mais en fait ils n'en avaient pas, c'étaient seulement des idiosyncrasies.** Et c'est pareil pour vous. Vous avez essayé de vous connaître et de vous perfectionner, de faire de vous ce pur humain-plus-saint-que-moi-tu-meurs.

**L’idiosyncrasie est le comportement particulier d’un individu, et propre à celui-ci, face aux influences de divers agents extérieurs. http://fr.wikipedia.org/wiki/Idiosyncrasie

Ils ne l'ont pas fait. Pourquoi devriez-vous ? Ils avaient des troubles ! des problèmes ! des défis !

Qu'est-ce qui leur a finalement permis d'être des Maîtres Ascensionnés ? (le public dit « L'acceptation. Ils ont laissé aller. ») Acceptation, lâcher-prise. Tout le monde devrait recevoir une récompense. Je ne sais pas si Linda en a amené suffisamment. Mais ils ont lâché prise. Ils ont laissé aller ce besoin d'essayer de se définir, de se trouver, de se connaître, de s'améliorer et de se perfectionner. Ils sont arrivés à un point d'épuisement -quelqu'un se sent en résonance avec ça?- un point d'épuisement et de dire « Cette quête, cette quête désespérée est harassante. Je vais abandonner. Je laisse tomber tout ce chemin spirituel, et tous ces livres, et tous ces ateliers, et tous cet attirail et tout le reste- y en a marre de tout ça ! Je suis crevé ! Je suis claqué ! »

Dans ce moment d'acceptation, ils se sont réunis. Alors, ils ont bien ri, chacun d'eux. Et ensuite, ça n'avait pas d'importance. Ça n'avait pas d'importance s'ils n'étaient pas parfaits, parce qu'ils n'allaient jamais l'être.  Il importait qu'ils aient accepté. Il importait qu'ils s'aiment eux-mêmes, avec leurs bizarreries et tout le reste. Les comptes en banque sans provision, la surcharge pondérale, les petits tics stupides ou les choses étranges que vous faites, votre sale caractère, votre impatience, votre manque de réal... non, votre manque de -Cauldre a foiré mon timing- votre manque de réelle compréhension de l'être spirituel que vous êtes. Vous en avez fini avec tout ça. Vous entrez dans un espace d'acceptation.

On pourrait dire que c'est une reddition, mais c'est seulement capituler devant vous. Ce n'est pas se rendre à quelqu'un d'autre, ou à quelque chose d'autre. Ce n'est pas s'abandonner à ce gars qui est sur la croix -pas de bol qu'ils l'aient mis là- c'est vous livrer à vous.

Ainsi, prenons une profonde respiration avec  ça.

Quoi que vous pensiez avoir un défaut, être imparfait, quelles que soient les choses que vous pensez devoir travailler, oubliez-les. (quelqu'un dit « Youpi ! ») Oui. Oui. (le public approuve et applaudit)

Et alors, tout à coup, vous êtes, tout simplement. Vous n'essayez pas de perfectionner quoi que ce soit. Vous n'essayez pas de vous trouver. Maintenant, vous êtes, tout simplement. En cela, les énergies créatrices dont nous avons parlé plus tôt, entrent maintenant de manière précipitée.

« Bon ! Cette personne n'essaie plus juste de le comprendre. Elle le fait, tout simplement. » Les énergies créatrices se précipitent. Le mental peut se calmer. Le désir de bien faire les choses, ou parfaites, ou dans une sorte d'idéaux illusoires de vieux gourous, envolés ! C'est alors que vous pouvez vous asseoir ici aujourd'hui et dire « Je suis le Maître. Ça m'est égal, ce qu'ils disent, je suis le Maître. Je suis le Maître. » (le public dit « Je suis le Maître ») C'est aussi simple que ça. Aussi simple que ça. Mais le mental saute dedans, et il va le faire, le temps que vous quittiez cette voie de garage, et dire « Eh bien, si tu es le Maître, alors tu peux marcher sur l'eau aussi. » (rires)

Sart : Les doigts dans le nez.

Adamus : Les doigts dans le nez. C'est du gâteau. Donc ne vous laissez pas prendre dans toutes ces choses que les Maîtres auraient faites, parce que c'est tout un tas d'histoires. Pour finir, les Maîtres se sont aimés.

Donc, avec cette distraction, nous passerons aux questions. Ainsi, chère Linda, microphone.

Linda : Au fait, vous n'êtes pas arrivé à faire de commentaire sur le beau costume que Cauldre a assemblé pour vous aujourd'hui. Allez ! Il a fait du beau travail.

Adamus : (roulant des yeux) Je serais vêtu tout de pourpre, ce serait une longue cape et de grandes bottes, un chapeau élégant. Il a l'air d'un homme d'affaires. Oui.

Questions & Réponses

Donc, questions. Parlez fort afin que le monde puisse vous entendre.

Catalina : D'accord. Salut.

Adamus : Oui.

Catalina : D'accord. Adamus... (elle est prête à pleurer)

Adamus : Respirez profondément. Je suis d'accord avec vous. Vous voulez savoir...

Catalina : Oui, je veux.

Adamus : … ce qui s'est passé.

Catalina : Mm hmm.

Adamus : Sansan ?

Catalina : Oui. (se référant à Sansan Sheng, une femme Shaumbra qui a fait une transition inattendue, alors qu'elle était à Kauai, lors du récent Cours Perfectionné sur les Énergies Sexuelles.

Adamus : Bien. Bien. Excellente question. Maintenant, en préambule, je voudrais dire que je suis désolé de la perception que les humains ont de la mort. C'est plus facile que la naissance. C'est une libération. C'est un tel moment de relâchement, qu'il procure ce -ce que nous en avons dit dans le DreamWalker de la Mort- comme une espèce d'orgasme, en quittant le corps, de retour à vous-même. C'est une chose extraordinaire.

Je sais que les humains deviennent très émotionnels. Ils sont affligés par la mort, particulièrement quand un ami cher, un être aimé, un conjoint, un enseignant, n'est plus là avec vous. Mais c'est une illusion. C'est une illusion absolue. Pour tous ceux ici qui pensent que Sansan n'est pas là, ça lui cause un peu de peine. Ne pensez-vous pas qu'elle a été avec vous toute la journée ? Absolument. Ne pensez-vous pas qu'elle est plus près de vous que je ne le suis ? Et si, Monsieur, j'avais l'audace de dire (parlant à son mari), elle dit « Richard, quand vas-tu cesser de douter ? Quand vas-tu cesser de douter ? Je suis là. Je ne suis pas là, mais ici même. Et je continuerai d'être là, non parce que je suis désolée pour toi, mais parce que j'ai tellement de joie à être avec toi. Nous avions un accord avant que nous soyons jamais venus sur Terre, un accord d'amour et de soutien, peu importe les difficultés qui sont venues, mais un accord de s'aider l'un l'autre. »

Elle dit cela « Richard, tu as fait en sorte qu'il me soit possible d'être sur mon chemin spirituel. Tu as fait en sorte que je puisse arriver à mon illumination, comme je l'ai fait, et maintenant, je vais être là pour toi. Je vais te provoquer, en même temps qu'Adamus. Je vais t'aimer. Je vais te faire te souvenir de qui tu es, afin que tu aies ton illumination. Cher Richard, nous sommes venus ensemble pour l'illumination, pas seulement pour moi, et ensemble, plus tôt que tu ne pourrais le penser, nous allons avoir notre illumination ensemble. Nous allons partager l'amour que nous avons pour nous-même, et ensuite l'un avec l'autre. C'était ce que nous avions choisi de faire. Il n'y a rien de mal. Je ne t'ai pas quitté, cher Richard. Je ne t'ai pas quitté. C'est seulement l'air que j'ai, qui a changé. »

Richard : Je vous remercie.

Adamus : Bien. Merci (le public applaudit). Ah, vous savez, il y a un concept de la mort tellement intéressant. Maintenant, il est vrai parfois, que ceux que vous aimez vont au-delà et hors de contact, au moins jusqu'au moment où vous faites votre transition. Mais ici, nous avons Sansan -de nombreuses vies de dévouement spirituel, de recherche, sur son chemin. L'illumination signifiait plus pour elle que n'importe quoi d'autre, autre que sa famille. C'était pour l'illumination qu'elle était ici, et, comme je viens de le dire, pour partager leur illumination ensemble, en ce moment.

Ainsi, elle a eu une expérience intéressante à Kauai. Il suffit de jeter un œil sur la dynamique, ici. Ressentez-la.

Partie à Kauai, la veille du rassemblement pour le Cours Perfectionné sur les Énergies Sexuelles. C'était parfait, parce que toutes les énergies arrivaient. Tout y était. Sansan voulait avoir du temps pour elle, trouvant ça de plus en plus important, d'avoir du temps, comme probablement vous tous, pour être dans le soi. Décida d'aller à l'un des plus beaux endroits du monde, qui est la Côte de Na Pali, à Kauai, un de mes préférés. C'est visuellement magnifique. C'est énergétiquement absorbant. Il est nourri par les énergies d'Isis et celles des indigènes qui ont tant fait pour donner vie à cette île. C'est l'endroit où la chère Sansan était née lors de sa première vie sur Terre. Ainsi, elle est revenue à cet endroit. Dans un moment magnifique, qui va au-delà des mots, tout à coup, c'était comme si les cieux s'ouvraient pour elle, un sentiment de paix absolue, un sentiment d'acceptation totale, et tout à coup, un glissement ; un glissement d'elle-même dans son illumination ; un glissement extraordinaire hors de la limitation humaine, hors du temps, hors de l'espace, et hors du corps. Et ce n'est que plus tard, soit dit en passant, que le physique -ce qu'on pourrait appeler un accident- a eu lieu. Ce n'était pas un accident. C'était un départ. C'était une transition et elle était magnifique.

Comme j'en ai déjà parlé auparavant, généralement, en passant par la mort, il n'y aura pas de douleur pour vous, parce que vous partez d'abord. Le mental et le corps continuent de fonctionner, mais la conscience est partie. Pas de douleur, pas de regret, pas de remords. Le seul chagrin est pour ceux qui s'affligent, de retour ici.

C'est un sujet dont il est difficile de parler, mais un jour... J'entends crier, applaudir, des encouragements, venant des autres royaumes- « Dites-leur que ce n'est pas la fin. C'est un nouveau commencement. Dites-leur qu'il n'y a ni paradis ni enfer. Il y a vous-même et beaucoup d'amis. Dites-leur ça »- ils disent « dites-leur « ouvrez vos yeux. Non pas vos yeux au sens littéral, mais ouvrez vos sens. Nous sommes ici même. Nous ne sommes pas partis. Nous sommes ici même, tout le temps. »

Sansan a choisi de ne pas rester dans le corps physique, et ça va être un défi pour beaucoup d'entre vous quand vous allez arriver à votre illumination. L'illumination arrive au moment le plus simple. Pas quand vous l'avez programmée. Pas même quand vous pensez l'avoir gagnée. Elle arrive tout simplement parce que vous l'avez permis.

Vous allez arriver à un moment, dans cette illumination, « Est-ce que je reste dans le corps physique, ou pas ? » Maintenant, je sais que si nous faisions un sondage en ce moment, la majorité d'entre vous dirait « Rester dans le corps physique », parce que vous avez des tas de choses à faire, parce que, quoi que vous en disiez, vous avez toujours peur de la mort, aussi belle soit-elle. Je dois presque rire, en étant ici si près de votre réalité. C'est merveilleux, mais c'est plutôt dur -très dense, très dur, très limité. De l'autre côté, vous imaginez tout ce que vous voulez, mais c'est comme un jardin fantastique, si vous avez laissé aller beaucoup de vos problèmes, comme la plupart d'entre vous l'ont fait. C'est splendide.

Donc, vous arrivez à ce moment, dans l'illumination, qui semble une éternité -ça vient en une seconde, mais ça semble une éternité- vous arrivez à ce moment, et c'est très difficile de dire « Je vais rester dans le corps physique », parce que c'est dur et ça fait mal, il y a des douleurs et des courbatures. On pourrait dire que ce n'est pas réel. C'est l'illusion.

Lorsque vous retournez de l'autre côté, vous comprenez tellement plus à propos du vrai soi. Vous allez arriver à ce moment, chacun de vous « Devrais-je rester ou devrais-je partir ? » Il n'y a pas de bonne ou mauvaise réponse. Il y a la difficulté de ceux que vous laissez derrière -vos enfants, conjoints, et oui, même vos animaux de compagnie. Donc, qu'allez-vous faire ? Il n'y a que vous à pouvoir répondre à cette question. Il n'y a que vous à pouvoir répondre à ça.

Sansan est venue ici. Vous l'avez longtemps aidée pendant son voyage. Maintenant, elle vient pour aider. Donc, je vous remercie.

Joyce (amie de Sansan) : Connaissez-vous ma question ? (rires et Adamus glousse)

Adamus : « John Edwards ! » Allez-y et laissez-nous connaître votre question.

Joyce : Nous sortons toujours ensemble.

Adamus : Oui.

Joyce : Nous sortons beaucoup. Aussi, lorsqu'elle m'a demandé avant « Veux-tu aller sur ce sentier ? C'est magnifique. C'est comme si aucun, tu sais, comme si aucun homme n'y était allé. » Je lui ai dit que j'aimerais y aller, mais j'avais déjà décidé, vous savez, d'y aller à Taïwan. Je ne pouvais donc pas y aller. Je pense toujours que si j'étais allée avec elle, ça ne serait pas arrivé. (elle commence à pleurer)

Adamus : Non, non. Vous ne seriez pas allée avec elle. Ça ne devait pas se passer, tout simplement. En d'autres mots, votre mental humain dit « J'aurais dû... » Voyez, vous vous sentez coupable. Pourquoi ? Pourquoi ? Vous devriez vous sentir bénie d'avoir fait partie de son expérience. Et même si vous vous étiez forcée à y aller, et  si vous aviez eu une intuition que quelque chose allait se passer, que ça vous ait fait y aller, il se serait passé quelque chose et vous n'auriez pu aller sur cette  dernière étape. Pourquoi ? Parce que c'est ce que Sansan a choisi. C'est ce qu'elle voulait. Vous ne pouvez donc pas prendre ce fardeau. N'importe lequel d'entre vous, vous ne pouvez pas faire les « Et si.. », « J'aurais dû... ». Il y avait quelque chose d'autre en jeu ici, et c'était son moi divin.

Un de vos amis, un ami cher à tous les vôtres, votre conjoint, a son illumination ; a son illumination, c'est ce qui s'est passé ; elle a eu ce qu'elle avait toujours voulu, elle est en paix avec ça. Paix totale. Et elle demande seulement -elle est vraiment sur mon épaule en ce moment- elle demande seulement « S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît, faites-leur savoir combien c'est grandiose. Dites-leur que maintenant, en tant que Maître, elle peut revenir énergétiquement, à n'importe quel moment. » N'importe quand. Elle va se manifester comme un oiseau, un chien. Elle va apparaître comme une brise dans le vent. Elle peut revenir n'importe quand, mais maintenant, elle est là pour vous soutenir réellement. Pas un appui comme lorsque vous avez besoin de quelque chose, mais elle va se tenir près de vous.

Vous avez été tous les deux sur ce long chemin de l'illumination, croyez-le ou pas, et vous avez été là pour elle. Maintenant, elle va être là pour vous. Bien. Merci.

La mort, un sujet difficile à aborder : beaucoup de sentiments, beaucoup d'émotions. Votre conscience va changer la perception de cela en une réelle, une parfaite compréhension que ce n'est pas une finalité. Ce n'est pas le paradis ni l'enfer. Ce n'est même pas un départ, si l'on choisit de rester énergétiquement dans les environs, ainsi que le fait Sansan.

Ils veulent vraiment que je sois très clair avec vous, en disant « C'est extraordinaire. C'est incroyable. » Donc, bien. Question suivante. Deux de plus. Oui. Trois de plus.

Catalina : Je sais tout ça, vous savez.

Adamus : Oui.

Catalina : Et je peux ressentir sa présence. Je sais tout ça et...

Adamus : Avez-vous confiance en vous lorsque vous ressentez sa présence ?

Catalina : Oui, je le fais.

Adamus : Bien.

Catalina : Je sais qu'elle est là.

Adamus : Bien. D'accord. Que dit-elle, ou pense-t-elle, ou ressent-elle ?

Catalina : En ce moment, à cet instant, elle dit qu'elle va bien.

Adamus : Ouais.

Catalina : Ouais.

Adamus : Ouais.

Catalina : Et je sais tout ça, c'est juste que mon mental a besoin de savoir ça.

Adamus : Oui. Oui. Vos yeux veulent la voir. Vos mains veulent la toucher. Mais c'est vraiment votre cœur qui devrait la ressentir.

Catalina : Oui.

Adamus : Ouais.

Catalina : Maintenant, ma question est, je veux dire, est-ce que, Sansan et moi disions toujours, chaque fois que nous participions à un atelier, ou peu importe quoi, chaque fois que nous faisions quelque chose ensemble, nous disions toujours, vous le savez, « Adamus sera avec nous à chaque étape du chemin. » Je pense que c'est quelque chose que j'ai besoin de savoir. Mon mental a besoin de savoir, où étiez-vous ?!

Adamus : Oh, j'ai dû faire marche arrière. « A chaque étape du chemin », j'ai oublié d'ajouter « jusqu'à cette dernière étape. » Et là, Sansan l'a faite elle-même. Oh, cela aurait été grossier de ma part -et qui suis-je pour être grossier ? Cela aurait été grossier de ma part d'être là, dans ce moment d'illumination, parce que c'est tellement sublime, tellement intime.

Donc, en effet, à chaque étape, tout au long du chemin, à chaque étape du chemin, jusqu'à ce que, soudain, j'aie dû arrêter. Tous les êtres qui vous soutiennent devraient arrêter à ce moment-là. C'est votre moment, en privé, incroyablement beau. Vous ne voudriez pas que quelqu'un traîne autour pendant ce moment d'illumination, alors que tout se métamorphose.

Donc, je me tenais debout. J'attendais. Et alors, tout à coup, elle était avec moi, et elle pouvait vraiment me voir. Et, bien sûr, dans cette illumination, vous perdez, en quelque sorte... les sens humains s'étendent. Elle pouvait vraiment me voir, et elle dit « Adamus Saint-Germain, comme tu es beau ! » (beaucoup de rires) Étrange, mais vrai. Pourquoi ? Je vais vous dire pourquoi -et je dis que c'est vrai- parce qu'elle ne voyait pas un humain. Elle voyait les, ce qu'on pourrait appeler les couleurs. Elle voyait l'essence, la richesse, la simplicité, l'esprit, l'amour. Elle a vu l'amour que j'avais pour elle, et donc, dans sa perception, j'étais la plus belle chose qu'elle ait vue depuis longtemps. Oui. (rires) Bien.

Oui, donc en fait, il y a deux moments où les êtres angéliques ne sont pas avec vous. Ils sont vraiment tout près, mais l'un est au moment où vous décidez vraiment d'être souverain. Vous laissez aller les guides spirituels qui vous ont accompagné pendant si longtemps, et c'est ce que certains d'entre vous appellent la nuit noire de l'âme. Mais ce n'est pas une nuit. Ça dure quelques mois. (rires) C'était un terme de marketing qu'ils ont utilisé. Vous savez, « Juste une nuit et vous vous en sortez. » C'est une longue période.

Tous les êtres doivent s'éloigner. Vous avez vécu cela, aussi maintenant, je peux dire que je serai avec vous à chaque étape du chemin, jusqu'au moment de votre illumination. C'est -par respect- que je ne vais pas être là, ou les autres. Vous faites cela d'une façon très intime.

Dans cet instant d'illumination, et à nouveau, Aandrah, vous allez comprendre ce qui se passe. Donc, vous arrivez à ce moment d'illumination, et c'est tout simplement une acceptation. C'est dire, tout simplement « Quoi qu'il en soit, Je Suis ce que Je Suis. »

Soudain, tous les aspects reviennent. C'est un moment d'intégration très intime. Whoosh! Whoosh! Whoo, whoo, whoo! Ils rappliquent tous, ventre à terre. Ils sont tellement heureux que vous vous aimiez enfin, qu'ils rentrent tous à la maison.

Ils reviennent, en flux continu. Donc, nous nous écartons, en quelque sorte, et laissons rentrer les aspects, afin de ne pas nous laisser entraîner avec eux. (rires sur la plaisanterie d'Adamus) Nous faisons ainsi, de sorte que cela puisse être le mariage, ou l'union de vous, de retour dans le soi. Il n'y a donc rien de mal là. Rien de mal.

Cela eût été totalement irrespectueux de ma part, et un manque de compassion, d'arrêter Sansan. Tout d'abord, je ne pouvais pas. Elle était plus forte que moi. Je n'aurais pas pu l'arrêter. Je n'aurais pas voulu l'arrêter. C'était son choix, son voyage. Elle a du travail à faire maintenant. Un merveilleux travail à faire, mais c'est ce qu'elle a choisi.

Linda : Dernière question.

Adamus : Dernière question.

Hélène (amie de Sansan) : Ce n'est pas vraiment une question, mais juste quelque chose que je veux partager avec vous. Il y a deux jours, j'ai fait une peinture à l'huile de Sansan, et c'est absolument magnifique, absolument paisible, tout simplement. Du fait que c'est de l'huile, ce n'est pas sec, c'est pourquoi je ne l'ai pas apportée. Mais plus tard, je vais partager le tableau, puis le donnerai à Richard. Mais lorsque vous regardez le tableau, vous pouvez en être sûr, tout simplement. Je vous remercie.

Adamus : Oui. Bon. Et elle demande si vous pourriez avoir la gentillesse d'en faire une photo et la partager avec les autres. Peut-être même sur un de ces sites web -le site du Crimson Circle. Ils aimeraient voir ça.

Hélène : Ouais, et ce tableau est absolument, absolument magnifique, tout simplement, et aussi, c'est une sorte de rouge pourpre, c'est en quelque sorte les couleurs du Crimson. Ainsi, c'était absolument magnifique, tout simplement.

Adamus : Excellent. Et aussi, la peinture est un moyen de... je n'ai pas le temps de partir dans une grande discussion, mais je vais faire court.

Les anciens maîtres, les maîtres qui ont peint à l'époque en Europe, il y a des siècles, ce n'était pas seulement des peintres. Ils travaillaient avec l'énergie. Ils prenaient un mélange de peintures et de plantes, et parfois de la poudre de cristaux. Ils les combinaient et ils peignaient la vie dans un tableau. L'art est presque perdu, maintenant. Très peu d'artistes savent comment faire ça, mais ils pouvaient créer une peinture dont les énergies perduraient pendant des siècles, ou des milliers d'années, de sorte que, lorsque vous vous tenez devant La Joconde, ou quelques-uns des autres tableaux du maître, cela vous fait quelque chose. Vous pouvez presque mesurer l'énergie qui s'en dégage.

Et le côté sinistre, ils savaient aussi peindre l'âme des gens -pas vraiment leur âme, mais leur essence- dans un tableau. Les piéger là. C'est une sorte de magie noire. Ils pouvaient peindre votre portrait d'une façon méchante, et maintenant, vous êtes pris au piège dans cette image. Mais nous n'allons pas aller là.

Votre peinture permet à l'énergie de Sansan de transparaître. Son inspiration, son rire, ont été peints dedans. Sa joie de l'aventure est dedans. Aussi, elle dit de partager ça, parce que les énergies s'en dégagent. Absolument. C'est une espèce de moyen pour elle de continuer à être et partager avec vous. Ne pleurez pas. Ne soyez pas triste. Ne doutez plus. Oui.

Ainsi, avec cela, je crois que nous avons encore une question, ici.

Alaya : Je ne comprends pas.

Adamus : Oui. Bon. Restons-en là, tout simplement. (rires) Je vous remercie. Je vous remercie.

Alaya : En fait, je ne comprends pas.

Adamus : Excellente façon de résumer la journée.

Alaya : Je ne comprends pas, et c'est une bonne position.

Adamus : Oui. Qu'aimeriez-vous comprendre ?

Alaya : Je ne connaissais pas Sansan, mais je la ressens.

Adamus : Oui ! Bien sûr ! Je veux dire, c'est comme si elle était ici ! Elle danse autour. Ouais, elle joue avec les cheveux des gens, par ici. Ouais, ouais. Ouais. Je ne sais pas pourquoi je dois partager ça, mais pour une raison que j'ignore, elle est intéressée, en quelque sorte, aujourd'hui, par les produits de beauté des gens, pour une raison que j'ignore. Elle veut que tout le monde se réconcilie. Allez-y.

Alaya : Elle est partie en voyage à Kauai, pour être au Cours sur les Énergies Sexuelles, et elle a invité son amie à faire le voyage, une balade, et elle est partie marcher. Savait-elle, quelques semaines auparavant, qu'elle allait faire sa transition ?

Adamus : Ah ! Bonne question.

Alaya : Je veux dire, je veux savoir pour moi, parce que c'est comme, est-ce que je sais quelques semaines à l'avance ? Dois-je planifier...

Adamus : Le voulez-vous ? (elle hésite). Non, vous ne le voulez pas. (Adamus glousse)

Alaya : Mais, c'était un accident. Ce n'était pas comme une maladie au long terme.

Adamus : Non.

Alaya : Et ça s'est passé, tout simplement.

Adamus : Oui. Oui et non. Maintenant, ça dépend. Êtes-vous dans une perspective humaine ? Le mental humain qui dit... maintenant, si le mental humain savait ce qui allait se passer, ça ne se serait jamais passé. Le mental humain aurait essayé de le bloquer.

C'était l'esprit, la véritable, l'essence de Sansan qui avait compris, en fait que... Laissez-moi le dire autrement. Connaissait-elle la date, l'heure, l'endroit ? Non, absolument pas. Savait-elle que l'expérience allait se présenter ? Absolument. Il y a une connaissance ici (cœur), pas un savoir de là (tête), et nous allons travailler là-dessus au cours des mois qui viennent, en les rapprochant un peu plus ensemble. Mais il y avait une connaissance intérieure que c'était le moment, pas le moment de partir, mais le temps de devenir, en fait. Une connaissance intérieure que « Tu sais, ce voyage... » J'essaie de vous le faire simple, ici.

Dans nos cours, nous parlons de la ligne, là-bas. Pouvez-vous prendre la ligne, là-bas sur le tapis ? (au cameraman) D'accord, là-bas. Et nous parlons. Vous êtes sur cette ligne, vous tous. Vous vous tenez là et vous y pensez. Et nous rentrons dans les détails, en fait, comme nous l'avons fait à Kauai, avec « pourquoi ne franchissez-vous pas cette étape ? » Pourquoi ne le faites-vous pas ?

Alaya : Je veux être ici. Je veux être dans ce corps physique.

Adamus : Qui a dit que vous ne pourriez pas l'être ?

Alaya : Je Suis.

Adamus : Donc, vous traversez la ligne et tout un tas de choses se passent. C'est la ligne de l'illumination. C'est une respiration et un choix. C'est tout.

Mais... mais, mes chers amis, vous vous tenez tous là, et vous attendez. Vous attendez que quelqu'un comme Sansan traverse, attendez que quelqu'un comme elle vous rassure. C'est extraordinaire. C'est merveilleux. Mais vous vous tenez là.

« Ah, l'illumination. Je ne sais pas. Vous savez ce qu'il y a de l'autre côté ? » L'illumination ! (rires) « Qu'est-ce qui va m'arriver ? » Ça n'a pas d'importance ! « Que vais-je faire ? » Des choses illuminées. Nous prenons le thé avec les Maîtres.

Linda : C'est tout un cours. C'est tout un cours !

Adamus : Donc, mes chers amis, la seule chose qui comptait pour Sansan, c'est qu'elle avait fait ce choix. « Ça n'a pas d'importance. C'est l'illumination. Ce qui se passe ensuite n'a pas d'importance. »

Et si jamais vous êtes inquiet, parce que vous êtes... cinq, c'est tout ce que je veux. Cinq pour l'illumination. Cinq. Cinq, dix, cent, mille. Ça n'a pas d'importance, mais c'est la raison pour laquelle nous travaillons ensemble.

Vous êtes sur le seuil, et je vous dit, pourquoi ne traversez-vous pas ?

Édith : Pourquoi ne le faisons-nous pas ?

Adamus : Vous devez répondre à ça. Pourquoi ne le faites-vous pas ? Pourquoi ne le faites-vous pas ? Ça va amener des tas de...

Édith : Je pensais que nous l'avions fait.

Adamus : Vous l'avez fait, mais vous ne l'avez pas encore vécu. C'est une chose bizarre. Retournez au point trois ou quatre, aujourd'hui -le temps. Vous l'avez fait, mais maintenant, il s'agit de le vivre.

Aussi, souvenez-vous, quand vous serez allongé dans votre lit ce soir, tout d'abord, Sansan serait heureuse de venir et parler avec vous. Lorsque vous êtes là, allongé et vous demandant, à propos de cette étape, « Que va-t-il se passer ? » et la peur qui arrive - « Eh bien, je ne suis pas sûr d'être prêt », et toutes ces autres choses -arrêtez et prenez une profonde respiration, souvenez-vous que tout va bien dans toute la création. Au revoir. Jusqu'à notre prochaine rencontre, à la porte de votre ascension. Je vous remercie.