LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Découverte
SHOUD 5 : “Découverte 5” – ADAMUS, canalisé
par Geoffrey Hoppe
Présenté au Crimson Circle
Le 11 Janvier 2014
www.crimsoncircle.com
Je
Suis ce que Je Suis, Adamus Saint-Germain. Mais vous le saviez déjà. Ah !
Vous savez déjà teeeellement de choses que vous ne savez même pas que vous
savez, une quantité énorme.
Nous
sommes ici dans la série Découverte, avec ce Shoud, et il s’agit de découvrir
ce que vous savez déjà. Ah ! Vous
recherchez des choses que vous pensez ne pas connaître ; Il s’agit
(avec ce shoud) de ce que vous savez déjà.
Accompagnons
cela d’une profonde respiration, car c’est déjà là. C’est déjà là. Hm.
Ah.
C’était l'une des quelques — hum — intro musicales que j’aime, Safe and Sound (Sain et Sauf)*, parce
que ce que vous vous apprêtez à savoir c’est que tout a une solution et c'est
incroyable. Heh, c’est un mot sur-utilisé — c'est génial. C’est parfait. Tout a
une solution. Tout arrive en même temps et rien n'a d'importance. Ah !
Nous pourrions nous arrêter là dès maintenant.
*
« Safe and Sound » par Capital Cities de l'album « A Tidal Wave of Mysteries».
~
2014
Mais
avant de nous arrêter, permettez-moi de vous demander : nous voici en
2014, depuis dix jours et demi, voire onze pour certains d'entre vous ;
comment ça va depuis ce temps ? Vili,
s’il vous plait, écrivez sur le tableau ; chère Linda, prenez le
microphone. Dix jours — quel est votre résumé de ces dix jours ?
Oh !
Je peux déjà le sentir. Ne me l’adressez
pas directement sur moi. (Adamus rit un peu) Certains d'entre vous ont eu des
difficultés et des épreuves. Mais Pete, comment ça s’est passé pour vous ?
PETE :
C’était très excitant, pour vous dire la vérité.
ADAMUS :
Oui. Ouais. Pourriez-vous me dire toute la vérité, rien que la vérité ?
PETE :
Oui, quelquefois. Ouais.
ADAMUS :
Et est-ce que je le saurais si vous me la disiez ? Oui.
PETE :
Parce que je ne suis pas encore totalement ascensionné.
ADAMUS :
Oui. (Adamus rit)
PETE :
D'accord.
ADAMUS :
Quoi ?
PETE :
Je ne suis pas entièrement ascension… eh bien, je suis pleinement ascensionné.
Vous avez raison.
ADAMUS :
Il y a eu une petite confusion là.
PETE :
Oui, une petite confusion. Bien.
ADAMUS :
Oui, nous allons éclaircir cela aujourd'hui.
PETE :
Oui.
ADAMUS :
Bon. Bon.
PETE :
Il y a juste quelques petites choses que je ne sais pas encore.
ADAMUS :
Alors, comment ces dix jours se sont passés pour vous ?
PETE :
Très bien. Ouais. J'ai relu le Voyage des Anges, et ça a été tout simplement
explosif. Cela fait sept fois maintenant, et à chaque fois c'est
incroyable !
ADAMUS :
Ouais. Pourriez-vous redire cela une fois de plus à la caméra et aux millions
de personnes qui sont à l'écoute en ligne. (Adamus rit)
PETE :
D'accord. Le Voyage des Anges. C’est
incroyable. C'est mieux que la Bible.
ADAMUS :
Ah. Point numéro un pour la nouvelle année.
PETE :
Ouais !
ADAMUS :
Fais toi-même ta propre promotion. Ouais, ouais ! (ils rient) Ou faites en
sorte que d’autres la fassent pour vous. Bien. Oui, c'est un excellent livre.
PETE :
Mm hmm.
ADAMUS :
Absolument. Des hauts et des bas ? Des surprises ?
PETE :
Oui. J'ai eu un méchant virus sur l'ordinateur, mais il est nettoyé maintenant.
ADAMUS :
Oh, je pensais que vous vouliez parler de votre corps.
PETE :
Non, non.
ADAMUS :
Oh. Vous êtes sûr ?
PETE :
Oh oui ! Oui.
ADAMUS :
Ok, bon. Pas de virus dans le corps.
J’aimerais / je souhaiterais vérifier.
PETE :
Non, c'est un bon corps. Ouais.
ADAMUS :
Qu'est-ce que ça veut dire d’avoir un virus sur votre ordinateur, et que vous
ayez dû le nettoyer ?
PETE :
Ehhh, ce sont de petites difficultés.
ADAMUS :
Arrêtez de regarder du porno sur Internet. C'est ce que cela signifie.
(rire ; quelqu'un dit « Ou des sites de rencontres »)
ADAMUS :
Ou des sites de rencontres, oui.
PETE :
Ou des sites de livraison à domicile.
ADAMUS :
Ou des sites de livraison à domicile.
PETE :
Oui.
ADAMUS :
Oui. Bon.
PETE :
D'accord.
ADAMUS :
Je vous remercie. Alors, comment allons-nous résumer ça — un virus ?
LINDA :
Un virus.
PETE :
Un virus.
ADAMUS :
Vous avez eu un virus.
PETE :
Oui.
ADAMUS :
2014. Oh bien. C’est nettoyé.
PETE :
Oui. Je m’en suis occupé.
ADAMUS :
Ouais bien. Merci.
LINDA :
Je vous remercie.
ADAMUS :
Un virus.
Au
suivant. 2014. Nous y sommes à peine entrés depuis quelques jours.
LINDA :
Allez-y jeune fille.
SHAUMBRA
1 (jeune fille) : Je crois qu’elle a bien démarré. Je veux dire…
ADAMUS :
Bien est l'un de ces mots. Qu'est-ce que ça signifie « bien »? (elle
rit) Des problèmes ?
SHAUMBRA
1 : Non
ADAMUS :
Non. Quelque chose d'excitant ?
SHAUMBRA
1 : Le fait de vivre au jour le jour, je crois.
ADAMUS :
Ouais. Quel est le plus beau jour que tu
aies eu jusqu'à maintenant ?
SHAUMBRA
1 : Mmmm, celui d’être juste capable de savoir…
ADAMUS :
Celui d’être ici. Je vais répondre pour toi. Celui d’être ici ! C'est le
plus beau jour. Ça ne peut pas être mieux, non ? (ils rient)
SHAUMBRA
1 : D'accord. Ouais.
ADAMUS :
Désolé de répondre à ta place. Ouais. Autre chose à propos de l'année ? Ta
maman été gentille avec toi ?
SHAUMBRA
1 : Bien sûr… ? (ils rient)
LINDA :
Oooh !
ADAMUS :
Je voulais dire, tu as été gentille avec ta maman, n’est-ce pas ?
SHAUMBRA
1 : Ouais.
ADAMUS :
Mm. Ouais. Quelque chose de particulier s’est passé ces dix derniers
jours ?
SHAUMBRA
1 : Umm. Pas vraiment. Je suis juste… Je suis vraiment excitée à
l’idée de découvrir qui je suis
vraiment.
ADAMUS :
C'est une chose excitante.
SHAUMBRA
1 : Ouais.
ADAMUS :
Absolument. Les mots de la sagesse sortant de la bouche des enfants. Jolis
petits bébés. Merci.
SHAUMBRA
1 : Je vous remercie.
ADAMUS :
Je vous remercie.
LINDA :
Je vous remercie.
ADAMUS :
2014. Que se passe-t-il Bonnie ? Hm.
BONNIE :
Hm.
ADAMUS :
Hmm.
BONNIE :
Eh bien, j’ai juste eu un petit accident.
ADAMUS :
Mm hmm. Petit.
BONNIE :
Un petit accident.
ADAMUS :
Ouais.
BONNIE :
Une nouvelle expérience.
ADAMUS :
Comment est-ce arrivé ? Ne nous donnez pas
tous les détails, mais qu’avez-vous fait pour provoquer un
accident ?
BONNIE :
Quelque chose que je n'aurais pas dû faire, mais…
ADAMUS :
Eh bien, c'est généralement ce qui en est la cause!
BONNIE :
J’ai voulu atteindre / attraper quelque chose. Trop haut.
ADAMUS :
Atteindre quelque chose trop haut.
LINDA :
Ohhhh.
ADAMUS :
Intéressant. Et que s’est-il passé ?
BONNIE :
je suis tombée.
ADAMUS :
Ouais. Quelque chose en dessous de vous
a glissé ?
BONNIE :
Ouais, ce — eh bien, l’étagère que je maintenais.
ADAMUS :
Cela vous a-t-il assommée ?
BONNIE :
Non
ADAMUS :
J’aurais bien aimé. (elle sursaute) Non, mais vous êtes imprégnée de beaucoup
d'énergies. Oh, non ! C'est une bonne chose ! (Adamus rit) Oui, et
maintenant il se peut que nous devions essayer de nouveau (de vous assommer). (rires et certains dans l’assistance disent
« Ohhh ! » )
LINDA :
Owww !
ADAMUS :
Oh, ce n'est pas grave !
LINDA :
Owwww !
ADAMUS :
Et comment vous sentez-vous maintenant ?
BONNIE :
Très bien.
ADAMUS :
Étiez-vous en colère contre vous-même ?
BONNIE :
Oui. Et très…
ADAMUS :
Absolument.
BONNIE :
… très gênée.
ADAMUS :
Pourquoi ? Je ne comprends pas pourquoi ? Au passage, j’étais là
quand tout cela est arrivé.
BONNIE :
(rires) Vous étiez là ?!
ADAMUS :
Oui. J'ai essayé de vous atteindre, de
vous tendre la main, mais ma main est passée à travers vous.
BONNIE :
Uh huh ! (elle rit)
ADAMUS :
Pourquoi étiez-vous en colère contre vous-même ?
BONNIE :
Hum, eh bien tout simplement parce que je me suis mise dans cette mauvaise
situation. J'étais dans un piètre état, et mes lunettes ont été abimées. Et
c’était… Je me suis mise moi-même dans cet état.
ADAMUS :
Pourquoi ?
BONNIE :
(elle rit) Comment le saurais-je ?
ADAMUS
(et l’assistance) : Ohhhhh.
LINDA :
Ohhh ! Elle n'a pas dit : « Je ne sais pas », elle a dit « Comment le saurais-je ! »
ADAMUS :
C'est vrai… public ? Est-ce qu’on la fait rester ? Ou on la fait
partir ? On la fait… (le public dit
« rester » ) Bon, ils vous aiment Bonnie.
BONNIE :
Oh merci. Merci.
ADAMUS :
Même si vous ne vous aimez pas, eux ils vous aiment. Ouais. Pourquoi ? (il
chuchote) Ils rachètent / se font pardonner quelque chose (quelques rires) Je
vais faire une pause là-dessus. Arrêtons tout.
Si
vous ne savez pas quoi faire, faites simplement semblant, faites comme si.
Vraiment. Ce sont des mots de maitre. La maîtrise absolue. Si vous n'êtes pas
sûr de ce qu'il faut dire ou faire ou penser ou comment agir, faites comme si,
parce qu'il n'y a vraiment pas de faux-semblant. C'est juste quelque chose qui
vient de l'intérieur de vous. Mais si vous dites : « Eh bien, je ne
sais pas. Je ne suis pas sûr de ce qu'il faut faire » votre énergie est
bloquée. Vous vous mettez à plat. Faites
semblant ! Inventez quelque chose. Mentez-moi, parce qu’en réalité vous ne
le pouvez pas.
BONNIE :
Eh bien, ça m'a aidée à comprendre que j’ai besoin d’acheter une nouvelle paire
de lunettes afin d’en avoir une de
secours / rechange.
ADAMUS :
Bien sûr. Bien sûr. Ouais. Peut-être y a-t-il quelque chose d'un peu plus
pertinent ? (Quelques rires)
BONNIE :
Vous avez dit que je pouvais inventer. (elle rit et Adamus rit)
ADAMUS :
Bonnie, c'est simple, et c’est simple pour vous tous. Concernant vos rêves, les
choses qui arrivent, il suffit de prendre une profonde respiration — soyez
stupides, soyez simples, n’essayez pas d’aller dans le mental — c'est
vraiment simple. Vous essayiez d’atteindre, d’attraper quelque chose ;
vous êtes tombée. Vous découvrirez un peu plus tard aujourd'hui ce que cela
signifie. Vous essayiez d’atteindre quelque chose ; vous êtes tombée. Il y
a une peur en vous — « Qu'est-ce
qu’il va se passer si je manque d’atteindre ce quelque chose ? Oh !
Je vais tomber. Je vais briser mes foutues lunettes, et me blesser le
visage », qui guérira, soit dit en
passant. Alors tout va bien ! Tout va bien.
Alors
que faire ? Remonter sur ce cheval une fois encore. Essayer d’atteindre ce
quelque chose à nouveau. Qu’est-ce que ça peut faire si vous tombez. Vous achèterez
une nouvelle paire de lunettes, parce que vous finirez par dire :
« Toute cette histoire de chute est vraiment stupide. Je vais y arriver et
ça va fonctionner, je vais réussir ». C'est aussi simple que cela. Aussi
simple que cela.
BONNIE :
Merci. C'est beau.
ADAMUS :
N’est-il pas ?
BONNIE :
Oui ! Merci.
ADAMUS :
Ouais. Ouais. La prochaine fois mentez-moi. Inventez quelque chose et nous
ferons circuler l'énergie.
BONNIE :
Très bien.
ADAMUS :
Bon. Merci.
Au
suivant. Oh, et c'est un point très important. C'est une de ces choses,
inscrivez-la sur votre feuille de papier — Outils pour 2014. Si vous n'êtes pas
sûr de ce qu'il faut faire ou dire, faites semblant, faites comme si.
(quelqu'un dit « Jusqu'à ce que vous y arriviez! » ) Faites semblant,
faites comme si, jusqu’à ce que vous y arriviez. Ouais. Absolument. Faites
comme si. « Atteindre (son but) et réussir» (à Vili) Bon. Et puis mettez
cela en dessous que : « A manqué d’atteindre son but et est
tombée » mais cela ne va pas se reproduire. Vous verrez.
VILI :
Est-ce que j’écris juste « Je suis tombée » ?
ADAMUS :
Euh : « A manqué d’atteindre son but et est tombée » entre
parenthèses. Ouais. Bon. Au suivant.
ELIZABETH :
Moi.
ADAMUS :
Bonjour.
ELIZABETH :
Bonjour. 2014 a en fait réellement commencé pour moi fin 2013, j'ai réalisé la
valeur ou le point commun entre l'amour et la confiance. Ce n’était pas le bon
mot. Pas le « point commun » mais qu’ils sont une seule et même chose.
Et la raison en est qu’il y a de nombreuses années, j’étais dans un centre de
méditation orientale — désolée, Namaste — et j'ai passé un bon moment là-bas et
j'y ai vécu une année exceptionnelle. Mais ce que j’y ai appris, ce que j’ai
découvert — pas ce que j’ai découvert en pensée, mais ce que j’ai su (au plus profond de moi-même) —,
c'est que Dieu ne voulait pas que je manque de quoi que ce soit, et ça je l’ai
découvert.
ADAMUS :
Mm hmm.
ELIZABETH :
Et je créais des choses à droite, à gauche, et j'étais consciente du fait que
je créais déjà bien avant, vous savez, j'avais entendu ces choses
merveilleuses. Mais après ce moment, le temps a passé et alors j'ai commencé à
apprendre que Dieu était là (pointant son bras vers le haut) vous comprenez,
celui qui ne voulait pas que je sois dans le manque.
ADAMUS :
Oui. Oui.
ELIZABETH :
C'est là que réside la grande différence.
ADAMUS :
Ouais.
ELIZABETH :
Donc, j'ai fait confiance à Dieu. Qui ne fait pas confiance à
Dieu ? ! Il nous aime et nous l'aimons. Eh bien, il n'est pas là-haut
apparemment. (elle rit et il y a quelques rires de l'assistance)
ADAMUS :
Non, on avait oublié de vous le dire.
ELIZABETH :
Donc, c'est quelque chose auquel je n’adhère plus !
ADAMUS :
Ouais.
ELIZABETH :
Alors, sur mon chemin, quand je vis ces expériences impressionnantes qui me
font découvrir, pas à pas, que je peux me faire confiance pour me prendre en
charge moi-même, je constate que j'avais (dans
le temps) beaucoup plus confiance en ce mec (pointant le doigt vers le
haut) que je n’en ai en celui-ci (pointant vers son cœur)
ADAMUS :
Avez-vous déjà rencontré ce mec ?
ELIZABETH :
C'est une question intéressante, Adamus.
ADAMUS :
Ouais.
ELIZABETH :
Ce que j'ai réalisé — oui, je dirai ça —
c’est que c'était moi, à l'époque.
ADAMUS :
Ouais. Habillé comme un gars.
ELIZABETH :
Habillé comme un mec.
ADAMUS :
Ouais. Dieu est un travesti.
ELIZABETH :
Désirant que j’aie tout ce que je veux et me donnant tout ce que je veux.
ADAMUS :
Ouais.
ELIZABETH :
C’est là que réside l'ironie (le paradoxe).
ADAMUS :
Ouais !
ELIZABETH :
je comprends cela, mais pas de manière très évidente là. De toute évidence, je
comprends au niveau mental que c’était moi.
ADAMUS :
Ouais. Alors, où en sommes-nous à présent avec ça ?
ELIZABETH :
Nous en sommes à : « Je t'aime Elizabeth ». Oui, à peu près.
« Je t'aime Elizabeth ! (rires) Je te fais confiance
Elizabeth ! »
ADAMUS :
Ouais.
ELIZABETH :
Et des choses incroyables peuvent se produire tout le temps pour moi si je
reste calme et centrée.
ADAMUS :
Ouais.
ELIZABETH :
Mais je trouve cela fascinant que la confiance et l'amour que je ressentais à
l'époque sous un autre nom, et ce même être, tout cela essaie de se retrouver
dans cette profondeur aujourd'hui.
ADAMUS :
Excellent. Et Dieu devient personnel. Il n’est pas ce « Il » là-bas.
ELIZABETH :
Oui.
ADAMUS :
Vous savez, il y a eu une évolution (du
concept) de Dieu. Comme je l'ai déjà mentionné, en Atlantide il n'y avait
pas la conscience de Dieu. Aucun mot pour désigner cela, aucune discussion,
aucune église. Ce n'était même pas dans la conscience. C’était totalement
inconnu. Ce n’est que beaucoup, beaucoup plus tard que le concept de Dieu fut
introduit à propos de nombreux êtres, des êtres d’une force ou d’une puissance
supérieure, le dieu de l'air, du soleil, de la terre et toutes ces autres
choses ramenées ensuite dans un Dieu unique, mais à l’époque placé à
l’extérieur comme une sorte de type, et surtout placé à l'extérieur du soi.
Mais maintenant, c'est la période où quelques-uns, pas beaucoup, mais quelques
personnes commencent à comprendre que Dieu a toujours été là. Ouais.
ELIZABETH :
Oui.
ADAMUS :
Et que ce divin, cette âme du soi, est rempli d'amour et de compassion et
d'acceptation et aimerait pour l’amour de lui-même que son expression humaine
ait l’abondance, la joie et tout le reste. Mais en quelque sorte, il s’en fiche
aussi si l’humain ne choisit pas cela.
ELIZABETH :
OK.
ADAMUS :
Parce que pour l'âme, c'est juste une grande expérience. C'est juste une
expérience magnifique. La mort n’existe vraiment pas. Il n'y a pas de finitude. C'est juste un gros
« Wow » cosmique. Regardez, le côté humain lui, se fait du
souci. L'humain est enveloppé là-dedans.
ELIZABETH :
D’accord.
ADAMUS :
Mais imaginez maintenant si cette âme, ce Dieu qui était là-bas, à l’extérieur,
à présent faisait doucement son chemin de retour à la maison, à la manière d’un
« Laissons-nous juste aller à cette danse ensemble, maintenant ».
Ouais. Vous menez la danse. (Adamus rit)
ELIZABETH :
Je suis prête.
ADAMUS :
Bien. Absolument. Merci.
Alors,
comment allons-nous résumer cela ? Intégration. Quel serait votre mot pour
désigner cela ?
ELIZABETH :
Je pense à intégration…
ADAMUS :
Intégration.
ELIZABETH :
… du Dieu en soi peut-être.
ADAMUS :
Dieu en soi. Ouais.
ELIZABETH :
Vous pouvez utiliser ce mot.
ADAMUS :
Que pensez-vous de « Je suis ».
ELIZABETH :
Je Suis ce que Je Suis. Merci.
ADAMUS :
J’adore ça. Wow.
VILI
: « Je Suis ce que Je Suis ? »
ADAMUS :
Je Suis ce que Je Suis. Oui.
MICHELLE :
2014 ! Yay !
ADAMUS :
Yay ! Yay ! De nombreux changements.
MICHELLE :
Du changement, de l’appréhension, du lâcher prise sur les choses, comme les
choses matérielles. Lâcher prise sur la peur.
ADAMUS :
Ouais. Comment ça a été émotionnellement, énergétiquement pour vous ?
MICHELLE :
Epuisant.
ADAMUS :
Ouais. Pourquoi ?
MICHELLE :
A cause de l'inconnu.
ADAMUS :
C'est ça.
MICHELLE :
Et de tout le monde qui parle de 2014. Il y a beaucoup de négativité par
rapport à ça.
ADAMUS :
Oui !
MICHELLE :
Donc, je suis impatiente de voir ce qu’il va se passer le week-end prochain (en
référence à l'événement ProGnost)
ADAMUS :
Ouais. Bien. Oh, il y a beaucoup de négativité. (Quelques rires) mais également
du point de vue de « Qu'est-ce qu’il se passe dans le monde ? Oh,
qu’est-ce qu’il se passe dans le monde ? » Absolument. Ouais, bien.
Tout ira bien pour vous dans votre propre remue-ménage.
MICHELLE :
Je vous remercie.
ADAMUS :
Et ensuite bougez, remuez-vous à nouveau. (quelques rires) Oui.
LULU :
Salut. J’entre dans cet espace de paix, très paisible, et alors je peux me ressentir moi-même à l’intérieur de moi,
comme en étant en train de m’embrasser moi-même à l’intérieur de moi, et c'est
difficile à expliquer. Je ressens juste ce qu’il se passe l’intérieur. Et puis
la nuit, je continue de me réveiller à 3 heures du matin et à faire des
cauchemars. Et des amis, des membres de ma famille sont morts.
ADAMUS :
Mm hmm. (à Vili) Pourriez-vous noter quelques-uns de ces points -là ?
Voyons, à partir du point précédent, nous allons juste noter « bouger et
relâcher ». Bouger et relâcher. Ouais. Ici, nous avons un sentiment de
quiétude, mais en même temps des cauchemars.
LULU :
Des cauchemars.
ADAMUS :
Qu'est-ce qu’il se passe avec ça ? Pourquoi ?
LULU :
Mais je n’ai même… et puis je pense que cela ne m’appartient pas, parce que je
puise dans la conscience de quelqu'un
d'autre, parce que je veux dire…
ADAMUS :
Donc ces gens ont des cauchemars à propos de vous ?
LULU :
… Je n'ai jamais pensé à ça. Ouais, je suis un tueur en série. (ils ricanent)
Oui, mais le centre — je dois me centrer. Non, je dois vraiment le faire. Je
choisis de le faire.
ADAMUS :
Oui.
LULU :
En raison de mon…
ADAMUS :
Comment va votre façon de penser par rapport à vos ressentis ?
LULU :
Ç’est devenu plus fort que…
ADAMUS :
Les pensées sont devenues plus fortes ?
LULU :
C’est devenu plus fort que l'année précédente.
ADAMUS :
Pourquoi ?
LULU :
Oui. Peut-être à cause de ce qu’il se passe chez des membres de ma famille et
de beaucoup de choses qu’ils peuvent dire, comme quoi si c’était le destin… ou
des choses comme ça. Il y a quelque chose de drôle. Mon frère est décédé en
septembre et nous avons cet autre ami proche, qui est mort exactement à la même
date —leurs anniversaires étaient exactement le même jour — et il est décédé
juste le 26. J'ai commencé à faire de la numérologie, et en additionnant leurs
chiffres, ils ont tous les deux le même
chiffre. Et puis le jour où ils sont morts, l’addition de leurs chiffres
donnent aussi le même chiffre.
ADAMUS :
Mm hmm.
LULU :
Alors… et je dois être entourée de…
ADAMUS :
Pourrais-je… pourrais-je vous donner un truc ?
LULU :
Bien sûr.
ADAMUS :
… à vous tous, un truc pour cette année ? Cela ne va pas avoir de sens.
Absolument rien n’aura de sens. Que ce soit vos rêves ou ce qu’il va se passer dans le monde, vos pensées ou quoi
que ce soit, cela ne va pas avoir de sens. Alors lâchez prise maintenant.
LULU :
Lâchez prise.
ADAMUS :
Arrêtez d'essayer de donner du sens à cela.
LULU :
D’accord.
ADAMUS :
Et ce que vous découvrirez en faisant cela, c’est qu’en quelque sorte les
pensées ralentissent un peu, mais les vraies réponses, la vraie connaissance
commence à émerger. Et c'est difficile à faire, parce que vous voulez penser,
analyser, disséquer, essayez de trouver si les numéros correspondent ou des
choses comme ça. Ce n'est pas pertinent. Ça n’a pas d’importance. C’est une
grande distraction. Sortez-vous de cette ornière. Épuisez-vous. Vous n’allez
pas donner de sens à cela, alors arrêtons d'essayer dès maintenant.
LULU :
Oui. Oui. ok.
ADAMUS :
Bien. Merci.
LULU :
Merci.
ADAMUS :
(à Vili) Alors, je dirais qu'il y avait du drame. Bon. Deux de plus.
TAR
(femme) : Adamus, vous avez dit le mot il y a une minute et je me rends
compte que c'est ce que je voulais dire. C'est le mot perspective.
ADAMUS :
Oui.
TAR :
Et je ne sais pas ce qu’il s'est passé. Ce n'était pas un événement. Mais aux
alentours du 2 ou 3 de cette année, tout d'un coup j'ai eu beaucoup d'argent.
ADAMUS :
Hm !
TAR :
Depuis que j’ai emménagé ici, il y a quelques mois, j'ai eu une baisse de
salaire — je suis enseignante — et, vous savez, aux environs du 2 ou 3 je n’ai
plus rien — loyer, voiture, yada, yada, yada — et comment vais-je vivre, vous
savez, avec juste quelques centaines de dollars ! Je ne sais pas si je
peux y arriver. Et je dois emprunter de l'argent de mes économies ou de ma,
vous savez, et je déteste faire cela. Et j'ai ce terrible sentiment de manque
et de comment vais-je y arriver.
ADAMUS :
Mm hmm.
TAR :
Et je ne sais pas ce qu’il s'est passé. J’ai le même montant d'argent et je
suis comme qui dirait : « Hey, OK. C'est beaucoup d'argent ».
ADAMUS :
Ouais.
TAR :
Et durant la dernière semaine, ça a seulement baissé de peut-être 40 ou 50
dollars.
ADAMUS :
Que pensez-vous qui a fait la différence ? Ou que ressentez-vous qui a
fait la différence ?
TAR :
(faisant une pause) Ma perspective. Je ne sais pas, comme je l'ai dit, que je
pensais à ça, que je le ressentais. Je viens de…
ADAMUS :
Votre perspective de quoi ?
TAR :
(faisant encore une pause encore) Du besoin
VS du vouloir.
ADAMUS :
Nous y arrivons
TAR :
De ce qui est suffisant.
ADAMUS : Mm hmm.
TAR : Ehhh.
ADAMUS :
Que diriez-vous de la perspective de la vie ? Juste de la vie. Et que
quelque chose a changé. Vous savez, vous avez vécu des bouleversements et des
changements et tout ça, et quelque chose a changé. Quelque chose en vous a
dit : « Ah ! Tu sais quoi, en fait, je veux vraiment
vivre ». Et alors qu'est-ce qu’il se passe ? Alors, l'abondance est
là. Les gens vont juste mettre la main dans leur poche. (Adamus met la main
dans les poches de Cauldre) Il n'a pas d’argent aujourd'hui !
LINDA :
Ohhh ! Pauvre de vous !
ADAMUS :
Linda a tout pris, mais Linda vous en donnera un peu plus tard. Et ils vont
juste vous donner de l'argent. C'est la perspective de la vie. C'est le désir
d'être ici. C’est cela qui crée le changement, votre abondance crée le
changement. C’est très simple. Extrêmement simple.
TAR :
C'est aussi tout simplement excitant.
ADAMUS :
Ouais !
TAR :
C'est vraiment excitant.
ADAMUS :
Ouais. Et demandez à Linda un peu d'argent.
LINDA :
Je n'ai pas pris votre argent. Vous n'êtes pas organisé.
ADAMUS :
Ça n’a pas d’importance !
LINDA :
Vous n'êtes pas organisé.
ADAMUS :
Un de plus, et puis nous passerons à autre chose.
Mary
Sue : J'ai eu beaucoup d'énergie au cours des dernières semaines.
ADAMUS :
Bien.
MARY
SUE : Et je — Par exemple, je peux rester debout tard et me réveiller tôt, et je peux faire une sieste
ou deux, mais c'est le sentiment d’avoir beaucoup d'énergie. Et du côté de la
sensation, oh mon dieu. Les ressentis me traversent de manière énorme. Et donc, alors que les expériences
s’enchainent, par exemple, j'ai eu une dispute
avec un ami. Et bien, pendant que Linda surfait sur la vague jeudi, moi
j'étais en haut de la vague, à surfer avec les nuages…
LINDA :
Wow.
Mary
Sue : … avec cet ami avec qui j’avais une dispute. Et c'était vraiment
cool parce que je m’en fichais que nous soyons en conflit. Je ressentais comme
si, vous savez, nous sommes ici en train de nous réveiller ensemble. Alors
profitons simplement de la beauté de tout ceci.
ADAMUS :
Mm hmm.
MARY
SUE : Et malgré le fait qu’il y avait du vent, c’était quand même beau.
ADAMUS :
Ouais.
MARY
SUE : Et je pense ça pour beaucoup de choses qui arrivent, c’est très
marrant. (elle rit)
ADAMUS :
Ça l’est. Ça l’est
Mary
Sue : Je veux dire, vous savez, vous parlez d'embouteillage. Je veux dire,
comment les gens peuvent ne pas se réveiller et voir que…
ADAMUS :
Oh, ne m’en parlez pas, il y a un million de raisons à cela ! (rires)
MARY
SUE : Oui ! Et voir qu'ils obtiennent la même chose qu’avant.
ADAMUS :
Oui, absolument. Ouais. Bon. Nous avons donc de l'énergie là.
Mary
Sue : Oui.
ADAMUS :
Et il y a une abondance d'énergie, énorme, plus que jamais. Ne soyez pas pris
dans l’histoire du manque. Il y a plus d'énergie.
Et
la chose intéressante c’est que…, je vais dire que cette année va être l’année
où des choses inattendues vont arriver de tous les côtés à la fois. Ce n'est
pas ce qui est évident au premier abord qui va faire la différence. Ce sont
toutes les choses qui viendront d’on ne sait où, d’endroits bizarres et
étranges, d’endroits inattendus, que ce soit par exemple de l'argent dans votre
poche ou une opportunité.
Et
vous voyez, si vous réfléchissez à tout, si vous essayez de faire que les
choses aient un sens (de les contrôler),
vous risquez de manquer l’opportunité. Ou peut-être pas, mais d’y arriver avec
un peu plus d’effort. Ça va juste venir de là où on ne s’y attend pas.
De
la même façon, pour la planète, les choses qui vont — je vous remercie, au
passage ; je veux dire, ne restez pas debout — pour la planète, les choses
qui vont être pertubantes vont arriver de nulle part (par surprise). Tout le
monde attend avec anxiété : « Quelque chose va se passer aux Jeux
Olympiques, n’est-ce pas ? » L'attention du monde, le point de mire
du monde est rivé là. Probablement pas. Probablement que ce sera quelque part
ailleurs. Ça va venir de l'obscurité, pour ainsi dire, émerger d’endroits
inattendus.
Nous
avons donc ici une liste de différentes choses qui se passent, et il y a
beaucoup d'anxiété en ce moment. Il y a beaucoup d'énergie refoulée qui attend
d'être libérée. La dissolution des anciens modèles est une chose que vous allez
constater, même ici évidemment avec cette réunion (la réunion a été reportée d'une
semaine) La dissolution des anciens modèles. N’en faites pas une crise, parce
que c'est juste un réalignement de l'énergie. Voilà tout. Et l’énergie se
réaligne effectivement d’une manière dont vous n’auriez jamais pu prévoir dans
votre mental combien l’issue en est favorable.
Donc,
il y a d’abord de la panique : « Qu'est-ce qu’il se passe ?
Qu'est-ce qu’il arrive ? » Prenez une grande respiration, deux
grandes respirations et comprenez que c'est un réalignement et qu’il va vous
apporter des choses à travers des voies auxquelles vous n’auriez jamais pu
penser ou que vous n’auriez jamais pu imaginer. Et alors vous allez dire :
« Wow ! Cet Adamus est incroyable, impressionnant ! »
(Quelques rires) Et je vais alors savoir qu’en fait c’est vous qui l’êtes. Vous êtes impressionnants.
~
Pouvoir et liberté
Si
vous voulez résumer l'année, et plus réellement, la globalité des trois
prochaines années, regardez-là du point de vue de deux choses qui se passent
actuellement sur cette planète. Deux des éléments les plus importants sur cette
planète, peut-être même dans le cosmos tout entier, et ces éléments sont le
pouvoir et la liberté.
Nous
en avons déjà parlé, mais à présent, quand vous voyez quelque chose se passer
aux informations, regardez-le à partir de ce qu’il arrive au pouvoir. Qu'est-ce
qu’il arrive à la liberté dans votre propre vie, et j'en ai parlé aux Keahakers
récemment. Relâcher le pouvoir dans votre vie. Oh ! C'est déroutant et
effrayant — « Eh bien, comment pouvez-vous relâcher le
pouvoir ? » — Et la chose intéressante c’est que vous ne pouvez pas
en relâcher un tout petit peu tout en en gardant un peu. Vous le relâchez complètement
— le besoin de pouvoir.
Le
pouvoir est une illusion. Il n'existe pas vraiment ailleurs que dans un système
de croyance.
Le
pouvoir concerne l'accumulation, l’obtention d'énergie, la peur qu'il n'y ait
pas assez d'énergie pour vous. Le plus grand et le besoin humain numéro un
n'est pas la nourriture ou l'eau ou l'argent ou le sexe. C'est l'énergie.
L'énergie. Elle se manifeste alors sous ces différentes formes, mais le besoin
humain numéro un c’est d’acquérir de l'énergie. Les gens y parviennent par le
pouvoir. Ils pensent que pour y arriver ils doivent forcer, lutter, voler,
manipuler, accumuler ou quoi que ce soit d'autre. Imaginez que vous y parveniez
sans pouvoir.
Cela
semble effrayant parce que vous vivez dans un monde qui est rempli de pouvoir,
qui est rempli de gens qui jouent avec le pouvoir, qui ont utilisé le pouvoir
sur vous — le pouvoir mental, le pouvoir financier, le pouvoir physique sur
vous. Vous dites : « Comment puis-je fonctionner sans pouvoir ?
Je n'aurai pas de défenses contre ce monde fou parfois insensé ». Le fait
est que, sans pouvoir, on ne vous verra pas. Quand on joue le jeu du pouvoir,
tout ce qu’on voit, c'est le pouvoir. Lorsque vous relâchez le jeu du pouvoir
dans votre propre vie, vous devenez invisible aux autres. En d'autres termes,
ils vont voler quelqu'un d'autre, ils vont faire tous leurs trucs de pouvoir
avec quelqu’un d’autre. Vous êtes alors libre. Vous n'avez plus à jouer le jeu.
Ils ne vont plus venir vous chercher.
Cette
année concerne le pouvoir et la liberté, dans votre propre vie et dans le
monde.
Elle
va concerner le fait de vous donner à vous-même cette liberté qui est inhérente
à votre être, mais que vous avez recouverte de nombreuses couches, de
nombreuses problématiques, et des nombreuses autres choses qui vous ont éloigné
de cette liberté. La liberté semble quelque chose de merveilleux, mais c'est
une énorme responsabilité. Cela vous fait dire : « Oh, je vais être
libre » mais libre de quoi ? Eh bien, vous savez, la plupart du temps
vous pensez libre de payer les factures, libre d'avoir un patron, libre du
gouvernement. Mais la vraie liberté est à l’intérieur. Libre de votre passé.
Libre de vos croyances.
Les
croyances sont un peu comme le pouvoir. Elles sont une illusion. Elles sont
créées de toute pièce. Non pas qu'elles soient mauvaises — elles sont une
amusante boite à outils pour jouer avec — mais à un certain moment, elles
deviennent obsolètes. C'est la liberté hors des croyances, la liberté hors des
limitations. Et, encore une fois, alors que tout cela semble merveilleux, c'est
une énorme responsabilité. Beaucoup de gens à qui on donne le choix de la
liberté trouveront de nombreuses excuses pour ne pas l'accepter, ne pas la
prendre.
Ces
sujets sont, pour moi, les problématiques de 2014. Il va y avoir beaucoup,
beaucoup, beaucoup de choses qui vont se passer dans le monde. Revenez
toutefois aux raisons fondamentales de cela ; c'est le pouvoir et la
liberté.
~
Voyage vers la connaissance intérieure
Faisons
à présent une petite expérience. Je l'ai dit précédemment, quand je suis
arrivé, que vous savez déjà tout. Vous le savez vraiment. C’est juste que vous
ne savez pas que vous le savez. C’est déjà là.
Le
mental a du mal à embrasser cela et dit : « Mais je ne sais pas. Il y a des faits et des
chiffres qui disent… » Non, je parle de connaissance intérieure. Vous avez
déjà la connaissance intérieure, et c'est là. C’est là et c’est prêt à
transparaître à chaque fois que vous êtes vous-même.
Faisons
une expérience avec cela. Je vais demander de baisser la lumière. De mettre un
peu de musique pour une belle expérience un peu merhab, et peut-être de laisser
entrer un peu d'air frais par la porte du fond afin que nous n’étouffions pas
tous. (Quelques rires)
Bon,
prenez une bonne et profonde respiration. C'est un point important pour cette
année, pour n’importe quelle année.
(la
musique commence : « Time Lapse » de PremiumBeat. com)
La
connaissance intérieure est déjà là. Elle ne vient pas de moi. Elle ne vient
pas du Dieu dont Elizabeth parlait. Elle est déjà là. Elle ne se situe pas
nécessairement dans votre ventre, elle est dans votre instant présent. Elle est
dans votre présence Je Suis. Elle a la réponse à tout, même si vous faites
semblant.
Elle
sait où vous devez être au moment exact. Elle sait comment vous apporter la
quantité exacte d’énergie au moment exact. C'est la confiance et c’est
l'amour. Et, soit dit en passant, cette année, si vous avez du mal à vous aimer
— Je crois que ça représente un grand saut pour certains — au moins soyez bon
envers vous-même. Commencez par être bon envers vous.
~
Gentillesse
Certains
d'entre vous ont essayé de s’aimer. Vous avez trouvé que c'était assez
difficile. Que diriez-vous d'être juste gentil avec vous-même, en vous offrant
une journée de massage au spa. Hmm, ça a l’air plutôt bien. Ouais. Ou un bon
dîner où vous ne vous inquiéteriez pas au sujet des calories ou des glucides ou
de la teneur en sucre. Il crache ! Oh !
Ces régimes ! Ughh ! Oh.
Être
gentil avec vous-même là où vous ne l'êtes pas, en étant si critique et si
plein de jugement à l’égard de vous-même, avec ces « qu’est-ce qu’il se
serait passé si » et ces « ce que j'aurais dû faire ».
Être
gentil avec vous-même si vous tombez alors que vous voulez atteindre quelque
chose. Vous riez. Vous dites : « Quelle expérience » au lieu de
vous faire des reproches.
Être
gentil avec vous-même en sortant vous acheter quelque chose de beau. Je veux
dire de vraiment beau. Je veux dire de vraiment, vraiment beau. Ouais.
SART :
Une Mercedes.
ADAMUS :
Ouais. Bien sûr, une Mercedes. Quelque chose de beau. C’est cela être gentil
avec vous.
Maintenant,
votre mental va dire : « je suis stupide et je ne devrais pas
dépenser de l'argent ». Il crache ! Je crache
beaucoup de ce côté là. (quelques rires) Non, parce que quand vous êtes gentil
avec vous — vous vous achetez quelque chose sans culpabilité et sans même le
partager avec quiconque, vous l’achetez pour vous — et soudain, toute
l'abondance est là. C’est simple et incroyable.
Etre
gentil avec vous en faisant une migration de votre logiciel vers la version
supérieure, comme dirait la société moderne. Ne vous contentez pas de
l'appartement ou de la maison la moins chère. Ne vous contentez pas du moins.
Cauldre me dit d’aller chez Nordstrom, pas chez Walmart.
~
Connaissance intérieure
Alors
maintenant, commençons notre voyage. La connaissance intérieure est déjà là.
Elle ne va pas survenir d’une base mentale. En d'autres termes, vous êtes
habitué à ce picotement dans le cerveau quand vous pensez à quelque chose. Vous
déclenchez quelque chose dans votre cerveau. Vous pensez à l'avenir, à l'année
prochaine, au mois prochain même, et votre cerveau va travailler à essayer de
comprendre ce qu’il en sera. Oubliez ça. Vous allez entrer dans la connaissance
intérieure.
La
connaissance intérieure est la réponse qui est déjà là, la solution qui est
déjà là. Vous n'allez pas entendre une voix. Vous n'allez pas soudainement
faire de l'écriture automatique, et vous n'allez pas contacter vos guides
spirituels. Ils sont partis il y a longtemps. Ils ne pouvaient plus supporter
la pression. Ils sont partis. Ça va être vous.
Vous
n’allez pas avoir un néon qui va se mettre à clignoter dans votre mental. La
connaissance intérieure est très subtile, mais très équilibrée.
La
connaissance intérieure n’apparaît pas toujours quand vous pensez qu'elle
devrait apparaître. Elle se montre au moment exact, et vous savez juste
exactement quoi faire.
Quand
cette connaissance intérieure viendra, vous le ressentirez. N'en doutez pas.
Faites quelque chose. Bougez. Passez à l'action. Faites quelque chose.
~
Le voyage
Laissez-moi
vous donner un exemple de connaissance intérieure. Allons faire un petit
voyage. Allons en vacances. Oui, vous en vacances en solo. Vous rentrez chez
vous, vous faites vos bagages, choisissant des vêtements de votre garde-robe,
réalisant que vous n'avez pas acheté grand-chose depuis longtemps. Mais ce
n'est pas grave. Prenez ce que vous avez.
Oui,
des sous-vêtements. Vous n'aurez probablement pas besoin de déodorant, parce
que vous ne serez avec personne d’autre. Quelques shorts, tee-shirts. Vous n'en
avez pas besoin de beaucoup. Vous allez dans un endroit agréable, rien qu’avec
vous-même.
Quand
vous y pensez : « Oui, mais j’ai les enfants et mon mari et mon
travail » Et merde ! Oubliez-les. Hé, ils ne vous l'ont probablement
pas dit, mais ils veulent que vous partiez un petit moment.
Alors
faites vos valises. Yep, fermez-les bien serrées, et assurez-vous que vous avez
votre passeport. Et si vous n'avez pas de passeport, faites-en un dès
maintenant. Pfft ! Yo Soy El Punto. Faites-le. Faites-le dès maintenant.
Ouais, voyez. Le passeport est là. Oh, et regardez ça — les billets d'avion
sont là. Ouvrez-les. Je sais que vous n'utilisez plus de billets. Vous faites
tout sur Internet, mais jouez juste le jeu avec moi. Ouvrez les billets.
Incroyable ! Ce sont des billets de première classe offerts par Adamus.
Oui, pourquoi pas.
Oh,
et regardez — vous volez sur la Masters Airline (la Compagnie des Maîtres).
Vous ne saviez même pas qu’elle existait. Vous pensiez que vous auriez à faire
avec United. Non. C’est la Masters Airline. En première classe. Juste pour
vous.
Vous
prenez une limousine en direction de l'aéroport, et pas un de ces taxis avec
huit autres personnes entassées avec vous. Une limousine. Juste pour vous. Vous
regardez à l'avant de la limousine. Elle semble longue d’environ 300 mètres,
mais vous regardez et la fenêtre de verre juste derrière le conducteur se
baisse. Regardez ! C'est moi qui viens vous prendre pour l'aéroport.
Vous
arrivez à l'aéroport. Vous êtes en première classe, vous n'avez pas à faire la
queue. Allez-y sans attendre. Montez dans l'avion. Hein ! il n’y a
personne d'autre. C’est juste pour vous.
Bien
sûr, la porte du cockpit s'ouvre et une tête jette un coup d’œil à l’extérieur
du cockpit, et regardez c'est moi et Kuthumi ! Oh, vous êtes en sécurité.
(quelques rires) En quelque sorte. (Adamus rit)
Prenez
une bonne et profonde respiration et mettons-nous en route. Décollons pour des
régions inconnues, semblables à nul endroit sur Terre, mais pourtant chaudes et
ensoleillées, avec des plages, des palmiers, des margaritas et des ‘mai tais’.
Nous
y arrivons — il y a un beau, très beau bungalow juste pour vous. Il fait
presque la taille d'une ville. Mais nous disons que c’est un bungalow. C'est
décontracté. C’est simple. Il y a des gens là-bas qui attendent de vous servir,
vous voyez, parce que le Maître permet aux autres de le servir. Il permet aux
énergies de le servir.
Ils
sont là prenant soin de tout, avant même que vous ne sachiez que vous en avez
besoin, que ce soit juste un verre d'eau, un repas, du papier toilette
supplémentaire, ou quoi que ce soit. Ils savent ce dont vous avez besoin avant
même que vous ne vous en rendiez compte.
Et
vous vous asseyez pendant un moment, juste à regarder la beauté de l'océan, ce
lieu magnifique où vous êtes en vacances, c'est un de ces moments wow. « Wow ».
Pas de culpabilité. Pas de soucis. Juste wow.
C'est
ce que la vie devrait être. Absolument, à cent pour cent, sans compromis sur ce
que la vie devrait être, parce qu’ici vous êtes assis au paradis. Tout est là.
Tout est là, et vous vous sentez en paix avec vous-même. Enfin, enfin, vous
ressentez que vous le méritez. Vous le méritez. Ça n’est pas venu aux dépens de
quelqu'un d'autre. Vous le méritez.
Vous
aviez besoin de régénérer votre corps. Vous aviez besoin de sortir de cette
frénétique et folle énergie de la Terre pour quelque temps. Vous n'avez rien à
faire pendant ces vacances. Vous n'avez pas à essayer de vous réunir ou à faire
certains régimes ou à méditer ou quoi que ce soit. Vous devez juste profiter de
tout ce que vous voulez.
Vous
faites une longue grasse matinée, parce que c’est si bon de ressentir cette
brise chaude arrivant de la fenêtre ouverte. Vous vous levez, faites une
promenade sur la plage, mangez un morceau de pain — un pain tout chaud sorti du
four avec beaucoup de beurre et de la confiture. Vous prenez quelques tasses de
café en plus sans vous préoccuper de cela. Oh ! C'est ce que la vie est
censée être.
Vous
entrez dans le village. Tout le monde est gentil avec vous. On vous traite avec
honneur et respect. Hm. C’est la première fois que ça arrive depuis un moment.
Vous réalisez soudainement que vous voulez de nouveaux vêtements, et vous les
achetez, sans vous soucier de savoir d’où l'argent va provenir.
La
nuit tombée, vous allez à une fête. Vous avez été invité par des gens du coin,
et vous vous amusez. Vous vous sentez à l'aise et accompli. Vous dansez. Vous
buvez. Vous mangez. Vous riez. Vous racontez des blagues. Les gens se
rassemblent autour de vous. Ils sont souriants et ils viennent à vous avec
leurs problèmes et leurs conneries. Ils aiment juste être avec vous.
Vous
faites une belle et plaisante promenade de retour, à la fin de la nuit, dans
l'air chaud tropical. Vous n’êtes même pas soucieux — est-ce que quelqu'un va
jaillir d’une rue latérale et vous agresser ? Pas du tout, parce que vous
êtes en sécurité.
Vous
rentrez chez vous, vous vous allongez et entrez dans le plus beau des rêves, un
rêve de Je Suis. Pas un rêve de chasse, de combat ou de guerres, pas un rêve de
regrets ou de remords et de il ne faut pas que j’oublie la combinaison du
verrou de mon casier au lycée. Juste un beau rêve paisible de Je Suis.
Soudain,
vous vous réveillez de ce rêve et vous réalisez que ce n'est pas du tout un
rêve. Pas du tout. Ce Je Suis est la réalité. Vous réalisez que tout le reste
était un rêve. Tout le reste avec ces luttes, tout le reste avec cette vie
limitée — le pouvoir et la lutte et la pensée — ça, ça c’était l'illusion. Ce
rêve du Je Suis est ce qui est réel.
Vous
avez ce moment inspirant. Vous vous précipitez pour trouver un stylo et du
papier. Vous n'en aviez pas apporté avec vous, mais tout à coup c’est juste là.
Dans le premier tiroir où vous regardez, et vous commencez à coucher par écrit
votre moment d'inspiration sur ce rêve qui est réel, ce rêve du Je Suis, cette
connaissance intérieure, et tout ce qui est là au bon moment, l’existence sans
le pouvoir, la force ou la lutte, une vie à s'aimer soi-même, une vie
d'abondance et une vie de réponses, pas de questions. Une vie de joie et de
liberté, pas une vie pleine de limitations.
Vous
écrivez et vous écrivez et vous écrivez, le tout à la main. Pas sur un
ordinateur, mais à la main. Vous écrivez au sujet de la simplicité, de tout ce
qui est juste là. Vous écrivez au sujet de la connexion avec le Je Suis, le
fait que ce n'est pas une discussion philosophique. Ce n'est pas un concept. Ce
n'est pas un jargon new age. C’est réel. C’est là. C'est vous. Toujours vous.
Vous
écrivez pendant ce qui semble être des jours, mais sans stress ou effort. Les
mots coulent sur le papier. Il y a une telle joie à écrire cela, tout en
restant connecté à cela.
Et
après quelques jours, c’est fait. C’est fini. Vous signez : « Je suis
ce que je suis ». Vous prenez une profonde respiration. Il est temps de
rentrer maintenant dans quelques jours. Il est temps de rentrer.
Alors
vous prenez votre manuscrit, votre manuscrit écrit à la main, vous le descendez
au bureau de poste. Vous vous l’adressez à vous-même et vous le déposez au
courrier. Vous vous le renvoyez à vous-même.
Vous
prenez une bonne et profonde respiration et profitez de vos quelques jours
restants au paradis, juste à respirer, juste à faire ce que vous voulez faire.
Après
quelques jours, il est temps de rentrer à la maison, de reprendre votre avion
privé, reprendre la limousine qui vous ramène chez vous. Vous rentrez à la
maison et bien sûr votre colis postal est là à vous attendre.
Vous
entrez à l'intérieur. Vous réalisez que vous êtes de retour dans ce vieux monde
— votre maison, avec cette penderie, ce placard sans trop de vêtements dedans,
et certaines choses brisées dans la maison.
Pendant
un instant, vous ressentez un peu de désespoir, d'anxiété. « Oh, de retour
dans ce vieux monde ». Alors vous vous rappelez ce paquet, votre
manuscrit, et vous l'ouvrez et vous commencez à lire. Tout est là. Tout est
bien là, toute cette sagesse que vous vous êtes écrit à vous-même, et vous
souriez en sachant que c'est tout ce dont vous avez besoin. Tout est bien là.
Toute
la connaissance intérieure, toutes les réponses, les solutions, ce ne sont pas
des mantras. Ce ne sont pas des affirmations. C’est la vérité que vous avez
écrite.
Vous
prenez une bonne et profonde respiration et vous réalisez que vous n'aurez
jamais plus besoin de rien. Tout est bien là. Vous le savez déjà.
Prenons
une bonne et profonde respiration.
Donc
j'ai utilisé cet exemple de faire un petit voyage, de s’écrire à soi-même. Eh
bien, vous avez déjà fait cela dans un sens. Le Je Suis, l'âme — nous pouvons
rallumer les lumières — le Je Suis, l'âme l’a déjà fait. Vous avez fait cela.
J’en
ai parlé précédemment là où je disais que c'est comme — c'est cet Effet Merlin.
Comme si vous disiez que nous allons être enfumés ici. (Adamus rit et tousse
alors qu’un peu de fumée sort de la cheminée) Si nous pouvions s'il vous plaît
avoir un peu d'air frais. (il tousse encore)
C'est
comme l'effet Merlin. Je pense que nous aurons besoin d'ouvrir la porte de ce
côté-ci. C'est déjà là, et ne l’appelons pas le futur, comme si on disait
demain ou l’année prochaine. Disons simplement que c'est déjà là. Vous avez
déjà écrit ce manuscrit sur la vérité, sur toute la connaissance intérieure.
Tout ce que vous avez à faire est de prendre une profonde respiration et de
réaliser que c'est là.
J'ai
commencé aujourd'hui en disant que toute
la connaissance — vous l’avez déjà. Elle est déjà là. Vous ne pouvez pas
l’atteindre en y pensant. Vous ne pouvez pas dire : « A présent,
c’est quoi que je sais déjà ? » Vous dites seulement: « je le
sais déjà ». C'est aussi simple que cela. « Je le sais déjà » et
alors c'est là. Et alors, c'est là.
D'accord,
prenons une profonde respiration avec cela.
S'il
vous plaît, s’il vous plait, pour cette année, et pour tout le reste de votre
vie, souvenez-vous que c'est déjà là. Vous n'allez pas entendre une voix.
(Adamus sort le podium) Vous savez que nous devenons sérieux maintenant, Edith.
(quelques rires étouffés) Vous n'allez pas entendre une voix. Vous n'allez pas
— ne demandez pas à être foudroyé sur place. C'était valable il y a cent ans.
Ne demandez pas un signe. Je vais devoir … Vous aurez un signe, ce sera moi qui
vous botterai les fesses. (Quelques rires) Arrêtez de demander des
signes ! Et cessez d'utiliser des pendules. Cessez d'utiliser quoi que ce
soit d’extérieur à vous-même. C'est
clair ? (l’assistance est d'accord)
Vous
dites oui maintenant, mais… (il rit) Comment puis-je être plus clair que quand
je dis c'est déjà là. Ce n'est pas dans votre vésicule biliaire.
Ce n'est pas dans vos globes oculaires. C'est tout autour de vous et c'est à
l'intérieur de vous. C'est déjà là. Tant que les humains continueront d’essayer
de trouver des réponses à l’extérieur d'eux-mêmes, ils continueront à chercher
et à chercher et à être limités. A la minute où un Maître dit :
« C'est déjà là. Ha, ha, ha, ha, ha ! C'est déjà là » Alors
c'est le cas. C'est aussi simple que cela. Vous pouvez l'appeler – je me moque
que vous appeliez cela faire semblant, ou quoi que ce soit d’autre – c'est un
acte de conscience, et l'acte de conscience c’est que c’est déjà là.
Alors,
cela doit le devenir. C'est un principe universel. C'est, tout simplement.
C'est le Je Suis ce que je Suis, alors ça le devient. Et cela ne concerne pas
d’autres personnes. Ne le faites pas pour elles, et environ 90 % du problème
c’est que vous rendez la chose dépendante d’autres personnes ou vous essayez de
les embarquer dans toute votre expérience. Mais pour vous, c'est déjà là.
D'accord,
prenons une profonde respiration. Revenez vraiment à cela. Vous pourriez peut
être sauvegarder ce Merabh sur une vidéo, et... oui. Hm. Très bien.
Préparons-nous
pour le prochain morceau. Je voudrais un
petit café avec de la crème s'il vous plaît.
LINDA :
Avec plaisir.
ADAMUS :
Oui. Regardez, c'est déjà… (elle prend sa tasse remplie de soda ) Laissez cela aussi. Nous aurons les deux… les
deux, à la fois. Ça c’est pour Cauldre. Le café c’est pour moi. Cauldre boit
cette espèce de jus. Je bois du café. Bien. C'est déjà là. (il fait claquer ses
doigts)
LINDA :
Ça vient. Ça vient. (Adamus rit)
ADAMUS :
Okay. Prenons une bonne et profonde respiration, alors que nous nous dirigeons vers
la partie suivante de notre discussion. Est-ce que tout le monde est
confortable ? (acquiescement général)
EDITH :
Fermez juste la porte.
ADAMUS :
Un petit peu, un petit peu… Vous avez froid ?
EDITH :
Oui, j'ai le nez froid.
ADAMUS :
Vous avez le nez froid. David va vous le réchauffer. Quoi ? ! (Adamus
rit)
~
Comment cela finit-il ?
Le
mois dernier, nous avons parlé de comment cela se termine ? Comment cela finit-il ?
Hm. L'avez-vous ressenti ? Y a t'il de la confusion à ce sujet ?
Pour
Yeshua cela s'est fini sur la croix, et il y a beaucoup d'histoires sur ce qui
s'est réellement passé. Mais il a vraiment quitté son corps physique. Il n'est
pas mort pour vos péchés, parce que vous ne les aviez pas encore commis.
(quelques rires) Savait-il que vous alliez probablement les commettre ?
Oui. Mais… et s’il avait su, il serait mort beaucoup plus spectaculairement,
car il aurait su que vous alliez vraiment vers de mauvais péchés. Donc, il
n'est pas mort pour vos péchés. Il…
EDITH :
Le péché en tant que tel n'existe pas.
ADAMUS :
Le péché en tant que tel n'existe pas, c'est pourquoi il n'est pas mort pour
vos péchés. Mais par contre il est mort pour que vous reveniez, pour que vous
reveniez vous incarner sur Terre. Il est parti afin que vous puissiez revenir.
Ah. C'est mon opinion, mais je pense également que c'est le cas. Il est parti
afin que ceux qui deviendraient les nouveaux Maîtres puissent revenir.
Alors,
en un sens, vous pourriez dire que c’est la seconde venue du Christ, la
conscience du Christ, la seconde venue, l'incarnation — de sorte que vous et
vous et vous, eh bien, vous et vous et vous et vous (rires alors qu'il prétend
ignorer quelqu'un) puissiez vous réincarner, revenir. Revenir en ce moment très
précis, maintenant.
Donc
pour lui, cela a fini sur une croix, et il est réapparu énergiquement plus
tard. Il a ressuscité des morts, a réintégré son corps, mais il s'est présenté
énergétiquement juste pour rappeler aux Apôtres et pour rappeler à tous que la
mort n'existe vraiment pas. Tout continue.
Mais
quand j'ai posé la question : « Comment cela se termine t'il pour
vous » c'est comme si je vous disais : je pars. Je pars. Et vous
pouvez venir avec moi.
Nous
en sommes arrivés au point où il y a assez de conscience de l'illumination /
l’éveil, il y a assez de Shaumbras qui ont absolument permis à cela d'arriver
dans leur vie, assez d'entre vous qui ont dit : « Nous allons à la
prochaine étape », de sorte que je pars, je vais dans des strates
différentes, une dimension différente, pourrait-on dire.
Je
vous ai dit précédemment attendre / espérer ne serait-ce que cinq d'entre vous et
en fait il y en a eu deux ou trois. Mais ce qui a été encore plus
impressionnant, c'est la conscience dans laquelle chacun de vous est arrivé, au
point que c’est en train de se produire. Cette masse critique a été atteinte de
sorte que chacun d'entre nous, ou tous ceux qui le choisissent, peuvent aller à
cette prochaine étape. Donc, cela se termine. La partie éveil se termine. Nous
allons passer à la prochaine étape, et c'est la partie maîtrise. Cela semble
génial. C’est difficile dans un sens, mais oui, en fait, c’est génial.
Alors
je dis que cela se termine parce que nous n'allons pas parler des bases de
l'éveil. Je ne vais avoir aucune tolérance pour le doute / le manque de
confiance en soi ou la haine de soi.
Il
ne va y avoir aucune permission accordée à ce doute, qui est en fait de la
complaisance envers soi-même. Le doute, c’est de l’auto-complaisance poussée à
l’extrême. C'est un luxe humain et espérons-le, vous êtes au-delà de cela.
Nous
allons aller au-delà du doute. Nous allons aller au-delà du nettoyage. Nous
allons aller au-delà du barbotage de la pointe des orteils, à juste bricoler
avec l'éveil, et je demande à ceux qui veulent aller à cette prochaine étape de
se joindre à moi. Cela va concerner la maîtrise. La Maîtrise absolue.
Je
vais venir vers ceux qui vont y aller avec moi, je vais venir en tant que
Maître, mais je vais demander, attendre de vous que vous veniez en tant que
Maîtres également. En d'autres termes, il n’y aura pas de « je ne sais
pas ». Pas de victimes. Aucun vampirisme énergétique. Pas de pouvoir.
Alors,
mes chers amis, vous avez l’opportunité — et une fois encore, ce n'est pas
grave (si vous ne le faites pas), ce
n'est pas une question de nombre ou de quoi que ce soit d’autre — vous avez
l’opportunité de passer à l’étape suivante. Cela va être, je l'espère,
exaltant, d’un côté. Cela sera plus difficile. Je n'aurai plus aucune tolérance
pour ceux qui sont encore des victimes, pour ceux qui en sont encore à
penser à l'éveil. C'est la maîtrise ou
rien. La Maîtrise ou rien.
~
Êtes-vous prêts ?
Je
vais vous demander de prendre un instant pour ressentir cela. Êtes-vous prêts à
cela ? Cela n'a pas d'importance. Ce n’est pas grave. Vous aurez de
nombreuses autres opportunités avec d'autres groupes. Ce n'est pas grave si
vous dites : « Cela ne me semble pas être tout à fait le moment
maintenant. Je vais faire autre chose ». Je vous donnerai des noms, des
recommandations pour aller dans d'autres groupes. (quelques rires)
Ceci
est uniquement pour ceux qui sont vraiment prêts à cheminer dans cette vie en
tant que Maîtres, des Maîtres libres. Et c'est tout.
Donc,
nous allons faire quelque chose ici dans un instant. Nous allons agir dans ce
sens.
Je
vais demander à tout le monde de quitter la salle, excepté les quelques
personnes de l'équipe technique qui ont besoin de rester. Je vais demander à
tout le monde de sortir. Ensuite, si vous êtes prêt, si vous êtes d’accord pour
aller à l’étape suivante, si vous êtes prêt à laisser se terminer ce qui
appartient à l’ancien monde, si vous êtes prêt à laisser ce vieux voyage
humain, et l'éveil, et le nettoyage, et tout le reste, si vous êtes prêt
à continuer en tant que Maître, je vais vous demander de revenir en passant par
cette porte là. Sortez par cette porte ; revenez par cette porte.
Si
vous sentez que ce ne n'est pas pour vous pour le moment, c'est très bien. Dans
ce cas sautez juste dans votre voiture et partez. Ou si vous êtes monté avec
quelqu'un d'autre, alors vous devrez marcher. (rires)
Mais
c'est le moment. Il y a une telle beauté, une telle beauté dans cette masse
critique, ainsi que je la nomme, de consciences de Shaumbras, et on a récemment
attiré mon attention sur cela au Club des Maîtres Ascensionnés. J'étais là à
une soirée pour jouer à la roulette russe, l'un de mes jeux préférés. (rires)
Eh bien quoi, c’est sans conséquences (plus de rires) c'est juste amusant. Il y
a des conséquences pour vous, pas pour nous !
Et
l'un des maîtres ascensionnés a demandé : « Eh bien comment va ce
groupe de Shaumbras ? » Alors j'ai pensé que j’allais vraiment
vérifier. J’allais vraiment ressentir ce qu’il en était. Et avec Kuthumi et
Tobias et l'Archange Michel et Raphaël, nous sommes allés ressentir ce qu’il en
était.
Et
alors que nous ressentions chacun d'entre vous, cela nous a même surpris, nous
a réjouis — Où est cette entité appelée Shaumbra ? Où êtes-vous ? —
il y a une telle masse critique, une telle passion et un tel désir. Comme nous
l'avons dit, il ne s'agissait pas d’en trouver ne serait-ce que cinq, même si
deux ou trois y sont déjà parvenus, il s’agissait de savoir où vous en êtes.
C'est alors que j'ai dit : « Je pars. Je pars afin de pouvoir
travailler maintenant avec les Maîtres ».
Je
pensais que ce serait juste avec quelques-uns. Mais je pense que ce sera avec
un peu plus que cela.
Ce
sera difficile à certains moments, parce que vous ne serez pas en mesure de
revenir à certains de ces anciens jeux. Et je vais vous le rappeler, bien plus
qu'en ce moment-même. Ce sera difficile parce que je vais exiger que vous soyez
abondants. Il n’y aura pas d'excuses. Je vais exiger qu’il en soit de même pour
votre santé. Pas d'excuses. Plus de « je ne sais pas ». C'est un
moyen infaillible de se faire jeter dehors. Comme je l’ai dit, si vous ne savez
pas quoi faire, faites juste comme si. Faites comme si, parce que ce n'est
vraiment pas faire semblant.
~
Le choix
Alors
prenons une grande respiration. C'est un grand moment pour Shaumbra. Un grand
moment. (l’assistance répond par des acclamations et des applaudissements)
Maintenant,
nous allons faire cela sans parler. C'est l'occasion de sortir. Et c’est
symbolique de sortir des anciens chemins / anciennes ornières, de votre ancienne
vie, vos vieilles excuses, vos anciennes limitations et de revenir par cette
porte en tant que Maître, prêt à affronter 2014. Et croyez-moi, 2014 va avoir
besoin de quelques Maîtres. Revenez en tant que Maître. Nous partirons de là.
Bien.
Alors,
prenez une bonne et profonde respiration. Tout cela sans parler. Ne prenez pas
vos vestes. Ne faites rien. Ne mettez pas vos chaussures. Ne prenez rien avec
vous, juste ce que vous portez en ce moment. Ne parlez pas s'il vous plaît.
Nous allons demander à l'équipe technique de débarrasser le palier de porte
pour que les nouveaux Maîtres puissent le traverser.
Prenez
une bonne respiration. Que diriez-vous de mettre une belle musique ?
Revenez
quand vous avez terminé. Asseyez-vous où vous voulez tranquillement jusqu'à ce
que nous puissions voir qui va se joindre à nous. Merci.
Et
John, mettez la musique que vous avez jouée pendant la pause, s'il vous plaît.
Au moment de la pause.
(pause
alors que la musique commence pendant que les Shaumbras sortent par la porte,
la musique est « Kat Mix » de l'album « Sessions Des Rosiers EP
1 » par MNO)
Et
si vous écoutez chez vous, s'il vous plaît faites la même chose. Éloignez-vous
de votre ordinateur. Marchez à l'extérieur.
Dehors,
prenez un moment pour vous demander si vous êtes prêt pour cela ? Ce n'est
pas important. Il n'y a pas de bon ou de mauvais choix. Mais êtes-vous
prêt ? Et si vous l'êtes, revenez en tant que Maître.
(une
longue pause pendant que la file des Shaumbras rentre par l'autre porte)
~
Que va t'il se passer ensuite ?
Alors,
c'est incroyable de voir la
responsabilité que vous avez acceptée, que vous l'ayez réalisé ou non quand
vous êtes entrés par cette porte. (quelques rires alors qu'il fait une pause
car la porte a disparu derrière le rideau) C'est incroyable… oh, et c'est une
autre métaphore. Les portes apparaissent exactement quand vous en avez besoin.
Et elles disparaissent exactement de la même façon, quand vous en avez besoin.
C'est extraordinaire. Qui aurait dit qu’il y a une porte là ?
Vous
n’avez peut-être pas encore pris la mesure, en vous-mêmes, de la somme de
responsabilités que vous avez acceptées quand vous êtes entrés par la porte en
tant que Maîtres, mais c’est une énorme quantité de responsabilités. C'est bien
de voir un si grand nombre de sièges encore occupés. (Adamus rit un peu)
Tant
et si bien qu’à chacune et chacun d’entre vous qui est revenu par cette porte,
je voudrais faire cadeau d’un prix Adamus. (quelqu'un dit « Yay » )
Yay ! (Applaudissements) C'est le symbole de l'ascension. ça représente un
pique, qui est aussi symbole de
l'ascension. ça représente un coeur aussi, selon la façon dont vous le
regardez.
Alors,
chère Linda, avez-vous des prix Adamus aujourd'hui ?
LINDA :
Oh oui monsieur.
ADAMUS :
Je l'espère. Vous en donnez un à toute personne qui est revenue par cette
porte.
Maintenant,
pendant que Linda fait cela, laissez-moi vous expliquer comment cela va
fonctionner pour tous ceux qui écoutent en ligne.
Notre
chère Michelle va mettre en place une page Web dans la boutique du site du
Crimson Circle.* D’ici demain midi, ce sera en ligne, Maître Michelle. D’ici
demain midi, ce sera en ligne. Toute personne qui a accepté sa propre maîtrise,
toute personne qui veut venir avec nous, en laissant l’ancien monde se
terminer, pour entrer dans le nouveau, vous pouvez demander, vous pouvez vous
inscrire sur la boutique pour recevoir un — et un seul, c'est tout ce dont vous
avez besoin — un prix Adamus, le symbole de l'illumination et de l'ascension.
Il n’y aura absolument… écoutez
attentivement Linda et Michelle.
*
Clickhere
to request your Adamus Award before February 1, 2014
*
Cliquez ici pour demander votre prix Adamus avant le 1er Février, 2014
LINDA :
Je m’en fiche. Vous faites ce que vous voulez. (quelques rires) Vous êtes le Maître.
ADAMUS :
Il n’y aura absolument aucun frais pour cela. C'est mon cadeau pour vous. Il
n'y aura pas de frais de port, rien du tout.
LINDA :
Allez-y. Parlez-en à notre directeur commercial. Je n'ai aucun problème.
ADAMUS :
Juste un.
LINDA :
Je…
ADAMUS :
Juste un, s'il vous plaît.
LINDA :
Monsieur ?
ADAMUS :
Et c'est seulement pour ceux — s'il vous plaît, pas d'interruption — c'est
seulement pour ceux qui se sont acceptés en tant que Maîtres, qui sont prêts à
cheminer en tant que Maîtres et à prendre les responsabilités d’un Maître. Ce
n’est pas pour vous si vous en êtes encore à penser à l'éveil. Cela, ça s'est passé il y a
longtemps. Ceci, concerne l’étape suivante— une étape d'intensité, une étape de
beauté.
Donc
d'ici demain 12 janvier, midi heure de Denver, ce sera possible de le commander
sur le site. S'il vous plaît comptez trois à quatre semaines ou plus pour la
livraison, c’est Cauldre qui me le dit. Il n’y aura aucun frais. Aucun frais
d’aucune sorte.
LINDA :
Vous allez faire l'inventaire ?
ADAMUS :
Boom ! C’est fait ! Pfft ! (rires) Il est déjà là à vous
attendre.
Et
cela n'a pas d'importance l'endroit du monde où vous vivez. Vous avez jusqu'à
notre prochain Shoud, notre prochaine réunion, pour faire cela — commander
votre pin’s de l'illumination. Après cela, il n’y aura plus de pin’s gratuits.
Après cela, ils coûteront 2500 $ ou quelque chose comme ça. (quelques rires)
Ils seront très chers.
Cela
durera trente jours, et cela me dira qui
a décidé d’aller de l'avant, de bouger et d’avancer. Y en aura t-il 50 ? Y
en aura-t-il 100 ? Y en aura t-il 10 000 ? Je ne sais pas. Cela me
permettra de le dire… (certains disent « Vous l'avez dit ! » )
Je ne le sais pas encore. (l’assistance dit
« Ahh ! » ) Vous m'avez eu. Vous voulez que je sorte ?
(rires)
SART :
(en allant près du le podium) Je veux juste prendre votre place.
ADAMUS :
Allez-y. (Adamus rit) Attention, il y a du café là-dedans. (rires) Maître,
allez-y.
SART :
Allons de l'avant tous ensemble dans ce voyage. Tout le monde. Suis-je bien là?
LINDA :
Ouais, ouais ! Vraiment bien ! (elle tousse ; quelqu'un dit
« Superbe » )
ADAMUS :
Pas de commentaire.
SART :
Merci de nous avoir amenés dans tout ceci.
ADAMUS :
Absolument.
SART :
Merci pour votre aide tout ce temps.
ADAMUS :
Vous dites merci maintenant, mais… mais…
SART :
Je vous maudirai plus tard !
ADAMUS :
Ouais !
SART :
C'est très bien.
ADAMUS :
Non, en fait nous en avons fini avec ça. Nous en avons terminé avec nombre de
difficultés et de défis. Il va y avoir des moments où vous aurez besoin d'avoir
du temps pour vous-même. Je développerai ceci plus tard, mais vous aurez besoin
d'avoir trois jours par mois pour vous-même. Vous allez avoir à rééquilibrer le
corps et le mental et à les intégrer. Et je sais que vous allez commencer à
penser : « Comment vais-je pouvoir trouver une solution ? » Mais
le maître le fait, tout simplement. Ça se fait tout seul. Ça se fait tout seul.
C'est pourquoi nous avons fait le petit voyage que nous avons fait aujourd'hui.
Ainsi,
chers Shaumbra, nous allons voir combien vont écrire pour obtenir leur pin’s,
combien vont aller de l'avant vers la maîtrise. Je suis ravi de voir que
chacune et chacun d’entre vous assis ici porte son pin’s, ou tient son pin’s».
Et
pour moi personnellement, c'est un honneur, parce que nous avons commencé
ensemble en Septembre 2009 avec ce groupe de pirates spirituels, et je n'étais
pas sûr de savoir où je m'embarquais, et j’en suis encore moins sûr
maintenant ! Mais… (rires d'Adamus et quelques rires de l'auditoire) Mais
le fait que vous ayez cette détermination, cette — appelons-la cette passion,
ce maintenant ou jamais. « Je vais le faire dans cette vie ». C'est
vraiment une lumière qui brille. Et je suis prêt à aller de l'avant.
L'autre
chose, c’est que ça devenait parfois un peu monotone. (Linda lui donne un
pin’s) Merci. Maintenant, nous sommes prêts à aller de l'avant.
Alors,
comment cela finit-il ? Cela se termine comme cela. Cela se termine en
disant adieu aux anciennes méthodes, en disant même adieu à cet éveil humain,
et en devenant un Maître.
Alors
avec cela, mes chers amis, rappelez-vous que d'ici notre prochaine réunion, des
choses intéressantes vont se passer, et pendant qu’elles le feront n'oubliez
jamais que…
L’ASSISTANCE
ET ADAMUS : … tout est bien dans toute la création.
ADAMUS :
Merci et bénédictions Merci. Bénédictions. Merci. Merci. (applaudissements)