LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Découverte

SHOUD 1: “Découverte 1” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 7 Septembre 2013
www.crimsoncircle.com

Je Suis ce que Je Suis, Adamus La facette de Saint-Germain d'inspiration Shaumbra. (Applaudissements de l’assistance) Merci.

Commençons donc notre nouvelle série, la série Découverte. Prenons une bonne et profonde respiration.

Je vous demande tellement souvent de prendre une bonne et profonde respiration et laissez-moi m’approcher un peu plus de vous, laissez-moi m’approcher aussi près de vous que je le suis de Cauldre — Geoffrey — en ce moment. Oh, et je suis en lui. Oui, je vais rester là un moment. J'ai oublié de lui dire. Je ne vais pas partir tout de suite.

Alors, prenez une bonne et profonde respiration et invitez-moi, Adamus, si près de vous que vous puissiez me sentir chatouiller vos entrailles — oui, toutes vos entrailles, jusqu’à pouvoir me sentir dans votre cœur, jusqu’à pouvoir me sentir côte à côte avec vous.

Prenez une bonne et profonde respiration.

Vous voyez, cela demande beaucoup d’audace et de courage pour accepter quelqu'un dans une telle proximité, pour accepter quiconque — même vos proches, vos enfants, n'importe qui — dans cette proximité, car il y a des couches et des couches de protection, de défense, d’énergie matérielle et psychique tout autour. Mais quand vous arrivez à accepter quelqu'un dans cette proximité étroite au point qu'il soit vraiment en vous, capable de vous étreindre de l'intérieur, vous avez atteint un niveau de conscience en ayant confiance, en permettant, qui va bien vous servir.

Donc, chers Shaumbra, prenez une bonne et profonde respiration.

Quand vous arrivez à vous faire confiance au point de me laisser entrer dans vos pensées, dans votre esprit, c’est cela vous faire confiance, en ayant autant de confiance et d'équilibre en vous.

Si vous pouvez me laisser entrer, vous pouvez laisser les autres entrer également. Si vous laissez entrer les autres, vous verrez qu’ils ne peuvent jamais vraiment vous faire de mal, jamais, jamais rien vous enlever. Ils peuvent créer beaucoup d’illusions. Ils peuvent jouer le jeu de faire croire qu'ils peuvent vous prendre quelque chose et vous pouvez jouer le jeu de faire croire que vous êtes une victime, prétendant que vous êtes vulnérable. Mais prenez une bonne et profonde respiration. Si vous pouvez me laisser venir dans cette proximité, cette profondeur, cette intimité, vous avez atteint un niveau de conscience — de vraie conscience — de vous-même.

Oh, et en parlant de vous-même, pourquoi ne pas prendre une bonne et profonde respiration et vous accepter dans cette intimité. Uhhhh, un peu plus difficile, un peu plus difficile pour vous de vous accepter dans cette proximité. Nous allons parler de cela et de bien d'autres choses dans notre série Découverte, mais surtout nous allons découvrir qui vous êtes. Oui.

Cela semble facile. Cela ne l’est pas, vraiment pas… C'est l'une des choses les plus redoutées. Nous avons parlé de la peur, Jane, vous et moi, à de nombreuses reprises. Que craignez-vous le plus ? Vous-même, bien sûr — et c’est le cas de vous tous, et de chaque  être angélique. C'est le plus haut niveau de résistance ou de peur, quelle que soit la façon dont vous voudrez l'appeler, mais c'est la chose la plus difficile. Nous allons l’aborder dans notre série Découverte.

Nous entrons dans notre cinquième année ensemble. Nous en avons terminé quatre. Je suis surpris que tant d'entre vous soient encore là. Non, vraiment, en fait, je suis surpris, parce que, voyez-vous, il y a une certaine fascination religieuse et philosophique, pour tenter de donner un peu de sens à la vie, et comme vous l'avez probablement découvert, il n'y a pas vraiment de sens à la vie. Il y a une certaine fascination pour les choses spirituelles, l'occulte, en partie parce que vous les avez étudiés par le passé, en partie parce que l'occultisme, la spiritualité exercent un charme. Ils ont un pouvoir de séduction.

Certains disent qu'ils l’étudient pour trouver une meilleure compréhension de la façon dont les choses fonctionnent, mais non, ils sont pleins de Makyo, parce que vous ne comprendrez jamais la façon dont les choses fonctionnent. Cela n’a pas été conçu pour être compris, cela n’a pas été conçu pour être compris.

Donc il y en a beaucoup qui l'étudient comme une distraction à leur vie quotidienne. Ils peuvent aller jouer à des jeux d'ange. Désolé, mais ce ne sont que des jeux. Ils peuvent impressionner amis et parents avec leur occultisme, leur singularité. Ils utilisent parfois la spiritualité et le new age comme un voile de leur nature plutôt étrange, et ils appellent ça simplement New Age. (quelques rires étouffés) C’est très vrai. Très vrai.

Mais comme vous le savez depuis le début avec Tobias, depuis le moment où j'ai commencé à venir à vous en 1999, nous ne sommes pas ici pour être spirituels ou New Age. Cela ne fonctionne pas. Cela ne fonctionne pas. Nous sommes ici, vous êtes ici pour votre illumination incarnée.

Il n'y a vraiment rien à étudier. Rien du tout. Il y a beaucoup à découvrir et il y a beaucoup à réaliser. Vous êtes venus ici, mois après mois après mois… après mois. (Adamus rit) Vous avez réellement manifesté et créé cet aspect appelé Adamus. En fait, en tant que Saint-Germain, j'ai un peu de difficulté à entrer dans ce rôle, un peu — certains diraient — un peu désagréable, un peu prétentieux, un peu provocateur. Mais c'est ce que vous créez — la poussée, le clivage, la différence — parce que, bien que vous ayez beaucoup étudié la spiritualité, passé beaucoup de vies dans les ordres religieux, vous réalisez que c'était intéressant, mais que cela n’a pas apporté le véritable accomplissement que vous aviez choisi.

Alors vous êtes venus ici dans cette vie, dans ce groupe appelé Shaumbra, dans cette réunion et avez dit : « Je vais la faire — l'illumination incarnée. — Je me fiche de ce qu'il faudra faire ».  Vous êtes venus ici, un peu dans l'illusion d’arriver ici pour aider à sauver le monde et pour toutes ces autres choses, mais vous constatez qu'il n'a pas besoin d'être sauvé. Et même si c'était le cas, les humains ne vont pas nécessairement accepter votre aide. Ils résisteront à l’aide de quiconque.

Donc, vous venez ici pour l'illumination incarnée. Et vous allez la réaliser. Vous allez la réaliser. Je n'ai aucun doute à ce sujet. Je ne serais pas ici si je pensais qu’il y en avait peut-être un. Et cela se passera ainsi, du moment que vous le choisissez, du moment que vous le permettez. Et cela ne sera pas ce que vous avez imaginé, vous tous. (quelques rires étouffés)

Donc, je suis sûr, et je vous en félicite, que vous allez persister dans cette voie. Vous passerez par des moments difficiles parfois, vraiment difficiles — très difficiles — parce que cela déchire / déchiquète toutes les illusions. Cela déchire / déchiquète les identités. Cela déchire / déchiquète les contre-vérités. Cela déchire / déchiquète ce que vous pensiez être afin que vous puissiez découvrir le vrai vous. Très, très peu d'humains ont jamais parcouru ce chemin. Très, très peu.

Un grand nombre d'êtres humains parlent de religion, de Dieu, de justice et de tout le reste, mais très peu s’arrêtent pour jeter ce regard vers l’intérieur et vers ce voyage intérieur. C'est difficile. Mais vous ne voudriez pas qu’il en soit autrement.

Alors, bienvenue dans la série Découverte.

 

La série Découverte

Dans notre série, qui comptera onze parties, dans notre série chaque mois, nous aurons une discussion — un débat interactif — et je sais que vous les aimez tellement. Vous piaffez d’impatience jusqu'à ce que Linda vous tende le micro. J’ai raison ou pas ? (certains dans le public disent « oui ») Nous aurons des discussions interactives, car il y a beaucoup de sagesse que vous avez à partager. Ouais, que vous avez à partager. Et il est parfois intimidant ce micro qu’on vous tend et de me voir vous regarder et de se savoir regardé par des dizaines de milliers de gens. Mais une fois que vous entendez votre propre voix — et pas seulement les mots qui en sortent, mais le ton, la profondeur, l'esprit à travers votre voix, quand vous entendez cela — c'est alors que vous commencez à avoir cette conscience pénétrante. C'est alors que vous commencez à réaliser « Je Suis ce que Je Suis ».  C'est alors que vous commencez à simplifier les mots. C'est alors que vous arrêtez de raconter de longues histoires. C'est alors que tout le monde peut sentir la présence émanant de votre voix.

Nous aurons donc nos discussions. Elles vous rendront gais. Elles vous rendront fous. Peut-être serez-vous un peu bouleversés par moments, mais la discussion, l'interaction est bonne afin que vous puissiez vous entendre.

Bien sûr, j'aurai toujours ma partie d’exposé — ma partie fascinante d’exposé — dans chaque Shoud. Mais ensuite comme nous sommes dans cette série Découverte, chaque mois, nous ferons une expérience. Parfois, ce sera un merabh, parfois un autre type d'expérience. Nous en arrivons au point où nous n'avons plus besoin de parler uniquement des choses, il est temps d'en faire l'expérience. Soyez donc prêt chaque mois pour une expérience.

Lors de certaines expériences vous n’expérimenterez rien du tout sur le moment. En fait, vous expérimenterez quelque chose, mais vous n’en aurez pas conscience sur le moment. Parfois, il faut des heures, des jours, des semaines pour réaliser ce qui s'est réellement passé. Dans les expériences, nous n'allons pas essayer de faire quelque chose. Nous n'allons pas faire d'efforts. Nous allons permettre, puis laissez se dérouler les choses. Pas de stress mental. Pas d'efforts. Simplement permettre.

Nous allons passer par une série d'expériences très spécifiques dans chaque Shoud, chacun travaillant ou développant ce qu’auront apporté les précédents. J'ai également dit à Cauldre que j’essaierai d’être bref, en tout cas un peu moins long.

Mais en fait je regarderai et surveillerai les énergies, ressentirai ce qu’il se passe, parce que, comme je vous l'ai dit de nombreuses fois auparavant, je ne suis rien, sauf une distraction — une charmante distraction humoristique, mais néanmoins une distraction — de sorte que pendant que vous regardez, vous écoutez, vous expérimentez, en fait quelque chose d’autre a lieu ici. Vous êtes assis dans un espace sécurisé, ressentant votre Présence Je Suis et permettant un changement ou un déplacement de se faire doucement, tranquillement et sans y penser.

Rien ne peut plus gâcher un bon déplacement d’énergie, une bonne expansion de conscience que de penser votre manière d’y arriver. Alors je vous distrairai et vous permettrez. Est-ce que c’est un bon deal ? (le public approuve)

Bon. Nous allons donc commencer cette interaction avec la question du jour — si vous êtes prête avec le microphone. (à Linda)

Linda : Oui, monsieur.

ADAMUS : Oh, ne m'appelez pas monsieur. (quelques rires)

LINDA : Voulez-vous que j’écrive la question maintenant ?

ADAMUS : Non, madame, allez vers le public.

Linda : Oui, monsieur.

ADAMUS : Alors, prenez un moment pour ressentir cela sans trop y penser, mais en le ressentant, parce qu'une partie de l'expérience d'aujourd'hui est d’être vraiment à l'écoute — l'écoute de ce qui est déjà là. -

 

La question du jour

Donc la question que je vous ai préparée — question mentale, mais ressentez la réponse — vous trouvez-vous mieux qu’il y a 14 ans lorsque nous avons commencé, ou qu’il y a quatre ans, lorsque j'ai commencé avec vous ? Êtes-vous mieux maintenant ?

Prenez une bonne et profonde respiration et ressentez-le. Êtes-vous mieux ?

Et chère Linda, le micro s'il vous plaît. Et Linda, quelle est votre réponse ? (rires car elle se fige à mi-chemin) On devrait vous prendre en photo ainsi ! (beaucoup de rires) Elle est dans un état de conscience suspendu.

Il y a quatorze ans. Cela a été un sacré voyage pour vous, j'en suis sûr.

LINDA : Je suis mieux. Je suis mieux.

ADAMUS : Mieux.

LINDA : Ouais.

ADAMUS : Pourquoi ? Comment ?

LINDA : J’ai plus de clarté personnelle.

ADAMUS : Bien.

LINDA : Plus de responsabilité.

ADAMUS : Bon.

LINDA : Et je n'ai encore entendu personne dans un avion (rires)

ADAMUS : Un grand bravo. (quelques applaudissements) Bien. Bien.

LINDA : Et j'aime ce que nous faisons.

ADAMUS : Oui. Donc êtes-vous mieux ?

LINDA : Oui !

ADAMUS : Non, je parle à Shaumbra.

LINDA : Oh, vous parlez à Shaum-… oh, oh, oh ! Plus à moi ! En avez-vous marre de moi ?

ADAMUS : (rire) C’est le moment du micro.

LINDA : Vous en avez marre de moi ?

ADAMUS : Oui.

LINDA : D'accord.

ADAMUS : Edith. Bonjour.

EDITH : Bonjour, Saint-Germain ?

LINDA : Adamus.

EDITH : Êtes-vous Adamus ou Saint-Germain ?

ADAMUS : Est-ce important ? Est-ce important ?

EDITH : Non

ADAMUS : Et ne sommes nous pas le même ?

EDITH : Très bien.

ADAMUS : Oui. Lequel préféreriez-vous aujourd'hui ?

EDITH : Je ne peux pas répondre à cela.

LINDA : Oui vous pouvez ! Oui ou non. Adamus, Saint-Germain.

ADAMUS : C'est un peu comme un « Je ne sais pas »

LINDA : C'est une réponse illégale.

EDITH : Je n'ai pas dit que je ne sais pas. J'ai dit que je ne peux pas répondre à cela.

ADAMUS : Donc, Edith, Edith êtes-vous mieux ?

EDITH : Oui, dans le sens où Linda le décrit. J'ai plus de clarté et de compréhension de moi-même. Je sais que Je Suis. Um…

ADAMUS : Ouais. Vous n'avez pas l'air réellement positif à ce sujet.

EDITH : Eh bien, j'ai un problème…

ADAMUS : A quoi pensez-vous ?

EDITH : … et il ne s’en va pas. Apparemment je n’arrive pas à atteindre l’abondance, et je suis bien plus pauvre que dans le temps.

ADAMUS : Vraiment ? L’êtes-vous ?

EDITH : Oui.

ADAMUS : Est-ce mal ?

EDITH : Ouais, je n'aime pas ça.

ADAMUS : Si, vous aimez ça.

EDITH : Non, je n’aime pas ça.

ADAMUS : Si, vous aimez ça. Public ?

Linda : Oui, vous aimez ça !

ADAMUS : Et pourquoi est-ce que je dis cela ? Ohhh ! ça va être une série amusante ! Ohh ! Parce que, Edith, vous avez déjà entendu ces mots auparavant, vous pouvez plaider la faiblesse, vous pouvez jouer le rôle de la victime toute la journée, mais s'il y a quelque chose dans votre vie que vous n'aimez pas, en réalité vous l’aimez, parce que c'est là. C'est là. Cela vous sert d’une certaine manière.

Maintenant, maintenant c'est frustrant. C'est difficile. Vous y pensez tout le temps. Vous dépensez des quantités énormes d’énergie à y penser, en vous demandant ce que vous avez mal fait, et cela vous maintient dans cet abîme d'abondance.

EDITH : Oui, vous avez raison.

ADAMUS : Abîme de manque d’abondance. Le fait est que l'argent ne change vraiment rien. Vous n'êtes pas venue ici pour faire de l'argent, vous êtes venue ici pour l'illumination. N’est ce pas ?

EDITH : C'est vrai.

ADAMUS : Donc, cela ne change vraiment rien. Le fait est qu'une fois que vous laisserez aller, juste laisser aller et que vous cesserez de lutter avec cela, en arrêtant de vous réveiller au milieu de la nuit à cause de cela, vous vous rendrez compte que l'argent n’était pas le sujet et alors il arrivera. Ensuite, vous vous demanderez pourquoi il n’est pas arrivé plus tôt lorsque vous en aviez vraiment besoin. Mais pour l’instant, cela vous sert d’une certaine manière, d’une certaine manière et c'est à vous de la découvrir. Ouais. Et vous froncez les sourcils et, vous le savez, vous avez ce regard suspicieux sur votre visage. Jusqu'à ce que vous acceptiez le fait que cela vous amène quelque chose, cela restera comme ça. Cela restera comme ça.

EDITH : Oh, j’espère que je vais me dépêcher et le découvrir.

ADAMUS : D'accord. Allez-y ! (quelques rires) Et ce n'est pas de la psychanalyse. Nous ne voulons pas entrer là-dedans. Nous ne voulons pas entrer dans les traumatismes de la petite enfance ou quoi que ce soit du genre. Mais pourquoi est ce que cela vous sert ? Voulez-vous que je vous dise ?

EDITH : Oui, s'il vous plaît.

ADAMUS : D'accord. Ça vous maintient concentrée. Vous le pensez. Vous pensez que ça vous maintient à genoux et concentrée afin de ne pas vous laisser distraire par toutes les choses du monde. Et vous vous l’êtes dit à plusieurs reprises que vous n'alliez jamais vous laisser prendre par tous les plaisirs terrestres, et ce n’est pas le cas. Maintenant vous devez faire le geste conscient de dire : « Je ne vais pas rester coincée là-dedans. Je peux avoir des plaisirs terrestres dans l'illumination, parce qu'ils vont de pair ».  C'est le cas pour vous tous. Pour vous tous.

EDITH : D'accord. Je vous remercie.

ADAMUS : Oui, et je ne peux pas… Je serais ravi de vous offrir une grande abondance. Je ne peux pas. Je ne peux pas. Et même si je pouvais, je ne le ferais pas, parce que le plus grand cadeau c'est vous, vous offrant ce cadeau à vous-même.

EDITH : Je comprends.

ADAMUS : Oui

EDITH : Je vous remercie.

ADAMUS : Alors, quand ce truc de l’abondance surgit, ma chère, ne vous concentrez pas dessus. Ne vous focalisez pas sur elle, parce que même le manque d'abondance est devenu une distraction plus grande que l'abondance elle-même. Bon.

EDITH : C'est vrai.

ADAMUS : Alors, est-ce que vous allez mieux ou pas ?

EDITH : Oui.

ADAMUS : Est-ce un grand oui ou un peu oui ?

EDITH : Un oui entre-les-deux. (rires)

ADAMUS : D'accord. Bon. Quelques réponses de plus, mieux ou pas ?

GARRET : Oui.

ADAMUS : Bon. De quelle manière ?

GARRET : La manière la plus évidente qui ait été mentionnée. Je me sens plus en paix.

ADAMUS : Oui.

GARRET : Et c'est un vrai cadeau.

ADAMUS : Ouais. Oui.

GARRET : Ouais.

ADAMUS : Et beaucoup plus ou un petit peu plus ?

GARRET : Beaucoup plus de paix. Beaucoup plus de paix.

ADAMUS : Oui. Et je pense que vous le savez, nous savons que l'une des choses qui a été la plus difficile — si vous me permettez d'être un peu plus personnel — une des choses qui a été… parce que j'y allais de toute façon. (quelques rires étouffés) Une des choses qui a été…

GARRET : Si ça me dérangeait, est-ce que ça ferait une différence ?

ADAMUS : … le plus difficile pour vous comme pour tant d'autres, ça a été d'apprendre à être avec vous-même. Juste d’être avec vous-même. Et vous avez eu cette occasion et vous l’avez incarnée, vous l'avez intégrée, et maintenant vous l'enseignez.

GARRET : Ouais. Et probablement l'une des choses les plus indicatives, c'est que lorsque les doutes surgissent, en fait ils ne sont rien.

ADAMUS : Ouais.

GARRET : Les doutes surgiront toujours, mais est-ce que je les veux ? Est-ce que je les veux pour qu'ils me servent ou est-ce que c'est juste un doute ?

ADAMUS : Absolument. Bien. Je vous remercie.

Maintenant, par rapport à 14 ans auparavant ou il y a quatre ans. L'un ou l'autre.

IWONA : je vais beaucoup mieux.

ADAMUS : Bien. De quelle façon ?

IWONA : J'aime la vie.

ADAMUS : Oui.

IWONA : Et j'ai juste appris récemment à permettre à la vie de m'aimer en retour. (elle rit)

ADAMUS : Ahh. Comment est-ce arrivé ? Etes-vous allée dans un magasin un jour et avez vu une petite boîte que vous pourriez acheter afin que la vie vous aime en retour ?

IWONA : C'est arrivé comme ça

ADAMUS : Ouais. C'est arrivé comme ça.

IWONA : Comme ça.

ADAMUS : Ouais.

IWONA : C'est une expérience.

ADAMUS : Ahhh !

IWONA : La découverte.

ADAMUS : Oui. Comment est-ce arrivé ? Comment avez-vous vécu cela ?

IWONA : Je me suis ouverte afin de permettre et de recevoir.

ADAMUS : Bien.

IWONA : C'était mon défi.

ADAMUS : Bien. Quel sentiment ça vous procure que la vie vous aime en retour ?

IWONA : Excell-… merveilleux. (elle rit)

ADAMUS : Ouais. Aucune résistance.

IWONA : Aucune résistance.

ADAMUS : Bien.

IWONA : Oui !

ADAMUS : Je vous remercie. Qui d'autre… Bonnie.

LINDA : Ohhh, allons-y.

ADAMUS : Bonnie.

BONNIE : Salut.

ADAMUS : Et soyez franche et candide — ou soyez Bonnie et candide.

BONNIE : (rires) Oh !

ADAMUS : Ou vous pourriez être franche.

BONNIE : Eh bien, bien sûr, je vais mieux ! Bien sûr.

ADAMUS : Oui. De quelle manière ?

BONNIE : Eh bien, je comprends ce qu’il se passe maintenant bien plus qu'il y a très longtemps quand nous avons commencé cela.

ADAMUS : Oui. Vous avez traversé des défis et des difficultés, comme tant d'autres, et on pourrait penser que vous diriez : « Non, c'est vraiment difficile. La vie devient de plus en plus difficile ».  Mais vous dites : « Non ? » Vous dites, en d'autres termes : « Oui ».

BONNIE : Ce n'est pas par rapport aux choses, je suppose.

ADAMUS : Ouais.

BONNIE : Et bien sûr, j'ai tout perdu, comme tant d'autres gens.

ADAMUS : Ouais. N'était-ce pas amusant malgré tout ?

BONNIE : (rires) Ouais ! C'était juste des tonnes de plaisir !

ADAMUS : Parce que vous êtes toujours là ! Vous êtes vivante ! Vous parlez au micro. « J'existe ! » Les choses ne sont pas si importantes que cela.

BONNIE : ça ne l'est pas. Vous vous sentez beaucoup plus léger sans tout ça.

ADAMUS : Ouais, ouais. Oui. Bien.

BONNIE : Mm hmm.

ADAMUS : Et heureux de voir que vous souriez toujours.

BONNIE : Merci de m’avoir posé la question.

ADAMUS : Oui. Et un de plus. (Linda tend le micro à Jane) Respirez profondément.

JANE : Oui. Bien que le voyage ait été très difficile à certains moments, je dirais que ma conscience est beaucoup plus grande aujourd'hui qu'elle ne l’était il y a 14 ans, et pour cela je suis reconnaissante.

ADAMUS : Et pourquoi le voyage était-il difficile ? Qu’avait-il en particulier ?

JANE : Eh bien, comme Bonnie vient de le dire, j’ai tout perdu, j’ai eu des trucs physiques.

ADAMUS : Oui.

JANE : Je veux dire, la seule chose que je n'ai pas perdue est mon cher mari.

ADAMUS : Oui. (Adamus rit) mais le plus drôle, c'est que vous parlez d’avoir tout perdu. Je n'ai vu aucun d'entre vous dans la rue mendier.

JANE : Nous en étions proches.

ADAMUS : Dans votre esprit.

JANE : Oui.

ADAMUS : Dans votre esprit, en fait, et peut-être dans votre perception de combien il y avait sur votre compte bancaire. Mais la plupart d'entre vous conduisent encore de belles voitures, la plupart d'entre vous avez ont encore les choses essentielles de la vie, donc il y a beaucoup de perceptions là-dessus. Et nombre de perceptions sont causées par la peur, ou sont causées à se demander à quelle profondeur ou jusqu’où va le fond du trou, et ensuite à se rendre compte que ça n'a pas vraiment d'importance. Ça n'a pas vraiment d'importance. Oui.

C’est difficile à traverser…

JANE : Oui.

ADAMUS : … et ce qui est plus difficile que le physique, les finances, c'est le mental. Le mental démolit — c’est encore plus difficile.

JANE : Mm hmm.

ADAMUS : Ouais. Bien. Mais vous pensez que vous allez mieux, vous dites que vous allez mieux ?

JANE : Je vais mieux. Je me sens connectée à moi-même plus que je ne l'ai jamais été.

ADAMUS : Bien.

JANE : Mon intuition, ma connaissance sont plus fortes qu'elles ne l'ont jamais été.

ADAMUS : Oui.

JANE : Et je commence à leur faire confiance.

ADAMUS : L'estime de soi ?

JANE : C'est à venir. (rires) Je suis consciente de cela.

ADAMUS : Oh, il y a une certaine estime de soi alors ! (Adamus rit)

JANE : Oui. Il y en a encore ! Oui.

ADAMUS : Bien.

JANE : Je peux le voir.

ADAMUS : Bien.

JANE : Mais ça va.

ADAMUS : Ouais. ça va.

JANE : Oui.

ADAMUS : Voulez-vous passer le micro à Marc ?

LINDA : Uh-oh.

ADAMUS : Pour notre dernier commentaire.

MARC : (soupire profondément) Bon, eh bien je suis tout à fait d'accord avec ce qu'elle a dit.

ADAMUS : bonne tactique (rires)

MARC : Oui. Vous savez. Vous savez, mon mariage, vous comprenez ? C'est complètement différent de ce que je pensais.

ADAMUS : Certainement.

MARC : Vraiment différent.

ADAMUS : Certainement.

MARC : C'est bien différent.

ADAMUS : Comment enseigneriez-vous que — parce que vous allez enseigner — comment allez-vous enseigner cela aux autres ? Comment expliqueriez-vous, parce que imaginez-vous maintenant debout, assis en face d'une salle de classe avec une douzaine ou peut-être 20 élèves assis autour de vous ; vous essayez de leur expliquer. Ils sont tous contents et excités parce qu'ils viennent de découvrir la métaphysique et la spiritualité, et ils sont à ce niveau comme s'ils étaient les premiers à avoir jamais découvert cela. Et ils sont tellement excités et ils disent : « Je ferai tout ce qu’il faudra ! (rires) Quoi qu'il en coooooûte, je vais le faire ».  Et ils sont pétillants et ils ont des trucs d'ange suspendus à la fenêtre de leur voiture, et ils sortent leurs cristaux pour vous montrer.

MARC : Et je secoue la tête

ADAMUS : Et vous êtes juste assis là comme le capitaine Kirk, * genre «. Ohhh, ohhh » Comment allez-vous leur dire : « Ce n'est pas ce que vous pensez : » sans briser leurs espoirs et illusions ?

* Se référant à une vidéo présentée lors de la partie intro.

MARC : Attention à ce que vous demandez. (rires et Adamus rit)

ADAMUS : Ou vous pourriez dire : « Vous obtenez ce que vous demandez, au fait ! »

MARC : En effet mais vous n'avez aucune idée de ce que vous demandez. Doooonc…

ADAMUS : C'est un bon point.

MARC : Et ça ne ressemble tout simplement pas à ce que vous pensiez que ce serait.

ADAMUS : Et donc ils vous disent : « Maître Marc, alors c'est quoi ? Donnez-nous les réponses. Vous avez étudié ce sujet. Vous avez étudié avec le grand Adamus. (rires) Un des rares qui aient eu cette occasion unique. Punaise, nous aurions tant voulu être là quand il était là ».  Ils vont dire : « Qu'est-ce que Maître Adamus a dit ? Simplifiez-le. Quel était son message ? »

MARC : Je n'ai pas la moindre idée de ce qu'il a dit. (rires)

ADAMUS : C'est une réponse brillante, au passage. Ce qu'il a dit n'a pas d'importance.

MARC : Oui.

ADAMUS : Absolument.

MARC : Et le voyage est individuel. Il n'y a donc pas de recette pour, vous savez, ce que ça va être.

ADAMUS : Ouais. « Mais, mais » ils disent : « Donnez-nous quelques indices. Qu'avez-vous fait ? Je veux dire, regardez-vous maintenant. Regardez les voitures. Regardez votre femme. Je veux dire, vous avez réussi. Regardez tout ce que vous avez. Hahhh ! Comment… et vous avez cette aura et vous sentez comme les biscuits aux pépites de chocolat. (rires) Et vous êtes vivant ! Et vous êtes vivant ! Dites-nous, comment avez-vous fait cela ? »

MARC : Je ne sais pas. (l'assistance répond « Ohhhhhhh » ) Humm…

ADAMUS : Et puis vous riez et dites : « je plaisante ! »

MARC : C'est vrai.

ADAMUS : Ouais.

MARC : Non, comment je l'ai vraiment fait, c'était une respiration à la fois. Vraiment.

ADAMUS : Une respiration à la fois. J'aime cette réponse. Cela devrait aller dans le livre de la sagesse. Absolument. Une respiration à la fois et encore une chose. Que leur diriez-vous d'autre ? Ils se sont réunis dans votre — je reçois ceci, Cauldre dit votre café, votre café illuminé — ils sont réunis autour de vous après des heures. Vous faites payer vingt, trente dollars pour une tasse de café parce que vous le pouvez.

MARC : Au moins, ouais ! (quelques rires)

ADAMUS : Parce que vous le pouvez. Ouais. Et vous leur dites, après « une respiration à la fois » et ils disent (d'une voix geignarde) : « Je suis si fatigué de respirer ! Je ne peux plus le supporter ! Je respire et je respire et je respire et rien ne se passe ! Regardez-moi ! » (Rires)

LINDA : Ce n'est pas attractif !

ADAMUS : Dites-moi. Je vois ça tout le temps, comme le fait Aandrah. « J'en ai assez et suis fatiguée de respirer. » Quoi d'autre ?

MARC : Autoriser.

ADAMUS : Oh. Comment faites-vous cela ?

MARC : Vous le faites simplement. Permettez-le. Vous lâchez simplement prise.

ADAMUS : Prenez une respiration profonde.

MARC : Prenez une profonde respiration, nous en sommes encore rendus là. (rires)

ADAMUS : Et achetez une autre tasse de mon café magique ! (plus de rires)

MARC : C'est vrai.

ADAMUS : Oui. Il est béni. Oui, Adamus a béni les grains de café avant de partir. Ça fonctionnerait — nous gagnerions des millions.

MARC : Bon marketing. Merci.

ADAMUS : Ouais. Ouais. Très bien. Je vous remercie. Je vous remercie.

Donc, chers Shaumbra, allez-vous mieux ? C'est une question stupide. Cela n'a pas vraiment d'importance.

Et il n'y a pas moyen que vous puissiez vraiment comparer. Vous pouvez essayer, et j'aime vraiment les réponses. Vous vous améliorez tellement, Shaumbra. ça n'a pas vraiment d'importance. Et comparer par rapport à quel niveau ? Eh bien, sur un plan humain, beaucoup d'entre vous diraient probablement non. Vous possédez peut-être moins. Vous pouvez avoir… vous n'avez plus de travail, de relation, de relation sexuelle régulière, de bonne nourriture ou d’autre chose, il se peut que vous n’ayez plus cela. Mais… mais… (Adamus rit) Mais je sais que vous n'êtes pas venus ici aspirant à ces choses. En fait, la vraie réponse est, Edith, que vous rejetez presque ces choses, vous les repoussez presque. Et regardez ce qui s'est passé — elles sont parties.

Je sais que vous êtes venus ici pour cette illumination incarnée, cette ascension, quelle que soit la manière dont vous vous vouliez l'appeler, et en quelque sorte… (quelqu'un baille) Ouais — bâillez ! — Oh ! Sandra, pourriez-vous lui apporter un café, lui faire un massage des pieds et lui donner deux fils électriques. (quelques rires étouffés)

Vous êtes venus ici pour l'illumination incarnée dans ce que j'appellerais, selon la façon dont vous le voyez, un acte de désespoir en disant : « Si cela ne fonctionne pas… » (quelqu'un dit « Je sors d'ici » ; Adamus rit) « Eh bien, si cela ne fonctionne pas, oui, je sors d'ici. Si ce n'est pas dans cette vie, cela ne le sera jamais. Jamais. Donc, c'est tout ou rien ».  Vous posez tous les jetons sur la table. Tout. Quitte ou double, en disant : « C’est ainsi ».  Et c’est un peu fou, mais c'est la façon dont vous êtes.

Maintenant, la vérité est que vous savez déjà. Vous le savez déjà, mais maintenant vous en faites l'expérience. Vous connaissez les réponses ; maintenant c'est l'expérience.

Vous êtes venus dans cette vie en disant : « il faut qu’il en soit ainsi : » et comme je l'ai dit cela peut être considéré comme un peu désespéré ou très audacieux et courageux, très étonnant, vous, émergeant de tant de choses — le mental, le passé, la conscience de masse — et endurant encore. En étant encore assis là. En existant encore. Incroyable.

Respirons cela profondément dans notre série Découverte.

De mon point de vue et de celui des autres du Conseil Cramoisi, ce n'est pas tellement une question d'aller mieux, c'est une question de ce qui s'est passé avec votre conscience, que nous pouvons voir comme votre lumière, que nous pouvons voir comme étant la nature étendue de votre être, que nous pouvons voir par les voyages mêmes que vous faites dans vos rêves. Êtes-vous différent de celui que vous étiez il y a 14 ans ? Immensément. Immensément.

J'aimerais faire un DreamWalk, si vous pouviez écrire ceci (à Linda) — pour vous dans votre tête— faire un DreamWalk et nous le ferons ensemble, nous pourrions le faire en direct ou en différé. Je dois vérifier avec Linda et Geoffrey, mais un DreamWalk dans le passé, 14 ans en arrière. Nous essaierons de revenir en arrière et vous verrez ce que c'est que d’essayer d'y retourner. Et je pense qu'à travers ce DreamWalk vous verrez que ce n'est pas ce que vous pensiez que ce serait, et ce sera comme essayer de revenir dans le ventre de votre mère. C'est juste difficile à faire. C'est juste difficile de revenir en arrière.

Et tandis que le mental se souvient de certaines belles choses du passé, ainsi que de certaines autres terribles choses, le fait est que si vous essayez de ramener votre conscience dans le passé, vous ne pouvez absolument pas le faire. Donc, nous essaierons avec un DreamWalk.

De quoi allons-nous parler dans la Série Découverte ? Qu'allez-vous découvrir dans la Série Découverte ? Et encore une fois, j'ai dit que nous aurons des conférences, des discussions et puis des expériences.

JOANNE (elle bâille encore) Je suis désolée.

ADAMUS : Voulez-vous une tasse de café maintenant ou plus tard ?

JOANNE : Je suis juste tellement détendue !

ADAMUS : Non, allez-y, allongez-vous sur le tapis. (quelques rires) C'est propre. On est en famille. Cela ne nous gêne pas. (Adamus rit) Cauldre est en train de me réprimander d’être un orateur aussi peu inspirant ! (Plus de rires)


Découvertes dans cette Série

Qu'allez-vous apprendre dans la Série Découverte ? Quelle est la première chose que vous allez découvrir ?

(pause)

~ Vous

C'est facile. Vous-même ! Ouais, ouais, vous-même. C’est la première chose.

Maintenant, cela semblait évident et vous faites: « Ouais, ouais, ouais. N'avons-nous pas appris ceci il y a des années ? » Eh bien, vous l'avez entendu il y a des années, mais vous ne l'avez pas appris. Vous ne lui avez pas donné corps, vous ne l’avez pas embrassé ou expérimenté.

En numéro un, vous découvrir. Vous.

Maintenant, le fait est, que ce soit des êtres humains ou des êtres angéliques, chaque être se détourne de lui-même. Ils le font. Je ne sais pas pourquoi. Il y a beaucoup de théories à ce sujet. Les gens extériorisent ; même les êtres angéliques, ils extériorisent. Cela fait partie, diriez-vous de la découverte du Je Suis, la quête de la question « Qui suis-je ? » Mais très peu vont ancrer leur regard sur eux-mêmes. Pourquoi ? C'est difficile à faire. Vous avez beaucoup de mauvais souvenirs du passé. Il y a des choses que vous n'aimez pas à votre sujet, et je ne parle pas seulement du moi humain. Je parle de l'âme elle-même, la personne spirituelle. C'est très difficile, vraiment… vous ferez tout pour vous distraire. Vous irez faire des batailles et des guerres plutôt que de jeter un œil à l'intérieur de vous-même. Mais dans cette série Découverte, nous le ferons. Nous ferons exactement cela.

Nous allons faire cela dans la perspective de quelque chose que j'ai mentionné dans la dernière Série, quelque chose qui, je pense, a dû flotter au-dessus de la plupart de vos têtes. Nous allons le faire du point de vue du pardon total.

La chose difficile pour moi, certaines entités travaillant avec vous tentent de vous amener à percevoir que votre passé n'est pas du tout ce dont vous vous souvenez. Mais vous le croyez. Vous le pensez et vous agissez en conséquence. Donc, nous allons travailler en totalité sur ce concept : regarder le Soi avec les yeux du pardon, de l'auto-compassion et arriver à découvrir qu’il  n'est pas — pas — ce que vous pensiez qu’il était. Et je sais que vous êtes assis là en train de penser : « Eh bien, oui, mais je me souviens, c'était comme… » Ce n'était pas comme ça. Et dans cette Série, nous allons vous faire découvrir la chose la plus précieuse, la plus belle qui soit.

Et cela va être mon plus grand défi avec chacun et vous tous, parce que vous allez être énergétiquement distraits, psychiquement déconcentrés de vous-même, de moi, de Cauldre, de tout le monde.

Pourquoi est-il si difficile de vous regarder, d'être à l'intérieur de vous-même ? C'est ainsi pour tous les êtres, et pas seulement les êtres humains.

~ Dieu

En numéro deux dans notre Série Découverte, nous allons découvrir Dieu. Hm. C'est plutôt agréable. Dieu.

LINDA : Dieu ?

ADAMUS : D. i. e. u. (quelques rires)

Nous allons spécifiquement, cette année, si vous le permettez, ce que je crois certainement, vous allez faire l'expérience de Dieu. Superbe…

EDITH : Nous sommes Dieu.

ADAMUS : … superbe promesse. Ahh ! Mais expérimentez-vous Dieu, Edith ? Ou pensez-vous à Dieu ? Entendez-vous les mots « Je suis Dieu aussi » ou ressentez-vous intimement, profondément une expérience d'amour ?

Mm, bonne question. Cela sonne bien de dire « je suis Dieu aussi : » mais c'est très mental. Mais combien d'entre vous en ont-ils fait l'expérience ?

Beaucoup de concepts existent sur Dieu. Je n'aime pas nécessairement le mot « Dieu » mais je l'utilise ici parce que c'est un terme commun. Il existe beaucoup de concepts de Dieu ici-bas, et en fait, franchement, ceux qui enseignent Dieu sont ceux qui en savent le moins au sujet de Dieu. Absolument. Ce sont les fanatiques, les extrémistes, les vertueux qui en connaissent le moins sur le sujet de Dieu. Ils enseignent d'après un livre. Ils enseignent d'après leur mental, leurs règles, leur limitation, leur sensation de besoin de souffrance intérieure et leurs règles.

Pourquoi les autres humains leur permettent-ils de les enseigner au sujet de Dieu, je ne sais pas, sauf peut-être que la plupart des humains ont cette vision déformée.

Le concept de Dieu en ce monde est peut-être l'une des… il est l'une des trois principales choses qui sont les plus déséquilibrées au sujet de la conscience en ce moment — l'idée que Dieu est quelque part ailleurs, le concept de Dieu en tant que père ; le concept de Dieu ayant des règles ou se souciant de vous. Le concept de Dieu est une fabrication humaine. Ceux qui sont à la chaire, ceux qui appellent au soulèvement n'ont pas expérimenté Dieu.

Vous ne pouvez pas étudier Dieu. Vous ne pouvez pas construire Dieu. Vous pouvez seulement en faire l'expérience. Et quand vous le faites, c'est une expérience profonde et intime, une expérience dont vous n'aurez probablement même pas envie de parler. Elle est tellement belle, si personnelle, ce serait presque une déformation de la vérité d'en parler avec les autres.

C'est pourquoi, dans les temps anciens il n'y avait aucun mot pour nommer Dieu, parce que certains savaient que c'est une chose si personnelle que vous ne pouvez pas en parler.

Dans notre Série Découverte, en allant à travers vous, en portant un regard intérieur sur vous-même, vous ferez l'expérience de Dieu et du Je Suis à l’intérieur. Ce n’est vraiment pas une mince affaire / c’est un défi de taille, mais je ne vous dirais pas ces mots si vous n'étiez pas, mes chers amis, prêts pour cela — prêts dans le corps, prêts dans l'esprit.

Parfois, en allant au cœur de cette recherche, en allant vers Dieu, lorsque cette recherche est menée de manière déséquilibrée et de façon véritablement désespérée, parfois à travers les drogues, parfois à travers d'intenses rituels, elle peut être complètement déséquilibrée. Elle peut faire plus de mal que de bien. Certains d'entre vous qui ont pris des drogues se rendent compte que si une partie de vous n'est pas préparée ou équilibrée pour cette expérience, elle peut vous déchirer. Elle peut vous déstabiliser mentalement. Elle peut détruire le corps. Chacune et chacun d'entre vous est prêt à en faire l'expérience de façon naturelle et personnelle.

~ Pas de Croyances

Dans notre Série Découverte, vous allez aussi découvrir qu'il n'y a pas de croyance — si vous pouviez écrire « aucune croyance » (à Linda) Il n'y a pas de croyances. Vous croyez qu'il y a des croyances, mais il n'y en a pas. C'est peut-être une déclaration qui sera débattue et discutée longtemps, mais c'est mon point de controverse / désaccord avec les autres, selon lequel il n'y a vraiment pas de croyances. Il y a des programmes lourds. Des programmes lourds, et vous en prenez certains à votre compte et vous dites que ce sont vos croyances, mais il n'y a vraiment aucune croyance d’aucune sorte. Il n'y a rien de cela.

Les gens s’accrochent à leurs croyances. Ils disent : « Je crois ceci. Je crois cela ». Je prétends que c'est une vaste programmation. Programmation que vous avez autorisée, programmation qui est survenue depuis l'apparition de l'humain et bien avant, programmation qui est devenue plus dense et plus profonde que jamais.

Si vous prenez l'humain ordinaire marchant dans la rue, ressentez juste son énergie, c’est une myriade de schémas et de lignes énergétiques chaotiques provoqués par de nombreuses programmations. Des programmations qui ne sont pas vraiment cohérentes, qui ne suivent aucun beau chemin — c'est partout.

Une personne peut avoir la croyance qu'elle s'aime et se déteste en même temps, que le monde est bon, le monde est mauvais, que l'eau est froide ou chaude, toutes ces choses. Et celles-ci — qu’on les appelle croyances, que je les appelle programmations — sont incompatibles, et finiront par conduire la personne à un effondrement total, si elle croit à ses croyances. Une dépression nerveuse, si elle croit à ses croyances.

Donc, nous allons apprendre et découvrir qu'il n'y a pas de croyances, que c'était seulement de la programmation, et nous allons apprendre comment lâcher cette programmation, Linda ; comment s'en libérer plutôt que de la combattre. Comment comprendre que ce n'est pas la vôtre, au lieu de se charger de culpabilité et de souffrance, en pensant que vous l'avez créée et que vous êtes une mauvaise personne et tout le reste. Nous allons aller au-delà des croyances.

Pouvez-vous imaginer un instant être sans croyance ? Je ne le crois pas. (Adamus rit)

Imaginez un instant être libre de toute croyance. Certaines personnes pourraient dire : « Mais alors, que dois-je faire ? Qui suis-je ? Que dois-je… cela fait partie de mon identité d'avoir mes croyances ». Et en réalité elles vous blessent (les croyances) encore plus qu'elles ne vous aident.

En fait, vous créez de nouvelles croyances basées sur de vieilles programmations pour essayer de résoudre des choses ou de faciliter les choses dans votre vie, mais ce que vous faites vraiment c'est les cacher, les balayer sous le tapis. Donc, nous allons attaquer les croyances cette année. Nous allons libérer les croyances et vous mettre à nu — sans croyances.

~ Pas de pouvoir

Cette année, nous allons aussi découvrir quelque chose dont Tobias a parlé quelques années auparavant mais qui en réalité n'a jamais vraiment été vécu profondément — il n'y a pas de pouvoir. Il n'y a pas de pouvoir et aucun besoin d’en avoir. Ce monde — et la plupart des autres mondes — fonctionne sur la croyance du pouvoir. Les gens le recherchent. Les gens essaient de l'obtenir. Les gens essaient de le voler aux autres. Le pouvoir est aussi… ouais (à Linda) : « Pas de Pouvoir » ou « Sans Pouvoir ». Il n'y a aucunement besoin du pouvoir. Mais regardez vos informations (médias) Regardez les autres personnes. Ce ne sont que des jeux de pouvoir.

Le pouvoir est aussi une partie de ce complet dilemme énergétique où, non seulement ce monde, mais d'autres parties de cet univers s’affrontent en ce moment à cause de la croyance du pouvoir.

Le pouvoir donnerait aux gens une sensation de force et de valeur et ils auraient l’impression d'avoir une identité, d'avoir une raison d’être. Alors, ils essaieraient d'acquérir du pouvoir. La meilleure façon de le faire est de le soutirer à quelqu'un d'autre, amenant la personne (qui le fait) à croire qu'elle est mieux que vous. C'est le pouvoir psychique — il s’agit littéralement de prendre l’énergie de quelqu’un, en s'abaissant au niveau de leur voler quelque chose.

La plupart des gens tirent leur pouvoir du sexe. Ils pensent que c'est agréable, mais c'est vraiment un jeu de pouvoir. Vraiment. En conséquence l'expérience sexuelle complète de la plupart des êtres humains n'est pas ce qu'elle pourrait être. C’est pourquoi il y a une industrie incroyable en ce moment basée sur des pilules qui donnent aux hommes une érection qui dure quatre mois ou quelque chose de ce genre. (rires) Quatre jours, je ne sais pas. (plus de rires) Je n'ai pas ce problème. Je ne suis pas dans un corps physique. (encore plus de rires)

Les humains — et d'autres êtres, pas seulement les humains, beaucoup d'extra-terrestres également — sont constamment dans des jeux de pouvoir, le volant aux autres. Vous le voyez sur Terre tout le temps, tout le temps — les politiciens, les hommes d'affaires et les militaires. Chaque fois que vous voyez un militaire s’emporter / exploser soudainement, c'est juste quelqu'un qui a besoin d'un peu de pouvoir. C'est très vrai.

Donc tous ces jeux de pouvoir continuent partout. Le fait est que vous n'en avez pas besoin. En réalité vous n'avez, en fait, pas vraiment besoin d’énergie pour exister. Vous pouvez exister sans énergie. Mais le fait est que l'énergie est là pour vous servir en grandes quantités.

Le pouvoir est une déformation ou une manipulation de l'énergie. Nous allons apprendre à désamorcer le pouvoir, comment littéralement ne pas alimenter le pouvoir en nous-même, ce que certains d'entre vous font encore, et ne pas utiliser le pouvoir sur, ou l'obtenir d'autres personnes. Oui, cela fait partie de l'Ecole de l'Energie Sexuelle, c'en est une extension. Alors cette année — aucun pouvoir, et pas besoin d'en avoir. Pas besoin d’en avoir.

Pourriez-vous imaginer n’avoir besoin d'aucune sorte de pouvoir — du pouvoir financier, ne pas en avoir besoin ni du manque financier, du pouvoir de la santé, du pouvoir de la biologie, de toute forme de pouvoir sur d'autres personnes.

Dans votre expérience passée, nombre d’entre vous ont joué avec les énergies psychiques des autres, ce qui… ouais, et tout le reste. Vous avez appris à utiliser vos énergies, vos talents, vos capacités psychiques sur les autres, et beaucoup d'entre vous en souffrent encore car lorsque vous jetez un sort sur quelqu'un, vous le jetez sur vous-même. C'est le problème de la sorcellerie. Voilà pourquoi je n'en suis pas vraiment fan, parce que tout ce que vous faites est de la renvoyer sur vous-même.

Initialement, vous êtes entrés dans toute cette histoire de pouvoir pour vous protéger ou défendre vos familles ou autre, mais vous vous êtes engloutis dedans, et c'est un cercle difficile à rompre (briser) Le cercle du pouvoir est très difficile à briser, mais vous allez découvrir comment le faire facilement.

~ Prise de conscience / vigilance

Le point suivant sur la liste de la Découverte, nous l'appellerons prise de conscience / vigilance, mais en réalité c'est comment vous écouter vous-même. Vous savez déjà ce que vous devez savoir. C'est simplement que vous n'en avez pas encore la connaissance. (quelques rires) Vous savez ce qui est juste, mais vous vous trimballez en disant « je ne sais pas ». Vous prétendez que vous ne savez pas ce qui est juste pour vous. Je ne parle pas en termes de jugement mais de ce qui est approprié pour vous.

Donc vous vous baladez, indécis, et alors l’énergie s’arrête de circuler et vous devenez frustré, et alors quelqu’un use de son pouvoir sur vous et soudain vous êtes piégé dans cette énergie. Nous allons aller à l’écoute de vous-même.

Maintenant, c'est difficile à faire et je liste ce dernier élément, ou ce presque dernier élément, parce que vous devez parvenir à ceci d’abord (le premier élément sur la liste : « Vous ») avant d’être en mesure de vous écouter. Vous savez déjà ce qu’il y a à faire, mais vous vous laissez entrainer là (la tête) à douter et à penser que vous ne savez pas. C'est pourquoi c’est tout simplement terrible quand vous dites : « Je ne sais pas » parce que vous savez.

Nous ferons quelques expériences pour découvrir cela — et certaines d'entre elles vont vous sembler très difficiles cette année — pour faire ce que vous savez être juste. Vous le savez déjà, et vous laissez les autres vous influencer. Vous vous neutralisez vous-même. Nous allons sortir de cet engrenage. Vous savez déjà ce qui est juste.

L'illumination n'est pas quelque chose que vous pouvez étudier. Vraiment, l’illumination n'est même pas quelque chose que vous pouvez apprendre de quelqu'un d'autre. L'illumination n'est pas un cours. L’illumination c’est permettre. L'illumination c’est, pourrait-on dire, faire confiance. L’illumination c’est faire l’expérience. Donc, dans notre découverte, nous allons faire exactement cela.

Prenons une bonne et profonde respiration dans la découverte.

Je vais résumer tout cela en disant que cette année, nous allons faire l'expérience de cette découverte. Nous allons entrer dans l'expérience. L’expérience, eh bien, vous savez ce qu'est une expérience. Une expérience est une expérience.

Vous êtes sur un bateau dans des eaux très tumultueuses, une tempête tout autour de vous, et vous vous demandez si le bateau va couler. Cela fait partie de l'expérience. C'est cette montée d’adrénaline, je suppose, vous savez : « Qu'est-ce qu’il va se passer sur le bateau ? Que va-t-il m'arriver ? » C'est juste une expérience. Vous continuez d’exister. Que je sache.

Prenons une profonde respiration et faisons une expérience. Oui.

 

La conscience

Alors, la première expérience dont nous allons parler concerne ’l’état de conscience’. L’état de conscience.

La conscience est une vigilance. Ce n’est pas penser. En gros, il y a très peu de liens, de chevauchement entre la pensée et la conscience. Vous ne pouvez pas penser votre chemin vers la conscience. Vous ne pouvez pas. Vous avez essayé. Vous avez essayé de penser. Vous pensez : « Je Suis ce que Je Suis » — il hausse les épaules — mais vous pouvez en faire l'expérience et vous pouvez en avoir la conscience.

La conscience est la sagesse. La conscience est la sagesse profonde. La conscience est ce « aha » (ndlt moment de plénitude) que vous obtenez. Actuellement vous vous autorisez beaucoup d'expériences qui vous rendent prêt pour de nouveaux états de conscience, mais — toujours cette question du mental — vous ne faites qu’y penser. Vous vous interrogez et vous inquiétez à ce propos. Alors, c’est remis à plus tard. C’est simplement mis en attente.

La conscience est presque quelque chose que, lorsque vous faites l'expérience de la conscience, vous ne pouvez presque pas expliquer. Comme je le disais au sujet de Dieu, c’est presque comme si vous ne vouliez pas. Vous ne voulez pas la polluer avec des mots ou des pensées ou que les autres vous agressent à son propos.

Un état de conscience devrait être souple, bien que pour la plupart des gens, c’est très rigide, c’est très linéaire. En d'autres termes, ils ont besoin d’avoir un événement qui précède un autre et un autre pour atteindre des niveaux de conscience.

Vous ne pouvez pas, et je mets ces mots en gras, mais vous ne pouvez pas développer votre conscience — disons ouvrir votre conscience — à travers le processus de la pensée. Vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas. Vous pouvez augmenter votre pensée un petit peu, mais vous ne pouvez pas augmenter votre conscience.

La plupart des gens pensent à l'illumination ou pensent à la conscience, et puis en quelque sorte ça — c'est amusant au début — mais ensuite ça tourne en rond et ça reste coincé et ensuite ça bloque votre corps, votre mental, et ça peut devenir très déprimant.

La plupart des gens pensent en termes de conscience très linéaire. Dit autrement, vous faites une chose à la fois, un niveau de conscience. Alors qu'en réalité, la conscience est multi-niveaux, multidimensionnelle. Vous pouvez avoir plusieurs états de conscience en même temps. De multiples états.

Maintenant, le mental n'aime pas ça du tout. Le mental dit : « Je ne comprends pas ».  C'est bien. Vous ne pouvez pas comprendre Dieu, l'illumination, vous-même, la vie ou quoi que ce soit d'autre. Et vous ne le voulez pas. Il s'agit de faire l'expérience de ceci.

Lorsque vous vous autorisez à faire cette expérience, à vous expanser, la conscience prend naturellement cette sagesse, la distille et l'amène dans l'âme, dépouillée de tous les faits, chiffres et détails et de ce que vous pensez qu’étaient les traumatismes et tout le reste. Elle distille ça. Elle respire cette sagesse. Elle trouve que ce que vous dites, c'est la joie dans l'ouverture de la conscience.

La conscience n'est pas quelque chose que vous acquérez. Vous n'allez pas sortir et avoir plus de conscience. Vous vous expansez ou vous devenez conscient de la conscience que vous avez déjà. Quand la conscience est combinée à l'expérience, vous mettez les deux éléments ensemble — l'expérience de la vie, par exemple, peu importe combien elle est difficile ou merveilleuse, ça n'est pas vraiment important ; vous combinez cette expérience avec la conscience brute, vous les amenez ensemble — maintenant vous avez quelque chose de presque indescriptible.

La conscience elle-même est comme un calice vide, un récipient vide. Elle est là. Elle existe et maintenant elle veut se remplir avec l'expérience, avec la réalité, avec l'expérience sensorielle d’elle-même. La conscience connait alors la conscience, ou se connecte à la conscience, d'une manière beaucoup plus intense et plus profonde.

Vous, Marc, direz aux étudiants qui viendront à vous : « Tout est une question de conscience. Tout est une question de conscience que d’aimer faire l’expérience de soi-même, pour la gloire, pour la sagesse, pour le Je Suis ».

La conscience vraiment ne se soucie pas du tout de savoir si c'était une bonne expérience, si vous êtes mieux maintenant que vous ne l’étiez il y a 14 ans. Elle se soucie seulement de l'expérience. Elle se soucie juste, elle aime juste l'expérience. Voilà tout. Elle n'a aucun jugement. Elle n'a aucune croyance.


Plonger dans la Conscience

Alors prenons une profonde respiration, et si nous pouvions baisser les lumières s'il vous plaît, et John nous voudrions une belle musique de conscience. Et je ne vais pas appeler cela un merabh. Cela est simplement. Cela va vers un état de conscience.

Maintenant, la chose intéressante ici, alors que nous baissons l'intensité des lumières et mettons un peu de musique légère*, c’est que vous ne pouvez pas y penser, mais vous pouvez le ressentir et en faire l'expérience. Je vous invite donc à faire juste cela. Vous ne pouvez pas le forcer. Vous ne pouvez pas.

* Un extrait de Liquid Mind

Ce n'est pas un but. Il ne s'agit pas de faire quelque chose de bien ou de mal. Vous ne pouvez pas mal faire.

L'état de conscience est au niveau où votre vigilance est en ce moment.

Une partie de votre conscience est ici, dans cette salle ou n’importe où où vous pouvez être à l’écoute de ce shoud. Une partie de votre conscience est dans votre corps. Vous êtes toujours conscient de ce corps physique. Une partie de votre conscience se rend sur la pointe des pieds vers demain et le jour suivant — à quoi le futur va-t-il ressembler ?

Une partie est dans ce qui s'est passé hier, l'an dernier, dans votre dernière vie. C'est très linéaire, vous voyez. La vigilance, la conscience a été concentrée sur vos croyances, vos perceptions, vos craintes et vos envies. Mais il y a tellement plus de conscience, de vigilance, qui est déjà là. Vous pouvez prendre une profonde respiration et lui permettre de se développer.

(pause)

Le plus drôle c’est que rien ne se passe. Ah — du moins rien que le mental ne puisse comprendre immédiatement.

Alors que vous prenez une profonde respiration et permettez à l'état de conscience de s’ouvrir et de s'élargir, il y a une partie de vous, le mental, qui dit : « Oui, mais je n'ai aucune sensation. Rien ne se passe ».  Mais pourtant si, il se passe quelque chose. Il se passe quelque chose, parce que vous le permettez, parce que vous l’avez choisi, parce que c'est votre putain de conscience et que vous pouvez faire ce que vous voulez avec elle. Il se passe quelque chose.

Quelque chose qui vous ouvre, qui rend votre conscience plus souple de sorte qu'elle n'est pas juste centrée sur cette réalité humaine ; par conséquent, elle ne passe pas seulement à travers les filtres du mental.

Prenez une profonde respiration… dans l'état ouvert de la conscience.

(pause)

Au début de notre Shoud aujourd'hui, je vous ai demandé de m'inviter, en vous, dans votre corps — oui, c'est vrai dans votre corps physique — et dans votre mental. La plupart d'entre vous étaient ouverts et confiants et assez audacieux pour le faire.

Maintenant nous sommes ici, encore une fois avec cette nature ouverte et confiante, pour prendre une profonde respiration et vous permettre d'ouvrir votre conscience. Le mental dit : « Eh bien, que suis-je supposé faire ? » Rien. Rien.

Une partie de vous cherche une réaction. Pas besoin d’en avoir une.

Simplement en permettant, un peu comme en ouvrant / élargissant le faisceau d'une lampe. Le faisceau aurait pu être très étroit, éclairant seulement une petite zone. Maintenant, vous pouvez prendre une profonde respiration, ouvrez / élargissez le faisceau, ouvrez / élargissez la conscience.

La conscience n'est pas la pensée, au passage. Penser, l’activité mentale n'a presque pas conscience de cela, et c'est là que beaucoup de ceux qui sont sur cette voie de l'illumination sont distraits — à trop penser.

La pensée vous fait croire que vous avez le contrôle, comme si vous faisiez quelque chose, comme si vous pensiez. La vraie conscience est sans pensée. Il faut une personne très audacieuse et confiante pour aller au-delà de la pensée.

Beaucoup de gens s'arrêter à ce point et disent : « Mais je dois savoir ce qu’il se passe. Je dois savoir ce qui arrive. Je dois être capable d’y penser, de le comprendre ».  Ils disent : « Qu’arrivera-t-il si je perds le contrôle ? Si je sors de mon mental ? »

C'est exactement là où nous allons. Nous allons au-delà du concept de pouvoir et de contrôle de toute façon.

Alors prenons une profonde respiration.

Il n'y a pas de pensée dans la conscience.

(pause)

Il n'y a pas de langage de la conscience.

(pause)

Il n'y a absolument pas de mathématiques de la conscience. Rien de tout cela.

(pause)

Et pas de cadre.

(pause)

C'est quelque chose dont vous pouvez vous permettre de faire l’expérience.

Si maintenant votre mental bavarde, dites-lui juste de se taire (de la fermer)

(pause)

Vous vous permettez d’aller dans de nouveaux états de conscience qui ne nécessitent aucune énergie, qui n'ont pas besoin de pensée.

La conscience est vigilance… ouverture.

Oh, oui, et simplicité, beaucoup de simplicité dans la conscience. Le mental est complexe, la conscience est simple. Et dans cet état de conscience, de souplesse, de conscience ouverte, vous pouvez commencer à ressentir à nouveau, à comprendre à nouveau.

(pause)

La conscience peut être très ouverte, fluide… expansive.

Prenez juste une profonde respiration et permettez-le.

(pause)

Dans notre découverte cette année, vous allez découvrir comment vous êtes un être de conscience.

Vous n'avez pas besoin de penser — vous ne pouvez pas penser — votre chemin vers elle. Vous allez vous permettre d'être éveillé, conscient, ayant très peu besoin de penser ; difficile à imaginer pour le mental, mais ayant très peu besoin de penser.

Prenez une bonne et profonde respiration…

(pause)

La conscience, votre conscience, n'est pas détenue ou contrôlée ou manipulée par quelqu’un d’autre. Pas même Dieu, ou les archanges ou personne. La conscience est ce « j'existe. J'existe ! » Et puis elle s’expanse en une plus grande connaissance, de plus grandes expériences.

(pause)

Un jour, Marc, vous direz à vos élèves qu’une petite conscience apporte de petites expériences ; de petites expériences apportent une petite conscience. En d'autres termes, vous vous limitez vous-même, vous limitez votre expérience, vous limitez également votre conscience, vous limitez votre conscience, vous limitez votre expérience.

Vous prenez une profonde respiration et, avec une confiance pure et ouverte, vous autorisez de grandes expériences, vous obtenez une grande conscience, vous autorisez une grande conscience, vous obtenez de grandes expériences.

L'expérience est juste une façon de se réjouir dans le Je Suis, dans le j'existe.

Dans notre découverte vous vous rendrez compte que vous n'aurez jamais à revivre une expérience en tant que leçon. Ne parlons même pas en ces termes — les expériences en tant que leçons. Il n'y a pas besoin de leçons. Pas besoin. Vous dites : « Qu'est-ce que l'Esprit essaie de me dire ? Pourquoi est-ce arrivé ? Qu'est-ce que l'Esprit essaie de me dire ? » L’Esprit essaie juste de vous dire « Bonjour. Content que tu sois en vie. Maintenant, que vas-tu faire ? » C'est à ce moment que vous prenez une profonde respiration et dites : « Zut, je vais ouvrir ma conscience ».

Maintenant, je vais demander à John d’éteindre cette musique funèbre (quelques rires) afin que nous puissions juste être dans le calme, dans le silence de la conscience.

Prenez une bonne et profonde respiration et ne pensez pas.

(pause)

Transcendez ce besoin de penser et plongez dans la conscience ouverte.

(pause)

Et je vous demande de faire l'expérience de cela, ce mois-ci jusqu'à notre prochain Shoud — plonger dans la conscience — sans penser, sans réfléchir, sans avoir besoin d’avoir un but. Plongez dans la conscience qui permet une expérience qui n'est pas une leçon. Plongez dans la conscience sans avoir de structures, de cadres, de filtres, d’hésitations ou quoi que ce soit.

Maintenant, vous aurez probablement des moments ou vous ressentirez un haut niveau de désorientation. C'est juste une expérience. Mais ayez confiance en vous et dans le fait que ça ne va pas affecter votre conduite ou quoi que ce soit d’autre.

Alors que vous ouvrez votre conscience, que vous rendez votre conscience plus souple, votre mental va se sentir très décontenancé — et même plus. Il va se sentir de mauvaise humeur. Une partie de l'expérience consiste en permettre cela. Juste le permettre.

Alors, dans l'expérience ce mois-ci, que vous soyez assis à la maison derrière l'ordinateur, ou que vous fassiez une promenade, plongez juste dans la conscience sans pensée, sans structure, sans filtres.

Alors, rallumons les lumières. Prenons une bonne et profonde respiration, alors que nous commençons notre Série Découverte. Une bonne et profonde respiration. Ahh ! La conscience. Oh, c'est une chose merveilleuse.

La conscience est… au fur et à mesure que vous vous amuserez avec elle, vous apprendrez que vous pouvez la concentrer.  — la concentrer au laser — où vous voulez. Vous pouvez avoir de multiples points de concentration laser en même temps. Vous pouvez simplement l’épanouir dans une grande, grande prise de conscience de la conscience. Vous pouvez la cacher. Vous pouvez la rendre très, très petite. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec elle.

La conscience n'est pas un jeu que vous jouez avec les autres. Elle est pour vous, pour vous-même. Ne sortez pas en commençant à flinguer les autres avec votre conscience. Sinon vous commencerez à vous faire flinguer en retour.

Vous verrez que la conscience est malléable. La conscience est quelque chose avec laquelle vous pouvez jouer et travailler. Elle est à vous, je veux dire que c'est votre cœur, mais vous avez été très rigide avec elle. Vous avez été programmé pour être très rigide avec elle. Vous avez le système de croyance comme quoi vous ne cessez d’ajouter à la conscience ou à la vigilance petit à petit. Pas du tout. Pas du tout. Vous pouvez avoir autant de conscience que vous le souhaitez.

Cela va provoquer des conflits intéressants avec le mental et avec certaines de vos pensées, et c'est pourquoi je dis qu’avec la conscience les croyances vont sortir par la porte. Tout droit par la porte.

Prenons une bonne et profonde respiration jusqu'à notre prochaine rencontre. Il s'agit de la souplesse de la conscience.

Et quels sont les mots que j'aime entendre ?

Public : Tout va bien dans toute la création.

ADAMUS : Ainsi soit-il.

Je vous remercie. Vous avez fini tôt aujourd'hui. Je vous remercie. Je vous remercie. (Applaudissements de l’assistance)