LES ENSEIGNEMENTS DU CRIMSON CIRCLE
Série Liberté

SHOUD 9 : “Comment Vivre” – ADAMUS, canalisé par Geoffrey Hoppe

Présenté au Crimson Circle
Le 6 Juillet 2013
www.crimsoncircle.com

 

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain et Libre.

Bienvenue à notre réunion. Un merci spécial à Yoham * pour la belle musique, nous ferons appel à vous sous peu. (Quelques rires)

* Le groupe musical Yoham se compose de Gerhard Fankhauser, Einat Gilboa et Amir Yakobi

Ah, c'est la marque d'un vrai Maître quand vous pouvez juste monter sur scène devant tout le monde, mais surtout face à vous-même, et simplement assumer le rôle. Juste être là. Prenez une grande respiration, sortez de vos doutes et de vos craintes et permettez-vous simplement de traverser cela. Vous aurez cette expérience sous peu. (Adamus rit)

Bienvenue, chers Shaumbra, bienvenue. C'est bien de voir chacun d'entre vous. Je suis surpris de vous voir tous en fait. (Adamus rit) Vous savez exactement de quoi je parle.

 

Illumination

C'est un voyage difficile, cette chose appelée l'illumination incarnée. Rares sont ceux qui ont suivi cette voie. Pas si facile, n'est-ce ? Pas si facile. « L’illumination dans le corps. Cela semble merveilleux. Je me demande en quoi diable ça peut consister ? » (Adamus rit)

Ce qui est drôle, quand nous donnons nos cours, quand nous faisons nos réunions et que je pose cette question — « Qu'est-ce que l’illumination incarnée ? » — il n’y a que très peu de gens qui peuvent réellement donner une réponse. Mais la chose intéressante, c’est que vous ne pouvez pas donner la réponse à partir d'ici (la tête) à partir d’ici, mais vous le savez déjà. C'est pourquoi, il y a une telle passion, un tel désir. Vous avez un tel désir insatiable de ce que nous avons appelé l'illumination incarnée.

Vous n'avez aucune idée de ce que c'est. Le mental ne comprend pas, ne le comprendra jamais, ne le pourra jamais, il ne peut même pas le concevoir, ne peut pas l’imaginer — mais vous savez ce que c'est. Il vous est impossible d’y mettre des mots. Peut-être que vous pouvez écrire quelques chansons là-dessus — des chansons sans paroles — mais vous, vous le savez. C'est pourquoi il y a ce profond, profond désir de cette chose appelée l'illumination.

Une fois que vous avez fait ce choix véritable et conscient de votre illumination, et j’assume que la plupart d'entre vous l’ont fait ; une fois que vous avez fait ce choix, vous n'êtes plus un étudiant. A ce stade vous êtes un Maître. S'il vous plaît, entendez ces mots.

Donc, quand vous en êtes encore à essayer de décider, lorsque vous mettez vos orteils et vos doigts dans ce pudding de l'illumination potentielle, quand vous en êtes toujours à essayer de décider, il est certain que vous êtes un étudiant. Vous assumez le rôle de l'étudiant. Et par conséquent, vous serez un étudiant. Vous aurez l'énergie de l’étudiant. Vous rencontrerez des enseignants qui enseignent aux étudiants. Mais une fois que vous faites le choix profond, clair et conscient de l'illumination incarnée, vous êtes vraiment un Maître, et vous commencez à attirer les énergies qu’un Maître — et seulement un Maître — peut attirer.

Vous n’êtes plus un étudiant lorsque vous dites : « Je choisis mon éveil conscient ».

Il y a une énorme différence, vous l’avez probablement remarquée. Ce n'est pas quelque chose qui vous rend supérieur ou meilleur — ça vous rend peut-être un peu plus fou — rien qui vous rende unique. Mais il y a une grande différence avec ceux qui étudient la spiritualité, parce qu'ils étudient vraiment un tas de règles et de directives venant d'autres personnes. C'est très vrai. (Il se penche pour éteindre un ventilateur) L’énergie électromagnétique. Ohh ! Ugh.

Il y a une très grande différence, car ils vont recevoir un autre type d'énergie que ceux qui choisissent l'illumination incarnée, par-dessus tout et avant toute autre chose. Au-dessus, désolé de le dire, de la famille, des êtres aimés. Et je sais que ce n'est peut-être pas spirituellement correct de dire cela, de dire que vous vous mettez au-dessus de tous les autres, mais peut-être était-ce l'une des erreurs de l'Ancienne Energie, — une des erreurs même du New Age — de dire que vous devez être là au service de tous les autres.

Quand vous pouvez dire fièrement et clairement : « Je choisis ceci pour moi, par-dessus toute autre chose — par-delà la famille, par-delà la richesse, bien sûr — par-dessus tout; par-delà toutes les règles, par-delà même de la vie » — même de la vie. Quand il n'y a plus de peur de la mort, parce que dans ce processus d'illumination incarnée vous rencontrez la mort à plusieurs reprises, comme beaucoup d'entre vous le savent. Vous pouvez la rencontrer physiquement. Vous pouvez juste la rencontrer dans vos rêves et vos peurs. Mais cette mort vient à vous encore et encore, et en fin de compte vous aide à comprendre la beauté de la vie.


Aujourd'hui

Le Shoud d'aujourd'hui va être un peu différent. (Rires car il fait une grimace) Vous pensiez que le mois dernier était différent. (Adamus rit) Ça va être un peu différent. Normalement, dans un Shoud nous nous réunissons une fois par mois pour prendre une respiration profonde, pour nous détendre un peu, pour laisser les énergies se mettre à niveau ou, pour être plus juste, peut-être un peu plus rudimentaire, pour vous sortir de votre façon d’être pendant quelques heures ici ; et puis permettre lentement aux énergies d’être absorbées au cours des 30 jours suivants. C'est votre dynamique. Vous l’avez mise en place ainsi.

Aujourd'hui ? Ce sera un peu différent. Nous allons faire un grand pas, un grand bond. (« Cool » dit quelqu’un) Ouais cool. Cool. Vous dites ça maintenant. (Rires) Elle n’a aucune idée de ce que j'ai en magasin !

Aujourd'hui, nous allons faire un grand pas dans la conscience, pour plusieurs raisons. Ces six mois dans cette nouvelle ère ont été intéressants, difficiles. La première année de l'ère nouvelle, que dites-vous de cela ? Six mois intéressants, stimulants, pleins de beaucoup de choses, dont nous allons parler aujourd'hui.

Les énergies vous ont rendus un peu rigides, vous ont un peu maintenus à l’étroit, alors vous avez demandé que ceci soit un changement. Nous ferons un changement. Yoham nous fait l’honneur d’être là pour nous guider à travers un beau merabh. (Quelques applaudissements) Un merabh c’est lorsque nous permettons tout simplement. Lorsque vous sortez de votre façon d’être. Vous enlevez vos « mais » du chemin, littéralement. Si le mois dernier c’était le Shoud « Ferme-La ! » celui-ci, c’est le Shoud « Enlevez le Grand Mais du Chemin ». (rires)

LINDA : Oh ! Oh !

ADAMUS : Ce que je voulais dire, c'est…

EDITH : J'espère qu'ils ne feront pas un bouton pour cela. (Beaucoup de rires, Adamus embrasse Edith)

ADAMUS : Elle a dit « J'espère qu'ils ne feront pas un bouton pour cela ».  Non, nous ferons une affiche. (Plus de rires)

Ce que je voulais dire, c'est que l'illumination — belle, merveilleuse chose — sauf quand vous mettez vos "mais" là-dedans. Lorsque vous dites : « Illumination, oui, mais… » Hé, hm. Vous avez tous ces différents « mais », et ils ont tendance à se mettre en travers.

Je vais vous expliquer aujourd'hui, avant notre merabh, la façon dont votre « mais » détourne les énergies. Il le fait vraiment. (Rires) Je vous ai dit que ça allait être différent aujourd'hui. (Adamus rit)

« Je choisis l'illumination incarnée, point final ».  Sauf que c'est « Je choisis l'illumination incarnée, mais et… » et... remplissez les blancs. Nous avons déjà eu ce débat. Remplissez les blancs. Ce pourrait être — « Et ma famille ? » C'est un grand et important sujet. Et c’est tout à votre honneur de prendre soin d’eux… mais. Ouais.

Maintenant, et quand nous dirons "mais" aujourd'hui, ce ne sera pas juste « mais », ce sera « MMMAIS ! MMMAIS ! » Et peut-être, si nous avons beaucoup de chance, Yoham fera même une chanson avec les « Mais » ! (Rires) Master G vous pensiez que vous aviez tout entendu. (Plus de rires) Nous avons travaillé ensemble dans les Ecoles de Mystère. C’est un artiste en musique sacrée, mais — mmais — il n'a jamais fait une chanson avec les « mmais ». Donc, soyez très créatif ici.

« Je choisis l'illumination incarnée. Point final ».  C'est ça.

Je peux déjà entendre les mais émerger. « Mais… mais… » Tous ces doutes et ces questions. Ça détourne vraiment beaucoup d'énergie. Ça rend les choses beaucoup plus difficiles. Il n'y a pas de mais. C'est soit l'illumination incarnée soit rien, ou — appelez ça comme vous voulez — rester dans la forme humaine chancelante de la Vieille Energie, faire des allers-retours et être dans l’indécision et le doute. C'est en fait le type d'énergies que vous allez attirer. Donc, nous allons parler de ça aujourd'hui et ensuite avoir un merabh.

Donc cela va nous changer un peu de nos habitudes. Je vais essayer de faire court, à condition que Cauldre ne parle pas autant. (Quelques rires)

LINDA : Ohhhh !

ADAMUS : J'ai entendu vos commentaires à propos de son appui, son appui enthousiaste — du nouveau CD de Yoham — Voyageur Mystique (en référence au « Launch Pad » -présentation et lancement de produits et services)

Donc, d'abord, avant d'aller où que ce soit avec cela, nous allons parler un instant de l'Egypte. Cauldre m'a demandé si nous pouvions prendre quelques instants pour parler de l'Egypte.


Dynamique de l'Egypte

Un grand nombre de dynamiques intéressantes et quelque chose que je vais vous demander de regarder — je sais que beaucoup d'entre vous sont défavorables aux nouvelles, et je ne vous blâme pas du tout — mais ici c’est une situation historique tout à fait unique qui se déroule.

L'Egypte était l'une des cultures d'origine venue de l'époque de l'Atlantide. Après l’Atlantide, bien sûr, après s’être cachée souterrainement — après avoir vécu souterrainement — pendant des dizaines de milliers d'années, et enfin remontant, de retour à la surface de la Terre, rétablissant les civilisations, et l'Egypte a été l'une d'entre elles. On pourrait dire que l'Egypte était le centre spirituel de cette nouvelle Terre, la Terre post-Atlantide.

Les Egyptiens ont consacré une partie si importante de leurs études, de leur énergie et de leur conscience sur la question de l'Esprit. Vous voyez, les Atlantes ne comprenaient pas ou n’avaient pas vraiment de concept de Dieu. Ils n'avaient pas de conscience de Dieu. Ils étaient à la recherche d'une source de vie, mais pas dans la conscience que vous pourriez connaître comme Dieu, l'Esprit, l'Eternel. Ils étaient à la recherche de quelque chose qui était en fait plus mécanique, plus terre à terre. « D'où la vie émane-t-elle ? »

Alors, quand les humains sont remontés de la Terre, ceux qui sont allés en Egypte étaient particulièrement intéressés par l'esprit. On l’appelle souvent maintenant l’au-delà. Ils avaient la compréhension qu'il y avait quelque chose de plus que juste cette réalité. Ils ont appris à visiter les autres dimensions. Ils ont appris à aller dans ce qu'on pourrait appeler les royaumes Proches de la Terre et à en revenir. Ils voyageaient. Ils ont initialement fait quelques voyages astraux dans leurs Vaisseaux, leurs bateaux solaires.

D'autres cultures, d'autres civilisations, par exemple, comme les Grecs, étaient davantage portés à établir la culture, l'équilibre social de la communauté, la philosophie, le jugement dans l’harmonie. Les Romains — cette culture concernait le fait d’être civil. La création de structures civiles — routes, villes et systèmes. Et il y eut beaucoup, beaucoup d'autres cultures, mais pour les Egyptiens c’était l’Esprit.

Maintenant, vous avez entendu beaucoup d'histoires sur les pharaons et les esclaves construisant les pyramides. Je ne pense pas ainsi. Et même les pharaons n'étaient pas ainsi qu’on les décrit, actuellement, eux et leur histoire, parce qu'il y avait un niveau extraordinaire de service à toutes les personnes, un niveau extraordinaire d'éducation, l'expérience d'aller dans les autres mondes, d'essayer d'aller dans les autres dimensions et de les ramener ici — si cela vous semble un peu familier. —  Beaucoup plus difficile à l'époque, les énergies étaient beaucoup plus denses.

Pour une raison quelconque, les Egyptiens ont fini alors par passer par beaucoup, beaucoup de milliers d'années de répression. Ils se sont donné la permission… avec leurs voyages spirituels, en quelque sorte, ils ont oublié le moment présent et leur vie humaine quotidienne. Ce qui a ouvert la porte à ceux qui étaient intéressés par le pouvoir. En particulier des sources extérieures, des dirigeants et des leaders extérieurs qui sont venus et ont pris le dessus, puis ils ont réduit nombre d'Egyptiens en esclavage. Ils leur ont enlevé leur liberté fondamentale.

Et pendant des milliers d'années les Egyptiens ont eu des dictateurs, des pharaons sans cœur ou sans compréhension de la liberté. Ils ont été contrôlés et dirigés par d'autres.

Il y a eu un énorme désir de faire revenir la liberté. On pourrait dire que toute cette plongée dans la tyrannie et la répression, le fait d’être sous le joug des autres faisait en réalité partie de l'expérience inter-dimensionnelle, vraiment, on pourrait presque dire, faisait partie d'un plan pour avoir une véritable compréhension de la liberté et de l'Esprit et l'amener dans le Maintenant, l’amener dans le corps.

Donc, ce désir de liberté s’est levé récemment. Vous l'avez vu. Vous avez vu l'histoire en marche, et c’était très intéressant — je suis surpris qu'il n'y ait pas davantage de commentaires ou des discussions à ce sujet — ce n'était pas un soulèvement violent. Cela s'est passé dans un très court laps de temps avec une très faible perte de vie humaine, et simplement une transition. Soudain, un dictateur qui avait été en poste pendant une longue période, tout à coup, a tout simplement démissionné. Les militaires, l'armée ne sont pas intervenus pour le soutenir, en fait, ils ont défendu le peuple, parce que quelque chose d'intéressant s'est passé en Egypte en particulier au cours de ces derniers 20, 25 ans.

Une grande partie des énergies qui avaient été retenues dans les temples sacrés, dans les pyramides et dans la terre elle-même, un grand nombre des pharaons du passé et beaucoup, comment dire, d'énergie spirituelle ramenée de l’autre royaume, mais pas physiquement incarnée — laissée dans les temples sacrés — beaucoup de cette énergie et de cette conscience, et même les entités qui étaient retenues dans ces murs ont commencé à être libérés.

Beaucoup d'entre vous ont eu envie d'aller en Egypte durant ces dix, vingt dernières années, et en partie le processus consistant à aller là-bas n’avait pas seulement pour but de voir les temples ou de s’harmoniser dans la Grande Pyramide. Une grande partie du processus, c’est que vous étiez là en tant qu’un des Pourvoyeurs de la Nouvelle Energie — c'était le titre du dernier Shoud (rires alors qu’il se réfère à une discussion antérieure) — comme l'un des Pourvoyeurs de la Nouvelle Energie, celui qui a fait le choix clair et conscient de l'illumination incarnée.

Quand vous êtes entrés dans les temples et que vous avez touché les murs, respiré l'air, fait votre harmonisation dans ces temples, ces entités et les énergies qui étaient contenues dans les murs, dans le pays lui-même et même dans les personnes, les énergies ont été relâchées et libérées. C'est comme le passage de témoin. Ils ont senti votre présence. Ils savaient que les nouveaux étaient enfin là, et qu’ils allaient pouvoir être libérés de leur travail en tant que gardiens d'énergie, qu'ils ont fait pendant si longtemps.

Alors, quand ils ont été libérés de leur rôle de gardiens de l’énergie, de leur, d’une certaine façon, sorte de prison de cristal, quand ils ont été libérés de cela, sachant que les nouveaux étaient ici, cela a également libéré une passion profonde qu'ils avaient en eux, un profond amour pour cet endroit appelé l'Egypte.

Et cet amour, cette passion qu'ils ont va au-delà des religions. Cela va bien au-delà des religions. Au-delà de la politique. Au-delà de la culture occidentale en opposition à la culture orientale, rien de tout cela. Cela va au-delà de tout. C'est un amour profond pour ce lieu qui a joué un rôle important dans l'ouverture de l'humanité à la conscience du véritable Esprit au-delà de toute religion, au-delà de toute règle.

Un grand nombre de ces entités et de ces énergies ne sont simplement pas passées à travers le voile, ne sont pas allées de l'autre côté, mais ont choisi de rester en Egypte. Elles ont choisi d'être là en soutien aimant pour tous ceux qui ont choisi la liberté de l'Egypte, du peuple et de la terre. Donc, nombre de ces énergies sont toujours là et toujours présentes, de sorte que vous trouverez qu’il se passe en ce moment des choses étranges et inhabituelles dans cet endroit appelé l'Egypte.

Vous découvrirez, comme vous venez de le voir au cours de ces derniers jours, que vous avez vu ce que certains appellent un coup d'Etat, mais en réalité — et c'est ce qui pourrait sembler très étrange — ici, vous avez des êtres anciens — pharaons, prêtres, ceux qui comprennent vraiment le voyage astral et les royaumes inter–dimensionnels — ils restent alentour maintenant pour aider ceux qui choisissent la liberté pour l'Egypte. Et il se crée une alliance intéressante entre ces êtres anciens et l'armée. Vous ne voyez pas cela très souvent. Vous ne voyez pas du tout cela très souvent. Au point où il y a ceux qui… (pause) nous allons avoir une petite conversation intérieure ici. Cauldre est inquiet de savoir si d'autres sont en train d’écouter. Est-ce que cela a encore de l’importance ? Non Bon. Donc, nous allons simplement le dire.

Il y a donc ces chefs militaires qui ont le titre de général ou celui fantaisiste de commandant suprême et qui sont en fait très spirituels. Ils comprennent vraiment la spiritualité. Ils comprennent l'âme de l'Egypte et son cœur. Ils portent l'uniforme, mais à l'intérieur ce sont des êtres humains très sacrés.

Ils travaillent en ce moment avec ces entités et les énergies qui sont venues des temples, qui ont été libérées depuis le passé. Ils travaillent avec ceux qui oeuvrent vraiment pour la liberté de l'Egypte, pour le peuple.

Maintenant, les gens en général… eh, prenez un peu de recul. Il y a quelques années, je vous ai parlé de la liberté. Les humains sont-ils vraiment prêts pour elle ? Et, bien sûr, tout le monde hoche la tête et dit : « Bien sûr ».  Mais le sont-ils vraiment ? C'est comme dire : « Êtes-vous prêts — êtes-vous vraiment prêts — pour votre illumination ? » Et vous dites : « Oui, bien sûr. Ouais, ça sonne très bien. Amenez-la. Mmmais-… mais ».  Et nous revoilà avec le « mais ».

Donc, l'Egypte est un exemple très intéressant en ce moment pour le monde. Après de nombreuses années de dictature et l'absence de la plupart des libertés générales, vous avez à présent une situation : peuvent-ils gérer la liberté ?

Maintenant, ils ont dit oui, en quelque sorte. En fait, ils ont délogé un dictateur sans beaucoup d'effusion de sang. Soudain, ils ont commencé à avoir un goût, juste un goût, de liberté. Mais soudain, les mais font leur entrée, les doutes font leur entrée. Ils commencent à se demander : « Pouvons-nous réellement gérer la liberté ? Qu'est-ce que la liberté ? Est-ce que la liberté nous fait juste ressembler à l'Amérique ou au Canada ? Est-ce que la liberté nous corrompt ? Est-ce que la liberté — est-ce que cela —  fait de nous des capitalistes ? La liberté est-ce cette chose anti-Allah, anti-Dieu ? » Alors ils ont mis beaucoup de mais là-dedans, et qu’est-ce qui se passe ? A la minute où ils le font, les énergies — d’autres énergies — font leur entrée, et c’est exactement ce qui s'est passé. A la minute où le doute est entré en Egypte, le doute au sujet de leur liberté — Pourraient-ils vraiment la gérer ? Pourraient-ils mettre en place les infrastructures ? Pourraient-ils gérer personnellement ? Pourraient-ils avoir de la compassion pour les autres ? Toutes les choses que la liberté apporte. Pourraient-ils prendre la responsabilité de leur vie ? Pourraient-ils s’affranchir de l'aide étrangère ?

Alors qu'ils émettaient des « mais » à ce sujet, y réfléchissaient, après ce merveilleux goût initial — que se passe-t-il ? Eh bien, pourrait-on dire, le virus entre — le virus SES, * quel que soit le nom que vous lui donniez — mais ceux qui ont des programmes, ceux qui ont des déséquilibres entrent rapidement, parce qu'on est vulnérable pendant cette étape. On est très vulnérable. Dire d'une part : « Oui, nous voulons la liberté » d'autre part, s’inquiéter et se poser des questions à ce sujet

* Se référant au virus de l'énergie sexuelle discuté à l'École de l'énergie sexuelle de Tobias

Alors, que s’est-il passé ? Il ne s'agit pas d'un nom, d'une organisation. Il pourrait s'agir des Frères musulmans. Ce pourrait être la confrérie féminine divine. Cela n’a pas d’importance, mais quelqu'un avec un programme qui n'était pas fait d'amour et de passion pour l'Egypte est entré. Il a travaillé très rapidement — c'était facile — il a travaillé très rapidement et a commencé à tout changer. Mais dans ce cas quelque chose d'intéressant s'est passé.

Cet amour profond, cette passion profonde pour l'Egypte était toujours là et elle était encore forte. Et elle resta en arrière, regarda et attendit. Elle observa ce qui se passait, et à un moment donné ces entités du passé, combinée avec ceux — les humains qui ont un véritable amour de cette terre — dirent : « Plus jamais ça ».  Juste comme ça — Snap — « Plus jamais ça ».  Il n'y a pas eu beaucoup de bruit de sabre, pas beaucoup de bruit. « Vous avez 48 heures ou vous prenez la route ».  Et c'est arrivé. Encore une fois, ce jour-là, pas beaucoup d'effusion de sang.

Maintenant… maintenant ces forces qui avaient un programme qui n'était pas le programme de l'Egypte, un programme qui ne concernait pas l'Egypte sont entrées, maintenant elles vont, bien sûr, tester le véritable cœur et l'âme de l'Egypte en disant : « Êtes-vous vraiment sérieux ? Peut-être avez-vous vraiment besoin de nous. Peut-être n’êtes-vous pas prêts pour la liberté. Peut-être avez-vous besoin de beaucoup de règles et de structures. Peut-être avez-vous besoin de discipline. Peut-être toutes les femmes doivent-elles porter le voile » et nous pourrions continuer encore et encore avec cela.

Il ne s'agit pas de religion, c'est une question de contrôle. Il ne s'agit pas d'une croyance religieuse ou philosophique spécifique, il s'agit de la liberté. Et au cours de ces prochaines semaines en particulier, vous allez voir ce qu’il en sort. Ça va être fascinant à regarder.

C'est l'histoire de l'Egypte, mais comme vous le savez déjà, c'est votre histoire aussi. Vous pourriez remplacer le mot « liberté » en Egypte pour le « Je Suis » à l’intérieur de vous-même.

Vous avez autorisé la dictature de quelque chose qui n'était pas vraiment vous pendant une longue période. Appelez cela vos parents, vos enseignants, la société, les systèmes de croyance, probablement plus que toute autre chose vos aspects, et jusqu’à un certain degré votre mental qui contrôle et décide. Pourtant, pendant tout ce temps, persistait ce désir de liberté et un désir d'illumination.

Désirer l'illumination c’est aussi se libérer des cycles d'incarnation sur cette planète, encore et encore et encore. Cela devient un peu ennuyeux après un certain temps. Il est temps de passer à autre chose.

Donc, vous avez choisi ou vous avez eu ce sentiment de votre liberté personnelle, de votre éveil personnel, et à un moment donné vous avez viré les dictateurs. Vous avez appris ce qui concerne l’Aspectologie, et vous avez dit : « Sors, intègre-toi, ou quoi que ce soit, mais je ne vais plus te permettre de diriger ma réalité ».  Vous avez appris « Je Suis » et vous avez commencé à proclamer ceci, et cela a été ressenti du plus profond de vous. « Je Suis ce que Je Suis. C'est ma liberté. Ma souveraineté ».  Nous sommes ici dans la Série de la Liberté pour le moment. Et un changement a eu lieu, un changement a eu lieu, beaucoup de changements, en fait, au cours de ces dernières années.

Mais — mais, mais… il y avait beaucoup de mais là-dedans. Un grand nombre de mais, beaucoup d’inquiétude, beaucoup d’interrogations : « Qu'est-ce qui va se passer ? Peut-être que je ne fais pas ceci comme il faut ».  Beaucoup de retour à des choses, mes amis, dont vous saviez qu’elles ne vous servaient plus, mais cependant vous y retourniez, parce qu'elles étaient confortables. Même revenir en arrière, à un certain degré, et laisser d'autres personnes, d'autres choses et d'autres aspects diriger votre vie.

Donc que s’est-il passé ? Ces énergies avec un programme donné entrent. Ça pourrait être représenté par d'autres personnes, probablement davantage par vos propres aspects qui entrent et commencent — (Linda lui tend un verre) oh merci — à prendre le dessus, dirigeant à nouveau les choses, parce que vous êtes très vulnérables — très, très vulnérables — à ce stade.

Mais ensuite, nous nous retrouvons ensemble lors d’une journée comme aujourd'hui, nous nous réunissons et nous disons « Plus jamais ça ».  Vous n’allez même pas vous donner 48 heures. Vous avez jusqu'à 17 H. Une heure et 20 minutes. (Quelques rires) C'est comme ça, et pourquoi pas.

En réalité l'Egypte est un très bon exemple externe de ce qui se passe lorsque, que ce soit un peuple, un pays ou autre, choisit sa liberté ; et des cycles, des évolutions que vous traversez et quelques-uns des défis par lesquels vous passez.

Donc, aujourd'hui, dans un petit moment, nous ferons notre changement majeur. Pas un petit, un grand. Un grand.

 

Comment cela se passe-t-il ?

Mais avant cela, question pour vous. Le mois dernier, nous avons parlé de vous comme étant les Pourvoyeurs de la Nouvelle Énergie. C'est réellement un titre très impressionnant. C'est même plus impressionnant que d’être un général dans l'armée. En fait, c'est plus difficile que d'être le président d'une société ou d'un pays. J'irais jusqu'à dire que c'est probablement, si on mesurait le niveau de stress de tous les emplois existants, que ce serait le niveau le plus haut. Vraiment. Ce serait le niveau le plus haut. Vous n'êtes pas simplement en train de faire de petits changements, vous faites d'énormes changements, et vous avez à faire face à vous-même tous les jours. La chose la plus ardue qu'un humain ne puisse jamais faire. Ils trouvent toutes les raisons du monde pour remplir leur journée avec des activités de sorte de ne pas avoir à se faire face. Vous ? Vous avez choisi de vous faire face. La chose la plus ardue, la chose la plus difficile qu'un être humain puisse faire.

Ainsi vous êtes les Pourvoyeurs de la Nouvelle Energie, quel que soit le nom que vous lui donniez — les Bientôt Illuminés, ceux qui apportent la Nouvelle Energie à la planète. Ceux… et Cauldre me demande si je ne suis pas, comment dire, en train de vous faire un peu mousser. Absolument pas. C'est pourquoi je l'ai déjà dit, je suis surpris que vous soyez ici. Je veux dire, vraiment. Je suis surpris que vous soyez encore ici. Je veux dire, je suis surpris que vous soyez encore sur cette planète. (Rires d’Adamus et de l’assistance)

C’est stressant. C’est un tel défi. Ce n'est pas progressif. Ce n'est pas linéaire. C'est ahurissant ce que vous faites.

Alors vous voilà, les Pourvoyeurs de la Nouvelle Energie, libérateurs de vous-même. Comment cela se passe-t-il ? Comment cela se passe-t-il ? Et je pose la question, et il n'y a pas une réponse d’Adamus à ceci, parce que je l'ai déjà fait. C'est que je veux que vous vous entendiez et je veux que les autres vous entendent, parce que vous doutez tellement souvent et vous vous demandez : « Est-ce que ceci est réel ? Est-ce que je fais la bonne chose ? Est-ce que ceci est… est-ce que je deviens simplement un peu fou ou vraiment fou ? » Donc, quand vous partagez et que vous entendez les autres pendant un moment, vous commencez à comprendre l'ampleur de ce que vous faites vraiment.

Certains d'entre vous pensent : « Bon, je suis juste un gestionnaire de niveau intermédiaire ». (Adamus rit) Nous aurons une séance privée. Nous allons corriger cela. Mais vous pensez : « Eh bien, je suis juste cela. Je n'ai rien fait d’énorme sur mon CV. J'ai juste… » Non, non, non, non, non. Vous n'êtes pas « juste ». Vous êtes absolument incroyables vu ce que vous faites.

Vous revisitez tout. Vous allez tout revisiter, même des choses d’avant votre venue sur cette planète. Vous allez tout revisiter, rééquilibrant les énergies, relâchant et libérant les énergies et la conscience. Ce que vous vivez en ce moment est absolument sans précédent, et je souhaite vraiment que vous vous en donniez le crédit. Cela n'a rien à voir avec votre travail quotidien. C'est juste un déguisement. C'est juste une distraction. Il s’agit de mouvements dans la conscience que vous faites pour vous-même, mais cela affecte la planète entière. Oh, et plus que cela, cela affecte cet univers tout entier. Cela affecte toute la création.

Alors, comment ça va-t-il ? Linda a le micro. Elle va le passer à nos incroyables volontaires.

Comment ça se passe-t-il ? De quoi faites-vous l’expérience ? Quelles sont les choses difficiles ? Et je dois vous dire qu'il y a un chouïa de réponse d’Adamus à la fin, mais…

LINDA : Ohh. C’est choquant.

ADAMUS : Votre réponse est tout aussi valable. Comment cela se passe-t-il ?

IWONA : De manière excellente en réalité.

ADAMUS : Bien. Comment cela se passe-t-il ?

IWONA : Vraiment de façon excellente.

ADAMUS : Oui, dites-le encore une fois. Nous devons faire cela. Comment cela se passe-t-il ?

IWONA : (plus fort) C'est absolument, sacrément excellent ! (elle rit)

ADAMUS : Bon. Bon. Bon. Des courbatures ?

IWONA : Un peu. Des problèmes de ventre, oui. Mais plus de clarté que jamais.

ADAMUS : Plus de clarté. Bon. Des ajustements dans certaines de vos attitudes ?

IWONA : Oh, comme le fait d’être plus irritable ? Oui. (beaucoup de rires)

ADAMUS : Ah ! Bon. Bon. Et… oui. Maintenant, nous arrivons à la vérité. Bon. Bon. Est-ce que cela vous dérange d'être irritable ?

IWONA : Oh non ! J’adore ça !

ADAMUS : Bon.

LINDA : On va monter un club.

IWONA : Yeah ! (Elle rit)

ADAMUS : Bon. Pourquoi pensez-vous que vous devenez irritable ?

IWONA : Je n’en ai plus rien à foutre. Je ne m'intéresse plus qu'à l'illumination.

ADAMUS : Eh, eh, je le ferais… non. J’aimerais vraiment que vous…

IWONA : Je n'ai pas de mais ! (Quelques applaudissements)

ADAMUS : Je voudrais que vous répétiez cela.

IWONA : Je n'ai pas de mais !

ADAMUS : Très bien. Répétez cela. Pourquoi êtes-vous un peu irritable ?

IWONA : Je n’en ai rien à foutre.

ADAMUS : Bon.

IWONA : Je suis là pour l'illumination. Pas de mais ici.

ADAMUS : Ah bon, bon, bon. Merci. Merci. Excellent. (Quelques applaudissements)

Suivant. Comment va ? Ehh.

LADONNA : Eh bien, j'ai été très occupée le mois dernier…

LINDA : Vous devriez probablement vous lever afin de recevoir le bon respect que vous méritez.

LADONNA : D'accord. Wow. En ce moment je fais l'expérience de beaucoup de douleurs dans le cou.

ADAMUS : Des douleurs dans le cou.

LADONNA : Donc, je ne sais pas… ça dure depuis cinq jours.

ADAMUS : Nous allons changer cela aujourd'hui.

LADONNA : D'accord.

ADAMUS : D'accord.

LADONNA : Alors…

ADAMUS : Pourquoi des douleurs dans le cou ?

LADONNA : Peut-être que cette douleur dans mon cou représente quelque chose. (Rires) Je tente juste de découvrir ce que c'est ! (Elle rit)

ADAMUS : Qu’est-ce qu’une douleur dans le cou ? Puisque nous allons par là. Vous le savez déjà.

LADONNA : Je pense que je veux juste continuer à avancer, et je pense parfois avoir l’impression que ma famille se met en travers de mon chemin. (Elle rit)

ADAMUS : Pourquoi riez-vous comme ça ? Ils regardent en ce moment ! (Rires)

LADONNA : Ils ne regardent pas ! Croyez-moi, ils ne regardent pas ! Ils pensent que je suis zinzin, alors.

ADAMUS : Oui, la famille. Pourquoi laissez-vous votre famille se mettre sur votre chemin ?

LADONNA : (Soupir) Je ne sais pas.

ADAMUS : Oui vous le savez. Ohh, hein, brrr…

LADONNA : (Rires) Je ne sais pas !

LINDA : Ohhh !

ADAMUS : Vous devez aller dans les toilettes pour dames pendant cinq minutes. (Rires) Allez, toilettes pour dames. C'est une chose que nous ne disons pas ici : « Je ne sais pas… » nous ne le disons même plus. Cinq minutes toute seule. Lumière éteinte. (encore des rires)

LINDA : Pourquoi est-ce qu’on vous écoute ?

ADAMUS : Sandra, pourriez-vous la surveiller ? Comme c'est bizarre ! Alors… (Adamus rit)

LINDA : C'est ce qui ne va pas.

ADAMUS : La raison pour laquelle nous plaisantons — mais je suis très sérieux à ce sujet — Ne dites pas « je ne sais pas » parce c’est exactement ce qui va vous revenir. Prenez une profonde respiration. Vous savez. Vous savez tout. C'est étonnant. (Rires) Commencez à psalmodier ou faire des Om ou autre chose.

Bon. Suivant. Comment ça va-t-il ?

KERRI : Génial.

ADAMUS : Génial. Comment ça va-t-il ?

KERRI : Non. Les relations, elles sont nulles la plupart du temps.

ADAMUS : Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?

KERRI : (Soupir) Je sais qu'elles sont vraiment mauvaises.

ADAMUS : Ouais.

KERRI : Parce qu’on se compromet soi-même !

ADAMUS : Ouais. Pourquoi faites-vous ça ?

KERRI : Eh bien, le sexe était bon. (Rires) Je vais être honnête !

ADAMUS : En fait…

KERRI : C'est vrai.

ADAMUS : … puisque nous parlons. Ça ne l'était pas. Vous vous en souvenez à peine. (Plus de rires, quelqu'un dit : « Comment le savez-vous ? »)

KERRI : Quoi ?

ADAMUS : Je regardais ! (Rires)

KERRI : C'est affreux.

ADAMUS : Les relations. Les relations. D'où vient votre relation ?

KERRI : Quoi ? D'où vient la mienne ?

ADAMUS : Ouais, ouais, ouais.

KERRI : Nous nous sommes rencontrés ici.

ADAMUS : Vraiment ?

KERRI : Ouais.

ADAMUS : Où l'avez-vous rencontré…

KERRI : Qui ? Quel type ? (Rires) Vous savez, et puis avoir un enfant. Vous ne nous guidez pas assez. Je vous le dis tout de suite. Je ne ressens pas votre aide.

ADAMUS : Oh, mais je le fais, ma chère. Je n'ai pas eu d'enfants dans ma vie de l'illumination. (Rires)

KERRI : Je sais ! J'en ai un, et qu'est-ce que je vais faire maintenant ? Non, je l'aime tendrement. Mais parfois, je veux le chasser de mes jupons, vous savez, et le mettre dans un coffre.

ADAMUS : Vous parlez de votre mari ou votre enfant ?

KERRI : Eh bien, les deux. Tous les deux.

ADAMUS : Eh bien. Nous avons un petit problème relationnel ici. J'adore le premier « Oh, génial ».  Où en sommes-nous maintenant ?

KERRI : Non, ce n'était pas génial. J'ai menti.

ADAMUS : Ouais, ouais, ouais, ouais. Ce n'était pas un mensonge. C'est juste un peu de — comme Tobias a toujours dit… —

KERRI : Embellissement.

ADAMUS : … demandez trois fois. Le relationnel. Qu'allez-vous faire à ce sujet ?

KERRI : Permettre aux choses de…

ADAMUS : Permettez-leur de continuer comme elles sont. Bien sûr. C'est une bonne chose. C'est ce que nous faisons.

KERRI : Je vais respirer dans mon abondance afin que je puisse le laisser tomber ! L'envoyer dans le caniveau.

ADAMUS : Qu'allez-vous faire ?

KERRI : Évidemment, je n'ai pas de plan. C'est évident.

ADAMUS : Évidemment ! (Rires) Wow !

KERRI : S'il nous regarde, plus tard, ça va mal aller.

ADAMUS : Non, en fait, il vous attend. Il attend de vous…

KERRI : Ils attendent à la porte.

ADAMUS : Il attend de vous que vous acceptiez et que vous choisissiez votre propre éveil.

KERRI : C'est profond. Merci pour cela.

ADAMUS : Ouais.

KERRI : Je vais directement travailler là-dessus. Je vous remercie.

ADAMUS : Quelle autre expérience faites-vous ? Quelle chose de niveau plus élevé ? Remplacez le mot chose.

KERRI : le stress.

ADAMUS : Je vous remercie. Bon. Que faites-vous à ce sujet ?

KERRI : je pleure un peu.

ADAMUS : D'accord. Bon.

KERRI : C’est ce que je fais. Je pars seule et je…

ADAMUS : Mais en fait… attendez. Mais nous allons corriger tout cela si nous le pouvons…

KERRI : D'accord.

ADAMUS : … commencez par arrêter de parler. Nous allons faire un grand changement aujourd'hui.

KERRI : Ohh.

ADAMUS : Non, c’est moi qui parle, pas vous. Nous allons faire un grand changement aujourd'hui. Ouais. Vous pensez que c'est jour de fête. C'est un jour de célébration.

KERRI : Peut-on faire les deux ? Ou…

ADAMUS : Bien sûr.

KERRI : D'accord. Je vous remercie.

ADAMUS : Bien sûr, si vous êtes encore debout après. (Quelques rires étouffés)

KERRI : Je serai debout.

ADAMUS : Ouais. Bon.

KERRI : C'est un défi personnel.

ADAMUS : Donc le stress. Encore quelques-uns par ici. Comment va cette illumination incarnée ? Qu’est ce que cela fait d’être un Pourvoyeur de la Nouvelle Energie ? Jusqu'à présent, cette liste n'attire pas réellement beaucoup de gens. (Quelques rires étouffés)

Oui, monsieur. Oui, monsieur.

LAWRENCE : Salut. C'est un véritable test.

ADAMUS : Qu'est-ce qui est testé ?

LAWRENCE : Je suis testé. Moi… face à la peur.

ADAMUS : Bon. C'est une excellente façon de le dire. Qui vous teste et quelles sont les craintes ?

LAWRENCE : Les juges, la police, le FBI. (quelques rires)

ADAMUS : Cela vous testera. Cela vous testera. Ouais

LAWRENCE : J'ai été un bon garçon toute ma vie et puis quand je me suis réveillé et dès que j'ai appris des choses, j'ai décidé de renoncer à me conformer à ceci ou consentir à cela.

ADAMUS : Oui.

LAWRENCE : Et ils n'aiment pas ça.

ADAMUS : Non, ils n'aiment pas.

LAWRENCE : Alors, je traite avec eux…

ADAMUS : Mais qui est celui qui n’aime vraiment pas cela ? Qui est vraiment celui qui met le grand « mais » ? Les juges, la police, les autorités, qui sont-ils vraiment ?

LAWRENCE : Les administrations…

ADAMUS : Les administrations.

LAWRENCE : … qui vous dirigent.

ADAMUS : Mais qui sont vraiment ces sociétés, ces juges, cette police ? Qui vous contrôle vraiment ?

LAWRENCE : Moi.

ADAMUS : Je vous remercie. Je vous remercie. Mais c'est extériorisé. Cela se manifeste à l'extérieur pour… quoi ? Vous tester.

LAWRENCE : Pour me tester.

ADAMUS : vous tester.

LAWRENCE : Pour me renvoyer quelque chose en retour.

ADAMUS : Absolument. Et dans un sens, c'est un test intéressant que vous vous imposez à vous-même. C'est votre propre autorité interne et les contrôles que vous avez sur vous-même. Maintenant, en l'extériorisant de façon grandiose vous pouvez mieux le voir, de sorte que vous pouvez le voir à l'extérieur. Mais il y a aussi une tendance à les blâmer, à porter désormais les armes contre eux. Vous le faites uniquement contre vous-même.

La plupart des hommes et des femmes les plus libres que j'ai jamais rencontrés dans toutes mes vies, vivaient dans des pays contrôlés par des dictateurs absolus, et ils n'en étaient même pas conscients. Ne s'en préoccupaient même pas. Ne se souciaient ni de la police, ni des juges, ni des administrations ou autres, car ils étaient libres. Quand vous êtes totalement libre, aucun être humain, extra-terrestre, aucun être ou qu'il soit, ne peut vous enlever cela. Vous pouvez vivre en prison et être totalement libre, et certains le sont. Souvenez-vous-en.

LAWRENCE : Hm

ADAMUS : Donc, les peurs. Les peurs de quoi ? D’être testé. Ce sont vos peurs qui sont testées. Si vous ne m'en voulez pas de mettre cela en mots…

LAWRENCE : En fait, c’est ma confiance qui subit le test…

ADAMUS : En quoi ?

LAWRENCE : En ce que tout cela est parfait tel que c'est.

ADAMUS : Et cela ne l'est pas ?

LAWRENCE : Eh bien, ça l'est… (il rit)

ADAMUS : Dans l'heure suivante…

LAWRENCE : C'est parfaitement imparfait pour une très bonne raison, j'en suis sûr.

ADAMUS : Dans l'heure suivante, vous allez avoir la possibilité de changer

LAWRENCE : J'y travaille.

ADAMUS : Ouais.

LAWRENCE : J'essaye de…

ADAMUS : Vous avez entendu parler de cette expression « se battre contre des moulins à vent » luttant contre les fantômes qui ne sont pas vraiment là ?

LAWRENCE : C'est vrai.

ADAMUS : C'est drôle pendant un temps. Les sociétés, les militaires, les dictateurs, les oppresseurs, ils ne sont là que pour vous servir. C'est simple.

LAWRENCE : Oui. J'essaie de…

ADAMUS : Et ce n'est pas seulement une affaire philosophique. C'est la vérité. Ils sont uniquement là à votre service. Il y a eu des dictateurs au service des Egyptiens pendant un grand nombre d'années. Et puis il y a eu des groupes d'extrémistes fanatiques qui sont venus en service. Donc, tout ce qui se passe, tout ce qui se passe est simplement là en service pour vous. C'est aussi simple que cela.

Lorsque vous serez prêts à sortir des complots et des forces extérieures qui vous oppressent, vous effectuerez le changement. Ce se fera — en un clin d’œil ! — Juste comme ça. Juste comme ça.

Il y a un petit jeu intéressant qui se passe pour chacun de vous. Pour vous tous. Un jeu intéressant. C'est une distraction. C'est un excellent moyen de ne pas se regarder en face. C'est un excellent moyen de voir réellement vos problématiques en dehors de vous-même. Mais je peux dire qu'il n'y a pas de complot, il n'y a pas de gouvernement, il n'y a pas de société secrète qui puisse ôter la souveraineté d'un être libre, jamais. Cela ne peut vraiment pas arriver. Souvenez-vous-en.

LAWRENCE : Je vous remercie.

ADAMUS : Bon. Arrêtez d'attaquer les moulins à vent. C'est amusant pendant un moment. Mais, de toute façon, je vous garantis que c'est une bataille que vous ne gagnerez jamais. Ils vont gagner, parce que vous avez déjà cédé le pouvoir. Cela puise beaucoup de votre énergie, épuise votre corps physique et cela impacte votre propre bonheur et votre joie. Vraiment. Et, je vous parle mais je parle à tout le monde ici.

Bon, deux de plus, et nous devons avancer avec notre exercice.

Comment cela se passe-t-il ?

YVONNE : Vraiment bien.

ADAMUS : Bon. Comment cela se passe-t-il ?

YVONNE : Non vraiment, étonnamment bien.

ADAMUS : Oui. Étonnamment bien. Que pensiez-vous qu'il arriverait ?

YVONNE : Hmm.

ADAMUS : Pourquoi est-ce si surprenant ?

YVONNE : Eh bien, je ne savais pas ce qui allait se passer.

ADAMUS : Ah, c'est… c'est une raison d'avoir peur. Oui.

YVONNE : hmm mm.

ADAMUS : Et tous les déséquilibres qui sont apparus, les déséquilibres agaçants, autres que moi ? (Adamus rit) J'ai lu dans vos pensées.

YVONNE : les déséquilibres agaçants. Eh. Eh bien, vous savez, il y a toujours le truc du mental. C'est agaçant.

ADAMUS : Ouais. Que diriez-vous — si je pouvais mettre des mots dans votre bouche…

YVONNE : Allez-y.

ADAMUS : Ennui ?

YVONNE : Ouais.

ADAMUS : Ouais, ouais, ouais. Ouais, ouais, ouais. Ennui. Ahh. Vous ne pensiez pas que ce serait si ennuyeux, n'est-ce pas ?

YVONNE : Je ne pensais pas. (Elle rit)

ADAMUS : Ouais. Ouais.

YVONNE : hmm mm.

ADAMUS : L'ennui. Oui, absolument. Alors, qu'allez-vous faire ? Et vous voilà, vous vous sentez assez bien dans votre peau. Soudainement, la vie est ennuyeuse. Ouais. Que faites-vous ?

YVONNE : Au quotidien ? (Elle rit)

ADAMUS : Ouais.

YVONNE : Beaucoup de travaux de jardinage.

ADAMUS : Ouais. (Elle rit) Wow ! (Rires)

YVONNE : Voyez ce que je veux dire ? Cela peut être ennuyeux. (Ils rient tous deux)

ADAMUS : Non, en fait, le travail de jardinage est bon.

YVONNE : Oui.

ADAMUS : Il vous garde quelque peu connecté.

YVONNE : hmm mm.

ADAMUS : Cultivez-vous beaucoup les relations sociales avec des amis ?

YVONNE : Non

ADAMUS : Pas tellement. Non. En avez-vous envie ?

YVONNE : Non

ADAMUS : Ouais. Allez-vous à la grande ville ? Allez-vous faire du shopping ? (Elle secoue la tête pour dire « Non ») Non.

YVONNE : Non

ADAMUS : Non. Compris. C'est un peu ennuyeux. Un peu ennuyeux. Ouais. Okay. Bon. Nous changerons cela aussi. Eh, nous allons faire un grand changement aujourd'hui. Bon. Encore un [quelqu’un], très rapidement.

LINDA : Grand quoi ? Un grand quoi ? (L'assistance lui dit « changement ») Oh, ce mot m'embarrasse toujours !

ADAMUS : Est-ce ennuyeux ici ? Ceci ? (L'assistance dit « Non ») Non, je ne le pense pas. Ouais. David.

DAVID : Umm.

ADAMUS : Comment ça va ?

DAVID : C'est difficile là-bas, et encore plus difficile ici.

ADAMUS : Bon. Où aimeriez-vous être, là-bas ou ici ?

DAVID : Oh, ici même. Absolument.

ADAMUS : Ouais. Bon. Quel est le plus difficile ? Ou la deuxième chose la plus difficile ?

DAVID : Ouais.

ADAMUS : Nous irons là-bas. (Ils rient)

DAVID : La totale acceptation de soi, c’est sans doute le plus difficile — l'amour de soi-même.

ADAMUS : Yep, yep. Ouais, ouais.

DAVID : Et effectivement obtenir l'approbation d'autrui a été énorme pour moi.

ADAMUS : Ouais. Pourquoi ? Et ces deux-là vont main dans la main.

DAVID : Oui.

ADAMUS : Ouais.

DAVID : Le doute de soi, l'insécurité.

ADAMUS : Ouais. Pourquoi ? Je veux dire, vous n'avez pas à entrer dans les détails, mais pourquoi — parce que vous parlez aussi au nom des autres — mais tout ce problème lié à l'amour de soi et à l'acceptation d'autre part, mais c'est aussi essayer de le trouver ailleurs.

DAVID : Oui.

ADAMUS : Ouais. C'est un défi très difficile.

DAVID : Impossible.

ADAMUS : Pourquoi — j'irai droit au but — pourquoi voudriez-vous, vous ou quelqu'un d'autre, vous accrocher à la culpabilité quand vous n'êtes même plus sûr de l'objet de cette culpabilité ? Et comme vous le savez, j’ai déjà parlé à ce sujet et j’ai dit que, quoi que vous pensiez qu’il vous soit arrivé dans le passé, cela ne s'est pas vraiment passé ainsi de toute façon. Une des découvertes étonnantes de l'illumination est de réaliser cette incroyable mise en situation. Vous ne vous souvenez même pas de ce qui s'est passé. Pourquoi autant de… que… comment ce sentiment de culpabilité — culpabilité et doute de soi — vous servent-ils ?

DAVID : Et, effectivement cela me sert, parce qu'il montre le bout de son nez.

ADAMUS : Oui.

DAVID : C'est là…

ADAMUS : Oh oui.

DAVID : … pour me libérer.

ADAMUS : Non seulement son nez, mais aussi ses fesses.

DAVID : Ouais, et ses fesses et ses griffes ! (Rires)

ADAMUS : Yarrgh ! Ouais, ouais. Ouais.

DAVID : Et la méchante claque aussi. Ouais.

ADAMUS : Tout !

DAVID : Tout ça.

ADAMUS : Le tout. Oui. Mais — mais — pourquoi est-ce toujours là ? Vous pourriez le laisser tomber tout de suite, vous pourriez le lâcher.

DAVID : Cela m'a servi. Je l'ai permis.

ADAMUS : Oui, mais comment cela vous sert-il maintenant ?

DAVID : Sacrément. Je suis prêt à lâcher prise. Je suis prêt pour ce merabh que nous allons faire. Vraiment. (Rires)

ADAMUS : (Rire) Moi aussi ! Ouais ! Ouais. (Quelques applaudissements) Bon. Bon. Bon. C'est tout ce que j'avais besoin d'entendre. Je vous remercie.

DAVID : Je vous remercie.


De quoi il s’agit !

ADAMUS : Donc je voulais avoir cette discussion afin que vous compreniez que (a) ce que vous vivez est similaire à ce que les autres vivent. Vous n'êtes pas seul. Vous ne devenez pas fou. Je dirais qu'un des plus grands symptômes ressentis en ce moment, en dépit de tout ce — « Wouah, je fais des progrès, les choses changent vraiment, » — mais vous avez probablement remarqué votre intense animosité, votre irritabilité, votre agitation, une énorme agitation. Juste une sorte de ergggggh sur le monde extérieur, en particulier. Alors même que vous avez pu être en mesure de trouver un certain niveau de bonheur ou de joie avec le monde extérieur, maintenant vous n'avez plus le désir d'y aller.

En fait, vous vous dites : « Je suis supposé être une gentille personne spirituelle ». Vous pouvez laisser partir cela. (Quelques rires étouffés) Mais encore… ceci dit en passant, c'est un oxymore. Si vous êtes une personne spirituelle, vous n'allez pas être agréable.

LINDA : Wouah ! (Ils rient) Wouah !

ADAMUS : « gentil » signifie jouer un grand jeu avec soi-même, et c'est en fait le syndrome de la gentille fille, du gentil garçon qui signifie que vous jouez pour vous-même ou pour apaiser tout le monde. Lorsque vous vous autorisez vraiment dans votre éveil, vous n'êtes plus gentil. Vous n'avez aucune tolérance. Vous êtes impatient avec les autres. Ce n'est pas que vous serez agressif avec eux, mais quand vous sentez qu'ils se nourrissent de votre énergie…

LINDA : (s’approchant tout près d’Adamus) Cauldre a-t-il entendu ? (Quelques rires)

ADAMUS : Quand vous êtes en situation, d'habitude vous faites simplement une grimace et vous subissez ; maintenant vous partez carrément. Il ne s'agit pas d'essayer de combattre ou de blesser les autres personnes. C'est juste que vous n'avez absolument plus aucune patience. Donc irritabilité, impatience, animosité. C'est tout à fait naturel…

ADAMUS : … où en êtes-vous en ce moment ? (Linda rit)

Non — vous… cela ne signifie pas que vous devez être agressif avec les autres. (Beaucoup de rires de Linda, certains dans l'assistance rient) mais particulièrement, dirais-je, depuis le début de l'année et de manière vraiment plus intense au cours des dernières semaines, ce sentiment d'irritabilité absolue — vous l'appelez être grincheux ou autrement — c'est juste parce que vous vous éloignez de l'Ancienne Énergie, de l'ancien monde. Et maintenant vous êtes dans un espace où vous ne savez pas quoi faire, ni ce qui va arriver ou si vous allez être dans un endroit plutôt ennuyeux. Cela vous rend encore plus irritable. Oui, s'il vous plaît, allez travailler dans le jardin ou allez faire autre chose. Mais vous trouvez qu'être parmi les gens est très difficile ces jours-ci.

Et, comme Tobias avait coutume de dire, cela aussi passera. Mais vous êtes simplement — oui, Dieu merci, oui — vous êtes en train de traverser cette période. Vous n'avez même pas envie d'aller à l'épicerie. Vous pourriez être affamé et vous préféreriez ne pas aller au magasin. Ouais. Alors, que faites-vous ? Vous appelez le livreur de pizza et vous laissez un mot sur le paillasson. (Rires) « Ne me parlez pas ! » « C'est cette étrange dame dans cette étrange maison. Elle ne sort plus ».

Prenons donc une bonne respiration.

Et nous soulevons cette question parce que je sais que souvent vous vous dites : « Eh bien, je ne devrais pas être ainsi. Tout devrait être heureux comme au pays des bisounours ».  Non, c'est la partie la plus difficile. C'est vraiment la partie difficile. Énorme irritabilité. Alors…

Lorsque nous pouvons rire comme ceci, quand vous pouvez travailler dans le jardin ou aller faire un tour ou quelque chose comme ça, cela aide à vous apaiser un peu. Mais pour l'instant c'est juste la partie de cette transition.

LINDA : Quel est le remède pour cela ? Ou, que pouvons-nous faire pour calmer cela ?

ADAMUS : Que pouvez-vous faire ? C'est une bonne question. Nous avons quelques minutes.

Que pouvez-vous faire ? (a) Acceptez-le, (b) Restez à l'écart des autres personnes, s'il vous plaît. (Rires ; quelqu'un dit « boire » ) Ok, voici des suggestions de Shaumbra — la boisson. (Plus de rires) Bon. En fait, il y a quelque mérite scientifique pour la modération, s'il vous plaît. La modération, un verre de vin. ça va vous sortir de votre « mais » pendant un temps. L'exercice physique léger est bon pour cela. Le rire de toute nature est bon. Le rire est vraiment bon.

Quoi d'autre ? Quelles sont les autres suggestions ? (Quelqu'un dit « prendre un bain ») Prenez un bain. Vous me parlez ? (Quelques rires) Oh ! Oui. Un bain, une chose merveilleuse. Avec quoi ? (Elle répond « du sel » ) du sel de mer, absolument. Quoi d'autre ? (Quelqu'un dit « massage » ) Un massage est bon.

LINDA : Ouiiii !

ADAMUS : Assurez-vous que la personne qui pratique le massage ne se nourrisse pas de votre énergie.

LINDA : Ohh.

ADAMUS : Comment pouvez-vous le savoir ? (Quelqu’un dit « ça dépend de comment vous vous sentez après ») Comment vous vous sentez après, mais vous pouvez aussi le rendre énergétiquement très clair tout de suite, en disant « Pas de vampirisme » Ouais. Bon.

Quoi d'autre ? Que faites-vous pour les symptômes d'irritabilité ? (Quelqu’un dit « respirer » et quelqu'un d'autre dit « dormir ») respirez, dormez beaucoup. Dormir beaucoup. Mais avez-vous remarqué que même dans votre sommeil, vous êtes irritable ? (Certains dans le public disent « oui » et quelques-uns rient) rêves d'animosité ! Ouais. Et parfois, vous êtes si heureux de vous réveiller, parce que ce rêve était si accablant. Vous ne pouvez plus vous évader de vous-même. (Adamus glousse) (Quelqu'un dit « manger du chocolat ») Chocolat. Bon. Quoi d'autre ? (Quelqu’un dit « marcher ») Faire de l'exercice, la musique. Absolument. (Quelqu’un dit « écrire ») Bon. Toutes ces choses.

Mais souvenez-vous simplement de reconnaître que vous allez juste être irritable, surtout avec les autres personnes. Arrêtez de faire semblant. Arrêtez d'essayer de vous voiler la face et d’être gentil avec votre famille quand vous savez ce que vous voulez vraiment dire. Cela ne signifie pas que vous devez être hostile. Cela veut dire mettre vos propres limites.

Passons à la prochaine partie de la discussion.

Prenez une bonne respiration. Une bonne respiration.

 

Comment vivre !

Je vais donner ce titre « Comment vivre ».  De style englobant. Qu'en dites-vous ? Aimeriez-vous écrire cela ? « Comment vivre ».

LINDA : Bien sûr.

ADAMUS : Comment vivre ? Or, ceci est en lien avec ce dont nous avons parlé récemment à Sedona. C'est une dynamique très, très simple. (Pause) Je vais attendre que Linda termine d'écrire — Comment vivre — cela s'inscrit dans l'illumination.

Et cela n'a peut-être pas été un bon mot dans le passé. Linda n'aime pas ce mot du tout.

LINDA : Oh !

ADAMUS : Mais vous allez l'écrire sur le tableau. (Quelqu’un dit « républicain » beaucoup de rires) républicain ! Républicain ! Oui, un mauvais mot, mais maintenant Linda va devoir écrire Républicain et…

LINDA : Êtes-vous sérieux ?

ADAMUS : A partir de maintenant, si vous voulez vraiment vivre, si vous voulez être illuminé, vous devez être Républicain. (Plus de rires) Seulement dans un rassemblement Shaumbra.

Le mot est « assumer ». Assumer.

LINDA : Oh ! Cela fait un âne de vous et moi. (comme dans « ass-u-me ») (jeu de mots en anglais, NdT)

ADAMUS : Non, cela fait juste un âne de vous.

LINDA : Ohhh ! (rires)

ADAMUS : Assumer. Si vous le voulez bien ?

LINDA : Vraiment ?

ADAMUS : Sur sa propre page.

LINDA : Ugh !

ADAMUS : Assumer.

LINDA : Je déteste ce mot.

 

Assumez Votre Illumination

ADAMUS : Ce que vous faites, c'est que vous assumez — vous cessez de vous interroger et de douter, vous assumez — que si vous avez choisi l'illumination, vous avez fait un choix clair, et donc vous affirmez simplement pour vrai  que tout est en service pour cela. Tout. Tout, tout. Pas de mais.

Maintenant, voici quelques petites mises en garde. Si vous ne l'avez pas vraiment choisi, vous allez encore de groupe en groupe, essayant de décider, vous savez, à quel groupe vous vous joindrez, et vous en êtes encore à étudier la spiritualité, cela va vraiment faire mal. Mais si vous avez fait un choix clair en vous-même pour incarner l'illumination dans cette vie, point — point à la ligne — alors vous assumez.

Vous assumez, parce que voyez-vous, ce qui se passe, c'est que vous doutez. Alors ce qui se passe, c'est — permettez-moi de vous donner un exemple ici. — (Il se dirige vers le fond de la salle)

LINDA : Oh non.

ADAMUS : Oh non. Vous voyez, vous êtes déjà en train de douter. (Linda rit) Vous êtes déjà en train de douter. Excusez-moi, messieurs. (Il ramasse quelques assiettes en carton) Nous avons besoin de plus que ça, et nous avons besoin d'un peu de chocolat pour aller avec ça. Donc, c'est bien. Je vous remercie. (Il mange un morceau de chocolat) mm.

Donc vous assumez. Ce regard inquiet sur votre visage.

Vous voilà donc, une assiette. (Adamus dessine un point sur l'assiette pour ressembler à un circumpunct, point cerclé) Conscience. La Conscience. Vous avez fait un choix clair pour l'illumination dans ce corps. Et lorsque vous faites ce choix clair, alors et seulement alors, ce que vous appelez votre divinité, votre Je Suis, peut vous rejoindre. Parce que tant que vous n'êtes pas sûr, il reste à l'écart. Il y a une illusion de séparation entre vous et vous-même. Vous créez cette barrière. Donc, ce que vous appelleriez votre véritable Je Suis, votre esprit, se tient loin et observe. Il observe. Simplement : « Hé, qu'est-ce qui se passe ? » Il vous regarde traverser vos défis, vos journées sombres et lumineuses. Il se tient simplement en arrière.

Une fois que vous avez fait ce choix très clairement, pas de mais, juste : point à la ligne : « Je choisis l'illumination dans ce corps » – alors le Je Suis, – la divinité, elle arrive, et simplement vous assumez aveuglément, naïvement, bêtement. Ouais. (Adamus rit) Vous devez pratiquement être aussi idiot avec vous-même. Vous êtes simplement naïf — disons simple, pur, quels que soient les mots — mais simplement vous assumez que c'est ce qui se passe.

Pour ceux d'entre vous qui récemment ont suivi Quantum Allowing (Le Permettre Quantique) à Kauai, vous avez vécu beaucoup d'expériences intéressantes peu de temps après. Intéressant. Vous avez juste à assumer. Vous êtes au milieu du Permettre Quantique, vous assumez cela, et alors cela arrive. Alors cela arrive.

Mais quand arrive le doute, sous la forme d'un aspect — un grand doute arrive — et il commence à jeter de l’ombre. (Adamus écrit un point d'interrogation — pour représenter le doute — sur l'une des assiettes et le tient en face de l'assiette Je Suis) Et il commence à puiser de l'énergie vers lui, et soudain l'énergie qui devrait aller vers cette belle illumination, se trouve soudain distraite par l'immense doute. Toutefois, si vous assumez juste aveuglément, cela va à nouveau comme ça. (L'assiette du Je Suis se replace devant l'assiette du Doute)

Mais là, bien sûr, des choses se passent. (Il écrit des points d'interrogation sur plus d'assiettes) Vous avez des gens dans votre vie, vous avez des situations qui se présentent, et puis vous commencez à douter de nouveau. (Les assiettes du Doute se remettent à éclipser l'assiette du Je Suis) Et cela commence à prendre de l'énergie, et cela commence à dissimuler votre, disons, votre pureté. Et maintenant, vous êtes tout chamboulé. L'énergie va partout, sauf vers vous. Tout s'embourbe dans les doutes.

Alors, que faites-vous ? Vous venez de niveler vers le bas. Pas de mais. Vous n'avez qu'à revenir à la clarté.

Vous assumez naïvement, aveuglément, mais c'est difficile à faire, parce que vous dites : « Eh bien, si simplement j'assume, qu'arrivera-t-il si je suis aveuglé » Eh bien, vous assumez simplement que (a) ça n'arrivera pas, et que (b) Si ça arrive, c'est en fait, un immense cadeau. Vous voyez, tous ces doutes qui arrivent, ils viennent de partout, David. Ils viennent des aspects et de la culpabilité, et ils commencent tous à… Linda voulez-vous tenir ça ?

LINDA : Avec plaisir. Oh, on m'a donné le bon à tenir ! (Quelques rires étouffés alors qu'elle tient l'assiette Je Suis)

ADAMUS : Vous voyez, parce que je suis très occupé avec tous les doutes (il fait plus d'assiettes de Doute) et ils sont tous en train de prendre de l'énergie, et ils sont tous en train de vous distraire et ils sont tous en travers du chemin et ils sont tous ennuyeux et ils se recouvrent. Et, vous voyez, ils sont tous en train de prendre ; ils sont tous en train de prendre le dessus. (Il tient les assiettes du Doute en face de l'assiette du Je Suis ; quelques rires alors que Linda essaie de les écarter)

Alors, que faites-vous ? Vous prenez une grande respiration, cette respiration naïve, et simplement vous assumez.

LINDA : Ahhh.

ADAMUS : Vous assumez, cher Dieu, que — je veux dire que c'est vous que j'appelle Dieu — vous assumez que si vous avez choisi l'illumination dans ce corps, c'est exactement ce qui va se passer.

Maintenant, bien sûr — venez ici (à Linda) Maintenant, tout le… (Adamus rit) Tout le doute commence à arriver et à faire écran, voyez-vous, mais cela prend de l'énergie. (Ils font la démonstration) C'est très distrayant. Très bientôt, vous allez même oublier pourquoi diable vous êtes ici — l'illumination dans ce corps. Et vous commencez à douter de cela, parce que vous avez toutes ces questions en cours. (Linda fait semblant de pleurer) Et vous arrêtez simplement, vous prenez une profonde respiration (elle est soulagée alors qu'il enlève les assiettes du Doute) et vous dites : « Nous allons faire un merabh aujourd'hui, un merabh dpour assumer, et nous allons nous débarrasser de… » (il jette toutes les assiettes de Doute dans le public) Personne n'a été blessé. J’assume que vous êtes des Maîtres. Personne ne s'est fait frapper au visage.

LINDA : Devrions-nous le coller ici ? (sur le chevalet)

ADAMUS : vous pouvez le coller là.

Les vrais concepts spirituels ne sont pas complexes. En fait, ils sont si simples que vous dites : « Vraiment ? C'est tout ? Pour l'illumination, tout ce que j'ai à faire, c'est l’assumer ? » Absolument. Mais rappelez-vous, les doutes surgissent. Ils arrivent là-dedans. J'ai donné ce petit exemple de l'Egypte. Oh, choisir la liberté. Ça va être génial. Boom ! Tout d'un coup tous ces éléments extérieurs entrent en jeu.

Vous avec vous-même, vous choisissez — une partie de vous qui a eu ce désir, vous ne pouvez même pas mettre de mots sur ce désir d'illumination — vous choisissez l'illumination. Mais — alors les mais arrivent. — Les doutes surgissent. Ils commencent à emporter littéralement l'énergie et même la conscience. Ils commencent à vous distraire. Et puis vous commencez à vous questionner encore plus. « Peut-être que je ne fais pas bien cela. Peut-être ai-je besoin de lire ce livre. Peut-être ai-je besoin de faire cette thérapie. Peut-être dois-je faire ceci et cela ».  Non, il vous suffit d'assumer.

Assumer, diriez-vous, demande beaucoup de confiance. En fait, il faut une confiance totale. Mais rendu là, à quoi d'autre devez-vous faire confiance ? À Rien ! Rien.

Assumer signifie : vous adopter vous-même. Cela signifie vous adopter. Cela signifie adopter ou accepter ou s'approprier le fait que si vous avez choisi l'illumination, pourquoi autre chose que l'illumination arriverait ? Pourquoi ? Dieu, qui n'est, soit dit en passant, pas ce que vous pensez qu'Il est — n'est pas assis là-haut en disant : « Je ne sais pas. Je ne pense pas qu'ils soient encore prêts pour l'illumination ».  Dieu ne s'en soucie pas. Vous pouvez choisir l'illumination, vous pouvez choisir la séparation totale ; Il ne s'en soucie pas.

Il n'y a pas de forces là-bas, aucune force ou que ce soit, qui soient en train de travailler contre votre illumination. Les forces qui sont là-bas travaillent pour les gens qui ne veulent pas l'illumination, vous voyez. Il est beaucoup plus facile de travailler avec eux.

Il n'y a rien d'autre que ce que nous appelons certains aspects de doute ou de culpabilité en vous, qui travaillent contre vous. Et en fait, ils ne travaillent pas vraiment contre vous. Ils font juste ce que vous leur avez demandé de faire — interférer. Faire interférence. Vos aspects de doute, vos aspects de culpabilité, vos aspects de quoi que ce soit. Ils font juste ce que vous leur avez demandé.

Du moment que vous ne faites qu’assumer que tout concerne votre illumination, alors ça le sera. C'est un peu une ruse avec vous-même, en quelque sorte. Mais c'est une ruse honnête avec vous-même, parce que sinon vous continueriez à y penser, à vous stresser à ce sujet et votre corps commencerait à vous faire mal et vous commenceriez à vous demander ce que vous faites de mal. Et rapidement vous abandonneriez tout simplement, ce qui est en fait à peu près la meilleure chose que vous puissiez faire. Mais cette manière d'abandonner, de sortir de votre propre chemin, vous devez en arriver à un point tel de douleur émotionnelle et physique, que là vous vous rendez, vous capitulez.

Or, vous pouvez le faire dès maintenant, sans toute cette douleur. En effet, dans ce merabh, nous allons libérer une partie de cette douleur physique. Dans ce merabh, nous allons libérer un grand nombre de ces aspects — eh, tous les aspects — qui doutent et causent cet épuisement que vous ressentez, l'épuisement physique et émotionnel.

L'illumination est suffisamment difficile de toute façon, parce que vous traversez de profonds changements biologiques, et vous allez aussi au-delà du mental. Mais lorsque l'énergie va vers tous ces aspects de doute, cela rend le tout beaucoup, beaucoup plus épuisant.

Alors, voici notre opportunité, dans ce beau merabh, de simplement assumer. Pour simplement assumer — appelez cela de la confiance, appelez cela comme vous voulez — mais assumez. Vous avez choisi l'illumination dans ce corps. Maintenant assumez que c'est ce qui est en train d'arriver. C'est aussi simple que cela.

Ah, pas de mais. Il n'y a pas de mais. Il n'y a pas de mais — « Mais mes enfants » Non. Non, non, non. Vous pourriez tout aussi bien prendre la porte dès maintenant, si c'est ce que vous allez faire, parce que sinon ce merabh va, soit vous faire mal, soit, il va vous décevoir. (Quelqu'un se lève à l'arrière de la salle) Étiez-vous sur le point de partir ? (Adamus rit)

Il n'y a pas de mais qui tiennent — « Oui, mais je… mais… » — au sujet de quoi que ce soit. Il n'y a pas de mais là-dedans. Il n'y a pas de mais en disant : « Mais je suis inquiet de ce qui va se passer » parce que ça c'est un grand mais. « Je suis inquiet de ce qui va se passer si subitement cette illumination incarnée se produit ».  Pas de mais. C'est tout. C'est tout.

Donc, il s'agit d'assumer l'illumination. Juste l’assumer, parce que votre seule autre option est d'en douter, de la combattre, de vous en inquiéter, de l'attendre. Pourquoi ? Il suffit d’assumer l'illumination.

Et, cher Yoham, assumez la scène. (Quelques applaudissements)

Tamisons un peu les lumières. Ouais. Bien. Bien. C'est de la bonne musique de merabh.

Donc, alors que Yoham se prépare, prenez une bonne respiration profonde.

 

Merabh pour Assumer

Assumer…

(La musique commence)

Maintenant, c'est différent si vous n'avez pas vraiment choisi l'illumination. Comme je le disais au début de ce rassemblement, alors vous êtes encore un étudiant. Maintenant si vous avez fait un choix clair pour l'illumination, vous êtes un Maître. Assumez-le simplement. Cessez de vous interroger. Cessez de douter.

Vous savez que cela a un peu été programmé à l'intérieur de l'être humain de toujours douter et questionner, pour vous assurer que vous êtes réel, pour vous assurer que vous êtes vraiment honnête avec vous-même, parce que vous pensez que dans le passé, vous avez joué à des jeux avec vous-même. Vous n'avez pas été honnête. Vous avez été un menteur, un voleur, et tout le reste.

Cela n'importe plus. Vous n'avez plus à vous tester continuellement – pas du tout – sauf si vous aimez le faire. Mais je ne pense pas que vous aimiez cela.

Vous assumez simplement que tout ce qui se passe, chaque énergie qui vient à vous, est en rapport avec l'illumination. Simplement, assumez que tout ce qui arrive, y compris votre irritation et votre exaspération, est en rapport avec l'illumination. Et ça l'est, soit dit en passant. Vous êtes irritable parce que vous n'allez plus tolérer faussement les choses que vous trouvez intolérables.

Vous assumez que tout ce qui arrive — prendre la mauvaise direction sur la route — ce n'est pas seulement le destin. Ce n'est pas ce groupe d'anges qui vous fait faire ça. Ce n'est pas parce que vous êtes une mauvaise personne. Vous assumez simplement, vous assumez de manière grandiose que tout ce qui se passe, chaque iota d'énergie, chaque rayon d'énergie, que cela vienne de la Terre ou qu'il s'agisse d'énergie cosmique ou de cristal, est à propos de votre illumination.

Et une drôle de chose arrive : Alors cela se réalise.

Si vous commencez à lancer des mais là-dedans — « Mais bon, mais je ne suis pas sûr… » — il suffit de penser à ces assiettes avec les quelles je viens de faire la démonstration. En faisant écran, ils prennent l'énergie. Ils rendent ce noyau du Je Suis invisible. Ils l'éclipsent.

Vous pouvez simplement assumer tout. C'est magique, en quelque sorte. C'est magique.

Certains argumenteront — eh bien, ils le font vraiment. Ils disent : « Eh bien, vous êtes juste en train de vous illusionner ».  Je dirais que l'autre forme — tous les doutes, toutes les attentes — c'était plutôt cela la véritable tromperie. Je dirais que, de simplement assumer, c'est être vrai avec soi-même, se faire confiance, se permettre soi-même, se recréer soi-même.

Imaginez-vous à la fin de ce Shoud, imaginez que les lumières s'allument, vous vous levez et allez aux toilettes, vous assumez que d'aller aux toilettes concerne l'illumination. (Quelques rires) Chaque petite chose. Vous assumez que quoi qu'il arrive ce soir, cela concerne l'illumination.

Demain, vous vous réveillerez le matin, vous prendrez une grande respiration et direz : « Aujourd'hui, tout concerne mon illumination. Tout est en rapport avec moi. Il s'agit de mon illumination. Je vais simplement l'assumer. Je ne vais pas assumer qu'un tout petit facteur déviant puisse s'y glisser. Je ne vais pas assumer que certaines énergies sombres du passé viennent se glisser dans ma vie. Je ne vais pas assumer que 80 pour cent des choses qui m'arrivent se rapportent à l'illumination. Je vais assumer tout ».

Il n'y a pas de mais dans cette façon d'assumer. C'est seulement les mais qui font un âne de vous [jeu de mot « ass-u-me » NdT] — mais pas de moi.

Assumer, c'est en fait assez ludique. C'est en fait assez amusant. En assumant, soudainement, votre corps commence à s'aligner. Quels qu’aient été ces maux et douleurs — oh dieu, ils ont été durs ces derniers temps — tout à coup, en assumant qu'ils concernent l'illumination, ces mêmes énergies qui sont à l’œuvre dans votre corps, tout à coup ne sont plus douloureuses. Non pas parce que vous avez fait une guérison, non pas parce que vous avez réussi à vous débarrasser d'elles, mais parce que vous assumez qu'elles sont là à votre service, et pas en train d’œuvrer contre vous. Elles sont seulement douloureuses quand vous pensez qu'elles travaillent contre vous, quand vous pensez que vous faites quelque chose de mal, quand vous pensez qu'il y a quelque chose d'inférieur vous concernant.

Donc vous assumez — aveuglément, naïvement, innocemment, — nullement perturbé. Pas de mais.

Vous assumez que chaque choix que vous faites, que ce soit ce qu'il faut regarder à la télévision, qu'il s'agisse quoi porter comme vêtement, que chaque choix que vous faites concerne votre illumination. Et tout à coup, bizarrement, comme par magie, vous faites des choix illuminés. Vous ne faites plus des choix à partir du doute, de l'inquiétude, de la consternation, de la peur ou du « qu'en dira-t-on ? »

Soudain, chaque choix est illuminé, peu importe sa simplicité. Ça pourrait être de prendre du jus de fruit ou bien prendre de l'eau. Soudainement, avec cette assomption de l'illumination, le choix est illuminé. Et tout à coup peu importe ce que vous avez choisi, cela devient tout à coup une boisson illuminée. C'est comme de la magie.

Dans cette assomption de l'illumination, tout concerne alors l'illumination. Si vous décidez de boire le jus de fruit à la place de l'eau, il devient du jus de fruits illuminé.

Cette chose que vous appelez la réalité ne l'est pas vraiment. La réalité est ce que vous choisissez. C'est tout.

Vous pouvez assumer l'illumination et votre réalité sera l'illumination.

Vous assumez que vous êtes un Maître et tout vous répondra en tant que Maître.

Parmi les choses que vous, que beaucoup d'autres font — la plupart des autres, en fait tout le monde — c'est qu'ils assument qu'ils font quelque chose de mal. Et donc, même s'ils assument juste que cinq pour cent est mal, ils vont recevoir de la mauvaise énergie. Curieusement, l'accent va sur le cinq pour cent plutôt que sur le quatre-vingt-quinze pour cent. Ainsi, cela devient effectivement beaucoup plus que cinq pour cent. Cela devient un mode de vie. Vous assumez que quelque chose cloche. Vous assumez que quelqu'un est là pour vous attraper. Vous assumez que les choses vont aller mal. Eh bien, alors c'est ce qu'elles font.

Ce n'est pas une chose du mental. Ce n'est pas réfléchi. C'est un choix, ce que vous choisissez.

Prenons une profonde respiration et allons plus profondément maintenant, avec la musique, dans le fait d'assumer.

Oui ! Vous pouvez aveuglément assumer que vous êtes un Maître. L'énergie ne s'en soucie pas. L'énergie va vous servir. Les énergies s'aligneront sur ce que vous choisissez, quoi que ce soit. Choisissez le manque, croyez au manque, et cela arrivera. Croyez aux conspirations et tout le reste, alors ce sera là.

Assumez que tout est en rapport avec l'illumination, et cela le devient.

Ressentez vraiment le moment, alors que se joue la belle musique de Yoham, la vie — une vie au jour le jour — à simplement assumer l'illumination. Ressentez combien les énergies dans votre vie quotidienne changent. Imaginez-vous traversant votre routine quotidienne, vous réveillant le matin, faisant ce que vous avez à faire. N'essayez pas de changer la routine, essayez plutôt de changer l’assomption sous-jacente.

Prenez une profonde respiration.

Ressentez-vous maintenant, commençant votre journée de demain avec cette assomption « Tout concerne mon illumination, comme cela devrait être, bon sang ! ».  Assumant que toutes les énergies sont là pour vous servir. Assumant, en fait, que vous n'avez pas besoin d’en faire beaucoup, parce que les énergies, elles viennent à votre rencontre.

Alors allons-y, assumons.

Vous êtes un Maître.

Vous avez choisi l'illumination incarnée.

Vous êtes arrivés à ce point de votre voyage d'expériences. Vous êtes arrivés à ce point où il y a un piédestal, un marqueur. Vous le regardez et il dit : « Le Maître assume ». Le Maître assume.

Vous vous dites : « Wow. Cela signifie que je suis arrivé à ce point où je vais réellement au-delà de la pensée, j’assume simplement. Je vais au-delà de la planification ; j'assume simplement. Je vais au-delà des doutes, car ils n'étaient pas très amusants ; j’assume simplement. J'entre dans un type de réalité magique maintenant, parce que simplement j’assume ».

Vous pourriez appeler cela autrement si vous voulez — connaissance, confiance — mais j'aime le mot assumer. Vous allez simplement assumer « Tout va être à mon service ».

Maintenant, ressentez votre journée, vos activités. Oh, maintenant ce qui va se passer ici, c'est que vous allez voir des visages — visages de gens que vous connaissez, visages que vous ne reconnaissez pas nécessairement — et ils vont remettre en cause cette assomption. Mais que faites-vous ? Il suffit de prendre une profonde respiration, vous souriez, vous continuez simplement à assumer. Vous continuez simplement à assumer que tout est pour votre illumination, parce qu'en fait ça l'est.

(Longue pause alors que la musique continue)

Nous voici donc dans ce merabh. Les merabhs sont agréables. Vous n'avez pas à m'écouter tellement. Vous pouvez vous laisser aller au sommeil un peu. Le merabh est une sorte de changement gracieux et agréable.

Mais assumons que ceci n'est pas juste un merabh habituel. Assumons que vous êtes venus ici aujourd'hui pour un changement immense. Eh, ces derniers six mois ont été difficiles. Ils ont fait payer un fort tribut, beaucoup de doutes se sont faufilés. Beaucoup de bonnes choses se passent, mais cela a été difficile.

Donc, nous allons simplement assumer qu'il s'agit d'un super merabh.

Assumons que c'est un double super merabh. Un changement au-delà des changements.

Assumons que quelque chose d'extraordinaire se passe dans la salle en ce moment — absolument incroyable. — Allant au-delà de vos doutes, même de la résistance, parce que je peux sentir votre résistance. Une partie de vous disant : « Eh bien, je ne suis pas… eh bien, mais bon… » Non, nous allons simplement assumer.

Maintenant, nous allons plonger vraiment profondément. Nous allons assumer qu'un grand changement se produit.

Et une chose drôle, c'est qu'alors c'est ce qui se passe. Oh, votre mental va se mettre à vous crier dessus à distance. La ferme ! Votre intellect va se mettre à faire tous ses mais. Nous allons prendre une profonde respiration et nous allons simplement assumer que dans ce merabh les énergies arrivent pour vous. Elles viennent à votre rencontre, à votre rencontre. Toutes les énergies viennent à votre rencontre.

Donc, nous prenons une grande respiration. Nous entrons dans un superbe merabh — la première fois dans tout l'univers qu'un super-merabh est fait — et nous assumons des changements immenses, des libérations immenses.

Alors prenons une grande respiration alors que Yoham nous amène à ce niveau suivant.

(Longue pause alors que la musique continue)

Vous envoyez certaines sondes d'énergie — vous avez l'habitude de le faire — qui disent : « Alors qu'est-ce qui vient de se passer ? Est-ce que quelque chose est arrivé ? » Alors vous prenez une profonde respiration et vous vous remettez à assumer. « Eh bien, oui, quelque chose s'est passé. Oui il s'est passé quelque chose. Pourquoi ? Eh bien, parce que je l'ai choisi ».  C'est aussi simple que cela.

Les sondes d'énergie s'en vont là-bas et disent : « Mais est-ce que je me sens différent ? Est-ce que j'ai l'air moins fatigué ? Suis-je plus intelligent ? » Vous savez exactement quoi dire au mental à ce moment-là. Prenez simplement une profonde respiration et assumez que quelque chose s'est passé. Vous assumez que c'est en fait probablement le meilleur merabh que nous ayons jamais fait. Il a atteint le plus grand niveau de mouvement et de changement avec le moins de résistance. En d'autres termes, cela vient juste de se passer.

Vous assumez cela, les énergies — qui sont toujours en service pour vous — elles vont de pair avec cela, elles se ré-alignent, puis cela devient une réalité. Mince ! C'était le plus grand changement d'énergie — changement de conscience que j'aie jamais vu traverser. Aussi facile que ça.

Vous voyez, les Maîtres — les Maîtres, les véritables Maîtres — ils comprennent combien cela est simple. Ils comprennent que, eh bien, cela a commencé avec cette chose dont Tobias a parlé il y a plusieurs années — l'acceptation. L'acceptation. J'avais parlé alors de permettre.

Maintenant nous avons : « Vous assumez ».  Vous acceptez. Vous permettez. Vous assumez simplement que tout est à propos de votre illumination.

Prenons une respiration profonde, laissant vraiment ce beau merabh, le laissant tremper encore, le laissant faire son petit changement final.

Vous voyez, quand vous assumez que cela concerne l'illumination, ces problèmes physiques avec lesquels vous êtes entrés ici, ces problèmes émotionnels, he, ces problèmes relationnels, toutes ces autres choses, tout d'un coup toutes ces énergies bougent et se ré-alignent. Soudainement, ce ne sont vraiment plus des problèmes. Soit ils s'en vont, soit ils vous servent ; ils vous servent doucement dans votre illumination.

Laissons simplement tout cela décanter un peu. Après un super merabh, vous n'avez plus qu'à vous détendre un peu.

Prenez une bonne respiration profonde…

Ahh… assumer est beaucoup plus amusant que douter.

(pause alors que la musique continue)

Il y a eu tant de jours où vous ressentiez que vous aviez à mettre votre armure de combat et deviez batailler soit avec les enfants, un emploi ou simplement avec vous-même. Tant de jours où vous étiez si fatigué, si épuisé, mais il vous fallait mettre cette armure, vous préparer pour une autre journée de lutte. Plus maintenant. Vous assumez simplement que chaque bataille est terminée. Assumez que tout est là pour vous servir.

Vous assumez que vous permettez ce Je Suis, la pleine présence de vous-même dans votre vie, et alors c'est ce qui arrive. C'est ce qui arrive.

Vous assumez que cette vie est la vie de l'illumination incarnée, que vous êtes un Maître, et alors c'est ce qui arrive. Toutes les énergies alors s'alignent pour vous servir et servir ce que vous choisissez dans votre assomption. C'est aussi simple que cela. Tout le reste n'est rien d'autre que dissimulations, doutes, mais, procrastinations et retards.

Prenez une profonde respiration.

Assumez l'illumination dans ce corps.

Prenez une profonde respiration. Vous assumez votre souveraineté. Pourquoi ? Eh bien, parce que vous l'avez choisi. C'est ce que vous désirez. C'est votre passion.

Et vous prenez une bonne respiration et vous réalisez que nous avons fait un immense changement aujourd'hui.

(pause)

Et alors vous prenez une bonne respiration et vous assumez que tout est bien dans toute la création. Et alors cela est.

Avec cela, mes chers amis, je vous aime tendrement. On se revoit à notre prochaine rencontre.

Je suis Adamus, à votre service. Je vous remercie. (L'assistance applaudit)