LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Découverte

SHOUD 4 : “Découverte 4” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 7 Décembre 2013
www.crimsoncircle.com

 

Je suis ce que je suis, Adamus du Domaine Souverain.

Bienvenue chers Shaumbra. Bienvenue en cette saison de vacances et de fêtes. (Quelqu'un lui tend un collier fait de guirlandes de Noël) Oh, ma chère. (l’assistance répond « Ahhh ! » lorsqu’il le met) Ahhh. Oui, un peu de couleurs, un peu de style. Oui.

Bienvenue, chers Shaumbra à ce rassemblement. La salle est remplie, beaucoup plus qu’elle ne l’a été ces derniers mois, et pas seulement avec des humains, mais des entités. Vous savez que je ne ramène pas souvent des invités à nos réunions. Ah. On me demande de temps en temps — on m’a demandé aujourd'hui en fait, ça m’a presque brisé le cœur quand on m'a demandé — « Où est Kuthumi ? » Ohhhh. Kuthumi sera là quand ce sera le moment.

Mais en attendant vous m'avez, moi, à chaque étape de votre chemin plein de fumier (plein d’obstacles). A chaque étape. (Quelques « Yays » et quelques applaudissements)

Ainsi, chers Shaumbra, oui, en effet, la salle est pleine. Nous accueillons des invités spéciaux avec nous aujourd'hui en raison de la période des vacances, mais aussi un phénomène intéressant, digne d'un prix Adamus, le premier, je l'espère, parmi de nombreux autres aujourd'hui, parce que Cauldre n'a plus d'argent (quelques rires étouffés) alors nous donnons des prix ringards, mais de grande valeur. De nombreux invités.


L’invité d’aujourd'hui

Et c'était intéressant quand le maître, David, ou David McMaster (signifiant LeMaitre), a fait son introduction, offrant son aide à la mise en place de l'énergie, car il a dit un nom qui a été entendu dans les autres dimensions — Nelson Mandela. Ça — l’émotion, le sentiment et la passion provenant de David, votre réaction à vous tous — a effectivement attiré Nelson Mandela ici. (Quelques applaudissements) Je ne sais pas combien de temps il va rester. Il est très occupé en ce moment. Mais, en effet, absolument, un prix Adamus pour David.

LINDA : Oh, pour David.

ADAMUS : Pour David.

LINDA : Pas pour Mandela.

ADAMUS : Pour David. (Quelques applaudissements)

LINDA : Pour David.

ADAMUS : Pour David.

En effet, vous pouvez imaginer, toute l'effusion de sentiments dans le monde entier, mais à partir d'ici, depuis le cœur de Shaumbraville, le sentiment a émané encore plus fort et il (Mandela) s’est arrêté  : « Qu'est-ce qu’il se passe avec les humains ? » a-t-il dit. « Je vais m’arrêter là » J'ai donc ouvert la porte moi-même personnellement. Il sera là pendant un petit moment.


Nelson Mandela

Intéressant. Qu'en est-il de Nelson Mandela ? Est-il un Shaumbra ?

Il ne savait pas ce qu’était un Shaumbra jusqu'à maintenant. Revenez dans la salle ! (Rires lorsqu’Adamus fait le geste d’ « attraper » Mr. Mandela et de le ramener) Il n’a jamais su. Il a un grand sens de l’humour. Un bon leader doit avoir le sens de l’humour. S'il vous plaît écrivez cela dans votre recueil de dictons d’Adamus. Il doit avoir un bon sens de l’humour.

Oh, le monde est un tel— reviens ici (sans doute à Mr. Mandela) —lieu éprouvant maintenant pour nous tous, pour vous tous. Vous devez avoir le sens de l’humour.

Vous devez être capables de rire de vous-mêmes et des autres oui. Oui. (Rires) Ou avec eux, devrais-je dire.

Alors, qu’en est-il de Nelson Mandela, qu'est-ce qui l’a amené là où il est ? Vous pourriez presque l’imaginer. Ressentez-le un instant avant que je ne donne ma réponse. Qu’est ce qui a créé en lui une telle passion, une telle conduite, une telle clarté et humanité ?

L’adversité. L’adversité, n’est-ce pas. L'adversité qui s’est enfoncée si profondément dans son cœur et dans son âme, l’obligeant à prendre de tels engagements envers lui-même — « Je ne serai plus jamais un marchand d’esclaves hollandais. Plus jamais un marchand d’esclaves ». En effet, il fut, dans le passé, dans une vie antérieure, cruel, brutal, (certains instruments vrombissent) sans-… sans égards… mentionnez ça dans la transcription. Quelque chose vrombit, vibre, et je ne suis pas sûr de ce que c’est.

LINDA : Vos poches sont vides ? (Elle rit et ça vrombit à nouveau)

ADAMUS : Le vibreur de quelqu'un est allumé. S'il vous plaît éteignez-le. Ce n'est pas très approprié. (Rires) Vous aurez plein de temps pour ça plus tard, mais pas maintenant. (Adamus rit) Larry était-ce le vôtre ? Larry a le sens de l’humour. Ha, ha, ha, ha, ha ! Ho, ho, ho, ho, ho ! Aargh.

Donc, Nelson Mandela, oui, était un marchand d’esclaves brutal, et comme beaucoup d'entre vous, il s’est soudain éveillé un jour de ses vies passées, comme vous de l'adversité de votre propre vie, et il s’est dit : « Qu'ai-je fait ? A quoi je pensais ?»

Etre capable de passer de cela, mes chers amis, de ce sentiment terrible de savoir que vous avez fait quelque chose qui a nui à quelqu’un aussi bien qu’à vous-même, ce sentiment méprisable de vous-même, ce sentiment d’être sans valeur comme si vous étiez juste en miettes. Jusqu’au moment où vous avez ressenti la présence d’un être puissant et magnifique, quelque chose comme un membre de la royauté, ou un grand patron, le grand balèze, la grande dame, la puissance et tout le reste, et tout à coup — tout à coup, vous avez fait face à votre propre âme qui ne vous voit pas vraiment de cette façon. Votre âme qui vous a dit : « Quel était le sens de cette vie là? »

Soudain, vous êtes tombé dans l’abîme, vous avez vu les fantômes de votre passé et de vous-même, et puis quoi ? Alors quoi ? Vous relever de ces profondeurs et des ténèbres, et puis quoi ?

Le pardon à vous-même. Le pardon à vous-même. Prendre une profonde inspiration et libérer toute cette culpabilité, toute cette honte. Ce n’est pas une chose facile à faire. Dire, ne pas dire simplement dans votre tête, mais dire : « Je me libère. Ces expériences ont été faites dans une conscience inférieure, à un moment de moindre conscience. Elles font partie de mes expériences et de celles de tous les autres ». Ce n'est pas une justification. C'est le pardon absolu. Ce n’est pas chercher à réparer quoi que ce soit dans votre mental. Il ne s’agit pas d’essayer d’édulcorer une situation. C'est dire : « Cher Dieu en moi-même, Je me pardonne et je pardonne à tous les autres » et en effet Nelson Mandela, malgré toute sa rage et la colère de son incarcération, et la torture qu’il a subie, a alors pardonné à ceux mêmes qui l’ont emprisonné, qui l’ont retenu, parce qu'il s'est rendu compte à bien des égards qu’ils le servaient.

Ils servaient sa culpabilité pour ce qu'il avait fait. Ils servaient son ouverture à une plus grande prise de conscience du Je Suis en lui-même et en chacun. Et dans le pardon des autres, il s’est vraiment libéré. Il a eu une telle profondeur et une telle compréhension et clarté à ce moment là, qu’il put alors être un leader. Pas un chef de file qui essayait d'acquérir le pouvoir, d’imposer de nouvelles règles, de s’imposer aux autres, mais un leader qui a dit — « Vous êtes libres aussi. Vous êtes libres ».

Il ne cherchait pas le feu des projecteurs. Il n'était pas intéressé par l’argent. Il avait ses, ce que vous appelleriez, ses défauts humains, des manies, bien sûr. Tant que vous vivrez sur cette planète, vous aurez ces particularités. Mais plus que tout, il avait compris ce qu’était sa propre liberté et l'a transmise aux autres.

Qu'est-ce qu'il va faire à partir de maintenant ? Traverser les dimensions ? Allez dans son Troisième Cercle ? Probablement pas. Probablement pas. Il y a trop de travail à faire sur cette planète en ce moment très important. Trop de gens ont besoin d'entendre les mots « Vous êtes libres !» Trop de gens ont besoin de sortir de leur propre état de victime.

Il ne va pas forcément travailler avec les méchants (l'agresseur), parce que l’agresseur, en un sens, ne fait que répondre à sa victime. Il a appris ça. Il va travailler avec les victimes, ceux qui disent : « Je ne peux pas faire cela parce que — en raison de ma couleur, à cause de mon éducation, à cause de mon handicap ou d'une invalidité, parce que… ». Ça c'est juste l'énergie de la victime. Une fois que vous réalisez ça, une fois que vous relâchez ça, vous êtes vraiment libres. Il n'y a rien, chère Edith, mon amour (il l'embrasse sur la joue) rien d'autre qui puisse vous retenir que d'être dans un bac à sable rempli de cette attitude de victime, de ce statut de victime.

Donc, ce cher Nelson Mandela ne va pas poursuivre les dirigeants du monde. Il ne va pas poursuivre les agresseurs, les dictateurs, ceux qui abusent de la puissance et de l’énergie. Il va aller tout droit poursuivre ceux qui jouent le rôle de victime, parce qu’une fois qu’elles auront dit : « Plus jamais ça » il ne pourra plus y avoir de tyrans. Il ne pourra plus y avoir d’esclavagistes. Dès que les humains disent : « Plus jamais ça », cela les libère et supprime l'illusion du pouvoir que tout type de dirigeants déséquilibrés pourraient avoir.

Prenons une profonde respiration avec cela, Shaumbra. Nous voici avec Nelson Mandela. Merci à David et à vous tous d’avoir appelé cette chère âme en ce jour.  Nous voici dans la salle de classe de la nouvelle énergie spirituelle.

 

Religion, Spiritualité & Shaumbra

Quelle est la différence entre religion et spiritualité ? (Quelques rires) C'est une question intéressante. C'est une question intéressante. Ouais.

La religion. La religion est généralement… en passant, je vais offenser certaines personnes — où est la caméra — je vais offenser certaines personnes aujourd’hui, et je le sais déjà, parce que je les offense tous les jours. (Rires) Je vais dire certaines choses aujourd'hui intentionnellement conçues pour — reste là caméra — vous agacer.

Vous agacer. Pour vous sortir de votre complaisance. Pour vous aider à aller profondément en vous. Ah, ne coupez pas Internet. Restez avec nous jusqu'à la fin. Il y a toujours une surprise dans cette boîte de Cracker Jacks. (Quelques rires)

Quelle est la différence entre religion et spiritualité ? La religion, ehh, est remplie de victimes. Remplie de gens qui ne veulent pas penser par eux-mêmes. Remplie de gens qui jouent à un jeu de puissance —des deux côtés de ce jeu — les membres et les dirigeants. Quelle est alors la différence entre la spiritualité et les Shaumbra ?

SART : C’est le jour et la nuit !!

ADAMUS : Le jour et la nuit. Bien, bien.

SART : Ouais !

ADAMUS : Donc tu les emmerdes, pas moi. (Rires)  Quelle est la différence principale entre ce que vous faites, pourquoi vous êtes ici sur cette planète en ce moment, par rapport à la foule spirituelle ?

SHAUMBRA 1 (femme) : La responsabilité.

ADAMUS : Parlez plus fort

SHAUMBRA 1 : La responsabilité.

ADAMUS : La responsabilité. Bon. Bon. C'est une bonne chose.

SHAUMBRA 2 (femme) : Juste être. Juste être.

ADAMUS : Juste être. C'est bien.

SHAUMBRA 3 (femme) : Être un modèle.

ADAMUS : Être un modèle. (quelques personnes donnent quelques réponses de plus) bien. De bonnes réponses. Génial.

MARTY (Mofo) : Faire chier les gens.

ADAMUS : Faire chier les gens, comme tu y vas Mofo, oui.

La plus grande différence, c'est je dirais dans l'esprit… il y a beaucoup de gens impliqués dans la spiritualité. Ils quittent la religion à un moment donné parce qu'ils se rendent compte qu'il y a beaucoup de restrictions. Ils se rendent compte qu’ils veulent penser par eux-mêmes. Il n’y a rien, absolument rien de mal avec la religion. Elle sert un objectif jusqu'à un certain point. La spiritualité. Les gens s'impliquent dans la spiritualité. Il y a des choses merveilleuses, des choses merveilleuses, parce qu'en quelque sorte ça, mmm, vous libère — partiellement — afin de commencer à explorer. Le mouvement new age, par exemple. Il n’a pas de bureau central. Il n'a pas de hiérarchie. Il est assez libre. Vraiment libre.

Mais dans la spiritualité, il s’agit beaucoup de recherche et de quête. Il s’agit beaucoup de tremper ses pieds dans l'eau pour tester la température, et ça peut conduire à beaucoup de makyo. Non pas que ça le fasse toujours, mais ça peut y conduire, parce que vous pouvez oublier les vrais désirs, la connaissance intérieure dont j'ai parlé le mois dernier. Vous pouvez oublier cela et vous retrouver embourbés dans, disons, de l'huile essentielle, et vous passerez des années et des années à traverser toutes ces huiles essentielles. La seule huile essentielle qui vaille vraiment le coup c’est votre propre sueur. (Quelques rires) Vous pouvez me citer là-dessus ! Hum. Et ce n'est pas qu'il y ait quoi que ce soit de mal avec les huiles essentielles, mais il y a une tendance à les mettre face à vous, et à dire : « Cette huile essentielle va ramener quelques souvenirs. Cette huile essentielle va déclencher ci ou provoquer ça ».  

C’est la même chose avec la prise de suppléments naturels, d’herbes. Rien de mal à cela, mais vous pouvez faire une overdose d’herbes (un herbicide). Vous pouvez (quelques rires étouffés à son bon mot) Je viens de l'inventer. Vous pouvez commencer à rendre le pouvoir aux herbes. Maintenant, les herbes ont une merveilleuse façon de résonner avec le corps, et le corps, provenant, il y a longtemps, bien longtemps, de l’époque des baleines et des dauphins et tout le reste… en parlant de ça, n'est-ce pas incroyable que les scientifiques commencent à comprendre la véritable corrélation entre les dauphins et les humains ?

LINDA : Oooooh !

ADAMUS : Eh bien, qui aurait pensé que vous étiez un poisson ?

LINDA : Les Poissons ! Bonjour !

ADAMUS : Mais beaucoup de ces remèdes aux herbes réveillent vraiment, rappellent quelque chose de profond dans le corps à propos de vies antérieures il y a des dizaines, centaines, milliers d’années quand c’était tout ce qu’il y avait. Il n’y avait pas de produits chimiques. Il n’y avait pas de médicaments tels que vous les connaissez aujourd’hui. Donc vous prenez un remède à base de plantes, et cela vous rappelle des choses vécues de très, très nombreuses vies auparavant. Ça déclenche une mémoire.  C'est merveilleux jusqu'à un certain point. Les choses étaient différentes à l'époque par rapport à maintenant. Le remède à base de plantes était particulièrement bon pour vous à l’époque, mais ça peut ne plus faire le même effet sur vous à présent.

Encore une fois, c’est merveilleux, mais facile de se laisser prendre dans certains rituels de groupes spirituels, du new age, certains livres, enseignements ou quoi que ce soit d'autre, qui peuvent conduire à beaucoup de makyo. Généralement, ceux sur le chemin spirituel sont toujours en recherche. Ils n'ont pas pris cet engagement. Pas dans tous les cas.

S'il vous plaît n’envoyez pas de courriels à Cauldre — il me dit de dire ça — mais il y a une différence marquée entre se tenir près de vous et être auprès d'une foule de types spirituels du new age. Une énorme différence.

Vous, mes chers amis, avez pris un engagement, et c’est l'illumination. Il ne s'agit pas… dans la spiritualité, il s’agit pour beaucoup d'essayer de rendre la vie humaine un peu plus confortable. Un peu plus confortable ou même parfois de simplement justifier certaines choses difficiles de la vie.

Mais vous, vous avez pris un engagement. Ça remonte à cette connaissance intérieure dont nous avons parlé, à quelque chose que vous avez ressenti au tréfonds de vous. Ce n'était rien qui ait été pratiqué. Ce n'était même rien auquel vous étiez préparés. C’est arrivé en premier. Probablement à cause d'une sorte d'adversité, probablement même parce que vous étiez juste fatigués de passer par la naissance-la mort, le cycle naissance — mort. Mais quelque chose en vous a déclenché cette connaissance.

Comme je l'ai dit lors de notre dernière rencontre, c'est donc cette chose qui vous a apporté les livres, vous a apporté les enseignements, vous a finalement portés ici à ces sièges. C'est l'illumination et l’engagement envers cette connaissance. Et, comme vous le savez probablement, elle est plus exigeante que le chemin spirituel. Beaucoup plus exigeante.

Le chemin spirituel, je dirais, est souvent conçu afin de rendre la vie un peu plus confortable. Le chemin Shaumbra est fondamentalement conçu pour redéfinir entièrement votre vie, avec votre corps, votre mental, votre esprit, votre relation à vous-même. Souvent, cela implique d’absolument fracasser et briser tous les concepts que vous aviez sur la vie, sur vous-même, sur le confort, le bonheur. Finalement, vous vous rendez compte que ces mots ont vraiment très peu ou pas de sens. En fait, dans l'illumination, la plupart de ces mots disparaissent tout simplement. Cela n'a rien à voir avec le bonheur. Vous ne trouvez pas vraiment de Maîtres Ascensionnés se promenant (il avance le podium) — nous sommes en difficulté maintenant Paul — se promenant… chaque fois que je sors ce podium, ça en devient une longue (promenade).

PAUL : Le chevalet est dangereux aussi.

ADAMUS : Le chevalet est très dangereux. Oui. Je ne vais pas le renverser —à moins que j’aie un café. (Rires) Mais le…

LINDA : Vouliez-vous un café ?

ADAMUS : Ah oui. Avec de la crème, et pas de sucre. Un peu de liqueur St. Germain… non (quelques rires)

Le chemin Shaumbra redéfinit littéralement la vie. Ce n'est pas une question de confort, comme vous l’avez découvert. Vous avez essayé. Vous avez essayé de vous rendre … (Linda lui tend une serviette) Oui, s'il vous plaît. Vous avez essayé de vous rendre la vie un peu plus confortable, et cela n'a pas fonctionné. Oh les relations. Elles ont été tout simplement réduites en miettes. Vos pensées, votre tout. Intéressant. Ehhh, difficile. Difficile. Mais vous laissez cela se produire. Je dois honorer, féliciter et remercier chacun et chacune d'entre vous qui êtes encore ici, parce que ce n'est pas facile, et vous le faites de manière si rapide. Parfois c’est un peu effrayant. C'est comme de conduire en descente et à grande vitesse sur cette autoroute 72 et sur la glace (Adamus rit) jusqu'au Club des Maîtres Ascensionnés. Nous faisons « Ohhh mon dieu !». Mais il s'agit de transcender tout ce que vous pensiez de vous-mêmes et de la vie. C’est extraordinaire, tout simplement extraordinaire.

Certains disent que je suis peut-être un peu difficile (rires quand il secoue la tête pour dire « non »), un peu désagréable (rires car il hoche la tête « oui » ) Ouais. Mais, chers amis, je sais combien cela est important pour vous, dans cette vie, pas dans la prochaine. Ah, rien que le fait d’y penser quand quelqu'un dit : « Eh bien, dans votre prochaine vie, quand vous serez passé par votre prochain processus de renaissance… » Ohhhh, non, non, non non. Vous le voulez maintenant. Donc, nous allons nous mettre la pression. Nous allons nous mettre la pression et nous aurons plaisir à le faire. Bien. (Linda apporte le café) Je vous remercie, ma chère.

LINDA : (chuchotant) Je vous en prie.

ADAMUS : Donc, amusons-nous. Oui. Le point sur lequel j’essaie d’appuyer, c'est que vous êtes différents. (Quelques rires et quelqu'un dit « Que voulez-vous dire ? ») Que voulez-vous dire ? Vous savez exactement ce que je veux dire. (Adamus rit). Vous êtes différents. Vous êtes différents de ce que vous étiez dans vos vies mêmes où vous étiez spirituels. Certainement très différents de vos vies où vous étiez religieux. Il y a une grande différence. Nous allons réellement ressentir cela dans un tout petit instant. Vous êtes très différents, et il faut beaucoup d’endurance, beaucoup de, euh… détermination n'est pas le mot juste.  J’y reviendrai plus tard. Je vous dirai exactement ce qu'il faut pour être sur ces sièges, pour être sur Internet et dire : « Cela concerne mon illumination ».

Ce qui est drôle c’est que, je l'ai dit auparavant, quand nous étions dans les ateliers et que j’ai dit : « Qu'est-ce que l’illumination ? » J'ai entendu le plus grand nombre de réponses makyo possibles. Ça conduirait à nous faire croire que vous êtes là, concentrant toute votre vie sur l’illumination, sans avoir aucune idée de ce que c'est. Absolument aucune idée de ce que c'est. Et c'est vrai, et c'est une bonne chose. Vous savez ce que c’est. Vous n'avez même pas besoin de le définir. Vous le savez déjà. Eh, parfois, c’est masqué. Vous oubliez ce qu’il en est. Vous avez un de ces mauvais jours d’illumination et vous vous demandez ce que vous faites. Mais vous revenez à la connaissance intérieure. Ah, il est parfois deux ou trois heures du matin et vous vous réveillez apeurés, confus, déconcertés, mais cette connaissance est encore là. Ce n'est pas de la volonté. Ce n'est pas de la force. C'est juste la connaissance intérieure. C’est beau.


Le jeu de Jésus

Jouons à un jeu aujourd'hui. Jouons au Jeu de Jésus.

LINDA : Oh ! (Quelques rires)

ADAMUS : C'est Noël !

LINDA : Ughhh !

ADAMUS : C'est Noël. (Plus de rires) Ouais. Ne saviez-vous pas ? Ne nous prenons pas au sérieux. Car, nous avons tous cette réaction.  Je dis ça et puis ces gens qui regardent en ligne, bien sûr — pas vous, mais les gens qui regardent —vont dire : « Le jeu de Jésus ? Whoa ! Quelle horreur de jouer à ça ! » Non, non, le jeu de Jésus est amusant. Vous allez voir ça dans une minute. (Quelques rires) Nous pouvons aussi… Voudriez-vous écrire cela sur la feuille de papier suivante ?

LINDA : Quoi ?

ADAMUS : « Le jeu de Jésus mettant en vedette Yeshua Ben Joseph, dans le rôle de Jésus-Christ le Sauveur ». (rires alors qu’il le dit avec une voix de speaker) Je suppose que nous n'avons pas besoin de cela. Le jeu de Jésus. Vous ne l’écrivez pas ?? Vili ?

VILI : Oh mon dieu.

ADAMUS : (Linda) Ouais, et vous allez passer le microphone de toute façon.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Alors, chère Vili. Pouvons-nous être un peu sacrilège ? (L’audience est d’accord) Bien sûr ! Pourquoi pas ? Parce que c'est une toute grande histoire, et vous allez voir dans un instant qu’elle n'était pas vraie du tout.

LINDA : C'est un sujet un peu sensible.

ADAMUS : Pour qui ?

LINDA : Pour moi (elle simule un son de pleurs et rigole)

ADAMUS : « Le jeu de Jésus » puis entre parenthèses en dessous — « Le composite Yeshua ».

LINDA : Ohhh. (L’audience répond « Ohhh » )

ADAMUS : Yeshua. Ah, vous voyez. Vous voyez comment ça le change ? Le composite Yeshua. A présent, nous sommes en période de vacances. Par ailleurs, c’est un autre de nos invités aujourd'hui — Jésus Christ — ici à Coal Creek Canyon ! Je suis sérieux.

LINDA : Merveilleux.

ADAMUS : Yeshua. C'est vraiment — soyons plus précis — c'est une énergie de la Maison de Sananda qui est ici. Sananda, également connu en tant que Isa, c'est vrai, et pourquoi pas ? Vous allez voir dans une minute : « Comment ai-je pu rater ça ? »

Alors, d'accord. Donc, nous voici en période de vacances. Les invités d'aujourd'hui — Jésus et notre cher ami Nelson Mandela. Absolument. Quelle combinaison grandiose.

Nous sommes en ce moment dans la période de Noël et tellement de discussions portent sur Jésus. En fait, ce que j’aime vraiment et que j'ai toujours aimé par rapport aux fêtes de Noël, c'est que c’est le seul moment de l'année où on ôte Jésus de la croix pour le mettre dans un petit panier.

LINDA : Ouais ! Woo hoo ! (Quelques rires)

ADAMUS : C'est bien, beaucoup mieux que sur la croix. (Quelques applaudissements) Le reste de l’année ? (Il fait comme s’il était sur une croix) Il est comme ça. (Plus de rires) C’est le moment de l'année où il regarde sa vierge de mère et dit : « C’est étrange, maman ». (Plus de rires). Donc, je vais vous demander, parce que tant d'entre vous ont cheminé avec Yeshua. Yeshua est le vrai nom de celui qu'on appelle Jésus.

En passant, je dois m’arrêter et souligner ceci. Il y a un Yeshua, le Yeshua qui, comme vous savez, a existé, il y a environ 2. 000 ans, et puis il y a Jésus. Et surtout nous avons Yeshua ici. Pas tellement Jésus. Jésus a seulement, oh mon Dieu, probablement 800, 900 ans. Il est beaucoup plus jeune que Yeshua. Jésus est un composite tout comme Yeshua. Vous allez toutefois voir la différence, parce que Jésus est un composite assemblé par les religions. Les religions ont créé Jésus. Et tant de gens croient en lui que ça l’a fait vraiment advenir. Tout comme vous avez créé une entité — une entité composite — connue en tant que Shaumbra. Shaumbra traîne, conduit une belle voiture, glande, boit quelques verres de temps en temps. Très cool.

Donc, il y a aussi ce composite de Jésus, Jésus le sauveur, Jésus qui attend, dieu sait quoi — eh bien, oui, Dieu sait quoi —de sauver tout le monde, la seconde venue, qui d'ailleurs ne vient jamais. Et il y a ce Jésus qui —un vraiment beau mec, blanc (quelques rires) — qui porte toujours des robes. Les yeux bleus. Ouais, en Israël, et avec les yeux bleus. Mm, je ne sais pas (ya comme un truc qui cloche). Il y a ce Jésus et il aime les gens qui le vénèrent. Il aime les gens qui disent : « Qu'est-ce que Jésus ferait » Et il est juste assis là et il sourit, vous savez, il ne leur donne jamais de réponses, il se contente de sourire. Ce Jésus — qui est une conscience composite assemblée par de nombreux humains qui croient en lui —ce Jésus, passe beaucoup de temps à marcher sur l'eau. (Rires) Parce que c'est ce à quoi les gens croient. Ainsi, chaque matin, il se lève et marche sur l’eau. (Plus de rires tandis qu’Adamus le mime) Il va au réfrigérateur dans les autres dimensions, l'ouvre et dit : « Oh mon Dieu, il n’y a rien à manger aujourd'hui. Ohh, du poisson et du pain ».  (Rire) « Un autre jour à manger du poisson et du pain ».  Il va à de nombreuses fêtes. (Quelqu'un dit « Il y a du vin ») Changer l'eau en vin. C’est absolument réel. Je veux dire, je ne l’invente pas. Vous pouvez aller dans les autres dimensions de l'autre côté et trouver Jésus. Oh il suffit d'écouter tous les gens — « Oh Jésus » — demandant pardon pour leurs péchés. Jésus ressemble à : « Je ne sais pas quoi faire. Vous faites appel à moi. Vous me demandez de vous pardonner. Je vous ai pardonné depuis longtemps. En fait, je ne sais même pas ce que vous avez fait, et vous demandez pardon. Pardonnez-vous vous-mêmes ! » Mais Ils n'entendent pas. Il y a ce Jésus errant dans les autres dimensions. (Adamus rit) Ohhh, chers Shaumbra, je suis si heureux que vous vous amusiez. Il y en a certains en ligne qui ne sont maintenant plus en ligne. (Plus de rires)

LINDA : Ouais, certains ont quitté la salle aussi. Yay.

ADAMUS : Et certains qui sont sur le point de le faire, disent : « Comment peut-il être aussi sacrilège, blasphématoire ? » Parce que c’est tout simplement inventé ! Parce qu'ensuite il y a le véritable Yeshua qui était fait de chair et d’os, Yeshua avec qui certains d'entre vous ont cheminé. Je veux dire qui ont cheminé avec lui, l’ont touché, ont bavardé avec lui, lui ont raconté de mauvaises blagues, ont glandé avec lui. Certains d'entre vous étaient là à la même époque. Peut-être que vous n'avez jamais rencontré ce Yeshua, mais vous avez toujours cheminé à ses côtés en quelque sorte, dans les autres dimensions. Il y avait cette sorte d'accord global à revenir ensemble à cette époque. Maintenant, il y a beaucoup d'histoires au sujet de Yeshua, mais je crois vraiment, je crois que vous connaissez Yeshua, que vous connaissez la véritable histoire. Donc, nous allons jouer à un petit jeu.

Tout d'abord, je vous demande de ressentir Yeshua. Sortez de votre cerveau tous les trucs que vous avez entendus. Cela va venir spontanément. Je veux que vous ressentiez comment vous connaissez vraiment Yeshua. Ne laissez pas votre tête vous bloquer ici. Allez vers votre cœur. Vous connaissez Yeshua. Pourquoi ? Parce que Yeshua est un composite fait de vous et de moi et d’un tas d'autres personnes. Yeshua était le plus grand composite de tous les temps, en d'autres termes, un grand nombre d’âmes réunies ensemble ont dit : « Créons ce composite ». Ce n’était pas un être avec une âme. En passant, pour ceux d'entre vous qui sont toujours en ligne avec nous et qui sont relativement nouveaux, oui, Yeshua, Jésus n'était pas un être avec une âme. Il était un composite fait de vous tous. Il s’agissait d'amener la semence du divin sur cette planète il y a 2. 000 ans.

Alors — Linda, avec le micro s'il vous plaît —ayons une petite discussion à propos de Yeshua. Commençons avec… donnez le micro à n’importe qui. A n’importe qui.

LINDA : Avant qu’on ne sache quelle est la question ?

ADAMUS : Absolument. C'est mieux ainsi. Bon, bon, bon.

~ 1ere question

ADAMUS : Alors, voulez-vous me dire, de quelle religion était Yeshua ? Catholique ?

SUSAN : La réponse du mental ou de la…

LINDA : Vous devez tenir le microphone.

ADAMUS : Bon. Tenez le micro et levez-vous s'il vous plait.

SUSAN : D'accord.

LINDA : Super tenue.

ADAMUS : Super tenue !

SUSAN : Je ne sais pas !

ADAMUS : Ohhh ! Ohhh ! (l'assistance répond « Ohhhhh ! » )

LINDA : Ohhhh ! Ohhh !

ADAMUS : Le microphone. Dehors.

LINDA : Oh !

ADAMUS : Trois minutes.

Allez-y. De quelle religion était Yeshua, Jésus ?

SHAUMBRA 4 (fille) : Euh…

ADAMUS : C'est exact. Juste…

SHAUMBRA 4 : Juif.

ADAMUS : Juif ! En quelque sorte. En quelque sorte. Ouais. Essénien. Essénien. Yeshua est né et a grandi dans une communauté d’Esséniens, et vous y découvrirez beaucoup d'indices par rapport à sa vie.

Tout d’abord, sa mère n'était pas vierge. Vous l’avez sans doute compris. (Quelques rires)

SART : Non ! (Plus de rires)

LINDA : Ça va être un long après-midi !

ADAMUS : Un long après-midi.

Cependant, les Esséniens… (il prend deux M & M d'une table) j’en prends un de chaque couleur juste pour vous montrer que je ne suis pas partial, ni pour le vert, ni pour le rouge. (Rires comme il les met dans sa bouche) hmm, vous voulez bien prendre cela ? Je dois parler. (Il sort les bonbons de sa bouche et les tend à Paul)

LINDA : OHHHH !

ADAMUS : Je dois parler. Je ne veux pas parler la bouche pleine. (Plus de rires)

LINDA : Hé, il y a un peu de métal. Vous voulez y coller votre langue ?

(se référant à une conversation précédente sur les dangers de lécher du métal gelé, plus de rires)

ADAMUS : Ses parents n'étaient pas mariés, parce que les Esséniens ne croyaient pas nécessairement au mariage. Si vous étiez un bon Essénien, un Essénien meilleur que les autres, vous ne vous mariiez pas. Et je vais vous montrer dans un instant pourquoi cela créait beaucoup de conflits à ce cher Yeshua. Donc, les parents n'étaient pas mariés, mais soudain Marie se retrouve enceinte. Oh ! Bien sûr, elle avait eu des moments d'intimité avec Joseph. Maintenant, dans la pratique des Esséniens, les Esséniens étaient très stricts, comme les Juifs fondamentalistes à l'époque. Très stricts. Donc soudain Marie se retrouve enceinte. Que faire ? Que faire ? Eh bien, pas se marier, bien sûr, mais mettre au monde l'enfant et vivre dans l’embarras. Non pas que cela était totalement interdit, mais si vous vouliez être un bon Essénien, vous ne forniquiez pas du tout. Non, non, non

LINDA : Déception.

ADAMUS : Ouais, bon. Alors Yeshua a grandi comme un bâtard, il n'avait pas vraiment de père…

LINDA : Quoi ? Ohh !

ADAMUS : Le terme bâtard est vraiment un mot péjoratif, depuis seulement 100 ans environ. Dans le temps, beaucoup de gens étaient considérés comme des bâtards. Bâtard signifiait tout simplement ne pas avoir de père marié à la mère. C'est tout ce que cela voulait dire. Ce serait comme de dire : « Je suis une sucette ». Vous savez, ça ne voulait rien dire. Maintenant, il y a un préjugé à cela — bâtard — mais Jésus était un bâtard. (Linda pleure à nouveau, quelques rires) Je veux que vous ressentiez…

LINDA : Ma douleur !

ADAMUS : … les nombreuses couches, les anciennes couches que vous avez. Et puis je veux que vous ressentiez de nouveau la façon dont vous avez aidé à créer votre composite — ce petit bâtard. (Adamus rit et Linda halète à nouveau bruyamment) C'est votre préjugé… (plus de rires lorsque Linda quitte la pièce) Oh, je m'amuse aujourd'hui. Bon, le micro est hors de la portée de Linda, alors à quelqu'un d'autre. Le microphone au prochain. (Elle revient dans la salle) Est-ce que quelqu’un vient de sortir ? (Plus de rires)

~ 2ème question

Super. Au suivant. Donnez le micro à n’importe qui. Oui. Bonjour, ma chère.

SHAUMBRA 5 (femme) : Bonjour.

ADAMUS : Donc, qu’est-ce que Jésus a fait pour vivre ?

SHAUMBRA 5 : Il était charpentier.

ADAMUS : Il était charpentier.

SHAUMBRA 5 : Mm hmm.

ADAMUS : Vraiment ? Attendez une seconde. Redonnez le microphone à Linda. Prenez une respiration profonde. Ressentez un instant. Vous connaissiez personnellement Yeshua. L’avez-vous déjà vu là-bas avec un tour et avec du papier de verre et une scie et tout le reste ?

SHAUMBRA 5 : Non, mais quelqu'un d'autre a dit cela du bâtard. (Rires)

LINDA : Oh ! Cela ne mène à rien ! Brrrghh !

ADAMUS : S'il vous plaît rappelez-vous, retournez à votre aide, à vos souvenirs pour construire ce composite. Prenez un moment, ressentez simplement en retour, Yeshua, Yeshua — pas le Jésus de la Bible, mais Yeshua, votre composite — Yeshua n’était pas du tout un charpentier ! Yeshua ne savait pas comment frotter des morceaux de bois ensemble. Tout d'abord, il n'y avait pas beaucoup de bois en Israël à l'époque. Deuxièmement, il vivait dans une communauté, une communauté Essénienne. Les Esséniens étaient très communautaires. Extrêmement. Le seul travail qu’ils faisaient c’était de cultiver leur nourriture, afin de subvenir à leurs besoins. Ce n’étaient pas des marchands. Ils n’étaient pas banquiers. Ils n'étaient pas commerçants du tout.

Ils vivaient dans des communautés éparpillées, d'un minimum de 100 à peut-être 500 personnes à la fois. Ils étaient considérés comme des étrangers par le reste de la communauté juive. On les considérait comme des sortes de tarés. Oh ! (Adamus rit) Et nous y re-voilà ! (Rires) Yeshua fut formé pour être —on n’utilisait pas vraiment le mot « prêtre » à l'époque — Yeshua fut formé pour être professeur du Yahad. Un Yahad est l'école de la communauté. On ne les appelait pas des rabbins. On ne leur donnait pas des titres nobles comme « évêque » ou « pape ». Ils étaient tout simplement… la meilleure interprétation possible serait peut-être «  anciens », mais même ce mot n’était pas utilisé parce qu'ils n'ont jamais voulu se mettre au dessus des autres. Donc, disons simplement qu’il était enseignant. Hm Hmmm. Un grand nombre de corrélations intéressantes. Un enseignant. Il ne travaillait pas le bois. Il ne fabriquait pas de chaises et de tables et de choses comme ça. Il étudiait beaucoup.

Il étudia les écritures anciennes. Il étudia les règles parce que les Esséniens avaient beaucoup de règles. Il ne savait pas comment utiliser ses mains. Il n'était pas un gros gars musclé, et il n'avait pas de métier, ou quoi que ce soit. Intéressant. Intéressant.

Alors, d’où vient cette idée que Jésus était un charpentier ? Eh bien, ça a été inventé il y a environ cinq … Je vais prendre les M & M maintenant.

PAUL : Oh.

ADAMUS : Ohhh, regardez vos mains ! (Quelques rires) Ohh. Par ici la caméra. Regardez… oh, est-ce de la transpiration ou ma salive ?

PAUL : Votre salive.

ADAMUS : Oh, c'était ma salive. Très bien. Alors d'où vient l’idée qu’il était un charpentier ? Eh bien, lorsqu’on a mis ensemble  (les bouts de) l'histoire de Jésus, on a dit : « Eh bien, nous devons lui donner un métier » vous savez, parce qu'il y avait beaucoup de métiers à l'époque. Il y avait les maçons, le commerce de la pierre, il y avait le commerce de la pêche et il y avait le charpentier, et ils eurent tous beaucoup d'influence sur l'église à l'époque. Alors, d’où pensez-vous que venait l'argent en disant que Jésus était un charpentier ? (Quelqu’un dit « Le syndicat des charpentiers ») De la guilde des charpentiers de l'époque. Absolument. « Ohhh ! Yeshua était un charpentier. Bien sûr ! Voici un peu plus d'argent ». En fait, probablement que la façon dont c’est arrivé à cette réunion à l'église — (Linda lui tend un mouchoir) oh merci — cette réunion à l'église, les dirigeants de l’église étaient assis à ne rien faire, à essayer de trouver ce métier.  Ils devaient nommer quelque chose. Bien sûr, personne ne savait quoi, parce que c’était des centaines et des centaines d'années après. Il n'y avait pas Internet pour enregistrer tout cela. Tout était transmis à la main. Donc ils essayaient de trouver quelle était sa profession et l’un des évêques dit : « Que faisait Jésus ?»(qu’avait-il l’habitude de faire ?)

LINDA : Oh ! (Gémissements des spectateurs et rires) Ohhhh ! Bouuu ! Bouuu !

ADAMUS : Et l'autre évêque a déclaré : « Il était charpentier ».  Oui. Oui. (Adamus rit)

~ 3ème question

Point suivant. Microphone s'il vous plaît. Microphone à quelqu'un, n'importe qui. Question suivante. Ah, chère Michelle. Est-ce que Jésus était marié ?

MICHELLE : Oui.

ADAMUS : Oui. Bien. A qui ? Tenez le microphone bien devant votre bouche.

MICHELLE : Mary ?

ADAMUS : Non, j'ai dit était-il marié ?

MICHELLE : Oui, il l’était, à Marie.

ADAMUS : Marié à Marie ?

MICHELLE : Oui

ADAMUS : Oui et non. Oui, il était marié, mais non, jamais à Marie-Madeleine. (L’audience dit « Ahh ») Ahhh ! Ahhh ! Ahh ! Maintenant, ceci a créé un gros problème. D’un côté vous avez Yeshua qui étudiait pour être professeur du Yahad, à l'école, l'école communautaire. C'était son seul but — d'enseigner et d’aider. Il ne s’intéressait à rien en dehors de sa communauté. Je crois que maintenant on pourrait appeler cela un kibboutz. C’était un peu différent à l'époque. Il ne se souciait pas du monde extérieur. Il ne se souciait de rien. Mais étant un mortel, en quelque sorte, au moins, ayant de la chair et des os qui finiraient par mourir, il avait certaines pulsions.

(Linda s’éclaircit la voix) Vince, Vince, tout de suite vous dites « Je comprends cela  ». (Quelques rires) Il avait certaines pulsions et au sein de la communauté il y avait une belle jeune fille du nom de Ignes. Comme Agnès, mais Ignes, une belle jeune fille.

Et une nuit alors qu’ils étaient assis à la belle étoile — oh vous connaissez l'histoire maintenant. Qu’est-ce qu’il y a avec votre famille ici, vous savez ? (Adamus rit, s'adressant à quelqu'un qui a amené ses enfants) Ils embrassèrent leurs énergies masculines / féminines, euh, ensemble.

EDITH : Bien dit.

ADAMUS : Bien dit. N'était-ce pas délicat ? N'était-ce pas délicat ? Ils se sont engagés dans l'intimité du corps. Maintenant, les bons Esséniens n'étaient pas censés faire cela. Les bons Esséniens ne mangeaient pas de viande ou quoi que ce soit. Ce n'était pas que c’était interdit aux Esséniens, mais ceux qui étaient vraiment bons parmi eux étaient végétariens. Et c’est ici que nous retrouvons maintenant ce Yeshua, qui faisait tellement d'efforts pour être finalement professeur — son seul rêve, sa seule ambition était d'être enseignant du Yahad, dans la communauté — et qui soudain forniquait, hmm, et s'est fait prendre. (Linda soupire et le public dit « Ahh » ) Ouais, ahhh. Alors qu'est-ce qu’il se passe ensuite ? (Quelqu'un dit « un mariage forcé ») En quelque sorte un mariage forcé. Vous voyez, vous commencez à comprendre. Qu'est-ce qu’il se passe ensuite ? Eh bien, cela a été découvert et ses parents à elle n'étaient pas très heureux de cela et ont immédiatement dit : « Vous devez vous marier ». Ce fut un énorme changement dans les plans de Yeshua, mais le truc c’est qu’il aimait Ignes. Il l'aimait profondément et tendrement. Soit c’était ça, soit c’était un désir sexuel énorme. Donc, en effet, ils se sont mariés. Et en effet, il a dû commencer à reconsidérer son rôle avec les Esséniens, parce qu'il n’était plus ce modèle — celui qui ne forniquait pas, celui qui ne se serait pas marié. Maintenant, il était en quelque sorte un commun des mortels Essénien. Pour aggraver les choses, oh, il se sentait profondément amoureux d’elle, profondément amoureux, et elle est tombée enceinte.

Et il a commencé à se permettre de ressentir certaines des passions qu'un humain ressentait. Plutôt que de nier ces passions, comme le font de nombreuses religions et groupes spirituels, il commença à ressentir la passion d'aimer un autre être humain et de finir par lentement s'aimer soi-même. Qu'est-ce qu’il s'est passé ensuite ? Une tragédie. Ignes est morte avec l'enfant. Décédée. L'amour de sa vie était mort, et il ressentait, avec tout ce qu'il avait appris dans ses études, qu’il aurait dû pouvoir la guérir. Il était en colère parce qu'il ressentait que certaines personnes dans leur communauté auraient dû être capables de la soigner. Il avait le sentiment que Dieu l'avait abandonné, et cela causa un autre grand choc dans sa vie. Maintenant, il avait non seulement perdu sa place dans la communauté à cause de la fornication, mais maintenant, il avait perdu son amour. Son amour. Qu'est-ce qu’il s'est passé ensuite ?

Le voici maintenant, très jeune homme, à peine âgé de dix-sept ans et soudain, tout est chamboulé. Mes chers amis, faisons une pause pendant un moment avant de passer à la partie suivante. Mais pouvez-vous ressentir cela  ? Pouvez-vous vous ressentir vous-mêmes à travers Yeshua ? Pouvez-vous ressentir les tours et détours de votre propre vie ? Ce que vous pensiez être des erreurs, ce que Yeshua pensait être une erreur à l'époque, s'est avéré être parfait. Parfait.

Nous avons donc ici un jeune homme de 17 ans, en colère contre Dieu, le coeur brisé, qui n'est plus un pilier de la communauté, plus celui qu’on pensait qui les conduirait dans plus de règles et de règlements. Alors il part, au milieu de la nuit. Où est-il allé ? Où est allé Yeshua ? Chère Linda, le microphone s'il vous plaît.

~ 4ème question

S'il vous plaît ressentez-le. Vous le savez déjà.

MARC : Dans une grande ville !

ADAMUS : Dans une grande ville. Bien sûr. Partir de la ferme et aller dans une grande ville. Oui, dans un sens, vous avez raison, absolument, et dans d'autres endroits. Mais essayez juste. Où est-il allé ?

MARC : Quoi, précisément ?

ADAMUS : Hé bien, il avait le cœur brisé. Imaginez-vous un instant. Vous avez le cœur brisé…

MARC : Le désert.

ADAMUS : la vie vous a imposé tous ces mauvais coups. Où allez-vous aller ?

MARC : Dans le désert.

ADAMUS : Le désert. Le désert. Absolument. Vous avez absolument raison. Il a commencé à errer dans le désert.

LINDA : Wow. Quelqu'un a raison. Woo.

ADAMUS : Il a commencé à errer dans le désert. Les Esséniens étaient très proches de Moïse. Les Esséniens — oui, très proches de Moïse — mais ils avaient aussi un ensemble différent de commandements. Les visions de Moïse ont été tellement déformées et réécrites au fil des ans. Les Dix Commandements ont subi environ 10 000 changements dans les commandements depuis leur création. Alors il commence à errer dans le désert et —retour à Marc — où finit-il, Marc ? Où finiriez-vous si vous aviez commencé à errer dans le désert ?

MARTY : A Las Vegas. (Rires)

ADAMUS : A Las Vegas. C'est bon ! C'est bon !

MARC : Apparemment à Las Vegas, non ? (Plus de rires)

ADAMUS : Et c'est ce qui rend les Shaumbra si spéciaux. Oui. Las Vegas. Bon.

MARC : Ehhh, à l'eau… (quelques personnes disent « Oasis ») une oasis, peu importe comment vous l’appelez.

ADAMUS : D'accord. C'était la première nuit. Après cela se sont écoulés entre 17 et 33 ans. Où… ressentez-le simplement, s'il vous plaît. Fermez vos yeux pendant une seconde. Ressentez-le. Où a-t-il fini la première grande partie de son voyage ?

(Marc fait une pause, puis hausse les épaules, comme pour dire : « Je ne sais pas »)

Non, ne pas… juste… ça peut être n’importe quelle réponse. Mentez, mais ne dites pas : « Je ne sais pas ».  Mentez. Dites, dites…

MARC : Je n'ai rien dit.

ADAMUS : En Inde.

MARC : En Inde ?

ADAMUS : Plus précisément dans la zone connue sous le nom de Cachemire.

MARC : Très bien.

ADAMUS : Ah, Kuthumi est dans l’arrière-cour. Ouais. Ils ne se connaissaient pas. Il s’est retrouvé… bon. Merci.

MARC : Je vous en prie.

ADAMUS : Il a fini par chercher des réponses, oui, en errant dans le désert. Il ne se souvient même pas comment il est arrivé en Inde, comment il est arrivé dans ce pays. Il était si démuni, si déprimé qu'il s’est retrouvé là. Et là, à errer dans toute l'Inde, il a rencontré des professeurs incroyables qui ont littéralement fait vaciller son monde de tout ce qu'il avait appris en tant qu’Essénien, tout ce qu'il avait appris sur l'histoire et Dieu.

C'était un grand bouleversement parce qu'il apprenait que Dieu n'était pas un gars là-haut. Il apprenait que Dieu n’était pas un être en colère qui demandait à l'homme de le vénérer. Il apprenait que Dieu était déjà à l’intérieur. Que Dieu était et était venu pour être ce que vous reconnaissez maintenant comme étant l'amour et l'acceptation et la compassion ! C’était difficile pour lui, très difficile pour lui de comprendre cela, en particulier avec l'amertume de tout ce qu'il avait vécu. Il cherchait des réponses. Il était désespéré, avec tellement de souffrances dans le cœur.

Mais ce qu’il se passait réellement, mes amis, c’est qu’à travers sa quête, alors qu’il pensait théoriquement rechercher un certain soulagement à l'angoisse ressentie par rapport à la perte de sa communauté et de son épouse — il faisait un plus grand voyage. Son véritable voyage était en lui-même. Votre véritable voyage à l’époque était en vous-mêmes. Il ne s’agissait pas de trouver des réponses philosophiques.

Il ne s’agissait pas de vous retrouver même dans une école de mystère ou un monastère, bien qu’il ait fini par y aller. Mais le but, l’authentique voyage de votre propre semence divine était en fait de revenir vers vous.

L'histoire de Yeshua est votre histoire. Certains d'entre vous l’ont traversée plusieurs fois. Certains d'entre vous l’ont traversée de nombreuses, nombreuses fois. Mais c'était votre histoire de vie, d’apprentissage, parfois de chagrin et finalement de découverte. Yeshua a voyagé à travers ces régions de l'Inde et a rencontré des Maîtres étonnants. Il a appris à respirer. Comment respirer ? C'était simple, mais pourtant très évasif du temps où il était un Essénien, car il était tellement rempli de règles et de règlements, de choses que vous deviez faire ou ne pas faire. Il apprenait… oh, question suivante à — Linda, donnez-le micro à quelqu’un. C'est ma question préférée. Deux questions … eh bien, tout dans la même question.

Bon.

~ 5ème question

Est-ce que Yeshua…

ALAYA (une femme) : Je le savais ! (Elle rit)

ADAMUS : Est-ce que Yeshua a eu des relations sexuelles avec d'autres après avoir quitté sa communauté, après qu’il ait quitté le Yahad ? Est-ce qu’il aimait coucher avec des femmes ? Ou des hommes… ou des chèvres… ou des moutons… ?  (Quelques rires et des grincements de dents dans le public) Vous devez vous poser cette question ! Il y a 2000 ans environ, vous avez dû vous la poser. Vous avez dû vous le demander. Est-ce que Yeshua — où sont les caméras ? Assurez-vous que la caméra la cadre en plein visage, afin que tout le monde puisse voir cette réponse. Est-ce que Yeshua a eu des relations sexuelles ?

ALAYA : Le sexe a une qualité…

ADAMUS : Eh, eh, c’est oui ou non ?

ALAYA : J'y viens. J'y viens. C’est qu’il nettoie la tuyauterie pour permettre de finalement trouver le divin en soi. Et oui il en a eues.

ADAMUS : Oh, il a eu des rapports sexuels.

ALAYA : Mm hmm.

ADAMUS : Bien. Souvent ?

ALAYA : Aussi souvent que possible. (Quelques rires)

ADAMUS : D'accord. Et préférait-il les grandes ou les petites ? (Plus de rires)

ALAYA : Les grandes ou les petites quoi ? (Rires)

ADAMUS : Bonne question. (Rires) Bonne question. Donc, oui, Yeshua avait souvent des relations sexuelles. Et est-ce que Yeshua se masturbait ? (Linda suffoque et quelqu'un crie « Oui ! »)

ALAYA : Oui.

ADAMUS : Pourriez-vous dire cela à la camé… dites-le à la caméra.

ALAYA : Oui.

ADAMUS : Bien. Merci. Nous démolissons tant de vieilles conneries ici aujourd'hui. Oui il le faisait ! Oui il le faisait. Se sentait-il coupable à ce sujet ? (Elle s'arrête, quelques-uns dans le public disent « non ») Vous êtes-vous déjà sentis coupables à ce sujet ?

ALAYA : Quand j'ai commencé, la première fois, oui. Et puis ça s'est atténué, et maintenant, non.

ADAMUS : Linda derrière est en train de péter un plomb. Pourquoi… (beaucoup de rires)

ALAYA : Hey, je… je… je suis passée par…

ADAMUS : Je crois que c'est mon Shoud préféré ! (Plus de rires)

ALAYA : J’ai suivi le cours SES.

ADAMUS : Oui, absolument, il l'a fait, et il l'a refait et il l'a re-refait.

ALAYA : Oui.

ADAMUS : Il avait des relations sexuelles, il se masturbait et il se sentait coupable. Eh bien, comme… Cauldre, ne dites pas ça si vite.

ALAYA : Culpabilité sexuelle.

ADAMUS: Il a eu des relations sexuelles. Il s'est masturbé… Jésus se masturbait. (Quelques rires)

ALAYA : Culpabilité sexuelle.

ADAMUS : Et il s’est senti coupable à ce sujet jusqu'à ce qu'il comprenne l'amour du Soi, l'acceptation du Soi.

ALAYA : Oui.

ADAMUS : Jusqu'à ce qu'il réalise que quelqu'un lui avait mis cette connerie en tête que le sexe et le fait de s’amuser avec soi-même sous la table sont mauvais. Il lui a fallu longtemps pour s'en remettre et se rendre compte qu'il pouvait s’aimer lui-même. Qu’il pouvait se toucher ! Qu’il pouvait se ressentir ! Qu’il pouvait se donner du plaisir, et qu’il pouvait vraiment s’aimer lui-même. Absolument. Et il allait continuer, ma chère, à enseigner cela à de nombreuses, nombreuses autres personnes. Et quand il s'asseyait en face de certains groupes, la réaction était très similaire — la suffocation ! — « Ohhh ! Vous ne pouvez pas parler de cela ».  Mais il l’a fait, parce qu'il disait : « Cher frère, chère sœur, il s’agit de t’aimer toi-même. Alors, tu arriveras à comprendre l'amour que ton âme a pour toi ».  Oui.

ALAYA : C’est vrai. C’est vrai. Je suis ma meilleure rencontre.

ADAMUS : Vous êtes votre meilleure rencontre. Absolument. Vous devriez l’être. Et alors, vous pourrez être la meilleure rencontre de n’importe qui d'autre. Bien.

~ 6ème question

Pourquoi… prochaine question avec le micro. Oh, c'est un bon jeu aujourd'hui. Ohhh, ça, c’est s'amuser. Alors, Pourquoi Yeshua est retourné en Israël ? Permettez-moi de dire tout d'abord qu’après l’Inde, il a voyagé en différents endroits en Europe, en France, bien sûr.  Il y est resté un long moment. Il est allé dans des endroits connus maintenant comme l'Allemagne et l'Angleterre — bien sûr, les noms ont changé — l’Espagne, le Portugal. Il a voyagé. Il a voyagé pour apprendre plus, pour acquérir plus d’expérience et rencontrer d'autres personnes en dehors de sa propre petite communauté où il avait grandi. Il est parti pour expérimenter tout ce qu'il y avait à apprendre et à savoir. Il est allé visiter les pyramides. Oui, absolument, il est allé en Egypte. Il a passé beaucoup de temps là-bas. Pourquoi est-il retourné en Israël ? Et s'il vous plaît, ne dites pas que c’était pour récupérer ses outils de menuiserie. (Rires) Ouais. Et si ça ne vous dérange pas, levez-vous.

SHAUMBRA 6 (un homme) : Il avait oublié son rabot.

ADAMUS : Il avait oublié son rabot. Bien. Bien. (quelques rires)

SHAUMBRA 6 : Non, il est retourné là-bas pour enseigner.

ADAMUS : Il est retourné là-bas pour enseigner. Pourquoi ?

SHAUMBRA 6 : Parce qu'il avait de bonnes informations à partager avec son prochain.

ADAMUS : Bien. Mais pourquoi y retourner ? Il faisait chaud et c’était poussiéreux et…

SHAUMBRA 6 : Il était chez lui.

ADAMUS : Ouais.

SHAUMBRA 6 : Il était à la maison.

ADAMUS : Il était à la maison.

SHAUMBRA 6 : Ouais. Et il aimait sa maison.

ADAMUS : Mm hmm.

SHAUMBRA 6 : Il est retourné voir sa famille et ses amis.

ADAMUS : Euh, ils n'étaient pas si intéressés que ça de le voir, en réalité. Pas tant que ça. Non. Ceux qui étaient dans sa communauté, non, en fait…

SHAUMBRA 6 : Qui est ce type ?

ADAMUS : … ne voulaient pas le voir du tout. Ça vous rappelle quelque chose ?

SHAUMBRA 6 : Ouais.

ADAMUS : Vous voyez, ouais, ouais. Donc, oui, il y avait un désir de retourner à la maison — je vous remercie, je vous remercie pour la bonne réponse — le désir de retourner à la maison. Une partie de son voyage avait eu pour objet de se retrouver lui-même. Avez-vous déjà ressenti ça, alors que vous voyagiez de places en places, vous avez eu une irrésistible envie d'aller en Egypte ou d'aller en Amérique du Sud ou vers l'Europe, un énorme désir de retourner dans votre passé, de vous voir maintenant à travers des yeux différents.  C'est la principale raison. Ce n’est pas tellement pour enseigner, mais pour voir, comment depuis des années ou des vies entières, vous avez changé. Et c'est exactement ce qu'il a fait. Et il est revenu très différent. Effectivement, il est aussi rentré pour, ce que vous appelez, enseigner, partager avec les autres. Mais il n'a pas été accueilli les bras grands ouverts.

Il est revenu dans la région de Magdel, qui est à l'extrémité nord de la mer de Galilée, et il a été accueilli avec beaucoup de dérision. Mais quelques-uns l’ont écouté. Quelques-uns sentirent gronder l’insatisfaction des rabbins et du temple et des organisations religieuses de l’époque. Quelques-uns entendirent la parole « Je suis Dieu aussi » alors qu’il se tenait devant eux et disait : « Je suis Dieu aussi ».  La majorité se moqua de lui, le fuit, le menaça, mais quelques-uns entendirent cette parole et restèrent. Certains d'entre eux devinrent ses disciples.

Et puis de plus en plus commencèrent à entendre la parole, car beaucoup d'entre vous revenaient à ce moment là. Vous ne le considériez pas comme un sauveur. Vous le considériez comme un ami. Vous ne le considériez pas du tout comme une sorte de chef spirituel, parce que vous saviez qu'il n'accepterait jamais ce rôle de diriger un grand groupe de personnes. Donc, mes chers amis, il est revenu pour se retrouver lui-même, se souvenir de lui-même, mais alors d'une manière nouvelle, et, ce faisant, il a retrouvé une fois encore nombre d'entre vous. Vous n’étiez pas impressionnés par lui, parce que c’était vous aussi. Vous étiez curieux, oui. Fascinés, oui. Vous ne connaissiez pas beaucoup de gens qui avaient voyagé dans de si nombreux pays.

Mais vous sentiez une présence autour de lui. Vous ne saviez pas ce que c’était. Il ne parlait pas d’« illumination ». Il ne parlait même pas des mystères. Il n’effectuait pas de miracles juste pour fasciner les gens. Mais vous ressentiez sa résonance.

 

Yeshua et Marie-Madeleine

Maintenant, cela nous amène à une question très intéressante, très pertinente. Donc il était là avec quelques amis avec qui il avait l’habitude de partager du temps. Il rencontra Marie-Madeleine. Ils tombèrent amoureux.

Oh, c’était un si profond amour. Ils partagèrent de nombreux moments intimes. Vous savez, Yeshua avait appris beaucoup dans ses voyages de cette chose maintenant appelée le Tantra, et il sut comment partager son corps et son esprit et son amour d'une manière à laquelle très peu d’humains ont été initiés depuis. Oh, parce qu'il y a tellement de bavardages lorsque vous parlez de sexe, tellement de gêne. Mais il savait comment s'aimer lui-même, et donc comment aimer l’autre.

Il rencontra Marie-Madeleine, qui avait plein de problèmes à l'époque. Ah, elle avait ses démons. Elle… de toute façon, l'histoire est racontée dans certains de nos autres travaux, * mais elle avait des problèmes et il lui montra comment s'aimer. Il lui fallut un long moment.

Elle avait beaucoup d'énergie de victime. Elle avait une grande peur des hommes, de l'énergie masculine ; en fin de compte, c’était vraiment l'énergie masculine en elle-même qui était manifestée dans ses agresseurs. Mais elle est finalement parvenue au terme de ses déséquilibres avec le masculin, le féminin et le divin en elle-même, et, ensemble, ils ont vécu dans l'amour. Ils ne se sont jamais mariés. Ils ne voulaient pas se marier. C’était un souvenir tellement horrible pour Yeshua qu’il ne voulait pas le répéter. Mais en plus ils savaient aussi qu'ils n'avaient pas besoin de quelqu'un d'autre pour les marier ou témoigner de leur amour. Ça leur était strictement personnel.

*Plus d'informations de Tobias et Adamus sur Yeshua et Marie-Madeleine dans l'Ecole des Energies Sexuelles (Sexual Energies School Tobias) et l'Alchimie de l’Ombre et la Lumière (The Alchemy of Light & Dark Adamus)

La question est : « Est-ce que Yeshua et Marie-Madeleine ont eu des enfants ? » C'est une grande question. Tout le monde se la pose. On écrit des livres à ce sujet. Je soutiens qu’ils en ont eus, mais c’était après que Yeshua ait quitté son corps physique. Hm Hm. Comprenez cela.

Maintenant, ceci devrait vous mettre sur la voie. Ils avaient choisi de ne pas avoir d’enfants, alors qu'il était encore sur Terre. Il savait que ça finirait, et il partagea cela avec Marie-Madeleine. Il lui dit : « Je suis ici pour un certain laps de temps. Je vais partir, mais seulement en quittant mon corps physique. Je serai quand même toujours là, et je te le montrerai. Je te montrerai ce que l'âme, ce que le divin dans l'amour de lui-même peut faire, même après être parti ».

C'était donc une relation entre le physique et l'esprit qui s'est produite après la mort de Yeshua et qui a vraiment fécondé Marie au point qu’elle a eu deux enfants de Yeshua. Ah oui. Une histoire intéressante, fascinante. Mais mes amis, au moment de Noël, des jours saints, c'est votre histoire. L'histoire de la façon dont la vie se poursuit même quand il y a la soi-disant mort. C’est une question — une grande question. Linda, prenez le micro d’abord, parce que c'est la grande question.

~ 7ème question

La question est — la caméra peut-elle voir à l’arrière-plan ? (Quelqu'un dit « bien sûr ») Bon. La question est… oh bien ! La question est, est-ce que Jésus a échoué ? Jésus a-t-il échoué ?

SUZY : Non

ADAMUS : Eh, avant que vous ne répon… oh, « non » est votre réponse ?

SUZY : Non, il n'a pas échoué.

ADAMUS : Non. Mais il y a ceux qui soutiennent que Jésus, ce maître, cet être divin a échoué parce qu'il s'est laissé mettre à mort. Il a échoué parce qu'il aurait pu ou aurait dû être capable de surmonter cela ou être capable de surmonter ses ennemis ou ceux qui ont cherché à le tuer. Il a échoué parce qu'il est mort au lieu d’avoir vécu.

Il a échoué à cause du sang et de la souffrance et de la douleur, et qu’un véritable sauveur ne serait pas mort. Un vrai sauveur aurait peut-être vécu dans un manoir, eu toutes sortes de gardes et ne se serait jamais autorisé à mourir comme ça. Il y a ceux qui disent ça : « Regardez la différence entre Mahomet et Jésus. Jésus a échoué. Mahomet a juste ascensionné. Il n'a pas eu à passer par tout cela ». Ils disent que Jésus n’a pas pu gérer les énergies, que Jésus était peut-être une sorte de faux martyr. Il y a ceux qui disent ça et il y en a certains qui le croient — l'échec de Jésus. Jésus qui vient sur cette Terre — que vous pensiez en termes de Jésus ou Yeshua — qui vient ici pour nous montrer le chemin, et se retrouve cloué sur une croix, ce qui, soit dit en passant, s’est bien produit. Pour ceux qui ne pensent pas que ça s’est passé, non, il a bien été cloué sur une croix.

Donc Suzy vous dites, non, il n'a pas échoué. Mais expliquez-nous pourquoi.

SUZY : Eh bien, c’était un homme, et…

ADAMUS : Eh bien, c'est en soi un échec. (Rires) C’était un homme et… et…

SUZY : Et j'ai grandi en étant très Baptiste alors je sais qu'il est mort pour nos péchés.

ADAMUS : Croyez-vous toujours cela ?

SUZY : Non

ADAMUS : Oh bien.

SUZY : Je n’irai pas au paradis Baptiste, alors… (quelques rires)

ADAMUS : Ouais. Bien. Bien.

SUZY : J’irai là où je dois aller. Eh bien, il réalisa, je pense, que nous sommes tous Dieu aussi, et ainsi il nous aida à y parvenir nous-mêmes un peu plus vite.

ADAMUS : Mais pourquoi la mort ? Pour moi ça envoie… Eh bien, ça pourrait être un mauvais signal pour quelqu'un sur le chemin. (Quelques rires, Adamus rit) Une sorte de je ne sais pas. Peut-être que je suis un peu sensible aujourd'hui. Mais wow, regardez ce que vous obtenez quand vous devenez un Maître ! Ouais. Alors, comment n’est-ce pas un échec ?

SUZY : Parce qu'il s’est relevé en trois jours, et qu’il a alors ascensionné. Je veux dire, il n'a pas — la mort ne l’a pas vaincu.

ADAMUS : Elle a vaincu son corps, cependant.

SUZY : Son corps, oui.

ADAMUS : Ouais.

SUZY : Mais pas son esprit.

ADAMUS : Mais quel était le but de se laisser capturer ? En fait, il n'a même pas été capturé. Il s’est lui-même rendu. Et ensuite il a fait pire. Il a provoqué les Romains. Il aurait pu s’en tirer. Il aurait pu s'en aller. Un petit dessous de table lui aurait permis de faire un long chemin, si vous voyez ce que je veux dire — un long chemin — mais il les provoqua. A quoi cela rimait-il ?

SUZY : A marquer les esprits.

ADAMUS : A propos de quoi ?

SUZY : Du fait que nous pourrions tous faire cela pour nous-mêmes.

ADAMUS : Provoquer les Romains ?

SUZY : Ouais ! (Elle rit, quelques rires) Pour nous réveiller…

ADAMUS : Pourquoi…

SUZY : Pour nous réveiller et vous savez… pour… eh bien, pour nous réveiller et…

ADAMUS : Permettez-moi d'être franc à ce propos. Etes-vous prêts à mourir pour votre illumination ? (Quelqu'un dit « Peut-être »)

SUZY : Certaines personnes le sont.

ADAMUS : Certaines personnes le sont.

SUZY : C'est un choix.

ADAMUS : Le feriez-vous ?

SUZY : Je n'ai pas à le faire.

ADAMUS : Bien. Bien. Merci. Et je vais poursuivre la question, mais je veux un peu plus de réponses. Merci. Je sais que c'est une question très difficile. Je vous le demande à vous, tout le monde, qui que ce soit qui écoute qui veut répondre, n'est-ce pas un échec à un certain niveau — de finir sur la croix, d'avoir une lance dans le ventre, d'avoir toute cette souffrance — n'était-ce pas un échec ? Je le demande à un niveau très profond à chacun de vous parce que Yeshua est un composite, et c'est une partie de vous. Et s’il a été mis à mort, d'une certaine manière vous avez été mis à mort. Et s'il n’est pas resté en tant que Maître dans son corps physique, peut-être que vous ne resterez pas non plus en tant que Maître dans votre corps physique. S’il s’est martyrisé, c'est peut-être ce à quoi votre maîtrise ressemblera — le martyr du soi ? Linda, le microphone à quelqu'un d'autre, pour la même question.

LINDA : Ooh, que quelqu'un lève la main. Facilitez-nous la tâche.

ADAMUS : Est-ce que Yeshua a échoué ? Et nous devons aborder ce sujet, mes amis, parce que c'est lourd. C'est dans l'air. C'est l'éléphant dans la pièce dont personne ne veut parler. C'est toute cette histoire fabriquée de Jésus, mais il y a cette histoire de Yeshua, l'être composite, qui, d’une certaine manière, était en quête de votre maîtrise, parce que c'est une partie de vous, mais qui a été mis à mort. Au suivant. Quelle est la réponse.

JOANNE (une femme) : Je pense que peut-être qu'il a…

ADAMUS : Cela vous dérangerait-il de vous lever ?

JOANNE : Oh.

ADAMUS : Ouais. Merci.

JOANNE : Il les a provoqués afin de nous prouver qu’il y a de la vie de l'autre côté, que nous pouvons être vraiment vivants alors que le corps est mort.

ADAMUS : Oui.

JOANNE : Mais vous continuez de vivre. C'est mon ressenti.

ADAMUS : Ouais.

JOANNE : Donc.

ADAMUS : Donc qu'est-ce qu’il lui est arrivé après sa mort ? Il a fait un peu l'amour avec Marie-Madeleine après sa mort, mais on n'entend pas trop parler de lui après ça, de ce qu'il a fait après ça.

JOANNE : C'est vrai. Je pense que les disciples, et bien, ils ont eu peur pendant un certain temps et se sont cachés, mais je pense qu'ils ont mis un point d’honneur à…

ADAMUS : Quelques-uns d'entre eux ont été décapités, mais ne prêtons pas attention à ce fait. Ouais.

JOHANNE : Alors avons nous tous, donc…

ADAMUS : Ouais.

JOANNE : Mais c'est ce que je ressens…

ADAMUS : C'est pourquoi je porte ce foulard de protection en métal aujourd'hui. (Quelques rires)

JOHANNE : Donc et finalement ils, certains d'entre eux ont finalement retrouvé leurs forces, parce qu'ils parlaient avec Yeshua. Il avait l’habitude de leur rendre visite en esprit, et je pense que c'est la façon dont cela a continué.

ADAMUS : En quelque sorte.

JOANNE : En quelque sorte ?

ADAMUS : En quelque sorte. C'est comme l'histoire que nous avons continuée aujourd'hui, est-ce que, est-ce que c’est une bonne chose ou pas une si bonne chose que cela ?

JOANNE : Je pense que cela a apporté…

ADAMUS : L'histoire de Jésus.

JOANNE : Eh bien, elle a apporté la semence de la conscience Christique sur Terre.

ADAMUS : Oui.

JOANNE : Et certaines personnes l’ont prise et l’ont entretenue de différentes façons, mais nous sommes tous à des niveaux différents peut-être ?

ADAMUS : Je dirais, juste pour…

JOANNE : D'accord.

ADAMUS : … argumenter.

JOANNE : C'est très bien.

ADAMUS : Si cela a apporté la semence Christique sur Terre, une chose étonnante — « Oh, cela avait été planifié depuis longtemps, nous allons tous revenir et saupoudrer la Terre de nos semences Christiques, nous allons créer ce composite qui est nous mis tous ensemble parce que cela crée un lien si exceptionnel entre nous, et nous sommes venus ici il y a 2000 ans, nous sommes nés dans un corps physique » — et ensuite la semence du Christ meurt ?

JOANNE : (faisant une pause) Pour moi, je ne pense pas du tout qu'elle soit morte. Je pense juste que c’est une façon différente pour lui de s’exprimer.

ADAMUS : L’archétype de la semence du Christ, le personnage de Yeshua, il meurt à la fin de l'histoire.

JOANNE : C'est exact.

ADAMUS : Et je n'ai pas lu la Bible : la deuxième partie, comme l'histoire, elle ne se continue pas. Elle se termine juste. Elle se termine.

JOANNE : D'accord. Alors je crois que je ne comprends pas la question que vous me posez.

ADAMUS : La question que je vous pose à vous tous c’est — je vais l’intituler très audacieusement — « L’échec de Yeshua » — point d'interrogation. « L’échec de Yeshua ? » Parce que chaque… merci.

JOANNE : De rien.

ADAMUS : Et vous savez que c'est une question difficile. Et il y a cela en chacun d’entre vous — L'échec de Yeshua. C'est, oui, c'est une belle histoire dont vous parlez, que de venir sur Terre et d’être un Maître, et même d’être ce que j'appellerais la plus réelle itération de Yeshua, plutôt que de Jésus le charpentier — vraiment ? Soit dit en passant, Yeshua, il n'a pas grandi dans cette famille pauvre, et toute cette histoire de la nativité où il n’y avait pas de place à l'auberge, rien de tout cela n’est vrai. Ça fait une belle histoire, mais il a grandi dans la communauté essénienne. Ils n'étaient pas riches. Ils n'étaient pas pauvres. Ils ne se souciaient pas vraiment de l’argent. Ils aimaient manger. Ils prétendaient qu'ils n'aimaient pas avoir de relations sexuelles, mais en réalité ils aimaient vraiment ça. (Quelques rires) Et ils étaient très stricts. Très stricts. Mais ce n'était pas cette vie de pauvre charpentier. Non, pas du tout.

Alors, je soulève cette question comme l'une de ces sortes d’obstacles que nous devons franchir. Il y a un certain ressenti d'échec. Il est assis quelque part en vous. Il tend à éclipser la belle connaissance intérieure dont nous avons parlé lors de notre dernière réunion. Mais si un Maître devait revenir maintenant, un maître comme Yeshua, serait-il souhaitable que ce Maître se fasse tuer ? A part faire grand bruit aux informations, est-ce que cela servirait vraiment le but ? Et est-ce que quelqu'un peut comprendre quel était ce but ? Yeshua, notre création de 33 ans, quel était son sens complet de mourir sur la croix ? Et Linda faites passer le micro à n'importe quelle main qui se lève ou n’importe quelle main qui reste en bas. David. Oui.

DAVID : Le calvaire. Le mot est sorti.

ADAMUS : Le calvaire. Pas tout à fait, mais à la fin, plus tard. A la fin, plus tard. Il n’y avait pas beaucoup d’informations à ce sujet à l'époque. Les Esséniens de retour dans leur communauté, de retour dans le Yahad, disaient des choses comme : « Eh bien, il l’avait cherché. Regardez, il forniquait quand il était jeune. Et vous savez, il a abandonné sa famille et la communauté et a erré dieu sait où. Pas étonnant qu'il ait été tué ».  Des trucs dans ce genre. Des trucs dans ce genre. Il n'y a pas eu beaucoup de larmes. Il avait un petit groupe de disciples, d’amis, et ceux-là étaient en deuil. Mais il a fallu des siècles vraiment pour que ceci se passe ailleurs. Ouais. Et est-ce que c’est une si bonne histoire ? Une histoire intéressante, oui, mais est-ce une si bonne histoire ? Il est mort sur la croix. Ouais. Non. Alors, est-ce que tout le monde peut comprendre pourquoi cette sorte de fin à l'époque ? Encore une fois, ceci est votre composite. Quel but servait-il ?

SHAUMBRA 7 (une femme) : Eh bien, je pense qu'il voulait nous passer le flambeau, que s'il était resté en vie nous aurions suivi sa parole plutôt que la nôtre. Et je pense que c'est probablement ce qu'il a appris lors de ses voyages, que c’était son histoire et sa vérité, et il n'avait pas peur des Romains parce qu'il vivait sa vérité. Et si ça devait le conduire à mourir, il n'avait pas peur de cela et donc nous avons pu tous voir cela et aussi comprendre que c'était notre histoire à partir de ce moment là. Bien qu’elle se soit barrée en sucette, bien sûr.

ADAMUS : C’est la meilleure explication que j'ai entendue depuis longtemps. Oui, et s'il vous plaît un prix Adamus pour cela. Merci. (le public applaudit)

Non pas que c'était la meilleure fin de l'histoire, mais Yeshua était arrivé au point où il ressentait que ses disciples, ses amis, et les autres, devenaient obsédés par lui. Vous deveniez obsédés par finalement une autre fausse idole, répondant à présent au nom de Yeshua. Il ressentait que nombreux s’accrochaient à chacune de ses paroles.

Et oui, au départ, il n’y avait pas beaucoup de rassemblements, et ensuite il y en eut de plus en plus. Il ressentait qu’une fois de plus, vous vous soumettiez à quelque chose d’autre. Et il avertit ses disciples à l'époque. Il leur dit : « Si vous continuez ainsi, je partirai ». 


Ils pensèrent qu'il voulait dire qu’il retournerait en Inde ou quelque chose comme ça. Il leur dit : « Si vous continuez, je disparaîtrai, parce que je suis ici pour vous dire que Dieu est en vous. Ne regardez pas Dieu en moi, mais Dieu en vous ». Et il ressentit que finalement, il serait préférable de partir.

Il avait dit à Marie Madeleine, dès le début, que leur relation ne serait pas de long terme. Qu’ils n'allaient pas devenir des grands-parents regardant, assis dans des rocking-chairs, de vieilles sculptures de pierre de leur jeunesse, qu’il allait partir assez rapidement. Et, ce faisant, il n'a vraiment jamais voulu dramatiser cela. Il ne voulait pas être un martyr, mais il voulait vraiment démontrer certains points, et l'un d'eux était de montrer à ses disciples de l'époque que la vie continue.

C’était plus important encore que son ascension… parce que, voyez-vous, certains des disciples de l'époque pensaient qu’ils étaient juste en train d’halluciner, vous savez, d’avoir des visions ou autre. Ils avaient bu du mauvais vin et Jésus était soudain apparu. Certains d'entre vous ont eu cela. Mais il ressentit que la véritable manifestation du « Je vis » était la fécondation de Marie-Madeleine après son départ. Que cela serait la preuve que la vie continue, que vous pouvez ascensionner avec votre corps, que ce n’est pas juste une apparition, une vision des disciples sur le chemin, que de voir soudain Yeshua. Mais : « je ferai cet enfant avec Marie, et alors vous verrez que la vie continue. Et alors vous verrez que vous pouvez prendre votre corps avec vous ».

Cette histoire n'a pas été tellement écrite, hm, et même pas du tout. Cela aurait été une bien meilleure histoire que juste, vous savez, se lever du… et se promener et rencontrer quelques disciples. C'est la véritable histoire de la vie, peut-être la véritable histoire de Noël qui devrait être dite.

Alors prenons une bonne et profonde respiration avec l'histoire de Jésus, le Jeu de Jésus. Oui, il y a une question. Microphone, s'il vous plaît.

ALAYA : Comment a-t-on prouvé que Marie a été fécondée par Yeshua ? Comment… comment… Je suis sûr qu'elle…

ADAMUS : Il suffit de lui demander.

ALAYA : Eh bien, mais comment… Je suis sûre qu'on lui a demandé qui… comment elle est devenue enceinte.

ADAMUS : Oui.

ALAYA : Comment quelqu'un ne… Je veux dire, personne n’a douté d’elle ?

ADAMUS : Oh, pensez-y en termes d’aujourd'hui. Donc dans notre cas Yeshua était parti depuis environ quatre mois et tout à coup elle dit : « Je suis enceinte. Je n’ai pas eu mes règles » et vous pouvez imaginer les autres, en particulier les autres femmes, qui réagirent avec des « Ouais, bien sûr. Vraiment ? Il vient juste de partir. On vient de l’exécuter. Il a traversé tout cela, et tout à coup, tu sors t’éclater avec quelqu'un d'autre ? » C'est exactement ce qu’ils ont pensé. Ils ne le dirent pas tout à fait comme ça. Ils parlaient un peu différemment à l'époque. S’éclater, vous savez, le faire, avoir une relation avec quelqu'un d'autre.

Et bien sûr, cela a causé beaucoup d’interrogations, beaucoup de ragots dans la communauté à ce sujet, mais ceux qui connaissaient vraiment Marie-Madeleine — la nouvelle Marie-Madeleine, pas l’ancienne Marie-Madeleine ; la Marie-Madeleine réformée, ainsi que nous avions l’habitude de l'appeler — comprirent qu'elle ne mentirait jamais à ce sujet.

Et puis, quand le bébé — les bébés — sont arrivés, tous ceux qui avaient des yeux pour voir purent voir qu’ils ressemblaient à Yeshua et qu’ils avaient cette sorte de lueur dans les yeux qui appartenait à Yeshua, vous savez, les enfants.

Les enfants ne vécurent pas très longtemps. Ils sont morts après que Marie soit partie en France. Ils eurent beaucoup de difficultés (à s’adapter) parce qu’ils étaient les descendants de deux êtres très exceptionnels, dont un n'était même pas dans son corps physique. Il était un sperme de lumière, donc c'était un peu différent de la normale. (Quelques rires) C'était le cas  ! (Adamus rit) Ils eurent donc beaucoup de mal à gérer les énergies. Ils ne vécurent pas longtemps et ce n'était pas… on a dit que c'était une grippe ou une maladie qui circulait à l'époque qui les a emportés, mais c’était juste qu'ils ne pouvaient pas le gérer.

C’est pareil pour un grand nombre d’enfants Crystal qui arrivent en ce moment. Ils arrivent en étant si transparents et si peu accoutumés aux façons de faire sur Terre qu’ils arrivent et se retrouvent avec des choses comme le TDA (Trouble Déficitaire de l’Attention) et d'autres sensibilités du même ordre, sensibilités allergiques, autisme et d’autres choses comme ça. Ils ont beaucoup de mal à s'adapter à cette énergie.

Et devinez quoi ? C’est pareil pour vous ! Vous qui avez — beaucoup d'entre vous ont vécu ici plus de mille vies et sont très familiers des façons de faire sur cette Terre — vous avez du mal avec ça. Il y a tellement d'énergie qui arrive en ce moment, et ça vous affecte, ainsi que nous l’avons entendu dire récemment par quelques personnes. Oui, l’année dernière, la semaine dernière — des énergies folles. Attendez l'année prochaine. (Adamus rit) Ahh, mais vous êtes à l’endroit parfait et c'est exactement la raison pour laquelle je suis passé par l'ensemble du Jeu de Jésus aujourd'hui et l’ai amené à cette fin plutôt triste de mourir sur la croix. Peut-être que ce n'était pas la meilleure chose, mais elle semblait appropriée à l'époque. C’était une période différente de ce qu' elle est maintenant, mais vous l’avez portée avec vous depuis tout ce temps.

 

La grande question

Vous avez cette question à l'intérieur de vous qui vous taraude, et ce, à tous les niveaux. Elle vous taraude à votre niveau humain très pratique. Elle vous taraude à un niveau ésotérique, spirituel et de maître.

La question que vous vous posez, et Linda si vous vouliez bien écrire cela s'il vous plaît, et vous allez peut-être être un peu perturbés au début, et vous allez déambuler en disant : « Je ne comprends pas ce qu’il a dit aujourd'hui. Cette chose avec le Jeu de Jésus, et je crois que c’était assez intéressant. Et ensuite il a dit que je me promènerais avec cette question, mais je ne suis pas sûr que je le fasse ».  Et puis dans quelques jours vous allez vous rappeler que vous le faites.

Comment cela se finit-il ? C'est ma question aujourd'hui. C'est pourquoi nous avons joué le Jeu de Jésus. Comment cela se finit-il ? Grande question, et ça va être une grande question alors que nous entrons dans la nouvelle année.

Comment cela se finit-il ? C'est une question que chacun de vous s’est posée à un niveau très pratique. « Comment cela se finit-il ? Ai-je 65 ans ? 85 ans ? Arriverai-je jamais à cette illumination ? Vais-je atteindre l'illumination et quitter la planète ? Arriverai-je à l’illumination et soudain certains groupes (d’E. T. ) débarqueront » — Je ne veux en mentionner aucun — « certains groupes religieux vont-ils venir me pourchasser, et me tuer ? Vais-je être un martyr ? Vais-je être si différent des autres que je serai obligé de quitter cette planète, parce qu'ils me suivront et viendront m’adorer et faire toutes ces choses grossières sans me laisser — hmm — tranquille, à juste être un Maître ? »

C’est la question — et vraiment le thème de ce Shoud c’est : « Comment cela se finit-il ? ». Je ne vais pas vous donner la réponse. C'est à vous en fait de vous tarauder le ventre, le cœur et l’esprit d’ici notre prochaine réunion. Et nous ouvrirons notre prochaine réunion, après mon monologue, nous l’ouvrirons en revenant à ça. Comment cela se finit-il ? Qu'est-ce que cela signifie pour vous ? Que projetez-vous, pensez-vous, supposez-vous à ce sujet ? Je vous donnerai un petit indice. Comment cela se finit-il, comment est-ce que vous l’envisagez  ? Comment mourrez-vous ? Comment cela se finira-t-il ? Est-ce qu’il n’y aura rien comme vous l’avez toujours pensé. Rien.

Donc, nous entrerons dans tout cela lors de notre prochain Shoud. Il s’agissait de faire un peu la promotion de notre prochain Shoud. Je suis en compétition avec les autres Maîtres Ascensionnés, afin de faire de grosses audiences ici. (Quelques rires)

Comment cela se finit-il ? Que pensez-vous ou craignez-vous ? Comment cela se finit-il ? C'est pourquoi nous sommes passés par le Jeu de Jésus aujourd'hui. C’était une introduction pour vous dire regardez ce qui lui est arrivé, et comment cela va-t-il finir pour vous ? Qu'est-ce qu’il se passe quand vous trépassez, à chaque fois que ça se produit ? Qu’est-ce qu’il se passe ensuite ? Ah ! Ce sera un grand Shoud.

Donc, en attendant, parlons un peu de… euh, faisons une chose très rapidement. J’ai dit que Yeshua était retourné en Palestine — heu, politiquement incorrect — en Israël. Il est retourné en Israël après ses nombreuses, très nombreuses années au loin. Vous avez déjà remarqué qu'il y avait un trou énorme dans la Bible dans la période se situant entre ses 14 et 33 ans. Pourquoi n’y a-t-il pas plus de gens qui aient dit : « Qu'est-il arrivé ? » Il ne faisait pas des chaises et des tables ou même des grandes croix. (Quelques grincements de dents et des rires) Nous pouvons plaisanter à ce sujet à présent, parce que nous savons qu'il avait des relations sexuelles (rires) Alors qu’est-il advenu lors de ces années perdues ? Comment se fait-il qu’il n'y ait pas d’explication pour cela ? Cela a juste été passé en quelque sorte sous silence. Eh bien, oui, vous savez, il renverse les tables dans le temple à 12 ans et puis vous n’entendez plus parler de lui jusqu'à ses 30 ans. C'est un assez long intervalle. Ouais. Oui. Une question ou un commentaire ?

SHAUMBRA 8 (un homme) : C'est un commentaire et mon commentaire c’est : parce que ça ne collait pas avec le plan établi pour le prosélytisme.

 DAMUS : Exactement. Exactement. Ça ne collait pas au plan. Pourquoi les humains sont tellement endormis — pas vous, mais les humains en général — tellement endormis que personne n’a eu cette remarque d’une précision absolue en disant : « Je n’irai pas à la communion tant que je ne saurai pas ce qu'il a fait entre 14 et 30 ans. Je n’irai tout simplement pas à la confession non plus. Jamais… dites-moi ou sinon… » (Quelqu'un dit « Ils ne savent pas ») Eh bien, ils ne savent pas. C'est absolument exact. Mais ils n’inventent même pas une histoire de charpentier ou quelque chose comme cela. Ils n’inventent même pas une histoire où il serait allé travailler pour une association humanitaire pendant un certain temps. (Adamus rit) Rien. Rien. Ils ont juste — oups ! — « N’en parlons pas » C'est juste un peu étrange, et ce genre de choses ne peut pas et ne va pas continuer à l'avenir. Ça ne peut pas. Ça ne peut pas.

Je suis étonné que, sinon, de bonnes gens aient juste dit : « Oh, d'accord. Eh bien, oui, pas de trace écrite ».  Ce genre de choses, la conscience s’élève trop en ce moment. Ce genre de choses ne peut pas continuer. Les gens vont se poser des questions maintenant. Ils vont être audacieux. Ils vont sortir et dire : « Non, non, non, non, non. Cela n'a pas de sens, toute cette histoire de naissance virginale. N’y a-t-il pas une histoire de fornication depuis l’autre monde. A présent c'est une bonne réponse. C'est, oui, c'est une histoire ».  Ça va soulever quelques sourcils. Faire un bon film Hollywoodien. (Quelques rires) C'est le paradis en vous. Alors… (les rires continuent) Il y a un double sens là, mesdames et messieurs. (Adamus rit)


2014

Alors, voici ce que je voudrais faire. Faisons un… Je vais faire ceci dans l'ordre. Commençons par ceci — 2014. Nous allons en parler dans notre prochaine rencontre le mois prochain. (en référence à l'événement  ProGnost) Comme je l'ai dit lors de notre dernière rencontre, 2014 sera l'année de l'amour difficile. Ce sera aussi l'année de la découverte de dons en vous-mêmes ; l’année de l'amour difficile, l’année des dons à l’intérieur de vous-mêmes.

Il y a des choses en vous, déjà là. Vous les avez créées, vous les avez faites. Elles font partie de l'énergie de semence Christique, et elles sont tout juste — elles sont comme des cristaux, oui, des cristaux en vous. Elles n'ont juste pas été mises en avant pour de nombreuses raisons que nous n'avons pas besoin de connaître, mais ces dons et talents sont les vôtres. Personne ne vous les a donnés. Ils vont vous étonner. Des choses que vous ne saviez même pas que vous aviez — des visions, des talents, de la créativité — qui vont être, disons, poussées en avant. Elles vont émerger. Les temps seront difficiles, et cela poussera ces belles choses en vous à enfin émerger. Un petit coup de coude va les faire sortir.

Permettez-moi — je sautille ici mais c’est exprès — permettez-moi de vous dire une chose à propos de la créativité, parce que cela nous ramène à ce que vous allez découvrir, aux dons que vous avez toujours eus qui vont juste vous étonner. Et ensuite cela vous étonnera que vous ne les ayez pas fait émerger plus tôt.

Mais les visions et les capacités et les talents qui sont en dormance chez vous en ce moment, vont pour une raison quelconque, émerger.

 ~ Créativité

Laissez- moi vous dire une chose au sujet de la créativité. La créativité est essais et erreurs. Il ne s'agit pas de faire les choses de façon juste la première fois. La créativité est essais et erreurs. La divinité l'est aussi en quelque sorte, mais elles sont reliées. Il y a un désir humain de bien faire les choses tout le temps chaque fois ou de ne pas les faire du tout. En d'autres termes, succès garanti que ça va fonctionner. Les créateurs véritablement brillants sont ceux qui sont prêts à faire des erreurs.

Tesla —il a fait beaucoup d'erreurs en cours de route. Beaucoup de vos inventeurs et scientifiques et hommes de progrès célèbres ont fait beaucoup d'erreurs.  Nous nous asseyons au Club des Maîtres Ascensionnés et nous plaisantons à ce sujet. Nous disons : « Un être humain qui réussit vraiment est celui qui a juste dix-huit pour cent du temps ». Et combien de pourcentage reste-t-il pour ne pas avoir juste ? Calculez rapidement. Beaucoup. Tout simplement beaucoup. Je ne dis pas que vous êtes bloqués là dedans. Vous pouvez avoir juste 50 pour cent du temps. Peut être 70 %, j'en doute, et ce n'est pas important.

La créativité est une question d'essais et d'erreurs. Un créateur n'essaye pas d’avoir tout juste. Seul l’humain, seul un être mental essaye d’avoir tout juste. Un créateur va simplement créer. Cela n'a pas d'importance. On peut dire d'une certaine manière qu'il n'y a pas de jugement, mais en fait, ce 'est pas lié au résultat. « Je crée — oh, ça fonctionnait très bien. Je crée-pfft ! Wow ! » Cela ne s'est pas tout à fait manifesté comme je l'avais espéré”. Ce qui est drôle c'est qu'un créateur illuminé comprend que cela s'est vraiment manifesté quelque part, peut être dans une autre dimension, de façon parfaite. Cela ne s'est tout simplement pas révélé ici à sa juste mesure. Pourquoi ? Parce que les énergies défient, sont difficiles, denses, pénibles, vicieuses, associées aux autres gens et tout le reste, et parfois, hop, elles ne se manifestent pas ici de façon adéquate.

Cela ne signifie pas que vous ayez mal fait quelque chose. Cela signifie simplement que peut-être vous étiez en avance sur votre temps, ou peut-être aimez-vous créer dans d'autres dimensions, et peut-être n'était-ce pas tout à fait les bons ingrédients.

Alors le véritable créateur crée de nouveau, juste pour la joie de l'expérience, sans se soucier si c'était bon ou mauvais.

Donc la capacité de création est basée sur les essais et les erreurs. Un véritable créateur prend plaisir aux deux, mais est fou de joie quand effectivement il réussit —quand ce qu’on ressent, ce qu’on dit est juste, cela se manifeste ici dans cette réalité un peu comme on veut — dix-huit pour cent du temps. Très bien. Peut-être pouvez-vous faire mieux. En nous projetant dans l'année prochaine — et tout sera entièrement lié, cela n'a pas du tout de sens pour le moment, mais un de ces jours vous direz : « Oh ! Maintenant, je comprends » - en nous projetant dans l'année prochaine, ce sera à la fois l'année de l'amour difficile, l'année de la découverte de talents et de dons latents en vous-mêmes qui — je le mettrai par écrit et je garantis un retour sur investissement dans ce Shoud — qui va vous époustoufler.

Cela va littéralement vous époustoufler l’année prochaine et faire exploser ce qui est latent en vous.

~ Confiance

L'autre chose à propos de l'année prochaine, et c'est un vieux sujet, mais nous devons en parler à nouveau et probablement encore après cela, c'est la confiance. L'année prochaine, en particulier — et ce n'est pas à propos de l'inquiétude, mais de la conscience — l'année prochaine vous aurez une seule chose à laquelle vous raccrocher, et c'est vous. Et c'est vous. Cela exige de la confiance.

Si vous êtes en manque de confiance en vous-même et que c'est la seule chose à laquelle vous deviez vous raccrocher, oh, ça va être un long, long chemin vers le bas.

Sauf si vous avez confiance en vous. Cependant la confiance est une chose délicate. Beaucoup d'entre vous disent : « Oh oui, je me fais confiance ». Pas vraiment.

Non, vous dites cela, mais vous ne vous faites vraiment pas confiance. Vous ne me croyez pas ? Jetez un oeil à vos actions et réactions. La confiance est une sorte d'abandon, dans un sens, mais la confiance est… la confiance, pour certains Maîtres, a été de dire  : « Je n'ai plus rien d’autre. Il ne me reste plus rien. C'est tout ce que j'ai.

Je ne peux même pas me forcer à cela. Je ne peux pas me forcer à y croire, mais c'est tout ce que j'ai car tout le reste est parti ». C'est ainsi que vous découvrez la véritable confiance, au passage. Ouais. L'année prochaine, il s’agira de vous faire confiance.

Je peux vous dire ceci et vous n'allez pas nécessairement le croire, mais il suffit de le faire. Faites-vous juste confiance. Même si vous pensez que c'est mal, c'est toujours bien. Cela l'est vraiment. Même si vous pensez : « Oh, j'ai pris un mauvais tournant ; j'ai fait la mauvaise chose ». Regardez Yeshua, par exemple.

Il a eu une romance un soir sous les étoiles, s'est laissé un peu emporter, ne pouvait pas le garder sous la robe, et tout à coup… (quelques rires) Soudain, il a fait exploser toute sa carrière d'enseignant au Yahad. Ça a mis la pagaille dans sa vie. Oh, il se sentait mal ». Oh mon dieu ! beurk ! Je déteste ce truc en bas ! Regardez, cela m'a causé tant de problèmes ». C'était en fait vraiment divin, parce que cela l'a sorti de cette communauté. Oh mon dieu, c'était si ennuyeux là-bas. Et puis, quand sa première femme est morte, quand sa seule et unique femme est morte, et qu’il y avait tous ces sentiments de culpabilité — « J'aurais dû la guérir. J'aurais dû connaître le bon hymne aux herbes » ou quoi que ce soit d’autre : « Et Dieu » vous savez : « Il ne m'a pas m'écouté, donc je dois être un pécheur ». Comme c'était dur pour lui. Mais pourtant, c'était divin. Cela l'a sorti de la communauté. Cela l'a empêché de poursuivre ses études. C'était vous ! C'était la semence du Christ à l’oeuvre.

Et vous pensez que c'était facile pour Yeshua de se faire confiance, et de dire : « Ah oui. Ouais, c'est exactement ce que j'avais prévu. Ah ah, ah ah. Ouais ». (Quelques rires) « Ouais, jeté dehors, ma femme est morte et ma vie est ruinée. Mais, oh bien sûr. C'est moi. Je suis un créateur ». Mais en fait, il l'était. En fait, il l'était. Il y avait suffisamment de solutions intégrées au cas où il serait resté coincé dans cette communauté réellement ennuyeuse ; il y avait suffisamment de remèdes intégrés, même l'angoisse qui l'a traversé, et qui a fait démarrer sa quête. Quoi d'autre aurait pu le faire à cette époque ? Parfois… je parle trop ? (quelques uns dans l'audience disent « Non ») Non. Bon, parce que je vais continuer à parler. (Adamus rit)

Aussi difficile que pouvait-être la mort de sa femme, ce n'était pas un accident, pour ainsi dire, et s'il avait eu confiance en lui-même, il en aurait compris la sagesse.

S’il s’était fait confiance, elle ne serait pas décédée en fait. C’est dire que de nombreuses choses qui se produisent ne doivent pas se produire. Jésus n’aurait pas dû mourir sur la croix si suffisamment de personnes s'étaient fait confiance. Beaucoup de choses dans votre vie n'auront pas à se produire si vous vous faites confiance. Si vous êtes absolument catégorique « Je n'ai rien d'autre dans ma vie », faites-vous confiance. Cela changera l'expérience. Le résultat, le résultat final sera toujours le même — l'illumination. Je dirais que la plupart d'entre vous ont pris cet engagement, vous avez une bonne chance de réussir dans cette vie, une bonne chance. Au moins une chance de trois pour cent dans cette vie. (rires et soupirs) C'était une blague.

Vous avez une probabilité de 100 pour cent. Ouais, ouais. Ouais. Il y a ce potentiel.

La plupart d'entre vous ont sérieusement un excellent, excellent, excellent potentiel de réalisation — je ne veux même pas l'appeler illumination ; réalisation — dans cette vie, si vous vous faites confiance. Je peux difficilement enseigner la confiance. Je ne peux guère le faire. Je peux dire les mots. Nous pouvons avoir des merabhs sur la confiance et le reste, mais si vous n'avez pas confiance en vous, vous n'avez pas confiance en vous. Ce qui tendra à se produire si vous n'avez pas confiance en vous — alors que vous êtes sur ce chemin, que vous en venez à vous éveiller et que vous n'avez pas confiance en vous — tout vous sera arraché, alors tout ce que vous aurez laissé, c'est vous. Ce n'est pas une mauvaise chose, mais cela ne doit pas se produire de cette façon. Cela ne doit pas se produire. Vous pouvez réellement vous faire confiance.  Et pas faire confiance au soi de vos vies antérieures, pas cet ange doré. Je parle de confiance en vous, vous qui êtes assis ici en ce moment avec ce grand sourire sur votre visage — en confiance. En confiance de ce que vous avez cet être beau et exceptionnel qui rajeunit tout le temps, dois-je dire. Je ne sais pas ce que vous faites, mais amenez-moi avec vous ! Cette exceptionnelle confiance en vous.

Ce n'est donc pas nécessaire de passer par une expérience déchirante. Il n'est pas nécessaire d'entrer totalement dans ce scénario.  Certains d'entre vous se sentent comme un genre d'astéroïde se dirigeant vers quelque étrange conclusion.

C'est pour cela que je vous demande comment cela finit-il ?

Comment cela se termine-t-il ? Et vous êtes genre : « Oh, je suis hors de contrôle. Je me sens largué contre ce mur, et soudain boum » ! Cela n'a pas à se produire de cette façon. La confiance en vous-vlan ! — change toutes ces dynamiques. Je ne peux pas enseigner la confiance. Je ne peux que vous demander de la ressentir à l'intérieur.

Maintenant, vous ressentez à l'intérieur, vous dites : « Bon, je vais me faire confiance » deux choses se produisent. Tout d'abord, vous dites : « Eh bien, j'ai foiré dans le passé ». Non, je viens de vous le dire. La capacité de création est basée sur les essais et les erreurs. Vous n'avez pas foiré. C'était une expérience.

Deuxièmement, l'autre alarme se déclenche, une plus grande alarme : « Ouais, je peux me faire confiance, mais eux ? Je ne peux pas faire confiance aux autres, parce qu'ils vont m’entuber. La minute où je baisse mes gardes, ils vont arriver. Ils vont prendre ma maison, mon argent, tout ce que j'ai. Me manipuler, profiter de moi ». Non.

Quand — vous pouvez écrire cela aussi — quand vous vous faites confiance, tout à coup vous faites confiance à tout le monde. Soudain, vous faites confiance à tout le monde. En fait, la vérité est connue, quand vous vous faites confiance, le mot « confiance » sort du dictionnaire. Il ne s'applique plus à la maîtrise, à l'illumination. Quelqu'un vient vous parler de la confiance, vous ne faites aucun lien avec ce mot, il est si vieux et étranger. « La confiance, oh, quel vieux mot ». Vous n'avez même pas besoin de penser à faire confiance aux autres. C'est implicite. C'est déjà là.

Et je sais, je peux entendre certains d'entre vous, en particulier en ligne, criant : « Mais j'ai essayé cela avant et la minute où j'ai baissé ma garde, on a profité de moi ». Eh bien, (a) vous n'avez pas baissé votre garde, (b) on ne peut pas profiter de vous, sauf si vous êtes un peu dans cette énergie de victime.

Sinon on ne peut pas. Lorsque vous vous ferez confiance, vous ne serez jamais dans la situation où vous avez à vous soucier de faire confiance aux autres ou de ne pas leur faire confiance. Vous ne serez jamais dans cette situation. Cela n'arrivera même pas. Donc, vous n'avez pas à vous soucier que quelqu'un prenne quelque chose de vous. Vous ne serez juste jamais dans cette circonstance. Par contre, vous entendrez des histoires d'autres personnes qui le sont. Vous entendrez des histoires de gens qui sont victimes de violence, dont les autres ont profité, et ce sera juste comme : « Wow. Hein, cela ne s'est même pas produit avec moi. Je me demande pourquoi ? » Parce que vous vous faites confiance. Parce que vous vous faites confiance.

Donc, le temps file. Je crois comprendre qu'il y a une fête. Je crois comprendre qu'il y aura un peu de danse, quelques costumes — hem. Un peu de vin, et je crois comprendre qu'il y aura même  de la liqueur Saint-Germain.  (quelqu'un dit : « Ouais ! »)

LINDA : Mmmm.

ADAMUS : Ahhh, oui.

Mais avant de faire cela finissons cette session — finissons cette session avec une petite expérience. Cela signifie monter le son pour la musique. — Lumière, musique scintillante genre merhab — et baisser les lumières. Ahh, oui. Nous avons eu une bonne séance aujourd'hui, le jeu de Jésus, l'histoire de Jésus.


Comment cela se termine-t-il ?

(la musique commence, Lonely Road de l'album « Journée de la vie » par Bernward Koch) Nous avons parlé de ce sujet : « Comment cela se termine-t-il ? C'est une sorte de devoir pour notre prochaine session. On pourrait argumenter sur la fin de vie de Yeshua qui ne s'est pas si bien terminée. Ce n’est pas un si bon exemple, mais, ainsi qu'on l'a souligné, c'était il y a longtemps.

La conscience était différente. Les choses finissaient différemment à l'époque. La semence de conscience Christique était encore en train d’être apportée à cette planète, et elle a été apportée avec une connaissance que la planète n'était pas tout à fait prête. Il n'y avait pas d'erreur, pas d’'incertitude quant au fait que cela prendrait 2000 ans. C'était connu à l'époque. Il s'agissait d'apporter, de planter cette graine du Christ afin que vous, dans une autre incarnation avec un autre nom, puissiez revenir et récolter la chose que vous aviez apportée.

Vous ne l'avez pas vraiment amenée ici pour le reste du monde. Vous saviez qu'il en bénéficierait un jour. Vous l'avez apportée pour vous. Vous pourriez dire que ce temps est comme une autoroute. Le temps a passé 2000 ans de kilomètres ou de miles. Vous saviez à l'époque que vous seriez ici dans 2000 ans, à ce point du voyage cosmique. Vous avez mis là les semences du Christ il y a 2000 ans, de sorte qu'elles soient ici pour vous en ce moment. Vous saviez que vous en arriveriez à ce point, que vous en auriez besoin, vous le vouliez, et voici.

Il aurait été probablement très bouleversant pour la balance des énergies de la faire germer il y a 2000 ans. Même votre composite Yeshua le savait. Quand ceux qui le poussaient et faisaient pression sur lui en disant, presqu’avec un peu d’envie : « Non, faites la fleurir maintenant. Apportez-la tout de suite. Nous la voyons en vous. Nous la voulons maintenant », Yeshua disait : « Non, Vous n’êtes pas encore tout à fait prêts ». Ils disaient : « Oui, mais Maître, Maître, quand serons-nous prêts ? Est-ce que ce sera dans un an, dans dix ans ? Nous apprendrez-vous comment nous préparer ?» Et Yeshua disait : « Je ne peux pas ». Il disait : « Je peux vous dire que vous n'êtes pas prêts, parce que vous n'avez pas confiance en vous-mêmes encore. Vous me mettez encore sur un piédestal. Vous voulez encore que je vous sauve, que j’accomplisse des miracles pour vous, que je vous vous enseigne. Non, vous n'êtes pas tout à fait prêts ».

Donc, l’histoire se termina pour Yeshua, en quelque sorte. D'une autre manière, l’histoire a continué. L'histoire s’est scindée en deux, vous savez, bien sûr. Il y a eu d’un côté l'histoire du Jésus de la Bible et puis de l’autre, il y a l'histoire de Yeshua. L'histoire de Yeshua s’est poursuivie aussi. Cette énergie, cette semence du Christ, cette bénédiction a survécu jusqu’à aujourd’hui. Mais cette partie de vous qui est Yeshua revient une fois de plus en vous disant : « Sommes prêts pour que les semences du Christ fleurissent, grandissent ? ». Ce même composite de Yeshua vous dit : « Êtes-vous prêts à vous faire confiance ?» Deux mille ans plus tard, il dit : « Je reviens vers vous. Etes-vous prêts à vous faire confiance profondément, sans équivoque, de manière inconditionnelle, pas de si, pas de mais, ou de je ne sais pas“.

Il revient et dit : « Êtes-vous prêts à être dans cet état de confiance divine quoiqu'il se passe ? Même si vous pensez que vous faites des erreurs, dépassez cela et mettez-vous dans une position de confiance. Même si cela vous fait peur, vous terrorise au niveau le plus profond, fait remonter toutes vos peurs — peurs de la maladie, peurs de la pauvreté, peurs d'être seul, peurs de, eh bien, de la fin — êtes-vous prêts à être dans cet état de confiance ? » Et je ne veux pas édulcorer cela et dire « Oh, ayez confiance en vous-mêmes. C'est tellement joyeux et amusant et heureux et il y a le soleil et les arcs-en-ciel ». Non, il y a des démons et des dragons aussi. C'est la peur qui pourrait arriver à l'intérieur de vous et vous geler —geler votre cerveau, geler votre corps. Geler, comme dans le grand froid. Vous faire confiance de telle façon, aussi profondément, aussi implicitement vous retourne le ventre. Submerge votre mental — trop de pensées, trop de questions.

C'est l'outil pour l'année prochaine — la confiance. Oh, nous en avons parlé à maintes reprises. Mais elle est de retour. Pour certains d'entre vous c'est tout ce qu’il vous reste, en quelque sorte. Bien sûr, vous avez des vêtements et une bouteille de vin pas cher dans le réfrigérateur, mais c'est vraiment tout ce qui vous reste. Votre compte bancaire est à sec. Votre voiture ne fera probablement pas une autre année. Mais vous avez cette confiance.

Ne confondons pas le jeu de Jésus avec celui-ci. Ne le finissons pas comme ça a fini pour lui(Jésus), car avec cette confiance tout change. Le plus drôle, c'est que vous n'avez même pas besoin d'y penser. Vous n'avez pas à planifier quoi que ce soit après cela. Vous n'avez pas à travailler sur les choses. On arrive à ce niveau de confiance. Vous n'avez pas à vous soucier des autres personnes, de l'IRS ou d’autre choses comme ça, des ET et des complots. Lorsque vous êtes à ce niveau de confiance profond, simple, basique, les autres trucs ne vous touchent pas, ne vous affectent pas.

Donc cela va être quelque chose qui va revenir à nouveau pour vous, oh, au moins dans les 30 prochains jours ou plus avant notre prochain Shoud. La question est « Comment cela se termine-t-il ? » Et la question est aussi : « Puis-je me permettre ce niveau de confiance ? »

Et avant que vous ne répondiez à la question, si vous dites oui, vous aurez l'expérience qui — comment dire —vous le confirmera en vous-mêmes, de façon à vous montrer que la confiance n'est tout simplement pas juste un concept mental, juste là avec votre connaissance intérieure. Ensuite, vous serez en mesure de voler à travers tout, quoi que ce soit.

Prenons une bonne et profonde respiration, mes chers amis.

Réjouissons-nous en cette période de vacances et grâce à la camaraderie et aux rires que nous avons ici, d’être capables à partir d'aujourd'hui, de parler de Yeshua et Jésus, en étant quelque peu irrévérencieux. Non, véritablement irrévérencieux. J’attends impatiemment de voir les clips de YouTube sur celui-ci. (rires) Mais surtout d’en venir au point qui, en fait, compte vraiment, qui est vraiment, vraiment important. Prenons une bonne et profonde respiration et toujours avec cette connaissance intérieure qui, quoi qu'il en soit, peu importe la difficulté, peu importe ce qui est stupéfiant, eh bien, tout va bien dans toute la création.

Et il en est ainsi.

Je suis Adamus, en joyeux service pour vous. Merci. Merci. (applaudissements)