LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Découverte
SHOUD 8 : “Découverte 8” – ADAMUS,
canalisé par Geoffrey Hoppe
Présenté au Crimson Circle
Le 5 avril 2014
www.crimsoncircle.com
Je suis ce que je suis,
Adamus du domaine souverain.
Bienvenue, chers Shaumbra. Je
suis Adamus, et je ne fais que passer. Hmm. Je ne fais que passer à ce
rassemblement de Maîtres humains, des Maîtres qui prennent quelques heures une
fois par mois pour se rencontrer, ahh, pour être dans cet espace sûr.
Ah, je sais ce que vous
faites quand vous êtes ici à ma réunion. Hmm. Je sais ce que vous faites chaque
mois quand vous vous connectez à ce Shoud.
Vous prenez une profonde
respiration. Vous vous détendez. Vous lâchez tout ce makyo. Et ensuite, dans
les semaines qui suivent, vous en reprenez un peu. Vous doutez de vous. Vous y
pensez. Et puis vous revenez et nous libérons et laissons partir cela une fois
de plus, parce que vous avez vraiment cette connaissance intérieure. Peu
importe ce que votre mental vous dit, vous avez vraiment cette connaissance
intérieure, et c'est ce qui vous guide. C'est ce qui vous amène ici et ce qui
fait de vous un vrai Maître.
Mais moi, je ne fais que passer.
Juste passer, alors que je suis en chemin vers une, oh, peut-être une autre
réunion du Club des Maîtres Ascensionnés. Nous en avons eue une autre la
semaine dernière. (Quelques Oh ! Et oooh de l'assistance) Vous êtes
jaloux ? (Adamus rit) « Oooh » disent-ils immédiatement.
Entendez-vous ces gars (les cherchant du regard) et ces dames ? Merci. Il
y a effectivement plus d'ex dames au Club des Maîtres Ascensionnés qu'il n'y a
d'hommes. Oui, c'est à peu près la même proportion qu’ici — environ 70 pour
cent de femmes Maîtres, 30 pour cent d'hommes. Alors, les hommes, mettez-vous à
la tâche ! (rires) Devenez des Maîtres.
Mais moi, je ne fais que
passer, sur ma route vers une autre dimension, sur ma route vers une autre
expérience. Il n’y a pas de leçons pour moi. J'en ai fini avec cela il y a
longtemps. Je ne fais que passer, parce que je le peux. Je ne fais que passer,
parce que, ah, c'est sensuel, c'est beau, c'est sacrément amusant… (Adamus rit)
Kerri.
KERRI : Vous êtes
amusant.
ADAMUS : Oui. Oui. Je ne
fais que passer, sur mon chemin de libération de l’ici, sur mon chemin de
rencontre d’un Maître ou d’un autre. « Oh-Be-Ahn », dis-je à ces rares
voyageurs du temps, ces rares voyageurs du temps conscients qu’ils sont sortis
de là. Oh-Be-Ahn. Oh-Be-Ahn. Finalement, c’est cette caméra qui nous cadre.
(Adamus rit) Finalement.
[Oh-Be-Ahn : Salutation et bénédiction ancestrales
utilisées entre voyageurs du temps quand ils se rencontrent pendant leurs
voyages. Cela signifie "je rends honneur à votre cheminement, peu importe
où vous en êtes".]
Je ne fais que passer. Rien
ne me retient. Rien ne me fixe / maintient rigidement en place. Rien ne me fait
oublier qui je suis.
Et mes chers amis Maîtres, il
devrait en être de même pour vous sur votre chemin, d’avoir cette conscience de
ne faire que passer. C'est d’ailleurs tout ce que vous êtes en train de faire.
Vous ne faites que passer, traverser cette expérience sur cette planète
Terre ; juste la traverser, passer à travers une belle expérience. Juste la
traverser. Alors que la plupart des humains ont l'impression de…, ils vivent et
disent des choses comme : « Et voilà » et puis ils… oh, Sandra,
un petit café. Crème, s'il vous plaît.
SANDRA : Nous n'avons
plus de crème, mais nous avons du lait de chèvre.
ADAMUS : Du lait de
chèvre, très bien. (rires) fraîchement traite. (Adamus rit) Oh, comme je l’ai dit,
je ne fais que tourner de l’oeil… euh, je veux dire, que passer. (plus de
rires)
Juste passer, et c'est cela la
conscience d'un Maître. Voudriez-vous écrire cela, Linda ? Un Maître ne
fait jamais que passer. Vous ne vivez pas cette vie juste pour mourir et partir
au ciel ou au purgatoire, en enfer, ou n'importe où. Ça c'est ce que pense la
conscience de l'humanité. Elle est bien alourdie, attachée à cela. C'est comme
si vous aviez cette vie pleine de leçons ici sur cette planète et puis vous mourriez,
et ce serait en quelque sorte juste cela. Et puis vous iriez à cet endroit (le
paradis ou l’enfer) ou même absolument nulle part.
Un Maître est libre de cela.
Le Maître ne fait jamais que passer.
Je vais y revenir un peu plus
tard dans notre discussion d’aujourd'hui. Mais je veux que vous en ressentiez simplement
l'essence. Vous ne faites que passer.
Il y a eu toute cette
illusion que voilà, c’est tout ce qu’il y a, vous êtes en quelque sorte coincés
ici. D'une certaine manière vous êtes perdus dans cette dimension. Vous le découvrirez,
je l'espère d'ici la fin de la journée, ou certainement d'ici notre prochaine
réunion, mais vous ne faites que passer. Cela vous donne une telle liberté. Une
telle liberté.
Et la plus libre des libertés
c’est que vous pouvez simplement traverser (les
choses, les situations) à chaque fois que vous le voulez, comme je le fais,
comme d'autres Maîtres le font. Attention là. (à Sandra qui apporte son café)
Attention.
SANDRA : Et il y a aussi
du chai.
ADAMUS : Du chai.
Gardez-le pour Kuthumi. (rires) Ah ! Où est Kuthumi ? Kuthumi est en
fait dans la salle, mais je ne le laisse pas tellement parler. Il se met
toujours sur le devant de la scène. Kuthumi — il travaille avec chacun d'entre
vous. Kuthumi se manifeste à toutes les réunions, et il dit à l’instant qu'il
est drôle. (quelques rires)
Kuthumi travaille avec moi et
quelques autres qui travaillons avec vous, et notre plus grand défi et la chose
où en fait Kuthumi excelle, c’est celle qui consiste à vous sortir de votre
mental. C'est mon plus grand défi et votre plus grand défi. C'est la chose la
plus difficile à faire —sortir de ce mental — parce que le mental ne croit pas
que vous ne fassiez que passer. Il croit que voilà, c’est tout ce qu’il y a. Le
mental croit à ses pensées et les pensées ne sont pas réelles.
Le mental croit à ses
croyances, et les croyances ne sont pas réelles. Sortir du mental vers la vraie
connaissance, vers l'essence, est peut-être la chose la plus difficile pour un
humain entrant dans sa maîtrise. Et la partie la plus difficile de ceci est le
moment où vous êtes en plein entre les deux, quand vous êtes encore dirigé par
la pensée.
Et je ne parle pas tant du
mental ici. Le mental sert en fait un but. Il vous permet de faire des choses
dans cette dimension. C'est un peu comme votre disque dur dimensionnel, et il
ne fonctionne pas quand vous allez dans les autres dimensions. Le mental vous
permet d’avoir un corps physique et qu’il soit parfaitement coordonné. Il vous
aide à manœuvrer dans le temps et l'espace. Ce sont les pensées qui sont le
problème.
Et je dirais qu’en général
les pensées ne viennent pas du mental. Non, non, le mental fait un excellent
travail. Il vous permet de voir avec vos yeux et d’entendre avec vos oreilles
et de comprendre les choses. Le mental est pollué par les pensées, et nous
allons en parler aujourd'hui. C'est un peu le thème.
Mais pour l'instant, commençons
par un merabh, et nous finirons aussi avec un autre. Mais commençons avec un merabh,
le merabh du « ne faire que passer »
Un merabh, bien sûr, est un
moment où vous n'avez tout simplement pas à faire quoi que ce soit, y compris
penser. C'est quand vous prenez une profonde respiration et permettez
simplement. Permettez simplement. Mais dans ce merabh, je voudrais que vous
ressentiez vraiment la façon dont vous ne faites que passer.
~ Ne faire que passer
(La musique commence)
Cela ne signifie pas que vous
ne pouvez pas vivre certaines expériences. En fait, ça améliore les expériences.
Cela ne signifie pas qu'il
n’y a pas de sentiment d'appartenance dans vos expériences. Non, il y a une
appartenance totale, mais d'une manière très libre et libératrice. Nous pouvons
tamiser un peu la lumière.
Prenez une bonne et profonde respiration
alors que nous entrons dans ce merabh d’ouverture.
Je ne fais que passer.
L'expérience sur cette
planète a été un choix, et il y a toujours eu la connaissance intérieure que le
jour de la réunion, le jour du rassemblement arriverait ici. Comme le dirait
Kuthumi : « Idiot, idiot l'humain qui s’inquiète tellement que ce
jour puisse ne pas arriver. Idiot, idiot d’humain qui êtes tellement pris dans
vos pensées, tellement pris dans vos limitations que vous avez oublié que vous ne
faites que passer ».
Et alors que vous traversez (les choses, les situations), vous pouvez
profiter de leur beauté. Vous pouvez apprécier, en fait, ce qui s'est avéré
être des limitations. Vous pouvez jouir d'une nouvelle manière de comprendre le
Je Suis.
Vous ne faites que passer.
Vous êtes comme quelqu'un
traversant une belle forêt. Vous pouvez prendre un moment pour apprécier les
odeurs et la vue et les sons. Vous pouvez prendre un moment pour interagir avec
les arbres, les belles fleurs, les devas de la nature.
Mais vous ne faites que
passer. Ce n'est pas la maison (la Source). Ce n'est pas une prison. Ce n'est
certainement pas un test. Vous n'êtes pas dans une course contre quelqu'un
d'autre.
Vous ne faites que passer,
juste pour le plaisir de passer, juste parce que vous le pouvez.
Vous ne faites que passer,
pour la gloire de l'âme afin qu’elle puisse se voir et se connaître de manières
nouvelles.
Il n'y a pas de test que vous
deviez passer pour continuer à passer. Il n'y a pas de stades ou d’étapes (à franchir). Il n'y a pas vraiment de
dimensions (à traverser). Il n’y a
pas de secrets (à connaître). Il n'y
a ni gourous ni sauveurs. Vous ne faites que passer.
Vous pouvez danser alors que
vous passez (à travers les choses, les événements).
Vous pouvez danser. Vous pouvez même flotter. Vous pouvez vous dépêcher de
passer si vous voulez, mais ça n'est pas nécessaire. Vous pouvez aussi prendre
votre temps. Prenez tout le temps que vous souhaitez. Tôt ou tard, vous vous
rendrez compte que vous ne faites que passer.
Oui, il peut y avoir eu de
nombreuses, nombreuses vies que vous avez vécues en passant. Il peut y avoir eu
de nombreuses amours, de nombreuses larmes que vous avez pleurées. Ça n'a pas
été conçu comme une sorte de test. Ce n'était certainement pas quelque chose
qui a été décidé par un autre être ou le conseil des êtres ou la fédération des
êtres, ni aucun ange. Juste par vous qui ne faisiez que passer.
Cela n'a pas été conçu pour
voir combien vous étiez fort. Vous n'avez pas à être fort pour faire
l’expérience de la joie. Vous n'avez pas à être fort pour faire l’expérience de
la sensualité et de la lumière et de l'obscurité. Non, ça n'a rien à voir avec
la force ou la détermination. En fait, le Maître découvre que c'est juste une
question de permettre.
En ne faisant que passer,
l'expérience devient si profonde, si riche que, parfois — et bien, en fait la
plupart du temps — vous oubliez que vous ne faisiez que passer.
Parfois vous avez pensé que cela
faisait une éternité que vous étiez ici — une éternité pour (atteindre) votre bonheur, une éternité
pour (atteindre) l’épanouissement, l'intégration.
— Ce n’est pas le cas. C'est une illusion. Une illusion intéressante à travers
laquelle vous ne faites que passer.
En ne faisant que passer (à
travers les choses, les situations), vous avez rencontré beaucoup d'autres
personnes. Vous avez été très lié à d'autres personnes. Enchaîné, en quelque
sorte. Entrelacé au point où vous avez senti que vous n'étiez plus libre de ne
faire que passer. Vous aviez des obligations et des responsabilités à l'égard
de tous, des engagements non tenus, la nécessité de prendre soin des autres.
Prenez une respiration
profonde. Vous ne faites que passer et eux aussi.
Et alors que vous ne faites
que passer par cet endroit appelé la Terre, vous pouvez choisir d’en faire
l’expérience comme vous le souhaitez. Oh, je sais, je sais, il semble parfois
que tout travaille contre vous ou au-delà de vous. Mais ce n'est pas le cas. C'est
juste que ça semble ainsi, c'est une de ces autres illusions.
Vous ne faites que passer par
cet endroit. Pourquoi ne pas choisir de le faire de la manière dont vous le souhaitez,
en ne faisant que passer.
Et alors que vous passez par
cet endroit, il n'y a jamais aucun jugement sur la façon dont vous le faites.
Aucun des 9 000 et quelques Maîtres Ascensionnés ne va jamais juger de
votre rapidité ou de votre lenteur, de votre noirceur ou de votre lumière. Il
n'y a pas de jugement d'aucun Dieu ou d’aucun ange ou de quoi que ce soit, quoi
que ce soit. Ils savent que vous ne faites que passer ce qui est probablement
l'une des plus difficiles et belles, éprouvantes et pénétrantes expériences qu’un
être doté d'une âme n'aura jamais. Ils se rendent compte que vous ne faites que
passer. Ils comprennent qu'il y a des identités que vous avez assumées qui ne
sont pas vraiment les vôtres, des pensées que vous avez eues qui n'étaient pas
réellement, pas vraiment les vôtres, des choses qui sont arrivées qui n'avaient
vraiment pas été choisies consciemment par vous.
Il n'y a aucun jugement sur
la façon dont vous passez (à travers les
choses, les événements). Le simple fait que vous l'ayez fait est une raison
pour le célébrer.
Moi, Adamus, ainsi que Kuthumi
et tous les autres qui sont ici aujourd'hui avec vous, avec vous les Maîtres,
nous vous demandons de prendre un moment pour ressentir cette connaissance
intérieure — hors de votre mental, au-delà du mental — que vous ne faites que
passer. Dansez si vous voulez. Chantez si vous voulez. Profitez de tout ce que
la vie a à offrir, si vous voulez. Mais vous ne faites que passer.
Vous, votre âme, vos aspects
— ne faites que passer.
S'il y a une recommandation
que nous avons pour vous, c'est tout simplement de vivre. De vivre.
Chaque fois que vous passez (à travers les choses, les événements),
vivez. Vous savez exactement ce que je veux dire par là et comment ça
s'applique à vous.
C'est l'une des choses qui ont
émergé récemment — émergeant du soi émotionnel, entrant presque en collision (conflit)
avec la connaissance intérieure. Emergeant de la partie de vous qui est en
effet le Maître et luttant avec la partie de vous qui a encore des pensées de
limitation.
Vivre.
Ah ! Ressentez cela,
ressentez l'essence de ce « vivre ». Ça semble si beau. Oh !
Juste vivre comme un être qui ne fait que passer, vivant passionnément,
ouvertement, sans timidité et sans complexe. Vivre.
Mais ensuite l'autre partie
de ce « vivre » émerge aussi. Vous vivez petit. Vous vivez limité.
Vous vivez dans la peur, la limitation, alors vous avez ces deux dynamiques —
le « Vivre ! », et puis le « Vivre ? ». Le
« vivre ! »
Vous pouvez le ressentir. Je
sais que vous pouvez le ressentir. Je sais que vous pouvez l'imaginer. Je
passe, oh, tellement de temps avec vous le soir, parfois au milieu de la nuit.
Je peux le ressentir. Je peux ressentir ce désir de vivre. Mais ensuite je peux
ressentir ces pensées qui arrivent — « Mais que se passerait-il si ?
Peut-être que je ne peux pas. Peut-être que je ne devrais pas ». Mais pourtant
cette passion revient encore — « Vivre ! Vivre ! » Et
ensuite les pensées arrivent : « Qu'est-ce que ça signifie ?
Comment dois-je faire ? Quand dois-je commencer ? Combien de temps dois-je
travailler là dessus ? » Ah ! Et vous voyez, c'est peut-être
l'une des choses fondamentales qui se passent actuellement. Vous pouvez le ressentir
— le « Vivre ! » Vous pouvez le ressentir.
Mais ensuite vous pouvez
aussi ressentir ce « Vivre ? » ou mourir. Vous pouvez ressentir
ce « Peut-être que je devrais juste vivre petit ». Vous ne pouvez
plus. Vous ne pouvez pas. Vous pouvez essayer. Oh, vous essayez bien — vous
essayez vraiment bien. Je vous donne un « A » pour vos efforts à essayer.
Mais vous ne pouvez plus vivre petit maintenant.
Prenez une bonne respiration.
Rallumons les lumières et arrêtons la musique.
Vous ne pouvez pas. C'est un
vrai dilemme. C'est un vrai dilemme. Et, vous voyez, c'est ce qu’il se passe.
Nous allons parler un peu aujourd'hui des énergies et de tout le reste. Mais
vraiment au cœur de tout cela, vous avez cette partie qui dit
« Vivre ! » Et l'autre partie qui doute, l'autre partie qui a en
fait son petit confort à vivre petit, à vivre isolé. Vous ne pouvez plus.
Vous allez essayer. Vous
allez y travailler. Vous allez dire : « Eh bien, vivre, mais
peut-être que si simplement je restreins la vie », vous savez. Vous savez
ce que c'est. Nous en avons parlé déjà dans cette pièce même. C'est de la
négociation. De la négociation.
Vous savez, c'est une chose
de négocier avec les autres, et c'est assez mauvais, mais de négocier avec
vous-même ? Qui est le gagnant là ? Personne ! Merci. Personne.
Personne.
C'est une de ces choses qui —
c'est presqu’amusant ; presqu’amusant qu'un humain essaie de négocier avec
lui-même. Il n'y a pas de gagnant. Il y a deux perdants. (Quelques rires)
Trois, si vous me comptez. (Plus de rires)
Donc, vous négociez la vie,
et ça ne va plus fonctionner maintenant, parce que vous avez un avant-goût de
ce que c’est que de vivre. Et la vie, ce n'est pas de choisir si vous conduirez
votre voiture à vive allure, n’est-ce pas Linda. (Rires) C'est peut-être une façon
de dire les choses. Vivre, ce n'est pas faire la fête tard la nuit, n’est-ce
pas Edith. (Beaucoup de rires) Ce sont peut-être des façons de dire les choses.
Mais vivre, c’est une
essence. C'est un ressenti. C'est un ressenti, et nous l'avons juste touché un petit
peu dans le merabh. Vivez ! Ouvrez-vous ! Ouvrez-vous aux ressentis. Vivez !
Vivez. Mais quand je dis cela, quand je vous demande de vous imaginer un
instant vraiment vivant, qu'est-ce qu’il
se passe ? Vous pouvez — je peux le ressentir. Soudain, c'est comme si
vous disiez : « Oh vivre ! » Et puis : « Whoaa,
mais que se passerait-il si ? » (Quelques rires) « Et
si ? »
Et (à Linda) vous pourriez écrire
ceci comme référence ultérieure pour les archives. Mais vous ne pouvez plus
négocier avec vous-même le fait de vivre. Vous ne pouvez pas. Et vous allez
essayer, comme je l'ai dit, et ça va faire mal, et alors vous allez enfin juste
permettre. Vous allez juste vous permettre de vivre.
Vous ne faites que passer à
travers cette extraordinaire dimension et planète.
LINDA : « Vous ne
pouvez plus » quoi ?
ADAMUS : J'ai oublié.
Quelqu'un se souvient ? (Quelques rires)
LINDA : « Vous ne
pouvez plus négocier » avec qui ? (l'assistance dit
« vous-même »)
ADAMUS : Le fait de vivre.
Vous ne pouvez plus négocier le fait de vivre vous-même, ou avec vous-même, peu
importe. Vous ne pouvez plus négocier cela.
C'est un vrai dilemme et vous
verrez dans quelques minutes comment vous prenez toutes les énergies qui sont de
toute façon autour de vous en ce moment dans le monde et ce qu’il se passe en
vous et brrfff ! Vous avez cette collision qui se produit. Et la bonne
nouvelle, c’est que vous ne faites que passer, vous savez. (quelqu'un dit
« Dieu merci ») Oui, Dieu merci. Ouais, ou quelqu'un d'autre. Ouais.
~ Dieu
En fait, je… c'est une
expression étrange — « Dieu merci ». Je pense que vous seriez très
remontés contre Dieu. (Quelques rires) Eh, la… la première rangée rigole !
(plus de rires) Eh bien, en fait deux personnes dans la première rangée.
(Adamus rit) Oui : « Dieu merci » — pour quoi ? Pour cette merde ? !
Pour ce manque d'abondance ? Pour ce corps en mauvaise santé ?
Oh ! Ouais, quelle étrange expression. « Dieu merci, j'ai eu ma
petite bouchée aujourd'hui ». (Rires) Remerciez-vous vous-mêmes. Tobias ne
disait-il pas il y a quelques années : « Rendez-vous grâce à vous-mêmes ».
Dieu merci — ce dieu (vous).
Donc Dieu est une chose très
étrange. Je pense faire un atelier sur « Dieu, Va au diable». (Halètements
de Linda et quelques rires et quelques applaudissements) Eh, et seulement un…
et nous avons ce nouveau studio. Ce serait un super atelier à mettre sur
Internet pour le monde entier !
LINDA : Ouais ! Mettons-le
aussi sur CNN !
ADAMUS : Ouais, ouais,
ouais.
LINDA : Ouais,
ouais ! Et la BBC.
ADAMUS : Et vous savez,
le plus drôle, c'est…
LINDA : Ouais !
ADAMUS : Vous savez
quoi, si nous — si nous… Je dis nous. (Adamus rit) 'Nous' allons le faire. Si
nous avions fait cela, un truc du genre« Dieu, putain » et avions regardé
réellement la conscience de Dieu, honnêtement et ouvertement, sans crainte.
Vous savez, parfois vous dites que vous ne pouvez pas dire de mauvaises choses
sur Jésus. Vous ne pouvez pas parler de Jésus qui se masturbait. (Quelques
rires) Mais nous… nous l'avons fait ! Ici même dans cette salle !
Précisément ici dans cette salle ! (Linda envoie un verre d’eau sur
Adamus, plus de rires)
Vous savez, la chose
incroyable à ce sujet… c’est que je ne vais pas réagir à cela (plus de rires
alors qu’il fait référence à Linda qui lui a jeté un verre d’eau.) Et
maintenant, pendant toutes les années qui restent à venir, elle (Linda) va se
demander quand viendra le retour de bâton. (rires) Et en fait, plus le retour
de bâton s’étalera sur une longue période, plus le plaisir sera grand en fait,
parce que ça pourrait prendre des années et des années avant qu’il y ait un
retour de bâton, alors elle va continuer à s’inquiéter pour cela. Quand donc
Adamus va-t-il vous le faire payer ? Je vous ferai savoir à tous quand ça
arrivera. Ça pourrait arriver dans dix ans, mais ça arrivera. (plus de rires)
Et maintenant, on dirait que Cauldre a mouillé son pantalon !
Donc, où en
étions-nous ? Dieu.
EDITH : Et où en est-on
avec ma fête ?
ADAMUS : Où en est-on
avec cette fête ? chez vous, ce soir, Edith. Vous et moi. Avez-vous
oublié ? (rires) Bon, je ne fais que passer. Je vais juste — vous faire un
petit bonjour Edith. Vous savez.
Donc, où en
étions-nous ? Dieu. Non, sérieusement, nous devrions faire un atelier, une
transmission sur Dieu et être vraiment francs et honnêtes à ce sujet, sans
avoir cette peur que quelque chose de mauvais se produise, exception faite de
tous les fanatiques religieux qui nous courent après.
Mais la plupart des gens —
non, je vais reformuler cela — quelques personnes en fait comprendraient, si
nous parlions de cette énergie de Dieu. (il s'arrête, gêné à cause de ses
vêtements mouillés) Excusez-moi. Je dois aller me changer. Linda, faites un peu
de respiration ou quelque chose d’autre en attendant. (rires) C’est sérieux.
(Adamus se dirige vers la salle du fond)
LINDA : C'est déjà une
sorte de retour de bâton. (plus de rires) Je pense qu'il vaut mieux que nous en
riions. Ouais. Je regrette vraiment.
ADAMUS : (à l'arrière)
Ehhhh…
LINDA : Je regrette déjà
d’avoir fait cela, et… (rires)
ADAMUS : (à l'arrière)
Lindaaaa.
LINDA : Je savais
vraiment que le retour de bâton serait dur. (plus de rires) Dieu seul sait à
quoi ça va ressembler. Dieu seul le sait… ainsi qu’Adamus. Alors.
ADAMUS : Lindaaa.
Lindaaa… (il revient avec un grand miroir et le manteau de Cauldre)
LINDA : Oh non !
ADAMUS : D'accord.
LINDA : va y avoir des
dégâts.
ADAMUS : Regardez ici
alors.
LINDA :
Ahh ! ! Je savais que ça arriverait ! Je savais que ça
arriverait !
ADAMUS : Nous
l’utiliserons plus tard. (il met le miroir de côté) Alors, où en étions-nous ?
Dieu.
Il y a une telle conscience
intéressante au sujet de Dieu. (il enlève sa veste mouillée et la donne à
Linda) Pour le nettoyage à sec s'il vous plaît. Oui. Il y a… (il met le
manteau) C'est plus élégant. Oh oui, oui ! Oui.
Donc, où en étions-nous —
Dieu. La plupart des humains s’accordent sur cette chose qu’est Dieu, et vous
savez, cette chose au sujet de Dieu est si ancienne, si limitée, si effrayante,
alors… eh bien, quand vous pensez à Dieu, vous ne pensez pas à « Vivre ! »
Vous pensez « Restez hors de l’écran radar de Dieu. Restez petits ».
LINDA : Ouais.
ADAMUS : Alors, oui,
faisons cela. Prévoyons-le lorsque votre nouveau studio ouvrira, nous ferons un
« Dieu, putain ». (Linda halète encore et quelques rires) Ah, oui.
Ben quoi ? Nous sommes des Maîtres. Qu'avons-nous à craindre ? Nous
vivons.
Vous voyez, là, c'est une
négociation. Nous le savons tous. Nous savons tous que la perception humaine de
Dieu (a) est fausse ; (b) est ancienne ; (c) est vraiment mauvaise.
Elle ne sert plus à personne. Et donc nous allons briser ce para-… amusons-nous
avec cela. Vous êtes prêts ? (l’assistance répond
« Oui ! ») Bon, bon, bon. Linda ? (elle fait une grimace)
Ohhh ! Prenez-là en photo. Ohhh. Oh non, ce sera merveilleux.
Vous savez, certaines des
choses les plus folles que vous ayez faites ces dernières années, les choses
qui vous ont juste causé une indigestion et des maux de tête et de l'anxiété,
mais vous les avez faites quand même. Vous avez presque senti que vous étiez
poussés à les faire — vous étiez (quelques rires) — et elles se sont avérées
être les meilleures. Dire que vous alliez faire ce voyage extraordinaire. Vous
saviez qu'il était approprié, mais les pensées sont arrivées :
« Peut-être que je ne devrais pas. Ça coûte peut-être trop d'argent.
Peut-être, peut-être ». Mais vous l'avez fait quand même, et n'êtes-vous
pas heureux de n’avoir pas totalement négocié contre cela ? N'êtes-vous
pas heureux de les avoir simplement faites, que ce soit d’avoir quitté votre emploi,
ou d’avoir changé quelque chose dans votre vie ? Il est si facile de
tomber dans ce bourbier des pensées et des négociations.
Le vrai Maître passe juste à
travers elles, et donc il vit, il célèbre (la
vie). Et ne vous inquiétez pas de savoir si vous allez faire une erreur ou
faire du mal à quelqu'un. Oui, vous allez faire du mal à quelqu'un, parce que
vous … ça arrivera. Les autres ont des attentes par rapport à vous que vous ne
devriez pas avoir pour vous-même, alors ça va leur faire un peu mal. Mais à la fin,
ça les aidera. Ouais. (Adamus rit) Ce n'était pas de cela dont vos parents vous
parlaient ?
Alors parlons un peu de
l'énergie. Donc, ne négociez plus avec vous-même, et rappelez-vous que vous
passez juste à travers (les choses, les
situations).
~ Les énergies
actuelles
Alors Maîtres, nous voici, à
peine un peu plus de trois mois après cette nouvelle année. À peine. Cela ne
ressemble-t-il pas à la fin de l'année ? (l’assistance est d'accord)
Certains d'entre vous pensent : « Oh, on doit être en Novembre parce
que… » (Adamus rit) Non, on est début Avril.
Alors, je voudrais vous
demander de définir les énergies en cours en ce moment. Comment diriez-vous…
Que se passe-t-il avec les énergies, disons à l'échelle mondiale, à une échelle
de grande envergure ? Linda avec le microphone, que se passe-t-il avec les
énergies ? Vili voudriez-vous écrire quelques-unes (des remarques qui vont être faites).
Que se passe-t-il avec les
énergies Pete ?
PETE : Je ne peux pas
parler pour le monde, mais je sais ce qu’il se passe pour moi.
ADAMUS : Bien. Qu'est-ce
qu’il se passe ?
PETE : Je me sens
comprimé et ça me pousse à rentrer encore plus en moi-même.
ADAMUS : comprimé.
PETE : comprimé.
ADAMUS : Ouais. Comment
vous sentez-vous ? Ressentez-vous cela dans votre corps ? Est-ce que
votre corps vous fait mal ?
PETE : Eh bien, je suis
plus centré en moi maintenant.
ADAMUS : D'accord.
PETE : De nombreux
aspects ou addictions se sont déchainés. Je suis devenu vraiment conscient du
fait et de combien je vis en eux. C’est sûr. Et pour me débarrasser de cette
basse énergie, ils appellent maintenant. Il ne s’agit pas de basse énergie en
tant que mauvaise énergie ou quelque chose comme ça, mais d’énergie basse,
faible.
ADAMUS : Oui, oui.
Alors, vous êtes écrasé en vous-même.
PETE : Oui.
ADAMUS : C'est une très
bonne façon de le dire.
PETE : Oui.
ADAMUS : Ouais, ouais.
Bon. Bon. Et comment le ressentez-vous ?
PETE : Oh, c’est
merveilleux.
ADAMUS : Oh,
vraiment ? (quelques rires)
PETE : Oui. Non, sérieusement,
parce que ça me réveille à qui je suis vraiment — la Source — et je dis
merci, gratitude d'avoir été créé.
ADAMUS : Ouais.
L'inconvénient d'avoir cette compression c’est que vous avez tendance à en
quelque sorte vous regarder dans le miroir.
PETE : C'est exact.
(Adamus apporte le miroir au-dessus de lui) Ouais.
ADAMUS : Parce que c'est
juste vous. Ouais, ouais.
PETE : Je suis là.
ADAMUS : Ouais.
PETE : Oui.
ADAMUS : Vous
souriez ! Oh, c'est bon. C'est bien.
PETE : J’adore ça !
ADAMUS : Super ! Bon,
bon. Merci. Excellent.
Au suivant. Qu'est-ce qu’il
se passe avec ces énergies ? Il est important de bien comprendre les
énergies à la fois internes et externes, car il y a beaucoup de choses qui se
passent en ce moment. Je pense que Linda a mentionné l'autre jour sur votre
émission de radio — de quoi était-il question déjà, qu’est-ce qui a été dit à
propos des énergies ?
LINDA : Parlez-vous de
l’émission de Bob Scheiffer ? Oh. Il y a un très, très… une émission à la
télévision appelée Face à la Nation et il y a un animateur nommé Bob Scheiffer
qui travaille là depuis des décennies — je veux dire, je ne peux pas croire
qu'il soit encore en vie — et il a ouvert son émission dimanche dernier en
disant littéralement qu’il ne se souvenait pas avoir jamais commencé une
émission, dans toute l'histoire des émissions qu'il a faites, avec autant
d'événements majeurs en cours — des événements importants — qui se passent dans
le monde en ce moment.
ADAMUS : C'est vrai, et
il y en a. Et nous de l'autre côté ne regardons pas cela en termes de gros
titres et de quels événements il s’agit littéralement. Nous regardons juste le
facteur énergie et le mouvement de l'énergie. En d'autres termes, combien
d'énergie est là dans l’ensemble et à quelle vitesse elle bouge.
Il y a des périodes sur la
planète où il y a beaucoup d'énergie, mais qui ne bouge pas vraiment. Mais ça (ce que nous vivons actuellement), c’est
sans précédent, la quantité d'énergie — et c'est ainsi que nous voyons les
choses. Nous ne vous voyons pas comme les êtres physiques que vous, vous
considérez être. Nous voyons juste comme des boules d'énergie. Nous regardons
cette planète comme un ensemble d'énergie. A l’intérieur, il y a une variété
de, vous pourriez dire, couleurs, niveaux, nuances. Mais nous voyons cela juste
comme une sorte d’ensemble énergétique avec son activité. Et les deux sont
actifs en ce moment (beaucoup d’énergie,
en mouvement).
Alors, nombre d'entre vous
pouvez ressentir cela dans vos os littéralement, je veux dire, parce qu’il y a
beaucoup d’énergie. Bon. Au suivant. Oui.
LINDA : Juste ici.
ADAMUS : Oui. L'énergie.
Qu'est-ce qui se passe avec elle ?
JIN : Elle déchire ma
vie. (il rit)
ADAMUS : Ouais.
Comment ?
JIN : Elle me met à
l’envers.
ADAMUS : Votre vie vous
déchire et vous met à l'envers. Comment cela ?
JIN : Eh bien, en se
débarrassant de la merde qui est en moi.
ADAMUS : Ouais. Bien.
Vous battez-vous contre cela ? Résistez-vous à cela ?
JIN : Ouais. J'ai fait
cela pendant un moment, mais j’ai en quelque sorte abandonné.
ADAMUS : Ouais, ouais.
JIN : Et c'est bien
comme ça.
ADAMUS : Ouais, bon.
Bien. Les énergies — merci — aussi intenses soient-elles, et elles le sont —
nous l'avons déjà dit — mais elles pourraient juste vous pulvériser si vous y
résistez. Et ces énergies — je ne parle pas d'appartenir à quelqu'un ou quelque
chose. C'est juste l'énergie qui a été appelée vers cette planète en ce moment.
Et vous la ressentirez dans certaines parties de vous, comme si elle vous
broyait. Et même ce qui était jusque là une sorte d’évasion — le fait d'aller
dormir la nuit par exemple — ne sera plus une fuite possible. En fait, on peut
se demander ce qui est plus difficile, stressant — votre état de veille ou
votre état de sommeil ? En d'autres termes, plus aucun moyen de s’évader.
L’énergie est juste là.
Cependant, vous allez sentir
qu’elle vous comprime. Cela pourrait en arriver au point où vous vous sentirez
juste comme brisé, et c'est vraiment approprié, ce sentiment général. C'est
seulement quand vous commencez à le combattre ou à négocier avec lui ou quoi
que ce soit d'autre, c'est alors que ça peut faire mal. Alors, que
faites-vous ? (quelqu'un dit « Permettre ») Vous respirez et
vous permettez. Vous le faites vraiment. Respirez et permettez. Absolument.
Bien. Quelques-uns encore,
chère Linda. Oui. Les énergies en ce moment.
SHAUMBRA 1 (femme) :
Elles sont accessibles.
ADAMUS : Bien. Comment
est-ce que ça marche ?
SHAUMBRA 1 :
Personnellement, pour moi, j'ai entrepris de laisser les choses se produire
dans ma vie et je me prépare à aller au Pérou.
ADAMUS : Bien.
Excellent.
SHAUMBRA 1 : En tant
qu’infirmière.
ADAMUS : Oui. Excellent.
Bien. Elles sont très accessibles, en
fait presque scandaleusement accessibles. Et, encore une fois, vous voyez qu'il
y a cette convergence, toutes ces énergies venant ensemble et avec cela
d'énormes possibilités. Des possibilités que vous n’auriez probablement pas pu
imaginer, ou pour le dire encore mieux, que vous ne vous seriez pas laissé
imaginer avant. En d'autres termes, vous êtes plutôt linéaires dans ce que vous
vous laissez imaginer.
Donc, tout à coup, voici
toute cette énergie qui arrive, et vous pourriez dire que ça fait comme une
belle couverture d'énergie ou un nuage d’énergie autour de cette planète. Et
c’est là partout, y compris là où ça avait l’habitude d’être comme loin quelque
part ailleurs. Et en particulier pour ceux qui en sont conscients, l’énergie
est ici. Elle est ici.
En quelque sorte, un grand
nombre d'êtres humains marchent juste droit devant elle (l’énergie), ignorant le fait qu’elle est là. Ils se sentent
simplement plus fous que jamais question cerveau. Mais pour ceux qui en sont
conscients, elle est si accessible que tout à coup, à la place d’avoir juste
une sorte de bel effet de montée de marches d'escalier de choses qui se passent
pour vous, tout arrive ensemble. Il n'y a plus d’escalier. Tout est juste là.
Cela pourrait en conduire
certains à devenir un peu submergés en ce moment. Un peu comme avec une grande
marée (un tsunami) qui arriverait tout d’un coup dans l’instant. Mais ça ne va
pas…
LINDA : Vous voulez dire
à devenir fous à cause de l'eau ?
ADAMUS : Pardon ?
LINDA : à devenir fous à
cause de l'eau ?
ADAMUS : Oui, fous à
cause… ouais. Non, ça c’est un malheur différent… (Adamus et d’autres rient).
Alors, oui, les énergies sont
très accessibles. Et tellement de choses peuvent arriver pour vous dans votre
vie en ce moment que vous ressentez cela. C'est comme si c’était là, mais
ensuite vous avez parfois tendance à vous retirer et à vous demander si vous
êtes prêts pour cela, à vous demander si vous pouvez le prendre en main, et
tout le reste. Absolument vous pouvez, mais ça va exiger de faire un certain
nombre de choses — pas de négociation, pas de limitation, et juste permettre.
Permettre.
Maintenant, quand vous le
permettez, c'est comme si vous ouvriez des parties de vous. Quand vous
permettez, c'est comme si vous plongiez une grosse boule dans un bassin d'eau,
et alors que vous le faites, l'eau arrive sur les bords parce que vous avez
fait tomber quelque chose dans cet espace — vous vous êtes simplement fait
tomber dans cet espace en permettant — et ça va jeter dehors d'autres choses.
Ça va vider d'autres choses. Alors, il y a une sorte d’effet résiduel à
permettre. Ça vous débarrasse de tous les déchets.
En fin de compte, le — humm,
accrochez-vous (à Linda) — en fin de compte, le permettre fait tout remonter de
vous ; vous pourriez dire, votre divin, le Je Suis. En fin de compte,
c'est tout ce qui restera dans ce récipient, en utilisant l'analogie de cette
sorte de piscine ou de grand seau d'eau. Soudain, en vous autorisant à
permettre, tout ce qui n'est pas vous, tout ce qui vous est étranger va
déménager. Alors vous avez cette sorte d'effet intéressant qui prend place, et
parfois, encore une fois, les pensées arrivent. Vous dites :
« Qu'est-ce qu’il se passe ? Pourquoi ces choses… ? » C'est
parce que vous permettez. Vous savez, permettre c’est permettre. Ce n'est pas
comme de juste laisser aller un peu et puis d’essayer de gérer cela. C'est ce
qui arrive en permettant. C'est comme si vous disiez : « Eh bien, je
vais permettre, mais je vais juste le faire un peu, et ensuite j’essaierai de
le gérer ». Oh non. Permettre, c'est permettre. Ouais. Bien. Au suivant.
SHEEMA : Salut.
ADAMUS : Salut.
SHEEMA : Je suis Sheema.
ADAMUS : Oui. Je suis
Adamus. (elle rit) J'ai rencontré Shiva fois. Vous n’êtes pas parents, n’est-ce
pas ?
SHEEMA : Oh mon dieu,
non.
ADAMUS : Oh mon dieu,
non. (ils rient tous les deux) Oui. Elle n'était pas très sympa.
SHEEMA : Non. Mais moi
je le suis.
ADAMUS : Non. Oui, oui.
Ouais.
SHEEMA : Je ne sais pas
comment vous faites ça. Vous parlez toujours exactement de ce qu’il se passe en
moi.
ADAMUS : Comment je fais
ça ?
SHEEMA : Je ne sais pas,
mais…
ADAMUS : N'est-ce pas
extraordinaire ? Je sais… oui. Pensez-vous que je suis médium ? (elle
rit) Ne le dites pas Linda. Oui, ou Garret. (il rit) Non, en fait — et en fait
c'est la chose extraordinaire — cette chose globale d’être médium ou quoi que
ce soit, c'est tellement surfait. Il suffit juste de permettre. Nous allons
aborder cela dans un instant, si je ne parle pas trop aujourd'hui. Mais je vais
simplement vous montrer combien c’est facile. Mais ça pourrait être difficile.
SHEEMA : Ah, bien.
ADAMUS : Oui. Ça sera
difficile.
SHEEMA : Eh bien, ça
l'est parce que j'ai permis et je me suis sentie merveilleusement bien et je me
suis sentie telle un Maître et c’était super, et puis tout à coup, je me suis
réveillée en Avril — le Jour du poisson d’Avril…
ADAMUS : Ouais, ouais.
SHEEMA : … et je me
sentais super mal. C'était comme si je souffrais. J’étais compressée. C'était
au point où hier, je veux dire, je n'avais même pas envie de sortir du lit.
ADAMUS : Ouais.
SHEEMA : je me sentais
désespérée. C’était…
ADAMUS : Etes-vous
sortie du lit ?
SHEEMA : Oui je l'ai
fait. C’était comme de mourir.
ADAMUS : Oh. Je serais
resté au lit.
SHEEMA : Eh bien, je
l'ai fait. J’en suis sortie et puis j’y suis retournée.
ADAMUS : Ahh. Ouais,
ouais.
SHEEMA : Et ensuite j’en
suis sortie ! Et j’y suis retournée ! (elle rit)
ADAMUS : Oh. Regardez la
négociation là. « Je dois me lever. Je dois faire mes preuves ». Et
puis vous négociez, et c'est comme si vous disiez : « Non, je vais
vraiment retourner au lit. Mais je dois me lever et faire quelque chose ».
Restez au lit ! Vous êtes juste en train de franchir cette chose. Vous
savez, à la fin de tout ceci, vous direz : « Je suis tellement contente
d’être restée au lit ce jour-là ou cette semaine là ».
SHEEMA : Mais ça l’était
vraiment. C’était comme de mourir.
ADAMUS : Ouais, ouais.
SHEEMA : j’ai ressenti
comme si quelque chose en moi était en train de mourir. C’était — et je crois
que c'est de cela que vous parlez quand vous permettez, toutes ces sortes de
choses qui émergent.
ADAMUS : ça l’est !
ça l’est !
SHEEMA : Vous savez.
ADAMUS : Ouais, et ça
émerge d’endroits étranges parfois. (Quelques rires et elle rit bruyamment)
LINDA : Ohhh !
ADAMUS : Je parle de vos
pensées.
SHEEMA : Au moins, ça
sort !
ADAMUS : Ouais. (Adamus
rit)
SHEEMA : Je suis
heureuse d’être là.
ADAMUS : Bien. Merci.
Merci beaucoup. Très bien. Une personne de plus. L'énergie. Qu'est-ce qu’il se
passe ?
LINDA : Uh-oh. Uh-oh.
ADAMUS : Qu'est-ce qu’il
se passe dans le monde ?
LINDA : Uh-oh.
MARTY (MOFO) : Je serai
bon. C'est sporadique (irrégulier).
ADAMUS : sporadique.
C’est une bonne façon de le dire.
MARTY : Et vous avez
déjà abordé — nous avons déjà abordé cette question, mais oui c'est juste
tellement sporadique (irrégulier), parce que les hauts sont si incroyablement
élevés en ce moment et les bas sont comme « D'où cela
vient-il ? » (Quelques rires)
ADAMUS : Ouais. Alors,
que faire ?
MARTY : Il suffit de
rouler tranquillement à travers.
ADAMUS : Ouais.
MARTY : Respire, bébé,
respire.
ADAMUS : Ouais. Respirez
et permettez. Ouais, ouais. Ouais.
Merci. Sporadique, intense,
submergeante, avec de formidables opportunités, j’ai oublié de mentionner le
monde qui s'écroule, les gens qui deviennent plus fous que jamais. Oui. Oui,
tout est là. Et merci — Dieu merci — que vous, Dieux, soyez assez perspicaces,
assez sages pour savoir que vous pouvez venir ici et vous écouter, ce qui est
exactement ce que nous faisons ici. Vous pouvez venir ici et — hum — j'ai
besoin… au nouveau centre j’aurai besoin d'un très grand miroir.
LINDA : D'accord, pas de
problème.
ADAMUS : Vous pouvez
venir ici et vous regarder dans le miroir à travers moi. (rires alors qu’il
tient le miroir) Dave ! Séance photo ! Regardez-vous dans le miroir à
travers moi. (Dave prend une photo) Ouais, il y a vous. Aghhh ! (Adamus
rit) Donc, un grand miroir.
Alors, ce sont des temps
très, très fous, plus fous que jamais, plus déséquilibrés que jamais. Et l'un
des effets secondaires, dont vous êtes conscients, mais heureusement, je ne
pense pas que vous aurez beaucoup de problèmes avec ; l'un des effets
secondaires c’est que de plus en plus de gens pètent un câble en ce moment.
Maintenant — et je ne suis
pas censé en parler, mais je vais quand même le faire (Linda soupire
bruyamment) ; et ce sont des choses marrantes — il y a une épidémie sur
cette planète de personnes utilisant des médicaments contre l'anxiété et la
dépression. Et vous pourriez dire que c'est peut-être approprié, parce qu’il y
a tellement de gens qui pètent un câble. Tant de gens qui s’effondrent, qui
craquent. Mais le plus drôle c’est que ces médicaments ne les aident pas
vraiment sur le long terme. Prenez-les temporairement, bien sûr, vous vous
sentirez un peu mieux. Mais n'avez-vous pas entendu les annonces à la
télévision et à la radio qui disent : « Au passage, si votre
médicament anti-dépression ne fonctionne pas et que vous vous sentez plus
suicidaire que jamais, essayez ceci en plus ». (Rires) Comme si le second
allait vous rendre moins suicidaire ? ! Je ne le pense pas.
~ L’hypnose
Ce que vous voyez c’est, tout
d'abord, que nous sortons de l'ère mentale qui nous a entourés pendant
longtemps, très longtemps. Cette planète est en train de sortir du mental. Mais
il y a tellement d'intensité et de pression, et les gens ne comprennent pas ce
que sont leurs pensées. En d'autres termes, d’où vient la pensée. Ils ne
comprennent pas le vrai ressenti et la véritable essence. Alors ils pètent un
câble.
Et, pour ajouter encore plus
à la misère — et c'est une des choses sur lesquelles nous allons effectivement
travailler ou jouer avec — l'hypnose est très répandue sur la planète. C'est
comme si elle était juste là avec le VES, le virus de l'énergie sexuelle. [1] Et elle n'a pas été amenée là dans un but malfaisant. Elle est
en quelque sorte arrivée parce que le mental est devenu très bon au jeu de
prendre les choses de l'extérieur, les choses qui ne lui appartenaient pas et
de les posséder, mais en rejetant ses propres et véritables ressentis, et ce
que j'appellerais les véritables pensées, plutôt que le soi émotionnel ou les
pensées limitées du soi. C’est donc une sorte d’étrange bizarrerie dans
l'intelligence humaine — c'est une sorte d’oxymore — la pensée. Alors le mental
prend les pensées qui ne lui appartiennent pas. C'est pourquoi certains jours
vous avez une mauvaise journée à cause de cela. Vous pouvez avoir 2 ou 3 bons
jours, par exemple, parce que vous êtes dans votre énergie, mais ensuite
quelque chose vous ramène à tout ce qui est là à l’extérieur, et vous le
ressentez, parce que vous êtes toujours accordés à cette réalité extérieure. Vous
êtes encore comme connectés à elle et soudain c’est l'accident.
Et puis vous vous faites des
reproches. « Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? Pourquoi ai-je un de
ces mauvais jours ? Ai-je mangé le mauvais type de nourriture ?
N'ai-je pas fait le bon type de permettre ? » Vous savez :
« Suis-je une mauvaise personne au fond ? » Et, vous le savez,
toutes ces autres choses. Non, c'est juste que vous traversez l'intensité.
C'est là que vous prenez une profonde respiration et cessez de vous inquiéter à
ce sujet. Vous cessez de vous inquiéter à ce sujet. Vous le traversez juste.
C’est juste une scène. Vous êtes juste en train de passer un bon moment,
n’est-ce pas ? Hein. (quelqu'un dit « Oui ») Ouais. Bon. (Adamus
rit) Ufff. Ufff.
Donc, mes chers amis, il y a
tous ces facteurs en cours et cette chose qu’est l’hypnose — une chose très,
très répandue sur la planète en ce moment — répandue de manière effrayante sur
la planète — pas pour vous, mais pour les autres.
Dans un sens, vous ne pouvez
pas revenir en arrière dans votre bulle hypnotique, votre sommeil hypnotique.
Vous ne pouvez pas. Alors s'il vous plaît n’ayez pas peur que tout à coup je
vous hypnotise et vous pousse à vous lever et à marcher autour de la salle en
hurlant comme un poulet. (Quelques rires) Mais vous avez cet effet hypnotique
qui tourne autour de la planète, et qui crée une sorte d’entrecroisement ou une
danse avec le virus SES et un certain nombre d'autres choses, et cela crée
beaucoup de schémas répétitifs et d’événements très étranges et bizarres sur la
terre en ce moment.
Vous voyez les nouvelles du
soir, si vous regardez les nouvelles ou si vous en entendez parler par vos amis,
c'est comme quand ils parlent des tueurs en série — « Il avait l’air d’un
type bien. J'ai été son voisin pendant 20 ans et je n'aurais jamais pensé ça de
lui ». Vous savez : « Il faisait du bénévolat » — ou elle,
je suis désolé de m’en prendre aux hommes aujourd'hui — « Elle » vous
savez : « elle faisait tout ce travail social et soudain, elle a
sorti un Mossberg et a flingué la moitié de… quoi que ce soit ». (une
personne rit puis Adamus rit) C’est probablement un moment inapproprié pour
rire. (rires) Je dis juste ça ! Je dis juste ça ! Ce n’est probablement
pas le meilleur moment pour rire ! (plus de rires) Ouais. Bon. (Adamus
rit, plus de rires comme il tient le miroir en direction du public) Ouais, vous
avez l’air bien sous tous rapports, hein ? Ouais, ouais, ouais. Bien. Très
bien.
D’ailleurs, cela m'amène à
une petite parenthèse dramatique. Qu'est-il arrivé à l’avion 370 ? (le
public répond « Oh ! ») Non, je vous le demande. Non, vous vivez
ici. Pas moi. Je ne fais que passer. Qu'est-il arrivé ? Linda, voudriez-vous
— j'aimerais entendre quelques théories. Qu'est-il arrivé ? Qu'est-il
arrivé au Vol 370 ? Vivez simplement, je veux dire, dites-le seulement. Allez-y.
Levez-vous s'il vous plaît.
DAVID M. : Il s'est écrasé.
(rires et quelqu'un dit « Whoaaa ! »)
ADAMUS : Vraiment,
c’était une bonne réponse. Merci. Pas de portail intergalactique incriminé ?
DAVID M. : Non
ROBERT : Il ne s'est pas
écrasé.
ADAMUS : Oh !
Oh ! Oh, vous deux ! (beaucoup de rires) S’il ne s'est pas écrasé, où
a-t-il atterri alors ? (Quelqu’un crie « les ovnis ! »)
ROBERT : Dans une autre
dimension.
ADAMUS : Dans une autre
dimension. Très bien. Possible. Très possible. Je suis sûr qu'il y a une
certaine activité interdimensionnelle autour de nous en ce moment. Oui. Alors il
est juste en train de voler dans un autre dimen-… comme la 24ème
dimension? Pauvres agents de bord. (rires) Il ne leur reste plus de nourriture
à servir et les toilettes doivent être pleines. Eh bien, que font-ils ?
(quelqu'un dit « c’est dégoûtant ») C’est dégoûtant, c’est vrai. Pour
quiconque prend l’avion. Oui. David.
DAVID S. : De l’accident au
crash. Oui, il s’est écrasé.
ADAMUS : Oui, il s’est
écrasé.
DAVID S. : Au fond de
l'océan, plus au sud que là où ils sont en train de regarder.
ADAMUS : Oui, bien.
DAVID S. : Et la meilleure
façon de décrire le problème, je dirais qu’il n’y a pas eu de suicide du
pilote, mais disons simplement que les systèmes de guidage électroniques ont
été piratés.
ADAMUS : Bien.
DAVID S. : Et il y a beaucoup
d'argent en question. Je ne peux pas en dire plus pour le moment. Mais c’est
par l'intermédiaire de la visualisation à distance, juste pour ceux qui savent
ce que c'est. La technique de visualisation à distance.
ADAMUS : Bien. C’était une
conspiration, ou devrions-nous plutôt dire que c’était un événement plus que délibéré ?
Délibéré. Est-ce que c’est ce que vous dites, Dave ? Un acte délibéré ?
DAVID S. : Oui.
ADAMUS : D'accord. Bien.
Un de plus.
DAVID S : ça vient
d’au-delà.
ADAMUS : D’au-delà. Une
explication de plus ?
LINDA : Oh, oh. Carol en
a une. Oh, et ensuite une après Carol. J'ai vu une autre drôle de main se lever.
ADAMUS : D'accord. Bien.
CAROL : Un OVNI est arrivé
et les a récupérés, parce qu'ils avaient un problème hydraulique, et ils…
ADAMUS : L'OVNI c’était ?
CAROL : L'OVNI, c’était Ashtar…
ADAMUS : L'OVNI avait un
problème hydraulique ?
CAROL : Non
ADAMUS : Oh, oh bien…
CAROL : Non, non. Ils
les ont récupérés…
ADAMUS : … parce que je
n'ai jamais été sur un OVNI hydraulique. (Quelques rires)
CAROL : Et il les a
conduits sur une planète en dehors de la…
ADAMUS : Rendez-les
nous !
CAROL : Ils passent de
meilleurs moments là où ils sont qu’ ici auparavant.
ADAMUS : de meilleurs
moments ! (Adamus rit) D'accord, mais c’est encore malpoli.
CAROL : malpoli !
ADAMUS : de juste
récupérer un avion et de l'emporter au loin.
CAROL : Ils s’étaient
écrasés. Ils s’étaient écrasés.
ADAMUS : Ouais, ouais.
Mais ils auraient dû juste leur faciliter gentiment le retour sur terre. Oui.
LINDA : Et un dernier.
ADAMUS : Oui.
JIN : Il est passé par
une expérience folle et inattendue. (Quelques rires)
ADAMUS : Un Maître de
l'évidence. (Rires) Je me hasarderais presqu’à dire que vous avez raison.
Maintenant, je soutiens qu'il
y a tellement d’hypnose sur la planète et tant de gens qui y sont sensibles,
que même le bon gars d'à côté, même, oh, disons simplement, le copilote d'un
avion, à qui on aurait implanté une suggestion hypnotique, faute de meilleurs
mots, un moment avant, il ne l’aurait même pas su. Il ne s’en serait même pas
rendu compte. Et soudain, il reçoit le signal — ce pourrait être, disons, un mode
d'appel téléphonique, si quelqu'un a vérifié les enregistrements téléphoniques — un mode d'appel téléphonique qui a déclenché
une action que l’individu n’aurait normalement jamais faite autrement. Mais
tout à coup il se retrouve dans un état de transe hypnotique, à faire tout à
coup des choses dont il n’est lui-même pas conscient, comme s’il était juste un
robot. Modifiant, trafiquant la trajectoire de vol, dépressurisant la cabine
entière afin que personne ne se plaigne, si vous voyez ce que je veux dire. Et ensuite
ôtant son masque après avoir descendu son associé dans la cabine, ôtant son
masque et laissant juste les choses aller leur train.
Pourquoi ? Pourquoi
quelqu'un ferait-il ça ? Pourquoi ? Pourquoi implanterait-on un virus
dans votre ordinateur ? Pourquoi détruirait-on votre disque dur ?
Parce que c’est possible, même si ça ne rapporte pas grand chose. C’est une énergie
très, très étrange. Pourquoi ? Parce que quelqu’un voulait voir si cela
fonctionnerait, et ça a fonctionné. Et ça a fonctionné.
Et ce n'est pas le seul cas.
Si vous retournez effectivement quelques années en arrière et que vous lisez,
en particulier ce qui se rapporte, disons, aux tueurs en série ou aux actes de
folie perpétrés par certaines personnes durant les trois ou quatre dernières
années, avec la police essayant de découvrir ce qu’il s'est passé. Et les
psychiatres et psychologues impliqués et qui arrivent avec toutes leurs
théories stupides à ce sujet. Mais ce qu’il se passe, c'est qu'il y a cette
hypnose, quelque chose dont je vous reparlerai encore, et vous n'avez pas
besoin de vous en inquiéter, que ce soit par rapport au fait de devenir celui
qui effectue un acte fou ou d’être la victime d'un acte fou comme ceux-là. Vous
êtes hors de cette énergie. Mais cela va arriver de plus en plus sur cette
planète. C'est comme d’envoyer un drone, mais ce drone se trouve être un
humain, un humain gentil autrement, peut-être même un homme d’église, et il va
y avoir de plus en plus de choses comme cela.
Nous sommes en plein sur ce
fil du rasoir étrange qu’est le mental sur cette planète, et cela concerne juste
quelques personnes en ce moment, un groupe de personnes, qui comprennent les
mécanismes du mental — et je ne parle pas de la façon dont les circuits fonctionnent
ni de l’équilibre électromagnétique et de tout le reste. Je parle de ce que le
mental est vraiment, le rôle qu’il joue, et plus encore de ce qu’est une
pensée.
Lorsque vous comprenez
simplement ce qu’est une pensée, alors vous pouvez aller au-delà de cette
pensée. Vous pouvez sortir de ce piège qu’est la pensée. Vous pouvez sortir de
cette pensée émotionnelle limitée du moi humain. Cela change la dynamique de la
planète, de la conscience en général, mais plus que tout, vous pouvez vous amuser
avec. Et puis vous commencez à comprendre que vous ne faites que passer. Vous
n'êtes pas coincés ici.
~ La Pensée
Alors, parlons un moment de
la pensée. Vous savez, j'en ai beaucoup parlé dans le passé. J'ai utilisé le
mot mental. En fait, le mental, le cerveau est un élément très nécessaire. Au
début quand vous avez commencé à arriver sur cette planète et à prendre une forme
physique, il vous était très difficile de rester ici, de rester en équilibre. C’était
un peu comme si un être de lumière essayait de devenir un être physique. Le
mental était une sorte d’élément de connectique, la partie qui vous permettait
de rester en équilibre ici.
Le mental a été utilisé pour
comprendre — en fait pour diriger — le corps physique. C'était son propos numéro
un —diriger le corps physique à travers cette chose que nous appelons
l’anayatron. [anayatron : Le réseau de communication que toutes les
particules d'énergie utilisent pour communiquer avec les autres particules
d'énergie, en particulier dans le Corps de Conscience.]
C’était donc à la base pour intégrer le soi de lumière dans le corps
physique.
Ensuite, il a été utilisé
comme simple mémoire et comme simple sorte de dispositif relationnel entre le
temps et l’espace. Le vrai corps de lumière ne comprend vraiment pas le temps
et l'espace. Il ne le veut pas. Il ne s'acclimate pas bien au temps et à
l'espace. Alors, il est comme une grosse chose gonflée, qui dérive. Il était
donc très difficile de rester incarné ici. Mais avec ce dispositif de connexion
appelé mental, vous étiez en mesure de le faire.
Le mental vous a également
permis d’avoir un discernement dans cette dimension que l'intelligence divine, disons,
n’avait pas vraiment. L’intelligence divine n'avait aucune familiarité avec cette
réalité physique, et donc, très peu de sens du discernement.
Mais vous, en tant que
représentant humain de l'âme, celui qui est passé par toutes ces vies, vous
avez beaucoup appris sur le discernement sur cette planète. Je ne parle pas
nécessairement de jugement, vous avez appris ça aussi, mais de discernement. Ne
mettez pas votre main sur la cuisinière chaude ; parce que ça va brûler.
C'est une sorte de discernement de base très simple. Ne marchez pas au bord d’une
falaise ; parce que vous n'avez pas d’ailes comme l’oiseau. Donc, vous
apprenez ces choses tout le long du chemin, et le mental joue un super grand rôle
dans tout cela.
C'est aussi à travers le
mental que… autant le mental était le dispositif de connexion pour que votre
corps de lumière arrive à l'origine dans le physique, autant le mental sera aussi
partie intégrante dans le processus d’entrée du vrai corps de lumière. Il a été
utilisé en quelque sorte pour ajuster le corps de lumière dans le passé, mais
maintenant il va vraiment permettre ce corps de lumière. Et le mental est
devenu si bon avec les produits chimiques et électromagnétiques et les autres ondes
énergétiques qu'il sait maintenant comment en quelque sorte maintenir un
équilibre. Alors, c'est en fait à travers le mécanisme du cerveau que beaucoup
de votre corps de lumière entrera. Nous en reparlerons plus en détail. Ça se
passe en ce moment de toute façon.
Alors le mental sert un très
grand but, mais au fil du chemin, le mental, le soi, et un certain nombre
d'autres dynamiques ont développé cette chose appelée pensées — les pensées —
et ces pensées sont les choses qui sont vraiment devenues limitatives.
Les pensées étaient une sorte
de forme de mini-conscience ou de conscience limitée qui venait de la
combinaison de votre cerveau et de la compréhension de cette réalité, mais qui
ont aussi initié la croyance en la limitation. Donc on peut dire que l'âme a
incarné une partie d’elle-même, un rayon d’elle-même, dans cette réalité
physique, elle a pris un corps, a pris un cerveau puis s’est mise à péter, et
ça ce sont les pensées. (rires) Et c'est en fait assez vrai.
Elle a fait remonter une
pensée. La pensée était limitée. La pensée était basée sur un grand nombre de
croyances et de limitations et de peurs et de choses comme ça. Alors, les gens,
les humains, sont devenus des êtres pensants.
Maintenant, il y a une
différence entre le mental et ce qu'il sait, et une pensée. La pensée tend à développer
jugement et limitation et peur et anxiété, et après un certain temps, avec une
longue succession de pensées — qui ne sont vraiment pas de l’intelligence, parce
qu’elles ne sont pas de grande conscience ; elles sont un peu comme des
petits pets le long du chemin, c'est la meilleure façon de les décrire, des
petites bulles qui arrivent — ces petites pensées sortent, mais dans une telle
succession ou progression que très vite vous commencez à croire ces pensées et
vous commencez à croire que vous êtes les pensées. Et très vite, les pensées
commencent à dominer ; elles commencent à contrôler ; elles
commencent à diriger le programme.
Je soutiens que ces pensées ont
en fait à peu près autant de valeur qu’un pet, et qu’elles sont à peu près
aussi pertinentes que cela. (Quelques rires) C'est vrai, et elles viennent d’un
endroit très factice. Elles viennent en quelque sorte d'une mauvaise interprétation
de données par ailleurs très réelles. Et les données réelles étant, vous le
savez, que vous êtes ici sur cette planète et que si vous mettez votre main sur
la cuisinière, vous allez vous brûler et si vous frappez quelqu'un au visage,
il va probablement vous frapper en retour ou vous poursuivre. Ça a été une
habitude pour nous, dans le temps, de frapper en retour, et à présent vous engagez
un avocat et vous poursuivez en justice.
Alors vous avez ces séries
complètes de pensées maintenant, et vous y adhérez, et ensuite vous envoyez une
autre pensée pour tenter de contrôler toutes ces autres pensées que vous
n'aimez vraiment pas. Mais ce qu'elle fait, c’est qu’elle fusionne simplement
avec ces autres pensées que vous n'aimez pas, et elle se surajoute aux pensées
que vous n'aimez pas. Et ensuite vous pensez à peu près en ces termes :
« Eh bien, comment puis-je sortir de toutes ces pensées ? » Et
un autre de ces pets sort, et il rejoint les autres pensées qui puent. Et puis
en désespoir de cause — « Comment puis-je en sortir ? Que dois-je
faire ? Je ne sais plus quoi penser » et c'est là que l’humain devient
fou. Il commence à faire des choses très bizarres.
Parce que je soutiens que les
pensées retirent aussi de la vie à la vie. Elles le font vraiment. Elles sont
les choses avec lesquelles vous négociez avec vous-même. C'est une pensée qui
négocie avec une autre pensée. C'est comme une mauvaise flatulence qui négocie
avec une autre flatulence, et toutes les deux puent. Je suis désolé d'être… toutes
les deux puent. (quelques rires) Vous voyez, je ne négocie pas avec Cauldre ou avec
moi-même. Je vais appeler un pet, un pet. (Quelques rires) C'est un
rassemblement spirituel. Pour ceux d'entre vous qui vous connectez pour la
première fois… (rire ; quelqu'un dit « C'est un gaz ») Il s'agit
d'un gaz. Oui, oui. C'est un gaz. Bien. (plus de rires)
Donc, vous avez des pensées
qui essaient de négocier et de prendre le contrôle d'autres pensées, et nous
allons ressentir cela dans un instant. Ressentons les pensées. D’où
proviennent-elles ?
Comment se fait-il que
personne n'ait jamais posé cette question : « D’où viennent les
pensées ? » Vous essayez de tracer une pensée. Disons que vous avez la
pensée en ce moment même de vouloir partir d'ici rapidement. (Quelques rires)
Disons que vous avez une pensée, une pensée émotionnelle. Chacun d'entre vous
en a eu plusieurs aujourd'hui — une pensée émotionnelle, un ressenti par
rapport à vous-même, une pensée émotionnelle à propos d’une autre personne ou
une pensée émotionnelle quand je dis : « Je vous souhaite bien du
plaisir à retourner au travail lundi dans votre boite ». Ohhh !
(Adamus rit) Quelle pensée émotionnelle.
Alors d'où viennent ces
pensées ? Comment se fait-il que personne n'y ait jamais jeté un œil et
dit : « D'où viennent-elles ? » Eh bien, les scientifiques diront
qu’elles viennent de votre cerveau. Non, en fait ce n’est pas le cas. Elles ne
viennent pas de votre cerveau. Le cerveau n'a pas de pensées émotionnelles du
tout. Il produit des faits et des chiffres en grande quantité. Il extrait des
données archivées quand la pensée émotionnelle fait appel à lui. D'où viennent
ces pensées? Ouais. C’est un grand mystère. Un grand mystère.
Eh bien, beaucoup de gens
disent : « Eh bien, ça vient juste de vous. Elles sont / représentent
ce que vous êtes ». Ah ! Je soutiens, et un Maître devrait comprendre
cela, qu’elles ne vous appartiennent pas (elles ne sont pas vous). Pas du tout.
Elles ne sont que des petites bulles, vous savez, qui jaillissent. Elles ne
sont pas vous. Et si vous essayez de les tracer et de trouver les origines
d'une pensée — quel super titre de livre : « Les origines d'une
pensée » — ce sera presque impossible, parce que les pistes ont été masquées
par de nombreuses autres pistes d'autres pensées. Et très vite, vous commencerez
à regarder les pistes sur les pistes sur les pistes, et vous ne pourrez jamais remonter
à l'origine d'une pensée. Mais pourtant, elle est là, pourtant vous prenez des
mesures par rapport à elle, vous y croyez, vous pensez que c'est vous — et ça
ne l’est pas.
Cette pensée pourrait aussi
être une pensée de groupe ou une pensée issue de la conscience de masse. Ce
pourrait être une pensée venant d'autres gens que vous avez juste —
shwssttt ! — laissés dans vos pensées. Les pets de quelqu'un d'autre se
joignant à vos pets, et vous dites : « Oh oui, les miens sentent vraiment
mauvais, n'est-ce pas ? » (Quelques rires) Eh bien, non ! En
fait, ce ne sont pas les vôtres pour commencer. C’était juste une mauvaise
odeur autour de vous que vous avez acceptée comme étant vous-même.
Et j’attire votre attention
sur ce truc de l’hypnose évoqué juste avant parce que c'est là où les gens en
sont rendus. C'est là où la conscience en est rendue. Il s’agit juste d’avoir
beaucoup d’acceptation ou d’absence de véritable compréhension de ces pensées.
Les gens disent : « Eh bien, ces folles pensées sont à moi » et alors
ils vont chez un psychiatre. C'est comme aller vers un plus grand pet pour
comprendre vos petits pets. (Rires) Et le psychiatre ou le psychologue tente de
vous aider à comprendre pourquoi vous êtes fou, alors qu’ils ne savent même pas
d’où viennent les pensées. Ils ne comprennent pas le cerveau. Ils ne
comprennent pas son rôle. Ils ne comprennent pas ce qu’est une pensée et
comment les pensées s’assemblent.
Ils ne comprennent pas ça,
parce que la pensée est la base de l'activité sur cette planète, que l'on peut
très facilement se faire implanter une idée dans la tête telle que: « Hey,
pose cet avion dans l'océan ». C'était la suggestion de base. Ce n’était
pas « va tuer 250 personnes ». C’était « Hé, fais atterrir cet
avion dans l'océan » et c’était un programme tellement hypnotique. Et il
n’y avait rien, vous pourriez dire…, (les gens qui ont fait cela) n’ont pas
parlé de mort. Ils n’ont pas — quand ils ont fait leur programmation — ils
n'ont pas parlé de choses négatives. C'était juste « atterris dans
l'océan ». Pas très différent de moi si je disais : « Garez
votre voiture dans la rue ce soir ». « Oh, d'accord. Oh, je le
ferai ».
Maintenant, et j'utilise cela
comme un exemple parce que cela montre l'influence des pensées et cela montre le
pouvoir — et il y a beaucoup de pouvoir derrière ça — des pensées. Et ça montre
aussi en gros le manque total de compréhension d’où viennent les pensées, de la
manière dont les gens agissent sur elles et de comment elles influencent la
société.
Maintenant, ce n’est pas mal
d'avoir des pensées, et vous allez continuer à en avoir même en étant un Maître.
Mais vous commencerez à discerner ce que sont vraiment vos pensées et d’où
elles proviennent. Est-ce qu’elles proviennent du vrai Je-Suis ? Ou sont-elles
originaires d’une fosse septique de conscience collective ?
Elles ne sont pas à vous.
Elles ne vous appartiennent pas, et dans mon travail avec vous, c'est mon plus
grand défi que de vous aider à comprendre que ces pensées —imaginez-les comme
de petites bulles malodorantes sortant de vous — ne sont pas à vous. Et quand
vous essayez de les toucher et de les contrôler avec encore une autre bulle
puante, ça ne fonctionne tout simplement pas. Ça ne fait qu’empirer les choses
jusqu'à ce qu'elle vous tire vers le bas, jusqu'à ce qu'elle vous démolisse. Et
alors, soit vous avez une révélation spirituelle ou soit elles vous font
aboutir dans une maison de fous. (Quelques rires) C'est à peu près aussi simple
que cela, l'un ou l’autre. Peut-être qu'il n'y a pas beaucoup de différence
entre les deux, mais au moins dans l’un vous vivez vraiment. Lequel est-ce,
telle est la question. (Adamus rit) Maintenant, vous pouvez rire. C'était censé
être drôle. (Quelques rires)
Donc, les pensées. Les
pensées sont la plus grande supercherie (tromperie). Et, mon cher Maître,
professeur, mes amis, s'il y a quelque chose que je vais vous demander
d'enseigner aux autres, c'est que les pensées sont vraiment trompeuses. Elles
ne vous appartiennent pas, et quand vous l’enseignerez à vos élèves, vous leur
ferez, vous les aiderez — vous ne les forcerez pas — à comprendre que ce ne
sont pas les leurs, à moins qu'ils veulent qu'elles le soient. Mais cela créera
toutes sortes d’enfers pour en sortir, parce qu'ils diront : « Je ne
sais pas lesquelles (je veux garder).
Je ne sais pas si je veux que ça, ce soit ma pensée ». Et alors ils auront
une autre pensée-pet pour essayer de comprendre si cette pensée est la leur ou
pas, et vous voyez le dilemme. Vous voyez le dilemme.
L'illusion de Séparation
Maintenant, je vais passer au
prochain sujet qui est relié à celui-ci, et qui est la plus grande illusion de
toutes, au-delà de tout, c'est la séparation. La séparation.
Vous avez l’illusion d’être
séparés de votre Soi supérieur, parce qu’on vous l’a dit, parce que vous avez eu
de mauvaises pensées, des pensées puantes. Vous avez l’illusion que vous êtes
séparés de Dieu, l’illusion que vous êtes séparés des autres dimensions, alors
qu’en fait vous ne l'êtes pas. Il n’y a aucune différence entre la Edith assise
ici, pensant qu’elle est un être humain et la Edith absolument divine et
intégrée, complète. Aucune différence, pas la moindre. C'est une illusion de séparation.
C'est l'illusion qui a été
enseignée à nombre d'entre vous quand vous étiez jeunes, comme quoi il y a Dieu
— un Dieu qui m’importe peu — il y a Dieu et puis il y a vous. Et l'illusion à
laquelle vous avez adhérée quand vous êtes entrés dans le new age comme quoi il
y a le Soi supérieur et puis il y a le petit vous. Il y a de grands anges et
des guides spirituels et il y a vous. C’est de la séparation, de la séparation,
de la séparation. Une subdivision dans une subdivision dans une subdivision. Et
c'est une illusion à laquelle vos pensées ont adhéré parce qu'elles aiment ça en
quelque sorte. Elles aiment plus ou moins ces subdivisions. ça les aide à avoir
plus de pensées, et ces subdivisions, ces illusions — et c'est tout ce qu'elles
sont — ne sont pas réelles. Il n'y a pas de vrais murs. Il n'y a aucune
différence entre la dimension dans laquelle vous êtes maintenant et les autres
dimensions.
Réfléchissez-y. La séparation
— masculin / féminin, bon / mauvais, noir / blanc, être néerlandais ou
espagnol, quelle que soit l'une ou l’autre (de ces propositions) — il s’agit de
séparation et de séparation et de séparation.
Je vais vous demander de
ressentir —pas de penser, mais de ressentir —toutes les séparations auxquelles
vous avez adhéré, naturellement. Vous avez adhéré à la séparation par l'âge, la
séparation par presque tout — la santé — etc. etc.. Et si maintenant vous pouviez
imaginer la matrice énergétique qui est créée, les schémas énergétiques, c'est
comme si les séparations continuaient à créer division après division après
division après division après division, et ensuite, lorsque vous essayez de
trouver le chemin de sortie de ce bourbier pour retourner vers votre simplicité,
vers votre beauté, (c’est comme si) vous
aviez tant de — ce serait comme un grand labyrinthe avec des impasses — que
vous abandonnez tout simplement. Vous faites un petit effort et alors une
pensée survient qui vous conduit à faire des compromis et à dire :
« Je ne peux tout simplement pas le faire. C’est trop compliqué. Je vais
attendre… » quoi que ce soit — le prochain livre, le prochain Maître, le
prochain quoi que ce soit à venir — et qui ne viendra pas. En attendant, vous
adhérerez à plus de séparation à partir d’encore plus d’éléments.
Le fait est que ces
séparations sont juste une illusion, à commencer par la séparation entre vous
et Dieu, vous et votre Soi supérieur.
Maintenant, j'utilise ce
terme avec vous, votre « Soi limité » ou votre « Soi émotionnel
limité » par rapport à votre « Soi libre » car il y a cette
partie de vous, qui est assise ici en ce moment même, Sart, qui est le Soi
libre. Il est déjà là. Il n'est pas là-bas. Il n'est pas derrière un mur
secret. Il est juste là. Mais l'illusion, intensifiée par les pensées, est si
forte que vous y adhérez. Vous y adhérez.
Et c’est presque, on peut
dire, à partir de la pensée de base — une pensée étant maintenant ces petits… les
pensées sont limitées, pleines de jugements, de réalités déformées, mais vous
commencez à mettre cela… (Linda lui tend un verre) Merci. Vous commencez à
associer toutes ces pensées avec la séparation et c’est presqu’inimaginable de
pouvoir s’en sortir. C'est là que les gens deviennent fous — « Comment
puis-je en sortir ? »
C'est là que je dis
permettez. Permettez.
~ Permettre
Permettre c'est — certains
ont dit que c'était une simplification à outrance, et je leur dis, Merci Seigneur.
Vous avez raison. Vous avez raison. C'est la simplification à outrance, et
c'est ce qu'il faut, car il y a ceux qui veulent encore avoir des pensées, de
petites bulles de pets, courant après d'autres pensées, à leur faire faire la
ronde, à les collectionner, les contrôler et voilà que vous avez simplement
encore plus de désordre — plus de pensées et plus de séparation.
Alors que faire ? Que
faire ?
Prenez une profonde
respiration et vous permettez.
Vous vous permettez
vous-même. Vous permettez un processus naturel de déconnexion fondamentale,
débranchant toutes les pensées qui se sont liées entre elles, créant une sorte
de lien étrange entre elles, mais toujours en créant un immense voile ou une
énorme illusion. Elles ne peuvent pas rester reliées entre elles dans cet état dysfonctionnel
— je parle de vos pensées — à partir du moment où vous commencez à permettre.
Alors soudainement ces liens
— ce ne sont pas seulement des liens, mais ces pensées qui se relient l'une à
l'autre, un peu comme les atomes d'une molécule — elles se relient les unes aux
autres, elles se collent, s’agglutinent les unes aux autres et puis d'autres
arrivent qui prennent ensuite le contrôle de cet ensemble complet de petites
pensées engluées ensemble et viennent en quelque sorte les englober, les
engloutir, et puis une autre pensée arrive qui engloutit ces pensées.
Le permettre agit en gros comme
un dissolvant de la colle qui a verrouillé et maintenues ensemble nombre de pensées.
Cela commence à les délier.
La colle, c’est la croyance
que tout ceci est réel, et quand vous commencez à permettre, la colle commence
à se dissoudre. Vous n'avez pas à faire quoi que ce soit. N’arrivez surtout pas
avec de petites brosses à récurer et de petites boîtes de produit à nettoyer,
et n'essayez pas de… vous vous perdriez tellement dans vos pensées, qu'elles
vous absorberaient, littéralement.
Alors, que faites-vous ?
Vous vous rasseyez. Vous n'avez même pas besoin de traiter les pensées
elles-mêmes. Vous n'avez pas à penser à vos pensées, parce que ce n'est pas si efficace
que ça. Vous prenez une profonde respiration, et vous permettez.
Qu'est-ce que vous
permettez ? Tout. Et il n'y a pas de négociation possible dans le fait de
permettre, parce que tout à coup, si vous commencez à négocier le fait que vous
pensez, cette pensée sur le fait de permettre — laquelle est en fait très
limitée à ce point — elle va effectivement continuer à grandir et aller
simplement engloutir d'autres pensées. Donc, vous vous arrêtez juste un moment
et vous permettez. Vous ne permettez pas Dieu ou moi ou les anges. On pourrait
dire que vous permettez la vérité, et la seule vérité, c'est vous.
Vous êtes aussi nombre de contre-vérités
— En fait, ce sont principalement des mensonges — et c'est normal. C'est très
compréhensible, parce qu'alors que vous traversez ce couloir, cette dimension,
cette expérience, vous accumulez vraiment beaucoup de choses qui ne vous
appartiennent pas. Vous accumulez nombre de pensées. Vous accumulez des
émotions. Vous accumulez même des expériences qui en fait ne sont vraiment pas
les vôtres. Vous accumulez beaucoup de choses tandis que vous traversez (les
événements, les situations). Cela fait partie de l'expérience.
Vous ne voulez tout de même pas
les traverser en restant si propre et si intact que finalement vous ne faites
pas vraiment l'expérience de la vie. Mais d’un autre côté, lorsque vous êtes
prêt à dire deux choses : « Je veux continuer à traverser (ce
couloir). Je me suis en quelque sorte retrouvé coincé ici, un peu comme une
voiture coincée dans la boue. Faisons-la avancer de nouveau » et « je
veux vivre, parce que je ne veux pas traverser (le couloir) avant d’avoir
vraiment vécu. Je ne veux pas traverser cet endroit avant de pouvoir me dire à
moi-même, j'ai vécu. J'ai vécu ».
Alors vous prenez une
profonde respiration et vous permettez.
Au moment où vous permettez —
permettez véritablement — vous accédez à votre vérité. Pas la vérité
universelle, la vérité cosmique, la vérité de Dieu, la vérité d'un ange, mais
votre vérité. C'est ce que vous permettez — vous. —
Maintenant, les pensées
vont-elles arriver ? Absolument. Elles vont arriver et dire :
« Oui, mais qu'est-ce qui est toi ? Et qu'est-ce que la vérité ? »
(Il crache !) Encore plus de pets. (rires) J’ai presque craché plus loin,
mais…
Donc, vous prenez une
profonde respiration et vous riez vous permettez simplement, parce que
traverser est un processus naturel. L'expérience de vivre, de vivre vraiment,
c'est tout naturel. La déconnexion des pensées, en d'autres termes, le lâcher
prise sur l'illusion, c'est naturel.
Vous ne pouvez pas briser
l'illusion avec encore une autre illusion, et c'est ce que tant de gens ont
essayé de faire dans le passé. C'est ce que nous appelons le makyo, et c'est ce
qui arrive quand quelqu’un commence à entrer dans sa maîtrise — encore plus
d'illusions poursuivant d'autres illusions. Ce serait comme de dire :
« D'accord, je ne suis pas satisfait des illusions que j'ai dans ma vie et
de la manifestation qu'elles créent. Alors, que puis-je faire ? Créer une
autre illusion qui va se lancer à la poursuite des autres ». A présent, vous
avez simplement encore plus d'illusions, plus de bulles de pets dans le jeu.
C'est tout ce que vous faites, jusqu'à ce que vous vous arrêtiez, preniez une
profonde respiration et permettiez.
Vous vous laissez être. Il
n'y a pas de trucs. Pas de manipulation. Il n'y a pas à le faire pendant 20
minutes par jour ou quoi que ce soit d'autre du genre. Ce n'est pas même un outil,
mes amis. Un outil suggère que vous entrez dans un processus et commencez à
manipuler quelque chose. Ce n'est pas un outil. C'est qui vous êtes vraiment.
C'est tout.
Maintenant, les pensées vont arriver
là-dedans et elles vont essayer d'interférer, et c'est alors que vous leur
dites simplement « La ferme. Vous n’êtes que des pets ». Je pense que
c'est de là qu'est venu le terme « tête de pet ». Cerveau à pensées
et tête de pet — c’est la même chose. (Quelqu’un dit « pet de
cerveau ») Ouais. (Adamus rit) Pet de cerveau.
Alors vous vous arrêtez simplement
et vous laissez se dérouler le processus naturel qui se produit à l’intérieur de
vous — pas à l’extérieur, pas là-bas, pas ici, mais à l’intérieur de vous —. C’est
assez effrayant d'une certaine manière ; c’est très beau et très simple,
mais assez effrayant d’une certaine façon.
L’illusion de séparation est
tellement énorme qu'il a été dit par certains êtres de notre dimension que
cette illusion est si forte qu'elle peut effectivement ne pas pouvoir s'en
aller, ne pas pouvoir être emportée, dissoute, autrement que par le biais d'un
événement hautement traumatique. Je ne le crois pas. Il se trouve que la
personne qui a dit cela, l'être qui l'a dit, a dû effectivement passer par un
événement traumatique. Alors peut-être qu'il a adhéré à cette idée. Mais vous
n'avez pas besoin d’en passer par là. Vous n'avez pas besoin qu'un terrible
événement traumatique se produise dans votre vie pour comprendre que la
séparation est une absolue illusion. Vous n'avez pas non plus à être intellectuel
ou philosophe pour comprendre cela. C'est dans votre essence.
Vous savez exactement ce que
je dis en ce moment quand je dis que la séparation est juste un jeu. La
séparation est une façon de jouer à un énorme jeu. Vous le savez déjà. Vous y
jouez juste pour y jouer. Mais essayez de sortir de cette séparation ? Vous
mettez votre mental au travail, vous dites : « Je suis tout, je suis
un ». Oh, la ferme ! Vous ne le croyez vraiment pas. Je veux dire que
vous ne le croyez pas, parce que c'est seulement un autre truc de pensée qui ressort
là. Mais vous pouvez le ressentir. Vous pouvez le ressentir.
Donc, cela étant dit, en
route pour l'étape suivante. Donc, nous avons des pensées. Elles ne sont pas à
vous. Je veux vraiment que vous les imaginiez, les ressentiez d'ici notre
prochaine réunion, comme étant ces petites bulles produites en grandes
quantités. J'avais demandé à Linda une petite tête de mannequin que nous
allions briser aujourd'hui, mais elle n'a pas pu en avoir une. (rires) N’importe
qui veut avoir la tête fracassée depuis… (plus de rires)
LINDA : Wow, comme j'ai
été clairvoyante de ne pas le faire.
ADAMUS : (Riant) Ouais.
Mais imaginez, imaginez que
vous êtes au volant de votre voiture ou que vous faites quelque chose, et vous
entrez dans la file des pensées, dans le mode pensée, et vos petites pensées
commencent à pulluler — brummp brumpp, brumpp, brumpp — et cela ne vient
vraiment pas de votre cerveau.
En fait, j'ai parlé
auparavant de l'origine des pensées. L'origine des pensées n'est vraiment pas dans
votre cerveau. À un certain moment, les pensées s’immiscent dans le cerveau ou elles
intersectent (s’entrelacent) avec votre cerveau, et ensuite on dit :
« Ah, vous voyez, elles venaient bien du cerveau ». Ce n'est pas le
cas. Elles viennent de ce petit endroit qui n'est pas dans votre corps
physique, mais ce petit endroit à l'intérieur de vous — cette minuscule petite,
toute petite boîte, ce petit chemin très, très reculé dans les bas-fonds de
votre être — et c'est la conscience limitée. C'est un peu comme une bizarrerie de
la conscience, une drôle de petite chose dans le champ plus grand de votre
conscience, qui croit aux limitations, et c'est en quelque sorte une vraie
bizarrerie. C'est de là que viennent les pensées. Elles ne viennent pas de
votre mental ni de votre cœur.
C'est en quelque sorte comme
un petit… ce serait un peu comme un bord rêche de la conscience qui n'aurait
jamais été vraiment poli comme le reste de votre conscience. Donc, il y a toujours
ce petit bord rugueux qui ne comprend pas tout à fait le Je Suis ce que Je
Suis. Disons que 99 pour cent du reste de votre conscience le comprend et dit
« Oh yeah. Je Suis ce que Je Suis. C’est trop cool ». Mais vous avez
toujours ce petit bord rugueux qui a encore besoin d’être poli— et qui n'attend
en fait que le bon moment pour le faire — et c'est celui-là (qui cause le
problème) ; c'est ce petit coin qui dit que c'est limité, et il produit à
tour de bras ces petites pensées.
~ Les pets de la Pensée
C’est juste curieux.
Qu'advient-il quand ce petit coin débite
à tour de bras des pensées de limitation, des pensées de séparation, des
pensées d'anxiété, des pensées de manque d'abondance et juste
ppppbbbbbbbttttttt ! (un bruit de pet et de manivelle que l’on tourne à la
main) Il produit juste en quantités industrielles… (Linda fait une grimace)
Vous voulez le faire (le geste et le bruit de la manivelle que l’on tourne et
des pets que cela produit) ? Vous voulez le faire. C'est le… c'est…
ahh ! Oui. (Rire de Linda) Il ne faut pas être devin pour comprendre
Linda. Allez. Venez. Venez par ici et aidez-moi à le faire.
LINDA : (riant)
Nooooooon !
ADAMUS : Venez ici.
LINDA : Nooooon !
ADAMUS : Nous le ferons
ensemble. Venez ici, nous le ferons ensemble.
LINDA : Non… !
ADAMUS :
Pppppbbbbttttttt ! C'est cette petite conscience limitée qui fait cela.
Vous êtes prête ?
LINDA : Ouais.
LINDA :
Pppppppppppppbbbbbbbbbbbbbbbttttttttttttttt ! (rires)
ADAMUS : Mes amis, ça ce
sont vos pensées. Ce sont vos pensées — pppbbbtttt, pppbbbtttt — et en réalité elles
ne sont pas si cohérentes que ça. Ppbbtt ! Et ensuite, vous n'entendez plus
rien. Pppppbbbbtttt ! C'est comme… non, vraiment. Pouvez-vous ressentir
cela ? Ce sont vos pensées et parfois elles puent et elles ne sont vraiment pas
à vous. Mais à présent elles entrent dans un schéma répétitif. Et elles continuent
juste de remonter à la surface.
Vous êtes calqués sur vos schémas
de pensées. Je veux vraiment que vous ressentiez ceci — comment vous générez les
pensées. Vous vous réveillez le matin et habituellement en une minute à 90
secondes — pppbbbtttt ! — Des deux côtés. (Quelques rires) C'est une chose
physique. Mais vous commencez à penser. Vous commencez à penser « Que
vais-je faire aujourd'hui ? Contre quoi vais-je me lever / m’élever ?
Oh mon dieu, un autre jour. Ohhh, je me suis réveillé et je ne suis pas encore pleinement éveillé. Uggh, que
dois-je faire ? » La ferme ! (rires) Permettez ! Vous le
savez. Vous le faites. Je le vois.
Et puis vous vous calmez
pendant une minute. Vous vous occupez à… (Linda lui propose un bouton Shut Up)
Non, non. Je veux un bouton spécial pets. (Adamus rit)
LINDA : Ceux-là sont
faciles à trouver !
ADAMUS : Un bouton à pets
de Maître.
LINDA : C'est facile à
trouver !
ADAMUS : Et puis vous
vous occupez à quelque chose, parce que c'est comme si vous disiez :
« Oh mon dieu, je suis fatigué de ces pensées ». Alors, que
faites-vous ? Vous commencez à vous occuper en faisant le café, en faisant
vos trucs, en allant sur Internet. Mais ensuite ces pensées, elles commencent à
remonter à la surface. Les pensées du milieu de matinée. Une fois de plus, vous
le savez, vous êtes parvenu à écarter de votre route quelques détails, votre
journée a déjà commencé, elle est sur les rails, de sorte que vous pouvez vous
arrêter et prendre, hein, juste une respiration pendant une minute. Que
faites-vous ? Voilà encore ces pets de pensée qui se précipitent. Et puis
vous en avez tellement marre, ça vous épuise, alors vous dites :
« Bon, je dois le faire si je veux
déjeuner aujourd'hui ». Et au passage, cela épuise votre corps. Votre
corps n'aime vraiment pas les pets de pensée. Votre corps réagit comme s’il
disait : « Qu'est-ce qu’il se passe ? Ne peut-on pas simplement
permettre ? » Permettez votre corps. Il se guérira lui-même, mais ça
n’arrivera pas en faisant des pets de pensée.
Donc il y a des schémas
répétitifs qui se produisent toute la journée. Les pires d'entre eux ont
tendance à arriver en fin de soirée, en particulier juste avant d'aller au lit
ou lorsque vous êtes au lit. Oooh, ça c'est dur parce que maintenant vous êtes en
position couchée, vous êtes au calme, et c'est alors que les pets peuvent
vraiment sortir. Et vous essayez de vous endormir, mais cette machine à pets de
la pensée est en fonctionnement et vous dites : « Oh mon dieu ».
Alors, que faites-vous ?
Soit vous vous levez et vous essayez de vous occuper ou vous prenez un verre de
vin, ou certains d'entre vous prennent des somnifères ou quoi que ce soit
d’autre, jusqu'à vous épuiser. Est-ce que vous réalisez que c'est probablement
la manière la plus dysfonctionnelle de traiter les pensées — les pensées émotionnelles,
les pensées limitées, qui ne sont vraiment pas à vous — en vous épuisant. Parce qu’alors vous ne
pouvez que vous effondrer. Vous n’avez pas à aller jusque là.
Il y a en fait un meilleur
moyen. C'est de permettre. Permettre. Ce n'est pas une pensée. C'est le vrai
vous. C'est le vrai vous.
Edith, souriez. Oui. Vous avez
l’air si sérieux depuis un moment. Mm.
Donc, à présent allons au
point suivant, nous avons une progression très importante aujourd'hui. En fait,
pas du tout importante, mais une progression amusante.
~ La Vraie Imagination
Vous savez combien, parfois,
quand on vous demande d'imaginer, vous respirez et vous imaginez. Imaginez, par
exemple, votre vie dans deux ans. Imaginez, là où vous voulez vivre. Imaginez
avec qui vous êtes, et c'est assez amusant. D'imaginer. Par exemple, imaginez que
vous êtes libéré de certaines des charges de votre vie. En fait vous n'avez
même plus vraiment besoin de travailler. Imaginez que votre corps s’est
régénéré de lui-même.
Maintenant, tout ceci est
intéressant jusqu’à un certain point, et c'est, d'ailleurs là où la réelle
maîtrise intervient. C’est intéressant jusqu'à un certain point. Mais vos
pensées sont impliquées là-dedans, et vous savez que vous avez des pensées — des
pensées limitées — tout d'abord quand vous commencez à négocier et à dire
« Eh bien, je ne peux pas avoir une maison aussi grande. Je ne peux
pas… ». Et aussi, mes amis — écoutez attentivement — si vous avez besoin
d'un support visuel à votre imagination. Un support visuel. Alors quelqu'un dit
« Dans deux ans » — cette personne guide, ou dirige une méditation —
« dans deux ans, votre vie sera libérée, et… » Immédiatement vos
pensées — pas tellement votre mental, mais vos pensées — vont commencer à
imaginer à quoi vont ressembler votre grande maison, votre grosse voiture, votre
grand travail ou quoi que ce soit d’autre. Ça sera essentiellement visuel, à environ
85 à 90 pour cent visuel, mais vous apporterez aussi un petit peu d’auditif, quelques
petites sensations sonores ; de temps à autre une petite sensation olfactive
et plus rarement gustative.
Donc le Maître comprend que
la véritable imagination va au-delà du visuel. La vraie imagination va au-delà
des sens. La vraie imagination va au-delà des structures classiques sur
lesquelles vous fonctionnez.
Maintenant, ce que je
voudrais faire, c’est vous donner un exemple de cela, et ça va être
intéressant, peut-être même que cela va vous défier, parce que vous êtes
habitués à avoir un visuel dont une bonne part émane ou trouve son origine dans
cette pensée, cette partie rugueuse de votre conscience, cette part immature de
votre conscience.
Donc, vous avez l'habitude de
faire remonter cette pensée et de la relier au cerveau, à vos sens humains et
puis à créer l'image support à votre imagination. Mais cette imagination est
encore limitée. En fait, très limitée. Et de plus, elle ne contient pas
beaucoup de passion, car elle est si diluée, édulcorée, obstruée, que le temps
que le visuel émerge — par exemple, vous imaginer avec le corps parfait — le
temps qu’il émerge, elle (l’imagination) est très contractée. Elle contient
très peu de passion. Elle ne vit pas. C’est juste un joli petit visuel dans
votre cerveau.
Et alors, cela ne marche pas
et vous avez une pensée. Vous dites : « Eh bien, je ne suis pas très
doué pour imaginer, et je ne suis vraiment pas une personne très douée. Point.
Vous savez, je ne sais pas le faire ». Et alors vous avez ces pensées,
cette petite conscience immature qui produit cette petite merde à tour de bras.
Nous allons aller au-delà de cela. Pourquoi ? Voici pourquoi. Cauldre me
dit que je deviens interminable. Je ne le pense pas. Nous en sommes à mi-chemin
aujourd'hui. (Linda rit)
Le Maître comprend qu’au
moment où il — snap ! — le choisit, ça y est. Tobias a appelé cela un
point de séparation. Je l'appelle tout simplement l’êtreté. Vous ne pensez à rien.
Si, par exemple, vous voulez atteindre un certain niveau de compréhension, vous
ne pensez pas à comment vous allez atteindre ce niveau de compréhension.
Vous le devenez tout simplement.
Vous l'êtes tout simplement. Je ne sais pas comment l'expliquer autrement qu’en
vous disant : n’y travaillez pas.
Si vous devez y travailler,
vous pensez et c’est limité.
Alors, quand vous faites le
Je Suis, par exemple, vous ne devez pas aimer, ou faire des efforts pour
trouver le chemin de l’humain vers le Je Suis. C'est simplement :
« Je suis ». C'est tout. Pas de négociation, pas de discussion, pas
de pensée. Je suis.
J’appelle cela, en fait, le saut
de l’étoile. [Technique d’astronome amateur qui saute directement d’une étoile
à une autre très éloignée de la première] Comment parvenez-vous à une étoile
lointaine ? Vous le faites simplement — vous y êtes ! Vous ne pensez pas à
comment vous y êtes arrivé. Vous ne pensez pas à la façon dont vous devez
passer par huit niveaux de dimensionnalité. Pffft ! Ça c’est pour les
perdants. Vous y êtes simplement ! (rires) Vous y êtes tout simplement.
Merci (à quelqu'un qui rit) Vous êtes simplement… je voudrais enregistrer son
rire et puis nous pourrions l’écouter de temps à autres. (plus de rires) Quand
personne d'autre ne rit, quand vous n’êtes pas là — ce serait en quelque sorte,
hein, une boîte à rire. Oui. Bon. (Linda donne le micro à Jin) Et donc pouvez-vous
nous en faire un bon (de rire) pour que nous puissions le doubler, enfin le
mixer en quelque sorte.
JIN : Racontez-moi une
bonne blague !
ADAMUS : Euh… (Jin rit
aux éclats ; rire de l'assistance)
C'était une blague énergétique
que j’ai racontée ! Une sale blague énergétique et il l'a comprise !
(ils rient tous les deux aux éclats et mettent un moment à reprendre leur
souffle; rires de l’assistance) Oh ! Très bien. Le rire est si…
JIN : Important.
ADAMUS : … beau. Il
apporte la vie, et c'est vraiment de cela qu’il s’agit dans la discussion
d'aujourd'hui, c'est que bon sang, il est temps de vivre. Mais nous devons
parler de ce qui a empêché cela.
Donc, où en
étions-nous ? Nous parlions de pets. Nous parlions de la vie. (quelqu'un
dit « Imagination ») Nous parlions de l'imagination.
Le Maître va au-delà de cela
(l’imagination). Si le Maître veut partir pour un endroit très éloigné, il y
est immédiatement en un claquement de doigts, tout simplement — snap ! —
Comme ça. Et il y est. Si le Maître veut être abondant, il l’est tout simplement.
Vous ne vous arrêtez pas pour réfléchir au peu d'argent que vous avez en ce
moment et à ce que vous avez à mettre en oeuvre pour faire le complément. Vous
le choisissez. Mais ce n'est pas une pensée, voyez-vous, parce
que la pensée va soudain limiter cela, le polluer et vous amener toutes ces
autres conneries. Vous êtes simplement abondant. C'est tout. Voilà comment un Maître
fait rapidement les choses.
La santé physique et
biologique — ne lisez pas 18 livres, par exemple, sur la santé vue par le New
Age, car ils vous diront tous quelque chose de différent, et ils sont tous
remplis de pets. Ils sont tous si mentaux ! Ce sera le défi le plus
difficile que j'aurai avec vous, votre défi le plus difficile — ou pas — après
celui de la pensée. Cessez de penser à cela. Et il ne s’agit pas d’une fausse
croyance. C'est simplement : « Hé ! Je choisis la santé ».
Boom ! Lâchez prise. Passez à autre chose. N’y pensez plus, parce qu’à la
minute où la conscience immature se met à démarrer, elle est limitée, elle
passe par le m… ughh, et ensuite cela ne fonctionne plus.
Alors, faisons-cela ! Faisons
l’expérience de l'imagination, mais sans les images. Sans les images.
Souvenez-vous quand — Cauldre
a déjà raconté cette histoire — à l'époque où il travaillait avec Tobias, avant
même d'avoir commencé à canaliser, Tobias est venu à lui un jour et a
dit : « Plus de mots ». Bien sûr, Cauldre a demandé :
« Nous écrirons bien des messages ? » (Quelques rires) Un bon
éclat de rire. (Plus de rires) Plus de mots, parce que les mots sont associés aux
pensées et qu’ils sont limités et qu’aussi la parole humaine ne peut jamais
vraiment pleinement exprimer ce qui est de l’ordre de l'essence.
Alors Tobias a dit
« Plus de mots » et c’était difficile pour lui [Cauldre] mais il a
finalement compris et il a enfin dit : « Ah ! Tout est là. Je
n'ai pas besoin de mots pour ressentir cela ». Les mots deviennent
effectivement un fardeau. Les mots sont parfois utiles, ils sont un bel outil à
utiliser à certains moments, mais les mots sont si limités.
C’est la même chose avec les
images de votre imagination. Ce qui compte c’est l'essence de l'imagination.
C'est l'essence du corps sain sans la pensée.
Ça va peut-être être un peu
difficile ou peut-être pas. Peut-être êtes-vous vraiment prêts à aller au-delà
même de ce visuel, dans l'essence. C'est là que se trouvent la vie, l'essence
et l'énergie, en cela.
~ Expérience de
l’Imagination
Je vais donc demander de
baisser un peu les lumières s'il vous plaît. Un peu de musique de merabh, mais
ce n'est pas un merabh. Juste un peu de musique de fond agréable.
Pourquoi ? Parce que j'aime la musique.
(la musique commence)
Pourquoi ? Parce qu'elle
vous tient en quelque sorte occupés.
(pause)
Vous ne faites que passer,
mes amis. Vous ne faites que passer à travers cette merveilleuse expérience appelée
la vie sur cette planète. Une expérience remplie de vie. Sans limitation, mais
pleine de vie.
La vie est liberté. La vie,
c’est de savoir que vous ne serez jamais coincés.
La vie, c’est de savoir que nombre
des pensées et des choses avec lesquelles vous vous débattez ne sont pas à vous.
La vie c’est la liberté de
laisser cette âme, ce divin briller, rayonner hors de vous.
La vie, c’est se rendre
compte qu'il n'y a rien qui travaille contre vous, rien du tout.
La vie, c’est savoir que les
séparations peuvent être là quand vous voulez jouer le jeu de la séparation,
mais elles peuvent aussi instantanément disparaître lorsque vous voulez ressentir
à nouveau le Je-Suis, la complétude.
La vie en tant que Maître
signifie que votre corps n'est plus seulement ce bagage biologique. Que c'est
une façon pour vous de ressentir et de faire l’expérience de la vie telle
qu'elle est avec toute sa sensualité. Ce corps qui est le vôtre. Je sais que
parfois vous pensez qu'une horloge compte le temps et pousse votre corps vers la
vieillesse, vers plus de douleurs parfois et moins de souplesse.
Je veux que vous imaginiez
maintenant ce corps qui est le vôtre, ce véhicule qui est le vôtre, dans un
état de santé rayonnante. Mais avant que vous ne le fassiez, n’utilisez pas la
pensée. Ne voyez pas votre corps, ou ne le visualisez pas même avec l'oeil de
votre mental. Entrons dans l'essence.
Oh, oui, en effet, le mental
— il va essayer de sauter dans les pensées. — Il suffit de prendre une profonde
respiration et de venir avec moi au-delà de la pensée. Venez avec moi dans le
ressenti, dans l'essence.
Qu'est-ce que la
biologie ? C'est de la lumière combinée à des particules physiques. C'est
votre lumière amenée à un niveau de grande condensation. C'est de la lumière amenée
dans un organisme vivant qui croît et bouge.
Le corps, c’est quoi ?
C'est pour vous un moyen d’expérimenter la vie. C'est de la biologie en
mouvement. C'est la lumière en mouvement. D'une manière très lente, très
condensée, mais c'est de la lumière en mouvement. Voilà ce que c’est.
Vous avez un corps. En fait,
ce n’est pas réellement le vôtre. C'est une sorte d‘adaptation intéressante de
l'évolution, de vos ancêtres, un peu de vos pensées, mais surtout des choses
citées en premier.
Nous avons déjà parlé de la
biologie et de la guérison et vous avez essayé de vous imaginer, de vous voir
avec l’œil de votre mental comme étant d'une certaine manière. Allons au-delà
de ça à présent. Ne mettons pas de pensée sur cela. Ressentons cette essence.
Qu'est-ce que la
biologie ? C'est de la lumière mise en mouvement d'une manière très
intéressante. Cela va attirer des choses comme l'ADN et les molécules et les
chromosomes et tout le reste, mais c'est essentiellement de la lumière en
mouvement.
Je vous demande de ressentir
cela. Surtout pas de le visualiser. Ressentez l'essence de la lumière en
mouvement.
Maintenant, allez au-delà
même de cette image que vous avez de la lumière, la lumière tourbillonnante.
Allons au-delà. Vous dites : « Comment puis-je la sortir de mon
mental ? Comment puis-je ne plus avoir cette image ? N’y aura-t-il
pas juste de l'obscurité sans l’image ? » Non, mes amis, il n'y en aura
pas. Allez-y tout simplement. Ne pensez pas à comment vous allez aller là-bas. Allez-y
tout simplement. Allez au-delà.
Vous voyez, vous venez de le faire.
Vous y êtes. Vous êtes là à cet endroit. C'est l'essence. C'est un ressenti. Ce
n'est pas une pensée.
C'est le vrai vous.
Oui, c'est très facile.
Soudain, il semble que la pensée revient, et vous prenez une profonde
respiration. Et vous partez avec moi une fois encore au-delà de ce visuel,
au-delà de l'imagination en pensée, dans l'essence. L'essence, c’est vous
rayonnant vous-même, c’est vous faisant l’expérience de vous-même à travers votre
biologie.
Vous êtes juste là.
Prenez une grande
respiration, et je sens un peu d'anxiété. Vous êtes juste là dans l'essence, la
passion. La passion d'être si sensuel que, même lorsque que vous traversez (les
événements, les situations), vous pouvez réellement y participer au travers de
votre corps. Vous pouvez faire partie de cette expérience, de cette dimension.
La passion d'être en son coeur — et pas seulement depuis l'extérieur, pas
seulement en contemplant la vie sur Terre comme certains anges le font — mais en
étant réellement en elle.
Cette passion, cette essence,
voilà ce qui est votre vrai corps. C'est tout.
Ceci est votre vrai corps.
Et alors que vous entrerez
dans cette essence, vous ne ressentirez pas cette tension dans la tête que vous
avez quand vous essayez de penser ou d’imaginer. Vous le permettez tout simplement.
Souvent, dans le temps,
l'imagination fut artificiellement poussée ou forcée et n’a jamais été vraiment
efficace. Vous entrez dans l'essence en vous laissant simplement y être —
l'essence du corps, au-delà de la pensée ou au-delà de l'image, — dans la
passion.
C'est là que nous allons, mes
amis. C'est là que nous allons.
Au-delà de la pensée.
Au-delà de l'effort.
Au-delà de la limitation.
Donc, je vais vous demander
lors de ces prochaines semaines de jouer avec le ressenti de votre essence. De
ne pas penser votre chemin pour y aller. Pas de visualisations. Eh bien, les
visualisations se produiront tout de même, mais faites un saut d’étoile.
Laissez-vous aller au-delà de la visualisation, au-delà d'une définition
mentale, au-delà de la pensée. C'est là que nous allons, mes chers
amis.
Et tandis que nous le ferons,
que vous permettrez au véhicule, vous permettrez au Je-Suis de venir dans cette
réalité. Comme je l'ai dit auparavant, c'est comme de mettre une grosse boule
dans un seau d’eau, des trucs vont déborder de tous les côtés — mais ce sont
des trucs dont vous n’avez plus besoin, beaucoup de vieilles pensées et de
vieilles habitudes — pour faire place au Je-Suis dans cette réalité.
Comme vous commencez à
comprendre ce que les pensées sont vraiment, d'où elles viennent et pourquoi
elles ne sont pas à vous, vous allez le voir en vous-même, mais vous allez
également commencer à le voir chez les autres. Vous allez voir comment, dans
une conversation normale ou dans une situation en public, il y a ces pensées de
merde venant de leur part et atterrissant sur vous, et ça va être plutôt
embêtant. Très embêtant et même encore plus intense, parce qu’une fois que vous
comprenez la dynamique de ce qu’il se passe, il est plus difficile de supporter
cela.
Mais vous prenez une profonde
respiration et vous réalisez que c’est juste une partie du processus de transition
et vous réalisez que vous n'êtes pas coincé ici. Vous êtes un visiteur. Vous ne
faites que passer, et vous vous rappelez également que…
ADAMUS ET ASSISTANCE : …
tout va bien dans toute la création.
ADAMUS : Je vous remercie.
Ppppppbbbbbbbbttttttttt ! (rires et applaudissements).