LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série e-2012

SHOUD 7 : “L'Engagement Envers Vous-Même” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 3 Mars 2012
www.crimsoncircle.com

 

Je Suis ce que Je Suis, et ravi de l'être, Adamus du Royaume Souverain.

Je suis ici. Je suis ici. J'ai eu une entrée dans cette biologie un peu difficile, et même dans la salle aujourd'hui. Oh, non pas parce qu'il y a une résistance ; il y a beaucoup d'excitation, et dans cette excitation un peu d'angoisse. Une fois encore, heureux anniversaire (à Linda).

Cauldre est ici, en quelque sorte, aujourd'hui. J'ai dû lui demander de rester un peu plus loin, car je sais qu'il va résister à certaines des choses dont nous allons parler aujourd'hui. Donc, on pourrait dire qu'il a comme une couverture d'énergie sur lui.

Donc, chère Linda d'Eesa est là, présente, on fête l'anniversaire de la fille aujourd'hui. En fait, c'était l'autre jour, mais nous le célébrons à nouveau. Crash (Dave Schemel) est là, il prend des photos. Vous êtes là, et ceux qui sont en ligne et qui regardent, sont là aujourd'hui.

Nous allons donc prendre une profonde respiration dans cet espace... respirez profondément dans ce bel espace.

Aandrah et On sont là (Norma et Garrett).

Pourquoi êtes-vous là ?

Ainsi, voulez-vous bien me suivre avec le microphone pendant un moment ?

Linda : Oh, avec plaisir !

Adamus : Oui, oui.

Linda : Oh, avec joie !

Adamus : Donc... ouais, uh-oh, j'ai entendu. Uh-oh ! Alors, pourquoi êtes-vous ici, Tori ?

Linda : Oh.

Adamus : Pourquoi êtes-vous là ?

Tori : Parce que je me réveille.

Adamus : Bien ! Bien, bien !

Linda : Ooh. (quelques applaudissements)

Adamus : Bien. Excellent. Et quelle sensation cela fait-il de se réveiller ?

Linda : En fait, vous pouvez le tenir (en tendant le micro à Tori).

Tori : D'accord. (rires) Ça sent comme de quelque chose que j'ai attendu depuis toujours.

Adamus : Oui. Pas de résistance ?

Tori : Si.

Adamus : Oui. Beaucoup. C'est quoi, la résistance ?

Tori : D'être à l'aise dans la façon dont les choses avaient l'habitude d'être dans mon mental.

Adamus : Ouais. Sortez de votre mental.

Tori : Ouais.

Adamus : C'est une chose difficile à faire.

Tori : Sans aucun doute.

Adamus : En fait, vraiment très facile à faire, mais...

Tori : Mais j'aime me le rendre difficile.

Adamus : … tellement de résistance. Tellement de résistance. Pourquoi êtes-vous ici dans cette vie ?

Tori : Pour m'amuser.

Adamus : Vraiment ?

Tori : Ouais.

Adamus : Le faites-vous ?

Tori : Ouais.

Adamus : Bien. Quelle est la chose la plus amusante que vous avez faite l'an dernier ?

Linda : Sa maman est là. Elle ne peut pas le dire. (rires)

Adamus : Bien sûr, sa mère l'a fait aussi.

Tori : Ma mère est au courant de tout. C'est vraiment une question à laquelle il est difficile de répondre. Il y a eu effectivement beaucoup de choses. Probablement, tout simplement des découvertes créatives, que j'ai faites intérieurement. J'ai sans doute changé mon orientation artistique au moins trois fois l'année passée.

Adamus : Vous vous remodelez.

Tori : Ouais.

Adamus : Ouais, et le projet de remodelage, comme la plupart d'entre vous le savent, n'est pas seulement une affaire exceptionnelle. Ça continue.

Tori : Non.

Adamus : Si. Vous voulez faire un peu plus de remodelage ?

Tori : Ouais.

Adamus : Excellent. Nous le ferons, plus tard.

Tori : D'accord.

Adamus : Bien. Je vous remercie. Merci.

Tori : Merci.

Adamus : Oui. Suivant. Donc, la question est pourquoi êtes-vous ici, et nous allons aller vers notre ami le clown.

Linda : Merci. Vous lisez dans mes pensées.

Adamus : Merci. Excusez-moi. Je fais ça. Oh, vous n'avez pas à vous déplacer pour... oh, s'il vous plaît, s'il vous plaît. Ne vous déplacez pas pour moi. Oui, pourquoi êtes-vous là ?

Linda : Allez-y. Mettez-vous debout.

Adamus : Oui. Ainsi tout le monde pourra voir votre merveilleux... quand je dis de vous habiller, je ne veux pas dire comme ça (les vêtements de Cauldre). Je veux dire comme ça ! (le costume de clown) Oui ! (quelques applaudissements)

Lulu : Je suis ici pour rire avec vous.

Adamus : Pour rire avec moi.

Lulu : Et tous les autres.

Adamus : Bien, parce que très souvent, ils ne comprennent pas mes blagues. (rires)

Lulu : Non.

Adamus : Ils ne les comprennent vraiment pas.

Lulu : Parce qu'elles sont plutôt mauvaises !

Adamus : Je dois en rire par moi-même. J'amène mes amis angéliques. Ils rient parfois. Mais, oui. Je vous remercie.

Lulu : J'aime ça. J'aime le rire.

Adamus : Oui, le rire fait du bien.

Lulu : Et la vie est une blague.

Adamus : La vie est une plaisanterie.

Lulu : Une farce.

Adamus : Elle l'est absolument, et vous pourriez écrire un livre. Oui, oui.

Lulu : Ouais, j'en ai déjà commencé trois.

Adamus : Oh, bien, bien.

Lulu : Aucun n'est terminé. (elle se marre)

Adamus : Aucun n'est terminé. Ce n'est pas grave.

Lulu : Bien.

Adamus : Mais la vie est une blague, et les gens la prennent si sérieusement. Je suis content que vous soyez colorée, souriante, rayonnant votre lumière pour que tout le monde ici, dans la salle, puisse la contempler. Bien.

Lulu : Merci.

Adamus : Merci. D'accord, Linda. Question, pourquoi êtes-vous ici ? Vous choisissez le prochain.

Linda : D'accord.

Adamus : Vous choisissez.

Linda : Puis-je être folle ?

Adamus : Oui. Pourquoi êtes-vous ici ?

Marty : Pour me développer comme un mofo.

[Le mot « mofo » est un terme d'argot américain qui signifie quelque chose comme « putain de mec ». Il est généralement utilisé de manière amicale, non-violente.]

Adamus : (en riant) Voudriez-vous vous mettre debout et dire ça devant les caméras ?

Marty : M'expanser comme un mofo !

Adamus : Vous expanser comme un mofo. Maintenant, je n'ai pas été sur Terre pendant des centaines et des centaines d'années. Qu'...

Marty : Ne me la faites pas ! Allons !

Adamus : … est-ce exactement un mofo ? (rires)

Marty : Vous m'avez fait jurer, il y a un moment !

Adamus : Est-ce une sorte d'animal ? Est-ce quelque chose que vous mangez ?

Linda : Ouais, ouais. C'est ça, c'est un animal. Ouais.

Adamus : Est-ce un cadeau que vous donnez aux autres ? Mofo. S'il vous plaît, définissez.

Marty : Animal Shaumbra. Ouais.

Adamus : Un animal Shaumbra.

Marty : C'est mon Pakauwah !

Adamus : Votre Pakauwah est un mofo. (rires)

Marty : Ouais.

Adamus : A quoi ressemble-t-il ?

Marty : Um... bien, avez-vous un Snuffleupagus ? (rires) C'est à peu près la même chose, un cousin.

Adamus : La même chose. Je comprends.

Marty : Ouais. Un cousin similaire de ça.

Adamus : Mais « pour s'expanser avec une grande passion », c'est ce que je traduis de vos mots pour...

Marty : Oui. Oui.

Adamus : … pour ceux qui ne comprennent pas. Bien. Et comment se passe votre expansion ?

Marty : Oh ! Comme un mofo !

Adamus : Oh ho ! Comme un mofo ! (beaucoup de rires)

Marty : Comme un mofo !

Adamus : Maintenant, ne sachant pas ce qu'est un mofo, quand vous dites « Oh, comme un mofo », je ne suis pas vraiment sûr. Est-ce que c'est bon ?

Marty : Oh, c'est très bien.

Adamus : N'y a-t-il pas du mauvais dedans ?

Marty : Ouais. Oh ouais.

Adamus : Ouais. Est-ce que vous n'attendiez pas que ça se passe ?

Marty : Abso-putain-lument !

Adamus : Ça, c'est un mofo ! (rires) Ça, pour moi -je vais écrire une nouvelle définition- « Ce que vous n'attendiez pas en voyageant dans le tube des probabilités, et puis quelque chose de plus ou moins mofo-iste vous arrive ! »

Marty : Oh ouais. Oh ouais.

Adamus : Ouais. Donc mofo -est-ce un nom, un verbe, un adjectif ? Qu'est-ce que c'est ?

Marty : Oui.

Adamus : Oui ! (rires) Tout ce que vous voulez qu'il soit. Bon. Et je suis heureux que votre expansion aille bien. Êtes-vous prêt pour plus d'expansion, aujourd'hui ?

Marty : Abso-putain-lument.

Adamus : Vous devez aller dans l'arrière-salle. L'arrière-salle est pour l'expansion mofo.

Marty : Oh la la ! (Rires) Ça va être aussi grand et en désordre ?

Adamus : Ici, nous allons avoir une expansion gracieuse. Et j'ai une drôle de sensation que mofo est probablement l'antithèse de l'élégance. Pas vrai ?

Linda : Vous savez, ça va être effrayant, quand quelqu'un va faire une recherche Google sur mofo, ça va les amener au Crimson Circle. (rires)

Marty : Nous avons le makyo ! Nous avons le mofo !

Adamus : Ce n'est pas mon problème ! (rires) C'est votre problème, mon cher, et votre problème, Michelle. Oh oui, oui, mofo.

Linda : Peut-être que c'est ce qu'on pourrait appeler...

Adamus : Je pensais que nous étions des pirates spirituels, mais j'apprends que nous sommes tous un tas de mofos.

Linda : C'est comme ça qu'on devrait appeler cet épisode,  « les Mofos ». Ouais, ouais, oui. Et puis, sur YouTube, ils vont chercher « mofo » et ça va se présenter.

Adamus : Bien. Je vous remercie.

Linda : Ouais.

Adamus : Oui, c'est une manière, Cauldre me dit...

Linda : C'est créatif. Merci.

Marty : … c'est un moyen d'obtenir plus de visites du site web. Oui.

Linda : Ouais !

Adamus : Oui. Bien.

Linda : Ouais. Ça semble utile.

Adamus : Je suppose que beaucoup de gens font des recherches sur mofo. Donc, au suivant.

Linda : Une personne plus jeune, peut-être.

Adamus : Donc, pourquoi êtes-vous là, Paul ?

Paul : Je suis toujours là pour m'amuser.

Adamus : Bien. Vous amusez-vous ?

Paul : Je m'amuse bien.

Adamus : Vous êtes ici, dans cette vie, pour vous amuser, ou ici, dans cette réunion, pour vous amuser ?

Paul : Je m'amuse comme un fou.

Adamus : Vraiment ?

Paul : Oui.

Adamus : C'est excellent. Excellent. Et je veux juste que vous sentiez un peu, pendant un instant -non, beaucoup- l'avancée majeure, bon, je ne suis pas en train de me comparer à Tobias, ou quoi que ce soit, mais au temps de Tobias, je ne pense pas que beaucoup d'entre vous se seraient levés en disant « Je m'amuse comme un fou, espèce de mofo. » (rires)

Linda : Ça va pas être une jolie transcription. (plus de rires)

Adamus : Je pense que notre chère Jean va devoir informer tous les traducteurs de ce soir de la définition de mofo, et je voudrais bien voir ça. Peut-être que nous pourrions intituler ce Shoud « Mofo ». (rires) « Le Mofo Shaumbra ». Oui. Oui.

Paul : Je veux voir ce qu'elle fait avec la vidéo de ça !

Adamus : Moi aussi. Oui. Donc, merci. Vous vous amusez ? Vous vous amusez comme un fou dans votre vie ?

Paul : Oui.

Adamus : Bien. Bien.

Shaumbra 3 : Je vais aussi à Kauai, lundi.

Adamus : Vous allez à Kauai. Bien. Maintenant, ressentez l'énergie. Oh, je dois... Nous devons nous demander, ici. Vous savez que je vais vous demander, Kerri.

Linda : Oh ! Pas de répit pour les braves !

Adamus : Pourquoi êtes-vous ici, Kerri ? Pourquoi êtes-vous ici ?

Linda : Pas de répit pour les braves.

Adamus : Et je l'ai fait aussi parce que nous avons la caméra juste ici. Juste ici. Pourquoi êtes-vous ici ?

Kerri : Non, je n'ai jamais... pourrais-je me cacher si j'essayais ? Je suis ici parce que putain, qu'est-ce que j'ai d'autre à faire ? Je suis désolée pour ça.

Adamus : Eh bien... ça ne me dérange pas.

Kerri : Ce n'est pas comme si je pouvais aller au bowling ! Ce n'est pas le moment.

Adamus : Ça ne me dérange pas. On m'a dit de ne pas exprimer de gros mots, mais on peut dire...

Kerri : Désolée, Linda.

Adamus : Qu'est-ce que vous avez dit ?

Kerri : Putain ! Oh, ce n'est pas comme d'aller m'amuser au bowling.

Adamus : Ouais. Donc, vous n'avez rien d'autre à faire. Vraiment ?

Kerri : Non, je le fais, allez !

Adamus : Il y en a beaucoup de l'autre côté. Nous en avons besoin de beaucoup.

Kerri : Je suis ici pour l'ascension, bordel !

Adamus : L'ascension. Bien.

Kerri : Oui ! Bonjour ?!

Adamus : Je vais vous demander une troisième fois maintenant, après que vous m'ayez menti deux fois. (rires) Pourquoi êtes-vous là ?

Kerri : Pour vous donner de la merde.

Adamus : Voyez ?! (beaucoup de rires) Vous savez...

Kerri : (en chantant) Personne ne le fait mieux. Rends-moi heureuse tout le temps.

Adamus : … elles me suivent de vie en vie... (plus de rires)

Kerri : « Qui suit qui ? » est la vraie question. (rires)

Adamus : … me suivent de vie en vie, oui, et vous étiez la seule, là-bas à l’École des Mystères, vous m'appeliez Comte. Comte Saint-Germain. (prononciation française)

Linda : C'était quoi ce mot ?

Adamus : Comte.

Linda : Comte ? Oh, Comte.

Adamus : Et c'est ce que vous auriez utilisé en face de moi, mais ensuite, derrière mon dos et parlant aux autres -pouvez-vous imaginer notre chère Kerri parlant aux autres?- et disant « Ouais, je l'appelle Comte, parce que je compte les jours depuis qu'il m'a quittée pour partir en voyage ou pour une sortie. Alors, je compte. »

Kerri : Vous avez tout faux avec moi. (rires)

Adamus : Oh non, ma chère. Ohhhh non ! Nnnnnon ! Mais nous passons un moment délicieux. Et une partie de celui-ci... Pourrais-je être honnête ?

Kerri : Soyez honnête.

Adamus : Bien. Vraiment ?

Kerri : Oui.

Adamus : Troisième fois...

Kerri : Allez-y !

Adamus : Bien. Donc, vous avez une force incroyable, une lumière incroyable, mais tout est sens dessus dessous. C'est tout... mofo est-il un bon mot pour ça ? Tout est sens dessus dessous.

[* [dis]combobulated  (sens dessus dessous) est un mot argot qui signifie  « confus et bouleversé » ]

Kerri : Je dis putain de groupe, personnellement. (rires)

Adamus : Vous voyez, ce n'est pas moi qui le dit...

Linda : Je ne vais pas lui redonner le micro. (rires) Non ! Non ! Non !

Adamus : Mais -vous n'êtes pas  la seule, vous avez seulement une manière différente de l'exprimer- mais cette énergie. Tout ça a tendance à être sens dessus dessous, coincé, écrasé ensemble, mental, alors nous allons devoir vous envoyer travailler avec Aandrah afin que vous vous décoinciez, que vous retrouviez votre respiration, que vous reveniez à vos vrais rythmes naturels, ceux de l'ange, pas de l'humain ; c'est alors le « Je Suis ce que Je Suis » et non le « Je ne peux pas être ».

Ouais, et ma chère Kerri -et je ne suis pas en train de cibler ça sur vous, ha ! (rires) -tellement de talent. Chacun de vous a tellement de talent. Tant de vies. Alors... (le vent élevé provoque un sifflement)

Linda : Qui est-ce qui siffle ?

Adamus : Tant de vies à étudier, à jouer, à se battre, à faire, à créer, à fabriquer, à mener, à être. Et maintenant, vous arrivez dans cette vie -vous savez, cette vie de l'ascension- et soudain, vous devenez modeste. Vous vous cachez. Vous...

Linda : Kerri ne se cache pas.

Adamus : Ah ! Ah ! Combien pensent que Kerri... (Adamus s'arrête et glousse) Cauldre, sors du placard pour venir sauver Kerri ! (rires) « Ne vas pas là, Adamus ! » Adamus va y aller ! C'est parti ! (beaucoup de rires) Au revoir Cauldre ! Prince Vaillant, au revoir ! Enfourchez votre cheval. Whish ! (onomatopée)

Combien pensent que Kerri se cache ? (certains lèvent leur main) Combien pensent que Kerri ne le fait pas ? (les autres lèvent la main) Combien ont peur de lever la main parce que Kerri pourrait les voir ? (rires)

Kerri -vous tous- vous vous cachez, chacun de vous coupable, coupable à un degré ou un autre. Je sais qui vous êtes. Je sais ce que je peux faire. Mais vous mettez ces... revenons à notre discussion du mois dernier. Vous vivez dans le tube. Vous le savez, dans le tube, vous ne faites pas de choses extraordinaires ou merveilleuses. Dans le tube, vous êtes juste un autre humain qui a une autre vie, avec une pierre tombale anonyme. Huh, triste.

Linda : Oh, vous avez l'air tellement triste.

Adamus : Pierre tombale. Dalle funéraire. Pierre tombale.

Donc, nous sommes ici pour faire bouger l'énergie. Nous le faisons au travers du rire. Nous le faisons par le biais de quelques jurons. Nous le faisons au travers du mofo-isme.

Linda : (s'adressant à une adolescente) Avez-vous été blessée par ce langage ? (Elle répond « Non ») Non ? Vous ne l'êtes pas ?

Adamus : Non, non, non, non.

Linda : D'accord.

Pourquoi Adamus est-il là ?

Adamus : Donc, laissez-moi vous dire pourquoi je suis là. (quelqu'un demande « Pourquoi êtes-vous là ? ») Bien. Pourquoi suis-je là ? Bonne question. Ravi que vous la posiez. Je suis ici parce que vous m'avez demandé d'y être.

Linda : Oh, ouais.

Adamus : C'est votre faute. (en rigolant) Vous m'avez demandé d'y être.

Je suis ici parce que vous avez apporté une immense conscience. Vous avez apporté l'extraordinaire conscience de la Semence Christique sur cette planète. Il y a très longtemps, vous l'avez semée dans le sol, dans l'air, dans la conscience de masse. Vous vous l'êtes donnée avant même de venir ici. Vous -la plupart d'entre vous- étiez dans les parages au temps de Yeshua. Vous faisiez partie de toute cette libération qui a eu lieu en ce temps-là. Vous étiez là pour apporter ce qu'on appelle communément le New Age, et nous y sommes en plein.

Je suis ici parce que vous disiez que ça allait être la vie. Tobias était là pour la même raison. Vous avez dit « Ça va être la vie. » Vous saviez, dans votre éclat, dans votre brillance absolue, qu'il y avait un potentiel pour rester coincé ; il y avait le potentiel, sans aucun doute, de devenir mental ; les effets de la conscience de masse, comme un brouillard épais, une épaisse couverture, allaient vous étouffer. Donc, je suis là pour vous aider à vous déplacer au travers de ça. Pour le faire par le biais du rire ; pour le faire par l'agitation ; en étant convaincant, espérons-le ; parfois par une sorte de frottement de la plaie, un petit peu. J'aime quand Shaumbra est en colère contre moi, parce que -fait réel- chaque fois qu'ils le font, pendant un bout de temps, ils rient d'eux-mêmes et ils réalisent que je suis là pour vous garder en mouvement au milieu de tout ça.

Je suis ici parce qu'il y a eu tellement de cours spirituels, d'écoles spirituelles, d'offrandes spirituelles, de religions, de livres supposés sacrés, et tout le reste, pendant des éons de temps, et nous n'avons pas diplômé beaucoup d'humains. Pendant toute l'évolution de l'humanité, pendant les millions d'années où les humains ont été sur cette planète -9 000 (diplômés) C'est un nombre très, très faible. Un nombre faible.

Je suis ici parce que je veux que certains d'entre vous obtiennent leur diplôme et je vais faire tout ce qu'il faut. Je prendrai votre argent, (rires) avec plaisir. En parlant de ça, avez-vous remarqué que Cauldre ne laisse plus rien dans ses poches ? Je vais mettre un miroir en face de vous.

Je viendrai parfois dans vos rêves ; aurai de longues discussions avec vous. Parfois je viendrai dans vos rêves sous les traits d'un démon, d'un mauvais garçon, tout simplement pour faire que vous restiez en mouvement dans l'état de rêve, parce que même alors, vous avez une tendance à vous installer dedans. Vous voulez tous de beaux rêves. Vous n'allez pas en avoir là maintenant. Vous n'en aurez pas. Vous vous déplacez au milieu de beaucoup trop de choses. Il se passe beaucoup trop de choses sur cette planète.

Je suis ici pour que quelques-uns obtiennent leur diplôme, espérons-le plus que quelques-uns, espérons-le, vous tous. Mais finalement, c'est à vous de voir.

J'ai dit à Cauldre et à quelques-uns des autres groupes, « Juste cinq ou dix. C'est tout. Juste cinq ou dix qui se permettront d'ascensionner dans cette vie » -l'ascension étant définie comme l'intégration de la totalité de votre être, incluant tous ces aspects, toutes ces vies passées ; incluant votre âme ; incluant votre corps et votre mental, les intégrant tous- « et rester ici, et vivre ici. »

Donnez-moi cinq d'entre vous, seulement cinq, parce que ces cinq vont faire plus pour le reste d'entre vous que ce que je pourrais faire. Ces cinq vont être des exemples qui pourront dire combien ils ont eu une vie de mofo et ont évolué. Et ces cinq, j'aimerais les voir debout ici -ou dix, ou vingt, ou mille- mais les voir debout ici et dire « En fait, c'était vraiment facile. Je l'ai rendu difficile tout le temps. C'était vraiment extraordinaire, mais j'avais tellement peur de franchir cette étape, de franchir cette dernière étape, j'avais tellement peur, parce que j'aurais à renoncer à tout », et vous le faites. Et vous le faites. « Tellement peur parce que je m'inquiétais de ce que ça affecterait les autres. Tellement peur parce que je ne savais pas si tout ça était un tas de makyo, je ne savais pas, si je franchissais cette étape, si je sortirais de l'existence, pour aller en enfer, pour aller sur une autre planète. »

Et ce groupe qui va être aligné, ici, va dire «  Vous savez quoi ? Vous prenez une profonde respiration... vous prenez une bonne respiration profonde, vous croyez en vous si profondément que rien d'autre n'a d'importance -rien, rien d'autre n'a d'importance- et vous le faites, tout simplement. »

Et souvenez-vous comment c'était quand vous appreniez à nager, il y avait un lac, l'eau était froide, il y avait probablement des piranhas dedans, vos amis sautaient dedans, vous étiez assis au bord et vous ne pouviez tout simplement pas le faire ? Votre mental a commencé à passer en revue tous les potentiels de traumatismes, toutes ces choses -combien elle serait froide, peut-être que vous vous noieriez, peut-être que vous seriez entraîné par un de ces poissons, peut-être que des choses terribles se passeraient- et puis finalement, quelqu'un est venu sagement et vous a poussé dedans. Et alors, vous avez dit « Eh bien, ce n'est pas si mal. Ouais, elle est un peu froide. C'est un peu froid et j'ai bu quelques tasses. Mais ça alors, mon corps a bien su comment se débarrasser de ça. Et, vous savez, on s'amuse beaucoup ici. »

Ainsi, mes chers amis, c'est pourquoi je suis ici. Donnez-moi cinq, dix, espérons-le des milliers -espérons-le, espérons-le- qui peuvent être ici et dire aux autres, « Je Suis ce que Je Suis. J'ai finalement compris ce que ça signifie. » Dire aux autres « Vous savez, c'est intéressant, en fait, on peut faire cette ascension, cette intégration, cette intériorisation, et c'est vraiment drôle parce que vous ne perdez pas une seule chose en dehors de celles dont vous n'avez pas un besoin essentiel, et vous n'avez plus besoin de celles que vous avez. »

Ainsi, chers Shaumbra, c'est pourquoi je suis ici. Quand je vous quitte -hum, ne comptez pas le temps- quand je m'en vais...

Kerri : Mais je vous aime.

Adamus : Je sais, et pour une bonne raison. (rires)

Quand je partirai -et ça pourrait être dans quelques courtes années- quand je partirai, que vais-je faire alors ? Hm ? Je vais travailler tout simplement avec ce groupe qui a choisi l'ascension, parce qu'il y a quelques défis à rester dans le corps physique après l'ascension. Ainsi, Kuthumi et moi allons travailler avec ce groupe -cinq, dix, vingt, un millier- quelque soit le nombre qu'il va y avoir.

Ainsi, chers amis, c'est pourquoi je suis ici. Je veux conférer un diplôme... je veux que certains d'entre vous soient les véritables Maîtres vivants à l'avoir rassemblé, à comprendre vraiment le Je Suis.

Au cours des deux dernières années, nous avons perdu un bon nombre. Perdu un bon nombre. N'était-ce pas la bonne chose pour eux, n'aimaient-ils pas la manière dont nous avions nos réunions spirituelles mofo. Ils...

Édith : Je pensais que nous étions déjà ascensionnés.

Adamus : Vous l'êtes, ma chère, mais quand allez-vous le jouer, l'être et le vivre ?

Édith : Je le joue toujours.

Adamus : Ouais, je ne parlais pas seulement à vous, mais à tout le monde, parce que tant qu'il y aura le drame, les traumatismes, la séparation du corps et du mental avec l'esprit, vous êtes ascensionnés, mais maintenant, allez-vous vous permettre de l'expérimenter ? Vous avez tout à fait raison ; c'est déjà fait. Mais en passant maintenant par l'expérience de ce que c'était. Oui. Vous voyez ?

Édith : Oui, je sais que c'est ce que nous faisons maintenant.

Adamus : Oui.

Édith : Nous sommes des idiots.

Adamus : Pas idiots ! Pas... où est le micro ? Pas idiots. (David le tient en l'air) Ah. Où est Linda ? (quelques rires) Un instant, je vais aller la chercher. (Adamus descend l'allée mais commence à rigoler quand David l'arrête)

Ainsi, chers Shaumbra, Édith, vous soulevez un bon point. Vous soulevez un très bon point, parce que vous êtes ascensionnés, donc vous n'avez vraiment rien à faire. Mais pourtant, vous êtes dans ce... (quelqu'un éternue) A vos souhaits ! Vous êtes dans une sorte de -état d'esprit est la meilleure façon de le dire- une sorte de conscience où vous pensez toujours que vous devez gagner votre- pas seulement vous, je parle à tous les Shaumbra- que vous devez gagner votre passage là-bas.

Ceux qui se tiennent à l'avant, qui ont enfin compris, qui ne se soucient plus d'argent, de leur santé, de leurs relations ou rien de tout cela, ils sont ceux qui vont dire « Oui, c'est vrai ! J'étais déjà ascensionné, mais je jouais comme si je ne l'étais pas. Je faisais l'expérience de comment c'était d'ascensionner, et je pensais que je n'avais pas vraiment le choix dans la façon dont j'allais en faire l'expérience. »

Le fait est, en effet, vous avez le choix. Vous voulez le faire en tant qu'écrivain ? Vous voulez le faire en tant que clown ? Vous voulez le faire comme un saint ? Voulez-vous le faire juste pour le plaisir, pour jouir de la vie ? Vous voyez.

Donc, prenons une profonde respiration avec ça.

Ainsi, je vous regarde dans les yeux. Oui, je vous regarde dans les yeux et vous tous -presque tous... (il se penche en scrutant les gens dans les yeux)... eh, vous tous, vous êtes tous en train de faire plutôt bien, compte tenu de ce que vous avez vécu. Oui, pas de signe d'usure, en fait. Vraiment. Et je dis ça en sachant que tant de gens qui ont été plus ou moins avec nous ont abandonné. Certains ont traversé. Morts. Boom. Hah, j'aime rire de la mort. Ha, ha, ha, ha, ha. (seuls quelques-uns dans le public répondent en disant « ha, ha, ha ») Ce n'est pas trop convaincant.

Linda : Ouais, c'est vraiment drôle.

Adamus : Je vais parler de la mort dans un instant. Non, j'aime rire de la mort. C'est drôle, en fait.

Ainsi, je vous regarde et aucun signe d'usure. En fait, vous faites plutôt bien. Vous faites vraiment bien. Vous pouvez sourire. Vous pouvez rire. Ouais. Cependant, pourriez-vous me donner un baiser ? (Michelle lui donne un baiser) Ahhh. Whoo !

Donc, c'est plutôt difficile, c'est plutôt ambitieux de traverser ça, comme vous le savez. Mais n'est-ce pas magnifique ? N'est-ce pas grandiose ? N'est-ce pas extraordinaire ? Oui. Ce public, « Eh, euh, euh ». (rires) « Bien sûr, nous allons dire oui maintenant, mais voulons-nous vraiment le dire ? » 

N'est-ce pas extraordinaire, n'est-ce pas merveilleux d'être ici sur Terre ? C'est absolu... (Adamus envoie un baiser aux spectateurs en ligne) Oui, pour vous aussi.

N'est-ce pas absolument incroyable ?

Suzy : Oui. Oui, ça l'est.

La Mort

Adamus : Ainsi, considérons-la. Considérons-la. Laissez-moi d'abord vous parler de la mort. Je me moque de la mort. Ha, ha. Et je parle de la mort aujourd'hui, et à propos, si certains d'entre vous pensent que je passe d'un sujet à l'autre sans aucune logique, que je ne tiens pas assis sur un fauteuil, vous avez raison. (rires) Absolument. Pourquoi je fais ça ?

Kerri : Vous voulez faire bouger les choses.

Adamus : Faire bouger les choses. J'aime ça... parce que je suis un mofo ! Qui a dit ça ? Qui a dit ça ? (rires) Faire bouger les choses. Vous rendez-vous compte si je le faisais à la manière des vieux manuels d'enseignement où les choses se suivent tout simplement, même dans un charmant schéma, quel ennui* ! Quel ennui ! Si j'étais juste assis dans le fauteuil, là en permettant à Cauldre de se reposer de ses pauvres douleurs au dos et aux pieds, quel ennui. Donc, nous nous amusons. Nous le combinons. Et que feraient les cameramen si j'étais seulement... et les personnes employées au fond. Vous voyez, j'aide à résoudre le problème du chômage. (rires) Donc, nous le combinons.

[* « Snooze » signifie « dormir », donc, dans ce cas snoozer signifie ennuyeux ou endormi]

Riez. Riez tant que vous voulez, parce que nous allons parler de la mort dans un instant. Je tiens à soulever cette question.

La mort, comme je l'ai dit auparavant, est une chose très naturelle. C'est une bonne chose. Vous l'avez programmée. Vous avez, comme instauré ça. Pourquoi ? Sinon, vous êtes coincé à cet endroit, et il n'y a plus rien à faire. Il y a davantage à voir. Il y a davantage à créer.

Donc, vous êtes venus ici-bas et vous avez dit « Il vaut mieux avoir notre stratégie de sortie », comme les bons hommes d'affaires. « Il vaut mieux avoir notre stratégie de sortie. Qu'est-ce que ce sera ? Fin ! Sortie du corps physique. » Chose facile à faire. Cependant, c'est une chose triste en ce moment. Je... à propos, le mois prochain -ce mois-ci, le mois prochain- nous allons faire une suite au  DreamWalker Death et ce sera...

Linda : Vraiment.

Adamus : Ce sera une comédie. (rires) Sérieux. Ça doit l'être ! Ça doit l'être ! Autrement, comment pourrions-nous suivre un DreamWalker Death -un des cours que j'ai donnés- sans que ce soit un acte de comédie ? (Linda fait la grimace et Adamus rit, certaines personnes rient) Vous voyez ? C'est drôle, déjà.

Donc, la mort. La mort est... C'est trop mauvais la façon dont ça se passe maintenant. Espérons-le, vous allez aider à changer ça, la conscience autour de la mort. Les gens deviennent malades, ou en ce moment, ils perdent la tête, mais ne sont pas conscients de cet état. On peut perdre la tête. On peut aller au-delà du mental et être conscient de tout ce qu'il y a là-bas, tout en étant conscient de ce qui se passe ici.

Donc, ça leur prend sept, dix ans, pour mourir. Et je ne dis pas ça sans compassion, mais c'est beaucoup de temps pour mettre ce fardeau sur quelqu'un d'autre, sur vous-même et sur votre âme. En fait, il y a très peu à apprendre d'elle, et c'est douloureux et dégradant. Mon dieu, voulez-vous avoir quelqu'un pour vous laver et vous nourrir avant de partir ? (le public dit « non ») Non, je ne crois pas. Je ne le pense pas.

Donc, il s'agit de la mort dans la dignité, de la mort où l'on apprend à partir quand on est prêt. Pas quand on a un tas de merde émotionnelle et qu'on veut juste quitter la planète ; quand vous êtes vraiment prêt à partir. Et tôt ou tard, vous le voudrez, que vous ascensionniez dans cette vie ou pas. Vous pourriez décider de rester 200 ans avant de partir. Cinq cents. C'est une longue période. C'est une longue période.

Mais, chers Shaumbra, la raison pour laquelle j'aborde la mort, c'est... il y a un énorme nuage de mort tout autour de la Terre en ce moment. C'est tout autour de la Terre. C'est un problème dans la conscience de masse. Probablement le problème le plus répandu dans la conscience de masse. Voir la conscience de masse comme cette espèce de vilain gros nuage brunâtre autour de la Terre. La mort est peut-être l'énergie la plus répandue là-dedans en ce moment. Pourquoi ?

Kathleen : La peur.

Adamus : Je vous remercie. La peur. La peur. Beaucoup de pays dans le monde ayant une population vieillissante, vous commencez à penser davantage à la mort que vous ne l'avez fait dans le passé. La peur, la fin du type de monde des scénarios, et ce qui se passe aussi, c'est que beaucoup des êtres qui ont été enterrés dans le sol... je n'aime pas l'inhumation, à propos. Whew ! Hm. Brûlez-le, incinérez-le, pulvérisez-le, laissez-le aller (Linda secoue la tête, quelques personnes rient), parce que je n'ai pas d'intérêts dans des crématoriums. Vous enterrez quelqu'un dans le sol, beaucoup de son énergie reste là. C'est plus difficile pour eux de s'incarner, même s'ils le font, et alors, c'est vraiment un mélange. C'est encore plus difficile pour la Terre, dont vous héritez maintenant de la part de Gaïa, de gérer et traiter toutes les énergies. C'est vraiment une ordure environnementale. C'est vraiment une pollution -une pollution d'énergie- quand vous avez tous ces corps enterrés dans le sol. Mais ils reviennent en ce moment, beaucoup d'entre eux.

Donc, il y a toute cette conscience de la mort associée avec ça, plus tout simplement la peur -les guerres, le terrorisme, tout le reste qui se passe, les gens qui craignent la famine, qui craignent le temps, ce qu'ils devraient probablement faire- mais il y a tout ça qui se passe. Donc, il va y avoir un gros centre d'intérêt ici, je dirais dans les 12-18 prochains mois, en baissant les yeux sur le tube de la conscience de masse, il va y avoir beaucoup de -plus que d'habitude- d'intérêt pour la mort. Qu'est-ce que ça signifie ? Eh bien, ça signifie qu'Hollywood s'implique, plus de films sur la mort, plus de films sur l'au-delà.

J'aide à écrire un script sur l'un d'eux en ce moment. Je ne peux communiquer le nom parce que nous ne l'avons pas encore décidé, mais nous sommes en train de faire un film sur la mort, sur les autres royaumes, les Royaumes Près de la Terre. Oui.

Aussi je sais, vous pensez en vous-même, chère Linda d'Eesa, « Il est tellement étonnant. Il peut... »

Linda : Oh wow ! Je suis très télépathe ! (rires) Voyant !

Adamus : Il peut faire ces Shouds. Il peut boire et manger dans toute l'Europe, et il peut aider à écrire un film. » Extraordinaire, n'est-ce pas.

Linda : Wow !

Adamus : Et vous savez quoi, chers Shaumbra ? Vous le pouvez aussi. Ce que je fais, vous le pouvez peut-être. En volant les mots de Yeshua. Tout à fait, ce que je fais, vous pouvez faire mieux. (petit rire)

Donc, la mort va devenir un gros problème, beaucoup d'attention dessus. Et bien sûr, beaucoup de charlatans vont s'impliquer, plus que jamais. Plus de fantômes et d'esprits vont traîner que jamais auparavant, et vous allez les sentir.

Il y a plus d'activité de mort à se dérouler en ce moment, beaucoup d'entre vous le sentent. La mort vient dans vos rêves. C'est, et ça vous flanque la frousse parfois, parce qu'alors vous commencez à penser à votre propre mortalité. Ce n'est pas à propos de ce que sont les rêves. Ce n'est pas à propos de vous. Ce n'est pas au sujet de votre mort. Vous ressentez tout simplement cette énergie de la mort, et elle viendra à vous dans le rêve. Et vous savez quoi faire quand elle vient à vous dans le rêve ? Vous vous moquez d'elle ! Ha, ha, ha, ha, ha. Ha, ha ! Ahh... (personne ne rit)

Vous savez, la mort est un sujet intéressant. Tout le monde en a peur. Combien de personnes vont aller à un atelier sur la mort, vraiment ? Pas beaucoup. Ouais. Certains d'entre vous, les fous, mais personne n'aime vraiment en parler. Personne n'aime vraiment entrer dans ce sujet. C'est une belle chose. Ça l'est vraiment.

Quand vous arrivez de l'autre côté, c'est une belle chose. De la perspective humaine, c'est vraiment merdique. Il y a tellement de désinformation, de manque d'information, ou d'information de feu et de soufre, ou de culpabilité qui y est associée. Quand vous pouvez laisser aller -quand vous, chers Shaumbra, laissez aller- la peur de la mort, vous allez contribuer largement à rendre la vie digne d'être vécue. Vous allez vraiment le faire.

Quand vous laissez aller cette peur de la mort, vous réalisez que c'est un morceau de gâteau. Il peut être choisi. Vous pouvez fixer à l'avance la célébration de l'autre côté. Nous avons des traiteurs de l'autre côté qui vous aident, et vous n'avez rien à leur payer ! Vous avez tout simplement à choisir ce que vous voulez et ils seront là. Ils organiseront une grande fête pour vous. Ou ils vous laisseront seul, ou vous pouvez vous asseoir. Je serai là. Je le veux vraiment, pour chacun d'entre vous. Je serai là quand vous y arriverez. Et je vais rire, et rire. Espérons-le, vous rirez aussi, parce que ce serait embarrassant si vous ne le faisiez pas. (rires) Woo ! C'est arrivé quelques fois, ce n'est pas bon ! Mais ils rient tôt ou tard. Tôt ou tard, ils le font. (Adamus rit)

Donc, chers Shaumbra, la mort est en face de vous. Ça ne vous concerne pas. Ça concerne la conscience de la planète. C'est au sujet de toute cette question de savoir si cette planète va continuer à évoluer et accéder à l'illumination et à la conscience, à cause de vous et des autres comme vous, qui aident à le faire ? La conscience supérieure de cette planète va-t-elle s'en aller sur la Nouvelle Terre et abandonner cet endroit ? Tout ça soulève toutes ces questions.

Ça soulève les questions des nouveaux qui viennent pour la première fois. Ils n'ont jamais fait l'expérience de la mort et certains d'entre eux sont morts -les débutants, les Enfants Cristal. Les énergies sont tellement intenses ici, et peu importe par quelle formation ils passent, quand ils atterrissent ici, quand ils arrivent ici, c'est au-delà de ce qu'ils auraient pu éventuellement imaginer. L'intensité, la pression, la folie, l'absence de flux de cœur véritable, les restrictions, les lois -ils ne peuvent croire les lois. Certains d'entre eux ont dit qu'ils voulaient faire du droit. Ils sont arrivés là. Ils ont jeté un œil sur les avocats -oh désolé, je ne devrais pas dire... certains d'entre vous sont des avocats, mais de bons avocats -les lois, les vieilles superpositions, et ils sont partis. C'est donc leur première mort. C'est toute une expérience pour eux, comme ça l'était pour vous.

Vous souvenez-vous de votre première mort, la mort biologique, après votre première naissance ? (certains dans le public disent « Non ») Eh bien, vous pourriez. Voulez-vous essayer ? Prenez une profonde respiration.

Après votre première naissance physique, qui était intéressante -vous vous êtes sentis comme pris au piège, et avez eu du mal à vous adapter à toutes les énergies de la planète, lorsque sur le chemin du retour -comment fut votre première mort ? Un mot. Il commence avec un « R. » (Quelqu'un dit « Libération ») Ou un « L. » Oui. Soulagement. Libération. Soulagement. Et c'était vraiment une délivrance.

« Whoa ! C'était intense. » Mais, tout comme ceux qui montent sur les montagnes russes et sont morts de trouille, que font-ils ? (le public dit « Remonter dessus ! ») « Oh oui ! Sautons d'un avion ! » (quelques rires) Un avion en parfait état, sans moteur en marche, et alors, vous sautez. Ça les épouvante à chaque fois. Mais que font-ils ? Ils y remontent la plupart du temps, à moins que le parachute ne se soit pas ouvert.

Donc, chers Shaumbra, la mort ; ça va être un problème. Vous allez le ressentir. Il ne s'agit pas de votre propre mort. Comprenez ça, s'il vous plaît. Comprenez ça, s'il vous plaît. Nous ferons ce cours supplémentaire sur la mort, et en particulier, nous allons nous concentrer sur la préparation de votre propre transition -quand vous voulez.

Voyez, en ce moment, vous n'êtes pas sûr. « Je ne sais pas quand je vais quitter cette planète. » Vous savez, c'est dans les nouvelles, tout le temps. L'autre jour, un chanteur populaire -vous l'appelez une star du rock, mais un musicien en quelque sorte- est décédé. Davy Jones. Boom ! Il vient juste de passer de l'autre côté. Alors, qu'est-ce que ça fait ? Vous avez tout le monde - « Ah ! Quand cela va-t-il m'arriver ?! Vais-je être au milieu de mon petit-déjeuner- pchhw! - et traverser ? »

Vous savez ce que vous espérez ? Que ça arrive au milieu de la nuit et que vous ne le sachiez même pas. Bien. Ouais, et ça ne vous met pas sens dessus dessous. (Adamus rit)

Mesurer les Energies

Aussi, chers Shaumbra, prenons une profonde respiration.

Nous allons mesurer un peu d'énergie, aujourd'hui. Vous avez bonne mine. Vous vous sentez bien. Beaucoup mieux, plus jeune, et plus en colère que vous ne l'étiez il y a quelques années ! C'est une bonne chose ! (le public dit « Ouais ! ») Ouais ! Plus vigoureux ! Plus chaleureux !

Vous savez, j'aime voir la colère. C'est de la détermination. Ça fait sortir l'énergie. Dans certaines Écoles des Mystères, nous avions des personnes qui allaient hurler à la lune juste pour la faire sortir, qui allaient aboyer, et crier, et pousser des cris aigus, juste pour la faire sortir, pour vous faire sortir de cette cachette.

Donc, nous allons tester quelques énergies aujourd'hui. Voulez-vous s'il vous plaît trouver un partenaire ? S'il vous plaît, trouvez un partenaire et levez-vous. Partenaire. Partenaire. Ça signifie une autre personne. (rires) Généralement, ça ne veut pas dire vous.

Pour ceux qui regardent en ligne, s'il vous plaît, si vous êtes avec d'autres, trouvez un partenaire. Si vous êtes seul, imaginez un partenaire. Je ne suis pas sûr que vous êtes... eh -on ne parle pas dans ma classe pendant que je parle. Vous pouvez rire ; vous ne pouvez pas parler.

(Adamus essaie des chapeaux) Trop petit. Puis-je essayer le vôtre ? Merci. Il a une grosse tête, n'est-ce pas ? (se référant à Cauldre) Merci.

Donc, chers Shaumbra, je suis sûr que vous êtes tous familiers avec la kinésiologie -le test musculaire- et ça fonctionne vraiment. Ça fonctionne vraiment. Nous allons donc en faire un peu aujourd'hui.

Vous avez un partenaire. Vous choisissez qui va être le testeur et le testé. (quelques rires) En d'autres termes, une personne va tester l'autre.

Linda : Les testés ?

Adamus : Test... j'ai dit testé. On ne parle pas dans ma classe. Merci. C'est un travail sérieux. (Adamus rigole du chapeau pourpre qu'il porte ; rires)

Donc, chers Shaumbra... (il donne le chapeau à Linda) Oh, voudriez-vous rendre ceci à la jeune dame ?

Linda : Oui, je le ferai. Elle est si mignonne.

Adamus : Maintenant, celui qui va être testé, vous allez tendre les deux mains. Mettez-les à peu près... je vais d'abord vous montrer. Ours, avec moi un instant, alors que j'accède à ma scène de démonstrateur, ensemble. (il va chercher une chaise et monte dessus) Merci. Donc, vous allez tendre vos bras devant vous (démonstration), et l'autre, après que j'ai donné le mot-clé, l'autre va pousser vers le bas. (se tournant vers Linda) Si vous vouliez... Mon, vous êtes devenue plus petite depuis que nous avons débuté. (quelques rires)

Linda : Hé, laissez-moi monter sur une chaise.

Adamus : Je vous remercie. Merci. Merci.

Linda : Allons-nous faire ça d'un côté et de l'autre ou quoi ?

Adamus : Oui. Oh, vous avez mis ces bottes. (elle monte sur la chaise) D'accord. Et nous avons besoin d'un peu plus de distance. (il fait un pas en arrière de la chaise) Donc...

Linda : Êtes-vous en train de vous amuser de ma taille ?

Adamus : Comme ça. Les paumes vers le bas, et je vais vous donner le mot-clé, et celui qui est testé va respirer dedans et le ressentir. Et alors, l'autre -votre partenaire- va appuyer sur vos mains pour vérifier l'importance de la résistance. Oui.

Ainsi, qu'est-ce que ça nous montre ? Eh bien, alors que nous allons passer en revue certains des mots-clés, vous allez voir si vous avez une belle et forte énergie avec ce mot, ou une faible énergie. S'il vous plaît, ne blessez pas l'autre personne, d'aucune façon.

Bien, tenez-vous prêt. Mains tendues pour celui qui est testé ; et l'autre qui fait le test, préparez-vous. Je vais donner le mot et vous allez respirer dedans, je le donne dans trois secondes environ, et alors vous faites le test.

Ainsi, le premier mot est « Nouvelle Énergie ». Inspirez-le. Et maintenant, faites-vous tester. (pause)

Bien. Excellent. Excellent. Bien. Mieux que ce que j'aurais pu penser. Excellent. Merci. Bien.

Maintenant, prenez une profonde respiration. Nous allons le refaire. La même personne teste et la même personne est testée, et puis nous inverserons les rôles dans une minute.

Le mot suivant est... prenez une profonde respiration... « votre biologie ». « Votre être physique ».

Prenez une profonde respiration. Ressentez-le. Maintenant, testez. Testez. Testez. (pause)

Bien. Maintenant, appliquez plus de pression là. Cessez d'être des mauviettes. Pressez. (rires) Cassez-leur le bras s'il le faut !

Bien, maintenant je vais prendre un aperçu ici, mais il n'y avait pas autant d'énergie, ou de stabilité, qu'avec le premier mot.

Alors, d'accord, prenez une profonde respiration. Secouez vos bras un petit peu. Ramenez le sang dedans. D'accord, maintenant... et souvenez-vous, les paumes vers le bas. Donc, mot suivant -même personne testée et même personne qui teste- le mot suivant est « votre équilibre mental. » (quelques rires) Eh bien, nous pouvons tout simplement cesser ce test dès maintenant. Ça ne vaut pas un mofo ! (rires)

Maintenant, il y a des gens, regardant en ligne, qui veulent réellement être sérieux avec ça -je ne sais pas pourquoi- mais refaisons-le.

Prenez une profonde respiration... « l'équilibre de votre mental ». Bien. Respirez dedans et faites-vous tester. (pause)

Je n'ai pas dit d'abandonner. (rires) j'ai dit de vous faire tester ! Je n'ai pas dit de laisser tomber vos bras. Me suis-je trompé ? Ai-je dit juste de laisser aller ? D'accord. Faisons-le une fois de plus.

Prenez une profonde respiration. Prenez une profonde respiration...

Celle-ci... profonde respiration... « Adamus. » « Adamus. » (quelqu'un dit « Oh ! ») Comment ?! « Adamus. »

Prenez une profonde respiration... (beaucoup de fous rires)

« Adamus. » Testez-le. Poussez fort. Allez. Poussez fort. Pourquoi certains d'entre vous ont-ils peur de pousser fort ? Bien. D'accord, et une fois encore.

Maintenant, prenez une profonde respiration et ressentons vraiment dans celui-ci. Ressentons dans ça. Pas d'autre bruit dans la salle. J'ai besoin d'un long bâton ou quelque chose où je peux...

Prenez une profonde respiration et fermez les yeux -pour ceux qui sont testés- fermez les yeux et ressentez celui-ci. Il est important. « Votre engagement envers vous-même. » Inspirez-le. « Votre engagement envers vous-même. » Inspirez-le. D'accord, et faites-vous tester. (pause)

Intéressant. Intéressant. Bien.

Prenez une profonde respiration et donnez-vous un coup de main. (le public applaudit)

Bien. Maintenant, nous allons inverser les rôles. Vous restez avec le même partenaire, inversez les rôles. Inversez les rôles. Ouais, secouez vos mains. Je sais que c'est le plus gros exercice que vous ayez fait depuis deux mois. (rires) Prenez une gorgée d'eau si vous avez besoin. Je sais que ça a été laborieux. Je sais que vous êtes tous en transpiration. Nous pourrions ouvrir la porte du fond. Il fait un peu plus chaud avec ce travail physique. Vraiment, ouvrons cette porte au fond. Wow. Vraiment, on en arrive à la sueur, ici. On pourrait faire une vidéo -une vidéo d'exercice. Bien.

Prenez une profonde respiration. Respirez profondément.

D'accord, nous allons inverser les rôles. Maintenant, vous savez quoi faire. (le public réagit au courant d'air froid qui traverse) Whoo wee ! Whoo wee ! Nous allons inverser les rôles ici. (répondant à un commentaire inaudible). Eh bien, vous avez demandé. J'ai fait.

Alors d'accord, maintenant, pour ceux qui sont testés, je vais vous donner un mot. Vous inspirez dedans, et alors, le testeur... utilisez un peu de force, le testeur ! Utilisez un peu de force. Utilisez un peu de vraie force. Vous allez exercer une pression vers le bas.

Donc, le premier mot est « conscience humaine. » Respirez dedans, et ensuite faites-vous tester. (pause)

Intéressant. Intéressant. Intéressant.

La conscience humaine ne marche pas si bien que ça.

Faisons une autre chose intéressante. Respiration profonde, sans parler. On peut juste rire et passer la monnaie devant. (quelques rires)

Prenez une profonde respiration. Mot suivant. Maintenant, ressentez réellement celui-ci. Vraiment, ressentez celui-ci. C'en est un difficile. Eh, amusant. « Dieu. » « Dieu. » Ressentez dedans. Respirez. « Dieu. » (pause)

Wow, ou nous avons des testeurs très forts, ou nous avons réellement des énergies pas très bonnes à propos de Dieu et de la conscience de masse.

Faisons-le à nouveau. Faisons-le à nouveau. Prenez une profonde respiration. S'il vous plaît, silence. Silence. Autrement, je vais devoir vous geler dans un cristal.

Mot suivant. Pour vous, le mot suivant est « Votre corps. » « Votre biologie. » Respirez dedans. Ressentez votre corps, votre niveau de connexion et de confiance avec votre propre corps, et testez. Et testez. Où en êtes-vous avec votre corps ? (pause)

Intéressant. Bien. Bon. Suivant.

Respiration profonde. Respiration profonde.

D'accord, suivant. Tenez-vous prêt. Tenez-vous prêt à être testé sur « Votre équilibre mental. » (quelques rires)

Prenez une profonde respiration et testez. Et testez. (plus de rires)

Je n'ai pas dit de vous retourner. J'ai dit de tester. (rire de Linda)

A l'évidence, quelque chose s'est mal passé avec ça, évidemment, parce que vous êtes supposés opposer de la résistance. Essayons à nouveau. (rires)

« Équilibre mental. » Donc...

Essayons à nouveau. « Équilibre mental. » « Equilibre mental. »  « Votre équilibre mental. » « Votre enracinement. » « Votre assurance et votre calme avec vous-même. » Et testez. Testez. (pause)

D'accord. D'accord. J'ai des marqueurs -des marqueurs angéliques- tout autour de la salle. Woo ! Ils rient de bon cœur.

Et encore un. Un encore -le sérieux, l'important... (quelqu'un dit « Adamus ?») (rires) Oui. L'important est -tenez-vous prêt et tendez les mains- « Votre engagement envers vous-même. » « Votre engagement envers vous-même. » Testez. (pause)

« Votre engagement pour vous-même. »

Intéressant. Vous pouvez vous asseoir. Merci pour votre participation. On ne s'ennuie jamais au Crimson Circle. Tenez-vous prête avec le microphone.

Linda : Je suis prête.

Adamus : Et vous pouvez choisir nos volontaires.

Linda : Des volontaires, d'accord.

Adamus : Donc, qu'avez-vous appris ? Qu'avez-vous appris ? Linda va choisir des volontaires. Qu'avez-vous appris ?

Linda : Oh ! Vous pouvez le faire ! Allez !

Shaumbra : Oh non, je ne peux suivre ces actes.

Kerri : Cesser de vous cacher.

Linda : Allez. Vous vous cachez. Vous êtes belle. Vous pouvez le faire.

Adamus : Qu'avez-vous appris ? Simple. Prenez une profonde respiration.

Shaumbra 1 : Peut-être que je ne suis pas en aussi mauvaise forme que je pensais.

Linda : Ouais

Adamus : Ah ! Ah ! Bien, bien, bien. Quel était le mieux que vous avez fait ? Quel était le...

Shaumbra 1 : Vraiment, je me sentais plutôt forte …

Adamus : Oui ?

Shaumbra 1 : Ouais.

Adamus : Et quel était le pire mot, ou énergie ? Avec lequel avez-vous eu le plus de mal ?

Linda : Adamus. (rires)

Shaumbra 1 : Je ne sais pas. Lequel était le plus faible ? (demandant à sa partenaire) « L'équilibre mental ? » D'accord.

Adamus : « L'équilibre mental. » Bien. Quelques autres, Linda.

Linda : D'accord, c'est parti.

Adamus : Quelques autres. Ouais. Qu'avez-vous appris ?

Holly : Je peux choisir mes propres priorités.

Adamus : Oui. Bien. Bien. Dans quel domaine vous êtes-vous sentie la plus faible ?

Holly : Oh, « Dieu. »

Adamus : « Dieu. » Ouais. Oh, « Dieu. »

Holly : Sans question.

Adamus : Absolument. Absolument, et ça pourrait probablement l'être. Dieu n'est pas réel. Dieu n'existe pas. Dieu est -désolé- Dieu est un concept humain. Il l'est vraiment. Dieu, Allah, et tous les autres -des concepts humains de contrôle, des concepts humains de faux-espoir, des concepts humains de quelque chose à l'extérieur de vous-mêmes. Je hais Dieu. Je le hais. Ouais. (quelqu'un dit « Nous sommes tous Dieu. »)

Adamus : Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Il y a une chose importante.

Linda : Oh, a-t-elle besoin d'un micro ?

Adamus : Pas encore. Pas pendant que je fais le point, parce qu'autrement, je ne vais jamais y arriver. (rires) Non, ça signifie...

Linda : Ohhhhh !

Adamus : Non, autrement...

Linda : Ohhhhh ! (le public hue)

Adamus : Ce n'est pas le Rocky Horror Picture Show. (rires)

Linda : Presque !

Adamus : Autrement, je vais devenir verbeux, je n'en viendrai jamais au fait. Excellent. Excellent. Vous êtes Dieu, mais il y a « Dieu, » le Dieu de la conscience de masse -et vous savez tous que celui-ci- le vieux aux cheveux blancs, avec une barbe, au ciel ; n'a pas la moindre idée ; doit envoyer son fils ici-bas. Regardez ce qui est arrivé à son fils. Donc, Dieu n'est pas si intelligent. Vous êtes Dieu. (quelqu'un rit) Il ne l'est pas ! Je veux dire, c'est vraiment une mission qui a échoué. Il n'y en a que deux qui rient.

Linda : C'est le Carême. Ce n'est pas si drôle. (plus de rires)

Adamus : Non, c'est drôle ! Dieu est drôle ! Dieu est... à supposer que Dieu soit un concept créé par l'homme, et en fait, il est à cent pour cent créé par l'homme. Créé par l'homme. C'est un vieux concept, et c'est un genre qui a fonctionné pendant longtemps. Je pense qu'il arrive à la fin de son cycle, achèvement.

Mais quand on y pense... quand on vous a enseigné quand vous étiez enfant « Dieu est là-bas, quelque part, à regarder tout ce que vous faites, » maintenant, c'est un mofo ! Avoir quelqu'un qui vous épie... Pensez-vous, si Dieu vous aime, qu'il va vous épier et regarder les choses que vous avez faites ? Oh mon dieu ! (quelqu'un dit « Oh mon dieu! ») (quelques rires) Pour aggraver les choses, l'énergie archétypale de Dieu a été créée par des religieuses qui avaient des tas de problèmes, et des prêtres qui n'avaient pas une sexualité normale. Donc... (quelqu'un dit « Oh ! ») C'était ! C'est de là qu'est venu Dieu ! Et alors, des gens écrivent ces livres et disent qu'ils sont sacrés. Maintenant, je pourrais écrire un livre et dire qu'il est sacré. Eh bien, en fait, je l'ai fait. Quelqu'un est-il intéressé ? Non. (il rit) Quelques-uns.

Les gens s’entretuent en ce moment dans votre monde, à cause d'un livre stupide. Ils devraient tous être incinérés. Je n'ai pas dit brûlés, j'ai dit incinérés. Eux tous ! Et recommencer. Recommencer. Le concept de...

Linda : Les livres, ou les gens ?

Adamus : Vous choisissez. Le concept de Dieu, Édith. Le concept de... oui, je parle avec vous, ma chère. Le concept de Dieu est vieux, il est vicié, grincheux et c'est physique. Et quand vous avez testé « Dieu », ça ne le fait pas très bien. Ça ne le fait pas, pas du tout, parce que ça ne s'applique plus. Il y a un nouveau concept, si vous l'appelez l'Esprit, l’Éternel. Appelons-le autrement que Dieu, parce que c'est tellement usé et si vieux.

Il est le Tout Qui Est, Tout Qui Était. Il est... (quelqu'un dit « intelligence ») Intelligence -je ne sais pas si je vais utiliser ce mot, parce que vous l'associez avec le mental. Mais, quel qu'il soit, il est la Source. Il l'est vraiment, et vous êtes venus de là. On vous a doté de la Source avec vous, avec votre identité, et on vous a fait le don de sortir et de jouer sans aucune règle, sans abandon, sans aucune punition, jamais (un des enfants bâille ; rires, Adamus glousse) Maintenant, c'était plutôt gênant. (rires) Mais amusant ! Mais amusant ! Même moi, je ne peux prédire ces choses.

Tout ça, en fait, est relié à la discussion d'aujourd'hui. Quand vous comprenez que... mettez Dieu dehors. Et vraiment, le monde est coincé dans Dieu, en ce moment, dans ces religions qui le maintiennent dedans. Est-ce que j'aime les religions ? Non. Non. Est-ce que j'aime ce qu'on appelle la spiritualité ou l'être ? Oui. Et je ne sais pas quel mot vous mettez dessus, le soi incarné sur Terre. Le soi incarné. Oui, absolument.

Mais ces religions, ils s'entretuent. Les guerres sont religieuses.

Ça vient au point où c'est trop -et Cauldre essaye de revenir, mais je le rejette- même les systèmes financiers, la circulation de l'argent de cette planète sont en train d'être infiltrés par les forces religieuses. Ce sont d'ailleurs probablement des gens bien intentionnés qui sont devenus très fascinés, très bien-pensants, très soumis à quelque chose qui n'existe pas en dehors des autres humains qui manipulent toute cette énergie de Dieu.

Je suis ici parce que je veux que le Dieu véritable se lève et soit ici. (le public se lève rapidement) Ah ! Oui ! (applaudissements ; Adamus est très heureux) Je devrais arrêter dès maintenant. Je devrais partir dès maintenant. Merci. C'était le plus beau cadeau que j'ai jamais reçu.

Linda : Pourriez-vous mentionner pour ceux qui écoutent en...

Adamus : … en des centaines d'années.

Linda : … pour ceux qui écoutent. Des tas de gens ne  pouvaient pas voir ça.

Adamus : Eh bien, pour ceux qui écoutent -tout le monde s'est levé, comme l'ont fait ceux qui écoutent. Donc, merci. C'est le meilleur cadeau que j'ai reçu en des centaines d'années.

Ainsi, chers Shaumbra, je ne vais pas louvoyer aujourd’hui, j'en viens au fait, dans mon propre style étrange, bien sûr. Oui, oui. J'adore vos bijoux aujourd'hui, Aandrah.

Aandrah : Je vous remercie.

Adamus : Pouvons-nous avoir une photo de ça ? Cela vous dérangerait-il de vous mettre debout ?

Aandrah : Vous savez combien j'aime mes bijoux.

Adamus : Absolument.

Aandrah : Merci.

Adamus : Magnifique.

Aandrah : Merci.

Adamus : Oui, bien. Bien.

Aandrah : Oui, les bagues aussi.

Adamus : Les bagues. Oh la vache. Et vous êtes habillé si élégant et plein d'assurance (à Garrett) Voulez-vous vous lever, ici ?

Garrett : J'ai eu la note de service.

Adamus : Vous êtes... regardez-le ! (rires et quelques applaudissements) Regardez... (ils portent les mêmes couleurs) Si élégant... Qui est votre tailleur ? (Adamus glousse ; le public applaudit) GQ !

J'aime travailler avec ce groupe -je suis si heureux de ne pas avoir pris cet autre groupe. Ouais, parler du tube ! Woo ! (quelques rires)- parce que nous pouvons plaisanter tout le long, et je sais que quelques-uns d'entre vous vont dire « Je pensais que c'était spirituel. » Absolument ! Vous savez pourquoi ? Une petite distraction -nous pouvons en rire, nous pouvons partager- ce que vous faites, c'est juste de laisser les énergies se déplacer pour vous. Pas tous pris dans votre vie quotidienne. Vous êtes juste ici -vous êtes en ligne, vous écoutez- nous rions, tout simplement.

L'ascension est une chose naturelle.

Garrett : C'est une colique spirituelle.

Adamus : Une colique spirituelle ! (rires) Oui ! Ouais. Quoi qu'il en soit, nous n'allons pas faire de démonstration aujourd'hui ! Nous avons fait des choses étranges dans les Écoles des Mystères, mais...

Non, pendant que nous sommes ici, assis à rire, à plaisanter, à faire le test, et tout le reste, ce qui se passe vraiment, c'est que vous prenez une profonde respiration, vous vous expansez dans une sagesse-mofo. Vous vous expansez, juste en le laissant se produire. Nous nous réunissons une fois par mois pour faire un peu de nettoyage, de rajeunissement, d'expansion, parce que c'est difficile là-bas. C'est très, très difficile, là-bas. Donc nous nous réunissons tous ensemble, comme ça, pour partager quelques plaisanteries. (quelqu'un dit « Validation ») Validation.

Prenons une profonde respiration... une bonne respiration profonde, tous ensembles.

Les Distractions

Maintenant, en parlant de distractions. Les distractions -c'est mon gros point aujourd'hui. Bien, mon second point important. Le truc dont je voulais vous parler, c'était au sujet de vos distractions, et c'est la chose la plus importante qui se met en travers, en ce moment.

Vous êtes ici, dans cet incroyable voyage spirituel, je veux dire que c'est extraordinaire, si vous pouviez le voir comme je le vois. Ça l'est vraiment. Vous vous laissez prendre par des détails, mais c'est fascinant de voir comment ça marche, fascinant de voir comment vous amenez de nouveaux niveaux de vous dans cette réalité. Mais vous êtes distraits.

Et je suis stupéfait. En fait, c'est la partie qui m'étonne vraiment. Vous êtes si près. Vous avez -vous- avez choisi celle-ci comme étant la vie, comme étant la vie de l'intégration. C'est tout ce que vous vouliez. C'était tout ce dont vous vous souciiez. C'était la raison pour laquelle vous êtes venus ici -pour faire en sorte que ça se passe. En fait, vous n'aviez rien à faire pour que ça se produise, et vous le saviez avant d'arriver ici. Vous avez dit « Je vais juste descendre ici et le laisser se produire. »

Mais alors, vous êtes devenu distraits. Pas vous (Lulu), mais vous -vous tous. Vous vous laissez distraire par des trucs ; vous oubliez ce qu'était la passion, c'est la raison pour laquelle vous êtes ici, Joe, pour l'intégration. Vous vous laissez prendre dans les choses humaines. Et, oui, je comprends. Je veux dire que je comprends que c'est facile que ça arrive à vous tous, mais vous devenez... (le vent siffle à nouveau, il s'arrête et regarde autour) C'était vous, Larry ? (rires)

Vous vous laissez prendre par des distractions. Quelles sont-elles ? Eh bien, il y a votre travail. Il y a... vous vous inquiétez de votre santé, et alors que vous vous inquiétez de votre santé, vous allez avoir des problèmes de santé. (il attrape le brownie de quelqu'un, en prend une bouchée, fait une grimace et jette le reste sur le plancher ; rires) Vous vous laissez tous prendre dans les trucs. Vous vous laissez rattraper par les affaires de familles, les trucs du travail. Vous vous laissez prendre par les affaires du monde. Vous vous inquiétez à propos du monde. Pourquoi ? Comme si votre inquiétude allait régler le problème ? Ou juste s'ajouter au problème ?

Inquiétez-vous de ce que vous devriez faire. C'est aussi simple qu'un « remplissez-les-cases », tellement simple. Quand vous dites « Que devrais-je faire ? » Il suffit d'en profiter. C'est tout. C'est tout. Vous n'avez pas à faire quoi que ce soit d'important, comme par exemple démarrer une affaire et devenir multimilliardaire. Ça n'a pas d'importance. Pas d'importance.

Vous vous laissez distraire par votre voiture qui tombe en panne. Alors quoi ? Marchez. (Adamus glousse) Je l'ai fait. Je n'avais pas de voiture. J'ai eu des chevaux. Prenez un cheval !

Vous vous laissez distraire par les soucis d'argent, l'abondance -problème Shaumbra numéro un, l'abondance- et ensuite, vous dites que vous ne pouvez rien faire parce que vous n'avez pas d'argent. Eh bien, mon garçon, vous êtes un prophète ou quoi ?! (rires) Et ça va simplement continuer de cette façon. Vous n'allez pas avoir d'argent et vous n'allez rien faire. Wow, assez incroyable.

Vous vous laissez distraire par, hein, je vais l'appeler la philosophie. Vous savez, tout ce... oh Cauldre, j'ai vraiment besoin de l'enfermer dans cette pièce. (quelques rires)

Vous vous laissez distraire par des gourous. Vous vous laissez distraire par des cours, et vous savez, les dernières choses dans lesquelles vous êtes. Et si ce n'est pas de l'or blanc, c'est une sorte de cristal. Vous savez, il s'agit en fait d'un nouveau cristal qui vient d'Afrique, découvert sur la côte ouest, et il peut guérir votre corps du cancer. Et il m'arrive d'en avoir à vendre, par la suite. S'il vous plaît, s'il vous plaît ! Il y a une seule chose qui peut vous soigner. Moi. (rires) Vous ! Vous, vous, vous. Salut, chérie. Oh, vous avez l'air tellement inquiet. (il embrasse Linda)

Il y a une seule chose qui peut vous soigner, et c'est vous. C'est vous, mais vous ne le croyez pas. Vous ne le croyez pas. Désolé.

Édith : Nous le croyons.

Adamus : Je parle en général. De manière éditoriale. Je parle pour ceux qui ne sont pas aussi sages. Mais, ma chère, il y en a beaucoup qui sont coincés.

Linda : A-t-elle besoin du micro ?

Édith : Non !

Adamus : Non, non, non. (rires) Où en étais-je, Édith ?

Édith : J'ai oublié. Les cristaux.

Adamus : Oh, les cristaux ! J'ai des cristaux à vendre.

Ainsi, les distractions, vous êtes distraits par la chose suivante, par la vague suivante, par le prochain gourou, par le prochain livre, par le prochain channel. Je m'en vais. Je le fais vraiment, dans la joie, bien sûr. Pourquoi demandez-vous quand ? Assez tôt. Ouais. (rires de Linda) C'est pourquoi ils m'ont appelé... (rires) Bien ! Non, je ne suis pas voyant. Je regarde tout simplement dans le tube. « Quand va-t-il s'en aller ? » Eh bien, dans 45 minutes exactement. Mais ensuite, je vais revenir, pour un moment. C'est pourquoi ils m'appellent Comte de Saint-Germain -pour compter au moment où je partirais. (Adamus rit) Je pensais que c'était drôle. (rires)

Pourriez-vous -le groupe technique- pourriez-vous me faire un appareil à rire, à l'avenir ?

Linda : Non ! Non ! Vous n'avez qu'à être drôle par vous-même. (beaucoup de rires)

Adamus : Oh ! (rires) Oh, maintenant, elle prend la parole ! Elle ne doit pas... (un dessin animé hilarant est flashé sur l'écran ; beaucoup de rires)

Distillation

Adamus : Un instant. Je vais ouvrir une parenthèse juste un instant. (l'appareil à rire joue à nouveau)

Linda : Ne refaites jamais ça.

Adamus : Distillons ça ici. Nous avons eu beaucoup de rires -un bon rire, un bon courant, aujourd'hui- et nous n’avons pas fini.

Distillons-le. Qu'est-ce que ça signifie ?  Ressentez-le dans son essence. Le rire dans cette salle, la joie dans votre cœur, un peu de soulagement de la vie quotidienne, un peu de fusion de votre corps et de votre mental.

Distillons-le tout de suite. Qu'est-ce que ça signifie ? Ça veut dire de le prendre en dehors d'un concept mental. Ressentez-le dans son essence. Respirez-le. C'est le vôtre. C'est le vôtre. Le vôtre et celui de votre âme. Ce ne sont pas les mots qui ont été dits. Ce n'est pas l'heure qu'il est. C'est la distillation de cette sagesse.

La sagesse est remplie de joie, de simplicité, de libération -la libération d'être qui vous êtes vraiment. Vous le distillez jusqu'à l'essence.

Je vais vous peindre un tableau. Ainsi, nous sommes assis là, et j'espère que tout le monde, ici en ligne, passe un moment formidable, profitant de la nourriture, de la compagnie, de certains mots. Que se passe-t-il avec votre âme en ce moment ? Ressentez-le pendant un instant. Pas de mots. (pause)

N'est-ce pas l'invitation de l'âme ? N'est-ce pas l'intégration ? (pause)

L'âme et l'humain ont (ils sont les mêmes) mais ils ont été séparés pendant une longue période, à dessein. C'était une idée géniale. C'était une idée géniale, mais le plan pour se retrouver ensemble n'a pas aussi bien fonctionné. (quelques rires) C'était drôle ! Ouais ! Oui. Vous pouvez utiliser celui-là n'importe quand. (à Garrett)

Bien, et ça ne devait pas l'être, parce que quand l'âme s'est faite -s'est refaite- et a donné une partie d'elle-même pour l'expérience humaine, elle ne s'est pas inquiétée de savoir comment ça allait se passer pour se retrouver ensemble. Elle s'est inquiétée de quelle façon elle allait vous -et se- faire descendre ici-bas. C'est ce qui a demandé beaucoup d'efforts. Mais elle savait que vous vous retrouveriez ensemble.

Et c'est ce qui se passe en ce moment. C'est toute cette vie -se retrouver ensemble- sans penser à votre chemin. En riant de votre chemin. Sans vous mettre à quatre pattes. Je veux dire, vraiment. Changez de place un instant. Laissez l'aspect humain s’en aller, et l'âme entrer.

« Âme, est-ce que c'est beau ? » (Adamus s'agenouille avec les mains jointes comme dans une prière) Est-ce que c'est beau d'avoir cette petite partie humaine de soi, à quatre pattes, une métaphore pour la lutte ? Non ! Ce n'est pas ce que l'âme veut. (il se lève)

L'âme veut « Je t'attends ! allez, entre ! Moi, l'humain, j'ai appris, en quelque sorte, à rouler ma bosse sur cette planète. J'ai appris comment manger et dormir et, » bien, vous remplissez le reste des blancs, mais « J'ai compris, en quelque sorte. Je ne te rendrai jamais parfaite, et je ne le veux pas, chère âme. Je ne veux pas te perfectionner. Je veux juste être à l'aise avec toi. Alors, descends. C'est sûr, maintenant. Tu peux entrer. Nous allons passer un moment extraordinaire ensemble. On va passer un moment génial ensemble. »

C'est ce qui se passe en ce moment.

Shaumbra 2 : De quoi l'âme a-t-elle peur ?

Adamus : De quoi l'âme a-t-elle peur ? Bien, c'est un cours pour lequel vous devrez payer. (beaucoup de rires du public et d'Adamus) Vous savez, je ne vais pas aller plus loin. Un peu comme une prostituée spirituelle, vous voyez. Vous devez payer pour les trucs vraiment bien. Mais je vais le faire, je vais vous dire le secret.

En fait, l'âme est plus réticente que l'être humain. L'humain -vous- a voulu cette connexion, vous avez prié pour elle, d'une manière faussée. Vous savez, en priant certains autres dieux. Ne mettez jamais aucun Dieu avant vous, parce que vous êtes ce Dieu.

Donc, l'être humain a été ici-bas, vous avez été ici-bas, en disant finalement « Hé, il est temps ! Il était temps ! »  Ça a continué pendant quelques milliers d'années, un grand nombre de vies. » « Bonjour, il est temps. » Une petite réticence de votre part... (quelqu'un dit « Une petite ? ») (Adamus rit) Ah ! Mais écoutez-moi jusqu'au bout. La vraie réticence venait de l'âme. La vraie réticence venait de l'âme.

Elle a été -parfois, je n'aime pas tellement les mots humains- mais l'âme a été en sommeil, vraiment pas vous. L'âme a été dans un regard intérieur, dans un voyage intérieur, pendant une longue période. Vous êtes l'expression extérieure de l'âme. Vous êtes la partie à laquelle l'âme a dit « Viens sur Terre ou va dans les royaumes angéliques. » L'âme est allée à l'intérieur, en elle-même.

Cela requérait à la fois l'intérieur et l'extérieur pour la véritable compréhension du Je Suis. Cela requérait que cette âme, entrant dans ce profond sommeil et disant, d'une certaine manière -cela n'est pas littéral, mais d'une certaine manière, disant « Et un jour, je me réveillerai lorsque mes expériences seront prêtes pour moi. »

Mais l'âme, dans ce profond sommeil, a une réticence à  entrer, pas sûre si vous êtes prêt, pas sûre si c'est l'endroit pour le faire. Elle a besoin que l'expression humaine d'elle-même lui dise « C'est en sécurité ici. Je t'invite ici. Je te veux ici. Je suis prêt, chère âme. Pas dans la prochaine vie, mais maintenant. »

Votre responsabilité -votre véritable responsabilité- est de laisser aller la façon dont vous avez défini l'âme, la religion, Dieu ; laisser aller la façon dont vous avez défini votre propre identité, parce que ça va changer au moment où vous allez respirer dans votre âme véritable. Ça va changer.

Disons donc que vous invitez l'âme à entrer, et qu'elle oublie sa réticence. Ah ! Quel grand titre de livre - « L'âme réticente. » Ouais. Elle se réveille. Elle est sonnée. Vous savez, comme vous êtes le matin lorsque vous vous réveillez ? Oh mon dieu, n'allons pas parler de ça, mais l'âme se réveille. Elle est sonnée, d'une certaine manière. Elle est dans le coaltar, d'une certaine manière. Lorsque vous commencez à l'inviter à entrer, ça l'aide à se concentrer. Ça aide l'âme à se réveiller. Mais, quand vous avez une attente -l'attente Vieille Énergie- que lorsque vous serez illuminé, vous allez soudainement devenir voyant, ça ne se passe pas. Ou que vous allez soudainement devenir riche, ou... je suis vraiment... je n'aime pas ces histoires comme celle de Yeshua marchant sur l'eau, et changeant l'eau en vin -les miracles- parce qu'il y a une telle attente autour de ça, et les gens se battent pour ça. Et cela, mes chers amis, est une distraction -j'arrive à mon sujet- la distraction, dont je parlais justement.

Vous êtes en train d'inviter cette âme à entrer, mais ensuite, vous devenez distraits. Et l'âme, pour parler d'une façon étrange, pourrait être assise, juste à côté de vous. Mais si vous êtes distraits, même si vous avez appelé l'âme, l'invitant à entrer, et disant « Je suis prêt, ça m'est égal, je suis prêt, » mais si vous êtes terriblement distraits, cette âme pourrait être assise près de vous et vous n'allez pas la voir. Que va faire l'âme ? Ouais, dire « Eh bien, c'était plus amusant de dormir ! Ils ne me reconnaissent même pas. »

Non, ce qui se passe en physique spirituelle, c'est qu'une partie de l'âme commence à entrer, et quand une connexion ne se fait pas, d'une certaine manière, elle fait marche arrière, jusqu'à ce que l'espace soit créé à nouveau et que vous deveniez conscient.

Alors, que faites-vous ? Gardez vos yeux ouverts, métaphoriquement. Vous sortez du tube, parce que le tube représente aussi vos attentes sur ce que l'âme, Dieu et la religion sont censés être. Et ils ne le sont pas du tout.

L'âme est simplicité. Tellement simple, que vous pourriez ne pas la reconnaître, assise près de vous. L'âme est sagesse. Une sagesse tellement sage que le mental ne comprend même pas cette forme de sagesse. Le mental comprend seulement plus de faits, de chiffres, de jugements ; la sagesse, pas vraiment.

L'âme est vos potentiels. Mais, si vous êtes dans le tube, comment pourriez-vous vraiment voir vos potentiels ? Vous ne voyez que vos probabilités, et la probabilité -comme je l'ai fait remarquer dans notre précédente session*- la probabilité, pour la plupart des humains, n'est pas tellement bonne. Ils vont mourir à 70 ans, peut-être 80. Ils vont devenir malades. Ils vont un peu perdre la tête. Ils vont être cassés la plupart du temps. C'est la probabilité pour la plupart des humains. C'est vraiment triste. Vraiment, c'est plutôt triste quand vous regardez ça, et comment ils vivent dans ces probabilités. Et ils n'ont pas à le vivre, et vous n'avez pas à le vivre.

[* Se référant à  Probabilités & Potentiels”]

L'âme est toute de simplicité. Ce n'est pas un grand ange doré. Ça ne l'est pas, parce que vous avez déjà passé cet état. Vous avez déjà été cet ange duveteux, battant des ailes autour, ayant des réunions d'anges, de la crème d'anges. Vous avez déjà fait tout ça, donc vous êtes au-delà de ça. Vous n'avez donc pas besoin que vienne l'ange doré, ni n'importe quel ange. L'âme est tellement simple, et pourtant si profonde. (Adamus pousse un soupir) Je digresse vraiment aujourd'hui, mais c'est correct.

L'âme...  les mots sont tellement limitatifs, parfois, mais votre essence, vous, veut réellement savoir ce que c'est d'être aimée elle-même. Hmm. Elle le comprend à partir d'une distance venant de vous, venant de vos expériences, et de votre sagesse des temps anciens. Mais elle ne sait pas ce que c'est de le recevoir personnellement. En d'autres termes, ici même.

On pourrait donc dire qu'il y a même un peu de réticence à propos de ça. L'âme a un amour pondéré, un amour réfléchi, elle ressent l'amour que vous avez eu, que vous avez connu. Mais elle ne le connaît pas en pratique. Ça fait beaucoup. Ça fait beaucoup pour l'âme, de venir ici et d'avoir ça. Disons que c'est un peu écrasant pour l'âme.

C'est à vous, chers humains, de guider votre âme dans l'expérience de l'amour, mais comment pouvez-vous le faire si vous ne vous aimez pas ?Mmm.

Sentez pendant un instant -c'est un bon exercice- sentez pendant un moment. Vous payez des factures. Vous payez des factures et -je veux que vous sentiez la différence entre l'humain et l'âme- vous payez des factures, vous regardez votre compte en banque, vous êtes un peu angoissé. Vous vous demandez comment vous allez le faire, mais en général, vous le faites toujours de toute façon. Mais vous regardez vos relevés de compte pour voir combien vous pouvez payer ce mois-ci en espérant, espérant, espérant avoir un peu de liquidités à rentrer de sorte que vous pouvez payer. Ça, c'est l'humain.

L'âme ne pense pas, ou ne ressent pas du tout de cette façon. Elle ne s'en soucie pas vraiment. Elle s'en fiche un peu. Qu'est-ce que l'âme comprend ? Quelle est la sagesse de l'âme ?

J'ai failli vouloir ne pas le mettre en mots, mais je vais le faire. L'âme ne se soucie pas de payer des factures. L'âme ressent cette chose qu'on appelle le flux d'énergie, ce que c'est que de limiter l'énergie. L'âme ressent comment c'est d'être dans une telle densité physique. La sagesse qui vient à l'âme de par l'expérience de cette chose du quotidien que vous faites en payant des factures, la sagesse que possède l'âme vient d'une profonde compréhension qu'elle est le fabricant de l'énergie. C'est ce que fait l'âme.

Vous voyez, l'humain s'inquiète ; l'âme permet. « C'est merveilleux. C'est grandiose. »

Vous êtes au volant sur la route, conduisant sur l'autoroute, observant le trafic des autres, regardant votre niveau de carburant, votre kilométrage, vous inquiétant de temps en temps de la police, parce que vous conduisez trop vite (en regardant Linda).

Linda : Et alors ? (rires)

Adamus : (rit) C'est l'humain, et parfois c'est bien. Vous écoutez de la musique, et vous avez un moment de calme. Oh je sais, beaucoup d'entre vous parlent sur leurs téléphones mobiles, mais essayez de ne pas le faire autant.

Ainsi, c'est l'expérience humaine. Qu'est-ce que l'âme éprouve ? Quelle est la sagesse dans l'âme ? (pause)

Elle voyage. Elle voyage dans la densité. Imaginez tout simplement comment l'âme le ressent. C'est comme de manœuvrer, gérer, éprouver et voir des couleurs et des mouvements... C'est ce que le s-...

Linda : L'âme veut que j'aille plus vite. (rires)

Adamus : Non, l'âme ne veut pas que vous alliez plus vite. (rires de Linda) Ah, c'est un bon sujet. L'âme veut que vous soyez... l'âme veut plus de conscience de l'expérience. La prise de conscience de l'expérience.

Vous passez par la mort, ce que chacun d'entre vous fera un jour ou l'autre. Vous passez par la mort. L'humain s'inquiète au sujet de « Oh mon dieu, qu'est-ce qui se passe ? » Perte de l'identité. L'humain s'inquiète à propos de la douleur -de connaître la douleur. L'humain s'inquiète à propos -en fait, c'en est un de bizarre- un des plus gros soucis : un travail inachevé. « J'aurais dû faire ça. » Vous voyez combien de fois ils arrivent de l'autre côté et disent « Mais je n'ai pas nettoyé mon placard ni le réfrigérateur. Qu'en est-il de la nourriture dans le réfrigérateur ? » Pour tout dire, vraiment ? Ça va pourrir. Ça va sentir. Ça arrive quand les choses meurent. (quelques rires)

Donc, l'humain passe par toute cette inquiétude. Vous savez, ce que l'âme ressent, c'est l'évolution, les cycles, l'expansion, le fait qu'elle est éternelle et que la mort n'est rien. La mort est un clin d’œil, et ce n'est rien. La mort est en fait une naissance, et la naissance est la mort.

Donc, il y a cette dynamique intéressante, très différente, entre l'âme et l'humain. Très différente. Très différente.

Aussi, mon conseil (l’essentiel et pour avancer sur notre programme) l’essentiel de ceci : ne pensez pas comme un humain, ressentez comme votre âme. Ouais. Bon titre de livre. Et, faites ça vous-même. Je veux dire, ressentez comme votre âme, parce que vous l'êtes (votre âme). Vous l'êtes, en fait. Ressentez comme votre âme.

Qu'est-ce qui a été distillé à partir de l'expérience ? Je ne me soucie pas si c'est bon ou mauvais. Je ne m'inquiète pas si vous vous êtes bagarré avec quelqu'un ou si vous avez eu un accident de voiture. L'âme ne s’en soucie pas. Accident de voiture ? Pas une grosse affaire. Wow ! Quelle expérience, ces forces qui se réunissent ! Quelle expérience même, d'avoir peur et quelle expérience vraiment, dans cette chose étonnante ! Ce n'est rien. Les voitures peuvent être réparées. Elles peuvent l'être vraiment. (Adamus rit) Ouais.

L'expérience. Faisons celle-ci ensemble -le manque d'abondance. Tant d'entre vous y font face, tant d'entre vous se battent avec. Je ne sais pas pourquoi, parce qu'il y a beaucoup d'énergie là-bas, parce que vous êtes brillants, vous avez du talent. Vous avez juste monté ce mur.

Donc, vous avez compris ce truc de l'abondance... beaucoup d'entre vous, pas tous. Désolé Édith. Je généralise aujourd'hui. Beaucoup d'entre vous ont ce truc de l'abondance qui continue, et vous vous inquiétez à ce propos. Vous vous inquiétez « Vais-je mourir de faim ? Vais-je perdre ma maison ? Vais-je devoir voler une banque ou ces magasins ? » 7-Onze,* Merci, Cauldre. « 7-Onze ou n'importe lequel... » Je ne recommande pas ça, dit Linda. S'il vous plaît, mettez dans l'avertissement. Ne pas faire ces choses.

[* 7-Eleven est une chaîne de petits magasins de proximité, aux U.S.  Et ailleurs.]

Donc, l'abondance. Gros, gros problème. L'âme ne se soucie pas. Pas du tout. Elle est abondance, d'une étrange façon. Elle est une abondance du manque d'abondance. L'âme jette un coup d’œil - « Qu'est-ce que ça fait de me limiter, de faire semblant que je n'ai pas, alors qu'en fait, j'ai ? Qu'est-ce que ça fait de passer par ce jeu ? » Et l'âme alors, s'imbibe de la sagesse de cela. Je sais, vous pensez que ce n'est pas drôle, mais tout simplement, l'âme savoure totalement cette expérience.

L'âme demande aussi, en se demandant, « Si vous voulez l'abondance, pourquoi ne la créez-vous pas ? » Et le mental humain dit, « Je ne sais pas comment faire. C'est tellement difficile, ici-bas. » Et l'âme, de dire « Mais, vous venez de le faire! » L'âme est confondue, parce que vous pensez qu'elle ne le fait pas. Vous pensez; elle ne pense pas. Et l'âme dit « Eh bien non. Vous venez de faire en sorte, et alors ça arrive. »

Ainsi, prenons une profonde respiration, alors que nous attaquons la dernière ligne droite, arrivant à la brillante conclusion de ce qui, autrement, aurait été un jour morne. (Adamus rit)

La Chose la Plus Importante

Mon point numéro un pour vous aujourd'hui, et maintenant, je deviens sérieux. J'aurais aimé que nous ayons une petite musique de qualité aujourd'hui, mais maintenant, nous devenons sérieux.

Vous vous laissez distraire. Je ferai de mon mieux pour essayer de vous empêcher de dévier de cap. Vous vous laissez distraire par les choses du quotidien, et quelquefois, je pense que vous vous laissez distraire à dessein. Je le pense vraiment. Parfois je pense que vous fabriquez ces distractions, juste pour ne pas avoir à affronter les problèmes plus vastes -le plus gros problème, de vous aimer vous-même.

Donc, vous créez toutes les distractions. Vous savez, quand vous n'avez pas vraiment envie de faire quelque chose, vous faites tout le reste, en quelque sorte. C'est là que vont certains d'entre vous.

Je vous ferai revenir des distractions, je l'espère. Mais, pour aller de l'avant avec ce bon navire Shaumbra (quelques rires),  pour aller de l'avant sur ce délicieux, parfois...

Linda : Cessez de vous moquer de lui !

Adamus : … intéressant chemin mofo ensemble, ça va exiger que vous preniez un engagement. Ça va exiger que vous preniez un engagement envers vous-même -une exigence- parce que sinon, ça ne va pas fonctionner... (Adamus fait semblant de bâiller)  Vous savez, quand vous vous détendez, vous bâillez. Ouais, c'est ça. (Adamus rit) Cauldre dit « Quand vous devenez ennuyeux, ils bâillent, St-Germain. »

C'est à propos de prendre un engagement envers vous-même. Si vous êtes ici aujourd'hui, si vous écoutez en ligne ou si vous écoutez ceci plus tard, si vous regardez, si vous vous grattez la tête en vous demandant ce qui se passe ici, afin d'aller de l'avant, il vous faut prendre un engagement envers vous-même. Sinon, ça va devenir très difficile. Sinon, vous allez mal dormir... oh c'est déjà le cas. Vous allez faire d'horribles rêves... oh, ça aussi. Vous allez franchement vous prendre trop au sérieux.

Maintenant, quand je dis, prenez un engagement envers vous-même, je ne dis pas de devenir névrotique, égocentrique ou complaisant avec vous-même. Ce sont des choses de l'identité humaine d'être obsédé par soi-même. Je parle d'un engagement envers vous-même, un engagement pour vous, et « vous » inclut votre âme. (Il remarque le sol sous ses pas) « Vous » inclut votre plancher qui grince, ici. « Vous » inclut votre âme, un engagement envers vous.

Qu'est-ce que je veux dire par là ? Eh bien, vous avez compris l'âme, vous avez compris votre soi -vous avez compris votre soi- venant de son cocon spirituel. Vous avez compris votre retour. C'est comme le plus grand invité que vous ayez jamais eu. Vous avez compris tout ce qui arrive, mais il y a un manque d'engagement envers vous-même. Souvenez-vous quand nous avons fait ce test, vos bras auraient dû se lever. Vous auriez pu soulever l'autre personne du plancher avec votre enthousiasme, votre engagement pour votre -ouais, çà aurait été quelque chose- votre engagement pour vous-même.

Qu'est-ce que je veux dire par engagement envers vous-même ? Ça signifie de prendre du temps pour vous plutôt que pour tout le reste. C'est une distraction, quand vous êtes pris dans les trucs de tout le monde, à soigner et raccommoder tout le reste du monde. Vous vous sentez coupable en le faisant, mais afin d'aller de l'avant avec ce groupe, avec moi, vous allez devoir prendre un engagement envers vous-même.

L'engagement envers vous-même, c'est de prendre ce moment-là, de vous aimer, de vous donner les choses dont vous avez besoin. Et combien d'entre vous- je ne vais même pas regarder, je vais garder les yeux fermés- combien d'entre vous ne vous offrirez pas le cadeau ?

Le cadeau de quoi ? Le cadeau de l'abondance. Le cadeau de l'amour venant de vous. Le cadeau de l'amour venant des autres. Le cadeau d'une biologie en bonne santé. Le cadeau de ce que vous voulez créer. C'est vous donner à vous-même -vous autoriser- ce cadeau. Vous engager envers vous-même. Et la résistance est ici-même. Je peux la sentir dans la salle -sqk, sqk- résistance, parce que vous vous dites « Eh bien, je ne suis pas censé faire ça. Je peux me donner seulement un peu. N'est-ce pas un peu tordu ? A vrai dire, n'est-ce pas un peu bizarre de s'aimer soi-même ? » Ou « N'ai-je pas la responsabilité de tout le reste ? Ou... » Toutes les distractions auxquelles vous pouvez penser pour ne pas vous engager envers vous-même.

Mais, pour aller de l'avant à partir d'ici, vous allez devoir le faire. Sinon, croyez-moi, vous abandonnerez ce groupe avec une excuse bizarre. Vous n'avez pas aimé quelque chose que j'ai dit. Hein. Ce... 

Sart : Je n'ai jamais aimé.

Adamus : Vous n'avez jamais aimé ! (Adamus rit) Mais voyez, vous n'avez jamais utilisé ça comme une excuse, et c'est la différence. Ou une certaine excuse étrange, mais cela va requérir un profond, profond, profond engagement envers vous-même.

Et dans le courant du mois prochain, je veux que vous ressentiez vraiment ce qu'est cet engagement. Qu'est-ce que je veux dire par « engagement envers vous-même ? » Quels vont être les défis ? Eh bien, je peux vous dire ça tout de suite. C'est en rapport avec la religion, le concept de Dieu et tous ces trucs qui ont été implantés en vous, hypnotisés en vous, qui font que vous n'êtes pas censés prendre soin de vous.

C'était un des trucs les plus pervers de tous, je pense. Et je sais que j'ai tendance à irriter quelques personnes, à dessein, mais c'était pervers, de dire à la conscience humaine -de dire aux humains, en les faisant mourir de peur- que vous ne pouvez pas vous aimer ; en le faisant sembler bizarre, égoïste, et ça a été perpétué. Ça a été perpétué. Vos parents qui auraient pu vous dire ça, ou vos enseignants, répétaient juste ce qu'ils avaient entendu, ce qu'ils avaient entendu, ce qu'ils avaient entendu.

Quand vous prenez un engagement envers vous-même, ce n'est pas égoïste. C'est important. C'est aimer. C'est être attentionné. C'est la chose qui va vous faire accéder à votre plus grande passion -être ici pour l'intégration. Comment l'âme, assise ici, pourrait-elle intégrer, être avec vous, dans votre vie ? Elle n'est pas là pour vous sauver. Sortez de ce concept. L'âme ne sauve pas. L'âme aime l'expérience. Elle ne sauve pas. Il n'y a pas d'autre sauvetage que l'engagement envers vous-même.

L'âme ne va pas résoudre vos problèmes, mais une chose amusante se passe. Dans l'intégration, vous réalisez soudain qu'il n'y a pas de problèmes. Ce que vous vouliez réparer ou changer est réparé ou changé.

Vous allez aussi vous rendre compte, éloignez vos mains des autres personnes. C'était très drôle, en fait. (quelques rires) Ce que je veux dire par là -vous vous connectez, vous  liez votre vie, votre voyage, dans la vie de tous les autres. Et n'avez-vous pas... vous avez appris. Je sais que beaucoup d'entre vous avez appris, ce truc ancien de sorcellerie, de magie noire -tant d'entre vous ont été là-dedans- vous avez appris comment fonctionne l'énergie et puis, vous posez les mains sur d'autres personnes. (le vent siffle à nouveau ; rires et quelques applaudissements) (quelqu'un dit « juste au bon moment. ») Au bon moment. Vous ne réalisez pas combien c'est difficile à faire. (quelques rires) Vous devez connaître des gens, des anges, pour arriver à ce que ce soit fait.

Ainsi, chers Shaumbra, l'engagement envers vous-même.

Une expérience avec votre Âme

Maintenant, je pourrais avoir une courte expérience. Il ne nous reste que quelques minutes dans notre réunion, ici aujourd'hui, dont le titre, au fait, est « Engagement envers vous-même. » Aussi, n'appelez pas Cauldre, dans la matinée, pour lui demander comment il veut l'intituler. Après, il n'est jamais vraiment là dans la matinée. Je ne peux imaginer que vous lui demandiez quel va être le titre. Donc, ce Shoud est « Engagement envers vous-même. »

Maintenant, c'est quelque chose que nous allons travailler ensemble pendant tout le mois, tout le mois, vous et moi, engagement envers vous-même. Ainsi, vous allez avoir des expériences avec ce que c'est de s'engager pour vous. Pour vous.

A propos, vous êtes votre âme. Quand je regarde dans vos yeux, vous êtes votre âme. Mais je vois des couches. Je vois la couche humaine et je vois la couche de l'âme. Et si je pouvais tout simplement arriver à les faire se voir l'une l'autre, et si je pouvais arriver à faire qu'elles cessent de faire semblant que l'une vit au loin, dans l'espace extra-atmosphérique et l'autre ici-bas, vraiment, dans le -quel était le mot que vous avez utilisé?- pays mofo. Elles sont empaquetées ensemble. C'est un deux-pour-un. C'est un Cracker Jack.*  Il y a le prix à l'intérieur. Ce n'est pas quelque part ailleurs. Ainsi, l'âme est ici même.

[* “Cracker Jack”  est un casse-croûte au maïs soufflé, qui est livré avec un petit prix à l'intérieur de la boite.]

Faisons quelque chose, alors que nous commençons notre mois d'engagement envers vous-même. Prêt ?

Prenez une profonde respiration. (le public dit « Ouais. ») D'accord, une expérience.

Maintenant, je vais demander à M. Kuderka -docteur, professeur, l'estimé M. Kuderka- de jouer la musique dans un moment, la musique qui a été jouée avant de rentrer dans cette session, dans le Shoud, tout de suite après qu'Aandrah ait fait la respiration.

Je vais vous demander de ressentir à partir d'elle -en premier depuis la perspective humaine, puis celle de l'âme. La première partie du -il y a essentiellement deux parties de chant- la première partie du chant, imaginez votre âme assise là, tout près de vous, ou déjà à l'intérieur de vous, qui chante pour vous. Écoutez les paroles.

Ensuite, il y a un petit interlude musical. Alors, quand le chant reprend, vous chantez pour l'âme -pour l'âme réticente, mais pour la belle âme.

Et tout ce temps, pendant que la musique joue et que vous éprouvez ça, ressentez l'engagement envers vous-même, l'engagement envers votre âme, l'engagement envers votre humanité.

L'engagement pour votre humanité. L'humanité est une belle chose. Vous avez eu quelques égratignures et des bosses, elle a été traînée plusieurs fois, jetée dans le caniveau. L'âme aime ça ! « Wow, quelle expérience ! »

Maintenant, pourriez-vous imaginer, pourriez-vous imaginer maintenant, traverser tout ça, et que l'âme ait eu toute cette expérience, mais finalement, l'humain  disant « Hé, l'âme, pas plus. Pas plus, l'âme. Je suis ravi que tu aies adoré, mais merde, (rires) pas moi. L'âme, nous allons le faire autrement. Nous allons le faire autrement, et l'âme, nous allons le faire ensemble. Ta sagesse et ma beauté. » Ta beauté. (rires) « Ta simplicité, mon ingéniosité. Tes potentiels, mon charme, l'âme. J'ai beaucoup appris depuis que je suis ici-bas. J'ai beaucoup appris sur cette planète. Mettons tout ensemble, toi et moi, maintenant. »

Ainsi, avec ça, prenons une profonde respiration.

Éteignez les lumières. Cher Hunter, c'est bon de vous revoir. (Hunter, le fils de Larry, gère les lumières) Ça fait longtemps, depuis l’École des Mystères. Que vous est-il arrivé ? Avez-vous fui dans les Écoles des Mystères ? Vous vous êtes fait jeter dehors ? Eh, désolé. Ce n'était pas moi. Meilleure chance, cette fois.

Éteignez les lumières et ressentez vraiment la musique. Tout d'abord, l'âme qui chante pour vous, et ensuite, la seconde partie, vous chantez pour l'âme.

Prenez une profonde respiration, et commençons.      

[LA MUSIQUE COMMENCE – “The Shape of Us” (La Forme de Nous) by Ian Britt]

Votre âme chante pour vous...

Laissez-vous donner une sérénade...

[LA MUSIQUE CONTINUE ET LES PAROLES COMMENCENT]

Tu n'es plus seul

Nous avons trouvé un endroit pour nommer le nôtre

Il n'y a pas besoin de se tracasser ou de s'embêter

Nous avons toute la force dont nous avons besoin dans la forme de nous

Dans la forme de nous

Dans la forme de nous

Et je sais que tu l'as eu rude

Et les routes ont été accidentées et cahoteuses

Mais dis au revoir à un monde que tu as connu autrefois

J'ai toute confiance en moi et en toi

Prends ma main

Prends mon cœur

Laisses aller ta peur

Chérie, je serai toujours là

Adamus : Et ensuite, vous chantez à votre âme...

[LA MUSIQUE CONTINUE]

Je ne me suis jamais autant sentie à la maison

Ta douce caresse est la meilleure que j'aie connue

Maintenant, je t'ai prouvé que j'étais digne de ta confiance

Construisons un monde dans la forme de nous

Dans la forme de nous

Dans la forme de nous

Prends ma main

Prends mon cœur

Laisses aller tes peurs

Chérie, je serai toujours là

Chérie, je serai toujours là

Adamus : Restons assis simplement, dans le silence, dans l'obscurité, pendant un instant. (longue pause)

Respirez dans vous-mêmes. Respirez dans vous. (pause)

Un engagement envers vous-même. Pas de compromis. (pause)

Engagement envers cet être magnifique que vous êtes...

Engagement envers votre santé.

Engagement envers votre richesse...

Engagement envers votre équilibre et votre expansion... (pause)

Engagement envers votre conscience... (pause)

Engagement envers la joie dans votre vie... (pause)

Engagement envers votre âme. (pause)

Prenez une profonde respiration... (pause)

Et nous pouvons rallumer les lumières maintenant.

Chers Shaumbra, cinq parmi vous, 50 parmi vous, 10 000, debout ici -eh bien, nous aurions à trouver un endroit plus grand, mais ici- des êtres illuminés, des êtres intégrés, des êtres qui se sont totalement acceptés, engagés envers eux-mêmes et qui ont permis l'intégration, la fusion, l'amour de leur âme, ici même, sur ce plan.

Je ne vais pas être ici pour 20, 30 ou 50 ans, aussi ne pensez pas que nous allons étirer ça. Un an ou deux, voire un an ou deux de plus, mais j'ai besoin de savoir, Kuthumi a besoin de savoir, le Conseil Cramoisi a besoin de savoir, et beaucoup d'autres, prenez-vous l'engagement envers vous-même à partir de maintenant ? Plus que toute autre chose, vous avez besoin de savoir.

Prenez une profonde respiration, et souvenez-vous que tout va bien dans toute la création.

Cela a été une joie d'être ici avec vous. Jusqu'à notre prochaine réunion, je serai avec vous à  chaque étape difficile et merveilleuse de la voie de la perfection.

Merci, chers Shaumbra. Merci.

 

 

 

Traduction Solange