LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Liberté

SHOUD 5 : “Le Rêve de l'Ame” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 2 Février 2013
www.crimsoncircle.com

 


Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

 

Bienvenue à notre rassemblement. Bienvenue à la Haute Cour de l’Illumination. (Quelques rires) Ah, chacun de vous ici, la plupart d'entre vous qui écoutez, vous avez été dans les cours royales dans le passé. Ici, nous avons la Cour de l’Illumination, peuplée de rois et de reines, de ducs et de duchesses. Avec les princesses et les princes de l'illumination, de la liberté.

 

Je plaisante un peu avec le terme car vous avez tous fréquenté les Cours royales par le passé, mais je suis très sérieux. C'est un rassemblement très spécial. Chaque mois nous nous réunissons, un rassemblement d’êtres royaux, ceux qui lancent les modes et les tendances de l'illumination, ceux qui guident la conscience de l'illumination dans cette nouvelle ère. Cette Cour royale de l’Illumination dans le Royaume de la Liberté. Hm ? Ahh ! Oui. (l’assistance approuve) Alors, bienvenue. Votre Altesse. (Adamus s’adresse à Linda en riant)

 

 

Les Rêves

 

Lors de notre dernière réunion, nous avons parlé des rêves. J'ai dit que si vous aviez un rêve, une vision ou une aspiration, amenez-les ici ou laissez-les partir. Hm. Tâche ardue. Tâche ardue, parce qu’en quelque sorte c’était chaud et flou d’avoir ces rêves aux dimensions multiples et diverses. C’était agréable de les avoir là-bas où ils n'étaient pas soumis à toutes les épreuves, à tous les traumatismes et aux drames de cette réalité. Alors j'ai dit de les manifester ou de s’en débarrasser.

 

Grand gaspillage d'énergie de les avoir là-bas quelque part. Grosse déception aussi, d’une certaine façon, et cela a créé une telle division en vous, parce que vous aviez votre réalité quotidienne et puis vous aviez votre monde des rêves-rêveries. Il est temps de les réunir.

 

Si vous avez l’intention d’avoir des visions, des rêves, des aspirations, des désirs du cœur, merde alors, amenez-les ici ou laissez-les partir. Vraiment. C'est un énorme gaspillage d'énergie. Cela crée un aspect lorsque vous avez deux différents… Oh, c’est gentil. Oui, café avec crème, s'il vous plaît. Ah, oui.

 

LINDA : Avec plaisir.

 

ADAMUS : Oui, pas de sucre.

 

LINDA : Oh, pas de douceur pour vous ? Ohhh.

 

ADAMUS : Je suis assez doux comme cela.

 

LINDA : Ohhh.

 

ADAMUS : Mais dépêchez-vous, dépêchez-vous, Linda. Nous aurons besoin du micro dans un instant. Plus vite, plus vite. (Rires) Oh. Elle a l'habitude. Elle vit avec lui. (rires d’Adamus et de l’assistance)

 

Les rêves, une chose merveilleuse, mais il vous incombe, il est nécessaire que vous commenciez à les faire venir ici. Est-ce que vous réalisez combien de rêves humains sont là-bas, quelque part ailleurs ? Cela cause beaucoup d’encombrement dans les autres royaumes. Tellement de rêves, tellement de… (Linda lui apporte le café) Merci.

 

LINDA : Est-ce trop chaud pour vous ?

 

ADAMUS : Rien n'est trop chaud pour moi. (Rires) Vous parlez de vous-même ou du café, ma chère ? (Plus de rires, Adamus rit)

 

Où en étions-nous ? Les rêves. Les rêves.

 

Est-ce que vous vous rendez compte de l’encombrement énorme là-bas ? Est-ce que vous réalisez… (il déplace le lutrin de la scène) Merci. J'aurais pu le faire moi-même. (Adamus rit)

 

Est-ce que vous réalisez combien d'enfants iront se coucher ce soir avec des rêves d'une vie meilleure, une meilleure éducation, une meilleure alimentation, de meilleurs parents, un meilleur tout ? Est-ce que vous réalisez combien de personnes âgées vont aller se coucher ce soir en rêvant d’avoir eu une vie meilleure, d’avoir fait plus de choses ? Et vous réalisez qu’elle est l'une des choses les plus fréquentes que font les personnes âgées lorsqu’ils savent qu'ils commencent à faire leur transition ? Elles se disent :  — l faut que je me positionne correctement — elles se disent : « Si seulement je n'avais pas » — quoi, Jane ? — « Tant de choses dans ma vie. Si seulement… » quoi ?

 

Jane : Oh, si je ne m’étais pas fait de souci.

 

ADAMUS : Du souci ! Vous pensiez que vous étiez bien tranquille ! (Rires) Un mois seulement vient de se passer, vous pourriez donc vous inquiéter un peu plus lorsque je viens vous interroger à ce sujet. (rires d’Adamus et de l’assistance) C'est ce qu'ils ont dit. Ils disent : « Si seulement je ne m’étais pas autant inquiété ». Alors s'il vous plaît, n’ayons pas ce dialogue dans 72 ans, lorsque vous serez prête à partir. Vous voyez, j'ai fait partir l’inquiétude à l’instant même. « Oh ! Soixante-douze ans », dit-elle. « Je n'ai pas à me soucier de quoi que ce soit ». Non

 

Ils le font. Ils sont couchés dans leurs lits et ils disent : « Si seulement je n’avais pas passé tellement de temps dans ma vie à me faire du souci à propos des choses, à être limité par des choses, à écouter ce que les autres… » C'est l'une des choses les plus habituelles à laquelle ils pensent juste avant de faire leur transition. Hmm. Hmm.

 

Tellement d'humains vont aller se coucher ce soir et ils vont rêver. Ils vont rêver d'une vie meilleure, d’une meilleure compréhension d'eux-mêmes, de meilleures relations avec les autres. Ils vont rêver des choses qu'ils aimeraient vraiment faire, qu'il s'agisse d'une création, d'un projet, aider les autres, mais ils en rêvent et quand ils se réveillent le matin, ils retournent à leur routine, à leur ancienne façon de faire les choses.

 

Il est temps, avec un groupe royal très spécial d’êtres comme vous, que nous remédions à cela, que nous faisions entrer ces rêves, et c'est ce dont nous avons parlé le mois dernier. Ne faites entrer que les rêves que vous voulez vraiment, vraiment, vraiment manifester. Les autres, laissez-les partir. Ne faites entrer que les rêves que vous osez — osez… oh, c'est si bon de vous revoir ma chère. (Il parle à Edith et lui baise la main ; applaudissements de l’assistance)

 

EDITH : Merci.

 

ADAMUS : Vous avez l'air divine. Divine. Vous êtes divine.

 

Ainsi, une des choses que nous faisons en tant que cour royale… j'aime cela. J'ai aimé les cours pendant longtemps. Certains attributs étranges les concernant, bien sûr, mais il y avait un tel… ah, tellement de gaieté, d’amusement, une orientation si claire. Et vous en étiez aussi. (À Linda, elle ricane et Adamus rit) Et elle rit.

 

Donc, il s'agit de faire entrer ces rêves, ceux que vous voulez vraiment manifester, et d’être suffisamment audacieux et courageux pour vous y tenir, pour les manifester, les rendre réels.

 

Bon, cela peut sembler agréable, mais c'est un peu effrayant. Comme nous en avons parlé le mois dernier, parfois il est plus facile de garder le rêve quelque part ailleurs. Ainsi vous n’êtes jamais déçu par lui. Ainsi vous n’avez jamais à confronter votre rêve à la dureté de cette réalité. Ainsi vous pouvez toujours rêver et ne pas vraiment y faire face.

 

Alors la question se pose, pourquoi avez-vous rêvé ceci en premier lieu ? Quel qu’ait été votre rêve. Pourquoi avez-vous rêvé ceci ? Était-ce une passion venant du cœur ? Était-ce une distraction pour le mental ? Était-ce quelque chose de profond, profond dans votre âme et votre âme veut-elle avoir ce rêve, en faire l'expérience dans cette réalité ? Quel était le rêve ? D’où est-il venu ? Et se pose la question, alors, de la passion. Passion.

 

Ce n'est pas le mental qui crée la réalité. Point final. Ce ne sont pas vos pensées qui créent la réalité. Le mental sait comment manœuvrer à l’intérieur de la réalité. Il sait comment éviter certains aspects de la réalité qu'il veut. Mais le mental ne crée pas la réalité.

 

Maintenant, ces 80 à 100 dernières années, penser cela était très à la mode, mais le mot clé est « penser ». Tous ces — et certains d'entre vous y ont participé — cours sur le contrôle du mental et ces cours de création mentale, s'ils étaient si efficaces, il n'y aurait plus de cours. Tout le monde les aurait adoptés et ferait ce qu'il veut. Mais ces choses du mental, les pensées qui traversent votre mental n'ont pas de passion en elles-mêmes.

 

Ici (dans le cœur), il y a un rêve, une véritable aspiration, venant parfois de l'âme, parfois du soi, parfois du soi de l’âme, et ce rêve a la passion qui va de pair avec lui, et cette passion est ce qui amène les rêves dans la réalité. Cette passion est ce qui brise les barrières, et il y a beaucoup d'obstacles à renverser pour amener vos rêves. Cette passion est ce qui attire l'énergie et l'énergie permet alors de manifester et de rendre vos rêves réels.

 

Alors, quels sont les rêves, les aspirations, les désirs, les visions ? Quelles sont ces choses qui pourraient vous apporter tant de joie, tant de bonheur et un sentiment d'accomplissement ? Quelles sont ces choses qui pourraient renverser certaines de ces barrières. Ces barrières, oh, que ce soit vos aspects ou la conscience humaine, ce sont comme des anneaux sur des anneaux sur des anneaux qui entourent et parfois même asphyxient ces passions.

 

 

Qu’En Est-il de Vos Rêves ?

 

Nous allons parler de cela un peu plus aujourd'hui, mais je pose la question maintenant — et Linda passez le micro s'il vous plaît — depuis notre discussion le mois dernier à propos des rêves, qu'avez-vous appris ou vécu concernant vos rêves au cours du dernier mois ? S'il vous plaît Linda.

 

LINDA : Je choisis quelqu'un ?

 

ADAMUS : Des volontaires.

 

LINDA : D'accord, des volontaires.

 

ADAMUS : Qu'avez-vous appris, réalisé ou expérimenté concernant vos rêves ?

 

SCOTT : Je pense que pour moi, c’est de les amener dans la réalité et en faire mon monde à moi au lieu de passer du temps à penser aux mondes des autres parce que j'ai beaucoup de choses qui bougent en ce moment, et que je passe beaucoup de temps sur ces rêves. C'est cela qui a été le thème récurrent de ce mois-ci. Sauf que la première… juste après le dernier Shoud, la première semaine a été axée non pas sur cela, mais j’ai réfléchi aux mondes et aux réalités des autres, et les dernières semaines ont été davantage axées sur ce que je veux créer et sur la façon de le laisser s’exprimer.

 

ADAMUS : Et qu'est-ce que c'est ?

 

SCOTT : J'ai beaucoup d'idées en lien avec le contenu de mon site web. (Il rit)

 

ADAMUS : Qu'est-ce que vous allez apporter ? Qu'est-ce que vous allez laisser partir ? Une chose. Qu'est-ce que vous allez amener ?

 

SCOTT : (il s'arrête) Hm…

 

Vous avez eu un mois ! (Quelques rires) Un mois. Que voulez-vous, une vie ou deux ? Un mois. Il ne s’agit pas là de choses insignifiantes.

 

SCOTT : Eh bien, je lance mon site de Nouvelles Créatives du Colorado.

 

ADAMUS : Bien.

 

SCOTT : C'est la chose principale.

 

ADAMUS : Bien. Bien. Merci. Respirez profondément. Bon. Excellent. Excellent. Et êtes-vous prêt à l’amener de la façon dont vous savez que cela peut vraiment être fait ? (Il hoche la tête : « Oui » ) Bon. Ok, alors amenez-le.

 

Maintenant, il va y avoir quelques, mm, vous appelez cela des défis ; je les appelle amusements. (Rires) Ça va… quand les rêves entrent, ils font leur chemin dans cette réalité et ils sont poussés et bousculés par vous, par les autres, ils doivent s'adapter à cette réalité très, très différente. Mais quand la passion est là, ils gagnent de l’énergie et alors ils deviennent réels.

 

Maintenant, que se passe-t-il si le rêve devient réalité ?

 

SCOTT : J’espère que c’est le cas, parce que je travaille là-dessus depuis longtemps maintenant.

 

ADAMUS : Mais cela soulève un point, et à nouveau, quand nous entrons dans ce monde de rêve et en fait finalement dans la liberté des rêves, il y a aussi une tendance des gens à aimer travailler sur les choses plutôt que de les réaliser. Et effectivement, une fois que c’est réalisé, alors il y a souvent un sentiment d'ennui ou, pire encore, un désir de détruire ce qu'ils viennent de construire. Des petits enfants dans le bac à sable construisent des petits châteaux et ensuite créent des guerres et les détruisent. Donc, comprendre pourquoi vous voulez amener cela dans la réalité et ce qui va se passer une fois que vous l'aurez est un point très, très important. Hm. Bon. Merci.

 

Point suivant. Qu'avez-vous appris, expérimenté ou à quelle compréhension êtes-vous parvenus ce dernier mois concernant les rêves ?

 

TESS : Oh. Je pense les permettre avec aisance.

 

ADAMUS : Oui.

 

TESS : Je voulais vraiment avoir ma propre chambre pour le voyage en Egypte.

 

ADAMUS : Oui.

 

TESS : J'étais sur une liste d'attente et puis cela s’est concrétisé.

 

ADAMUS : Bien. Excellent.

 

TESS : Et j'ai eu un moment où j'ai dit : « Oh non ! L'argent ! Peut-être que je devrais avoir une chambre à deux ». Mais non, je savais depuis le début que je voulais m’honorer moi-même avec ce voyage et cette chambre, et je l'ai fait. Et il y a eu cette minute de questionnement, et c’était tout.

 

ADAMUS : Et c'est un bon point, parce que votre rê-…prenez juste un moment, vous tous. Ressentez simplement vos plus grands rêves. Pas votre chambre individuelle en Egypte…

 

TESS : Ouais, c'était…

 

ADAMUS : … mais c'est un bel exemple de tous les jours. Pas un mauvais rêve en tout cas, oui.

 

TESS : Oui, voyager pour moi.

 

ADAMUS : Oui, voyager. Bon. Prenez un moment et entrez dans votre sensation, sentez la passion dans votre rêve.

 

Maintenant, je vais ajouter une petite note ici : Votre rêve. Je n'ai pas dit votre rêve de création-de-réalité-pour-quelqu'un-d’autre. C'est là, encore une fois, que les gens tombent dans la confusion ou ont des problèmes, parce qu’à la minute où vous commencez à essayer de rêver pour les autres, vous mélangez la conscience et l'énergie. Habituellement cela ne marche pas si bien que cela. Mais c'est une chose très difficile. Il y a une telle envie de dire : « Oui, mais moi, vous savez, je veux que mes enfants et ma famille soient heureux ». Oubliez cela. En vérité, ce n'est pas votre affaire. Cela va être un rêve très frustrant.

 

Alors, arrêtez-vous un instant. Votre rêve, pour vous. Ressentez la passion pendant un instant.

 

(Pause)

 

Et ensuite imaginez qu'il commence à se rapprocher de plus en plus, ce qu’il fait.

 

(Pause)

 

Il commence à entrer dans votre réalité. Il se passe une drôle de chose. D'abord, quand il commence à entrer et à devenir de plus en plus proche cela semble très bien, et puis tout à coup, quand vous réalisez que cela pourrait arriver, alors la peur et les attaques de panique. Ensuite, c'est tout le « que vais-je faire concernant l'argent », tout le vieux conditionnement humain qui arrive et, en quelque sorte, commence presque à le repousser. Vous êtes sur le point de dire : « j’aimerais mieux le garder dans le monde du rêve-rêverie plutôt que de l’amener dans cette réalité ».

 

Ensuite, le mental accourt — ou des aspects ou quel que soit le nom que vous leur donnez — et commence à dire : « Mais si ça ne fonctionne pas ? Que faire si j’échoue ? Et si je m’approche vraiment et si ensuite quelque chose se passe ? Ou si quelqu'un le vole, ou si je le sabote ? Je vais juste le garder dans les rêveries pendant longtemps ». C’est presque, en quelque sorte, comme si vous pensiez que c’est mieux là-bas, parce qu’ainsi lorsque vous avez quelques instants pour vous-même, il vous suffit de rêver vos rêves plutôt que de les vivre.

 

Mais, dans cette nouvelle ère, de Nouvelle Energie, cela ne fonctionne plus. Ça ne marchera pas. Il faut, soit laisser partir les rêves soit les amener à la maison. Félicitations pour votre chambre. Ça ne vous dérange pas si je passe vous faire une visite ? (Quelques rires) Juste pour dire bonjour.

 

Donc, bon. Suivant. Qu'avez-vous appris, expérimenté avec les rêves ce mois-ci ? Et, soit dit en passant, cela a été un très bon mois pour le rêve. Un grand nombre de raisons — astrologiques, moi, d'autres raisons — mais un très bon mois pour vivre les rêves. Oui ?

 

TERRY : J'ai travaillé à faire venir le rêve d’une abondance presque illimitée, et ce que j’ai fait concrètement a été de chercher des livres sur…

 

ADAMUS : Je dois vous arrêter. Pourquoi presque illimitée ? (Quelques rires)

 

TERRY : Euh…

 

ADAMUS : Cela semble limité. Vraiment. (Rires)

 

TERRY : C'est une bonne question.

 

ADAMUS : Ouais.

 

TERRY : Mais oui…

 

ADAMUS : Pourquoi pas illimitée ?

 

TERRY : J'ai essayé d'obtenir l'abondance illimitée.

 

ADAMUS : Oui. Bon.

 

TERRY : Et pour ce faire, j'ai acheté des livres sur cassette.

 

ADAMUS : Les miens ?

 

TERRY : Warren Buffett.

 

ADAMUS : Mon cours sur l'abondance ?

 

TERRY : Euh, vous savez, j'ai acheté…

 

ADAMUS : Est-ce que je ressemble à Warren Buffett ?

 

TERRY : J'ai acheté le livre de la fille qui a écrit le livre qui a été présenté ici, mais elle voulait nous faire faire tout un tas de devoirs.

 

ADAMUS : Oui, oui.

 

TERRY : Donc, je ne suis pas allé plus loin que le chapitre un.

 

ADAMUS : Mais elle est si gentille. Elle est assise juste là. (Rires)

 

TERRY : Et j'ai aimé le livre. J'aime le livre.

 

ADAMUS : Un de ces moments difficiles ! (Plus de rires)

 

TERRY : Hey, j’ai été honnête à ce sujet. J'aime le livre, et je vais faire les devoirs, tôt ou tard.

 

ADAMUS : Oui.

 

TERRY : Mais c’était plus facile d’….

 

ADAMUS : Et quel était le nom du livre — une petite annonce commerciale bon marché ici. (Quelqu'un crie « Abondance Consciente » )

 

ADAMUS : Abondance Consciente ! Avez-vous changé le titre ! (Adamus rit)

 

TERRY : Argent Conscient

 

ADAMUS : Vous voyez la négociation que je dois mener ici ? Argent Conscient. Micro, s'il vous plaît pendant un instant.

 

TERRY : Bon, oui. J'ai eu ce livre.

 

ADAMUS : Juste le micro à Patricia pour qu'elle puisse donner un…

 

PATRICIA : Abondance ! Argent !

 

ADAMUS : De l'argent ! De l'argent.

 

LINDA : Oh levez-vous !

 

ADAMUS : L’argent

 

LINDA : Levez-vous ! Nous voulons ressentir !

 

ADAMUS : Quel est le titre de votre beau livre ?

 

PATRICIA : Argent Conscient.

 

ADAMUS : Exactement.

 

PATRICIA : Et merci pour votre sympathique appui le concernant…

 

ADAMUS : Oui.

 

PATRICIA : … Vicki m'assure que je l'ai en vidéo.

 

ADAMUS : Bien.

 

PATRICIA : Merci. J'ai eu des ventes record du livre suite à son lancement dans le Shaumbra Launchpad en Novembre ! (Applaudissements de l’assistance)

 

ADAMUS : Venant de Shaumbra, oui.

 

PATRICIA : Merci beaucoup.

 

ADAMUS : Bien.

 

PATRICIA : Puis-je dire mon rêve ?

 

ADAMUS : Bien sûr, dès que Terry aura fini.

 

LINDA : Oui. Bon, je reviens à vous.

 

ADAMUS : Bien.

 

TERRY : Donc, ouais. Et j'ai adoré Abondance Consciente, je suggère juste… (rires) Argent Conscient.

 

ADAMUS : Où est la caméra ? Vous voyez ce que je dois — vous voyez ce que je dois supporter ? ! J'aime ces gens, mais… ! Allez-y. Argent Conscient.

 

TERRY : Nous avons besoin que cet Argent Conscient soit en vidéo.

 

ADAMUS : Oui.

 

TERRY : C'est vraiment… Je pense que dans le monde moderne, il est difficile de trouver le temps, mais tout le monde court constamment après le temps.

 

ADAMUS : C'est une bonne idée.

 

TERRY : Alors…

 

ADAMUS : Comme relaté par Adamus. (Rires)

 

TERRY : Tout à fait. Tout à fait.

 

ADAMUS : Bien. Alors qu'avez-vous appris ?

 

TERRY : Très bien. Donc, ce que je voulais faire était de surmonter la résistance en respirant ou en écoutant ce Warren Buffett parler de ce mode de vie qui est inimaginable pour beaucoup d'entre nous, pour moi, et aussi d’où venait-il et toute son histoire, et comment choisit-il les bonnes entreprises. C'est la même chose que ce que dit votre livre. Il insiste beaucoup sur le fait de trouver et d’investir dans les bonnes entreprises.

 

ADAMUS : Qu'avez-vous appris ?

 

TERRY : J'ai appris à commencer à être plus à l'aise avec cette idée que je pourrais effectivement commencer dès maintenant à investir et amener…

 

ADAMUS : Oh oh.

 

TERRY : … l'abondance

 

ADAMUS : Avancez-vous, Terry. (rires d’Adamus et de l’assistance) Le dilemme du visiteur. (Terry s’avance)

 

Alors Terry, permettez-moi de commencer en disant cela. Tout d'abord, la liberté est une attitude. C’est tout. Et vous pourriez remplacer le mot liberté par illumination, ascension. C'est la même chose. Vous devez être libre pour être illuminé et pour être ascensionné. C’est la même chose. C’est une attitude. C’est tout. Aucun de vous ne peut étudier votre chemin pour y parvenir. Vous pouvez en faire l'expérience pour y parvenir, mais pas l’étudier. C'est une attitude. La maîtrise est une attitude. C’est tout. Nous en avons parlé ici auparavant. Vous marchez comme un Maître, et tout à coup, vous commencez à vous sentir comme un Maître et vous avez un style de Maître. (Rires de l’assistance alors qu’Adamus fait une démonstration) Et vous avez la lueur dans le regard comme un Maître, et vous commencez à vous sentir au plus profond comme un Maître, parce qu’au plus profond, c’est ce que vous êtes. C'est recouvert par tout le reste de cette merde. Vous avez oublié d'être un Maître.

 

Maîtrise, illumination, c’est une attitude. C'est une grande attitude. (Quelqu'un dit « Oh yeah ! » ) Oh yeah ! Oh yeah ! Où est Yoham quand j'en ai besoin ! Je peux entendre la chanson qui vient. L'abondance est une attitude. Voyons voir votre attitude d’abondance. Caméra là. (Terry prend la posture d’une attitude d’abondance ; rires et applaudissements de l’assistance)

 

Ouais, c'est facile. C'est une sorte d’habillement énergétique. Vous allez à la garde-robe de l'énergie, vous regardez et vous dites : « Ah, je veux un look d’abondance aujourd'hui » et vous vous habillez avec cela. Je ne parle pas littéralement, mais je parle de la façon dont vous vous levez le matin. Vous portez cette attitude d'abondance. Et ce qui est drôle, c'est que toutes vos parties non abondantes commencent à se sentir un peu plus importantes, ou alors elles déguerpissent. Elles s’en vont.

 

TERRY : Ouais.

 

ADAMUS : C'est un choix, mais en réalité c'est une attitude. Donc — nous allons avoir un cours sur l'abondance — mais ça va juste être sur la façon de s’asseoir avec notre attitude.

 

Vous savez, quand les Maîtres Ascensionnés, lorsque nous sommes réunis, nous avons notre propre club — nous avons de nombreux clubs, en fait — et nous nous asseyons et c'est juste comme ceci. (Adamus s’assoit sur sa chaise avec une attitude ; rires) C'est une attitude. Je suis un Maître Ascensionné. (Adamus continue sa démonstration ; plus de rires) C'est comme cela. C'est une attitude.

 

Donc, nous allons tous jouer les abondants — en avant, levez-vous — faisons l'attitude d’abondance. (l’assistance se lève) Maintenant, virez tout hors de votre cerveau, parce que le cerveau va vous dire que c'est juste un autre jour et une autre lutte. Prenons l'attitude.

 

Prenez une profonde respiration. C'est vous. C'est au plus profond de vous. L'abondance est là. Maintenant, amenez-la à votre visage, dans votre corps, et bougez tout simplement. (L’assistance commence à faire des mouvements) Ouais, c'est cela. Bougez dans l’abondance. Vous avez tous l'abondance illimitée. Abondance illimitée. Vous êtes simplement dans l'aisance et la grâce. Faisons-le, Terry. Faisons-le. Ah bon-… ouais. Juste comme cela. C'est une attitude. Attitude. Ouais. Bon. Bon. Merci.

 

Et souvenez-vous de cela, aussi bête que cela puisse paraître. Pourquoi étudier à fond des livres de Warren Buffett. Un homme merveilleux, mais vous n'êtes pas Warren Buffett. Vous êtes Terry !

 

Alors retournez à votre chaise — non, dans un instant ; attendez une seconde, attendez, tout le monde s’assoit, s'il vous plaît — retournez à votre chaise avec l'attitude de l’abondance. (Rire de Terry et d’Adamus) Maintenant, en ce moment vous pensez trop. Tout de suite vous auriez dû marcher dans cette allée genre « Je suis le propriétaire. Je marche sur de l'or, je danse sur des diamants ». (Adamus fait une démonstration) Je veux dire, c'est tout ce qu'il faut ! Allez-y Terry.

 

TERRY : Très bien. Ce sera un peu de l'abondance pirate.

 

ADAMUS : Bien.

 

TERRY : Parce que je suis chez les pirates. (Quelqu'un dit « Aargh », tandis que Terry commence sa démonstration)

 

ADAMUS : Ah, voilà !

 

TERRY : Aargh !

 

ADAMUS : Aargh ! Aargh ! (Applaudissements de l’assistance)

 

TERRY : De l’or ! De l’or !

 

ADAMUS : Merci. Merci de m'avoir permis à chacun de bien rire et de donner une bonne leçon. Bonne expérience, oui. Mais en réalité, l'abondance est juste une attitude, tout comme la maîtrise, tout comme vos rêves. Oui, vous commencez à mettre ces rêves en marche, à être dans ces rêves. A ne pas les garder là-bas, mais à être simplement en eux ici même.

 

C'est un principe très naturel, un principe spirituel, universel. Si vous l’incarnez, vous l’êtes. C'est aussi simple que cela. Ensuite vous allez découvrir, tout d'abord, c’est que vous venez de jouer un acte-d’incarnation, ce qui est parfait. Mais regardez le travail énorme que vous venez de faire. Puis vous réalisez que vous pouvez commencer à incarner tout ce que vous voulez. Vous pouvez commencer à agir-en-tant-qu’être sain et fort. Vous pouvez commencer à agir-en-tant-qu’être clair, étant donné que vous savez vraiment ce que vous voulez. Vous pouvez commencer à vivre-en-tant-que, et vous réalisez que vous pouvez modifier votre acte-d’incarnation à chaque fois que vous le souhaitez. Chaque jour peut être un nouvel acte-d’incarnation. C'est la joie de la liberté ! Tout ce que vous voulez — tout est un acte-d’incarnation. C'est un acte-d’incarnation, un acte-d’incarnation divin. C'est très, très réel. Je ne dis pas que c’est fabriqué ou faux. Pas du tout. [ndlt : tous les mots gras, sont les traductions d’un même mot anglais : act]

 

Tout ce que fait un Maître Ascensionné est juste un acte-d’incarnation pour l’amour de vivre-en-tant-que, d’expérimenter, ou tout simplement d’être, parce que chaque fois que vous vivez-en-tant-que, chaque fois que vous agissez-en-tant-que, c’est une expression de l'être, une expression de vous-même. Une expression joyeuse. Chaque fois que vous agissez-en-tant-que, quand vous faites cela sans retenir, sans limites, au début surgit la question de la confiance. Pouvez-vous vous faire confiance pour vivre-en-tant-que en étant autre chose que ce que vous avez été conditionnés à être ? Pouvez-vous vous faire confiance pour agir-en-tant-qu’étant n'importe quoi et être confiants que vous allez toujours revenir à votre Je Suis ? Mais après, lorsque vous réalisez : « Je fais. Je peux. Je peux agir-en-tant-qu’être abondant. Je peux vivre-en-tant-qu’être de la façon que je veux. Je contiens ou je porte toujours le Je-Suis, je ne vais jamais perdre cela » alors vous pouvez vivre-en-tant-que joyeusement, sans abandonner, de façon téméraire si vous voulez.

 

Vous pouvez vivre-en-tant-que de manière phénoménale, mais en ce moment, vous avez tendance à maintenir cela vraiment, vraiment serré. Vous avez toujours le même modèle d’acte et cela dure depuis longtemps. (Rires) Et s'il y a une chose que je voudrais faire c’est de vous faire bouger au-delà de cette façon d’agir. Nous ne sommes pas seulement en train d’essayer de rendre meilleure votre façon de vivre-en-tant-que. Nous ne sommes pas en train d’essayer de donner un petit coup de fraîcheur à cette vieille façon d’agir. Nous essayons d'aller au-delà, de briser les barrières de sorte que vous puissiez vraiment être simplement expression. C'est la joie.

 

Suivant. Oui, qu'avez-vous appris ce dernier mois sur les rêves ?

 

PATRICIA : Ah ! Ce que j'ai appris le mois dernier sur les rêves, c'est que mon rêve n'a, apparemment, rien à voir avec mon travail, ma mission, mon but, ou rien de tout cela.

 

ADAMUS : Bravo. Un prix Adamus pour vous.

 

PATRICIA : Oh merci !

 

ADAMUS : Oui. Oui. (Quelques applaudissements)

 

LINDA : Wow ! Vous avez été radin avec eux. C'est le premier depuis des mois et des mois.

 

ADAMUS : Il n'y en a pas eu beaucoup.

 

LINDA : Non. Vous avez de l'argent dans votre poche ?

 

PATRICIA : Oh, je n'ai pas besoin d'argent.

 

LINDA : Non, je veux l'argent ! (Rires) Vraiment ?

 

PATRICIA : Eh bien, je suis pra-… je suis un pra-… j’incarne l’abondance.

 

LINDA : Oui, vous l'êtes.

 

ADAMUS : Oui. Ah bon. C'est exactement — « Je n'ai pas besoin de l'argent » — et puis quand vous dites cela, une drôle de chose se passe. Cauldre va dans sa poche et en sort 1000 « won » [won=monnaie coréenne], juste pour vous.

 

PATRICIA : Oh ! et des « won » !

 

ADAMUS : des « won » coréens.

 

PATRICIA : Wow ! (Adamus rit) Banque de Corée ! Merci.

 

ADAMUS : Donc, vous avez un prix Adamus et un won coréen.

 

PATRICIA : Wow.

 

LINDA : Un quoi ?

 

ADAMUS : Eh bien, ça vaut un dollar, mais un millier de wons.

 

PATRICIA : Peut-être que cela signifie que je vais aller en Corée.

 

ADAMUS : Peut-être est-ce le cas.

 

PATRICIA : Mais ce n'est pas mon rêve.

 

ADAMUS : Oui. Donc, vous êtes…

 

LINDA : Mais c'est un endroit merveilleux.

 

ADAMUS : … va bien ici. Alors qu'avez-vous appris ? Qu’en fait le rêve ne concerne pas le travail, l'effort. Réalité étonnante. Intéressant. Combien d'entre vous auraient pensé que le rêve était en lien avec ce que sur quoi vous travaillez ? Le travail ne fait qu’occuper le temps. Magnifique travail, soit dit en passant. Mais c'est… quel est votre rêve ?

 

PATRICIA : Mon rêve, et j'ai une question à ce sujet, parce que je pensais que je l'avais identifié, et puis vous avez dit qu'il ne devrait pas impliquer les membres de votre famille.

 

LINDA : Ohhh.

 

PATRICIA : Donc, mon rêve est de vivre pendant une longue période de temps — disons, six mois, un an — soit en France soit en Suisse romande avec Alain qui viendrait aussi, parce que je ne pense pas qu’il voudrait dire non à cela. Non, mais je veux dire… (Alain lève les sourcils et Adamus rit de bon cœur) Je ne…

 

ADAMUS : Et nous avons cela sur la vidéo, soit dit en passant.

 

PATRICIA : Donc est-ce que je… est-ce que je suis…

 

ALAIN : Ne parle pas pour moi !

 

PATRICIA : Non, vous voyez, mais c'est vrai. Je ne peux pas parler pour lui, mais de toute évidence, ce serait…

 

ADAMUS : Arrêtons-nous un instant. Pourquoi voulez-vous partir ?

 

PATRICIA : Oh, je veux réaliser le désir que j’ai eu toute ma vie de parler français.

 

ADAMUS : Oui. Bon. Bon. Maintenant, vous pouvez le faire et pas besoin d’impliquer Alain.

 

PATRICIA : Je sais.

 

ADAMUS : Oui.

 

PATRICIA : Oh, bien sûr.

 

ADAMUS : Oui. Mais c’est possible, si c'est son rêve.

 

PATRICIA : Oui.

 

ADAMUS : Je ne pense pas que ce soit son rêve. Je pense qu'il sait déjà parler français. (Rires) Houston, nous avons un problème.

 

PATRICIA : Oh, il pourrait toujours l’améliorer !

 

ADAMUS : Ou, Paris, nous avons un problème !

 

Donc, c'est intéressant. Alors arrêtez-vous un instant tout le monde… et Cauldre me dit de me dépêcher. Je lui ai dit que je serai bref. Lui et chère Linda partent pour l'Egypte et moi aussi je pars ce soir à huit heures. Je serai là-bas à huit heures une. Ça me prend une minute. Il lui faut deux jours pour arriver là-bas, mais…

 

PATRICIA : Wow.

 

ADAMUS : Oui. Donc, revenons à cette question. Combien de vos rêves sont conditionnés  par les autres ou dépendants d'eux? Eh bien, je veux un pourcentage ? (Quelqu'un dit « sûr » ) Quelques suggestions ?

 

PATRICIA : Elevé. Une centaine ?

 

ADAMUS : Eh, 99,9999, presque à l'infini. Presque tout le monde. Ce n’est pas inhabituel, parce que vous avez grandi dans des communautés de situations, des vies en commun. Il y a les familles biologiques, tout le reste, il est donc très naturel de penser ainsi. Pour ceux d'entre vous qui sont dans une relation, une … comment appelez-vous cela — une relation d’engagement — qui devrait être engagée (Quelques rires), — mais être dans la relation… non, c'est une bonne chose (Adamus rit)

 

LINDA : Ha, ha.

 

ADAMUS : Soudain, vous êtes comme : « Eh bien, mon bonheur dépend de mon conjoint ou de mes enfants ». C'est là où vous entrez dans les problèmes. Ce n'est pas la liberté. Je suis désolé, ce sont des êtres beaux, pour la plupart. Ce sont des êtres beaux, charmants, mais disons simplement, ce sont vos enfants. Vous vous sentez une obligation, une dette, un service et tout le reste. Vous les avez amenés dans ce monde, vous devez faire en sorte, bon sang, qu’ils l'apprécient. Alors, il y a cette interrelation qui fait qu’il est très difficile pour vos rêves de venir dans la réalité. Cela demande à une personne d’être très audacieuse, très courageuse pour rêver ses rêves pour elle-même.

 

Maintenant — et cela est très similaire à l'ascension, ceci dit en passant — car la première chose qui vient à l’esprit est : « Oh, mon Dieu, qu'est-ce qui va arriver à mes enfants, à mon mari, à mes parents ? » — Remplacez par ce que vous voulez — « mon travail, quoi d'autre ? »  Alors vous coupez immédiatement l'énergie de la force de vie à votre rêve. Et puis vous dites : « Eh bien, je vais devoir attendre jusqu'à ce qu’ils soient diplômés du collège ou quoi que ce soit qui arrive ». Ainsi maintenant, vous avez des rêves inassouvis.

 

La chose qui me surprend, que je ne comprends pas très bien — en fait, je comprends, mais je suis juste en train de vous provoquer — c’est qui, qui a dit que vos rêves ou votre illumination ou l'ascension allaient nuire à ces autres ? Que ça va soudainement faire exploser votre conjoint ou que soudain vos enfants seront sans mère ni père — d’où cela vient-il ? Il y a cette idée que si vos rêves deviennent réalité, tout le reste est foutu. Intéressant. Donc, je suis désolé de vous interrompre, mais…

 

PATRICIA : Oh.

 

ADAMUS : Ouais.

 

PATRICIA : Je l'ai partagé.

 

ADAMUS : Bien.

 

PATRICIA : Et c’est tellement excitant pour moi d'avoir cette passion de mon cœur…

 

ADAMUS : Oui. Oui !

 

PATRICIA : … d’y être connectée.

 

ADAMUS : Oui.

 

PATRICIA : Cela ne… mais je pourrais aussi… Je veux dire, bien sûr, je pourrais aller faire cela demain, mais ce que je demande vraiment, c'est que l'univers orchestre un magnifique ensemble de circonstances pour faire que… pour que ce rêve se réalise d’une façon divinement et magnifiquement orchestrée. Ainsi, au lieu de…

 

ADAMUS : Et l'univers s’en fiche complètement. Complètement. Et j'entends l'expression et je sais ce que vous voulez dire quand l'un de vous dit cela, mais c'est vous qui orchestrez l'univers.

 

PATRICIA : Mm.

 

ADAMUS : C'est vous qui appelez les énergies, qui les alignez d'une manière appropriée… et dès qu'il y a cette petite percée dans l'illumination : « Ah, oooh, c'est ici », ce qui est difficile, parce que parfois, vous ne voulez pas avoir à faire face au fait que cela vienne d'ici. Il est plus facile de rejeter la faute sur l'univers. Ce serait un grand — votre prochain livre — « Blâmez l'Univers ». (Quelques rires) Un succès fou. Vous allez l’écrire pendant votre année sabbatique en France.

 

PATRICIA : Mmm.

 

ADAMUS : Ah, oui. « C'est la faute à l'Univers ». Ouais.

 

PATRICIA : Merci encore pour tout votre soutien, Shaumbra et Adamus.

 

ADAMUS : Oui, merci.

 

PATRICIA : Merci.

 

ADAMUS : Je vous remercie. (Applaudissements) Et un de plus. Un de plus. Qu'avez-vous appris ou expérimenté concernant vos aspirations, vos rêves, chère Bonnie ?

 

BONNIE : Salut.

 

ADAMUS : Belle robe aujourd'hui.

 

BONNIE : Merci.

 

ADAMUS : Costume de fête.

 

BONNIE : Merci.

 

ADAMUS : Consciente. (Quelqu'un crie « Woo hoo ! Bonnie ! » ) Soignée.

 

BONNIE : Je veux que ce soit la liberté.

 

ADAMUS : Oui. Bon.

 

BONNIE : Mais comment vais-je y arriver ?

 

ADAMUS : Ah ! Ce qui amène ma prochaine question. Merci. Merci. Comment… c'était ma prochaine question.

 

 

Que faut-il ?

 

Que faut-il pour la liberté ? Que faut-il pour la liberté, Bonnie ?

 

BONNIE : ne pas avoir à travailler toute la journée.

 

ADAMUS : Ne pas avoir à travailler. Bon. Pourquoi devez-vous travailler ?

 

BONNIE : Parce que j'ai besoin d'argent.

 

ADAMUS : Eh bien, vous êtes… aidez-moi à saisir cela. Vous devez travailler pour gagner de l'argent ?

 

BONNIE : Oui.

 

ADAMUS : Quand cela a-t-il été inventé ? (Elle rit)

 

BONNIE : Il y a longtemps, je pense.

 

ADAMUS : Bonnie, je pense que cela commence par cette attitude. Vous avez l'attitude, l'éducation, l’arrière-plan des vies antérieures — « Travailler pour cela, lutter pour cela ». Il y a presque un sentiment de culpabilité, peut-être même un petit manque d'estime, si vous ne vous êtes pas mis à quatre pattes  et si vous n'avez pas souffert pour cela. Libérons ceci. Ici même, dans cette cour de l'illumination, libérons cela. Cela ne vous sied pas,  pas autant que ce chemisier. (Elle rit) Non.

 

Donc, vous avez cette conviction très profondément ancrée que vous devez travailler pour cela. Vous le faites. Beaucoup d'entre vous le font. Vous pouvez lâcher cela, Bonnie. Vous pouvez le alors… deux choses se produisent. Tout d'abord, vous commencez à profiter de votre travail plutôt que d’éprouver du ressentiment. Deuxièmement, vous réalisez que c'est fluide. Cela arrive  tout simplement. C'est le rêve entrant dans la réalité. Est-ce que cela a un sens ?

 

BONNIE : hmm Mm..

 

ADAMUS : Oui. Mais qu'est-ce que vous allez faire demain ?

 

BONNIE : Travailler un peu plus.

 

ADAMUS : Travailler un peu plus. Ouais. Ouais. Et puis quoi ? Que faut-il pour que vous soyez libre ? Que faut-il ? Et c'est une question pour vous tous, parce que Linda va venir avec le micro. Que faut-il ?

 

Oui, Linda va apporter le micro.

 

LAWRENCE : La passion de la découverte.

 

ADAMUS : La passion pour la découverte. Bon. Bon. Avez-vous la passion pour la découverte ?

 

LAWRENCE : Oui, et je vis mon rêve. Franchir les portes qui s'ouvrent tout simplement.

 

ADAMUS : Bien.

 

LAWRENCE : De plus en plus de potentiels. J'ai tellement de choses que je voudrais partager avec les gens.

 

ADAMUS : Nah. Naah. Arrêtons-nous là. Je comprends ce que vous dites. Cauldre me donne du fil à retordre...

 

LINDA : Eh, attendez, attendez, attendez. Il y a beaucoup de femmes ici qui veulent savoir s'il est célibataire ou disponible. (Rires)

 

ADAMUS : Pourquoi me posez-vous la question ?

 

LINDA : Je suis juste… il a dit qu'il a beaucoup à partager. Vous savez, je ne fais que demander.

 

ADAMUS : Ouais, d'accord. Eh bien, voici que nous descendons dans le terrier du lapin.

 

LAWRENCE : Je suis célibataire.

 

ADAMUS : Vous êtes célibataire, d'accord. Voulez-vous donner votre numéro de téléphone ou votre adresse email ?

 

LINDA : Êtes-vous disponible ?

 

LAWRENCE : Je suis disponible.

 

LINDA : Oooh ! (quelques huées dans l’assistance) Avez-vous entendu cela ?

 

ADAMUS : Oh, le service de rencontres de Linda.

 

LAWRENCE : Je suis plutôt — comment dire — dans mon propre…

 

ADAMUS : Disponible ce soir ?

 

LAWRENCE : … dans un voyage de ma propre découverte où je ne chercherais pas vraiment quoi que ce soit en dehors de moi-même.

 

ADAMUS : Bien. Bien. Donc, vous avez beaucoup de choses à partager, et je vous ai arrêté parce que — et je fais cela pour vous irriter tous — vous avez toujours cette envie de vouloir sauver le monde. Oubliez cela. Je vais revenir là-dessus dans un moment jusqu'à ce que vous commenciez à saisir. Juste partager pour le plaisir de le faire, de l'expression, que vous le partagiez avec une petite marmotte, avec un être humain ou avec un archange, c'est très bien. Mais ne partagez pas juste pour essayer de sauver le monde, et je réalise que ce n'est pas ce que vous vouliez dire, mais…

 

 LAWRENCE : Eh bien, on me dit… J'entends des choses là-bas que cela demande à la conscience collective…

 

ADAMUS :  Attendez !. Arrêtons-nous là ! Qui vous a dit ?

 

LAWRENCE : Eh bien, ehh… (Adamus rit) Oh, Kryeon ! Kryeon.

 

ADAMUS : Kryeon.

 

LAWRENCE : Très bien. D'accord.

 

ADAMUS : Très bien. Au moins, vous êtes en bonne compagnie.

 

LAWRENCE : Que cela demande une certaine proportion de la conscience collective pour…

 

ADAMUS : Vous écoutez Kryeon, vous ne m'écoutez pas !

 

LAWRENCE : Eh bien, j’essaie-… J’écoute… Je suis ouvert à tout. Attaché à rien. (Ils rient)

 

ADAMUS : Qu’est-ce que Kryeon vous dit en ce moment ? « Fuis ! Fuis ! »  (Rires)

 

LAWRENCE : Non, non ! En fait, il dit la même chose.

 

ADAMUS : Vraiment ! (Plus de rires)

 

 

LAWRENCE : Hum…

 

ADAMUS : Je veux que ces voix que vous entendez soient votre propre voix. En réalité nous ne vous parlons pas tant que cela. Vraiment. Les humains ne veulent pas croire qu'il y a quelque être supérieur qui leur parle, leur donne une guidance. Tout d'abord, les Maîtres Ascensionnés ne connaissent pas les réponses. Ce sont des vieux cons. Ils sont morts il y a longtemps. Ils ne comprennent pas. Ils vont vous dire une chose. Ils vont vous dire de permettre, ou ils vont dire : « Aimez-vous ». Ils ne vont pas se lancer dans ce yip yip, yip, comme je le fais en ce moment. (Adamus rit) Ils vont rendre cela clair.

 

Donc, s'il vous plaît, entre maintenant et notre prochaine rencontre, plus de ce « Ils me disent ». Sortez cela de votre vocabulaire ou ne revenez jamais ici. Je suis sérieux, parce que là où nous allons, il n'y a pas de place pour cela. Ils — c'est qui ils ? ! « Ils », pour moi, c'est la conscience de masse. Ce grand Borg [personnage de la série Star trek], ce genre de truc gélatineux. Ils — ce sont ceux qui fixent les lois, qui vous disent à quelle vitesse vous pouvez rouler. Ceux qui vous disent que vous devez porter du rouge à la Saint Valentin. C'est toujours ils. Ceux qui vous disent quoi penser et quoi faire. Libérons-les « ils ». J’entends bien ce que vous dites, mais j'adore ces occasions pour intervenir.

 

Laissons partir les « ils ». Il n’y en a qu'un et c'est vous. Prenez acte de cela. « Je me dis. Je me dis. Cette partie qui résonne profondément en moi partage une connaissance profonde que j'ai déjà, mais que j’ai bloquée en quelque sorte ». Plus de ils.

 

« Ils » ne vous demandent pas d'écrire des livres. Ils vont vous aider. Une fois que vous décidez d'amener votre rêve dans la réalité, oh mon dieu, ils sont tout simplement une légion. Ils sont là pour soutenir la royauté — vous. Mais ils ne disent pas : « Vous avez besoin d'écrire un livre ». Tout d'abord, ils ont mieux à faire, et deuxièmement, ils s’en fichent jusqu’à ce que vous le fassiez. Compris ? Ils s’en fichent jusqu’à ce que vous le fassiez. Mais vous n'êtes pas des pions dans ce royaume. Ils ne vous déplacent pas ici et là en disant : « Nous voulons que vous fassiez ceci. Nous voulons que vous fassiez cela ». Si c'était vrai, juste boum ! Finissons-en tout de suite.Terminé ! Revenez dans un autre… Je suis sérieux. Oui, arrêtez cela tout de suite, parce que sinon vous allez être vraiment frustrés.

 

Oh, bon, il nous faut continuer à avancer. Nous avons fini ? (Il hoche la tête : « Oui » ) Vraiment ? Bon, très bien. Bon. Alors, que faut-il pour être libre ? Donnez-moi quelques mots, quelques mots profonds.

 

LAWRENCE : Juste faire et être.

 

ADAMUS : Etre. Comment pouvez-vous être ?

 

LAWRENCE : Etre… humain. (Il rit un peu)

 

ADAMUS : Allons un peu au-delà. (Adamus rit)

 

LAWRENCE : Suivre sa passion.

 

ADAMUS : Suivre sa passion.

 

LAWRENCE : Il suffit de suivre sa passion sans inquiétudes, sans crainte.

 

ADAMUS : Pas de soucis. Bon. J'ai aimé cela.

 

Encore quelques-uns. Que faut-il pour être libre ? Et je ne demande pas pour moi-même, je vous le demande. Que faut-il ?

 

MARIANNE : Pour moi, je pense que c'est juste… il faut juste s'aimer soi-même, parce que je trouve qu'aucun rêve ne peut me rendre heureuse si je ne suis pas en amour avec moi-même

 

ADAMUS : Oui, très bien. Bon. Excellent. Et, la question que je dois alors poser est : « L'êtes-vous ? »

 

MARIANNE : C'est un travail en cours, parce que, parce que, vous savez, j'ai vraiment découvert le mois dernier que, vous savez, j'ai obtenu vraiment tout ce que je veux. Je n'ai vraiment aucun rêve. Ils sont là, mais je ne suis pas heureuse. Alors…

 

LINDA : Hmm.

 

ADAMUS : Hmmm.

 

MARIANNE : Il y a longtemps que cela me poursuit.

 

ADAMUS : Ouais. Oui.

 

MARIANNE : Donc, ce que vous voulez, vous savez, c'est vraiment…

 

ADAMUS : Un Travail en cours et vous aimer. Que pourrait-on faire au sujet de ce travail en cours ?

 

MARIANNE : Respirer ! (Quelques rires)

 

ADAMUS : Bon et quoi d'autre ?

 

MARIANNE : Je pense que c'est d'abord me couper vraiment de mon mental.

 

ADAMUS : Je vous remercie.

 

MARIANNE : Parce que mon mental tourne tout le temps en rond et me raconte toutes sortes de choses.

 

ADAMUS : Ouais, ouais. Comment peut-on se couper de son mental ?

 

MARIANNE : Respirer ! (Ils rient tous deux)

 

ADAMUS : Et ? Et alors ? Se couper de son mental, respirer, mais…

 

MARIANNE : Vous savez, mettre davantage en avant mon âme, et la présence de mon Je-Suis.

 

ADAMUS : Ouais.

 

MARIANNE : Et…

 

ADAMUS : Ouais. Je vais résumer. C'est vraiment une question de confiance, parce que le mental est toujours hors de la confiance. Toujours, toujours. Quand vous respirez, quand vous entrez dans la confiance, peu importe quoi, une confiance inconditionnelle… maintenant, nous parlons beaucoup de la confiance. Ce n'est pas du tout un sujet nouveau. Mais pour la plupart d'entre vous, c'est une confiance conditionnelle. « Je vais avancer un peu. Je vais mettre un orteil dans l'eau ». Mais je parle ici d'une confiance totale et ouverte.

 

MARIANNE : Exactement. Et, vous savez, la seule fois où j'ai été vraiment heureuse, c'est quand j'ai eu totalement confiance et que j'ai été complètement en contact avec moi-même.

 

ADAMUS : Oui.

 

MARIANNE : Et pour une raison quelconque au cours de ces derniers mois, c'est juste que… en fait, un certain nombre d'aspects anciens sont arrivés, j'essaye d'intégrer ces anciens aspects.

 

ADAMUS : Maintenant, nous allons utiliser ceci pour poursuivre notre discussion sur les rêves. Ainsi, vous devenez confiant, vous commencez à vous sentir bien, vous commencez à vous sentir équilibré et quelque chose se produit.

 

Maintenant, ce qui se passe aussitôt dans cette réalité, c'est que les autres commencent à l'attaquer. Et ce n'est pas seulement vous qui l'attaquez, mais d'autres commencent à l'attaquer. « Tu es fou. Que fais-tu ? Agis comme le reste d'entre nous. Qu'est-ce qui ne va pas avec toi ? »  Vous savez : « Pourquoi as-tu besoin d'être si différent ? »  Il faut vous préparer à cela. Vous devez vous y préparer. La plupart d'entre vous êtes très sensibles à ce que les autres pensent de vous. Donc, une fois qu'ils commencent à attaquer, comment allez-vous rester dans cet équilibre ?

 

MARIANNE : Vous savez, je trouve que la principale attaque vient de mon mental.

 

ADAMUS : Oui.

 

MARIANNE : Et ne pas écouter ce que mon mental me dit, parce que je peux ne pas écouter ce que les autres me disent, mais essayer de ne pas écouter mon propre mental, cela peut être parfois déroutant.

 

ADAMUS : Ouais. Bon. Je tiens donc à résumer ici. Le travail en cours, comment allons-nous simplement traverser cela, parce que sinon cela peut prendre un long, long, long moment ?

 

MARIANNE : Récemment j'ai trouvé qu'il suffit de faire ce choix et vous pouvez parfois voir ce choix juste en face de vous, vous savez, il faut juste faire ce pas. Et je vois maintenant que c'est arrivé à un point où je ne peux pas franchir ce pas et rester équilibrée et centrée.

 

ADAMUS : Et pour vous tous, je voudrais aller au-delà de ces étapes dès maintenant, parce que, vous savez, une étape mène à une autre étape et à une autre étape et amène à faire croire que vous faites des progrès, mais dans la réalité c'est juste beaucoup d'étapes. Si vous aimez les étapes, c'est très bien. Mais dans cette ère nouvelle, je veux faire une percée. Pas quelques pas de plus, mais vraiment percer ce plafond de cristal.

 

Bon. Un de plus. Que faut-il ? Que faut-il pour avoir l'illumination ?

 

LINDA H. : Je vais me lever, car pour moi ce n'est pas habituel de le faire. Mais je vais me lever ici et dire que, euh… il y a quelques petites choses ce mois-ci qui m'ont fait paniquer, mais…

 

ADAMUS : Bien.

 

LINDA H. : Mais c'est… Je ne savais pas nécessairement que c'était des rêves, mais ils se sont manifestés.

 

ADAMUS : Ouais.

 

LINDA H. : J'ai construit une relation avec quelqu'un dont je n’avais aucune idée de l’importance et de l’affinité, chose à laquelle j’étais loin de penser, mais c'est là et c'est bien réel et c'est tout ce que je voulais et je ne savais même pas que je le voulais.

 

J'ai manifesté une relation… eh bien, nous avons une grande famille et chaque année, un membre de notre famille organise une réunion de famille et c'était mon tour cette année.

 

ADAMUS : hmm Mm..

 

LINDA H. : Et nous avons 75 personnes dans ma famille immédiate.

 

ADAMUS : Chère Linda, quelle était ma question ?

 

(Elle marque une pause)

 

Vous voyez ce qui se passe ?

 

LINDA H. : Ils… oui. Ils ne pouvaient recevoir. J'ai dit : « Je suis une grande… créatrice »

 

ADAMUS : Linda…

 

LINDA H. : Je peux le manifester et ils…

 

ADAMUS : Quelle était la question ?

 

LINDA H. : … ne le feront pas.

 

ADAMUS : La question.

 

LINDA H. : Ils…

 

ADAMUS : Que faut-il pour progresser ? Que faut-il pour avoir l'illumination ? Et vous donnez un merveilleux exemple, en racontant des histoires.

 

LINDA H. : D'accord.

 

ADAMUS : Que faut-il ? Soyez très claire.

 

LINDA H. : Eh bien, je ne comprends pas alors ce, hé… la dernière chose qui s'est passée, c'est une autre relation et je ne savais même pas que je la voulais ou que j'en avais besoin ou quoi que ce soit et c'est là.

 

ADAMUS : Ouais.

 

LINDA H. : Alors d'accord, si je raconte l'histoire, je ne sais pas…

 

ADAMUS : Voyez-vous ce qui se passe ?

 

LINDA H. : … sinon comment l'expliquer.

 

ADAMUS : Non, non. Vous voyez ce qui se passe. Maintenant, cela ne veut pas du tout dire éliminer vos expériences, mais si nous allons tous ensemble dans cette Cour Royale des Lumières, nous y allons aussi pour la clarté. C’est pour la clarté.

 

Que faut-il, Linda ? Un mot. Que faut-il pour faire une percée et atteindre votre illumination, votre liberté ? Vous n'êtes pas libre. Aucun d'entre vous ne l'est vraiment en ce moment. On s'approche. On fait des pas. Le travail en cours. Que faut-il ? Et cela se rapporte directement à notre discussion sur les rêves. Vous avez un rêve de liberté, mais c'est un rêve. Ce n'est pas ici. Que faut-il ? Et il ne s'agit pas de quelqu'un d'autre ou quoi que ce soit d'autre. Linda, vous y êtes presque, vous êtes juste dessus. C'est sur le bout de votre langue. Que faut-il ?

 

(Elle marque une pause)

 

La clarté, Linda. La clarté.

 

La clarté, Shaumbra. La clarté.

 

Vous voyez, il est si facile de se laisser distraire. Il est si facile d'entrer dans des histoires et des problèmes. Juste la clarté. La clarté est aussi une attitude. Vraiment, tout comme la maîtrise, tout comme l'illumination et l'ascension. La Clarté. Etre clairs par rapport à vos rêves, vos choix, clairs par rapport à votre Je Suis.

 

Nous le voyons tout le temps — nous le voyons ici, nous le voyons dans les ateliers que nous faisons — la distraction. S'en aller, chasser les lapins, courir après des entités,: « Eh bien, ils m'ont dit ». Ils ne vous ont rien dit et si c'était le cas, ne revenez plus ici. Aussi simple que cela. Difficile, mais simple.

 

Nous n'allons pas rentrer dans ce sujet. Il s'agit de la clarté, il s'agit du Je-suis clair, cristallin, qui est le rêve, mais qui est aussi en train de venir.

 

 

Le Rêve de l'Âme

 

Mes chers amis, ce corps physique qui est le vôtre se prépare à accepter la vraie nature cristalline de vous-même, votre âme, votre Je Suis. C'est le rêve. Oh, beaucoup d'autres rêves, toutes les autres choses que vous aimeriez faire, mais le vrai rêve ou le vrai désir de l'âme c'est sa propre incarnation dans le corps physique. Sa propre incarnation. Ne pas être dans deux, milles ou dix milles endroits différents au même moment, mais se retrouver ensemble. La clarté ici. Incarner ce cristal — et quand je dis cristal, je ne parle pas des pierres, je parle de cristal dans le sens de clair — la clarté, la pureté. Donc cette nature cristalline que vous appelez l'âme se prépare à venir.

 

Le rêve. Le rêve effrayant, parce que vous l'avez poursuivi. Vous avez été un travail en cours, comme le dit Marianne, depuis de nombreuses vies. Vous l'avez étudié. Vous avez été dans les églises, créé des églises. Vous êtes allés dans des sociétés mystiques, des organisations secrètes, tout le reste. Mais dans un sens, cela n'était que des étapes le long du chemin, peut-être même des étapes nécessaires ou des étapes de l'expérience. Il est temps d'arrêter de procéder par étapes.

 

Ce corps qui est le vôtre, Linda, Roy et Edith et vous tous, ce corps se prépare à accepter le Je Suis. Il s'agit d'une véritable structure cristalline qui n'a jamais été dans le physique auparavant, mais il est en train d’arriver. Il a besoin de clarté. Il a besoin de l'attitude. Il a besoin du rêve et ce rêve est le plus grand de tous les rêves. C'est le rêve de l'âme — être ensemble et présent dans cette expérience physique, être simultanément humain et divin, ne plus être séparé ; être dans et en-dehors de cette réalité tout à la fois. Ce désir de l'âme, si vous prenez le temps de le sentir, l'âme en elle-même maintenant. L'âme en elle-même.

 

L'âme a créé cet aspect qui devait aller dans l'expérience humaine avant que la totalité d’elle-même n’y entre. Et cela a donné cet aspect humain, qui a eu beaucoup, beaucoup de vies, un large degré de liberté et de libre arbitre. Mais il y a des moments où l'âme a remplacé ou rejeté certaines choses chez l'humain.  Cela a donné à l'être humain une très, très, très longue lignée. Et cet être humain est l'âme, mais l'âme dans tout son éclat n'a pas envoyé tout d’elle-même en elle-même tout de suite. L'âme a dit : « Pour me connaître et m'aimer, je vais plonger complètement en moi-même ». Et à ce moment, cet aspect, ce fragment de l'âme qui voulait aller dans l'expérience humaine, est partie en avant-garde, ouvrant la voie, embrassant le chemin ou ajustant les fréquences afin que le Je Suis puisse être entièrement présent en lui-même.

 

Votre… ce corps que vous avez, ce mental avec lequel vous travaillez, c'est « votre » vie, votre vaisseau, le véhicule par lequel votre âme entrera. Mais elle n'y forcera pas son chemin. Elle ne peut pas forcer son chemin en elle-même. elle attendra patiemment que cette partie d'elle-même qui est humaine soit prête, qu'elle ait la clarté, qu'elle ait l'attitude et veuille bien la recevoir dans le corps physique.

 

Vous êtes l'âme, mais vous êtes aussi, en quelque sorte, juste l'ombre de l'âme. L'âme en ce moment dit : « Paul, je suis là. Je suis toi, tu es moi. En réalité, il n'y a aucune séparation, mais j'ai été si merveilleusement intelligente, que je t'ai créé, Paul, pour venir en premier avant que Paul soit entièrement là ». Elle dit : « Mais Paul, Je t'aime parce que je m'aime, donc je vais attendre jusqu'à ce que tu sois prêt. Même s'il semble que tu te sois perdu, et je sais que tu ne le seras pas, je vais attendre jusqu'à ce que tu sois prêt, Paul, parce que Paul, quand tu diras que tu es prêt, alors je saurai que je suis prête ».

 

Nous n'avons pas de place pour la distraction, pour « ils » ou pour « les autres ». Nous n'avons plus de place ni de patience pour les étapes. Nous n'avons pas le temps pour la distraction. C'est maintenant. En ce moment. Juste ici. Point. L'âme est prête à entrer.

 

PAUL : Je suis prêt.

 

ADAMUS : Elle veut entrer dans ce corps, dans cet être, dans cette expérience. Alors je pose la question, cher humain Paul, que faut-il ? Que faut-il ? C'est pourquoi nous parlons des rêves. C'est le rêve de l'âme et aussi de l'humain. Que faut-il ?

 

J’ai dit débarrassez-vous de tout le reste de vos rêves. Ils sont frivoles. Ce sont des distractions. Ils ont gaspillé l'énergie, m’ont fait perdre mon temps. Débarrassez-vous d'eux. Libérez- les. Juste les vrais rêves, le rêve de l'âme et de l'humain. Le rêve de Paul ou le rêve de Joanne ou de Terry ou qui que vous soyez. C’est une dynamique incroyable qui se passe en ce moment. Et, chère Linda, cette âme veut entrer dans ce corps et il faut être claire avec vous-même.

 

Plus d’histoires. Pas de place dans cette cour royale pour les histoires. Juste des expériences. Juste des réalités. C'est tout.

 

Prenons une profonde respiration. Respirez profondément.

 

Que s'est-il passé ? J'ai perdu mon café. Que s'est-il passé ? Quelqu'un ? Quelque chose de très intéressant vient de se passer. Oui.

 

ELIZABETH : Eh bien, j'ai senti un changement.

 

ADAMUS : Oui. Un grand changement.

 

ELIZABETH : Oui.

 

ADAMUS : Pourquoi ?

 

ELIZABETH : J'ai été dans cet endroit et je me suis permis de sentir et ne pas penser, mais sentir et être.

 

ADAMUS : Eh bien. Il y avait beaucoup d'énergies bondissantes auparavant. Discuter-en et passez le micro, beaucoup de pensées du mental, beaucoup d'émotion et tout cela était, en un sens, de la distraction. Mais vous le saviez. Au plus profond de chacun et de chacune d'entre vous, vous le saviez. Et c’était vous — non pas eux, mais vous — qui appeliez et disiez : « Où allons-nous ? Quoi ? Quoi, ça… » Vous savez et, dans une certaine mesure, le mental était un peu satisfait, parce qu’il était agité. Cela lui donne du mouvement et de l’agitation et il aime assez cela. Mais il y avait quelque chose de plus profond qui disait : « Allons passons à autre chose ». Et cela vous a tous utilisés, mais a aussi utilisé Linda comme impulsion, pour parvenir dans le réel. Alors, merci, Linda. Donc. Bon. (Applaudissements de l’assistance)

 

Maintenant, avançons. Oh on n’a jamais assez de temps. Avançons.

 

Voici le rêve… le rêve — je vais vous demander de le ressentir pendant un moment, parce que c'est tellement épais en ce moment — le rêve de l'âme d'être enfin en elle-même. C'est le Je Suis, et cela arrive ici. La réalité physique. Pourquoi ? Parce que c'est tellement difficile. (Adamus rit) Parce que c'est tellement réel. Ce n'est pas gazeux. Ce n'est pas farfelu. Si cela peut arriver ici, cela arrive, vous voyez.

 

Pour le dire de manière étrange, l'âme — le Je Suis — a déjà  fait l’expérience d’entrer en elle-même. C'est un peu, presque comme une unification, presque comme plonger profondément en soi-même et émerger alors en soi-même, si cela a un sens. Mais cela s'est fait dans d'autres royaumes, un genre de royaumes éthérés non physiques.

 

Donc il y avait un doute, pourrait-on dire, en utilisant des termes humains, ou plutôt que votre âme n’avait pas un sentiment de satisfaction totale en venant dans le Je Suis Elle a dit : « J'ai besoin… J'ai vraiment besoin de le sentir. J'ai vraiment besoin de sentir que c'est une grande expérience,-et pas seulement une expérience duveteuse » et vous voilà, âme, dans votre expérience maintenant. Et voilà, si vous pouvez prendre cette vie, ce corps, cette identité que vous avez et le concrétiser, laisser l'âme venir entièrement dans ce corps, et ressentir, ahh, une pleine satisfaction. Aucun doute. C'est tout. L'âme qui plonge en elle-même.

 

Donc, ce rêve d'être à l'intérieur, le rêve de l'âme et le rêve de se souvenir et revenir à votre Soi complet, votre conscience totale — le rêve de l'être humain — c'est un grand rêve. C'est un rêve effrayant, parce que, et si cela ne fonctionne pas ? Que faire si vous échouez ? Hein ? Vous n'allez pas échouer ? Et si vous le faites ?

 

JEFFREY : Ça n'a pas d'importance.

 

ADAMUS : Ouais. Aucune importance. Bonne réponse. Un prix Adamus, Linda. Un prix Adamus à Jeffrey.

 

Cela n’a aucune importance, parce que quand vous pensez au mot échouer, cela vient de quoi ? (L'assistance dit « le mental » ) Votre mental, et en réalité cela vient vraiment de vos expériences passées, car il dit : « Oh, je n'ai pas réussi, vous savez, pendant cette vie. Combien de fois as-tu échoué ? »

 

LINDA : Oooh.

 

ADAMUS : Donc le mental se met en place. Ce n'est pas grave, parce que ce sont des pensées humaines. Quand il y a l’implication divine… quand il y a l'implication divine, les choses comme l'échec ou le succès n'existent pas. Juste l'expérience. Il n’y a ni bien ni mal.

 

Prenons une profonde respiration. Plus beaucoup de temps. Hm.

 

 

Au-delà de la Vieille Psychologie

 

Je veux parler un peu de quelque chose qui lie tout cela. Nous allons continuer à creuser le sujet. C'est quelque chose dont Jean et Cauldre ont parlé l'autre soir au téléphone, parce que nous avons tous parlé de ce sujet dans notre conscience, dans notre état de rêve.

 

Les êtres humains ont des problèmes. Ouais. (Adamus rit ainsi que l’assistance) Ouais, profond. C'est une de ces déclarations de Maître. Ouais. Postez-vous à un coin de rue ou à l'aéroport, oui, et crachez des choses comme : « Oui, les humains ont des problèmes ». Ils penseront que vous êtes sage, en fait, si vous le dites bien. « Les êtres humains — ce qui signifie : »  pas moi « -les humains ont des problèmes ».

 

Les êtres humains ont des problèmes. D'autres êtres humains essaient de les soigner et cela ne fonctionne pas très bien et cela fonctionne de moins en moins bien chaque jour. C'est ce qu'on appelle la psychologie ou la psychiatrie. Cela s'appelle aussi la pharmacie. Une meilleure vie grâce à la chimie. Pas vraiment. C'est ce qu'on appelle donner des pilules pour gérer les choses, parce que la vieille psychologie ne fonctionne pas. La vieille psychologie est basée sur le mental. Basée sur le mental et basée, jusqu’à un certain point, sur une perspective très étroite du passé. Elle se trompe en ne tenant pas compte  des vies passées. Elle se trompe en ne prenant pas en compte, oui, l'âme, et je ne m'attends pas à ce qu'elle le fasse, mais elle se limite à une fourchette très limitée de circonstances et elle devient très, très mentale. Donc, cela ne marche pas très bien. Pas très bien, et tout cela ramène à nouveau au sujet des rêves.

 

Quand il y a des problèmes psychologiques, quand tout le mental est concentré et qu’il y a un grand nombre de processus mentaux, pouvez-vous imaginer cela ? Le mental est très intelligent, jusqu'à un certain degré. Il va tourner en rond et en rond et en rond et sentira, parce qu'il fait des étapes, parce qu'il travaille toujours sur quelque chose, qu'il fait des progrès. Mais le mental rit tout le temps, en disant : « Bon sang, je les ai leurrés. Je les ai juste fait tourner en rond ». Le mental aime l'activité. Pourquoi ? Il se sent vivant. C'est comme un ordinateur qui est toujours allumé avec ses perpétuels processus de calcul. Et s'il produit de grandes quantités de pensées et d’émotions, il a le sentiment d’avoir fait son travail.

 

La psychologie est basée sur le mental pour la plus grande part, et oui, les émotions, les émotions viennent du mental. Le mental, comme nous en avons parlé dans certains de nos cours, a créé les émotions comme substitut bon marché pour les sentiments, pour la conscience… la conscience.

 

Et quand le mental s'implique dans les rêves, il devient très, très confus, et il chasse les rêves. Les rêves ne deviennent jamais vraiment une réalité. Ce qui se passe, c’est qu’un petit morceau de rêve atterrit une fois de temps à autre et vous parvient, juste assez de rêve pour que vous continuiez à rêver quelque part ailleurs. Ils ne se manifestent pas. Ils n’entrent pas.

 

Quand quelqu'un a des problèmes psychologiques profonds — ils sont confus, ils ne savent pas quoi faire, ils sont dans un bourbier d'émotions et de pensées, et ils ne peuvent plus résoudre cela — ils vont voir un psychiatre ou un psychologue, et que se passe-t-il ? Ils s’engagent dans de la masturbation mentale, une masturbation mutuelle entre l’un et l’autre, et ils commencent le traitement. Et cela donne un sentiment de soulagement, parce que : « Oh, enfin quelque chose est fait pour démêler.»  mais cela ne fonctionne pas. Vraiment pas.

 

Maintenant, parfois quelqu'un va obtenir un certain soulagement grâce à la thérapie, mais je vais dire que ce n'est pas la thérapie. Il s'agit en fait de la personne ou de l'âme, peu importe quel nom vous donnez, qui dit finalement : « Je suis fatiguée de ce jeu. Je me fiche de ce que le psychologue dit. Je vais retrouver mon équilibre par moi-même ».

 

Tout ce jeu de la psychologie telle qu’elle est pratiquée en ce moment — extrêmement mentale. Nous pouvons aller au-delà en commençant par nous-mêmes. Ça commence toujours par soi-même, parce que quand cela commence ici, vous n'avez pas besoin de sortir, de monter sur une caisse à savon et de prêcher. Tout simplement vous rayonnez et illuminez.

 

La nouvelle psychologie, je l'appellerais — roulement de tambour (l’assistance commence à taper des pieds), ehh, merci, merci — la Psychologie Compassionnelle.

 

La Psychologie Compassionnelle. C'est ce que nous avons fait dans l'un de nos récents DreamWalks. Nous sommes retournés à un moment dans la vie de l'auditeur, à l'époque où vous aviez 18 ans, 24 ans — j'ai pris cette période exprès — pour la re-visiter. Pas pour soigner, pas pour comprendre ce qui a été mal fait ou ce qui fait vous a fait du mal — c'est un problème inhérent à la psychologie mentale — mais pour rendre visite au Soi. Pour rendre visite, pas pour faire quoi que ce soit ; pas pour essayer de réparer ou de corriger ; pas pour essayer d'avoir la sympathie. La sympathie est très différente de la compassion. Mais la compassion était capable de retourner dans cette époque d’il y a 20, 30 ans, de retourner à un incident qui s'est produit.

 

Et, soit dit en passant, c'est toujours intéressant. Si je dis « Retournez à l’époque où vous aviez entre 18 et 24 ans », la plupart du temps les gens disent : « Je suis retourné à un incident que je n’aurais jamais pensé choisir mais je me suis retrouvé là-bas ». Intéressant. Je me demande pourquoi en est-il ainsi. Parce que vous n’y pensiez pas, et probablement parce qu’en fait il était plus important ou avait plus d’influence que celui auquel vous aviez pensé et que vous avez essayé de soigner.

 

Alors vous allez là-bas pour rendre une visite. Que faites-vous durant la visite ? Que faites-vous ? Eh bien, vous avez de la compassion, simplement. La compassion est l'acceptation. Qui ne dit pas : « Oh, pauvre de toi. Regarde ce qui t’est arrivé ». Ça, c'est la psychologie mentale et c'est vraiment très… à un moment donné, ce peut être réellement nocif. Cauldre essaie de m’empêcher de le dire, mais je vais le dire. Je n'aime pas cela. A un moment donné, c’est très, très nocif. Et je sais qu'il y a des gens qui contestent cela et qui disent « Non, cela aide vraiment. Les gens viennent au bureau et ils s’assoient ici, nous parlons de leurs problèmes et ils retournent dans leur enfance ». Vraiment ? ! Et c'est utile ? Parce que c’est en grande partie un processus de retraitement. C'est un peu comme réchauffer encore une fois les vieux haricots et c'est très, très mental. Il n’y a pas de compassion en cela. C'est émotionnel et mental, mais il n'y a pas de vraie compassion.

 

La Psychologie Compassionnelle, ce serait d’aller vous rendre visite quand vous avez huit ans, à partir du Je-Suis que vous êtes en ce moment. Vous allez dans le passé pour rendre visite à votre soi de huit ans. Vous n'avez pas besoin de dire des mots à cet être de huit ans. Vous êtes juste là. Vous n'avez pas à essayer de réparer quoi que ce soit. Vous n'avez pas à donner de faux espoirs ni de promesses. Rien. Juste être présent. Juste être là.

 

Imaginez… bon, putain. Faisons-le, simplement. Bon.

 

 

La Psychologie Compassionnelle

 

Prenons une profonde respiration. Prenez une bonne respiration profonde et pas de musique cette fois, John. Prenez juste une bonne respiration profonde.

 

Vous voici, présents, pénétrant dans votre être cristallin, présents ici à ce Shoud, que vous soyez ici à Coal Creek Canyon ou que vous écoutiez maintenant ou plus tard. Vous êtes dans votre corps. Vous êtes en train de ressentir, de sentir des choses.

 

(Pause)

 

C'est incroyable, en fait, à quel point je dois vous distraire, vous chahuter, juste pour que vous puissiez vous permettre.

 

Vous voici en tant qu’être conscient, et soudain vous vous permettez de vous expanser ; s’expanser signifie que nous n'allons pas sortir du corps. Ce n'est pas une projection astrale. Plus de sortie du corps. Tout vient dans et par le corps maintenant. Mais nous nous expansons. Le corps peut s’expanser. C'est juste de l'énergie… conduite par la conscience.

 

Ainsi, le corps, l'être, le Je Suis s’expanse et retourne à l’époque où vous aviez huit ans.

 

(Pause)

 

Et vous êtes là-bas avec vous-même, avec l’être de huit ans, ne faisant rien d’autre qu'observer et être conscient.

 

(Pause)

 

Il se peut que vous soyez conscient d’un incident. Conscient peut-être de l’émotion ou du traumatisme de vos huit ans. C'est très bien. Oh, vous allez le sentir, absolument et c'est très bien de le sentir. Mais vous n'êtes pas là pour interférer… ou conseiller… ou… ou faire de la thérapie Reiki, des sons de cristal, rien. Vous êtes juste là.

 

Vous êtes là avec vous-même comme un être rayonnant.

 

(Pause)

 

Vous pouvez observer et sentir ce qui se passe.

 

(Pause)

 

Mais n'essayez pas de changer quoi que ce soit. Ceci, mes amis, est la compassion. La compassion que vous seriez là pour vous.

 

La compassion qui fait que vous permettez à tout ce qui se passe de continuer.

 

La compassion qui fait que vous ne jugez rien comme bien ou mal. Vous êtes juste là.

 

(Pause)

 

La compassion. Tout simplement vous accepter.

 

Maintenant, des choses étranges se produisent. A cet instant même, il y a un être humain de huit ans, vos huit ans, qui traverse quelque chose dans votre vie à huit ans… qui sent soudain une présence… qui sent soudain quelque chose qui s'appelle l'amour ou la compassion, qui prend soudain espoir. Qui ne se sent pas si seul ou si perdu. Cet être de huit ans ne sait pas nécessairement comment définir cela. Il se peut qu’il appelle cela un ange ou un saint, ou un de ses amis spirituels qu’il avait l’habitude d’avoir quand il avait deux ans. Mais il ressent juste quelque chose.

 

Et en ressentant quelque chose, à ce moment donné du traumatisme, il permet à des énergies coincées là d’être libres. Quelle que soit la perception que l’être de huit ans a continué à avoir de cet événement, a continué à avoir, quand de huit ans il est passé à 20, à 30 et à 40, cet être de huit ans a conservé la perception de cet événement jusqu'à maintenant. Votre compassion — la compassion pour revenir dans le passé sans jugement — a touché cet être de huit ans. Cela ne change pas nécessairement le résultat linéaire des événements, mais cela a changé la perception, l'amour, la compassion, et la leçon.

 

Voilà, mes amis, c'est la psychologie compassionnelle.

 

Étape suivante. Vous voici comme des humains, assis sur ces chaises ici à Coal Creek ou en train de regarder ; vous voici, quel que soit votre âge. Vous prenez une profonde respiration avec clarté et simplicité… et vous vous permettez de ressentir.

 

(Pause)

 

Il y a quelque chose ici. Ce n'est pas moi. Ce n'est pas « eux » ou « ils ». C'est vous, et l'âme compassionnelle.

 

(Pause)

 

Certains pourraient dire qu’elle vient du futur. Ça n'a pas vraiment d'importance. Mais elle est ici sans jugement. Elle est ici, se rappelant, vous, qu'elle n'est pas seule. Elle est ici avec un grand sourire, disant : « N'est-ce pas incroyable ? Tout s'est bien passé. Même en dépit de vous, tout s'est bien passé. En dépit du doute, des limites, des peurs ».

 

Maintenant, votre mental humain dit : « Oui, mais d’où viens-tu ? De quelle distance dans le futur ? »  Cette âme compatissante dit : « Est-ce vraiment important ? Je suis ici. Je Suis ce que Je Suis ».

 

(Pause)

 

Qu'est-ce qu’il faut ? Qu'est-ce qu’il faut pour être libre ? La clarté et la compassion.

 

La liberté n'est pas une chose dans laquelle vous pouvez entrer ou en sortir par le combat. La liberté n'est pas quelque chose que vous méritez avec vos bonnes actions. Vous n'avez pas à penser comment y entrer. Plus vous pensez, moins vous êtes libres. La liberté c'est la compassion. C'est vous, revenant en arrière et vous visitant quand vous aviez huit ans. C'est votre âme qui vous visite en ce moment-même. Tout cela est la même chose. La même chose.

 

(Pause)

 

Prenons une profonde respiration avec cela. Gardez les lumières tamisées s'il vous plaît. Nous allons passer directement à la partie suivante.

 

Je voudrais faire un merabh,  tant l'énergie est belle en ce moment. Un merabh. Merabh est un changement de conscience où vous ne faites que vous asseoir et laissez venir. Vous n'avez pas besoin d'y penser. Vous n'avez pas à lutter avec cela. Il suffit de le permettre.

 

Prenons une profonde respiration et John, un peu de musique d'ambiance.

 

[La musique commence : « Le Jardin d'Eau » de l'album « Aquaria — Un Trancescape Bleu Liquide » par Diane Arkenstone]

 

Un merabh, c'est quand vous prétendez écouter la musique et moi-même, mais ce que vous faites vraiment, c'est juste arrêter toute cette agitation ;quand vous êtes dans un lieu de compassion. La compassion c'est permettre. La compassion c'est avoir cette attitude qui dessine un grand sourire sur votre visage. Un grand sourire stupide, c'est la compassion. Vous dites : « Je ne sais pas pourquoi je souris. Dois-je avoir une raison ? »  C'est cela, l'attitude.

 

Vous savez, l'être humain, le corps est devenu assez fatigué. Whoo ! Fatigué. Alors, que faites-vous ? Le corps est fatigué, alors vous sortez vous entraîner. Allez comprendre pourquoi. J'essaie encore de comprendre, cela. (Adamus rit)

 

Votre corps est fatigué. Il se fait vieux. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est vous qui le dites. Je ne fais que répéter vos paroles. Le corps devient si vulnérable. Mm, mm, mm. Surtout pour ceux qui ont beaucoup de ce que vous appelez la sensibilité. Vous êtes généralement déséquilibrés. Vous ressentez tout, tout le monde, à part vous-mêmes. Le corps ramasse les déchets de tout le monde. Parfois, c'est même ce que vous souhaitez. Vous prenez les trucs de tout le monde directement dans votre corps — smacko.

 

Le corps, oh ! Oublie comment dormir. Le corps fait mal parfois.

 

Je regarde l'énergie dans vos corps. Ils sont tellement enfermés dans la peur — peur d’eux-mêmes, c'est assez intéressant — mais le corps devient vraiment fatigué… crevé.

 

Un genre de dynamique intéressante, c'est que vous êtes sacrément si fermement résolus, que c'est comme si vous deviez en arriver jusque là, juste vous sentir crevés, avant que vous consentiez à arrêter et écouter.

 

Vous êtes tellement acharnés que le corps a dû se fatiguer jusqu'au point où vous avez permis à ce rêve de l'âme d'entrer.

 

Même si le corps physique humain est fatigué, votre corps cristallin le Je Suis, votre corps de l'âme ne l'est pas. Votre corps de l'âme n'est pas fatigué. Il vient à vous plein d'énergie — une énergie illimitée. L'être humain peut être fatigué et le corps s'épuiser, mais l'âme ne l'est pas. L'âme n'a pas d'âge.

 

Son réservoir est sans fin. Ce corps, le corps cristallin, entre dans votre corps physique.

 

Vous pouvez laisser partir la fatigue, la maladie, les douleurs et les maux, alors que vous invitez le corps cristallin.

 

Le corps cristallin ne se fatiguera jamais comme le corps humain. Pourquoi ? Parce qu'il n'a pas de mental s'y rattachant.

 

(Pause)

 

Vraiment, le corps cristallin ne vieillit jamais.

 

(Pause)

 

Doucement, doucement, le corps cristallin avec la compassion d'un Maître DreamWalker (Marcheur de Rêve), vient à vous en ce moment.

 

(Pause)

 

Le mental humain, oh, il est tellement confus, tellement absorbé en lui-même, essayant juste de passer à travers la journée, essayant de comprendre. Il est devenu si encombré d'histoires, et en fait ce que je considère comme une perception très limitée de ses expériences — en d'autres termes, pas la vérité ; si rempli de ses craintes. Ce pauvre mental, comme un petit lapin effrayé, essayant d'agir avec ardeur.

 

(Pause)

 

Le mental s'enroulant, s'enroulant et s'enroulant encore sur lui-même, voulant désespérément se détendre, mais ne sachant pas comment, alors il continue de s'enrouler et de s'enrouler, de plus en plus serré.

 

L'intelligence divine ne s'enroule pas du tout. L'intelligence divine est  clarté, simplicité et facilité.

 

L'intelligence divine n'a pas besoin de tout savoir, parce qu'à l'intérieur du Je Suis, elle se rend compte qu'elle sait tout ce qu'il faut savoir.

 

Pendant que le mental humain est confus, courant ça et là, cherchant désespérément des réponses, le mental divin arrive.

 

(Pause)

 

Le mental divin vient dans cette réalité, soulageant le mental humain des tensions, de la grisaille, de la confusion, et il le fait avec tant de joie. Il le fait avec une si incroyable compassion. Il a seulement besoin que vous restiez silencieux pendant un moment.

 

L'intelligence divine est cristalline, limpide. Elle a ses structures, mais les structures sont constamment libres, fluides. Elle se permet d'expérimenter, mais n'est jamais prise dans ses expériences. Le mental divin vient à vous dans ce DreamWalk, ce merabh… et il se demande. Il se demande quand l’esprit humain sera suffisamment fatigué pour simplement permettre. Quand l'esprit humain cessera de s'enrouler en cercles, il permettra simplement.

 

(Pause)

 

C'est présent. Ce n'est pas quelque part ailleurs. Ce n'est pas le rêve lointain. C'est ici. Maintenant, qu'est-ce que cela va exiger ?

 

De la compassion…

 

(Pause)

 

Une respiration profonde et la compassion… et la clarté.

 

(Pause)

 

Le cœur humain— ce que vous appelleriez peut-être vos sentiments — le cœur se sent trahi à bien des égards, piétiné, les espoirs souvent détruits ou bien volés par d'autres. Le cœur humain se sent violé par d'autres et souvent par lui-même. Oh, il veut tellement… il voudrait tellement vous faire connaître, et faire connaître à tout le monde sa tendresse, son amour, son désir de vivre. Mais il ressent que chaque fois qu'il s'est  ouvert, il a été attaqué. Ainsi, le cœur humain s'est refermé… parti tranquillement… devenu triste...

 

(Pause)

 

C'est un cœur divin, le Je Suis. Il est clair. Il est frais. Il ne connait pas la trahison et il ne la connaîtra jamais. Il ne sait pas ce que c'est de se faire voler ou violer, et ne connaîtra jamais, jamais cela.

 

Ce cœur humain, il veut tellement ressentir l'amour et la vraie ouverture.

 

Avec le cœur divin, il le peut à nouveau.

 

Le Je Suis, avec son cœur divin, avec son intelligence divine, son corps cristallin, est clair, énergique, intact. Il restera toujours clair, énergique et pur. Il vient à vous dans ce DreamWalk. Ce n'est pas important si cela vient depuis le début de tous les temps. Ce n'est pas important si cela vient à partir du futur. Ce n'est pas important de quelle façon c'est venu ici, mais c'est ici.

 

Ce n'est pas important si vous pensez ou non être dignes, si vous pensez ou non être prêts. Il sait, vous savez, que vous l'êtes.

 

(Pause)

 

Prenez une grande respiration et, avec cette belle reconnexion avec qui vous êtes vraiment, qu'est-ce que cela demande ?

 

Cela demande-t-il plus de souffrance, plus d'échecs, plus de fatigue, de nuits sans sommeil, de mauvaises expériences ? Cela ne devrait pas. Nous sommes dans une nouvelle ère maintenant. Nous sommes dans une nouvelle attitude maintenant. Cela ne devrait pas.

 

(Pause)

 

Il ne devrait plus y avoir de lutte ou de souffrance. Lorsque nous nous réunissons chaque mois, cela devrait être simplement pour parler de combien vous avez permis, et non pas des difficultés que vous avez eu à traverser.

 

Profonde respiration…

 

Vous êtes venus vous rendre visite depuis le passé, le présent, le futur et le Maintenant. Le soi cristallin est venu pour s'incorporer en vous, pour entrer dans ce corps fatigué, dans le mental confus et le cœur brisé, pour revenir au Je Suis.

 

(Pause)

 

Que faut-il ? Juste cette simplicité. C'est tout. C'est tout.

 

Prenons ensemble une profonde respiration.

 

(Pause)

 

Doucement, doucement, vous permettre de revenir à la maison.

 

Sans penser à notre façon de traverser cela.

 

Ne plus seulement en rêver. Ne plus maintenir tout cela quelque part ailleurs.

 

C'est aussi simple que cela. Ça l'est vraiment.

 

Nous avons beaucoup de travail à faire, amusant à faire. Laissons cette clarté et la compassion avancer.

 

Parfois, lorsque nous nous réunissons ainsi, je peux être un peu direct, provocateur et extrêmement charmant. (Quelques rires) Lorsque nous nous réunissons ainsi, oh, j'aime appeler le makyo, makyo. Mais vous avez demandé cela, fatigués à l’idée d'une seule étape spirituelle de plus. Donc, plus d’étapes à franchir.

 

Prenons une profonde respiration et rallumez les lumières, mais, restons simplement dans la douceur. Je vais donner un peu de nouvelles et nous ferons de la respiration, alors que nous terminons cette session.

 

Prenez une bonne et profonde respiration.

 

Soit dit en passant, cette compassion incroyable de votre âme, l'âme qui vient vous rendre visite depuis le passé, le présent, le futur et le Maintenant, c'est très réel. Très réel. N'y réfléchissez pas cependant, parce que c'est ce que vous allez faire. Vous allez rentrer à la maison plus tard et dire : « Maintenant, je vais essayer de le faire à nouveau ». Il s'agit simplement de permettre. Juste de permettre. Ce n'est pas un ensemble d'étapes.

 

Donc, alors que nous parlons de rêves… vous pouvez arrêter la musique cotonneuse, maintenant. (Quelques rires)

 

 

Le Rêve de Liberté

 

Alors que nous parlons de rêves, je veux aborder une chose — et il y a beaucoup, beaucoup de niveaux de rêves.  Je parle ici du rêve de la liberté, le rêve du Je Suis incarné avec son être cristallin et son être biologique ; incarné avec son intelligence divine et le mental, le tout incarné ensemble. Je parle du rêve de votre liberté. Votre liberté.

 

 

Intéressant. La Terre est très, très intéressante en ce moment. Nous parlons de la liberté depuis plusieurs années. Cette question est toujours en suspens : Les humains sont-ils vraiment prêts pour la liberté ? Ou bien veulent-ils juste un peu d'amélioration, à peine juste assez, un petit peu plus d'à peine juste assez ?

 

C'est une bonne question et vous voyez ce conflit éclater partout dans le monde, partout, de l'Egypte aux Etats-Unis, en Amérique du Sud, partout. Vraiment, la dynamique qui a lieu dans ce monde en ce moment, c'est au sujet de la liberté. C'est la liberté religieuse, la liberté sexuelle, la liberté du cœur et de l'âme, la liberté d'être une femme ou un homme, la liberté d'être Je Suis.

 

Vous voulez identifier quel est le problème avec le monde ou quel est le défi ? Que regardons-nous à partir de notre perspective ? La Terre traverse son problème de liberté. Et il y a un groupe d'humains, ah, qui vont à la Cour royale une fois par mois, un groupe d'humains qui dit : « Oui, ceci est mon choix pour la liberté ». Mais ensuite, ils commencent à affronter des défis en cours de route, des barrières le long du chemin, mais il y a cette passion brûlante pour la liberté.

 

Alors, un dernier point. Ah, oui, j'ai fait court aujourd'hui. Un dernier point.

 

 

La Banque Mondiale Libre et Illuminée

 

Il y a une chose appelée — vous l'appelez — le Trust Mondial de St-Germain. Ooh. Le Trust Mondial de St-Germain. Beaucoup d'histoires en ce moment à ce sujet, et il y a un pourcentage de vérité. En fait, c'est… littéralement, le nom n'est pas le Trust Mondial de St-Germain. Ne serait-ce pas agréable ? Mais non. Certains l'appellent ainsi. Croiriez-vous que certaines personnes aiment réellement utiliser mon gentil nom ? Hm.

 

C'était vrai jusqu'à un certain point, car je faisais partie d'un groupe qui avait commencé un — comment vous l'appelleriez — une banque d'abondance. Le vrai nom est la Banque Mondiale Libre et Illuminée. Qu'est-ce que cela signifie ? Eh bien, cela veut dire qu'il y a longtemps, vous et moi, et d'autres aussi, avons littéralement pris des cristaux, des bijoux précieux — des diamants, des rubis, des saphirs, des émeraudes, de magnifiques bijoux — et nous nous sommes dit : « Nous allons littéralement les mettre dans la Terre, dans des cavernes et des grottes très bien protégées. Nous allons les mettre à l'intérieur de la Terre, parce qu'ils ont un — parce qu'ils sont vraiment agréables à regarder- parce qu'ils contiennent beaucoup de qualités énergétiques » Et à l'époque avec cette cachette — plusieurs, beaucoup de cachettes — de très précieux bijoux en cristal, certains d'entre eux ne sont en fait même pas de cette planète, ils viennent d'autres endroits de la création qui sont tout simplement incroyables.

 

Nous les avons stockés dans certaines caves ou grottes à travers le monde et nous nous sommes dits qu'au moment approprié nous allions également les utiliser comme mécanisme d'enracinement pour faire venir les énergies divines multidimensionnelles. Et lorsque cela arrivera, il y aura une grandiose abondance, une abondance illimitée d'énergie pour ceux qui sont prêts, désireux et capables de gérer tout cela, pour ceux qui ont intégré leur propre Je Suis cristallin ou du moins qui ont entamé le processus de l'intégrer à leur corps. Ce n'est pas conçu pour ceux qui veulent juste être des humains plus grandioses, plus riches. Cela ne — je dois le répéter très fermement — cela ne fonctionnera pas pour quelqu'un qui veut juste avoir plus de richesse humaine. Mais pour quelqu'un qui est en train d'intégrer sa propre conscience cristalline, c'est et ce sera disponible.

 

Vous pourriez presque l'appeler une réserve illimitée. La quantité d'énergie liée à cela est stupéfiante. C'est disponible pour ceux qui pensent être prêts à le gérer, qui ont un projet.

 

Maintenant, le projet n'est pas nécessairement fait juste pour payer vos factures impayées. (certains rires) Le projet est de vouloir créer quelque chose. Vous voulez commencer à faire de vos rêves une réalité et vous allez faire venir l'abondance pour cela. Ce sera disponible. Vous n'avez pas à passer par un comité. Il n'y a pas de banquiers. Ce qui est bien à propos de ce fonds illuminé c'est que c'est vous qui arrivez et vous prenez autant que vous voulez. N'est-ce pas stupéfiant ? Aucune vérification de crédit. Non. Pas du tout. Non. Aucun comité qui va vous refuser. Vous y allez et vous retirez autant que vous le souhaitez. Et ce qui est bien c'est que vous n'avez jamais à rembourser.

 

Maintenant, cela sonne bien. L'Internet est déjà en train de clignoter. Ohh, les e-mails arrivent. Mais pour ceux qui ne sont pas prêts à intégrer leurs rêves, à incorporer le Je Suis, cela ne fonctionnera pas. Tout d'abord, ils ne trouveront jamais l'endroit. Deuxièmement, même s'ils le trouvaient, les énergies qui sont associées à cela, pourriez-vous dire, vont mettre en évidence leurs faiblesses plutôt que leurs forces. Cela va littéralement travailler contre eux.

 

Maintenant, nous allons en parler davantage lors de notre prochaine session, parce que j'ai dit à Cauldre que nous finirions tôt aujourd'hui. Je me rapproche le plus possible de 17 heures. C’est à votre disposition. Maintenant, je peux déjà entendre 9.000 questions. « Est-ce que cela va venir à moi en espèces ou par chèque ? (Rires) Est-ce que cela sera écrit sur le compte-chèque de la Banque Mondiale Libre et Illuminée ? »

 

LINDA : A qui devrions-nous envoyer un e-mail ?

 

ADAMUS : A qui devriez-vous envoyer un e-mail ? Oui. Linda. (Rires)

 

Permettez-moi de souligner certaines choses, nous allons poursuivre la discussion le mois prochain. Cela va maintenir une bonne audience.

 

Un certain nombre de choses. Vous y allez et retirez autant que vous voulez et il n'y a aucune obligation de dette. Il n'y a aucun intérêt. Vous n'avez pas à rembourser. Mais vous devez le mettre à profit. Vous devez en faire quelque chose. Vous devez faire quelque chose pour manifester vos rêves et non ceux de quelqu'un d'autre. Pas pour sauver le monde. Cela ne fonctionnera pas en ce sens. C'est pour vous. Il s'agit d'un cadeau pour vous et vous seuls, et il y en a plein pour tout le monde. Mais cela n'a pas à être utilisé pour accommoder les autres.

 

Rappelez-vous, à partir de maintenant — de la Psychologie Compatissante. Cela vaut aussi pour les gens dans votre vie, avoir un peu de compassion pour eux.

 

Les énergies associées à cela sont soutenues par les archanges. Les archanges ont pris une sorte de résidence temporaire en ce moment sur la Nouvelle Terre. Cent quarante-quatre mille d'entre eux se sont assemblés en même temps. Pourquoi ? C'est la première fois que cela se produit depuis la création même de l'Ordre de l'Arc. Pourquoi sont-ils tous là ? Que font-ils ?

 

Ils comprennent en ce moment-même l'équilibre entre la Nouvelle Terre et l'Ancienne  — et encore une fois, nous en parlerons dans notre prochaine session — ce qui se passe, les dynamiques. Ils aident à construire le pont. Ils sont un arc. Ils sont un pont entre les deux. Ils aident à soutenir et à maintenir un équilibre pour vos retraits. Ils sont là en tant qu'équipe qui aide à garder les énergies équilibrées et en mouvement pour vous et pour vos projets.

 

En fait, cet Ordre de l'Arc, qui est composé de tous les archanges, est en fait — oh, comment diriez-vous ? — presque en train de se recréer, se reproduisant en tant qu'Ordre de la Nouvelle Terre. Pas le Nouvel Ordre Mondial, mais l'Ordre de la Nouvelle Terre. Ce n'est pas une conspiration. Il s'agit d'un mécanisme de soutien.

 

Maintenant, entre-temps, certains parmi vous vont peut-être recevoir des courriels ou de l'information sur ce que l'on appelle le Trust Mondial de Saint-Germain. C'est en partie vrai. Il y a cet investissement qui fructifie depuis longtemps, mais ce n'est pas de l'or dans une banque. Ce sont littéralement des cristaux, des pierres précieuses qui sont dans la Terre. Dans la Terre non pas nécessairement pour empêcher les gens de le voler, car cela n'irait vraiment pas bien pour eux s'ils le faisaient, mais là pour rayonner, là aussi pour attirer les énergies inter-dimensionnelles.

 

Il y a beaucoup d'e-mails qui circulent en ce moment, que le Trust Mondial de Saint-Germain va être là pour vous aider à payer vos factures et vos dettes. Est-ce que cela ressemble à Saint-Germain ? (L'assistance dit « Non » ) Non, non, nous n'allons pas simplement  donner — oui, vous voyez, je fais court aujourd'hui — nous ne faisons pas que distribuer de l'argent, parce que, tout d'abord, nous nous connaissons. Enfin, moi je vous connais. Si soudainement vous aviez une grande quantité d'argent pour payer vos dettes, que feriez-vous ? (Quelqu'un dit « Le claquer » ) Vous reviendriez immédiatement dans l’endettement. (Quelques rires)

 

SART : Acheter tout ce qu'on voit !

 

ADAMUS : Acheter tout ce que vous voyez, oui, et revenir dans l’endettement. Vous connaissez  la vieille histoire qui raconte que si tout l'argent était pris aux gens riches et donné aux pauvres, dans les deux ans les gens riches auraient retrouvé leur richesse. C'est une attitude. C'est une attitude, que d'être pauvre ou d'être riche.

 

Donc ce fonds, le fonds illuminé — et non Illuminati, et je ne veux pas  entendre parler de vos damnées histoires de conspiration à ce sujet (Rires) — est illuminé, radieux. Il est disponible.

 

Ainsi, entre maintenant et notre prochaine rencontre, quels sont vos rêves ? Quelle chose aurez-vous assez de courage de faire venir jusqu'ici ? Parce qu'il y a un soutien énergétique pour cela. C'est un peu effrayant. Il est plus facile de garder les rêves hors d'ici, quelque part ailleurs, mais, mes amis, prenons une profonde respiration, parce que le moment est venu.

 

Et quand vous pensez à vos rêves et à la Banque Mondiale Libre et Illuminée — l'énergie qui va soutenir vos rêves — et vous devenez un peu effrayés et vous commencez à penser : « Oh ! Je ne sais pas quoi rêver, et qu'arriverait-il si je le bousillais », arrêtez un instant, prenez une profonde respiration et rappelez-vous que tout est bien dans toute la création.

 

Je vous remercie, on se revoit à notre prochaine réunion. Merci. Merci.