LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Liberté
SHOUD 10 : “Les Attentes de l'Illumination” – ADAMUS, canalisé
par Geoffrey Hoppe
Présenté au Crimson Circle
Le 13 Août 2013
www.crimsoncircle.com
Je
Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Libre et Souverain.
Ahh !
Prenez une bonne et profonde respiration. Respirez toutes ces énergies qui vous
relient à la terre. Ça nous prend un moment pour faire cette transition finale
dans votre dimension et être directement ici avec vous.
Prenez
une bonne et profonde respiration. Avez-vous ressenti comme l'énergie a changé,
si joliment et si rapidement, depuis que nous avons commencé ce Shoud ?
Mm, enfin, de la musique à peu près potable. (Rires) (la musique jouée avant la
canalisation était « Elle est réelle » de Nick Urata)
Un
avertissement avant que nous n’entrions dans la discussion d'aujourd'hui et n’allions
plus loin dans la transformation de l'énergie, pour ceux qui regardent en
direct, les nouveaux qui regardent pour la première fois, les curieux :
vous pouvez éteindre Internet maintenant. Pourquoi ? Pourquoi ? Parce
que c'est une réunion très spéciale. Ce n'est pas une réunion typiquement new
age. Ce n'est pas du tâtonnement spirituel. Il s'agit d'un groupe d'humains ici
dans le Colorado, et partout dans le monde, qui se dédient à leur illumination
dans cette vie, tout en restant dans leurs corps.
Ce que
nous traversons, c'est la vie en évolution, et ce n’est pas toujours facile. Ce
que nous traversons avec ce groupe appelé Shaumbra est vrai. Cela vous mènera à
votre vérité. N'est-ce pas Pete ? Cela vous mettra à genoux s'il le faut. Cela
vous mènera dans les profondeurs de l'enfer et les hauteurs du paradis, mais
c’est un processus de transformation. Ce n'est pas donné à tout le monde, pas
du tout. Non, pas du tout.
Alors
si vous êtes simplement curieux, si vous cherchez à soutirer un peu d'énergie,
si vous êtes ici juste pour sortir de votre routine, si vous êtes ici pour
pomper l'énergie de la canalisation, déconnectez-vous maintenant, parce que ça
pourrait faire mal ensuite. (Adamus rit)
Bienvenue
Shaumbra. Bienvenue à ce dernier Shoud de la Série Liberté. Ah, le dernier
Shoud de la Série Liberté.
Liberté
Liberté. Que dire ? La liberté est juste
un autre mot pour dire rien à perdre. Êtes-vous là ? (Quelques rires
étouffés, alors qu’il regarde la caméra) Y aurait-il autre chose à perdre que
nous aurions besoin de nettoyer aujourd'hui ? (Rires)
Nous
voici dans la Série Liberté, et, finalement, ce mot « illumination »
veut vraiment juste dire liberté. Liberté d'être vous-même, d'être votre pleine
expression, libre des choses qui vous retiennent, vous maintiennent dans votre
propre prison de cristal. Libre d'être le Je Suis, redevable à personne —
personne, pas même un quelconque Dieu.
Incroyable
n'est-ce pas ? Vous pensez toujours : « Et bien, je peux lâcher tout
ce qui concerne la famille ou l'enseignement ou les anges ou toutes ces autres
choses, mais ne serai-je pas toujours redevable envers Dieu ? ». Non,
eu égard à la pureté de Dieu. Non, parce que l'Esprit, l'Eternel s’est donné à
vous sans aucune loi, aucun règlement, aucun droit d’entrée, aucun interdit ou
quoi que ce soit d'autre. Il a dit : « Allez et soyez comme vous
voulez être. Soyez le Je Suis ».
C'est
beaucoup de responsabilité. C'est quelque chose effectivement, comme nous en
avons discuté depuis le début, il y a quelques années… Il y a beaucoup d'êtres
humains qui ne veulent pas vraiment leur liberté. Ils veulent une vie plus
facile, mais pas nécessairement la vraie liberté. Mais vous, je crois, l’avez
choisie. Vous avez pris cette responsabilité, et ce n'est pas toujours facile,
cette chose appelée l'illumination. Et probablement que c’est beaucoup plus
difficile que ce que vous aviez jamais imaginé, beaucoup plus difficile.
Avec
tellement d'attentes, et c'est ce dont nous allons parler aujourd'hui dans ce
dernier shoud de la Série Liberté — les attentes, ces petites choses vraiment
difficiles et éprouvantes qui vous restent encore, les quelques difficultés qui
vous barrent la route. Nous allons en discuter, nous allons prendre quelques profondes
respirations et, espérons-le, les dépasser.
Cette
chose appelée l'illumination n’est pas facile du tout. Je pense qu'il y avait
une représentation sur le plan humain de ce à quoi cela allait ressembler, et
cela ne s'est pas passé comme ça du tout, et c'est une bonne chose, parce que
la dernière chose que vous ou votre Je Suis souhaiterait, c’est que votre
illumination soit la conception de votre aspect humain. (Rires) La pensée de ce
qu'aurait pu produire une création aussi maladroite nous traverse rapidement l’esprit !
Remplie de contre-vérités, remplie de déséquilibres, remplie eh bien de
certaines choses dont nous allons parler aujourd'hui.
Mais,
oui, si l’on avait laissé le côté humain concevoir et permettre cette chose
appelée l'illumination, je ne pense pas que finalement ce serait vraiment
l'illumination, car cela aurait des limitations. Si vous vous étiez assis et
aviez dit : « C'est ainsi que je vais vivre l'illumination et voilà
ce qu’est l'illumination », il y aurait eu tellement de limitations et
tellement de préjugés et de déséquilibres. Et l’humain aurait continué son
vampirisme énergétique. L'humain aurait continué à essayer de glorifier son
identité humaine au lieu de l’identité du Je Suis. L'homme serait devenu très
vulnérable à tous les autres éléments autour de lui — la conscience de masse,
son propre passé, son esprit, sa façon de penser analytique par rapport à la
façon de penser créative. Donc, c'est une bonne chose que ce ne soit pas une
conception humaine.
L'aspect
humain, dont une partie est assise ici aujourd'hui, l'aspect humain que vous
êtes, a heureusement permis cette chose appelée l'illumination — une chose bien
différente, vraiment très différente de ce qu’il aurait conçu ou pensé — il l’a
juste permis. Cette permission, cette assomption dont nous avons parlé dans
notre dernier Shoud, exige une confiance énorme, et vraiment très peu de gens
arriveront jamais à ce niveau de confiance.
Je
sais que c'est difficile quelquefois. Je suis près de vous, souvent la nuit,
quand vous passez à travers certains de vos pires moments, quand vous traversez
ces tourments intérieurs que vous traversez. Mais je suis tellement fier de chacun
d'entre vous, que vous puissiez, au milieu de ces tempêtes, prendre une
profonde respiration et, de la partie la plus pure de vous-même, prendre une
profonde respiration et dire : « Je suis ce que Je Suis ».
N’essayant
plus jamais de livrer ces batailles internes ou de vous battre contre ces
démons intérieurs. N’essayant plus de comprendre ce que vous êtes censé faire.
N’essayant plus de fabriquer ou concevoir votre propre illumination, mais de
prendre une respiration profonde — prendre une bonne respiration profonde — et dire :
« Je Suis ce que Je Suis ».
Très
peu de guidance
Une
des difficultés à être là où vous en êtes de la réalisation de votre
illumination — et je dis réalisation, parce que l'illumination est déjà là, et
vous le savez. C'est la réalisation ou la prise de conscience de votre
illumination. C'est permettre ce qui est déjà en vous.
Une
des parties difficiles concernant le fait d'en être, pourrait-on dire, à ce
stade ou d’être dans cette expérience de la réalisation, c'est qu'il y a
vraiment très peu de guidance. Très peu de guidance, et c'est une bonne chose.
Vous
avez droit à une petite guidance de ma part — mais c’est peut-être plutôt de la
provocation —et de la part de quelques autres êtres angéliques, mais s’il vous
plait, comprenez qu'il n'y a pas tant d'êtres humains ou angéliques qui ont
déjà réalisé et accepté leur véritable souveraineté — vous appelez cela être un
Maître Ascensionné — il y en a vraiment très, très peu, un peu plus de 9 000
sur le chemin. Oui, grâce à vous, bien sûr, il y a plus de monde sur le chemin,
mais vraiment très, très peu. Alors, comment certains des êtres qui sont au
service de l'humanité … — dont certains disent qu'ils sont au service de
l'humanité, alors qu’ils sont plus à leur propre service — comment
pourraient-ils travailler à être vos guides en ce moment ? Parce qu'ils ne
savent pas (ce que vous traversez).
Je
vais vous dire, il y a beaucoup de… (pause) Il y a eu ici un petit dialogue
intérieur (NDT entre Adamus et Geoff) Nous allons simplement continuer à
avancer. (Quelques rires) Il y a beaucoup d’entités canalisées ces derniers
temps — de belles et merveilleuses entités — qui sont canalisées par des
humains ces derniers temps, mais elles ne sont pas arrivées aussi loin que
vous, dans leur liberté, dans leur propre souveraineté. Elles sont toujours en
quête tout comme vous. Ce n’est pas parce qu'elles sont d'une autre dimension
ou qu’elles viennent d’un vaisseau-mère ou qu’elles ont eu une vie antérieure
célèbre et illustre, que cela signifie qu'elles ont compris plus de choses que
vous.
Vous en êtes au
point, dans votre expérience de réalisation, et aussi difficile que cela puisse
être parfois, vous en êtes au point où il y a très peu de guidance, car il y a
vraiment peu d’êtres qui puissent réellement vous guider à ce stade de votre
cheminement et qui comprennent ce que vous traversez et pourquoi vous le
traversez. Vraiment très peu d'êtres angéliques ou autres qui comprennent
réellement. En outre, ceux qui comprennent, savent que c'est le moment de
prendre un peu de recul pour vous laisser aller à la découverte de vous-même.
Maintenant,
cela ressemble un peu à une mauvaise affaire que de passer par l'illumination,
aussi pénible soit-elle, et aussi belle soit-elle parfois, et d'entendre tout à
coup que vous n’avez presque pas de guidance. Nous nous réunissons une fois par
mois. Je viens vous parler tous les jours, selon votre niveau de détresse et de
drame et de comment vous utilisez le tout majuscules dans vos communications
avec moi. (Rires car il se réfère à un commentaire précédent de Geoff de ne pas
écrire tout en majuscules) Ce qui, bien sûr, ne me dérange pas… mais je ne suis
pas du signe de la Vierge, moi (allusion au signe astrologique de Geoff). D’ailleurs,
je vais raccourcir un peu la séance d'aujourd'hui — ouais, c'est ce qu'il dit —
parce qu’aujourd’hui c'est mon anniversaire.
LINDA :
Oh ! Vraiment ? ! (Quelques « joyeux anniversaire » et
des applaudissements)
ADAMUS :
Dans ma vie de Saint-Germain, c'était mon jour de naissance. Donc je le garde…
LINDA :
Un Lion.
ADAMUS :
… comme mon…-… un Lion, bien sûr. (Linda rit) Je le garde pour célébrer mon
anniversaire. Nous avons donc un petit divertissement, une petite fête au club
des Maîtres Ascensionnés ce soir. Ce n’est pas pour raccourcir la séance, mais
c'est mon anniversaire. (Divers commentaires, quelqu'un demande :
« Peut-on venir ? ») Non, je ne veux pas que vous le
disiez ! (Adamus rit)
LINDA :
(chantant) Quel âge avez-vous ? Quel âge avez-vous ? Quel…
ADAMUS :
Ce n'est pas une question très sympa. (Rires) Quel âge avez-vous ? Je vous
dirai le mien si vous me dites le vôtre.
LINDA :
Cinquante-huit. La, la, la.
ADAMUS :
Eh bien, j’ai environ 308 ans.
LINDA :
Ooooh. (Quelqu'un dit « Vous êtes encore bien ! » ; Rires)
ADAMUS :
En fait, je suis mieux que ça. Ça c’est Cauldre ! (Le public dit
« Owww » et plus de rires)
LINDA :
Owww ! Oooooh !
ADAMUS :
Alors, où en étions-nous ? Nous parlons de très — oh, j'étais sur une note
sérieuse là — très peu de guidance à ce point, et c'est une bonne chose.
Bien que
cela puisse être parfois difficile et bien que vous appeliez souvent les êtres
à venir vous aider, vous remarquerez que peu d’entre eux viennent vraiment.
C'est comme appeler dans le vide. Non pas que vous ne soyez pas entendus, mais
ils comprennent que vous devez y aller par vos propres moyens. Difficile,
n'est-ce pas ? Difficile.
Il y a
des années, avec Tobias, vous aviez déjà abandonné vos guides habituels. Vous
avez abandonné tant d'êtres à qui vous étiez connectés, et la beauté de cela
c’est que vous en êtes arrivés à faire vos propres choix, parfois dans
l'obscurité. Vous arrivez à faire vos propres choix. Et quand c’est vraiment
votre choix — non pas un choix influencé par des êtres angéliques, non pas influencé par
des sortes de grands maîtres, non pas influencé par quelque chose d'autre, même
par d'autres personnes — quand vous arrivez à faire vos propres choix, vous
arrivez à sentir la profondeur et la vérité de ces choix.
Cela
vous amène à beaucoup plus de profondeur. Cela vous amène au-delà de votre façon habituelle d’analyser et
de gérer le drame, que vous utilisez souvent lorsque vous êtes face à une
situation, essayant de faire un choix, et que vous ressentez, à partir de ce
point de vue dramatique, vous ressentez les conséquences (projetées par votre
mental) de certains potentiels ou scénarios. C'est une émotion intellectuelle
que vous mettez dans ces choix, et vous en ressentez donc le résultat.
Lorsque
vous êtes sans guidance, comme vous l’êtes maintenant, vous devez aller plus
loin. Vous devez aller au-delà du drame ou de la peur. Souvent, les choix sont
simplement faits dans la peur, dans ce qui est simplement le scénario le moins
inquiétant de tous se trouvant face à vous.
Une
chose intéressante se produit également à ce stade de votre expérience. La peur
de la mort était la chose que vous avez eu l’habitude de fuir le plus. Vous
l’évitez. Lors de ces drames ou de ces décisions émotionnelles, vous jetiez un
coup d’œil et disiez : « Est-ce que celui-ci pourrait me conduire à
la mort, en particulier une mort douloureuse ? » Et si c’était le
cas, vous évitiez ce potentiel.
Il est
intéressant de noter que pour beaucoup d'entre vous aujourd'hui, la mort n'est
même plus une cause de peur. Même plus une cause de peur. Ça l'est, dans un sens,
parce que vous avez traversé la plus sombre nuit noire de l'âme. Et certains
d'entre vous ne sont même plus sûrs de vouloir être ici. Certains d'entre vous
pensent même que la mort va apporter une résolution, ce qui n’est pas le cas.
Ça ne l’est pas. Ça ne vous rend pas soudainement terriblement perspicace au
point que tous vos problèmes disparaissent. Cela signifie simplement que vous
êtes mort. (Quelques rires) Mort. Tout le reste est toujours là. Donc, vous
pourriez aussi bien le comprendre ou le permettre ici-bas.
Mais
vous faisiez des choix en fonction de ces facteurs émotionnels — des facteurs
de peur. Vous choisissiez le moins inquiétant, mais vous allez au-delà de cela
maintenant. Vous plongez plus profondément dans votre propre vérité.
Vous
faites cela du point de vue de cette chose que vous appelez l'illumination ou
la liberté. Qu'est-ce qui va vous libérer ? Qu'est-ce qui va vous permettre
d’atteindre le plus grand niveau de conscience ? Qu'est-ce qui va
permettre l'intégration du Je Suis dans votre vie ?
Si
vous aviez beaucoup de guidance, et certains d'entre vous y font toujours appel
de temps en temps, mais si vous aviez beaucoup de guidance pour les problèmes
de votre vie, vous continueriez encore à vous en remettre à d'autres, et ils
sont vraiment peu nombreux (ceux d’entre vous qui comprennent cela) — vous
pouvez vous cacher, mais vous ne pouvez pas vous échapper (à Linda) Il y en a
très, très peu qui comprennent vraiment.
Donc,
c'est une bonne chose, et je sais que parfois on se sent seul. Parfois, il vous
semble que personne ne vous écoute. Tout d'abord, je vous écoute, mais je ne
réponds pas nécessairement, autrement que peut-être de temps en temps avec une
petite provocation, de temps en temps avec un chuchotement — « Je vous
écoute / réponds. Rappelez-vous que Je vous écoute / réponds » — avec
juste un tout petit chuchotement.
Avez-vous
remarqué combien vous êtes endurants ? Tellement endurants. Vous passez
par l'une des pires situations. C'est la chose la plus étonnante pour quelqu'un
qui n'a jamais été dans une forme humaine, quelque chose que les autres êtres
ne comprennent pas vraiment — l’endurance d'un être humain. On pourrait aussi l'appeler
juste de l’entêtement. (Adamus rit un peu)
LINDA :
(applaudissements) Ouais c’est nous !
ADAMUS :
Ou de la détermination.
LINDA :
Ouais c’est nous !
ADAMUS :
Ouais c’est nous. Mais l’endurance, la capacité de passer par des situations
difficiles — des situations… peut-être des situations qui mettent la vie en
danger, des situations dont vous ressentez qu’elles peuvent avoir d’énormes conséquences,
voire des conséquences mortelles, pour d'autres personnes — et vous êtes
capable de vous permettre de traverser cela. De vous le permettre grâce à la contenance du Je Suis en
vous et en plus de cela de rebondir, avec le sourire.
Oui, c’est
difficile. Oui, je le sais. Je comprends qu'il y ait des moments où vous n’avez
qu’une seule idée : « celle d'abandonner ». Mais de toute façon,
même dans les moments les plus sombres, vous êtes capables de vous rappeler de
prendre une profonde respiration. Vous êtes capables de vous rappeler « Je
Suis. J'existe ! Oui ! J'existe, donc par conséquent, tout est
possible ».
Comme
vous le remarquerez, plus nous avancerons, moins vous obtiendrez de guidance.
Vous l’apprécierez vraiment. Vous vous apprécierez vraiment vous-même.
Bien
sûr, nous continuerons nos rendez-vous habituels, mais les autres êtres sur qui
vous comptez, certains d'entre eux bien réels, d’autres qui sont vos propres
créations, si vous voyez ce que je veux dire — hum, vous voyez ce que je veux
dire (en parlant de Norma ; Adamus rit) — les aspects que vous créez en
tant qu’êtres extérieurs — qui ne sont pas vraiment des êtres extérieurs à
vous, ce sont vraiment des êtres intérieurs à vous. C'est très bien. Mais il y
aura moins de choses comme cela et plus de découverte de votre vérité. C'est
vraiment une bonne, une très bonne chose.
La
question
L’illumination.
La liberté. Il y a beaucoup d'attentes autour de cette chose appelée
l'illumination. Vous êtes montés sur ce bateau de l'illumination il y a deux
mille ans… Je pensais que cela allait être drôle. (Seulement quelques-uns
rient) Et nous n'avons pas cessé de pagayer. (Adamus rit)
Vous êtes
sur ce chemin de l'illumination depuis un certain temps, pour des raisons
variées. Pour le ressentir, retournez deux mille ans en arrière, et pour
certains d'entre vous beaucoup plus loin encore. Pourquoi ?
Pourquoi ? Vous avez eu beaucoup d'incarnations humaines. Vous avez
traversé quelques-unes des grandes époques de l'humanité. Vous avez eu des vies
où vous étiez, disons-le, célèbre ou riche, d'autres vies où vous traîniez le
fumier hors d'une étable ; vies où vous êtes morts quand vous étiez très,
très, très jeune, vies où vous avez été tués ou bien où vous en avez tué
d'autres — toutes ces choses-là. —
Mais
pourquoi ? Qu’est ce qui a fait démarrer tout ce cheminement ? ça ne
vient pas de là-haut. Il n'y a pas de panneau de commande là-haut dans le ciel
qui dit : « Bon, c'est maintenant le temps de
l'illumination ». C'était vous.
C'était le Je Suis à travers ses aspects et ses incarnations, qui à un certain
moment a dit : « Le moment est venu ».
Ressentez
à nouveau pour un moment, pas les détails, mais l'essence de cela — cette chose
qui vous a poussé sur le chemin, il y a des milliers d'années et de nombreuses,
nombreuses vies.
L'ennui
avec la vie humaine ordinaire, c’est qu’après un certain temps, je dirais après
quelques centaines de vies, elles deviennent semblables. Elles le sont
vraiment.
Etait-ce
l'ennui ? Est-ce que c'était si difficile, si sacrément difficile de
passer par l'expérience humaine ? Effrayant ? Douloureux ? Vous
ne pouviez simplement plus le supporter? Ce n'est pas une mauvaise raison.
Qu'est-ce qui vous a amené à cela ? Qu’est-ce qui vous a finalement amené
à des vies dans les églises ou les ordres religieux ? Des vies où il n’y a
pas si longtemps, vous avez envoyé balader tout cela, en disant :
« Plus de groupes, plus d'organisations, plus de rhétorique, plus de
livres, plus de textes sacrés ou rien de tout cela ». Vous vous êtes éloigné de tout cela. Et puis
cette vie-ci vous êtes revenu dans ce groupe à l’organisation nonchalante mais délicieuse
appelé Shaumbra.
Qu'est-ce
qui vous a amené à cela ?
Vous
savez que c'est quelque chose que vous prenez pour acquis, mais la plupart des
autres humains n’en sont même pas encore à ce point. La plupart des autres
humains n’ont jamais réfléchi au pourquoi, n'ont aucune idée de ce que
« Je Suis » signifie vraiment. La plupart des humains assimilent un
peu de la rhétorique de l'église — « Il y a un Dieu dans les cieux ;
vous vivez, vous mourez, vous espérez décrocher la timbale » — mais peu
d’entre eux plongent vraiment profondément en eux-mêmes, comme vous l'avez
fait.
Certains
vous traitaient d’égoïste. Certains disaient : « Regardez toute cette
attention que vous vous accordez à vous-même. Regardez toute cette indulgence
envers vous-même ». Je dirais que
chaque être humain va le faire, tôt ou tard, ce réveil de la conscience
intérieure. Vous n’y pouvez rien. C’est naturel. Tôt ou tard, ce Soi intérieur,
ce Je Suis appellera, dira : « Faisons-le. Faisons-le ».
Qu'y
avait-il, en remontant un millier d’années en arrière, qui l’a fait pour
vous ?
Ressentez
cela juste pendant un moment, et je ne vous demande pas d'être médium ou même
de percevoir dans les détails. Mais il y a quelque chose de très important dans
vos Archives Akashiques personnelles. Il n'y a pas de plan akashique mondial et
universel, tout est personnel. Il y a quelque chose là-dedans. Qu’est-ce que
c’était ?
(Pause)
Et si
vous n'êtes pas capable de le ressentir en ce moment même, faites-le plus tard
quand vous vous poserez ce soir ou la semaine prochaine lors d’une promenade.
Qu’est-ce que c’était ?
Maintenant,
il existe en fait une série de choses qui vous ont conduit à ce point très
décisif, ce choix très décisif. Et la question est, alors que nous terminons
cette série de la liberté, cette chose qui a motivé votre âme, vous, à commencer
ce beau voyage à la découverte du Je Suis, la question est : a-t-elle été
réalisée ? Je ne parle pas nécessairement de la réalisation du Je Suis,
mais de sa raison d’être. Était-ce parce que vous vous ennuyiez ? Était-ce
parce qu'il y avait de la peur ? Était-ce peut-être parce que vous aviez
vu ou rencontré un être comme Yeshua qui vous avait tellement inspiré,
tellement touché (intérieurement) ? Bien sûr, en vous rappelant que Yeshua
est, était, vous. C'était presque comme voir une partie de votre moi futur.
La
question est, maintenant que nous sommes ici dans cette nouvelle ère, est-ce
que vous avez bien répondu à tout cela ? Est-ce que cette question
initiale, cette motivation —cette chose qui vous a conduit sur ce chemin — a
été réalisée ?
Il
serait intéressant, et je demande à ceux d'entre vous qui sont Keahakers en
particulier, qui tiennent leur journal et à toute autre personne qui tient un
journal, d’écrire cela d’ici le mois prochain. Oui, c'est un devoir à la maison
que je vous demande de faire, si vous le choisissez. Écrivez-le. Vous allez
être surpris, voire même submergés par la réponse. Et la réponse ne va pas
venir de moi ou d’Aandrah ou de tout autre être, alors ne regardez pas vers eux
pour avoir la réponse. Elle va venir d'ici. Ça va être une révélation
incroyable. Ce sera une découverte.
Attentes
Point
suivant. L’illumination. Beaucoup d'attentes au sujet de… (il met en valeur le
podium) nous devenons sérieux lorsque cela se présente. Vous dites :
« Ohhhh ! » Tout le monde dit « Uh-Oh ! » Les
attentes au sujet de l'illumination.
Ce
chemin a commencé, que ce soit il y a environ mille ans ou quelques centaines
d’années. Vous arrivez dans cette vie ; il y avait une sorte de choix
interne, un fort potentiel comme quoi vous alliez réaliser l'illumination dans
cette vie. Le soi humain l’a en quelque sorte suivi. C'est un peu comme dans
votre ADN spirituel. « Okay — l'illumination, la réalisation dans cette
vie ».
Vraiment,
tout depuis ce moment où vous êtes né… je devrais dire, à partir du moment où
vous avez insufflé votre énergie dans ce corps physique, car il y a une énorme
différence entre le moment de la naissance, la naissance physique, et le moment
de — c'est vraiment l'intégration — et cela peut être des mois après la naissance
du corps physique. Je suis étonné de toutes ces discussions sur les pro et anti
avortement, et c'est — il crache ! — ça n’a pas d’importance. Ça n’a pas
d’importance. Mais c’est du bon drame et c'est de la super culpabilité. Oh,
c'est l'une des meilleures culpabilités. C'est l'un des plus gros sujets que
certaines personnes utilisent pour mettre en colère d’autres personnes. Mais je
digresse. Où en étais-je ?
Nous
voici dans l'illumination. Depuis que vous vous êtes infusé, depuis que dans
cette vie vous avez intégré votre essence dans ce corps physique, tout cela a
concerné l'illumination. Tout. Vous pourriez regarder en arrière, vous pourriez
écrire l'histoire de cette vie — tout cela a concerné l'illumination.
Et le
plus drôle, c'est — c'est drôle pour moi, mais pas pour vous — le plus drôle,
c'est qu’il n'y a pas eu d'erreurs. Ouais. Le plus drôle, c'est que vous ne
pouviez pas faire d’erreur même si vous avez essayé. Le plus drôle, c'est que
vous prétendez que vous pouvez faire des erreurs, et que vous le pouvez encore.
Vous prétendez qu'il y a ces choix là-bas et que la porte numéro un est un vrai
merdier ; la porte numéro deux n’est en quelque sorte pas très bonne, mais
elle est relativement sûre ; à la porte numéro trois, il pourrait y avoir
de grandes idées, mais elle pourrait aussi vous faire tomber dans les puits de
l'enfer pour toujours, comme une éternité, pour toujours. (Quelques rires)
Donc, vous prétendez [NDT au sens de simuler], vous avez accepté ce programme
venant de la conscience de masse comme quoi vous pouvez faire une erreur.
Devinez quoi ? Vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez vraiment pas. Vous ne
pouvez pas.
En
fait vous pouvez — je l'ai déjà dit avant — vous pouvez réellement diriger
votre gouvernail vers une direction que vous savez n’être pas juste, dont vous
savez qu’elle n'est pas compatible avec votre être, intentionnellement, et
devinez quoi ? Votre gouvernail sera juste redirigé vers votre véritable
chemin.
Votre
vrai chemin, soit dit en passant, n'est pas un chemin de gentille fille ou de
gentil garçon. Car vous avez ce genre d’arnaque, comme quoi vous devez faire le
choix de la bonne chose — être le gentil garçon ou la gentille fille. Ce n’est
pas le cas. Parfois, dans l'illumination, ce n’est pas toujours joli. Ce n'est
pas agréable. C'est… c'est… d'autres ne vous aimeront pas à certains moments,
mais c'est le bon choix pour vous-même.
Pourquoi
cela ? Pourquoi cela ? Eh bien, je vais vous le dire : parce que
la conscience de masse veut certaines conformités, veut que vous fassiez les
choses d'une certaine manière. Beaucoup de parents voulaient juste que vous
soyez un enfant sage, puis que vous preniez soin d'eux quand ils seraient plus
vieux. Vos professeurs voulaient que vous soyiez gentils. Pourquoi ? Eh
bien, c'était plus facile pour eux. Donc beaucoup de choix ont été faits sur
cette base, d'être gentil, de bien faire — de faire quelque chose de bien.
Revenons-en
au fait — beaucoup d'attentes au sujet de l'illumination.
La
question que je pose aujourd'hui est… Prenons un point de vue. Prenons le point
de vue que nous sommes sur la Nouvelle Terre, l'une des Nouvelles Terres ;
vous enseignez aux êtres angéliques qui sont sur le point d’arriver sur Terre
dans un corps physique pour la toute première fois, ce que vous faites
vraiment, mais vraiment. Vous leur parlez maintenant de l'illumination. Vous
êtes dans le cours avancé. Vous êtes un enseignant avancé, un professeur. Vous
parlez de l'illumination et vous parlez, de votre point de vue, après être
passé par là, les attentes que vous, humain, avez eues de l'illumination par
rapport à la réalité.
Donc
vous voilà, à enseigner. Disons que vous avez une classe de, oh, disons 144
élèves. Vous êtes l’enseignant. Vous avez un joli podium conçu sur mesure — (il
choisit celui-ci) une égratignure ici — vous êtes l’enseignant de cette nouvelle
classe. Ils vont venir sur Terre et entrer dans un corps physique au cours des
six prochains mois. Donc, le temps presse. Et vous allez maintenant leur
parler. Votre cours s’intitule « Les Attentes Humaines autour de
l’Illumination ». Qu'allez-vous
leur dire concernant vos propres attentes humaines ? Linda va prendre le
micro et vous le demander.
Quelles
étaient vos attentes humaines par rapport à l'illumination ?
GARRET : Que tout le monde m’aime
ADAMUS :
Que tout le monde vous aime. Et alors ?
GARRET :
Ils ne m’aiment pas. Certains ne n’aiment vraiment pas. (Rires)
ADAMUS :
Je dois vous embrasser pour celle-là ! (Adamus embrasse Garret) C'est
génial ! C'est génial. Vous n'avez pas besoin de lever la main, mais vous
pouvez si vous voulez. Combien d'entre vous pensaient, alors que vous êtes
entré dans l'illumination et que vous deviez être cet être spirituel rayonnant,
que tout le monde vous aimerait ? Ohhh. Ouais. Je vois de très honnêtes
personnes au fond de la salle. Certains, n’est-ce pas… ouais.
Ouais.
Elle est bonne celle-là. Oh, et comment allons-nous faire cela ? Linda,
préférez-vous écrire ou vous déplacer ? Microphone ou tableau ?
LINDA :
J'aime me déplacer.
ADAMUS :
Vous déplacer. Bon, alors Vili, ça ne vous embête pas d’écrire ? Tout en
majuscules aujourd'hui, s'il vous plaît, juste pour embêter Cauldre. (Rires)
LINDA :
Pourquoi tout en majuscules ?
ADAMUS :
Pour contrarier M. Vierge.
Bon,
voyons, le premier est « Tout le monde… » — « Les attentes
autour de l'illumination » est le titre, tout en majuscules — « Tout
le monde vous aimerait ». Et le
fait est que vous allez passer par une période — que vous avez déjà passée pour
certains d’entre vous, ou pour laquelle certains d'entre vous sont encore en
plein — où ils ne vous aimeront pas du tout. De quoi avons-nous parlé le mois
dernier ? Du fait d’être un râleur, d’être irritable, de n’avoir plus
aucune tolérance ou aucune patience pour ce que vous savez être de la vraie
merde et du drame. Et ils ne vont pas vous aimer. « Qu'est-ce qui ne va
pas chez vous ? Quand êtes-vous monté sur ce piédestal ? » (Certains
gloussent) Les piédestaux sont vraiment bien. (Adamus rit)
Bien.
Quoi d'autre ? C'est une très bonne chose pour commencer.
LINDA :
C'est parti.
ADAMUS :
Oui, quoi d'autre ?
LINDA :
Levez-vous s’il vous plait.
DIANE
(femme) : Que tout serait facile.
ADAMUS :
Facile ! Vraiment. Pourquoi pensiez-vous que tout serait facile ? Qui
vous a dit cela ? Dans quel livre avez-vous lu cela ? (Elle rit) Tout
serait facile.
DIANE :
Pourquoi pas ? Je suis illuminée. Ça devrait juste venir à moi sans aucun
problème.
ADAMUS :
Ouais. Bon. Et cela est-il le cas ?
DIANE :
Pas encore ! (Rires)
ADAMUS :
Pas encore… (Adamus rit) Je vais attendre pour vous le dire plus tard, à vous
tous, pourquoi ça ne l’est pas encore. Oui. Mais bon. Vous pensiez que ce
serait facile. Quelle partie de vous ? La partie humaine de vous pensait
que ce serait facile. En fait, le plus drôle, c’est — vous allez rire quand je
vais dire cela — mais en réalité ça l’est.
LINDA : Ha, ha, ha, ha, ha. (Adamus rit)
ADAMUS :
En fait…
LINDA :
C'est tellement drôle que j'ai oublié de rire.
ADAMUS :
… un jour, très bientôt, vous me direz : « C'était tellement facile.
Si seulement j’avais su à l'époque ».
(Quelques rires) Deux personnes ont compris. Ouais.
LINDA :
Promis ?
ADAMUS :
Donc, c’est facile pour l'Esprit. C’est vraiment facile. Ce n'est pas facile
pour vous les humains. Pourquoi ?
DIANE :
Eh bien, je suppose que je ne suis pas encore illuminée.
ADAMUS :
Pourriez-vous vous lever ? (Elle rit ; Edith fait un commentaire)
Edith, vous êtes la prochaine. (Rires)
LINDA :
Vous lisez dans mes pensées !
DIANE :
D'accord, c'est à cause du doute et…
ADAMUS :
A cause du doute, bien sûr, bien sûr.
DIANE :
Ouais, et des mais.
ADAMUS :
Ouais, et des mais. Et de l’humain qui veut protéger l’humain, parce que
vraiment, d’une drôle de manière, il y a un parallèle avec ce que vous appelez
l'Esprit ou le Je Suis et l'humain. Ils commencent sur ce chemin de
l’illumination plutôt ensemble en harmonie l’un avec l'autre, mais tout à coup
ils commencent à aller dans des directions différentes, parce que l’humain veut
la popularité, et nous allons le découvrir dans un moment, beaucoup d'argent.
Il veut construire un sanctuaire pour lui-même. Il ne veut pas mourir. Il
continuera à l’infini. Il veut être l'homme le plus glorifié de tous les êtres.
Donc
l’humain atteint un plateau dans la réalisation de l'illumination. En d'autres
termes, quand d'abord vous vous y engagez (sur le chemin de l’illumination),
quand vous lisez ce livre ou allez à un cours ou lorsque vous y allez pour la
première fois, c’est genre l'exubérance de l'humain — « Ohh ! Enfin
le salut et j’ai trouvé quelque chose ! Et la vache cela va rendre les
choses faciles ! Et purée je vais utiliser mes pouvoirs magiques pour
faire en sorte que personne ne m’entube plus ». Mais l’humain atteint son niveau, sa limite
dans l'illumination. L’Esprit continue sur sa lancée. Ce Je Suis intérieur
continue. Et puis il développe cette lutte et la guerre entre les deux. Eh
bien, en fait ce n'est pas entre les deux. C'est juste l’humain qui est en
guerre. L’Esprit s’en fiche. L’Âme s’en fiche, mais l’humain va essayer de
traîner et rabaisser le Je Suis, la vérité et l'essence à son niveau et ça ne
va pas marcher. L’humain se trouve dans une misère, un drame, un désarroi
terrible, fauché, en mauvaise santé jusqu'à ce qu'il dise enfin :
« Vous savez quoi ? Je ne suis pas vraiment bon à ce truc de
l'illumination, et je crois que depuis le tout début mon agenda n’était pas le
bon. Je crois que quand j'ai commencé — en tant qu’humain — j’ai vraiment
commencé à m’y engager, en fait, en quelque sorte j’utilisais tous ces trucs
spirituels juste pour la glorification du soi, juste pour me rendre un peu plus
intelligent, un peu plus jeune, un peu plus riche ». Et puis finalement l’humain dit: « Vous
savez, je vais juste permettre. C'est la chose la plus magnifique qui
soit ».
Heh,
me voilà faisant un cours (il recule vers le podium qui le fait basculer et
renverse son verre)
LINDA : Ohh ! Boom, ba-boum !
ADAMUS :
Oh, je suis tellement excité à ce sujet !
LINDA :
Edith, vous êtes la prochaine.
ADAMUS :
Oui ! Oui !
LINDA :
Et je vais aller faire un nettoyage rapide.
ADAMUS :
Oui. Oh…
EDITH :
Je viens de prendre un bain de café.
ADAMUS :
Je ne pense pas que c’était du café, mais vous avez pris un bain. Vous venez
d’être baptisée. Oui. (Adamus rit)
EDITH :
Un baptême de l'illumination. (Quelqu'un dit « Loué soit le
Seigneur ! » ) Loué soit le Seigneur !
ADAMUS :
Donc — bon.
EDITH :
Passez les munitions ! (Quelques gloussements)
ADAMUS :
Au suivant. Quelles étaient vos attentes autour de l'illumination ?
EDITH :
Je ne sais pas si j'en ai vraiment eues. Je voulais simplement découvrir qui
j'étais vraiment et qui je suis et…
ADAMUS :
Bon. Arrêtons-nous là.
EDITH :
… pourquoi Diable je ne suis pas riche et…
ADAMUS :
Non, non ! Arrêtons-nous à la première… J'aime celle-là ! Nous allons
écrire cela — « Découvrir qui je suis » — absolument. Absolument,
parce qu’à propos Edith, cette question, vous vous l’êtes posée depuis de
nombreuses vies d’une manière merveilleuse : « Qui
suis-je ? » Non pas ce qui suis-je, mais « Qui suis-je ? Que puis-je être ? » Donc, c'est une
si belle question. Et, oui, maintenant, avez-vous la réponse à cette
question ?
(Elle
fait une pause, on entend quelqu'un murmurer « Je Suis ce que Je
Suis » )
EDITH :
Je Suis ce que Je Suis.
ADAMUS :
Qui le lui a soufflé ?
EDITH :
Je sais qui je suis ! Je suis un être, et parce que Je Suis ce que Je
Suis, je reçois.
ADAMUS :
Oui. La vache, ça ressemble à quelque chose tout droit sorti de mon livre.
EDITH :
Oui, vous avez raison. Ça l’est.
ADAMUS :
Je n'y ai rien ressenti venant du cœur, ma chère.
EDITH :
Je Suis ce que Je Suis.
ADAMUS :
On y arrive. Je Suis ce que Je Suis.
EDITH :
Et je vous aime la plupart du temps. (Rires)
ADAMUS :
Et qu’en est-il des autres moments ?
EDITH :
Je suis énervée contre vous.
ADAMUS :
Moi ? !
EDITH :
Vous.
ADAMUS :
Alors, je fais mon travail. Je vous remercie.
EDITH :
Oui vous le faites. (Ils rient)
ADAMUS :
Bien. Ainsi, la découverte de qui Je Suis. Et Edith, malgré les défis et les
difficultés, cela a-t-il été une belle expérience ?
EDITH :
Oui. Oui.
ADAMUS :
Oui. Oui. Retourneriez-vous en arrière ?
EDITH :
Non
ADAMUS :
Non. Et comment allez-vous avancer ?
EDITH :
Eh bien, vous savez, mon anniversaire — je suis Lion également — et mon
anniversaire est dans quelques jours, et je vais avoir un bel âge, et vous
savez, je pourrais juste faire un saut et venir vous rendre visite.
ADAMUS :
Ouais et puis revenir à vous.
EDITH :
Mm hmm.
ADAMUS :
Ouais, ou nous pourrions nous rencontrer à mi-chemin.
EDITH :
ou je vous verrai sur la Nouvelle Terre ou sur la Lune, n’est-ce pas, partout
où nous enseignons.
ADAMUS :
Ouais, bon. Vous avez évidemment encore 30, 40, 60 ans à vivre.
EDITH :
Oh mon dieu ! (Rires et Adamus rit)
ADAMUS :
Vous voilà enseignant sur la Nouvelle Terre, enseignant ces nouvelles choses,
et vous apprenez que vous… (Linda est en train de pulvériser du produit
nettoyant sur le sol juste en face de lui, certains gloussent) Devons-nous
faire cela maintenant ?
EDITH :
Elle ne veut pas abîmer le tapis.
ADAMUS :
Non, non
LINDA :
C'est juste une partie de l'illumination. (Rires)
ADAMUS :
Mais vous avez taché les pieds de Cauldre !
LINDA :
Oh vous pensez que c'était un accident ! (Plus de rires)
ADAMUS :
Et pendant que vous retournez là-bas…
LINDA :
Que voulez-vous ?
ADAMUS :
Avec de la crème — du café.
LINDA :
Avec ?
ADAMUS :
Avec de la crème. Ou du chai. (Quelqu'un dit « Chai ? » )
LINDA :
Ouais, c'est ça ! (Elle rit)
ADAMUS :
Je pensais que c'était un groupe New Age. (Rires) Le café fera l’affaire !
Du chai bio. Oui.
LINDA :
Ouais c'est vrai !
ADAMUS :
Alors, où en étions-nous ? Oh, oui. Donc, n'aimeriez-vous pas le cadeau de
60 autres années sur cette planète ?
EDITH :
Eh bien, si je pouvais…
ADAMUS :
Attention à ce que vous choisissez.
EDITH :
Peut-être que je dois finir de rajeunir et apporter toute mon abondance et ma
nouvelle voiture.
ADAMUS :
Votre problème est l’abondance, hein ?
EDITH :
Ouais, je fais un blocage sur l'abondance…
ADAMUS : Tss, tss, tss, tss, tss, tss, tss.
EDITH :
de toute évidence.
ADAMUS :
C'est malheureux, parce que…
EDITH :
Oui.
ADAMUS :
… c'est tellement petit par rapport aux vrais problèmes.
EDITH :
Oh.
ADAMUS :
Les vrais problèmes, ouais. Oui. Donc, nous allons parler de cela dans un
moment.
Suivant.
Je vous remercie. Merci, ma chère.
EDITH :
Je vous en prie. Tout le plaisir est pour moi.
ADAMUS :
Toujours un plaisir d'être avec vous.
LINDA :
Edith, vous pouvez passer le micro à Joann.
ADAMUS :
Toujours.
EDITH :
Idem.
ADAMUS :
Vous venez à ma fête d'anniversaire ce soir ?
EDITH :
Oui.
ADAMUS :
Bon. Bon. Savez-vous où elle se passe ?
EDITH :
Nous allons également faire la fête ?
ADAMUS :
Oui.
EDITH :
C'est avec le Conseil Cramoisi, euh… pas exactement. (Linda rit et certains
gloussent)
ADAMUS :
Avez-vous reçu une invitation ?
EDITH :
Je ne le pense pas. C'était probablement en majuscules. (Rires et quelques
applaudissements)
ADAMUS :
Nous allons déplacer ceci afin de ne plus rien renverser. (Il déplace le
podium) Bon. Merci, Edith. Je vous remercie.
Vous
avez tous eu des invitations, bien sûr, oui, et c'est au Club des Maîtres
Ascensionnés, #1 chemin de la Souveraineté, le Paradis. Oui. À partir de
minuit. Oui.
EDITH :
à minuit !
ADAMUS :
à minuit. Oui, bien sûr. Bien sûr. Oui.
Bien.
Suivant. Attentes autour de l’Illumination. Oui ? Oh, micro.
JOANN :
Salut. J'ai juste pensé que je serais un plus grand humain, n’est-ce pas.
ADAMUS :
Mettez-vous debout alors.
JOANN :
plus professionnelle et… vous savez.
ADAMUS :
Oh vraiment ?
JOANN :
Vous savez, juste, vous savez, un grand humain.
ADAMUS :
Vraiment ? Comme être à la tête d'une grande entreprise et…
JOANN :
Eh bien, c’est le cas… mon travail est très bien.
ADAMUS :
Ouais, ouais. Ouais.
JOANN :
C'est parfait.
ADAMUS :
Mais…
JOANN :
Je l’adore.
ADAMUS :
Quel est votre titre ?
JOANN :
Coordonnatrice de bien-être, directrice, adjointe du médecin. Donc j'ai
plusieurs titres.
ADAMUS :
Vous avez un titre qui dit que vous êtes assistante ?
JOANN :
Ouais, eh bien, je l'assiste. Quand elle n'est pas là, je la représente.
ADAMUS :
vous aidez ?
JOANN :
En quelque sorte. Ouais.
ADAMUS :
Mais vous ne le faites pas
vraiment ?
JOANN :
Ouais ! Ok je le fais ! (Elle rit)
ADAMUS :
Exactement. Donc pour tous ceux d’entre vous qui ont des titres, cartes
d'affaires qui disent « assistant » : « coordinateur »
ou « cadre moyen » — non, ce n’est pas acceptable. (Linda lui tend le
café) Merci.
LINDA :
Nous n'avons pas besoin que d’autres employés démissionnent. Vous allez la
fermer ?
ADAMUS :
Donnez-leur à tous un meilleur titre !
LINDA :
D'accord ! (Quelques rires étouffés)
JOANN :
J’utilise ce titre seulement quand on me le demande.
ADAMUS :
Tous des vice-présidents — vice-présidents directeurs. Absolument.
LINDA :
Vous ne pouvez en avoir qu’un.
ADAMUS :
Donc vous pensiez qu’il serait plus grand (l’humain).
JOANN :
Ouais !
ADAMUS :
Vous pensiez que vous seriez plus grandiose.
JOANN :
Plus grandiose, oui. Et je suis toujours moi…
ADAMUS :
Vivre sur la Côte d'Azur.
JOANN :
… mais je m’éclate. Oui ! Des trucs comme ça.
ADAMUS :
Ouais. Votre propre yacht.
JOANN :
Ouais !
ADAMUS :
Vraiment ? Pourquoi n'avez-vous pas manifesté ces choses ?
JOANN :
Je ne sais pas, parce qu’en quelque sorte j’aime ce que je fais. Donc.
ADAMUS :
Ehh, allez aux toilettes. (Elle rit)
LINDA :
Ohhhh !
ADAMUS :
Donnez-moi le micro.
LINDA :
Ohhhh !
ADAMUS :
J'ai entendu le mot tabou, donc allez à l'endroit tabou. Retournez-y.
LINDA :
Ohhhh ! Il suffit de dire non !
ADAMUS :
Elle a dit : « Je ne sais pas ».
LINDA :
Ohhhh !
ADAMUS :
ça c’est une conversation de toilettes. (Rires)
LINDA :
Ohhhh !
ADAMUS :
Une merde métaphysique.
JOANN :
Je viens d'envoyer mon esprit là-bas, donc…
ADAMUS :
Oh, ça c'était bien. J'aime ça. Bien. Intelligent. Intelligent (Les deux rient)
Alors, pourquoi n'avez-vous pas manifesté cela ?
JOANN :
Parce que je pense que j'ai changé d'avis.
ADAMUS :
Pfff. C'est une bonne réponse, mais un moyen de se dérober.
JOANN :
Vraiment ?
ADAMUS :
Une distraction. Une distraction.
JOANN :
Ce pourrait être une distraction.
ADAMUS :
Absolument.
JOANN :
D'accord.
ADAMUS :
Maintenant, ça n’a pas besoin de l’être, mais pour beaucoup ce le sera. Cela
demande beaucoup de travail pour faire fonctionner un grand empire, donc vous
vouliez prendre le temps de vous concentrer principalement sur vous-même. Et il
y avait quelques distractions là-bas, dont je vais parler dans un instant.
JOANN :
D'accord.
ADAMUS :
Mais vous avez fait ça dans le passé. Vous avez fait cela. Vous aviez des
armées, merde. Je veux dire que vous aviez des empires, vraiment. Et je veux
dire que c’était pour vous.
JOANN :
Oh, je… oui.
ADAMUS :
Ouais. Alors voulez-vous vraiment faire ça à nouveau ?
JOANN :
Non, je ne veux plus.
ADAMUS :
Ouais. Larry, qui est là-bas en train de bouffer, n’est-ce pas, a fait de même.
Ce cher Larry a eu des vies en tant que commandant d’une grande armée,
commandant militaire, des vies à gérer d'énormes quantités de terre, et tout le
reste. Donc, il revient dans cette vie ayant — (Larry se pavanant) oui, étant
une personne importante, comme vous pouvez le voir — et il dit :
« Non, j'ai les compétences et le talent pour le faire, mais je ne veux
pas le refaire. Laissez quelqu'un d'autre jouer à ce jeu ».
Chacun
de vous s’est autorisé cet espace — un espace bien protégé — pour être avec
vous-même. Ouais. Maintenant, de temps en temps vous essayez encore d’en sortir
et d’en faire trop et parfois vous en faites un peu peu, mais vous vous
autorisez cet espace. Oui. Bien. Je vous remercie.
LINDA :
suivant ?
ADAMUS :
quelques-uns encore avant d'arriver au point important.
EDITH :
Les toilettes sont un domaine interdit (hors de discussion). (Quelques rires)
ADAMUS :
Pourquoi ? Les toilettes sont un endroit agréable où aller réfléchir.
ANDY :
Quelle était la question ?
LINDA :
Quelle est la question ?
ADAMUS :
Les attentes au sujet de l'illumination. Vous enseignez sur la Nouvelle Terre.
Vous enseignez à tous ces êtres angéliques qui avancent à leur vitesse,
s'apprêtant à descendre sur Terre, et vous ricanez quelque peu en vous-même,
parce que vous savez ce que c'est vraiment. Et bien sûr, ils sont tous très
excités et vous en êtes aux derniers préparatifs d’enseignement des attentes
autour de l'illumination. Ils sont dans un cours avancé. Vous leur avez tout
dit sur les façons de faire des humains — les façons de faire étranges et
intéressantes de l'humain — mais maintenant vous dites : « Quand ce
sera le moment pour vous, après quelques vies, et que vous serez passé par ces
différentes incarnations, alors vous commencerez à ce qu'on appelle, vous
réveiller et vous illuminer » Et maintenant, vous leur expliquez certaines
de vos expériences, vos expériences humaines — avec vos attentes de ce que
l'illumination allait être.
Donc,
vous leur dites…
ANDY :
Que je n’en avais aucune idée. (Rires)
ADAMUS :
C'est très bien !
ANDY :
Honnêtement, je ne savais pas à quoi m'attendre, mais je savais qu’être humain
était assez étrange.
ADAMUS :
Oui.
ANDY :
Ce sentiment étant enfant quand je me demandais : « Pourquoi je ne
peux pas voler ? Je sais que je peux, mais je ne le peux pas pour le
moment. Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? »
ADAMUS :
Oui.
ANDY :
Et je crois que l'illumination m'a en quelque sorte fait comprendre que je
pourrais être de nouveau normal, ce qui voudrait dire être un humain anormal.
Est-ce que ça a du sens ?
ADAMUS :
Absolument. Absolument. Revenir à un état naturel.
ANDY :
Ouais.
ADAMUS :
Ce n'est pas naturel. C'est très anti-naturel.
ANDY :
Je suis d'accord.
ADAMUS :
Parce que c’est limité.
ANDY :
Ouais.
ADAMUS :
Donc, retour à l'état naturel. Alors, saviez-vous ça pour démarrer quand vous
avez commencé cette chose de l'éveil ?
ANDY :
Je… euh… c'était plus un ressenti qu'un savoir.
ADAMUS :
Exactement.
ANDY :
Parce que ça faisait du bien de ne pas se sentir si humain.
ADAMUS :
Exactement. Bien. Ouais. Bien. Alors, comment pourrions-nous définir ce
« retour à l'état naturel ? »
ANDY :
C'est très bien. Ouais, j'aime ça.
ADAMUS :
Bien sûr. Je l'ai inventé.
ANDY :
Ouais. (Rires) Ouais.
ADAMUS :
C'est mon anniversaire. Mentez-moi. (Plus de rires et Adamus rit) Alors la
question est : êtes-vous revenu à cet état naturel ?
ANDY :
Il semble y avoir un peu de programmation dans le sens où… il semble que ça
prenne du temps de gérer ça.
ADAMUS :
Oui.
ANDY :
Pourquoi — la société, les engagements.
ADAMUS :
Exactement.
ANDY :
Les choses matérielles.
ADAMUS :
Ouais, ouais.
ANDY :
ça semble se mettre en travers du chemin de temps en temps.
ADAMUS :
Et pourrais-je aussi ajouter quelque chose ?
ANDY :
Oh, je vous en prie.
ADAMUS :
Peut-être que vous avez un peu trop d’amusement avec ça ?
ANDY :
Eh bien, il y a de cela.
ADAMUS :
Il y a de cela.
ANDY :
Il y a de cela.
ADAMUS :
Vous savez, parce que…
ANDY :
C'est très amusant d'être ici, vous savez, ici et tout.
ADAMUS :
Parce que quand vous êtes illuminé, évidemment, l’être disparaît. (Rires)
ANDY :
Je ne suis pas sûr d’être d'accord avec cela.
ADAMUS :
Bon. Bon. Je ne suis pas sûr que je voulais dire cela comme étant quelque chose
de vrai non plus. (Plus de rires)
ANDY :
D'accord. Ouais, ouais, parce que c'est vraiment assez amusant de trébucher et
tomber et d’être humain.
ADAMUS :
C’est en quelque sorte ça. C’est en quelque sorte ça.
ANDY :
Mais ça devient lassant aussi après un certain temps.
ADAMUS :
Assez oui.
ANDY :
Ouais.
ADAMUS :
Donc, juste par curiosité, il y a eu très peu de Maîtres Incarnés. La plupart,
ils — claquement de doigts — partent immédiatement. Donc, disons que vous allez
être illuminé et tout.
ANDY :
Je vais l’être.
ADAMUS :
Ouais. Oh ouais. Et vous n’allez plus trébucher ?
ANDY :
Ehh, vous savez…
ADAMUS :
Vous ne pensez pas que Jésus ait jamais trébuché sur un rocher durant la nuit
et se soit écrasé au sol ?
ANDY :
Eh bien, je pourrais être le premier.
ADAMUS :
Ouais, ouais.
ANDY :
Moi, vous savez, j'ai toujours eu cette tendance à être un peu maladroit.
ADAMUS :
Vous ne pensez pas que Jésus ait jamais eu de miettes de pain dans sa barbe et que
ça ne lui arrivait pas de se promener toute la journée avec des crottes de nez ici…
ANDY :
Ohh ouais…
ADAMUS :
… ou tout simplement avec le nez qui coule et… (rires) Ouais.
ANDY :
Ouais… vous avez probablement raison. Il a probablement connu ça. Ouais.
ADAMUS :
Vous savez, je pense que le Maître Incarné ne s’en soucie pas vraiment. Il a
quelques miettes de pain dans sa barbe — ça n'a pas d'importance. En fait, je
serais presque prêt à parier que beaucoup d’entre vous vont effectivement faire
des choses délibérément, comme avoir une petite tache, n’est-ce pas, juste là,
et puis les gens, n’est-ce pas, toute la journée ils seront un peu comme…
(faisant un geste comme s’ils pointaient du doigt la tache) et puis vous êtes
comme… (il fait un sourire niais ; rire) n’est-ce pas. Et genre, n’est-ce
pas, porter deux chaussettes de couleurs différentes. Et alors ! Ou faire
des choses que vous n'auriez pas faites en temps normal, parce que vous auriez
peut-être été un peu gêné.
En
fait, je pense que vous allez sortir de votre façon de faire habituelle, pour
faire des choses grossières et dégoûtantes juste parce qu’enfin vous le pouvez,
et vous n'avez plus vraiment besoin de vous en préoccuper, parce que si vous
êtes un Maître Incarné, peu importe ! Et alors. Vous avez des bouts de
salade entre les dents ? Au lieu d'essayer de les sortir, mettez-en un peu
entre les autres dents. (Rires) Et vous vous promenez toute la journée en
souriant aux gens, et puis vous riez de vous-même, alors qu’ils sont un peu
comme… (il fait des gestes, plus de rires) Et puis quelques-uns essaieront, n’est-ce
pas, de vous faire signe… (plus de gestes et de rires)
Vraiment,
nous rions de cela, mais il y aura un moment où vous allez essayer… parce que
vous avez été si longtemps dans l’interdit, à suivre les règles et ne pas avoir
de bouts de salade entre les dents que finalement vous pouvez le faire et vous
ne vous en souciez pas. Vraiment pas. Vous laissez juste faire. Ouais. Bien. En
fait, vous l'utilisez un peu comme une leçon avec les autres pour cesser d’être
dans une telle routine. Peu importe si vous avez oublié de mettre votre chemise
à l’endroit le matin. (Rires)
Suivant.
Attentes liées à l’illumination. Oui. Encore quelques-unes de plus et nous en
viendrons au fait.
LINDA :
Est-ce que cela signifie que je peux porter des coussins pour rembourrer mon
fessier si j'en ai envie ? (Quelques rires étouffés) (plus tôt dans la
journée, elle avait porté quelque chose pour rire afin que son postérieur
semble beaucoup plus grand)
ADAMUS :
L’avez-vous ôté ?
LINDA :
Ouais ! Non, je les ai gardés ! (Plus de rires)
ADAMUS :
Oui, Kathleen. Les attentes. Qu'est-ce — vous avez eu beaucoup d'attentes au
sujet de l'illumination. Nous avons parlé de beaucoup d'entre elles. Quelles
étaient-elles ? Oui, s'il vous plaît.
KATHLEEN :
Eh bien, c’est plus le fait d’avoir une âme sœur.
ADAMUS :
Ouais, ouais.
KATHLEEN :
C'était une attente que je peux lâcher.
ADAMUS :
Ouais.
KATHLEEN :
Ouais.
ADAMUS :
Pourquoi aviez-vous l'attente d'une âme sœur ?
KATHLEEN :
(soupire) Je ne sais pas. (Le public dit : « Ohhh » )
ADAMUS :
Eh, eh, ohhhhh ! Oh, oh, ohhhhh !
KATHLEEN :
Ce n'était pas moi. (Beaucoup de rires et d’applaudissements)
ADAMUS :
Oh, ça —j'aime ça ! Vous voyez Shaumbra, vous allez mieux ! Vous
allez vite, vite, très vite. Okay. Oh ! Je suis tellement fier de vous.
Oui. Bien. Vous l'avez fait en plongeant presque en vous écrasant et vous
brûlant…
KATHLEEN :
Mon âme sœur est moi.
ADAMUS :
Oui, mais… oui, absolument.
KATHLEEN :
Oui.
ADAMUS :
Ouais.
KATHLEEN :
C'est moi.
ADAMUS :
Mais au début, vous n'aviez pas compris cela, et vous recherchiez désespérément
Steve, à la recherche de cette âme sœur et puis beaucoup de déception, ma
chère, beaucoup de chagrin et beaucoup de douleur.
KATHLEEN :
Je pensais que je l'avais trouvée.
ADAMUS :
Oui.
KATHLEEN :
C’était l’espoir que ce soit parfait. Ce n'était pas parfait, parce que j’étais
toujours à la recherche de moi-même.
ADAMUS :
Ouais. Gros chagrin — et nous allons effectivement introduire cela dans un
instant — mais quelque chose d'aussi profond que la recherche de l'âme sœur. Et
vous pensez — vous, l’humain — que vous êtes si juste (dans vos ressentis),
tellement plein de vérité, et que c'est tout ce qui compte, c'est tout —si seulement
l'Esprit vous accordait juste cela — et alors vous y allez vraiment, vous
l’extériorisez, allez à sa recherche. Vous trouvez même quelqu'un qui est en
fait docile comme un chien (rires) et dans votre imagination vous essayez de le
modeler et le faire devenir cette âme soeur. Vous essayez de trouver des justifications.
Vous commencez même à partager des histoires de vies passées que vous avez eues
ensemble — que vous n'avez en fait jamais eues ensemble —, en essayant de
fabriquer cette chose. C'est l’une des attentes les plus profondes, l’une des
plus profondes, puis la déception. La déception qu'il ne soit pas — ou qu’elle ne
soit pas — ce que vous pensiez. Et il ou elle essayait juste de voler un peu
d'énergie ou un peu d'intimité ou un peu — un peu, euh, eh…
EDITH :
De sexe.
ADAMUS :
… de sexe ?
LINDA :
Oh !
ADAMUS :
Ouais. Non, vous avez raison, un peu de sexe. J'allais dire « un peu plus
de minuit dans l'oasis ». J'essaie
d'être un peu plus… (rires) Mais le sexe. Le sexe. Quoi qu'il en soit… Ou bien
il y avait une part de vérité dans l'instant. Peut-être que vous aviez vraiment
été ensemble dans le passé. Peut-être que vous aviez été ensemble depuis un
long, long, long moment avant d’être sur Terre, mais l'intermède était juste
une partie de l’Illumination, en supposant qu'il s'agissait d'une partie de
votre retour sur vous-même. Mais cet intermède conduit à des déceptions
profondes et sombres en vous-même — « Pourquoi ai-je toujours eu ces
pensées (d’âme sœur) ? A quoi je pensais ? J’avais complètement
tort ». Vous voyez, vous commencez
à juger cela, et vous n’aviez pas tort. Vous n’aviez pas tort.
Donc,
absolument, oui, avoir une âme sœur, et découvrir en fin de compte que (a) vous
n'en avez pas besoin ; (b) Vous êtes l'âme sœur.
Maintenant,
je vais vous dire ceci. Ce qu’il se passe est qu’une fois que vous atteignez
l'amour de vous-même, alors vous trouvez vraiment quelqu'un. Il n’y a plus
d’âme soeur, mais c'est un être avec qui vous pouvez profiter de la vie d'une
manière libre et ouverte, sans toutes les obligations, mais alors c'est juste
purement pour s’amuser. Oui. Ça viendra. Ça viendra.
LINDA :
un de plus ?
ADAMUS :
Bien sûr. Attentes liées à l’Illumination. Joshua, quelles étaient les
vôtres ?
JOSHUA :
je m'attendais à être un peu plus sage et plus perspicace.
ADAMUS :
Ouais. Définissez le terme sage. Qu'entendez-vous par là ?
JOSHUA :
savoir pourquoi, le comment et le pourquoi de ce qui se passe dans ma vie, ou
pas dans ma vie.
ADAMUS :
Ouais, donc être sage et perspicace. Intéressant. Intéressant. Vous êtes celui
qui a étudié beaucoup, beaucoup, beaucoup plus que la plupart des personnes ici
ou qui regardent et sont en ligne. Vous avez une intelligence incroyable, un
mental très harmonieux. Vous étiez sur ce chemin à étudier la physique, le
cosmos, les religions, la métaphysique, tout le reste. Qu'est-il arrivé ?
JOSHUA :
Eh bien, j'ai compris certaines choses spécifiques, mais pas beaucoup plus que
cela, et pour la plupart, ça devient de moins en moins intéressant.
ADAMUS :
Ouais. Et d'autres choses qui sont arrivées qui, vous savez, vous ont fait dire
« Il ne s'agit pas simplement d'étudier ». — Vous ne comprendrez
jamais — vous ne comprendrez jamais Dieu
ou vous-même avec votre mental. Ça ne peut pas se faire. Simplement pas. Vous
pouvez étudier. Vous pouvez apprendre des Maîtres. Vous pouvez apprendre de
vous-même, de vos vies passées, jusqu'à un certain point. Mais alors, il s'agit
de ce qu'on pourrait appeler le cœur. Il s'agit de permettre. Il s'agit de
passer à un tout autre niveau qui est sans limites ou sans explications. Il
arrive un certain point dans tout cela, qui ne peut pas être et ne doit pas
être expliqué. C’est juste ressenti et vécu.
Alors
Boom — vous aviez cet incroyable mental, un mental puissant, en fait vous aviez
essayé d'utiliser votre mental pour de la manipulation énergétique — et vous
arrivez à un moment où vous heurtez cette barrière et fondamentalement cela ne
fonctionne plus. C'est dévastateur pour le mental — pas pour l'esprit —, c’est
dévastateur pour le mental de découvrir qu'il ne sait foutrement rien.
(Quelques rires étouffés) Il ne sait pas.
SART :
Merde. (Rires)
ADAMUS :
Vous êtes dans le désespoir. Cela mène à la dépression — la dépression
mentale-parce que le mental pensait qu’il était Dieu, il pensait qu’il était
l’ordre le plus élevé des choses, et puis il découvre qu’il ne l’est pas. Il ne
l’est pas du tout. Il est extrêmement limité.
La
vraie sagesse, mon ami, la vraie sagesse et compréhension c’est la simplicité,
distillant tout dans son essence. Ça ne peut pas être mis en équations
mathématiques. En fait, on ne peut même pas le mettre en mots ou dans des
formules ou quoi que ce soit. Il faut le réduire à la simplicité.
La
simplicité, si cela ne vous monte pas à la tête, c’est tout simplement
« J'existe. Je Suis ce que Je Suis ».
Ensuite, ce sera tout ce que vous voulez.
Vous
commencez à y penser, vous commencez à essayer de le disséquer —
« Qu'est-ce que le Je Suis ce que Je Suis ? Combien de syllabes y
a-t-il » Vous savez : « Quelle est la meilleure heure de pleine lune
pour dire ces mots ? » — Et ça y est, vous êtes parti —. Vous pouvez
juste être dans l'expérience. « Je Suis ce que Je Suis ».
Donc,
vous vous êtes donné la belle expérience de sortir de votre mental. Une
expérience dévastatrice, au premier abord, belle maintenant. Rappelez-vous, la
simplicité. Ah. Bien. Je vous remercie.
Okay.
Un de plus. Vous êtes sur la Nouvelle Terre, vous enseignez. Je m'amuse. Bien.
Oui ?
SUSAN :
Je pensais que je serais davantage comme tous ces Maîtres Ascensionnés au sujet
desquels j’ai beaucoup lu.
ADAMUS :
Ah, ouais. (Adamus tousse, étouffant un son de dégoût ; quelques
gloussements)
SUSAN :
Et… et… et… où étaient toutes les femmes ?
ADAMUS :
La meilleure question que j'ai entendue aujourd'hui. Les femmes !
Maintenant, il y a deux parties ici. Vous dites que vous pensiez être comme les
Maîtres du passé, l'attente autour des Maîtres du passé.
SUSAN :
Oui.
ADAMUS :
Oui. Ce n'est pas vrai.
ADAMUS :
Ce n'est pas vrai !
SUSAN :
Mm-mm.
ADAMUS :
Ils sont vieux et hargneux. (Rires) Il y a tellement de conneries écrites à
leur sujet.
SUSAN :
J'ai trouvé aussi.
ADAMUS :
Ce n'est pas vrai du tout.
SUSAN :
Mm hmm.
ADAMUS :
Et vous êtes amené à vous sentir coupable si vous dites que Jésus avait des
rapports sexuels ou… qu’il n'était même pas un Maître Ascensionné. Il était
juste un collectif. Il n'était pas aussi bon qu'un Maître Ascensionné, juste un
collectif. Il était tout simplement votre potentiel. Il n'était pas un être
réel.
Ce
serait sacrilège de dire que — et en passant, je vais faire une déclaration, ce
n'est pas un Maître Ascensionné, certains pensent qu'il l’est, sauf Mahomet —,
qu'il se grattait les aisselles et l'aine. (Linda suffoque) Et c'est comme,
hah, vous savez. Et il avait vraiment ses mauvais jours. Je m’en fiche. Et
quelques-uns de mes meilleurs amis sont musulmans. (Quelques rires étouffés)
C'est drôle. Ils viennent à ma fête ce soir. Ils ne vont pas boire, bien sûr,
ou avoir de relations sexuelles, mais ils vont venir à ma fête. (Plus de rires)
J'aime les avoir à mes fêtes parce que vous n'avez pas à leur donner beaucoup
de vin. C'est bien de rire ! Putain !
LINDA :
Ha, ha, ha !
ADAMUS :
C’est bien de rire. (Adamus rit)
Donc
les anciens Maîtres, ohh, ils l'ont fait de manière si difficile (leur chemin
vers l’illumination). Et l’un de mes vrais désirs c’est que vous vous sortiez
cette bêtise de la tête à propos de Bouddha ou des autres. Vous avez les
autels. Oh ! Les autels ! Les autels. J'aimerais bien que quelqu'un
transforme les autels. Brûlez-les ! Vous glorifiez quelque chose (a) qui
n'est pas vrai et (b) qui est vraiment, vraiment ancien.
SUSAN :
Oui.
ADAMUS :
Brûlez-les tous tout simplement. Si vous voulez avoir un autel, mettez votre
propre photo en haut.
SUSAN :
un miroir.
LINDA :
Ohhh !
ADAMUS :
Cela pourra sembler un peu étrange, au début, pour les gens qui entreront dans
votre maison et — « Est-ce que ce n’était pas une statue de Marie qui
était là haut dans le temps ? (Rires) Et maintenant vous avez votre
photo ? » Mais c'est bien. Regardez, vous vous en fichez, comme vous
vous en fichez aussi d’avoir des bouts de salade coincés entre les dents.
« Yep ! Je suis un Maître Ascensionné. C'est moi ! » (Les
rires augmentent alors qu’il embrasse un miroir imaginaire)
Et pas
de femmes. Qu'est-ce que cela signifie ?
SUSAN :
Qu'est-ce que cela signifie ?
ADAMUS :
Les femmes peuvent-elles ne pas ascensionner ? (Quelqu'un crie
« Oui ! » ) Eh bien d’où vient l’idée qu’il n'y a pas… de
femmes ? Vous suivez les histoires de Maîtres qui sont des hommes. Quel
est le problème avec cela ? (Quelqu'un dit « L’histoire ») Son
histoire. Ouais, son histoire. Quan Yin, était-elle ascensionnée ?
(Quelqu'un dit « Oui » ) Était-elle une femme ? (Quelqu'un dit
« Oui » ) Est-ce qu'elle s’en souciait ? Non. (Adamus rit)
Il y
a, tout d'abord, et curieusement, plus de femmes que d’hommes dans les
anciennes Ecoles de Mystères que nous avions. Il y a plus de Maîtres
Ascensionnés qui sont venus dans le corps féminin provenant de leur dernière
vie. Pourquoi cela ?
Ils
pouvaient le faire tranquillement, parce que tous les hommes couraient en tous
sens, allant à la guerre ou se frappant la poitrine à propos de Jésus.
(Quelques rires) Et les femmes pouvaient simplement rester à la maison et, vous
savez, prendre soin de la maison, mais surtout prendre soin d'elles-mêmes.
Il y a
plus, diriez-vous, de femmes — mais ce ne sont pas des femmes — au Club des
Maîtres Ascensionnés.
SUSAN :
Exact, exact.
ADAMUS :
Bien que j’aimerais bien ça en fait. J’étais un homme, donc… Mais il y en a
plus qui proviennent d’incarnations féminines, parce qu'ils le pouvaient. Ils
n'avaient pas les exigences et la pression sur eux.
SUSAN :
Mmm.
ADAMUS :
Ouais.
SUSAN :
D'accord.
ADAMUS :
Et aussi parce que c'est en fait un peu plus facile pour les femmes. C'est plus
facile pour l'énergie féminine. Ouais, elles sont un peu plus intuitives et
moins rigides. Oui. Mais elles passent un plus mauvais moment pour parvenir à
l'illumination. (Il y a une légère pause) C’était drôle. (Rires) Pas
vrai ? Oui. Merci. Bon.
Bon,
nous en avons terminé maintenant avec les attentes.
Laissez
tomber les attentes
Vous
avez eu beaucoup d'attentes liées à l'illumination, et si nous faisons la
synthèse de toutes, la plupart d'entre elles sont sur le tableau ici :
vous allez être parfait, tout va être génial, vous allez avoir beaucoup
d'argent, tout le monde vous aimera. Comme il s'avère que vous n'avez pas
d'argent, personne ne vous aime vraiment, vous n’êtes pas parfait et vous ne
ressemblez pas aux Maîtres du passé — Dieu merci. Dieu merci.
Chacun
d'entre eux vous le dira — et demandez à n'importe quel maître qu’il vous
arrive de rencontrer — « Ne le faites pas comme je l’ai fait ». C’est
ce qu'ils diront. Ils ne veulent pas que vous passiez par les mêmes difficultés.
Et c'était une époque totalement différente. L'époque était différente alors,
fondamentalement différente. Je veux dire, l’époque était différente. L'énergie
était différente. La conscience était différente. Tout. Ils vous encourageront
à le faire d'une manière différente, si possible sans le degré de souffrance et
d'angoisse qu'ils ont vécu.
Alors
s'il vous plaît, à partir de maintenant, laissez tomber les attentes au sujet
de l'illumination. Laissez-les tomber. Laissez-les aller. Laissez-les aller.
Lorsque vous faites cela, vous permettez à la dynamique réelle de
l'illumination ainsi qu’à quelques-unes des joies de l'illumination de commencer
à arriver.
Deux
Dynamiques
Alors
vous me direz, mais alors pourquoi n'ai-je pas encore réalisé mon
illumination ? Eh, il y a beaucoup de raisons à cela, mais je vais dire
qu’il y en a deux que je vais vous demander de ressentir vraiment entre
maintenant et quand nous nous réunirons le mois prochain pour notre nouvelle
série. Au passage, je l’appellerai la Série Découverte. Parce que vous allez
commencer à découvrir combien vous êtes vraiment illuminé.
LINDA :
Hmm. (Applaudissements)
ADAMUS :
Ouais. Merci. Oui. En d'autres termes, encore une fois, moins de discours, plus
de plaisir. Oui, certainement.
Il y a
deux grandes dynamiques à l'œuvre en ce moment, et vous jouez avec les deux,
lesquelles vous causent un peu de cette anxiété et de cette agitation que vous
éprouvez, avec ce sentiment d’être bloqué. Il y en a deux principales. Nous
avons parlé des attentes — voudriez-vous écrire cela :
« attentes » en haut sur la feuille de papier suivante ? (À
Vili) Attentes.
~Attentes-Aspects
de l’Illumination
Le
prochain point que je vais vous demander de bien observer entre maintenant et
notre prochaine rencontre concerne les aspects que vous avez créés, et envoyés
ici dans votre quête de l'illumination. Vous les avez créés il y a longtemps,
dans des vies passées, mais beaucoup d'entre eux ont vraiment été engendrés
dans cette vie. Vous avez créé non pas un, non pas deux, mais des dizaines
d’aspects autour de l’illumination. Je vais donc appeler ces aspects de votre
attente d'être spirituel, d'être illuminé, d'être un Maître, je vais les
appeler attentes-aspects. (Quelqu'un dit, un peu ironiquement : « Ha
ha ha ! » Et certains rient) Ça vous aidera à vous en rappeler. C'est
mon anniversaire, s'il vous plaît applaudissez. (le public répond « Woo
hoo ! » et applaudit) Je deviens exigeant.
Vous
avez des attentes, vous avez des attentes-aspects de l’illumination. Ces
derniers sont des aspects littéraux, pour beaucoup d'entre eux, et la chose
intéressante c’est qu'ils ne sont pas tous à l'unisson les uns avec les autres.
Ils ne sont pas tous en harmonie les uns avec les autres.
Vous
avez beaucoup d’aspects différents, et j’aimerais que vous les observiez
vraiment, parce que vous avez un aspect qui — oh ! celui-ci me rend fou —
qui vous voit toujours comme un être rustre (un péquenaud) le Maître en tant qu’être rustre et dans des
vêtements grossiers, sans chaussures aux pieds et avec une petite tasse
d'étain, mendiant de porte en porte en pensant : « Eh bien, le
Maître, le véritable être illuminé est pauvre ». C'est le passage du chas de l'aiguille. Vous
avez accepté que, quelque part au long du parcours, certains aient programmé cela
quand ils y sont passés. Vous l’avez alors accepté comme vôtre et vous avez
l’avez trimballé avec vous.
Vous
avez un autre aspect de l'illumination qui a entendu certaines paroles de
Tobias et qui dit : « Eh bien, non, vous devez être prospères,
abondants ». Et qu'est-ce qu’il se
passe avec ces deux aspects ? Peow ! Peow ! (Combats) Comme ça.
Et l'un dit : « Oui, mais nous devrions être abondant » et vous
essayez de favoriser celui-là, mais l'autre qui est vieux et profondément
enraciné dit : « Non, nous devons être pauvre. Nous devons être là
pour servir tout le monde. Nous devons prendre soin du monde ». Et ceux-là sont en conflit.
Vous
avez les aspects de l’illumination qui disent : « Je dois étudier. Je
dois tout savoir. Je dois connaître tous les philosophes. Je dois savoir tout
ce que Jésus a jamais dit. Je dois connaître toutes les religions du monde. Je
dois… » Et vous avez l'autre aspect qui dit : « Rien de tout
cela ne compte. Rien de tout cela importe vraiment : » et ils ont ce
— parfois ce sera une vraie bataille, et parfois l'aspect intellectuel de
l'illumination commencera à cracher tout son truc mental — des faits et des
chiffres et des dates — en essayant d'être condescendant par rapport à cet
aspect qui recherche la simplification. Et le mental submergera cet aspect
simple avec tout son intellect et comment il est intelligent, et il fera que
cet autre aspect se sente stupide, et pense : « Oh, je crois que je
ne sais rien de la vie. Je ne suis pas digne de l'illumination ». Vous voyez, ils se combattent sans cesse.
Vous
avez l'aspect qui dit : « L’illumination — il faut que j’aie un corps
parfait avec une aura rayonnante bien sûr, qui ne vieillisse jamais et sente
bon comme les cookies au chocolat ».
(Quelques gloussements) Et puis vous avez l'aspect de l'illumination qui
dit : « Cette chose qu’est le corps physique est si temporaire et a
vraiment été une limitation à mon illumination. C'est mon corps physique qui me
maintient loin d’elle ». Et un
autre aspect qui dit : « Mais lors de l'illumination, je vais emmener
mon corps physique à mon Troisième Cercle et au Club des Maîtres Ascensionnés
pour la fête d’Adamus » et ces trois-là se battent les uns avec les autres
et luttent. Vous avez ces attentes-aspects liées à l’illumination. Je voudrais
que vous en soyez conscient.
Maintenant
le danger de cela, ou la difficulté à cela, c'est que vous allez plonger
dedans, dans ces aspects, et les ressentir, et Aandrah sait exactement ce qu’il
se passe. Ils viennent et ils essaient de vous attirer à eux, de vous faire
penser que vous êtes eux. Donc observez-les à distance. Observez-les à partir
d'un point de neutralité. Ne vous impliquez pas dans leurs affaires. Ne vous
impliquez pas du tout. Observez juste comment ils fonctionnent.
Oui,
ils font partie de vous, absolument. Mais vous pouvez les observer et voir
comment toutes ces attentes-aspects — vos attentes par rapport à l'illumination
— flottent là tout autour.
Maintenant,
ce que nous allons faire, ce que vous allez faire, c'est intégrer chacune d’elles.
Vous allez toutes les intégrer, non par la force, non par l'intellect. Vous
allez les intégrer en prenant une bonne inspiration profonde dans le Je Suis.
Vous prenez une bonne inspiration profonde en vous, dans votre vérité, dans
l'amour de vous-même.
Le
moyen d'intégrer les aspects consiste à s'aimer soi-même. Vous n’avez fait
aucune erreur le long du chemin, pas du tout. Vous en rirez un jour. Vous
n’avez fait aucune erreur. Vous n'avez rien fait de mal. Vous n'avez pas de
mauvais karma, rien de tout cela. Donc, vous êtes libre de vous aimer. Il ne
devrait y avoir aucune culpabilité, ni remord. Vous êtes libre de vous aimer.
Donc,
celles-là sont les attentes-aspects — ou les attentes — au sujet de
l'illumination.
J'en
parle maintenant parce que, comme nous allons avancer dans notre Série
Découverte, nous ne voulons pas que toutes ces attentes traînent autour. Nous
voulons que vous soyez en mesure de (a) les identifier, voir comment elles
fonctionnent avec vous ; (b) les intégrer en vous aimant, et (c) en
utilisant la dynamique de tous ces aspects, car ils vous ont servi. Ils ont
recherché des variations de la vérité. Ils ont cherché pour vous dans
différents potentiels, et toute cette énergie est venue et vous sert.
~
Attentes-Projections
Alors,
le point suivant, et le plus difficile à aborder, c'est à propos des autres
(les autres personnes).
LINDA :
Mm.
ADAMUS :
Mmm. Mmmm. Oh, devons-nous nous aventurer sur ce terrain ? (Kerri se lève
pour boire un verre) Vous ne pouvez pas sortir maintenant Kerri. (Rires)
KERRI :
Je n'ai pas peur.
ADAMUS :
Les autres, et je ne vais pas être apprécié en disant cela, mais je m’en fiche.
Peut-être
que le plus grand obstacle à votre illumination, ce sont les autres. Et tandis
que les autres pourraient considérer que c’est une déclaration très dure,
égoïste, visant à briser les familles et tout le reste… — les familles se
séparent d'elles-mêmes de toute façon, indépendamment de l'illumination.
C'était drôle. (Quelques rires) Cela n'a rien à voir avec l'illumination. Ce
sont les autres. Et plus précisément, ce sont les gens qui sont le plus proche
de vous — vos compagnons et conjoints, vos enfants, vos parents, vos enfants,
vos parents, vos enfants, vos parents (rires) vos proches (les autres qui sont importants pour vous), vos compagnons de
sommeil, vos compagnons de lit, Edith. Ceux-là sont les plus…
EDITH :
J’aimerais avoir des compagnons de lit. (Rires)
ADAMUS :
Ils font partie des choses les plus joyeuses de votre vie et aussi des choses
qui vous empêchent vraiment de réaliser votre illumination.
Alors
que faire ? Faire vos valises ? Partir ? Aller vivre dans les
bois par vous-même ? Pas nécessairement. Pas nécessairement.
Mais
commencez par réaliser à partir de maintenant que ces gens qui sont le plus
proche de vous, ces gens qui sont très, très proches, sont ceux sur qui vous
projetez vos déséquilibres, vous projetez vos peurs, vous projetez votre vide,
vous projetez vos colères. Vous projetez votre soi, vos déséquilibres droit sur
eux, et parce qu'ils vous aiment, ils les acceptent. Et, soit dit en passant,
vous le faites pour eux aussi. C'est comme s’ils étaient votre miroir, et que
vous étiez le leur.
Ils
vous ont permis de balancer tout votre bazar sur eux et ils vous l’ont renvoyé.
Ils sont parmi vos plus grands maîtres, mais il arrive un moment où vous ne
devez plus vous projeter sur les autres. Alors quand je dis que ce sont les
autres — les personnes proches, les plus proches de vous — il s'agit en fait de
ce que vous leur faites, en leur envoyant votre bazar afin qu'ils puissent vous
le renvoyer.
Ils
vous mettent en colère, parce que vous leur avez donné l’opportunité de vous
mettre en colère. Ils vous causent la plus grosse peine de coeur, parce que
vous leur avez envoyé votre cœur afin qu’ils vous le renvoient. Ce n'est pas
qu'ils sont mauvais. En fait, ce sont des gens merveilleux et ils vous aiment,
et ils ont supporté beaucoup, tout comme vous avez supporté beaucoup d’eux.
Mais toute cette pratique de l'utilisation d'autres personnes pour découvrir
les besoins du soi arrive à sa fin. (Quelqu'un crie « Amen ! »)
Amen. Il y a une réunion de réveil ! Oh amen ! Amen ! (Quelqu'un
siffle et applaudit)
Tout
le monde fait cela pour tout le monde. Et, soit dit en passant, c'est la raison
pour laquelle tant de relations ne fonctionnent pas ou ne durent pas longtemps,
car à un certain moment vous ne supportez plus de vous voir à travers cette
autre personne. Vous l’accusez, bien sûr, mais vous ne pouvez juste pas
supporter de vous voir à travers elle. Ou à un certain moment vous réalisez que
vous n'avez plus besoin de faire cela avec l'autre.
Alors
la question émerge, y a-t-il un espoir pour de véritables, authentiques et
pures relations ? C'est à vous de voir. C'est à vous de voir. Mais la
plupart des relations avec n’importe quel humain relèvent de ce jeu de
projection — vous vous projetez sur eux, pas comme un pêcheur en attente de
ferrer un poisson (et donc de l’appâter, le ramener à lui), mais vous vous
projetez sur eux*
* Comme un directeur de casting pour un film
Alors
comme nous sommes dans cette discussion sur les attentes, je vais appeler cela
les attentes-projections. (L'assistance répond avec des grincements et des
rires) Pourriez-vous écrire cela ? (À Vili) Parce qu'elles correspondent
aussi à votre casting / distribution des rôles, comme un casting / une
distribution de personnages dans une pièce de théâtre ou une émission de
télévision. Elles sont votre casting / distribution des rôles. Elles sont vos
personnages. Mais il vient un moment où la pièce de théâtre devient un one-man
ou un one-woman show. Vous devez vous débrouiller seul. C'est votre scène. Vous
n’utilisez plus les autres. C’est vous qui vous débrouillez par vous-même, dans
la Présence Je Suis de vous-même.
Lorsque
vous arriverez à ce point, quand vous pourrez être honnête à ce sujet, quand ce
sera juste le Je suis sur la scène, pas ce casting d'autres humains dont vous
vous êtes entouré, alors vous réaliserez quelque chose de beau : Qu'il y a
le casting de vous-même et de tous les magnifiques aspects que vous avez eus,
tous les aspects vraiment intégrés, et que vous n’avez pas réellement besoin
des autres. Vous n'avez pas besoin d'eux de la façon dont vous les avez
utilisés dans le passé.
Alors
c'est ici qu’arrive le dilemme : Vous êtes avec quelqu'un, vous avez des
enfants, vous avez un compagnon, même des parents, et il y a tout ce jeu qui
est en train de se jouer — vous vous découvrez à travers eux — et ce jeu doit
arriver à sa fin, à un certain niveau d'illumination ou de conscience.
Maintenant,
il y aura des gens qui prendront ceci hors contexte, et qui diront :
« Adamus vous dit de quitter vos familles. Quittez vos bébés. Quittez vos
parents. Ne prenez pas soin d'eux ».
Je ne dis pas cela. Je tiens à être très clair à ce sujet. Je ne dis pas
cela.
Je
vous dis de mettre fin au jeu. Mettez fin à cette habitude d’utiliser les
autres pour vous voir vous-même. Mettez fin à comment vous utilisez les autres,
qu'il s'agisse de guides ou d'anges ou d'autres humains ou de n’importe qui
parmi eux, pour vous aider à vous découvrir. A partir de maintenant, c'est vous
qui vous découvrez vous-même. Vous ne pouvez plus le faire à travers ce mari ou
cette femme ou à travers vos enfants ou n’importe qui d'autre.
Lorsque
vous ferez ce choix en vous d’abandonner ce type de relation, est-ce que cela
la fera changer ? Est-ce que cela changera la relation physique que vous
entretenez avec eux ? La relation énergétique ? Karmique ?
Partiront-ils ? Qui sait. Ce n'est pas grave.
Je
vais vous dire ceci : Vous n'avez rien à faire. Vous n'avez pas à rentrer
à la maison en disant : « Oh, Adamus nous a poussés dans nos
retranchements aujourd'hui. Maintenant, je dois prendre une décision. Dois-je
quitter mon bon à rien de mari ? » Je ne dis pas cela du tout.
Je dis
juste qu’il s'agit pour vous de faire le choix de changer la dynamique, les
attentes-projections au sujet de l’illumination. Ce qui en soi changera la
dynamique des autres relations. Vous n'avez rien à faire. Vous n'avez pas à
appeler l’avocat pour votre divorce demain. Ça va juste s'équilibrer
naturellement.
Maintenant,
cela ne signifie pas qu'il n'y aura pas de drame ou de remous, parce que les
humains sont les humains, et à la minute où quelqu'un sent que ses crochets
n’ont plus de prise sur vous, ou que vos crochets n’ont plus de prise sur lui,
il se fâche. Il se sent contrarié. « Qu'est-ce qui ne va pas chez
toi ? Qu’est-ce que tu fabriques pendant cette réunion de secte ?
Qu'est-ce qu'ils te disent ? » Vous savez, toutes ces choses. C'est
alors que vous prenez une profonde respiration. Il pourrait y avoir, dans la
dynamique de l'énergie, certains changements qui se mettent en place.
D'un
autre côté, cela pourrait être la plus belle chose, le plus beau cadeau que
vous vous donniez à vous-même ou à cette autre personne. C'est une libération.
C'est une libération de quelques très vieilles énergies de servitude.
Alors
probablement que, je dirais, parmi les dix principaux problèmes, freins, sujets
d’inquiétude liés à l'illumination, il y a toutes ces autres personnes. Il y a
tous ces autres. Vous ne voulez pas le faire parce que vous avez peur que cela
puisse leur faire du mal. Vous ne voulez pas le faire parce qu'il y a une
dynamique de ce type que vous entretenez avec les autres depuis tellement
d’années. Vous pouvez penser ne pas être prêt à vous dégager de cela.
Mais,
mes chers amis, comme je vous le disais au début, il arrivera un moment dans
votre réalisation de l'illumination où il n'y aura plus beaucoup de guides
autour de vous. Il arrivera un moment où il n'y aura plus beaucoup d'amis tels
que les amis que vous avez eus avant. Il arrivera un moment où il n'y aura plus
beaucoup d'autres humains, de relations telles que les relations que vous avez
eues. Ça ne veut pas dire pas qu'ils seront partis, ça veut juste dire qu’ils
auront changé.
Je ne
peux pas vous dire s'ils vont mourir ou non. Je ne peux pas vous dire ce qu’il
se passera, mais c'est le moment où vous prenez une profonde respiration et
vous assumez que cela concerne votre illumination. Et vous assumez que vous la
réalisez dans le plus grand amour, d'abord de vous-même et ensuite des autres
avec qui vous partagez l’amour. C'est le moment où vous assumez et où vous
faites confiance dans le fait que c'est la joie du Je Suis.
Prenons
une profonde respiration avec ça.
Merabh
pour la Liberté
Comme
nous arrivons à la fin de la Série Liberté, faisons juste un court merabh pour
la liberté. Baissons la lumière, mettons un peu de musique pour merabh en fond,
si vous voulez bien, John.
(la
musique commence)
Merabh,
c’est une si belle époque. Nous avons en quelque sorte intensifié les énergies
aujourd'hui, il y a un tel ressenti dans la salle. Maintenant, nous pouvons
simplement prendre une profonde respiration. Maintenant, vous n'avez plus
besoin de lutter avec quoi que ce soit. Vous n'avez même pas besoin de penser à
ce dont nous avons parlé aujourd'hui. Vous n'avez pas besoin d’y travailler.
Vous n'avez pas à l’étudier.
Il n'y
a pas de prière pour ça.
Un
merabh est un beau moment où tout simplement vous permettez.
Il n'y
a pas de manipulation d’énergies.
Il
s’agit juste de prendre une profonde respiration.
Ces
dix derniers Shouds nous avons parlé de liberté. En fait, nous avons vraiment
parlé de limitations. Au cours des dix Shouds, nous avons relâché les
limitations, en les prenant juste une par une avec amour.
Oh, ça
peut être absolument terrifiant en même temps. Mais aussi tellement libérateur,
tellement libérateur.
Nous
avons parlé de nous libérer des limitations du mental humain, l'aspect humain.
Cet aspect humain est un tel amour, si résistant. Oh ! Qui veut tellement
bien faire, mais qui ressent dans l'obscurité quelle est la bonne chose à
faire.
Que
faisons-nous ? Nous nous libérons de cet aspect humain ou de ses limites,
en permettant que l'amour véritable de l'humain soit réintégré dans le Je Suis.
Je ne
connais pas d’autres êtres dans la création qui aient plus d'amour que les
humains, bien qu’ils aient aussi plus de conflits avec l’amour, plus de défis.
Probablement parce que l'être humain, si aimant, voulant tellement bien faire
qu'il se juge finalement si durement, met la barre si haut, est tellement
affecté par les échecs en amour — ce qu'il appelle les échecs. Bien qu’il
apprenne tout le temps de plus en plus sur l'amour, de plus en plus sur
l'amour, et plus qu’aucun être nulle part ailleurs.
Voici
où nous en sommes, avec la Série Liberté.
Elle
vous a donné l'occasion de regarder les choses de votre vie qui vous
maintenaient limité. Certaines d'entre elles ont été amusantes. Certaines
d'entre elles ont été si limitantes, vous empêchant de ressentir et de vivre
l’expérience du véritable Je Suis, ici dans cette incarnation. C’est tellement
frustrant d'avoir ces limitations, certaines de ces limitations donnent
l’impression qu’elles sont en permanence attachées à vous.
Alors
prenez une profonde respiration dans la vraie liberté.
La
liberté, l'illumination — les mots sont interchangeables.
(Pause)
Ressentez
juste un instant. Je vous ai demandé tout à l’heure, quand tout ceci a
commencé, ce cheminement spirituel, cet éveil, il y a peut-être 2000 ans, 800
ans — ça n'a pas d'importance — qu’est-ce que c'était ?
Qu'est-il
arrivé ?
Qu'est
ce qui vous a fait vous demander pourquoi et comment ? Quelque chose que
peu d'humains se demandent, mais cela vous a fait vous demander pourquoi ?
Comment ?
Qu'est
ce qui vous a fait vous demander : « Qui suis-je ? »
(Pause)
Ça,
mes chers amis, ça c’était un aspect. Oh, c'était vrai. C'était une question ou
des questions tout à fait valables, mais cela a créé un aspect.
Où est
cet aspect maintenant ? Où est cette partie de vous qui est sortie pour
chercher ?
Peut-il
rentrer à la maison maintenant ?
Peut-il
venir à vous maintenant ?
Peut-il
se découvrir ?
Il n’a
plus besoin d'être là dehors, errant dans les couloirs célestes, mais peut-il
rentrer à la maison maintenant, venir à vous maintenant, dans ce corps, et
commencer la découverte ?
C’est
un peu comme simplement marcher droit sur vous…
Il
suffit de dire : “Faisons l’expérience ensemble. Soyons ensemble.
Découvrons ensemble.
« Plus
de recherche et d'errances interminables. Soyons juste dans l'expérience du Je
Suis.
“Des êtres
libres. Des êtres illuminés. »
Au
passage, l'illumination ne signifie pas la fin du voyage. L'illumination est
juste la prise de conscience du voyage, de l'expérience.
L’illumination
ne signifie pas que ça se termine. Elle signifie en fait que le plaisir
commence. Et nous verrons cela alors que nous entrerons dans notre Série
Découverte.
Prenons
une bonne respiration profonde. Ahh ! Une bonne respiration profonde.
Toutes
ces attentes liées à l’illumination, tous ces gens dans votre vie semblant empêcher
votre illumination — au moins c’est une bonne excuse —, il est temps que nous
allions au-delà de cela, que nous nous libérions de cela.
Prenez
une bonne et profonde respiration.
Mes
chers amis, Aandrah va respirer avec vous dans un instant. Moi, j'ai une fête
d'anniversaire à laquelle je dois assister. Vous êtes tous invités. Trouvez
votre propre chemin pour y aller. C'est au Club des Maîtres Ascensionnés, votre
nom est sur la liste.
Et
souvenez-vous, alors que vous faites votre chemin à travers les méandres
cosmiques, souvenez-vous que tout est bien dans toute la création.
Ainsi
soit-il. Merci. (Quelques personnes disent « Bon Anniversaire » ) Et
joyeux anniversaire à moi-même.