LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Liberté

SHOUD 1 : “L'Appel à la Liberté” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 6 Octobre 2012
www.crimsoncircle.com


Je suis ce que je suis, le libre et souverain Adamus St-Germain.

 

Soyez les bienvenus dans la nouvelle Série, Shaumbra. Bienvenus dans la « Série de la Liberté ».  Hm. Ça sonne bien. Ça va être difficile (rires) Je dis ça, vous riez, mais c'est réel.

 

Nous allons discuter de la liberté, aujourd'hui.  Je dirais que, jusqu'à maintenant, c'est peut-être le message le plus important que vous vous êtes donné à travers moi – le plus important;  peut-être pas le plus brillant ou le plus sage, mais le plus important;  peut-être pas le plus long, pas le plus court non-plus, mais le plus important – parce que tout ce qui arrive en ce moment est à propos de la liberté.  Tout ce qui arrive dans votre vie est à propos de l'illumination.  Tout ce qui arrive avec la transition hors de l'ancienne ère est à propos de la liberté.  Tout.  Vous pouvez le nier.  Vous pouvez foncer dedans.  Hm.  (Certains s'amusent alors qu'il marche derrière Dave Schemel, « foncer »). Vous pouvez prétendre que je parle à quelqu'un d'autre.  Mais tout, tout ce que traverse la planète en ce moment est à propos de la liberté.

 

Ce n'est pas étonnant si l'énergie est un peu, mmmmmm, anxieuse aujourd'hui, ne diriez-vous pas?  Pensez-vous vraiment qu'écrire des notes va aider? (rires).  Vous êtes libre de le faire.

 

SHAUMBRA 1 (une femme) : Merci.

 

ADAMUS : L'Énergie – un peu tendue.  Quoi de neuf prochainement ?  Hein?  Que va-t-il arriver dans ces prochains trois mois très critiques de votre vie?  Hm.  Très critiques oui.  Que s'est-il passé à l'intérieur de vous?  Pourquoi cela a été un peu confus dernièrement?  Pourquoi cela a été brumeux dernièrement?  Pourquoi cela a juste été dernièrement?  (Quelques rires)

 

De beaux costumes aujourd'hui. (Beaucoup se sont déguisés).  J'espère que l'on pourra le faire chaque mois.  Oui.  Pourquoi?  Parce que ça montre que vous êtes libres.  Libres de vous habiller comme vous voulez.  Pas comme tous les autres dans la rue.  Sans vous conformer à autre chose que de permettre votre propre liberté.

 

 

S'ouvrir

 

Prenez une profonde respiration, mes chers Shaumbra, et alors que vous le faites, laissez votre cœur s'ouvrir.  Ouvrir le cœur littéralement le cœur.

 

Avez-vous ressenti un peu d'anxiété dans le cœur alors que nous avons débuté aujourd'hui?  Hm?

 

Prenez une profonde respiration et ouvrez ce cœur.  Comment faites-vous cela?  Vous choisissez simplement et permettez.

 

Ce cœur veut s'ouvrir.  Oh, autant vous avez essayé de le garder fermé, autant vous avez pensé ne pas savoir ce qu'était cette énergie du cœur, prétendu ne pas savoir ce que c'était – oh, et vous savez ce que c'est – malgré le fait de le garder fermé parce que vous aviez peur d'être blessé encore une fois.  Eh bien, vous allez être blessé encore, donc vous devriez aussi bien ouvrir le cœur.  Vous allez être blessé par vous-même, Andy.  Ce n'est pas une bonne nouvelle, ça?  (Adamus en rit)

 

Permettez-vous d'ouvrir le cœur aujourd'hui.  Arrêtez de trop penser (il embrasse la tête d'une femme dans l'assistance), penser autant.  Et, comme nous en parlons, ouvrez votre mental aussi.  Oui.  Vous savez, ce n'est vraiment pas l'esprit qui est le problème.  Vous êtes le problème.  (Adamus rieur et quelques rires).

 

SHAUMBRA 2 (un homme) : D’habitude, oui.

 

ADAMUS : D’habitude, oui.  Toujours, définitivement.  Vous êtes le problème, et je dis cela très affectueusement.  Vous avez cette chose appelée le mental.  Vous êtes coincés dans le mental.  Vous êtes piégés dans le mental.  Mais qui vous a mis là?  (Certains disent « Nous l'avons fait »).  Sans blague!  Pas moi.  (Adamus rieur)  Oui, vous l'avez fait.  C'était une place confortable.  C'était une place fermée.  C'était une place limitée pour vous permettre d'avoir quelques expériences intéressantes sur la planète, mais maintenant vous allez au-delà de ça.  Alors vous pouvez ouvrir le mental aussi.

 

Oh, c'est encore plus dur qu'ouvrir le cœur.  Plus dur.  Plus difficile.  Pourquoi?  Parce que dans un mental fermé vous pouvez réellement contrôler, limiter vos expériences.  Vous pouvez les garder dans ce qui est pour vous une distance confortable.  Vous pouvez exagérément définir vos expériences et leur interprétation.

Mais quand vous ouvrez votre mental, il se passe des choses renversantes.  Oui.  Des choses renversantes.  Et il y aura des moments où vous ressentirez que vous sortez de votre mental, mais ce n'est pas cela.  Vous êtes juste en train de revenir à vous – vous redevenez vous-même.

 

 

Le problème de la Liberté

 

Alors ceci est, vraiment, la Série de la liberté.  Observez attentivement, observez-vous attentivement, et tout autour de vous, en particulier durant les trois prochains mois, parce que tout le monde affronte le problème de la liberté.  Tout le monde.  Je veux dire tout le monde.

 

C'est un problème cosmique, voyez-vous.  Ce n'est pas seulement cette chose ici sur Terre.  Ce n'est pas seulement vous.  C'est un problème cosmique.  Ce n'est pas la fin d'une ère rien que pour la planète ou votre système solaire.  C'est la fin d'une ère pour toute la création.  Hmmmm.  Plutôt grisant.

 

Prenez une profonde respiration.  Ouvrez ce cœur;  ouvrez votre esprit.

 

Et ça l'est vraiment.  C'est pourquoi vous êtes en train d'obtenir beaucoup d'information, de sensations et de réactions, et vous vous demandez d'où diable tout cela vient-il en ce moment.  Cela vient de partout.  Vos familles spirituelles – cela vient d'elles.  Tout autour du cosmos il y a cet éveil, vous pourriez dire.  Il y a ce désir de liberté, il y a aussi une peur intense de la liberté, une anxiété intense.  Oh, et ce n'est pas seulement ici sur cette planète que l'on argumente et débatte – ils appellent ça des sujets différents mais essentiellement c'est à propos de liberté – c'est en train de se passer dans toute la création en ce moment même.

 

Voyez-vous, quand l'Esprit, l'Éternel vous a gratifié de votre souveraineté potentielle, votre unique Je Suis, Il a dit, « Va de l'avant.  Découvre-toi.  Découvre le Je Suis. »

 

Vous l'avez fait.  Vous l'avez tous fait.  Tous les êtres ayant une âme l'ont fait.  Mais ils en sont arrivés au point, un point qui existe toujours, qui se trouve dans sa forme d'énergie bloquée à cause de la conscience bloquée.  La conscience de tous les êtres angéliques qui ont joué, se sont amusés, et ont crée des expériences cosmiques, angéliques.

Mais arrivée à un certain point, cette conscience – votre conscience, la conscience de vos familles angéliques, de l'Ordre de l'Arc et tout le reste – s'est subitement arrêtée et s'est dit, « La prochaine étape, c'est la liberté ».

 

La Liberté de quoi?  Eh bien, essentiellement, liberté par rapport à l'Esprit.  Liberté par rapport à la Maison.  Liberté par rapport à Dieu.  Liberté par rapport à l'Éternel.  Vous voyez, en tant qu'enfant de Dieu, nous en venons tous au point de relâcher même cela.

 

Ah! Je vous pousse à bout.  Quelques uns parmi vous disent « Mais, mais, mais,...euh... comment est-il possible que je sois libre de l'Esprit?  Ne suis-je pas l'Esprit?  Qu'arrive-t-il lorsque j'accepte d’être libre de l'Esprit, de la Divinité?  Eh bien, vous acceptez soudainement le Je Suis et votre propre souveraineté, libre et indépendant – quelque chose que l'Esprit a toujours désiré.  Toujours désiré.

 

L'Esprit a donné à chacun de nous le plus beau cadeau qui soit – la souveraineté, la liberté, le Je Suis ce que Je Suis.  L'Esprit ne l'aurait pas fait autrement, ne l'aurait pas fait à moitié, n'aurait pas dit, « Je vais te laisser exister, mais je vais te maintenir dans des limites. Je vais te laisser exister, mais tu seras toujours mien.  Tu seras toujours venu de moi. »  Non.  L'Esprit, dans son infinie compassion et son amour a dit, « Je vais te donner tellement, Pete.  Je vais tout te donner.  Tout.  Jusqu'au point où un jour tu auras la liberté totale, même de moi.  Nous serons toujours copains.  Je vais toujours savoir tout ce que tu auras fait (quelques rires).  Je t'aimerai toujours mais à un certain point tu te libéreras même de moi.

 

C'est cela, la véritable souveraineté et la véritable découverte de l'âme, et aussi le pas le plus dur.

 

Quand les êtres angéliques jouant dans la création sont arrivés au point de réaliser qu'il était temps pour la liberté et la souveraineté, la conscience s'est alors limitée, réduite, restreinte.  Qu'est-il arrivé alors?  L'énergie a cessé de bouger, ou du moins de se mouvoir librement sur le chemin comme elle le faisait.  La conscience a créé une impasse pour l'énergie.  L'énergie est encore là, mais elle tournoie au lieu de couler librement et de se déployer et bouger.

 

L'énergie a commencé à tourner sur elle-même, et vous savez à quoi ça ressemble de ne pas permettre à votre propre énergie d'être libre et de s'exprimer, et vous savez exactement ce qui arrive. Ça s'en va à l'intérieur de vous.  Ça se met à vous déchirer.  Ça commence à vous rendre fou, ça introduit plein de choses bizarres dans votre vie, et même si vous dites, « Je ne sais pas pourquoi ceci arrive », oui vous savez.  C'est vous.  L'énergie doit faire quelque chose en réponse à la conscience, même si cela veut dire détruire ce qui était faux.  Oh, certains d'entre vous peuvent penser que c'était vrai, hm?  Mais ça va détruire ce qui était faux.

 

Vous pourriez dire que l'énergie continue de se mouvoir, mais elle s'en va à l'intérieur.  Ça va abattre quelques uns de ces murs.  Ça va vous rendre malade, vous rendre fou, vous rendre triste, vous rendre dépressif, et toutes ces sortes de choses.  C'est juste de l'énergie et cela répond à votre conscience.  Et Tout cela est à propos de liberté.

 

Quand les énergies ont cessé de bouger dans les royaumes angéliques il y a très, très longtemps, c'est à ce moment que vous, en tant qu'êtres angéliques, avez décidé de venir sur cette planète – une façon de comprendre la conscience et l'énergie, une façon de vous comprendre vous-mêmes en tant qu'êtres uniques, une façon de vous comprendre de l'intérieur, très profondément dans l'expérience.

 

Vous saviez depuis le tout début que tôt ou tard votre propre appel à la liberté viendrait, et nous y voilà.  Ce n'est pas seulement la fin du calendrier Maya ou quelque cycle astrologique cosmique ou même juste le cycle Atlante.  C'est la fin d'une ère qui vous a maintenu dépendant de quelque chose ou de quelqu'un d'autre, incluant l'Esprit, ma sœur (à Kathleen qui porte un costume de nonne).  Vous auriez aussi bien pu juste enlever ces vieux vêtements, Père (à Sart qui porte un costume de prêtre).  Laisse-les partir.

 

 

Etre libre de l'Esprit

 

Maintenant, certains parmi vous diriez que c'est un blasphème.  Un blasphème.  Comment pouvez-vous vous éloigner de l'Esprit?  Comment pouvez-vous vous éloigner de Dieu?

 

Eh bien, définissons la différence.  Dieu – une création de l'homme.  Je vous ai déjà dit exactement ce que je ressens à propos de Dieu.  C'est une farce créée par l'homme.  Ça l'est vraiment.  C'est un mensonge.  Oh, c'est un immense mensonge, et cela a été développé, modifié, raffiné au fil des ans, des livres publiés.  Comme s'ils avaient vraiment été écrits par Dieu?  Non.  Certains inspirés, oui, pour leur époque, mais maintenant c'est un temps nouveau, une nouvelle ère.

 

Cauldre est en train de me dire que je marche sur une fine de glace.  Non, il n'y a pas de glace.  Je marche sur l'eau. (Rires) Et ma chère Linda d'Eesa qui regarde...

 

LINDA : Charmant (elle n'en est pas très sûre).

 

ADAMUS : Si heureux aujourd'hui (Adamus rieur)

 

LINDA : C’est très bien.

 

ADAMUS : Donc Dieu – une création de l'homme.  Et alors vous utilisez le mot «Esprit »  de façon interchangeable - « Esprit » peut sembler un peu mieux que « Dieu », peu importe comment vous l'appelez - c'est la source créatrice à l'intérieur de vous.  Oui, c'est aussi l'unité à l'intérieur de vous, mais maintenant le temps de la liberté est venu, quelque chose que l'Eternel a toujours voulu.  Pourquoi?  Eh bien, pour utiliser des termes humains vous pourriez dire que pour vraiment connaître le Je Suis de l'Eternel, de l'Esprit, Dieu Mère-Père, appelez-le comme vous voulez, pour vraiment le comprendre, il fallait qu'il y ait la liberté.  Il fallait qu'il y ait une libération finale du soi, un lâcher-prise final du soi.  Plus de contrôle du soi, et depuis longtemps ce soi était aussi vous.  Mais en définitive, c'est à propos de libération, de laisser partir, alors l'Esprit, l'Eternel, peut vraiment se connaître Lui-même.  Comme vous en venez à vous connaître, à accepter votre liberté et souveraineté, l'Esprit va comprendre sa propre souveraineté.

 

Un genre de proposition intéressante.  La plupart des humains ont tendance à penser que l'Esprit est élevé,  qu'Il sait tout, peut tout faire.  Non.  Non.  L'Esprit, comme j'en ai déjà parlé, est la simplicité absolue, la pureté absolue.  D'une certaine façon, plutôt comme un enfant avec son innocence. L'Esprit ne sait pas ce qui va arriver prochainement, vous le savez, vous?  L'Esprit ne connaît pas toutes les pensées que vous avez, car vous pouvez vous bloquer vous-même. Vous voulez des preuves?  Vous vous bloquez de vous-même, vous pouvez donc vous bloquer de l'Esprit.  Par conséquent, l'Esprit peut se bloquer de vous.

 

L'Esprit ne sait pas tout.  Ça serait un jeu malsain si tout était su, tout ce qui devait arriver et être.  Ça serait un jeu malsain.  Cela aussi est une expérience pour l'Esprit.  Quand vous découvrez quelque chose au sujet de vous-même, l'Esprit découvre quelque chose au sujet de lui-même.  Lorsque vous voyez un beau coucher de soleil, l'Esprit voit un beau coucher de soleil.  L'Esprit ne l'a pas vu avant vous et ne vous a pas envoyé là-bas pour voir, « Regarde ce beau coucher de soleil que j'ai créé ».  L'Esprit vous a demandé de le créer et alors l'Eternel le voit et le ressent et l'expérimente.

 

On pourrait donc dire que vraiment l'Esprit comprendra Sa souveraineté quand vous allez comprendre la vôtre.

 

Prenons une profonde respiration.

 

Et la même chose s'applique à la liberté.  À la liberté.  L'Esprit – hum (il s'arrête pour boire une gorgée) – comprenant la liberté quand vous le faites.  La liberté.

 

Nous entrons là-dedans avec cette Série.  Dans cette Série.  La liberté – le symbole juste ici (en indiquant le symbole sur son lutrin).  Juste ici.  Le cercle – l'achèvement, devenant un cercle complet.  Le Pique – l'ascension.  Renversez le Pique, vous avez un cœur.  Le Pique – l'ascension.  La fleur de lys – l'intégration.  L'intégration du masculin, féminin, lumière, ombre, humain, Esprit.  C'est juste ici.  C'est juste ici.

 

LINDA : Charmant.

 

ADAMUS : (le tenant) Juste ici. (Quelques applaudissements).

 

Donc, ceci est vraiment la Série de la Liberté.  Oui!  Ça semble charmant, et ça l'est, et les prochains mois jusqu'à – vous pourriez dire que c'était le 12 décembre, le 21 décembre, le 31 décembre, ce n'est vraiment pas important – les prochains mois vont être intéressants.  (Adamus rieur) Oh oui.  (il prend une épée qui fait partie de son costume) Intéressants.  Hm.  Un défi – ça ne vous dérange pas si je vous pointe, n'est-ce pas?  (pointant quelqu'un avec son épée)

 

SHAUMBRA 3 (une femme) : Non.

 

ADAMUS : Oui.  Un peu difficile.  Ah, vous allez voir la planète devenir vraiment un peu folle.  Oui,  Voyez-vous, vous allez vous voir devenir fou.  Oui.  Vous allez vous voir traverser et expérimenter ce qui va vous rendre libre.  (il touche Roy sur l'épaule avec son épée)  Ah, je me rappelle le jour où c'était ce que nous faisions (rires)  Oui.  Oui.  Une petite cérémonie de baptême.  Oui.  Alors – Oh, oui, pour la photo.  (Adamus lève son épée).  Bien.

 

Oui.  Donc libre.  Je suppose qu'il est approprié pour moi d'avoir une vraie épée aujourd'hui.  Oui, parce que... eh, eh, eh, eh, eh (il fait un peu onduler l'épée autour)... ouais, ouais.  Parce que... vous ne pensez pas vraiment que je vais vous donner un coup avec ça, n'est-ce pas?

 

DAVID : Pas intentionnellement (rires)

 

ADAMUS : Pas intentionnellement.  Ouais, je pourrais juste glisser et tomber.  Vous seriez libres!  (Rires) 

Il est approprié que j'aie une vraie épée aujourd'hui, oui, pour couper quelques liens.  Oui.  Pas pour couper aucun d'entre vous, précieux amis, mais pour couper quelques liens.  Alors, je ne vais pas lancer ça autour de moi.  Je peux dire que ça rend quelques uns nerveux.  (Il dépose l'épée).

 

 

Qu'est-ce que la liberté?

 

La liberté.  Regardons ensemble.  Qu'est-ce que la liberté?  Linda, le micro s'il vous plaît.  Qu'est-ce que la liberté?

 

Prenez une respiration profonde.  Ressentez-le de l'intérieur pour un moment.  Qu'est-ce que la liberté?  Joli mot.  Un mot souvent galvaudé, un mot incompris.  Qu'est-ce que la liberté?

 

Mary : C’est permettre à tout d'arriver dans le moment.

 

Adamus : Permettre à tout d'arriver dans le moment.  Bien.  Bien.  J'aime ça.  Je vais l'écrire.  Permettez-vous à tout d'arriver dans le moment, Mary?

 

Mary : Non.

 

Adamus : Vraiment?  Pourquoi pas?

 

Mary : Je pense que mon mental s'impose parfois.

 

Adamus : Vous pensez?  (rires)

 

Mary : Ouais, exactement!  Il n'y avait pas d'erreur là.

 

Adamus : Vous avez dit les mots!

 

Mary : Il n'y avait pas d'erreur là.

 

Adamus : Permettre dans le moment.  Permettre dans le moment.  Quelle merveilleuse chose.  Pourquoi ne permettez-vous pas dans le moment?

 

Mary : La peur.

 

Adamus : La peur.  La peur de quoi?

 

Mary : De laisser partir.

 

Adamus : La peur de quoi?  Pratique, la vraie vie.  La vraie vie.  La peur de...?

 

Mary : De ne pas avoir assez d'argent.  De ne pas avoir de maison.  De ne pas avoir...

 

Adamus : Eh bien, ce sont des conneries, vous avez déjà tout ça!  Je veux dire... (Adamus en rit)

 

Mary : Ouais, exactement.  Exactement, alors que diable (elle et Adamus en rient)

 

Adamus : Alors, maintenant de quoi avez-vous à avoir peur?  Ouais.  De quoi avez-vous à avoir peur?  Oui.

 

Mary : De rien.

 

Adamus : Puis-je vous dire de quoi vous avez peur?

 

Mary : S’il vous plaît.

 

Adamus : Vous avez ces voix-là – la voix de la mère, la voix du père, la voix du professeur, et la plupart d'entre vous, à un degré ou l'autre – vous les avez vraiment.

 

Mary : Oh oui.

 

Adamus : Vous les aimez.  Vous les aimez, et elles jouent tout le temps.  Elles sont toujours là, et ce sont ces choses dont vous avez peur parce qu'elles vous disent, « Non Mary.  Sois une bonne fille. »  Pourquoi ne pas être une mauvaise fille des fois.  (Quelqu’un dit « Oooh »)  Juste... ouais oooh.  (Rires et Adamus rit)  Ouais, juste pour l'expérimenter.  Juste pour l'expérimenter.  Arrêtez d'essayer d'être si bonne.  Vous voyez, c'est là que vous passez à côté de cette chose, la liberté.

 

Mary : C’est vrai.

 

Adamus : Ouais.

 

Mary : Merci.

 

Adamus : Bien.  Formidable.  Bien.  Qu'est-ce que la liberté?

 

Ladonna : J’ai aimé la sienne.

 

Adamus : Ouais.  Tu ne peux pas avoir la sienne.  Qu'est-ce que la liberté?

 

Ladonna : Ne pas être si effrayée par la vie.

 

Adamus : Pourquoi êtes-vous effrayée par la vie?

 

Ladonna : (au bord des larmes)  C'est juste que beaucoup de choses arrivent.

 

Adamus : En effet.

 

Ladonna : Ça a été une année difficile, et...

 

Adamus : Ah, les quelques prochains mois vont être...

 

Ladonna : Je suis impatiente que tout cela se termine.  Encore trois mois.

 

Adamus : Ouais.  Oh, et que va-t-il se passer d'après vous à la fin de l'année?

 

Ladonna : J’espère que l'énergie aura suffisamment changé pour revenir à...

 

Adamus : Qu’est-ce qui fait changer l'énergie?

 

Ladonna : Dites-nous.  (Rires)

 

Adamus : J’en ai!  Pas plus!  (Adamus rieur)  La conscience.  La conscience.  Qu'est-ce que la conscience?

 

Ladonna : Juste vraiment beaucoup de peur.  J'ai juste... toute la question de la peur en était une bonne.

 

Adamus : Ouais, ouais.  Beaucoup de peur.  Qu'est-ce que la conscience?

 

Ladonna :  Um...

 

Adamus : Adamus leçon 1.

 

Ladonna : Um, bigre!  Juste être...

 

Adamus : Vous!  Vous!  La conscience!

 

Ladonna :  Être conscient.  Ouais, conscient.

 

Adamus : Votre conscience.

 

Ladonna : Ouais.  Être conscient.

 

Adamus : Tous vos potentiels.  Tous vos potentiels.  Donc la conscience stimule l'énergie – la conscience a créé l'énergie en premier lieu, et elle stimule l'énergie – par conséquent, cela a créé votre réalité.  Mais si la conscience – même si vous n'êtes pas conscient de ce qu'est la conscience – et si votre conscience est très fermée, intentionnellement, vous êtes en train de retenir, eh bien vous n'allez pas en obtenir beaucoup et cette énergie va aller travailler sur vous.  Elle va se mettre à vous tabasser.  La seule raison c'est qu'elle veut que vous bougiez.  Elle veut que vous avanciez.  Elle va faire ressortir tous les démons et les dragons et les ombres et tout le reste, et vous allez dire, « Pourquoi, cher Dieu, je passe à travers ça? »  Dieu dit, « Pour que tu puisses être libre!»

 

Je pensais que c'était drôle.  (Adamus en rit)  Hilarant!  Pourquoi?  Dieu n'est pas en train de faire ça à vous, ou pour vous – l'Esprit ou peu importe comment vous voulez l'appeler.

 

Ladonna : Mais je pense bien que l'énergie arrive en ce moment-même dans ma famille parce qu'on a besoin de bouger.  On en parlait à la pause.

 

Adamus : Littéralement.

 

Ladonna : Qu'il y a une raison pour toute cette énergie et c'est que l'on a besoin du changement.

 

Adamus : Ouais.

 

Ladonna : Mais c'est dur quand tu es en train de le traverser.

 

Adamus : Vraiment dur.  Mais imaginez un moment – juste un bref moment, le cœur et l'esprit ouverts – que vous pourriez être libre.  Vous pourriez être libre.  Un concept renversant.  Renversant, si simple, mais pourtant il est si facile de rester bloqué, et il est si facile de dire « Pourquoi moi? »  Si facile de prétendre que vous ne connaissez pas la réponse, ce qui vous permet de continuer à jouer le jeu.

 

(Pause;  Adamus rieur)

 

Je vais redire ça encore. (Quelques rires)  (Adamus parle maintenant très intensément)  Il est si facile de prétendre que vous ne connaissez pas la réponse, ce qui vous permet de continuer à jouer le jeu!  Sans blague!  Une fois que vous reconnaissez que vous avez la réponse... (il rejoint quelqu'un pour le tapoter avec le micro)  Ah, laissez-moi faire, ça avec ma main.  Hm.  Hm.

 

Uns fois que vous reconnaissez que vraiment vous avez la réponse, la partie est terminée.  Vous avez la liberté.  Mais la partie est terminée et vous avez la liberté.

 

Chers Shaumbra... Mm.  Mm, mm, mm.  J'aime mon podium, et le signe de la liberté (se référant au symbole dessiné).

 

Chers Shaumbra, c'est si important.  Si simple et si facile, mais je peux vous dire tout de suite, à moins que quelque chose ne change ici cet après-midi ou ce soir ou ce matin, peu importe où que vous soyez, ça va être difficile.

 

Je vais dire ça encore une fois.  Chers Shaumbra, c'est si facile, si facile.  Je veux dire, vraiment.  Distillons-le.  Allons en retrouver l'essence.  C'est si facile, mais, à moins que quelque chose ne change durant ce rassemblement du Shoud, qui est en fait seulement vous, moi je suis juste une distraction - aimez-vous ma tenue aujourd'hui?  (Quelqu’un dit « Ouais! »)  Ouais!  Ouais, ouais.  Je voulais une vraie couronne en or.  À moins que quelque chose ne change, ça va être difficile.  Quelques mois de vrais défis internes personnels, et cela n'a pas besoin de se passer ainsi.

 

Mais oh!  Je viens d'avoir ce ressenti prophétique – et ce ressenti pathétique (rieur) – que vous allez le faire de cette manière.  Ouais, probablement.  Probablement.  Pourquoi?  Pourquoi?  (quelqu'un dit « C'est notre jeu.  Nous aimons notre jeu. »).  Un jeu.  Des schémas habituels.  Ne connaissant rien d'autre.  Pas vraiment sûrs.  Disant, « Eh, j'aime ce petit divertissement ici.  J'aime me rassembler avec Shaumbra.  J'aime manger, mais oh, je ne sais pas.  Je ne sais pas.  Il doit bien y avoir une réponse quelque part. »  C'est justement ici!  Justement maintenant!  C'est vous.  Ça vient de vous.  Ça vient de vous.

 

Ça peut être facile ou ça peut être difficile.  Oh, et les deux prochains mois vont nous le dire.

 

Maintenant que cela est dit... oh, je m'égare.  Ok.  Donc revenons en arrière.  Qu'est-ce que la liberté?  Linda, le micro s'il vous plaît.

 

Linda : Vous laissez la parole à votre invité spécial et ami Jeffrey.

 

Adamus : Oui.  Qu'est-ce que la liberté?  Voudriez-vous vous lever?

 

Jeffrey : Bien sûr.  La liberté de faire des changements.  Faire des changements dans ma vie.

 

Adamus : Bien.  Qu'aimeriez-vous changer dans votre vie?  Le numéro un sur la liste.

 

Jeffrey : Um, une nouvelle orientation... une orientation totalement nouvelle dans ma vie.

 

Adamus : Une orientation totalement nouvelle.

 

Jeffrey : Eh bien, je suis dans le processus... Je viens juste de quitter mon travail que j'avais depuis plus de 30 ans, et je...

 

Adamus : Oh, prenons un moment pour applaudir.  (L’assistance applaudit).

 

Jeffrey : Je suis disponible!

 

Adamus : Je remarque que votre partenaire n'applaudit pas, mais... (Rires)

 

Jeffrey : Oh non!  Oui, oui elle applaudit.

 

Adamus : Et maintenant c'est un applaudissement de golf (c'est-à-dire à peine perceptible, NDT).

 

Jeffrey : (rieur) Oh non!  Elle est d'un grand soutien pour ça.

 

Adamus : Absolument.

 

Jeffrey : On dirait que, et justement on en parlait dans les dernières semaines ou les derniers mois, ils ont expérimenté quelque chose de semblable.  J'ai fait ça pendant des années, et dans les derniers mois, les dernières semaines...

 

Adamus : Comment vous sentez-vous?

 

Jeffrey : Eh bien, je me sens vraiment bien, mais je me sens effrayé.

 

Adamus : Pourquoi?

 

Jeffrey : Je sais que je n'ai pas quitté ça pour échouer dans la vie, mais je ne sais pas à quoi va ressembler le succès pour la suite.

 

Adamus : Oui.  Bien!  Bien, bien!

 

Jeffrey : Alors...

 

Adamus : C'est un point important.  Je vais vous arrêter ici.  « Je ne sais pas à quoi va ressembler le succès. »  Ah!  C'est un point si capital, parce que ça serait les vieux schémas, la vieille pensée, les vieilles traditions et routines qui vous feraient dire « Eh bien c'est à ça que ressemble le succès ».

 

C'est une chose intéressante et effrayante à dire, mais belle « Je ne veux pas regarder demain avec l'esprit d'aujourd'hui et les yeux d'aujourd'hui.  Je sais que demain est grandiose.  Je sais cela.  C'est dans mon cœur.  Je le sais.  Et je suis prêt à le permettre, quoique cela comporte. »  Maintenant, ce « quoi que ce soit »  est la partie ardue.  Quoi que ce soit – parce que qu'il y a la tendance, et je vais... Je vais... J'ai des plaques et des choses partout sur les murs, des affiches et des autocollants pour voiture sur toutes vos voitures.

 

L'illumination et la liberté ce n'est pas une chose « sorte de, peut-être, quelque peu. » Ça ne l'est pas.  C'est une chose « tout ou rien ».  Demandez aux Maîtres Ascensionnés.  C'est une chose « tout ou rien ».  Et ce n'est pas quelque chose que vous faites, un peu, l'illumination.  C'est ou bien ce n'est pas.  Parce que si vous faites juste... si vous testez les eaux, vous allez trouver qu'il y a des requins dedans.

 

Illumination.  Liberté – vous ne pouvez pas avoir un petit peu de liberté ou une quantité moyenne de liberté ou même la perception de beaucoup de liberté.  C'est ou ce n'est pas et c'est une partie du problème.  C'est là que le mental s'impose – disant que « Je vais regarder ça.  Je vais quitter mon travail.  C'est un grand pas, mais je vais juste voir ce qui arrivera après.  Je ne vais rien faire d'autre.  Je vais prendre un peu de liberté. »

 

Mais un peu de liberté est en fait encore plus une prison, vous voyez.

 

Un peu de liberté est en fait, selon mon opinion, pire que pas de liberté, parce que là vous en êtes à piéger la liberté.  Là vous en êtes à contrôler la liberté.  La liberté est supposée être libre.  C'est pour ça qu'on l'appelle liberté.  Maintenant vous piégez la liberté pour qu'un jour, lorsque votre cœur vous dira que vous êtes prêt pour la vraie liberté, vous allez savoir et aurez une expérience avec une forme altérée de liberté – une liberté que vous avez contrôlée.  Alors le mental va arriver et dire encore une fois, « Regarde ce qui est arrivé la dernière fois où tu avais essayé la liberté. »

Votre mental va dire, « Tu ne sais rien sur la liberté.  Tu dois aller étudier la liberté chez quelqu'un d'autre » et vous ne pouvez pas.  Vous ne pouvez pas, la liberté c'est quelque chose que vous vous donnez à vous-même.

 

Donc c'est l'un ou l'autre, tout ou rien et c'est très, très effrayant.  Très effrayant, vraiment.  (Adamus fait un signe à la caméra)  Je salue tous mes amis.  Oui.  C'est très effrayant de penser que c'est tout ou rien, que ce n'est pas juste de quitter son travail.  Vous avez dit que vous vouliez du changement, Jeffrey, une orientation totalement différente, totalement différente, mais que retenez-vous en ce moment?  Quelles sont les retenues, les hésitations, les pauses?

 

Jeffrey : La direction.

 

Adamus : Connaître la direction?

 

Jeffrey : Quoi...

 

adamus : Il n'y en a pas.  Et ce sont les bonnes nouvelles.  Ce sont les très bonnes nouvelles, parce que s'il y en avait, cela aurait été imaginé avec la vieille façon humaine, l'ancienne énergie.  Alors il n'y en a vraiment pas, et le défi et la beauté c'est, pouvez-vous accepter ça?

 

Jeffrey : Je pense bien.

 

Adamus : Vous pensez bien.

 

Jeffrey : Eh bien, je veux croire que si mon cœur est ouvert et je suis ouvert et le laisse s'écouler librement, les choses vont venir.  Je vais manifester les opportunités ou possibilités pour Terri et moi, et tout va bien aller. 

 

ADAMUS: Oui. Et …et… quand on fait vraiment ce choix pour la liberté et qu’on est réellement prêt pour cela, ça ne va pas bien fonctionner au début, comme certains d'entre vous l’ont découvert. Au départ, il y a un processus de nettoyage, de clarification, de changement qui se met en place. Malheureusement, il en résulte très fréquemment des choses comme la perte de votre emploi, la perte de votre maison, de votre sensation d’identification avec vous-même, la perte de vos croyances, la perte de vos amis - si vous en avez encore (quelques rires) - La perte de votre partenaire. (Adamus rit) Je serai toujours votre ami.

 

JEFFREY: Merci

 

ADAMUS: L’éventualité de perdre toutes ces choses auxquelles l’humain est très attaché est très effrayante. C’est très effrayant. Mais demandez à n’importe quel Maître Ascensionné en chemin, et…. en réalité ils ont inventé une expression qui a été utilisée plus tard dans les paroles de la chanson: Liberté est juste un autre mot pour « dire » rien à perdre. Ca me fait rire. Ca fait rire Kuthumi. Liberté est juste un autre mot pour rien à perdre. Comme c’est profond. Absolument.

A propos, Cauldre veut un petit concours de trivial poursuite. (Soupir) D'accord. Qui a écrit… (l’assistance donne des réponses). Qui a écrit les paroles de la chanson, oui, « Moi et Bobby McGee » ? Qui a écrit les paroles? (quelqu'un crie « Kris Kristofferson ») Kris Kristofferson, selon Cauldre. Qui le premier a popularisé la chanson, l’a mis dans les charts ? (certains disent « Janice Joplin »).  Essayez à nouveau. Qui le premier l’a popularisé, mis dans les charts? (quelqu'un dit « Ne nous faites pas utiliser notre mental ! » ; rires de l'assistance et d’Adamus) .C'est le petit jeu de Cauldre, pas le mien. (Il y a une légère pause) King of the Road (Le Roi de la Route). Roger Miller. Ouais, c’est le premier. Plus tard, Janice Joplin et d'autres chanteurs. Mais bon, poursuivons. (Rires alors qu’Adamus roule des yeux) Il essaie de me distraire. (Petit rire d’Adamus) C’est bon. La liberté est juste un autre mot….

 

A propos le mot liberté…liberté - si vous regardez les origines du mot « liberté » (freedom) en langue anglaise, et aussi en langue allemande liberté veut dire paix. Quel concept. Quand vous avez la liberté, vous avez la paix. Et l'énergie qui supporte cela en arrière-plan est la déesse Frita. Frita. F-r-i-t-a, pour ceux qui traduisent. La Déesse Frita. Relâcher. Relâcher, c’est ce que cela signifie vraiment. Bon. Poursuivons.

Liberté. Qu'est-ce que la liberté pour vous? Linda va vous  passer le micro. Qu'est-ce que la liberté pour vous? Pourriez-vous mettre debout ma chère?

LESLIE: Faire des choix, juste pour moi-même.

ADAMUS: Faire des choix, juste pour vous. Excellent. Le faites- vous?

LESLIE: Je m’améliore.

 

ADAMUS: Sur une échelle de 1 à 10, où êtes-vous?

LESLIE: Eh, entre 6 et 7.

ADAMUS: Bien. Qu’est ce qui vous empêche d’avoir plus?

EDITH: Elle est mariée. (Beaucoup de rires)

ADAMUS: Pour ceux qui n’ont pas entendu, Edith a eu la gentillesse de nous aider et de dire « elle est mariée. »

 

EDITH: Elle est mariée !

ADAMUS:A lui! A lui! (montrant du doigt John Kuderka; rires)

LESLIE: A lui! Je mets tout le blâme sur toi.

 

ADAMUS: Oui, merci. Tout le monde le fait.

LESLIE: Non. Je veux dire, Ca en fait partie. Être mariée en fait partie.

ADAMUS: Bien sûr.

LESLIE: Vous savez, le sentiment qu’il y a une responsabilité dans cette relation.

ADAMUS: Etes-vous heureuse dans votre mariage ?

LESLIE: Tout à fait.

ADAMUS: Bonne réponse. (Rires) Bonne réponse.

LESLIE: Aujourd'hui. (Elle rit) Aujourd'hui.

 

ADAMUS: C’est une meilleure réponse. Bon. Alors, la responsabilité, les autres. En fait, c'est une réalité de la vie. Maintenant, est ce que la liberté change cela? Est-ce que la liberté va changer la responsabilité que vous avez envers les autres?

(Elle marque une pause)

 

Oui! Ben voyons!

LESLIE: Ouais.

ADAMUS: Ouais, ouais.

LESLIE: Tout à fait.

ADAMUS: Alors vous serez libre de les aimer, de les aider, d'être là pour eux. Cela ne sera pas une dette ou une obligation. Ce ne sera pas quelque chose que vous sentez devoir faire mais que vous voulez tout simplement. Ca revient à la même chose  qu’une des maximes favorites que j’ai créées - "Seul un maître peut être en service. Tous les autres ne sont que des serviteurs ». C'est la même chose. Le Maître est libre, il peut donner et partager avec d'autres librement et ouvertement et avec amour, sans sentiment d'obligation ou besoin d'obtenir quelque chose en retour.

C’est une chose étonnante, mais une chose très difficile, surtout si vous avez des enfants, des conjoints, d’autres personnes qui comptent sur vous. Une des plus grandes excuses de l’être humain pour ne pas avoir la liberté est, "Eh bien, mes enfants ont besoin de moi. » En fait, non. Très souvent ils ne vous aiment même pas. (Rires) Très souvent, pas toujours. Vrai. Ils vous aiment, mais parfois ils ne vous aiment pas tant que ça.

 

C’est l’une des plus grandes excuses, et c’est intéressant, une dynamique très, très intéressante. Il y a une perception – en fait beaucoup d'entre vous sont conduits vers ce destin – la perception que «  je vais être libre  quand ________ » remplir le vide. « Quand les enfants sont grands, quand mon conjoint s’en va, quand je gagne à la loterie, dix millions dollars. » Ouais. (Adamus rit) Oui, « Ou quand je suis mort. Mort. Quand finalement je lâche ce corps physique et que je me transcende, je vais être tellement libre. » Non, pas du tout. Vraiment, non. Vous seriez surpris.

J’aimerais vous sortir un de ces soirs. Nous devrions le faire. Halloween  - quelle bonne nuit. La nuit d'Halloween. Allons visiter -  "oh oui, bonne idée! allons visiter les royaumes Proches de la Terre. Pourquoi? Pourquoi pas? Ils viennent ici rendre visite, alors  nous irons simplement les rencontrer aussi. Donc, mettons ça sur le calendrier. Nous ferons un spécial Halloween ouais. La nuit de la Toussaint. Nous sortirons dans les royaumes astraux, les autres dimensions et nous les ressentirons vraiment. Nous irons très furtivement, comme ça ils ne pourront pas nous voir ni nous sentir. Nous pouvons le faire. Nous pouvons nous dissimuler. Mon dieu, vous le faites tous les jours. Nous pouvons y aller et voir ce qu’est réellement ce pays de fantômes, et vous allez apprendre à travers cette expérience… est-ce qu’on déjà mit ça sur le calendrier? Est-ce que c’est sur le site web? (rires) Ca devrait y être!

 

LINDA: C’est fait.

ADAMUS: Ça devrait l’être. Bon. C’est fait. Considérez que c’est fait. Excellent. Ah! Ma boisson. Je devrais avoir une de vos boissons, David. (David porte une ceinture pleine de petites bouteilles de whisky ; il les offre à Adamus) Cauldre dit que je ne suis pas libre de faire ça. (rires) Plus tard. (Marty dit « Montrez nous de quoi vous êtes fait !)) Oui. Montrer de quoi vous êtes fait. C’est – J’aime ça ! (rires) Viens ici, Mofo. (Plus de rires) Est-ce que tu conduis ce soir?

MARTY: Non

ADAMUS: Non, bien. David?

MARTY: chéri? (rires)

ADAMUS: Oh, vous êtes tellement libre. (Plus de rires) David, pourrions-nous avoir un petit verre? Oui.

MARTY: Quelque chose de doux, s'il vous plaît.

ADAMUS: Quelque chose de doux. Vous pouvez en avoir deux..

MARTY: Eh bien, c'est vrai. C’est ce que je pense, ouais.

ADAMUS: Ouais, ouais, ouais. Vous allez chanter plus tard?

MARTY: Oh yeah!

ADAMUS: Ohhh - ohhhh ouais, ouais. Prenez -en deux! OK.  Est-ce que vous voudriez…, je vais prendre le micro pour que vous puissiez boire.

MARTY: Oh wow!

ADAMUS: Ouais, wow.

MARTY: Si maman me voyait! (rires)

 

ADAMUS: (riant) Elle vous voit. Oui. Bonne camelote. A…. |

MARTY: A la liberté!

ADAMUS: A la liberté! Liberté !! (Applaudissements de l’assistance) Oooh! Oooh! (Marty boit la petite bouteille de whisky)

ADAMUS: Liberté. Oui, oui, oui, et alors vous devez la jeter symboliquement, oui, dans le feu. (rires quand Adamus lance la bouteille) Bon. Et le second.

MARTY: Oh!

 

ADAMUS: Oh ouais, ouais.

MARTY: Oh ho.

ADAMUS: Oh, oh! Ouais, Mofo! Oui. Et puis quand vous en avez fini, vous la jetez. Souhaiteriez-vous ouvrir la cheminée pour qu'elle puisse y être jetée?

MARTY: A la liberté! (parlant comme s’il était ivre : beaucoup de rires, puis des acclamations et des applaudissements tandis qu’il le descend)

 

ADAMUS: Oh! J’absorbe les émanations par ici. Oui.

MARTY: Je pense que celle-ci est en verre.

ADAMUS: C’est ok.

MARTY: Ouais?

ADAMUS: Bien sûr, bien sûr, bien sûr. Quelqu'un va l'attraper. (Il la jette dans la cheminée; acclamations de l’assistance)

 

ADAMUS: Merci. Merci. Alors, où en étions-nous? La liberté. Ca n’a pas d’importance. La liberté. Oh, nous avons dû casser le sérieux. Oh! ça devenait si lourd! C'était « Ohh, mortel! » Oh, en parlant de mortel - Halloween, c’est là où nous en étions. Oui, Halloween, nous allons sortir. Nous allons faire un petit voyage dans les royaumes Proches de la Terre.

 

Mais il y a cette une perception erronée commune que lorsque vous mourez subitement, vous avez la liberté. Non. Non, pas du tout. Parfois, c’est pire, encore plus l'enfer, parce que soudain vous vous rendez  compte que vous n’avez vraiment pas la liberté. Tout d'un coup les réponses ne vous sont pas toutes apparues tout d'un coup. Vous avez toujours les mêmes problématiques, comment diriez-vous, que vous aviez lorsque vous "shwttt!" avez glissé hors du corps. Simplement,  vous n’avez pas de corps. Puis, tout d'un coup vous réalisez qu’il y a un certain avantage à avoir un corps, un certain avantage à avoir ce type d'expérience très solide dans la 3D où vous pouvez en fait avoir l'occasion de percevoir, de comprendre réellement ce qui se passe. Et alors que faites-vous? Vous essayez de revenir et d’attraper un corps tout de suite. Et la ruée recommence.

Donc, Revenons à notre sujet. Linda, avec le micro. Qu'est-ce que la liberté? Et vous savez que je vais vous donner la réponse à la fin. Qu'est-ce que la liberté?

PAUL: Il suffit de le faire.

ADAMUS: Il suffit de le faire. Est-ce que c’est ce que vous le faites? Tous ces mots audacieux et courageux, ouais, mais pourriez-vous vous imaginer en face de vos étudiants – c’est que vous faites, pharaon (il est habillé comme un pharaon) -  et dire «  Il suffit de le faire ? »? Ca a l’air super. Ca vous donne envie de danser,  d'écrire une chanson. Mais le faites-vous?

 

PAUL: Vous savez, quand vous essayez, ça rend plus facile de le faire encore et encore et encore.

ADAMUS: Bon. Bon. Et donnez-moi un exemple –un exemple de la vie réelle.

PAUL: Vous savez, juste danser comme ça, même si ça n’a pas beaucoup de sens.

ADAMUS: Oui. Vous le faites?

PAUL: je le fais.

ADAMUS: Bien. Excellent.

PAUL: Et j’aime ça.

Adamus: Devant les autres?

PAUL: Oui

 

ADAMUS: Bien.

PAUL: Oui. (quelqu'un dit « Vas-y ! »)

ADAMUS: Montez  ici. (rires) Est-ce que nous avons un peu de musique pour accompagner? Avons-nous besoin de musique?

PAUL: Non

ADAMUS: Non, nous n’avons pas besoin de musique. Allez-y. Allez-y. (il se met à danser; applaudissements de l’assistance) Le pharaon danse. Marcher comme un Égyptien. Danser comme un Egyptien. Descendre comme un Egyptien! (rires alors qu’il continue la danse et enlève sa coiffe) Je pense que nous sommes allés assez loin. Assez loin! Il s'agit d'un spectacle familial. Merci. Donc, vous le faites vraiment, et je vous remercie de le faire réellement.

 

PAUL: Merci.

ADAMUS: Oui.

LINDA: Vous parlez d'un spectacle familial après l'alcool? Vraiment? ! (rires)

ADAMUS: Je ne bois pas. Vous le faites tous. Vous avez plus de 18 ans.

MARTY: Ouais91

ADAMUS: Yeah, yeah. Good. Good.

So tell me. What would you like to just do it, but you haven’t just done it ?

PAUL : Streaking. (much laughter from Adamus and audience) It’s not quite the right temperature.

ADAMUS : Not quite… (someone says “It’s warm in here” ; more laughter) It’s warm in here. I have to ask sometimes – it’s been a little while since I’ve been a human – why do you want to streak ?

ADAMUS: Ouais, ouais. Bon. Bon.

Alors dites-moi. Qu’aimeriez-vous faire tout simplement, mais que vous n’avez pas fait ?


PAUL: Me mettre à poil. (beaucoup de rires d'Adamus et de l’assistance) Ce n’est pas tout à fait la bonne température.

ADAMUS: Non pas tout à fait… | (quelqu'un dit « Il fait chaud ici » ; plus de rires) Il fait chaud ici. Je dois poser la question parfois  - il y a un petit moment que je n’ai pas été un humain- pourquoi voulez-vous vous mettre à poil?

PAUL: la liberté.

ADAMUS: la liberté, bon, bon. Oui. Bon.

PAUL: c’est la liberté.

ADAMUS: Ouais, la libération.

PAUL: la libération.

ADAMUS: Donc, théoriquement vous pourriez juste sortir dans les bois et le faire par vous-même. Pas besoin….


PAUL: je l’ai fait.

ADAMUS: Ah! Ah! Vidéo? YouTube?

PAUL: Non

 

ADAMUS: Non. Bon, bon. Merci. Bon. Bon. Alors, y a-t-il autre chose que se mettre à poil? Je veux dire, est ce que c’est votre plus grand dessein dans la vie? (rires)

PAUL: Hmmm.

ADAMUS: Il suffit de le faire. Prenez une respiration profonde avec moi pendant un instant, vous tous, avec « Il suffit de le faire ." Qu'est-ce que ce serait? Respirez profondément. Il suffit de le faire. Quelque chose qui est vraiment un désir du cœur. Il suffit de le faire. Qu'est-ce que ce serait?

PAUL: (chantant) Libertéééé !!

ADAMUS: (chantant aussi) Comme çaaaaaa ? (rires)

PAUL: Il suffit de le chanter! Il suffit de le chanter.

ADAMUS: Liberté.

PAUL: Il suffit de le chanter

ADAMUS: Il suffit de le chanter. Bien, bien. C’est la plus haute aspiration, chanter la liberté?

PAUL: En ce moment, oui.

ADAMUS: C’est ça. Bon. Excellent. Alors faisons-le.

PAUL ET ADAMUS: Libertéééééééé !
ADAMUS: Bien. Merci. Merci. (applaudissements de l’assistance)

 

Pour ceux d'entre vous qui regardent pour la première fois – il se peut que ce soit la dernière - nous faisons quelque chose de différent et d’intéressant ici. Lorsque nous nous rassemblons comme ceci, nous nous amusons. Quel concept dans votre vie, oui. Nous avons plein de distractions. Vous voyez, quand l'énergie devient lourde, ennuyeuse, mentale, nous faisons quelque chose d’amusant, de vivant, quelque chose d'inattendu, quelque chose pour nous distraire un instant, pour distraire le mental, détourner l'attention du travail fastidieux quotidien, détourner l'attention de vos problèmes, vous voyez. C’est ce que nous faisons ici. C’est  la classe de la nouvelle énergie spirituelle.

Merci. Bon. Nous chantons, nous buvons et plus tard nous allons nous mettre à poil.. (rires)

PAUL: En été.

ADAMUS: Oui, en été.

PAUL: En été.

 

ADAMUS: Ouais, mais un réel nudiste – c’est comme un vrai ours polaire qui va nager même le jour le plus froid – un réel nudiste ne s’en soucie pas.

PAUL: Je ne suis pas un ours polaire.

ADAMUS: (riant) Bon. D'accord. Poursuivons. Encore quelques commentaires. Qu'est-ce que la liberté? Qu'est-ce que la liberté, ma Soeur?

Katheen: Soeur!

ADAMUS: Qu'est-il arrivé? ! (Kathleen est habillée comme une nonne enceinte) Vous pratiquiez…. Voudriez-vous  vous lever s'il vous plaît? Venez devant. Voulez-vous venir ici? Oui. Oui. Un peu trop de liberté au couvent, un petit peu trop ….. Un petit peu trop de liberté.

SART: (habillé comme un prêtre) Je n’ai rien fait! (rires)

 

ADAMUS: Celui qui parle le plus fort… (plus de rires et Adamus rit) Eh bien, ma Sœur, je suis vraiment désolé. C’est comme une immaculée conception, je suis certain. (Quelqu'un dit « ce n’était pas immaculé. ») Ah, bon. Bon. Allez-vous boire ceci?

KATHLEEN: Non, j'allais vous le donner.

ADAMUS: Oh, très bien. Donnez-le-moi. Bon. Bon.

KATHLEEN: (lui tendant une petite bouteille de liqueur « Hypnotiq ») Ca s’appelle hypnotique.

ADAMUS: Hypnotique. Bien, je vais en saupoudrer tout le monde. Ah!

KATHLEEN: Ca vient de France! Ca vient de France!

ADAMUS: France! (il se moque de la façon dont elle dit France) Vous ne dites pas France. France. (Prononciation française)

KATHLEEN: France. (Parlé dans la prononciation française)

ADAMUS: France! Ouais, merci. S'il vous plaît, ma chère. S'il vous plaît. La liberté. Qu’est-ce que la liberté?

KATHLEEN: Hum, juste être dans l'instant.

ADAMUS: Connerie.

KATHLEEN: Connerie.

ADAMUS: Oh allez, s'il vous plaît. Vous avez lu ces livres et vous répétez cette phrase – « Soyons tous dans le Moment Présent » - Pttt! (Il crache) Je veux dire, si vous le faites vraiment, très bien. Mais allons, le Moment Présent. Donnez-moi quelque chose de tangible. Donnez-moi quelque chose que je peux rapporter aux autres êtres ascensionnés et leur dire que j'ai vraiment eu quelque chose de profond aujourd'hui ici, dans la classe. Donnez-moi quelque chose de réel.

La Liberté. Qu’est ce que c’est pour vous?

KATHLEEN: Quand j'entends ça, je vois seulement Braveheart crier liberté.

ADAMUS: Encore des conneries.

KATHLEEN: C’est ce que je vois! C’est ce que je vois!

ADAMUS: OK bon. Je suis heureux que vous voyiez ça, mais je veux que vous l'appliquiez à votre vie. Tenez cette épée.

KATHLEEN: Pour ma vie.

ADAMUS: Avec l’autre main. Non, changez de côté, ça va comme ça. Non, vous tenez le micro, ouais. (Rires tandis qu’elle essaye de changer de mains pour tenir le micro et l'épée) Donc, maintenant, tenez-la, mais ne la pointez pas sur moi, Aandrah, On, Linda, David.


KATHLEEN: Oh.


ADAMUS: Ouais, pointez –là de cette façon. Je vais me tenir derrière ici. (Il va au fond de la salle) La  liberté. Donc, voici Braveheart. Voici Braveheart . Allez, faites le truc de Braveheart.

KATHLEEN: Libertéééé ! (Un peu faible)

ADAMUS: Oh allons! Oh non, attendez. Vraiment? Vraiment? !

KATHLEEN: Vraiment?

ADAMUS: Ouais, non. Vous avez dit Braveheart, ça vient dans le mental  - (Adamus rit) Je m’amuse trop aujourd'hui – ça vient dans le mental quand vous pensez à la liberté. Vous savez pourquoi? C’est sur la bouteille là. Effet hypnotique, l'hypnose. Oh, le mental se connecte à cette scène de Braveheart. Alors faites  Braveheart, mais donnez-lui de la passion! Soulevez cette épée. Ouais. Tenez ce micro vers le haut. (Quelqu'un dit « Vas-y Kathleen ») Oui. Ne frappez pas la lampe. (Adamus s’esclaffe)

 

KATHLEEN: Libertéééé. (Encore un peu faible)

ADAMUS: Non, non, non. Cela ressemblait plus à de la constipation. (Rires) ehhhhh! Ehhhhh! Ehh!

KATHLEEN: Ohhhh.

ADAMUS: Faisons-le réellement. Je vais tenir le micro. D'accord. Allez-y.

KATHLEEN: Libertéééé. (D'une voix plus rugissante; rires de l’assistance)
 

ADAMUS: Aimeriez-vous que tout le monde à se joigne à vous?

KATHLEEN: Ouais!

ADAMUS: Ouais. Ouais, ouais, ouais. Mais ils ne vont pas le faire. Faisons-le  à nouveau.

KATHLEEN: Libertéééé! (Un peu plus fort)

ADAMUS: Oh, vous avez vraiment foutu la trouille à  l'ennemi. (Adamus rit) LIBERTÉ! (Il crie haut et fort) Comme ça. Liberté! Avec passion! C’est le problème ma chère.

KATHLEEN: OK.

ADAMUS: Eh, vous l’avez mais c’est caché. Vous ne la laissez pas sortir. Vous n’êtes pas… Vous ne vous autorisez pas à être libre.. La scène est à vous. Tout le monde regarde. Vingt-cinq mille personnes en ligne en train de regarder.

KATHLEEN: Vingt-cinq mille?

Adamus: C'est votre chance. Ne frappez pas la lampe…C’est votre… ou l'écran TV ou nous. Mais à part ça, vous êtes entièrement libre. (Rires) Allez-y.

KATHLEEN: Liberté! (Elle émet une sorte d’aboiement)

ADAMUS: Oh! Je m’en vais. J’en peux plus. (rires) Ca suffit.

Mais vous savez… vous dites « je vois cette scène de -  comment dites-vous -  “Braveheart. Je vois cette scène et ça m'inspire. Liberté. » (Adamus le dit avec la voix d’une petite fille) S'il vous plaît! Est-ce que vous voyez  la contraction - pas seulement en vous, mais en chacun de vous -  la contradiction entre ce que je vous entends dire parfois, et ce que vous faites en réalité, entre certaines nobles pensées Makyo et les croyances? Et ces pensées et croyances Makyo (il parle avec fougue), hein, c’est elles qui vous empêchent d’être libres.

Liberté! Liberté! Liberté!

KATHLEEN: Liberté. (Elle émet à nouveau une sorte d’aboiement)

ADAMUS: Maintenant, non….  (rires) Non, je veux que vous le fassiez. Pas vers moi. Comme vous le sentez!

EDITH: Allez, fort.

KATHLEEN: Libertééé ! (Elle crie)

ADAMUS: Oh mon dieu!

LINDA: C'était un peu mieux.

ADAMUS: Liberté. (Il le dit profondément et fortement)

KATHLEEN: Liberté.

ADAMUS: Liberté.

KATHLEEN: Liberté.

ADAMUS : Libertééé.

KATHLEEN: Libertééé.

ADAMUS: Liber…. (rires) Liberté.

KATHLEEN: Libertééééé.

EDITH: Faites descendre votre voix dans votre ventre.

KATHLEEN: Libertééé. (plus bas) 119
ADAMUS: Sentez-le ici. (Désignant son ventre de « femme enceinte »; rires) Il ne s’agit pas d’être bas, il s’agit d’être réel. Pas besoin que ce soit fort. Liberté.

KATHLEEN: Liberté. (Quelqu'un dit « Rock and roll, Kathleen ») Liberté.

ADAMUS: Liberté.

EDITH: Imaginez que vous êtes sur votre cheval. Vous foncez à travers les bois!

ADAMUS: Levez-vous et montez ici Edith. (Beaucoup de rires et d’applaudissements) Vous deux ensemble! S'il vous plaît. S'il vous plaît.

LINDA: Vous auriez dû le savoir.

Adamus: J'aime ce groupe. Juste au moment où je suis prêt à prendre la porte, vous me prouvez le contraire.

EDITH: Je veux prendre des leçons

 

ADAMUS : Venez ici toutes les deux ensembles. Liberté. Liberté. Prendre des leçons pour  faire quoi?!

 

EDITH: J'ai dis que je voulais prendre des leçons pour apprendre à fermer ma bouche (rire)

 

ADAMUS : Ça pourrait se faire ! Mais non, Edith, - tenez, prenez ceci (le micro). Nous adorons ce que vous avez à dire (l'assistance est d'accord) Vous êtes une rock star de l'Esprit dans le monde entier grâce à cette caméra qui est ici. Ils disent tous « Edith, Edith, Edith ! Edith, Edith»

(l' assistance scande également « Edith ! » Adamus en rit)

On se croirait dans le show de Jerry  Springer (rires)

Vous pouvez baisser l'épée. Edith : Liberté.

 

EDITH : (Très fort)

Liiiiiiiberté – Arrrrrrggh !

(l'audience applaudit)

 

ADAMUS : Ensemble. Ensemble. Les Soeurs Liberté ! (Adamus glousse) Edith : Liberté.

 

EDITH : Trois, deux, un...

 

KATHLEEN AND EDITH :

Liiiiibeeeeerté ! (quelques applaudissements)

 

ADAMUS : Eh. On croirait entendre un chat, vous savez, quand il chasse, ou... Essayons à nouveau. Essayons à nouveau pour tous ceux qui visionnent en ce moment...

 

EDITH : Je stresse ma...  (voix)

 

ADAMUS:Oui. Mais non. Recommençons, mais sans le crissement à la fin. OK, OK. Mmmm. (il fredonne) Mmmmmm.

 

KATHLEEN : AND EDITH :

Liiiiiiiiiiberté. (comme une petite complainte)

 

ADAMUS : Vous êtes à l'église. On dirait …. « Liiiiiberté. (rire) Il m'a donné la liberté »

 

EDITH : Je fais le LIBRE choix de quitter la scène (rires)

 

ADAMUS : Merci. C'est ça la Liberté ! Ahh Ahh ! (applaudissements) Vous n'avez pas le libre choix. (à Kathleen) Bien. Merci ! Merci. (Elle va s'asseoir). Merci d'être partie comme ça. C'était bien.

 

Ou en sommes-nous ?

 

A qui le tour ?

 

Liberté. Qu'est ce que la Liberté ?

 

LINDA : Je pense qu'on devra voir avec Mofo (rires)

 

ADAMUS : Pourriez-vous vous lever ? Essayez de vous lever.

 

MARTY : (parle comme s'il était saoul) Euh!liberté c'est comme aller aux toilettes, genre....

(rires)

 

ADAMUS : Ouais ! Ouais ! (Adamus rit)

 

MARTY : (parlant clairement) Zéro appréhension, zéro attente.

 

ADAMUS : OK, bon. J'aime bien ça. Bien sûr. Non...Pourrais je dire sans pause ?

 

MARTY : Ouais.

 

ADAMUS : Sans pause (Il l'écrit) OK Bon.

 

MARTY : Vous en avez l'entière liberté.

 

ADAMUS : Pas de pause. (rire) Bon. Pas de pause. Excellent. Merci.

 

 

Ressentir la Liberté

 

J'aimerais prendre un moment maintenant. Nous parlons de liberté. On s'amuse, on fait un peu les idiots parfois, mais vraiment, c'est vraiment pour faire bouger les énergies. Il est tellement important de rire de nous mêmes, de ne pas se prendre au sérieux.  C'est bien de rire un peu.

 

La Liberté est un sujet très lourd, en fait, car il y a tellement de réticence à ce  sujet en ce moment. Toutes les excuses du monde pour ne  pas être libre. Toutes les prétendues raisons de ne pas savoir ce qu'est  être libre, ça....  et l'autre chose est, parfois, vous vous dites libre, mais vous ne l'êtes pas. Je ne connais vraiment aucun être humain en ce moment qui soit vraiment libre.

 

Prenons un moment pour ressentir cette chose qui va tellement devenir une part  importante de votre vie au cours des deux prochains mois.

Laissez moi  réitérer – ça veut dire répéter. J'ai dû le dire à Cauldre. (quelques rires) Laissez moi répéter : Au cours des deux prochains mois – il n'y a aucune date fatidique ou immédiate, mais dans les deux prochains mois – tout ce qui vient dans votre vie, chaque expérience, tout ce qui arrive concerne  la  liberté. Ce sera en rapport avec la liberté

 

Les énergies vont vous parler  de la liberté, elles vont vous arriver en pleine figure, et cela peut être la chose la plus amusante, facile, enrichissante et gratifiante que vous n’ayez jamais faite, ou, la plus difficile. Non, vous ne voulez pas cela. (quelqu'un a dit “non”) Non. Vous dites ça. Vous dites ça mais mettons les choses sur la table ici, c'est à dire pas de Makyo. Vous dites ça mais regardez ce que vous créez. Regardez ce que vous créez.

 

Vous faites un merveilleux travail, tout compte fait, mais il y a  encore cette hésitation, cette pause. Il y a encore ce sentiment et cette attitude du “je ne suis pas sûr de vraiment bien faire”. Vous êtes toujours dans l'attente de quelque chose qui vient de l'extérieur afin d’y répondre au lieu de la créer vous même. C'est la vraie liberté, lorsque vous la créez ; à partir de maintenant,  quand tout  vous arrive dessus, vous comprenez, vous savez que vous le créez. Ca vient de vous. Vous ne vous  posez pas la question, vous ne débitez pas seulement des belles paroles mais vous vous exclamez « Ah! La beauté de mes créations. "

 

Maintenant, une création n'est pas quelque chose que vous avez à construire dans  la tête. Une création n'est pas quelque chose que vous avez à planifier. Vous ne pouvez vraiment pas planifier une création. Planifier est véritablement très, très humain. – une chose mentale. La création permet le libre flot des énergies, sans “oui-mais-si”. Mais ce qui se passe -même si ça semble bien, même si vous y avez travaillé pendant de nombreuses, nombreuses vies – ce qui se passe souvent c'est qu'il y a   beaucoup de “oui-mais” et pire encore, ajoutons le à la liste aux “oui-mais”, - “Je ne sais vraiment pas”. C'est probablement encore plus dangereux et encore plus douloureux qu'un “oui-mais”.

 

Concernant  la liberté – il n'y a pas de Oui-Mais-Si. C'est tout ou rien. C'est simple.

 

Prenons une profonde respiration et ressentons cette liberté.

 

Nous en avons parlé. Nous avons utilisé les mots, mais ressentons-la.

 

(pause)

 

Liberté...

 

(pause)

 

Que ressentez vous ?

 

(pause)

 

Liberté...

 

(pause)

 

Maintenant, comment le ressentez-vous dans votre vie ? Comment le ressentez-vous dans votre vie ?

 

(pause)

 

Pas juste un peu... mais tout.

 

Liberté de vous connaître vous- même, sans ces murs et ces barrières.

 

Liberté de connaître, de vous souvenir et ËTRE cette chose que vous appelez votre âme. Elle est juste là. Elle n'est  pas ailleurs. La liberté d'en être conscient, d'être conscient de vous même.

 

Comment le ressentez-vous ?

 

(pause)

 

OH OH oh ! Arrêtez. Arrêtez tout ça. Ohh ! Tant d'énergie du mental ! Vraiment ! Vraiment.

 

Maintenant... (Adamus soupire fortement) ça n'a pas besoin d'être comme ça.  Que de pensées. Je pense que j'avais parlé de ressentis ? Ressentir la liberté, et maintenant vous commencez à penser à la liberté. Quelle est la différence? Eh bien vous pensez, votre tête – il y en a de la tension là dedans, car l'énergie la traverse - quand vous pensez, il y a limitation.

 

Chacun de vous et vous aussi là-bas (en regardant la caméra), quand je dis “ressentir la liberté”, vous devriez sourire. Ah mais il n'y a pas de sourires dans cette salle. J'espère que la caméra a capturé ceci. Les Caméras. Et vous là bas, vous vous dites “ que font-ils là bas aujourd'hui?!

 

Bon je vous ai demandé de ressentir la liberté. Vous y pensez. Vous y pensez de façon linéaire : comment ça serait de marcher vers la porte demain  avec la liberté. S'il vous plaît, ressentez-la d'abord.

 

Essayons à nouveau. Prenez une bonne respiration. En fait, je vais demander à Aandrah de venir ici pendant un moment.

 

Voudriez-vous faire quelques minutes de respiration libre ?

 

AANDRAH : Oui

 

ADAMUS : Respiration libre.

 

AANDRAH : Oui

 

ADAMUS : Oui, absolument.

 

AANDRAH : Pour la joie. Pour la joie. Ressentez. Je vous ai parlé de gratitude, ressentons cette joie. Laissez-vous vivre.

 

Respirez. Respirez si profondément. Prêtez attention a ce flot intérieur... ce flot intérieur. Tout ce que vous avez à faire est de recevoir, très profondément à l'intérieur de vous, inspirez et expirez.

 

Recevez. Recevez joyeusement, oui, oui, oui.

 

Inspirez... et expirez. Une histoire d'amour. Liberté. Inspirez... expirez.

 

Oui. Oh oui! Recevez. Inspirez... et expirez. Oui.

 

Inspirez... et expirez. Oui. Oh oui ! Ressentez-le! Ressentez comme si ça coulait dans chaque fibre de votre être, cette vibration qui semble nouvelle, mais restez ouvert et respirez.

 

Respirez oui, qui vous remplis profondément. Recevez, respirez oui. Oui. Pour la joie. Oh oui.

 

Exhaler pour recevoir encore plus. Oui. Oh oui. Pour la joie, la joie de vivre.

 

Inspirez... et expirez. Oui. Une belle histoire d'amour. Vivre vraiment ! Vivre. Vous ne vivez pas quand vous n'avez pas la liberté. Oui! Oh oui!

 

ADAMUS : des sourires? bien, bien Merci Aandrah. Des sourires, Ouais, le sentiment de liberté - ( elle lui tend le micro) à quelqu'un d'autre – le sentiment de liberté doit vous faire sourire. Heureux, moins grave. Une délivrance, une ouverture. La vraie liberté. La vraie liberté.

 

Donc la question maintenant qu'est ce qui vous empêche d'être libre ? Qu'est ce qui vous empêche d'être libre ?

 

Qu'est ce qui vous empêche d'être libre ? Linda, le microphone s'il vous plaît. Je vais solliciter des réponses et vous donnerai la réponse correcte. (rires) Oui, qu'est ce qui vous en empêche ?

 

TIFFANY : J'ai une petite idée sur la liberté. Récemment, le mois dernier, je suis allée au cours de SES Atelier sur les Energies Sexuelles, que je recommande fortement. Génial.

 

ADAMUS : Merci.

 

TIFFANY : merveilleux. Avec ceci et mon grand….....

 

ADAMUS : SES – Atelier sur les Energies Sexuelles.

 

TIFFANY : Atelier sur les Energies Sexuelles. Oui.

 

ADAMUS : Cauldre me demande de l'épeler. Merci

 

TIFFANY : Et puis j'ai dit un grand OUI à cette chose : la liberté, il y a  un petit moment maintenant. Juste ce grand OUI, et ce qui s'est passé le mois dernier, j'ai perdu beaucoup d'amis, beaucoup de clients. Les choses  évoluent et ce que je pensais ne jamais arriver j'ai senti le vide. Je ne savais pas.... je me suis sentie un peu seule. Donc aujourd'hui j'ai un peu d'appréhension   J'ai encore ce grand OUI, ne vous méprenez pas, mais il y a ce sentiment, comme je vais être

 

ADAMUS : Un grand “OUI-MAIS-Si...”

 

TIFFANY : Bon. Il y a un MAIS  dans mon OUI.

 

ADAMUS : Ouais

 

TIFFANY : Il y a un MAIS. Donc c'est un peu effrayant.

 

ADAMUS : C'est bizarre. Il y a un YES dans mon MAIS. (rire car le mot “mais” (but) en anglais signifie aussi “cul” (butt))

 

TIFFANY : Ouais

 

ADAMUS :Oh non, désolé. Vous avez dis  il y a un MAIS  dans mon OUI.

TIFFANY : Ouais, Comme vous voulez. Comme vous voulez.

 

ADAMUS : Désolé. (Adamus rit)

 

TIFFANY : Oui, j'ai le sentiment d'être un “OUI-MAIS “ complet et total.

 

ADAMUS : Pouvons nous ouvrir la porte du fond. On fait surchauffer les gens ici. Oui, oui. Oui, Mais. Ouais. Bon, où en sommes nous ? Où en êtes-vous ?

 

TIFFANY : Eh bien j'en suis là ou tout est assez inconfortable pour moi.

 

ADAMUS : Ouais.

 

TIFFANY : Et, hum... je l’inspire....

 

ADAMUS : (chantonnant doucement) Liberté est un autre mot pour dire n'avoir rien à perdre.

 

TIFFANY : Je respire dedans, J ai encore le OUI, et j'ai un peu peur.

 

ADAMUS : Oh, Oh, Attendez un peu. Répétez ça, ce que vous venez de dire. Vous respirez dedans...

 

TIFFANY : Je respire dedans et j'ai encore le OUI.

 

ADAMUS : Eh, non, non. Oui, les mots le disent, mais l'énergie n'y est pas, vous voyez. Vous respirez dedans et vous vous dites “Oh mon dieu j'espère, j'espère que ça marche ! Peut être que je devrais faire demi tour et revenir en arrière”. Et non, et non. Et oui vous allez peut être perdre vos amis et votre argent. Vous allez peut être perdre...

 

TIFFANY : J'ai déjà perdu ça il y a longtemps.

 

ADAMUS : Ouais, ouais. En fait vous n'avez rien perdu du tout. C'est juste qu' il se métamorphose et se développe pour revenir encore plus grand pas comme vos amis. (Adamus rit) Vous trouverez des nouveaux amis, des bons copains. Vous n'avez rien perdu vraiment, mais oui dans le processus – c'est pourquoi je répète ces paroles : “La liberté est un autre mot pour dire “rien à perdre” - relâchez, lâchez.   Mais le plus important : Continuez votre chemin en expérimentant la liberté, quoi qu'il arrive ? Quoi qu'il arrive.

 

TIFFANY : Quoi qu'il arrive.

 

ADAMUS : Solitude ? Temporaire. Na. Un véritable Maître, dans sa souveraineté, n'est jamais seul. Ses meilleurs amis sont lui-même. C'est formidable ! Alors n’est-ce pas la meilleure chose qui soit, être son propre ami ? ! (applaudissement) ; Et le plus drôle ; quand vous décidez de vous aimez vous même, tout le monde vous aime aussi. Ouais, ouais. Bien. Alors, la solitude. Qu'est ce que c'est ?

 

TIFFANY : Hum, oui, quand je pense à mes relations précédentes, je n'en veux plus de toute façon. C'est juste... ce n'est pas vraiment de la solitude.

 

ADAMUS : Arrêtez tout de suite. Je pense que c'est tellement beau la manière dont vous l'avez dit.

 

TIFFANY : C'est la vérité.

 

ADAMUS : Vraiment. Une partie de vous dit “Oh, mais je n'ai pas de relation ”Dieu Merci”! Pourriez vous également ajouter “Merci à moi même – Merci Dieu ou à l'Esprit” - à la fin de chaque phrase ? “Merci à l'Esprit. Merci à moi même”. OK, maintenant continuons. Oui.

 

EDITH : Et refermer la porte.

 

TIFFANY : Le vide dans cette transition actuelle est très inconfortable, et je  suis en plein milieu.

 

ADAMUS : Oui. Oui. Pourquoi est ce inconfortable ?

 

TIFFANY : Parce que j'abandonne ce que je connais et je ne sais pas ce qui va arriver après.

 

ADAMUS : Exactement. Parce qu'il y a

une attente de ce que vous pensez devoir se produire ; Vous êtes à mi chemin dans cette zone ; vous avez encore des pensées humaines de ce qui doit arriver – la surface de votre maison, vos finances et la façon dont votre vie devrait être. ; Vous entrez dans une  zone complètement nouvelle, au-delà de ce que vous avez déjà imaginé. Maintenant allez vous l'accepter ?

 

TIFFANY : Oui.

 

ADAMUS : Bien. Et je crois ce que je vous dites. Je vous crois vraiment, vraiment.

 

TIFFANY : Je peux.

 

ADAMUS : Puis soudain le pied se lève du frein. Puis soudain il n'y a plus de Ouis dans votre Mais ou de Mais dans votre Oui, et soudain vous n'avez plus besoin de passer par vos défis. Je vous ai déjà dis, c'est la chose la  plus  facile -avoir votre liberté – ou la plus difficile. Vous décidez. Vous décidez. Bien. Merci.

 

TIFFANY : Merci.

 

ADAMUS : Excellent. Merci. (applaudissement) Et une magnifique tenue. (Elle est habillée en Reine de Cœur)

 

Ensuite. Qu'est ce qui vous empêche d'être libre ?

 

SUE : Eh bien, les deux dernières semaines, c'était au sujet de l'abondance

 

ADAMUS : L'abondance. Oui. Oh, le truc sur l'abondance. Je vous interromp tout de suite.

 

SUE : Oui. Je sais.

 

ADAMUS : Je suis tellement contrarié quant à votre manque d'abondance ! Vous tous.

 

SUE : Ouais ! Moi aussi (rire) C'est exactement moi, je suis ainsi  !

 

ADAMUS : C'est drôle, je n'ai pas de facture à payer! Pourquoi ? Nous allons ouvrir une petite parenthèse ici.  Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?

 

 

UNE PARENTHESE SUR L'ABONDANCE

 

Vous m'embarrasser (quelques rires) Une histoire vraie. Vous m'embarrasser avec les autres Maîtres Ascensionnés. Quand j'ai dit que j'allais travailler avec le Cercle Cramoisi et que je me suis assis dans cette salle de classe de la nouvelle énergie spirituelle, ils ont ri. Ils ont ri et ils ont dit “Ca ne peut pas se faire, Adamus” Et j'ai dit “Oui, j'ai confiance en Shaumbra. Je crois à l'amour”. (rires et Adamus s’esclaffe) J'exagère. J'ai dit “Je pense...OUI, MAIS...” (rires) J’ai dit “J'ai confiance en Shaumbra”.

 

Maintenant, quand je reviens, nous nous asseyons, nous buvons comme des trous, mais nous ne pouvons jamais nous enivrer ! C'est incroyable ! On a jamais de gueule de bois. C'est ce qui est merveilleux avec les Maîtres ascensionnés. Oui. Vous pouvez boire autant... regardez ! Regardez Mofo là  bas. Ouais En train de batifoler ! N'écoute même pas la conférence ! (rires) Versez lui  un autre coup. (rires)

 

Donc, quand je reviens chez les Maîtres Ascensionnés, que nous nous essayons en fumant des cigares..; oui, c'est ce qu'on fait. Nous buvons de l'alcool. Nous faisons toutes ces choses que vous pensez ne pas devoir faire.

 

(il y a une pause) Oui on fait ça aussi.

 

Donc quand je reviens là bas, ils disent, « Adamus, comment ça se passe avec le Cercle Cramoisi ?

Ils ricanent et se font du pied sous la table. (rires) « Comment ça se passe sur le territoire des Shaumbra ? »

 

Comment va Edith ?! Je réplique « elle  va bien. Elle va ascensionner dans cette vie, même si je dois lui faire faire moi même ! » (rires)

 

EDITH : Je l'ai déjà fait, donc taisez-vous.

 

ADAMUS : Vous avez vu ? Boom, boom. Je vais tout leur raconter ce soir.

 

LINDA : Répétez ça. Répétez ça.

 

ADAMUS : souhaiteriez vous le faire alors avec le micro.

 

LINDA : Attendez, attendez, Ici. Attendez, attendez, attendez.

 

ADAMUS : Alors tout le monde peut entendre, ainsi que les Maîtres Ascensionnés. Ils ne me croient pas, parfois. Et, donc - je vais le préciser à nouveau – et donc quand je reviens et que je dis: «Elle va ascensionner dans cette vie, même si je dois le faire moi-même», vous m'interrompez ...

 

EDITH : Je l'ai déjà fait !

 

ADAMUS : Oh ! Boom !

 

EDITH : Et tout le monde dans cette pièce aussi !

 

ADAMUS : La conscience a changé, l'énergie a changé. Oui, mais vous l'avez dit, Edith, et vous savez quoi ? Même si vous ne le pensez pas, ça ira très bien ! (rires)

 

EDITH : Je le pense ! Je le pense !

 

ADAMUS : Je vais vous montrer quelque chose.

 

EDITH : Vous ne pouvez pas me prendre pour une menteuse.

 

ADAMUS : Non, je le crois. Mais même si le reste d'entre vous ne le croit pas, dites-le de toute façon. «Je l'ai fait, Adamus! Et tu es un sacré ... »-  (Quelqu’un commence à le dire) Bon laissez moi finir (rires) « Je l'ai fait Adamus vous et vos damnés Maîtres Ascensionnés. Je suis illuminée et je reste dans mon corps sur la terre. Mais pas vous » (Adamus fait un signe de provocation avec la main ; rires et applaudissements)

 

LINDA : Qu'est ce que c'est ?

 

ADAMUS : Ca voulait dire « Salut » (d'autres rires)

 

Lors d'une récente réunion, j'ai parlé à Shaumbra et j'ai dit, "S'il vous plaît, marcher comme un maître, même si vous ne vous sentez pas comme un maître aujourd'hui. Même si vous vous réveillez le matin et dites, "Oh, j'ai mal au ventre. Ma tête me fait mal. Je dois aller à mon travail pourri. Je dois faire face au trafic », arrêtez-vous un instant. Arrêter vous avant d'aller plus loin. Prenez une profonde respiration, et même si vous n'en êtes pas totalement persuadé, jouez la comédie et marchez vous comme un Maître. (rires en voyant Adamus commencer à marcher comme un Maître)

 

Vous marchez comme un maître, et soudain de drôles de choses  se passent. Vous commencez à vous sentir comme un Maître. Vous commencez à vous rappeler que vous êtes un Maître. Vous  fanfaronnez  dans votre démarche - Où est mon épée? Ah - et puis soudain, vous vous sentez invincible. Rien ne peut se dresser sur votre chemin. Vous marchez comme un Maître. (Quelqu’un dit "Woua!" en brandissant l'épée) Woua! Ouais!

 

Vous  marchez subitement  comme un maître que vous portiez une épée ou  non, vous avez soudainement – ouais, approche, hein? - Tout d'un coup vous vous sentez comme  si vous aviez cette grande épée de la vérité et tout le monde dégage de la route. Non pas que vous allez couper la jolie tête de quelqu'un au passage, Dorothy, mais tout d'un coup vous vous sentez comme un Maître, donc vous marchez comme un maître. Maître Samouraï ! Eh bien, vous marchez comme un Maître cool, comme un Maître Kuthumi.

 

J'adore ce nouveau produit  Studio K.

Pourquoi n'y ai-je pas pensé? Vous marchez comme un Maître, et puis tout à coup une partie de vous se réveille et commence à agir comme l'un d'eux, commence à croire que vous en êtes un.

 

Là maintenant ... voulez-vous tenir mon épée? Là maintenant (rires alors qu'il commence à s'affaisser), Voici la marche. La marche de Shaumbra (il s'affaisse de plus en plus, en tombant sur les genoux ; l'audience rit)

Vous voyez, c'est comme ça que ça se fait. Vous allez marcher  ... oh, nous le referons, Crash. Oui, c'est la marche de Shaumbra. - On fera ça par étape, 

prise de vues rapide, s'il vous plaît – Vous marchez comme un Shaumbra et bientôt vous  rampez comme un humain.

(Adamus fait à nouveau une démonstration pour que Dave puisse le photographier) Eh, jusqu'où dois je aller – quelle distance pour aller au –pour que ce soit bien clair. Merci

 

LINDA : Pouvons-nous voir Mofo le faire ?

Marchez comme un Maître, et tout à coup VOUS LE FAITES. Des volontaires? Faites-le. (Quelqu'un monte et descend l'allée comme un Maître) Bon. Bon. (applaudissements)

 

Excellent. Excellent. La piste Shaumbra. Oui. (Une autre femme se lève et arpente l'allée comme un Maître)

 

Bon. Bon. (applaudissements) Vraiment. Et je ne plaisante pas du tout.

 

LINDA: Pouvons-nous voir Mofo le faire?

 

ADAMUS: (rire) Ne vous en prenez pas à un pauvre type. Il est sur le point de perdre connaissance!

 

Non vraiment, vraiment faites-le, et soudain vous allez commencez à parler comme un Maître au lieu de parler comme ça avec cette petite voix, tout à coup, vous parlez avec autorité et élégance avec du sens et de la passion.

 

Les gens vont simplement attendre que vous disiez quelque chose. Ils vont donc être comme électrifiés. Ouais, vraiment. Il vous faudra exagérer un peu. Il vous faudra un peu jouer... Vous devez mettre un peu de piquant et de sensualité  dans votre voix. (il montre)

 

Non vraiment. Vraiment sensuelle. Je n'ai pas dit sexuel, vous pervers. (rires) J'ai dit sensuel ! Sensuel. Un peu de sens et d'expression. Les humains sont si plats dans leurs paroles. Vous vous rendez compte qu'en  tant que Lémuriens et Atlantes, vous avez chanté! Bonjour Marie! (en chantant) Comment allez vous !

 

MARY : (en chantant aussi) Je vais bien. Je Suis ce  Je Suis !

 

ADAMUS : Bien, bien. Voyez. C'est une langue chantée, et vous n'avez pas besoin de dire beaucoup de mots, parce que ce n'était pas mental. Il y a un ressenti. Mais je m'égare. Ou e sommes nous ? Abondance. Oh je suis tellement contrarié.

 

Donc je vais à mes réunions, que j'ai ce soir avec les Maîtres Ascensionnés, et ils vont dire: «Comment va Shaumbra?" Je vais dire: «Ils vont bien. Ils sont biens. . Ils sont biens "Vous voyez j'ai appris ces expressions de vous - «  Oh, je vais bien, je vais bien » (rires car il imite l'être humain non authentique) Comment ça va ? « Oh très bien, bien ».

 

Et je vais vous dire cela ce soir et ils vont rire, comme vous l'avez fait, et ils vont dire: «Bon, A, que font-ils?" (Quelqu'un dit: "A?") Ouais, A. C'est comme cela qu'ils m'appellent - A. C'est avant B, C, D et K. studio (Rires) Et ils vont dire: « Comment va Shaumbra? » « Eh, oui, très bien. Bon. Bien, bien. Ouais, ouais. Comment allez-vous? »

 

 « Eh, » ils vont dire. « Non, vraiment, ce qui se passe là-bas, là-bas en-bas ? » « Eh bien, nous parlons de liberté. » (Il tousse et s'ébroue, comme si les Maîtres Ascensionnés étaient en train d’étouffer leurs rires)

 

 « Vraiment ? ! Vous parlez déjà de liberté avec eux ? ! N'avez-vous pas raté quelques étapes ? N'êtes-vous pas en train d’essayer de les pousser, A ? « On m'appelle aussi Sir. « N'êtes-vous en train pas d’essayer de les pousser, d’aller un peu trop vite ? » Et je dis : « Non, ils sont prêts. Ils sont prêts. Ils n'ont pas besoin de toutes les autres choses que vous aviez besoin. (Beaucoup de rires) Ils sont prêts pour la liberté (en anglais : for F U, freedom – F). Nous sommes déjà sur cette leçon. » (Plus de rires)

 

Et puis ils vont me clouer de suite sur la croix. Ils vont dire: « Bon, A. Combien sont montés en Mercedes ? « Je vais dire : « Eh bien, je ne pense pas que c'est ce qui importe. » Et ils vont rire et dire « Connerie » ! Combien sont montés en BMW? Combien sont montés en carrosse ? Combien sont montés dans une limousine? "

 

EDITH: Combien auto-stop? (Beaucoup de rires)

 

Adamus : Et ne se sont pas fait prendre ! (Rires) C'est ce qu'ils vont dire. Ils vont dire: « Un, sont-ils ... sont-ils tous venus en marchant et ont-ils beaucoup donné à Crimson Circle parce qu'ils sont anormalement   abondants. Cela n'a pas d'importance ? » Et je vais dire : « Je ne m’occupe pas de ces choses. C'est Cauldre et Linda qui le font. » (Rire)

 

Vous comprenez cela ?

 

Et ils vont dire: « Quand vont-ils construire leur nouveau centre - le centre d'éveil pour les humains sur Terre ? » Je vais dire : « Ils n'ont pas d'argent. Ils n'ont pas d'argent pour payer leurs propres factures. Ils n'ont pas d'argent pour acheter de la bonne  nourriture. Ils n'ont pas d'argent pour aller dans de beaux hôtels ou de voyager en première classe. Ils n'ont pas l'argent pour faire les choses qu'ils veulent vraiment. Ils arrivent juste à s’en sortir pour vivre, tout juste. Ils n’en sont pas encore à ce point, mais nous y arriverons. Nous allons y arriver »

 

Ils vont dire: « Vous savez, nous les aimons trop, et nous savons que c'est une des choses les plus difficiles. » Ils vont dire: « Cette question de l’abondance. Cette question de l’abondance est la crotte de nez. C'est une question difficile », car ils comprennent vraiment. Et plus je fais la lumière pour préciser mon point de vue, ils le comprennent.

 

Mais malgré cela, cela m’irrite encore. Cela m’irrite encore, car il n'y a rien - rien - vraiment entre vous et l'abondance. Vous pensez qu'il y a quelque chose. Vous pensez que vous devez aimer créer une grande affaire, un plan grandiose et le planifier et l’échafauder. L'abondance est simplement une question de s'aimer soi-même. C'est tout. Une fois que vous avez cela, l'abondance afflue.

 

Linda - Je peux lire dans ses pensées - et quelques autres disent : « Alors, quand, Adamus, allez-vous faire un cours sur l'abondance ? » Et je dis : « Dès qu'ils sont prêts, Linda. Dès qu'ils sont prêts pour cela. » Et cela est vraiment très simple. Nous n'avons pas besoin de passer beaucoup de temps là-dessus, mais je me demande ...

 

LINDA: A quoi ressemble « prêt » ? (Quelques rires)

 

ADAMUS: Excellente question. Je suis content que vous l’ayez posée. A quoi ressemble prêt pour cette chose « abondance » ? Et soit dit en passant, c'est lié à la chose « liberté ». Laissez-moi vous expliquer quelque chose, si vous le voulez bien, s'il vous plaît.

 

LINDA: Avec plaisir.

 

ADAMUS: Voici la conscience. (Il dessine un point dans un cercle) C'est vous, étant doté d'une âme. Nous en avons parlé auparavant, le beau cercle avec un point. Bientôt, vous allez hériter ce point. Ça va être le vôtre. Et non, ce n'est pas le péché originel. C'est votre essence.

 

Donc, c'est la conscience. La conscience ne contient pas d'énergie - Je suis obligé de revenir sur quelque Adamus leçon 1 (en anglais : Adamus 101) - il ne contient pas d'énergie. L'énergie a été créée à partir de la profonde passion et du désir de retourner à la maison ou d’aller vers la liberté.

 

Alors maintenant, la conscience, cette chose que vous avez déjà c’est la prise de conscience et tous vos potentiels – qui ne vous ont pas été donné par quelqu'un d'autre, mais que vous vous êtes donné à vous-même – cette conscience inspire l'énergie. L'énergie est juste là. Neutre. Il y a assez d'énergie dans cette salle, ici-même avec nous, pour alimenter cette planète pour les dix prochaines années. La planète entière et chaque être humain.



L'énergie est libre pour ceux qui sont libres. C'est une autre grande citation. Je vais la mettre en place sur le mur. L'énergie est - je peux le voir maintenant - l'énergie est libre pour ceux qui sont libres. Qu'est-ce qui ne va pas avec l'humanité en ce moment ? Ils ne sont pas libres, donc l'énergie n'est pas libre. Il y a donc une crise de l'énergie en ce moment, vous voyez. Voyez, tout cela est vraiment simple. Vraiment très simple. La conscience inspire l'énergie, le sort de son état neutre, et une grande quantité est disponible. Il y a une vieille croyance qu’elle est limitée. Elle ne l’est pas.

 

Quand la conscience est libre et ouverte, que l'énergie est juste comme Waouh ! (Il dessine de l'énergie qui sort du cercle) Juste gratuite et abondante, et cela ressemble au soleil, cela semble rayonner. C'est – Waouh ! – Elle bouge simplement. Il n'y a aucun contrôle. Elle n’est sujette à aucun « mais ». Elle est simplement. Elle est très spontanée. Très ... très symbolique - pas tout à fait le mot juste Cauldre - mais elle est très littérale. Très littérale.

 

La conscience dans sa liberté va créer tout ce dont elle a besoin, elle veut, elle choisit – voitures, de belles maisons, n’importe laquelle de ces choses, n’importe laquelle - et vous devriez l'avoir. Vous devriez l'avoir. Pourquoi ? Pourquoi pas ? Oui, pourquoi pas. C'est la première raison. Deuxième raison: Si vous allez être un vrai standard pour d'autres, un exemple pour les autres, la marche du Maître. La marche du maître – vous avez des chaussures d'or sur lorsque vous marchez, car cela ne fait pas si bonne impression d'avoir ... Je suis désolé, mais ce sont elles sont empruntées. (Cauldre a loué des bottes pour aller avec le costume) Ce sont des locations. Vous devriez avoir mis des chaussures en or. Les humains ont besoin de voir ça.

 

Maintenant, vous vous dites: « Oui, mais nous avons vu tous ces excès et ces télévangélistes avec tout leur argent. » Alors ? Ce n'est pas vous. Ce n'est pas vous. Vous n’allez pas faire ça. Vous pouvez avoir une grande abondance. Une grande abondance. Nous allons en parler.

 

Vous l'avez demandé, chère Linda. Alors, quelle est la réponse ? Quand allons-nous le faire? Lorsque vous êtes prêt. Lorsque vous êtes prêt? C'est lorsque vous me demandez. (Beaucoup dans l’assistance disent : « Nous sommes prêts ») Cela manque d’enthousiasme, d’inspiration. C'est comme ... oh. En attendant, s'il vous plaît n’assistez à aucune classe d'abondance. Pourquoi ? Ce sont des classes de non-abondance. Ce sont des classes de non-abondance. Elles sont tenues par des gens qui ne sont pas dans l'abondance, qui ne comprennent pas l'abondance.

 

Ainsi la conscience, quand elle est ouverte, quand elle est libre, l'énergie se déplace - whoo! Tellement facile. Quand la conscience est limitée par des croyances, quand la conscience est limitée par l'esprit, par la conscience de masse ou par la conscience de masse d'un groupe, quand elle est limitée en raison de sa crainte de devenir libre, ce que vous avez est très faible, de petits jets minuscules d'énergie (il dessine) qui représentent le manque d'abondance, le manque de passion dans votre vie, absence d'amis, le manque d'estime de soi, tout manque, le manque, le manque, le manque, le manque, le manque, et l'énergie ne bouge pas. Et puis vous vous demandez ce qui ne va pas.

 

Et pire encore, quand vous vous demandez ce qui ne va pas, quelle est la première chose que vous faites ? (Quelqu'un dit : « Je dis que je ne sais pas. ») Cela aussi. Oui, « je ne sais pas. » « Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? Qu'ai-je fait de mal ? Je suis tombé et me suis cassé une jambe. Qu'ai-je fait de mal ? » Vous êtes tombé et vous vous êtes cassé une jambe! Elle va guérir ! La chose la plus importante n'est pas pourquoi vous avez cassé votre jambe, c'est que vous allez guérir maintenant, comme ça ? (Adamus fait claquer ses doigts) Pas une guérison longue et ennuyeuse, mais allez-vous la guérir ? C’est cela.

 

Peut-être, juste peut-être, qu’il ne s'agit pas d'essayer de comprendre pourquoi vous l'avez cassé, ce que l'Esprit essaie de vous dire – parce l’Esprit ne donne pas le moindre indice, vraiment, à propos de ce genre de choses – il ne s'agit pas de trouver de quel événement astrologique qui s'est passé au moment où vous vous êtes cassé votre jambe. C'est vraiment - swhtt! – « Puis-je guérir comme ça, instantanément, comme par miracle? » Quel concept ? (Silence, puis rire) Oh, nous allons avoir une longue réunion ce soir au club des Maîtres Ascensionnés.

 

 « Et comment ont-ils réagi, Adamus, quand vous leur avez donné cette sagesse profonde? » « Oh, ils étaient, hum, en train de l’intégrer (Rires) Ils l’ont inspirée en eux. » (Adamus riant)

 

Où en étions-nous? Ainsi, l'énergie ralentit.

 

Donc, maintenant, voici le dilemme. Je vais mettre tout cela ensemble maintenant, parce que certains d'entre vous se demandent « Que diable se passe-t-il aujourd'hui. Où, diable, allons-nous ? » Je suis en train de détourner l'attention afin que vous puissiez être libre. Merci, oui, et un peu d'humour. Et je dois avoir quelques histoires pour quand je retournerai au club ce soir. (certains rient)

 

Alors, où en étions-nous? Liberté. Liberté.

 

Il y a ... (Cauldre s’assied) Oui, il peut s'asseoir.

 

Il y a une peur innée de la liberté de tout ... (rires car Adamus se relève à nouveau) Il a guéri! Il a guéri!

 

 

Vraie liberté

 

Il y a une peur innée de la liberté pour tout être doté d'une âme. Pourquoi? Séparation d’avec l'Esprit. L’ultime. Séparation – ils perçoivent la séparation - d’avec l'Éternel. La spécificité ressentie ici, consiste essentiellement dans la peur, avec la liberté, de se couper de l’Éternel, de lâcher prise, de cesser d'exister - ou d’aller en enfer ou quelque chose comme ça – mais que quelque chose de vraiment mauvais va se passer. Cela n’arrivera pas ! (Adamus s’esclaffe)

 

Il y a la grande peur que si vous endossez votre propre Je Suis, que vous alliez à la dérive, ou faire des erreurs. Vous voyez, tout cela c'est la pensée humaine. Seul un être humain pourrait penser comme ça. Seul un vieil Atlante pourrait penser comme ça – que « je risque de mal faire. » Vous ne pouvez pas mal vivre la liberté. Vous pouvez simplement la vivre, mais vous ne pouvez pas mal la vivre.

 

La perception de la séparation d’avec l'Esprit, d’avec l'Eternel – La perception de la séparation – le laisser-aller de ce lien avec l'Esprit est en fait une véritable intégration de l'Esprit, l'intégration, comme le montre par le biais de la fleur de lys, le rapprochement. Telle est la véritable intégration.

 

Arrêtez-vous un instant. Je sais que c'est un peu déroutant pour le cerveau : « Mais qu'est-ce qu'il vient de dire ? » Je viens de dire que lorsque vous acceptez votre liberté sans « si », « et », « mais » ou « je-ne-sais », quand vous faites ça, comme Aandrah le dirait, outrageusement, avec audace, courage - d'accepter votre liberté, pas de « si », ni de « mais » - c'est le moment où vous intégrez l’Esprit en vous. La fusion finale, la réunion finale.

 

Alors vous ne mettrez plus jamais, jamais l’Esprit ni à l’extérieur, ni en-haut, ni au-delà, ou ailleurs qu’en vous-même. Juste là (Adamus pointe sur le point au milieu du cercle), dans votre conscience. Voilà, mes amis, ceci est la liberté. (une personne applaudit) Merci. Un applaudissement. (applaudissements) Et ce soir, ils vont dire : « Ont-ils applaudi, Adamus ? » Et je vais dire : « Je les ai eus. Je les ai hypnotisés. "

 

Il s'agit d'une proposition effrayante, et c'est la proposition qui est sur la table en ce moment – et pas seulement pour vous, pour l'humanité. Ils ne sont pas dans la même conscience de ce que vous êtes. Ils ne sont pas dans la même compréhension de ce qu'est la liberté. Ils pensent que la liberté est l'élection d'un homme politique, d'aller aux urnes, et ce n’est vraiment pas cela. Ou ils pensent que la liberté c’est d'être capable de choisir tel type de voiture qu'ils ne peuvent pas se permettre. (quelques rires) Mais c'est un dilemme auquel fait face notre planète en ce moment. C'est LE dilemme. Il suffit de jeter un oeil à tout ce qui se passe, que ce soit en politique ou en particulier dans le monde financier. Whoo! Ooh! C'est là que cela apparaît vraiment.

 

Liberté et argent. Regardez les contrôles qui sont placés sur l'argent dès maintenant. Stupides, les contrôles artificiels qui ne sont pas vraiment nécessaires. Mais il y a, en ce moment, une très forte faction et des groupes de personnes sur la planète qui ne croient pas que vous êtes suffisamment responsables pour gérer l'argent – vous et tous les autres, qu'ils se doivent de le contrôler. Ils ne le font pas pour gagner plus d'argent, parce jusqu'à un certain point, cela n'a pas d'importance. Ils le font parce qu'ils pensent qu'ils vous aident, et peut-être qu'ils vous aidaient. Et peut-être qu'ils vous aidaient, et peut-être ont-ils aidé certains. Je ne crois pas que ce soit vrai, mais ils le font.

 

Ils pensent que les êtres humains sont par nature fondamentalement pécheurs. Ils le pensent vraiment. Ils croient que les humains sont imparfaits, en travaillant vers un état de perfection ou au moins le salut, et je ne parle pas seulement des religieux. Il y a également des athées qui croient que les humains ont évolué à partir de bouse de vache et ... et ... je vais – je sais que nous manquons de temps – mais je vais vous soumettre également cette proposition.

 

Le concept général que vous avez, c'est que les choses se passaient là-haut sur un niveau plus élevé – et ce n’est pas tout à fait vrai, mais elles se sont produites quelque part là-bas – et vous pensez qu’il y avait une application du haut vers le bas, sur cette planète. Eh, il y avait un voyage sur cette planète pour des raisons très ascensionnées, mais vous pensez que cela est venu de là-haut, est venu ici-bas, et maintenant vous allez revenir au point de départ. Mais même ... Je vais vous envoyer cette proposition, parce que c'est quelque chose que nous faisons dans notre école de philosophie de la Terre Nouvelle.

 

Imaginez que tout cela est juste évolution. Imaginez que cela a commencé avec, je ne sais pas, juste un petit morceau minuscule de rien et transformé en cela, transformé dans le cosmos. Il a évolué à partir du néant, et les humains ont évolué – imaginez ceci pour un instant – et qu'il n'y a pas de Dieu là-haut qui l'a fait parvenir ici-bas, et il n'a jamais vraiment été un Dieu. C'était juste une chose bizarre, cette petite chose qui est arrivé et a créé tout cela.

 

C’est fondamentalement toujours la même dynamique, car il y a encore une conscience, c'est peut-être venu de l'évolution de presque rien. Il y a encore une conscience qui est la création d'un Dieu, qui est la création de ce qu'on appelle l'illumination, qui est la création d'ascension. Il y a toujours quelque chose qui s'est passé que l'amour a créé, qui a créé l'Êtreté.

 

Ainsi, même si l'on disait que toute vie a juste évolué à partir d'une collision un peu bizarre, regardez ce que vous créez. Vous créez l'illumination. Vous créez l’ascension, et vous  créez aussi la souveraineté et la liberté. Donc, peu importe la façon dont vous la regardez, c'est toujours la même chose. Voilà de quoi réfléchir. (quelques applaudissements) Merci. Et la réalité est qu’aucun n’est tout à fait vrai. A des degrés divers, mais aucun est tout à fait vrai.

 

Alors, où en étions-nous? Sur cette planète, la plus grande chose qui se passe en ce moment, alors que nous quittons l'ère de l'Ancienne Énergie et  entrons dans la nouvelle, il s’agit vraiment de l'ère de la liberté. Les êtres humains sont-ils prêts à gérer la liberté ? Nous ne savons pas. Vous ne savez pas. Êtes-vous prêts à y faire face ? (l'assistance dit « Oui ! ») Cela n'a pas d'importance pour moi. Vraiment.

 

Je suis heureux, je suis heureux, enchanté et plus, de ce que vous êtes, mais cela vient avec la liberté. Avec elle vient la prise de responsabilité. Avec elle vient le marcher-comme-un-maître, puis être le maître. Avec elle vient le fait de se rendre compte que 95 pour cent de tout ce qui vous passe par l'esprit n'est pas à vous.

 

Vous ramassez dans l’espace de la camelote, de la camelote extra-terrestre, de la camelote humaine, les particules qui flottent autour – des particules de pensée qui flottent autour – qui ne sont pas les vôtres. La liberté est de les relâcher, car elles ne sont pas les vôtres. Vous passez beaucoup de votre énergie mentale à débattre avec vous-même la façon dont vous allez vous améliorer. Ce n'est pas la liberté. Ce n'est pas la liberté. Non, vraiment pas.

 

La liberté dit : « Seules les pensées qui sont les miennes, seule la conscience qui est à moi est ce que je choisis en ce moment. » La liberté dit : « Mes vies passées ne sont pas les miennes. Elles ont été des expériences de mon âme. » La liberté  dit : « Ma famille, mes enfants ne sont pas la miens. J'ai pu leur donner naissance, je pourrais avoir dépensé une fortune pour eux, mais ils sont aussi des êtres doués d’une âme. » La liberté dit : « Si vous êtes dans une situation, que ce soit un emploi, ’une relation, ’une religion, une secte, ou oh ... (il rit) ... ou toute autre chose qui ne vous sert pas, vous allez le relâcher. » C'est la chose la plus facile que vous ne pourriez jamais faire, ou la plus difficile. C'est à vous de voir.

 

La liberté est la capacité de simplement s’en aller. Ne pas penser... eh bien, encore une chose à propos de la liberté. Il y a cette grande, grande chose laide à la porte de la liberté. C'est ce qu'on appelle la mort. C'est ce qu'on appelle la mort. C'est pourquoi je veux vous emmener en promenade à la veille d'Halloween, parce que vous dites : « Oh oui, la liberté est merveilleuse. C'est génial, et je peux quitter mon emploi et je peux faire toutes ces autres choses. Mais, oh mon dieu, si je meurs ? « Eh bien, alors vous êtes libre. Mort libre ! (Adamus rit) Vraiment.

 

Je veux dire, c'est un gros problème psychologique. Vous savez, je l'ai dit avant, mais la mort est beaucoup plus facile que la naissance, vraiment. Et vous êtes mort, quelque chose comme mille, certains d'entre vous mille cinq cent fois ? Tellement facile. La naissance est difficile. C'est une toute autre histoire. Vous savez que vous avez un autre 80 à100 ans devant vous. Mourir, vous savez - ouf! – vous allez vous reposer. Mais dans toute cette affaire de liberté, c'est « Et si je meurs ? »

 

Tout d'abord, cela n'a pas d’importance. Vous allez mourir de toute façon. (silence, puis Adamus rit) Un silence est tombé sur la foule. Allez-vous accepter cela ? La question est là, le problème est là, allez-vous mourir comme vous le souhaitez ? C'est la vraie question. Oui. C'est la vraie question.

 

Soit dit en passant, je dois insérer une chose ici. Il y a une phrase célèbre qui a été déformée, et la ligne aurait dû se lire comme suit : « Pour libérer, ou ne pas libérer. » Telle est la question. Ils m'ont mal cité : « Être ou ne pas être ? ! » Non ! « Pour libérer ou ne pas libérer."

 

Retournons à la mort un instant. Vous voyez comment j’ai eu une petite distraction ? L'énergie allait en enfer, nous avons une petite distraction - c'est incroyable.

 

La mort. Cela n'a pas d’importance. Cela n'a pas d’importance. Cela n'a pas d’importance. Vous allez mourir. L'important, c'est de mourir de la manière que vous choisissez – shwtt! – Sortir de votre corps, je ne sais pas, peu importe comment vous voulez le faire. Il suffit de ne pas le faire avec une longue maladie interminable. C'est indigne. C'est presque aussi indigne que le manque d'abondance – ou pire. Je n'ai pas choisi.

 

Alors, prenons une profonde respiration.

 

 

Sommes-nous prêts?

 

La liberté. Nous allons en parler au cours des prochains mois, en particulier. Vous allez le voir maintenant. Les yeux grands ouverts. Vous allez voir que ceci est la dynamique de la Terre. Et ils peuvent parler de tout autre chose, mais ceci est la conséquence de la question de la liberté. De l’argent, de la politique, de l'énergie – pff ! de l'énergie – à propos de toutes ces choses on parlera vraiment de la liberté.

 

L'humanité est-elle prête à accepter la liberté? Que ce soit les guerres civiles qui éclatent, le conflit ou les tensions – il s’agira toujours de la liberté.

 

Et rappelez-vous, pendant que vous vous méditez sur votre propre liberté, et si vous êtes vraiment prêt pour cela, il ne s’agit pas seulement de l'humanité. C'est la question de tout le cosmos, de la création toute entière, de votre famille spirituelle, de tout être doté d'une âme et de l'Esprit... et de l'Esprit. Et la chose intéressante c’est que tout retourne directement ici, revient droit vers vous, revient directement à ce que vous choisissez, car, en choisissant pour vous-même, vous vous donnez une véritable liberté sans borne, ceci a un impact profond  sur toute la création.

 

Quel effet cela a-t-il ? Eh bien, cela illumine le potentiel, et il y a certaines régions de la création en ce moment-même où il n'y a pas de lumière sur cette chose que vous appelez liberté. Il n'existe pas de compréhension de celle-ci. Il y a des endroits sur cette planète en ce moment qui n'ont pas de notions. Il y a même des langues de la planète qui n'ont pas le mot « liberté » dans leur langue. Il n'existe pas. Cela n'est pas dans leur conscience.

 

Donc, cela vous revient, vous ce groupe prestigieux ici à Cold Creek Canyon, ceux qui nous regardent sur Internet. Cela revient à vous – non pas au sujet de leur liberté, mais en ce qui concerne  l'illumination d'un potentiel - d'abord pour vous-même et ensuite pour les autres. Avant tout, c'est la question du Moment.

 

Jusqu'à notre prochaine rencontre, je voudrais que vous jetez un oeil sur votre vie, et non pas en jugeant mais comme un observateur éclairé. Ce qui vous coupe, (l'épée tombe en arrière-plan) de votre liberté ... distraction. (rires) Qu'est-ce qui vous coupe de votre liberté ? Quelles sont les choses que vous avez choisi qui vous empêchent d'être libre ? Et, plus que toute autre chose, comment ressentez-vous la liberté ? Ne pensez pas cela ressemble à, et ne vous projetez pas sur vos activités quotidiennes et routinières. C'est le sous-produit de la liberté. Mais à quoi ressemble la liberté ?

 

Vous allez rêver de liberté, non pas parce que je l'ai dit, mais parce que c'est le sujet qui vous est le plus proche. Quand vous rêvez de liberté, vous allez avoir des rêves peu libres – comme, en d'autres termes, où vous serez emprisonnés – pour vous aider à comprendre ce que c'est que de ne pas être libre. Vous allez avoir des rêves de ce qui étaient les vies antérieures de votre âme – j'espère qu’elles ne sont plus les vôtres – de ce que c'était que d'être un propriétaire d'esclaves ou d'être un esclave, de ce que c'était que d'être un atlante dans le sens communautaire. Eh bien, maintenant, c'était un manque de liberté. Tout devait être fait en groupe.

 

Vous avez des rêves de ce que vous appelleriez des endroits extra-terrestres, d'autres lieux autour de la création, autour de l'univers que vous allez visiter, parfois en groupe, parfois seul, des lieux qui n'ont pas – qui n’ont absolument aucune – conscience ou de compréhension de la liberté, parce que parfois, il est utile de voir ce que c’est de ne pas avoir certaines choses afin de mieux comprendre ce que c'est de les avoir.

 

Est ce que ce sera  intense? C'est à vous de choisir. Peut-être. (quelqu'un dit « Facile ») Est-ce que ce sera facile? Peut-être. Cela devrait l’être. Cela devrait être la chose la plus facile. Chacun d'entre vous devrait simplement en sortir totalement libre. Ou cela pourrait être éprouvant et difficile. Merci (à Linda)

 

 

Réponse d’Adamus

 

Alors maintenant, je veux donner ma réponse – cela sera une réponse un peu bizarre – à qu’est-ce que la liberté. Ou, plus précisément, comment pouvez-vous vous donner la liberté en ce moment ? Un mot très simple, par manque d'un meilleur mot. Très, très simple. Arrêtez-vous un moment et ressentez la liberté... ressentez la liberté.

 

(pause)

 

La question immédiate pour vous, pour la planète, pour l’Esprit, pour tout le monde, pour tout – la véritable transition, la véritable fin de la question du vieux monde – il n’y a qu'une chose qui s'applique à vous dans votre vie. Une chose très simple. C'est le mot « pardon ». (en anglais forgiveness = Sentiment de compassion qui soutient la volonté de pardonner) C'est tout. Le pardon.

 

Et avec cela, mes chers amis, tout va bien dans toute la création. Merci.

 

Ah! (quelqu'un lui tend une plaque avec ces mots peints dessus) Tout va bien dans toute la création. (applaudissements) Je vous remercie.

 

Profitez de la vie, soyez libres et soyez abondants. Merci.

 

 

 

Traduction : Isabelle, Nicole, Annie et Clément.